Occurences de l'expression

fin

pour MARIVAUX

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FÉLICIE (1750)

  1. J'y rêve, puisque vous me l'ordonnez, et jusqu'ici je ne vois rien ; car enfin, que demanderais-je ? (Acte 1, scène 1, FÉLICIE)
  2. J'en ai une reconnaissance infinie ; et apparemment qu'il y a bien du changement en moi, quoique je ne le voie pas. (Acte 1, scène 1, FÉLICIE)
  3. Vous allez dans le monde, je veux vous rendre heureuse ; et il faut pour cela que je connaisse parfaitement vos inclinations, afin de vous assurer le genre de bonheur qui vous sera le plus convenable. (Acte 1, scène 1, HORTENSE)
  4. Je me suis donc étrangement trompée ; j'ai souhaité d'être aimable, afin qu'on m'aimât dès qu'on me verrait, ce qui est assurément très innocent ; et il se trouverait que, selon vos chicanes, ce serait afin qu'on ne me vît jamais : en vérité, je ne saurai goûter ce que vous me dites. (Acte 1, scène 3, FÉLICIE)
  5. Et vous, toujours de nouveaux charmes ; ils ne finissent point. (Acte 1, scène 8, LUCIDOR)
  6. Vous voyez bien que je me fâche, afin qu'il n'y revienne plus : qu'avez-vous à dire ? (Acte 1, scène 8, FÉLICIE)
  7. Infiniment. (Acte 1, scène 10, FÉLICIE)

LA DOUBLE INCONSTANCE (1724)

  1. Saurais-tu avec une adresse naïve et modeste inspirer un tendre penchant à quelqu'un, en lui témoignant d'en avoir pour lui, et le tout pour une bonne fin ? (Acte 1, scène 3, FLAMINIA)
  2. Tu prends de certains tons, tu te sers d'un certain langage, et le tout finement relevé de saillies folles ; oh ! (Acte 1, scène 3, FLAMINIA)
  3. Toutes ces petites impertinences-là sont très jolies dans une fille du monde, il est décidé que ce sont des grâces, le coeur des hommes s'est tourné comme cela, voilà qui est fini : mais ici il faut, s'il te plaît, faire main basse sur tous ces agréments-là ; le petit homme en question ne les approuverait point, il n'a pas le goût si fort, lui. (Acte 1, scène 3, FLAMINIA)
  4. Enfin, si ce ne sont pas des voleurs, ce sont toujours des fripons. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  5. Oui-da, que je me marie à une autre, afin de mettre Silvia en colère et qu'elle porte son amitié ailleurs ! (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
  6. Non, mais enfin c'est un prince. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  7. Écoutez, si vous m'aimez tout de bon, retirez-vous vite, afin que cela s'en aille ; car je suis pris, et naturellement je ne veux pas qu'une fille me fasse l'amour la première, c'est moi qui veux commencer à le faire à la fille, cela est bien meilleur. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  8. Les premiers jours, il fallait voir comme elle se reculait d'auprès de moi, et puis elle reculait plus doucement, et puis petit à petit elle ne reculait plus, ensuite elle me regardait en cachette, et puis elle avait honte quand je l'avais vu faire, et puis moi j'avais un plaisir de roi à voir sa honte ; ensuite j'attrapais sa main, qu'elle me laissait prendre, et puis elle était encore toute confuse ; et puis je lui parlais ; ensuite elle ne me répondait rien, mais n'en pensait pas moins ; ensuite elle me donnait des regards pour des paroles, et puis des paroles qu'elle laissait aller sans y songer, parce que son coeur allait plus vite qu'elle : enfin c'était un charme, aussi j'étais comme un fou. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
  9. Seigneur, vous pouvez en toute sûreté ordonner les apprêts de votre mariage, vous arranger pour cela ; je vous garantis aimé, je vous garantis marié, Silvia va vous donner son coeur, ensuite sa main ; je l'entends d'ici vous dire : Je vous aime ; je vois vos noces, elles se font ; Arlequin m'épouse, vous nous honorez de vos bienfaits, et voilà qui est fini. (Acte 1, scène 8, FLAMINIA)
  10. Tout est fini, rien n'est commencé. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  11. Car c'est un abus que tout ce qu'il fait, tous ces concerts, ces comédies, ces grands repas qui ressemblent à des noces, ces bijoux qu'il m'envoie ; tout cela lui coûte un argent infini, c'est un abîme, il se ruine ; demandez-moi ce qu'il y gagne ? (Acte 2, scène 1, SILVIA)
  12. Cela m'impatiente à la fin, et si elle ne s'en va, je me fâcherai tout de bon ! (Acte 2, scène 2, SILVIA)
  13. Tenez, l'étoffe est belle, elle m'ira bien ; mais je ne veux point de tous ces habits-là, car le Prince me veut en troc, et jamais nous ne finirons ce marché-là. (Acte 2, scène 4, SILVIA)
  14. En ce cas-là, j'en prendrai tant qu'il voudra, afin qu'il n'ait rien à me dire. (Acte 2, scène 4, SILVIA)
  15. Bonjour, Arlequin ; dites-moi donc de quoi vous riez, afin que j'en rie aussi ? (Acte 2, scène 5, FLAMINIA)
  16. Je vous pardonne tout à vous, car enfin il le faut : mais vous me le paierez, Flaminia ! (Acte 2, scène 5, TRIVELIN)
  17. Non, je ne serai jamais témoin de votre contentement, voilà qui est fini ; Trivelin causera, l'on me séparera d'avec vous, et que sais-je, moi, où l'on m'emmènera ? (Acte 2, scène 6, FLAMINIA)
  18. Voilà qui est fini, je ne me moquerai plus de vous ; je sais bien que l'humilité n'accommode pas les glorieux, mais la rancune donne de la malice. (Acte 2, scène 10, SILVIA)
  19. Cependant cela me paraît possible ; car enfin je ne suis ni si maladroite, ni si désagréable. (Acte 2, scène 10, LISETTE)
  20. Vous avez du goût, de l'esprit, l'air fin et distingué ; lui il a l'air pesant, les manières grossières ; cela ne cadre point, et je ne comprends pas comment vous l'avez aimé ; je vous dirai même que cela vous fait tort. (Acte 2, scène 11, FLAMINIA)
  21. Et quand vous le seriez, tenez, je ne pourrais me résoudre à être une infidèle, voilà qui est fini. (Acte 2, scène 12, SILVIA)
  22. Elle l'est infiniment. (Acte 3, scène 1, FLAMINIA)
  23. Oui ; j'ai dessein de lui faire un écrit pour le prier d'avertir le Prince que je m'ennuie, et lui demander quand il veut finir avec nous ; car mon père est tout seul. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  24. Si on veut me garder, il faut lui envoyer une carriole afin qu'il vienne. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  25. Mettez les deux, afin qu'il choisisse. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  26. Comme les hommes sont quelquefois méchants, mettez-vous en état de faire du mal, seulement afin qu'on n'ose pas vous en faire, et pour cet effet prenez vos lettres de noblesse. (Acte 3, scène 4, LE-SEIGNEUR)
  27. Pourtant je n'y consens pas encore, à l'aimer : mais à la fin il faudra bien y venir ; car dire toujours non à un homme qui demande toujours oui, le voir triste, toujours se lamentant, toujours le consoler de la peine qu'on lui fait, dame, cela lasse ; il vaut mieux ne lui en plus faire. (Acte 3, scène 8, SILVIA)
  28. Votre amant vous cherche ; croyez-moi, finissez avec lui sans vous inquiéter du reste. (Acte 3, scène 8, FLAMINIA)
  29. Mais enfin ce prince, puisqu'il faut que je le voie, quand viendra-t-il ? (Acte 3, scène 9, SILVIA)
  30. Prenez que vous l'avez dit, prenez que j'ai répondu, laissez-moi après, et voilà qui sera fini. (Acte 3, scène 10, SILVIA)

LE PÈRE PRUDENT ET ÉQUITABLE (1712)

  1. Il s'offre trois partis : un homme de finance, v.9 (Acte 1, scène 1, DÉMOCRITE)
  2. Mais quel remède, enfin, y pourrai-je apporter ? v.47 (Acte 1, scène 3, PHILINE)
  3. Votre injuste froideur est enfin découverte. v.62 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
  4. Finissons là-dessus ; quand on est sans tendresse v.77 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
  5. Finissez vos débats, et calmez le chagrin... v.99 (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
  6. Ah ! Que vous m'ennuyez ! Pour finir vos alarmes, v.113 (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
  7. Eh bien ! Finissez-vous ? Toi, Crispin, tiens ton maître. v.121 (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
  8. Pour nous unir enfin, ce qu'on peut entreprendre. v.134 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
  9. L'autre est un chevalier, l'autre homme de finance ; v.137 (Acte 1, scène 3, PHILINE)
  10. Et vous allez par moi voir finir vos malheurs. v.152 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
  11. Enfin je l'ai trouvé. v.159 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
  12. Ha ! Votre enthousiasme est enfin achevé. v.160 (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
  13. J'irai trouver ce père, et vous verrez enfin v.173 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
  14. Mais enfin, lui parti, cet homme de finance, v.175 (Acte 1, scène 3, TOINETTE)
  15. Si l'un des trois arrive, afin que je l'arrête. v.192 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
  16. Pour tromper Démocrite es-tu bien assez fin ? v.194 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
  17. Enfin, tout ci, tout ça, ces gens, pour son salaire, v.251 (Acte 1, scène 5, MAITRE JACQUES)
  18. Le nez le plus friand, la taille la plus fine. v.275 (Acte 1, scène 6, TOINETTE)
  19. S'il devient mon époux, ma vertu va finir ; v.302 (Acte 1, scène 6, TOINETTE)
  20. C'est moi seul, enfin, que j'en veux croire. v.352 (Acte 1, scène 10, DÉMOCRITE)
  21. Quelque mérite enfin qu'ait notre Chevalier, v.381 (Acte 1, scène 11, DÉMOCRITE)
  22. Il faut attendre Ariste et notre financier. v.382 (Acte 1, scène 11, D?MOCRITE)
  23. Et j'ai même un cousin, à présent financier, v.425 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
  24. Et devenue enfin une grosse dondon, v.429 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
  25. Qui d'un faux financier jouera fort bien le rôle. v.460 (Acte 1, scène 14, CRISPIN)
  26. Mais le voilà qui vient, notre vrai financier. v.461 (Acte 1, scène 14, CRISPIN)
  27. Enfin, vous voulez donc, Monsieur, que je périsse ? v.480 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
  28. Je m'en retourne enfin à Paris dès ce soir. v.490 (Acte 1, scène 15, LE FINANCIER)
  29. Autant qu'on peut juger, n'auront pas bonne fin. v.510 (Acte 1, scène 17, TOINETTE)
  30. Finissons, s'il vous plaît. v.561 (Acte 1, scène 19, DÉMOCRITE)
  31. Je suis le financier qui devait sur le soir, v.585 (Acte 1, scène 19, FRONTIN)
  32. Non, je n'y connais rien ; Monsieur le financier, v.605 (Acte 1, scène 19, DÉMOCRITE)
  33. Ou si ce n'est enfin que pure frénésie v.608 (Acte 1, scène 19, D?MOCRITE)
  34. Mais enfin, il est temps d'avouer mon malheur. v.629 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
  35. Il s'est dit financier, et prenait votre nom. v.694 (Acte 1, scène 23, DÉMOCRITE)
  36. Enfin ils ont tant fait, qu'Ariste que velà, v.713 (Acte 1, scène 24, MAITRE JACQUES)
  37. Je venons en tout ça savoir encor la fin. v.722 (Acte 1, scène 24, MAITRE JACQUES)
  38. De tout ce qui s'est fait, enfin, je suis l'auteur ; v.745 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
  39. Levez-vous, finissez tous vos remerciements : v.773 (Acte 1, scène 25, DÉMOCRITE)
  40. Soyez contents tous deux, votre peine est finie. v.776 (Acte 1, scène 25, D?MOCRITE)
  41. Finis la mienne aussi, marions-nous tous deux. v.777 (Acte 1, scène 25, CRISPIN)

LES ACTEURS DE BONNE FOI (1757)

  1. J'oublie encore à vous dire une finesse de ma pièce ; c'est que Colette qui doit faire mon amoureuse, et moi qui dois faire son amant, nous sommes convenus tous deux de voir un peu la mine que feront Lisette et Blaise à toutes les tendresses naïves que nous prétendons nous dire ; et le tout, pour éprouver s'ils n'en seront pas un peu alarmés et jaloux ; car vous savez que Blaise doit épouser Colette, et que l'amour nous destine, Lisette et moi, l'un à l'autre. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  2. Doucement, Lisette, tu me dis des injures au commencement de la scène, par où la finiras-tu ? (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  3. Reprenons donc, afin que je le place. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  4. Voyez-vous la fine mouche ! (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  5. Allons, poursuivons ; reculez-vous un peu, Colette, afin que j'aille au-devant de vous. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  6. Car, enfin, voilà un discours qui ne peut entrer dans la représentation de votre scène, puisque je ne serai pas présente quand vous la jouerez. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  7. Mais, mes enfants, gagnons d'abord notre argent, et puis nous finirons nos débats. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  8. Voilà qui est fini, Madame ; ne vous alarmez point ; c'en est fait, il n'en est plus question. (Acte 1, scène 7, MADAME-AMELIN)

ANNIBAL (1727)

  1. Je le devins, Egine, et j'ai cru l'être enfin, v.67 (Acte 1, scène 1, LAODICE)
  2. Quoi qu'il en soit, enfin, trop aimable Princesse, v.113 (Acte 1, scène 2, ANNIBAL)
  3. Et votre coeur, enfin, est assez grand pour croire v.121 (Acte 1, scène 2, ANNIBAL)
  4. En lui livrant enfin la main de Laodice. v.166 (Acte 1, scène 2, ANNIBAL)
  5. En vous donnant enfin le nom de mon époux. v.172 (Acte 1, scène 2, LAODICE)
  6. Enfin, Flaminius va bientôt nous instruire v.181 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
  7. Avant la fin du jour, Seigneur, nous l'allons voir, v.183 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
  8. Je crois pouvoir enfin les imiter moi-même, v.217 (Acte 1, scène 3, PRUSIAS)
  9. Et quel est donc enfin le charme ou le poison v.227 (Acte 1, scène 3, ANNIBAL)
  10. Doit changer dans ces lieux ou doit y prendre fin. v.300 (Acte 1, scène 4, ANNIBAL)
  11. Et que la guerre enfin que lui fait Prusias v.335 (Acte 2, scène 1, FLAVIUS)
  12. La fait Romaine enfin. Cependant ne crois pas v.379 (Acte 2, scène 1, FLAMINIUS)
  13. Qu'il souhaitait enfin qu'on eût, en pareil cas, v.399 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
  14. Quoi qu'il en soit, enfin, que votre ambition v.431 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
  15. Quand le Sénat, enfin, honorerait lui-même v.437 (Acte 2, scène 2, PRUSIAS)
  16. Pour qu'on la crût encor plus proche de sa fin, v.544 (Acte 2, scène 2, FLAMINIUS)
  17. Si vous êtes enfin à l'abri de ses coups, v.591 (Acte 2, scène 3, FLAMINIUS)
  18. Je crois pouvoir enfin recevoir qui me plaît, v.615 (Acte 2, scène 3, PRUSIAS)
  19. Mais enfin, le penchant qui me surprit pour lui v.695 (Acte 3, scène 1, LAODICE)
  20. Quoique enfin le Sénat n'ait consacré ce titre v.729 (Acte 3, scène 2, FLAMINIUS)
  21. Quoi qu'il en soit enfin, dans la peur d'être ingrate, v.753 (Acte 3, scène 2, LAODICE)
  22. Enfin, elle me fuit, et Rome méprisée v.829 (Acte 3, scène 3, FLAMINIUS)
  23. Qu'y faites-vous enfin ! v.863 (Acte 3, scène 4, FLAMINIUS)
  24. De finir par l'aveu que je viens de lui faire, v.886 (Acte 3, scène 4, ANNIBAL)
  25. Vous, qu'il abuse enfin, vous par qui son orgueil v.951 (Acte 3, scène 5, FLAMINIUS)
  26. Enfin voici l'instant v.1041 (Acte 4, scène 2, ANNIBAL)
  27. Et qu'enfin c'est pour lui que j'ai juré de vivre, v.1080 (Acte 4, scène 2, LAODICE)
  28. Quoi qu'il en soit enfin, je remets en vos mains v.1125 (Acte 4, scène 2, ANNIBAL)
  29. Mais enfin ce guerrier dut être mon époux. v.1174 (Acte 4, scène 3, LAODICE)
  30. Mais enfin, pardonnez à ce coeur qui vous aime v.1235 (Acte 4, scène 3, FLAMINIUS)
  31. Mais enfin ce serment pèse à votre courage, v.1295 (Acte 4, scène 6, ANNIBAL)
  32. Enfin voici le temps de rompre le silence v.1343 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
  33. Mais enfin nos tyrans sont plus puissants que nous. v.1366 (Acte 5, scène 2, PRUSIAS)
  34. Mais, Seigneur, finissons cet entretien fâcheux, v.1397 (Acte 5, scène 2, ANNIBAL)
  35. Oui, je vous rends enfin ce funeste service ; v.1415 (Acte 5, scène 4, LAODICE)
  36. Pour me donner enfin sa réponse précise, v.1515 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
  37. A votre place enfin, voilà le seul écueil v.1537 (Acte 5, scène 9, FLAMINIUS)
  38. Mais enfin c'en est fait, j'ai cru que la dernière v.1555 (Acte 5, scène 9, ANNIBAL)
  39. Avec assez d'honneur finissait ma carrière. v.1556 (Acte 5, scène 9, ANNIBAL)
  40. Prusias (car enfin je ne crois pas qu'un homme v.1563 (Acte 5, scène 10, ANNIBAL)
  41. A des malheurs sans fin vous vous êtes livré. v.1574 (Acte 5, scène 10, ANNIBAL)
  42. Enfin Rome a vaincu. v.1578 (Acte 5, scène 10, LAODICE)

LE TRIOMPHE DE PLUTUS (1739)

  1. Cet aigrefin de dieu qui veut tenir contre Plutus ? (Acte 1, scène 1, PLUTUS)
  2. Je crois que c'est Plutus déguisé en financier. (Acte 1, scène 2, APOLLON)
  3. Je suis fâché de n'être pas venu plus tôt ; mais j'ai été occupé d'une affaire que je voulais finir. (Acte 1, scène 6, ARMIDAS)
  4. Si le marché ne vous plaît pas demain, je vous la revendrai, moi ; et je vous ferai crédit, afin que cela ne vous incommode point. (Acte 1, scène 6, PLUTUS)
  5. Savez-vous bien par où il a débuté avec moi afin de m'intéresser à son amour ? (Acte 1, scène 8, SPINETTE)
  6. Finissons-nous, mon oncle ? (Acte 1, scène 10, PLUTUS)
  7. Un jour finit l'affaire. v.63 (Acte 1, scène 19, APOLLON)
  8. Un jour finit l'affaire. v.78 (Acte 1, scène 19, CHANTEUR)
  9. Un jour finit l'affaire. v.108 (Acte 1, scène 19, CHANTEUR)
  10. Un jour finit l'affaire. v.123 (Acte 1, scène 19, CHANTEUR)
  11. Fin connaisseur, v.134 (Acte 1, scène 19, ARLEQUIN)

LA SECONDE SUPRISE DE L'AMOUR (1728)

  1. Finis, de quoi s'agit-il ? (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
  2. Vous voyez, Madame, un homme au désespoir, et qui va se confiner dans le fond de sa province, pour y finir une vie qui lui est à charge. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  3. Adieu, Angélique, ma tendresse ne finira qu'avec ma vie, et je renonce à tout engagement ; j'ai voulu que vous fussiez contente de mon coeur, afin que l'estime que vous aurez pour lui excuse la tendresse dont vous m'honorâtes." (Acte 1, scène 7, LA MARQUISE)
  4. Voilà qui est fini, Madame ; vous me déterminez ; c'est un bonheur pour moi que de vous avoir vue ; je me sens déjà plus tranquille. (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
  5. Je suis attachée à ma maîtresse, plus que je ne saurais vous le dire, et je suis désolée de voir qu'elle ne veut pas se consoler, qu'elle soupire et pleure toujours ; à la fin elle n'y résistera pas : n'entretenez point sa douleur, tâchez même de la tirer de sa mélancolie ; voilà Monsieur_le_Comte qui l'aime, vous le connaissez, il est de vos amis, Madame la Marquise n'a point de répugnance à le voir ; ce serait un mariage qui conviendrait, je tâche de le faire réussir ; aidez-nous de votre côté, Monsieur le Chevalier, rendez ce service à votre ami, servez ma maîtresse elle-même. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  6. De temps en temps, de mon côté, je glisse de petits mots, afin qu'elle y prenne garde. (Acte 1, scène 10, LISETTE)
  7. Finissons, je vous prie, Lisette. (Acte 1, scène 11, LE CHEVALIER)
  8. Quand verrai-je finir toutes ces folies-là ? (Acte 2, scène 2, LISETTE)
  9. Qu'afin de savoir si ledit Chevalier ne voudrait pas vous rechercher lui-même et se substituer au lieu et place dudit Comte ; et même il appert par le récit dudit Lubin, que ladite Lisette vous a offert au sieur Chevalier. (Acte 2, scène 4, HORTENSIUS)
  10. Madame, Monsieur le Chevalier finit un embarras avec un homme ; il va venir, et il dit qu'on l'attende. (Acte 2, scène 5, LUBIN)
  11. Finis, finis. (Acte 2, scène 5, LA MARQUISE)
  12. Le Chevalier m'a refusée, par exemple ; mon amour-propre ne lui en veut aucun mal ; il n'y a là-dedans, comme je vous l'ai déjà dit, que le ton, que la manière que je condamne : car, quand il m'aimerait, cela lui serait inutile ; mais enfin il m'a refusée, cela est constant, il peut se vanter de cela, il le fera peut-être ; qu'en arrive-t-il ? (Acte 2, scène 6, LA MARQUISE)
  13. Vous êtes l'homme du monde le plus estimable, quand vous voulez ; et je ne sais par quelle fatalité vous sortez aujourd'hui d'un caractère naturellement doux et raisonnable ; laissez-moi finir... (Acte 2, scène 7, LA MARQUISE)
  14. Car enfin, malgré nos conventions, votre coeur aurait pu être tenté du mien : ou bien était-ce vrai dédain ? (Acte 2, scène 7, LA MARQUISE)
  15. "La raison est d'un prix à qui tout cède ; c'est elle qui fait notre véritable grandeur ; on a nécessairement toutes les vertus avec elle ; enfin le plus respectable de tous les hommes, ce n'est pas le plus puissant, c'est le plus raisonnable." (Acte 2, scène 8, HORTENSIUS)
  16. Car enfin, vous n'accepteriez point la proposition. (Acte 2, scène 9, LE CHEVALIER)
  17. car enfin était-il naturel ? (Acte 2, scène 9, LE CHEVALIER)
  18. Finis tes sottises. (Acte 3, scène 2, LISETTE)
  19. Enfin, le voilà congédié ; c'est pourtant un amant que je perds. (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  20. Comte, finissons : vous autres amants, vous n'avez que votre amour et ses intérêts dans la tête, et toutes ces folies-là n'amusent point les autres. (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
  21. Car enfin, quoiqu'il me fâche, je n'ai pourtant rien à lui reprocher. (Acte 3, scène 12, LA MARQUISE)
  22. Je l'ai rapporté ; ensuite, il a laissé tomber le billet en se promenant, et je l'ai ramassé sans qu'il l'ait vu, afin de vous l'apporter comme à sa bonne amie, pour voir ce qu'il a, et s'il y a quelque remède à sa peine. (Acte 3, scène 13, LUBIN)

L'HÉRITIER DE VILLAGE (1729)

  1. Que ne finit-il donc, sans nous coûter tant d'allées et de venues ? (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
  2. Enfin le velà défunt. (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
  3. En fin finale, accommodez-vous, Mesdames. (Acte 1, scène 4, BLAISE)
  4. La fin en est plus drôle. (Acte 1, scène 4, BLAISE)
  5. Quant à Madame, je la supplie seulement de me recevoir au nombre de ses amis, tout dangereux qu'il est d'obtenir cette grâce ; car je n'en fais point le fin, elle possède un embonpoint, une majesté, un massif d'agréments, qu'il est difficile de voir innocemment. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  6. Cette canaille a cent mille francs ; vous êtes veuve, je suis garçon ; voici un fils, voilà une fille ; vous n'êtes pas riche, mes finances sont modestes : les légitimes de la Garonne, vous les connaissez ; proposons d'épouser. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  7. Regardons le tout comme une intrigue pastorale ; le mariage sera la fin d'une églogue. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  8. Il me plaît que vous bailliez une petite leçon de bonne manière à nos enfants : dressez-les un petit brin selon leur qualité, à celle fin qu'ils puissent tantôt batifoler à la grandeur, suivant les balivarnes du biau monde ; vous ferez bian ça ? (Acte 1, scène 8, BLAISE)
  9. Laissez-moi faire ; je saurai bien petit à petit manquer de courage, et pis en manquer encore davantage, et pis enfin n'en avoir pus. (Acte 1, scène 10, COLETTE)
  10. Vous êtes bian fin ! (Acte 1, scène 12, COLETTE)

L'ÃŽLE DE LA RAISON ou LES PETITS HOMMMES (1727)

  1. Je t'admire, mon cher Marquis, avec l'air mortifié dont tu parais finir ta période : mais tu ne m'effrayes point ; tu n'es qu'un hypocrite ; et je sais bien que ce n'est que par vanité que tu soupires sur nous. (Prologue, scène 1, LE CHEVALIER)
  2. Toute notre indulgence, tous nos éloges, toutes nos admirations, toute notre justice, est pour l'étranger ; enfin notre amour-propre n'en veut qu'à notre nation ; celui de tous les étrangers n'en veut qu'à nous, et le nôtre ne favorise qu'eux. (Prologue, scène 1, LE CHEVALIER)
  3. Ce sont les plus jolis petits traits du monde ; rien de si fin que sa petite taille. (Acte 1, scène 4, FLORIS)
  4. Eh finis, mon ami, finis, tu nous ennuies. (Acte 1, scène 8, LE PHILOSOPHE)
  5. Je ne saurais me voir définir le compagnon des bêtes. (Acte 1, scène 10, LE POÈTE)
  6. Je ne dis pas encore que ma définition vous convienne ; mais voyons : que faisiez-vous dans le pays dont vous êtes ? (Acte 1, scène 10, BLECTRUE)
  7. Vous n'avez point dans votre langue de mot pour définir ce que j'étais. (Acte 1, scène 10, LE POÈTE)
  8. On appelle cela des tragédies, que l'on récite en dialogues, où il y a des héros si tendres, qui ont tour à tour des transports de vertu et de passion si merveilleux ; de nobles coupables qui ont une fierté si étonnante, dont les crimes ont quelque chose de si grand, et les reproches qu'ils s'en font sont si magnanimes ; des hommes enfin qui ont de si respectables faiblesses, qui se tuent quelquefois d'une manière si admirable et si auguste, qu'on ne saurait les voir sans en avoir l'âme émue, et pleurer de plaisir. (Acte 1, scène 10, LE POÈTE)
  9. Voilà qui est fini, je n'espère plus rien ; votre espèce me devient plus problématique que jamais. (Acte 1, scène 10, BLECTRUE)
  10. Je ne sis qu'un nigaud, qu'un butor, et je le soutianrons dans le carrefour, à son de trompe, afin d'en être pus confus ; car, morgué ! (Acte 1, scène 14, BLAISE)
  11. Ce sont des hommes, voilà qui est fini. (Acte 1, scène 14, BLECTRUE)
  12. Mais enfin... (Acte 3, scène 2, LE MÉDECIN)
  13. Oui, ruminez, mâchez bian ça en vous-même, à celle fin que ça vous sarve de médecaine. (Acte 3, scène 6, BLAISE)
  14. Enfin, Spinette, je veux croire que tout ceci est de bonne foi ; mais je ne vois rien en moi qui ressemble à ce que vous dites. (Acte 3, scène 6, LA COMTESSE)
  15. Est-ce que le visage d'une coquette est jamais fini ? (Acte 3, scène 6, SPINETTE)
  16. Enfin on achève : voilà cette tête en état : voilà les yeux armés. (Acte 3, scène 6, SPINETTE)
  17. Ajoutez à cela cette finesse avec laquelle on prend le parti d'une femme sur des médisances que l'on augmente en les combattant, qu'on ne fait semblant d'arrêter que pour les faire courir, et qu'on développe si bien, qu'on ne saurait plus les détruire. (Acte 3, scène 6, SPINETTE)
  18. La vanité défendait le logis ; mais enfin la raison l'a serrée dé si près, qu'elle l'a, comme on dit, jetée par les fenêtres, et jé régarde déjà la vôtre commé sautée. (Acte 4, scène 2, FONTIGNAC)
  19. Je manierons ça tout doucettement, à celle fin que ça ne vous apporte guère de confusion. (Acte 4, scène 3, BLAISE)
  20. Des gens enfin qui, tout en emvrassant lé suvalterne, né lé voient seulement pas. (Acte 4, scène 3, FONTIGNAC)
  21. Si Monsieur lé permettait, jé finirais par lé récit dé son amitié pour ses égaux. (Acte 4, scène 3, FONTIGNAC)
  22. Allons, tâche dé mé croire imvécile, afin dé lé dévenir à ton tour ; donné-moi ta main, qué la mienne la serre. (Acte 4, scène 3, FONTIGNAC)
  23. Pense qué jé t'affétionne, afin dé né mé plus craindre. (Acte 4, scène 3, FONTIGNAC)
  24. Permets qué jé t'endorme, afin qué jé t'en égorge plus à mon aise. (Acte 4, scène 3, FONTIGNAC)
  25. Enfin, le ciel a donc exaucé nos voeux. (Acte 4, scène 5, FLORIS)
  26. Monsieur de Fontignac, ou êtes un fin marle, vous voulez me prendre sans vart. (Acte 4, scène 7, BLAISE)
  27. Finis. (Acte 4, scène 7, LE COURTISAN)
  28. J'aurais peur de finir vos alarmes, que je ne hais point. (Acte 4, scène 8, LE COURTISAN)
  29. Ca est bon ; ça tire honnêtement à sa fin. (Acte 4, scène 8, BLAISE)
  30. Tu n'es enfin, chez la Raison, v.29 (Acte 4, scène 10, DUFRESNE)

LA JOIE IMPRÉVUE (1760)

  1. Non, Pasquin, on ne perd pas toujours, je veux me remettre en état d'acheter la charge en question, afin que mon père ne sache rien de ce qui s'est passé : au surplus, c'est dans ce jardin que j'ai connu l'aimable Constance ; c'est ici où je la vois quelquefois, où je crois m'apercevoir qu'elle ne me hait pas, et ce bonheur est bien au-dessus de toutes mes pertes. (Acte 1, scène 1, DAMON)
  2. Finiras-tu ? (Acte 1, scène 2, DAMON)
  3. Je me fâcherai à la fin : retire-toi. (Acte 1, scène 2, DAMON)
  4. Finis, ou je te laisse. (Acte 1, scène 3, DAMON)
  5. On te surfait, tu rabats, tu te retires, on te rappelle, et à la fin on lâche la main de part et d'autre, et nous la lâcherons, quand il en sera temps. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
  6. Oui, Monsieur, rien qu'une fois, parce qu'il vous aime ; il veut rattraper son argent, afin que vous n'ayez pas le chagrin de savoir qu'il l'a perdu ; il n'y a rien de si tendre ; et ce que je vous dis là est exactement vrai. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)

L'ÉPREUVE (1740)

  1. Je te présenterai sur le pied d'un homme riche et mon ami, afin de voir si elle m'aimera assez pour te refuser. (Acte 1, scène 1, LUCIDOR)
  2. Cette criature-là m'affole, j'en pards si peu d'esprit que j'ai ; quand il fait jour, je pense à elle ; quand il fait nuit, j'en rêve ; il faut du remède à ça, et je vians envars vous à celle fin, par voute moyen, pour l'honneur et le respect qu'on vous porte ici, sauf voute grâce, et si ça ne vous torne pas à importunité, de me favoriser de queuques bonnes paroles auprès de sa mère, dont j'ai itou besoin de la faveur. (Acte 1, scène 2, MAÎTRE BLAISE)
  3. Velà-t-il pas une santé qui m'est bian chanceuse, après vous avoir mené moi-même ceti-là qui vous a tiré deux fois du sang, et qui est mon cousin, afin que vous le sachiez, mon propre cousin gearmain ; ma mère était sa tante, et jarni ! (Acte 1, scène 2, MAÎTRE BLAISE)
  4. Courez donc, afin qu'il vienne plus vite. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
  5. Vous me lassez à la fin. (Acte 1, scène 12, FRONTIN)
  6. C'est bien fait, je vous dirai donc, Monsieur, que je serais mortifiée s'il fallait vous aimer, le coeur me le dit ; on sent cela ; non que vous ne soyez fort aimable, pourvu que ce ne soit pas moi qui vous aime ; je ne finirai point de vous louer quand ce sera pour une autre ; je vous prie de prendre en bonne part ce que je vous dis là, j'y vais de tout mon coeur ; ce n'est pas moi qui ai été vous chercher, une fois ; je ne songeais pas à vous, et si je l'avais pu, il ne m'en aurait pas plus coûté de vous crier : Ne venez pas ! (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
  7. Adieu, Angélique, j'aurai enfin la satisfaction de vous avoir mariée selon votre coeur, quelque chose qu'il m'en coûte. (Acte 1, scène 18, LUCIDOR)
  8. Oui, je n'en fais pas le fin. (Acte 1, scène 19, MAÎTRE BLAISE)
  9. Voilà qui est fini ; je ne veux rien d'un homme qui m'a donné le renom que je l'aimais toute seule. (Acte 1, scène 21, ANGÉLIQUE)
  10. Je vous l'expliquerai tout à l'heure ; qu'on fasse venir les violons du village, et que la journée finisse par des danses. (Acte 1, scène 22, LUCIDOR)

LES SINCÈRES (1747)

  1. Lisette, finis donc, me disait-elle, tu y regardes de trop près, tes scrupules m'ennuient. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Oui, voilà qui est fini, vous dis-je, j'entends. (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
  3. Remarquez mes gestes et mes attitudes ; voyez mes grâces dans tout ce que je fais, dans tout ce que je dis ; voyez mon air fin, mon air leste, mon air cavalier, mon air dissipé ; en voulez-vous du vif, du fripon, de l'agréablement étourdi ? (Acte 1, scène 4, MARQUISE)
  4. Je vous en parle savamment ; car la grosse dame au grand air de tête prit longtemps du tabac pour exposer cette main unique, qui a de l'étoffe pour quatre, et qui finit par des doigts d'une grosseur, d'une brièveté, à la différence de ceux de la petite fille de trente ans qui sont comme des filets. (Acte 1, scène 4, MARQUISE)
  5. Notre cercle finissait par un petit homme qu'on trouvait si plaisant, si sémillant, qui ne dit rien et qui parle toujours ; c'est-à-dire qu'il a l'action vive, l'esprit froid et la parole éternelle : il était auprès d'un homme grave qui décide par monosyllabes, et dont la compagnie paraissait faire grand cas ; mais à vous dire vrai, je soupçonne que tout son esprit est dans sa perruque : elle est ample et respectable, et je le crois fort borné quand il ne l'a pas ; les grandes perruques m'ont si souvent trompée que je n'y crois plus. (Acte 1, scène 4, MARQUISE)
  6. J'ai prononcé de même sur ces deux articles, et Monsieur s'emporte ; il dit que sans vous la dispute finirait sur mes épaules ; je vous laisse mon bon droit à soutenir, et je me retire avec votre suffrage. (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
  7. Mais ce sont des grâces différentes ; elle en avait infiniment. (Acte 1, scène 12, ERGASTE)
  8. Des bêtises, ils n'avaient pas le sens commun ; c'étaient des yeux fins, un regard vif, une bouche, un sourire, un teint, des grâces ! (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  9. Enfin des visions, des chimères. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
  10. Ergaste est un extravagant, la tête lui tourne ; cet esprit-là ne fera pas bonne fin. (Acte 1, scène 16, DORANTE)
  11. Enfin nous voilà délivrés l'un de l'autre ; j'ai envie de t'embrasser de joie. (Acte 1, scène 21, FRONTIN)

LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD (1730)

  1. C'est un mari ; vous ne deviez pas finir par ce mot-là, il me raccommode avec tout le reste. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Ma foi, je n'étais pas venu dans ce dessein-là, je te l'avoue ; tout valet que je suis, je n'ai jamais eu de grandes liaisons avec les soubrettes, je n'aime pas l'esprit domestique ; mais à ton égard c'est une autre affaire ; comment donc, tu me soumets, je suis presque timide, ma familiarité n'oserait s'apprivoiser avec toi, j'ai toujours envie d'ôter mon chapeau de dessus ma tête, et quand je te tutoie, il me semble que je jure ; enfin j'ai un penchant à te traiter avec des respects qui te feraient rire. (Acte 1, scène 7, DORANTE)
  3. Finiras-tu, que t'importe la prédiction puisqu'elle t'exclut ? (Acte 1, scène 7, SILVIA)
  4. À la fin, je crois qu'il m'amuse... (Acte 1, scène 7, SILVIA)
  5. Eh bien, Bourguignon, tu ne veux donc pas finir, faudra-t-il que je te quitte ? (Acte 1, scène 7, SILVIA)
  6. De vous dire l'état où sont les choses, parce qu'il est important que vous en soyez éclairci, afin que vous n'ayez point à vous plaindre de moi. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  7. Renverse, ravage, brûle, enfin épouse, je te le permets si tu le peux. (Acte 2, scène 1, MONSIEUR-ORGON)
  8. Finissez vos portraits, on n'en a que faire ; j'ai soin que ce valet me parle peu, et dans le peu qu'il m'a dit, il ne m'a jamais rien dit que de très sage. (Acte 2, scène 7, SILVIA)
  9. Car enfin, vous m'obligez à le justifier ; il n'est pas question de le brouiller avec son maître, ni d'en faire un fourbe, pour me faire, moi, une imbécile qui écoute ses histoires. (Acte 2, scène 7, SILVIA)
  10. Eh bien, si ce valet n'a rien dit, à la bonne heure, il ne faut pas vous emporter pour le justifier, je vous crois, voilà qui est fini, je ne m'oppose pas à la bonne opinion que vous en avez, moi. (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  11. Quelle finesse entendez-vous à ce que je dis ? (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  12. Moi, j'y entends finesse ! (Acte 2, scène 7, SILVIA)
  13. Je ne me la reproche pourtant pas, le fond de mon coeur me rassure, ce que je fais est louable, c'est par générosité que je te parle ; mais il ne faut pas que cela dure, ces générosités-là ne sont bonnes qu'en passant, et je ne suis pas faite pour me rassurer toujours sur l'innocence de mes intentions ; à la fin, cela ne ressemblerait plus à rien. (Acte 2, scène 9, SILVIA)
  14. Ainsi finissons, Bourguignon ; finissons je t'en prie ; qu'est-ce que cela signifie ? (Acte 2, scène 9, SILVIA)
  15. On accuse ce valet, et on a tort ; vous vous trompez tous, Lisette est une folle, il est innocent, et voilà qui est fini ; pourquoi donc m'en reparler encore ? (Acte 2, scène 11, SILVIA)
  16. Ah çà, parlons sérieusement, quand finira la comédie que vous donnez sur mon compte ? (Acte 2, scène 11, SILVIA)
  17. Allons, finissons. (Acte 3, scène 3, MARIO)
  18. Enfin, ma reine, je vous vois et je ne vous quitte plus, car j'ai trop pâti d'avoir manqué de votre présence, et j'ai cru que vous esquiviez la mienne. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  19. Comment donc, ma chère âme, élixir de mon coeur, avez-vous entrepris la fin de ma vie ? (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  20. Enfin, Monsieur, faut-il vous dire que c'est moi que votre tendresse honore ? (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  21. Ce n'est donc point Dorante à qui je parle enfin ? (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  22. Ah, voilà qui est fini, il s'en va, je n'ai pas tant de pouvoir sur lui que je le croyais : mon frère est un maladroit, il s'y est mal pris, les gens indifférents gâtent tout. (Acte 3, scène 8, SILVIA)
  23. Feignons de sortir, afin qu'il m'arrête : il faut bien que notre réconciliation lui coûte quelque chose. (Acte 3, scène 8, SILVIA)
  24. Enfin, j'en suis venue à bout ; vous... (Acte 3, scène 8, SILVIA)

LA PROVINCIALE (1750)

  1. Je rêve que nous aurions besoin d'une femme qui, sur le pied d'amante de ton maître, et d'amante jalouse, se douterait de son intrigue avec la Marquise, et viendrait hardiment ici, ou pour l'y chercher, ou pour examiner sa rivale, et lui dirait en même temps de la suivre chez un notaire, afin d'y achever le paiement d'un régiment qu'il achèterait. (Acte 1, scène 4, MADAME LÉPINE)
  2. Comment vous appelle-t-on, mes amours, afin que je l'écrive ? (Acte 1, scène 5, LA RAMÉE)
  3. Vous avez eu tout à l'heure des façons de parler aussi distinguées, d'un aussi bon ton, des tours d'une finesse et d'une ironie d'un aussi bon goût qu'il y en ait à la cour. (Acte 1, scène 8, MADAME LÉPINE)
  4. Il faudra bien, afin de sauver ma réputation. (Acte 1, scène 8, CATHOS)
  5. Sinon qu'à la fin, de peur qu'il ne gêne le corps de la lettre... (Acte 1, scène 8, MADAME LA THIBAUDIÈRE)
  6. Enfin ! (Acte 1, scène 13, LE CHEVALIER)
  7. Oui, j'ai brouillé bien du papier, et n'ai rien fini ; je ne suis pas assez sûre du ton sur lequel il faut que je le prenne, et je vous prie de me donner quelques avis là-dessus. (Acte 1, scène 17, MADAME LA THIBAUDIÈRE)
  8. Il y a une finesse là-dessous. (Acte 1, scène 17, CATHOS)
  9. C'est là le fin de votre état. (Acte 1, scène 17, MADAME LÉPINE)
  10. Montrez-m'en quelqu'une, afin que je la méprise poliment, ou bien que je la décoiffe. (Acte 1, scène 19, CATHOS)
  11. As-tu fini avec ton cabaretier ? (Acte 1, scène 19, CATHOS)
  12. la voici enfin, cette réponse ! (Acte 1, scène 21, MADAME LA THIBAUDIÈRE)
  13. Je veux les apprendre à tout l'univers, afin que tout l'univers me porte envie. (Acte 1, scène 21, LE CHEVALIER)
  14. On est venu chez moi pour une affaire de la dernière conséquence qui vous regarde, et qui doit absolument finir aujourd'hui. (Acte 1, scène 22, L'INCONNUE)
  15. Savez-vous bien que je me fâcherai à la fin ? (Acte 1, scène 22, MADAME LA THIBAUDIÈRE)
  16. Car enfin tout se marchande, et on tirerait peut-être meilleur parti... (Acte 1, scène 22, MADAME LA THIBAUDIÈRE)
  17. Donnez, Marquise, donnez tout à l'heure, afin que la préférence soit éclatante. (Acte 1, scène 22, LE CHEVALIER)

LE PRINCE TRAVESTI (1727)

  1. Les autres amants auprès de lui rampaient comme de mauvaises copies d'un excellent original, c'était une chose admirable, c'était une passion formée de tout ce qu'on peut imaginer en sentiments, langueurs, soupirs, transports, délicatesses, douce impatience, et le tout ensemble ; pleurs de joie au moindre regard favorable, torrent de larmes au moindre coup d'oeil un peu froid ; m'adorant aujourd'hui, m'idolâtrant demain ; plus qu'idolâtre ensuite, se livrant à des hommages toujours nouveaux ; enfin, si l'on avait partagé sa passion entre un million de coeurs, la part de chacun d'eux aurait été fort raisonnable. (Acte 1, scène 2, HORTENSE)
  2. Quelle fin tragique ! (Acte 1, scène 2, HORTENSE)
  3. Il insista à me suivre près de deux jours ; à la fin je lui marquai que cela m'embarrassait ; j'ajoutai que j'allais joindre mon mari, et je tirai un diamant de mon doigt que je le pressai de prendre ; mais sans le regarder il s'éloigna très vite, et avec quelque sorte de douleur. (Acte 1, scène 2, HORTENSE)
  4. Enfin tu lui as donc dit que tu ne savais pas qui je suis ? (Acte 1, scène 4, LÉLIO)
  5. Il ne me reste que des sentiments de tendresse qui ne finiront qu'avec ma vie. (Acte 1, scène 8, LÉLIO)
  6. Prenez-y garde ; une conversation en amènera une autre, et cela ne finira point, je le sens bien. (Acte 1, scène 8, HORTENSE)
  7. Si vous appelez cela de l'amitié, vous en avez beaucoup pour moi ; mais vous aurez de la peine à faire passer votre définition. (Acte 1, scène 10, LÉLIO)
  8. Vos bontés sont infinies, Madame ; mais mon métier est la guerre. (Acte 1, scène 11, LÉLIO)
  9. Doucement, Arlequin ; quelqu'un peut venir ; j'ai tort mais finissons ; j'achèterai ton silence de tout ce que tu voudras ; parle, que me demandes-tu ? (Acte 1, scène 13, FRÉDÉRIC)
  10. Quand je nierais le fait, c'est un homme simple qu'on n'en croira que trop sur une infinité d'autres présomptions, et la quantité d'argent que je lui ai donné prouve encore contre moi. (Acte 1, scène 13, FRÉDÉRIC)
  11. Finissons, mon enfant, que te faut-il ? (Acte 1, scène 13, FR?D?RIC)
  12. Il ne s'agit plus à présent que d'obéir à ce qui est prédit, en faisant ce que souhaite le seigneur Frédéric, afin de gagner pour nous cette grosse fortune qui nous est promise. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  13. Oui, il en a montré ; à l'égard de savoir si elle était agréable ou non, quand un homme sent du plaisir, et qu'il ne le dit point, il en aurait un jour entier sans qu'on le devinât ; mais enfin, pour moi, je suis fort contente de lui. (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
  14. Je ne sais plus comment me conduire ; si je me tais, c'est du mystère ; si je parle, autre mystère ; enfin je suis mystère depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
  15. Lélio m'a regardée, vous ne savez que penser, vous ne me comprenez pas, vous m'estimez, vous me croyez fourbe ; haine, amitié, soupçon, confiance, le calme, l'orage, vous mettez tout ensemble, je m'y perds, la tête me tourne, je ne sais où je suis ; je quitte la partie, je me sauve, je m'en retourne ; dussiez-vous prendre encore mon voyage pour une finesse.. (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
  16. Enfin, Madame, il est temps que vous décidiez de mon sort, il n'y a point de moments à perdre. (Acte 2, scène 7, LÉLIO)
  17. Oui, très jalouse : peut-être actuellement sommes-nous observés l'un et l'autre ; et après cela vous venez me parler de votre passion, vous voulez que je vous aime ; vous le voulez, et je tremble de ce qui en peut arriver : car enfin on se lasse. (Acte 2, scène 7, HORTENSE)
  18. Je vous avais prié de laisser mon coeur en repos, vous n'en faites rien ; voilà qui est fini ; poursuivez, je ne vous crains plus. (Acte 2, scène 7, HORTENSE)
  19. Vous voyez bien les conseils qu'il me donne ; vous partez, je vous rappelle ; je vous rappellerai, si je vous renvoie ; mon coeur ne finira rien. (Acte 2, scène 7, HORTENSE)
  20. Non, je me retrouve enfin, je ne veux plus rien entendre. (Acte 2, scène 7, HORTENSE)
  21. Laissons-les donc pour le présent, j'y consens ; mais la trop grande proximité des deux Etats entretient depuis vingt ans des guerres qui ne finissent que pour des instants, et qui recommenceront bientôt entre deux nations voisines, et dont les intérêts se croiseront toujours. (Acte 2, scène 8, L'AMBASSADEUR)
  22. Car, a-t-il repris, j'ai lorgné ma gentille maîtresse pendant cette belle fête ; et si cette Princesse, qui est plus fine qu'un merle, a vu trotter ma prunelle, mon affaire va mal, j'en dis du mirlirot. (Acte 2, scène 11, ARLEQUIN)
  23. Je bataillais, je bataillais comme un César ; vous m'auriez mangé de plaisir en voyant mon courage ; à la fin je suis chu. (Acte 2, scène 11, ARLEQUIN)
  24. Car enfin, vous avez la faveur de la Princesse, vous êtes jeune et aimable, tranchons le mot, vous pouvez lui plaire, et jeter dans son coeur de quoi lui faire oublier ses véritables intérêts et les nôtres, qui étaient qu'elle épousât le roi de Castille. (Acte 2, scène 13, FRÉDÉRIC)
  25. Peut-être êtes-vous digne qu'ils réussissent, et la manière dont vous en userez avec moi dans l'état où je suis, l'usage que vous ferez de votre crédit auprès de la Princesse, enfin la destinée que j'éprouverai, décidera de l'opinion que je dois avoir de vous. (Acte 2, scène 13, FR?D?RIC)
  26. Elle ne l'a pas dit ; mais plus fin que moi n'est pas bête. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
  27. Ce service que vous lui rendrez, que vous me rendrez à moi-même, le fruit n'en sera pas borné pour vous au seul plaisir d'avoir fait une bonne action, je vous en garantis des récompenses au-dessus de ce que vous pourriez vous imaginer, et telles enfin que je n'ose vous le dire. (Acte 3, scène 7, HORTENSE)

LES FAUSSES CONFIDENCES (1738)

  1. Cette femme-ci a un rang dans le monde ; elle est liée avec tout ce qu'il y a de mieux, veuve d'un mari qui avait une grande charge dans les finances, et tu crois qu'elle fera quelque attention à moi, que je l'épouserai, moi qui ne suis rien, moi qui n'ai point de bien ? (Acte 1, scène 2, DORANTE)
  2. J'entends Madame qui vient, et comme, grâce aux arrangements de Monsieur_Remy, vos intérêts sont presque les miens, ayez la bonté d'aller un moment sur la terrasse, afin que je la prévienne. (Acte 1, scène 5, MARTON)
  3. Il est vrai que je suis toujours fâchée de voir d'honnêtes gens sans fortune, tandis qu'une infinité de gens de rien et sans mérite en ont une éclatante. (Acte 1, scène 7, ARAMINTE)
  4. S'il ne faut que boire afin qu'elle soit bonne, tant que je vivrai, je vous la promets excellente. (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
  5. Elle souhaiterait seulement, dit-elle, d'être bien instruite de l'état de l'affaire et savoir si elle n'a pas meilleur droit que Monsieur_le_Comte, afin que, si elle l'épouse, il lui en ait plus d'obligation. (Acte 1, scène 10, MADAME ARGANTE)
  6. Ma foi, vous avez beau dire : d'ailleurs, le Comte est un honnête homme, et je n'y entends point de finesse. (Acte 1, scène 11, MARTON)
  7. C'est que si, dans votre procès, vous avez le bon droit de votre côté, on souhaite que je vous dise le contraire, afin de vous engager plus vite à ce mariage ; et j'ai prié qu'on m'en dispensât. (Acte 1, scène 12, DORANTE)
  8. À la fin, pourtant, il revint à lui avec un air égaré ; je le jetai dans une voiture, et nous retournâmes à la maison. (Acte 1, scène 14, DUBOIS)
  9. À la fin, ce train de vie m'ennuya ; ma santé s'altérait, la sienne aussi. (Acte 1, scène 14, DUBOIS)
  10. J'avais envie de vous charger d'examiner l'affaire, afin de savoir si je ne risquerais rien à plaider ; mais je crois devoir vous dispenser de ce travail ; je ne suis pas sûre de pouvoir vous garder. (Acte 1, scène 15, ARAMINTE)
  11. Je ferai comme Monsieur, je ne vous parlerai plus de rien non plus, vous m'accuseriez de vision, et votre entêtement finira sans notre secours. (Acte 2, scène 11, MADAME ARGANTE)
  12. Aujourd'hui Monsieur me recherche ; il vient même de refuser un parti infiniment plus riche, et le tout pour moi ; du moins me l'a-t-il laissé croire, et il est à propos qu'il s'explique ; mais comme je ne veux dépendre que de vous, c'est de vous aussi, Madame, qu'il faut qu'il m'obtienne : ainsi, Monsieur, vous n'avez qu'à parler à Madame. (Acte 2, scène 14, MARTON)
  13. Bonjour, ma nièce, puisque enfin il faut que vous la soyez. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR REMY)
  14. Voyons par où cela finira. (Acte 3, scène 7, MONSIEUR REMY)
  15. Enfin, Madame, à ce que je vois, vous en voilà délivrée. (Acte 3, scène 9, DUBOIS)
  16. J'y ai pourvu, Madame ; j'ai appelé Arlequin, qui ne le quittera pas, et je crois d'ailleurs qu'il n'arrivera rien ; voilà qui est fini. (Acte 3, scène 9, DUBOIS)
  17. Eh bien, restez, Mademoiselle, restez : j'y consens ; mais finissons. (Acte 3, scène 10, ARAMINTE)
  18. Que je crains la fin de tout ceci ! (Acte 3, scène 12, ARAMINTE)
  19. Dans tout ce qui s'est passé chez vous, il n'y a rien de vrai que ma passion qui est infinie, et que le portrait que j'ai fait. (Acte 3, scène 12, DORANTE)
  20. Laissons passer sa colère, et finissons. (Acte 3, scène 13, ARAMINTE)

LE LEGS (1736)

  1. Belle finesse ! (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
  2. Finissez, Monsieur, finissez. (Acte 1, scène 17, LA COMTESSE)
  3. Oui, finissons. (Acte 1, scène 17, HORTENSE)
  4. Oui, si j'en suis d'avis ; car, enfin, cela dépend de moi. (Acte 1, scène 17, LE MARQUIS)
  5. Aujourd'hui le contrat, demain la noce, et ce soir confinée dans son appartement ; pas plus de façon. (Acte 1, scène 18, LE MARQUIS)
  6. Non ; voilà qui est fini, je ne saurais le mépriser davantage. (Acte 1, scène 18, LA COMTESSE)
  7. Voyez donc comment vous ferez ; car enfin, est-ce une nécessité que je vous épouse à cause de la situation désagréable où vous êtes ? (Acte 1, scène 19, LA COMTESSE)
  8. Et enfin, je pense si différemment, que je venais actuellement, comme je vous l'ai dit, tâcher de vous porter au mariage en question, parce que je le juge nécessaire. (Acte 1, scène 23, LISETTE)
  9. Si je l'épouse, c'est à toi à qui il en aura l'obligation ; et je prétends qu'il le sache, afin qu'il t'en récompense. (Acte 1, scène 23, LA COMTESSE)
  10. Votre inclination s'explique avec des grâces infinies. (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)
  11. Que je le veux bien, Monsieur ; et encore une fois, que je le veux bien ; car, si je ne m'y prenais pas de cette façon, nous ne finirions jamais. (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)

LA RÉUNION DES AMOURS (1732)

  1. Allez, petit libertin que vous êtes, votre audace ne m'offense point, et votre empire touche peut-être à sa fin. (Acte 1, scène 1, L'AMOUR)
  2. Ce sont des malices qui ne finissent point ; sans compter votre libertinage : car Bacchus, dit-on, vous fait faire tout ce qu'il veut ; Plutus, avec son or, dispose de votre carquois ; pourvu qu'il vous donne, toute votre artillerie est à son service, et cela n'est pas joli ; ainsi, tenez-vous en repos, et changez de conduite. (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  3. Tout ce que je prends de lui, je l'achète, je marchande, nous convenons, et je paie ; voilà toute la finesse que j'y sache. (Acte 1, scène 3, PLUTUS)
  4. Finissez. (Acte 1, scène 5, APOLLON)
  5. Je vous définis. (Acte 1, scène 6, LA VÉRITÉ)
  6. Car enfin, n'est-ce pas vous qui dictez tous les éloges flatteurs qui se débitent ? (Acte 1, scène 6, LA VÉRITÉ)
  7. Mais enfin... (Acte 1, scène 6, APOLLON)
  8. Mais enfin tant qu'il vous plaira. (Acte 1, scène 6, LA VÉRITÉ)
  9. Encore, à la fin, n'y aura-t-il personne pour les lire. (Acte 1, scène 10, CUPIDON)
  10. Finissez, Cupidon ; je vous défends de parler davantage. (Acte 1, scène 12, LA VERTU)

LA FEMME FIDÈLE (1750)

  1. À la parfin, il y a deux ans, je pense, que la mère, vers la moisson, amenit au château une troupe de monde, parmi quoi il y avait un grand monsieur qui en fut affolé drès qu'il l'envisagit, et c'est c'ti-à qui va la prendre pour femme... (Acte 1, scène 2, COLAS)
  2. Mais d'aujourd'hui nous ne finirons de captifs, tout Alger va fondre ici ! (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANTE)
  3. Mais enfin il n'est plus, et si vous connaissiez Monsieur, vous verriez qu'elle ne perd pas au change. (Acte 1, scène 6, MADAME ARGANTE)
  4. Je finis ma vie dans les plus grands malheurs, me disait-il ; mais mon coeur a joui d'un bien qui les a tous adoucis : c'est la certitude où je suis que la Marquise n'aimera jamais que moi. (Acte 1, scène 16, LE MARQUIS)
  5. C'est d'ailleurs un homme qui depuis près de deux ans vit avec moi dans un respect, dans une soumission, avec une déférence pour ma douleur, enfin dans des chagrins, dans des inquiétudes pour ma santé qui est considérablement altérée, dans des frayeurs de me voir mourir, qu'à moins d'avoir une âme dépouillée de tout sentiment, cela a dû faire quelque impression sur moi ; mais quelle impression, Monsieur ? (Acte 1, scène 16, LA MARQUISE)
  6. Ma faiblesse me force de finir, mon ami part, on l'entraîne, et il ne peut pas sans risquer sa vie attendre mon dernier soupir. (Acte 1, scène 16, LA MARQUISE)

L'ÉCOLE DES MÈRES (1732)

  1. Mais enfin, vous paraît-elle contente ? (Acte 1, scène 4, MADAME-ARGANTE)
  2. Enfin, charmante Angélique, je puis donc sans témoins vous jurer une tendresse éternelle : il est vrai que mon âge ne répond pas au vôtre. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-DAMIS)
  3. N'allez pourtant pas dire à ma mère que je vous ai confié que je ne vous aime point, parce qu'elle se mettrait en colère contre moi ; mais faites mieux ; dites-lui seulement que vous ne me trouvez pas assez d'esprit pour vous, que je n'ai pas tant de mérite que vous l'aviez cru, comme c'est la vérité ; enfin, que vous avez encore besoin de vous consulter : ma mère, qui est fort fière, ne manquera pas de se choquer, elle rompra tout, notre mariage ne se fera point, et je vous aurai, je vous jure, une obligation infinie. (Acte 1, scène 12, ANGÉLIQUE)
  4. Mais je vais comme le coeur me mène, sans y entendre plus de finesse ; j'ai du plaisir à vous voir, et je vous vois, et s'il y a de ma faute à vous avouer si souvent que je vous aime, je la mets sur votre compte, et je ne veux point y avoir part. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)

LE PRÉJUGE VAINCU (1746)

  1. Que nenni, ce me dit-elle ; il m'appriande trop ; je serais pourtant bian aise d' être çartaine, à celle fin de n'en plus douter. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  2. Cette finesse-là a je ne sais quoi de mystérieux et d'obscur, où j'aperçois quelque chose... (Acte 1, scène 2, LÉPINE)
  3. Ce tornant-là me plait ; et même faut d'abord que je vous en procure des injures, à celle fin que ça vous profite après. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  4. À propos, Monsieur, faut itou que vous li touchiais une petite parole sur ce que Lépaine me recharche ; j'ai ma finesse à ça, que je vous conterai. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  5. Jusque-là que j'ai craint qu'à la fin il ne m'obligeât à le refuser lui-même. (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
  6. Enfin, heureusement m'en voilà débarrassée ; car quelquefois, à dire vrai, l'amour que je lui croyais ne laissait pas de m'inquiéter. (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
  7. Le vela qui rôde à l'entour d'ici, et je m'échappe afin qu'il arrive. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  8. Il n'y a rien de moins incroyable que le plaisir infini que j'aurais à vous voir toujours ; rien de plus croyable que l'extrême confusion que j'ai de vous avoir indisposé contre moi ; rien de plus naturel que d'être touché autant que je le suis de ne pouvoir du moins me justifier auprès de vous. (Acte 1, scène 4, DORANTE)
  9. J'ons rencontré ce petit bourgeois, qui avait l'air pus sot, pus benêt ; sa phisolomie était plus longue, alle ne finissait point ; c'était un plaisir. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  10. Crie, crie encore plus fort, afin qu'on t'entende. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
  11. C'est par trop finasser aussi. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  12. Il arrive, ce malheureux Baron ; il a gagné son maudit procès que l'on croyait immortel, qui ne devait finir que dans cent ans ; il l'a gagné par je ne sais quelle protection qu'on lui a procuré ; car il y a toujours des gens qui se mêlent de ce dont ils n'ont que faire. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
  13. Enfin, il arrive ce soir ; il entre peut-être actuellement dans la cour du château. (Acte 1, scène 8, ANG?LIQUE)
  14. J'admire ma complaisance ; et je finis par un mot. (Acte 1, scène 9, ANGÉLIQUE)
  15. Je me marierai, afin qu'il séjourne, mais j'y boute une condition. (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  16. Et il va être mon homme, pour à celle fin que vous restiais. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
  17. Laissons cela, Angélique ; il n'est pas question ici de consulter mon goût, vous êtes destinée à un autre : c'est au Baron ; vous l'aimez, et voilà qui est fini. (Acte 1, scène 13, LE-MARQUIS)
  18. Vous avez une soeur, j'ai exigé qu'il la vît : j'ai eu de la peine à l'y résoudre, il a fallu abuser un peu du pouvoir que j'ai sur lui : mais enfin j'ai obtenu que nous irions la voir demain, et peut-être l'arrêtera-t-elle. (Acte 1, scène 13, LE-MARQUIS)

LE TRIOMPHE DE L'AMOUR (1732)

  1. Laissez-moi dire : quand ces copies sont finies, vous faites courir le bruit que vous êtes indisposée, et qu'on ne vous voit pas ; ensuite vous m'habillez en homme, vous en prenez l'attirail vous-même ; et puis nous sortons incognito toutes deux dans cet équipage-là, vous, avec le nom de Phocion, moi, avec celui d'Hermidas, que vous me donnez ; et après un quart_d_heure de chemin, nous voilà dans les jardins du philosophe Hermocrate, avec la philosophie de qui je ne crois pas que vous ayez rien à démêler. (Acte 1, scène 1, HERMIDAS)
  2. Au bout de quelques années, Cléomène mourut, aussi bien que la Princesse son épouse, qui ne lui survécut que six mois et qui, en mourant, mit au monde un prince qui disparut, et qu'on eut l'adresse de soustraire à Léonidas, qui n'en découvrit jamais la moindre trace, et qui mourut enfin sans enfants, regretté du peuple qu'il avait bien gouverné, et qui vit tranquillement succéder son frère, à qui je dois la naissance, et au rang de qui j'ai succédé moi-même. (Acte 1, scène 1, PHOCION)
  3. Le parti que j'ai pris l'est encore davantage ; je n'ai feint d'être indisposée et de ne voir personne, que pour être libre de venir ici ; je vais, sous le nom du jeune Phocion, qui voyage, me présenter à Hermocrate, comme attiré par l'estime de sa sagesse ; je le prierai de me laisser passer quelque temps avec lui, pour profiter de ses leçons ; je tâcherai d'entretenir Agis, et de disposer son coeur à mes fins. (Acte 1, scène 1, PHOCION)
  4. On ne saurait s'empêcher de l'aimer, mais d'un amour timide, et comme effrayé du respect qu'elle imprime ; elle est jeune, non de cette jeunesse étourdie qui m'a toujours déplu, qui n'a que des agréments imparfaits, et qui ne sait encore qu'amuser les yeux, sans mériter d'aller au coeur : non, elle est dans cet âge vraiment aimable, qui met les grâces dans toutes leurs forces, où l'on jouit de tout ce que l'on est, dans cet âge où l'âme, moins dissipée, ajoute à la beauté des traits un rayon de la finesse qu'elle a acquise. (Acte 1, scène 6, PHOCION)
  5. Qu'elle n'est point mariée, et qu'elle vit avec ce frère dans une retraite dont elle préfère l'innocent repos au tumulte du monde toujours méprisé des âmes vertueuses et sublimes ; enfin, tout ce que j'en appris ne fut qu'un éloge, et ma raison même, autant que mon coeur, acheva de me donner pour jamais à elle. (Acte 1, scène 6, PHOCION)
  6. De grâce, laissez-moi finir, et que ce mot d'amour ne vous rebute point ; celui dont je vous parle ne souille point mon coeur, il l'honore, c'est l'amour que j'ai pour la vertu qui allume celui que j'ai pour cette dame ; ce sont deux sentiments qui se confondent ensemble ; et si j'aime, si j'adore cette physionomie si aimable que je lui trouve, c'est que mon âme y voit partout l'image des beautés de la sienne. (Acte 1, scène 6, PHOCION)
  7. Mais enfin, quels sont vos desseins ? (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
  8. Car enfin vous me flattez en vain ; vous êtes jeune, vous êtes aimable, et je ne suis plus ni l'un ni l'autre. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
  9. Je ne vous dis point que je vous aime, afin que vous m'aimiez ; c'est afin que vous m'appreniez à ne plus vous aimer moi-même. (Acte 1, scène 8, PHOCION)
  10. Madame, voici le secours que je vous donne ; je ne veux point vous aimer : que cette indifférence-là vous guérisse, et finissez un discours où tout est poison pour qui l'écoute. (Acte 1, scène 8, HERMOCRATE)
  11. Vous êtes un fin marle ; mais, morgué ! (Acte 2, scène 1, DIMAS)
  12. Bon, bon, ne savons-je pas qu'ou avez de la finance de rencontre, je vous ons vu tantôt compter voute somme. (Acte 2, scène 1, DIMAS)
  13. Est-ce qu'il m'a vu aussi compter ma finance ? (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  14. voirement, c'est bian pis ; faut qu'il se doute de toute la manigance ; car il m'a enchargé de faire ici le renard en tapinois, pour à celle fin de défricher la pensée de ces deux parsonnes dont il a doutance par rapport à l'intention qu'alles avont, dont il est en peine d'avoir connaissance au juste, vous entendez bian ? (Acte 2, scène 1, DIMAS)
  15. Je ferai financer cette dame pour racheter mon étourderie, je te le promets. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
  16. Il en perd l'esprit : nous ne restons ici que pour lui avoir le coeur, afin qu'elle nous épouse ; car nous avons des richesses et des flammes plus qu'il n'en faut pour dix ménages. (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
  17. Mais voyons : oui, la physionomie s'y trouve ; voilà cet air noble et fin, et tout le feu de ses yeux ; il me semble pourtant qu'ils sont encore un peu plus vifs. (Acte 2, scène 7, PHOCION)
  18. Velà le philosophe qui se pourmène envars ici tout rêvant ; faites-nous de la marge, et laissez-nous le tarrain, pour à celle fin que je l'y en baille encore d'une venue. (Acte 2, scène 8, DIMAS)
  19. Je sis à la fin. (Acte 2, scène 9, DIMAS)
  20. Une peine infinie. (Acte 2, scène 11, AGIS)
  21. Vous paraissez donc enfin, Hermocrate ? (Acte 2, scène 12, PHOCION)
  22. Que votre trouble finisse à ce que je vais vous dire. (Acte 2, scène 12, HERMOCRATE)
  23. Il me reste un mot à vous dire, et je finis par là. (Acte 2, scène 12, HERMOCRATE)
  24. Si le seigneur Hermocrate voulait souffrir que je le finisse, il ne faudrait qu'un instant pour cela. (Acte 2, scène 14, HERMIDAS)
  25. C'est l'instant où je triomphe, dites-vous ; ne le laissons pas perdre, il est précieux : vos yeux me regardent avec une tendresse que je voudrais bien qu'on recueillît, afin d'en conserver l'image. (Acte 2, scène 14, PHOCION)
  26. Écoutez ; on ne sait pas ce qu'on fait, quand on se confine dans la retraite ; et nous avons été bien vite, quand nous avons pris un parti si dur. (Acte 2, scène 17, LÉONTINE)
  27. J'ai un mot à vous dire, mon cher Phocion ; le sort en est jeté ; nos embarras vont finir. (Acte 3, scène 2, LÉONTINE)
  28. Vous ne finissez rien, il y a toujours un reste. (Acte 3, scène 3, PHOCION)
  29. Enfin serai-je libre ? (Acte 3, scène 4, PHOCION)
  30. Voute manigance est bientôt finie. (Acte 3, scène 4, DIMAS)
  31. Combian voulez-vous bailler de la finale ? (Acte 3, scène 4, DIMAS)
  32. Finissez avec Hermocrate. (Acte 3, scène 5, PHOCION)
  33. Phocion qui m'aime d'une tendresse infinie, qui a fait faire mon portrait sans que je le susse ! (Acte 3, scène 8, LÉONTINE)

LA SURPRISE DE L'AMOUR (1723)

  1. Oh, c'est pis qu'un Turc, à cause d'une dame de Paris qui l'aimait beaucoup, et qui li a tourné casaque pour un autre galant plus mal bâti que li : noute monsieur a fait du tapage ; il li a dit qu'alle devait être honteuse ; alle lui a dit qu'alle ne voulait pas l'être ; et voilà bian de quoi ; Ç'a-t-elle fait, et pis des injures, ous êtes cun indeigne, et voyez donc cet impertinent ; et je me vengerai, et moi, je m'en gausse ; tant y a qu'à la parfin, alle li a farmé la porte sur nez, l'i qui est glorieux a pris ça en mal, et il est venu ici pour vivre en harmite, en philosophe, car velà comme il dit, et depuis ce temps, quand il entend parler d'amour, il semble qu'en l'écorche comme une anguille ; son valet Arlequin fait itou le dégoûté, quand il voit une fille à droite, ce drôle de corps se baille les airs d'aller à gauche, à cause de queuque mijaurée de chambrière qui li a, à ce qu'il dit, vendu du noir. (Acte 1, scène 1, JACQUELINE)
  2. Pour la définir il faudrait la connaître : nous pouvons aujourd'hui en commencer la définition, mais je soutiens qu'on n'en verra le bout qu'à la fin du monde. (Acte 1, scène 2, LÉLIO)
  3. Tu as raison, c'est dommage ; car enfin, est-il dans l'univers de figure plus charmante ? (Acte 1, scène 2, LÉLIO)
  4. Le coeur d'une femme se donne sa secousse à lui-même, il part sur un mot qu'on dit, sur un mot qu'on ne dit pas, sur une contenance : elle a beau vous avoir dit qu'elle aime, le répète-t-elle vous l'apprenez toujours, vous ne le saviez pas encore : ici par une impatience, par une froideur, par une imprudence, par une distraction, en baissant les yeux, en les relevant, en sortant de sa place, en y restant, enfin c'est de la jalousie, du calme, de l'inquiétude, de la joie, du babil, et du silence de toutes couleurs, et le moyen de ne pas s'enivrer du plaisir que cela donne ; le moyen de se voir adorer sans que la tête vous tourne, pour moi, j'étais tout aussi sot que les autres amants ; je me croyais un petit prodige, mon mérite m'étonnait : ah, qu'il est mortifiant d'en rabattre, c'est aujourd'hui ma bêtise qui m'étonne, l'homme prodigieux a disparu, et je n'ai trouvé qu'une dupe à la place. (Acte 1, scène 2, LÉLIO)
  5. Mon enfant, cet argent que tu trouves d'abord sur ton chemin, c'est la beauté, ce sont les agréments d'une femme qui t'arrêtent ; cet or que tu rencontres encore, ce sont les espérances qu'elle te donne ; enfin ces perles, c'est son coeur qu'elle t'abandonne avec tous ses transports. (Acte 1, scène 2, LÉLIO)
  6. Le tigre enfin paraît après les perles, et ce tigre, c'est un caractère perfide retranché dans l'âme de ta maîtresse, il se montre, il t'arrache son coeur, il déchire le tien, adieu tes plaisirs, il te laisse aussi misérable, que tu croyais être heureux. (Acte 1, scène 2, LÉLIO)
  7. Oui, Monsieur, voilà tout fin dret ce que c'est, et Jacqueline a itou queuque doutance que vous vourez bian de votre grâce, et pour l'amour de son sarvice, et de stilà de son père et de sa mère, qui vous ont tant sarvi quand ils n'étient pas encore défunts, tant y a, Monsieur excusez l'importunance, c'est que je sommes pauvres, et tout franchement, pour vous le couper court... (Acte 1, scène 3, PIERRE)
  8. Parguienne oui, à la parfin alle m'a lâché son amiquié. (Acte 1, scène 4, PIERRE)
  9. Allez, Monsieur, tous les renégats font mauvaise fin : vous viendrez quelque jour crier miséricorde et ramper aux pieds de vos maîtres, et ils vous écraseront comme un serpent. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  10. Eh morbleu, pourquoi prêcher la fin du monde, cela coupe la gorge à tout : soyons raisonnables, condamnez les amants déloyaux, les conteurs de sornettes, à être jetés dans la rivière, une pierre au col, à merveille : enfermez les coquettes entre quatre murailles ; fort bien, mais les amants fidèles, dressez-leur de belles et bonnes statues pour encourager le public ; vous riez adieu, pauvres brebis égarées : pour moi, je vais travailler à la conversion d'Arlequin. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
  11. Nos propres expériences, et les relations de nos voyageurs, nous apprennent que partout la femme est amie de l'homme, que la nature l'a pourvue de bonne volonté pour lui : la nature n'a manqué que Madame : le soleil n'éclaire qu'elle chez qui notre espèce n'ait point rencontré grâce, et cette seule exception de la loi générale se rencontre avec un personnage unique, je te le dis en ami ; avec un homme qui nous a donné l'exemple d'un fanatisme tout neuf ; qui seul de tous les hommes n'a pu s'accoutumer aux coquettes qui fourmillent sur la terre, et qui sont aussi anciennes que le monde ; enfin qui s'est condamné à venir ici languir de chagrin de ne plus voir de femmes, en expiation du crime qu'il a fait quand il en a vu. (Acte 1, scène 8, LE BARON)
  12. Combien voyons-nous de choses qui sont d'abord merveilleuses, et qui finissent par faire rire : je suis un homme à pronostic, voulez-vous que je vous dise, tenez, je crois que votre merveilleux est à fin de terme. (Acte 1, scène 8, LE BARON)
  13. Messieurs, j'entends volontiers raillerie, mais finissons-la pourtant. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
  14. La fine mouche, je vois bien que tu cherches midi à quatorze heures. (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
  15. Je ne vois pas la finesse qu'il peut y avoir à me laisser là, quand j'arrive, pour m'entretenir dans des papiers. (Acte 2, scène 2, LÉLIO)
  16. Parbleu, Madame_la_Comtesse, vos manières sont tout à fait de mon goût, je les trouve pourtant un peu sauvages ; car enfin, l'on n'écrit pas à un homme de qui l'on n'a pas à se plaindre : je ne veux plus vous voir, vous me fatiguez, vous m'êtes insupportable, et voilà le sens du billet, tout mitigé qu'il est. (Acte 2, scène 5, LÉLIO)
  17. Il faut avouer que les bizarreries de l'esprit d'une femme sont des pièges bien finement dressés contre nous ! (Acte 2, scène 5, LÉLIO)
  18. Voilà qui est fini, ce semble. (Acte 2, scène 5, LÉLIO)
  19. Point du tout, cela n'est pas fini, j'ai maintenant affaire à des caprices, à des fantaisies ; équipages d'esprit que toute femme apporte en naissant : Madame_la_Comtesse se met à rêver, et l'idée qu'elle imagine en se jouant serait la ruine de mon repos si j'étais capable d'y être sensible. (Acte 2, scène 5, L?LIO)
  20. Monsieur, si je deviens amoureux, je veux avoir la consolation que vous le soyez aussi, afin qu'on dise toujours : tel valet, tel maître : je ne m'embarrasse pas d'être un ridicule, pourvu que je vous ressemble ; si la comtesse vous aime, je viendrai vitement vous le dire, afin que cela vous achève : par bonheur que vous êtes déjà bien avancé, et cela me fait un grand plaisir. (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
  21. C'est que le neveu de votre fermier ne doit plus compter sur Jacqueline : Madame, cela doit vous faire plaisir, car cela finit le peu de commerce forcé que nous avons ensemble. (Acte 2, scène 7, LÉLIO)
  22. Je vous le demande, Madame, cela n'est point à mon usage, et vous le définiriez mieux que moi. (Acte 2, scène 7, LÉLIO)
  23. Eh Madame, vous m'en avez accablé de preuves d'opiniâtreté ; ne m'en donnez plus, voilà qui est fini. (Acte 2, scène 7, LÉLIO)
  24. Car enfin, si je le pensais... (Acte 2, scène 7, LA COMTESSE)
  25. Oui, afin que je t'épouse, par-dessus le marché. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  26. Il vous aimait peut-être, et je lui avais dit que vous pourriez l'aimer ; mais vous vous êtes fâchée, et j'ai détruit mon ouvrage : j'ai dit tantôt à Arlequin que vous ne songiez nullement à lui : que j'avais voulu flatter son maître pour me divertir, et qu'enfin Monsieur_Lélio était l'homme du monde que vous aimeriez le moins. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  27. Voyons la fin de cela. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
  28. C'est le plus court il est vrai, mais j'y trouve pourtant de la difficulté, car enfin dirai-je que je ne l'aime pas ? (Acte 3, scène 4, LÉLIO)
  29. Je vous suis obligée de finir cela, Monsieur, mais j'avais quelque autre chose à vous dire ; bagatelle pour vous, et assez importante pour moi. (Acte 3, scène 6, LA COMTESSE)
  30. C'est que vous vouliez le garder, à cause, disiez-vous, qu'il ressemblait à une cousine qui est morte, et moi,qui suis fin, je vous disais que c'était à cause qu'il ressemblait à Madame, et cela était vrai. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
  31. Vivat, enfin, voilà la fin. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

L'ILE DES ESCLAVES (1725)

  1. Nous ne nous vengeons plus de vous, nous vous corrigeons ; ce n'est plus votre vie que nous poursuivons, c'est la barbarie de vos coeurs que nous voulons détruire ; nous vous jetons dans l'esclavage pour vous rendre sensibles aux maux qu'on y éprouve ; nous vous humilions, afin que, nous trouvant superbes, vous vous reprochiez de l'avoir été. (Acte 1, scène 2, TRIVELIN)
  2. Voilà qui était fini. (Acte 1, scène 3, CLÉANTHIS)
  3. Mais comme vous êtes d'un sexe naturellement assez faible, et que par là vous avez dû céder plus facilement qu'un homme aux exemples de hauteur, de mépris et de dureté qu'on vous a donnés chez vous contre leurs pareils ; tout ce que je puis faire pour vous, c'est de prier Euphrosine de peser avec bonté les torts que vous avez avec elle, afin de les peser avec justice. (Acte 1, scène 3, TRIVELIN)
  4. Il faut que ceci ait son cours ; mais consolez-vous, cela finira plus tôt que vous ne pensez. (Acte 1, scène 3, TRIVELIN)
  5. Venons maintenant à l'examen de son caractère : il est nécessaire que vous m'en donniez un portrait qui se doit faire devant la personne qu'on peint, afin qu'elle se connaisse, qu'elle rougisse de ses ridicules, si elle en a, et qu'elle se corrige. (Acte 1, scène 3, TRIVELIN)
  6. Cependant on se mire, on éprouve son visage de toutes les façons, rien ne réussit ; des yeux battus, un teint fatigué ; voilà qui est fini, il faut envelopper ce visage-là, nous n'aurons que du négligé, Madame ne verra personne aujourd'hui, pas même le jour, si elle peut, du moins fera-t-il sombre dans la chambre. (Acte 1, scène 3, CLÉANTHIS)
  7. J'étais dans la chambre ; vous vous entreteniez bas ; mais j'ai l'oreille fine : vous vouliez lui plaire sans faire semblant de rien ; vous parliez d'une femme qu'il voyait souvent. (Acte 1, scène 3, CLÉANTHIS)
  8. C'est encore une finesse que cet habit-là ; on dirait qu'une femme qui le met ne se soucie pas de paraître, mais à d'autre ; on s'y ramasse dans un corset appétissant, on y montre sa bonne façon naturelle ; on y dit aux gens : Regardez mes grâces, elles sont à moi, celles-là ; et d'un autre côté on veut leur dire aussi : Voyez comme je m'habille, quelle simplicité, il n'y a point de coquetterie dans mon fait. (Acte 1, scène 3, CLÉANTHIS)
  9. On espérera que, vous étant reconnue, vous abjurerez un jour toutes ces folies qui font qu'on n'aime que soi, et qui ont distrait votre bon coeur d'une infinité d'attentions plus louables. (Acte 1, scène 4, TRIVELIN)
  10. Monsieur, vous êtes galant, vous vous promenez avec moi, vous me dites des douceurs ; mais finissons, en voilà assez, je vous dispense des compliments. (Acte 1, scène 6, CLÉANTHIS)
  11. Je n'étais ces jours passés qu'une esclave ; mais enfin me voilà dame et maîtresse d'aussi bon jeu qu'une autre ; je la suis par hasard ; n'est-ce pas le hasard qui fait tout ? (Acte 1, scène 6, CLÉANTHIS)
  12. Il ne vous fera pas de révérences penchées ; vous ne lui trouverez point de contenance ridicule, d'airs évaporés : ce n'est point une tête légère, un petit badin, un petit perfide, un joli volage, un aimable indiscret ; ce n'est point tout cela ; ces grâces-là lui manquent à la vérité ; ce n'est qu'un homme franc, qu'un homme simple dans ses manières, qui n'a pas l'esprit de se donner des airs ; qui vous dira qu'il vous aime, seulement parce que cela sera vrai : enfin ce n'est qu'un bon coeur, voilà tout ; et cela est fâcheux, cela ne pique point. (Acte 1, scène 7, CLÉANTHIS)
  13. Et quand cela finira-t-il ? (Acte 1, scène 7, EUPHROSINE)
  14. On m'avait promis que mon esclavage finirait bientôt, mais on me trompe, et c'en est fait, je succombe ; je me meurs, Arlequin, et tu perdras bientôt ce malheureux maître qui ne te croyait pas capable des indignités qu'il a souffertes de toi. (Acte 1, scène 9, IPHICRATE)
  15. Mais enfin, notre projet ? (Acte 1, scène 10, CLÉANTHIS)
  16. Mais enfin, je veux être un homme de bien ; n'est-ce pas là un beau projet ? (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
  17. Vous ne voyez rien, nous sommes admirables ; nous sommes des Rois et des Reines ; enfin finale, la paix est conclue, la vertu a arrangé tout cela ; il ne nous faut plus qu'un bateau et un batelier pour nous en aller : et si vous nous les donnez, vous serez presque aussi honnêtes gens que nous. (Acte 1, scène 11, ARLEQUIN)

LA MÈRE CONFIDENTE (1735)

  1. Vous êtes tous deux aimables, l'amour s'est mis de la partie, cela est naturel ; voilà sept ou huit entrevues que nous avons avec vous, à l'insu de tout le monde ; la mère, à qui vous êtes inconnu, pourrait à la fin en apprendre quelque chose, toute l'intrigue retomberait sur moi : terminons ; Angélique est riche, vous êtes tous deux d'une égale condition, à ce que vous dites ; engagez vos parents à la demander pour vous en mariage ; il n'y a pas même de temps à perdre. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Non, noute maîtresse ; ce n'est que moi qui me parle et qui me repart, à celle fin de me tenir compagnie, ça amuse. (Acte 1, scène 7, LUBIN)
  3. Je n'y entends pas de finesse. (Acte 1, scène 7, LUBIN)
  4. Ce n'est pas la peine, ce nom-là m'est cher, quand je le changerais, il n'en serait ni plus ni moins, ce ne serait qu'une finesse inutile, laissez-le-moi, il ne m'effraye plus. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
  5. Je vous dis qu'il faut qu'alle demeure, à celle fin que vous la lisiais, ça m'est enjoint, et à vous aussi ; il y a dedans un entretien pour tantôt, à l'heure qui vous fera plaisir, et je sis enchargé d'apporter l'heure à Lisette, et non pas la lettre. (Acte 1, scène 9, LUBIN)
  6. Je sis pus fin qu'eux, j'allons faire ma forniture de nouvelles pour la bonne mère. (Acte 2, scène 4, LUBIN)
  7. Oui, Dorante, je vous le promets, voilà qui est fini ; excusez tous deux l'embarras où se trouve une fille de mon âge, timide et vertueuse ; il y a tant de pièges dans la vie ! (Acte 2, scène 6, ANGÉLIQUE)
  8. Une mère s'emporte, à la fin elle consent, on se réconcilie avec elle, et on se trouve uni avec ce qu'on aime. (Acte 2, scène 6, DORANTE)
  9. Oui, je l'ai retrouvé, je lui ai dit ce qu'il fallait, et voilà qui est fini. (Acte 2, scène 12, ANGÉLIQUE)
  10. Absolument fini ? (Acte 2, scène 12, MADAME-ARGANTE)
  11. Pour à celle fin qu'alle fasse compagnie à noute damoiselle si alle veut faire un tour dans la chaise, et pis de là aller souper en ville, à ce qui m'est avis, selon queuques paroles que j'avons attrapées et qu'ils disiont tout bas. (Acte 3, scène 1, LUBIN)
  12. Il y était tout présentement ; mais je li avons finement persuadé d'aller être ailleurs. (Acte 3, scène 3, LUBIN)
  13. Je finis par un mot, m'aimez-vous ? (Acte 3, scène 6, DORANTE)
  14. Un amour infini, un respect qui m'est peut-être encore plus cher et plus précieux que cet amour même, voilà tout ce que je sens pour Angélique ; je suis d'ailleurs incapable de manquer d'honneur, mais il y a des réflexions austères qu'on n'est point en état de faire quand on aime, un enlèvement n'est pas un crime, c'est une irrégularité que le mariage efface ; nous nous serions donné notre foi mutuelle, et Angélique, en me suivant, n'aurait fui qu'avec son époux. (Acte 3, scène 11, DORANTE)

LA COMMÈRE (1741)

  1. Finalement, je vous dois mon nom, ma braverie, ma parenté, mon beau langage, ma politesse, ma bonne mine ; et puis vous m'allez prendre pour votre homme comme si j'étais un bourgeois de Paris. (Acte 1, scène 1, LA VALLEE)
  2. Oui, ma bonne parente, afin que le parent vous revoie plus vite. (Acte 1, scène 1, LA VALLEE)
  3. Encore une amoureuse ; mon mérite ne finit point. (Acte 1, scène 3, LA VALLEE)
  4. Ce n'est pas le tout que de se marier il faut faire une fin. (Acte 1, scène 3, MADAME ALAIN)
  5. Finissez donc ! (Acte 1, scène 4, LA VALLEE)
  6. C'est afin qu'on ne vienne pas nous troubler. (Acte 1, scène 6, MADAME ALAIN)
  7. Vous n'êtes encore qu'au berceau par rapport à elle, afin que vous le sachiez ; oui, au berceau, mon mignon, il est inutile de se flatter là-dessus. (Acte 1, scène 8, MADAME ALAIN)
  8. Finissons. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE HABERT)
  9. Je serais bien aise de finir aujourd'hui, si cela se peut. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE HABERT)
  10. Hâtez-vous, de peur qu'il ne sorte, afin qu'on termine aujourd'hui. (Acte 1, scène 9, MADAME ALAIN)
  11. Vous allez donc enfin être à moi, mon cher La Vallée. (Acte 1, scène 11, MADEMOISELLE HABERT)
  12. C'est une affaire finie dans le ciel. (Acte 1, scène 11, LA VALLEE)
  13. Car, enfin, les parents auraient raison. (Acte 1, scène 20, MADAME ALAIN)
  14. Est-il possible que vous vous déterminiez à me chagriner sur les rapports d'un homme qui vous doit être suspect, qui a tant d'intérêt à les faire faux, qui est mon neveu enfin, et de tous les neveux le plus avide ? (Acte 1, scène 23, MADEMOISELLE HABERT)

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L'HEUREUX STRATAGÈME (1733)

  1. J'en pleure d'avance, afin de m'en consoler après. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
  2. Sans doute : le Chevalier ne la quitte point ; il l'amuse, il la cajole, il lui parle tout bas ; elle sourit : à la fin le coeur peut s'y mettre, s'il n'y est déjà ; et cela m'inquiète, Monsieur ; car je vous estime ; d'ailleurs, voilà un garçon qui doit m'épouser, et si vous ne devenez pas le maître de la maison, cela nous dérange. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  3. Dites à votre valet de se tenir à l'écart, afin de nous avertir si quelqu'un vient. (Acte 1, scène 7, LA MARQUISE)
  4. C'est un garçon adroit et fin, tout valet qu'il est, et dont j'ai fait mon espion auprès de son maître et de la Comtesse : voyons ce qu'il nous dira ; car il est bon d'être extrêmement sûr qu'ils s'aiment. (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
  5. Excusez, Madame, je ne finis point quand j'abrège. (Acte 1, scène 12, FRONTIN)
  6. Mais cela suffit ; ils s'aiment, voilà son histoire finie. (Acte 1, scène 12, DORANTE)
  7. Faites-le finir ; je n'y tiendrais pas. (Acte 1, scène 12, DORANTE)
  8. finis dans un clin d'oeil. (Acte 1, scène 16, LE CHEVALIER)
  9. Il né finira qu'avec elle ; espère mieux dé la fortune dé ton maître ; connais-moi bien, tu n'auras plus dé défiance. (Acte 1, scène 17, LE CHEVALIER)
  10. À votre avis, un compliment qui finit par m'appeler coquette ne viendrait pas d'elle ? (Acte 2, scène 3, LA-COMTESE)
  11. Pas mal ; mais je vais l'aimer davantage, afin qu'il vous résiste mieux. On a besoin de toutes ses forces avec vous. (Acte 2, scène 3, LA-COMTESE)
  12. Je ne combats qu'à cette condition-là, afin que vous n'ayez rien à me dire. (Acte 2, scène 3, LA-COMTESE)
  13. Cadédis, vous mé parlez dé la fin du siècle ! (Acte 2, scène 6, LE CHEVALIER)
  14. Je la connais ; je gagerais qu'elle vient finement, à son ordinaire, m'insinuer qu'ils s'aiment, Dorante et elle. (Acte 2, scène 7, LA-COMTESE)
  15. Attendez donc, Marquise ; dites-moi s'il est vrai que vous vous aimiez, Dorante et vous, afin que je m'en réjouisse. (Acte 2, scène 8, LA-COMTESE)
  16. Oui, Comtesse ; hâtez-vous de finir. (Acte 2, scène 8, LA MARQUISE)
  17. Ce qu'il me dit là me fait venir une idée : les petites finesses de la Marquise méritent d'être punies. (Acte 2, scène 9, LA-COMTESE)
  18. C'est, ne vous déplaise, Madame, qu'Arlequin est un mal-appris ; mais que les pus mal-appris de tout ça, c'est Monsieur Dorante et Madame la Marquise, qui ont eu la finesse de manigancer la volonté d'Arlequin, à celle fin qu'il ne voulît pus d'elle ; maugré qu'alle en veuille bian, comme je me doute qu'il en voudrait peut-être bian itou, si an le laissait vouloir ce qu'il veut, et qu'an n'y boutît pas empêchement. (Acte 2, scène 10, BLAISE)
  19. Je soutiens moi-même un personnage qui n'est pas fort agréable, et qui le sera encore moins sur ces fins-ci, car il faudra que je supplée au peu de courage que vous me montrez ; mais que ne fait-on pas pour se venger ? (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
  20. Monsieur, je finis. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
  21. D'abord vous avez nié que c'en fût une, parce que vous n'aimiez pas Dorante, disiez-vous ; ensuite vous m'avez prouvé qu'elle était innocente ; enfin, vous m'en avez fait l'éloge, et si bien l'éloge, que je me suis mise à vous imiter, ce dont je me suis bien repentie depuis. (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  22. Estime infinie, confiance aveugle ; et tu dis que j'ai tort ? (Acte 3, scène 6, LA-COMTESE)
  23. Vous avise-t-on d'un tabellion qui se promène là-bas dans le jardin avec Monsieur Dorante et cette Marquise, et qui dit comme ça qu'il leur apporte un chiffon de contrat qu'ils li ont commandé, pour à celle fin qu'ils y boutent leur seing par-devant sa parsonne ? (Acte 3, scène 7, BLAISE)
  24. Ma Comtessé, finissons ; point dé badinage avec un coeur qui va périr d'épouvante. (Acte 3, scène 8, LE CHEVALIER)
  25. Mais jé né suis qu'un homme, et jé n'aspire pas à cé dégré dé finesse et d'industrie. (Acte 3, scène 10, LE CHEVALIER)
  26. Je n'ajouterai rien à la définition ; tout y est. (Acte 3, scène 10, LA MARQUISE)

LE PETIT MAÎTRE CORRIGÉ (1739)

  1. À propos, ce bon homme qu'on attend de sa terre pour finir notre mariage, cet oncle arrive-t-il bientôt ? (Acte 1, scène 6, ROSIMOND)
  2. Pardon, Madame, de la liberté que je prends ; mais Marton, avec qui je voudrais bien faire une fin, sera aussi mon excuse. (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
  3. Marquis, je disais à Hortense que mon frère tarde beaucoup, et que nous nous impatienterons à la fin, qu'en dites-vous ? (Acte 1, scène 11, CHRISANTE)
  4. Il devrait être fait ; les parents ne finissent point ! (Acte 1, scène 12, ROSIMOND)
  5. Enfin, un agréable qui m'a fait des phrases, mais des phrases ! (Acte 2, scène 2, DORIMÈNE)
  6. Je pense qu'il n'y perdra pas : et vous, je veux aussi que vous nous aidiez à le débarrasser de cette petite fille ; je me propose un plaisir infini de ce qui va arriver ; j'aime à déranger les projets, c'est ma folie ; surtout, quand je les dérange d'une manière avantageuse. (Acte 2, scène 2, DORIMÈNE)
  7. Oui, j'étais chez elle alors, et j'ai vu partir l'exprès qui nous a précédé : mais enfin c'est une très aimable femme, et qui t'aime beaucoup. (Acte 2, scène 3, DORANTE)
  8. Voilà qui est fini, Marquis, je désavoue mon idée, et je t'en fais réparation. (Acte 2, scène 3, DORANTE)
  9. Vous ne mettrez pas des volontés de parents en parallèle avec des raisons de cette force-là, sans doute, et je veux demain que tout cela finisse. (Acte 2, scène 6, DORIMÈNE)
  10. Couci-couci, et qu'il baise avec un appétit qui me désespère ; je l'ai laissé comme il en retenait une sur qui il s'était déjà jeté plus de dix fois, malgré qu'on en eût, ou qu'on n'en eût pas, et j'ai peur qu'à la fin elle ne lui reste. (Acte 2, scène 7, FRONTIN)
  11. Je n'accorderai mon coeur qu'aux soins les plus tendres, qu'à tout ce que l'amour aura de plus respectueux, de plus soumis : il faudra qu'on me dise mille fois : je vous aime, avant que je le croie, et que je m'en soucie ; qu'on se fasse une affaire de la dernière importance de me le persuader ; qu'on ait la modestie de craindre d'aimer en vain, et qu'on me demande enfin mon coeur comme une grâce qu'on sera trop heureux d'obtenir. (Acte 2, scène 8, HORTENSE)
  12. Finissons, je vous prie ; je ne reconnais point là mes sentiments. (Acte 2, scène 8, ROSIMOND)
  13. Hâtons-nous de conclure pour finir tout cela, je vous en supplie. (Acte 2, scène 9, ROSIMOND)
  14. Tu l'as dit : c'est son coeur qui a besoin du vôtre, Madame ; qui voudrait l'avoir à bon marché ; qui vient savoir à quel prix vous le mettez, le marchander du mieux qu'il pourra, et finir par en donner tout ce que vous voudrez, tout ménager qu'il est ; c'est ma pensée. (Acte 3, scène 1, FRONTIN)
  15. Je ne saurais revenir de mon étonnement : j'admire le malentendu qui nous sépare ; car enfin, pourquoi rompons-nous ? (Acte 3, scène 5, ROSIMOND)
  16. Sommes-nous enfin d'accord ? (Acte 3, scène 5, ROSIMOND)
  17. Et cet entretien que vous avez eu avec elle, il a donc mal fini ? (Acte 3, scène 8, FRONTIN)
  18. Enfin, Marquis, vous ne vous plaindrez plus, je suis à vous, il vous est permis de m'épouser ; il est vrai qu'il m'en coûte le sacrifice de ma fierté : mais, que ne fait-on pas pour ce qu'on aime ? (Acte 3, scène 11, DORIMÈNE)
  19. Et mon amour ne finira qu'avec ma vie. (Acte 3, scène 11, ROSIMOND)

LA MÉPRISE (1739)

  1. Du mien, vous n'en avez pas fait à deux fois, vous me l'avez expédié d'un coup d'oeil ; en un mot, ma charmante, je t'adore : nous reviendrons demain ici, mon maître et moi, à pareille heure, ne manque point d'y mener ta maîtresse, afin qu'on donne la dernière main à cet amour-ci, qui n'a peut-être pas toutes ses façons ; moi, je m'y rendrai une heure avant mon maître, et tu entends bien que c'est t'inviter d'en faire autant ; car il sera bon de nous parler sur tout ceci, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
  2. Comme il faut du temps pour dire des paroles et que nous étions très pressés, elle mit, ainsi que je vous l'ai dit, des regards à la place des mots, pour aller plus vite ; et se tournant de mon côté avec une douceur infinie : Oui, mon fils, me dit-elle, sans ouvrir la bouche, je m'y rendrai, je te le promets, tu peux compter là-dessus ; viens-y en pleine confiance, et tu m'y trouveras. (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
  3. Enfin je l'attends ; mais vous, Monsieur, pensez-vous que la maîtresse veuille revenir ? (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
  4. Allons, m'amour, point de quartier ; finissons cet article-là. (Acte 1, scène 2, FRONTIN)
  5. On ne tarit point, tous les échos du pays nous connaissent, on languit, on soupire, on demande quand nous finirons, peut-être qu'à la fin du jour on nous sommera d'épouser : c'est ce que j'en puis juger sur les discours de Lisette, et la chose vaut la peine qu'on y pense. (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
  6. Que mon action ne vous irrite point, ne la regardez pas comme un manque de respect pour vous, le mien est infini, j'en suis pénétré : jamais on ne craignit tant de déplaire, mais jamais coeur, en même temps, ne fut forcé de céder à une passion ni si soumise, ni si tendre. (Acte 1, scène 4, ERGASTE)
  7. Monsieur, je ne m'attendais pas à cet abord-là, et quoique vous m'ayez vue hier ici, comme en effet j'y étais, et démasquée, cette façon de se voir n'établit entre nous aucune connaissance, surtout avec les personnes de mon sexe ; ainsi, vous voulez bien que l'entretien finisse. (Acte 1, scène 4, HORTENSE)
  8. Mais enfin, plus j'y pense, et plus je vois qu'il faut que je me retire, Monsieur ; il n'y a pas moyen de se prêter plus longtemps à une conversation comme celle-ci, et je commence à avoir plus de tort que vous. (Acte 1, scène 4, HORTENSE)
  9. De grâce, Madame, encore un mot qui décide de ma destinée, et je finis : me haïssez-vous ? (Acte 1, scène 4, ERGASTE)
  10. Il ne vient par aucun côté, car il ne bouge, et c'est moi qui viens pour lui, afin de savoir où vous êtes. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  11. Rappelons Arlequin, afin qu'il observe. (Acte 1, scène 6, HORTENSE)
  12. L'aventure a bien fait de finir, j'allais vous croire échappés des Petites-Maisons. (Acte 1, scène 22, LISETTE)

LA FAUSSE SUIVANTE OU LE FOURBE PUNI (1729)

  1. Que te dirai-je enfin ? (Acte 1, scène 1, TRIVELIN)
  2. Tantôt maître, tantôt valet ; toujours prudent, toujours industrieux, ami des fripons par intérêt, ami des honnêtes gens par goût ; traité poliment sous une figure, menacé d'étrivières sous une autre ; changeant à propos de métier, d'habit, de caractère, de moeurs ; risquant beaucoup, réussissant peu ; libertin dans le fond, réglé dans la forme ; démasqué par les uns, soupçonné par les autres, à la fin équivoque à tout le monde, j'ai tâté de tout ; je dois partout ; mes créanciers sont de deux espèces : les uns ne savent pas que je leur dois ; les autres le savent et le sauront longtemps. (Acte 1, scène 1, TRIVELIN)
  3. J'ai logé partout, sur le pavé ; chez l'aubergiste, au cabaret, chez le bourgeois, chez l'homme de qualité, chez moi, chez la justice, qui m'a souvent recueilli dans mes malheurs ; mais ses appartements sont trop tristes, et je n'y faisais que des retraites ; enfin, mon ami, après quinze ans de soins, de travaux et de peines, ce malheureux paquet est tout ce qui me reste ; voilà ce que le monde m'a laissé, l'ingrat ! (Acte 1, scène 1, TRIVELIN)
  4. Mais la voilà qui vient ; retire-toi à l'écart, afin que je lui parle. (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
  5. Voici votre commission, écoutez-moi : vous direz à ma soeur qu'elle ne soit point en peine de moi ; qu'à la dernière partie de bal où mes amies m'amenèrent dans le déguisement où me voilà, le hasard me fit connaître le gentilhomme que je n'avais jamais vu, qu'on disait être encore en province, et qui est ce Lélio avec qui, par lettres, le mari de ma soeur a presque arrêté mon mariage ; que, surprise de le trouver à Paris sans que nous le sussions, et le voyant avec une dame, je résolus sur-le-champ de profiter de mon déguisement pour me mettre au fait de l'état de son coeur et de son caractère ; qu'enfin nous liâmes amitié ensemble aussi promptement que des cavaliers peuvent le faire, et qu'il m'engagea à le suivre le lendemain à une partie de campagne chez la dame avec qui il était, et qu'un de ses parents accompagnait ; que nous y sommes actuellement, que j'ai déjà découvert des choses qui méritent que je les suive avant que de me déterminer à épouser Lélio ; que je n'aurai jamais d'intérêt plus sérieux. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
  6. Voilà ce qu'il me faut ; tu n'as pas un honneur mal entendu sur une infinité de bagatelles qui arrêtent les sots ? (Acte 1, scène 7, LÉLIO)
  7. Des fins premiers jours du ménage. v.10 (Acte 1, scène 11, LE CHANTEUR)
  8. Tant qu'enfin la voix me manqua. v.68 (Acte 1, scène 11, MATHURINE)
  9. Me voici comme de moitié dans une intrigue assez douce et d'un assez bon rapport, car il m'en revient déjà de l'argent et une maîtresse ; ce beau commencement-là promet encore une plus belle fin. (Acte 2, scène 1, TRIVELIN)
  10. Tu vas encore t'amuser à mon éloge, et tu ne finiras point. (Acte 2, scène 3, LÉLIO)
  11. Et moi, tout en raccommodant ma palissade, j'expliquais ce vous n'y songez pas, et ce laissez-moi donc ; et je voyais que cela voulait dire : Courage, Chevalier, encore un baiser sur le même ton ; surprenez-moi toujours, afin de sauver les bienséances ; je ne dois consentir à rien ; mais si vous êtes adroit, je n'y saurais que faire ; ce ne sera pas ma faute. (Acte 2, scène 3, TRIVELIN)
  12. Un coup d'éventail par là-dessus, coup galant qui signifie : Ne lâchez point ; l'éventail est saisi ; nouvelles pirateries sur la main qu'on tient ; l'autre vient à son secours ; autant de pris encore par l'ennemi : Mais je ne vous comprends point ; finissez donc. (Acte 2, scène 3, TRIVELIN)
  13. Courage ; j'attends que vous ayez fini. (Acte 2, scène 8, LA COMTESSE)
  14. Je ne finirai jamais. (Acte 2, scène 8, LE CHEVALIER)
  15. Monsieur, voilà qui est fini ; je ne serai plus gaillard. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
  16. Sais-tu bien que je me fâcherai à la fin ? (Acte 3, scène 1, LÉLIO)
  17. Finissons. (Acte 3, scène 2, LÉLIO)
  18. Pour finir une conversation, il n'y a rien de mieux que de la laisser là ; c'est le plus court, ce me semble. (Acte 3, scène 2, TRIVELIN)
  19. Tirer votre portrait, afin de le porter à certaine dame qui l'attend pour savoir ce qu'elle fera de l'original. (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  20. Pour cet effet, vous réclamiez mon industrie ; et quand j'aurais conduit l'affaire près de sa fin, avant de terminer je comptais de vous rançonner un peu, et d'avoir ma part au pillage ; ou bien de tirer finement le dédit d'entre vos mains, sous prétexte de le voir, pour vous le revendre une centaine de pistoles payées comptant, ou en billets payables au porteur, sans quoi j'aurais menacé de vous perdre auprès des douze mille livres de rente, et de réduire votre calcul à zéro. (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  21. Madame_la_Comtesse va venir, et je ne veux point finir avec elle que je n'aie toutes mes sûretés. (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
  22. Tenez, Madame, il me semble que je le vois à vos genoux, que vous l'écoutez avec un plaisir, qu'il vous jure de vous adorer toujours, que vous le payez du même serment, que sa bouche cherche la vôtre, et que la vôtre se laisse trouver ; car voilà ce qui arrive ; enfin je vous vois soupirer ; je vois vos yeux s'arrêter sur lui, tantôt vifs, tantôt languissants, toujours pénétrés d'amour, et d'un amour qui croît toujours. (Acte 3, scène 6, LE CHEVALIER)
  23. Souhaité qu'il prît son parti de lui-même, à cause du dédit ; ce serait dix mille écus que je vous sauverais, Chevalier ; car enfin, c'est votre bien que je ménage. (Acte 3, scène 6, LA COMTESSE)
  24. Vous ne finissez point. (Acte 3, scène 6, LA COMTESSE)
  25. Finissons. (Acte 3, scène 7, LÉLIO)
  26. Chevalier, nous avons jusqu'ici plaisanté ensemble, il est temps que cela finisse ; vous m'avez parlé de votre amour, je serais fâchée qu'il fut sérieux ; je dois ma main à Lélio, et je suis prête, à recevoir la sienne. (Acte 3, scène 7, LA COMTESSE)
  27. Ainsi, il n'est plus question de l'attendre, et nous finirons quand vous voudrez. (Acte 3, scène 9, LA COMTESSE)

LES SERMENTS INDISCRETS (1732)

  1. Mais les épousez-vous, la déesse s'humanise-t-elle, leur idolâtrie finit où nos bontés commencent. (Acte 1, scène 2, LUCILE)
  2. Vous avez eu le temps d'en faire quatre : allons, finissez. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  3. Dis-lui qu'en y faisant réflexion, j'ai cru que dans cette occasion-ci je ne devais point me montrer, et que je le prie de s'ouvrir à toi sur ce qu'il a à me dire, et s'il refuse de parler, en marquant quelque empressement pour me voir, finis la conversation, en lui donnant ma lettre. (Acte 1, scène 4, LUCILE)
  4. Mon père, ensuite, me presse de venir, me dit que je ne saurais, sur la fin de ses jours, lui donner de plus grande consolation qu'en épousant Lucile ; qu'il est ami intime de son père, que d'ailleurs elle est riche, et que je lui aurai une obligation éternelle du parti qu'il me procure ; et qu'enfin, dans trois ou quatre jours, ils vont, son ami, sa famille et lui, m'attendre à leurs maisons de campagne qui sont voisines, et où je ne manquerai pas de me rendre, à mon retour de Paris. (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  5. Je parle très sérieusement ; et comme on dit que Lucile est d'un esprit raisonnable, et que je lui dois être fort indifférent, j'avais dessein de lui ouvrir mon coeur, afin de me tirer de cette aventure-ci. (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  6. Celui-là est très fin, par exemple, et vous aviez raison de ne le vouloir pas perdre ; mais restons-en là, je vous prie ; car à la fin, tant de politesses me supposeraient un amour-propre ridicule, et ce serait une étrange chose qu'il fallût me demander pardon de ce qu'on ne m'aime point. (Acte 1, scène 6, LUCILE)
  7. Car enfin, il se plaint de l'accueil de Lucile. (Acte 2, scène 1, ORGON)
  8. Quant à ma fille, dites-lui, Lisette, que je serais très fâché d'avoir à me plaindre d'elle : c'est sur sa parole que j'ai fait venir Damis et son père ; depuis qu'elle a vu le fils, il ne lui déplaît pas, à ce qu'elle dit ; cependant ils se fuient, et je veux savoir qui des deux a tort ; car il faut que cela finisse. (Acte 2, scène 2, ORGON)
  9. Tu m'as la mine d'avoir le goût fin ; j'ai peur de te plaire, et nous voici dans un cas qui ne le veut point. (Acte 2, scène 3, FRONTIN)
  10. Allons, ranimons-nous, voilà qui est fini : tiens, je ne saurais te souffrir. (Acte 2, scène 3, LISETTE)
  11. Supprimez l'éloge de votre adresse ; point de réponse qui aille à côté de ce qu'on vous demande : vous parlez de Damis, ne le quittez point ; finissons ce sujet-là. (Acte 2, scène 5, LUCILE)
  12. Vous ferez ce qu'il vous plaira ; mais j'ai cru que le plus sûr était d'engager votre soeur à aimer Damis, et peut-être Damis à l'aimer, afin que vous eussiez raison d'être fâchée et de le refuser. (Acte 2, scène 5, LISETTE)
  13. Ne dirait-on pas que vous y entendez finesse, avec votre sérieux ? (Acte 2, scène 8, LUCILE)
  14. Non, Madame, toute différente : car enfin, je pourrais vous aimer. (Acte 2, scène 8, DAMIS)
  15. Quoi qu'il en soit, ces façons-là ne me conviennent point ; je l'ai déjà marqué, je vous l'ai fait dire, et je vous demande en grâce de cesser vos poursuites ; car enfin vous n'avez pas dessein de me désobliger, je pense. (Acte 3, scène 1, PHÉNICE)
  16. Sur ce pied-là, finissez donc, ou je vous y forcerai moi-même. (Acte 3, scène 1, PHÉNICE)
  17. Enfin le troisième, c'est que les deux premiers seront nuls si vous épousez Phénice. (Acte 3, scène 6, FRONTIN)
  18. Souvenez-vous que j'ai servi vos dégoûts pour moi avec un honneur, une fidélité surprenante, avec une fidélité que je ne vous devais point, que tout autre, à ma place, n'aurait jamais eu, et ce procédé si louable, si généreux, mérite bien que vous laissiez en repos un homme qui peut avoir porté la vertu jusqu'à se sacrifier pour vous ; je ne veux pas dire que je vous aime ; non, Lucile, rassurez-vous ; mais enfin vous ne savez pas ce qui en est, vous en pourriez douter ; vous êtes assez aimable pour cela, soit dit sans vous louer ; je puis vous épouser, vous ne le voulez pas, et je vous quitte. (Acte 3, scène 8, DAMIS)
  19. Non, Frontin, il n'y a plus rien à tenter là-dessus ; Lisette a beau dire, on ne saurait s'expliquer plus nettement que l'a fait Lucile, et voilà qui est fini, il ne s'agit plus que d'éviter l'embarras où je suis du côté de Phénice. (Acte 4, scène 1, DAMIS)
  20. Mais enfin, d'où savez-vous qu'il ne m'aime point ? (Acte 4, scène 7, PHÉNICE)
  21. Elle ne craint point qu'on le lui enlève, dit-elle ; ma foi, Madame, je vous renonce si cela ne vous pique pas ; car enfin il est temps de convenir que Damis ne vous déplaît point, d'autant plus qu'il vous aime. (Acte 4, scène 9, LISETTE)
  22. Enfin, Madame, il n'est plus question de notre mariage ; vous voilà libre, et puisqu'il le faut, j'épouserai Phénice. (Acte 4, scène 10, DAMIS)
  23. Voilà, ce me semble, tout ce qu'on peut faire en pareil cas pour ton maître, et j'ai bonne opinion de cela ; mais retire-toi ; voici Lucile qui me cherche apparemment ; je lui ai toujours dit qu'elle aimait Damis sans qu'elle l'ait avoué, et je vais changer de ton afin de la forcer à en changer elle-même. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  24. Enfin, je n'ai rien à dire, et vous êtes le maître ; mais je devais l'épouser. (Acte 5, scène 3, LUCILE)
  25. Quoique Damis ne lui convienne point, on sait qu'il était venu pour elle, et elle croyait qu'on pouvait mieux faire que de vous le donner ; mais elle ne songe plus à cela, voilà qui est fini. (Acte 5, scène 4, ORGON)
  26. Finissons. (Acte 5, scène 4, LUCILE)
  27. Approchez, vous dis-je, venez ici, et laissez-vous conduire ; allons, Monsieur, rendez hommage à votre vainqueur, et jetez-vous à ses genoux tout à l'heure... à ses genoux, vous dis-je : et vous, ma soeur, tenez-vous un peu fière ; ne lui tendez pas la main en signe de paix, mais ne la retirez pas non plus ; laissez-la aller, afin qu'il la prenne ; voilà mon projet rempli : adieu ; le reste vous regarde. (Acte 5, scène 6, PHÉNICE)
  28. Je vous crois, mais j'admire la conjoncture où cela tombe ; car enfin, si j'avais su vos sentiments, que sais-je ? (Acte 5, scène 7, LUCILE)

LA COLONIE (1750)

  1. Ah çà, vous savez bien que les hommes vont dans un moment s'assembler sous des tentes, afin d'y choisir entre eux deux hommes qui nous feront des lois ; on a battu le tambour pour convoquer l'assemblée. (Acte 1, scène 1, MADAME SORBIN)
  2. Maudite guerre, en attendant que tu finisses, je vais m'affliger tout à mon aise, en mon petit particulier. (Acte 1, scène 4, PERSINET)
  3. Je fais voeu de vivre pour soutenir les droits de mon sexe opprimé ; je consacre ma vie à sa gloire ; j'en jure par ma dignité de femme, par mon inexorable fierté de coeur, qui est un présent du ciel ; il ne faut pas s'y tromper ; enfin par l'indocilité d'esprit que j'ai toujours eue dans mon mariage, et qui m'a préservée de l'affront d'obéir à feu mon bourru de mari ; j'ai dit. (Acte 1, scène 6, ARTHÉNICE)
  4. On verra la fin du monde, la race des hommes s'éteindra avant que nous cession d'obéir à vos ordres ; voici déjà une de nos compagnes qui accourt pour vous reconnaître. (Acte 1, scène 6, UNE-DES-DEPUTEES)
  5. Qui est-ce qui peut définir le nombre et la variété de ces charmes ? (Acte 1, scène 9, ARTHÉNICE)
  6. Venons à l'esprit, et voyez combien le nôtre a paru redoutable à nos tyrans, jugez-en par les précautions qu'ils ont prises pour l'étouffer, pour nous empêcher d'en faire usage ; c'est à filer, c'est à la quenouille, c'est à l'économie de leur maison, c'est au misérable tracas d'un ménage, enfin c'est à faire des noeuds, que ces Messieurs nous condamnent. (Acte 1, scène 9, ARTHÉNICE)
  7. Tout au contraire, embellissons-nous, s'il est possible, afin qu'ils nous regrettent davantage. (Acte 1, scène 9, UNE AUTRE FEMME)
  8. Oui, afin qu'ils soupirent plus que jamais à nos genoux, et qu'ils meurent de douleur de se voir rebutés ; voilà ce qu'on appelle une indignation de bon sens, et vous êtes dans le faux, Madame Sorbin, tout à fait dans le faux. (Acte 1, scène 9, UNE AUTRE FEMME)
  9. Elle vous apprendra que nous voulons nous mêler de tout, être associées à tout, exercer avec vous tous les emplois, ceux de finance, de judicature et d'épée. (Acte 1, scène 13, ARTHÉNICE)
  10. La belle pointe d'esprit, mais finalement, il n'y a rien à rabattre, sinon lisez notre édit, votre congé est au bas de la page. (Acte 1, scène 13, MADAME SORBIN)
  11. Finissez avec lui ; je vous reviens prendre dans le moment. (Acte 1, scène 14, ARTHÉNICE)
  12. De fruits, d'herbes, de racines, de coquillages, de rien ; s'il le faut, nous pêcherons, nous chasserons, nous deviendrons sauvages, et notre vie finira avec honneur et gloire, et non pas dans l'humilité ridicule où l'on veut tenir des personnes de notre excellence. (Acte 1, scène 14, MADAME SORBIN)
  13. Cependant le respect est un sot ; finissons, Monsieur Sorbin, qui êtes élu, mari, maître et chef de famille ; tout cela est bel et bon ; mais écoutez-moi pour la dernière fois, cela vaut mieux ; nous disons que le monde est une ferme, les Dieux là-haut en sont les Seigneurs, et vous autres hommes, depuis que la vie dure, en avez toujours été les fermiers tout seuls, et cela n'est pas juste, rendez-nous notre part de la ferme ; gouvernez, gouvernons ; obéissez, obéissons ; partageons le profit et la perte ; soyons maîtres et valets en commun ; faites ceci, ma femme ; faites ceci, mon homme ; voilà comme il faut dire, voilà le moule où il faut jeter les lois, nous le voulons, nous le prétendons, nous y sommes butées ; ne le voulez-vous pas ? (Acte 1, scène 14, MADAME SORBIN)
  14. Oui, mais on m'a commandé de vous déclarer un adieu dont on ne verra ni le bout ni la fin. (Acte 1, scène 15, LINA)

LE DÉNOUEMENT IMPRÉVU (1727)

  1. Mais enfin, pourquoi me quitter ? (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-ARGANTE)
  2. Mais bref, à la parfin que ferez-vous ? (Acte 1, scène 2, MAITRE-PIERRE)
  3. Qu'est-ce que c'est qu'un amour qui commence par mais, et qui finit par car ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  4. Mais enfin, épouserez-vous le campagnard ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  5. Attendez que je reprenne vigueur ; car moi qui veux hériter de li, je sis si découragé, si déconfit, que je sis d'avis itou de coucher mes darnières volontés sur de l'écriture, afin de laisser mes nippes à Lisette. (Acte 1, scène 5, MAITRE-PIERRE)
  6. C'est que cela est fini ; je n'y songe plus. (Acte 1, scène 6, MADEMOISELLE-ARGANTE)
  7. Je ne sais où j'en suis, ni où elle prend tant d'impertinences : quoi qu'il en soit, finissons ; je n'ai qu'un mot à vous dire : préparez-vous à recevoir celui qui vient ici vous épouser. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-ARGANTE)
  8. C'est que la fille de cians a eu l'avisement de devenir ratière : alle a mis par exprès son esprit sens dessus dessous, sens devant darrière, à celle fin, quand il la varra, qu'il s'en retorne avec son sac et ses quilles. (Acte 1, scène 10, MAITRE-PIERRE)
  9. Vous savez qu'on vous a destinés l'un à l'autre : mais il ne veut jouir du bonheur qu'on lui assure, qu'autant que votre coeur y souscrira : c'est un respect que le sien vous doit, et que vous méritez plus que personne : daignez donc, Madame, me confier ce que vous pensez là-dessus ; afin qu'il se conforme à vos volontés. (Acte 1, scène 11, ERASTE)

LA DISPUTE (1747)

  1. Il est vrai que je vous aime, et que mon extrême envie de vous plaire peut fort bien me persuader que vous avez raison, mais ce qui est de certain, c'est qu'elle me le persuade si finement que je ne m'en aperçois pas. (Acte 1, scène 1, LE PRINCE)
  2. Ils ne connaissent encore que Mesrou et sa soeur qui les ont élevés, et qui ont toujours eu soin d'eux, et qui furent choisis de la couleur dont ils sont, afin que leurs élèves en fussent plus étonnés quand ils verraient d'autres hommes. (Acte 1, scène 2, LE PRINCE)
  3. Elle obéit ; venez donc tout à fait, afin d'être à moi de plus près. (Acte 1, scène 4, EGLÉ)
  4. Parlez de notre plaisir, vous ne savez pas ce que c'est, nous ne le comprenons pas, nous qui le sentons, il est infini. (Acte 1, scène 6, EGLÉ)
  5. Azor et moi, nous nous aimons, voilà qui est fini, devenez beau tant qu'il vous plaira, que nous importe ? (Acte 1, scène 6, EGLÉ)
  6. Je les prends aussi ; prenons-les ensemble pour notre divertissement, afin de nous tenir gaillards ; allons, ce sera pour tantôt : nous rirons, nous sauterons, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 13, MESRIN)
  7. Nous convenons de nous séparer : il part, il revient sur-le-champ, il voudrait toujours être là ; à la fin, ce que vous lui avez perdit lui arrivera. (Acte 1, scène 15, EGLÉ)

ARLEQUIN POLI PAR L'AMOUR (1723)

  1. Quand la danse finit, la Fée le tire par le bras, et lui dit en se levant. (Acte 1, scène 3, LA FÉE)
  2. Et par où vous sert-il, afin que je le baise par là ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
  3. Quand on aime, mon cher enfant, on souhaite toujours de voir les gens, on ne peut se séparer d'eux, on les perd de vue avec chagrin : enfin on sent des transports, des impatiences et souvent des désirs. (Acte 1, scène 7, LA FÉE)
  4. Combien sa physionomie était devenue fine ? (Acte 1, scène 8, LA FÉE)
  5. Oui ; mais vous êtes bien fine, si vous êtes là quand elle me parlera, vous lui ferez la grimace, elle vous craindra, et elle n'osera me dire rondement sa pensée. (Acte 1, scène 14, ARLEQUIN)
  6. Achevons vite de pleurer, afin que mon amant ne croie pas que je l'aime, le pauvre enfant, ce serait le tuer moi-même. (Acte 1, scène 18, SILVIA)
  7. Non, mes enfants, ce n'est pas la Fée ; mais elle m'a donné son anneau, afin que je vous écoutasse sans être vu. (Acte 1, scène 18, TRIVELIN)
  8. Taisez-vous donc, mon ami, ne nous caressons pas à cette heure, afin de pouvoir nous caresser toujours : on vient, dites-moi bien des injures, pour avoir la baguette. (Acte 1, scène 19, SILVIA)
  9. Donnez-moi ce bâton, afin que je les rosse. (Acte 1, scène 22, ARLEQUIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 35 textes (soit une présence dans 1,85 % des textes) dans lesquels il y a 625 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 17,86 occurences par texte.

Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Prologue Total
1 F?LICIE7000007
2 LA DOUBLE INCONSTANCE1011900030
3 LE PÈRE PRUDENT ET ÉQUITABLE410000041
4 LES ACTEURS DE BONNE FOI8000008
5 ANNIBAL1087611042
6 LE TRIOMPHE DE PLUTUS6000006
7 LE TRIOMPHE DE PLUTUS5000005
8 LA SECONDE SUPRISE DE L'AMOUR710500022
9 L'H?RITIER DE VILLAGE100000010
10 L'?LE DE LA RAISON ou LES PETITS HOMMMES906120229
11 LA JOIE IMPR?VUE6000006
12 L'?PREUVE100000010
13 LES SINC?RES110000011
14 LE JEU DE L'AMOUR ET DU HASARD511800024
15 LA PROVINCIALE170000017
16 LE PRINCE TRAVESTI1114200027
17 LES FAUSSES CONFIDENCES102800020
18 LE LEGS110000011
19 LA R?UNION DES AMOURS100000010
20 LA FEMME FID?LE6000006
21 L'?COLE DES M?RES4000004
22 LE PR?JUGE VAINCU180000018
23 LE TRIOMPHE DE L'AMOUR1016700033
24 LA SURPRISE DE L'AMOUR1410700031
25 L'ILE DES ESCLAVES170000017
26 LA M?RE CONFIDENTE55400014
27 LA COMM?RE140000014
28 L'HEUREUX STRATAG?ME99800026
29 LE PETIT MA?TRE CORRIG?49600019
30 LA M?PRISE120000012
31 LA FAUSSE SUIVANTE OU LE FOURBE PUNI661300025
32 LA FAUSSE SUIVANTE OU LE FOURBE PUNI2000002
33 LES SERMENTS INDISCRETS68446028
34 LA COLONIE140000014
35 LE D?NOUEMENT IMPR?VU9000009
36 LA DISPUTE7000007
37 ARLEQUIN POLI PAR L'AMOUR9000009
38 L'ÎLE DE LA RAISON ou LES PETITS HOMMMES0001001
  Total3701199423172625

 

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