Occurences de l'expression
tu
pour ROTROU, Jean
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LES SOSIES (1638)
- Où la vertu régna, le déshonneur habite, v.29 (Prologue, scène 1, JUNON)
- La nature interrompt ses ordres éternels. v.56 (Prologue, scène 1, JUNON)
- Si du guet par hasard la rencontre importune, v.119 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Se trouve sur mes pas, Quelle est mon infortune ? v.120 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- Le voici, qui rêveur, sa harangue étudie. v.159 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Avec nous leur vertu, leur partage la gloire, v.223 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Contre leur naturel n'aient plus de mouvement, v.258 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Si tu me dois toucher, contre ce mur, au moins, v.297 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Mais ta vertu, Sosie, au besoin se dément v.309 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Es tu libre, ou captif ? v.314 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Mais, qui (de grâce) es-tu ? Qui t'amène en ce lieu ? v.317 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- J'appartiens à mon Maître, es-tu content ? Adieu. v.318 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Poltron, répliques-tu ? Que viens-tu faire ici ? v.321 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Mais que cherches-tu, toi qui t'en mets en souci ? v.322 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ami, qui que tu sois, ou domestique, ou non. v.326 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Je te vais rendre vain, sais-tu de quelle sorte ? v.331 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Tu viens si prestement, de forger cette fable ; v.344 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Au mensonge, pendard, tu joins encor la plainte ? v.347 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Qui veux-tu que je sois, dis-moi, donc, je te prie ; v.352 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Que viens-tu faire ici ? v.359 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Es-tu Sosie encor, réponds, qui l'est de nous ? v.361 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Tu m'as mis en état, de ne me plus connaître. v.364 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Rien, si tu ne veux. v.366 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Tu sauras qui je suis, en deux mots seulement. v.370 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Que crains-tu, parle tôt. v.373 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Ô déplaisant remède, importune pitié ! v.382 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Qu'allas-tu faire seul, dedans nos pavillons ? v.418 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Eh bien, suis-je Sosie ? As-tu lieu d'en douter ? v.426 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Prends ce nom, si tu veux, quand je l'aurai quitté, v.429 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Traître, où vas-tu ? v.443 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Tu t'obstines encor, à me persécuter ! v.445 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Où tu veux aborder, je ferai ton cercueil. v.450 (Acte 2, scène 3, MERCURE)
- Retirons-nous plutôt, ô prodige ! Ô nature ! v.451 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Où me suis-je perdu ? Quelle est cette aventure ? v.452 (Acte 2, scène 3, SOSIE)
- Ai-je avec gloire, enfin abattu son audace ? v.463 (Acte 2, scène 4, MERCURE)
- Mon père, cependant, sans importunité, v.465 (Acte 2, scène 4, MERCURE)
- Tu murmures pendard ? v.505 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Oses-tu malheureux, encor me soutenir, v.513 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Qu'étant ici présent, tu sois chez nous encore ? v.515 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Qu'avecques la vertu, qu'enjoint la servitude. v.520 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Tu m'oses soutenir, avecque tant d'audace, v.523 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Que tu sois au logis, et que tu sois ici. v.541 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- As-tu si fermement fondé cette assurance ! v.544 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- J'ai mon nom, mon habit, ma forme naturelle, v.552 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Qui t'a battu ? v.565 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Celui que je vous dis, ma vivante peinture, v.575 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Passerait pour moi-même aux yeux de la nature, v.576 (Acte 3, scène 1, SOSIE)
- Mais as-tu vu ma femme ? v.583 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- C'est la première loi, des lois de la nature, v.607 (Acte 3, scène 2, ALCMÈNE)
- Les maux sont naturels, et les biens étrangers. v.610 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Moi, dis-je, dont tu vois, que les tristes amours, v.613 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- Tu vois qu'Amphitryon, en une même nuit, v.617 (Acte 3, scène 2, ALCM?NE)
- La vertu, ce seul bien, de soi-même dispose, v.643 (Acte 3, scène 2, ALCMÈNE)
- Ma chaste affection, lui serais-tu suspecte ? v.651 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Et t'es-tu conservée, aussi saine, que belle ? v.660 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Avez-vous redouté le pouvoir de Neptune ? v.683 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Et laissez-vous l'armée au soin de la fortune ? v.684 (Acte 3, scène 3, ALCM?NE)
- Tu nous brouilles encor, en cette occasion ; v.697 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Qu'en ces occasions, tu m'as toujours fait voir ? v.706 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Ne passât du devoir, à l'importunité. v.710 (Acte 3, scène 3, ALCMÈNE)
- Tu l'oses soutenir ? v.718 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Dis-le, si tu le sais, m'as-tu vu l'aborder ? v.745 (Acte 3, scène 3, AMPHITRYON)
- Quelle est cette aventure ? v.779 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- L'art veut à reproduire, imiter la nature, v.780 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- De qui l'as tu reçu ? v.788 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Le plus fin aujourd'hui le souffre par coutume, v.819 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Avec d'autres que moi tu partages ma couche, v.823 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Tu reçois des baisers, d'autres que de ma bouche. v.824 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Ô Dieux ! ô Jupiter ! tu vis ce suborneur, v.825 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Et cruel, à tes yeux, tu souffris cette injure. v.827 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Je ne sais quel caprice est celui de nature, v.828 (Acte 3, scène 4, SOSIE)
- Naucrate, ton parent, croiras-tu son rapport ? v.850 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Consens-tu, si sa voix convainc tes faussetés, v.853 (Acte 3, scène 4, AMPHITRYON)
- Tu me fais emprunter des ongles, et des ailes, v.876 (Acte 4, scène 1, JUPITER)
- Du doux chant des oiseaux, ta vertu quelquefois, v.877 (Acte 4, scène 1, JUPITER)
- Pourquoi dès le berceau ne me fus-tu ravie ? v.896 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Que ne me sauvas-tu d'un affront si honteux, v.897 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Chère Alcmène, où fuis-tu ? pourquoi si fort émue, v.935 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- De qui te veut parler détournes-tu la vue ? v.936 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Tu crois donc, que mon coeur ait avoué ma bouche ? v.955 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Tu fais d'un passe-temps, une sensible offense, v.959 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Tu devais partager ce divertissement. v.962 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Fais-tu d'une risée, un discours d'importance ? v.967 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Et d'un mot dit par jeu, tires-tu conséquence ? v.968 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- J'ai fait par ma vertu, qu'elles étaient frivoles, v.972 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Je ne l'achève point, puisqu'il t'est importun : v.1026 (Acte 4, scène 2, JUPITER)
- Tu me rends la pareille, et te sens trop solvable, v.1039 (Acte 4, scène 3, JUPITER)
- Un chaos fut auteur, de toute la nature. v.1047 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Jupiter, soit béni, d'une telle aventure ! v.1048 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- Hé quoi, ne sais-tu pas, que je voulais gausser ? v.1049 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Saturne le bon père, en a jusques aux yeux, v.1081 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Dedans cette liqueur, aux Dieux si naturelle. v.1084 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Et contre sa coutume, a refusé la coupe. v.1088 (Acte 4, scène 5, MERCURE)
- Que tes pas sont légers ! Viens-tu déjà du port ? v.1106 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Tu n'amènes personne ? v.1111 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Ô le maître importun ? Et le mal qu'il me donne ! v.1112 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Enfin, qu'as-tu trouvé ? v.1115 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Comprends-tu ce langage ? v.1123 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Et ce moment qu'il veut, sais-tu pour quel usage ? v.1124 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Tu ne l'entends pas mieux ? v.1129 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Ma curiosité jamais ne m'importune, v.1131 (Acte 4, scène 6, CÉPHALIE)
- Je laisse toute chose au soin de la fortune, v.1132 (Acte 4, scène 6, C?PHALIE)
- Ô que tu sais bien mieux ! v.1134 (Acte 4, scène 6, MERCURE)
- Ma seule lassitude est le fruit de ma peine ; v.1144 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Cet importun destin, qui brouille toutes choses, v.1147 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Quand veux-tu, Jupiter, débrouiller ces mélanges ? v.1152 (Acte 4, scène 1, AMPHITRYON)
- Eh bien ? C'est moi, crains-tu que je l'oublie ? v.1168 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Achève, que veux-tu ? v.1169 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Que ne veux-tu donc point, réponds-moi, si tu veux. v.1170 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Eh bien m'as-tu stupide, assez considéré ? v.1173 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Mais qu'attends-je en ce lieu, traître, tu n'ouvres pas ? v.1181 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Spectre, qui que tu sois, fantôme, ombre vivante, v.1183 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Même du souffle seul, tu touches cette porte v.1187 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Devine quel congé cette tuile te porte ? v.1188 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Connais-tu qui te parle, et sais-tu qui je suis ? v.1190 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- S'il se peut que l'on m'ouvre, ou si tu peux descendre. v.1195 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Je suis Amphitryon, ou tu n'es pas Sosie. v.1200 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Passe mauvais bouffon, tu t'es mal adressé, v.1202 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- À combien de discours cet importun m'oblige ! v.1208 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Dis-tu qu'Amphitryon... v.1210 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Sosie, encor un coup, ne me connais-tu pas ? v.1214 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Oui, pour un importun. v.1215 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
- Si tu reconnaîtras ce que pèsent mes coups. v.1218 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Tu peux seul, à ma peine apporter du remède, v.1224 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Si tu ne veux ma perte, établis mon repos. v.1226 (Acte 4, scène 2, AMPHITRYON)
- Tu nous en contes bien, qui t'en a tant appris ? v.1229 (Acte 4, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Ô, comme tu jouerais de crédules esprits ! v.1230 (Acte 4, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- Que ce vice ait fait brèche à la vertu d'Alcmène ! v.1256 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- À qui naît fortuné, tout lui succède bien, v.1273 (Acte 4, scène 3, SOSIE)
- Traître, voilà le toit, la tuile, la maison ; v.1306 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Reconnais-tu la porte, et vois-tu la fenêtre, v.1307 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- D'où tu feignais tantôt, de ne me pas connaître ? v.1308 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- De combien de coups, ne m'as-tu menacé, v.1313 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Le voudrais-tu nier ? v.1315 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Es-tu capable encor de cette effronterie ? v.1327 (Acte 4, scène 3, AMPHITRYON)
- Qui me parut au Camp, cette humeur importune, v.1339 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Qui veut à ma valeur devoir son infortune, v.1340 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Et vous, chers compagnons de ma longue fortune, v.1359 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Nous n'avons combattu, ni vaincu qu'à demi ; v.1365 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Et tu n'as plus en moi, de matière à tes coups. v.1382 (Acte 4, scène 4, SOSIE)
- Quelle est cette aventure, et quelle occasion, v.1397 (Acte 4, scène 4, PREMIER CAPITAINE)
- Auteur de la nature, v.1407 (Acte 4, scène 4, AMPHITRYON)
- Arrête, tu mens traître. v.1424 (Acte 4, scène 4, JUPITER)
- Tu frappes sur Sosie, arrête, épargne-toi. v.1489 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Et de laisser la vie, où tu cherches à vivre. v.1503 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Sosie infortuné ? v.1505 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Battu, froissé, meurtri, ces titres sont mon nom v.1506 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Appelles-tu maudit un présent de ma main ? v.1510 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Et le bien que tu fais, accable en se versant. v.1514 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Adieu, quand tu voudras, ce bras à ton service, v.1515 (Acte 6, scène 1, MERCURE)
- Et lui sois-tu l'objet des offres que tu fais. v.1518 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Reviens, qui que tu sois, ou sorcier, ou démon. v.1521 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- L'oserais-tu nier ? Que dis-tu là-dessus, v.1525 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Tu recules poltron, et tu ne parais plus ? v.1526 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Tu l'emportes d'adresse, et sais que mon courage, v.1527 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Lâche, tu disparais, et sais bien l'éviter. v.1530 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Convainquons l'imposture, et conservons mon nom, v.1545 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Cherchons le malheureux, et suivons sa fortune ; v.1548 (Acte 6, scène 1, SOSIE)
- Est un jeu de nature à la honte des yeux. v.1578 (Acte 6, scène 3, PREMIER CAPITAINE)
- À la honte plutôt de la nature même. v.1580 (Acte 6, scène 3, SECOND CAPITAINE)
- Il faut laisser aux Dieux, juger d'une aventure, v.1583 (Acte 6, scène 3, TROISIÈME CAPITAINE)
- Qui ne nous touche point, et passe la nature ; v.1584 (Acte 6, scène 3, TROISI?ME CAPITAINE)
- Quelle étrange aventure égale ce prodige ? v.1588 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Et leur incertitude est encor invincible. v.1616 (Acte 6, scène 4, AMPHITRYON)
- Que veux-tu ? Je suis mort. v.1670 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Mais, me reconnais-tu ? v.1688 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Ne t'abuses-tu point ? v.1689 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Il blesse une vertu, qui n'a point de seconde, v.1700 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- D'un vol impétueux, sur lui se sont lancés. v.1729 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Faire autour de ses bras, cent replis tortueux. v.1734 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Ce seul discours me tue. v.1740 (Acte 6, scène 5, AMPHITRYON)
- Ô Dieux, a-t-elle dit, quelle est cette aventure ? v.1743 (Acte 6, scène 5, CÉPHALIE)
- Et qui la fera croire à la race future ? v.1744 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Et je croyais déjà toucher ma sépulture v.1755 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Dans ce commun débris de toute la nature ; v.1756 (Acte 6, scène 5, C?PHALIE)
- Pour moi j'ai de nature un front capricieux. v.1809 (Acte 6, scène 6, SOSIE)
- Mais, j'ai trop, pour mon bien, partagé l'aventure, v.1811 (Acte 6, scène 6, SOSIE)
LA BAGUE DE L'OUBLI (1635)
- Crois-tu que rien aussi me puisse réjouir ? v.13 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Tu couvres, cher amant, d'une vaine contrainte, v.51 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Mais peux-tu lui ravir le Sceptre sans la vie ? v.64 (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Mais es-tu bien certain que le Duc soit absent ? v.86 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Moi, qui m'estime avoir une âme naturelle, v.95 (Acte 1, scène 2, FABRICE)
- Neptune ouvre son sein aux plus petits ruisseaux, v.122 (Acte 1, scène 3, LILIANE)
- Tu n'auras plus alors de craintes qui t'affligent : v.139 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Trouves-tu pas mon coeur, cet artifice aisé ? v.146 (Acte 1, scène 3, LE ROI)
- Comme la Vertu seule a nos âmes blessées, v.163 (Acte 1, scène , LE ROI)
- La Vertu seulement gouverne nos pensées, v.164 (Acte 1, scène , LE ROI)
- Et deux cerfs abattus sont le fruit de ma peine : v.172 (Acte 1, scène , ALEXANDRE)
- Si Léandre m'est cher, c'est sa Vertu que j'aime : v.235 (Acte 1, scène 6, LÉONOR)
- Et de tous les mortels, le plus défectueux v.237 (Acte 1, scène 6, L?ONOR)
- Me plairait à l'égal, s'il était vertueux. v.238 (Acte 1, scène 6, L?ONOR)
- J'accuserais à tort un vertueux amour, v.241 (Acte 1, scène 6, LE ROI)
- Fait ce me semble un tour plus long que de coutume. v.276 (Acte 2, scène 1, TANCRÈDE)
- Seule tu mets, et nous, et ton estime en proie, v.339 (Acte 2, scène 3, ALEXANDRE)
- Enfin vois-tu quel soin ce Prince prend de moi, v.345 (Acte 2, scène 3, LILIANE)
- Si ta vertu me donne un succès favorable, v.355 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
- Que tu vaux de trésors, que tu m'es adorable ! v.356 (Acte 2, scène 4, L?ANDRE)
- Si tu m'obliges tant, que de l'ôter au Roi : v.358 (Acte 2, scène 4, L?ANDRE)
- Quel crime as-tu commis, pour implorer ce don ? v.382 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- Puisque pour mon sujet aujourd'hui tu les portes : v.400 (Acte 2, scène 6, LE ROI)
- Je n'importune plus votre Majesté, Sire. v.408 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Ô combien j'aime en vous cette noble coutume ! v.411 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Ah parole opportune ! v.423 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- Ne laisse pas, Léandre, échapper la Fortune : v.424 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
- Sire, le plus fidèle est parfois combattu, v.493 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
- Jamais les envieux n'épargnent la vertu, v.494 (Acte 2, scène 7, L?ANDRE)
- Quel écrit ? quelle plume ici m'as-tu donnée ? v.499 (Acte 2, scène 8, LE ROI)
- Qu'espères-tu de moi, qui ne te connais pas ? v.502 (Acte 2, scène 8, LE ROI)
- Me venant attrister, penses-tu qu'on m'oblige, v.515 (Acte 2, scène 8, LE ROI)
- Tu me contes ici de froides rêveries. v.520 (Acte 2, scène 8, LE ROI)
- Enfin reconnais-tu l'infaillible dessein v.527 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- Est le chemin du trône où ma fortune monte. v.530 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- Tu ne sauras jamais parler discrètement. v.539 (Acte 3, scène 1, LILIANE)
- Fabrice ne dit mot ; n'as-tu rien à conter ? v.668 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Quoi ! n'as-tu pas touché les deux mille ducats ? v.671 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Et ne l'avais-tu pas ? v.674 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Tu méprises plutôt ce que je t'ai donné, v.679 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- Si tu l'avais voulu, je te l'aurais signé. v.680 (Acte 3, scène 2, LE ROI)
- En quel lieu de la terre as-tu porté le jour ? v.720 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Tu ne le peux, ma Reine, et cette repentance, v.737 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Enfin, tu m'obéis, si ton coeur se ressent, v.747 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Tu m'as fait, ma Déesse, un meilleur traitement. v.752 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Qu'ils sortent promptement : tu ne saurais, ma Reine, v.809 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- Si tu m'aimes encor, t'affliger de leur peine. v.810 (Acte 3, scène 6, LE ROI)
- As-tu si promptement pu voir le Médecin ? v.832 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Ton mal sera puissant, si tu n'en guéris pas. v.839 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Tu fais de ton honneur encor si peu de compte, v.845 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Faisons sur ce papier des vers à la Fortune, v.849 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Qu'elle se lasse d'être à mes yeux importune, v.850 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Mais la Fortune est femme, et je n'ai point d'argent. v.852 (Acte 3, scène 7, FABRICE)
- Que ce Prince n'a rien de l'humaine nature, v.857 (Acte 4, scène 1, LÉANDRE)
- Qu'il a moins de raison, que n'aurait sa peinture : v.858 (Acte 4, scène 1, L?ANDRE)
- Tu trames ta disgrâce en désobéissant, v.940 (Acte 4, scène 2, LÉANDRE)
- Si tu ne veux là-bas accompagner ce traître. v.942 (Acte 4, scène 2, L?ANDRE)
- Ce métal (cette année) a la vertu si forte, v.1009 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Puisque cette aventure à tout homme est commune, v.1017 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- Sire, il les faut cacher de peur d'autre infortune. v.1018 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- La belle occasion que la Fortune m'offre ! v.1021 (Acte 4, scène 4, FABRICE)
- As-tu l'âme bien saine ? v.1030 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Où rencontreras-tu ces nouveaux Officiers ? v.1032 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Tu réclames en eux tes plus grands ennemis, v.1072 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Il faut user du temps, quand la Fortune l'offre. v.1077 (Acte 4, scène 6, FABRICE)
- Seul tu seras l'objet de toute ma colère. v.1098 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Que tu n'as pas réduit tous ces traîtres en poudre ? v.1102 (Acte 4, scène 6, LE ROI)
- Et pleurez son futur et juste châtiment. v.1128 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Et tu me peux aider en un point seulement : v.1148 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Qu'en ce jeune Seigneur tu mets ton espérance, v.1150 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Que tu n'auras jamais d'autres affections, v.1151 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Suis partout la fortune, et les pas de ce Prince : v.1153 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Je sais ton naturel, et tu ne pourrais pas v.1155 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Cruel, exempte-les de voir mon infortune, v.1165 (Acte 5, scène 1, ALEXANDRE)
- Ne me continue point ces raisons dont tu m'uses, v.1173 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Tu m'aurais affligé de m'être obéissant, v.1175 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- La vertu me fut moins en objet que le vice : v.1198 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Que tiens-tu ? que vois-tu ? l'oeil hâve et le teint blême, v.1261 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Quelle humeur importune, v.1289 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Te porte, malheureux, à troubler ma fortune ? v.1290 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
- Ne me connais-tu pas ? v.1293 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Tu n'en as que trop dit, leur âme ambitieuse v.1305 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Ont voulu sur ma perte établir leur fortune, v.1314 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Vois-tu ce diamant ? v.1315 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Tu vois, chaste beauté, le Soleil que j'adore, v.1325 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- En regardant mes yeux, où tu le peins encore. v.1326 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- La fortune des Rois abonde en tant d'ennuis, v.1343 (Acte 5, scène 7, LE ROI)
- Les râteaux abattus, avons-nous fait assez ? v.1348 (Acte 5, scène 8, LE CAPITAINE)
- Observe le silence, et tu verras merveilles. v.1354 (Acte 5, scène 8, FABRICE)
- Vous savez l'infortune où mes jours sont réduits, v.1359 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- À voir de tant de biens ma fortune comblée. v.1482 (Acte 5, scène 8, ALEXANDRE)
- Mon pieux naturel confirme la sentence, v.1505 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Et toi, qui m'es plus cher que tu ne peux penser, v.1515 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Rends nos coeurs fortunés entre tous les humains, v.1519 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Dont avecques l'amour tu pousses la discorde : v.1522 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
L'HEUREUSE CONSTANCE (1636)
- Cet agréable objet de mon inquiétude, v.32 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- Dieux ! Que tu m'as fait prendre un dessein frénétique ! v.47 (Acte 1, scène 2, ROSÉLIE)
- As-tu vu de quels traits cette belle est pourvue ? v.60 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- As-tu le coeur de chair ? Les as-tu ressentis ? v.62 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- N'as-tu point vu sortir ni mon coeur, ni mon âme ? v.64 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- En connais-tu le genre, as-tu lu dans mon sein ? v.73 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Découvres-tu ma flamme, et sais-tu mon dessein ? v.74 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Crois-tu que la nature ait produit un visage v.75 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Ne les as-tu pas vus ces adorables charmes ? v.83 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Et n'adores-tu pas ces parfaites beautés, v.85 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Pourquoi ne veux-tu pas, me voyant de la sorte, v.87 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Tu dois appréhender que je ne sois connue, v.101 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Toi seule, tu m'as mise au point où me voici. v.103 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- Qu'ils aimaient seulement ma beauté naturelle, v.121 (Acte 1, scène 3, FLORIS)
- Tu me vois exilée en ce pays champêtre, v.129 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Cruel, dois-tu porter ces mots à mes pareilles, v.181 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- Et voudrais-tu bien voir ce que tu me conseilles ? v.182 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- Ne porterais-tu pas un poignard dans mon sein, v.183 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- Qui peut effectuer d'un empire absolu, v.211 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Mais, ce mal est suivi de la pire infortune v.213 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- Qui pouvait jamais être à nos jours importune : v.214 (Acte 1, scène 3, TIMANDRE)
- J'apprends de ce discours ma dernière aventure, v.225 (Acte 1, scène 3, ROSÉLIE)
- C'est que l'on me prépare une étroite clôture ; v.226 (Acte 1, scène 3, ROS?LIE)
- Vous allez à la cour, et vêtu de la sorte ! v.289 (Acte 2, scène 1, PÂRIS)
- Mais, étant arrivés, certaine inquiétude v.293 (Acte 2, scène 1, TIMANDRE)
- As-tu pris le souci de servir mon amour ? v.340 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Viens-tu sur ma blessure apporter le dictame ? v.341 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- As-tu revu l'objet de ma naissante flamme ? v.342 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Peux-tu par tes discours m'en faire le tableau ? v.352 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Connais-tu la prison dont ton coeur est sorti ? v.402 (Acte 2, scène 2, PÂRIS)
- Si tu n'es ébloui par ses moindres attraits, v.405 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si tu ne sens ton coeur percé de mille traits, v.406 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si tu lui peux nier ni tes voeux, ni ton âme, v.407 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si tu peux l'oublier, si tu n'es tout de flamme, v.408 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si les larmes aux yeux tu n'adores les siens, v.410 (Acte 2, scène 2, P?RIS)
- Si tu m'as pu fâcher, c'est par ces longs discours ; v.469 (Acte 2, scène 4, LA REINE)
- Pourras-tu contre un sceptre user de résistance ? v.508 (Acte 2, scène 4, PÂRIS)
- Mais imite celui dont tu portes le nom. v.514 (Acte 2, scène 4, P?RIS)
- Nature en nous formant travaille avec dessein, v.529 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Et, seule de ce rang, tu veux faire estimer v.545 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Que tu nous peux contraindre à l'amour sans aimer. v.546 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Nature quelquefois peut désigner en vain, v.549 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Qui n'eut jamais d'amour, et flatte par coutume. v.568 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Agréable combat ! Que tu m'es important ! v.569 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Ciel ! Qu'ai-je mérité, que tu m'assistes tant ? v.570 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Tu me peux repartir avecque deux paroles ; v.572 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Dis que tu n'aimes pas d'une façon commune v.575 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Et que tu ne veux rien donner à la fortune, v.576 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Que tu veux qu'on te blesse avant que de guérir. v.578 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- Te parlant du brasier que tu ressens si peu, v.581 (Acte 3, scène 1, LE ROI)
- L'amour est bien puissant, mais la fortune aussi. v.594 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Mon frère a reconnu le naturel des femmes ; v.595 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Je t'aime, je t'adore, et, si tu vis constante, v.621 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Tu me fâcherais bien de ne te fâcher point. v.626 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Si mes jours durent trop, si tu veux m'ôter l'âme, v.627 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Tu m'offenses, mon coeur, je te crois si fidèle v.631 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Qu'on ne peut l'être plus, que tu n'es pas plus belle. v.632 (Acte 3, scène 1, ALCANDRE)
- Tu peux bien là-dessus t'assurer de ma foi. v.634 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- S'il te souvient toujours des voeux que tu me fais, v.649 (Acte 3, scène 1, ROSÉLIE)
- Tu n'as pas à fléchir une orgueilleuse amante ; v.684 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Que tu le sois ou non, c'est assez, tu me plais. v.686 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Qui, propres de nature au fait d'une couronne, v.691 (Acte 3, scène 2, PÂRIS)
- Et tu ne dusses plus regarder de cet oeil v.709 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Connais-tu bien le temps, la femme et la fortune ? v.711 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Sais-tu la qualité qui leur est si commune ? v.712 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Possible perdras-tu fortune, femme et temps. v.714 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Tu connais mal un bien dont tu crois bien juger ; v.722 (Acte 3, scène 2, PÂRIS)
- Amour les fait brûler d'une ardeur mutuelle ! v.752 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- Où peux-tu, Lysanor, fonder ce jugement ? v.753 (Acte 3, scène 3, LE ROI)
- N'attaque point ces coeurs que flatte la fortune, v.847 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Et que l'unique peur de tes dards importune ; v.848 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Qu'avec tous ses efforts la fortune me brave, v.867 (Acte 3, scène 3, ALCANDRE)
- Pourquoi me laisses-tu si longtemps en souci ? v.870 (Acte 3, scène 3, ROSÉLIE)
- Tu verras en mon sexe une force infinie. v.880 (Acte 3, scène 3, ROSÉLIE)
- Quoi ! N'estime-tu pas avoir de doux attraits ? v.933 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Qu'en ces lieux étrangers tu vas blesser de coeurs ! v.941 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Tu vas faire brûler toute la Dalmatie : v.943 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Mais que tu feras mal une semblable feinte, v.975 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Et que ton naturel souffrira de contrainte ! v.976 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Car c'est une leçon que nature m'apprit. v.982 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- Si contre mon rivai tu m'obtiens la victoire, v.983 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- As-tu perdu le sens dedans cette province ? v.995 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- Ne me connais-tu pas en ces habits de prince ? v.996 (Acte 4, scène 2, OGIER)
- Tu vois d'un oeil surpris ce changement de choses : v.1003 (Acte 4, scène 2, ALCANDRE)
- Que les rares vertus éblouissent les sens ! v.1041 (Acte 4, scène 4, OGIER)
- Je suis d'un naturel qui s'altère aisément, v.1049 (Acte 4, scène 4, OGIER)
- Préféraient ses vertus aux mérites du Roi. v.1074 (Acte 4, scène 4, ALCANDRE)
- Le Roi, dont tout le monde estime les vertus, v.1077 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Que le ciel t'est prodigue, et la fortune avare ! v.1092 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Avec sa dignité, que n'a-t-il ta vertu. v.1093 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Ou que la méritant ne la possèdes-tu ! v.1094 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Esclave infortuné d'une de mes sujettes, v.1099 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- N'es-tu pas satisfait, tyran impitoyable ! v.1104 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Si tu n'as résolu de me priver du jour, v.1105 (Acte 4, scène 5, LE ROI)
- Argant, quelle infortune à la mienne est pareille ? v.1131 (Acte 4, scène 6, PÂRIS)
- Ah ! Que vous savez mal connaître la fortune, v.1139 (Acte 4, scène 6, ARGANT)
- Son humeur d'obliger n'est pas trop importune ; v.1140 (Acte 4, scène 6, ARGANT)
- Alcandre, aimable objet, tu n'es plus en ces lieux, v.1145 (Acte 4, scène 6, ROSÉLIE)
- Ah ! Que ne peux-tu voir, cher objet de mes voeux, v.1173 (Acte 4, scène 6, ROSÉLIE)
- Qu'ici tu recevrais une preuve assurée v.1175 (Acte 4, scène 6, ROS?LIE)
- Tu verrais que le Roi... mais que veut celui-ci ? v.1177 (Acte 4, scène 6, ROS?LIE)
- Ô la rare vertu que la vertu des hommes ! v.1195 (Acte 4, scène 6, ROSÉLIE)
- Dois-tu paraître entier devant mes yeux confus, v.1200 (Acte 4, scène 6, ROS?LIE)
- Dis-tu qu'ils sont déjà sous l'hymen assemblés ? v.1209 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Leurs regards mutuels me l'apprirent assez ; v.1213 (Acte 4, scène 7, LE MESSAGER)
- « Partagez ma bonne fortune, v.1216 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Et la rigueur du sort ne m'est plus importune. v.1219 (Acte 4, scène 7, ALCANDRE)
- Pourquoi me parles-tu de l'oublier, ce traître ? v.1260 (Acte 5, scène 1, ROSÉLIE)
- Qui penses-tu blâmer des ennuis que je sens ? v.1274 (Acte 5, scène 1, ROSÉLIE)
- Quel envieux démon suscite la fortune v.1312 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- D'offrir à mes regards sa grandeur importune ? v.1313 (Acte 5, scène 2, ROS?LIE)
- La Fortune a vaincu l'Amour. v.1352 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Cruel, viens-tu combler les malheurs de mes jours, v.1360 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- N'as-tu point mérité qu'on te dresse un autel ? v.1373 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Es-tu déjà lassé des faveurs de la Reine ? v.1387 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Ne m'as-tu pas mandé tes nouvelles amours ? v.1392 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Ô dieux ! L'heureux discours que tu me fais entendre ! v.1403 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Tu me vois telle après que devant ton absence ; v.1411 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Ce monarque importun ne me possède point ; v.1413 (Acte 5, scène 2, ROS?LIE)
- Tu peux voir ce qu'il m'offre, et ce que je refuse ; v.1415 (Acte 5, scène 2, ROS?LIE)
- Mais s'il l'est de pensée, tu le seras d'effet. v.1429 (Acte 5, scène 2, ROSÉLIE)
- Qu'à dessein seulement que tu parlasses d'elle ; v.1439 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- À celui qui me dit que tu m'aimes toujours. v.1441 (Acte 5, scène 2, ALCANDRE)
- Sa lettre que tu vois te le témoigne assez. v.1457 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Est-ce là le souci que tu prends de me plaire ? v.1463 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Et n'espères-tu pas un cruel châtiment v.1464 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Rosélie, où cours-tu, ma déesse ? v.1472 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Que peux-tu concevoir, chère et sage parente, v.1490 (Acte 5, scène 3, LA REINE)
- Quelles intentions te peux-tu figurer v.1492 (Acte 5, scène 3, LA REINE)
- Les plus belles vertus s'exercent sans mémoire : v.1538 (Acte 5, scène 4, LA REINE)
- Ne dissimulez point, vertueuse princesse, v.1606 (Acte 5, scène 4, PÂRIS)
- Tu ne saurais m'entendre, et ne t'offenser pas. v.1645 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Alors que tu me fis cet excès de louange, v.1650 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Tu parlais d'une femme, et je parle d'un ange ; v.1651 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Que tu me fais languir ! Rends ma doute éclaircie ? v.1670 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Ô dieux ! Que m'as-tu dit ? Beau chef_d_oeuvre des cieux, v.1672 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Ou tu dois excuser un mal que je répare. v.1683 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
IPHIGÉNIE (1641)
- Non je n'avouerai point, cette lâche écriture v.1 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Conseillère importune, indiscrète nature, v.2 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Et tu n'as point de voix où parle la raison v.4 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Sois sourde à la Nature et soutiens bien mon rang v.11 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Mais songes-tu cruel que ce raisonnement, v.15 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Que le devoir du sang souffre en cette aventure, v.17 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Que le premier des droits est celui de nature, v.18 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Quel siège entreprends-tu, si ta fille est la proie v.21 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Achevons donc Nature, achevons ton dessein v.39 (Acte 1, scène 1, AGAMEMNON)
- Tu l'oiras, allons un peu plus loin. v.92 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Ô nuit rends si tu peux ces lieux encor plus sombres, v.94 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Heureuse ta fortune, heureuse ta vieillesse, v.101 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Il exige de nous que mutuellement v.159 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Par là tu peux juger que j'étais de la presse > v.161 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- L'importune splendeur de ce funeste rang, v.208 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- C'est ce calme importun qui retient la tempête. v.213 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Qui fait sur la nature un si barbare effort, > v.228 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Étourdi donc de cris, et d'importuns propos, v.235 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Nature qui ne peut souffrir que je l'offense, v.246 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Prends ce soin pour ton Roi, prends-le pour la nature, v.253 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Va, mais auparavant entends-en la lecture, v.254 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Hélas en ces malheurs veux-tu qu'on se possède, v.277 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Va tu vois quel Aurore au côteaux d'alentour, v.291 (Acte 1, scène 5, AGAMEMNON)
- Fais tourner contre moi le coup qui m'est futur, v.303 (Acte 1, scène 6, AGAMEMNON)
- Tu le pourras atteindre à quatre pas d'ici. v.323 (Acte 1, scène 7, AGAMEMNON)
- Tu fais trop, et tu sers d'un zèle trop ardent. v.332 (Acte 2, scène 1, MÉNELAS)
- Plus un ami sincère à la fortune amie, v.413 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- C'est un présent des cieux à la vertu fatal, v.503 (Acte 2, scène 2, AGAMEMNON)
- En cela je connais ma mauvaise fortune, v.549 (Acte 2, scène 2, MÉNELAS)
- Dieu futur de la Grèce, ami de tant de Rois, v.567 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- C'est un doux privilège à la basse fortune, v.593 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Que de pouvoir pleurer quand le sort importune, v.594 (Acte 2, scène 3, AGAMEMNON)
- Non il sait qu'il attaque une vertu plus forte, v.641 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Il a su séparer de la vertu commune, v.645 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- La vôtre inébranlable aux coups de la Fortune, v.646 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- C'est sur cette vertu que tant d'illustres âmes, v.649 (Acte 2, scène 3, ULYSSE)
- Et naturellement se contredit soi-même : v.709 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Avec qui la pudeur s'accoutume aisément, v.711 (Acte 3, scène 1, CLYTEMNESTRE)
- Et pour ma lassitude en cet embrassement. v.731 (Acte 3, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Leur source est naturelle et la cause en est injuste. v.741 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Sachant ce que tu dis, tu perdrait cette envie. v.745 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Dépends-tu pas des Dieux. v.747 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Va ce baiser m'afflige et ce regard me tue, v.764 (Acte 3, scène 2, AGAMEMNON)
- Et quand vous lui montrez un naturel si tendre, v.775 (Acte 3, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Comme la flamme l'est au lieu de sa nature, v.788 (Acte 3, scène 3, AGAMEMNON)
- Que tu mets de désordre en l'esprit des mortels, v.844 (Acte 3, scène 4, CLYTEMNESTRE)
- Tu Vois de nos soldats la valeur engourdie, v.865 (Acte 3, scène 5, ACHILLE)
- Il est presque ordinaire naturel à tous, v.898 (Acte 3, scène 5, CLYTEMNESTRE)
- Princesse infortunée ou s'adressent vos pas ? v.918 (Acte 3, scène 6, AMYNTAS)
- Ô Dieux ! De la raison, as-tu perdu l'usage ? v.925 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Secrète loi du sang tendre instinct de nature, v.940 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Que respecterez vous après cette aventure. v.941 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Ce coup qui la tuerait viendrait de votre nom, v.974 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- N'importe qui la tue, ou mon nom ou mon bras : v.1007 (Acte 3, scène 6, ACHILLE)
- C'est une vertu née avec les gens de bien, v.1022 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Pour vous importuner paraître à votre aspect. v.1031 (Acte 3, scène 6, CLYTEMNESTRE)
- Tu dis tout le secret que je n'ose t'apprendre. v.1081 (Acte 4, scène 2, AGAMEMNON)
- Ô nature ! Ô mon sang ! Tu reçois cet affront. v.1098 (Acte 4, scène 3, AGAMEMNON)
- Ce mauvais naturel qui ne respecte rien, v.1111 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Si vous n'avez pour elle un naturel de père, v.1156 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Ayant meurtri leur soeur ayant tué ma fille, v.1181 (Acte 4, scène 3, CLYTEMNESTRE)
- Je mourrai sans regret, mais par une aventure, v.1204 (Acte 4, scène 3, IPHIGÉNIE)
- Qui semble bien contraire aux lois de la nature, v.1205 (Acte 4, scène 3, IPHIG?NIE)
- La mauvaise fortune v.1328 (Acte 4, scène 6, IPHIGÉNIE)
- Outre qu'elle est honteuse est encor importune, v.1329 (Acte 4, scène 6, IPHIG?NIE)
- Avec cette vertu vous me liez les mains, v.1454 (Acte 4, scène 6, ACHILLE)
- Faites aux droits du Ciel céder ceux de nature, v.1468 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Servez le Créateur contre sa créature, v.1469 (Acte 5, scène 1, CALCHAS)
- Quand j'ai considéré ce temple de vertu, v.1485 (Acte 5, scène 1, MÉNELAS)
- Ce vif trône d'amour, si prêt d'être abattu v.1486 (Acte 5, scène 1, M?NELAS)
- Vous coûte ce trésor de vertus et d'appas. v.1494 (Acte 5, scène 1, M?NELAS)
- Vous serez, moins cruel, si vous en tuez deux. v.1570 (Acte 5, scène 1, AGAMEMNON)
- Le coup qui vous tuera fera double homicide. v.1583 (Acte 5, scène 2, CLYTEMNESTRE)
- Il ne me tuera pas. v.1584 (Acte 5, scène 2, IPHIGÉNIE)
- Ô naturel ! Ô douleur vainement combattue ! v.1587 (Acte 5, scène 2, AGAMEMNON)
- Ma constance te cède, et cet abord me tue. v.1588 (Acte 5, scène 2, AGAMEMNON)
- D'un fortuné succès des présages heureux. v.1630 (Acte 5, scène 2, TALTHIBIE)
- Vous me tuez bien plus que ne fera Calchas ; v.1662 (Acte 5, scène 3, IPHIGÉNIE)
- En effet j'ai trouvé votre vertu si rare, v.1683 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ô Dieux ! Vous le voyez, Diane tu le sais, v.1690 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Et révoque un arrêt qui nous tuerait tous deux. v.1694 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Pour ce nouvel Amant, on sait que sa coutume v.1707 (Acte 5, scène 3, ULYSSE)
- À qui ma nourriture a coûté tant de soins, v.1745 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Ma fille, tu vivras malgré ce coup mortel, v.1773 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- Sans trop d'aveuglement et trop d'ingratitude, v.1795 (Acte 5, scène 3, IPHIGÉNIE)
- Je ne saurais douter de votre inquiétude ; v.1796 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Le coup dont je mourrai ne me tuera pas moins. v.1806 (Acte 5, scène 3, IPHIG?NIE)
- Aux dépens de vos jours que pour tuer Achille. v.1832 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Et voir de sa vertu triompher vos attraits, v.1833 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Diane enfin reçois l'offrande que tu veux, v.1845 (Acte 5, scène 3, CALCAS)
- Mais ô rare aventure, ô miracle inouï, v.1857 (Acte 5, scène 3, AGAMEMNON)
- Quelle est cette aventure à nulle autre pareille, v.1863 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Et qu'es-tu devenue adorable merveille : v.1864 (Acte 5, scène 3, ACHILLE)
- Je vis avec plaisir, puisque tu ne meurs pas, v.1901 (Acte 5, scène 3, CLYTEMNESTRE)
HERCULE MOURANT (1636)
- Et tu n'as rien à faire après les faits d'Alcide ; v.10 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Tu n'as plus à tonner ; et le ciel toutefois v.11 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Et, voyant sans effet leurs monstres abattus, v.27 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Et j'ai vu la nature au-delà de mes pas. v.36 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Neptune et ses tritons ont vu d'un oeil timide v.37 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Cet objet importun vient troubler mon repos ! v.60 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Que vos jaloux soupçons offensent sa vertu ? v.79 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Un fort ne se rend point qui n'est point combattu. v.80 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Penses-tu qu'ils m'aient fait des blessures légères, v.110 (Acte 1, scène 2, HERCULE)
- Tu me veux déguiser le sujet de ma crainte ! v.122 (Acte 1, scène 2, DÉJANIRE)
- L'âge lui laisse encor les appas que tu veux, v.135 (Acte 1, scène 2, D?JANIRE)
- Qu'avec moins de travail les mains de la nature v.145 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Ont bien mis sur ton teint de plus douces peintures ! v.146 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Attends qu'au naturel je figure ces lys v.147 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Que tu serais charmée, et qu'en ce beau visage v.149 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Si je gâte ces fleurs, tu les peux corriger, v.151 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Ou, si ce passe-temps, mon coeur, t'est importun, v.155 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Quelle misère encor me dois-tu procurer, v.179 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Tu seras plus contente étant plus amoureuse. v.181 (Acte 1, scène 3, HERCULE)
- Mais vos plus doux baisers auraient de l'amertume ; v.194 (Acte 1, scène 3, IOLE)
- Ô la femme importune ! v.245 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- As-tu vu des vainqueurs plus dignes de régner, v.251 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Accusent cette main d'un stupide repos ! v.256 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Vois si tu dois tenir ma défaite douteuse v.257 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Adieu, plains-toi, jalouse, et de cette aventure v.261 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Accuse, si tu veux, le Ciel et la nature ; v.262 (Acte 1, scène 1, HERCULE)
- Quelque endroit où tu sois en ces champs azurez, v.324 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Et qu'à cette action tu puisses provoquer, v.331 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Change, si tu peux tout, ma figure, et rends moi v.335 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Pourquoi perds-tu du temps à tirer de la terre v.337 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Pourquoi dans les enfers cherches-tu sans effet v.339 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Tu trouveras en moi les armes qu'il te faut, v.343 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Et qui tue en mourant doit mourir satisfait. v.404 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Il ne peut par ses vers finir mon infortune v.429 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Que tu dois m'assurer de ton affection. v.436 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Le sang d'un monstre affreux qu'Hercule a combattu, v.443 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- Conservé dans sa corne, aura cette vertu. v.444 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- De Nesse ; apprends quelle aventure v.445 (Acte 2, scène 2, DÉJANIRE)
- De ce fameux centaure a purgé la nature ; v.446 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Ils t'ôteront la vie et ce que tu me voles. » v.469 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Il aura la vertu de te rendre son âme, v.477 (Acte 2, scène 2, D?JANIRE)
- Tu crois par ces discours, impudente, effrontée, v.509 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- Et tu veux sur sa honte établir ton pouvoir ; v.512 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Tu ne partages pas cette ardeur qui le brûle , v.513 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Ô Ciel ! Peux-tu souffrir les ennuis que je sens, v.515 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Tu portes sans orgueil le nom de sa maîtresse ? v.518 (Acte 2, scène 3, DÉJANIRE)
- Et tu n'achètes pas d'un amour infini v.519 (Acte 2, scène 3, D?JANIRE)
- Ô ciel ! Ô terre ! Ô dieux ! quelle est mon infortune v.537 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Entre ces ennemis tu conserves le jour ? v.548 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Tu diffères la fin d'une vie importune v.549 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Veux-tu point voir Arcas à tes yeux égorgé ? v.551 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Attends-tu qu'en son sein le poignard soit plongé, v.552 (Acte 2, scène 3, IOLE)
- Depuis que sous Alcide il languit abattu, v.575 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Et qu'un vice puissant tient titre de vertu ; v.576 (Acte 2, scène 1, ARCAS)
- Il croit que ma vertu n'a point d'appui que toi, v.592 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Quand tu rendras l'esprit sous l'effort de ses armes. v.594 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Et si tu dois mourir, nomme Iole en mourant ; v.608 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Que tu n'auras objet ni plus cher, ni plus beau, v.611 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Et que tu béniras même notre bourreau. v.612 (Acte 2, scène 1, IOLE)
- Toi, ceints de ce rameau ton front majestueux, v.623 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Et prête à ce devoir un oeil respectueux. v.624 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Aux heures de la nuit éclaire la nature ; v.634 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- La vertu qui me brûle ? Ô tourment sans égal ! v.648 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- De qui l'as-tu reçu ? v.661 (Acte 3, scène 1, HERCULE)
- Alcide meurt sans qu'en cette aventure, v.681 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Le chaos de retour confonde la nature ! v.682 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Tu perds ta sûreté, lorsque tu perds Alcide, v.686 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Si tu sais la terreur que mon nom seul leur donne v.693 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Pour sauver du mépris ma constance abattue, v.717 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Je ne puis exalter l'ennemi qui me tue ; v.718 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Peux-tu, faible Junon, vanter cette journée v.737 (Acte 3, scène 2, HERCULE)
- Ne sent jointures, os, nerf, ni muscle assuré. v.776 (Acte 3, scène 3, DÉJANIRE)
- Ô vent impétueux, signe d'un grand orage ! v.778 (Acte 3, scène 3, D?JANIRE)
- Il meurt par un poison dont la vertu funeste v.813 (Acte 3, scène 4, AGIS)
- Et tu consultes, lâche, après cette nouvelle ? v.826 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- La main qui tue Hercule épargne Déjanire. v.834 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Et, puisque tu peux tout, sois son vengeur aussi. v.836 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Le plus fort que jamais tu dardes sur la terre, v.838 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Dont de tant de géants tu fis si peu de poudre, v.842 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Tu devrais en mon sein porter le coup fatal. v.884 (Acte 3, scène 4, DÉJANIRE)
- La main qui tue Hercule est assez généreuse, v.909 (Acte 3, scène 4, D?JANIRE)
- Mais tu portes le coup, et tu ne parais pas. v.924 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Montrez un esprit fort en un corps abattu, v.971 (Acte 4, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Et que votre douleur cède à votre vertu. v.972 (Acte 4, scène 1, PHILOCT?TE)
- Cent replis tortueux, je ne te priais pas ; v.980 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- N'a, quand j'ai combattu, grondé contre la terre ; v.986 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Soit qu'à ce malheureux tu sois cruel ou doux, v.991 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Du bras dont les Titans autrefois tu défis, v.996 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Si tu crains que ton nom soit tâché de ce blâme, v.997 (Acte 4, scène 1, HERCULE)
- Qu'à d'étranges desseins tu portes la pensée ! v.1018 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Que n'as-tu retenu sur tes affreuses rives v.1029 (Acte 4, scène 2, HERCULE)
- Alcmène infortunée, en quel endroit du monde v.1089 (Acte 4, scène 2, ALCMÈNE)
- Iras-tu regretter ta perte sans seconde ? v.1090 (Acte 4, scène 2, ALCM?NE)
- Quel tourment viens-tu joindre à mes autres douleurs ? v.1099 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Puisque tu fus présent à la fin de sa vie, v.1105 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Ainsi de nos grandeurs la fortune se joue, v.1141 (Acte 4, scène 3, ALCMÈNE)
- Telle est mon aventure et la loi de mon sort, v.1171 (Acte 4, scène 4, HERCULE)
- Quelle fut sa vertu ? v.1193 (Acte 5, scène 1, LUCINDE)
- Et, si tu fus toujours conforme à mon envie, v.1257 (Acte 5, scène 1, PHILOCTÈTE)
- Honorons ses vertus et publions ses faits ; v.1288 (Acte 5, scène 2, AGIS)
- Quelle vertu réside en ce débile sang ? v.1295 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Que tarde leur épreuve, et pourquoi n'as-tu pas v.1319 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Quoi ! Pour le fils d'un dieu tu plains une victime ? v.1325 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Puisque tu ne tiens pas son arrêt équitable. v.1342 (Acte 5, scène 2, ALCMÈNE)
- Tu frapperas Arcas, puisqu'il est dans mon coeur. v.1412 (Acte 5, scène 3, IOLE)
- La vertu ne peut rien où le vice est puissant. v.1423 (Acte 5, scène 3, ARCAS)
- Qu'as tu commis d'injuste et dont tu sois coupable ? v.1425 (Acte 5, scène 3, ARCAS)
- Ô céleste aventure ! Ô glorieux héros ! v.1475 (Acte 5, scène 4, IOLE)
- Rendons à sa vertu des honneurs immortels, v.1487 (Acte 5, scène 4, PHILOCTÈTE)
COSROËS (1649)
- Juge, et témoin commun, tu sais la vérité ; v.81 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Et tu la soutiens trop, pour laisser impunie, v.82 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Avant votre fortune, assurez ma ruine ; v.151 (Acte 1, scène 2, SYROES)
- Je vous suis importun. v.160 (Acte 1, scène 2, MARDESANE)
- Souiller une vertu, dont l'éclat fut si beau ; v.189 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Ô dure destinée, et fatale aventure, v.273 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- J'ai pour moi la raison, le droit, et la nature ; v.274 (Acte 1, scène 3, SYROES)
- Mais, quel effet, au Camp, produit cette aventure. v.297 (Acte 1, scène 4, PALMYRAS)
- Oublier la nature, et maintenir nos droits, v.328 (Acte 1, scène 4, SYROES)
- Qui n'exhale, que feu, que bitume, et que soufre ; v.374 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Que tu m'as cher vendu, le plaisir de régner ! v.380 (Acte 2, scène 1, COSROES)
- Objet de nos encens, Soleil ! tu m'es témoin, v.463 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Vous serez à son règne, un obstacle importun ; v.480 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Je connais sa vertu, c'est mon sang, c'est le vôtre, v.502 (Acte 2, scène 1, SYRA)
- Me le perpétuer, et renaître vivant, v.548 (Acte 2, scène 2, COSROES)
- Vains sentiments de mère, importune tendresse ! v.573 (Acte 2, scène 2, SYRA)
- Et sauvez ma vertu, de l'amour d'une mère, v.602 (Acte 2, scène 2, MARDESANE)
- Contre cette imposture, ô Ciel, prends ma défense. v.669 (Acte 2, scène 3, SYROES)
- Périlleuse vertu ! v.675 (Acte 2, scène 3, MARDESANE)
- Fatale obéissance ! à quoi me résous-tu ? v.676 (Acte 2, scène 3, MARDESANE)
- Tu m'oses, aujourd'hui produire des effets, v.744 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Embrasse ma fortune, ô ma chère Hormisdate, v.746 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Ils ont déjà réglé, toutes mes aventures ; v.782 (Acte 3, scène 1, SYRA)
- Que devient aujourd'hui, votre foule importune ? v.809 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Ne sacrifiez-vous, qu'à la seule fortune ? v.810 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Tu tiens de Syroës, l'ordre de ma prison ! v.839 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Je laisse à la fortune à disposer des choses, v.853 (Acte 3, scène 2, SARDARIGUE)
- Approche, viens, traîne-moi, si tu l'oses ; v.854 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Et d'un coeur abattu, consentir ma prison ; v.859 (Acte 3, scène 2, SYRA)
- Et la pitié, n'est pas la vertu des Monarques ; v.894 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Aider les changements, qu'entreprend la fortune. v.910 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Vous armant de vertu, tout succédera bien. v.931 (Acte 3, scène 3, PALMYRAS)
- Que tu m'aurais, ô sort ! Dans un rang plus obscur, v.935 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Figurent bien, cruel, les soins, que tu nous donnes, v.938 (Acte 3, scène 3, SYROES)
- Il faut que la nature, ou la fortune cède, v.969 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Le pouvoir, tombe mal, en des coeurs abattus ; v.979 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Avec le nom de Rois, prenons-en les vertus ; v.980 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- N'attends point de succès, ô prière importune ! v.1009 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Je ne suis plus maîtresse, où règne la fortune ; v.1010 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Hélas ! à quoi, Nature, obligent tes respects, v.1035 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Quoi que vous hasardiez, je cours même aventure, v.1057 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Nous aurons même couche, ou même sépulture ; v.1058 (Acte 3, scène 4, NARSEE)
- Réglez à votre gré, la fortune publique, v.1069 (Acte 3, scène 4, SYROES)
- Et qu'enfin, notre bonne ou mauvaise aventure, v.1137 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Au souci de ma soeur, commit sa nourriture ; v.1138 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Laissons faire le temps, et voyons l'aventure, v.1153 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- D'un jeu, de la fortune, avecques la nature ; v.1154 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Et son aversion, pour moi si naturelle, v.1169 (Acte 4, scène 1, SYROES)
- Sur ce débile corps, éprouvez les tortures, v.1185 (Acte 4, scène 1, ARTANASDE)
- Et que je m'étudie, à devenir barbare ; v.1254 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Ô père infortuné, demande ton arrêt ; v.1256 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- J'ai son autorité, vainement combattue, v.1257 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Et l'or de ta couronne, est le fer qui le tue. v.1258 (Acte 4, scène 2, SYROES)
- Par votre hymen futur, je vous crois souveraine ; v.1264 (Acte 4, scène 3, SARDARIGUE)
- Qui m'ose proposer, cette fausse vertu, v.1305 (Acte 4, scène 4, NARSEE)
- Votre ennui m'attendrit ; ô Nature, il est temps, v.1309 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- Que tu mettes au jour, un secret de vingt ans ; v.1310 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- Que tu sois révérée, au sang, où tu dois l'être, v.1311 (Acte 4, scène 4, PALMYRAS)
- Qu'en son inquiétude, incertain et confus, v.1321 (Acte 4, scène 5, ARTANASDE)
- Et ceux, qu'en son parti, sa fortune intéresse ; v.1328 (Acte 4, scène 5, PALMYRAS)
- J'ai, si tu l'as ouï, souhaité ma franchise, v.1365 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Si sujet de mon fils, tu survivais ma mort ; v.1380 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Chaque trait m'en punit, chaque regard m'en tue, v.1405 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Ne crains point, leurs conseils iront où tu prétends ; v.1416 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Vivant, de son crédit, tu craindrais les effets ; v.1439 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Reine est ma qualité, quand tu sais qu'elle est vaine ! v.1442 (Acte 5, scène 2, SYRA)
- Contre un droit naturel, quel père m'est contraire ? v.1482 (Acte 5, scène 3, SYROES)
- Une grande vertu, dans un grand désespoir. v.1496 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Au splendide mépris, des droits, de la nature, v.1533 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- Je ne vous cèle point, que si quelque aventure, v.1534 (Acte 5, scène 3, MARDESANE)
- J'admire la vertu, qu'un sceptre vous apporte, v.1553 (Acte 5, scène 4, PALMYRAS)
- Ô Nature ! v.1565 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Par les chemins communs, et les sentiers battus. v.1567 (Acte 5, scène 4, PALMYRAS)
- Ha ! j'ai trop pratiqué, vos barbares vertus, v.1568 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Ô toi, dont la vertu, mérita son amour ! v.1579 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Ma mère ? Hélas ! quel fruit, en as-tu mis au jour ! v.1580 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Que n'as-tu dans ton sein, causé mes funérailles, v.1581 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Et contre la nature, écouté la fortune ; v.1594 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- J'ai fait de ma tendresse, une fausse vertu ; v.1595 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- À l'objet d'un État, mon lâche sang s'est tu ; v.1596 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- La nature se tait, et le sang délibère ; v.1598 (Acte 5, scène 4, SYROES)
- Ô Nature ! et vous Dieux ses auteurs ? v.1603 (Acte 5, scène 5, COSROES)
- Seigneur, daignez m'entendre ? ô nature ! et vous Dieux ? v.1615 (Acte 5, scène 5, SYROES)
- Traître, joins-tu la fourbe, à l'inhumanité ? v.1639 (Acte 5, scène 5, COSROES)
- Vous deviez imposer silence, à la Nature, v.1661 (Acte 5, scène 6, SYROES)
- Il faut pour tant de force, une vertu trop dure. v.1665 (Acte 5, scène 6, SYROES)
- N'augurons point, Seigneur, de sinistre aventure ; v.1666 (Acte 5, scène 6, PHARNACE)
- Je suis sinon sa fille, au moins sa créature, v.1689 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
- Et du moins à ses soins, je dois ma nourriture ; v.1690 (Acte 5, scène 7, NARSEE)
LA BELLE ALPHRÈDE (1639)
- En vain tu suis les lois d'un enfant obstiné, v.3 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Et leur pouvoir détruit quelque effort que tu tentes ; v.6 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Neptune écume encor de la rage homicide v.9 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- À peine as-tu sur l'eau ses vaisseaux aperçus, v.11 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- J'avais bien vu d'Amour de diverses peintures, v.21 (Acte 1, scène 1, CLÉANDRE)
- Et j'avais bien jugé par beaucoup d'aventures, v.22 (Acte 1, scène 1, CL?ANDRE)
- Tu sais que le Soleil a fait deux fois son cours, v.71 (Acte 1, scène 1, ALPHRÈDE)
- Juge, quelle je fus, si tu sais quelle rage, v.101 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Mais Dieux en quel état, et dans quelle aventure, v.113 (Acte 1, scène 1, ALPHR?DE)
- Quel Dieu, brave guerrier, quelle heureuse fortune, v.137 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Me suscite en ce lieu, ta rencontre opportune, v.138 (Acte 1, scène 4, RODOLPHE)
- Ce bras, qu'en ce combat tu croyais te servir v.151 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Et tu me raviras ce que je t'ai sauvé v.163 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Si tu vois que des miens il tombe quelques larmes, v.189 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Tu sais, combien légers sont les coups de mes armes, v.234 (Acte 1, scène 4, ALPHRÈDE)
- Comme ils sont sans effet, tu les attends sans peur, v.235 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Alphrède, (et tu le sais) ne peut frapper au coeur ; v.236 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Tu pleureras la mère, et tu riras au fils ; v.256 (Acte 1, scène 4, ALPHR?DE)
- Et j'ai toujours appris qu'en pareille aventure v.277 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Ce sont des vérités, que nous dit la nature. v.278 (Acte 2, scène 1, AMYNTAS)
- Tu sais que de nos bords tirant vers l'Angleterre, v.289 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Tu sais, dis-je, qu'alors, cherchant à ma franchise, v.293 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- L'effort impétueux d'une horrible tempête v.297 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Tu sauras le sujet qui me l'a fait mander. v.304 (Acte 2, scène 2, AMYNTAS)
- Avec quelle vertu verrait-on la mort même ? v.310 (Acte 2, scène 3, FERRANDE)
- Mais puisque à vos désirs la Fortune est fatale, v.334 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Ô père fortuné ! Le plus heureux des hommes, v.389 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Cet instinct naturel qu'à l'abord on sent naître, v.413 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Éprouvons sa vertu ; v.427 (Acte 2, scène 3, AMYNTAS)
- Fut jamais messager de si douce aventure ? v.434 (Acte 2, scène 4, AMYNTAS)
- La plus avantageuse, et célèbre fortune, v.473 (Acte 2, scène 5, ALPHRÈDE)
- Achetée à ce prix, me serait importune. v.474 (Acte 2, scène 5, ALPHR?DE)
- Quoi tu peux au malheur joindre la vanité ? v.475 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Tu l'es assez de toi, l'étant de ton orgueil, v.479 (Acte 2, scène 5, AMYNTAS)
- Mais peux-tu lâche sang reconnaître si tard, v.528 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Un instinct naturel ne te nomme-t-il pas, v.543 (Acte 2, scène 6, ACASTE)
- Ô moment fortuné sur tous ceux de ma vie ! v.546 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Quelle est cette aventure ? Ô Dieux ! La puis-je croire ? v.549 (Acte 2, scène 6, ALPHR?DE)
- Tu sais, que redoutant la fureur des Gaulois, v.551 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Mais tu sais quel orage v.557 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Tu me fus arrachée, et la même rigueur v.563 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Je sais de tes amours la suite infortunée, v.605 (Acte 2, scène 6, AMYNTAS)
- Ce plaisir qui m'importe et que tu me peux rendre : v.662 (Acte 2, scène 6, ALPHRÈDE)
- Mais je crains pour Alphrède une triste aventure ; v.698 (Acte 3, scène 1, CLÉANDRE)
- Viens-tu nous annoncer, ou la mort ou la vie ? v.718 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Lui, pour comprendre en peu cette triste infortune, v.769 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Devenu plus ardent, sans cesse l'importune ; v.770 (Acte 3, scène 2, FERRANDE)
- Pernicieuse amour, et fille infortunée. v.798 (Acte 3, scène 2, CLÉANDRE)
- Tu juges bien hélas ! Que conserver mes jours v.847 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Tu sais que les remords sont d'assez fortes armes, v.849 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Tu veux, cruel, tu veux que son ombre sanglante, v.853 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Par tout ce beau débris des vertus, et des grâces. v.862 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- As-tu du sang d'Alphrède assouvi ton envie ? v.873 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Viens-tu joindre à sa mort la perte de ma vie ? v.874 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tu peux former encor d'amoureux sentiments ! v.887 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Toi qui vis le chaos enfanter la nature, v.889 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- De celui que tu fus, vivante sépulture, v.890 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tu relèves d'Amour, tu révères ses lois ! v.892 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tu feins, tu feins l'ardeur qu'on croit qui te consomme, v.893 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Que quand tu veux passer au nombre des mortels, v.896 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Et qu'un coeur a besoin d'une forte vertu, v.903 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Pour ne lui céder pas, en étant combattu ! v.904 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Elle sera sensible aux ardeurs que tu sens, v.908 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tu l'as bien su troubler barbare, impitoyable v.913 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Bourreau de la vertu, Monstre aux yeux effroyable, v.914 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Qui de ce que tu fus n'es plus que les ruines, v.918 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Tu l'as bien su troubler le repos de sa vie, v.921 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Il tend vers l'Angleterre, où pour toute aventure, v.929 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Il va les yeux bandés marquer sa sépulture, v.930 (Acte 3, scène 3, RODOLPHE)
- Il est bien moins cruel, que tu n'es inhumain, v.951 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- De cet objet d'amour, tu t'étais assouvie, v.954 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Tu serais pardonnable, on voit des trahisons, v.955 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Et mon ingratitude a des comparaisons ; v.956 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Mais tu ne voulais pas pouvoir être égalée v.957 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Parents infortunés, toi Thyeste qui fis v.971 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Tu parles misérable ! v.990 (Acte 3, scène 5, ÉRASTE)
- Tu ne peux insolent me frustrer de ce prix v.999 (Acte 3, scène 6, ÉRASTE)
- Tutélaires Démons, protecteurs de ma vie, v.1009 (Acte 3, scène 6, EURYLAS)
- Contez-nous seulement quelle est cette aventure. v.1014 (Acte 3, scène 6, ACASTE)
- Ma fille, quel respect, quel devoir de nature v.1081 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Quelle est cette aventure ; v.1082 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- D'elles tu tiens l'honneur, d'elles je tiens la vie ; v.1086 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Mais la vertu mon père est le prix de soi-même, v.1090 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Ma curiosité, sans vous être importune, v.1097 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Se peut-elle informer quelle est votre fortune ? v.1098 (Acte 3, scène 8, EURYLAS)
- Aventure cruelle ! v.1113 (Acte 3, scène 8, ORANTE)
- Il n'était créature à qui plus justement, v.1127 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Mais quand ma liberté devrait t'être importune, v.1129 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Là, sans élection chacun suit sa nature ; v.1141 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Chacun s'y laisse prendre, et prend à l'aventure, v.1142 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Si tu n'es amoureux, je n'eus jamais d'amour. v.1200 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- Voudrais-tu (le pouvant) acheter ses caresses ? v.1202 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- Mes voeux, mes soins, mes pas, et si tu veux ma vie, v.1206 (Acte 4, scène 1, ACASTE)
- Ainsi que d'un dessein, où tu n'as point de part, v.1220 (Acte 4, scène 1, ALPHRÈDE)
- Tu gagneras beaucoup, ayant peu hasardé, v.1223 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- Te pourras-tu résoudre à brûler de ces flammes, v.1225 (Acte 4, scène 1, ALPHR?DE)
- Enfin, importune contrainte, v.1245 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Ce feu que je crus de nature, v.1263 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- À ne nous brûler qu'en peinture, v.1264 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- La vertu que tu suis, est un défaut de l'âge, v.1368 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- De quoi me parles-tu ? Quelle est ta rêverie, v.1379 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- Que veuve avant l'hymen, tu veuilles que je rie ? v.1380 (Acte 4, scène 4, ISABELLE)
- Naissent de la coutume et non de nos douleurs, v.1382 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Déjà cent languissants invoquent la fortune, v.1395 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Chacun pour vous parler, en foule m'importune ; v.1396 (Acte 4, scène 4, ORANTE)
- Quel sort est en bontés égal à ma fortune ! v.1455 (Acte 4, scène 6, ACASTE)
- Que fais-tu ? Parle un mot en faveur de nos voeux. v.1466 (Acte 4, scène 6, ORANTE)
- Tu n'y travailles pas avec trop de souci. v.1470 (Acte 4, scène 6, ORANTE)
- La Fortune et le Ciel sont enfin pour Alphrède, v.1472 (Acte 4, scène 6, ALPHRÈDE)
- Faites effectuer aux parents d'Isabelle v.1487 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Alphrède me veut seule, et sa fortune est telle, v.1499 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Je le rends en ses mains, sans risque, et sans fortune, v.1523 (Acte 5, scène 1, FERRANDE)
- Que tu lui prescriras, v.1538 (Acte 5, scène 1, RODOLPHE)
- Celui-là te ressemble, Orante infortunée, v.1555 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Cet importun penser dont mon sexe s'offense, v.1560 (Acte 5, scène 2, ORANTE)
- Tu me pourrais haïr autant que la mort même, v.1609 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Je ne te puis nier, et tu le vis possible, v.1627 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Tu me plus dès l'abord, et presque en même jour v.1637 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Et quand tu t'es offert, ta recherche en effet v.1645 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- De quel oeil verrais-tu mon infidélité ? v.1650 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- De qui tu peux juger qu'elle serait suivie. v.1652 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Et que résoudrais-tu, si dans ce désespoir v.1653 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Tu pardonnerais donc en pareille aventure, v.1667 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Sors, importun secret, sors enfin de mon sein ; v.1670 (Acte 5, scène 3, ACASTE)
- Que me voulais-tu dire ? Achève, mon souci. v.1673 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- S'il retarde longtemps cette heureuse aventure, v.1690 (Acte 5, scène 6, ACASTE)
- Certes autant de fois que cette inquiétude v.1721 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Me peint ta passion, et mon ingratitude, v.1722 (Acte 5, scène 7, RODOLPHE)
- Oui, tu me dois raison de la plus belle vie, v.1749 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Lâche, tu prouves mal l'ardeur qui te transporte, v.1793 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Et le bien t'est mal dû, que tu défends si mal, v.1796 (Acte 5, scène 9, RODOLPHE)
- Toi, si tu ne te hais, et si tu n'as envie v.1845 (Acte 5, scène 10, RODOLPHE)
- Tu lui plus, tu me plais, et si tu l'as aimée, v.1921 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- J'ose bien me vanter que tu m'as estimée. v.1922 (Acte 5, scène 11, ALPHR?DE)
- Si tu ne peux m'aimer, que le poignard au sein, v.1947 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- Je suis ce que tu veux, prends ce que tu demandes, v.1966 (Acte 5, scène 11, ALPHRÈDE)
- Je crains qu'en ton excès tu ne me sois funeste. v.1970 (Acte 5, scène 11, RODOLPHE)
DON BERNARD DE CABRERE (1647)
- Et me font défier l'orgueil de la fortune. v.14 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Au lieu qu'une fortune à mille autres seconde ; v.37 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- À voir de quels dédains la fortune me traite, v.49 (Acte 1, scène 1, LAZARILLE)
- Ô Négligence insigne ! Et surprise importune ! v.69 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- J'ai joint si peu de soin, à si peu de fortune ? v.70 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Et de ces grands succès lui faisant des peintures, v.89 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Sans nous manifester, contons nos aventures ; v.90 (Acte 1, scène 1, DON LOPE)
- Me viens-tu prononcer l'arrêt de mon trépas ? v.124 (Acte 1, scène 4, LE SECRÉTAIRE)
- Enfin tu seras lasse, ô cruelle fortune ! v.145 (Acte 1, scène 4, DON LOPE)
- De me persécuter et de m'être importune ; v.146 (Acte 1, scène 4, DON LOPE)
- Mais au trouble importun, dont j'étais diverti, v.179 (Acte 1, scène 4, LE ROI)
- Et si tu veux qu'encor quelque attente me flatte, v.193 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Et de quelques efforts que je sois combattu, v.215 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- N'ai pas assez d'amour pour manquer de vertu. v.216 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Vient plus de vos vertus, que de votre Couronne ; v.230 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Et c'est pour un Monarque une vertu sublime, v.241 (Acte 1, scène 5, LE COMTE)
- Ce mot, grand Roi, s'il ne vous importune, v.253 (Acte 1, scène 6, DON LOPE)
- Ô la dure vertu, que tant de patience ! v.262 (Acte 1, scène 7, LAZARILLE)
- À mes mains la fortune , en ait commis le soin ; v.268 (Acte 1, scène 8, LE ROI)
- Que puis-je désormais craindre de la fortune, v.273 (Acte 1, scène 8, LÉONOR)
- Si me terrassant même elle m'est importune ; v.274 (Acte 1, scène 8, L?ONOR)
- Rebutez, méprisez, tuez dans une lettre, v.281 (Acte 1, scène 8, LE ROI)
- Ô l'importun métier, que celui de la Cour ! v.300 (Acte 1, scène 9, LAZARILLE)
- Qu'est-ce ci ? Quelque trait encor de la fortune ! v.302 (Acte 1, scène 9, LAZARILLE)
- La fortune nous traite avec trop d'injustice, v.322 (Acte 1, scène 9, DON LOPE)
- Veut tourner lâchement le dos à la fortune, v.331 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Après une si longue, et si triste aventure, v.334 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Après tant de malheurs, et de cette nature ; v.335 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Ils veulent quelquefois des devoirs importuns, v.341 (Acte 2, scène 1, DON BERNARD)
- Votre heur et vos vertus, vous la peuvent donner, v.380 (Acte 2, scène 1, DON LOPE)
- Guérir ma lassitude, et charmer mon sommeil ; v.401 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Par eux l'âme s'élève, et la vertu s'excite ; v.407 (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
- Et qu'enfin quelque éclat dont il soit revêtu, v.416 (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
- Son rang sera toujours moindre que sa vertu. v.417 (Acte 2, scène 2, LE COMTE)
- Lui va comme mon coeur, partager ma fortune, v.423 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Et qui d'affection aura mieux combattu, v.448 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Je ne me lasserai qu'après votre vertu ; v.449 (Acte 2, scène 3, LE ROI)
- Cette sèche forêt, eut enfin de Neptune, v.458 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- L'inconstante faveur, à tel point opportune, v.459 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Des siècles à venir, futur étonnement, v.516 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Si chez vous la vertu peut trouver quelque asile, v.526 (Acte 2, scène 3, DON BERNARD)
- Voilà votre vertu dignement reconnue ; v.568 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Que veux-tu ? Ma raison elle-même, v.571 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Non tu n'es point pour moi, ( dure fatalité ) ! v.573 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Par ton propre dessein, tu nous es redoutable ; v.576 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Tu ne me heurtes point par un aveugle effort ; v.578 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- À qui tu veux du mal, tout travail est sans fruit : v.582 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Si tu suivais pour moi, l'ordre commun des choses, v.584 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Mais tu l'enfreins barbare, et pour moi seulement, v.585 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Et toute la nature en vain leur veut aider, v.597 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- Tandis que de fortune éprouvant l'autre face, v.619 (Acte 2, scène 5, DON LOPE)
- Il est vrai que jamais vertu n'avait produit, v.629 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- Don Bernard en a fait la peinture si belle ; v.632 (Acte 2, scène 5, LE COMTE)
- D'avoir pour la vertu recours à la faveur ! v.646 (Acte 2, scène 5, DON LOPE)
- De quoi me flattes-tu chère confusion ? v.664 (Acte 2, scène 6, DON LOPE)
- La plus belle vertu n'est pas la plus austère ; v.682 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Mon coeur déjà touché de ses vertus insignes, v.753 (Acte 3, scène 1, L'INFANTE)
- Je ne sais quel mépris stupide ou généreux, v.808 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Mais comme ses vertus charment toute la Cour ; v.817 (Acte 3, scène 3, LÉONOR)
- Tu peux de Don Bernard imiter l'écriture, v.822 (Acte 3, scène 3, L?ONOR)
- Fais-moi de son amour une vive peinture, v.823 (Acte 3, scène 3, L?ONOR)
- Et pour qui puis-je mieux, ( ô frayeur importune ! ) v.846 (Acte 3, scène 4, LE SECRÉTAIRE)
- Que pour qui la soutient, hasarder ma fortune ? v.847 (Acte 3, scène 4, LE SECR?TAIRE)
- Ce genre d'écriture, à qui tu peux vanter v.856 (Acte 3, scène 4, LE SECR?TAIRE)
- Voyons traître, à quoi tu peux prétendre. v.879 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Perfide ! Quelle foi veux-tu que j'en présume ? v.882 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Si tu me peux tramer ce détestable tour, v.906 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Et si tu m'es perfide en un crime d'amour ; v.907 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- C'est là ce zèle ardent que tu faisais paraître ? v.908 (Acte 3, scène 5, LE ROI)
- Si rencontre, Amiral, fut jamais opportune, v.956 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Faites voir aujourd'hui quelle est votre fortune ; v.957 (Acte 3, scène 8, LE ROI)
- Je ne me prévaudrai dans aucune aventure, v.964 (Acte 3, scène 8, DON BERNARD)
- Que de la qualité de votre créature ; v.965 (Acte 3, scène 8, DON BERNARD)
- Qu'a permis ma fortune ? Avez-vous vu le Roi ? v.972 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Livré seul en otage aux mains de la fortune, v.990 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- J'en présume pour vous quelque grande aventure v.1005 (Acte 3, scène 9, DON BERNARD)
- Attaque la plus noble et plus rare vertu, v.1027 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Dont jamais conquérant ait été revêtu ? v.1028 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Quelque important dessein qu'eut pour moi la fortune, v.1029 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Je tiendrais sa faveur à ce prix importune ; v.1030 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Et suivant de l'honneur l'ordonnance importune, v.1045 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Je manque un rendez-vous, d'où dépend ma fortune. v.1046 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Et suivons la vertu pour l'amour d'elle-même. v.1050 (Acte 3, scène 9, DON LOPE)
- Et que de vos rigueurs mon esprit combattu, v.1103 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Est forcé d'exercer une austère vertu. v.1104 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Ô raison incommode ! Importune maxime ! v.1110 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- Et dans l'inquiétude où je languis pour vous, v.1123 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
- À sa réception sa vertu vous invite. v.1157 (Acte 4, scène 3, L'INFANTE)
- Tu m'opposes amour, une forte adversaire, v.1161 (Acte 4, scène 3, LÉONOR)
- Ô vainqueur fortuné que le ciel me destine ! v.1282 (Acte 4, scène 4, LÉONOR)
- Ce que vous avez dit, et que vous avez tu, v.1284 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- M'apprend de ce soldat, le nom et la vertu ; v.1285 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Puisque ma passion après tant d'aventures, v.1314 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Comme votre vertu doit être sans mesures. v.1315 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Ne fût une vertu que pour nous seulement ; v.1333 (Acte 4, scène 6, DOROTHÉE)
- S'ils refusent des voeux à des voeux mutuels, v.1336 (Acte 4, scène 6, DOROTH?E)
- Quelque malheur dont je sois combattu, v.1384 (Acte 4, scène 7, DON LOPE)
- Un fort espoir renaît à ma faible vertu ; v.1385 (Acte 4, scène 7, DON LOPE)
- J'ai bien cru que du ciel la justice future, v.1402 (Acte 4, scène 7, DON BERNARD)
- Vous devrait réserver quelque haute aventure ; v.1403 (Acte 4, scène 7, DON BERNARD)
- Au moins tuant l'amour, épargne l'amitié ; v.1409 (Acte 5, scène 1, DON BERNARD)
- De ce beau basilic, qui charme, mais qui tue. v.1423 (Acte 5, scène 1, DON BERNARD)
- Vous rêviez, et j'ai cru que quelque inquiétude, v.1426 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Vous obligeait, Madame, à cette solitude. v.1427 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Et c'était le sujet de mon inquiétude. v.1446 (Acte 5, scène 2, L'INFANTE)
- Mon plus ardent désir et ma plus chère étude, v.1447 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- Un trésor préférable à toute ma fortune, v.1466 (Acte 5, scène 2, DON BERNARD)
- À l'ardeur de vos feux mon âme accoutumée v.1502 (Acte 5, scène 4, DON LOPE)
- La vertu rebutée après tant de mépris, v.1536 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Si je vous proposais une vertu vulgaire, v.1539 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Passe, que me veux-tu ? v.1556 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- À quelle épreuve ô Cieux ! Mettez-vous ma vertu ? v.1557 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Pour avoir si bien fait notre fortune est grande, v.1562 (Acte 5, scène 5, DON LOPE)
- Dedans les sentiments que sa vertu m'inspire, v.1590 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Tenez votre fortune est en haute posture, v.1626 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Ô le divin objet ! L'aimable créature ! v.1627 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- D'un art mal agencé le plâtre et la peinture, v.1654 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- Sur sa pendante joue ont caché la nature : v.1655 (Acte 5, scène 8, LAZARILLE)
- N'offres dans les malheurs dont je suis combattu, v.1676 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Ni secours, ni soutien à ma faible vertu : v.1677 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Me pourrait arrêter, quand tu m'es si connue ? v.1687 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- Lâche de mon affront veux-tu porter les marques. v.1697 (Acte 5, scène 8, DON LOPE)
- En ma protection bornez votre fortune ; v.1702 (Acte 5, scène 8, DON BERNARD)
- Ô fatale aventure ! v.1705 (Acte 5, scène 8, DON BERNARD)
- De la haine du sort effroyable peinture ! v.1706 (Acte 5, scène 8, DON BERNARD)
- Première créature, et second Potentat ; v.1712 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Je n'aime pas en vous une vertu vulgaire, v.1734 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- Puisque tous mes travaux et futurs et passés. v.1755 (Acte 5, scène 9, DON BERNARD)
- Dont la seule valeur égale l'infortune. v.1782 (Acte 5, scène 10, DON BERNARD)
- Sa dernière infortune est encor son absence ; v.1790 (Acte 5, scène 10, DON BERNARD)
LE FILANDRE (1637)
- Aux soucis importuns d'une soeur curieuse. v.22 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Et tu feras tes jeux du dessein que je fais : v.24 (Acte 1, scène 2, TH?ANE)
- Tu riras de ma honte et de ma vanité. v.27 (Acte 1, scène 2, TH?ANE)
- Puis-je, car tu m'as crue, et tu sais trop que j'aime, v.29 (Acte 1, scène 2, CÉPHISE)
- Et tu fais lâcheté de chérir qui t'adore ! v.34 (Acte 1, scène 2, C?PHISE)
- Songe à mon changement, et plains-moi si tu sais v.35 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Veux-tu que ma raison, si longtemps absolue, v.37 (Acte 1, scène 2, TH?ANE)
- Ma fortune est meilleure, et j'ai cet avantage v.49 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- La nature pour nous lui prescrit des regrets v.55 (Acte 1, scène 2, TH?ANE)
- La nature l'oblige à cette complaisance. v.62 (Acte 1, scène 2, CÉPHISE)
- Comme tu vois pour toi son coeur inaccessible, v.77 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Nérée en est chérie, et ses voeux mutuels v.79 (Acte 1, scène 2, CÉPHISE)
- Tu me retrouveras sous ces feuillages verts, v.107 (Acte 1, scène 2, THÉANE)
- Joignons, si tu me crois, le repos à l'amour ; v.119 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Je soupire pour lui, tu soupires pour elle ; v.126 (Acte 1, scène 3, C?PHISE)
- Si tu veux m'assister... v.145 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Importunant ton frère ? v.147 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Filandre, heureux ami, que tu m'es favorable ! v.154 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Tu peux faire à mes maux succéder les délices. v.158 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Tu feras de Thimante un objet de sa haine : v.166 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- J'aurai trahi mon frère, et tu m'auras rendu v.167 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Par un office égal ce que tu m'auras dû. v.168 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Mais, tout se découvrant, réponds-tu de mon crime ? v.182 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- As-tu quelque papier ? Tire-le de ta poche ; v.185 (Acte 1, scène 3, CÉPHISE)
- Tu verras ce dessein réussir comme il faut. v.188 (Acte 1, scène 3, C?PHISE)
- Insensible beauté, tu la romps, et ta main v.195 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Ô ciel ! Peux-tu souffrir ?... v.199 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Ô dieux ! Combien je hais cet amant importun ! v.203 (Acte 1, scène 4, THÉANE)
- Tu m'offenses, ma soeur : quelle injuste croyance, v.233 (Acte 1, scène 4, THÉANE)
- T'es-tu dessus ma foi fiée à tes dépens, v.235 (Acte 1, scène 4, TH?ANE)
- Et parlé-je de rien si tu me le défends ? v.236 (Acte 1, scène 4, TH?ANE)
- Mais j'ai trop dit ; adieu, ce discours m'importune. v.238 (Acte 1, scène 4, CÉPHISE)
- Achève-le pourtant, tout importun qu'il est ; v.239 (Acte 1, scène 4, THÉANE)
- Tu sembles me chérir d'une ardeur si parfaite, v.241 (Acte 1, scène 4, TH?ANE)
- Et tu pourrais, ma soeur, être amie et secrète ! v.242 (Acte 1, scène 4, TH?ANE)
- Ou tu contenteras mon esprit sur ce point. v.244 (Acte 1, scène 4, TH?ANE)
- Que tu m'as témoigné pour cet indigne amant. v.248 (Acte 1, scène 4, CÉPHISE)
- Que tu me verras sourde à sa lâche prière. v.250 (Acte 1, scène 4, C?PHISE)
- Que dis-tu là-dessus ? Vante son amitié, v.252 (Acte 1, scène 4, C?PHISE)
- D'importuner de voeux une orgueilleuse amante ? v.266 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Crois-tu la disposer à recevoir ta foi ? v.267 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Il change tout le monde, et tu penses qu'un coeur v.271 (Acte 1, scène 5, THIMANTE)
- Il peut tout sur nos corps, il détruit la nature ; v.273 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- On ne peut éviter sa défaite future : v.274 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Tu le connais assez. v.279 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Peux-tu prétendre encor le bien qu'elle te nie, v.281 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Et crois-tu vaincre un jour sa rigueur infinie ? v.282 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Où vas-tu, malheureux ? Adresse ailleurs tes pas ; v.295 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- « Ma soeur, m'a-t-elle dit, cet importun amant v.303 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Mon dessein n'a point fait son ardeur importune, v.305 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Et je ne réponds point des coups de la fortune : v.306 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Tâche de m'exempter de l'importunité v.307 (Acte 1, scène 5, C?PHISE)
- Invente, si tu peux, des moyens salutaires ; v.313 (Acte 1, scène 5, CÉPHISE)
- Que dis-tu là-dessus ? v.333 (Acte 2, scène 1, CÉLIDOR)
- Tu ne peux toutefois partager ses douleurs, v.343 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Et tu vois d'un oeil sec ses yeux mouillés de pleurs. v.344 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- L'aimes-tu malheureuse et triste comme elle est, v.347 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Et la fais-tu souffrir parce qu'elle te plaît ? v.348 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Veux-tu qu'un même coeur souffre un double martyre, v.349 (Acte 2, scène 1, CÉLIDOR)
- Connais-tu bien Nérée ? v.353 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- Elle brûle pour toi ? Tu possèdes son âme ? v.357 (Acte 2, scène 1, FILANDRE)
- As-tu pu rebuter ce malheureux amant ? v.376 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Que me dis-tu, Filandre ? v.377 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Qu'est-ce que tu me dis ? v.381 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Quand tu feins d'ignorer ce que je veux savoir. v.388 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Tu n'oses témoigner que ce malheur te touche ; v.390 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Tu veux à ton regret joindre la vanité. v.392 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Que tu fais l'ignorante ! v.393 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- As-tu pour Célidor une âme indifférente ? v.394 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Cruelle, trouvais-tu son service ennuyeux, v.395 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Que tu me fais languir ! Au nom d'Amour, Filandre, v.397 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- J'ignore le sujet des discours que tu fais : v.399 (Acte 2, scène 2, N?R?E)
- Peux-tu, dissimulée, ignorer que Céphise v.401 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Ô dieux ! Que me dis-tu ? v.403 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Comment, tu n'en sais rien ? v.403 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Tu n'as pas de ton crime autorisé le sien ? v.404 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Dans peu tu sauras tout : parle-lui seulement. » v.416 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Que tu n'oses fier à ma discrétion. v.420 (Acte 2, scène 2, FILANDRE)
- Tu m'obliges, Filandre, et cet heureux avis v.431 (Acte 2, scène 2, NÉRÉE)
- Tu trembles, tu pâlis... Dieux ! Qu'est-ce que je vois ? v.471 (Acte 2, scène 3, CÉLIDOR)
- Tu tremblais à ma vue, et ta face est pâlie ! v.478 (Acte 2, scène 3, CÉLIDOR)
- Peux-tu voir sa beauté me trahir, et le taire ? v.506 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Et, s'ils ne l'étaient pas après cette aventure, v.509 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Ils tiendraient à faveur de changer de nature. v.510 (Acte 2, scène 3, C?LIDOR)
- Céphise, que crains-tu ? Tes vainqueurs sont cachés : v.520 (Acte 2, scène 4, CÉPHISE)
- Tu ne verras en lui que des lis et des roses ; v.522 (Acte 2, scène 4, C?PHISE)
- Que tu n'éveilles pas cet agréable amant. v.548 (Acte 2, scène 4, C?PHISE)
- Céphise, que fais-tu ? v.551 (Acte 2, scène 5, FILANDRE)
- Tu pourrais l'éveiller ; attends, n'approche pas. v.552 (Acte 2, scène 5, CÉPHISE)
- Tu ne peux contenir ton ardeur apparente ; v.553 (Acte 2, scène 5, FILANDRE)
- Et quand je plains mes maux tu fais l'indifférente. v.554 (Acte 2, scène 5, FILANDRE)
- En ce même entretien tu sauras à ton tour v.567 (Acte 2, scène 5, FILANDRE)
- Ô réveil importun ! Ô clarté que je fuis, v.580 (Acte 2, scène 5, CÉLIDOR)
- Ô dieux ! Que me dis-tu ? v.603 (Acte 2, scène 6, CÉPHISE)
- Et tu sais de sa voix son infidélité ? v.604 (Acte 2, scène 6, CÉPHISE)
- Que lui répondis-tu ? v.615 (Acte 2, scène 6, CÉPHISE)
- Que j'aimais sa vertu ; que son mérite extrême v.617 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Attends, tu le sauras après. v.620 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Mon oeil t'en a parlé ; mais tu ne l'entends points v.631 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- J'ai, pour te faire mieux savoir mon infortune, v.633 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Souffert de Célidor la recherche importune : v.634 (Acte 2, scène 6, FILANDRE)
- Fuis ce que tu chéris, aime ce que tu hais ; v.676 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Tu ne me parles pas ? v.679 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Importune beauté, v.679 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Tu ne peux m'honorer d'une amour légitime ; v.681 (Acte 2, scène 7, C?LIDOR)
- Quand tu m'offres des voeux tu taches ton estime. v.682 (Acte 2, scène 7, C?LIDOR)
- Tu poursuis le rebut de qui ne te vaut pas ! v.684 (Acte 2, scène 7, C?LIDOR)
- T'offensant tu me nuis ; ton mérite est extrême : v.685 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Tu sais ce que tu vaux, insensible vainqueur ; v.687 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Crois ce qui te plaira ; mais tu sais mes ennuis. v.691 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Tu ne m'honores pas d'un regard seulement. v.696 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Cruel, ingrat auteur de mon inquiétude, v.697 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Quel vice est comparable à ton ingratitude ? v.698 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Les importunités accroissent les mépris. v.700 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Eh bien ! Lâche sujet de ma longue infortune, v.701 (Acte 2, scène 7, CÉPHISE)
- Il faut cesser de vivre et de t'être importune. v.702 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Et tu m'aurais vendu ce mot trop chèrement. v.708 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Quoi ! Tu vois sous ce fer ma gorge découverte, v.709 (Acte 2, scène 7, C?PHISE)
- Tu sais mourir par feinte, et-moi par vérité. v.716 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Dont le mal que tu sens rend la mort équitable. v.718 (Acte 2, scène 7, C?LIDOR)
- C'est inutilement ; éteins-les si tu peux. v.732 (Acte 2, scène 7, CÉLIDOR)
- Ô frivole discours ! Tu pourrais, lâche amante, v.765 (Acte 3, scène 1, THÉANE)
- Tu souffres pour un traître alors qu'il est content ! v.767 (Acte 3, scène 1, TH?ANE)
- Tu n'es plus en état de m'adresser tes plaintes. v.786 (Acte 3, scène 2, THÉANE)
- Les plus rares beautés t'importunent de voeux. v.799 (Acte 3, scène 3, FILANDRE)
- Et tu prescris des lois à celles que tu veux[.] v.800 (Acte 3, scène 3, FILANDRE)
- Je hais cet importun autant que le trépas. v.811 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Que me dis-tu, Nérée ? v.825 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Ô dieux ! Que m'as-tu dit ? v.829 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Importun, laissez-nous. v.837 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- Tu peux ne causer plus ni passion ni peine, v.849 (Acte 3, scène 4, FILANDRE)
- Théane, tu me dois du conseil à ton tour. v.856 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- Théane, l'aimes-tu ? Que j'ai d'impatience. v.870 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- Et tu lui donnes tout quand il n'espère plus. v.880 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- Non, non, que veux-tu faire ? Eh quoi ! Ne sais-tu pas... v.887 (Acte 3, scène 4, THÉANE)
- S'il apprend seulement que tu le peux souffrir. v.892 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- Tu m'offenses, cruelle, et ce dernier discours, v.899 (Acte 3, scène 4, NÉRÉE)
- Tu peux joindre, inhumaine, insensible courage, v.901 (Acte 3, scène 4, N?R?E)
- Tu hais, tu hais Thimante, et tu feins de changer v.903 (Acte 3, scène 4, N?R?E)
- Que baises-tu, Céphise ? Attends, laisse-moi voir. v.908 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Voir ce que tu tiens. v.911 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Eh bien, tu le verras. Connais-tu ces liens ? v.912 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Tu ne peux sans regret savoir d'où vient ce gage ; v.917 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Hélas ! Tu m'apprends tout en ne me disant rien ; v.919 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Tu l'honores beaucoup d'avoir pris cette tresse. v.926 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Tu sais que mes douleurs ont gagné sa pitié, v.927 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Pour toucher cet auteur des plaintes que tu fais ; v.940 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Rend-les-moi. Que fais-tu ? v.957 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Et t'ai-je reproché ce que tu me ravis ? v.968 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Tu poursuis Célidor, et, perdant sa franchise, v.969 (Acte 3, scène 5, N?R?E)
- Quand tu ne plaisais pas aux amants de ces lieux : v.976 (Acte 3, scène 5, THÉANE)
- Tu peux tout maintenant, riche de nos ruines. v.978 (Acte 3, scène 5, TH?ANE)
- Et ne portes-tu point de ses cheveux aussi ? v.980 (Acte 3, scène 5, TH?ANE)
- Ô_Dieux ! Je suis perdue. Aventure cruelle ! v.982 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- La chaleur du soleil, importune en ce lieu, v.983 (Acte 3, scène 5, C?PHISE)
- Tu considères trop l'intérêt de ta soeur. v.988 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Que veux-tu que je die ? v.993 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Me fait seule souffrir son importunité. v.1000 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Oyant cette imposture, v.1001 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Que sert un foudre au ciel, auteurs de la nature ? v.1002 (Acte 3, scène 5, N?R?E)
- Tu le dis à Nérée, et tu ne rougis pas ! v.1004 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Tu connais peu l'amour si ce discours t'étonne : v.1006 (Acte 3, scène 5, CÉPHISE)
- Ô dieux ! Que tu me plais ! v.1044 (Acte 3, scène 5, NÉRÉE)
- Tu ne peux oublier cette ingrate beauté, v.1047 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Tu prouveras ensemble et perdras ton amour. v.1052 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Tu souffres sans danger ce poison amoureux v.1059 (Acte 4, scène 1, THIMANTE)
- Je suis sans frère, et tu n'as plus d'amant. v.1076 (Acte 4, scène 3, NÉRÉE)
- Courons, tu tardes trop. v.1084 (Acte 4, scène 3, THÉANE)
- Tu vas perdre tes pas. v.1084 (Acte 4, scène 3, NÉRÉE)
- Et son ingratitude est sans comparaison : v.1092 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Je pouvais aspirer plus haut que sa fortune ; v.1094 (Acte 4, scène 4, FILANDRE)
- Tu nuis par intérêt à ce perfide amant. v.1139 (Acte 4, scène 5, NÉRÉE)
- Quel témoignage as-tu d'un si prompt changement ? v.1140 (Acte 4, scène 5, N?R?E)
- Mais, rompus qu'ils étaient, tu les auras serrés. v.1147 (Acte 4, scène 5, NÉRÉE)
- Tu ris, tu parais froid après cette imposture, v.1165 (Acte 4, scène 5, NÉRÉE)
- Et tu ne rougis pas, horreur de la nature ! v.1166 (Acte 4, scène 5, N?R?E)
- Ô fatale amertume ! v.1172 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Que ma fortune est grande et mon destin heureux ! v.1187 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Hier tu vis Céphise, et j'entendis ta voix : v.1198 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- De quoi lui parlais-tu sur le bord de ce bois ? v.1199 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Puisque tu m'entendis, v.1202 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Que me demandes-tu ? Tu sais ce que je dis. v.1203 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Que Nérée, imposteur, t'importunait de plaintes, v.1204 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Mais que tu résistais à ses douces atteintes ; v.1205 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Que tu plaignais son mal et ne l'allégeais pas, v.1206 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Parce que tu languis pour de plus doux appas. v.1207 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Qu'un autre soit l'objet des fourbes que tu fais, v.1214 (Acte 4, scène 6, CÉLIDOR)
- Ni raison d'amitié, ni respect de nature, v.1216 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Ne me divertiraient de punir l'imposture ; v.1217 (Acte 4, scène 6, C?LIDOR)
- Si le jour te déplaît, et si tu hais ta vie, v.1220 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Que tu t'emportes, frère, à d'étranges desseins ! v.1227 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Ton discours si superbe et si respectueux v.1238 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Fait souffrir trop longtemps un coeur impétueux. v.1239 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- T'empêche d'avouer que tu souffres pour elle : v.1249 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Tu rendras, lâche auteur de mes tristes soucis, v.1270 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Tu tâches de sauver ta honte par ta fuite, v.1272 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- M'as-tu rendu suspect son fidèle service ! v.1277 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Il avait, disais-tu, rompu ses premiers noeuds, v.1278 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Tu m'as de leur amour dépeint la violence, v.1280 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Où tend cette imposture, et quelle intention v.1282 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Tu ne me réponds rien ? v.1284 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Hier que me dis-tu ? Qu'entendis-je en ce bois ? v.1294 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Peux-tu par tes discours désavouer ta voix ? v.1295 (Acte 4, scène 6, N?R?E)
- Et je t'obligerai de quoi que tu me pries. v.1297 (Acte 4, scène 6, FILANDRE)
- Tu ris, lâche imposteur ! Mais tu dois à ton frère v.1300 (Acte 4, scène 6, NÉRÉE)
- Tu partages les feux que mon âme ressent, v.1306 (Acte 4, scène 7, NÉRÉE)
- Que je suis obligée à sa lâche imposture, v.1308 (Acte 4, scène 7, N?R?E)
- À montrer l'imposture et prouver l'innocence. v.1341 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Tu vas m'entretenir de la perte du jour ; v.1351 (Acte 5, scène 1, CÉPHISE)
- Tu ne vas témoigner que désespoir, que rage, v.1353 (Acte 5, scène 1, C?PHISE)
- Tu vas à ton secours implorer le trépas ; v.1354 (Acte 5, scène 1, C?PHISE)
- Que tu n'éprouverais ni sourde ni barbare, v.1369 (Acte 5, scène 1, CÉPHISE)
- Si tu me dis son nom, sera ta récompense ; v.1373 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Si tu joins tes désirs à l'ardeur qui me presse ; v.1389 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Que tu n'as rien qui cède aux attraits de ta soeur. v.1391 (Acte 5, scène 1, FILANDRE)
- Pourquoi ? Que lui veux-tu ? Tire-nous de souci. v.1419 (Acte 5, scène 2, FILANDRE)
- Vas-tu, triste berger, affliger cette belle ? v.1421 (Acte 5, scène 2, FILANDRE)
- « Qui que tu sois, dit-il, dont le pieux dessein v.1442 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Tu saurais que ton soin m'est une tyrannie, v.1445 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Si tu ne connais pas l'ingrate qui me tue, v.1448 (Acte 5, scène 2, DORILAS)
- Un tragique succès a suivi l'imposture ; v.1484 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Et ma mort doit finir enfin cette aventure. v.1485 (Acte 5, scène 3, FILANDRE)
- Si contre ma fureur tu restes sans défense, v.1496 (Acte 5, scène 3, THÉANE)
- Si tu portes ce fer en ce barbare sein. v.1507 (Acte 5, scène 3, THÉANE)
- Et que tu m'es cruel en ne me l'étant pas ! v.1603 (Acte 5, scène 5, THIMANTE)
- Et tu m'as rejeté de tes grottes humides ! v.1605 (Acte 5, scène 5, THIMANTE)
- Tu tardes si longtemps à témoigner ta joie ? v.1625 (Acte 5, scène 6, THÉANE)
- Et sens-tu tes désirs refroidis par leur fin ? v.1627 (Acte 5, scène 6, TH?ANE)
- Sur ce sein, si tu veux, prends quelque récompense ; v.1665 (Acte 5, scène 6, THÉANE)
- Et pour sa cruauté tu le fendras après. v.1667 (Acte 5, scène 6, TH?ANE)
- Et j'ai feint qu'à mes yeux tu t'es laissé surprendre. v.1685 (Acte 5, scène 6, CÉPHISE)
- M'as-tu mis sur ces bords, et lui disais-tu pas v.1710 (Acte 5, scène 7, THIMANTE)
- Oui, je vous ai rendu l'assistance opportune v.1712 (Acte 5, scène 7, MÉNALQUE)
- Que vous me devez moins qu'au soin de la fortune. v.1713 (Acte 5, scène 7, M?NALQUE)
- Tu me fais possesseur de ces rares appas. v.1730 (Acte 5, scène 7, THIMANTE)
- Ô refus importun qui prolonge son sort, v.1762 (Acte 5, scène 8, NÉRÉE)
- Le sujet importun de mes malheurs passés ; v.1783 (Acte 5, scène 8, THIMANTE)
- Tu te vois délivré d'une sensible peine. v.1797 (Acte 5, scène 8, CÉPHISE)
- Désires-tu l'effet de nos communs destins ? v.1803 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Et ressens-tu pour moi de mutuelles flammes ? v.1805 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Songe plus d'une fois au dessein que tu fais : v.1810 (Acte 5, scène 8, CÉPHISE)
- Chéris-tu mon humeur, ma façon et ma taille ? v.1812 (Acte 5, scène 8, C?PHISE)
- Peux-tu sans violence offrir ta liberté v.1814 (Acte 5, scène 8, C?PHISE)
- Tes vertus sont un charme à qui les examine ; v.1816 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Tu feras aisément par tes perfections v.1818 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Que de considérer si tu me pourras plaire : v.1821 (Acte 5, scène 8, CÉPHISE)
- Le temps, et tes vertus achèveront ce point. v.1822 (Acte 5, scène 8, C?PHISE)
- Capable de produire une ardeur mutuelle : v.1825 (Acte 5, scène 8, C?PHISE)
- Tu peux attendre un mois. v.1826 (Acte 5, scène 8, C?PHISE)
- Je veux ce que tu veux. v.1827 (Acte 5, scène 8, FILANDRE)
- Nous fasse en ce bonheur bénir notre fortune. v.1829 (Acte 5, scène 8, THÉANE)
VENCESLAS (1648)
- Il dispose à son gré, des fortunes humaines ; v.31 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Et jamais sa vertu , (tant soit-elle connue) v.43 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- La plus pure vertu, même, ne suffit pas. v.46 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Voyez, par quels degrés, il monte à la fortune ; v.60 (Acte 1, scène 1, VENCESLAS)
- Plus de votre vertu, que de votre ascendant ; v.110 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
- À quel étrange office, Amour, me réduits-tu ! v.269 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- De faire accueil au vice, et chasser la vertu ! v.270 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Ô nature, ô respect, que vous m'êtes cruels ! v.297 (Acte 1, scène 2, ALEXANDRE)
- Changez ces différents, en des voeux mutuels ; v.298 (Acte 1, scène 2, LE ROI)
- Veux-tu, que la cachant, mon attente soit vaine ! v.372 (Acte 1, scène 6, LE PRINCE)
- Et ne vois sous l'éclat, dont il est revêtu, v.413 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Que de traîtres appas, qu'il tend à ma vertu ; v.414 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Aux vertueux, enfin, son amour est réduite ; v.420 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- La fortune vous rit, et ne rit pas toujours ; v.433 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Il ont, votre vertu, vainement combattue. v.451 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Il y respectera, la vertu la plus digne ; v.479 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Et vos rares vertus, m'ont arrêté les yeux. v.498 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Et restreinte à l'espoir de notre hymen futur, v.501 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Allez indigne objet de mon inquiétude, v.579 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- J'ai trop longtemps souffert, de votre ingratitude ; v.580 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Mais, contre son pouvoir, mon cour a combattu v.585 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Je ne me repends pas d'un acte de vertu ; v.586 (Acte 2, scène 2, LE PRINCE)
- Mais plutôt qu'as-tu fait, mon aveugle courroux v.609 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Allez... Mais que fais-tu, stupide, et lâche amant ? v.629 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Quel caprice t'aveugle ? As-tu du sentiment ? v.630 (Acte 2, scène 3, LE PRINCE)
- Je vois de quels efforts vos sens sont combattus, v.645 (Acte 2, scène 3, THÉODORE)
- Mais les difficultés sont le champ des vertus, v.646 (Acte 2, scène 3, TH?ODORE)
- D'un frère impétueux l'ordinaire insolence v.823 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- La surprise ne peut instituer un traître ; v.870 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Et l'ardent procédé, d'un frère impétueux v.911 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Marque bien plus d'amour qu'un si respectueux. v.912 (Acte 3, scène 2, LE DUC)
- Non, non, je laisse à part les droits de la nature, v.913 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Et commets à l'amour toute mon aventure, v.914 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Ha ! Seigneur, mettez fin à ma triste aventure, v.933 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
- Mettra-t-on tous les jours mon âme à la torture. v.934 (Acte 3, scène 3, CASSANDRE)
- Avec tous mes efforts j'ai manqué de fortune, v.1001 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Je n'ai plus résolu de vous être importun : v.1012 (Acte 3, scène 4, LE PRINCE)
- Et sur votre vertu fonde votre crédit. v.1028 (Acte 3, scène 5, LE PRINCE)
- Cette même vertu, condamnant mon caprice, v.1029 (Acte 3, scène 5, LE PRINCE)
- Avec votre vertu ma faveur était vaine. v.1053 (Acte 3, scène 5, LE PRINCE)
- À quelle épreuve, ô ciel ! Réduis-tu ma constance ? v.1074 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- De ce présomptueux rejetez la requête : v.1118 (Acte 3, scène 6, LE PRINCE)
- Qu'aucun soin ne vous trouble, et ne vous importune. v.1125 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Duc, je ferai si haut monter votre fortune, v.1126 (Acte 3, scène 7, LE ROI)
- Tu vois que ton rapport à mon gré répond, v.1136 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Et sur cette frayeur tu condamnes mes larmes ! v.1137 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et qui distinctement marquent les aventures, v.1161 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Sont des avis du ciel pour les choses futures. v.1162 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Et, comme tu m'as vue, interdite égarée, v.1170 (Acte 4, scène 1, TH?ODORE)
- Ô songe ! Avant coureur d'aventure tragique, v.1181 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Pernicieux avis, hélas ! Qu'as-tu produit ? v.1212 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Mon cour es-tu si tendre v.1245 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Près du terme fatal prescrit par la nature, v.1281 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Et qui me fait du pied toucher ma sépulture ; v.1282 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- A de votre couronne abattu le soutien ; v.1292 (Acte 4, scène 4, LE PRINCE)
- À cette épreuve, ô ciel, mets-tu ma patience ? v.1297 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- M'as-tu trompé ma main ? Me trompez-vous mes yeux ? v.1312 (Acte 4, scène 5, LE PRINCE)
- Admirable à la race, et présente et future ; v.1318 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- L'infant, par sa vertu, s'est soumis ma franchise, v.1341 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Tu t'es bien satisfaite, et voilà ton ouvrage. v.1370 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Ainsi, que les vertus, les crimes enchaînés, v.1399 (Acte 4, scène 6, CASSANDRE)
- Le coup qui me tuera pour venger son injure v.1445 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Qu'importe qui me tue, ou sa bouche ou ses yeux ! v.1452 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Craignez tout, d'une main, qui pût tuer un frère. v.1458 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Presse la fin où tu m'a destiné, v.1471 (Acte 4, scène 6, LE PRINCE)
- Que tu prends mal ton temps, pour éprouver un coeur, v.1495 (Acte 5, scène 1, THÉODORE)
- Et quelle loi mon cour, viens-tu de recevoir ! v.1560 (Acte 5, scène 2, LE DUC)
- Trêve, trêve, nature, aux sanglantes batailles, v.1569 (Acte 5, scène 3, LE ROI)
- Armez-vous de vertus, vous en avez besoin. v.1596 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Je mourrai plus que vous du coup qui vous tuera ; v.1600 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- À ma propre vertu, ce généreux effort, v.1603 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Pour ne vous perdre pas, j'ai longtemps combattu, v.1607 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Mais ou l'art de régner n'est plus une vertu, v.1608 (Acte 5, scène 4, LE ROI)
- Ô vertu trop sévère ! v.1645 (Acte 5, scène 4, LE PRINCE)
- Mais laisse-les agir, importune tendresse, v.1649 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Pouviez-vous renverser, celle de la nature ? v.1658 (Acte 5, scène 6, THÉODORE)
- N'est pas moins la vertu d'un roi que la justice ; v.1670 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- La nature vous parle, et Cassandre se tait ; v.1676 (Acte 5, scène 6, TH?ODORE)
- Ses fers, ont combattu, le vif ressentiment, v.1687 (Acte 5, scène 6, CASSANDRE)
- Peut-être, qu'à mon sang, sa main accoutumée, v.1713 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Mon courroux résistant, et le vôtre abattu, v.1719 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Sont d'illustres effets, d'une même vertu. v.1720 (Acte 5, scène 6, LE ROI)
- Voyons, cette aventure. v.1757 (Acte 5, scène 8, THÉODORE)
- Oui, ma fille, oui Cassandre, oui, parole, oui, nature ! v.1758 (Acte 5, scène 8, LE ROI)
- Qui passera sans tâche, en un règne futur, v.1763 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- La justice est aux rois, la reine des vertus, v.1775 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
- M'a de sa servitude, interdit la licence. v.1838 (Acte 5, scène 9, LE DUC)
- Et dans sa sépulture, enfermer nos tristesses ; v.1862 (Acte 5, scène 9, LE ROI)
AMARILLIS (1653)
- Aussi mille Amoureux, en cette solitude v.49 (Acte 1, scène 1, LISMÈNE)
- Viennent perdre leurs soins, et leur inquiétude : v.50 (Acte 1, scène 1, LISM?NE)
- Ensuite une querelle à mes voeux importune, v.137 (Acte 1, scène 1, BÉLISE)
- Vint traverser le cours de ma bonne fortune. v.138 (Acte 1, scène 1, B?LISE)
- Me remercieras-tu, si de ma propre bouche v.191 (Acte 1, scène 2, LISMÈNE)
- Tu sais dans un moment que ton amour la touche ? v.192 (Acte 1, scène 2, LISM?NE)
- La voici ; que fais-tu ? tu ne l'abordes pas ? v.194 (Acte 1, scène 2, LISMÈNE)
- Traître, que tu sais mal cacher ta perfidie ! v.196 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Es-tu sans artifice ? et puis-je avoir surpris v.197 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Dis que tu souhaitais ce bonheur sans pareil ; v.201 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Quoi, tu ne peux forcer cette inutile honte ? v.203 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Tu trouvais à Lyon des traits si délicats, v.205 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Et tu m'as si bien su prouver ce qui n'est pas. v.206 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Tu n'es plus ce Tyrène autrefois si charmant, v.213 (Acte 1, scène 3, BÉLISE)
- Tu n'as rien conservé de ce qui me sut plaire, v.215 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Tu n'es plus qu'un Berger digne d'une Bergère. v.216 (Acte 1, scène 3, B?LISE)
- Puisque tu la causas, tu sais bien ma querelle, v.220 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Si tu considérais combien l'absence est forte, v.243 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Ou que de ce défaut la Nature réponde. v.260 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Tu profiterais peu de n'y consentir pas. v.266 (Acte 1, scène 3, TYRÈNE)
- Dieux que ces importuns me dérobent de temps, v.285 (Acte 1, scène 4, AMARILLIS)
- Si la plainte est plus juste, où la fortune est pire, v.296 (Acte 1, scène 4, TYRÈNE)
- Je pouvais loin de vous défier la fortune, v.303 (Acte 1, scène 4, TYR?NE)
- J'obligeais trop Bélise, et je vous importune ; v.304 (Acte 1, scène 4, TYR?NE)
- Tu galantises mal, et tu fais mal des plaintes. v.336 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Tu lui parlais de pleurs pour exprimer ta peine, v.339 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Crois que tu pourrais peu sur cette âme inhumaine, v.343 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- Qu'en mon lieu tu serais en une même peine. v.344 (Acte 1, scène 5, TYR?NE)
- Tu ferais l'impossible. v.348 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- Si tu veux en avoir les divertissements v.349 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Tu n'as qu'à m'envoyer un de tes vêtements. v.350 (Acte 1, scène 5, B?LISE)
- Tu riras de la feinte, et je suis assez vaine v.355 (Acte 1, scène 5, BÉLISE)
- Tu ne me seras plus qu'un objet adorable ; v.364 (Acte 1, scène 5, TYRÈNE)
- As-tu vu dans ce fond ces deux belles bergères ? v.371 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- Que jamais la Nature en forma dans le monde. v.380 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- À t'entendre parler tu n'en as vu que l'ombre, v.387 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Tu me fais enrager, l'eau m'en vient à la bouche. v.412 (Acte 2, scène 1, DEUXIÈME SATYRE)
- Cette peinture est belle, et je te prie achève. v.419 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- Mais assise en posture à te faire pitié, v.421 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Tu me ferais crever d'une amoureuse rage. v.432 (Acte 2, scène 1, PREMIER SATYRE)
- Dessus ce point il sera débattu, v.449 (Acte 2, scène 1, TROISIÈME SATYRE)
- Nous pourrons, les ayant, tirer au court fétu, v.450 (Acte 2, scène 1, TROISI?ME SATYRE)
- La plus petite paille ira chercher fortune ; v.451 (Acte 2, scène 1, TROISI?ME SATYRE)
- Il n'est point de fétu, de paille, ou de hasard, v.453 (Acte 2, scène 1, DEUXIÈME SATYRE)
- Et tu dis que le temps la rendra plus traitable, v.511 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Tu diffères l'arrêt de mon sort lamentable, v.512 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Tu me retiens le bras, tu diffères ma mort, v.513 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Tu connais, Célidan, si je me plains à tort. v.514 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Elle fuit aujourd'hui, tu l'atteindras demain. v.518 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- Si tu la veux fléchir, il faut mieux te contraindre. v.520 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Tu ne sais pas bien l'art qui la peut engager. v.521 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Enseigne-le moi donc, si tu veux m'obliger. v.522 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Toi-même avec ton art n'es-tu pas enchaîné ? v.533 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Te peux-tu garantir des beaux yeux de Daphné ? v.534 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Mais vois si tu n'as point quelques vers en ta poche, v.563 (Acte 2, scène 3, CÉLIDAN)
- As-tu bien réussi ? v.592 (Acte 2, scène 3, C?LIDAN)
- Seuls ils peuvent parler des ennuis que tu sens. v.622 (Acte 2, scène 3, PHILIDAS)
- Dieux que ces importuns ont peu de complaisance, v.631 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Dieux ! Quelle peur as-tu ? v.636 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Philidas te déplaît, cruelle tu le fuis. v.637 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Tu le peux rendre tel. v.645 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Paye ce que tu dois à sa chaste amitié ; v.646 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Et tu ne seras pas sensible à ses douleurs ? v.654 (Acte 2, scène 4, DAPHN?)
- Ô Dieux ! cette importune v.655 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- M'imputera toujours ma mauvaise fortune. v.656 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Vois-tu comme ta grâce a touché ses esprits, v.678 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Par deux mots ajoutés, tu peux finir sa peine, v.680 (Acte 2, scène 4, DAPHN?)
- Qu'y mets-tu ? v.688 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Cruelle, as-tu dessein de dépeupler la terre ? v.693 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- Et seras-tu constante en ce rigoureux point v.694 (Acte 2, scène 4, DAPHN?)
- Espère-tu du prix à ta froideur extrême ? v.696 (Acte 2, scène 4, DAPHN?)
- L'Amour te paye-t-il du souci que tu prends v.698 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Te charges-tu du soin d'établir son empire ? v.700 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Et pensant l'obliger tu fais tort à ces charmes, v.705 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Et tu ne t'y rends pas ? v.707 (Acte 2, scène 4, DAPHNÉ)
- En voudrais-tu jurer ? v.708 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Ha ! tu fais mon tourment ; v.710 (Acte 2, scène 4, PHILIDAS)
- Tu ne peux m'échapper, mais quoi que je propose. v.713 (Acte 2, scène 4, PHILIDAS)
- Et tu m'as obligée à beaucoup de martyre. v.721 (Acte 2, scène 4, AMARILLIS)
- Pourquoi m'as-tu rendu la liberté des sens ? v.759 (Acte 2, scène 6, PHILIDAS)
- Ô Dieux ! cet importun a ma voix entendue v.836 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Par cet autre importun sont toujours traversées. v.849 (Acte 3, scène 1, AMARILLIS)
- Il est la vertu même. v.863 (Acte 3, scène 2, AMARILLIS)
- Toi tu fais l'orgueilleux, et tu fuis ma présence. v.873 (Acte 3, scène 2, CLÉONTE)
- La feinte seulement est la vertu des hommes, v.889 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- L'un par coutume agit, l'autre par intérêt ; v.894 (Acte 3, scène 3, AMARILLIS)
- Je n'augmenterai point cette troupe importune v.900 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Dont vous tenez en main l'espoir et la fortune, v.901 (Acte 3, scène 3, CL?ONTE)
- Que j'atteste le Ciel et toute la Nature, v.920 (Acte 3, scène 3, CLÉONTE)
- Combien tu fais d'efforts pour un indigne Amant ? v.970 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- T'importunai-je ici ? v.978 (Acte 3, scène 6, C?LIDAN)
- Tu me vois à regret, veux-tu que je le die ? v.980 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Tu tiens les yeux baissés, tu parles froidement. v.986 (Acte 3, scène 6, CÉLIDAN)
- Que dis-tu, Philidas, de cette humeur altière ? v.1050 (Acte 4, scène 2, CÉLIDAN)
- Ne te vante pas trop, si tu veux qu'on te croie. v.1058 (Acte 4, scène 2, CÉLIDAN)
- Tu devrais à genoux me demander pardon. v.1060 (Acte 4, scène 2, CLÉONTE)
- Lorsque je m'emportais tu t'es montré si sage. v.1079 (Acte 4, scène 2, CÉLIDAN)
- Qu'en dis-tu, Célidan, le pouvons-nous bien croire ? v.1098 (Acte 4, scène 2, PHILIDAS)
- Ah ! Tyrène, tu vois un homme de courage, v.1106 (Acte 4, scène 3, CLÉONTE)
- Tu devais te hâter, tu m'aurais secondée. v.1110 (Acte 4, scène 3, CL?ONTE)
- Et crois que tu sais mieux mon métier que moi-même. v.1119 (Acte 4, scène 3, TYRÈNE)
- Tu traites mieux l'Amour avec moins de souci ; v.1120 (Acte 4, scène 3, TYR?NE)
- Quoi ! Tu les crains, Dieux que de retenue ! v.1122 (Acte 4, scène 3, TYRÈNE)
- Et vous m'importunez de trop de questions, v.1165 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Célidan l'importune, et déplaît à ses yeux, v.1173 (Acte 4, scène 4, AMARILLIS)
- Quoi ? vous suis-je importun ? v.1180 (Acte 4, scène 5, CLÉONTE)
- Ne peut jamais passer pour importunité, v.1181 (Acte 4, scène 5, AMARILLIS)
- Cléonte, si tu veux me plaire extrêmement, v.1221 (Acte 4, scène 6, CLÉONTE)
- Tu me la prouveras par ta discrétion. v.1228 (Acte 4, scène 6, CL?ONTE)
- Mais ne négligez pas votre bonne fortune ; v.1232 (Acte 4, scène 6, CLIMANTE)
- Si jamais j'eus sujet d'accuser la Nature, v.1243 (Acte 4, scène 6, CLÉONTE)
- Étant ce que je suis, c'est en cette aventure. v.1244 (Acte 4, scène 6, CL?ONTE)
- Tu crains peu Célidan, et les cailloux qu'il jette. v.1263 (Acte 4, scène 7, PREMIER SATYRE)
- Traître, tu plains mes maux, et tu les as causés ? v.1302 (Acte 5, scène 2, CÉLIDAN)
- D'où naissent vos soupirs et votre inquiétude ? v.1419 (Acte 5, scène 6, PHILIDAS)
- Est-il un crime égal à ton ingratitude ? v.1420 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- Tu reconnais ainsi mes chastes passions ? v.1422 (Acte 5, scène 6, AMARILLIS)
- Tu n'en peux plus douter, entends d'ici sa plainte, v.1431 (Acte 5, scène 7, CLÉONTE)
- Quoi tu parais encor, détestable parjure ? v.1443 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Et tu n'espères pas qu'on venge mon injure ? v.1444 (Acte 5, scène 7, AMARILLIS)
- Et par le doux lien d'une ardeur mutuelle v.1466 (Acte 5, scène 7, CLÉONTE)
- Il te plaint en son coeur quand tu crois qu'il t'adore, v.1496 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Et tu m'aimes encore ? v.1497 (Acte 5, scène 9, CÉLIDAN)
- Je ne passerai plus pour importun Amant ; v.1551 (Acte 5, scène 10, TYRÈNE)
CLÉAGÉNOR et DORISTÉE (1634)
- J'ai vu ce que Neptune en mille endroits enserre, v.9 (Acte 1, scène 1, CLÉAGÉNOR)
- Théandre permets-moi d'accuser ma fortune, v.25 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Et de nommer ici ta rencontre importune, v.26 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Si tu me veux laisser la force qui me reste, v.44 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- Et tu n'achèves point. v.53 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Et que cette beauté par des voeux mutuels v.58 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- En ce temps j'eusse osé défier la fortune : v.65 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Jusqu'ici tout va bien et tu n'es point à plaindre. v.81 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Je veux que par mon bien tu juges de mon mal : v.83 (Acte 1, scène 2, CLÉAGÉNOR)
- La veille de ce jour qui rendait ma fortune v.84 (Acte 1, scène 2, CL?AG?NOR)
- Ainsi de notre espoir la fortune se joue : v.125 (Acte 1, scène 2, THÉANDRE)
- Pourquoi diffères-tu le moment de ma perte, v.161 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Crois-tu que mon honneur se rende à tes efforts, v.162 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Es-tu si simple encore. v.168 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Crois-tu que ta fureur m'épouvante beaucoup, v.170 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Méprises-tu mes voeux après mon assistance, v.176 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Tu me dois ton honneur. v.182 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Il est vrai ? mais veux-tu, v.182 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Qu'un vice récompense un acte de vertu, v.183 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- Et tu veux te payer d'un secours légitime v.184 (Acte 1, scène 3, DORIST?E)
- C'est trop de liberté, et ton ingratitude v.196 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- Ô sinistre aventure ! v.204 (Acte 1, scène 3, OZANOR)
- T'envoient par ma main, horreur de la nature, v.205 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Ô fortune prospère ! v.213 (Acte 1, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- Ou l'apporteras-tu, cours tôt, si ce n'est loin. v.314 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Vous sauvez la vertu des injures du vice, v.321 (Acte 1, scène 3, DORISTÉE)
- Suivra ta résistance, ou tu suivra nos pas. v.341 (Acte 1, scène 4, DEUXIEME_VOLEUR)
- Ô ciel ! de quel malheur ma fortune est suivie, v.342 (Acte 1, scène 4, DORISTÉE)
- Si tu réponds un mot : v.344 (Acte 1, scène 4, DEUXIEME_VOLEUR)
- Tu consultes pendard. v.345 (Acte 1, scène 4, DEUXIEME, VOLEUR)
- Quoi, tu ne parais plus, ô disgrâce infinie : v.350 (Acte 1, scène 5, CLÉAGÉNOR)
- C'est fait que de ses jours, je tue au premier mot. v.413 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- De là, sans être vu, tu découvres de loin. v.417 (Acte 2, scène 1, PREMIER_VOLEUR)
- Le gentil exercice. Ô Ciel me peux-tu luire, v.422 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Une heureuse rencontre en traîne une importune, v.426 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Et je semble être seule en butte à la fortune. v.427 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Si tu sais l'accident qui nous sépare encor, v.429 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Laisses-tu Doristée à leur rage exposée ? v.431 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Que tu nommais jadis de si puissantes armes, v.435 (Acte 2, scène 1, PHILEMOND)
- Le Ciel, qui que tu sois te soit propice et t'aime v.455 (Acte 2, scène 2, THÉANDRE)
- J'ai suivi sans profit la fortune d'un Maître, v.470 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- Chez moi, si tu le veux, ton destin sera doux, v.489 (Acte 2, scène 2, THÉANDRE)
- Qui doit changer si tôt ma fortune outrageuse ; v.499 (Acte 2, scène 2, PHILEMOND)
- Je bénis l'aventure v.502 (Acte 2, scène 2, THÉANDRE)
- Qui d'un si beau voleur a fait ma créature. v.503 (Acte 2, scène 2, TH?ANDRE)
- Mais après cette vie incertaine, importune, v.526 (Acte 2, scène 3, CONSEILLER)
- Quelle retraite enfin borne votre fortune ? v.527 (Acte 2, scène 3, CONSEILLER)
- Où puis-je voir encore ma fortune arrêtée : v.531 (Acte 2, scène 3, CLÉAGÉNOR)
- D'offenser sa vertu, de soupçonner sa flamme, v.538 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Peut-être que ce soir ce trésor de vertu, v.544 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Sous un brutal effort doit languir abattu, v.545 (Acte 2, scène 3, CL?AG?NOR)
- Menacent mon repos d'une triste aventure : v.569 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Mais depuis mon réveil tu ne le saurais croire, v.612 (Acte 2, scène 4, DORANTE)
- Entrons, viens, en deux mots son aventure, v.629 (Acte 2, scène 5, THÉANDRE)
- L'art ajuste si peu sa beauté naturelle, v.636 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Et si de mes desseins votre vertu s'offense v.676 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Le brasier importun dont mon âme est pressée, v.685 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Triste et lâche Dorante à quoi te résous-tu ? v.690 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et que devient enfin ta première vertu ? v.691 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Il trouble ton repos, tu goûtes ses appas, v.694 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et tu veux acheter d'un siècle de supplices v.696 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- In capable de voir ce que tu tiens caché v.702 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Puisque le seul penser du dessein que tu fais v.706 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Offense une vertu qui ne faillit jamais : v.707 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Qui t'a fait si longtemps celer ce que tu vaux. v.718 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Dure loi de mon sort, importune contrainte v.740 (Acte 3, scène 2, DIANE)
- Importune visite ! v.757 (Acte 3, scène 3, DORANTE)
- Elle sort, attendons, tu joueras un moment. v.759 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Ô rigueur importune ! v.760 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- J'estimais sa fortune, v.761 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Cruelle servitude, v.764 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Attiré les rigueurs dont tu m'as traversée ? v.777 (Acte 3, scène 4, PHILEMOND)
- Et veux-tu si contraire à des voeux si constants v.778 (Acte 3, scène 4, PHILEMOND)
- En quel lieu maintenant peux-tu dresser tes pas ? v.782 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Que je t'appelle tant et que tu ne viens pas ? v.783 (Acte 3, scène 5, PHILEMOND)
- Et quelle ingratitude est peinte en ton visage ? v.813 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Je dois beaucoup, Monsieur, aux soins de la Nature. v.840 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Puis-je voir sans baiser sa vivante peinture ? v.841 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Tu régiras mon sort, et dans ces doux caprices v.868 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Tu trembles, tu pâlis. v.870 (Acte 3, scène 6, TH?ANDRE)
- Il est vrai, je suis fille, et la moins fortunée v.876 (Acte 3, scène 6, PHILEMOND)
- Votre moindre aventure est digne de mémoire : v.928 (Acte 3, scène 6, THÉANDRE)
- Ne m'entendez-vous pas ? ô l'importune feinte ! v.985 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Apprends ce que tu vaux par le prix de mon coeur, v.994 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- J'ai de mille importuns méprisé les caresses, v.1000 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Toi tu ne peux parler ni voir que tu ne blesses, v.1001 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tu me charmes ensemble et tu me fais mourir, v.1002 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et c'est là le tourment que tu peux secourir. v.1003 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- J'égale ma fortune au plus doux sort des Dieux, v.1011 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Tu vois ce beau servage et cette douce chaîne. v.1021 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- La vertu te plairait unie à la fortune. v.1032 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- La vertu me déplaît quand elle est importune, v.1033 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Une austère vertu plaît moins qu'un beau péché, v.1035 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Et la fleur que j'espère et que tu me destines, v.1036 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Je veux ce que tu veux si ma flamme me dure, v.1040 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Si tu crois mon avis nous vivrons d'autre sorte v.1044 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Le vrai bien que tu dis est un bien décevant. v.1046 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Quoi ? tu prises si peu mon amour et moi-même ? v.1048 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et le mal que tu crains ne te peut advenir, v.1063 (Acte 4, scène 2, PHILEMOND)
- Je trahis ma vertu pour un indifférent, v.1074 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tu ne témoignes rien de ces esprits serviles, v.1104 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et dont le lâche coeur sous le vice abattu v.1110 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- N'eût jamais ni dessein ni manque de vertu. v.1111 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- J'ignore par que heur et par quelle aventure v.1112 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Je me suis rencontré de contraire nature. v.1113 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Et j'aime la vertu qu'ils désapprouvent tous : v.1115 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Mais l'étroite vertu me sied aux jeunes gens v.1122 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Incapables encor d'une vertu si forte. v.1125 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Tu me parles d'un Maître et moi d'une Maîtresse v.1141 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Enfin n'aimes-tu point, ou n'es-tu point aimé. v.1143 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Quand tu posséderais ta seule modestie, v.1152 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Tu ne peux, après tout, être que refusé, v.1155 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Qui n'aime un importun plus qu'un indifférent, v.1158 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- L'homme n'est point haï tout importun qu'il est, v.1162 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Tu ne l'aimerais pas ? v.1172 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et tu refuserais de soulager sa peine ? v.1173 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Craint d'être cru stupide en paraissant modeste, v.1185 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Crois-tu faire brûler ce coeur qui t'est suspect ? v.1186 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Te ferons si tu veux éprouver que je t'aime, v.1205 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Tu me peux obliger à des termes plus courts, v.1206 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Tu trembles, Philemond. v.1208 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Et chassez de l'esprit cette importune flamme, v.1209 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- Voyant votre vertu si lâchement souillée, v.1213 (Acte 4, scène 3, PHILEMOND)
- N'estimeras-tu point ton destin malheureux ? v.1223 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- N'est-ce point un présent que tu dois refuser ? v.1226 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Ne pleureras-tu point au seul nom d'un baiser ? v.1227 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Attends l'avis du temps, et tu sauras un jour, v.1230 (Acte 4, scène 3, DORANTE)
- Votre vertu ne se peut trop louer, v.1235 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Tu second [secondes] un mari qui ne lui suffit pas, v.1247 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Tu survis, impudique, à ta foi violée v.1248 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Tu survis à ta gloire honteusement souillée, v.1249 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Et tu peux si longtemps de cet oeil effronté v.1250 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Nature peux-tu sous un si bel aspect v.1254 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- Quel astre me gouverne, et quelle est ma fortune ? v.1268 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- Fille, je suis ravie, et Page on m'importune, v.1269 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- L'honnêteté, Madame, est une vertu lâche v.1300 (Acte 4, scène 4, THÉANDRE)
- Si même la vertu condamne les Amants ? v.1303 (Acte 4, scène 4, TH?ANDRE)
- De l'amour vertueuse emprunte le visage ; v.1305 (Acte 4, scène 4, PHILEMOND)
- Toi, tu crois me causer une ardeur véritable, v.1336 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Et nature m'apprit d'aimer moins lâchement. v.1347 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Tu vois en quel danger ma passion est mise v.1372 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Le pouvoir me manquant en si belle aventure, v.1376 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- D'une commune plainte accusent la Nature, v.1377 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Ô divine aventure, ô faveur souhaitée, v.1389 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Chacun mal à propos traverse ma fortune v.1400 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Leur flamme leur nuit moins qu'elle ne m'est importune. v.1401 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Il m'offre à tous moments d'importunes promesses, v.1412 (Acte 5, scène 1, PHILEMOND)
- Tu sais mal profiter d'une honnête amitié. v.1438 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- M'aimant tu croirais faire une oeuvre de pitié, v.1439 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- Et tu ne voudrais pas d'une seule prière v.1440 (Acte 5, scène 2, DIANE)
- N'as-tu pas avoué la force de mes coups, v.1463 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- À moins que de grands biens ma fortune combler, v.1471 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- Tu vis. v.1473 (Acte 5, scène 2, PHILEMOND)
- Conter cet accident le peux-tu sans mourir, v.1479 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Philacte en ce besoin tu me peux secourir. v.1480 (Acte 5, scène 3, TH?ANDRE)
- Quel trouble me saisit, ô nouvelle importune, v.1481 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Ô sinistre infortune ! v.1482 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Diffères-tu la mort si longtemps souhaitée ? v.1498 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Que pourrais-tu de pire, v.1513 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Et toi tu vis encore Amante déplorable, v.1521 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Ô parole importune ! v.1525 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Qui loin de soulager accroît mon infortune, v.1526 (Acte 5, scène 3, PHILEMOND)
- Ami si par tes maux tu peux juger des miens, v.1535 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Qui joigne à mon destin sa fortune et son âge. v.1550 (Acte 5, scène 3, THÉANDRE)
- Pour le vaincre inhumain, tu n'as qu'à m'assaillir v.1603 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Tu n'as qu'à publier qu'elle m'a fait faillir. v.1604 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Tu plairas à ses yeux et pourras par mon crime v.1605 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Plaignant ton infortune on m'en souhaitera, v.1627 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Que si tu n'es content Doristée est barbare : v.1634 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Veux-tu que de ce fer je me perce le sein ? v.1636 (Acte 5, scène 4, DORANTE)
- Tu détruis nos desseins et ni pièges, ni rets v.1673 (Acte 5, scène 5, THÉANDRE)
- Apprenez en deux mots quelle heureuse aventure v.1691 (Acte 5, scène 6, CLÉAGÉNOR)
- De ce monstre odieux a purgé la nature, v.1692 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- Tu délivreras l'une, et l'autre périra. v.1698 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- Je plains nos maux communs, tu cherches Doristée v.1715 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- De ces gens aussitôt une foule importune, v.1723 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- Eût fait de mon trépas suivre son infortune, v.1724 (Acte 5, scène 6, CL?AG?NOR)
- Mon coeur tu n'es pas mort, v.1773 (Acte 5, scène 7, DORISTÉE)
- Allons de voeux communs bénir votre fortune. v.1779 (Acte 5, scène 7, THÉANDRE)
- Mais Nature y pourvut et mon honnêteté v.1784 (Acte 5, scène 7, DIANE)
L'HYPOCONDRIAQUE (1631)
- Une fois seulement tu m'as donné la vie, v.3 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Que tu serais sensible au tourment qui me blesse ! v.12 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Qu'elle trouve en nos coeurs la vertu toute nue, v.55 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Mais qu'ils trouvent, hélas ! Mes plaintes importunes, v.67 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Ai-je pas dû prévoir de telles infortunes, v.68 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- Et qu'aux siècles futurs les plus heureux amants, v.81 (Acte 1, scène 1, CLORIDAN)
- Qu'hymen dût assembler nos chaînes mutuelles, v.87 (Acte 1, scène 1, PERSIDE)
- De quels appas si chers la trouves-tu pourvue v.131 (Acte 1, scène 2, LISIDOR)
- Tu sais comme une ingrate abhorre mes services ; v.199 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Enfin ce coeur atteint de tant d'ingratitudes v.203 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- A cherché du remède à ses inquiétudes ; v.204 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Tu reconnais assez que cette maladie v.207 (Acte 1, scène 3, LISIDOR)
- Toi, que nul intérêt n'attache à ma fortune, v.301 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Qui trouve même ici ma louange importune, v.302 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Et tu dois la prière à des âmes plus viles, v.310 (Acte 2, scène 2, ÉRISTHÈNE)
- Tu ne peux ignorer que les pleurs ont des charmes, v.325 (Acte 2, scène 2, ÉRISTHÈNE)
- Ah, que tu juges mal du sujet qui m'anime ! v.333 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Que tu mets peu d'appas en ce contentement ! v.335 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Que tu m'ôtes à tort la qualité d'amant ! v.336 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Sais-tu pas que l'auteur de ta métamorphose, v.349 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Mais que fais-tu, cruel, auprès de ces beautés ? v.356 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Stupide, quel excès de haine ou d'ignorance v.357 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- N'es-tu pas tout de flamme ? Et peux-tu, coeur abject, v.359 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- N'as-tu pour tant d'attraits ni soupirs, ni louanges ? v.361 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Capables des baisers où tu mets tant d'obstacles. v.398 (Acte 2, scène 2, LISIDOR)
- Ciel ! Tu ne manques point ni de foudres, ni d'yeux v.416 (Acte 2, scène 2, CLÉONICE)
- Ce que la flamme eût fait, tu le fais par le fer. v.440 (Acte 2, scène 3, LISIDOR)
- Prends dans son infortune une part légitime ; v.442 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Te consacre les jours que tu m'as conservés. v.464 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- Qu'un amant plus parfait possible t'importune, v.477 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Que le mérite ici fait moins que la fortune ; v.478 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Tu choques justement un téméraire espoir, v.487 (Acte 2, scène 3, CLÉONICE)
- Tu peux infiniment augmenter ce plaisir. v.496 (Acte 2, scène 3, CL?ONICE)
- Allons, si tu promets que rien ne peut ravir v.499 (Acte 2, scène 3, CLORIDAN)
- Que tu fus inhumain, barbare, quand tu fis v.515 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Le devais-tu forcer à perdre ce qu'il aime, v.517 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Et peux-tu consentir à le perdre toi-même ? v.518 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Pouvais-tu sans contrainte éloigner de tes yeux v.523 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Un trésor bien plus rare, et que tu tiens des cieux ? v.524 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Dieux ! Que ne fîtes-vous des yeux à la nature, v.525 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Son pouvoir ici-bas n'agit qu'à l'aventure : v.526 (Acte 2, scène 4, PERSIDE)
- Ah ! Qu'on ignore bien ta nature en ces lieux, v.547 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Que tu lis d'un trait d'oeil au fond de nos esprits, v.551 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Ne tirer de mes feux et de ma servitude, v.561 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Qu'un peu de flatterie et tant d'ingratitude ; v.562 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Où tu ne parais plus au rang des immortels, v.567 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Mais sais-tu quel endroit habite cet amant ? v.587 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Tu deviens aujourd'hui le plus heureux du monde. v.598 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- Tiens, me peux-tu payer de ces joyaux offerts ? v.599 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Eus-tu jamais les bras serrés de si beaux fers ? v.600 (Acte 3, scène 1, CL?ONICE)
- Que la fortune flatte avec un beau mensonge, v.606 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Abrégé des vertus, beau miracle des cieux, v.612 (Acte 3, scène 1, LE PAGE)
- Que tu peux alléger le mal qui me tourmente ! v.617 (Acte 3, scène 1, CLÉONICE)
- M'importune beaucoup, et profite bien peu ; v.640 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et, si tu veux toi-même abhorrer ton dessein, v.647 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Si tu n'as le courage aussi dur que la main ; v.652 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ses tresses que nature a teintes dans le Tage ; v.658 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Alors tu me loueras d'avoir été fidèle, v.673 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Que viens-tu m'annoncer ou d'heureux ou d'étrange ? v.677 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ne diffère : en quel point as-tu laissé mon ange ? v.678 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Tu consultes encor, tigre, tu ne fuis pas ? v.688 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Tu ne crois pas ici la fuite nécessaire, v.689 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Tu contemples celui que tu viens de défaire. v.690 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- En quel lieu trop secret te peux-tu confiner, v.691 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Barbare, tu peux voir ton semblable au cercueil, v.719 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et tu ne laisses pas tout l'univers en deuil ! v.720 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Ah ! Mort, seule tu peux réparer mon malheur ; v.728 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Éteins ces faibles yeux que le jour importune, v.729 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Tes traits m'affranchiront des traits de la fortune, v.730 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et tu ne rougis point de voir son front si pâle. v.742 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Si tu veux égaler sa peine à son forfait. v.748 (Acte 3, scène 2, LE PAGE)
- Mon corps enseveli n'est plus ma sépulture, v.761 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Et qu'il serve déjà de nourriture aux vers, v.764 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Belle âme, si ma voix ici ne t'importune, v.789 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Cet esprit que la mort a joint à ta fortune, v.790 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Craintive, as-tu trouvé mon abord effroyable ? v.798 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Si je vis plus longtemps dans cette inquiétude, v.801 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Enfin tu répondras de ton ingratitude ; v.802 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Que tu n'auras jamais de dessein pour Perside ; v.822 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Relève, cher espoir, mon courage abattu, v.839 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Je sens mon infortune et je sais ta vertu ; v.840 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Adieu, tu ne peux plus divertir mon dessein. v.844 (Acte 3, scène 2, CLORIDAN)
- Tu crois donc, inhumain, couvrir ta tyrannie v.845 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Et, pour te dégager, tu crois que c'est assez v.847 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Ta feinte est trop à nu, mets un peu plus d'étude v.849 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- À pallier mon mal et ton ingratitude ; v.850 (Acte 3, scène 2, CL?ONICE)
- Il le faut, qu'à ce coup ma crainte s'évertue, v.877 (Acte 3, scène 2, LA NOURRICE)
- Que j'aille découvrir le sujet qui la tue ; v.878 (Acte 3, scène 2, LA NOURRICE)
- Qu'après un seul plaisir tu me livres d'outrages ! v.882 (Acte 3, scène 2, CLÉONICE)
- Stupide, à qui le sort offre avec des provinces v.889 (Acte 3, scène 3, ÉRIMAND)
- Il faut, si tu te vois les sentiments si sombres, v.893 (Acte 3, scène 3, ?RIMAND)
- Si tu hais le soleil, t'envoyer chez les ombres. v.894 (Acte 3, scène 3, ?RIMAND)
- Son absence vous tue, et que peut son trépas ? v.924 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Soleil, terre, destins, et nature, et parents. v.928 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Qu'amour nous entretient d'un désir mutuel, v.947 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Tu sais, cher confident, le dessein qui t'amène, v.989 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Si tu connais combien l'absence est rigoureuse v.1005 (Acte 3, scène 4, PERSIDE)
- Et, si tu sais quel oeil est auteur de mes voeux, v.1031 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Et tu vis, Aliaste, après un tel outrage ! v.1042 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Serpent de qui l'aspect pour me tuer me flatte, v.1054 (Acte 3, scène 4, ALIASTE)
- Ne dois-tu plus souffrir ; et, depuis tant d'années v.1133 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Sais-tu pas que du corps une âme est désunie, v.1145 (Acte 4, scène 1, CLÉONICE)
- Il reprend peu à peu sa nature première ; v.1150 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Toi, tu vois que ton corps encore ici subsiste, v.1153 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Tu vois tes mêmes bras et les mêmes cheveux, v.1156 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Dont tu flattes sans fruit ton ardeur insensée, v.1157 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Toi tu vis, et ton oeil encore voit le jour. v.1160 (Acte 4, scène 1, CL?ONICE)
- Seule, tu ne sais pas quelle clarté nous luit, v.1163 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Mieux que toi je connais la nature des lieux. v.1176 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Vois-tu ces noirs cachots où l'âme criminelle v.1177 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Quoi, n'es-tu point sensible à leurs gémissements ? v.1180 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Peux-tu bien sans douleur ouïr les voix plaintives, v.1181 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Perside ici, ma reine ! Hé ! Cruelle, tu fuis ! v.1188 (Acte 4, scène 1, CLORIDAN)
- Un esprit tout de feu, pour froide que tu sois, v.1207 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- A le fruit de ses voeux lorsque tu les reçois ; v.1208 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Et, lorsque ta beauté souffre qu'on l'importune, v.1209 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Qui soupire pour toi doit chérir sa fortune. v.1210 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- N'es-tu pas cet objet qui flattait ma douleur ? v.1212 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Un roi peut-il vanter sa fortune seconde, v.1213 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Sans contrainte as-tu pris ton supplice en mes bras ? v.1232 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Tu ne le peux nier, et toutefois, cruelle, v.1233 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Tu me peux refuser une ardeur mutuelle ; v.1234 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- C'est trop, qu'espères-tu des froideurs de ma sainte ? v.1250 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Tu prétends, vain rival, de posséder mon bien ? v.1252 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Quoi ! Tu l'opposerais à nos communs plaisirs ? v.1256 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Peux-tu porter les bras en de plus nobles fers ? v.1263 (Acte 4, scène 2, ÉRIMAND)
- Vanté le doux espoir de ses plaisirs futurs ? v.1276 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Quoi, ton âme est aveugle ; et tu crois, insensée, v.1309 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Hé ! Simple, où sommes-nous ? Tu crois vivre, abusée ; v.1317 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Si tu donnes tes soins à mes chastes désirs, v.1359 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Si tu l'aimas jadis, fais voir sur son tombeau v.1375 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Et dors en ce tombeau, si jamais tu reposes ; v.1382 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- En lieux où ce jaloux n'ose m'importuner. v.1388 (Acte 4, scène 2, CLORIDAN)
- Et, dans l'étrange état où je vois ma fortune, v.1405 (Acte 4, scène 3, PERSIDE)
- La plus longue louange est la plus importune : v.1406 (Acte 4, scène 3, PERSIDE)
- Et la même vertu règle ses mouvements. v.1432 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Quel modeste respect tient votre oeil abattu ? v.1435 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Être si vertueux souvent n'est pas vertu. v.1436 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Tu l'aimerais le jour si tu l'avais la nuit. v.1460 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Si tu dis qui d'eux tous a gagné ton estime... v.1470 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Alors tu serais moins honteuse qu'étonnée : v.1502 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Ah ! Que, si tu savais quel sujet nous y porte, v.1533 (Acte 4, scène 4, ALIASTE)
- Qui pensez voir à nu la nature des choses, v.1542 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Étouffer les vertus, entretenir les vices, v.1566 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Que contre la vertu son fleuve n'en a point. v.1592 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Un faux mal qui vous fait chercher la solitude, v.1609 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Qui n'a point de sujet que votre ingratitude, v.1610 (Acte 5, scène 1, CL?ONICE)
- Que tu la ressens mal, et qu'à ton jugement v.1619 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Tu trembles, tu pâlis, lâche auteur de ma peine ; v.1630 (Acte 5, scène 1, CLÉONICE)
- Cruelle, et ne m'as-tu promis que des injures ? v.1634 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Mais ne cèles-tu point sa venue, à dessein v.1639 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Ah ! Ne fais point, mauvaise, à nos voeux mutuels v.1643 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Et les mortels, encor revêtus de leurs corps, v.1655 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Changeront leur nature en celle des fontaines ; v.1662 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Du nombre des vertus j'ôterai le respect, v.1671 (Acte 5, scène 1, CLORIDAN)
- Ah, cruauté du sort ! Ah, fortune traîtresse ! v.1693 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- Mon coeur ne se hasarde à semblable aventure, v.1697 (Acte 5, scène 2, PREMIER VOLEUR)
- Qu'afin de signaler sa courtoise nature. v.1698 (Acte 5, scène 2, PREMIER VOLEUR)
- Tu sais qu'il est un foudre, et tu n'en uses pas ? v.1724 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- À qui nature inspire une secrète loi v.1744 (Acte 5, scène 2, LE PAGE)
- Les désirs mutuels de nos coeurs innocents ? v.1760 (Acte 5, scène 3, ALIASTE)
- Ah, dieux ! Quel mot, cruel, viens-tu de proférer ? v.1808 (Acte 5, scène 3, ALIASTE)
- Sais-tu combien le temps coûte cher aux amants ? v.1840 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Tu l'as désanimé, viens le ressusciter. v.1844 (Acte 5, scène 3, PERSIDE)
- Ah ! C'est trop, Cléonice, avoir l'âme abattue ; v.1877 (Acte 5, scène 4, CLÉONICE)
- C'est nourrir trop longtemps une amour qui te tue ; v.1878 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Ne fuis plus l'entretien d'une humeur importune ; v.1881 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Le ciel, changeant mes fers, a changé ma fortune ; v.1882 (Acte 5, scène 4, CL?ONICE)
- Tu parles de pitié, lâche objet de mes plaintes ; v.1889 (Acte 5, scène 4, CLORIDAN)
- Es-tu capable encore ou de haine ou d'envie ? v.1894 (Acte 5, scène 4, CLORIDAN)
- Ces baisers où jadis tu trouvais des délices, v.1905 (Acte 5, scène 5, CLÉONICE)
- Vu qu'un si bel objet a vos sens abattus, v.1915 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- Que de si beaux péchés valent bien des vertus. v.1916 (Acte 5, scène 5, ALIASTE)
- Pourquoi diffères-tu ? Punis mes sens ingrats. v.1919 (Acte 5, scène 5, CLÉONICE)
- Que fais-tu, beau sujet de mon plus doux souci ? v.1935 (Acte 5, scène 6, PERSIDE)
- Tu ne peux m'empêcher ici de te punir : v.1944 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Tu le veux bien, mon ange : ah ! Ces ris innocents v.1947 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Me témoignent assez les remords que tu sens ; v.1948 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Tu penses vivre encor, simple, et tu ne sais pas v.1963 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Ton oeil voit mon visage ; y trouves-tu les marques v.1965 (Acte 5, scène 6, PERSIDE)
- Ciel ! Après tant de pas tu finis mes misères ; v.1986 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Tu me blesses, mon ange, avec de si beaux traits, v.1999 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Penses-tu, bel esprit, que le mien puisse vivre ? v.2002 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Mais tu me sentiras, si tu ne me peux voir. v.2008 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Si tu m'aimes, je vis ; sinon, je ne vis pas. v.2072 (Acte 5, scène 6, CLORIDAN)
- Veux-tu que j'en confirme une heureuse assurance ? v.2074 (Acte 5, scène 6, PERSIDE)
- Aliaste, épousant ma fille et ma fortune, v.2113 (Acte 5, scène 6, ÉRIMAND)
LES OCCASIONS PERDUES (1636)
- Et tuez Clorimand. » v.50 (Acte 1, scène 2, ORMIN)
- Si tu veux le pardon seulement pour ce point, v.65 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Frappez, tuez. v.81 (Acte 1, scène 2, LA REINE)
- Joignit à votre sort sa fortune et son âge. v.172 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- « Hâtez-vous, tuez Clorimand. » v.178 (Acte 1, scène 2, CLORIMAND)
- Lui tenant ces discours tu mérites sa haine, v.220 (Acte 1, scène 3, CLORIMAND)
- Honorez sa vertu de la même caresse v.235 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Ô chasse infortunée, où mon coeur se voit pris ! v.254 (Acte 1, scène 3, LA REINE)
- Que la nature a peints de la couleur des cieux ? v.258 (Acte 1, scène 4, ORMIN)
- Tu le sais, juste ciel, que j'ai vu mon épée v.271 (Acte 1, scène 4, LERME)
- Je connais ce seigneur, et, l'avoir combattu, v.273 (Acte 1, scène 4, LERME)
- C'est nous être attaqués à la même vertu. v.274 (Acte 1, scène 4, LERME)
- Enfin si tu n'as point promis à mes rivaux v.293 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Et que tu ne dois pas m'imputer pour offense v.303 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Par qui tu sais qu'Amour a fait brûler tant d'âmes, v.308 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mais c'est trop t'ennuyer, tu hais d'être louée : v.336 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mon importunité t'en a fait perdre un peu. v.338 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Mais la Reine revient. Vois-tu cet étranger ? v.346 (Acte 2, scène 1, ADRASTE)
- Donnez à sa vertu les plus chers de vos voeux, v.369 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Sais-tu bien qui je suis ? v.371 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Tu le sens, tu le crains, il marche sur tes pas ; v.389 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Tu l'as nommé cent fois, et ne le connais pas ? v.390 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Et tu le viens de voir en habit étranger : v.414 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Tu l'as vu qui marchait à côté de Cléonte. v.415 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Mais dans peu tu sauras plus au long cette histoire. v.431 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Et, si tu ne promets du secours à mes peines, v.435 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Tu peux, si ton esprit tous ces moyens essaie, v.447 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Et tu n'espères pas d'en pouvoir tromper deux ? v.454 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Et, pensant m'obliger, tu pourrais me trahir. v.482 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- J'entends que tu feindras de te sentir atteinte, v.483 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Où tu témoigneras qu'une ardeur imprévue v.487 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Ce soir, où tu pourras seule l'entretenir, v.490 (Acte 2, scène 2, LA REINE)
- Qui semble naturelle, et n'a rien d'affecté : v.506 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Son visage est divin, ses vertus sans pareilles : v.523 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Et la peur dont tu vois mon esprit agité v.541 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Et tu vois de tes yeux ta perte indubitable. v.568 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Mais prends garde surtout que tu me sois fidèle : v.579 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Tu ne pourrais impunément v.581 (Acte 2, scène 3, CLORIMAND)
- Que tu seras baisant le visage en effet. v.606 (Acte 2, scène 3, CLÉONTE)
- Quoi ! Tu n'es pas ici, cher espoir de ma vie ? v.611 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
- Ah ! Que tu fais languir mon amoureuse envie ! v.612 (Acte 3, scène 1, LA REINE)
- M'importuner ici d'une assistance vaine, v.631 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Qui la meut à cacher une amour vertueuse ? v.663 (Acte 3, scène 2, CLÉONTE)
- Qu'en cette heureuse nuit j'ai la fortune amie ! v.683 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Leur importunité nuit à mes entretiens : v.698 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Quand tu ne la peux voir, elle est à la fenêtre ; v.699 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Tu serais le premier à condamner ta plainte. v.732 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Si tu savais combien je vois de monde en peine v.735 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Crois que tu me louerais de beaucoup de franchise. v.739 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Vous attiriez un coeur que vous tueriez après. v.770 (Acte 3, scène 2, CLORIMAND)
- Et que vois-tu sur quoi ce vain discours se fonde ? v.772 (Acte 3, scène 2, LA REINE)
- Il est trop véritable, Adraste, que tu veilles ; v.827 (Acte 3, scène 3, ADRASTE)
- Les coeurs les moins versés en cette belle étude v.859 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Ont appris que l'amour cherche la solitude ; v.860 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Il le veut tuer ; Lysis s'enfuit. v.908 (Acte 3, scène 3, CLORIMAND)
- Que tu dépends, mon coeur, de deux cruels tyrans ! v.935 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Comment recevras-tu leurs avis différents ? v.936 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Témoigne des douleurs que tu ne ressens pas ; v.960 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Enfin tu trouves donc ma plainte légitime, v.977 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Perfide, et, te taisant, tu confesses ton crime ? v.978 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Veux-tu qu'en ta faveur je démente mes yeux ? v.988 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- As-tu goutte de sang que ta honte n'attire, v.994 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Pour t'élever, veux-tu que j'abaisse les anges ? v.1006 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Tu reçois en ton coeur mon portrait seulement, v.1011 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Jamais avecque lui tu n'as de nuit passée ; v.1014 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Jamais tu n'as flatté son impudique espoir v.1015 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Tu ne souffres de lui caresse, ni licence, v.1021 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Et tu seras fâché de m'avoir méprisée, v.1033 (Acte 4, scène 2, ISABELLE)
- Par quel nouveau moyen tu me peux décevoir ; v.1036 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Que nature a donné peu de prudence aux hommes ; v.1041 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Veux-tu de ton affront un plus clair témoignage ? v.1050 (Acte 4, scène 2, ADRASTE)
- Sa nature est de vent, que tout peut agiter, v.1063 (Acte 4, scène 3, ADRASTE)
- On voit avec le temps leur nature changée : v.1081 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Et combien tu me dois de voeux. » v.1105 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Adorable tableau ! serais-tu la peinture v.1117 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Du plus muable objet qui soit en la nature ? v.1118 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Adraste, tu vis donc que j'aimais ses appas, v.1127 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Et cette qualité vous est si naturelle ; v.1134 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Tu nous traites ainsi, tu l'oses, tu le peux, v.1139 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Quoi, veux-tu désormais traiter ainsi l'amour ? v.1144 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Adraste, tu n'es plus en mon coeur guère avant ; v.1166 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Sa vertu me plaisait, la votre étant cachée ; v.1192 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Tu ne me réponds rien. v.1209 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Tu dusses rejeter ces doutes superflus, v.1217 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Mais je veux t'obéir, que désires-tu plus ? v.1218 (Acte 4, scène 3, ISABELLE)
- Si jamais tu revois mon esprit en souci, v.1221 (Acte 4, scène 3, CLORIMAND)
- Est de joindre à vos jours sa fortune et sa vie ; v.1272 (Acte 4, scène 4, LE ROI)
- Je trouve de soucis ma fortune assez pleine, v.1303 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- De tenir la fortune au rang de vos sujettes ; v.1315 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Mais qu'un époux choisi vous doive sa fortune, v.1324 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Tu connais l'Espagnol dont j'ai sauvé la vie. v.1339 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Ah dieux ! Quelle infortune à la nôtre est pareille ? v.1343 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Doive dessous ses lois nos fortunes ranger ? v.1346 (Acte 4, scène 4, CL?ONTE)
- Figurez sa vertu digne de mille autels, v.1350 (Acte 4, scène 4, CLÉONTE)
- Mais, simple, laisses-tu cette injure impunie ? v.1359 (Acte 4, scène 4, LA REINE)
- Tu connais l'Espagnol, plus de discours sont vains, v.1365 (Acte 5, scène 1, LA REINE)
- Doit joindre ma fortune aux douceurs de son âge. v.1394 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Je connais vos vertus, je sais votre naissance, v.1417 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Ma fortune et ma volonté. v.1420 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Votre insigne vertu me touche. v.1424 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- D'une extrême infortune affranchisse mes sens ! v.1436 (Acte 5, scène 2, LE ROI)
- Plus tu me veux guérir et plus mon mal empire ; v.1453 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Il semblait que, changeant l'allure coutumière, v.1461 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Enfin, tu me tenais ; ma honte et mon courage v.1465 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Tu sais en quel endroit, en ces royaumes sombres v.1469 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Qu'as-tu dit ? Quel bonheur est pareil à mon aise ? v.1502 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Adieu, tu m'as tiré de si profonds ennuis v.1511 (Acte 5, scène 3, ADRASTE)
- Mais toi, tu parais lâche, et tu dusses, Cléonte, v.1517 (Acte 5, scène 3, CLÉONTE)
- Qu'Adraste maintenant cherche ailleurs sa fortune, v.1545 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Son amour désormais me serait importune ; v.1546 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Es-tu là, Clorimand ? Est-ce toi, mon souci ? v.1555 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Que tu me fais languir ! v.1556 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Avais-tu pris conseil de cette âme homicide ? v.1558 (Acte 5, scène 4, ADRASTE)
- M'as-tu fait espérer pour ma confusion ? v.1559 (Acte 5, scène 4, ADRASTE)
- Tu me vois, ma déesse. v.1561 (Acte 5, scène 4, ADRASTE)
- Que les ambassadeurs chériraient leur fortune, v.1589 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Es-tu cet Espagnol ? Que veux-tu ? Qui t'amène ? v.1597 (Acte 5, scène 5, CLÉONTE)
- Et tu le vas assez apprendre de ma main. v.1600 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Que je trouve ce soir la fortune propice ! v.1613 (Acte 5, scène 5, CLORIMAND)
- Une ardeur mutuelle enflamme sa pensée, v.1637 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Mais tu sais le danger dont ton bras m'a tiré, v.1647 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Ah ! que tu connais mal cet esprit criminel ! v.1676 (Acte 5, scène 6, CLÉONTE)
- Laisses-tu, juste ciel, leur offense impunie ? v.1681 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Et n'es-tu pas sensible à cette calomnie ? v.1682 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Pourquoi viens-tu, cruel, outrager mon époux ? v.1684 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Ah ! parole importune ! v.1697 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Et qui dois mon bonheur à la seule fortune. v.1698 (Acte 5, scène 6, ADRASTE)
- Quelle étrange infortune à la tienne est égale ? v.1702 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Hélas ! que diras-tu de ma légèreté ? v.1716 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Nos bras sont abattus par de vaines paroles ! v.1742 (Acte 5, scène 6, CLÉONTE)
- Estimais-tu si mal de ma pudique ardeur, v.1767 (Acte 5, scène 6, LA REINE)
- La nature, inhumains, par un secret effroi, v.1771 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Ne vous dit-elle point que vous tuez un roi ? v.1772 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Honorez sa vertu par des voeux infinis : v.1783 (Acte 5, scène 6, CLORIMAND)
- Madame, puisqu'ainsi la fortune en dispose, v.1809 (Acte 5, scène 6, CLÉONTE)
CRISANTE (1640)
- Ont battu les auteurs de ces rébellions ; v.28 (Acte 1, scène 1, PREMIER CAPITAINE)
- Il est vrai que jamais les soins de la nature v.45 (Acte 1, scène 1, MANILIE)
- Quelque étroite vertu dont s'arme cette belle v.81 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- La prudence souvent fait moins que la fortune ; v.101 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Elle sert quelquefois, mais toujours importune. v.102 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- J'honore la vertu, mais la beauté m'attire ; v.109 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Entre les passions que produit la nature, v.121 (Acte 1, scène 2, CLÉODORE)
- La vertu seulement est l'appui des états ; v.144 (Acte 1, scène 2, CLÉODORE)
- Ah ! qu'inutilement un esprit s'évertue v.149 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- D'exciter la vertu quand elle est abattue ! v.150 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Tu vis naître ma flamme, et tu devais alors v.151 (Acte 1, scène 2, CASSIE)
- Et qui, trop insolents, défiez la fortune v.169 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Quand rien ne vous afflige et ne vous importune, v.170 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Quand les dieux ont dessein d'obliger la vertu, v.195 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Ils relèvent bientôt ce qu'ils ont abattu. v.196 (Acte 1, scène 3, MARCIE)
- Si de son naturel j'ai quelque connaissance, v.233 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Me préserve le ciel de pareille aventure, v.241 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Et plutôt sa pitié creuse ma sépulture ! v.242 (Acte 1, scène 3, CRISANTE)
- Mais cette vérité déjà vous importune ! v.261 (Acte 1, scène 4, CASSIE)
- Monsieur, cet entretien messied à ma fortune : v.262 (Acte 1, scène 4, CRISANTE)
- La fortune prospère aime ces entretiens, v.275 (Acte 1, scène 4, CRISANTE)
- Qui voit sans vanité la fortune prospère, v.281 (Acte 1, scène 4, CASSIE)
- Je sens ma servitude, on me traite en captive. v.298 (Acte 1, scène 4, CRISANTE)
- Laissez la solitude au moins aux malheureux. v.316 (Acte 1, scène 4, CRISANTE)
- Heureux qui, satisfait d'une basse fortune, v.321 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Trouve la vanité des grandeurs importune, v.322 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- En l'état déplorable ou m'a mis la fortune, v.379 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Il ne peut plus m'ôter qu'une vie importune : v.380 (Acte 2, scène 1, ANTIOCHE)
- Elle est infructueuse et pénible au modeste. v.396 (Acte 2, scène 2, CASSIE)
- Ah ! si sur vos desseins quelque vertu préside, v.407 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- Et quel est ton malheur, princesse infortunée ! v.472 (Acte 2, scène 2, ORANTE)
- De quel discours viens-tu croître ma peine ? v.487 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- À la vertu captive est un sujet d'effroi. v.494 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Qui meurt par sa vertu revit par sa mémoire. v.499 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Et doit être importune à qui vit lâchement. v.502 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- La plus forte vertu s'est parfois relâchée, v.515 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- De quelque passion qu'un coeur soit combattu, v.517 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Quand il est généreux il tient pour la vertu. v.518 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- La vertu ne dépend que d'une vaine estime, v.519 (Acte 2, scène 3, ORANTE)
- Et ce que je perdrais, tu veux que je le donne ? v.528 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Pour ce qu'il le résout je dois l'effectuer, v.529 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Et moi-même m'offrir et me prostituer ? v.530 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Elle me serait chère après cette aventure ! v.539 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Prends la tienne en ta mort, horreur de la nature. v.540 (Acte 2, scène 3, CRISANTE)
- Et s'il faut que du jour les vertueux se privent ! v.568 (Acte 2, scène 3, MARCIE)
- Ô défense importune ! v.569 (Acte 2, scène 4, CRISANTE)
- Le vice peut céder où la vertu s'oppose ; v.583 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- La Fortune et l'Amour, aveugles déités, v.589 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Ne pouvant plus parer les coups de la Fortune, v.591 (Acte 2, scène 4, CRISANTE)
- Je souffre qu'elle règne et qu'elle m'importune : v.592 (Acte 2, scène 4, CRISANTE)
- Et las d'importuner, ne vous réclame plus. v.598 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Que je rêve à souhait, et que la solitude v.623 (Acte 2, scène 4, CRISANTE)
- Donne un libre entretien à mon inquiétude. v.624 (Acte 2, scène 4, CRISANTE)
- J'aurais nourri sans fruit cette importune flamme, v.639 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Où le stupide seul établit son bonheur. v.670 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Importune raison, je ne t'écoute plus. v.674 (Acte 2, scène 4, CASSIE)
- Je meurs : soutiens un peu ma vigueur abattue ; v.675 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- La force n'ayant pu, la faiblesse me tue. v.676 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Que ne prévenais-tu celle de mon honneur ? v.678 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Quelle peine importune v.687 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Remet ce corps en butte aux traits de la fortune ? v.688 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Tu me peux accorder ce bien si souhaitable : v.696 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Assez pour sa vertu parle votre renom : v.709 (Acte 3, scène 1, MARCIE)
- Tu cherches qui te fuit, et tu fuis qui te presse : v.712 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Des plus heureux mortels, tu tranches les destins, v.717 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Jusque dans les berceaux tu cherches des butins ; v.718 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Et tu crains mon abord parce que tu m'es chère ; v.719 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Tu trembles, et ton dard s'émousse à ma prière. v.720 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Et vivons pour tuer avant que de mourir. v.746 (Acte 3, scène 1, CRISANTE)
- Qui les tua ? v.780 (Acte 3, scène 2, CLÉODORE)
- Je livre à deux soldats cette fille importune ; v.787 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Ils prennent aux cheveux cette bonne fortune, v.788 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Et tel est le malheur de cette infortunée, v.796 (Acte 3, scène 2, CASSIE)
- Mais n'ayant pas Crisante, elle m'est importune ; v.828 (Acte 3, scène 3, ANTIOCHE)
- En périssant au moins, battu l'orgueil romain ! v.842 (Acte 3, scène 3, ANTIOCHE)
- Et prostitué ce corps à son ardeur infâme ? v.908 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Éprouva ma vertu par la fin de sa vie. v.916 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Sachant en quel état m'avait mis la fortune, v.923 (Acte 3, scène 4, ANTIOCHE)
- Qu'il ne me restait rien qu'une vie importune : v.924 (Acte 3, scène 4, ANTIOCHE)
- Partagez sa fortune, épousez sa grandeur, v.934 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Attends jusqu'à demain, tu seras satisfait ; v.946 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Toi qui vois à quels traits ma fortune est en butte, v.947 (Acte 3, scène 4, CRISANTE)
- Importunes fureurs dont mon âme est pressée ; v.956 (Acte 4, scène 1, CASSIE)
- Relevez,relevez votre esprit abattu, v.989 (Acte 4, scène 2, CLÉODORE)
- En quels lâches pensers se perd votre vertu ? v.990 (Acte 4, scène 2, CL?ODORE)
- Qui n'a pu respecter une vertu si rare ; v.1000 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Adieu, suis de ces lieux, Princesse infortunée, v.1019 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Quelle est mon aventure, ou suis-je ? En quel séjour v.1037 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Dois-je bientôt servir de pâture aux corbeaux, v.1041 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- En vain je me contraints, ma constance abattue v.1055 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Expire sous le faix de l'ennui qui me tue, v.1056 (Acte 4, scène 2, CASSIE)
- Suivons notre fortune et le dessein des Dieux : v.1066 (Acte 4, scène 3, MANILIE)
- Ses efforts importuns sont toujours arrêté ; v.1162 (Acte 4, scène 5, CRISANTE)
- En vertu de la charge ou César m'a commis, v.1225 (Acte 4, scène 5, MANILIE)
- Est d'avoir dérogé de la vertu Romaine, v.1240 (Acte 4, scène 5, CASSIE)
- Par ces gens importuns sont toujours traversées. v.1314 (Acte 5, scène 1, ANTIOCHE)
- Cette illustre vertu qu'aucune autre n'égale. v.1322 (Acte 5, scène 2, CRATÈS)
- Mais que vous déplaisez à mon inquiétude ! v.1337 (Acte 5, scène 2, ANTIOCHE)
- Adieu ; si vous m'aimez, souffrez ma solitude. v.1338 (Acte 5, scène 2, ANTIOCHE)
- À notre affection notre importunité. v.1352 (Acte 5, scène 2, CRATÈS)
- Et dans mon infortune, ai-je si peu de coeur v.1359 (Acte 5, scène 3, ANTIOCHE)
- Tu ne viens que savante et qu'amplement instruite, v.1406 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHE)
- Et tu me feras d'elle un si riche tableau v.1407 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHE)
- Sors si tu ne te hais, et que cette adultère v.1413 (Acte 5, scène 4, ANTIOCHE)
- Voilà ce que tu crus mon coeur et mes délices. v.1421 (Acte 5, scène 5, CRISANTE)
- En vain après le coup tu me veux secourir ; v.1427 (Acte 5, scène 5, CRISANTE)
- Ô funeste aventure ! v.1429 (Acte 5, scène 5, EUPHORBE)
- Monarque malheureux ! princesse infortunée ! v.1437 (Acte 5, scène 5, CRATÈS)
- Le sang que tu répands avec tant d'abondance v.1457 (Acte 5, scène 5, ANTIOCHE)
- Je connais ta vertu, j'apprends ce que je veux. v.1460 (Acte 5, scène 5, ANTIOCHE)
- Ah ! Vous m'importunez par ce soulagement. v.1464 (Acte 5, scène 5, ANTIOCHE)
- Ma constance abattue, v.1493 (Acte 5, scène 5, EUPHORBE)
- Pour accepter ce soin, vainement s'évertue ; v.1494 (Acte 5, scène 5, EUPHORBE)
AMÉLIE (1637)
- Et bien veux-tu savoir l'état de ma fortune ? v.1 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- J'accorde ce discours à ta plainte importune, v.2 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Mais quand tu connaîtras une ardeur si secrète v.5 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Tu gouvernes ma vie et mon affection v.7 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Sais-tu de Dionys le mérite et la grâce, v.9 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Crois-tu qu'en l'univers un autre le surpasse. v.10 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Il considérera sa fortune, et son bien. v.23 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Dieux qu'elle est importune, v.25 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Qu'elle m'a fait de fois détester ma fortune ; v.26 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Que la nature oblige à des règles sévères ! v.34 (Acte 1, scène 1, AM?LIE)
- Ne peux-tu rien pour moi. v.58 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- Tu me promets beaucoup ? v.61 (Acte 1, scène 1, AMÉLIE)
- J'en sais l'invention, quand selon sa coutume v.69 (Acte 1, scène 1, DORISE)
- Mais, si je l'importune ? v.107 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Qu'il entre (a-t-elle dit) car tu peux tout sur moi. v.123 (Acte 1, scène 2, DORISE)
- Vois-tu comme privé de leur douce lumière, v.129 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Vois-tu comme ces fleurs ont perdu leurs appas, v.131 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Quoi ? Tu ne répons rien aux voeux que je te fais ? v.151 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Tu montrais tant de crainte, et tu vois l'espérance, v.153 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Tu ne réputes pas ton destin bienheureux, v.155 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Ô Dieux ! Quel changement arrive à ma fortune, v.161 (Acte 1, scène 2, AMÉLIE)
- Dionys est le sourd et je suis l'importune, v.162 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- J'étais sourde jadis, quand tu me demandais, v.163 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Et tu l'es maintenant pour ce que tu me dois, v.164 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Ta voix n'a-t-elle plus sa douceur coutumière ? v.166 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Et te contentes-tu d'avoir eu ce pouvoir : v.168 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Et tu n'en peux douter, si tu crois que je t'aime. v.170 (Acte 1, scène 2, AM?LIE)
- Tu plais seul à mes yeux, mon coeur est adouci, v.203 (Acte 1, scène 2, DIONYS)
- Pareil à ma fortune, v.217 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- Il ne part rien de moi, qui ne vous importune, v.218 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
- Non, mais de la nature v.229 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Qui vous fit préférable à toute créature v.230 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Mais surtout, as-tu bien figuré mon courage ? v.253 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Ignorant, dois-tu vivre, après cette insolence, v.265 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Me peux-tu reprocher que dans l'occasion v.267 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- Peux-tu de ce malheur accuser mon courage ? v.270 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- As-tu depuis ce temps vu tomber leur tonnerre, v.277 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- N'a traité la vertu, qu'avec irrévérence. v.282 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- Qu'à la même vertu, qu'à la vaillance même ; v.286 (Acte 2, scène 1, LE VALET)
- Dois-je perdre du temps, et vois tu qu'il s'observe v.297 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Quoi depuis que sous moi tu respires le jour v.311 (Acte 2, scène 1, ÉMILE)
- Tu ne sais pas encor où j'ai logé l'amour ? v.312 (Acte 2, scène 1, ?MILE)
- Que dis-tu cher ami de cette invention ? v.323 (Acte 2, scène 2, DIONYS)
- Que tu peux espérer, et sans présomption. v.324 (Acte 2, scène 2, LISIDAN)
- Encor qu'en juges-tu ? v.325 (Acte 2, scène 2, DIONYS)
- Moi, pour qui la fortune a d'extrêmes bontés, v.367 (Acte 2, scène 3, ÉMILE)
- Ce rival importun sort de chez Amélie, v.402 (Acte 2, scène 4, DIONYS)
- Éprouvez la fortune, ou propice, ou cruelle, v.421 (Acte 2, scène 5, LISIDAN)
- Acceptez mon rival, donnez à la fortune v.441 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Ne m'est point importun, si le vôtre est heureux ; v.448 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Par de si beaux ennuis mon âme est combattue, v.449 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Que même en la rendant je bénis qui me tue, v.450 (Acte 2, scène 6, DIONYS)
- Ainsi j'aurai toujours, la fortune contraire, v.466 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Tu perds temps Dionys d'adorer une ingrate, v.473 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Ou de quelque vertu, que l'avare nature, v.497 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- A mise, en mon esprit seulement en peinture ; v.498 (Acte 2, scène 7, DIONYS)
- Et ces rares vertus à qui tout rend les armes. v.526 (Acte 2, scène 8, DIONYS)
- Tu ne souhaitais pas cette inclination v.575 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Ô dieux ! Quelle infortune égale mes ennuis ? v.591 (Acte 2, scène 9, LISIDAN)
- Tu dois bien, insolent, lui prêter du secours, v.669 (Acte 3, scène 3, LE VALET)
- Oui, si tu tiens à gloire v.686 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Ô Dieux, que me dis-tu ? v.688 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Et toi trop de vertu. v.689 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Il n'est inquiétude égale à son souci, v.732 (Acte 3, scène 4, ÉRANTE)
- Ils prisent la vertu, mais prennent la fortune ; v.739 (Acte 3, scène 4, ?RANTE)
- Traitez plus doucement un rebut de fortune, v.774 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Dont l'entretien déplaît, dont l'abord importune, v.775 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- La belle couverture a son ingratitude. v.778 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Qu'il me tient ces discours après un long étude, v.779 (Acte 3, scène 5, ?RANTE)
- Dont tu ne peux qu'en vain espérer la pitié, v.788 (Acte 3, scène 5, ?RANTE)
- Sachant son infortune, et votre changement ? v.805 (Acte 3, scène 5, DIONYS)
- Lâche, présomptueux, et superbe vainqueur, v.829 (Acte 3, scène 5, ÉRANTE)
- Tu refuses des voeux à son humilité, v.852 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Ne dois-tu rien cruel à la mélancolie. v.854 (Acte 3, scène 6, AM?LIE)
- Si tu dois aux attraits, tu lui dois plus qu'à moi, v.856 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Crois-tu qu'elle en ait moins ? v.857 (Acte 3, scène 6, AM?LIE)
- Tu condamnes bientôt l'amitié la plus rare, v.898 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Que ferais-tu pour moi ? v.902 (Acte 3, scène 6, AM?LIE)
- Et sois vain si tu veux de ma confession. v.909 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- N'es-tu pas résolu. v.934 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- Adieu, mais sois discret, si tu veux m'obliger, v.940 (Acte 3, scène 6, AMÉLIE)
- De quelle injure, hélas ! Me trouves-tu coupable ? v.954 (Acte 3, scène 7, AMÉLIE)
- Fais-moi, si tu le peux, une plainte équitable, v.955 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Ne vois-tu pas en moi l'amitié la plus pure, v.958 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Que jamais à des soeurs enseigna la nature ? v.959 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- M'as-tu vue autrefois révéler tes secrets, v.960 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Que profiteras-tu, si je suis misérable ; v.963 (Acte 3, scène 7, AMÉLIE)
- N'as-tu pour mon sujet, ni pitié, ni douceur, v.964 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Ne donneras-tu rien au sacré nom de soeur ? v.965 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Tu me vouais jadis une amitié si nue, v.966 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Las ! Si tu n'as plus rien de ces rares bontés, v.968 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Si tu les as encor, comment la bonté même, v.970 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Mais ce présomptueux a ce coeur irrité, v.976 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Je suis sage, et divine, et tu m'estimes fort v.980 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Tu ne me traitais pas avecque tant de gloire, v.983 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Tu croyais seulement m'être considérable ? v.987 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Tu les attribuais au pouvoir de tes yeux ? v.989 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Et tu ne devais pas les payer de mépris. v.1001 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Ainsi jamais amour ne te soit importune, v.1018 (Acte 3, scène 7, AMÉLIE)
- Et le ciel à tes voeux, égale ta fortune. v.1019 (Acte 3, scène 7, AM?LIE)
- Tu te pourrais passer d'irriter mon amour, v.1032 (Acte 3, scène 7, ÉRANTE)
- Tu sais que ton objet m'est plus cher que le jour ; v.1033 (Acte 3, scène 7, ?RANTE)
- Ce n'est pas ma coutume. v.1042 (Acte 3, scène 8, LE VALET)
- Tu sais bien m'obliger, et servir mon amour, v.1044 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Tu consultes perfide, en cette extrémité ? v.1053 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Tu n'es pas un objet digne de mon courage. v.1054 (Acte 3, scène 8, ?MILE)
- Quoi tu souffres ce traître, v.1058 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Ajoutez cette gloire à vos rares vertus. v.1066 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Je n'ai point de pitié pour des coeurs abattus, v.1067 (Acte 3, scène 8, ÉMILE)
- Tu ne te défends pas ? v.1070 (Acte 3, scène 8, ?MILE)
- Tu dois à mon offense un juste châtiment ; v.1078 (Acte 3, scène 8, DIONYS)
- Arbres, rochers, aimable solitude, v.1118 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Puis-je parler de mon inquiétude ? v.1119 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Quel destin m'a sauvée, et quelle ingratitude, v.1135 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- A prolongé ma vie, et mon inquiétude ; v.1136 (Acte 4, scène 1, CLORIS)
- Ô Ciel ! Est-ce trop peu, de ma dure infortune, v.1167 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- Sans qu'on l'accroisse encore, et sans qu'on m'importune : v.1168 (Acte 4, scène 2, CLORIS)
- N'as-tu rien découvert d'une telle entreprise, v.1183 (Acte 4, scène 3, LE PÈRE)
- N'as-tu pu divertir sa perte, et mon malheur ? v.1186 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Tu voyais les ardeurs qu'elle a pour Dionys, v.1189 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Et tu pouvais prévoir mes tourments infinis. v.1190 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Qu'un simple citoyen, sans honneur, sans fortune, v.1207 (Acte 4, scène 3, LE PÈRE)
- Ma fortune, plutôt se verra dissipée, v.1212 (Acte 4, scène 3, LE P?RE)
- Neptune en fut jaloux, et cet effroi des âmes, v.1274 (Acte 4, scène 4, CLORIS)
- Aveugle ! Ha tu ne l'es qu'en portraits seulement, v.1442 (Acte 5, scène 1, DIONYS)
- Enfant ; tu ne l'es pas, et tant de prévoyance v.1444 (Acte 5, scène 1, DIONYS)
- Non, tu n'obliges point à de sévères lois, v.1446 (Acte 5, scène 1, DIONYS)
- Tu mérites le nom du plus juste des Rois : v.1447 (Acte 5, scène 1, DIONYS)
- Et d'ennuis infinis, ma fortune comblée : v.1477 (Acte 5, scène 2, CLORIS)
- Ô Dieux ! Qu'ai-je entendu, tu me dois ôter l'âme, v.1484 (Acte 5, scène 2, DIONYS)
- Qu'est-ce que tu me dis ? v.1524 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- En ce lieu frais, et doux, mon importune envie v.1528 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Prouve en ne m'aimant plus, que tu m'aimas jadis, v.1547 (Acte 5, scène 2, AMÉLIE)
- Ô Dieux ! Que me dis-tu ? Rompons leur entreprise, v.1564 (Acte 5, scène 3, ÉRANTE)
- Un secret importun, adorable merveille, v.1580 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Hélas, m'est elle due ? Et la crois-tu coupable, v.1592 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Et n'importune plus l'objet de ton amour : v.1619 (Acte 5, scène 3, LISIDAN)
- Qu'à propos cher ami, tu me viens obliger ; v.1634 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Et que tu m'as tiré d'un extrême danger. v.1635 (Acte 5, scène 3, DIONYS)
- Tu veux de mon amour une preuve inutile, v.1644 (Acte 5, scène 4, AMÉLIE)
- Si tu joins ton avis à mon opinion. v.1647 (Acte 5, scène 4, AM?LIE)
- Mais oubliez plutôt les ardeurs importunes, v.1746 (Acte 5, scène 5, ÉRASTE)
- Qui m'ont fait si longtemps, traverser vos fortunes. v.1747 (Acte 5, scène 5, ?RASTE)
- Tu n'as pas dû, perfide, après tant d'insolence, v.1778 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Tu délibères. v.1782 (Acte 5, scène 6, DIONYS)
- Es-tu si vain encor, que d'aborder Madame ? v.1791 (Acte 5, scène 6, DIONYS)
- Ne me réplique pas, sors, ou tu ne vis plus. v.1793 (Acte 5, scène 6, DIONYS)
- Dois-tu m'attribuer le titre d'infidèle, v.1799 (Acte 5, scène 6, ÉMILE)
- Que tu dois conserver, de ma persévérance ; v.1803 (Acte 5, scène 6, ?MILE)
LE BÉLISSAIRE (1644)
- De quel trouble importun est mon âme saisie ? v.40 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Lâche, que tardes-tu ? L'occasion est belle. v.51 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Sa vertu reconnue, et l'envie étouffée ; v.60 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Que résous-tu mon coeur, mon bras qu'entreprends-tu ? v.69 (Acte 1, scène 2, LÉONSE)
- Quelle rage tiendrait devant tant de vertu ? v.70 (Acte 1, scène 2, L?ONSE)
- Venge-toi du forfait que tu fais avorter, v.77 (Acte 1, scène 2, L?ONSE)
- Tu m'as fait des leçons contre la violence, v.79 (Acte 1, scène 2, L?ONSE)
- Tu désarmes ce bras avecque ta clémence ; v.80 (Acte 1, scène 2, L?ONSE)
- Vous m'ôtez un ami, pensant tuer un traître ; v.92 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Puissant appui des bons, tu sais mon innocence ; v.144 (Acte 1, scène 2, BÉLISSAIRE)
- À ce présomptueux mes yeux m'avaient vouée, v.168 (Acte 1, scène 3, THÉODORE)
- Ne vois-tu pas qu'encor, pour comble de l'horreur v.193 (Acte 1, scène 3, THÉODORE)
- Est-ce, lâche, est-ce ainsi que tu tiens ta promesse. v.216 (Acte 1, scène 4, THÉODORE)
- Pour n'être pas sensible à sa bonne fortune, v.247 (Acte 1, scène 5, THÉODORE)
- Sans besoin de mes biens, tu tiens tout de toi-même, v.275 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Tu rétablis, accrois et soutiens mes États, v.277 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- N'as-tu pas devant moi mes droits et mes Couronnes, v.279 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Si tu me les acquiers, et si tu me les donnes, v.280 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- T'offrant moins que celui pour qui tu les as faits ; v.330 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Possédant l'Empereur, tu possèdes l'Empire, v.332 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Dieux ! Peux-tu ma raison conserver ton usage, v.343 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Lève-toi, que fais-tu ? Me peut-on voir sans blâme, v.348 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Fléchir où tu peux tout, prier où tu commandes ; v.351 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Non, non, accorde toi ce que tu me demandes, v.352 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Et puise en ton pouvoir ce que tu peux du mien. v.354 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Ô vertu sans exemple, et digne qu'on t'adore ! v.356 (Acte 1, scène 6, LÉONSE)
- L'envie à sa fortune a fait ce mauvais tour ; v.361 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Oui, rentre dans les rangs que tu tiens en ma Cour, v.370 (Acte 1, scène 6, L'EMPEREUR)
- Prodige de vertu, gloire de cet État ! v.374 (Acte 1, scène 6, LÉONSE)
- Lâche, est-ce là l'ardeur que tu faisais paraître, v.379 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Et sans ingratitude attenter sur sa vie ? v.383 (Acte 1, scène 6, LÉONSE)
- Je te pourrai servir comme tu m'as servie. v.384 (Acte 1, scène 6, THÉODORE)
- Ô doute qui me trouble ! Ô soupçon qui me tue ! v.388 (Acte 1, scène 6, BÉLISSAIRE)
- Tuez ce qui vous tue, armez-vous de constance, v.427 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- Aujourd'hui, pour le moins, souffrez ma solitude, v.439 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- Et m'abandonnez toute à mon inquiétude. v.440 (Acte 2, scène 2, ANTHONIE)
- L'Empire florissant que tu veux m'asservir, v.517 (Acte 2, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Vaut moins que l'amoureux que tu me veux ravir : v.518 (Acte 2, scène 5, B?LISSAIRE)
- M'oblige à faire voir à toute la nature, v.535 (Acte 2, scène 6, L'EMPEREUR)
- Tu partages mon trône aussi bien que mon coeur ; v.538 (Acte 2, scène 6, L'EMPEREUR)
- Ordonne qui des trois tu veux qui la régisse, v.543 (Acte 2, scène 6, L'EMPEREUR)
- Tu mérites un nom par-dessus tous les titres ; v.548 (Acte 2, scène 6, L'EMPEREUR)
- Sans ta faveur, Amour, toute autre m'importune, v.551 (Acte 2, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Un peu plus de la tienne, et moins de la Fortune ; v.552 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Tu m'obligeras plus d'un trait de ta pitié, v.553 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- De tous trois la vertu pareille et sans seconde, v.559 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Cet heur injustement lui serait débattu, v.573 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Et ce grade éminent est peu pour sa vertu ; v.574 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Souscrivons à l'arrêt qu'a rendu la Fortune. v.576 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Que tu viens à propos, sommeil officieux, v.577 (Acte 2, scène 7, B?LISSAIRE)
- Du grand soin qu'ont de lui son astre et sa fortune ; v.620 (Acte 2, scène 8, NARSÈS)
- Sa vertu le mérite, et le Ciel me l'ordonne, v.627 (Acte 2, scène 8, NARS?S)
- Au bas de ce papier cette fraîche écriture v.643 (Acte 2, scène 9, BÉLISSAIRE)
- Nous pourra de l'énigme expliquer l'aventure ; v.644 (Acte 2, scène 9, B?LISSAIRE)
- Et par notre vertu désarmons la Fortune. v.660 (Acte 2, scène 9, B?LISSAIRE)
- Connais-tu cet écrit ? v.698 (Acte 2, scène 12, L'EMPEREUR)
- Tu portes ma frayeur à son dernier excès. v.718 (Acte 2, scène 13, THÉODORE)
- Sans privilège aucun de sang, ni de nature, v.727 (Acte 2, scène 13, L'EMPEREUR)
- Et le trépas est doux à qui tue en mourant. v.746 (Acte 2, scène 14, THÉODORE)
- Leurs voeux sont mutuels, renonce à ton attente v.751 (Acte 2, scène 15, THÉODORE)
- Si tu ne perds l'Amant pour acquérir l'Amante. v.752 (Acte 2, scène 15, TH?ODORE)
- Vois ce que tu promets, Léonse, comme toi, v.765 (Acte 2, scène 16, THÉODORE)
- En effet, la vertu qui nous oblige à lui, v.773 (Acte 2, scène 16, LÉONSE)
- Tu peux sans trahison le prendre au dépourvu. v.778 (Acte 2, scène 16, THÉODORE)
- Périssons ou perdons ce qui nous importune, v.787 (Acte 2, scène 17, THÉODORE)
- Laissons-en le succès au soin de la Fortune ; v.788 (Acte 2, scène 17, TH?ODORE)
- Ta vertu me surprend, plus qu'ils ne m'ont surpris ; v.806 (Acte 2, scène 18, PHILIPPE)
- Adieu, le Ciel te soit tel que tu m'as été. v.810 (Acte 2, scène 18, PHILIPPE)
- Ma vertu m'appuyant, rien ne peut m'émouvoir, v.845 (Acte 3, scène 1, BÉLISSAIRE)
- Plus je me plains, ingrate, et moins tu m'es humaine, v.859 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Et de votre vertu conserverait le prix, v.925 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Tu ne dis mot ? v.945 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- M'aimes-tu ? v.945 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- N'aurais-je pas d'amour pour la même vertu ? v.946 (Acte 3, scène 2, PHILIPPE)
- Tu dois donc m'avouer. v.947 (Acte 3, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Gloire de la nature et du siècle où nous sommes, v.983 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Tu serais le premier des Rois comme des Hommes, v.984 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Tu dois être un rayon de l'essence divine, v.988 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Ou qui l'effectuera m'ôtera la lumière ; v.1011 (Acte 3, scène 4, L'EMPEREUR)
- Après ta lâcheté tu peux encor paraître ? v.1016 (Acte 3, scène 5, THÉODORE)
- Fera, malgré mes soins, l'aventure tragique. v.1040 (Acte 3, scène 5, PHILIPPE)
- Ne sais-tu pas, v.1045 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Tu ne me fasses tort, en rompant son repos, v.1058 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- En la moitié de moi que tu vois sommeiller. v.1062 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Que ton ingratitude est sans comparaison, v.1074 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- L'éclat d'une fortune, et le cours d'une vie, v.1076 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Tu veux désespérée ôter par ta furie v.1095 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- À qui tant de vertu procure tant d'envie, v.1108 (Acte 3, scène 5, L'EMPEREUR)
- Quel importun sommeil s'est glissé sous mes yeux ? v.1122 (Acte 3, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Au prix de la vertu mesurent la fortune ; v.1144 (Acte 3, scène 6, L'EMPEREUR)
- César doit sa fortune à ses bras indomptés, v.1153 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Ce refus m'importune ; v.1159 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Ta main l'honore plus qu'il n'accroît ta fortune ; v.1160 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Et du rang souverain que tu tiens en l'Empire, v.1171 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Si, sans le mériter, ma fortune est si grande, v.1175 (Acte 3, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Que dis-tu ? v.1176 (Acte 3, scène 7, L'EMPEREUR)
- Qui jamais entendit une telle aventure. v.1199 (Acte 3, scène 7, LÉONSE)
- Arrête ici, Fortune, arrête ici ta roue. v.1204 (Acte 3, scène 7, BÉLISSAIRE)
- Que sous moi la Fortune a mis plus bas que l'herbe, v.1236 (Acte 4, scène 1, THÉODORE)
- Qu'autant que votre hymen, votre vertu vous donne ; v.1304 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Comme futur vassal de votre Majesté, v.1305 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- Je fus respectueux, et non pas insensible ; v.1316 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- Témoignons-lui : mais lâche ! À quoi te résous-tu ? v.1361 (Acte 4, scène 2, THÉODORE)
- Sois-moi propice, ô Ciel ! Et soutiens ma vertu ! v.1362 (Acte 4, scène 2, BÉLISSAIRE)
- J'ai d'un coeur invincible affronté la Fortune, v.1363 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- J'ai vu d'un oeil constant le courroux de Neptune, v.1364 (Acte 4, scène 2, B?LISSAIRE)
- L'envie ; ô dure servitude ! v.1419 (Acte 4, scène 4, ANTHONIE)
- Que tu m'es importune, et que ton joug est rude ! v.1420 (Acte 4, scène 4, ANTHONIE)
- Enfin tu reconnais, chétive Souveraine, v.1423 (Acte 4, scène 5, THÉODORE)
- Il foule tous les coeurs à ses pieds abattus, v.1429 (Acte 4, scène 5, TH?ODORE)
- Et tient de grands mépris pour de grandes vertus : v.1430 (Acte 4, scène 5, TH?ODORE)
- Et l'ennui qui me tue, et l'affront qui vous touche ; v.1460 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Contre mes sentiments j'ai longtemps combattu ; v.1525 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Et le Ciel, cependant, va payer ma vertu, v.1526 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Ô revers de fortune, à mon repos contraire ! v.1539 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- J'en connais l'écriture, elle est de Bélisaire ; v.1540 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Ni le commun débris de toute la nature, v.1553 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Ne m'étonnerait pas, comme cette aventure ; v.1554 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Ma raison, ma vertu, faites votre devoir, v.1592 (Acte 4, scène 8, L'EMPEREUR)
- Ô noire ingratitude ! Ô lâche trahison ! v.1604 (Acte 4, scène 9, L'EMPEREUR)
- En vain tu m'attendris, inutile pitié, v.1607 (Acte 4, scène 9, L'EMPEREUR)
- Dans le commun débris de toute la nature ; v.1618 (Acte 4, scène 9, BÉLISSAIRE)
- Ô Terre tu le sais ! Je vous atteste, ô Cieux ! v.1619 (Acte 4, scène 9, B?LISSAIRE)
- Je deviens importun, on me souffre avec peine ! v.1622 (Acte 4, scène 10, BÉLISSAIRE)
- Mais quel ? Sinon qu'enfin Fortune se lasse ; v.1626 (Acte 4, scène 10, B?LISSAIRE)
- Devant ce changement, j'ai connu la Fortune. v.1693 (Acte 5, scène 3, BÉLISSAIRE)
- Détruis-tu ton ouvrage, inconstante Déesse ? v.1702 (Acte 5, scène 4, BÉLISSAIRE)
- Arbitre souverain des fortunes humaines, v.1729 (Acte 5, scène 5, BÉLISSAIRE)
- Après avoir ouï ma mauvaise fortune, v.1733 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Le médiocre état d'une fortune basse, v.1817 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Le Crocodile, ainsi, tue en versant des pleurs, v.1823 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Mais je vous ai gardé cette vertu sincère, v.1837 (Acte 5, scène 5, B?LISSAIRE)
- Je souffre, je l'avoue, en cette inquiétude, v.1873 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- Un reproche secret de mon ingratitude ; v.1874 (Acte 5, scène 6, L'EMPEREUR)
- D'aveugler sans flambeau la fortune publique, v.1938 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Ni souiller sa vertu d'aucun trait de faiblesse, v.1954 (Acte 5, scène 8, PHILIPPE)
- Ha ! S'il m'était permis, après cette aventure, v.1977 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- De répandre le sang dessus ta sépulture, v.1978 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Agréable ennemi, que tu m'y verrais prêt ! v.1980 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
- Du pied du Tribunal, où tu vas rendre compte v.1981 (Acte 5, scène 8, L'EMPEREUR)
LE VÉRITABLE SAINT GENEST (1648)
- De ce présomptueux appuyer l'insolence ; v.18 (Acte 1, scène 1, VALÉRIE)
- Et qu'un trouble importun vous naît mal à propos, v.67 (Acte 1, scène 1, CAMILLE)
- Mais me répondras-tu des caprices du sort ? v.72 (Acte 1, scène 1, VALÉRIE)
- Que veux-tu ? v.89 (Acte 1, scène 2, VALÉRIE)
- Et sa haute vertu, réparant sa naissance, v.113 (Acte 1, scène 3, DIOCLÉTIAN)
- Le rang par vos vertus acquis entre les dieux ; v.132 (Acte 1, scène 3, MAXIMIN)
- Quant à sa vertu seule, il faut devoir sa gloire ; v.138 (Acte 1, scène 3, MAXIMIN)
- L'autre, par sa vertu, répare son défaut, v.156 (Acte 1, scène 3, DIOCLÉTIAN)
- Supplée à la nature, élève sa bassesse, v.157 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Ont-ils pour leur vertu vu des sceptres aux mains ? v.160 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Dois mon sceptre à moi-même, et rien à la nature, v.178 (Acte 1, scène 3, DIOCL?TIAN)
- Si parmi vos sujets, une abjecte fortune, v.209 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Et l'Empire absolu que tu prends sur une âme, v.237 (Acte 1, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- Tu me fais en toi seul maître de mille rois. v.244 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Qu'un seul mot, (quand tu veux,) un pas, une action, v.247 (Acte 1, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Jusqu'aux siècles futurs, conservera la gloire ; v.262 (Acte 1, scène 5, GENEST)
- Dont tu feins d'un chrétien le zèle et l'allégresse, v.294 (Acte 1, scène 5, VALÉRIE)
- Met (par une aventure incroyable aux neveux) v.311 (Acte 1, scène 5, MAXIMIN)
- Faire un jour naturel, au jugement des yeux ; v.324 (Acte 2, scène 1, GENEST)
- Et comme à la nature, est nuisible à notre art, v.331 (Acte 2, scène 1, DECORATEUR)
- La torture, le fer, et la flamme t'attend, v.339 (Acte 2, scène 2, GENEST)
- De combien d'importuns j'ai la tête étourdie ! v.350 (Acte 2, scène 3, MARCELE)
- De lutins importuns, qu'engendre le théâtre ; v.362 (Acte 2, scène 3, MARCELE)
- J'ai vu, ciel, tu le sais, par le nombre des âmes v.393 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- J'ai vu, ciel, tu le sais, par le nombre des âmes v.397 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Je sais (pour l'éprouver) que par un long étude, v.405 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- L'art de nous transformer, nous passe en habitude ; v.406 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Passent, et l'habitude, et la force de l'art, v.408 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Tu n'imiteras point en vain ; v.422 (Acte 2, scène 4, VOIX DU CIEL)
- Pour me toucher le coeur, me frappes-tu l'oreille ? v.426 (Acte 2, scène 4, GENEST)
- Allons ; tu m'as distrait d'un rôle glorieux, v.447 (Acte 2, scène 5, GENEST)
- Le théâtre aujourd'hui, superbe en sa structure, v.461 (Acte 2, scène 6, PLANCIEN)
- Admirable en son art, et riche en sa peinture, v.462 (Acte 2, scène 6, PLANCIEN)
- Et remourir ce traître après sa sépulture, v.473 (Acte 2, scène 6, MAXIMIN)
- La torture, le fer, et la flamme t'attend ; v.481 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- J'ai vu, ciel, tu le sais, par le nombre des âmes v.495 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- J'en ai vu, que le temps prescrit par la nature, v.503 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Était prêt de pousser dedans la sépulture, v.504 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Non, non, cette vertu, Seigneur, vient de ta main, v.514 (Acte 2, scène 7, ADRIAN)
- Devait après la mort perpétuer vos jours ! v.626 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Si votre bon génie attend l'heure opportune, v.631 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Savez-vous les emplois dont vous courez fortune ? v.632 (Acte 2, scène 8, FLAVIE)
- Ils seront sans vertu, comme elles sont frivoles. v.656 (Acte 2, scène 8, ADRIAN)
- De ceux que la fortune attache à nos côtés ? v.709 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- De franchise sans fard, de vertu qu'offusquée, v.715 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Ainsi notre fortune, avec tout son éclat, v.725 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Si tu ne divertis la peine où tu t'exposes, v.763 (Acte 3, scène 2, MAXIMIN)
- Mais que comme la vie, et comme la fortune, v.807 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Ce que tu vois enfin, ce corps chargé de chaînes, v.815 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Je les ai combattus, ces effets m'ont vaincu ; v.825 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Ta jeunesse, tes biens, ta vertu, ta beauté, v.837 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Noyes-tu de tes pleurs ces oeillets et ces roses ? v.840 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Que fais-tu ? Tu me suis ! Quoi tu m'aimes encore ? v.843 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Tu saurais que la mort, par qui l'âme est ravie, v.847 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Puisqu'au chemin du Ciel, tu veux suivre mes pas, v.861 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Et quand as-tu conçu ce généreux dessein ? v.866 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Tu sais, s'il t'en souvient, de quelle résistance v.875 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Va, me dit-elle à part, va fille infortunée, v.884 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- (Si tu l'as observé) ne m'a coûté d'hostie ; v.900 (Acte 3, scène 5, NATALIE)
- Y pouvais-tu répondre, et me tenir cachée v.911 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Peux-tu, sans t'émouvoir, avoir vu ton époux, v.913 (Acte 3, scène 5, ADRIAN)
- Ô vertu sans égale, et sur toutes insigne ! v.975 (Acte 3, scène 6, FLAVIE)
- Comparés aux futurs, sont doux, ou peu cuisants ! v.990 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- D'où tu sors, où tu vas, et quel objet t'anime ! v.992 (Acte 3, scène 6, NATALIE)
- Seigneur, le bruit confus d'une foule importune, v.1023 (Acte 3, scène 8, GENEST)
- De gens qu'à votre suite attache la fortune, v.1024 (Acte 3, scène 8, GENEST)
- Vous attire toujours cette importunité. v.1030 (Acte 3, scène 8, DIOCLÉTIAN)
- D'un infaillible pas tu cours au précipice ; v.1036 (Acte 4, scène 2, FLAVIE)
- Verras-tu ma visite acquitter ma promesse ! v.1092 (Acte 4, scène 3, ADRIAN)
- Les fruits de la vertu sont partout précieux ; v.1098 (Acte 4, scène 3, ADRIAN)
- Du Dieu que tu trahis, je partage l'injure ; v.1107 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Dont la seule menace ébranle la vertu, v.1113 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Qui met les armes bas, sans avoir combattu ; v.1114 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Va, perfide, aux tyrans, à qui tu t'es rendu, v.1117 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Traître, qu'espères-tu de cette lâcheté ? v.1126 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Et tu viens, rejeté de la terre et des cieux v.1133 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Je te vais détromper, où cours-tu ma chère âme ? v.1140 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- La palme qu'aujourd'hui tu perds, faute de coeur ; v.1142 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Pour quelle défiance altères-tu ma gloire ? v.1147 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Mais qu'auparavant moi, Dieu lui-même a battu, v.1161 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Te retenir un lieu, digne de ta vertu. v.1162 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- De vaincre la nature en cet heureux malheur, v.1165 (Acte 4, scène 4, ADRIAN)
- Sans gardes et sans fers, tu m'avais suscité : v.1170 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Un Dieu te soutiendra, si tu soutiens sa foi. v.1174 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- La part qu'il te demande, et que tu tiens de lui ; v.1182 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Et pour qui toutefois, la nature aveuglée, v.1187 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Quoi, le vol que tu prends vers les célestes plaines, v.1203 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Tu peux parler en homme, et non pas en martyr ? v.1206 (Acte 4, scène 4, NATALIE)
- Et le noble mépris que tu fais de tes jours, v.1217 (Acte 4, scène 5, ANTHYME)
- Tu m'enrôles au rang de tant d'heureux soldats, v.1233 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Ha, Lentule ! En l'ardeur dont mon âme est pressée, v.1243 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Descends, céleste acteur ; tu m'attends ! Tu m'appelles ! v.1255 (Acte 4, scène 5, ADRIAN)
- Et vous, chers compagnons de la basse fortune, v.1287 (Acte 4, scène 7, GENEST)
- Ta feinte passe enfin pour importunité. v.1373 (Acte 4, scène 7, DIOCLÉTIAN)
- Quoi, tu renonces, traître, au culte de nos dieux ! v.1377 (Acte 4, scène 7, DIOCLÉTIAN)
- Simple, ainsi de César tu méprises la grâce ! v.1395 (Acte 4, scène 7, CAMILLE)
- Les anges quelque jour, des fers que tu m'ordonnes, v.1403 (Acte 4, scène 8, GENEST)
- Et vous, qui sous même art courrez même fortune, v.1407 (Acte 4, scène 9, PLANCIEN)
- Par quelle divine aventure, v.1431 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Essai de la gloire future, v.1433 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Descends-tu des célestes plaines, v.1439 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Et l'art imitant la nature, v.1458 (Acte 5, scène 1, GENEST)
- Si tu ne fais pour toi, si le jour ne t'est cher, v.1473 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Que t'étant si cruel, tu nous seras plus doux, v.1477 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Et qu'obstiné pour toi, tu fléchiras pour nous. v.1478 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Si tu nous dois chérir, c'est en cette occurrence, v.1479 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Tu seras seul coupable ; et nous tous en effet, v.1485 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- De gens, qui dépourvus des biens de le fortune, v.1503 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Trouve dans leur malheur la lumière importune, v.1504 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Tu te ris du vulgaire, et lui laisses ses fables ; v.1516 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- À ce culte nouveau, tu te feins attaché ; v.1518 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Peut-être que tu plains ta jeunesse passée, v.1519 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Tu l'as assez suivi, pour être plus heureux ; v.1522 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Le mérite bien tard y trouve la fortune, v.1524 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Mais quel secours, hélas ! Attends-tu des chrétiens ? v.1538 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- M'ouvrant la sépulture, ils m'ouvriront les cieux. v.1602 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Au seul nombre des ans, prescrits par la nature ; v.1608 (Acte 5, scène 2, GENEST)
- Ainsi rien ne te touche, et tu nous abandonnes. v.1615 (Acte 5, scène 2, MARCELE)
- Marque votre vertu, plus que votre fortune ; v.1632 (Acte 5, scène 5, DIOCLÉTIAN)
- Les dieux, premiers auteurs des fortunes des hommes, v.1635 (Acte 5, scène 5, DIOCL?TIAN)
- Et d'un soin importun, arracher de sa main, v.1693 (Acte 5, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- Je connais son mérite, et plains votre infortune ; v.1703 (Acte 5, scène 6, DIOCLÉTIAN)
- En faveur toutefois de l'hymen fortuné, v.1709 (Acte 5, scène 6, DIOCL?TIAN)
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LA DIANE (1635)
- Poursuis, trahis ce traître, amante infortunée, v.5 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Tu dois cette faveur aux voeux que je te rends : v.15 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Et tu m'as mise au point de servir la maîtresse v.17 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Épouse la fortune aveugle comme lui : v.24 (Acte 1, scène 1, DIANE)
- Comment m'appelles-tu ? je t'ai tant conjurée v.33 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Cruelle ! As-tu dessein qu'on me connaisse ici, v.35 (Acte 1, scène 2, C?LIR?E)
- Et ne sais-tu pas bien que l'on m'appelle ainsi ? v.36 (Acte 1, scène 2, C?LIR?E)
- (Car il a su jadis vos ardeurs mutuelles), v.66 (Acte 1, scène 2, DOROTHÉE)
- Ô dieux ! Que me dis-tu ! Va le trouver, de grâce ; v.73 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Je veux trahir Orante, et tu m'es désirable, v.81 (Acte 1, scène 2, CÉLIRÉE)
- Tu ne peux, sans me faire tort, v.122 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- N'appelle point leur rigueur importune ; v.124 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Je recherche Diane, et non pas sa fortune. v.127 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Faites votre pouvoir. Dieux ! Que cette aventure v.145 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Tu plais seul à mes yeux, et jamais Lysimant v.151 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Et tu m'offres le port au milieu du naufrage. v.158 (Acte 1, scène 3, ORANTE)
- Tu me tiens longuement. v.220 (Acte 1, scène 5, FILÉMON)
- D'où sais-tu qui je suis ? Et qui t'a dit mon nom ? v.264 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- A, pauvre infortuné, troublé ta fantaisie ? v.266 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Ne sais-tu pas, Damon, qu'Amour peut tout changer ? v.267 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Pourquoi ne peux-tu voir que sa force me change v.269 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Mais tu te ris déjà de ma simplicité, v.288 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Ces couleurs que tu vois le font assez connaître. v.294 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Mais tu ne réponds pas des heures que je perds : v.299 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Tu m'offenses, Damon. Adieu, car on m'appelle. v.306 (Acte 2, scène 2, SYLVIAN)
- Faites mourir le père, ou tuez le profane. v.314 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- La grâce et la vertu ne sont plus adorées ; v.345 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Ainsi tu n'as conçu qu'une espérance vaine, v.353 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Plus Diane d'effet que tu ne l'es de nom ! v.356 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Ainsi tu vois ma vie en sa borne prescrite, v.357 (Acte 2, scène 3, LYSIMANT)
- Que me veux-tu, lâche, aveugle, profane ? v.365 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Adieu, je suis Orante, et tu cherches Diane. v.366 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Où la stupidité signale ton esprit, v.380 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Ou tu passes pour rare et pour charmeur des âmes, v.382 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Non, ne dis rien. Que me peux-tu répondre, v.385 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- N'as-tu pas pour Diane eu de la passion ? v.387 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Peux-tu désavouer cette inclination ? v.388 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Que tu fais à ta honte une faible défense ! v.393 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Tu voulais, effronté, qu'il eût part en mon sein ! v.400 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Tu le crois mériter des plaisirs légitimes, v.401 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Et tu me présentais cette source de crimes ! v.402 (Acte 2, scène 4, ORANTE)
- Sans dessein de vous faire une importune plainte, v.409 (Acte 2, scène 5, FILÉMON)
- Tu joins en te vengeant, unique objet que j'aime, v.433 (Acte 2, scène 6, LYSIMANT)
- Sers-tu chez Filémon ? v.463 (Acte 2, scène 7, LYSIMANT)
- Tu sais donc bien mon nom ? v.464 (Acte 2, scène 7, LYSIMANT)
- Et me rends ma franchise aux lieux où tu l'a pris ; v.492 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Toutefois, vains auteurs de mon inquiétude, v.497 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Pensers qui me parlez de son ingratitude, v.498 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Qui trouve également tous devoirs importuns, v.551 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Tu verras mon trépas aussitôt que le jour v.579 (Acte 3, scène 3, ORANTE)
- Ah ! Ce nom seul me tue et m'arrête la voix !... v.584 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- De l'objet importun de leurs premières flammes : v.594 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Que j'aime ce volage ? hé quoi, ne sais-tu pas v.611 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- « Ma fille, m'a-t-il dit, si tu sers Filémon, v.623 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Le père de Madame, et si tu sais mon nom, v.624 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Qu'elle doit mes écrits à l'importunité, v.635 (Acte 3, scène 4, C?LIR?E)
- Crois-tu qu'il se résolve à rompre sa promesse ? v.654 (Acte 3, scène 4, ORANTE)
- Fils d'une Portugaise, et qui n'eut qu'une soeur v.671 (Acte 3, scène 4, CÉLIRÉE)
- Je bénirai cent fois l'amour et la fortune, v.701 (Acte 3, scène 6, ORIMAND)
- Pour elle Florimant déteste sa fortune, v.717 (Acte 3, scène 7, FILÉMON)
- Alidor la poursuit, Filidan l'importune, v.718 (Acte 3, scène 7, FIL?MON)
- Et tu m'obligeras d'une faveur extrême. v.749 (Acte 3, scène 9, DIANE)
- Que le ciel a sauvé des efforts de Neptune, v.761 (Acte 3, scène 10, DIANE)
- Et qui revient chez vous établir sa fortune. v.762 (Acte 3, scène 10, DIANE)
- Si tu le dois jamais, et si le seul Ariste v.789 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- J'accorde à tes désirs cet amant fortuné, v.791 (Acte 4, scène 2, FIL?MON)
- Pour qui ta passion m'a tant importuné... v.792 (Acte 4, scène 2, FIL?MON)
- Peux-tu désapprouver cet heureux mariage ? v.794 (Acte 4, scène 2, FIL?MON)
- Et n'as-tu plus dessein d'être à ce jeune Mars ? v.796 (Acte 4, scène 2, FIL?MON)
- Que pour souffrir toujours et vivre infortunée. v.798 (Acte 4, scène 2, ORANTE)
- Comment, tu hais Ariste ? v.799 (Acte 4, scène 2, FILÉMON)
- Gardes-tu pour ce coeur encor de nouveaux feux, v.863 (Acte 4, scène 3, LYSIMANT)
- Peux-tu perdre ton coeur sans perdre aussi le sens ? v.896 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- N'est pas, infortuné, permise à tes desseins, v.904 (Acte 4, scène 5, LYSIMANT)
- C'est là qu'il faut oser, et qu'un coeur abattu v.931 (Acte 4, scène 7, CÉLIRÉE)
- Fait de l'obéissance une lâche vertu. v.932 (Acte 4, scène 7, C?LIR?E)
- Ô dieux ! Causant sa peine et son inquiétude, v.981 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Que vous êtes injuste en votre ingratitude ! v.982 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Mais las ! Quelle infortune égale sa disgrâce ! v.989 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Mais que j'ai des parents dont l'humeur importune v.1045 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- À mon contentement préfère ma fortune. v.1046 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Mais tu sers chez Orante, et tu prends sa défense ; v.1054 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Ô dieux ! Que me dis-tu ? Puis-je à cette nouvelle, v.1069 (Acte 4, scène 9, LYSIMANT)
- Traître, qu'espères-tu que de perdre tes pas, v.1071 (Acte 4, scène 9, CÉLIRÉE)
- Si, même en lui parlant, tu ne la connais pas ? v.1072 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Tu brûles pour Diane, insensible, barbare, v.1073 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Tu brûles pour Diane, et ton coeur abattu v.1075 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Met les biens en balance avecque sa vertu ! v.1076 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- En qui tu n'aurais fait qu'un raisonnable choix, v.1084 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Mais dont les qualités relevaient la fortune. v.1086 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- La vertu quelquefois s'est acquis des amants. v.1088 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Enfin, un changement à ma fortune arrive v.1089 (Acte 4, scène 9, C?LIR?E)
- Et venez consulter l'auteur de ma fortune ; v.1122 (Acte 4, scène 9, DIANE)
- Et que tu m'en as fait un présent légitime. v.1134 (Acte 4, scène 10, LYSIMANT)
- Où te peux-tu cacher avec tant de lumière, v.1141 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Tu me plaindrais peut-être en l'état où je suis. v.1144 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Abondant en troupeaux et riche en pâturage, v.1146 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Tu n'es plus en son coeur, ses voeux sont refroidis, v.1159 (Acte 5, scène 1, SYLVIAN)
- Seule tu la peux mettre où ses désirs prétendent, v.1266 (Acte 5, scène 4, DOROTHÉE)
- Ne feras-tu jamais un gracieux accueil v.1275 (Acte 5, scène 5, DOROTHÉE)
- À celle que tu vois si proche du cercueil ? v.1276 (Acte 5, scène 5, DOROTH?E)
- Allons, si tu le veux, v.1303 (Acte 5, scène 6, LYSIMANT)
- De hasarder pour vous sa fortune et sa vie. v.1322 (Acte 5, scène 7, DIANE)
- Diane, pardonnez si je vous importune, v.1325 (Acte 5, scène 7, DOROTHÉE)
- Doit-elle à votre soin une telle fortune ? v.1326 (Acte 5, scène 7, DOROTH?E)
- Et vous méconnaissez ce parent fortuné, v.1355 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- Le ciel, qui que tu sois, guérisse ta manie ! v.1358 (Acte 5, scène 8, ORIMAND)
- Ô ciel ! Qui connais tout, si tu hais l'imposture, v.1369 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- Par un visible effet punis cette aventure ; v.1370 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- Passant en Portugal, j'ai pris cette assurance v.1377 (Acte 5, scène 8, LYSANDRE)
- Prouvent son imposture et ses déguisements ? v.1384 (Acte 5, scène 8, LYSIMANT)
- Et par une imposture attiré tes désirs. v.1392 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- L'adresse de voler ce que tu me dénies v.1393 (Acte 5, scène 8, DIANE)
- Adieu. Mais quel tumulte aperçois-je en ces lieux ? v.1406 (Acte 5, scène 9, ARISTE)
- Accorde-moi ce fer, si tu m'aimas jamais. v.1409 (Acte 5, scène 9, DIANE)
- Que tardes-tu, cruel ? v.1413 (Acte 5, scène 9, DIANE)
- Trouves-tu, malheureuse, en cet habillement, v.1425 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- D'un naturel si noble, et d'un esprit si bon, v.1461 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- Les dieux, quand tu naquis, te firent une soeur, v.1482 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Et le dessein que j'eus d'agrandir ta fortune v.1483 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- L'a réduite au malheur d'une vie importune. v.1484 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Le sang te suffira, si tu la vois paraître ; v.1488 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Si tu la méconnais, une marque en son sein, v.1489 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Punissez, si je mens, l'auteur de l'imposture. v.1495 (Acte 5, scène 10, DAMON)
- Ô Diane ! Ô ma soeur ! Ô divine aventure ! v.1496 (Acte 5, scène 10, LYSANDRE)
- Veux-tu pas accorder mon repos à leur joie ? v.1532 (Acte 5, scène 10, DOROTHÉE)
- Trouves-tu point encor ce discours importun, v.1533 (Acte 5, scène 10, DOROTH?E)
- La perte que tu fais de ses rares appas. v.1550 (Acte 5, scène 10, SYLVIAN)
AGESILAN de COLCHOS (1637)
- Et tu partagerais le repos que je veux ; v.8 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Promets d'effectuer la loi que je t'impose. v.25 (Acte 1, scène 1, FLORISEL)
- Que désires-tu plus ? v.44 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Et privé de son corps, meurs dessus sa peinture ; v.74 (Acte 1, scène 1, BRUNEO)
- Je suis ou le plus vain ou le plus fortuné ; v.79 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Ou qu'elle ait le regard de nature amoureux, v.91 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Tu nous peins savamment. v.101 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Libre et franc de nature, v.101 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Aux objets que je peins j'égale la peinture ; v.102 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Sans doute il ne vit plus, quelle est cette aventure ? v.109 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- En quoi le ciel a mis une vertu divine, v.115 (Acte 1, scène 2, DARINEL)
- Essayons sa vertu. v.124 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Ranimez, ranimez ce courage abattu, v.136 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Qui laisse à votre mal céder votre vertu, v.137 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Quelle que soit pour nous l'humeur de la fortune, v.138 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- La vie aux gens de cour n'est jamais importune, v.139 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- D'un futur Hyménée, attira les caresses, v.169 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Tout ce qu'on fait de rare, et l'art et la Nature, v.204 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Tous les efforts du Ciel sont moins que sa peinture, v.205 (Acte 1, scène 2, BRUNEO)
- Pareille ne fut pas à ce feu qui me tue, v.256 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- L'amour de l'artisan qui servit sa statue. v.257 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Si l'art de la nature imite cet ouvrage, v.264 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Peux-tu voir ces beautés, et paraître insensible, v.273 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Et trêve au passe-temps, quand tu vois que je meurs ; v.287 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Si tu peux m'assister d'un avis salutaire, v.292 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Tu me seras un Dieu. v.293 (Acte 1, scène 2, AGESILAN)
- Veux-tu qu'on se procure auprès d'une beauté v.318 (Acte 2, scène 1, FLORISEL)
- Quel injuste tribut veux-tu de mon courage ? v.381 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Par quel secret pouvoir engages-tu ma foi, v.382 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tu blesses lâchement, tu frappes sans paraître, v.385 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tu n'oses éprouver la valeur d'un mortel, v.386 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tu te rends invisible et ton renom est tel : v.387 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Oui, sais-tu quel il est ? v.399 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Quoi vous l'avez déjà battu ? v.412 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Tu cherches Florisel, et ne lui promets pas v.426 (Acte 2, scène 2, ARLANDES)
- Ô mépris criminel, juge par sa peinture. v.435 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Je vois le moindre objet, qu'ait formé la nature, v.436 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Tu les qualifieras du titre que tu veux, v.441 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Tu ne vivrais pas v.446 (Acte 2, scène 2, ROSARAN)
- Voilà, voilà ce don que tu lui dois porter, v.449 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Tu délibères lâche, et ne le connais pas. v.458 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Adieu, puisses-tu voir ma tête entre tes mains, v.469 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Si tu n'es (cher ami) le plus fou des humains. v.470 (Acte 2, scène 2, FLORISEL)
- Quel salutaire avis me peux-tu donc prescrire ? v.499 (Acte 2, scène 3, DARAIDE)
- Quelle heureuse aventure, agréable merveille, v.557 (Acte 2, scène 5, DIANE)
- Si contre la nature on murmura jamais, v.567 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Ciel tu sais si je mens, sois témoin de l'ardeur, v.599 (Acte 2, scène 5, DARAIDE)
- Ha Florisel est mort, n'en as-tu rien appris ? v.636 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Et l'on apporte ici la tête que tu veux v.640 (Acte 2, scène 7, SYDONIE)
- Tu me plais, et déplais, tu m'es douce et cruelle, v.695 (Acte 2, scène 8, SYDONIE)
- Ou quelque inquiétude occupe sa pensée. v.714 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- En effet la Nature a d'un pinceau si doux v.735 (Acte 3, scène 1, ARDENIE)
- Tu le peux ma cousine avec fort peu de peine ; v.746 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Et tu mettras Diane au-dessus du Soleil ; v.748 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Tu ne vois qu'un défaut, où tout est si charmant, v.751 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Mais changeons de discours ; ne confesses-tu pas, v.755 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Mais tu sais le dessein qui m'amenait ici, v.776 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Où vas-tu cependant ? v.779 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Fais, tu m'obligeras. v.785 (Acte 3, scène 1, DIANE)
- Plût au Ciel, Darinel, visses-tu dans mon âme v.793 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- À ce compte j'en tiens, et tu me veux ravir, v.811 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Car je n'aurai jamais, ni de bonnes fortunes, v.821 (Acte 3, scène 2, DARINEL)
- Que pour servir autrui, tu fais dessus toi-même v.826 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Ménage heureux amant, à cette heure opportune v.833 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- La belle occasion que t'offre la fortune, v.834 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Ha ! ne t'oppose plus, importune contrainte, v.841 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Tu causeras ma perte ; v.854 (Acte 3, scène 2, DARAIDE)
- Tel reposait l'amour, la nuit que la nature, v.865 (Acte 3, scène 3, DARAIDE)
- Elle relâchera de cette ingratitude. v.952 (Acte 3, scène 3, DIANE)
- Qu'il sert d'importuner, et d'être un peu jaloux ! v.957 (Acte 3, scène 3, ARDENIE)
- Je suis comme de toi, maître de la fortune, v.974 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Les combats me sont doux, et tu m'es importune. v.975 (Acte 3, scène 4, ARDENIE)
- Bons Dieux ! Que m'as-tu dit ? v.1134 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Ô Reine du désordre ? inconstante fortune, v.1150 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Mon repos vient de naître, et déjà t'importune, v.1151 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Amant infortuné, combien vas-tu souffrir, v.1156 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Si tu peux de ces lieux t'éloigner sans mourir, v.1157 (Acte 4, scène 1, ARDENIE)
- Si tu me vois d'abord cacher ma passion ; v.1181 (Acte 4, scène 1, DIANE)
- Appelle si tu veux ces ardeurs insensées, v.1210 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Mais tu fais tous mes soins, et toutes mes pensées, v.1211 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tu m'aurais offensée au-delà du trépas, v.1216 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tu ne peux sans la mort de mon père, ou de toi, v.1220 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- N'achever pas aussi ce que tu lui promets, v.1224 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Tue, ou perde le jour, meure, ou soit homicide, v.1227 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Que tu verrais ce don précéder ta requête. v.1247 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Et que pour un amant, une importune meure. v.1275 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Tu ne changes pas seul, et mon affection, v.1288 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Adieu, suis ton heureuse, ou mauvaise fortune, v.1294 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Après cette action, jamais ne m'importune : v.1295 (Acte 4, scène 2, DIANE)
- Si ce coup vient de toi, que tu m'es favorable. v.1299 (Acte 4, scène 2, DARAIDE)
- Où m'a jeté des vents l'impétueuse rage, v.1370 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Et vous qui me serviez, ô troupe infortunée, v.1390 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- A voir ces bâtiments dont la haute structure, v.1402 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Semble relever l'art, et braver la nature, v.1403 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Fuis triste Florisel, si tu ne hais le jour, v.1424 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Sera si tu ne fuis, celui de tes supplices : v.1427 (Acte 4, scène 5, FLORISEL)
- Apprenez en deux mots quelle est mon aventure, v.1450 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Et j'apprendrai de vous celle qui m'est future, v.1451 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Mais mes vaisseaux battus d'un furieux orage, v.1454 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Suivez-moi seulement ; Dieux ! L'heureuse aventure. v.1474 (Acte 4, scène 6, DARAIDE)
- J'implore pour mes gens encor la sépulture. v.1475 (Acte 4, scène 6, FLORISEL)
- Si contre cet ingrat mon dessein s'effectue, v.1482 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- C'est moi que je poursuis, et c'est moi que je tue, v.1483 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Quel rocher est ton cour, si tu ne fonds en larmes ; v.1503 (Acte 5, scène 1, SYDONIE)
- Ô Dieux ! Que me dis-tu ! S'il est vrai Daraide v.1530 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- L'as-tu pu rencontrer, toi qui pars de ces lieux. v.1537 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Tu ne mourras pas seul, et la main dont la parque, v.1554 (Acte 5, scène 2, SYDONIE)
- Ô Dieux que me dis-tu ! v.1572 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Allons tu connaîtras si son amour la touche, v.1590 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Tu verras que ses yeux démentiront sa bouche, v.1591 (Acte 5, scène 3, ARDENIE)
- Ô passion barbare, importune vengeance ? v.1598 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Et s'il me pouvait rendre un amour mutuel, v.1635 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Ô défense importune ! v.1689 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Laisse achever ma vie, ou change ma fortune, v.1690 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Pourquoi veux-tu sauver celle que tu méprises ? v.1698 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Laisse prendre à la mort ce que tu ne veux pas ? v.1700 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- J'en fuis, en la suivant, cent que tu me destines, v.1701 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tu m'as abandonnée, elle m'offre sa main v.1703 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Elle me sera douce, et tu m'es inhumain. v.1704 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Pourquoi lui défends-tu, ce que veut ta rigueur. v.1716 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Contre mes jours hélas ! tu l'as seul animée v.1717 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- C'est de ce traître prix que tu payes mes voeux, v.1719 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Souffre ce que tu fais, permets ce que tu veux, v.1720 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tu mérites mes voeux, je mérite ta haine, v.1726 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tu ne lui peux nier un amour mutuel : v.1736 (Acte 5, scène 4, FLORISEL)
- Ô frivole discours, dont tu flattes ma peine ? v.1741 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Que tu peux m'abuser d'une espérance vaine, v.1742 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Tu promets sans dessein, je dois à la pitié v.1743 (Acte 5, scène 4, SYDONIE)
- Elle peut soulager les pires infortunes. v.1773 (Acte 5, scène 5, ARDENIE)
- Et vous, et la raison vous m'êtes importunes, v.1774 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Et tu veux importune, et tu veux que je vive. v.1782 (Acte 5, scène 5, DIANE)
- Armez-vous de vertu. v.1787 (Acte 5, scène 5, ARDENIE)
- Apprends ma chère fille une heureuse aventure, v.1817 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Qui te devrait assez enseigner la nature, v.1818 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Par un secret instinct, ne reconnais-tu pas, v.1819 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Combien à nos désirs la Fortune est prospère, v.1829 (Acte 5, scène 6, DIANE)
- Ô bonheur, ô fortune ! à nulle autre pareille ! v.1858 (Acte 5, scène 6, SYDONIE)
- Ces Princes, compagnons de ma triste fortune, v.1871 (Acte 5, scène 7, BRUNEO)
- Veux-tu que par ma voix, je la confirme aussi, v.1910 (Acte 5, scène 8, FLORISEL)
- Ô plaisante aventure ! v.1911 (Acte 5, scène 8, ARDENIE)
- Ô merveille incroyable à toute la Nature ? v.1912 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
- Partout cet importun d'un seul regard me dompte, v.1915 (Acte 5, scène 8, ROSARAN)
LES CAPTIFS (1640)
- Une douce amertume, une douceur amère, v.53 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Tu ne saurais ma main désavouer mes yeux, v.80 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Est-ce ainsi que tu sers une honteuse amour, v.83 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- Il est serf de fortune et non pas de naissance, v.94 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- De ce seul nom d'amour, cette vertu s'offense, v.109 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Commit ma nourriture et laissa tout mon bien v.124 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Avec condition du futur mariage, v.125 (Acte 1, scène 1, PHIL?NIE)
- La belle pauvreté n'est pas moins importune, v.153 (Acte 1, scène 1, OLYMPIE)
- Je pèse le mérite et non pas la fortune, v.154 (Acte 1, scène 1, PHILÉNIE)
- Qui ne cherche qu'à paître, et se tue en paissant : v.162 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Que je t'ai bien rendu le bien que tu m'as fait, v.174 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Je t'étais bien léger, tu m'es pesante et forte : v.176 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Ainsi ce fléau mortel, sans me toucher me tue, v.196 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Allons tenter fortune, il sort je l'aperçois, v.209 (Acte 1, scène 2, ERGAZILE)
- Et naturellement les fers sont abhorrés, v.226 (Acte 1, scène 3, PSEUDOLE)
- Puisqu'ils privent d'un bien que nature nous donne. v.227 (Acte 1, scène 3, PSEUDOLE)
- Et tu prends trop de part en mon affliction : v.250 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Si sans t'appartenir, tu le plains de la sorte, v.267 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Tu sais à quel trafic je me suis résolu, v.289 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Où soupes-tu, chez toi ? v.299 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- N'y manqueras-tu pas ? v.306 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- En auras-tu loisir ? v.310 (Acte 1, scène 3, HAEGÉE)
- Que tu profèrerais un oui de bonne grâce, v.328 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Lourdaud tu l'entends mal, et simples que nous sommes, v.331 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- N'y sais-tu point encor autrement procéder, v.333 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Que tu sais doctement discourir sur ce point. v.345 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Et c'est encor en quoi tu ne te connais point, v.346 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Si je te pouvais plaire autant que tu me plais : v.354 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Et ma condition serait trop fortunée. v.364 (Acte 2, scène 1, PSEUDOLE)
- Je sais ce que tu vaux, et ce que je te dois, v.365 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Tu ris, tu t'adoucis d'abord que tu me vois, v.369 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Sais-tu si je tiendrai l'amour où tu m'engages ? v.379 (Acte 2, scène 1, CÉLIE)
- Tu demandes l'effet aussitôt que l'espoir ; v.381 (Acte 2, scène 1, C?LIE)
- Croyez qu'à cette fin ira tout leur étude, v.439 (Acte 2, scène 3, CÉLIE)
- Nous, fuir ! Notre vertu nous tient assez captifs. v.474 (Acte 2, scène 4, TYNDARE)
- Tu mets ce bon office à sa gloire suprême, v.487 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Si pour l'amour de moi tu crois être moi-même. v.488 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- C'est un nom que sur moi tu t'acquiers aujourd'hui, v.501 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Tu m'es plus nécessaire et plus père que lui. v.502 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Par la seule vertu de ce nom glorieux, v.521 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Tu t'es mal informé de ma condition, v.526 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Tu destinais mon maître à cet honneur insigne, v.528 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Et tu prends l'un pour l'autre au changement du nom. v.530 (Acte 2, scène 5, TYNDARE)
- Tu sais que la vertu n'observe point de rang, v.533 (Acte 2, scène 5, PHILOCRATE)
- Plaise aux Dieux que mon fils durant sa servitude, v.551 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Eussent sans ce malheur, coulé trop fortunées. v.556 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- N'es-tu pas son esclave ? v.559 (Acte 2, scène 7, HAEG?E)
- Et ne voudrais-tu pas t'être tiré des fers ? v.561 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Notre commun servage égale nos fortunes, v.587 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- C'est ainsi que de nous la fortune se joue, v.591 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Qui sait notre besoin, qui voit nos servitudes, v.599 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Qui rend les charités et les ingratitudes, v.600 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Bénissez avec nous cette heureuse aventure, v.635 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Du père de mon maître Argante est créature, v.636 (Acte 2, scène 7, PHILOCRATE)
- Ma fortune, Tyndare, à tes soins est commise, v.663 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Tu gouvernes ma nef, tu la peux rendre au port, v.665 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Te remontrer aussi que sans ingratitude, v.671 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Voyant que ma rançon pleige ta servitude, v.672 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Tu ne me peux manquer en cette extrémité, v.673 (Acte 2, scène 7, TYNDARE)
- Et par votre vertu vous me tirez des pleurs. v.702 (Acte 2, scène 7, HAEGÉE)
- Ô jour mélancolique, importun, ennuyeux, v.711 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Jaloux de mon espoir, tu fais à ta lumière, v.713 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Combien es-tu contraire à cet âge doré, v.721 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Qui coulait du Vieux temps de Saturne et de Rhé, v.722 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Où nature régnait et non pas la fortune, v.725 (Acte 3, scène 1, ERGAZILE)
- Sans ce revers du sort, mon âge fortunée, v.781 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Et de quelques malheurs que je sois combattu, v.807 (Acte 3, scène 2, HAEGÉE)
- Tu me peux soutenir avecque ta vertu : v.808 (Acte 3, scène 2, HAEG?E)
- Qui trouve et la lumière et la vie importune, v.825 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- Ne présume pas tant de sa bonne fortune, v.826 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- Qu'il sait que devant lui la fortune méprise, v.830 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- La mienne n'est plus mienne, elle est à la fortune. v.834 (Acte 3, scène 3, TYNDARE)
- Ignores-tu mon nom, ne me connais-tu pas, v.875 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Pourquoi de mon abord détournes-tu tes pas, v.876 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Parle-lui si tu veux, mais ne m'approche point. v.892 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Pourquoi veux-tu nier un mal connu de tous, v.895 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Voyez quelle assurance après cette imposture. v.913 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Qu'on le renferme, allez, je crains quelque aventure. v.914 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Et celui que tu dis v.923 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Tu voudrais bien qu'ici chacun fût cru de même, v.930 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Et leur humeur jalouse, envieuse, importune, v.933 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Tâche à nous nuire autant que leur fait la fortune. v.934 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Me favorise autant que tu m'es ennuyeux, v.940 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Et que la liberté m'est aussi naturelle v.949 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Toi tu seras bientôt l'aliment des corbeaux, v.959 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Peux-tu ma patience aller jusqu'à ce point, v.964 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Je t'oirai bien d'ici, parle, que veux-tu dire ? v.970 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- As-tu vu ce clin d'oeil. v.976 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Dieux voyez l'imposture. v.976 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Je ne sais que promet toute cette aventure, v.977 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Viens çà, qui que tu sois, Philocrate ou Tyndare, v.985 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Es-tu né libre ou serf, ne me déguise rien. v.987 (Acte 3, scène 4, HAEG?E)
- Traître me reçus-tu lorsque je vins au monde, v.989 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Assistais-tu ma mère en son accouchement, v.990 (Acte 3, scène 4, TYNDARE)
- Vois-tu pas qu'il se tait : qu'il parle, qu'il réponde. v.993 (Acte 3, scène 4, CRISIMANT)
- Ô bienfaits mal rendus ! ô servitude ingrate, v.1000 (Acte 3, scène 4, HAEGÉE)
- Appelle si tu veux cette mort une vie, v.1033 (Acte 3, scène 5, HAEGÉE)
- Tu mourras glorieux, je serai satisfait. v.1035 (Acte 3, scène 5, HAEG?E)
- Le ciel, leur soit plus doux, que tu ne m'as été. v.1075 (Acte 3, scène 5, TYNDARE)
- Punit depuis longtemps tous les maux que tu fais, v.1099 (Acte 3, scène 8, ERGAZILE)
- T'étouffe le repas où tu m'as invité, v.1102 (Acte 3, scène 8, ERGAZILE)
- Et te traite le ciel, comme tu m'as traité. v.1103 (Acte 3, scène 8, ERGAZILE)
- Ô malheureux métier, que tu me romps la tête ! v.1104 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Je voudrais que la rime en fût bien naturelle, v.1108 (Acte 4, scène 1, PSEUDOLE)
- Comment, tu fais des vers. v.1119 (Acte 4, scène 2, CÉLIE)
- Car on dit qu'au métier dont tu te veux mêler, v.1122 (Acte 4, scène 2, CÉLIE)
- Mais trouves-tu mal dit Geôlière des Geôliers, v.1144 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Que n'obtiendras-tu point avecque tant d'appas. v.1172 (Acte 4, scène 2, PSEUDOLE)
- Mais entre eux la Nature a mis des différences, v.1175 (Acte 4, scène 3, PSEUDOLE)
- Et ce m'est un Arrêt de la Nature même, v.1210 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Que tu me veux ravir jusqu'à la plainte même, v.1223 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Ah ! tu m'ôtes à tort cette faible vengeance, v.1226 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Et ne détourne pas, si tu plains mon tourment, v.1228 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Pour nous mieux abuser, je sais que la Nature v.1230 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- A devant ton dessein commencé l'imposture ; v.1231 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- De quoi tu fais ta voix de tes charmes complice, v.1235 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- De quoi tu veux passer pour ce que tu n'es pas, v.1236 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Pour prix de mon amour tu t'en devais défendre, v.1238 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Puisque te connaissant tu n'y pouvais prétendre ; v.1239 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Et tu l'aurais payée en ne l'acceptant point. v.1241 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Tu me diras, pourquoi, la fourbe était forgée, v.1242 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Tu crus qu'il importait que l'affront fût égal, v.1244 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Qui sans égard de rang, ni respect de fortune v.1266 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Comme un futur butin de mon ambition : v.1269 (Acte 4, scène 5, TYNDARE)
- Tu serais pour toute autre, et traître, et téméraire : v.1287 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Tu me verrais joyeuse, et l'esprit satisfait, v.1296 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Souffrir le châtiment du mal que tu m'as fait. v.1297 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- L'Amour, et la Vertu, la Raison, et les Sens, v.1313 (Acte 4, scène 5, PHILÉNIE)
- Nourrissant le désir, je tuerai l'espérance, v.1318 (Acte 4, scène 5, PHIL?NIE)
- Sacré Père des Dieux tu conserves ma vie, v.1330 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Tu me combles d'espoir, de louange, de voeux, v.1332 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Pour lui laisser d'abord un peu d'inquiétude. v.1347 (Acte 4, scène 7, ERGAZILE)
- Et passer pour stupide avec des cheveux gris. v.1353 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Il n'est ni sort ni rang, à ma fortune égal, v.1388 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Ô le plus fortuné du séjour où nous sommes ! v.1410 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Que tout rit à tes voeux, et que tu viens à temps, v.1412 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Veux-tu qu'à ton sujet je brûle ma maison. v.1425 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Te dirai-je les mets que tu nous donneras. v.1432 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Tu me les dirais mieux que tu ne les auras. v.1433 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Et que me promets-tu si malgré ma défense v.1434 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Tu me traites ce soir avec magnificence. v.1435 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Est-ce à jeun, ou soûl que tu parles ainsi ? v.1437 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Que de ces songes creux tu repais ta mémoire. v.1439 (Acte 4, scène 8, HAEG?E)
- Aimes-tu d'être heureux, v.1442 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Je veux à tes souhaits égaler ta fortune, v.1450 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Et qu'aucun accident jamais ne t'importune ; v.1451 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Étant tel, est-il rien à quoi tu me disposes ? v.1454 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Que tu devrais juger plus tendres que les tiens, v.1464 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Tu doutes justement de ce bonheur extrême ; v.1466 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Que ton frère te cause, et que tu n'attends point ; v.1469 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Pourrais-tu deviner l'esclave qu'il t'amène. v.1470 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Ne m'abuses-tu point, v.1476 (Acte 4, scène 8, HAEGÉE)
- Si tu crois que tes yeux te seront plus fidèles, v.1478 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Tu les peux faire au port, témoins de ces nouvelles. v.1479 (Acte 4, scène 8, ERGAZILE)
- Sois autant révéré que tu m'es favorable. v.1489 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- Tu me donnes mon fils, une seconde fois, v.1490 (Acte 5, scène 1, HAEG?E)
- Est rajeuni, mon fils, quand tu l'as embrassé : v.1495 (Acte 5, scène 1, HAEG?E)
- Ma vieillesse a cessé quand tu l'as abordée, v.1496 (Acte 5, scène 1, HAEG?E)
- Et tu m'as trop au long appris sur le rivage, v.1512 (Acte 5, scène 1, HAEGÉE)
- Tu vois en quelles mains ta fortune est rendue, v.1580 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Tu ne fus pas toujours complaisant à ce point : v.1587 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Tu la peux amoindrir par ta confession, v.1591 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Mais chez qui la Vertu passe de loin les biens, v.1598 (Acte 5, scène 2, STALAGME)
- C'est mon père, ô bons Dieux ! quelle est cette aventure ? v.1600 (Acte 5, scène 2, PHILOCRATE)
- Soutenez mon espoir, Auteur de la Nature, v.1601 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Combien le vendis-tu ? v.1606 (Acte 5, scène 2, PHILOCRATE)
- Oh ! céleste faveur tu n'eus jamais d'égale. v.1617 (Acte 5, scène 2, HAEGÉE)
- Quoi, je vais voir mon frère, oh ! quelle est ma fortune ? v.1624 (Acte 5, scène 2, CRISOPHORE)
- J'avais bien autrefois vu l'horrible peinture, v.1632 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- Des lieux où des damnés l'âme est à la torture ; v.1633 (Acte 5, scène 3, TYNDARE)
- C'est d'Haegée en effet que tu reçus le jour, v.1650 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- Il te vendit chez nous, tu m'as suivi depuis, v.1654 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- Tu t'es fait prisonnier pour me rendre à mon père, v.1656 (Acte 5, scène 3, PHILOCRATE)
- Quoi, Tyndare, est mon frère ? ô Dieux ! cette aventure v.1668 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- Sera-t-elle croyable à la race future ? v.1669 (Acte 5, scène 4, OLYMPIE)
- Ainsi peut la fortune avec les mêmes bras v.1674 (Acte 5, scène 4, ÉRIMAND)
- La Souveraineté que tu m'as transportée, v.1832 (Acte 5, scène 8, ERGAZILE)
- Si tu t'étais défait de vingt ans de ton âge ; v.1849 (Acte 5, scène 9, CÉLIE)
- Tu ris, mais s'il n'est beau que mon amour te touche, v.1852 (Acte 5, scène 9, PSEUDOLE)
- Oui, n'en veux-tu qu'un seul, oui, Célie est à toi, v.1854 (Acte 5, scène 9, CÉLIE)
- Tu me dois à ce coup le baiser que je veux. v.1858 (Acte 5, scène 9, PSEUDOLE)
LA SOEUR (1636)
- Et tu crois qu'il te parlait sans feinte ? v.9 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- Ah ! Si d'amour tu ressentais l'atteinte, v.10 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- Tu plaindrais moins ces mots qui te coûtent si cher, v.11 (Acte 1, scène 1, L?LIE)
- Au reste, étant l'auteur de mon inquiétude, v.29 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- La peux-tu négliger sans trop d'ingratitude ? v.30 (Acte 1, scène 1, L?LIE)
- Voyant le précipice où tu guidais mes pas, v.47 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- Quoique sollicité, tu ne le devais pas. v.48 (Acte 1, scène 1, L?LIE)
- Mais ce que tu m'apprends m'est de telle importance, v.57 (Acte 1, scène 1, LÉLIE)
- Ne m'apportes-tu pas une heureuse nouvelle ? v.85 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Je n'en redoutais qu'une, et tu m'en apprends deux. v.96 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Et ce n'est pas encor le coup qui vous tuera. v.116 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Tu saurais, si l'amour avait pu t'enflammer, v.147 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Cruelle, tu saurais si pour causer ma peine v.149 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- Ne cherchons plus ni foi ni vertu dans le monde ; v.166 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- Elles partirent donc, et croyant la fortune v.233 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- Avoir trop fait pour nous pour leur être importune, v.234 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Qu'un vent impétueux, en déchirant les toiles, v.238 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Et l'endroit où je crus laisser ma lassitude v.257 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- M'excita tant de peine et tant d'inquiétude, v.258 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- L'exercice du jour endort l'inquiétude ; v.273 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- L'aimable servitude où ma raison s'engage v.281 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- L'amour, qui me rendait ma franchise importune, v.301 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Fit en moi ce qu'en elle avait fait la fortune, v.302 (Acte 1, scène 3, L?LIE)
- Et tu me rends la vie en me rendant l'espoir : v.360 (Acte 1, scène 3, LÉLIE)
- N'importe, la vertu de soi-même est le prix. v.372 (Acte 1, scène 3, ERGASTE)
- Par cette conjoncture il est aisé de croire v.405 (Acte 2, scène 1, LÉLIE)
- Dont un père importun aujourd'hui nous menace, v.410 (Acte 2, scène 1, AURÉLIE)
- Combattons la fortune avec tout notre soin, v.415 (Acte 2, scène 1, ERGASTE)
- Si de nos importuns l'espérance n'est vaine, v.422 (Acte 2, scène 1, AURÉLIE)
- En quel endroit, Ergaste, as-tu laissé Lélie ? v.433 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- M'étant tu si longtemps, je l'avoue aujourd'hui, v.435 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Si l'étude autrefois l'a mis en quelque estime, v.441 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Il ne saurait trouver, pour son inquiétude, v.445 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Dans sa bizarre humeur assez de solitude ; v.446 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Nous venons de Turquie, et dans cette contrée v.453 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Car les Turcs, comme on sait, sont fort mauvais chrétiens : v.456 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- D'une ardeur mutuelle et donnés et rendus, v.472 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Ils appellent tubalch cette ardeur fraternelle, v.485 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Ou boram, qui veut dire intime et naturelle. v.486 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Que ce soin importun traverse à tout propos. v.492 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- L'usage de Turquie enfin les justifie ; v.493 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- La loi turque... v.494 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Et toi, traître, avecque ta Turquie, v.494 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Avecque ta loi turque, avec ton Mahomet, v.495 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Tu veux autoriser cet usage indiscret, v.496 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Et, sous un voile turc me chargeant d'infamie, v.497 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- M'affronter à la turque et couvrir leur folie ; v.498 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Mais le soin que tu prends de les justifier v.499 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- J'entends, si chez les Turcs ils suivaient leur méthode, v.501 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Est un meuble importun dedans une maison, v.504 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Tu n'en proposes qu'un, et j'en ai conclu deux. v.508 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Tu connais Éroxène ? v.509 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Pourquoi ? Veux-tu que l'âge au logis la consomme ? v.521 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Comment ! en sa santé sais-tu quelque défaut ? v.524 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Il n'est dans la nature homme qui ne le juge v.529 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Du siècle de Saturne ou du temps du déluge ; v.530 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Baste, encor, pour avoir la fortune contraire, v.545 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Cette incommodité qui vous est naturelle v.565 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Épargnez sa vertu bien plutôt que sa dot, v.571 (Acte 2, scène 2, ERGASTE)
- Mais insensiblement tu m'a mis en colère ; v.594 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Mais puisque tu l'as vu, puis-je en avoir douté ? v.620 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Tu crois de plus séant et de plus à propos. v.624 (Acte 2, scène 3, ?ROX?NE)
- Ne dis rien si tu veux, mais j'attends sa réponse. v.626 (Acte 2, scène 3, ?ROX?NE)
- Où l'amour se trouvant naturel comme à l'autre, v.634 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Tu seras chez l'orfèvre, ou bien chez l'empeseuse ; v.642 (Acte 2, scène 3, ÉROXÈNE)
- Si tu me veux encor voir respirer le jour. v.644 (Acte 2, scène 3, ?ROX?NE)
- Qui se peut garantir des lacs que tu nous tends ? v.714 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- Que feras-tu, chétive ? et, pour tant de douleurs, v.733 (Acte 2, scène 5, LYDIE)
- À quoi ces habits turcs ? Dansez-vous un ballet ? v.762 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- J'ai mangé franchement mes habits en Turquie. v.764 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Car il n'a jamais su sa langue naturelle. v.783 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Quelle ? Que le grand-turc n'arme point cette été, v.785 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Venir de l'autre monde, et non pas de Turquie ! v.792 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- En est-ce un chez les Turcs de ne regretter rien, v.802 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Vous tuez les vivants et ranimez les morts : v.818 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Celle que vous tuez aujourd'hui se marie ; v.820 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Tenez, en saurez-vous connaître l'écriture ? v.839 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Ô joie inespérée ! incroyable aventure ! v.840 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Mais tu te plains à tort de mon ingratitude, v.847 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Ô cher et doux sujet, de mon inquiétude ! v.848 (Acte 3, scène 2, ANSELME)
- Cet ami, de Turquie aujourd'hui de retour, v.865 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- Puis-je sans m'emporter souffrir cette imposture ? v.931 (Acte 3, scène 3, AURÉLIE)
- On peut bien imposer, mais non à la nature : v.932 (Acte 3, scène 3, ANSELME)
- Quand à Constantinople as-tu porté tes pas ? v.973 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Tu t'accuses, perfide, en ne répondant pas : v.974 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Tu fais qu'avec le corps l'esprit se débilite, v.984 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Que veux-tu dire enfin ? v.987 (Acte 3, scène 4, ANSELME)
- Ô fortune ennemie, v.1000 (Acte 3, scène 4, LÉLIE)
- Qui jusques en Turquie as été susciter v.1001 (Acte 3, scène 4, L?LIE)
- Viens ça, ne nous mens point : sur quelle conjecture v.1011 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Ton père avance-t-il cette noire imposture ? v.1012 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Eh bien, lui parlant turc, je sais bien le confondre. v.1016 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- En Turquie. v.1020 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- D'imiter l'écriture et de la contrefaire ; v.1032 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Oui, le langage turc dit beaucoup en deux mots. v.1050 (Acte 3, scène 4, ERGASTE)
- Géronte, un mot, de grâce : apprend-on en Turquie v.1064 (Acte 3, scène 5, ANSELME)
- Un voyage en Turquie, et ma femme vivante ! v.1068 (Acte 3, scène 5, ANSELME)
- Vous avez, dites-vous, vu Constance en Turquie. v.1071 (Acte 3, scène 5, ANSELME)
- Il nous a parlé turc, que mon valet apprit v.1078 (Acte 3, scène 5, ANSELME)
- Ce vent impétueux s'est réduit en rosée, v.1108 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Mais ton langage turc en a paré le coup. v.1113 (Acte 4, scène 1, LÉLIE)
- Persan, turc, esclavon, arabe ni chinois ; v.1118 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Et que s'il m'eût enquis du chemin de Turquie, v.1119 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Doit de Turquie encore être une pèlerine : v.1124 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Je crois que le grand-turc, né pour nous tourmenter, v.1125 (Acte 4, scène 1, ERGASTE)
- Les Turcs sont aujourd'hui déchaînés contre nous. v.1129 (Acte 4, scène 2, ERGASTE)
- Ne voilà pas encor des traits de la Turquie, v.1136 (Acte 4, scène 2, ERGASTE)
- Qui mêle l'amertume à cet heureux transport, v.1150 (Acte 4, scène 2, LÉLIE)
- Et dont l'ordre fatal veut que dans la nature v.1151 (Acte 4, scène 2, L?LIE)
- Oui, cette infortunée v.1159 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Pour parer tous les coups qui viennent de Turquie v.1204 (Acte 4, scène 2, ERGASTE)
- Pour servir à son sang il n'est point d'aventure v.1223 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Où l'art puisse employer tant d'art que la nature. v.1224 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Et certes je puis dire, après cette aventure, v.1235 (Acte 4, scène 3, LÉLIE)
- Que je suis moins à vous par les droits de nature v.1236 (Acte 4, scène 3, L?LIE)
- Ils purent en Turquie apprendre mon trépas, v.1269 (Acte 4, scène 4, CONSTANCE)
- D'où le bruit de ma mort chez les Turcs s'épandit, v.1273 (Acte 4, scène 4, CONSTANCE)
- Quelle heureuse aventure a pu rendre à mes yeux, v.1281 (Acte 4, scène 4, ANSELME)
- Je n'ai trouvé mes maux ni mes fers importuns v.1305 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
- Quelle aventure enfin, à mes voeux si prospère, v.1311 (Acte 4, scène 5, CONSTANCE)
- Ô déplorable effet de ma triste fortune, v.1339 (Acte 4, scène 6, LÉLIE)
- Qui ne sait m'obliger que pour m'être importune, v.1340 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Qui ne me peut souffrir de biens qu'infortunés, v.1341 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Tu recouvres un frère et tu perds un amant. v.1378 (Acte 4, scène 6, LÉLIE)
- Tu m'es trop et trop peu ; mon mal naît de mon bien v.1381 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Et tu m'es tant enfin que tu ne m'es plus rien. v.1382 (Acte 4, scène 6, L?LIE)
- Ô sort ! pourquoi m'as-tu, sous espoir d'allégresse, v.1391 (Acte 4, scène 6, CONSTANCE)
- Crois que tu ne me peux blâmer d'ingratitude, v.1403 (Acte 4, scène 7, LÉLIE)
- Parles-tu tout de bon ? v.1433 (Acte 4, scène 10, ÉRASTE)
- Non, tu m'offenserais d'un adieu seulement. v.1450 (Acte 4, scène 10, LYDIE)
- Tu reconnais bien mieux l'honneur qu'en ma famille v.1471 (Acte 4, scène 11, ORGIE)
- Tu sais qu'on ne doit pas, sans des sujets bien grands, v.1505 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Que me dis-tu, Lydie, et qui te l'a fait croire ? v.1523 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Faisant voir maintenant que celle qu'en Turquie v.1567 (Acte 5, scène 2, LYDIE)
- Il me souvient de plus (ciel, tu le peux savoir) v.1585 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- De l'étroite union dont nature nous joint. v.1590 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Et j'en eusse accepté l'incestueux parti, v.1594 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Si ce que tu me dis se trouve véritable. v.1600 (Acte 5, scène 2, ANSELME)
- Que tu m'es d'un notable et fatal préjudice, v.1619 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Et que tu me peux rendre un redoutable office ! v.1620 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Tu ne perds point ta force à force de vieillir ! v.1621 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- Tu renais quand tu veux plus brillante et plus claire, v.1623 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- De cette incestueuse et fatale alliance. v.1628 (Acte 5, scène 3, ORGIE)
- La restitution tiendra le premier lieu : v.1642 (Acte 5, scène 4, ANSELME)
- Mais à restituer nous sommes des démons. v.1646 (Acte 5, scène 4, ORGIE)
- Et parlons seulement de restitution. v.1677 (Acte 5, scène 4, ANSELME)
- Je t'aurai, malheureuse, et tu ne m'auras pas v.1697 (Acte 5, scène 4, ORGIE)
- Par les événements tu surpasses mes voeux ; v.1701 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Te donner rien d'égal au bien que tu nous fais ? v.1714 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! M'oses-tu nommer cet infidèle ? v.1748 (Acte 5, scène 6, ÉROXÈNE)
- Si tu veux, je suis tien. v.1815 (Acte 5, scène 7, ERGASTE)
- Et si tu veux, je t'aime. v.1815 (Acte 5, scène 7, LYDIE)
ANTIGONE (1638)
- Que tu m'as distillé ce funeste repos. v.6 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Nature, confonds-les, c'est ici ton office : v.11 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Toi, flanc incestueux dont il sont pris naissance, v.15 (Acte 1, scène 1, JOCASTE)
- Ce coeur dénaturé, teint de sang de son frère, v.23 (Acte 1, scène 2, JOCASTE)
- Quel droit de la nature avons-nous violé ? v.109 (Acte 1, scène 3, CRÉON)
- Voilà que les surgeons d'un sang incestueux v.112 (Acte 1, scène 3, CR?ON)
- Ô reproche honteux, que renouvelles-tu ? v.116 (Acte 1, scène 3, JOCASTE)
- Assez sans toi le sort exerce ma vertu. v.117 (Acte 1, scène 3, JOCASTE)
- Et que m'ôter à vous serait une aventure v.158 (Acte 1, scène 4, HÉMON)
- Pour qui je serais sourd à toute la nature ; v.159 (Acte 1, scène 4, H?MON)
- Serait bien, cher Hémon, me tuer plus que lui : v.205 (Acte 1, scène 4, ANTIGONE)
- Dieux ! Que proposez-vous ! Quelle horrible aventure ! v.258 (Acte 1, scène 6, ADRASTE)
- Eh ! Monsieur, écoutez la voix de la nature ; v.259 (Acte 1, scène 6, ARGIE)
- La chose est résolue, et la nature même v.262 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Que doit plus la nature à mon frère qu'à moi, v.268 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Une vertu si lâche excède ma puissance ; v.291 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Ou sa vie ou la mienne, importunes sangsues, v.298 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Et que le ciel doué d'une vertu si rare ; v.310 (Acte 1, scène 6, POLYNICE)
- Tu laisseras la vie, ou j'y mordrai la poudre, v.327 (Acte 2, scène 1, POLYNICE)
- La nature, Seigneur, dispense le courage ; v.339 (Acte 2, scène 1, 1ER-CAPITAINE)
- Accordez quelque chose à la loi naturelle : v.354 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Tout respect de nature et ne l'écouter plus ? v.361 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Ô nature, toi-même à toi-même contraire, v.370 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Encore à la nature Étéocle défère ; v.406 (Acte 2, scène 2, ANTIGONE)
- Plutôt dessus les lieux tu m'aurais vu rendu, v.428 (Acte 2, scène 3, ETEOCLE)
- J'en prétendais la gloire, et tu me l'as ravie : v.435 (Acte 2, scène 3, ETEOCLE)
- Et ce n'est que du temps que tu m'as devancé. v.437 (Acte 2, scène 3, ETEOCLE)
- Tu m'es donc frère enfin ? Car ce n'était pas l'être v.446 (Acte 2, scène 3, POLYNICE)
- Que veut hors de saison cette femme importune ? v.450 (Acte 2, scène 4, CRÉON)
- Détourner s'il se peut une étrange infortune. v.451 (Acte 2, scène 4, HÉMON)
- C'est leur mère. Ô nature ! Assiste son dessein. v.452 (Acte 2, scène 4, 2ND-CAPITAINE)
- La nature n'a plus d'inviolables droits ; v.496 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Nature, son contraire, aujourd'hui fait office : v.499 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Si j'avais violé les droits de la nature ? v.577 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Tu ne te hâtes pas ? v.587 (Acte 2, scène 4, POLYNICE)
- Ma constance est à bout, la nature se tait, v.638 (Acte 2, scène 4, JOCASTE)
- Et que le sort après conduise l'aventure. v.656 (Acte 2, scène 4, ETEOCLE)
- Ô journée honteuse à la nature ! v.657 (Acte 2, scène 4, HÉMON)
- Tel est ton ordre aux biens que tu nous fais ; v.670 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Tu caresses, tu frappes, v.671 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Tu viens à nous, tu nous échappes, v.672 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Et tu ne t'arrêtes jamais. v.673 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- S'il est vrai que tu n'as point d'yeux v.675 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Tu ne peux voir la tête d'un roi v.678 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- L'éclat que tu lui donnes ; v.679 (Acte 3, scène 1, ANTIGONE)
- Tu reviens seul, Hémon ? Ô sinistre présage ! v.682 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Que je lis d'infortune aux traits de ton visage ! v.683 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Hélas ! Tu me dis tout en ne me disant rien. v.685 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- Opposez la nature à la nature même. v.691 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Où plus que les vaincus la nature est vaincue, v.695 (Acte 3, scène 2, ANTIGONE)
- La rage s'y vint rendre, et nature en sortit : v.705 (Acte 3, scène 2, HÉMON)
- Un peu de solitude à ce mortel ennui, v.797 (Acte 3, scène 4, ANTIGONE)
- Et que votre vertu me réponde de vous. v.805 (Acte 3, scène 4, HÉMON)
- La vertu doit ici forcer la tyrannie ; v.838 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- La promptitude aussi bien souvent est nuisible. v.855 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
- Je fais gloire pour moi que ma vertu paraisse. v.892 (Acte 3, scène 5, ANTIGONE)
- Tu vois en quel état, femme et soeur de tes rois, v.937 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Je ne t'ôte qu'un soin que tu ne daignes prendre : v.944 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Ma le dénieras-tu ? Rends, cruelle, rends-moi v.945 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Celui que tu chassais comme indigne de toi, v.946 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- À qui tu fus perfide autant que légitime, v.947 (Acte 3, scène 6, ARGIE)
- Que pour nous la fortune, a de fausse douceurs ! v.981 (Acte 3, scène 7, ARGIE)
- L'amitié nous joignit bien plus que la nature. v.992 (Acte 3, scène 7, ANTIGONE)
- Accordez la justice avecque la nature : v.1072 (Acte 4, scène 1, ÉPHISE)
- Ô vertu criminelle ! Ô pitié funeste, v.1111 (Acte 4, scène 2, CAPITAINE)
- Ô masque de vertu ! Que ta fausse beauté v.1129 (Acte 4, scène 2, CRÉON)
- Vous faisiez donc vertu de transgresser mes lois ? v.1156 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Quoi ! Vous osez aux morts nier la sépulture ? v.1174 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- Eh ! Cette loi naquit avecque la nature. v.1175 (Acte 4, scène 3, ANTIGONE)
- Ô mâle coeur de fille ! Ô vertu non commune, v.1186 (Acte 4, scène 3, ÉPHISE)
- Qui pour rien ne se rend aux coups de la fortune ! v.1187 (Acte 4, scène 3, ?PHISE)
- Au moins dois-tu rougir d'avoir osé plus qu'eux. v.1236 (Acte 4, scène 3, CRÉON)
- Et toi, n'eus-tu point part à l'entreprise aussi ? v.1261 (Acte 4, scène 4, CRÉON)
- Prisez-vous à tel point votre triste fortune, v.1270 (Acte 4, scène 4, ISMÈNE)
- Accuse votre arrêt d'offenser la nature ; v.1382 (Acte 4, scène 5, HÉMON)
- Appelles-tu raison de faire honneur au crime ? v.1405 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Tu contestes, mutin, contre ton propre père ? v.1417 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- M'oses-tu menacer ? v.1427 (Acte 4, scène 5, CRÉON)
- Qu'on l'égorge à mes yeux ! Ô vertu sans défense ! v.1445 (Acte 5, scène 1, HÉMON)
- Je te crus justement, tu ne m'as point menti. v.1452 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Contre la vertu même et la même innocence ! v.1454 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Rompt les lois d'hyménée et celles de nature, v.1461 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Ôte aux vivants l'espoir, aux morts la sépulture ? v.1462 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Eh bien, qu'as-tu gagné sur cette âme cruelle ? v.1469 (Acte 5, scène 1, H?MON)
- Et trop de naturel passe aujourd'hui pour crime. v.1490 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- N'as-tu rien oublié de ta commission ? v.1500 (Acte 5, scène 2, HÉMON)
- L'as-tu fait souvenir que c'est de sa main même v.1501 (Acte 5, scène 2, H?MON)
- Enfin, l'as-tu prié que, si mon devoir v.1511 (Acte 5, scène 2, H?MON)
- Mais, ô loi du devoir, importune contrainte ! v.1533 (Acte 5, scène 3, HÉMON)
- De vous qui renverser les lois de la nature, v.1605 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Qui, barbare, aux défunts niez la sépulture ; v.1606 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Car le ciel laisse agir l'ordre de la nature, v.1617 (Acte 5, scène 5, CRÉON)
- Et n'a pas toujours l'oeil sur une créature. v.1618 (Acte 5, scène 5, CR?ON)
- Qui m'a si clairement marqué votre aventure : v.1642 (Acte 5, scène 5, TYRESIE)
- Tu crains, tu crains de voir le fils de ton bourreau ; v.1696 (Acte 5, scène 8, HÉMON)
- Autant que tu m'aimais tu me seras contraire ; v.1701 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Tu puniras le fils des cruautés du père. v.1702 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Elle sait à quel point sa fortune vous touche ; v.1717 (Acte 5, scène 8, ISMÈNE)
- Que tu rends au fils ce que tu tiens du père. v.1734 (Acte 5, scène 8, HÉMON)
- Sourde, tiens donc encor de ce dénaturé v.1735 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- La nature aujourd'hui se détruit d'elle-même, v.1738 (Acte 5, scène 8, H?MON)
- Saoulez ce naturel aux meurtres acharné ; v.1754 (Acte 5, scène 9, HÉMON)
- Et tu ne meurs pas tout si le jour me demeure. v.1760 (Acte 5, scène 9, CRÉON)
- Vertueuse beauté, princesse infortunée, v.1777 (Acte 5, scène 9, HÉMON)
- Tu devais, vain regret, précéder ce malheur ! v.1783 (Acte 5, scène 9, ÉPHISE)
LES DEUX PUCELLES (1639)
- Ô nuit ! Pour m'exaucer, tu passes ma prière, v.3 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Tu sembles moins cacher, qu'éteindre la lumière. v.4 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- J'ai de l'art, la clarté que tu me viens d'ôter, v.5 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- Ô moment fortuné sur tous ceux de ma vie, v.19 (Acte 1, scène 1, ANTOINE)
- L'as-tu vue ? v.76 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Me fais-tu, Lindamor, sentir que je l'offense ? v.80 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Que tu trahisses Théodose, v.93 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Tu me dois de tes voeux un compte si fidèle, v.96 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Sans crime refuser une ardeur mutuelle, v.120 (Acte 1, scène 2, THÉODOSE)
- Et que l'ingratitude, au lieu de châtiments, v.121 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- Fuyons une fortune à mon repos funeste, v.128 (Acte 1, scène 2, TH?ODOSE)
- C'est une vertu rare, au-dessus du penser, v.137 (Acte 1, scène 2, LINDAMOR)
- Cessez fâcheux pensers, loin prudence importune, v.147 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Suivons aveuglément notre bonne fortune, v.148 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Sagesse, ni vertu n'est ici de saison, v.149 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Et si tu peux, me pousse au sein de ma maîtresse, v.176 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Dont l'obstacle importun si longtemps nous sépare. v.194 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Ses importunités m'obligeant au refus, v.216 (Acte 1, scène 2, ANTOINE)
- Toi qui luis quand tu veux de tant de feux ardente, v.234 (Acte 1, scène 3, LÉOCADIE)
- Déesse du repos, pourquoi m'es-tu contraire ? v.238 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Tu n'éclaireras pas l'incestueux martyre, v.241 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Tu favoriseras des feux presque innocents, v.243 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Tu devais m'ordonner la moitié de la peine, v.270 (Acte 1, scène 3, L?OCADIE)
- Qu'entends-je, ô justes Dieux ! ô fortune ennemie, v.277 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Crains-tu que quelque embûche à ton bonheur s'oppose, v.281 (Acte 1, scène 4, LÉOCADIE)
- Quel divertissement tires-tu de ma peine ? v.290 (Acte 1, scène 4, LÉOCADIE)
- Que veux-tu que je die en l'état où je suis, v.299 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Ô cruelle disgrâce ! Ô fille infortunée ! v.301 (Acte 1, scène 4, LÉOCADIE)
- Porter jusqu'à ton lit, les baisers que tu veux. v.308 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- S'ils sont même importuns à mes propres enfants : v.316 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Pourquoi m'as-tu cruel conseillé de la suivre ? v.326 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Que ne me laissais-tu dans mon lit endormi, v.327 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- L'oubli seul doit guérir une doute importune, v.329 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Voulant trop s'éclaircir, irrite la fortune, v.330 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- L'aveugle ne veut pas qu'on l'importune ainsi v.331 (Acte 1, scène 4, DON SANCHE)
- Veut en vain à nos yeux déguiser sa nature ? v.334 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- As-tu vu Dorilas que la nuit ait chez nous, v.339 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Et tu lui rends un soin un peu trop diligent. v.347 (Acte 2, scène 1, DORILAS)
- Sers-tu chacun ainsi ? v.348 (Acte 2, scène 1, DORILAS)
- Que veux-tu que je fasse, v.353 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Que tu reconnaîtras les profits qu'elle t'ôte, v.361 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Valant ce que tu vaux, t'entre en la fantaisie ? v.366 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Pèse bien ton mérite, et tu reconnaîtras v.367 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Buvant, n'as-tu jamais dans le fond de ta tasse, v.369 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Y vois-tu des couleurs, et des proportions, v.371 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Et tu veux Dorilas, que j'aime autre que toi ? v.376 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Mais parlons de notre hôte, as-tu vu sa tristesse, v.381 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- Et ne peux-tu juger quelle douleur le presse ? v.382 (Acte 2, scène 1, ALCIONNE)
- L'autre veut être seul, que veux-tu que je fasse ? v.406 (Acte 2, scène 2, DORILAS)
- À quoi te résous-tu ? quelle est ta destinée ? v.438 (Acte 2, scène 3, THÉODOSE)
- Quel divorce as-tu fait avecque ta vertu, v.439 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Comment, en quel état, où te rencontres-tu ? v.440 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Sans craindre en embrassant cette vie importune v.449 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Qu'avec moi mon honneur coure même fortune ? v.450 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Et qu'il devient un prix importun au vainqueur, v.460 (Acte 2, scène 3, TH?ODOSE)
- Chétive, tu te perds, par le soin que tu prends, v.483 (Acte 2, scène 4, ALCIONNE)
- Dans les premiers assauts des grandes infortunes v.493 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Les heures de la nuit sont les plus importunes, v.494 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Des objets que tu veux, tu nous fais les tableaux, v.508 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Tu me faisais un Dieu de l'auteur de mes peines, v.509 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Mais à qui malheureuse adresses-tu tes plaintes, v.517 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- Que l'amour t'avait bien, d'une fausse peinture, v.521 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Fait de l'honneur, un monstre, ennemi de nature, v.522 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Hé demeurez, je sors, si je vous importune, v.541 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Je ne viens pas ici croître votre infortune, v.542 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Théodose est le nom de cette infortunée, v.593 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- L'étude à Salamanque est son seul entretien, v.607 (Acte 2, scène 4, TH?ODOSE)
- Hier, il disparut, et ma fortune est telle v.653 (Acte 2, scène 4, THÉODOSE)
- À qui ne fût sensible une telle aventure, v.674 (Acte 2, scène 4, ALEXANDRE)
- Dieux ! qu'est-ce que je vois ? quelle est cette aventure, v.709 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Par quel secret pouvoir, merveille de nature, v.710 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Viens-tu jusqu'en mon lit, plus beau que le Soleil, v.711 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Que ne pourrais-tu vaincre avec tant de mérites, v.721 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Cette importune ardeur, dont mon âme est pressée, v.733 (Acte 2, scène 5, ALCIONNE)
- Si tu veux, à tout prendre, il ne faut point choisir. v.740 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Possède-les tous deux, tu leur peux satisfaire, v.741 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Qu'est-ce ! qu'as-tu trouvé ? tu n'espérais rien moins. v.744 (Acte 2, scène 6, ALCIONNE)
- Tu n'es que trop soigneuse, et que trop diligente, v.745 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Que fais-tu si matin au lit de ce passant ? v.747 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Tu sais tout au besoin couvrir si dextrement, v.751 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Qu'à mes yeux, tu pourrais pécher innocemment. v.752 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Quoi, que dis-tu ? v.755 (Acte 2, scène 6, DORILAS)
- Que je fais mon devoir, quand j'aime ta vertu v.756 (Acte 2, scène 6, ALCIONNE)
- Que vois-je malheureuse ! ô rencontre importune ! v.777 (Acte 2, scène 6, THÉODOSE)
- Que peut plus à mes maux ajouter la fortune ? v.778 (Acte 2, scène 6, TH?ODOSE)
- Puisqu'encor, en mon mal tu m'offres du support, v.819 (Acte 3, scène 1, THÉODOSE)
- Ha ! mon maître, ô fatale aventure. v.829 (Acte 3, scène 2, FILÉMOND)
- Hé, qui t'a Filémond, mis en cette posture ! v.830 (Acte 3, scène 2, ALEXANDRE)
- Si de ces biens encor tu n'es pas assouvie, v.857 (Acte 3, scène 3, LÉOCADIE)
- Pour prolonger mes maux, tu prolonges mes jours, v.864 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Tu sais que m'épargner, c'est m'être plus nuisible, v.865 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Ainsi, tu fais moins voir quelle est ta cruauté, v.867 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- En ce que tu m'as pris, qu'en ce qui m'est resté , v.868 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Que tu sais en rigueur passer l'outrage même. v.870 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Autre Tigre que lui, si cruel de nature, v.877 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- En ce coupable sein ne cherche sa pâture, v.878 (Acte 3, scène 3, L?OCADIE)
- Ô troupe fortunée, v.885 (Acte 3, scène 4, LÉOCADIE)
- Si les maux que tu fuis te font plaindre les miens, v.887 (Acte 3, scène 4, L?OCADIE)
- Un nombre de voleurs, ou plutôt ma fortune v.889 (Acte 3, scène 4, L?OCADIE)
- Qui n'aime qu'à me nuire, et qu'à m'être importune v.890 (Acte 3, scène 4, L?OCADIE)
- Tu ne pleureras pas d'entendre une nouvelle, v.929 (Acte 3, scène 6, DORILAS)
- Tant tu crains de m'y voir, hé ! pèse ton mérite, v.949 (Acte 3, scène 6, ALCIONNE)
- Puisque notre fortune à couvert de l'outrage, v.957 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- En vertu sans seconde, en beauté sans pareille, v.978 (Acte 3, scène 7, ALEXANDRE)
- Mon père de Don Sanche était la créature v.989 (Acte 3, scène 7, LÉOCADIE)
- Quitte depuis deux jours du tribut de nature, v.990 (Acte 3, scène 7, L?OCADIE)
- Outre cette douceur aux filles naturelle, v.1009 (Acte 3, scène 8, THÉODOSE)
- Il est vrai, je suis fille, et la moins fortunée , v.1037 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Pour commencer enfin cette histoire importune, v.1057 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Oyez par quel endroit m'attaqua la fortune, v.1058 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- La nature a tiré cet auteur de mes peines, v.1070 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Et d'un coup mutuel nos coeurs furent ravis : v.1080 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- Nos désirs mutuels tendaient à l'hyménée, v.1085 (Acte 3, scène 8, L?OCADIE)
- Va jusqu'à la nature, et lui crève les yeux ! v.1100 (Acte 3, scène 8, LÉOCADIE)
- À cet arbre importun, où vos bras attachés v.1235 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- N'est-ce donc point assez de ma triste fortune, v.1261 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Sans que la raillerie encore m'importune, v.1262 (Acte 4, scène 2, L?OCADIE)
- C'est trop mettre d'obstacle, à votre solitude, v.1273 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Je laisse un libre cours à cette inquiétude, v.1274 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
- Quel conseil dois-tu prendre, en ce malheur extrême ? v.1286 (Acte 4, scène 2, LÉOCADIE)
- Suivras-tu sans danger, ces hommes inconnus, v.1287 (Acte 4, scène 2, L?OCADIE)
- Cet importun ennui ne se peut-il distraire ? v.1297 (Acte 4, scène 3, ALCIONNE)
- Tu n'es plus, cher Antoine, et je survis ta vie ! v.1321 (Acte 4, scène 4, LÉOCADIE)
- Veux-tu ma lâcheté lui laisser l'avantage, v.1333 (Acte 4, scène 5, THÉODOSE)
- Balances-tu ma main, en ce dernier devoir ? v.1335 (Acte 4, scène 5, TH?ODOSE)
- Tu m'as toi-même assez contre toi-même instruite, v.1349 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- La mort, cette importune est toujours à ta suite v.1350 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- Quelques si doux objets dont tu tentes les yeux, v.1355 (Acte 4, scène 5, ALCIONNE)
- Par ce qu'elle propose, apprends ce que tu dois, v.1407 (Acte 4, scène 6, THÉODOSE)
- J'ai fait de ces voleurs la rencontre importune, v.1437 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- Le ciel devait par eux achever ma fortune, v.1438 (Acte 4, scène 6, ANTOINE)
- De quel trouble importun sont mes sens agités ? v.1459 (Acte 4, scène 6, LÉOCADIE)
- Sors malheureuse fille, et si tu perds le jour, v.1471 (Acte 4, scène 6, L?OCADIE)
- Si la douleur nous tue, une excessive joie, v.1473 (Acte 4, scène 6, ALEXANDRE)
- Il s'offre, il se promet, et tu prises ta vie, v.1490 (Acte 4, scène 7, LÉOCADIE)
- Sans peine tu conclus à te déshonorer, v.1491 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Et quand tu veux mourir, il faut délibérer ? v.1492 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- Ruinons qui nous perd, et tuons, en mourant ; v.1500 (Acte 4, scène 7, L?OCADIE)
- J'ai raison (grâce aux Dieux) de louer ma fortune, v.1537 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- Mais en quelque façon mon bonheur m'importune, v.1538 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Parce que je connais qu'il vous est importun, v.1539 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Certes, c'est aujourd'hui, si jamais aventure, v.1545 (Acte 4, scène 9, THÉODOSE)
- A dû faire épreuve ce que peut la nature, v.1546 (Acte 4, scène 9, TH?ODOSE)
- Les Lions, de mon corps refusent la pâture , v.1605 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Et dépouillent pour moi leur brutale nature, v.1606 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Mais à qui veux-tu lâche imputer ton malheur, v.1611 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Tu veux choisir ta mort, et d'un timide pas v.1615 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Te peux-tu désormais exposer à ton père, v.1617 (Acte 5, scène 1, L?OCADIE)
- Cherche en elle ce bien, que tu veux qu'on t'accorde, v.1646 (Acte 5, scène 1, PREMIER ARCHER)
- Trouve des naturels, et sensibles, et doux. v.1648 (Acte 5, scène 1, PREMIER ARCHER)
- J'ai pris telle habitude à cette lâcheté v.1651 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Si ma fortune au moins ne peut être meilleure, v.1685 (Acte 5, scène 1, LÉOCADIE)
- Quelle plus belle histoire, et quelle autre aventure, v.1689 (Acte 5, scène 3, ALCIONNE)
- Sera plus mémorable à la race future ? v.1690 (Acte 5, scène 3, ALCIONNE)
- Et trouver chez les siens cette fortune entière, v.1693 (Acte 5, scène 3, ALCIONNE)
- Tu sais si j'ai donné, receleur de leur race, v.1713 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Tu connais, si j'eus part au dessein de mon fils , v.1715 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Et tu peux témoigner des plaintes que j'en fis, v.1716 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- D'une étroite vertu nul ait passé les bornes, v.1718 (Acte 5, scène 4, DON LOUIS)
- Tu dois par ce papier être suffisamment v.1739 (Acte 5, scène 5, DON HENRI)
- Tu dois à mon honneur raison de cette injure ; v.1742 (Acte 5, scène 5, DON HENRI)
- Tu devais, prévoyant, étouffer au berceau, v.1743 (Acte 5, scène 5, DON HENRI)
- Qu'en vain sans la nature un parent délibère v.1789 (Acte 5, scène 6, DON HENRI)
- Par ce bon naturel, qui tout autre surpasse, v.1793 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- De nous entretuer d'entre nous soit bannie. v.1802 (Acte 5, scène 6, DON HENRI)
- Le crime que j'ai fait est de cette nature, v.1822 (Acte 5, scène 6, ANTOINE)
- Certes, à bien parler d'une telle aventure, v.1885 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- À peine imaginable à la race future, v.1886 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Tu ne cours pas au mal, tu t'y laisses traîner, v.1891 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Ta faute n'est pas tienne, elle est de la fortune, v.1894 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Ha ! brisez mes amis cette importune chaîne, v.1897 (Acte 5, scène 7, DON SANCHE)
- Ô ciel ! que tu me ris, et que tout m'est prospère ! v.1914 (Acte 5, scène 7, ALEXANDRE)
LA CÉLIANE (1637)
- Mais sans être fâché de ma bonne fortune, v.21 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- Vous ne sauriez trouver cette terre importune. v.22 (Acte 1, scène 1, FLORIMANT)
- L'importune feignait d'asservir ma franchise, v.37 (Acte 1, scène 1, PAMPHILE)
- Que tu te plains d'un homme ignorant de ton nom. v.186 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Vis content beau guerrier , mes importuns attraits v.197 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Tu sais combien l'ardeur qui nous conjoint est pure, v.211 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Tu sais, injuste Ciel, que mon amour me dure, v.212 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Enfin tu sais qu'il brûle, ou tu ne le vois pas. v.214 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- De quelle mort veux-tu punir ma cruauté ? v.218 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Tu ne peux être éteint, puisque je brûle encore. v.236 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- D'avouer ton mérite, et que tu sais bien feindre : v.284 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Qui prouve bien aussi que tu sais bien changer. v.286 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Vous savez que mes yeux moins que mon infortune, v.291 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Firent naître en Bélise une flamme importune. v.292 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Tu reconnais ici, cher auteur de ma peine, v.331 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Et si tu dois te plaindre, accuse mon amour, v.333 (Acte 1, scène 2, NISE)
- Que tu traverseras avecque peu de peine. v.344 (Acte 1, scène 2, PAMPHILE)
- Ce soin n'est plus celui qui mon âme importune, v.371 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- S'il commence à pleurer depuis votre infortune. v.374 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- À quelques animaux l'air sert de nourriture , v.391 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Ami, je vous crois tous d'une même nature. v.394 (Acte 1, scène 3, PHILIDOR)
- Écho ne peut fléchir l'amant qu'elle importune, v.395 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Ami, je vous crois tous d'une même fortune. v.398 (Acte 1, scène 3, FLORIMANT)
- Quoi veux-tu que je tremble auprès de deux Soleils ? v.412 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Tu sais que j'ai semé trop de pas et de peines, v.413 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Tu vois comme je brûle, et tu sais mon souci, v.415 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Je crains de ces discours une triste aventure. v.433 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Qu'aimant leur voix, vous n'aimiez leur nature, v.434 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Un naturel, comme eux, peu sensible et léger. v.436 (Acte 2, scène 1, C?LIANE)
- Quoi, vous suivez du Ciel la fâcheuse coutume, v.437 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Qui ne donne jamais de miel sans amertume. v.438 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Qu'on laisse un jeune esprit dans son inquiétude, v.449 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Qu'on feint de ne pas voir même la servitude, v.450 (Acte 2, scène 1, C?LIANE)
- Ah ! si tu crois mon coeur de ce crime capable, v.469 (Acte 2, scène 1, FLORIMANT)
- Tu ne dois plus douter, si mon âme est atteinte, v.481 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Seras-tu satisfait, si je répands des pleurs ? v.496 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Ou seras-tu content d'un regard tout de flamme ? v.498 (Acte 2, scène 1, C?LIANE)
- Je suis d'un naturel si soigneux de ton aise, v.505 (Acte 2, scène 1, CÉLIANE)
- Vont joindre à ton destin ma fortune, et mon âge ; v.518 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Ah propos qui me charme ! ombre, amour, solitude, v.521 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Témoins du prix qu'on donne à mon inquiétude, v.522 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Quand la seule vertu fait naître ses désirs ! v.540 (Acte 2, scène 2, NISE)
- En baisant ces cheveux, tu n'as qu'un avantage v.541 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Crois-tu touchant ce corps alléger ton souci ? v.543 (Acte 2, scène 2, NISE)
- Que sagement tu sais parmi ces voluptés, v.559 (Acte 2, scène 2, PAMPHILE)
- Au respect, que tu dois à notre affection ; v.594 (Acte 2, scène 3, PAMPHILE)
- Ah ! que tu m'entretiens de vaines espérances ! v.627 (Acte 3, scène 1, CÉLIANE)
- Il se tut, et ne put achever son discours ; v.638 (Acte 3, scène 1, C?LIANE)
- Tu ne saurais guérir cette incurable plaie, v.656 (Acte 3, scène 1, CÉLIANE)
- Et les siens mutuels, ne condamnent-ils pas v.699 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- L'injure, que tu fais à ses chastes appas ? v.700 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Traître, aurais-tu le coeur si lâche, et si barbare v.709 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Pourrais-tu voir payer ses flammes de fumée, v.713 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Et voudrais-tu cueillir les fleurs qu'il a semées ? v.714 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Qui savez l'infortune où je me vois réduit, v.716 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Éteindra son ardeur, serve à ma sépulture , v.726 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- De quelle cruauté traverses-tu mon aise ! v.730 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Mais romps, infortuné ; ces fâcheux entretiens ; v.731 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Ah pensers importuns ! faux titre de fidèle, v.741 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- À quoi se portera mon âme infortunée ? v.746 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Quittez ce vain respect qui votre âme importune, v.753 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Établissez votre heur dessus mon infortune ; v.754 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- La même ingratitude, et la même inconstance ? v.778 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Que ta rare vertu me charme, et me transporte ! v.801 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Tu vois à ton désir mon courage remis. v.808 (Acte 3, scène 2, FLORIMANT)
- Et veux-tu que je montre, en ce mal incurable, v.861 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Au Tyran qui me tue un oeil plus favorable ? v.862 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Dont tu viens à mes yeux montrer ta perfidie ? v.866 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Par le dessein fatal, dont je vous importune, v.873 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Je creuse mon tombeau, je détruis ma fortune, v.874 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Non, non, je ne suis plus cet Amant fortuné, v.895 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Si tu crois que ce corps ne soit que de vapeur ? v.900 (Acte 3, scène 2, PAMPHILE)
- Tu ne vois plus mon tout, mon âme suspendue, v.905 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Ordonne à qui tu veux, la faveur qui t'est due, v.906 (Acte 3, scène 2, NISE)
- Ce ne sont pas les yeux de Nise que tu vois, v.919 (Acte 4, scène 1, CÉLIANE)
- Et ce n'est plus à moi, que tu tâches de plaire. v.922 (Acte 4, scène 1, C?LIANE)
- Et tu fais trop languir la beauté qui t'attend. v.924 (Acte 4, scène 1, C?LIANE)
- Les voeux, que tu couvrais du nom de courtoisie ; v.934 (Acte 4, scène 1, CÉLIANE)
- Tu ne te plaindrais pas de cette trahison. v.944 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Ces innocents plaisirs dont tu n'es plus avare. v.950 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Ah ! que tu juges mal de mes plus doux souhaits ! v.959 (Acte 4, scène 1, FLORIMANT)
- Flatter un malheureux que vous tuerez après ! v.1000 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Et de mon infortune. v.1021 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Dieux ! que votre grandeur me serait importune ! v.1022 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Tu ne me donnes point ce trésor sans regret, v.1028 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Et mon ingratitude est sans comparaison. v.1032 (Acte 4, scène 2, FLORIMANT)
- Ah ! cruel, que dis-tu v.1055 (Acte 4, scène 2, NISE)
- Qu'autant qu'il est permis de chérir la vertu . v.1056 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Ils seront accomplis, si tu possèdes Nise. v.1066 (Acte 4, scène 2, PAMPHILE)
- Jalouse frénésie, où portes-tu les Dames, v.1071 (Acte 4, scène 3, CÉLIANE)
- Quels étranges moyens leur fais-tu concevoir, v.1073 (Acte 4, scène 3, C?LIANE)
- Au moins tu les soumets aux oeillets de ta joue, v.1107 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Tu me connais mon coeur, et ma persévérance v.1111 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Ou si tu veux tout seul achever ta harangue , v.1115 (Acte 4, scène 3, CÉLIANE)
- Tu ne peux Philidor supporter cet outrage, v.1123 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Elle a plus de rigueur, que tu n'as de courage ? v.1124 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Toi-même, tu serais de ton malheur coupable. v.1128 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- La vertu de garder une immuable foi, v.1129 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Tu la romps, dédaigneuse. v.1155 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- M'as-tu vue autrefois conserver un souci ? v.1157 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Que tu serais content, si tu vivais ainsi ! v.1158 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Veux-tu joindre les noms d'heureux, et de fidèle, v.1159 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Mon coeur n'est point sensible aux traits dont tu te plains . v.1166 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Tu sais bien Philidor, si j'en suis solitaire, v.1175 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Alors que tu me fuis, tu vois si je m'altère. v.1176 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Si tu ne possédais de si charmants appas, v.1181 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Tu retombes toujours dans ton erreur première, v.1191 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Évite ces buissons que tu n'aperçois pas. v.1198 (Acte 4, scène 3, JULIE)
- Ne m'importune plus de ces propos railleurs, v.1201 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Tu ris de mon malheur, mais possible dans peu v.1205 (Acte 4, scène 3, PHILIDOR)
- Que tu n'aies prévenu l'intention de Nise , v.1224 (Acte 4, scène 4, NISE)
- M'aimant, tu ne dois pas aimer mon infortune, v.1227 (Acte 4, scène 4, NISE)
- La mort m'est favorable, et la vie importune, v.1228 (Acte 4, scène 4, NISE)
- Alors tu me pourras entière posséder : v.1245 (Acte 4, scène 4, NISE)
- Tu n'auras plus d'ami, qui t'oblige à céder. v.1246 (Acte 4, scène 4, NISE)
- Et craignant d'en user tu souffres injustement. v.1250 (Acte 4, scène 4, NISE)
- En me privant du jour, tu m'es plus précieux. v.1254 (Acte 4, scène 4, NISE)
- Ô surprise importune ! v.1255 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Finir mon infortune. v.1256 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Quelque trépas futur, que mon frère vous conte, v.1271 (Acte 4, scène 5, JULIE)
- Que veut cet importun ? v.1301 (Acte 4, scène 5, NISE)
- Non, tu n'es point l'auteur de ces cruelles flammes ; v.1357 (Acte 5, scène 1, FLORIMANT)
- Si tu couvres de fiel les flèches de ta trousse, v.1361 (Acte 5, scène 1, FLORIMANT)
- Ma douce inquiétude, v.1365 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Entretiens mon esprit en cette solitude. v.1366 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- N'estimeras-tu pas ma gloire sans seconde, v.1369 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Trouves-tu quelque tâche en ce divin Soleil ? v.1380 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- As-tu dans son honneur trouvé quelque défaut ? v.1384 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Ô Dieux ! Que me dis-tu ? v.1391 (Acte 5, scène 2, FLORIMANT)
- Vous verrez des sujets de vanter sa vertu. v.1392 (Acte 5, scène 2, JULIE)
- Las ! si tu fus jamais à nos desseins prospère, v.1393 (Acte 5, scène 3, CÉLIANE)
- Tu ne fais qu'un reproche à mon honnêteté : v.1416 (Acte 5, scène 3, NISE)
- N'est qu'une couverture, à ton bien destinée. v.1426 (Acte 5, scène 3, NISE)
- Tu mentiras lascive. v.1429 (Acte 5, scène 3, FLORIMANT)
- J'ai peine à concevoir quel accident tu dis, v.1495 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Tu crois que ce discours m'oblige infiniment, v.1503 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Que me dis-tu Julie ? v.1507 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Je plains ton infortune, v.1525 (Acte 5, scène 4, NISE)
- Mais que puis-je répondre à ta plainte importune ? v.1526 (Acte 5, scène 4, NISE)
- Que tu seras sensible à ma fidélité. v.1528 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Que tu vois maintenant ton destin glorieux ! v.1560 (Acte 5, scène 4, CÉLIANE)
- Qu'en dis-tu Philidor ? v.1561 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Que tu plains sa folie ! v.1561 (Acte 5, scène 4, PHILIDOR)
- Et que tu fais état de l'humeur de Julie ! v.1562 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Et tu peux bien ailleurs engager ta franchise, v.1565 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Et quoi, tu fais l'amour ainsi ? v.1600 (Acte 5, scène 4, JULIE)
- Et si tu sais combien on souffre de trépas, v.1631 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Vois d'un visage égal la fin de ma fortune, v.1633 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Que tu m'obligerais de terminer mes peines ! v.1646 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Tu sais déjà l'endroit, que tu dois traverser, v.1647 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Tu me donnas au coeur, quand tu l'osas blesser . v.1648 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Inutiles discours ! lâche tu délibères, v.1653 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Tu crains plus (coeur abject) la mort que tes misères. v.1654 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Eh quoi ! tu perds le temps à de si vains regrets, v.1659 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Tu conçois des desseins contre ta propre vie, v.1661 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Épargne la vertu dont le Ciel l'a pourvue, v.1673 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Que me dis-tu cruel ? v.1674 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Du visible forfait que tu croirais le moins ; v.1676 (Acte 5, scène 5, FLORIMANT)
- Pourquoi, fâcheux rapport, préviens-tu mon trépas ? v.1680 (Acte 5, scène 5, PAMPHILE)
- Tu posséderas tout avecque moins d'efforts, v.1708 (Acte 5, scène 6, NISE)
- Oui, tu le chéris fort, ce moment favorable, v.1733 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Tu n'adresses qu'à moi tous les voeux que tu fais, v.1735 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Peux-tu bien subsister en tant de passion ? v.1744 (Acte 5, scène 6, FLORIMANT)
- Heureuse invention : mais que m'ordonnes-tu, v.1799 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- M'ayant vu (cher amant ) soupçonner ta vertu ? v.1800 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Mais tu m'as obligé toi-même à t'offenser, v.1803 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Et tu m'as fait faillir pour me récompenser. v.1804 (Acte 5, scène 6, PAMPHILE)
- Tu promets de m'aimer, cet amant est à Nise, v.1809 (Acte 5, scène 6, JULIE)
- Que les plus froids un jour l'importunent de voeux. v.1820 (Acte 5, scène 6, PHILIDOR)
LAURE PERSÉCUTÉE (1639)
- Du plus sévère esprit qui soit en la nature ; v.18 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Et la commune voix en fait une peinture v.53 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Qui ne l'enrichit point des dons de la nature : v.54 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Fort pauvre de fortune, et peut-être d'honneur. v.56 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Tu dois l'impunité de cette irrévérence, v.62 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Ce chef-d'oeuvre immortel de vertus et d'appas. v.64 (Acte 1, scène 1, ORANT?E)
- Tu ne pouvais pas mieux qu'avec les mêmes armes, v.85 (Acte 1, scène 1, ORANTÉE)
- Tu m'obliges autant que tu m'as offensé, v.87 (Acte 1, scène 1, ORANT?E)
- Et tu relèves mieux que tu n'as abaissé. v.88 (Acte 1, scène 1, ORANT?E)
- Quel importun devoir m'est enjoint aujourd'hui ! v.91 (Acte 1, scène 1, LE COMTE)
- Fait voir qu'il est parfois maître de la fortune. v.98 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Vois-tu pas à quel point le Roi nous persécute, v.105 (Acte 1, scène 2, LAURE)
- Le prince forcera ce qui vous importune. v.109 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- En possédant son coeur vous tenez sa fortune : v.110 (Acte 1, scène 2, LYDIE)
- Un ver de jalousie, un importun penser v.154 (Acte 1, scène 4, LYDIE)
- Une fille inconnue, un rebut de fortune, v.168 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Aux siens, à la nature, à soi-même importune, v.169 (Acte 1, scène 5, LE ROI)
- Ne sers-tu pas le prince ? v.202 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Depuis que ce bonheur honore ma fortune, v.205 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- Connais-tu cette Laure en beauté sans seconde, v.212 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- J'estime sa vertu bien plus que son visage ; v.216 (Acte 1, scène 7, LAURE)
- L'as-tu vue aujourd'hui ? v.218 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
- Tu n'as si forte tour ni garde si fidèle v.240 (Acte 1, scène 8, ORANTÉE)
- J'ai, non sans grand sujet, craint en cette aventure v.244 (Acte 1, scène 8, ORANT?E)
- Un aveugle attentat d'amour sur la nature ; v.245 (Acte 1, scène 8, ORANT?E)
- Et, si tu veux encor, reprends jusqu'à ton sang ; v.251 (Acte 1, scène 8, ORANT?E)
- Est-ce vous, ma princesse ? Ô sort ! Que tu m'es doux ! v.266 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- Oui, Laure, nos destins auront même aventure ; v.300 (Acte 1, scène 9, ORANTÉE)
- Nous aurons même trône ou même sépulture. v.301 (Acte 1, scène 9, ORANT?E)
- Sa désobéissance et son ingratitude ? v.321 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- La nature et le sang vous parleront pour moi v.342 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Oses-tu maintenant paraître en ma présence ? v.345 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Et qu'alléguerais-tu qui purgeât ton offense ? v.356 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Avec quel argument détruis-tu mon pouvoir ? v.358 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Inviolable et sainte autant que naturelle ? v.360 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Tu poursuis lâchement un hymen inégal, v.366 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Sa grâce est sans défaut, ses vertus sans pareilles ; v.377 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- N'a vu, voit, ni verra dans toute la nature v.380 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- De merveille passée, ou présente ou future, v.381 (Acte 1, scène 10, ORANT?E)
- Fou, stupide, insensé, si l'usage et le temps v.386 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Tu n'es absolument dépourvu de raison, v.391 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Avant que te sentant tu t'aimasses toi-même. v.393 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Ta passion est juste, et ta Laure, dis-tu, v.394 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Est la sagesse même, et la même vertu ! v.395 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- Quiconque vous ait fait cette fausse peinture, v.420 (Acte 1, scène 10, ORANTÉE)
- Un accord avec toi dont tu mourras de honte. v.441 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- En l'endroit le plus sûr que tu puisses choisir, v.443 (Acte 1, scène 10, LE ROI)
- La frayeur que tu fais est une douce peine. v.461 (Acte 1, scène 11, ORANTÉE)
- Tu feras bien du mal avec cette laideur. v.463 (Acte 1, scène 11, ORANTÉE)
- Inutile, importun et coupable penser, v.488 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- De quel trouble d'esprit me viens-tu traverser ? v.489 (Acte 2, scène 1, OCTAVE)
- Oui, de toi si tu veux : mais écoute en deux mots. v.505 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Le bien présent est sûr, les futurs sont trompeurs ; v.512 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Préfère au bien futur la fortune présente : v.523 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Sans égard du futur je dois tout à mon Roi ; v.528 (Acte 2, scène 2, OCTAVE)
- Ah ! Tu verrais ma mort précéder cette envie : v.535 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Tu sais, oui tu le sais, et toi seul de ma cour v.544 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- D'ailleurs, tu sais l'accord en Pologne arrêté, v.552 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- J'ai couvert sa vertu de reproche et de blâme, v.567 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Et je n'en attends rien si tu n'en es l'Ulysse, v.575 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Et ton esprit adroit, tu peux tout si tu veux. v.577 (Acte 2, scène 2, LE ROI)
- Et j'allais à sa gloire égaler sa fortune, v.638 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Je vis donc avec lui mon espoir abattu ; v.640 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- J'héritai pour tout bien de sa seule vertu ; v.641 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Le chef de ce vaisseau, le turban sur la tête, v.666 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Quand moi, qui le croyais être Turc en effet, v.669 (Acte 2, scène 5, LAURE)
- Ainsi puisse périr cette Laure importune, v.686 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Dont les prétentions vont jusqu'à sa fortune, v.687 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- De quels puissants efforts mon coeur est combattu ! v.704 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Ô merveilleux trésor de grâce et de vertu ! v.705 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Crois-tu qu'il soit possible auprès de tant d'appas v.716 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- M'acquérant ses faveurs, tu t'acquiers un empire ; v.719 (Acte 2, scène 5, LE ROI)
- Est à votre fortune un heureux fondement. v.745 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
- Et que l'or est un charme à la vertu fatal ! v.753 (Acte 2, scène 7, LE COMTE)
- Et sais-tu sa maison ? v.760 (Acte 2, scène 7, LE ROI)
- Que ferons-nous du Turc, suivrons-nous sa galère ? v.798 (Acte 2, scène 9, LE COMTE)
- Si tu prends peine encore à bien feindre sa voix, v.808 (Acte 3, scène 1, OCTAVE)
- Eh quoi ! Ne sais-tu pas où Laure en est réduite ? v.826 (Acte 3, scène 1, OCTAVE)
- Cet extrême rapport semble un jeu de nature, v.870 (Acte 3, scène 3, OCTAVE)
- Qu'elle n'ait inventé que pour cette aventure. v.871 (Acte 3, scène 3, OCTAVE)
- Et tu prends, mon amour, un vol audacieux : v.880 (Acte 3, scène 4, OCTAVE)
- Que dit-il de ce Turc et de cette Éliante ? v.902 (Acte 3, scène 5, LAURE)
- Madame, pardonnez : l'inquiétude extrême, v.906 (Acte 3, scène 5, OCTAVE)
- La nature jamais n'aurait mis sous les cieux v.920 (Acte 3, scène 6, ORANTÉE)
- Car enfin que prétend avecque sa fortune, v.962 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- Ce prince dont l'amour si longtemps m'importune ? v.963 (Acte 3, scène 7, LYDIE)
- « Car enfin que prétend avecque sa fortune, v.970 (Acte 3, scène 7, ORANTÉE)
- Ce prince dont l'amour si longtemps m'importune ! » v.971 (Acte 3, scène 7, ORANT?E)
- Ce bien imaginaire et que tu n'eus jamais. v.981 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Ah ! Ciel ! Ce n'est point toi qui régis la nature ; v.982 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- Tes astres impuissants errent à l'aventure ; v.983 (Acte 3, scène 8, ORANT?E)
- Perfide, tu devais, au moins par intérêt, v.1004 (Acte 3, scène 8, ORANTÉE)
- Manquement de nature agréable à nos yeux, v.1036 (Acte 3, scène 9, ORANTÉE)
- Tu le sais. v.1048 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- De l'affront que tu sais et que tu veux me taire, v.1055 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- Tu le cèles encor ? De Laure, traître, d'elle ; v.1059 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- Quoique instruit de sa vie, il est vrai, je l'ai tue, v.1062 (Acte 3, scène 10, OCTAVE)
- Quoi ! Mes bienfaits futurs, mes services passés, v.1065 (Acte 3, scène 10, ORANTÉE)
- Mon amour l'importune ? Ah ! Je meurs ; soutiens-moi. v.1069 (Acte 3, scène 10, ORANT?E)
- Ne le ressens-tu point ? Est-il tout sur mon front ? v.1101 (Acte 3, scène 11, ORANTÉE)
- Elle ne peut souffrir ni moi ni ma fortune ; v.1102 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Un des miens la rejette, et moi je l'importune. v.1103 (Acte 3, scène 11, ORANT?E)
- Cependant ne craignez ni moi ni ma fortune, v.1138 (Acte 3, scène 3, ORANTÉE)
- Et n'appréhendez plus que je vous importune ; v.1139 (Acte 3, scène 3, ORANT?E)
- Pour moi je n'obtins pas ce bien de la nature ; v.1158 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Je ne vous oublierai que dans la sépulture ; v.1159 (Acte 3, scène 3, LAURE)
- Contre leur naturel, rebrousseraient leur course, v.1187 (Acte 4, scène 2, OCTAVE)
- Que veux-tu ? Sans dessein, sans conseil, sans conduite, v.1191 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Tu me verrais mourir de crainte et de respect : v.1213 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Laure me puisse plus causer d'inquiétude ! v.1247 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Les poissons dedans l'air prendront leur nourriture, v.1250 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Les bêtes dans la mer chercheront leur pâture, v.1251 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Vivant comme tu fais, exempt de tout souci, v.1260 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Tu crois qu'il m'est aisé d'en être exempt aussi ; v.1261 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Combien tu trouverais ce changement étrange ! v.1263 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Que tu croirais ton mal loin de sa guérison, v.1264 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Et que tu serais sourd aux lois de la raison ! v.1265 (Acte 4, scène 2, ORANT?E)
- Que veux-tu ? Mon attente était une chimère v.1270 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Crois-tu qu'un peu de bruit l'obligeât d'y paraître ? v.1327 (Acte 4, scène 2, ORANTÉE)
- Hélas ! Tu m'as perdu. v.1332 (Acte 4, scène 3, ORANTÉE)
- Va, laisse, je te prie, à mon inquiétude, v.1350 (Acte 4, scène 4, ORANTÉE)
- Avant que je te suive, un peu de solitude. v.1351 (Acte 4, scène 4, ORANT?E)
- Tu me verras muet tomber à ses genoux ; v.1361 (Acte 4, scène 5, ORANTÉE)
- Mes propres yeux ont vu l'affront que tu m'as fait ; v.1432 (Acte 4, scène 8, ORANTÉE)
- La fortune vaut bien la résolution. v.1437 (Acte 4, scène 8, ORANT?E)
- Faites paraître Octave, et si son imposture v.1450 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Vous laisse quelque doute ou quelque conjecture, v.1451 (Acte 4, scène 8, LAURE)
- Puis-je d'un naturel si sensible et si doux v.1496 (Acte 4, scène 9, ORANTÉE)
- Et parmi les effets de ces vicissitudes, v.1526 (Acte 5, scène 1, ORANTÉE)
- Le sort a mis la fin à nos inquiétudes. v.1527 (Acte 5, scène 1, ORANT?E)
- Tu vois comme un malheur a trahi mon attente, v.1550 (Acte 5, scène 2, ORANTÉE)
- Que nature a puisé ces visibles trésors : v.1571 (Acte 5, scène 3, CLIDAMAS)
- Tu viens, ayant d'Octave aidé la trahison, v.1590 (Acte 5, scène 4, LAURE)
- Ni de votre vertu ni de votre beauté. v.1607 (Acte 5, scène 5, LE ROI)
- Avecque mon bon droit nature parlera. v.1651 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- D'un père ambitieux la rigueur importune v.1672 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- À son contentement préfère sa fortune, v.1673 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Soumettre la fortune et la nature même. v.1701 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- D'un parent importun force l'ambition, v.1703 (Acte 5, scène 8, L'INFANTE)
- Ainsi votre fortune égale votre envie. v.1769 (Acte 5, scène 8, LAURE)
- Qu'aient jamais signalé la Fortune et l'Amour, v.1791 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Plût au ciel fusses-tu le dernier de ma vie ! v.1793 (Acte 5, scène , CLIDAMAS)
- Faisons-en l'ouverture. v.1812 (Acte 5, scène , L'INFANTE)
- Ma chère Laure, ô dieux ! Quelle est cette aventure ? v.1813 (Acte 5, scène , ORANTÉE)
- Quelle heureuse fortune à la nôtre est égale ? v.1838 (Acte 5, scène , ORANTÉE)
- Non, non, tu t'es flatté d'une attente frivole, v.1913 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
- Et certes sa vertu témoigne sa naissance. v.1934 (Acte 5, scène 10, LE ROI)
LA CÉLIMÈNE (1636)
- La solitude en soi ne se rencontre pas. v.8 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- La seule peur que j'ai de vous être importune v.9 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Modère les douceurs de ma bonne fortune. v.10 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Aussi mille amoureux en cette solitude v.49 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- Viennent perdre leurs soins et leur inquiétude. v.50 (Acte 1, scène 1, ORANTE)
- L'Amour fit naître en lui des ardeurs mutuelles : v.132 (Acte 1, scène 1, FLORANTE)
- Il en a rarement la première ouverture. v.185 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- La beauté que tu sers est de cette nature : v.186 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- Me remercieras-tu si, de sa propre bouche, v.193 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- Tu sais dans un moment que ton amour la touche ? v.194 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- La voilà !... Que fais-tu ? Tu ne l'abordes pas ? v.196 (Acte 1, scène 2, ORANTE)
- Traître, que tu sais mal cacher ta perfidie ! v.198 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Es-tu sans artifice, et puis-je avoir surpris v.199 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Dis que tu souhaitais ce bonheur sans pareil. v.203 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Quoi, tu ne peux forcer cette inutile honte ? v.205 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Tu trouvais à Paris des traits si délicats, v.207 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Et tu m'as su si bien prouver ce qui n'est pas ! v.208 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Si tu considérais combien l'absence est forte, v.241 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Traître ! J'étais absente, et tu vois que je t'aime : v.250 (Acte 1, scène 3, FLORANTE)
- Ou que de ce défaut la nature réponde. v.262 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Tu profiterais peu de n'y consentir pas. v.268 (Acte 1, scène 3, FILANDRE)
- Dieux ! Que ces importuns me dérobent de temps ! v.287 (Acte 1, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Si la plainte est plus juste où la fortune est pire. v.298 (Acte 1, scène 4, FILANDRE)
- Je pouvais loin de vous défier la fortune ; v.305 (Acte 1, scène 4, FILANDRE)
- J'obligeais trop Florante, et je vous importune ; v.306 (Acte 1, scène 4, FILANDRE)
- Tu sais mal caresser et mal faire des plaintes. v.338 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Tu lui parlais de pleurs, et c'est honte à Filandre v.341 (Acte 1, scène 5, FLORANTE)
- Crois que tu pourrais peu sur cette âme inhumaine, v.349 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Qu'en mon lieu tu serais en une même peine. v.350 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Tu ferais l'impossible. v.354 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Tu ne me serais plus qu'un objet adorable ; v.366 (Acte 1, scène 5, FILANDRE)
- Et tu dis que le temps la rendra plus traitable ! v.429 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Tu retardes l'arrêt de mon sort lamentable ; v.430 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Tu me retiens le bras, tu diffères ma mort ! v.431 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Tu vois, tu vois, Lysis, si je me plains à tort. v.432 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Elle fuit aujourd'hui, tu l'atteindras demain. v.436 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Tu t'éloignerais d'elle, osant suivre ses pas. v.440 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Tu traites sans dessein mille sujets divers, v.447 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Mais vois si tu n'as point quelques vers en ta poche ; v.470 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- As-tu bien réussi ? v.529 (Acte 2, scène 2, LYSIS)
- Seuls ils peuvent parler des ennuis que tu sens ; v.550 (Acte 2, scène 2, ALIDOR)
- Dieux ! Que ces importuns ont peu de complaisance, v.563 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Dieux ! Quelle peur as-tu ? v.568 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Alidor te déplaît ? Cruelle, tu le fuis ? v.569 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Tu le peux rendre tel. v.577 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Paie ce que tu dois à sa chaste amitié : v.578 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Et tu ne seras point sensible à ses douleurs ? v.590 (Acte 2, scène 3, F?LICIE)
- Ô dieux, cette importune v.592 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- M'imputera toujours ma mauvaise fortune ! v.593 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Vois-tu comme ta grâce a touché ses esprits ? v.599 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Par deux mots ajoutés tu peux flatter sa peine, v.601 (Acte 2, scène 3, F?LICIE)
- Qu'y mets-tu ? v.609 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Cruelle, as-tu dessein de dépeupler la terre ; v.614 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- Et seras-tu constante en ce rigoureux point v.615 (Acte 2, scène 3, F?LICIE)
- Espères-tu du fruit à ta froideur extrême ? v.617 (Acte 2, scène 3, F?LICIE)
- L'amour te paie-t-il du souci que tu prends v.619 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Te charges-tu du soin d'établir son empire ? v.621 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Et, pensant l'obliger, tu fais tort à ses charmes. v.626 (Acte 2, scène 3, C?LIM?NE)
- Et tu ne t'y rends pas ? v.628 (Acte 2, scène 3, FÉLICIE)
- En voudrais-tu jurer ? v.629 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Ah ! Tu sais mon tourment ! v.631 (Acte 2, scène 3, ALIDOR)
- Tu ne peux m'échapper ; mais quoi que je propose... v.634 (Acte 2, scène 3, ALIDOR)
- Et tu m'as obligée à beaucoup de martyre. v.642 (Acte 2, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Mais que je crains, Amour, les maux que tu m'apprêtes ! v.677 (Acte 2, scène 4, FLORIDAN)
- Pourquoi m'as-tu rendu la liberté des sens ? v.692 (Acte 2, scène 5, ALIDOR)
- Ô dieux ! Cette importun a ma voix entendue v.785 (Acte 3, scène 2, CÉLIMÈNE)
- Par cet autre importun sont toujours traversées. v.798 (Acte 3, scène 2, C?LIM?NE)
- Il est la vertu même. v.812 (Acte 3, scène 3, CÉLIMÈNE)
- Et tu la fuis, barbare, âme sans conscience ! v.822 (Acte 3, scène 3, FLORIDAN)
- Je n'augmenterai point cette troupe importune v.857 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Dont vous tenez en main l'espoir et la fortune ; v.858 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Que j'atteste le ciel et toute la nature v.877 (Acte 3, scène 4, FLORIDAN)
- Que n'ai-je ses attraits ! Pourquoi, nature avare, v.933 (Acte 3, scène 6, FÉLICIE)
- Cruelle, devais-tu davantage à ma soeur ? v.936 (Acte 3, scène 6, F?LICIE)
- D'un désir mutuel nos coeurs seraient atteints, v.939 (Acte 3, scène 6, F?LICIE)
- Où nos voeux mutuels obligent nos esprits ? v.943 (Acte 3, scène 6, F?LICIE)
- Combien tu fais d'efforts pour un indigne amant, v.951 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- T'importuné-je ici ? v.959 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- Tu me vois à regret : veux-tu que je le die ? v.961 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- Tu tiens les yeux baissés, tu parles froidement. v.967 (Acte 3, scène 7, LYSIS)
- La feinte seulement est la vertu des hommes. v.982 (Acte 4, scène 1, FÉLICIE)
- Faut en voir un effet : traître, tu délibères. v.1029 (Acte 4, scène 2, LYSIS)
- Tu consultes encore ? v.1033 (Acte 4, scène 2, LYSIS)
- J'ai coutume de rire alors que je me bats. v.1044 (Acte 4, scène 2, FLORIDAN)
- Pourquoi viens-tu si tard ? Je t'ai bien souhaité, v.1075 (Acte 4, scène 3, FLORIDAN)
- Et tu me manques bien en la nécessité. v.1076 (Acte 4, scène 3, FLORIDAN)
- Deux m'attaquaient : tu m'aurais secondée. v.1077 (Acte 4, scène 3, FLORIDAN)
- Et crois que tu sais mieux mon métier que moi-même ; v.1098 (Acte 4, scène 3, FILANDRE)
- Tu traites mieux l'amour avec moins de souci. v.1099 (Acte 4, scène 3, FILANDRE)
- Quoi, tu les crains ! Dieux que de retenue ! v.1101 (Acte 4, scène 3, FILANDRE)
- Et vous m'importunez de trop de questions. v.1144 (Acte 4, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Son amant l'importune et déplaît à ses yeux ; v.1152 (Acte 4, scène 5, CÉLIMÈNE)
- Quoi, vous suis-je importun ? v.1163 (Acte 4, scène 6, FLORIDAN)
- Ne passe point, monsieur, pour importunité, v.1164 (Acte 4, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Je crois que vous m'aimez, et sans ingratitude v.1197 (Acte 4, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Je ne puis plus douter de votre inquiétude ; v.1198 (Acte 4, scène 6, C?LIM?NE)
- Tu prises des baisers, des regards, des paroles ; v.1209 (Acte 4, scène 6, CÉLIMÈNE)
- Mon coeur, tu fais état de faveurs si frivoles ! v.1210 (Acte 4, scène 6, C?LIM?NE)
- « Si tu veux, Floridan, me plaire infiniment, v.1236 (Acte 4, scène 7, FLORIDAN)
- Tu me le prouveras par ta discrétion. » v.1243 (Acte 4, scène 7, FLORIDAN)
- Si jamais j'eus sujet d'accuser la nature. v.1250 (Acte 4, scène 7, FLORIDAN)
- Étant ce que je suis, c'est en cette aventure : v.1251 (Acte 4, scène 7, FLORIDAN)
- Traître, tu plains mes maux et tu les a causés. v.1277 (Acte 5, scène 2, LYSIS)
- Par l'importunité d'une jalouse soeur ; v.1369 (Acte 5, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Et jamais la vertu n'a plus absolument v.1380 (Acte 5, scène 4, C?LIM?NE)
- Ami, ne vois-tu pas v.1389 (Acte 5, scène 5, PREMIER VOLEUR)
- D'où naissent vos soupirs et votre inquiétude ? v.1451 (Acte 5, scène 7, ALIDOR)
- Est-il un crime égal à ton ingratitude, v.1452 (Acte 5, scène 7, CÉLIMÈNE)
- Tu reconnais ainsi mes chastes passions, v.1454 (Acte 5, scène 7, C?LIM?NE)
- Tu n'en peux plus douter ; entends d'ici sa plainte, v.1467 (Acte 5, scène 8, FLORIDAN)
- Quoi, tu parais encor, détestable parjure, v.1483 (Acte 5, scène 8, CÉLIMÈNE)
- Et tu n'espères pas qu'on venge mon injure ? v.1484 (Acte 5, scène 8, C?LIM?NE)
- Qu'est-ce que tu veux dire ? v.1543 (Acte 5, scène 10, FÉLICIE)
- Il te plaint en son coeur quand tu crois qu'il t'adore. v.1555 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Et tu m'aimes encore ? v.1556 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Madame, un mot... Ô dieux ! Ô fortune ennemie ! v.1579 (Acte 5, scène 10, LYSIS)
- Vous n'accuserez plus un importun amant. v.1642 (Acte 5, scène 11, FILANDRE)
DON LOPE DE CARDONE (1636)
- Celui que tu lui peins avecque tant d'attraits v.7 (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
- Et, par une vertu qu'on ne puisse émouvoir, v.27 (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
- Je porte une âme haute, ou, si tu veux, altière, v.37 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Souffre au deuil qui m'occupe, et dont tu m'as distraite, v.49 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Dans cette solitude un moment de retraite, v.50 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Tu fus toute ma gloire, et ma triste aventure v.69 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Enferma tous mes voeux dedans ta sépulture. v.70 (Acte 1, scène 1, ?LISE)
- Non, non, père importun, cet amour frénétique v.73 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- Jusque dedans les murs de Tunis et d'Alger, v.92 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- Ô vous qu'on croit auteurs des fortunes humaines, v.97 (Acte 1, scène 2, DON P?DRE)
- Et dont l'heur d'être à vous est toute la fortune, v.118 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Tout ce que la nature aurait de plus charmant v.119 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- Parles-tu sans trembler quand tu parles d'Élise ? v.122 (Acte 1, scène 2, DON PÈDRE)
- Que si l'on ne les flatte on leur est importun ; v.132 (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- As-tu vu le courrier ? v.213 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Et tu veux qu'abhorrant sa recherche importune, v.265 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Tout odieux qu'il m'est, j'encense sa fortune ! v.266 (Acte 1, scène 4, ?LISE)
- Tu ne crois pas un sceptre une offre à dédaigner, v.267 (Acte 1, scène 4, ?LISE)
- Sais-tu de quel empire et d'amour et de flamme v.281 (Acte 1, scène 4, ÉLISE)
- Je vous ferais rougir de votre ingratitude. v.310 (Acte 1, scène 4, DON PÈDRE)
- À quelle épreuve, ô ciel, mets-tu ma patience ! v.374 (Acte 1, scène 4, DON PÈDRE)
- Et qu'il faut de vertu contre tant de mépris ! v.376 (Acte 1, scène 4, DON P?DRE)
- Pour le noble fardeau qu'attend votre fortune ? v.382 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- Combien j'ai combattu, combien j'ai résisté ? v.419 (Acte 2, scène 1, DON PÈDRE)
- Le roi vient, rappelez en ce coeur abattu, v.435 (Acte 2, scène 1, THÉODORE)
- En sa présence au moins, un moment de vertu. v.436 (Acte 2, scène 1, TH?ODORE)
- De son ingratitude est une indigne excuse. v.482 (Acte 2, scène 2, DON PHILIPPE)
- Illustres compagnons des belles aventures, v.493 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Par qui vos noms vivront dans les races futures, v.494 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- De ce généreux fils digne et vertueux père, v.498 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Et j'ai lieu de bénir le moment fortuné v.503 (Acte 2, scène 4, DON FERNAND)
- Pour leur fortune aussi je veux agir en père ; v.506 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Guidés de vos drapeaux et de votre fortune. v.510 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- De quel triomphe, Amour, m'as-tu ravi la gloire ! v.513 (Acte 2, scène 4, DON PÈDRE)
- Couvre d'une infamie une haute vertu, v.571 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Se feint comme le bras le courage abattu, v.572 (Acte 2, scène 4, DON LOPE)
- Comte, pour m'acquitter comme il a combattu, v.603 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- À quel prix mettrons-nous cette insigne vertu ? v.604 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Et, dans ce que Don_Lope a tu par modestie, v.609 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Et qu'aux siècles futurs Don_Lope seulement v.623 (Acte 2, scène 4, DON SANCHE)
- Ô généreux rivaux, qu'avec droit la fortune v.641 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Lui puis-je offrir un prix à sa vertu pareil ? v.679 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Sont les plus chers présents que m'ait faits la fortune ; v.686 (Acte 2, scène 4, DON PHILIPPE)
- Et qui veux seul régner aux lieux où tu présides ; v.734 (Acte 3, scène 1, DON SANCHE)
- Et que même valeur et pareille fortune v.789 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Désertant la Grenade, en ont peuplé Tunis ; v.792 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Et de ne point mêler les droits de la nature v.821 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Parmi votre triomphe ou votre sépulture. v.822 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Avant qu'armer ce bras je me suis combattu v.823 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Avec tous les efforts de ma faible vertu, v.824 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Enfin, ne doutant plus, après cette aventure, v.881 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- De ce que je savais déjà par conjecture, v.882 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Et prendre le parti que tiendra la fortune. v.934 (Acte 3, scène 3, DON FERNAND)
- Si notre amour doit plaire ou bien être importune ; v.945 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Consultons notre heureuse et mauvaise fortune : v.946 (Acte 3, scène 3, DON SANCHE)
- Hélas ! De qui tiens-tu cette triste nouvelle ? v.958 (Acte 3, scène 4, ÉLISE)
- Ne vous flattez point, Prince ; une grande fortune, v.993 (Acte 3, scène 4, ÉLISE)
- Cependant j'ai regret, comte, qu'une aventure v.1085 (Acte 3, scène 6, THÉODORE)
- Enfin plus je t'écoute, ô raison importune, v.1105 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- Et moins j'ose espérer de ma bonne fortune. v.1106 (Acte 3, scène 6, DON SANCHE)
- De qui peux-tu, ma flamme, implorer la faveur, v.1163 (Acte 4, scène 1, DON LOPE)
- L'attente est importune, et même ardeur me presse. v.1197 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Mais à ce seul penser mon courage abattu v.1251 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Se trouble, se confond, sans faillir de vertu, v.1252 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Elle ne peut tuer que d'une belle mort ; v.1256 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Elle s'est fait priser dedans tant d'aventures, v.1257 (Acte 4, scène 2, DON LOPE)
- Tu vois, aux mouvements dont mon amour extrême v.1265 (Acte 4, scène 3, DON PÈDRE)
- Quelle stupide crainte à sa porte m'attache ! v.1281 (Acte 4, scène 4, DON PÈDRE)
- Il faut pour bien aimer un coeur bien abattu ; v.1283 (Acte 4, scène 4, DON P?DRE)
- J'exerce en ce respect une folle vertu, v.1284 (Acte 4, scène 4, DON P?DRE)
- Si tu me vois jamais rengager sous sa loi. v.1364 (Acte 4, scène 5, DON PÈDRE)
- Vous vous affranchiriez d'une triste aventure. v.1365 (Acte 4, scène 5, OCTAVE)
- J'en tiendrai le serment jusqu'à la sépulture, v.1366 (Acte 4, scène 5, DON PÈDRE)
- Par quels termes veux-tu que notre coeur s'exprime, v.1417 (Acte 4, scène 6, THÉODORE)
- Veux-tu que par des voeux et des abaissements v.1419 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Car tu sais que le roi, craignant que leur querelle... v.1433 (Acte 4, scène 6, TH?ODORE)
- Tu m'oses annoncer la perte d'un amant ! v.1436 (Acte 4, scène 7, THÉODORE)
- Attends, cruel, tu prends mal mon secret : v.1440 (Acte 4, scène 7, THÉODORE)
- Sais-tu pas... v.1443 (Acte 4, scène 7, TH?ODORE)
- J'ai vainement, grand roi, combattu la licence v.1465 (Acte 4, scène 8, DON LOPE)
- Quand vous aurez détruit ma fortune et ma vie ? v.1478 (Acte 5, scène 1, DON LOPE)
- Ô sévère justice et vertu trop barbare ! v.1582 (Acte 5, scène 2, ÉLISE)
- L'éclat et l'équité que tu dois conserver v.1695 (Acte 5, scène 3, DON PHILIPPE)
- Avec impunité seras-tu dédaignée ? v.1698 (Acte 5, scène 3, DON PHILIPPE)
- Relâche, ma vertu, d'un pouvoir rigoureux v.1739 (Acte 5, scène 4, DON PHILIPPE)
- Puisqu'un si doux succès finit ces aventures, v.1753 (Acte 5, scène 4, DON PHILIPPE)
- De l'importunité dont je vous ai défaite ? v.1762 (Acte 5, scène 4, DON PÈDRE)
- La fortune à ce point m'est-elle favorable ? v.1790 (Acte 5, scène 4, DON PÈDRE)
Dans les 1907 textes du corpus, il y a 28 textes (soit une présence dans 1,47 % des textes) dans lesquels il y a 3859 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 137,82 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 6 | Acte 1 | Acte 5 | Total |
1 | LES SOSIES | 2 | 34 | 37 | 70 | 34 | 0 | 0 | 177 |
2 | LA BAGUE DE L'OUBLI | 0 | 18 | 20 | 14 | 0 | 15 | 28 | 95 |
3 | L'HEUREUSE CONSTANCE | 0 | 15 | 36 | 33 | 0 | 23 | 30 | 137 |
4 | IPHIGÉNIE | 0 | 11 | 20 | 10 | 0 | 25 | 28 | 94 |
5 | HERCULE MOURANT | 0 | 33 | 22 | 16 | 0 | 26 | 12 | 109 |
6 | COSROËS | 0 | 11 | 23 | 17 | 0 | 9 | 29 | 89 |
7 | LA BELLE ALPHRÈDE | 0 | 25 | 43 | 23 | 0 | 18 | 28 | 137 |
8 | DON BERNARD DE CABRERE | 0 | 30 | 28 | 17 | 0 | 25 | 30 | 130 |
9 | LE FILANDRE | 0 | 68 | 42 | 44 | 0 | 53 | 44 | 251 |
10 | VENCESLAS | 0 | 17 | 17 | 21 | 0 | 10 | 23 | 88 |
11 | AMARILLIS | 0 | 47 | 13 | 20 | 0 | 33 | 11 | 124 |
12 | CLÉAGÉNOR et DORISTÉE | 0 | 23 | 28 | 56 | 0 | 31 | 42 | 180 |
13 | L'HYPOCONDRIAQUE | 0 | 29 | 59 | 42 | 0 | 12 | 45 | 187 |
14 | LES OCCASIONS PERDUES | 0 | 27 | 16 | 40 | 0 | 12 | 40 | 135 |
15 | CRISANTE | 0 | 32 | 26 | 13 | 0 | 24 | 18 | 113 |
16 | AMÉLIE | 0 | 27 | 52 | 13 | 0 | 32 | 25 | 149 |
17 | LE BÉLISSAIRE | 0 | 35 | 30 | 27 | 0 | 33 | 15 | 140 |
18 | LE VÉRITABLE SAINT GENEST | 0 | 25 | 24 | 31 | 0 | 18 | 25 | 123 |
19 | LA DIANE | 0 | 28 | 19 | 30 | 0 | 17 | 34 | 128 |
20 | AGESILAN de COLCHOS | 0 | 24 | 22 | 29 | 0 | 26 | 41 | 142 |
21 | LES CAPTIFS | 0 | 38 | 42 | 52 | 0 | 22 | 27 | 181 |
22 | LA SOEUR | 0 | 43 | 31 | 32 | 0 | 25 | 21 | 152 |
23 | ANTIGONE | 0 | 20 | 25 | 15 | 0 | 18 | 27 | 105 |
24 | LES DEUX PUCELLES | 0 | 50 | 29 | 29 | 0 | 35 | 29 | 172 |
25 | LA CÉLIANE | 0 | 23 | 28 | 47 | 0 | 23 | 48 | 169 |
26 | LAURE PERSÉCUTÉE | 0 | 27 | 30 | 22 | 0 | 49 | 19 | 147 |
27 | LA CÉLIMÈNE | 0 | 34 | 15 | 22 | 0 | 31 | 15 | 117 |
28 | DON LOPE DE CARDONE | 0 | 21 | 17 | 20 | 0 | 22 | 8 | 88 |
Total | 2 | 815 | 794 | 805 | 34 | 667 | 742 | 3859 |