Occurences de l'expression

moi

pour REGNARD, Jean-Francois

Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse

LA SÃ‰RÃ‰NADE (1694)

Cependant, Marine, dis-lui que j'ai vendu un collier à la personne qui doit épouser mademoiselle sa fille. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Une fille est une marchandise qu'on ne saurait garantir, et l'on n'en a pas plus tôt fait l'emplète qu'on voudrait en être défait à moitié de perte. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
Vous connaissez du moins l'homme qu'on lui destine, puisque vous lui avez vendu un collier ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
Oui, pour des ladres comme vous, qui ne connaissent d'autre bonheur que celui d'amasser du bien, et de faire travailler leur argent à gros et très gros intérêt : mais pour une jeune personne comme Léonor, qui cherche à passer ses jours dans le plaisir, vous trouverez bon, s'il vous plaît, vous et madame sa mère, qu'elle préfère l'agréable à l'utile ; et que moi, de mon côté, je fasse tout mon possible pour rompre un mariage aussi biscornu que celui-là. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Allez, vous devriez mourir de honte d'avoir une face qui a pour le moins deux aunes de tour. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Je vais songer à lui donner l'aubade, moi. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Et moi, je m'y ennuie toujours. (Acte 1, scène 1, MARINE)
Oui : Monsieur Grifon ne sait pas que son fils a l'honneur d'être à moi ; il ne me connaît pas même. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Dis-moi un peu... (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Comme tu fais, Marine ! Regarde-moi un peu. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Moi ? (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Tu auras menti, et il ne sera pas dit que tu me feras entendre malgré moi. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Je ne veux rien savoir ; laisse-moi en repos ; garde tes nouvelles pour un autre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
Scapin, apprends-moi des nouvelles de Léonor. (Acte 1, scène 5, VALERE)
Passez tantôt chez moi, ou envoyez-y quelqu'un de votre part, avec un billet de votre main ; cela suffira : c'est de l'argent comptant, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
Moi-même, en propre personne. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
Vous ne pouvez mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Pour les voix, nous prendrons seulement douze basses, huit concordants, six basses-tailles, autant de quintes, quatre hautes-contre, huit faussets, et douze dessus, moitié entiers et moitié hongres. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Nous allons, monsieur votre fils et moi, donner maintenant les ordres pour... (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Prenez-la belle et jeune, au moins, surtout d'humeur complaisante ; tous vos amis vous conseilleront la même chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
Qu'avez-vous donc, mademoiselle ? (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Moi ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Est-ce à moi de parler comme je fais, quand vous êtes si peu sensible, Valère, aux bontés que ma mère a pour nous ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Oui, mignonne, c'est moi qui aurai l'honneur de... (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
Oui, monsieur ; mademoiselle est fille, monsieur est garçon ; elle est aimable, il est joli homme ; ils ont fait connaissance, ils s'aiment, ils sont dans le goût de s'épouser : y a-t-il rien là que de fort naturel ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
À l'âge que vous avez, mon père, vous voudriez vous marier à une fille comme mademoiselle ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
En vérité, ma mère, vous êtes trop raisonnable pour exiger de moi une chose aussi éloignée de bon sens. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
Et moi, je vous réponds de cette petite impertinente-là ; elle vous épousera, ou je la mettrai dans un lieu d'où elle ne sortira de long-temps. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Laisse-moi faire, je veux l'épouser à ta barbe ; je m'en vais dépenser tout mon bien pour m'en faire aimer ; je lui donnerai des présents, des bijoux, des maisons, des contrats, des cadeaux, des festins, des sérénades ; des sérénades, monsieur le musicien ; et je lui ferai des enfants pour te faire enrager. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-GRIFON)
Il ne la tient pas encore. J'ai pris le soin d'une sérénade ; il vient de négocier un certain collier : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
Laissez-moi un peu rêver tout seul. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
J'ai besoin de me recueillir, vous dis-je ; laissez-moi en repos, et allez fortifier Léonor dans le dessein de ne point épouser votre père. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
On s'accoquine à servir ces gredins-là, je ne sais pourquoi ; ils ne paient point de gages, ils querellent, ils rossent quelquefois ; on a plus d'esprit qu'eux, on les fait vivre, il faut avoir la peine d'inventer mille fourberies, dont ils ne sont tout au plus que de moitié ; et avec tout cela nous sommes les valets, et ils sont les maîtres. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
Il y a six mois que je suis revenu, mais je ne me montre que depuis quinze jours. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Nous demeurons ensemble ; il me loge fort haut, me meuble modestement, m'habille chaudement pour l'été, fraîchement pour l'hiver, me nourrit sobrement, ne me donne point de gages ; mais ce que je prends c'est pour moi. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
Et, dis-moi, es-tu toujours aussi ivrogne qu'avant ta lettre de cachet ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Je suis l'associé du fils de Monsieur Grifon, moi. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
Elle est au désespoir de n'avoir pu se contraindre devant madame sa mère : mais elle dit qu'elle vous hait trop pour se faire la moindre violence. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Il ne tiendra pas à moi qu'elle ne change ; et, quelque aversion qu'elle ait pour vous, elle ne laissera pas de vous épouser si elle m'en veut croire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
Dis-moi un peu, en confidence, quelle sorte de caractère est-ce que Léonor, et que faudrait-il que je fisse pour lui plaire ? (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Cela est vrai, au moins. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
Mon enfant, tu peux l'assurer de ma part que, si jamais elle est ma femme, je ne la contraindrai jamais en la moindre bagatelle. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
C'est moi qui suis Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 18, MONSIEUR-GRIFON)
Il est vrai, monsieur. J'ai autrefois, par leur moyen, tiré mon parrain des galères, et je sauvai l'année passée une amende honorable à Monsieur sMathieu ; c'est ce qui fait qu'il a beaucoup de confiance en moi. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
Monsieur Mathieu ne laisse point moisir l'argent entre les mains de ceux qui lui doivent. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-GRIFON)
Moi, qui n'ai jamais rien aimé, je m'avise de devenir amoureux à mon âge. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
Holà, l'ami, qui parlez tout seul, suis-je loin de chez moi, par parenthèse ? (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
C'est moi qui suis Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
Vous êtes Monsieur Grifon, je suis Monsieur Champagne : donnez-moi de l'argent au plus vite, car j'ai hâte. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
Pardonnez-moi, monsieur ; ce sont des paroles nouvelles qui furent faites à la noce de Vénus et de Vulcain. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
Je vous prie, mademoiselle, de l'accepter pour l'amour de moi. (Acte 1, scène 27, VALERE)
Vous voulez bien, monsieur, que je vous fasse aussi mes petites excuses, et que je vous dise que le borgne à qui vous avez tantôt donné deux cents louis, c'était moi ; que je ne suis qu'une façon de musicien. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)

LE JOUEUR (1692)

Tes sots raisonnements sont pour moi superflus. v.23 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Je veux, moi, réformer cet abus. v.64 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Et moi je te déclare v.78 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
Mais quel gage, dis-moi, veux-tu que je lui donne ? v.181 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Oui, mais j'ai bien peur, moi, qu'on ne vous plante là. v.195 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
Excusez-moi, Monsieur, je ne puis m'arrêter. v.232 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
J'étais las, attendant chez moi votre retour, v.255 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Prêtez-moi mille écus. v.296 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
Je m'en vais travailler, moi, pour vous contenter, v.312 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
Le mémoire succinct de nos dettes passives, v.314 (Acte 1, scène 8, HECTOR)
Des chevaliers sans ordre ; et tant de demoiselles v.354 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
À moi, leçon ? v.381 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Que vous escamotiez un dé comme moi-même. v.382 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Vous plairait-il de m'avancer le mois ? v.388 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
Ne me viens pas, au moins, parler en sa faveur. v.400 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
Moi, parler pour Valère ! Il faudrait être folle. v.401 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Madame, croyez-moi, je connais le grimoire. v.410 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
Laisse-moi faire. v.430 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
On dit partout, ma soeur, qu'un peu moins prévenue, v.433 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Moi ? Non : dans ce dessein nos humeurs sont conformes. v.449 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
Je vais l'épouser, moi. v.452 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Homme de cour, moi ! Non. Ma foi, la cour m'ennuie ; v.521 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Point. Il faut être au moins gros fermier pour leur plaire : v.538 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
Moi, j'aime à pourchasser des beautés mitoyennes. v.541 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
Mais quel droit avez-vous sur moi ? v.573 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
L'amour qu'il a pour moi lui tourne la cervelle : v.610 (Acte 2, scène 9, LA COMTESSE)
L'amour auprès de moi le guide. v.613 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
Entre mon oncle et moi que votre coeur s'explique ; v.626 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
Ce n'est donc pas pour moi que votre coeur soupire ? v.629 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
Quoi ! D'aucun feu pour moi votre âme n'est éprise ? v.633 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
Point de faiblesse au moins, ayez un coeur de roc. v.648 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
Non, non ; laissez-moi faire. v.649 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
Vous avez moins de coeur qu'une poule mouillée. v.687 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
Soit mis avec moi dans le même tombeau, v.701 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
Mais pour moi je n'ai point cette sotte manie ; v.726 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
Dis-moi donc, si tu veux, où je les pourrai prendre. v.755 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Laissez-moi ; je cherche en ma boutique. v.758 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
N'ayant pas son portrait, l'en aimerai-je moins ? v.765 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Au moins, ne manquez pas de revenir tantôt : v.788 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
Me dit que la fortune est pour moi dans ce jour. v.797 (Acte 2, scène 15, VALÈRE)
Dis-moi donc, si tu veux, le sujet de tes pleurs. v.800 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
De ses ardeurs pour moi je ne suis point la dupe ; v.811 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
Mon frère, je prétends moins perdre que gagner. v.829 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
Moi, j'en pleure à moitié. v.845 (Acte 3, scène 3, HECTOR)
"Mémoire juste et bref de nos dettes criardes, v.859 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Moi, fort à votre service. v.866 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Dont tous lesdits quidams, ou du moins peu s'en faut, v.880 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
Et ton maudit mémoire écrit de telle sorte. v.887 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Pour m'offrir un mémoire égal à celui-là. v.917 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Qui de notre mémoire a fait fort peu de compte : v.927 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
Monsieur, écoutez-moi ; calmez un peu vos sens ; v.940 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
S'il vous plaisait du moins de me payer mes gages. v.995 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
Mon père te paiera ; l'article est au mémoire. v.998 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
Si l'on m'a vu toucher un sou depuis six mois ! v.1025 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Que votre coeur pour moi se laisse un peu toucher ! v.1028 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
Donnez-moi cent écus sur et tant moins des dettes. v.1030 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
Faites-moi des habits. v.1033 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
Pour moi, je ne sors point d'ici qu'on ne m'en chasse. v.1042 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
Vous plaira dans la suite autant et plus qu'à moi. v.1045 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
Allez, laissez-moi faire. v.1055 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
Mais la belle est tombée amoureuse de moi. v.1093 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
Moi ? v.1100 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
En agir avec moi comme avec l'as de pique. v.1107 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
Moi, monsieur ? v.1108 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
Laissez-moi donc. v.1122 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Quel sujet ? Moins que rien. v.1129 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Sur notre patrimoine ainsi jeter les yeux ! v.1133 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
Je le savais bien, moi, que j'en aurais raison ; v.1141 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Serviteur. Vous et moi, nous en valons deux autres. v.1146 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
Sa femme signe enfin, et voit en moins d'un an, v.1196 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
Tiens, voilà dix louis. Ne me mens pas ; dis-moi v.1216 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
Pour moi, je suis charmé de ce trait de prudence. v.1231 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
Hé quoi ! Vous me fuyez ? Daignez au moins v.1258 (Acte 4, scène 4, DORANTE)
Laissez-moi faire. v.1262 (Acte 4, scène 5, NÉRINE)
Vous êtes tout à moi. v.1307 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
Moi ! Que l'on m'escalade ? v.1312 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
On le serait à moins. Allons, saute, Marquis. v.1385 (Acte 4, scène 10, LE_MARQUIS)
Tu ne peux rien sur moi, cherche une autre victime. v.1427 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Tout semble en un moment contre moi conjuré. v.1429 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Réponds-moi donc, bourreau. v.1434 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
Moins on a de richesse, et moins on a de peine. v.1479 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
Qui pour moi désormais devient insupportable. v.1494 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
Que, charmé de ce noeud, dans peu j'irai moi-même v.1527 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
Oui-dà ! Laisse-moi faire. v.1534 (Acte 4, scène 15, GÉRONTE)
À l'hymen que je crains m'entraîne malgré moi : v.1553 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
Persiste en ses desseins, donnez-moi mon congé. v.1561 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
Que vous ayez sous moi fait pareille sottise. v.1563 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
C'est une illustre au moins, et qui sait en secret v.1580 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
Votre bonté pour moi toujours se renouvelle ; v.1586 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
Puisque avant moi pour vous vous avez su le faire. v.1603 (Acte 5, scène 3, ANGELIQUE)
En faisant avec moi cette heureuse alliance, v.1618 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Moi ? Je ne sais ce que c'est. v.1624 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Ah ! Je vous connais trop, moi, pour mon intérêt. v.1625 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
Au Châtelet, sans moi, v.1636 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
Je suis Marquise donc, moi qui suis sa cousine ? v.1639 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
C'est moi qui l'ai nourri quatre mois sans reproche, v.1646 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
Insolent ! Moi qui dois honorer votre couche, v.1654 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
Votre portrait ! Il est à moi, sans vous déplaire ; v.1698 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
Laissez-moi le garder un moment, je vous prie : v.1702 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
Je veux ce qu'il vous plaît : vos ordres sont pour moi v.1728 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
Le portrait que de moi vous avez voulu prendre ; v.1735 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
Soit... mais permettez-moi de vous désobéir. v.1737 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Mais je n'aurai du moins rien à me reprocher... v.1745 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
Vous voulez un témoin, il faut vous satisfaire. v.1746 (Acte 5, scène 7, VAL?RE)
De tous vos débats, moi, je ne suis point la cause ; v.1771 (Acte 5, scène 7, MADAME LA RESSOURCE)
Laissez-le-moi garder ; j'en paierai l'intérêt v.1773 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
Vous prenez, croyez-moi, comme il faut cette affaire ; v.1779 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
Fils indigne de moi, va, je te déshérite ; v.1803 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
Ni toi, Nérine, aussi. Suivez-moi toutes deux. v.1812 (Acte 5, scène 9, DORANTE)

LES SOUHAITS (1700)

J'étais, en moins d'un mois, déjà veuve de deux : v.28 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
Les risques n'en sont pas moins grands ; v.94 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
Ou du moins des nains étonnants, v.96 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
Faites-moi plus petite, ou le faites plus grand. v.99 (Acte 1, scène 3, LA SUISSESSE)
Il ne s'en faut charger que le moins que l'on peut. v.121 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Sous moi mon pied est chancelant, v.143 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
Eh ! De moi tu devrais te plaindre. v.163 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Et qui vivra le moins. v.174 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Buvez tant que d'Iris vous perdiez la mémoire, v.175 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
Je ne vois en moi nul défaut ; v.190 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
On ne vous prendra pas, à moins d'être hébété, v.243 (Acte 1, scène 6, POISSON)
Parlez, que voulez-vous de moi ? v.268 (Acte 1, scène 6, MERCURE)
Mon camarade et moi nous avions du crédit ; v.282 (Acte 1, scène 6, POISSON)
Dont les vers, faits par moi, furent très bien reçus : v.288 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
Pour moi, quand je travaille, v.293 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
Qu'en produisant de moi, ne faire rien qui vaille. v.295 (Acte 1, scène 6, LA THORILLI?RE)
Et moi, Vulcain, qui suis par malheur votre époux, v.316 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi, v.341 (Acte 1, scène 9, MARS)
N'est donnée en ces lieux, n'est faite que pour moi. v.350 (Acte 1, scène 9, MARS)
Moi ! v.387 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Pour moi seul aujourd'hui devenez difficile : v.388 (Acte 1, scène 9, MARS)
Moi, pour le bien commun, j'aurais pris femme exprès, v.393 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Ma femme est à moi seul, et n'en veux qu'à ce prix. v.398 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
Holà, gardes, à moi. Mais tout beau, mon courroux ! v.417 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
Ne précipitons rien. Venez, suivez-moi tous. v.418 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
Vos talents n'ont pas su sur moi trop opérer. v.423 (Acte 1, scène 11, MERCURE)

LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÃ”TELLERIES. (1690)

Écoute, Claudine ; voici un gentilhomme qui vient loger chez moi avec sa soeur ; il faut que tu leur donnes deux chambres l'une contre l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Cinthio avec une autre que moi, qu'il fait passer pour sa soeur ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Ce gentilhomme vient loger chez moi ; il lui faut deux chambres l'une auprès de l'autre. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Et tu n'oses arrêter sur moi tes regards. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
Votre frère a raison ; j'aime l'honneur, moi ; et je ne veux pas qu'une fille coure le guilledou. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Parle donc ; dis-moi, quelle raison as-tu eue de sortir de la maison paternelle, carogne, carognissime ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
Je vous dirai, mon frère, que sitôt que vous fûtes parti, il vint un jeune cavalier, le plus civil du inonde, demander à loger dans notre hôtellerie : pour ne pas paraître moins civile que lui, je lui fis toutes les honnêtetés dont j'étais capable. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Pour lui faire plaisir, je le menai moi-même, par civilité, dans la belle chambre qui est de plain-pied à la cour. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Il me témoigna encore qu'il ne pourrait pas y coucher, à cause qu'étant fatigué et ayant besoin de repos, les chevaux pourraient interrompre son sommeil pendant la nuit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Sans doute, et j'enragerais qu'un autre fût plus civil que moi. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
Mais comme il est extrêmement honnête, il refusa l'offre que je lui faisais, de peur de m'incommoder, et dit qu'il ne souffrirait point que ma chambre fût embarrassée pour l'amour de lui, et qu'il coucherait plutôt dans l'écurie que de me causer la moindre incommodité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Donner jusqu'à la moitié de son lit à un garçon ; la pauvre enfant ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
À un jeune praticien comme moi d'avoir déjà vu une bataille contradictoire, et d'en être revenu sain et entier. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Cela n'aurait pas été honnête à moi d'y mourir, et j'aurais enragé le reste de ma vie si j'étais mort là comme un sot. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
Non, monsieur, Dieu merci ; à moi n'appartient pas tant d'honneur : l'année n'est pas bonne pour les filles ; tous les garçons sont à la guerre. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Croyez-moi, mon petit visage botté, ne m'échauffez pas les oreilles ; car je pourrais prendre le mien à telle chose qui vous déplairait fort. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
Isabelle n'est pas capable d'un pareil emportement, ni de se jeter à la tête de tout venant, comme moi-même je vous ai vue faire. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
Vous vous moquez de moi. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
Je conviens, monsieur, qu'elle sait parfaitement bien son métier de fille ; mais c'est une petite imprudente, qui sert au premier venu ce qu'elle ne devrait servir qu'à moi seul. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
Moi, servir à un autre ce que je vous ai promis ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Voyez, je vous prie, si ce n'est pas assez pour le repas d'un homme seul je lui présente une jeune poularde, tendre, grasse jusqu'au bout des ongles, comme moi ; monsieur n'est pas content ; il en veut encore une autre. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Parbleu, monsieur, prenez garde s'il vous plaît à ce que vous dites ; je ne m'entends point à ce tripotage-là, et l'on ne sert chez moi que des viandes neuves. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Jamais personne n'y avait touché ; c'était une volaille délicate que j'avais pris soin d'élever, et que je nourrissais à la brochette avec autant de plaisir que si c'eût été moi-même ; elle faisait envie de manger à tous ceux qui la voyaient, et cependant je ne la gardais qu'à monsieur. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
J'ai une oie qui me sert depuis trois mois à faire mes soupes ; vous en aurez la fleur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Est-il possible, mademoiselle, que tant d'amour soit suivi de tant de perfidie ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
C'est-à-dire, mademoiselle, que vous ne prétendez pas en demeurer là, et que vous ne voulez pas être fille à une aventure. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Quel bonheur, mademoiselle, de pouvoir changer si facilement ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Quand un Français dit qu'il vous aime, il vous le dit d'une manière si tendre et si passionnée, qu'il semble que son amour doive durer pour le moins vingt ans après sa mort. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Vous y venez si peu, monsieur, qu'au moins n'en avez-vous pas souvent. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Mais vraiment, mademoiselle, si cela est comme vous voulez me le faire entendre, un Français pour une femme n'est pas une meilleure pratique qu'un Italien. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
Croyez-moi, tenons-nous comme nous sommes. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Pour moi, infidèle pour infidèle, j'aime autant Octave qu'un autre. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Adieu, mademoiselle ; je vous promets que je n'entreprendrai rien sur le coeur de votre amant, et qu'à mon égard vous n'aurez point sujet de crier au voleur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Mordi, laissez-moi faire ; si elles me trompent, elles seront bien fines. (Acte 2, scène 4, PIERROT)
Regarde-moi, Claudine... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Je suis à votre égard ce que la bride est à un cheval, un bâton à un aveugle, un gouvernail à un vaisseau : je suis la bride, et vous êtes le cheval ; je suis le bâton, vous êtes l'aveugle ; vous êtes le vaisseau, et moi le gouvernail : mais un gouvernail avec lequel j'empêcherai que vous n'alliez donner contre les rochers des garçons ; car ce monde est une mer, et les vents soufflent dans cette eau qui bouillonne... ce qui fait que la raison dans... cette mer... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Je te suis trop obligée ; je t'assure que je me garderai bien moi-même. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Moi, il ne faut pas me le dire deux fois : 0je ne fus ni fou ni étourdi ; je m'approchai ; elle me donna un grand soufflet : depuis ce temps-là, j'ai bien juré que je n'en baiserais plus. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Crois-moi, ne te joue point aux filles ; il n'y a rien à gagner. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Allons, point tant de raisonnements ; rentrez, et marchez devant moi. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
Touchez là, monsieur ; je veux vous faire gagner plus de cinquante louis aujourd'hui : donnez-m'en trente, je vous dirai où est Cinthio ; et, afin de ne pas vous tenir plus longtemps en suspens, c'est moi. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
Laissez-moi faire seulement. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
Moi l'être un étrangir qui cherchir à logir dans sti ville. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Enseignir moi, s'il plaît à monsir, où être un logiment pour mon chevau et pour mon personne. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi demandre excuse à monsir, si ne parlir pas bon français ; mais mon pensir l'être beaucoup plus meilleur que mon parlemente. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Croyez-moi, monsieur, allez vous reposer dans cette hôtellerie-là : car un homme qui n'a qu'une jambe doit être une fois plus las qu'un autre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Adieu, monsir ; moi remercir vous bien fortiment. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Il faut que je sache un peu qui est cet étranger qui va loger chez moi. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Moi l'être un gentilhomme hollandais de Hollande, qui vient dans sti ville pour affaire de grand importement. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi avoir toujours fait mon service sur la mer, et j'ai commandir un vaisseau de guerre des États dans le combat naval. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi venir expressément de mon pays, de la part des États, pour demandir à la cour qu'on me rendre mon vaisseau, que sti tiaple de Français avoir fait griller comme du poudin. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
N'être pas là tout, monsii. ; moi avoir encore perdu mon jambe, qui sti enragés m'ont emporté dans la bataille. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi redemandir mon membre à la cour. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi, n'avoir plus ni jambe, ni vaisseau. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Moi ne rire point, monsir ; moi l'être un gentilhomme. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
Dites-moi votre nom, surnom, qualité, patrie, rue, paroisse, logis, appartement. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Et cinq ou six demoiselles à faire déménager ? (Acte 3, scène 5, PIERROT)
Moi, monsieur, vous savez bien que je n'ai jamais appris qu'à écrire. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
Moi, traître ! (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
De grâce, mademoiselle, que l'amour vous fasse oublier un crime que l'amour même a fait commettre ! (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
Écoutez, mademoiselle ; quand il sera sec, vous n'en serez pas plus grasse ; vous l'êtes assez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN, PIERROT)

LE BAL (1696)

Donnez-moi deux perdrix : allez coucher en broche, v.44 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
Hors ma maîtresse et moi, tout le monde s'apprête. v.84 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Et de Falaise encor. Dis-moi : monsieur Géronte, v.91 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Moi. J'attends même encore un mien parent Gascon, v.106 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Comme moi, des fripons ! Fijac seul me ressemble. v.111 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Et moi je te promets que si, dans cette affaire, v.120 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Si tu voulais de moi faire un petit essai, v.145 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Ai-je tort, quand je dis qu'elle est folle de moi ? v.190 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
Nous ne ferons plus qu'un, vous et moi Sotencour. v.226 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Moi bien fait, vous gentille, v.227 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Beau-père, on dit bien vrai ; quant à moi, j'y souscris : v.229 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Dans ma famille, au moins, on ne voit point de sots. v.253 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Très altéré, beau-père, au moins ne vous déplaise : v.263 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Allons, suivez-moi donc, cousin Mathieu Crochet. v.270 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
Ni mettre, comme moi, deux cours à l'unisson. v.318 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Ah ! Laisse-moi, Lisette, en proie à mon malheur. v.325 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
Fais mieux le guet au moins : une seconde alarme v.344 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Tenez-moi, je vous prie ; v.363 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Et que j'ai pris plaisir à composer moi-même v.368 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Moi-même, dans le bal, je veux vous introduire. v.392 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
Et je m'introduirai de moi-même au soupé. v.393 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
Nul ne prend plus qué moi dé part à cette affaire. v.423 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Allons, payez-les-moi. v.432 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
À moi, monsieur ? v.438 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Moi, payer ! Hé pourquoi, si je ne lui dois rien ? v.458 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
Non, non, laissez-moi faire, v.468 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
Laissez-moi faire ; allez, je ne suis pas un sot. v.522 (Acte 1, scène 17, MATHIEU-CROCHET)
Ma foi, sans moi, la belle en avait pour son compte. v.580 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Ma bergère, laisse-moi, v.593 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Ma bergère, laisse-moi v.595 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
Ma bergère, laisse-moi, v.597 (Acte 1, scène 20, LES-MASQUES)
Ma bergère, laisse-moi v.599 (Acte 1, scène 20, LES MASQUES)

ARLEQUIN, HOMME Ã€ BONNES FORTUNES. (1690)

Vous faites l'entendu, parce que les bonnes fortunes vous suivent partout ; mais souvenez-vous que nous sommes deux laquais, et qu'il n'y a point d'autre différence entre nous que celle que j'y veux bien mettre : ainsi, un peu plus de douceur, s'il vous plaît, et un peu moins d'emportement avec votre camarade. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Donne-moi vite la robe de chambre de la Marquise. (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
Il est vrai que je n'ai pas une heure à moi. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
Moi, grosse ! (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
Moi ! (Acte 1, scène 4, LA VEUVE)
Tu dis que tu n'aimes que moi. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
Non, je ne veux plus de commerce avec toi ; rends-moi ma robe de chambre. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
Et que sentirai-je donc, moi qui suis votre aînée ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Ce n'est pas de même, moi ; je suis votre aînée, et la raison qui veut que vous ne vous mariiez pas, veut que je me marie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Et moi, je vous dis que j'y suis aussi propre que vous. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Je vous dis, encore une fois, que j'ai plus d'âge qu'il ne faut ; mais puisque vous me trouvez trop jeune, faisons une chose ; vous avez quatre années plus que moi, donnez-m'en deux ; cela ne gâtera rien ni pour l'une, ni pour l'autre. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Allez, allez ; vous ne savez ce que vous dites. Vous me croyez bien embarrassée de trois ou quatre années que j'ai plus que vous ; mais je veux bien que vous sachiez que pour dix ans de moins je ne voudrais pas être faite comme vous, ni de corps, ni d'esprit. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Qu'est-ce donc, mesdemoiselles ? (Acte 1, scène 6, PIERROT)
Voyez-vous, mademoiselle, il faut marier les filles quand elles sont jeunes. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
Me te moqueras-tu point de moi ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Une autre fille que moi, qui ne saurait pas vivre, vous dirait, mon père, que vous risquez beaucoup en vous mariant ; qu'il faut avoir perdu l'esprit pour songer, à votre âge, à un engagement, et que l'on renferme tous les jours des gens aux Petites-Maisons pour de moindres sujets : mais moi, qui sais le respect que je vous dois, sans me prévaloir des raisons que les enfants ont d'appréhender un second mariage, je vous dirai que, puisque vous crevez de santé, vous faites parfaitement bien de prendre une femme. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Pour moi, je vous le conseille ; car je voudrais que tout le monde fût marié. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Quoi ! Mon père, ce n'est pas moi que vous voulez marier ? (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
Pour moi, je ne conçois pas cette petite fille-là. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Si vous ne me mariez, je sais bien ce que je ferai, moi. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
J'aime mieux lui céder mes droits, et qu'elle passe avant moi. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Vous ne pouviez jamais mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Ah, mademoiselle ! (Acte 2, scène 3, PIERROT)
Mademoiselle, prêtez-moi un écu ; je n'ai point de monnaie. (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
Monsieur, je n'ai point ma bourse sur moi ; mais je vais le faire payer. Holà, quelqu'un ! Qu'on paye cet homme-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Ma foi, mademoiselle, les heures d'un joli homme sont bien comptées. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Les femmes se pressent aujourd'hui ; elles savent que les quartiers d'hiver seront diablement courts cette année ; je n'ai pas un moment à moi. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Un officier ne peut pas être moins de cinq à six heures à table ; et avant qu'il ait fumé dix ou douze douzaines de pipes, il est heure de s'y remettre pour souper. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Vous n'avez qu'à vous mettre cinq ou six mois dragon dans ma compagnie, vous fumerez de reste. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
Croyez-moi, la belle, il n'est rien tel que de s'accrocher à l'épée. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
C'est ce que je dis tous les jours à deux grands haquiers d'avocats, qui sont sans cesse autour de moi à me faire endêver. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Vous dites la même chose de moi quand vous êtes auprès d'une autre ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je ne sais pas ; mais mon père dit qu'il y a quatorze ans que ma mère était grosse de moi. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je sais bien que je ne le payerai pas, moi. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Mais, mais, mademoiselle, vous poussez ma complaisance à bout. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Et encore moins à prendre. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Mais, mademoiselle, ces breloques-là valent-elles bien deux cents pistoles ? (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
Monsieur le Vicomte, vous m'épouserez, au moins. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
Anaxagore, qu'une bête féroce échappée était moins à craindre qu'une langue effrénée et pétulante. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Selon Socrate, c'est I'art de persuader ; selon Agathon, c'est l'art de tromper ; selon Gorgias, l'usage du discours ; selon Chrysippe, la clef des coeurs ; selon Cléanthe, la science des sciences ; selon Vatadérius, le boulevard de la vérité ; selon Aristote, le bouclier de l'orateur ; selon Cicéron, l'art de bien dire ; et selon moi, l'art de ne guère parler. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Si vous voulez donc que je vous donne mes avis, expliquez-moi le sujet dont il s'agit ; mais surtout d'un style vif, serré, pressé, concis, laconique, car vous savez que la vie de l'homme est courte : ars longa, vita brevis. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Des trois puissances de l'âme, la mémoire, l'entendement et la volonté ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Un autre, non moins célèbre, s'écrie : v.8 (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
Donne-moi ce chapeau. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Pardi, mademoiselle, vous voilà à charmer ! (Acte 3, scène 2, PIERROT)
On vous prendrait pour moi. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
Pour moi, Pierrot, je ne m'embarrasse pas de cela ; je ne songe qu'à faire rompre, si je puis, l'impertinent mariage dont je suis menacée. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Mais je crois que voilà monsieur Bassinet ; laisse-moi avec lui : je vais commencer mon rôle. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
On m'avait dit que Mademoiselle Isabelle était dans sa chambre. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Mademoiselle Isabelle est-elle malade ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Dites-moi un peu, monsieur, en vous déterminant à un saut si périlleux, vous êtes-vous bien tâté ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Et moi aussi. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Mais quand elle sera votre femme, au moins n'allez pas nous la gâter par vos manières ridicules. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Qui le sait mieux que moi ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Les uns disent qu'elle a des vapeurs ; les autres lui font faire un voyage : il y en a d'assez enragés qui lui font garder le lit cinq ou six mois pour une détorse... et... que sais-je, moi ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Cent autres contes que l'on va souffler aux oreilles d'un fiancé, qui ne manquent pas de rompre un mariage comme un verre ; et si, de tout cela, bien souvent il n'y en a pas la moitié de vrai. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Au moins, je veux être de vos amis ; et je prétends, quand vous serez marié, aller sans façon manger chez vous votre chapon. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
À ce que je vois, vous connaissez parfaitement la demoiselle en question ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Elle ne saurait se coucher sans moi. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Ce que je viens de vous dire là, au moins, ne doit point vous empêcher de conclure l'affaire. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
Je ne vois pas que rien presse encore de quitter la robe et le bonnet de médecine, pour me faire coiffer de mademoiselle Isabelle. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
Pardi, ne craignez rien avec moi ; il n'a qu'à venir. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
Ah, mademoiselle ! (Acte 3, scène 7, PIERROT)
Moi ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
J'ai ma soeur qui est bien plus jolie que moi ; et si vous aviez vu ma cousine Gogo, c'est tout autre chose. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Avec moi, monsieur, point de surprise. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
Pour vous, petite blonde d'Égypte, levez le nez, regardez-moi fixement, marchez, trottez. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Moi ! (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Et de n'en sortir qu'avec moi, v.18 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Pour le moins, on trouve, en ce cas, v.27 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Moi ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Ni moi d'un beau-frère qui postule après une cravate de chanvre. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
Ni moi d'une fille qui a eu des détorses de neuf mois. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
Puisque cela est ainsi, je veux bien faire le mariage d'Isabelle ; mais dites-moi auparavant, est-il curieux ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Non. Est-ce que j'entends le langage des singes, moi ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
Porte-la-moi : v.64 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
Porte-la-moi : v.72 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)

LES VENDANGES (1731)

Honnête huissier, tous deux pour moi gens à tout faire ; v.8 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Il l'était plus que moi, v.20 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Eh bien ! Moi, je suis avocat ; v.36 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Mais je fais malgré moi ce que vous souhaitez. v.44 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
Au moins, sur toute chose, v.46 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
Quelque argent qu'il m'en coûte, est fort bien fait à moi. v.52 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
Dans un pays conquis, serait moins difficile. v.54 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
Les plaids pour moi. v.63 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
Moi, dans mon cabinet, v.63 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
Aimes-tu mieux, dis-moi, toujours être un pied-plat, v.75 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Le moins, en le servant, que tu puisses prétendre, v.78 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Pour moi, j'aime la guerre, et je hais les affaires. v.85 (Acte 1, scène 5, TOINON)
Mais le moindre soupçon peut rompre nos mesures. v.114 (Acte 1, scène 7, BABET)
Au moins, qu'elle soit prête v.141 (Acte 1, scène 8, TOINON)
Laissez-moi lui parler. v.148 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Ne craignez rien, je prends sur moi l'affaire ; v.150 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
M'a mis pour quatre mois hors d'état de plaider : v.160 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
Écoutez-moi, je n'ai que deux mots à vous dire. v.162 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
Quoique en vacation, jusqu'au moindre moment, v.164 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
Le temps m'est précieux. Dites-moi votre affaire. v.165 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
De cette probité qu'en moi chacun admire ; v.186 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
De grâce, laissez-moi. v.260 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
Dis tai-même, s'tu veux... je sis tout hors de moi. v.271 (Acte 1, scène 14, MATHIEU)
Avez-vous des témoins ? v.285 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
Mais, dites-moi d'abord, quel est le délinquant ? v.288 (Acte 1, scène 14, TRIGAUDIN)
Et plus de con... fron... tra... tanquia, plus de grimoire ! v.333 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
S'il soutiant aux témoins... v.346 (Acte 1, scène 18, MATHIEU)

DÉMOCRITE (1700)

Pour un homme d'esprit comme moi, ce sont gens v.7 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Voudraient de leur moitié se voir loin à ce prix. v.20 (Acte 1, scène 1, STRABON)
Mais du meilleur au moins, car c'est pour un malade ; v.49 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Les passions sur moi n'auraient nul avantage : v.82 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Demeure dans ces lieux ; et moi, j'irai chez toi. v.99 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Tu deviendrais savant ; tu saurais, comme moi, v.100 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Dis-moi. v.118 (Acte 1, scène 2, STRABON)
Cela se voit assez : mais pour moi, sans scrupule, v.129 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
Je serai bien contraint, moi, de vous planter là. v.164 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Va, fuis de devant moi ; retire-toi, profane, v.166 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Mais ce n'est pas à moi que ce discours s'adresse ? v.178 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Va, fuis de devant moi ; retire-toi, profane, v.194 (Acte 1, scène 4, STRABON)
Je voudrais me cacher ce secret à moi-même. v.198 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Tu te moques de moi. Mais Criséis s'avance. v.209 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
Ne l'avez-vous point vu? Dites-moi, je vous prie, v.213 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
Et moins qu'auparavant je connais ce mystère. v.258 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
Pour moi, je ne vois rien dans leur air qui m'étonne. v.269 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
Estropié souvent : dites-moi, je vous prie, v.297 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Mais, sans trop témoigner de curiosité, v.303 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
Moi ? Non, je n'en sais rien. v.308 (Acte 1, scène 6, STRABON)
Moi, que j'aille à la cour ! Grands dieux ! Qu'irais-je faire ? v.333 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Où les choses qu'on voit sont pour moi si nouvelles, v.345 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
Examinez-moi bien ; ai-je, du bas en haut, v.351 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
Tu te gausses de moi. v.367 (Acte 1, scène 6, THALER)
Insensibles témoins de la faim que j'endure ; v.378 (Acte 1, scène 8, STRABON)
Moi, de le demander, et vous de me le dire. v.389 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Dites-moi, s'il vous plaît, depuis une heure ou deux, v.391 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
S'il était un peu moins sensible à la grandeur. v.404 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Écoutez-moi. La reine votre mère, v.413 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
La reine eut une fille ; et, l'aimant moins que vous, v.420 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Moi, j'allai cependant, sans tarder davantage, v.425 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
De ce fardeau pour moi voulut bien se charger. v.428 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Je lui dis que l'enfant tenait de moi naissance, v.429 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
Oui, moi ; mais à mon grand regret. v.467 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Consentez, je vous prie, à venir avec moi, v.488 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
Tu peux aller le voir ; mais pour moi, je te prie, v.497 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
Laisse-moi quelque temps tout à ma rêverie ; v.498 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
Et c'est mon centre, à moi. Bon vin, bonne cuisine ; v.505 (Acte 2, scène 2, STRABON)
Qui sont tous après moi comme des possédés. v.519 (Acte 2, scène 3, THALER)
Morguenne, il en agit rondement avec moi. v.532 (Acte 2, scène 3, THALER)
Je me trouve moi-même un sujet fort risible. v.562 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Vous qui suivez mes pas, que voulez-vous de moi ? v.563 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
A quoi bon, s'il vous plaît, payer tant de témoins ? v.587 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Messieurs, laissez-moi seul, et trêve de vos soins. v.588 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
C'est, entre vous et moi, v.591 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
Prenez-y garde au moins, car il ne va pas droit. v.604 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
Et qui gagne moitié sur tout ce qu'il achète. v.610 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
Dis-moi, que dit, que fait, que pense Criséis ? v.648 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
Elle a pris, comme moi, d'abord les airs de cour ; v.651 (Acte 2, scène 5, STRABON)
Elle l'entend déjà mieux que vous et que moi. v.668 (Acte 2, scène 5, STRABON)
Sois témoin du progrès ; mes feux sont parvenus, v.789 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
En moins d'un jour, au point de ne s'accroître plus. v.790 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
Ne remarques-tu point, comme moi, ses beautés ? v.793 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
Je suis trop en chagrin, je vais lui dire, moi ; v.825 (Acte 3, scène 2, THALER)
Le souvenir toujours vivra dans ma mémoire ; v.872 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Qu'il m'aime, moi, seigneur ! Je me garderais bien, v.901 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
Qu'on vous y respectât à l'égal de moi-même. v.908 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Strabon, Criséis, moi, nous vous en prions tous. v.921 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
En ce lieu, plus qu'ailleurs, je suis, moi, dans ma sphère. v.923 (Acte 3, scène 4, STRABON)
C'est de moi dont je parle, et je suis amoureux. v.962 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
Mon silence, seigneur, répond assez pour moi. v.978 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
Moi, seigneur ? v.982 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Par grâce, de ce soin, seigneur, dispensez-moi : v.985 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
Et n'osais tout à fait me fier à moi-même. v.1012 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
Moi ? v.1031 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
Ces ris, dans l'avenir, porteront témoignage v.1055 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
La peste ! Quel enfant ! Pour moi je suis surpris v.1065 (Acte 3, scène 6, STRABON)
Commerce humain, pour moi plus mortel que la peste, v.1067 (Acte 3, scène 6, DÉMOCRITE)
On pourrait se moquer et de vous et de moi. v.1106 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
Ne va pas envers moi faire la mijaurée. v.1116 (Acte 4, scène 1, THALER)
Je prétends qu'on me respecte, moi. v.1117 (Acte 4, scène 1, THALER)
Morgué, le prince a tort de s'adresser à moi : v.1177 (Acte 4, scène 3, THALER)
Je veux sans nuls témoins rire à présent de moi ; v.1189 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
Me commande, m'entraîne en dépit de moi-même. v.1196 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
C'est qu'ici, malgré moi, le roi m'a fait conduire, v.1216 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Moi ! v.1233 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
S'il voulait de son choix se rapporter à moi : v.1246 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Et moi bien plus las d'elle ; v.1264 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
Mais pour mon compte à moi, je suis assez en peine. v.1268 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
C'est mon système à moi : l'esprit croit dans le vin ; v.1277 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Bien moins pour l'amour d'eux que de leurs cuisiniers. v.1290 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Vous aimer est un bien pour moi plus précieux v.1293 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Bacchus n'est point chez moi I'interprète d'amour. v.1305 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Qui le sait mieux que moi ? v.1332 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
Bon ! Tout autre que moi ne l'eût point ménagée, v.1370 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Dis-moi, ma chère enfant, pourquoi n'es-tu pas morte ? v.1390 (Acte 4, scène 6, STRABON)
Ta mémoire t'a là joué d'un vilain trait. v.1431 (Acte 5, scène 2, STRABON)
C'est moi qui te le dis. v.1459 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Crois-moi, n'en fais que rire. v.1461 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Tu perds ton bracelet, moi je trouve ma femme. v.1466 (Acte 5, scène 2, STRABON)
M'en a subitement rafraîchi la mémoire. v.1470 (Acte 5, scène 2, STRABON)
Ils ne sont pas de moi. v.1472 (Acte 5, scène 3, STRABON)
Vous vous y trouvez bien, et moi fort bien aussi. v.1476 (Acte 5, scène 3, STRABON)
Je veux, quand il me plaît, moi, me mettre en colère. v.1489 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
Payez-moi ce que vous me devez. v.1495 (Acte 5, scène 3, THALER)
Je vous connais bien, moi. Quinze ans de nourriture v.1498 (Acte 5, scène 3, THALER)
Qui, moi ? v.1510 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
Rendez-moi mon bijou, v.1553 (Acte 5, scène 5, THALER)
Ce n'est pas moi, toujours. v.1569 (Acte 5, scène 5, STRABON)
Si vous l'interrogez, le dira mieux que moi : v.1570 (Acte 5, scène 5, THALER)
Moi ! Quelle calomnie ! v.1573 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
Qui ? Moi, j'aurais... v.1574 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
Faites-moi maltôtier toujours pour commencer. v.1598 (Acte 5, scène 5, THALER)
Avait pris, malgré moi, le pas sur la morale ; v.1620 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
Je vais rire de vous ; riez aussi de moi. v.1638 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
Je te pardonne tout, fais-moi grâce à ton tour ; v.1645 (Acte 5, scène 7, STRABON)

LES FOLIES AMOUREUSES (1696)

Depuis un mois votre affiche promet v.7 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Eh ! Mademoiselle, v.17 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Moi, monsieur, de quoi je me mêle ? v.18 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Moi, je n'y sais point de finesse ; v.25 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Une heure au moins plus tôt qu'une autre pièce, v.27 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
Ou qu'il eût eu moins de paresse... v.36 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mille pardons, Mademoiselle ; v.54 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Qui ? Moi, chercher querelle ! Eh bien, la médisance ! v.59 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Moi, qui, comme un mouton, suis facile à mener. v.68 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Commencer, moi ! Non, vous aurez beau dire. v.71 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mademoiselle ! ... v.73 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
Puisqu'il le prend ainsi, je me révolte, moi : v.103 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Mais, au moins, point de pétulance. v.124 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
Pour cela, non ; mademoiselle v.134 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
Vous voyez en moi le bouffon, v.179 (Prologue, scène 5, MOMUS)
J'ai pris avec moi la folie, v.233 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Croyez-moi, remontez aux cieux : v.247 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
Nous partagerons par moitié, v.255 (Prologue, scène 5, MOMUS)
Messieurs, vous serez les témoins v.333 (Prologue, scène 6, MOMUS)
Fait pour le moins une folie. v.351 (Prologue, scène 6, MOMUS)
Pour moi, j'aimerais mieux cent fois servir le diable. v.382 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Oui, le diable : du moins, quand il tiendrait sabbat, v.383 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Depuis plus de six mois ma lâche complaisance v.437 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Oui, oui, c'est moi, c'est moi. Mais à l'heure qu'il est, v.451 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Lisette et moi, monsieur, nous avons fait partie v.454 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
Moi ? v.477 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Il faut que de chez moi sur-le-champ je la chasse. v.506 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Le moindre déplaisir puisse saisir mon coeur ! v.511 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
De sortir de chez moi tu peux être ravie ? v.521 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
Demeure, toi ; je veux te parler sans témoins. v.527 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
C'est moi qui vous le dis. v.557 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Qui ? Moi ! v.575 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Dont la moindre va droit aux petites-maisons. v.595 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Pour moi, grâce aux effets de la bonté céleste, v.597 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Des bourreaux moins cruels et moins insupportables, v.614 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
Après avoir été dix-huit mois flibustier, v.639 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Moi troisième, et le jour étant sur son déclin, v.668 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Que voulez-vous enfin de moi ? v.684 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Dites-moi, s'il vous plaît, monsieur, à qui peut être v.689 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
Je pars ; et dites-moi quelle heure il pourrait être. v.697 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
De moi, ni de mon nom, n'a nulle connoissance. v.746 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
Moi, comme ingénieur et chef d'artillerie, v.777 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Pendant quelques moments, prendre avec moi le frais. v.796 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Par votre ordre étonnant, depuis plus de six mois, v.799 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
L'air n'y sera pour moi ni meilleur, ni plus doux. v.804 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Pour moi, que le pouvoir de la vérité presse, v.813 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
Et je tiens, moi, qu'il faut suivre, en toute méthode, v.821 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Qui paraissent pour moi d'un très grand avantage : v.829 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Tu n'adores que moi. v.833 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
J'ai déclaré l'amour qui pour moi t'aiguillonne. v.834 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Pour moi tu nourrissais une sincère ardeur. v.836 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Si l'aveu n'est pas tendre, il est du moins sincère. v.845 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
Loin de tous damoiseaux, où de son arrogance v.861 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
Souhaitez-vous, monsieur, quelque chose de moi ? v.867 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
Que l'on me donne à moi toujours du même vin v.883 (Acte 3, scène 3, CRISPIN)
Je pars dans le moment. Dites-moi, je vous prie... v.901 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
Que madame, pour moi, souffre la moindre chose. v.906 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
Différez, croyez-moi, de vous mettre en chemin, v.908 (Acte 3, scène 3, AGATHE)
Depuis plus de six mois, dans ce cloître nouveau, v.915 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Que pour moi votre fille ait un tel traitement. v.928 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Pour moi, je ne vois rien de si digne de blâme, v.941 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Mais pour moi, je soutiens un parti tout contraire, v.974 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
Parce qu'il est de moi, je veux, sans complaisance, v.1041 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
Qui le sait mieux que moi ? Ne vous l'ai-je pas dit ? v.1044 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
Vous serez épousé ; moi, je serai pendu. v.1140 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Monsieur, parlez pour moi. v.1165 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
Moi, je suis prêt à tout : mais il est inutile v.1189 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
Tous les soins que l'amour peut attendre de moi. v.1200 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
Il faut se divertir, c'est moi qui vous le dis. v.1244 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Je ne paroîtrais pas la moitié de mon âge, v.1269 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Prêtez-les-moi, monsieur, pour subvenir aux frais, v.1287 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
Reçu ces cent louis, ou du moins peu s'en faut ; v.1300 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Moi ? Si j'en ai guéri ? Ah ! Vraiment, je le crois. v.1344 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Reposez-vous sur moi ; je réponds de l'affaire. v.1370 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Laisse-moi faire après le reste seulement : v.1380 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Il faudra, pour le moins, qu'il nous quitte la place. v.1382 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
Il ne tiendra qu'à toi de partir avec moi. v.1416 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Le beau sexe sur moi ne fit jamais d'effet. v.1424 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Enfants, suivez-moi tous ; ranimez vos ardeurs. v.1440 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
Qu'il s'est voulu moquer et de vous et de moi. v.1472 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Moi, je veux vous confondre, v.1473 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Laissez-moi de son flanc v.1491 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
Et moi seul en ce jour j'avAis perdu l'esprit. v.1520 (Acte 3, scène 12, ALBERT)

LA COQUETTE, OU L'ACADÃ‰MIE DES DAMES. (1691)

Mademoiselle, c'est que j'achevais ma main au lansquenet. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
Dis-moi, je te prie, comment me trouves-tu aujourd'hui ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Le mariage se décrie de jour en jour ; je crois, pour moi, que nous allons voir la fin du monde. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Savoir risquer un billet dans son temps, marcher sur le pied à l'un, tendre la main à l'autre, se brouiller avec celui-ci, se raccommoder avec celui-là : crois-moi, avec ce petit manège-là, il faut, bon gré, mal gré, que quelque bête donne dans les toiles. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Prends-y garde, au moins : on ne fait plus guère de fortune à ce métier-là. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
Je veux, moi, te donner des conseils pour le mariage, plus courts et plus faciles : et afin que tu les retiennes mieux, je vais te les lire en vers. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Crois-moi, cousine, en cet état, v.31 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
Mademoiselle, voilà monsieur le comte Octave. (Acte 1, scène 6, BAGATELLE)
Ta mère t'attend : va, va, elle est la maîtresse, elle attendra tant qu'elle voudra : demeure ici ; tu en apprendras plus avec moi en un quart_d_heure, que tu ne feras en toute ta vie avec ta mère. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Malgré la rigueur de votre père, je viens vous assurer, mademoiselle, que je perdrai plutôt la vie que l'espérance d'être un jour votre époux. (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
Oui, mademoiselle, nous avons résolu cela : et s'il ne vous épouse, je vous épouserai, moi. (Acte 1, scène 8, MEZZETIN)
Mais, mademoiselle, chanter dans l'état où je suis ; pénétré de douleur, désespéré... (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
Est-ce que vous prétendez, mon petit monsieur, épouser ma fille malgré moi ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
Et vous, mademoiselle l'impertinente, ne vous ai-je pas défendu de le voir ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
Pardonnez-moi... mais... c'est que... en vérité... mademoiselle ; je m'en vais... (Acte 1, scène 12, PIERROT)
Pour moi, je ne sais plus quelle maladie a attaqué le cerveau de cet animal-là : il ne voit plus, il n'entend plus ; il a assurément quelque chose de brouillé dans son timbre. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
Mademoiselle, je sais bien que mon mérite n'est pas capable de mériter ;... mais, d'un autre côté,... voilà que l'occasion,... votre beauté... Je ne suis pas bien riche ; mais, ma foi, je suis un bon garçon. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
La conquête de Pierrot n'est pas bien illustre : je sens néanmoins une secrète joie de voir que rien ne m'échappe. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
Mademoiselle, voilà monsieur le conseiller Nigaudin. (Acte 1, scène 14, LE-LAQUAIS)
Mademoiselle, quand il s'agira de venir vous offrir ses hommages, on n'obtiendra point de défaut contre moi : en cas de rendez-vous auprès des dames, je ne me laisse jamais contumacer, et je me rends bien vite à l'ajournement personnel. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Moi, mademoiselle ! Je ne vous demande rien ; vous me prenez donc pour un escroc ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Tout franc, mademoiselle, les gens d'épée n'ont point le boute-dehors comme nous. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Pour moi, je ne conçois pas bien la manie de la plupart des femmes d'aujourd'hui ; on ne saurait leur plaire, si l'on ne revient de Flandre ou d'Allemagne, et si l'on ne rapporte à leurs pieds un coeur tout persillé de poudre à canon. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
À propos de quartier d'hiver, mademoiselle, il me semble qu'ils sont venus cette année quinze jours plus tôt pour moi. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Tout franc, mademoiselle, je ne me plains pas de mes lumières, et je vous avoue que j'ai une pénétration d'esprit qui me surprend quelquefois. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
Mordi, mademoiselle : il est plus difficile d'entrer chez vous que de prendre trois demi-lunes l'épée à la main. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Mais, mademoiselle, on est bien aise de conserver le peu qu'on a de linge. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Voyez-vous, mademoiselle, je suis le gentilhomme de France du meilleur commerce ; mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Je me distingue en voyant des gens de cour ; les officiers me font plaisir ; je trouve des ressources avec les financiers : et pour peu qu'on aime les bagatelles, c'est le moins qu'on puisse avoir que deux ou trois petits abbés dans une maison. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
Qu'avez-vous donc, mademoiselle ? (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
Pour une demoiselle, il me semble que vous avez là un vilain mâtin sous votre table. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
Chassez-moi ce chien de dessous cette table. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
Dis-moi, as-tu des nouvelles de notre homme ? (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Monsieur, regardez-moi bien ; tel que vous me voyez, je me vais marier. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Ce qui me console ; monsieur, c'est que celle que j'épouse est aussi folle que moi. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Monsieur, vous la connaissez bien ; c'est... mademoiselle votre fille. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Voilà comme je parle, moi. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
Et moi, voilà comme je réponds. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
Tenez, voilà votre diable de bailli ; est-ce qu'il est mieux fait que moi ? (Acte 2, scène 2, PIERROT)
Je porte toujours cela sur moi, car je n'aime pas à être contredit. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Allons, allons, il faut passer par là-dessus : on ne fera pas un homme exprès pour moi. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
En tout cas, si dans six mois ou un an je ne m'accommodais pas de votre fille, en perdant quelque chose dessus, vous la reprendriez. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
Ne vous étonnez pas, mademoiselle, si vous me voyez reculer trois pas au frontispice de vos charmes : vous avez des yeux capables d'embraser tout le bailliage de mon coeur ; et depuis qu'on porte des bouches, on n'a jamais bouchonné un bouchon si bouchonnable. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Pour moi, je trouve cela le plus joli du monde ; mais que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Une fille un peu savante sur l'article le manie comme un chamois. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
Je vous prie, mademoiselle ma fille, de ne point m'échauffer les oreilles ; je sais ce qu'il vous faut, et c'est à vous d'obéir quand je vous ai choisi un mari, entendez-vous ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
Comme je suis une partie des plus intéressées dans l'affaire, je crois, mon père, que mon choix est du moins aussi nécessaire que le vôtre ; et je vous dirai franchement que cet homme-là n'est point fait pour moi. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Je vous dis encore une fois, mon père, laissez-moi mener cette affaire-là. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Vous êtes plus vieux que moi, j'en conviens ; mais je me connais mieux en maris que vous. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
Moi, je n'en veux pas ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
Et moi, pour reconnaître ton obéissance, je te promets d'augmenter ton trousseau de six chemises, et d'aller te voir toutes les fêtes et dimanches quand tu seras au Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
C'est donc ainsi, coquine, que tu fais état de mes remontrances, et que tu te moques de moi ! (Acte 2, scène 8, TRAFIQUET)
Je dis, mademoiselle, que quand je serai mort, je ne verrai plus goutte. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
Mademoiselle, assurément vous me ferez faire quelque mauvais coup : je me serais déjà jeté vingt fois par la fenêtre de notre grenier, s'il avait été seulement un étage plus bas. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
Je te conseille, de ce pas, d'aller faire ce saut-là pour l'amour de moi. (Acte 2, scène 10, COLOMBINE)
Mademoiselle, voilà la comtesse de Flamèche et la marquise de Bistoquet qui demandent à vous voir. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
De quel mauvais vent ces femmes-là abordent-elles chez moi ? (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
Bonjour, mademoiselle ; comment vous portez-vous ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
On a dû vous dire, mademoiselle, que mon équipage s'est arrêté vingt fois à votre porte ; mais vous êtes introuvable, et toute des plus rares. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
Pour moi, madame, je ne trouve rien de vilain à faire tout ce que le monde fait, et ce que vous avez fait vous-même. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
Faites comme moi, mademoiselle ; depuis que j'ai épousé mon mari, nous ne couchons plus ensemble. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
Pour moi, je suis malheureuse en garçons ; je n'en saurais élever ; je n'en ai plus que dix-sept. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
Ah, mademoiselle ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
Non, je ne crois pas que de mémoire d'homme on ait reçu une visite aussi impertinente. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
J'en trouverais peut-être ici plus d'un témoin. v.59 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Mais parlez-moi français ;... là, si je me marie, v.119 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Regardez-moi bien. Non, vous n'avez point la mine v.131 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
Moi je dis, à vous voir seulement par le dos... v.137 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
Plus courageux que moi prendra femme en commun, v.150 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Et si vous en prenez, moi, je vous signifie v.159 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
Prédiseuses du diable, ah ! Laissez-moi partir. v.162 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Un accord : je serai six mois de l'an garçon, v.169 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Et six mois marié. v.170 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
Mademoiselle, voilà un bel esprit qui monte, madame Pindaret. (Acte 3, scène 2, LE-LAQUAIS)
En vérité, mademoiselle, il faut que votre train soit travaillé d'un prodigieux dévoiement de mémoire ; oui, je crois que je suis venue ici plus de dix fois depuis les calendes du mois dernier. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
Les calendes, mademoiselle ; c'est la manière de compter des Romains, et la mienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
Si ma servante datait sa dépense autrement, elle ne coucherait pas chez moi deux jours de suite. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
Cela ne coûte rien à une femme comme moi, qui se joue des auteurs ; j'entretiens commerce avec les anciens, et je fraye aussi avec les modernes. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
Assurément, mademoiselle ; j'en attrape assez le vrai, et je veux vous faire voir quelle est ma lecture quotidienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
Donnez-moi mon Juvénal. (Acte 3, scène 4, MADAME-PINDARET)
À moi, madame, un quartaut ! (Acte 3, scène 4, LE-LAQUAIS)
Êtes-vous comme moi, ma chère ? (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
À vous dire le vrai, j'aime beaucoup mieux la conversation des hommes, et je voudrais parfois qu'il n'y eût que moi de femme au monde. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
Il ne tint qu'à moi. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
À propos, mademoiselle, avec-vous vu mon madrigal ? (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
Non, madame ; cela n'est pas venu jusqu'à moi. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
Qu'il change au moindre petit vent. v.177 (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Oui, mademoiselle. C'est une des plus nobles sciences qu'il y ait ; elle a pour objet tout ce qui tombe sous les sens, et par conséquent, le corps humain, qui est la plus belle et la plus parfaite de toutes les structures humaines. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
Adieu, mademoiselle ; je sens que ma colique veut me reprendre. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
Moi, monsieur ! (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
Excusez-moi, s'il vous plaît ; je ne danse point, je fais des vers. (Acte 3, scène 6, MADAME PINDARET)
Souffrez, mademoiselle, que je vous quitte pour aller me mettre au lit. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
Hé bien, mademoiselle, ne vous avais-je pas bien dit qu'il n'y avait guère de marquis plus ridicule que moi ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Moi, étudié ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Ma foi, mademoiselle, il faut du plain-pied à un marquis. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
La scène n'est jamais vide avec moi. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Je ne sais pas, pour moi, quel plaisir prennent certaines gens, à la Comédie, de venir étouffer un acteur jusque sur les chandelles. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
Moi, dans les loges ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Mademoiselle, voilà votre couturière. (Acte 3, scène 8, LE-LAQUAIS)
Oui, mademoiselle j'espère qu'il vous habillera parfaitement bien : depuis que je travaille, je n'ai jamais vu d'habit si bien taillé. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Ni moi de fille si ragoûtante. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Oui-da, mademoiselle ; vous pouvez vous habiller jusqu'à la chemise inclusivement. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Je n'oserais, mademoiselle. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Si tu voulais, Margot, m'épouser à la Harpillon, j'irais moi jusqu'à une verdure. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Croyez-moi, les environs de Paris sont terriblement dangereux. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Hé bien, viens les faire chez moi. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Ce n'est peut-être pas la faute du manteau, mademoiselle. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Moi, raser ! (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Adieu, mademoiselle ; dans un quart_d_heure je vous rapporterai votre manteau avec de la gorge. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
Moi, dans votre académie de filles ! (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
Le damoiseau v.205 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
Moi, je vous ai fait faire ces extravagances-là ? (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)

LE DISTRAIT (1697)

Me paraissent, pour moi, tout à fait laconiques. v.6 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Dites-moi, s'il vous plaît, la véritable cause v.9 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
Et je le trouve, moi, selon ma fantaisie. v.46 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Il n'aurait pas chez moi pris un appartement. v.64 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Vous êtes tous les jours témoin de sa tendresse. v.66 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
Venez, mademoiselle, et saluez les gens. v.100 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Je ne veux point chez moi gens de cette séquelle ; v.109 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Ce sont courtiers d'amour pour une demoiselle. v.110 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
M'enleva malgré moi ; sans cela, de ma vie, v.133 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
çà, dites-moi, quelqu'un vous tiendrait-il au coeur ? v.148 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Oh ! Je le sais bien, moi : c'est l'amour qui murmure. v.153 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Il est tout fait pour moi, l'on ne peut davantage. v.174 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Et je vous défends, moi, de le voir de la vie. v.185 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
Vous êtes avec moi toujours prête à gronder. v.192 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
Et je ne vois pas, moi, son esprit se porter v.207 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Une botte de moins quand il est arrivé. v.228 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Si quelqu'un rit de moi, moi, je ris de bien d'autres. v.245 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Pour moi, je n'ai pas tort. Il faut bien que je rie v.249 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; v.273 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Et tout Paris, témoin de vos traits de folie, v.277 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
Moi, je bâille déjà. v.281 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Moi, votre train de vie v.281 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Vous devez de moi seul attendre du secours. v.288 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
Et chacun, en bon ordre, aussi sage que moi, v.303 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Nous allons voir ; suis-moi. v.333 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
Accepte ce baiser de moi pour Isabelle. v.350 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
Dis-moi, qu'avez-vous fait depuis votre départ ? v.396 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Le pauvre agonisant en languît un peu moins : v.428 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Déjà tout préparé, se porte mieux que moi. v.436 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Que puis-je faire, moi, pour servir sa tendresse ? v.458 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
Une femme, Monsieur ; et moi, Mademoiselle ; v.466 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
On dit qu'il est distrait ; mais moi, je le tiens fou : v.468 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
Mais dis-moi donc, maraud... v.522 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
D'adoucir les tourments de près d'un mois d'absence. v.547 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Si je vous aimais moins, je serais plus tranquille. v.562 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
A pour moi mille charmes ; v.570 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Moi ? v.581 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Éprouver mon amour, ou vous railler de moi. v.593 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Moi, parler devant vous d'autre que de vous-même, v.594 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
Mais dis-moi, seras-tu toujours fou, chevalier ? v.624 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
Et le noir est pour moi la couleur favorite : v.626 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
À moi ? v.669 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
Ton maître au moins n'est pas trop sage. v.670 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
Mais regardez-moi bien. v.674 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
Je m'en flatte en secret ; du moins il me le dit. v.681 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
Que je suis malheureux ! Contre moi tout conspire. v.730 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
Je ne suis plus à moi quand je ne la vois pas. v.733 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
Il était moins distrait hier qu'il n'est aujourd'hui : v.736 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
Oui, la chanson le dit. Dites-moi, je vous prie, v.758 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
De votre amour pour moi je veux prendre ce gage. v.798 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Laissez, laissez-moi seul affronter la tempête. v.846 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
Amante fedele, c'est moi, l'amant fidèle ; v.871 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Car moi, dans mes leçons, je suis expéditif. v.877 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Conjuguez avec moi, pour bien prendre l'accent. v.881 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
Et n'a pas eu besoin de moi pour s'introduire. v.903 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
N'allez pas, devant moi, gronder mes écolières. v.910 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
D'où viens-tu ? Parle donc, réponds-moi. v.938 (Acte 3, scène 8, LEANDRE)
Va revoir l'horloger tout au moins pour six mois. v.955 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
Qu'Isabelle sur moi n'eut jamais de pouvoir, v.975 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
De tout ce qu'on me dit vous êtes de moitié. v.1000 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Bon ! Votre coeur pour moi ne fut jamais touché ; v.1008 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
Aidez-moi, s'il vous plaît, monsieur, à l'éviter. v.1029 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
Volontiers. Mais que personne au moins v.1032 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
Et qu'une autre que moi ne règne en votre coeur. v.1057 (Acte 3, scène 12, CLARICE)
Et tant qu'il vous plaira ; pour moi je me retire. v.1087 (Acte 3, scène 18, ISABELLE)
D'y pouvoir, sans témoins, remplir votre désir. v.1089 (Acte 3, scène 18, CLARICE)
Le hasard, malgré moi, dans ce lieu vous assemble, v.1090 (Acte 3, scène 18, LEANDRE)
Devant moi gardez-vous de paraître. v.1095 (Acte 3, scène 19, CLARICE)
Moi, je me désespère. v.1098 (Acte 3, scène 21, LEANDRE)
Cependant vous vouliez de moi ce bon office. v.1114 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
Crois-moi, le mariage est un triste métier. v.1160 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
Ah ! Vous voilà, Madame ? Eh ! Dites-moi, de grâce, v.1182 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
Mais Léandre aujourd'hui triomphe encor de moi. v.1209 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
De ne trouver en moi qu'un défaut à reprendre. v.1243 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
Et je vous trouve, moi, trop sage de moitié. v.1245 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Que peut-on, s'il vous plaît, Monsieur, dire de moi ? v.1256 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Enfin, que sais-je, moi ? L'on charge ma mémoire v.1278 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
C'est le moindre défaut qu'on puisse reprocher. v.1325 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
Donne-moi promptement. v.1368 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
De mon esprit trop prompt c'est à moi de me plaindre. v.1388 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
C'est très bien fait. Mais moi, je plains fort Isabelle. v.1395 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
À damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue... » v.1408 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
Madame, écoutez-moi... v.1452 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
J'ai dressé le contrat moi-même avec les clauses, v.1468 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
Suivez-moi seulement, et demeurez en paix. v.1493 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
« Je suis au désespoir, Mademoiselle, que l'aventure du cabinet vous ait donné quelque soupçon de ma fidélité. » (Acte 5, scène 6, CLARICE)
Mais du moins, jusqu'au bout lisez donc le billet. v.1510 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
Moi, Monsieur, vous trahir ! Je vous sers avec zèle ; v.1535 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
À ce témoin muet que pourras-tu répondre ? v.1544 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
De grace prêtez-moi cette lettre un moment. v.1546 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
Lis avec moi, bourreau ; lis donc... « Pour Isabelle. » v.1548 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
Monsieur, par la présente, il vous plaira payer à damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue, et dieu sait la valeur. » (Acte 5, scène 7, CLARICE)
Fi donc, madame, fi ! Vous moquez-vous de moi ? v.1565 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
Laissez-moi, l'affaire est dans le sac. v.1601 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
Moi, je m'inscris en faux contre ce qu'il peut faire. v.1620 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
Cela ne rendra pas le contrat moins valide. v.1631 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
Écoutez-moi. v.1693 (Acte 5, scène 10, ISABELLE)
Je suis au désespoir. C'est à moi qu'on s'adresse v.1700 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)

LE RETOUR IMPRÃ‰VU (1700)

Parlons ensemble un peu sérieusement, je vous prie, mademoiselle Lisette. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
Voilà un discours très sérieux au moins, madame ; et si je répondais aussi sérieusement, la fin de la conversation pourrait bien faire rire ; mais le respect que j'ai pour votre âge, et pour la tante de ma maîtresse, m'empêchera de vous répondre avec aigreur. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Lucile est fort bien apparentée, au moins. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
N'as-tu pas reçu de l'argent pour moi ces jours passés ? (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Travaillez-y donc vous-même ; car pour moi je fais conscience d'être l'instrument et la cheville ouvrière de votre ruine ; c'est par mes soins que vous avez trouvé le moyen de dissiper plus de dix mille écus, sans compter douze ou quinze mille francs que vous devez encore à plusieurs quidams, usuriers ou notaires (c'est presque la même chose), qui nous vont tomber sur le corps au premier jour. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Pour moi, je vous avoue que je suis à bout. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
Si mon père peut être encore cinq ou six mois sans revenir, j'aurai tout le temps de réparer, par mon économie, les premiers désordres de ma jeunesse. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Je n'ai jamais eu d'autres sentiments, belle Lucile ; et voilà votre amie qui peut vous en rendre témoignage. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Mais moi qui n'entre pour rien dans l'aventure, et qui n'ai point en vue de conclusion, quel personnage est-ce que je fais dans tout ceci ? (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
Je me donne au diable, pendant que nous sommes en train, il me prend envie d'épouser Lisette aussi par compagnie, moi ; c'est une chose bien contagieuse que l'exemple. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
Je ne dépends de personne ; je veux prendre un mari aussi indépendant que moi. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
Je vous assure, mesdames, qu'à moins de voler, on ne peut pas faire plus de diligence : il n'y a pas, en vérité, trois quarts d'heure que je suis parti de Versailles. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Si nous n'avions pas, nous autres, de ces voitures volantes-là, nous manquerions ln moitié de nos occasions. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Mais, dis-moi, je te prie, as-tu passé, comme tu m'avais promis, chez ce joaillier, pour ces diamants ? (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
Ce sera quand il vous plaira, au moins, que nous ferons quelque marché de coeur ensemble : je suis fait pour les dames ; et les dames, sans vanité, sont aussi faites pour moi. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
Je veux être déshonoré, si je ne vous trouve fort à mon g é : je me sens même de la disposition à vous aimer un jour à l'adoration, à la fureur ; mais point de mariage au moins, point de mariage ; j'aime les amours sans conséquence : vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et, dis-moi, le bon homme a-t-il affaire pour longtemps à cette douane ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Jaquinet, mon pauvre Jaquinet, aide-moi un peu à sortir d'intrigue, je te prie. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
Moi ! (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
Je ne veux pas différer davantage à rentrer chez moi, et à donner à mon fils le plaisir que lui doit causer mon retour : je crois que le pauvre garçon mourra de joie en me voyant. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Oui, c'est moi, Merlin. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
Et, dis-moi un peu, dans quel endroit de la ville mon fils a-t-il acheté cette maison ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Sa famille l'a fait interdire ; et son fils, qui est un dissipateur, a donné sa maison pour moitié de ce qu'elle vaut. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Mais je m'amuse ici trop longtemps ; fais-moi ouvrir la porte. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
depuis six mois... (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Ma maison, depuis six mois... (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Tu te moques de moi ; cela n'est pas croyable. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Mais, encore une fois, je crois que tu te moques de moi. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Et dis-moi, je te prie, n'ont-ils point été dans ma cave ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
Oh çà, monsieur, puisque nous savons la cause du mal, il ne sera pas difficile d'y remédier ; je crois que nous en viendrons à bout : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
Laisse-moi faire. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Je suis à votre service, et ma maison est plus à vous qu'à moi-même. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Dites-moi, madame Bertrand, êtes-vous toujours aussi sage, aussi raisonnable qu'à présent ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
De me faire interdire, moi ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
Du moins vaut-il mieux que mon fils l'ait achetée qu'un autre, et que nous profitions du bon marché. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
Oui, monsieur, c'est moi-même. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
Que venez-vous de faire chez moi, monsieur, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
Je vous demande pardon de ma conduite passée : consentez à ce mariage, je vous prie : on vous rendra votre argent ; et je promets que vous serez content de moi dans la suite. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
Tu te moquais de moi ! (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)

ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)

Les plus jolies filles de Poitou la consultent comme un oracle, parce qu'elle a fait ses études sous une coquette de Paris ; c'est là où elle est devenue amoureuse de moi. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Ce n'est pas votre étoile, monsieur ; c'est moi qui ai pris soin de vous cacher Lisette : je l'ai trouvée trop jolie pour vous la faire connaître. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Mais cette digression vous fait oublier qu'il s'agit entre vous et moi d'une petite règle d'arithmétique. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
Va, mon cher, je veux bien encore ne te point chasser de chez moi. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Vraiment, monsieur, ce n'est pas vous qui me chassez ; c'est moi qui vous demande mon congé, et les six cents livres. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
J'ai si bien fait, par mon manège, que le père est à présent aussi amoureux de moi que sa fille. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
Il ne s'agissait entre lui et moi que de deux articles. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Je lui demandais mon congé et mes gages : il a partagé le différend par moitié ; il m'a donné mon congé, et me retient mes gages. (Acte 1, scène 3, PASQUIN)
Et moi, je ne considère plus rien. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Et va-t'en achever d'imaginer ; laisse-moi exécuter. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Y faut que ce soit moi qui... (Acte 1, scène 4, COLIN)
C'est moi qui suis I'amoureux, une fois ; je veux parler tout mon soûl. (Acte 1, scène 4, COLIN)
N'est-y pas vrai, li redirai-je, que quand vous me dites ça, je dis, moi, que les paroles étaient belles et bonnes, mais que ça ne tient guère, à moins qui n'y ait quelque chose, là, qui signifie qu'ou n'oseriez pus prendre d'autre mari .que moi ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
Ce récit promet beaucoup au moins. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
Il y a deux heures que je l'attends chez moi. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Dorante doit être aujourd'hui amoureux de moi à la folie ; car il m'a promis que son amour augmenterait tous les jours, et il m'aimait déjà bien hier. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Dis-moi, Pasquin, lequel aimera-t-il mieux de l'innocente ou de la gourgandine ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Je ne pourrai jamais venir à bout d'arranger tant de machines sur ma tête ; il n'y a pas de place pour en mettre seulement la moitié. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Cherche-moi l'endroit où le livre dit que se met la souris. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Qu'il ne me fasse pas attendre au moins. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
Laisse-moi faire. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Amoureux comme vous êtes, vous ne voudriez pas rompre un mariage d'inclination pour vingt mille écus plus_ou_moins. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
On est convenu avec moi que le hasard amènerait la veuve sous cet orme dans un quart_d_heure. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
Ce maraud-là en sait presque autant que moi. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
Nous sommes seuls, madame ; accordez-moi donc enfin ce que vous m'avez tant de fois refusé à Poitiers ; levez ce voile cruel... (Acte 1, scène 11, DORANTE)
Qui, puisqu'il faut vous faire la confidence, a eu pour moi certaines faiblesses. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
Au moins, je vous ordonne d'aller tout présentement rompre l'engagement que vous avez avec le père. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
Sous l'orme, au moins. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
Mais me ferai-je connaître après ce qu'on lui vient de dire de moi ? (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Vous m'aviez enlevé mon amant ; mais je suis déjà vengée, puisqu'il vous a sacrifiée à moi. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
Je ne suis fâchée que de ce qu'il vous vient de dire des faussetés de moi. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Ne le croyez pas au moins, madame ; c'est un méchant qui en dira tout autant de vous. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
Ce n'est pas de vous au moins que je dis que je sis amoureux : il ferait beau var que j'aimisse encore eune... ingrate ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
Je n'aime pas trop à changer ; mais c'est que cela me vint malgré moi tout d'un coup, parce que je n'avais jamais vu d'homme fait comme Dorante. (Acte 1, scène 15, AGATHE)
Baille-moi ta main. (Acte 1, scène 15, COLIN)
Que je sis aise, moi ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
Retirez-vous ; c'est à moi à commencer. (Acte 1, scène 16, NANETTE)
Se serait-elle moquée de moi ? (Acte 1, scène 20, DORANTE)
Attendez-moi sous l'orme, v.34 (Acte 1, scène 22, LE-CHOEUR)
Attendez-moi sous l'orme, v.36 (Acte 1, scène 24, LE-CHOEUR)
Attendez-moi sous l'orme, v.65 (Acte 1, scène 24, LISETTE)
Attendez-moi sous l'orme, v.71 (Acte 1, scène 24, LE VILLAGE)

LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)

S'il vous fallait donc, comme moi, v.20 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Ai-je encor trouvé, moi, quelque jour de repos ? v.29 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Heureux qui se passe de moi ! v.76 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Ils y sont presque tous aussi savants que moi. v.85 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
Des bontés que pour moi... v.116 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
J'ai fait graver ton nom au temple de Mémoire, v.123 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Moi. v.145 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Et, par exemple, dites-moi, v.162 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Mais un usage moins sévère v.172 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
Une pièce de moi, je crois, ne plairait guère ; v.192 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
À moins qu'Apollon ne fit choix v.193 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Moitié français, moitié romain, v.198 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
Et moi, je vais commencer ma carrière, v.213 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Je suis tout hors de moi. Maudit soit le valet ! v.238 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
D'où viens-tu donc, maraud ? Dis, parle, réponds-moi. v.243 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Les Juifs, tout Juifs qu'ils sont, sont moins durs, moins arabes : v.252 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Mais, monsieur... Revenez. Faites-moi le plaisir... v.255 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Usait depuis une heure avec moi de remise, v.261 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Me retient, malgré moi, dans le mauvais chemin. v.267 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
En pareil cas que moi vous vous êtes trouvé ; v.274 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Vous jurez dans la chambre, et moi sur l'escalier. v.291 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Et moi je pourchassais Finette la suivante. v.309 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Finissons, et chez moi va porter ma valise. v.313 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Et je ne crois pas, moi, que dans votre valise v.348 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
D'ordinaire avec moi passent fort mal leur temps ? v.355 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Sans que l'on ait de moi reçu nouvelle aucune ; v.377 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Comme moi, sa valise au coche aura fait mettre ; v.405 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Ne manquez donc point de vous rendre au plus tôt à Paris, et faites-moi la grâce de me croire votre très humble et très obéissant serviteur, (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
Ils sont à moi, du moins, tout autant qu'à mon frère ; v.424 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
Je ne puis demeurer en place, ni chez moi. v.442 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
Et quel dieu près de moi vous ramène ? v.451 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
De grâce, dites-moi, parlant sincèrement, v.486 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
L'amour qu'il a pour moi ne s'imagine pas : v.527 (Acte 2, scène 4, ARAMINTE)
Ici, comme chez moi, vous pouvez m'ennuyer. v.534 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Moi, j'ai cinquante ans ! Moi ! Finette ? v.556 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Et je sais fort bien, moi, que cela ne peut être. v.564 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
C'est moi qui vous le dis ; m'entendez-vous, mon frère ? v.572 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Moi, dans les hauts projets dont mon âme est remplie, v.617 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Pour vous serait la nièce, et pour moi la suivante. v.629 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
Mais, dis-moi cependant... v.672 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
Le moins que je pourrai ; je n'ai pas trop sujet v.706 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
Qui vous peut enseigner mieux que moi sa maison ? v.727 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Vous ne pouvez pas mieux vous adresser qu'à moi : v.731 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
Qui ? Moi ? v.759 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
Mais parle-moi donc, toi. Quelle vapeur nouvelle v.780 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Perdre en si peu de temps et mémoire et raison ? v.787 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
Vous témoignez, monsieur, bien de l'indifférence ! v.829 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Que la porte sur moi se brise et m'estropie. v.865 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
Si l'on vous brutalise, est-ce ma faute à moi ? v.891 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
Va, n'attends plus de moi que haine et que rigueurs. v.898 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
Vous pourrez m'occuper, et vous servir de moi. v.915 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
Et moi, votre valet, j'ai peine à vous connaître. v.929 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Donnez-moi ce chapeau. v.932 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
Mais n'a-t-il point sur moi quelques soupçons naissants ? v.950 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
Il faudra que pour moi le devoir sollicite ; v.992 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
Laissez-moi seul ici ; va-t'en trouver mon frère : v.1004 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
Permettez-moi de dire, avecque déférence, v.1020 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
Vous n'avez plus pour moi cette haine sévère, v.1057 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
Quel sujet auriez-vous de vous plaindre de moi ? v.1067 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
Et moi, de bonne foi, je te donnais mon coeur, v.1070 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
Ma foi, ni moi non plus. Mais, dites-moi, ma soeur, v.1074 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
En dépit de lui-même, et de moi-même aussi. v.1102 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
Il faut, ma fille et moi, vous demander pardon. v.1111 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
Moi ! Je sors d'avec elle ? v.1128 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
Se peut-il que si tôt vous perdiez la mémoire ? v.1132 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
Nous rêvons, vous ou moi. Quoi ! Vous me ferez croire v.1133 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
La cour aurait pour moi d'assez puissants appas, v.1158 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
Oh ! J'aime à vivre, moi. v.1166 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
De ne plus demeurer autre part que chez moi ? v.1190 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
Laissez-moi, je vous prie, v.1193 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
Ma foi, ni moi non plus. v.1202 (Acte 3, scène 10, MÉNESCHME)
Moi, ma fille, ma femme : elles tremblaient de peur v.1210 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Qu'un mémoire à la main ; et déjà je m'étonne v.1221 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
Me charme et me ravit. Voici certain mémoire v.1225 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Sa mémoire est perdue ; il ne se souvient plus, v.1238 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
Mon régiment, à moi ? Cherchez ailleurs vos dettes ; v.1256 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Si vous avez perdu, par malheur, la mémoire, v.1260 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Les articles sont tous contenus au mémoire. v.1261 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
Tiens, voilà ton mémoire, et comme j'en fais cas. v.1262 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Un fripon, moi ? v.1265 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Un mémoire arrêté ! v.1268 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
Laissez-moi lui couper le nez. v.1270 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
Je n'ai trouvé que moi de raisonnable, et lui. v.1291 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
Pour moi, dans pareil cas, toujours j'en use ainsi. v.1382 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
Non, à moins que le diable, à me nuire obstiné, v.1402 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Voyons à ce témoin ce qu'il pourra répondre. v.1405 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
Comment diable ! C'est moi ! Qui l'eût pensé ! Jamais ? v.1407 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Ou du moins j'entrevois quelque friponnerie. v.1413 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
Régardé-moi ; jé suis outré dé désespoir ; v.1447 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Cent louis qué dé moi lé bésoin té fit prendre. v.1461 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Je vous pardonne tout ; pardonnez-moi de même, v.1464 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Le vôtre est-il pour moi plus facile à comprendre ? v.1469 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Vous les avez prêtés à quelque autre qu'à moi. v.1471 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
À moi ? J'aurais perdu le sens et la raison, v.1478 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Cet hommé-ci présent peut rendré témoignage ; v.1480 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Quelqué confuse idée ? Oh ! Moi, j'en suis certain. v.1486 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
Vous satisfaire, moi ! Mais je ne vous dois rien ; v.1494 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Cent louis ! J'en paierai la moitié. v.1499 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Tirez-moi de ses mains ; faites qu'il se contente. v.1509 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
Voilà plus de moitié, monsieur, de votre dette ; v.1512 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
À tout autre qu'à moi je ne me fierai plus ; v.1531 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
D'être d'intelligence à me tromper moi-même. v.1533 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
Ah ! Mon cher Valentin, tu me vois hors de moi ; v.1538 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
De grâce, laissez-moi promener mes regards v.1547 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
Mais jusqu'ici l'usage en fut peu fait pour moi : v.1555 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
Il en a délivré plus de moitié comptant, v.1566 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
Madame, écoutez-moi. v.1587 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
Oh ! Pour moi, j'ai raison ; toi-même, sois-en juge. v.1596 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
Et moi, je n'ai pas tort. v.1597 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
Moi ! Je vous ai.... v.1601 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
La gloire en d'autres lieux vous et moi nous appelle. v.1636 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
Finissez, croyez-moi, n'allez pas davantage v.1696 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
Il est, vous dis-je, à moi ; je l'ai bien acheté. v.1703 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
Mes yeux sont, pour le moins, aussi beaux que les vôtres ; v.1713 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
Cette femme est sur moi rudement endiablée ! v.1740 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Je puis, par ce témoin, confondre l'imposture. v.1753 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
Moi ! Si j'ai jamais vu ces deux friponnes-là, v.1759 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
Pardonnez-moi le mot ; c'est votre soeur, n'importe : v.1760 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
Qui que tu sois enfin, laisse-moi, je te prie. v.1765 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
À ce bel hymen, moi, s'il vous plaît, je m'oppose ; v.1788 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
Si vous n'étiez venu chez moi me faire instance v.1797 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
Qui ? Moi ? Moi ?... v.1800 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
À moi ? v.1811 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
Je servirai toujours contre lui de témoin. v.1827 (Acte 5, scène 4, FINETTE)
Ah, maudit faux témoin ! Malheureux imposteur ! v.1835 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
Pour moi, dès le berceau, je n'en ai point eu d'autre. v.1869 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
En accouchant de moi l'on vit mourir ma mère. v.1872 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
Et moi pareillement. v.1874 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
Vous témoigne ma joie et mon ravissement. v.1883 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
Et moi, je prends monsieur. v.1896 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
Moi, je vous prends tous deux. Je veux que l'on m'instruise v.1900 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
C'est moi qui, pour la mienne, ayant pris sa valise, v.1904 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
C'est moi qu'on a cru mort, et qui m'en suis saisi : v.1907 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
C'est moi qui, dans l'ardeur d'une feinte tendresse, v.1908 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Et c'est moi qui, depuis, brûlant des plus beaux feux, v.1910 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Je vous trouve plaisant de disposer de moi ! v.1923 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
Vous vouliez m'épouser, c'est un autre moi-même. v.1925 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
De la succession recevez la moitié : v.1927 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
Moi vous nommant friponne, et vous m'appelant traître. v.1932 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
Moi, quand ce ne serait que pour la ressemblance, v.1936 (Acte 5, scène 6, FINETTE)

LA CRITIQUE DE L'HOMME Ã€ BONNES FORTUNES. (1690)

Je sors présentement de l'hôtel de Bourgogne, et j'en suis si outré, que si je trouvais à présent un comédien italien, la moindre chose qu'il lui en coûterait , ce serait une oreille. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Depuis dix-huit mois avoir amassé quinze écus ; voilà-t-il pas un gros butin ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
Et vous, mademoiselle, où le mal vous tient-il ? (Acte 1, scène 3, NIVELET)
Moi, manger ! (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Pour vous, mademoiselle, tenez-vous en repos dans ce fauteuil, en attendant qu'on serve. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
Et moi, je suis si soûl de la comédie, que je m'en vais me mettre au lit sans boire et sans manger, et, qui pis est, je m´en sortirai, ou le diable m'entraîne, que lorsque l'on aura renvoyé tous ces gueux de comédiens-là en Italie. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Ah, mademoiselle ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Ma foi, mademoiselle, il ne me reste présentement pas grand'chose ; je n'ai qu'un parement de manche, le cuir de mes poches, et quelques lambeaux de chemise. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
J'ai levé le nez tantôt au coin d'une rue ; j'ai vu un papier rouge, j'ai demandé à mon laquais, qui lit ordinairement pour moi, ce que c'était : le brutal m'est venu dire que c'était encore cette comédie dont tant de femmes m'avaient rompu la tête. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Pour moi, je crois qu'il faudra que je retourne encore plus de vingt fois à cette comédie-là pour y trouver le mot pour rire. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Ah, mademoiselle ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
Pour moi, je ne saurais manger ; j'ai fait cinq ou six repas aujourd'hui, dont le moindre a duré quatre heures. (Acte 1, scène 5, LE-MARQUIS)
Pour l'ordinaire, Mademoiselle, je suis assez ponctuel au repas ; mais, pour ce soir, deux mille carrosses m'ont barré depuis l´hôtel de Bourgogne jusqu'ici. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Ah, mademoiselle ! (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Et moi, quand j'étais Gascon, lorsque l'on me donnait un repas, c'était pour toute ma semaine. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Et moi, je vous dis qu'elle est fort bonne. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
Je suis votre serviteur, Mademoiselle ; je ne me coucherai pas bredouille ; il me faut de la viande. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
À moi, petit hobereau ? (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)

LA CRITIQUE DU LÃ‰GATAIRE (1708)

À moi, morbleu, à moi : il y a plus de sens, de raison et d'esprit dans cette tête-là qu'il n'y en a sur votre théâtre, dans vos loges, et dans votre parterre, quand ces trois ordres seraient réunis ensemble. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Cette maxime est bonne pour les sots ; mais non pas pour moi. Je ne me laisse jamais entraîner au torrent : je fais tête au parterre ; et quand il approuve quelque endroit, c'est justement celui que je condamne. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Et moi, morbleu, j'en appelle comme d'abus ; j'en appelle au bon sens ; j'en appelle à la postérité ; et le siècle à venir me fera raison du mauvais goût de celui-ci. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
Sitôt que votre carrosse sera devant la porte, on viendra vous avertir ; mais vous en avez encore pour un quart_d_heure tout au moins. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Ma vivacité fournira à tout ; et si vous ne voulez pas me suivre, voilà Monsieur Boniface qui ne m'abandonnera point dans l'occasion : c'est un jeune poète que je produis dans le monde, un bel esprit qui fait des vers pour moi quand j'en ai besoin : je l'ai amené à la comédie pour m'en dire son sentiment. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Je prétends bien qu'il vienne au bal avec moi. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Mais, avant tout, tirez-moi de la foule, monsieur le Marquis, tirez-moi de la foule. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
C'est une source d'imagination vive, hardie, échauffée ; rien ne l'arrête, rien ne l'embarrasse : je lui trouve un fonds de science qui m'étonne, une fécondité qui m'épouvante. Croiriez-vous, monsieur le Marquis, qu'il a fait vingt-cinq comédies, et, pour le moins, autant de tragédies ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Apprenez, monsieur le jurisprudent hors de saison, qu'il n'est point question, dans une comédie, du droit romain ni de Justinien : il s'agit de divertir les gens d'esprit avec art ; et je vous soutiens, moi, que la conduite de cette pièce est très sensée. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Pour moi, je n'entends point vos règles de comédie : mais mon frère le Chevalier, qui a bon goût, et qui est presque aussi sage que moi, m'a dit qu'elle ne valait rien ; il ne l'a pourtant point encore vue. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Pour moi, ne trouvant plus de place dans les premières loges, je l'ai vue la première fois dans l'amphithéâtre, où je me trouvai entourée de cinq ou six jeunes seigneurs qui ne cessèrent de folâtrer autour de moi : jamais jolie femme ne fut plus lutinée ; et, si la pièce n'avait promptement fini, je ne sais, en vérité, ce qu'il en serait arrivé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Pour moi, j'étais dans le parterre à la première représentation ; il ne m'en a jamais tant coûté pour voir une mauvaise comédie : une moitié de mon justaucorps fut emportée par la foule, et j'eus bien de la peine à sauver l'autre au milieu des flots de laquais qui m'inondèrent de cire en sortant, et me brûlèrent tout un côté de ma perruque. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
Ce Poisson est plaisant, il me divertit : j'aime à rire, moi ; cela me fait faire digestion. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
N'ai-je pas été interloqué, moi qui vous parle, dans un procès que j'ai avec un de mes fermiers ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Pour moi, je n'y entends point tant de façon ; quand une chose me plaît, je ne vais point m'alambiquer l'esprit pour savoir pourquoi elle me plaît. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Je vais souper à la Place Royale, où nous devons attaquer un aloyau dans les formes ; et je serais au désespoir que la scène commençât sans moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
Les comédiens sont bien plaisants, de jouer sur leur théâtre un corps aussi illustre que celui des apothicaires ; et ce petit myrmidon de Clistorel bien impertinent de s'attaquer à un homme comme moi ! (Acte 1, scène 7, CLISTOREL)
Oui, moi. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
Et moi, je serais au désespoir de vous ressembler : ne voilà-t-il pas un petit gentilhomme bien tourné ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Je puis me vanter qu'il n 'y a point d'homme en France qui ait plus raccommodé de visages que moi. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
Je joue, moi, dans le comique et dans le sérieux. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
Moi, j'ai fait du quiproquo ! (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
Allons, monsieur Clistorel, donnez-moi la main. (Acte 1, scène 9, LA COMTESSE)

LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)

Un remède par moi lui vient d'être donné, v.15 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Il est tombé sur moi deux fois en léthargie- v.18 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Il croit qu'étant petit, il lui faut moins d'argent ; v.35 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Guéris-moi, si tu peux, du soin qui m'inquiète. v.98 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Hé ! Dis-moi, mon enfant, en pleine confidence, v.129 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Pour moi, je crois qu'il veut vous laisser tout son bien, v.136 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Ce que j'ai dit est dit ; repose-toi sur moi. v.152 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
Vous ne paraissez pas plus malade que moi. v.238 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Moi-même. v.251 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
Mon oncle a le visage, ou du moins peu s'en faut, v.297 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Oui, madame, c'est vous (pour le moins je m'en flatte) v.303 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Ne trouvera-t-il pas en moi ce qu'il espère. v.316 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Devoir trouver en moi toute la médecine : v.320 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Avant qu'il soit neuf mois, sans trop me signaler, v.325 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Ah ! Le ciel m'est témoin si je voudrais jamais v.353 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Oui, je vous soutiens, moi, qu'une jeune personne, v.360 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
Et je jurerais, moi, cependant du contraire. v.376 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Et dussiez-vous crever, ne le témoignez point. v.378 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
Éraste, conduis-les. Excusez-moi, de grâce, v.384 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
Que les médicaments qu'il prend depuis six mois. v.390 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Madame, accordez-moi l'honneur de vous conduire. v.392 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
Moi, je vais là-dedans vaquer à mon emploi ; v.393 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
Le bon homme m'attend, et ne fait rien sans moi. v.394 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
Donnez-moi votre foi v.421 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
De rompre cet hymen ; et je vous promets, moi, v.422 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
Et qu'il fera pour moi quelque heureux testament. v.425 (Acte 2, scène 1, ?RASTE)
Je vous laisse avec lui ; pour moi, je me retire. v.435 (Acte 2, scène 3, MADAME-ARGANTE)
Reposez-vous sur moi des soins de cette fête, v.479 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
Donnez-moi le billet, je vais le déchiffrer. v.494 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Je ne sais pas comment, ennemi de moi-même, v.503 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
Un sort à cet hymen m'entraînait malgré moi, v.505 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
Et moi, je trouve mal cette dernière clause ; v.559 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
S'est de votre bras droit depuis un mois saisie, v.564 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
J'en suis bien assuré. Viens, Éraste ; suis-moi. v.569 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
Hé, dis-moi, mon enfant, quelle est-elle ? v.604 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
C'est moi qui vous le dis, mon cher monsieur Géronte ; v.611 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Vous avez fait sans moi trop vite votre compte. v.612 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Et tel n'y pense pas qui doit payer pour moi. v.653 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
Moi-même entre ses mains je promets de la mettre, v.664 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
Je me sens de moitié plus léger et plus sain. v.678 (Acte 2, scène 10, GÉRONTE)
Vous que depuis un mois on vit remarier ? v.698 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
De faire avecque moi quelque comparaison ! v.702 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
N'est point fait, croyez-moi, pour ce genre d'escrime. v.708 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Moi ! Le ciel m'en préserve ! Et ce sont tous des ânes, v.715 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Ou du moins les trois quarts : ils m'ont fait cent chicanes v.716 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Moi seul j'ai fait bouquer toute la Faculté. v.718 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Mais que vous ai-je fait, moi, pour vous courroucer ? v.734 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
Pour crever ; et moi seul j'en aurai tout le blâme. v.736 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Prenez-moi de bonnes médecines, v.739 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Le moindre lénitif, ou le moindre apozème, v.748 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
Fais-le-moi donc venir. v.769 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
Je suis content de moi dans cette occasion, v.781 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
Tu ne te trompes pas, ma chère enfant ; c'est moi. v.794 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Et qui me mit au jour au bout de quatre mois. v.810 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Moi ? v.853 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
Au bel appartement mène-moi, je te prie. v.860 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
En repos laissez-moi finir ma triste vie, v.876 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
Moi, lui laisser mon bien ! J'aimerais mieux cent fois v.897 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
Lisette en est témoin. v.921 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Qu'il n'aura de mon bien jamais la moindre obole. v.924 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
Elles ont toutes deux témoigné des surprises v.935 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
Dont elles ne seront de six mois bien remises. v.936 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
Moi, j'approuverais fort cet hymen et ce choix : v.949 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Vous témoigne ma joie et mon ravissement : v.974 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Et que j'honore aussi cent fois plus que moi-même. v.976 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
Mais du pauvre défunt la mémoire funeste v.996 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Est-ce à moi, s'il vous plaît, que ce discours s'adresse ? v.1039 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Que, depuis très longtemps, avec mademoiselle, v.1043 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Avec moi ! Juste ciel ! Voyez les médisants ! v.1046 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
Moi, me faire interdire ! v.1055 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
Un commissaire à moi ! Suis-je donc, s'il vous plaît, v.1073 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
Oui, ventrebleu, c'est moi. v.1086 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
Avec cet attirail, j'ai vingt fois moins de peur ; v.1101 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
Moi, monsieur ! De sa mort je ne suis point la cause ; v.1119 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
Ah, monsieur ! Pour le coup, il est à moitié mort ; v.1126 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Et moi, qui m'y connais, je dis qu'il faut qu'il meure, v.1127 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
C'est à moi de pleurer, et je perds plus que vous. v.1134 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
Lisette et moi, monsieur, pour finir nos projets, v.1161 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
Que ferons-nous, dis-moi ? v.1222 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
Moi ! Je n'irai pas loin. Faut-il nous voir, tous trois, v.1229 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
Laisse-moi donc rêver... Oui-da... Non... Si, pourtant... v.1237 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
Ton trouble est mal fondé : depuis deux ou trois mois v.1273 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
Çà, le mouchoir de cou. Mets-moi vite ce casque. v.1287 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
Secondez-moi bien tous dans cette affaire-ci. v.1302 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
Malgré moi j'obéis à la nécessité. v.1310 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
Que ces actes secrets se passent sans témoins. v.1334 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
Moi, je ne puis quitter monsieur un seul moment. v.1337 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Les biens que vous m'offrez n'ont pour moi nuls appas, v.1381 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
Que de tout temps, pour moi, je reconnus en elle... v.1388 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Le ciel vous fasse paix d'avoir de moi mémoire, v.1395 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1412 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Qui depuis quelques mois me tient sur le bras droit. v.1433 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Laissez-moi, s'il vous plaît, l'acte qu'on vient de faire. v.1440 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
Pour vous en apporter moi-même une copie. v.1443 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
C'est maintenant, monsieur, ce qui presse le moins. v.1446 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
Dis-moi donc, malheureux ! As-tu perdu l'esprit, v.1450 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
Pouvais-je moins laisser à cette pauvre fille ? v.1455 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
Ou que, dans ce moment, pour le moins il expire. v.1479 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
Ah ! Prenez garde à moi. v.1492 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
Où même le crieur a voulu, malgré moi, v.1497 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
Juste ciel ! Sauve-moi des mains de la justice ! v.1536 (Acte 4, scène 9, CRISPIN)
Nous ne prétendons point, vous ni moi, retenir v.1549 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
Je le prends à témoin, si, dans ce que j'ai fait, v.1553 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
Et je vous apprends, moi, que l'on ne s'aime bien, v.1569 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
Il faut, mademoiselle, en ce péril offert, v.1581 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
Moi ! v.1584 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
Certes, je suis ravi, monsieur, qu'en moins d'une heure v.1659 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Nul ne sait mieux que moi la vérité du fait. v.1686 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
C'est qu'on peut se tromper. Mais c'était vous, ou moi. v.1694 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Il faut donc que mon mal m'ait ôté la mémoire ; v.1696 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Ou quelque bonne rente au moins pendant ma vie ? v.1711 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Monsieur convient de tout, du tort de sa mémoire, v.1716 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
Mais laissez-moi donc lire ; v.1739 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Ce que c'est que de nous ! Moi, cela me confond. v.1746 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Excusez-moi, monsieur, c'est votre léthargie. v.1752 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
Comment ! Moi des bâtards ? v.1763 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1792 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
Quoi ! Moi, j'aurais légué, sans aucune raison, v.1801 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
Votre coeur moins épris a changé de dessein. v.1838 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
Je crois que vous et moi nous ne saurions mieux faire. v.1839 (Acte 5, scène 8, MADAME-ARGANTE)
Dites-moi, n'a-t-on rien distrait du portefeuille ? v.1848 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
Et vous retrouverez jusqu'au moindre papier. v.1850 (Acte 5, scène 8, ISABELLE)

LE DIVORCE (1688)

Messieurs, ce que je vais vous dire vous déplaira peut-être ; mais, en vérité, j'en suis plus fâché que vous, et personne n'y perd tant que moi. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
Mais laissez-moi faire : si votre soeur consent à la séparation, je m'engage, moi, de faire toruver tout l'argent qu'il faudra pour l'obtenir ; et si , je veux que ce soit mon maître qui le fournisse. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
Je n'ai jamais vu de gens plus curieux, ni plus insolents ; ils crient après moi, il a chié au lit, il a chié au lit, comme si j'étais un masque. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Tant pis ; car je ne suis pas aussi sot que je l'ai été, moi ; et je ne m'emploierai jamais pour qui que ce soit, qu'auparavant je ne sois assuré de la récompense. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Mais tire-moi d'un doute : il a couru un bruit que tu avais été pendu, et je te croyais déjà bien sec. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Conte-moi donc ta maladie. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
Et moi, j'eus beau dire que j'avais affaire, que je ne pouvais pas sortir, que j'irais une autre fois, il me fut impossible de résister aux honnêtetés et aux empressements de ces messieurs-là. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Sur une petite chaise de bois qu'on avait mise à côté de moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Ces messieurs donc, après s'être parlé à l'oreille, me demandèrent encore si véritablement c'était moi qui avais cet heureux talent ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Me pendre, moi ! (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
On se range en haie ; je m'approche de la fontaine ; je donne un coup d'oeil autour de moi, et zest, je m'élance la tête en avant dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Les archers, surpris, courent à moi, et me tirent par les pieds ; et moi je m'enfonce toujours avec les mains, de manière que j'entrai tout entier dans le tuyau de la fontaine, et il ne resta aux archers que mes souliers pour les pendre. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Monsieur, je suis ravi de vous voir ; faites-moi, s'il vous plaît, la barbe, le plus promptement que vous pourrez. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Que cela ne vous étonne pas : j'ai bien été trois mois entiers après une barbe, et tandis que je rasais d'un côté, le poil revenait de l'autre : mais présentement je suis plus habile ; vous allez voir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Allons, toi, donne-moi le linge, vite. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Venez, maître Jacques, repassez-moi ce rasoir pour faire la barbe à monsieur. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Dis-moi, mon ami, de quel pays es-tu ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Tant, que je n'y saurais suffire. C'est moi qui fais la barbe et les cheveux à tous les limousins qui viennent ici travailler, et j'ai une pension de la ville pour faire tous les quinze jours le crin au cheval de bronze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Je vous trouve bien hardi de vous approcher de moi en l'état où vous êtes. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
Bon, bon, mademoiselle, vous avez là un plaisant scrupule ; la beauté que l'on achète n'est-elle pas à soi ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Pour moi, je trouve quelques femmes d'aujourd'hui d'un parfaitement bon goût ; de toute l'année elles en ont fait un carnaval perpétuel ; elles peuvent aller au bal à coup sûr, sans crainte d'être connues. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Pour moi, je ne suis point de ce nombre-là ; j'aime mieux qu'on me trouve un peu moins jolie, et être un peu plus vraie. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Et que serait-ce donc, madame, s'il vous fallait peler avec de certaines eaux, comme la dernière maîtresse que je servais, qui changeait tous les six mois de peau. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Si je l'ai vu ? C'étoit moi qui faisois l'opération ; elle me faisait prendre la peau de son front, que je tirais de toute ma force ; elle criait comme un beau diable, et moi je riais comme une folle ; il me semblait habiller un levraut : mais ce qui est de meilleur, c'est qu'elle portait toujours sur elle, dans une boîte, la peau de son dernier visage calcinée, et disait qu'il n'y avait rien de si bon pour les élevures et les bourgeons. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
Mademoiselle, voilà un homme qui demande à vous parler. (Acte 1, scène 6, UN-LAQUAIS)
Je crois, mademoiselle, que vous n'avez pas l'honneur de me connaître ; mais quand vous saurez que je m'appelle Monsieur De La Gavotte, sieur de Trotenville, vous devinerez aisément que je suis maître à danser. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Vous mettez ma modestie hors de cadence ; et quand on n'a, comme moi, qu'un mérite léger et cabriolant, pour peu qu'on l'élève par des louanges un peu fortes, il court risque, en tombant, de se casser le cou. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Pour de l'esprit, mademoiselle, les gens de notre profession en regorgent. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Car la moitié du Mercure n'est remplie que des noms de ceux qui les devinent. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Moi, de l'opéra ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Moi ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Vous moquez-vous de moi ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
C'est une fureur, mademoiselle, et toutes les coquettes s'en plaignent hautement, et disent que l'opéra leur enlève les meilleures pratiques, et qu'elles sont ruinées de fond en comble. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
Je le crois bien : ces personnes-là ont grande raison ; et si j'étais d'elles, je leur ferais rendre jusqu'à la moindre petite faveur qu'elles auraient reçue. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Ho bien, monsieur, nous la verrons une autre fois ; mais présentement je vous prie de danser un menuet avec moi. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mais avant que de me quitter, je vous prie de me dire combien vous prenez par mois. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
Par mois, madame ! (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
On ne donnait autrefois aux meilleurs maîtres qu'un écu par mois. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Mademoiselle, voilà votre maître à chanter, Monsieur Amilaré-Bécarre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
Ne dirait-on pas que ce serait là un siamois échappé d'un écran ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Voyez-vous, mademoiselle, je ne suis point de ces gens qui louent à plein tuyau. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Un homme comme moi, qui a été toute sa vie nourri de dièses et de bémols, est diablement délicat en musique. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
Et moi, monsieur, je n'y chante jamais. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
À moi ! (Acte 1, scène 8, AMILARE)
Tiens-toi un peu en repos, et laisse-moi rêver au moyen de t'introduire chez Monsieur Sotinet, pour rendre cette lettre à Isabelle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
J'aurai Colombine, au moins. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Laissez-moi en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Laisse-moi songer en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
Donnez-moi le pot-de-chambre. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Je ne vois ici que des marchands qui apportent des parties, ou des maîtres qui demandent des mois. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Sachez, s'il vous plaît, monsieur, qu'un homme comme vous, qui a épousé une fille de qualité comme moi, est trop heureux quand elle veut bien s'abaisser à porter son nom. Mon mérite n'est-il pas bien soutenu d'avoir pour piédestal le nom de Monsieur Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Mais j'empêcherai bien que cela ne dure, et je veux que tu sortes tout présentement de chez moi. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Moi ? Je n'en ferai rien. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Pardonnez-moi. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
Je ne veux pas que tu m'aimes, moi ; je veux que tu me haïsses. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
Soutiens-moi. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Madame, je ne sais pas ce que vous faites de cet homme-là ; mais je sais bien, moi, ce que j'en ferais, si j'étais à votre place. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
On se démarie aussi facilement qu'on se marie ; et je savais toujours bien, moi, que tôt ou tard il en fallait venir là ; il n'y avait pas de raison autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Vous en aurez menti, messieurs les maris ; et quand il n'y auroit que moi, j'y brûlerai mes livres, ou cela sera autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Donnez-moi la conduite de cette affaire-là ; vous verrez comme je m'y prendrai. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
Car nous autres chevaliers de Gascogne, nous n'avons jamais connu ni patrimoine, ni revenu. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
Il est vrai que de mémoire d'homme on n'a jamais vu venir une lettre-de-change de ce pays-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
Ces gueux-là sont trop heureux avec moi. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
Deux : un pour monsieur le chevalier, et l'autre pour moi. (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
Parle, mon ami ; mets deux couverts pour moi ; je mangerai bien pour deux personnes. (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
Dites-moi, je vous prie, auroit-on tant d'empressement à lire l'histoire galante de certaines femmes, si une séparation ne les avait rendues célèbres ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
Je conviens, avec toi, qu'il y a beaucoup d'honnêtes femmes qui sont lasses de leur métier et de leur mari ; mais, du moins, elles n'en instruisent pas la ville par la bouche d'un avocat, et ne se font point déclarer fieffées coquettes par arrêt de la cour. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
Laissez-moi faire ; j'ai une peste de tête... (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
Allons, viens ; suis-moi : je te dirai ce qu'il faut que tu fasses. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
C'était moi qui recousais les sacs et les étiquettes. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Voici la dernière fourberie que tu feras : il faut que tu plaides la cause de Mademoiselle Isabelle devant le dieu de l'Hyménée. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
D'abord, tu commenceras ton plaidoyer en disant : messieurs, je parle pour Mademoiselle Isabelle, contre son mari, qui est un débauché, un puant, un fou, et autres choses semblables. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
Laisse-moi faire, pourvu que les saucisses marchent... (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
Je ne suis pas surpris, messieurs, de voir à ce nouveau tribunal une femme qui veut secouer le joug d'un mari ; mais je m'étonne de n'y pas voir avec elle la moitié des femmes de Paris. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Oui, oui, messieurs ; quand je dis que voilà la dot de la Dame Sotinet, je n'avance rien que de véritable ; mais ne croyez pas que, parcequ'elle n'a rien eu en mariage, elle en dépense moins en se mariant. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Messieurs, je parle pour Damoiselle Zorobabel de Roqueventrousse, demanderesse en séparation, contre Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, ci-devant laquais, et défendeur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Il a porté plus de trois mois un emplâtre sur le nez, d'un coup de chandelier que sa femme lui a donné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
Moi, fou ! (Acte 3, scène 6, SOTINET)
On n'a qu'à lire les dépositions des témoins, on verra qu'on l'a encore vu aujourd'hui courir les rues à pied, la barbe faite d'un côté, et le bassin passé à son cou. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
Moi, enfermé ! (Acte 3, scène 6, SOTINET)
Moi, à Saint-Lazare ! (Acte 3, scène 6, SOTINET)
Monsieur L'Hyménée, ce n'est pas tout : vous venez de défaire un mariage ; mais il s'agit d'en refaire un autre entre Colombine et moi. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)

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LE CARNAVAL DE VENISE (1699)

Je prétends m'employer moi-même. v.33 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
Et dans le temple de Mémoire v.66 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR, UN SUIVANT MUSIQUE, UN SUIVANT DANSE)
Faire au champ de l'Amour les moissons les plus belles ; v.70 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
Mille exploits éclatants consacrent sa mémoire ; v.76 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
Mille exploits éclatants consacrent sa mémoire ; v.81 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
Que son coeur avec moi partage. v.127 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
Apprenez-moi le nom de cet amant fidèle. v.134 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
Nommez-moi cet objet de votre amour nouvelle. v.135 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
Pour une autre que moi soupire ? v.144 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Que tu brûlais pour moi d'une sincère ardeur ? v.146 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
Brûlerez-vous pour moi d'une flamme sincère ? v.266 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
Nommez-moi seulement le rival qui m'offense, v.298 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
Quel autre a plus d'encens que moi ? v.332 (Acte 3, scène 3, LA-FORTUNE)
Que, sans moi, l'on attend toujours. v.340 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
Souffrez du moins que je vous trouve aimable. v.428 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
Je veux vous adorer malgré moi, malgré vous ; v.429 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
Dites que vous m'aimez, trompez-moi, j'y consens ; v.439 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
Et tu crains avec moi v.452 (Acte 3, scène 9, RODOLPHE)
Sur ce traître ou sur moi fais voler ses éclats, v.489 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
Cruel, dis-moi quel est son crime. v.493 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
Si l'ingrate l'apprend d'un autre que de moi. v.517 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
Le jour est pour moi désormais v.555 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Quand tu descends pour moi dans la nuit éternelle, v.567 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
Quoi ! Vous mouriez pour moi ! Dieux ! Quelle barbarie v.578 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
Aimez-moi, tout vous y convie : v.595 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
Lorsque pour moi l'amour vous fait revivre, v.605 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
Rends-moi cet objet plein d'appas, v.636 (Acte 5, scène 2, ORPHÉE)
Ou, par pitié, donne-moi le trépas. v.637 (Acte 5, scène 2, ORPH?E)

SAPOR (1704)

Que veux-tu que j'attende ? Hélas ! Parle, dis-moi, v.87 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
Sur moi tout l'univers confondra sa fureur ! v.104 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
La victime, du moins, sera digne de vous. v.260 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
Moi, j'irai mériter, par un lâche attentat, v.335 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
D'un prince qui pour moi prodiguant ses faveurs... v.339 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
Laissez du moins au meurtre accoutumer ma main ; v.344 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
Laissez-moi m'essayer sur de moindres victimes, v.345 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
Non, non, je ne crains plus d'ennemis que moi-même : v.373 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
Je veux me fuir moi-même, et ne puis m'éviter. v.396 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
J'aime cependant, j'aime ; et, malgré moi, mon âme v.421 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
Je serais plus heureux, si je le savais moins. v.452 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Des moissons de lauriers, votre rang, vos vertus, v.463 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
On me l'a confié, j'en rends compte à moi-même : v.482 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
Qu'on s'en rapporte à moi ; la gloire des Romains v.483 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
Marquaient partout mes pas et volaient devant moi : v.532 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
Votre cour me hait moins que le mien ne vous aime. v.558 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
À moi, seigneur ! À moi ! Songez... v.561 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Une mère, avant moi, formant ces noeuds si doux, v.587 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
Dans nies yeux indiscrets malgré moi se déploie ; v.594 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Mes fers sont à mon bras moins pesants que les siens ; v.604 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
Que, prodiguant pour moi son sang avec sa vie, v.649 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
Moi, j'irais, me couvrant d'une honte éternelle, v.673 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
Daignent pour moi s'ouvrir et répandre des larmes ! v.686 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Pour moi vous préférez la honte de vos fers v.687 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Pour s'échapper de moi n'attend plus qu'un soupir ! v.715 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Je crains pour moi, pour vous ; et lorsque je vous vois, v.735 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
Moi, ne vous plus aimer ! Ma tendresse offensée v.749 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Moi, ne vous plus aimer ! Et quel affreux démon v.751 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
Permettez-moi du moins de garder mon amour. v.756 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
J'aurais été témoin de vos ardents discours. v.779 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
Qu'aucun autre que moi ne doit plus y prétendre ? v.789 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
Mais du moins peu jaloux. v.832 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
Prince, si vous l'étiez, vous seriez moins à plaindre. v.833 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
Et qu'enfin aujourd'hui c'est moi que vous aimez. v.864 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
C'est pour moi, je l'avoue, une faible victoire ; v.893 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
Votre bouche est pour moi, votre cour est pour lui. v.896 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
Ce bruit de bouche en bouche est jusqu'à moi venu, v.903 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
Est-ce moi qui t'appris à trahir en un jour v.927 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
Réponds-moi ; parle. v.929 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
Dieux cruels, voyez-moi, suis-je assez confondue ? v.958 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
Mes yeux seront témoins... v.961 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
J'immole mon amour, je m'immole moi-même ; v.966 (Acte 3, scène 5, ISMÈNE)
D'un indigne attentat sauvons notre mémoire ; v.973 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
Je les dois à l'amour moins qu'à la jalousie. v.1002 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
Tout ce que vous voyez, ne se fait pas pour moi. v.1012 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
Je vous écoute moins que mes transports jaloux ; v.1019 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
Je me dérobe au jour ; je me cache à moi-même ; v.1042 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
Me reproche mon crime et s'arme contre moi. v.1044 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Viens, Théone, suis-moi. Mais quelle erreur m'emporte ! v.1061 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
Enfin le ciel, madame, à mes voeux moins contraire, v.1089 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Jetez les yeux sur moi. Quel sombre ennui vous presse ? v.1102 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Qui ne peut être à moi ! Ciel ! Que viens-je d'entendre ? v.1125 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Quelle secrète horreur dans moi va se répandre ! v.1126 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Qui ne peut être à moi ! C'en est donc fait, madame ? v.1129 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Vous oublieriez pour moi le trône et ses grandeurs ? v.1148 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Vous le savez, vos yeux sont des témoins fidèles : v.1206 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Ô ciel ! Tu me devais un destin moins barbare. v.1213 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Pour ne me plus aimer, êtes-vous moins aimable ? v.1218 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
Il n'est plus de témoins pour nous la reprocher. v.1252 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Quand, de vos cruautés mettant puni moi-même, v.1274 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Pour un nouvel amant plus que pour moi fidèle ? v.1282 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Quel autre mieux que moi punirait cet outrage ? v.1285 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
Par pitié, pour le moins, que ne me laissait-elle v.1301 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Avecque plus d'amour et moins d'ignominie. v.1306 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Ma fille, vous et moi, nous serions tous péris, v.1320 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
Craignaient d'en trop apprendre à des témoins perfides : v.1346 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
Il ne te reste plus contre moi qu'un seul trait ; v.1359 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
Dans le temps que pour moi votre tendresse éclate, v.1399 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Dans ce moment pourtant, vos yeux en sont témoins, v.1401 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
J'étais plus malheureux, je n'en aimais pas moins ; v.1402 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Et, n'accusant que moi d'une fausse inconstance, v.1403 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Laissez-moi présenter une moins chère tête. v.1416 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
Moi. v.1422 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
Non, laissez-moi, madame, achever mon ouvrage : v.1431 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Moi seul j'espère tout du feu de mon courage ; v.1432 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
Il n'est point criminel ; c'est moi qui dois périr. v.1461 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
Vient de t'y voir encor : c'est un crime pour moi v.1469 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
M'unir à toi du moins dans le sein du trépas : v.1482 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
Laissez-moi l'arracher à des mains parricides, v.1484 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
Ce n'est donc que pour moi qu'on devient pitoyable : v.1487 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
Détournez sur moi seule un coup qui le menace ; v.1492 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
Nous pourrions, vous et moi, l'en haïr un peu moins, v.1498 (Acte 5, scène 4, ZÉNOBIE)
L'empereur vous l'ordonne, allez, j'y cours moi-même. v.1511 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
Quelle raison près de moi te rappelle ? v.1515 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
Je n'ose t'approcher pour te percer moi-même ; v.1564 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
Si tu m'aimes, suis-moi dans le séjour affreux ; v.1573 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
C'est moi, c'est ma fureur qui lui mit dans la main v.1585 (Acte 5, scène 6, ZÉNOBIE)

ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)

Cela est vrai, monsieur, c'est moi qui l'ai repêchée. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
Dis-moi donc présentement ce que nous venons faire ici, et pourquoi on nous a fait déménager aussi vite que si nous avions dix commissaires à nos trousses. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
Qu'une coquette soit décriée, que sa conduite soit la plus raboteuse du inonde, elle n'a qu'à changer de quartier, ne plus voir d'hommes, et prendre une pincée de ma poudre dans un bouillon, en trois mois elle fera assaut de vertu avec les plus vestales. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
J'en ai un pour le moins aussi beau. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Tu sais bien que, quand je joue de ma lyre, je fais tout venir à moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Fais-toi plutôt maître à chanter ; on te donnera deux louis d'or par mois, et tu trouveras peut-être quelque écolière à qui tu ne déplairas pas ; car voilà la grippe des femmes d'aujourd'hui. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Ne te mets pas en peine ; tu n'auras pas montré trois mois, que tu seras aussi doré que les maîtres à danser. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
Et moi, je vais travailler à ma poudre de bonne réputation. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
À propos, mademoiselle, est-ce vous que j'aime ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Allons, la belle, dites la vérité ; n'est-il pas vrai que vous serez bien aise d'être ma moitié ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Voyez, regardez-moi ; cet air, ce port ; eh ! (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
J'enrage quand je vois ces petits embryons de cour vouloir faire assaut avec moi. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Je suis doux, pacifique, aisé à vivre, l'humeur satinée, veloutée : j'ai vécu six ans avec ma première femme, sans avoir le moindre petit démêlé. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Quand une femme doit mourir, il vaut bien mieux que ce soit de la main de son mari que de celle d'un médecin, qu'il faut bien payer, et qui vous la traînera six mois ou un an. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Moi ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
J'ai couru par toutes les sept parties du monde, et me voilà enfin à vos pieds, ma divine princesse, le coeur en braise, pour vous dire que je me pendrai assurément, si vous n'êtes unie avec moi par le lien conjugal. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Oui, si vous voulez me promettre de m'épouser, je vous promets, moi, de la faire crever dans deux jours comme un vieux mousquet. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Par ma foi, je commence à croire que c'est moi qui l'ai battue. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Sans moi, vous vous seriez battus, et vous voilà les meilleurs amis du monde. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
C'est moi qui ai enrichi les comédiens français ; et il n'y avait point d'hiver que je ne leur donnasse sept ou huit pièces, tant sérieuses que comiques. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
J'ai mis le siècle dans ce goût-là ; et, si vous y prenez garde, depuis moi, tous les auteurs donnent là-dedans. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Et moi je voudrais que les sifflets fussent au diable. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Pour le mettre en crédit, j'avais fait un opéra, moi, qu'on allait jouer quand je mourus. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Que voulez-vous de moi ? (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Suivez-moi : je veux entendre ce compliment-là. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
Ma femme a toujours été diablement coquette : dites-moi, je vous prie, si je ne suis point... (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Montrez-moi votre main ; ah, ah ! (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
J'ai vu autrefois le temps si misérable, qu'il ne venait pas ici le moindre petit griffonneur de sergent, qu'il ne fallût députer un diable tout exprès pour aller le quérir ; et présentement, nous ne sommes employés qu'à les chasser : il faut que les greffiers attendent des années entières à la porte, parce qu'ils ne veulent pas passer devant les conseillers, qui pleuvent ici de toutes parts. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
Oui ; mais vous ne savez pas que, moi qui suis Pluton, je n'ai pas plus de droit en enfer que ces messieurs-là. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
Je veux que vous soyez témoins de ce que je dis, et que Caron apporte devant vous le livre journal des âmes qu'il a passées aujourd'hui. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
Je ne veux plus qu'on en reçoive aucun à l'avenir qu'il n'ait une attestation de service et un certificat des fossoyeurs, comme il a bien et fidèlement exercé sa charge de médecin, et tué pour le moins dix mille personnes à sa part. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
S'il est étonnant de voir un mari chercher sa femme jusqu'aux enfers, il ne l'est pas moins de voir une femme souhaiter avec empressement de retourner avec son mari, quand une fois elle en a été séparée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Pour moi, je ne suis point de celles qui regardent la séparation d'avec un mari comme la porte de leur félicité ; et j'avoue franchement que je suis d'assez mauvais goût pour trouver qu'il n'y a point de bonheur égal à celui de vivre avec un époux que l'on aime et dont on est tendrement aimé. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
Ma mère, mariez-moi, v.7 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je vois bien que nous sommes ici sur le patrimoine des avocats. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Pour moi, je vous déclare que, si heureusement mon mari était mort le premier, j'aurais crié ; je me serais couverte, jusqu'au bout des ongles, d'un deuil où le coeur n'aurait pas eu grande part ; mais loin de le venir trouver aux enfers, je me serais bien donné de garde de le chercher. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Voilà un grand item celui-ci : point de jolies femmes de chambre, c'est-à-dire, que je les choisirai moi-même les plus laides que faire se pourra, et qui auront au moins quarante-cinq ans. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
La la, voyons : j'ai aussi à proposer mes conditions, moi, et voilà des articles que nous ferons signer par des notaires de ce pays-ci ; car je crois qu'il n'y en manque pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Et moi, je ne veux pas sortir. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Une jolie femme comme moi, en tout pays, ne manque point de mari. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
Je prétends à l'avenir que vous baissiez votre rayon d'un grand demi-pied au moins. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je le crois bien ; je m'en contenterais bien, moi qui suis Proserpine. (Acte 1, scène 10, PROSERPINE)
Je veux que vous soyez beaucoup plus sage que par le passé, et que vous promettiez de n'aimer désormais que moi. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je veux que les enfants que j'aurai dans ln suite (car il faut recommencer sur nouveaux frais) soient élevés à ma fantaisie, et j'en disposerai comme de chose à moi appartenante. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Après avoir entendu les raisons des uns et des autres, pour vous défrayer des frais de votre voyage, moi Pluton, prince des ténèbres, souverain du Styx et du Phlégéton, gouverneur des pays-bas, président du sabbat, et correcteur né des arts, métiers et professions, je vous permets non seulement d'emmener chacun votre femme, mais toutes celles qui sont en enfer, sans même en excepter Proserpine. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
Pour moi, je n'en ai que trop de celle-ci ; mais il y a bien des gens qui ne demanderont pas mieux que de troquer avec vous. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,11 % des textes) dans lesquels il y a 1416 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 67,43 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Prologue	Total
1	LA S?R?NADE	53	0	0	0	0	0	53
2	LE JOUEUR	14	26	29	15	25	0	109
3	LES SOUHAITS	26	0	0	0	0	0	26
4	LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES.	16	25	21	0	0	0	62
5	LE BAL	32	0	0	0	0	0	32
6	ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES.	15	23	34	0	0	0	72
7	LES VENDANGES	27	0	0	0	0	0	27
8	DÉMOCRITE	25	25	18	18	20	0	106
9	LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES.	31	32	37	0	0	0	100
10	LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES.	1	9	2	0	0	0	12
11	LE DISTRAIT	0	0	0	0	2	0	2
12	LE DISTRAIT	26	22	21	13	14	0	96
13	LE RETOUR IMPR?VU	39	0	0	0	0	0	39
14	ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME	38	0	0	0	0	0	38
15	ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME	4	0	0	0	0	0	4
16	LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX	0	2	0	0	0	0	2
17	LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX	13	37	32	28	29	0	139
18	LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES.	18	0	0	0	0	0	18
19	LA CRITIQUE DU L?GATAIRE	23	0	0	0	0	0	23
20	LE LÉGATAIRE UNIVERSEL	23	28	26	24	21	0	122
21	LE DIVORCE	43	21	19	0	0	1	84
22	LE CARNAVAL DE VENISE	5	6	7	8	2	0	28
23	SAPOR	7	15	24	21	20	0	87
24	ARLEQUIN AUX ENFERS	46	0	0	0	0	0	46
25	ARLEQUIN AUX ENFERS	1	0	0	0	0	0	1
26	LES FOLIES AMOUREUSES	0	22	41	0	0	20	83
27	ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES.	0	0	5	0	0	0	5
	Total	526	293	316	127	133	21	1416