Occurences de l'expression

vous

pour DUMAS, Alexandre

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DON JUAN DE MARANA (1836)

Vous avez, ô Don Juan, vaincu le mauvais ange ; v.34 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Vous pouvez disposer de son sort aujourd'hui ; v.35 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Dites ce qu'il vous plaît qu'il advienne de lui. » v.36 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Car je sais trop, Seigneur, lorsqu'il vous vient tenter, v.43 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Dieu dit : « Il sera fait comme vous le voulez. » v.55 (Acte 1, scène 1, LE BON ANGE)
Non ; il a entendu vos éclats de rire, et il ne veut pas vous attrister ; il envoie chercher son confesseur Don Mortès. (Acte 1, scène 2, LE DOMESTIQUE)
Si fait ; je te dis que, tel que tu es, Don Juan, maudit et damné d'avance, je t'aime ; et je te dis encore que, si Carolina vient au rendez-vous que tu lui donnes, foi d'Espagnole, je la tuerai. (Acte 1, scène 2, VITTORIA)
Puissent, cette nuit, mes richesses, mes châteaux et mes titres ne pas s'évanouir comme vous !... (Acte 1, scène 3, DON JUAN)
Vous êtes un digne serviteur de Dieu, mon père, toujours prompt à la prière et à la consolation. (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Aussi, n'avons-nous pas douté quand nous vous avons fait mander... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
N'avez-vous pas quelques minutes à me consacrer, mon père ? (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Vous avez connu mon noble père dans sa jeunesse ? (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Vous savez qu'il était d'un caractère... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Vous savez qu'avant d'épouser ma mère, il avait eu de... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Eh bien, mon père, voilà ce dont il est urgent qu'il se repente pour le salut de son âme ; et il se repentira certainement, si un saint homme comme vous lui reproche sa faiblesse pour cet enfant, s'il lui défend de le revoir avant sa mort, et s'il lui présente ce sacrifice comme une expiation de sa faute. (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Comprenez- vous, mon père ?... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Et savez-vous où il est ? (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
À Séville en Andalousie, dans la ville des amours, des sérénades et des fleurs, tandis que son père bien-aimé vous envoie chercher pour se préparer à la mort... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Rassurez-vous, Monseigneur, car je sais, dans ce cas, quelles seraient les intentions de votre frère. (Acte 1, scène 4, DOM MORTÈS)
Il vous les a dites ?... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Il vous a dit, n'est-ce pas, qu'il me laisserait la seigneurie d'Olmedo ou d'Aranda, qui rapportent ensemble cinq cents réaux et vingt-cinq maravédis de rente ? (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Pour cela, vous vous trompez... (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Dieu prenne pitié de vous, Monseigneur ! (Acte 1, scène 4, DOM MORTÈS)
Priez pour vous-même, mon père. (Acte 1, scène 4, DON JUAN)
Du moins, pour rétablir entre vous l'équilibre, v.93 (Acte 1, scène 7, LE BON ANGE)
Dis à un écuyer et à douze hommes d'armes de venir me rejoindre à la maison du parc, où j'ai, ce matin, un rendez-vous avec Carolina. (Acte 1, scène 8, DON JUAN)
Vous êtes folle, Paquita. (Acte 2, scène 1, TERESINA)
Vous êtes à la promenade, un jeune seigneur passe et vous salue ; s'il ne vous convient pas, vous regardez dédaigneusement les dessins ; cela veut dire clairement : « Passez au large, mon beau seigneur, car vous n'obtiendrez rien de nous. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Au lieu de cela, le cavalier qui passe vous plaît-il, oh ! (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Alors, comme vous ne pouvez pas tout de suite lui rendre son salut, vous vous couvrez la figure ainsi, comme si vous ne vouliez pas le voir, et vous le regardez à travers les branches ; cela signifie : « Vous êtes assez de notre goût, mon gentilhomme, et, si votre naissance et votre fortune répondent à votre tournure, on aura peut-être la faiblesse de vous aimer. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Le gentilhomme comprend cela comme si une duègne venait de le lui dire à l'oreille ; dix minutes après, il repasse, et trouve que la señora, en partant, a oublié son éventail sur sa chaise ; il s'approche de l'éventail, le prend, le porte à ses lèvres, et l'éventail lui dit : « Ma maîtresse ne vous voit pas avec indifférence ; rapportez-moi chez elle, car elle serait désolée de me perdre. » (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Vous entendez une sérénade sous votre balcon ; c'est votre éventail qui revient et qui vous dit : « Ma belle maîtresse, je suis aux mains d'un seigneur qui vous aime ; voyez comme il m'embrasse après chaque couplet ; c'est que vos jolies mains m'ont touché ; maintenant, répétez la ritournelle de l'air que la musique vient d'exécuter... (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Ne vous ennuyez pas trop de nous, bientôt nous viendrons vous remercier. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Il entre ; vous examinez son costume, pour voir s'il est riche et de bon goût ; vous regardez son page, pour voir s'il a une livrée ; vous jetez un coup d'oeil sur sa litière, pour voir si elle a des armoiries ; et, s'il est beau, s'il est riche, s'il est noble, vous lui dites : « Je veux trois choses », et il vous les donne !... (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Tenez, ce n'est pas la peine ; entendez-vous ? (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Vous avez parlé trop tard. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Voulez-vous que je la referme ? (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Vous avez raison. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Où pendant une heure, à vous j'ai rêvé, v.130 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
Vous veniez ensuite et l'avez trouvé. v.132 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
Vous avez deux coeurs, et je n'en ai plus ! v.136 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
Et souvent le mal vous conduit au bien. v.138 (Acte 2, scène 1, DON JUAN)
Vous ne pouvez le laisser entre les mains de ce jeune homme, ce serait lui donner des espérances. (Acte 2, scène 1, PAQUITA)
Vous êtes sorcier, Monseigneur ! (Acte 2, scène 2, PAQUITA)
Vous croirai-je sur parole ? (Acte 2, scène 2, PAQUITA)
Je vous crois, Monseigneur. (Acte 2, scène 2, PAQUITA)
Vous vous en allez ? (Acte 2, scène 2, PAQUITA)
Reviendrez-vous ? (Acte 2, scène 2, PAQUITA)
De qui vouliez-vous qu'il me parlât ? (Acte 2, scène 3, PAQUITA)
Que vous étiez belle comme une madone. (Acte 2, scène 3, PAQUITA)
Qu'il vous aimait comme un fou. (Acte 2, scène 3, PAQUITA)
Et qu'il mourrait si vous ne lui ordonniez pas de vivre. (Acte 2, scène 3, PAQUITA)
Elle est pour vous ! (Acte 2, scène 3, PAQUITA)
Vous êtes ma souve raine, et je suis votre esclave ; vous m'avez appelé, je suis venu... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Qu'avez-vous à m'ordonner ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Ce matin, Paquita devait vous les rendre, et, puisque vous voilà... (Acte 2, scène 5, TERESINA)
Il est trop tard, Teresina ; ces bijoux ont une vertu magique : vous les avez touchés, cela suffit, et, s'ils ne vous appartiennent plus, vous leur appartenez encore, vous !... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Vous les remporterez, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 5, TERESINA)
je vous supplie... (Acte 2, scène 5, TERESINA)
Et, quand je les aurai remportés, croyez-vous qu'ils seront moins dangereux absents que présents ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Non, vous les chercherez des yeux ; non, vous porterez la main à votre front et à votre cou, croyant les y trouver ; non, vous les reverrez dans tous vos rêves. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Vous vous êtes assise sous l'arbre de l'orgueil, Teresina, vous vous êtes endormie sous son ombre : c'est celle du mancenillier. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Taisez-vous, taisez-vous ! (Acte 2, scène 5, TERESINA)
Vous ne les avez portés qu'un instant : eh bien, avouez, n'est-ce pas, qu'ils ont bouleversé tout votre être ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
n'est-ce pas qu'ils vous ont, comme une parole magique, ouvert la porte de ces jardins enchantés, aux fleurs d'émeraudes et aux fruits d'or ?... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
N'est-ce pas que vous avez entrevu Madrid, la ville royale, avec ses sérénades, ses fêtes, ses bals, ses spectacles, ses courses au Prado ? (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Vous étiez la plus belle de ces femmes, et toutes les femmes étaient jalouses. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Don Juan, je vous demande grâce !... (Acte 2, scène 5, TERESINA)
Teresina, je vous aime ! (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Je vous aime comme jamais je n'aimai aucune femme, comme jamais vous ne fûtes aimée d'aucun homme. (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Teresina, je suis riche et puissant ; je peux faire de vous quelque chose de pareil à une reine ; Teresina, vous aurez, chaque jour de la semaine, une parure différente de celle-ci ; vous aurez des valets, des pages, des vassaux, des carrosses armoriés... (Acte 2, scène 5, DON JUAN)
Josès, Josès, vous voilà donc ! (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Vous faites un amant bien joyeux d'un fils bien triste, Teresina ! (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
À peine eus-je scellé la porte du tombeau sur le corps de mon noble père, qu'une voix surhumaine murmura votre nom à mon oreille avec des sons d'une tristesse étrange ; je crus que le bon ange de notre famille venait m'avertir que vous couriez quelque danger... (Acte 2, scène 8, DON JOS?S)
Merci, vous ne vous êtes pas trompé, Don Josès ; la voix vous disait vrai, et votre retour m'a sauvée ! (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Non, mon ami, elles m'eussent plutôt protégée, je crois, en faveur de mon amour pour vous. (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Mais je suis femme, Don Josès, vous me pardonnerez, n'est-c e pas ? (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Mais vous voilà, Don Josès !... (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Et je suis forte, car vous ne m'exposerez plus par votre absence, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Comment appelez-vous cet étranger ? (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Teresina, vous êtes un ange... (Acte 2, scène 8, DON JOSÈS)
Paquita, vous avez entendu ce qu'a dit votre maîtresse ; allez avertir le prêtre que nous nous rendons à la chapelle... (Acte 2, scène 8, DON JOS?S)
Vous êtes bon, Monseigneur ! (Acte 2, scène 8, TERESINA)
Il y a... que cet homme vous avait dit qu'il était noble, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 10, DON JUAN)
Qu'il vous donnerait un manteau de cour et une couronne de duchesse, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 10, DON JUAN)
Vous voyez que cet homme est fou, mes maîtres ; emmenez-le ! (Acte 2, scène 10, DON JUAN)
Vous n'attendez pas des secours ? (Acte 2, scène 11, HUSSEIN)
Qui vous a insulté, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Qui vous a enlevé votre maîtresse ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Et qui vous a fait battre de verges ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
À quoi puis-je vous être bon ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Pour qu'il vous fasse arrêter de nouveau par ses hommes d'armes, et conduire au gibet ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Vous avez du courage ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Il faut d'abord que vous soyez reconnu par votre père pour son fils, afin que vous soyez reconnu par votre frère pour gentilhomme. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Vous descendrez dans sa tombe. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
En conjurant une âme au nom de la passion qui l'a animée, l'âme vous entend et remonte de l'enfer, ou redescend du ciel pour animer le corps ; or, l'âme du vieux comte, c'était son amour paternel pour toi ; conjure donc l'âme de ton père au nom de cet amour, et ton père sera forcé de te répondre. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Eh bien, après, ton père signera, mort, ce qu'il aurait dû signer vivant ; et alors, Monseigneur, vous serez le fils légitime du comte de Marana, l'ami de votre frère, le maître de ses biens et de ses vassaux. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Après, eh bien, vous serez ce qu'il est, et vous lui ferez ce qu'il vous a fait, ou autre chose. (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Voulez-vous passer par le chemin le plus court ? (Acte 2, scène 14, LE MAUVAIS ANGE)
Tant vous avez souffert ; v.210 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Vous dont les yeux divins, sur la terre des hommes, v.211 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Vous qui priez pour nous, d'une voix virginale, v.217 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Daignez donc m'écouter, car c'est vous que je prie, v.221 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Vous qui priez pour nous. v.222 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Vous cherchèrent souvent., Je vous connais : vous êtes v.225 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Ni sa mère pour vous. v.230 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Ô Vierge ! Vous savez quel céleste mystère v.231 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Loin de vous et de Dieu. v.234 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Mais, comme vous savez qu'aux voûtes éternelles, v.263 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Et je vous bénirai ; v.268 (Acte 2, scène 15, LE BON ANGE)
Allez, et vous aurez l'avenir de misère v.297 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Allez, vous n'êtes plus rien qu'une pauvre femme, v.299 (Acte 2, scène 15, LA VIERGE)
Savez-vous de qui il est fils ? (Acte 3, scène 1, DON PEDRO)
Certes ; mais vous oubliez de dire de qui il est fils... (Acte 3, scène 1, DON PEDRO)
Or, savez-vous par quel moyen Don Carlos obtint ce fils ? (Acte 3, scène 1, DON PEDRO)
D'abord, il faut que vous sachiez que le vin favori de Don Juan est le porto. (Acte 3, scène 3, SANDOVAL)
Vous vous trompez, señor : il préfère le valdepeñas. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Vous êtes dans l'erreur, mon maître : il en avait vidé quatre. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
On vous a mal rapporté la chose, mon cavalier : c'était sur la rive droite. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Si vous savez l'histoire mieux que je ne la sais, il faut la raconter. (Acte 3, scène 3, SANDOVAL)
Voulez-vous dire que ce n'est point ainsi que la chose s'est passée ? (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
Je vous préviens que cette place est retenue. (Acte 3, scène 3, DON PEDRO)
Vous êtes étranger, sans doute ? (Acte 3, scène 3, DON PEDRO)
Alors, vous ne connaissez pas Don Luis-de-Sandoval ? (Acte 3, scène 3, DON PEDRO)
Et vous vous exposez ?... (Acte 3, scène 3, DON PEDRO)
Vous êtes assis à cette place... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous le voyez. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Peut-être ne savez-vous pas qui je suis ?... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Et vous vous êtes assis à la place de Don Luis-de-Sandoval, sachant qu'elle était à Don Luis-de-Sandoval ?... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Alors, vous êtes Don Juan de Marana. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Touchez là, mon cavalier, vous avez trouvé votre homme. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Car il y a longtemps que je désire vous rencontrer. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
De sorte que je vous hais. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
On vous dit brave cavalier ? (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous voyez que l'échelle sociale est parcourue, et que chaque classe m'a fourni son contingent. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Messieurs, j'engage devant vous ma foi de gentilhomme qu'avant huit jours cette lacune sera remplie. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Vous préférez ?... (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Voyons si vous aurez le même bonheur à un autre jeu. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Êtes-vous déjà las de celui-ci ? (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Vous êtes fou, Don Juan ! (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous ne le direz pas. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous avez assez de ces joujoux ? (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Ils vous portent malheur. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Celui qui a dit le premier que vous étiez beau joueur a dit vrai, et je suis fâché de ne pas vous avoir rencontré hier. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Que lui dites-vous ? (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Vous le lui remettrez vous-même. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
« Madame, je vous ai jouée et je vous ai perdue ; vous appartenez maintenant au seigneur Don Juan de Marana, à qui je cède tous mes droits sur vous ; j'espère que vous ferez honneur à ma signature. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Maintenant, seigneur Don Juan, écoutez un avis qu'il est de mon honneur de vous donner : Doña-Inès, Comtesse_d'Almeida, est une véritable Espagnole, hautaine et jalouse, portant toujours un poignard de Tolède à sa jarretière, et une fiole de poison à sa ceinture ; gardez-vous de l'un et de l'autre. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Merci ; mais, à mon tour, un mot, seigneur Don Luis : votre dernier enjeu valait mieux que tout ce que j'aurais pu mettre contre lui ; reprenez donc, je vous prie, cette bourse et cette agrafe ; quant au manoir de vos pères, je suis un fils trop pieux pour vous en déshériter. (Acte 3, scène 4, DON JUAN)
Mon château d'Almonacil est à vous, Don Fabrique. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Messieurs, vous attesterez que je le lui ai vendu. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Vous êtes un magnifique seigneur, Don Luis. (Acte 3, scène 4, DON FABRIQUE)
Je m'y réserve six pieds de terre dans le caveau de mes ancêtres ; le reste est à vous. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Don Juan, je commence à croire que vous serez aussi heureux à l'épée que vous l'avez été aux cartes et aux dés. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
Je m'en souviens, moi : Don Juan, vous me trouverez toute la nuit au Prado ; ce n'est qu'à deux pas d'ici, comme vous savez. (Acte 3, scène 4, SANDOVAL)
vous êtes vraiment un noble cavalier, et nous surveillerons Doña-Inès. (Acte 3, scène 5, DON JUAN)
Que vous est-il arrivé ? (Acte 3, scène , INÈS)
Qu'avez-vous, Don Luis ? (Acte 3, scène , IN?S)
Seriez-vous blessé ? (Acte 3, scène , IN?S)
Qui êtes-vous ? (Acte 3, scène , IN?S)
Que me voulez-vous ? (Acte 3, scène , IN?S)
Mais pourquoi lui au Prado, et vous ici ? (Acte 3, scène , INÈS)
Tout vous sera expliqué par cette lettre, Madame. (Acte 3, scène , DON JUAN)
Ne voyez-vous pas que je meurs d'impatience ? (Acte 3, scène , INÈS)
Ne reconnaissez-vous point son écriture ? (Acte 3, scène , DON JUAN)
Mais je ne vous aime pas, moi. (Acte 3, scène , INÈS)
Si vous haïssez Sandoval, cela revient au même. (Acte 3, scène , DON JUAN)
Vous avez d'autres lettres de lui, comparez. (Acte 3, scène , DON JUAN)
Voilà bien sa signature, la même qu'il ose mettre au bas de la première lettre où il me dit : « Doña Inès, vous êtes belle ; Doña-Inès, je vous aime. (Acte 3, scène , INÈS)
Maintenant, le haïssez-vous, madame ? (Acte 3, scène , DON JUAN)
Vous êtes noble ? (Acte 3, scène , INÈS)
Vous êtes brave ? (Acte 3, scène , INÈS)
Et vous vous nommez ? (Acte 3, scène , INÈS)
c'est bien ; mais vous qui m'avez achetée, vous ne saviez sans doute pas que j'avais fait un serment ? (Acte 3, scène , INÈS)
Vous voyez donc bien qu'il faut qu'il meure pour que je puisse être à vous. (Acte 3, scène , INÈS)
C'est bien vrai, au moins, ce que vous m'avez dit ? (Acte 3, scène , INÈS)
Et vous m'attendrez ici ? (Acte 3, scène , DON JUAN)
Je soupe chez vous avec ce gentilhomme... (Acte 3, scène , INÈS)
Ou, si mieux vous aimez, prenez la clef et enfermez-moi !... (Acte 3, scène , IN?S)
Fermez les yeux, sainte mère du Christ, vous qui n'êtes qu'indulgence et charité, car une oeuvre de vengeance va s'accomplir. (Acte 3, scène 7, INÈS)
Vous êtes libre, Inès !... (Acte 3, scène 8, DON JUAN)
Alors, madame, vous avez vu choir un noble gentilhomme. (Acte 3, scène 8, DON JUAN)
Où allez-vous ? (Acte 3, scène 8, DON JUAN)
Vous avez raison, sur mon âme !... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
et vous êtes une noble Espagnole, et vous êtes belle, et je vous aime ! (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
je vous aime ! (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Vous avez raison, la vie est si étrangement courte, qu'il faut mettre à profit ses heures, ses minutes, ses secondes... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Vous avez raison, nous ne sommes point ici pour nous souvenir du passé, nous y sommes pour jouir du présent... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Asseyez-vous... (Acte 3, scène 10, )
« Don Juan, me disait Sandoval en expirant, ne buvez jamais le vin versé par une maîtresse qui ne vous aime plus, ou qui ne vous aime pas encore, si cette maîtresse ne goûte pas le vin la première. » (Acte 3, scène 10, )
C'était un homme d'un grand sens que Sandoval ; qu'en dites-vous, Madame ? (Acte 3, scène 10, )
Avez-vous des commissions pour ce monde, Madame ? (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
J'étais embarrassé de trouver un prétexte pour entrer dans une de ces saintes maisons, et vous me le donnez... (Acte 3, scène 10, DON JUAN)
Pardon, maître, si je vous ai quitté un instant, mais j'étais impérieusement rappelé à Madrid pour souffler un mauvais conseil à votre frère. (Acte 11, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Mais, si pressé que vous soyez, permettez que je vous offre ce diamant : regardez son eau, pesez sa lourdeur, et, lorsque vous serez de retour sur la terre, brisez-le en trois morceaux, et, avec chacun d'eux, vous achèterez, si vous voulez, la sultane de Soliman, la maîtresse de François Ier, et la femme de Henri VIII. (Acte 11, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
La porte, vous m'avez demandé le chemin le plus court ; elle est de l'autre côté. (Acte 11, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
N'est-ce que cela qui vous inquiète ? (Acte 11, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Passez, Monseigneur ; quant à moi, je vous attends ici, j'aime autant ne pas me hasarder en terre sainte. (Acte 11, scène 1, LE MAUVAIS ANGE)
Mais vous savez ce qui est arrivé, mon père ; eh bien, s'il est vrai que vous ayez aimé ma mère d'un amour conjugal ; s'il est vrai qu'elle fut toujours pure et que je suis votre fils aîné ; s'il est vrai qu'au moment de mourir vous vouliez me reconnaître pour l'héritier de votre nom ; si ce parchemin que je vous apporte est l'expression de votre volonté ; s'il est écrit de votre main, s'il est scellé de votre sceau, s'il n'y manque que votre signature, si la mort seule a fait tomber la plume de vos doigts, par l'amour de l'amant, par l'honneur du chevalier, par le coeur du père, je vous adjure, entendez-vous ? (Acte 11, scène 2, DON JOSÈS)
votre fils bien-aimé sur le sein duquel vous avez rendu le dernier soupir ; votre fils au désespoir vous adjure de demander à Dieu, comme unique récompense de votre noble vie, qu'il délie les chaînes glacées qui vous attachent au cercueil, afin que vous vous souleviez sur votre tombe, et mettiez votre signature au bas de cet acte. (Acte 11, scène 2, DON JOS?S)
Eh bien, vous ne m'attendez pas, Monseigneur ? (Acte 11, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Mais, moi, j'ai encore besoin de vous, maître ! (Acte 11, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Mon révérend, pourriez-vous me dire laquelle de ces jeunes filles est soeur Marthe ? (Acte 4, scène 1, DON JUAN)
Dieu soit avec vous, soeur Marthe ! (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Merci, mon frère ; mais d'où savez-vous mon nom ? (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Je l'ai appris d'une personne qui vous était bien chère ; et, comme sa voix mourante n'aurait pu le répéter une seconde fois, je l'ai retenu à la première. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Vous connaissiez ma soeur Inès ? (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Soyez béni, vous qui avez connu ma soeur ! (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Mais ne voulez-vous pas entendre ses dernières paroles ? (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
« Don Juan, m'a-t-elle dit, allez trouver ma soeur au couvent de Notre-Dame du Rosaire ; dites-lui qu'un cavalier m'avait insultée, et que vous m'avez vengée ; mais ajoutez que je n'ai pas voulu survivre à cette insulte, et annoncez-lui qu'elle est maintenant la seule héritière de mon bien et de mon titre. » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Et comptez-vous pour rien le sacrifice de vos quinze ans, d'un coeur qui n'avait pas encore battu, et d'une beauté qui rendrait le roi jaloux de Dieu ? (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Elle me dit donc : « Don Juan, vous êtes un cavalier loyal, un ami sincère, un homme pieux, incapable d'égarer une jeune âme comme celle de ma soeur ; dites-lui donc en mon nom que, si elle se sent une vocation réelle pour la vie monastique... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
« Mais que, si, au contraire, le monde qu'elle a quitté lui est resté présent avec toutes ses promesses, tous ses enchantements, tous ses délices ; que, si son cloître lui paraît désert, sa cellule étroite, sa vie désenchantée, elle vous confie, à vous, mon ami, qui êtes instruit en matière de religion, ses ennuis, ses doutes, son espoir ; alors vous la conseillerez, n'est-ce pas ? » (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Eh bien, Marthe, au nom de votre soeur, votre frère vous interroge ; voyons. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
C'est le besoin d'aimer et d'être aimée ; ce sont les battements d'un coeur de dix-huit ans plein de sang espagnol ; c'est la perception encore vague de ces émotions délicieuses que l'amour éveillera plus tard dans votre âme ; ce sont des pressentiments d'un bonheur à venir qui vous semblent des souvenirs perdus d'un bonheur passé. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Ces paroles étranges, c'est la voix du monde qui vous appelle ; elle vous dit : « Marthe, on m'a calomnié à tes yeux ; je ne suis point tel que l'on m'a peint à toi, plein de séductions trompeuses et infernales ; je ne suis point le chemin de perdition qui conduit au royaume de Satan : je suis un jardin de délices où la beauté est reine et commande. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Et, parmi ces visions bizarres, ne passe-t-il point parfois un jeune cavalier qui s'approche de vous et qui vous dit : « Marthe, ma bien-aimée, je t'ai vue depuis que ma jeunesse a des songes d'amour... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Par quelle magie devinez-vous ainsi mes plus secrètes pensées ?... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
qui vous a dit qu'il venait les visiter ?... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Si vous ne me devinez pas, je suis bien malheureux. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Je vous ai reconnue, moi... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
À l'instant où je vous vis, je me suis dit : « Celle que je cherche, la voilà !... (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Car vous avez passé dans mes nuits comme j'ai passé dans les vôtres, et, si j'ai éclairé votre sommeil, vous avez brûlé le mien. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Mais c'est étrange, ce que je vais vous dire. (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Je ne vous avais jamais rencontré avant aujourd'hui, non, j'en suis sûre ; eh bien, cependant je vous ai reconnu ; il m'a semblé vous avoir vu déjà dans un autre monde, sinon dans celui-ci... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Vous avez parlé, le son de votre voix m'a fait tressaillir et m'a inondée d'une mélodie familière à mon oreille ! (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Vous avez dit votre nom, Don Juan, ce nom... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Car il y a un voile entre mon corps et mon âme, car il me semble que j'obéis, en ce moment même, malgré moi, à un pouvoir surhumain qui me pousse vers vous, qui fait renaître d'anciennes pensées dans mon esprit, qui arrache du plus profond de mon coeur des paroles qui y dormaient oubliées... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Ici, dans votre église, dans votre maison sainte, j'allais lui dire : « Don Juan, je vous aime ! » (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Oubliez-vous que je suis liée par des voeux éternels ? (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Oubliez-vous qu'il y a un homme qui peut vous relever de ces voeux ? (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Vous fuirez. (Acte 4, scène 2, DON JUAN)
Vous m'avez engagé votre foi devant Dieu, Dieu a entendu votre serment, et cela suffit. (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Mais vous, vous retrouverai-je ? (Acte 4, scène 2, MARTHE)
Car, si je ne vous retrouve pas, je mourrai !... (Acte 4, scène 2, MARTHE)
D'ailleurs, vous avez contracté certain engagement avec moi, et vous êtes morte sans l'acquitter... (Acte 4, scène 4, DON JUAN)
Vous m'avez aidé en bonne chrétienne, je ne l'oublierai pas, et maintenant je vous dois, non-seulement des prières, mais encore des remerciements, et, si je savais laquelle parmi toutes ces tombes est la vôtre... (Acte 4, scène 4, DON JUAN)
Comme j'allais au rendez-vous que Don Juan m'avait donné, j'ai rencontré une rivale sur mon chemin ; elle m'a poignardée en me disant : « Carolina, c'est Don Juan qui te tue !... » (Acte 4, scène 4, CAROLINA)
Don Juan, me voilà ; je suis prête à vous suivre... (Acte 4, scène 5, MARTHE)
Don Juan, où êtes-vous ? (Acte 4, scène 5, MARTHE)
Soeur Marthe, souvenez-vous qu'il faut mourir !... (Acte 4, scène 5, DON JUAN)
Que faites-vous ici ? (Acte 5, scène 1, DON SANCHEZ)
Vous le voyez, mon père, j'accomplis une des règles de notre ordre saint, je creuse ma propre tombe. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
Je vous ai cherché dans votre cellule. (Acte 5, scène 1, DON SANCHEZ)
Vous dormiez. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
Miroir... de pureté, vous qui priez pour nous. v.310 (Acte 5, scène 3, MARTHE)
Je suis prêt à vous le rendre, Monseigneur. (Acte 5, scène 4, DON JUAN)
Que voulez-vous ? (Acte 5, scène 4, DON JUAN)
C'est vous, Ursule... (Acte 6, scène 1, MARTHE)
Vous me reconnaissez ? (Acte 6, scène 1, URSULE)
Et vous vous êtes sauvée ; vous avez quitté le couvent, vous avez erré par les plaines et par les montagnes, exposée à la chaleur du jour, au vent de la nuit... (Acte 6, scène 1, URSULE)
Vous ne nous donnerez plus de semblables inquiétudes, n'est-ce pas ? (Acte 6, scène 1, URSULE)
Ne vous pressez pas trop, ma soeur ; car Dieu m'a rendue à la raison et non à la vie, il m'a repris ma folie et non mon amour... (Acte 6, scène 1, MARTHE)
Courez, je vous prie, chercher notre saint directeur, et dites-lui qu'une mourante réclame son ministère. (Acte 6, scène 1, MARTHE)
Allons, il paraît que vous avez tout pouvoir en ces lieux, ma belle châtelaine ?... (Acte 7, scène 1, DON JUAN)
Vous jurez de venir m'y rejoindre, Marthe ? (Acte 7, scène 1, DON JUAN)
Il vous faut de joyeux convives, v.342 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Il vous faut des lumières vives... v.343 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Allumez-vous donc, feux d'enfer ! v.344 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Et vous, morts, reprenez la vie v.345 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Qui vous fut lâchement ravie v.346 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Sa voix vous parle par ma bouche : v.362 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Levez-vous de la froide couche v.363 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Où le ver du cercueil vous mord ; v.364 (Acte 7, scène 2, LE MAUVAIS ANGE)
Que faut-il que je vous serve, Monseigneur ? (Acte 7, scène 3, UN SERVITEUR)
Seigneur, Seigneur, vous l'avez entendu ! (Acte 7, scène 4, MARTHE)

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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 266 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 266,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 11	Acte 4	Acte 5	Acte 6	Acte 7	Total
1	DON JUAN DE MARANA	20	69	81	9	39	6	6	4	234
2	DON JUAN DE MARANA	6	17	0	0	0	1	0	8	32
	Total	26	86	81	9	39	7	6	12	266