Occurences de l'expression

pas

pour DUMANIANT, Antoine-Jean Bourlin dit

Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse

HENRI ET PERRINE (1801)

N'étais-je pas ce que je suis il y a huit jours ? (Acte 1, scène 1, HENRI)
Il me prend la fantaisie d'endosser un bel habit, qui ne m'appartient pas ; je m'étale dans un bon carrosse, quand ma place est marquée derrière : eh bien ! (Acte 1, scène 1, HENRI)
Mon pauvre, Henri, si les autres te méconnaissent, ne te méconnais pas toi-même. (Acte 1, scène 1, HENRI)
N'est-ce pas Mascarille, mon camarade ? (Acte 1, scène 1, HENRI)
Je ne souffrirai pas qu'avec les habits de mon maître, tu lui voles son nom. (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
Voilà comme le monde juge, et les trois quarts du temps le monde n'a pas le sens commun. (Acte 1, scène 2, HENRI)
D'abord, je ne connais pas la personne que mon maître doit épouser, son nom, son état, sa condition, sa fortune ; tout cela est un mystère dont il n'a pas jugé à propos de me faire part. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Ce n'est pas à moi à faire le difficile sur les qualités ; elle me veut, je la prends, et tout finit par-là. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Aurais-je pu lui dire que les ressorts de son carrosse étaient bons, si je n'en eusse pas fait l'épreuve ? (Acte 1, scène 2, HENRI)
Ma conduite n'a rien de répréhensible, et je ne crains pas du tout que mon maître m'en fasse de reproches. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Une dame qui reste là vis-à-vis, maîtresse de sa personne, de sa fortune, de ses actions, me trouve à son goût, me fait des mines : j'y réponds. Elle m'agace, je suis poli ; elle me rencontre ; j'y la salue ; elle s'approche, je ne la fuis pas, pouvais-je en conscience lui faire un crime des sentiments qu'elle a pour moi ? (Acte 1, scène 2, HENRI)
Il est vrai qu'elle croit que je me nomme Dercour ; mais ce n'est pas moi qui le lui ai dit. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Le nom ne fait rien à l'affaire, et je crois sans l'offenser qu'elle ne fait pas sa une méchante emplette. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Si tu n'es pas bien coupable, tu n'es pas non plus tout-à-fait pur. (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
Si l'on était si vétilleux dans le monde, on ne verrait pas une seule fortune se faire. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Je ne veux pas que tu dises un seul mensonge. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Il n'y a pas un moment à perdre: je vois sortir la suivante de mon adorable Éléonore, remets lui ce billet amoureux pour ma dulcinée ; je me montrerai en cuisine. Ce billet doit produire une effet magnifique ; je l'ai composé moi-même, et j'y ai mis tout mon talent. (Acte 1, scène 2, HENRI)
Je n'ai pas l'honneur de vous connaître. (Acte 1, scène 3, JEANNETTE)
Je ne m'en suis pas aperçue jusqu'à présent. (Acte 1, scène 3, JEANNETTE)
C'est que vous ne le connaissez pas encore. (Acte 1, scène 3, MASCARILLE)
Des terres en campagne, des maisons en ville, et un porte-feuille qui ne renferme pas un seul effet véreux. (Acte 1, scène 3, MASCARILLE)
Ce que je viens de vous apprendre paraît ne pas vous affliger. (Acte 1, scène 3, JEANNETTE)
Ne me devinez-vous pas ? (Acte 1, scène 3, MASCARILLE)
Passons-le donc bien vite. (Acte 1, scène 3, MASCARILLE)
Elle n'est pas aussi brillante que la tienne, mais je suis contente. (Acte 1, scène 4, JEANNETTE)
Son valet m'a fait le plus bel étalage de sa fortune ; et moi, pour gagner ce que tu m'as promis, je t'ai fait passer pour une riche héritière, et cela sans charger ma conscience. (Acte 1, scène 4, JEANNETTE)
On est rebattu de cela et puis, s'il faut en convenir, je ne lis pas très bien l'écriture. (Acte 1, scène 4, PERRINE)
Le croirais-tu, je ne trouve pas à Dercour cette gentillesse, cette aisance que j'admire dans les jeunes gens de Paris. (Acte 1, scène 4, PERRINE)
Ne connais-tu pas la gaieté d'Éléonore, sa vivacité, son enjouement ? (Acte 1, scène 4, PERRINE)
Ne sais-tu pas qu'elle aime à rire aux dépens de tous les sots ? (Acte 1, scène 4, PERRINE)
Je le crois trop désintéressé pour me faire un crime de n'avoir pas de bien. (Acte 1, scène 4, PERRINE)
N'en est-ce pas un que de promettre d'aimer son mari et de tenir parole ? (Acte 1, scène 4, PERRINE)
L'inquiétude me tourmente : je sèche, je meurs, et j'aurais déjà cessé de vivre, si je n'avais pas une si robuste constitution. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Cela ne doit pas vous étonner, j'ai été singulièrement bien élevé. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Je n'aime pas ces styles entortillés où l'on a besoin d'un commentaire pour expliquer la pensée de l'auteur. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Si je n'avais pas été certaine de la pureté de vos intentions, je ne vous aurais pas mis dans le cas de m'écrire de la sorte. (Acte 1, scène 5, PERRINE)
Il faut bien en passer par-là. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Cela n'est pas nécessaire. (Acte 1, scène 5, PERRINE)
Les dons de l'amour flattent, et ne se refusent pas. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Je ne gagne pas au troc. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Je ne perds pas au change. (Acte 1, scène 5, PERRINE)
Ne perdons pas le temps en discours : je vole chez mon notaire. (Acte 1, scène 5, HENRI)
Il faut vraiment que je sois aimable ; elle m'aime pour moi seul ; elle ne m'a pas dit un mot qui annonce une âme intéressée. (Acte 1, scène 6, HENRI)
Ne lui laissons pas néanmoins le temps de la réflexion : dénichons quelque notaire expéditif. (Acte 1, scène 6, HENRI)
N'oublions pas de lui faire tout englober en peu de paroles, et, sans détails, tel que je l'ai dit à ma prétendue, le survivant aura tout. (Acte 1, scène 6, HENRI)
Quarante mille francs de rente sont un lénitif à la douleur ; cependant, elle est bonne personne, je ne lui souhaite pas de mal. (Acte 1, scène 6, HENRI)
Elle n'aura pas lieu de se réjouir : je ne lui laisserai pas seulement de quoi porter mon deuil. (Acte 1, scène 6, HENRI)
Je trouve chez moi des domestiques qui prétendent effrontément que je n'aie pas le droit de leur commander. (Acte 1, scène 7, DERCOUR)
Si je pouvais l'engager à ne pas me nuire. (Acte 1, scène 7, HENRI)
Est-ce que vous ne reconnaissez pas votre fidèle Henri ? (Acte 1, scène 7, HENRI)
Séduite par mes appas que rehaussait votre garde-robe et surtout votre voiture dans laquelle je m'étalais sans façon, une jeune dame est tombée amoureuse de moi. (Acte 1, scène 7, HENRI)
Sa passion est telle, qu'il n'y a que le mariage qui puisse l'éteindre. (Acte 1, scène 7, HENRI)
Je m'y connais ; ce n'est pas moi que l'on attrape. (Acte 1, scène 7, HENRI)
Une fille qui n'a qu'un père, qui a quarante mille francs de rente, qui me les jette à la tête, qui ne veut pas souffrir le moindre délai, que j'épouse aujourd'hui, si vous n'y mêliez point d'obstacle. (Acte 1, scène 7, HENRI)
Non pas elle, mais son portrait : regardez. (Acte 1, scène 7, HENRI)
Elle n'est pas mal, au moins, cette fille-là. (Acte 1, scène 7, HENRI)
N'est-ce pas un bon parti ? (Acte 1, scène 7, HENRI)
On ne peut pas disputer des goûts : est-ce ma faute à moi si je lui plais ? (Acte 1, scène 7, HENRI)
Ne le tuez pas, de grâce, avant qu'il m'ait payé les quinze cents francs qu'il me doit. (Acte 1, scène 8, MASCARILLE)
N'est-il pas vrai que j'ai le malheur d'être aimé d'une jeune personne qui demeure là, vis-à-vis, qui se nomme Éléonore, et qui prétend m'épouser en dépit que j'en aie ? (Acte 1, scène 8, HENRI)
Je te remercie, Mascarille, Éléonore est folle, soit; mais j'en profite, moi, et cela n'est pas fou. (Acte 1, scène 8, HENRI)
J'ai des principes, de l'honneur : je ne veux pas d'une femme dont la perte vous est si sensible. (Acte 1, scène 8, HENRI)
Je le passe à mon maître ; mais à toi ! (Acte 1, scène 8, HENRI)
- Rentrons, ma tête n'est pas à moi, mon agitation est extrême. (Acte 1, scène 8, DERCOUR)
Puisque je suis paye pour cela, je remplirai le message ; mais tu peux te mettre dans la tête que ce n'est pas pour toi que j'en agis ainsi. (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
Pourquoi cela ne m'est-il pas arrivé plutôt qu'à lui ? (Acte 1, scène 10, MASCARILLE)
Sans les ordres de mon maître, et les quinze cents francs surtout, je ne lui laisserais pas l'avantage de pouvoir me narguer avec tant d'insolence. (Acte 1, scène 10, MASCARILLE)
Dites-lui qu'on ne le fera pas attendre. (Acte 1, scène 11, PERRINE)
Un homme tel que, lui n'est pas à regretter. (Acte 1, scène 12, ÉLÉONORE)
Je suis au désespoir de n'avoir pas prévenu son inconstance ; je veux du moins qu'il se l'imagine, et je ferai tout pour l'en persuader. (Acte 1, scène 12, ?L?ONORE)
Et vous ne m'en voulez pas de mon bonheur ? (Acte 1, scène 12, PERRINE)
Il ne faut pas le faire attendre ; va ma chère Perrine, va m'aider à tirer de lui la vengeance la plus complète que je puisse jamais désirer. (Acte 1, scène 12, ÉLÉONORE)
Si elle est coupable, elle n'osera pas soutenir ma présence. (Acte 1, scène 14, DERCOUR)
Avancez sans crainte ; ne pensez pas que votre vue me cause la moindre émotion. (Acte 1, scène 14, ÉLÉONORE)
Je n'en doute pas. (Acte 1, scène 14, DERCOUR)
Ce qui me ravit dans cette aventure, c'est que je n'éprouve pas le moindre mouvement de dépit ou de colère. (Acte 1, scène 14, DERCOUR)
Ne tarde pas à se repentir de sa crédulité. (Acte 1, scène 14, ÉLÉONORE)
Je ne m'en défends pas ; je suis agité... (Acte 1, scène 14, DERCOUR)
Le contrat est passé. (Acte 1, scène 15, JEANNETTE)
Et vous, Mademoiselle Perrine vous n'êtes pas moins coupable. (Acte 1, scène 16, ÉLÉONORE)
Modérez-vous, doux objet de mes voeux ; je ne suis pas plus patient que vous, et vous trouveriez à qui parler. (Acte 1, scène 16, HENRI)

LE FRANÇAIS EN HURONIE (1778)

À sa compassion je dois mon existence, v.25 (Acte 1, scène 1, VALCOUR)
Va, Frontin, ne crois pas qu'à ce point je m'oublie. v.29 (Acte 1, scène 1, VALCOUR)
Bon ! bon ! laissons passer cet accès de folie, v.30 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Zamire ne vient point, elle ne m'aime pas. v.47 (Acte 1, scène 1, VALCOUR)
Cruelle amante hélas ! tu veux donc mon trépas. v.48 (Acte 1, scène 1, VALCOUR)
La Fleur ! ne me trompé-je pas ? v.75 (Acte 1, scène 2, FRONTIN)
Cet oncle qui t'adore avait cru ton trépas. v.84 (Acte 1, scène 2, DORVAL)
Quoi ! notre régiment va repasser en France ? v.85 (Acte 1, scène 2, VALCOUR)
J'attendais le trépas comme mon seul asile. v.142 (Acte 1, scène 2, VALCOUR)
Eh ! n'ai-je pas sujet de répandre des pleurs, v.179 (Acte 1, scène 2, VALCOUR)
Dans un mois, dans un mois nous repassons en France. v.181 (Acte 1, scène 2, VALCOUR)
Tu connais les chemins, je ne les connais pas. v.271 (Acte 1, scène 2, LA FLEUR)
Ce n'est pas nécessaire. v.273 (Acte 1, scène 2, LA FLEUR)
Mais pas mal. Tout à l'heure à cette même place v.297 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Ne fais pas le méchant et modère ta bile. v.305 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Oh ! cela n'est pas fort difficile. v.306 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Et pour l'escamoter le suivent pas à pas. v.320 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Pour toi, de ce côté, tu ne crains pas grand-chose. v.321 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Je me passerais bien d'une santé si belle. v.325 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Mais on est beau garçon, on a quelques appas... v.327 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Comment tu ne vois pas ? v.328 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Peut-être il passera sans regarder en haut. v.335 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Il redouble le pas, v.339 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Ton babil à présent n'est pas fort nécessaire. v.341 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
L'heure est déjà passée où j'aurais dû venir, v.355 (Acte 1, scène 4, ZAMIRE)
S'il ne revenait pas ! v.412 (Acte 1, scène 4, ZAMIRE)
Tu n'es pas son amant ? v.450 (Acte 1, scène 7, LE SAUVAGE)
Ce n'est pas moi du moins qui suis votre rival, v.464 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Ah ! ce n'était pas lui. Vous vous trompez sans doute. v.469 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Hélas ! ce diable d'homme a juré mon trépas v.487 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
On ne feint pas l'amour, il m'aime, il reviendra. v.523 (Acte 1, scène 8, ZAMIRE)
Mes pleurs coulent en vain...n'entends-je pas des cris ? v.584 (Acte 1, scène 9, ZAMIRE)
Que mon âme est émue ! Oh ! tu ne conçois pas v.641 (Acte 1, scène 11, ZAMIRE)
Combien ces beaux moments ont pour elle d'appas. v.642 (Acte 1, scène 11, ZAMIRE)

LA BELLE ESCLAVE (1787)

N'en doutez pas, c'est elle-même. v.3 (Acte 1, scène 1, ALI)
N'en doutez pas, c'est elle-même. v.15 (Acte 1, scène 1, ALI)
Quoique vos mille sequins me tentent, je vous avouerai, cependant, que je tiens encore plus à la vie qu'à l'argent que vous me promettez ; et sachez que le patron du logis, le seigneur Sélim, le plus riche marchand d'esclaves de Maroc n'entend pas raison, et qu'il pourrait bien, par manière de conversation, nous faire empaler l'un et l'autre, cérémonie qui, à tout prendre, ne m'amuserait pas autrement. (Acte 1, scène 1, ALI)
Le capitaine insensible à vos larmes, fumant tranquillement sa pipe, n'en poursuivit pas moins sa route. (Acte 1, scène 1, ALI)
Vous ne prenez pas garde que depuis vingt-quatre heures que j'ai l'honneur de vous connaître, vous m'avez au moins fait trente à quarante fois le récit de votre roman. (Acte 1, scène 1, ALI)
Le barbare n'a pas tant de tort ; il en est amoureux : mais vos mille sequins mont touché l'âme ; ce soir à dix heures, Zéila, vous et moi, serons dans une barque, à dix milles d'ici, ou nous ferons empalés, ou dans un sac au fond de l'eau. (Acte 1, scène 1, ALI)
Elle n'est pas consolante, à la vérité. (Acte 1, scène 1, ALI)
Il n'y a rien à dite, vous êtes amoureux, et j'y donne les mains ; mais que moi, qui n'ai presque jamais eu rien à démêler avec l'amour, j'aille vous tenir compagnie en l'autre monde ; cela n'est pas mon avis. (Acte 1, scène 1, ALI)
Je m'en passerai, votre argent me suffit. (Acte 1, scène 1, ALI)
On n'y voyait auparavant que Sélim et toi, et vous n'êtes pas fort aimables l'un et l'autre. (Acte 1, scène 3, ZISINE)
Il est vrai que nous ne nous en piquons pas. (Acte 1, scène 3, ALI)
Aura soin du vôtre, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 3, ZISINE)
Non, pas tant pour un mari. (Acte 1, scène 3, FATMÉ)
Il est vrai qu'il vaut mieux l'avoir comme cela, que de n'en pas avoir du tout ; et puis il est riche et fort vieux. (Acte 1, scène 3, ZISINE)
Si bien donc que si Sélim laissait tomber son choix sur l'une de vous deux ; il ne courrait pas le risque de vous chagriner. (Acte 1, scène 3, ALI)
Fais qu'elle ne l'obtienne pas. v.67 (Acte 1, scène 3, FATMÉ)
Hélas ! Ne m'abandonne pas. v.69 (Acte 1, scène 3, ZISINE)
Vous avez tant d'appas ! v.71 (Acte 1, scène 3, ZISINE)
Avoue-le toi-même, n'étais-je pas bien dupe d'acheter de belles femmes pour les autres ? (Acte 1, scène 5, SÉLIM)
Je vous aime de cette humeur, pourvu que cela dure, et que l'avarice ne revienne pas encore s'emparer de vous. (Acte 1, scène 5, ALI)
Je ne suis pas maître de cela. (Acte 1, scène 6, SÉLIM)
Cela ne peut pas venir dans un moment : quarante ans d'habitude... (Acte 1, scène 6, SÉLIM)
Ne puis-je pas encor v.157 (Acte 1, scène 9, ZÉILA)
Pendant que je n'y ferai pas, chante lui quelque chose pour la désennuyer. (Acte 1, scène 11, SÉLIM)
De retour en France, il s'est rembarqué pour l'île, où il ne vous a pas trouvée parce que vous n'y étiez plus, un vaisseau qui faisait la même route que celui qui vous emmenait, l'a conduit ici quinze jours après vous. (Acte 1, scène 12, ALI)
Il voulait vous racheter, le patron n'a pas voulu, il m'a propose de vous enlever, j'y ai consenti : nous devions partir cette nuit, nous partirons dans une demi-heure. (Acte 1, scène 12, ALI)
Il vous faut en passer par-là. v.267 (Acte 1, scène 15, SÉLIM)
Le trépas, malgré toi, saura nous réunir. v.291 (Acte 1, scène 15, ZÉILA)

LE FRANÇAIS EN HURONIE (1787)

À sa compassion je dois mon existence. v.25 (Acte 1, scène , VALCOUR)
La Fleur ! ne me trompé-je pas ? v.59 (Acte 1, scène 2, FRONTIN)
Pour tromper l'ennemi nous cherchions un passage. v.66 (Acte 1, scène 2, DORVAL)
J'attendais le trépas comme mon seul asile. v.82 (Acte 1, scène 2, VALCOUR)
Tu connais les chemins, je ne les connais pas. v.131 (Acte 1, scène 2, LA FLEUR)
Pas mal ; hier encore à cette même place v.145 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Ne fais pas le méchant, et tempère ta bile, v.153 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Oh ! cela n'est pas fort difficile. v.154 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Et pour l'escamoter le suivent pas à pas. v.168 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Pour toi, de ce côté tu ne crains pas grand-chose, v.169 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Je me passerais bien d'une santé si belle. v.173 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Mais on est beau garçon, on a quelques appas. v.175 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Comment, tu ne vois pas ? v.176 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Peut-être il passera sans regarder en haut. v.183 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
Il redouble le pas, v.187 (Acte 1, scène 3, FRONTIN)
Ton babil à présent n'est pas fort nécessaire. v.189 (Acte 1, scène 3, LA FLEUR)
L'heure est déjà passée où j'aurais dû venir. v.199 (Acte 1, scène 4, ZAMIRE)
S'il ne revenait pas ? v.256 (Acte 1, scène 4, ZAMIRE)
Et je n'ai pas l'honneur d'être le préféré. v.288 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Tu n'es pas son amant ! v.294 (Acte 1, scène 7, LE SAUVAGE)
Ce n'est pas moi du moins qui suis votre rival. v.308 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Ah ! Ce n'était pas lui, vous vous trompez sans doute. v.313 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Pour me plaire, il n'eut pas besoin d'une victoire. v.317 (Acte 1, scène 7, ZAMIRE)
Hélas ! ce diable d'homme a juré mon trépas. v.331 (Acte 1, scène 7, FRONTIN)
Ne crois pas m'échapper, infidèle Valcour, v.348 (Acte 1, scène 8, ZAMIRE)
On ne feint pas l'amour, il m'aime, il reviendra. v.367 (Acte 1, scène 8, ZAMIRE)
Et ton trépas sera ma seconde victoire. v.450 (Acte 1, scène 9, LE SAUVAGE)
Mais l'amour me permet d'y suivre ici tes pas, v.456 (Acte 1, scène 10, ZAMIRE)
Je ne suis point ses pas ! Ô moments douloureux ! v.472 (Acte 1, scène 11, ZAMIRE)

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97

LE DRAGON DE THIONVILE (1786)

Je sens davantage le poids de mes maux, quand je ne vois pas ce brave jeune homme ; quand il est près de moi, ses attentions, ses tendres soins me les sont presque oublier. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
J'ai mérité mon sort, puisque je n'ai pas su la connaître et démêler son âme à travers ses caresses perfides. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Leur mépris tombera sur sa tête coupable ; elle sera flétrie, abandonnée, ou, si les hommes l'épargnent, croyez qu'elle n'échappera pas à la vengeance du ciel, souvent lente, mais toujours sûre. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Croyez qu'elle en sera punie, il ne permet pas que les méchants prospèrent. (Acte 1, scène 2, LE CHEVALIER)
Je t'ai tout accordé, et tu n'est pas contente !... (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Laisse-moi jouir un instant des douceurs de l'amitié ; n'ai-je pas acheté ce moment de bonheur par des siècles de tourments et de peines ? (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
Il est Fâché que, logeant dans le même corps de logis, vous ne vous soyez pas présenté chez lui. (Acte 1, scène 4, DUSINCÈRE)
Vous ne connaissez pas mon colonel. (Acte 1, scène 4, DUSINCÈRE)
Je ne le cache pas, sans vous, j'y aurais succombé. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Vous renoncez aux amusements de votre âge, pour passer vos jours auprès d'un pauvre vieillard qui ne peut pas vous dédommager des plaisirs que vous abandonnez pour lui. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Monsieur le Chevalier, que ne vous dois-je pas pour la bonté que vous avez de me recevoir chez vous ! (Acte 1, scène 4, DUSINCÈRE)
Tout le monde ne pense pas ainsi, monsieur le Chevalier, je connais des cours droits qui se sont un devoir d'aimer les vieillards, de les chercher, de leur épargner des peines ; mais il n'y a pas de mérite à cela, il ne faut que n'être pas méchant. (Acte 1, scène 4, DUSINCÈRE)
cela n'a pas besoin d'être recommandé, la nature nous l'indique et le plaisir de les soulager est une si douce récompense, il remplit l'âme d'émotions si délicieuses, qu'on leur doit encore de la reconnaissance, quand ils acceptent nos services. (Acte 1, scène 4, DUSINC?RE)
Votre congé est sur le point d'expirer, vous ne resterez pas à Thionville : votre dessein n'est pas de vous rengager. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Il n'est pas riche, mais malgré sa modicité, il a encore le bonheur de rendre des services à des amis moins fortuné que lui. (Acte 1, scène 4, DUSINCÈRE)
Je ne tardai pas a m'apercevoir qu'un sordide intérêt l'avait guidée. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
Je vois bien que monsieur n'est pas encore au fait des affaires, mais on l'y mettra. (Acte 1, scène 5, L'HUISSIER)
Pas de verbiages. (Acte 1, scène 5, DUSINCÈRE)
Monsieur le Chevalier n'en a pas à vous donner dans ce moment-ci. (Acte 1, scène 5, DUSINC?RE)
Ce n'est pas le premier. (Acte 1, scène 5, L'HUISSIER)
Monsieur le Dragon, vous apprendrez, à vos dépens, que l'on n'offense pas impunément les membres de la justice. (Acte 1, scène 5, L'HUISSIER)
Monsieur, ne pouvez-vous pas m'accorder quelques instants ? (Acte 1, scène 5, DUSINCÈRE)
Je ne vous entends pas. (Acte 1, scène 5, L'HUISSIER)
Mon Colonel, mon coeur ne me reproche rien, et je ne me présenterais pas devant vous si j'étais coupable d'une bassesse. (Acte 1, scène 7, DUSINCÈRE)
Il se passe en toi quelque chose qui n'est pas naturel, ton front n'a pas sa sérénité ordinaire. (Acte 1, scène 7, LE COLONEL)
Et je vous supplie de vouloir bien me passer mon engagement tout de suite. (Acte 1, scène 7, DUSINCÈRE)
Tu ne peux l'épouser, si tu reste au régiment ; tu sais bien qu'on ne souffre pas que les soldats se marient. (Acte 1, scène 7, LE COLONEL)
Non, mon Colonel, elle ne l'est pas. (Acte 1, scène 7, DUSINCÈRE)
Je vais te faire passer ton engagement et t'en faire compter le prix. (Acte 1, scène 7, LE COLONEL)
Un brave soldat ne met pas de prix à son service. (Acte 1, scène 7, LE COLONEL)
ILS ne sont pas sortis encore. (Acte 1, scène 8, DUSINCÈRE)
Impossible, Monsieur, impossible ; toutes ces guenilles que vous venez de me montrer ne valent pas cinquante livres à être vendues sur la place. (Acte 1, scène 9, L'HUISSIER)
Il n'y a pas de milieu ; payer ou marcher. (Acte 1, scène 9, L'HUISSIER)
Ça ne déshonore pas. (Acte 1, scène 9, L'HUISSIER)
Nous ne prenons pas garde aux personnes. (Acte 1, scène 9, L'HUISSIER)
Lâches, si mon jeune ami était là, ou si l'âge n'avait pas affaibli mes forces, vous trembleriez de m'outrager. (Acte 1, scène 9, LE CHEVALIER)
Non, vous ne m'entraînerez pas en plein jour comme un vil scélérat. (Acte 1, scène 9, LE CHEVALIER)
Des actes de justice deviennent dans vos mains des actes de rigueur, et votre lâcheté éclate avec d'autant plus d'horreur, que vous vous faites un jeu d'accabler l'innocent et le faible d'outrages qu'il ne vous serait pas même permis de faire essuyer aux derniers scélérats. (Acte 1, scène 10, DUSINCÈRE)
En continuant de m'aimer, en ne me parlant jamais d'une action si simple et si naturelle, qu'elle ne mérite pas vos éloges. (Acte 1, scène 12, DUSINCÈRE)
N'ai-je pas été trop récompensé par le plaisir qu'elle m'a procuré. (Acte 1, scène 12, DUSINC?RE)
Un trait si beau ne restera pas dans l'oubli. (Acte 1, scène 12, LE COLONEL)

JODELET (1798)

Je ne lui parlerai certainement pas de vous. (Acte 1, scène 2, JUSTINE)
Quelle fantaisie vous passes par la tête ? (Acte 1, scène 2, JUSTINE)
Non, vous ne l'aimez pas. (Acte 1, scène 2, JUSTINE)
Tu veux savoir mieux que moi, peut-être, ce qui se passe dans mon coeur. (Acte 1, scène 2, FLORVAL)
Ses torts ne sont peut-être pas aussi réels que vous l'imaginez. (Acte 1, scène 2, JUSTINE)
D'après le portrait que tu m'as montré, l'original n'est pas fort beau. (Acte 1, scène 2, FLORVAL)
Le peintre peut bien ne l'avoir pas flatté. (Acte 1, scène 2, JUSTINE)
Le congé que j'avais obtenu n'est pas encore expiré. (Acte 1, scène 2, FLORVAL)
Il a obtenu un congé de quelques jours, qu'il vient passer auprès de vous. (Acte 1, scène 4, JUSTINE)
Son père avait voulu la contraindre à épouser un homme qu'elle n'aimait pas... (Acte 1, scène 4, D'HERBIN)
Je vous entends : il ne faut pas qu'ils se rencontrent brusquement ; il faut filer la reconnaissance. (Acte 1, scène 5, JUSTINE)
Vous êtes le brave d'Herbin, n'est-ce pas? (Acte 1, scène 7, JODELET)
Je n'ai pas le malheur d'être méchant. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
Partout où je suis, je cherche à égayer mes concitoyens ; il n'y a pas de mal à cela : ce rôle est préférable à beaucoup d'autres. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Cette humeur facétieuse ne vous sera pas inutile auprès de ma fille, qui est naturellement grave et sérieuse. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
C'est qu'elle ne m'a pas vu. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Qu'un homme, qui écrit avec autant de sentiment et de délicatesse, n'a pas besoin de beauté. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
N'ai-je pas dit là quelque sottise? (Acte 1, scène 7, JODELET)
Ce n'est pas pour m'entretenir de cette petite mijaurée que je suis venu chez vous. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Elle n'est, peut-être, pas aussi coupable que vous le présumez. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
Pas aussi coupable que je le présume. (Acte 1, scène 7, JODELET)
S'il n'a pas tué mon jeune frère, ce n'est pas sa faute. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Il n'y allait pas de main-morte. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Si je tenais le garnement qui l'avait ainsi accommodé, il passerait, avec moi, un méchant quart-d'heure. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Le gaillard a pris un ascendant singulier sur moi, et, depuis que nous sommes ensemble, c'est, en vérité, lui qui commande, qui m'habille, me nourrit, comme il lui plaît, et me fait faire tout ce qui lui passe par la tête. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Je n'ai pas prétendu vous offenser. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
Je ne doute pas que vous ne sachiez vous conduire. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
Vous n'avez pas oublié que vous mourez d'impatience de voir votre prétendue ? (Acte 1, scène 7, VALCOUR)
Ne prenez pas cette peine ; dites-moi où est sa chambre, j'irai l'avertir que je suis venu. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Elle n'est peut-être pas encore en état de vous recevoir. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
Qu'elle ne se gêne pas pour moi. (Acte 1, scène 7, JODELET)
Attendez-moi quelques instants ; je vais passer chez elle, nous revenons ensemble. (Acte 1, scène 7, D'HERBIN)
Ne m'en suis-je pas bien tirée ? (Acte 1, scène 8, JODELET)
N'ai-je pas parlé au beau-père comme à un ami, comme si nous nous connaissions depuis cent ans ? (Acte 1, scène 8, JODELET)
Tu ne lui auras pas donné une haute idée de mon esprit. (Acte 1, scène 8, VALCOUR)
Ne me faites pas longtemps passer pour vous ; ça me gêne ; il faut que je m'étudie, et, malgré cela, j'ai peur de lâcher quelque paquet qui me trahisse. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Cette épreuve ne durera pas longtemps. (Acte 1, scène 8, VALCOUR)
Je me sens disposé à aimer la suivante ; je veux faire une fin, mais je ne veux pas acheter chat en poche. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Pourvu qu'il n'y ait pas de reconnaissance désagréable pour moi, tout ira le mieux du monde. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Je vous représenterai à merveille, à table surtout ; et, pour ne pas me rafler tous les bénéfices de mon rôle, si vous allez aux informations, et qu'elles vous soient favorables, je vous prie de ne vous découvrir qu'après souper. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Là, mangeant beaucoup, ne disant rien, je n'aurai pas peur de me trahir par quelques mots bâtards, de ma façon. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Je ne suis pas un docteur ; je n'ai pas la parole en main, comme vous. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Je n'aime point Clémence ; d'après ce que j'ai vu, je ne suis pas disposé à l'aimer. (Acte 1, scène 8, VALCOUR)
Je ne serais pas fâché que tu déplusses, en passant pour moi, et que la rupture vînt de son côté; ce qui m'épargnerait les reproches de mon père. (Acte 1, scène 8, VALCOUR)
C'est que vous croyez que je ne suis pas aimable. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Si vous étiez femme, vous ne me parleriez pas comme cela. (Acte 1, scène 8, JODELET)
Allons donc, allons donc, ne faites pas l'enfant. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Ce n'est pas une raison pour en agir d'une manière aussi leste. (Acte 1, scène 9, JUSTINE)
Si vous êtes fâchée du baiser que je vous ai pris, vous n'avez qu'à me le rendre ; ne vous gênez pas, si le coeur vous en dit ; je ne suis pas fier du tout. (Acte 1, scène 9, JODELET)
On ne le dirait pas. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Je n'ai pas prétendu offenser le papa. (Acte 1, scène 9, JODELET)
N'allez-vous pas vous fâcher ? (Acte 1, scène 9, JODELET)
Je ne suis pas venu ici pour quereller ; j'y suis venu pour épouser votre fille. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Elle serait bien difficile, si je ne lui convenais pas. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Voulez-vous savoir pourquoi je ne vous parais pas dans mon assiette ordinaire ? (Acte 1, scène 9, JODELET)
Je m'étonnais qu'un homme qui sait vivre, ne l'eût pas dite plutôt. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Pas de cérémonie ; un morceau sur le pouce, en attendant le souper. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Ce sera toujours autant de pris : on ne sait pas ce qui peut arriver. (Acte 1, scène 9, JODELET)
Le voilà parti, j'en suis bien-aise : il me gênait, il vous gênait aussi, la belle, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 10, JODELET)
Je suis assez content de votre figure ; mais de votre esprit - pour que j'en juge, il faut que vous parliez, et vous n'avez pas encore ouvert la bouche. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Je vous avouerai que votre langage ne s'accorde pas avec vos lettres. (Acte 1, scène 10, CLÉMENCE)
Ce n'est pas moi qui écris mes lettres ; je ne suis pas assez sot pour perdre mon temps à ces niaiseries, c'est mon secrétaire, je le paye pour ça. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Vous ne perdriez pas au change, en parlant comme écrit votre secrétaire. (Acte 1, scène 10, CLÉMENCE)
Je vous demande pardon pour Valcour, s'il ne se montre pas, en cet instant, sous l'aspect qui peut lui être le plus favorable. (Acte 1, scène 10, VALCOUR)
Comme il va dire du bien de moi ; il n'est pas décent que je l'entende ; retirons-nous un peu. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Il dit la vérité : Valcour ne paraît pas, à vos yeux, ce qu'il est toujours. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Si je pouvais vous expliquer la chose, je vous tirerais de peine ; en conscience, si je vous intrigue ce n'est pas ma faute. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Il ne faut pas non plus que vous me compreniez. (Acte 1, scène 10, JODELET)
C'est-à-dire que vous m'aimez d'une certaine façon, et que vous ne m'aimez pas de l'autre. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Votre conseil n'est pas d'une bête. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Je sens que l'amour m'ouvre l'imagination : il me vient des pensées superbes, et, si je ne les mets pas au jour, c'est, que le moment de m'expliquer à coeur ouvert n'est pas encore venu. (Acte 1, scène 10, JODELET)
Voulez-vous, mon gendre, passer dans la salle à manger ? (Acte 1, scène 11, D'HERBIN)
Plus j'examine ce qui se passe dans mon coeur, plus je le trouve rempli des charmes de Clémence et du désir de la voir digne de mon amour Comment éclaircir les soupçons qui m'oppressent et me tourmentent malgré moi ? (Acte 1, scène 12, VALCOUR)
La conversation ne tarira pas. (Acte 1, scène 13, VALCOUR)
Vous n'avez donc pas l'esprit de votre état ? (Acte 1, scène 13, FLORVAL)
Je vous dis, en confidence, qu'il n'a pas tort de le craindre. (Acte 1, scène 13, FLORVAL)
Ce n'est pas là mon genre. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Si vous ne vous souciez pas de m'embrasser, je ne m'en soucie pas davantage. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Je ne veux pas me modérer. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Mais retenez-moi donc ; ne voyez-vous pas que la fureur m'emporte, et que je ferai quelque coup de ma tête ? (Acte 1, scène 14, JODELET)
Je n'entends pas raison. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Votre soeur n'y consentirait pas ; il l'a trop indignement abandonnée : il ose aspirer à la main d'une autre. (Acte 1, scène 14, VALCOUR)
Apprenez que je ne suis pas homme à souffrir vos insolences. (Acte 1, scène 14, D'HERBIN)
De quoi diable vous avisez-vous de donner des conseils qui n'ont pas le sens commun ? (Acte 1, scène 14, JODELET)
Comment, pas le sens commun ! (Acte 1, scène 14, D'HERBIN)
L'excuse n'est pas d'un homme de courage. (Acte 1, scène 14, D'HERBIN)
Je ne me bats que contre les ennemis de la république : au pas de charge, baïonnette en avant. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Supposons que nous nous battions ensemble, et qu'il me tue, ne sera-ce pas une justice bien injuste ? (Acte 1, scène 14, JODELET)
Ça, c'est dit ; je ne me battrai pas pour les autres. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Que d'injures Valcour n'a-t-il pas à venger ! (Acte 1, scène 14, D'HERBIN)
Vous ne partirez pas ainsi. (Acte 1, scène 14, D'HERBIN)
Je ne vous quitte pas. (Acte 1, scène 14, VALCOUR)
Je ne me ferai pas tuer pour vos menus-plaisirs. (Acte 1, scène 14, JODELET)
Pas possible pour le moment. (Acte 1, scène 15, JUSTINE)
Il faut, d'abord, prévenir le frère qui, par parenthèse, ne fait pas fortune auprès de votre cousine. (Acte 1, scène 15, JUSTINE)
Il n'est pas homme à s'en fâcher. (Acte 1, scène 15, JUSTINE)
Ce qui s'est passé devant votre oncle, a pu vous donner une singulière idée de Valcour ; il avait alors ses raisons pour en agir ainsi. (Acte 1, scène 16, VALCOUR)
Il ne s'agit pas de cela. (Acte 1, scène 16, VALCOUR)
Dites-lui que je ne le serai pas attendre. (Acte 1, scène 16, FLORVAL)
Ce n'est pas de mon côté que vient la rupture, grâces à mon déguisement. (Acte 1, scène 17, VALCOUR)
Il n'en serait pas de même, si l'on vous connaissait. (Acte 1, scène 17, JODELET)
Je ne suis pas pressé : je suis si content d'être au monde ! (Acte 1, scène 17, JODELET)
Pour que le combat se passe ici, en le voyant, tu mettras l'épée à la main ; tu trouveras un prétexte pour éteindre les bougies, ou tu les éteindras comme par hasard ; je serai caché dans le cabinet ; tu feindras de reculer. (Acte 1, scène 17, VALCOUR)
Il n'y a pas de pardon qui tienne.- (Acte 1, scène 18, JODELET)
Puisque vous voulez que cela se passe ici, je vais fermer la porte. (Acte 1, scène 18, FLORVAL)
Ne perdons pas la tête. (Acte 1, scène 18, JODELET)
J'éteins les lumières ; je ne veux pas qu'on nous voie. (Acte 1, scène 18, JODELET)
N'était-ce pas dans une chambre, sur sa brune, que vous avez failli tuer mon frère ? (Acte 1, scène 18, JODELET)
Ne voyez-vous pas que je suis gêné ? (Acte 1, scène 18, JODELET)
Il n'a rien à craindre de moi : je ne lui ferai certainement pas de mal. (Acte 1, scène 19, FLORVAL)
Je suis bien aise que cela se passe comme cela. (Acte 1, scène 20, JODELET)
C'était pour cacher mon jeu, ce que j'en faisais; je ne voulais pas que vous faussiez instruit de notre combat, et que vous vinssiez sottement nous séparer, lorsque je serais en train. (Acte 1, scène 20, JODELET)
Bien loin de là ; et, pour vous prouver que telle n'est pas mon intention, je vous invite à recommencer. (Acte 1, scène 20, D'HERBIN)
Je ne m'attendais pas à celui-là. (Acte 1, scène 20, JODELET)
Il n'y a pas d'honneur qui tienne. (Acte 1, scène 21, JODELET)
Je ne tiendrai pas ma place au banquet ; mais je m'en console ; si la charmante Justine veut bien me permettre de souper tête-à-tête avec elle. (Acte 1, scène 21, JODELET)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,32 % des textes) dans lesquels il y a 329 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 54,83 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Total
1	HENRI ET PERRINE	81	81
2	LE FRANÇAIS EN HURONIE	34	34
3	LA BELLE ESCLAVE	20	20
4	LA BELLE ESCLAVE	8	8
5	LE FRANÇAIS EN HURONIE	29	29
6	LE DRAGON DE THIONVILE	41	41
7	JODELET	116	116
	Total	329	329