Occurences de l'expression

puis

pour DANCOURT, Florent Carton dit

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L'OPÉRATEUR BARRY (1702)

  1. Ma foi, Monsieur, il me semble que depuis quelque temps nous avons si peu de débit de la nôtre, que ce ne serait pas trop mal fait de louer la boutique. (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOURT)
  2. La meilleure partie de nos Acteurs et de nos Actrices est à Fontainebleau depuis un mois, nous n'avons pu jouer que cinq ou six Pièces, que nous avons recommencées quatre ou cinq fois chacune ; pensez-vous que cela soit fort agréable au public, et qu'il ne paraisse pas là-dedans une négligence qui fait aussi qu'on nous néglige. (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOURT)
  3. En quel lieu de l'Univers n'ai-je point été depuis ? (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
  4. Enfin, un Élixir spécifique, que je puis appeler le supplément de la beauté, le réparateur des visages, et l'abrégé universel de tous les charmes qui ont été refusés par la nature. (Prologue, scène 4, MONSIEUR BARRY)
  5. Je vais souper à fond, puis je viendrai la prendre, et nous épouserons immédiatement après la danse : n'est-ce pas votre avis ? (Acte 2, scène 2, SPACAMONTE)
  6. Et puis en voilà un autre pour des gants. (Acte 2, scène 8, ZERBINETTE)
  7. Ma belle Dame, faites-moi l'amitié de la lire tout haut, je vous prie, il n'y a rien dedans qui ne se puisse voir. (Acte 2, scène 9, ZERBINETTE)
  8. Mais je ne puis guetter pour vous et pour Madame Garguille, qui m'a donné sa fille en garde. (Acte 2, scène 10, JODELET)
  9. Petit badin, fi donc, je ne puis souffrir les rencontres, et ne me bats qu'en rendez-vous. (Acte 2, scène 15, SPACAMONTE)
  10. Je ne puis boire d'eau dans ma tasse, v.38 (Acte 2, scène 17, JODELET)

LES AGIOTEURS (1710)

  1. Je te charche morguoi tout depuis hier que je sis arrivé ; et si par cas fortuit je ne t'avais pas rencontrée, je crois, Dieu me pardonne, que je te chercherais encore, et je me chercherais peut-être itou moi-même, car j'ai pensé me perdre. (Acte 1, scène 1, LUCAS)
  2. Pargué, Mademoiselle, voir un peu le monde, tâcher de m'y fourrer et de faire comme les autres forteune, si je puis. (Acte 1, scène 2, LUCAS)
  3. Depuis que je suis ma maîtresse, il me semble que ce serait relâcher de mes droits, que de déterminer mes volontés par celles de ma tante ; c'est à présent de moi qu'il faut m'obtenir, ce n'est pas d'elle, et je vous avoue que je me révolte de voir qu'on s'adresse à d'autres qu'à moi pour ces affaires-là. (Acte 1, scène 7, SUZON)
  4. Cependant, puisque le papier nous gagne, et que l'espèce est rare, il est bon de baisser aujourd'hui le papier de huit pour cent : quand nous nous serons défaits du nôtre, on le remettra sur le même pied, ou on le rehaussera s'il est possible. (Acte 1, scène 8, ZACHARIE)
  5. Je ne serai pas longtemps sans l'être : je suis à la veille de faire ta fortune, et je ne puis pas mieux commencer ton établissement, qu'en t'associant à notre commerce. (Acte 2, scène 1, TRAPOLIN)
  6. Que Madame Sara fait travailler à merveilles depuis son veuvage. (Acte 2, scène 1, TRAPOLIN)
  7. Puisque vous avez tant de discrétion, on peut vous confier les affaires secrètes. (Acte 2, scène 3, TRAPOLIN)
  8. Il faut bien faire quelque chose pour ses amis ; et puis je vous dirai que j'ai ici en nantissement toute leur vaisselle d'argent, les meilleurs effets de leur magasin, dont ils n'ont point de reconnaissance ; je leur prête mon papier sous le nom d'un autre, afin d'être en droit d'avoir mes sûretés. (Acte 2, scène 4, TRAPOLIN)
  9. Quel service puis-je vous rendre pour votre mariage. (Acte 2, scène 5, TRAPOLIN)
  10. Hé bien, puisqu'il est si raisonnable, qu'il passe dans une heure ou deux chez ce Monsieur Craquinet. (Acte 2, scène 5, TRAPOLIN)
  11. Puisqu'ils ont si peu à durer, pourquoi n'en pas profiter ? (Acte 2, scène 7, TRAPOLIN)
  12. Aussi ne me mêlai-je plus de rien qui puisse charger ma conscience. (Acte 2, scène 8, CANGRÈNE)
  13. J'ai quarante mille livres à payer pour le compte de la maison que jé gouverne, s'entend ; le paiement se devait faire en argent comptant, tout entier : mais j'ai eu l'esprit de composer ; et sous divers prétextes j'ai tant reculé, fatigué, véxé lé créancier depuis quinze mois, qu'il sé contente aujourd'hui de recevoir moitié papier, moitié d'espèces, c'est un profit clair, comme vous voyez. (Acte 2, scène 9, DARGENTAC)
  14. Vous m'avez escompté depuis six mois pour plus de dix mille écus de papier, dont je n'ai touché que neuf mille livres d'espèces. (Acte 3, scène 4, CLITANDRE)
  15. Pardonnez-moi vraiment, depuis que je l'ai mis dans les affaires, ou pour mieux dire, depuis qu'il me prête son nom, car c'est moi qui y suis au moins. (Acte 3, scène 6, MADAME MALPROFIT)
  16. Je vois bien, Madame, que je puis vous être utile aujourd'hui, apparemment ? (Acte 3, scène 6, TRAPOLIN)
  17. Ni les leurs aux miennes, vous y voilà ; je ne saurais rien faire de ce qu'ils veulent, je ne puis m'y résoudre. (Acte 3, scène 9, DAUDINET)
  18. Mon père et mère me disent que, quoi qu'il puisse arriver, j'aurai huit cent mille francs de bien après leur mort. (Acte 3, scène 9, DAUDINET)
  19. Hé sandis qu'il monte, je né puis quitter, jé suis en affaires. (Acte 3, scène 13, DARGENTAC)
  20. Je n'en puis plus, j'en mourrai, mon voleur n'est point le véritable Argentac, c'est le fils d'un Cabaretier, qui depuis quinze jours s'est fait Dragon. (Acte 3, scène 21, TRAPOLIN)

LES ENFANTS DE PARIS (1699)

  1. Depuis un mois que j'ai l'honneur de le connaître, v.50 (Acte 1, scène 2, MADAME BRICHONNE)
  2. Et puis après je m'intéresse v.74 (Acte 1, scène 2, MADAME BRICHONNE)
  3. Et puis sur nouveaux frais nous nous verrons toujours ? v.122 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
  4. Depuis longtemps je l'étudie ; v.160 (Acte 1, scène 4, FINETTE)
  5. Puis par le petit escalier, v.322 (Acte 1, scène 7, MERLIN)
  6. Depuis un temps on vous y voit si peu, v.356 (Acte 1, scène 7, FINETTE)
  7. Puis cela vient de jeunes gens, v.593 (Acte 2, scène 1, MADAME BRICHONNE)
  8. Depuis assez longtemps j'essaie v.627 (Acte 2, scène 1, MONSIEUR HARPIN)
  9. Qu'elle puisse jamais mieux rencontrer. Finette ? v.684 (Acte 2, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
  10. Quel transport ! Quelle joie ! Hé, que puis-je vous dire ? v.708 (Acte 2, scène 3, VALÈRE)
  11. Que puis-je apprendre de mon père v.850 (Acte 2, scène 9, CLITANDRE)
  12. Depuis près de cinq ou six ans : v.855 (Acte 2, scène 9, CLITANDRE)
  13. Mais si vous permettez que je puisse répondre, v.1010 (Acte 2, scène 12, CLITANDRE)
  14. Et c'est, puisqu'il vous faut éclaircir sur ce point, v.1052 (Acte 2, scène 12, MONSIEUR HARPIN)
  15. On puisse aimer autant que Climène vous aime. v.1153 (Acte 3, scène 3, MADAME BRICHONNE)
  16. Que l'on puisse en si peu de temps v.1162 (Acte 3, scène 3, MADAME BRICHONNE)
  17. Rien ne puisse m'embarrasser. v.1190 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
  18. Je puis offrir à vos beautés, v.1272 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR HARPIN)
  19. Il est heureusement depuis peu devenu v.1316 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR HARPIN)
  20. Puisque votre ardeur s'est flattée, v.1420 (Acte 3, scène 15, ANGÉLIQUE)
  21. Puis seule dans sa chambre elle s'est enfermée. v.1595 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
  22. Mais pour toi je ne puis te rien dissimuler, v.1610 (Acte 4, scène 4, MADAME ARGANTE)
  23. Je n'en puis plus. v.1719 (Acte 4, scène 5, MONSIEUR HARPIN)
  24. Je ne puis plus longtemps soutenir tout cela. v.1745 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR HARPIN)
  25. Moi-même, je ne puis m'en taire, v.1765 (Acte 4, scène 7, MERLIN)
  26. Oui, je n'y puis plus résister : v.1903 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR HARPIN)
  27. Dans le dérèglement puisqu'on voit qu'il persiste, v.1988 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR HARPIN)

LES VACANCES (1697)

  1. Puisqu'il faut que nous ayons un Seigneur une fois, que nous importe qui le soit ? (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
  2. Morgué, Ça est honteux que le cousin du Meunier de Rougemare, Monsieur Grimaudin, devianne Signeur du village de Gaillardin : je ne puis avaler cette pilule-là. (Acte 1, scène 1, LE MAGISTER)
  3. Mais je ne puis avec bienséance, moi... (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
  4. Il y a peu de mes Confrères qui en puisse faire autant. (Acte 1, scène 3, MONSIEUR GRIMAUDIN)
  5. Il y a longtemps qu'elle est votre gouvernante ; et depuis la mort de la défunte, il n'est pas que vous ne lui ayez promis quelquefois... (Acte 1, scène 3, LÉPINE)
  6. Je ne vous crois pas d'humeur à vous enrôler, quelque chose qu'il puisse faire. (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
  7. Voilà une partie d'amour assez dérangée, à ce qu'il me semble ; et je ne vois pas que nous la puissions renouer à temps pour rompre celle du Greffier, vous verrez qu'il en faudra faire quelque autre. (Acte 1, scène 7, MADAME LA ROCHE)
  8. Ce sont des troupes du Roi qui passent sur mes terres, Madame, je ne puis me dispenser de les recevoir. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GRIMAUDIN)
  9. Je les avons envoyés tous quinze chez un de ces nouviaux Monopoleux, qui a depuis peu acheté à nos dépends une petite métairie au bout du Village ; par ainsi je ne serons pas trop chargés : et comme vous ne nous incommodez pas, soyez les bienvenus. (Acte 1, scène 15, LE MAGISTER)
  10. Vous avez une Compagnie fort mal morigénée, fort mal instruite, fort mal élevée, je vous en avertis ; mais puisque vous la commandez, nous en aurons raison. (Acte 1, scène 16, MADAME PERRINELLE)
  11. Vous m'avez dit que Monsieur vous aime, et que vous ne le haïssez pas ; je ne vois pas qu'on puisse être mieux d'accord. (Acte 1, scène 18, MADAME LA ROCHE)
  12. Il y vient prendre possession de la Terre qu'il s'est fait adjuger depuis trois semaines. (Acte 1, scène 19, LÉPINE)
  13. C'est lui qui est depuis peu Seigneur du Château que vous voyez. (Acte 1, scène 19, ANGÉLIQUE)
  14. Cela change la thèse, au moins ; et je ne puis pas en conscience, moi, donner les étrivières à mon père. (Acte 1, scène 19, MAUGREBLEU)
  15. Écoutez, mon gendre, puisque vous voulez l'être, je prétends... (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIMAUDIN)
  16. Il a juré depuis ce temps v.59 (Acte 1, scène 24, UNE PAYSANNE)

LA DÉROUTE DU PHARAON (1693)

  1. Ma foi, Monsieur, s'il vous faut parler franchement, je n'en sais rien : tout ce que je puis vous dire, c'est que nous menons une vie assez joyeuse, grande chère, bon équipage. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  2. Vous êtes veuve d'un riche Marchand qui vous a laissé plus de trente mille écus de bons effets et une fille unique ; il ne tenait qu'à vous de faire valoir les uns dans votre commerce, et de marier la fille avantageusement pour vous et pour elle, puisque Valère qui a plus de vingt-cinq mille livres de rente, vous a fait offrir par son oncle de la prendre sans aucune dot. (Acte 1, scène 3, BARTOLIN)
  3. Adorable Célide, puis-je espérer que le changement dont on parle aujourd'hui dans Paris, fera changer en ma faveur l'esprit et le coeur de Madame votre mère ? (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  4. Je n'en doute point du tout, moi ; la déroute des Jeux vous donne beau jeu à vous, et Madame ne saurait plus condamner vos sentiments, puisque les voilà justifiés par Arrêt. (Acte 1, scène 10, MARTON)
  5. Cela ne sera peut-être pas tout à fait impossible ; j'ai depuis quelques jours à mon service un maître fripon, que je crois reconnaître ; il ne s'est point fait mon valet sans quelque dessein, et il pourrait bien nous être utile dans cette affaire. (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
  6. Depuis le peu de temps que j'ai l'honneur de vous servir, je vous ai pris en affection, je suis fort content de vous ; expliquez-moi votre affaire, que je vois si elle n'est point trop difficile, et si je me ferai prier ou non. (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
  7. Hé bien, Monsieur, puisqu'il faut vous dire les choses, je vous avoue ingénument que je me suis autrefois mêlé de quelques petites bagatelles, mais je vous assure que j'ai tout oublié : je ne vous conseille pas de jouer de moitié avec moi, je vous ferais perdre infailliblement, Mademoiselle... (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
  8. Puisque vous devinez si bien les choses, Monsieur, je ne vous nierai point quelques-unes de ces petites bagatelles : quelques Décrets mal purgés, quelques petites bouderies que la Justice et moi nous avons eues ensemble, m'ont fait résoudre à me cacher sous l'habit de domestique auprès quelque honnête personne, qui eût soin de moi, et qui m'honorât de sa protection, en cas de besoin. (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
  9. Tantôt on est Marquis, tantôt Chevalier, puis Marchand, Abbé quelquefois, Financier souvent ; dans la dernière affaire qui m'est arrivée, je passais pour un Procureur, le croiriez-vous ? (Acte 1, scène 11, FRONTIN)
  10. Quand nous aurons épuisé l'Angleterre, nous passerons en Hollande, il y a encore de bonnes bourses en ce pays-là. (Acte 1, scène 13, BELISE)
  11. Je ne le vois point ; il faut que la Marquise et la Conseillère soient malades, puisqu'elles ne sont pas arrivées des premières. (Acte 1, scène 14, LA COMTESSE)
  12. Je suis au désespoir, voyez-vous, et j'ai voulu me pendre trois fois depuis ce matin. (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
  13. Monsieur, Monsieur Clitandre, vous Madame_la_Comtesse, et vous Madame, je vous en fais les juges, s'il vous plaît ; vous êtes des personnes raisonnables, et vous savez avec quelle bonne foi j'ai prêté mon argent au tiers et au quart depuis un certain temps. (Acte 1, scène 19, LE CAISSIER)
  14. Oui, Madame, une de ces barques pontées qui depuis quelque temps viennent à la voile et qui apportent des huîtres. (Acte 1, scène 23, MARTON)
  15. Depuis longtemps nuit et jour, v.6 (Acte 1, scène 25, CHOEUR)
  16. Depuis longtemps je ne m'occupe v.82 (Acte 1, scène 27, MERLIN)

LES FONDS PERDUS (1686)

  1. Enfin donc, quoi qu'il en puisse arriver, vous voulez voir Angélique ? (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  2. Oui, mon pauvre Merlin, je veux savoir d'elle sa destinée et la mienne, et je ne saurais plus vivre dans la contrainte où nous sommes depuis si longtemps l'un et l'autre. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
  3. Ma foi, Monsieur, votre amour n'est qu'une bête, puisqu'il vous empêche de raisonner. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  4. C'est une petite entreprise utile et nécessaire pour tirer de la bonne dame certains deux mille écus qu'elle a reçus depuis peu, et qui seront beaucoup mieux dans nos coffres que dans les siens. (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  5. C'est le pis qu'il en puisse arriver. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  6. Pour moi, je vous promets foi d'honnête homme, de ruiner absolument Madame votre mère ; c'est tout ce que je puis pour voire service et quand vous serez une fois les maîtres de tout, vous pourrez cesser de vous contraindre, et vous leur déclarerez, alors vos véritables sentiments. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  7. Assurément ; et depuis que je m'en mêle, j'ai tiré pour Angélique en diverses fois plus de dix mille écus de Monsieur Oronte. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  8. Je ne sais pas de qui elle tient ; car vous êtes la diligence même, vous ; et depuis que les maux de tête vous ont obligée de faire couper vos cheveux, vos coiffures sont toujours montées pour plus de quinze jours, et vous n'êtes pas plus de temps à les mettre que si c'était une perruque cela est fort commode au moins. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  9. Je n'en puis plus. (Acte 2, scène 5, MERLIN)
  10. Je ne m'en souviens déjà plus depuis que je vous vois. (Acte 3, scène 8, MADAME GÉRANTE)
  11. Puisque Monsieur le veut, Madame, j'en suis content pour moi. (Acte 3, scène 10, VALÈRE)

LA MAISON DE CAMPAGNE (1697)

  1. J'y viens mourir, madame, puisque vous me recevez avec tant de surprise, et que ma présence vous fait si peu de plaisir. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  2. Si je le puis. (Acte 1, scène 3, MARIANE)
  3. Il n'y a pas moyen d'y résister ; et depuis que ma pendarde de femme m'a fait acheter cette maudite maison de campagne, j'y ai dépensé, en moins d'un été, mon revenu de quatre années. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR BERNARD)
  4. Et puis cette jeune marquise qui gagna l'autre jour l'argent de madame. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  5. Vous me méconnaissez, à ce que je puis voir ? (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
  6. Nous ne nous sommes point vus depuis l'académie, je crois. (Acte 1, scène 10, LE BARON)
  7. J'ai bien du regret, madame, de ne pouvoir pas profiter de l'honneur que vous me faites ; mais j'ai chez moi quelques dames de mes parentes, que je ne puis pas quitter honnêtement. (Acte 1, scène 11, LE BARON)
  8. Dépêche, au moins ; je ne me puis passer de toi. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
  9. Depuis que je suis à Paris, j'ai réformé moi seul la moitié de la cour. (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
  10. Je suis à demi consolée de cet accident, puisqu'il est arrivé près d'ici. (Acte 1, scène 15, MADAME-BERNARD)
  11. Allons, ma soeur, allons faire mettre nos hardes dans une chambre, et puis nous irons voir ma petite cousine. (Acte 1, scène 16, LE COUSIN)
  12. La tête me fend, Lisette, je ne puis plus résister a tant de fracas. (Acte 1, scène 23, MARIANE)
  13. Tu sais bien que je n'ai pu le faire depuis qu'il est sorti d'ici. (Acte 1, scène 23, MARIANE)
  14. Et que diantre personne ne vous verra là ; et puis voulez-vous faire perdre dix pistoles à votre cousin chonchon ? (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  15. C'est un accommodement qu'on veut faire entre deux gentilshommes qui, depuis vingt-cinq ou trente ans, sont à couteaux tirés pour une dispute qu'eurent autrefois leurs grands-pères. (Acte 1, scène 27, DORANTE)
  16. Je suis bien changé depuis que vous ne m'avez vu. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR BERNARD)
  17. Cela est admirable. Comme mon père est changé d humeur depuis trois jours ! (Acte 1, scène 28, DORANTE)

LA TRAHISON PUNIE (1707)

  1. Je puis t'en assurer par ce que j'en ai vu, v.13 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
  2. Depuis que je vous sers dans vos bonnes fortunes ; v.55 (Acte 1, scène 3, FABRICE)
  3. Puisqu'en tel cas pour vous j'ai de la conscience, v.63 (Acte 1, scène 3, FABRICE)
  4. Du droit de maître ici, puisque vous vous servez, v.85 (Acte 1, scène 3, FABRICE)
  5. Et depuis très longtemps il a ma confidence. v.99 (Acte 1, scène 5, DON ANDRÉ)
  6. Pour moi, qui vous estime autant qu'on puisse faire. v.112 (Acte 1, scène 6, DON ANDRÉ)
  7. Et puisqu'à vous parler, enfin je me résous, v.114 (Acte 1, scène 6, DON GARCIE)
  8. Et c'est une faveur où je puis seul prétendre. v.131 (Acte 1, scène 6, DON GARCIE)
  9. Je cesserais de vivre ; et puisqu'on est mortel, v.205 (Acte 1, scène 7, DON ANDRÉ)
  10. Jusques à son retour puis-je garder Fabrice ? v.347 (Acte 1, scène 10, DON JUAN)
  11. Depuis plus de trois mois, Don André sous ma loi, v.397 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  12. Hé, ne suffit-il pas pour lui que j'y puisse être ? v.403 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
  13. Mourra peut-être, et puis tout s'accommodera. v.462 (Acte 2, scène 2, JACINTE)
  14. Vous-même pensez-vous que je le puisse faire ? v.476 (Acte 2, scène 3, LÉONOR)
  15. Et contre mon bonheur quoi qu'on puisse entreprendre, v.483 (Acte 2, scène 3, DON GARCIE)
  16. Que puis-je craindre après ce que je viens d'entendre ? v.484 (Acte 2, scène 3, DON GARCIE)
  17. Il blâmera vos feux ; puis las de les combattre, v.526 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
  18. Je n'en puis plus, sortons, ma soeur, ô sort funeste ! v.585 (Acte 2, scène 7, DON GARCIE)
  19. J'en suis bien amoureux, puisque j'en suis jaloux. v.612 (Acte 2, scène 8, DON JUAN)
  20. Mon père est malade au lit depuis un mois, v.640 (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
  21. Puisque vous voulez bien prendre cet emploi, v.691 (Acte 2, scène 9, DON JUAN)
  22. Sur ce pied-là de toi je puis avoir besoin. v.703 (Acte 2, scène 10, DON ANDRÉ)
  23. Qui me puisse donner aucun sujet de l'être ; v.730 (Acte 3, scène 2, DON JUAN)
  24. Je suis au lit depuis un mois ; v.735 (Acte 3, scène 2, DON FÉLIX)
  25. Ces troubles, ces chagrins depuis tantôt éclatent, v.778 (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
  26. Oh ! C'est ce que sur moi je ne puis jamais prendre. v.822 (Acte 3, scène 4, LÉONOR)
  27. Puisque c'est moi que l'affaire regarde, v.850 (Acte 3, scène 5, JACINTE)
  28. Quand j'aurai bien soupé, je puis m'aller coucher. v.880 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
  29. Et puis je te rejoins. v.909 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
  30. Et l'on en prend, Dieu sait... Puis dès le même jour v.1132 (Acte 4, scène 3, JACINTE)
  31. Paix! Je ne puis savoir ce secret-là de vous. v.1167 (Acte 4, scène 3, DON FÉLIX)
  32. Puisqu'il faut vous le dire, et sauter le fossé, v.1296 (Acte 4, scène 7, JACINTE)
  33. Depuis plus de six mois qu'il l'adore, je pense, v.1306 (Acte 4, scène 7, JACINTE)
  34. Vous puis-je être utile en quelque affaire ? v.1389 (Acte 4, scène 10, DON JUAN)
  35. Depuis longtemps, Seigneur, même ardeur nous enflamme, v.1394 (Acte 4, scène 10, ISABELLE)
  36. Puisque vous répugnez à la plaisanterie, v.1425 (Acte 5, scène 1, JACINTE)
  37. Je n'ai pu depuis hier te parler à mon aise... v.1445 (Acte 5, scène 2, JACINTE)
  38. Puis-je vous être utile ? v.1525 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
  39. Je l'ai tant éprouvé depuis que je le sers, v.1536 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
  40. Il a depuis un temps, pour vexer Don Garcie, v.1581 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
  41. Mais depuis hier ses feux paraissent augmentés. v.1584 (Acte 5, scène 5, FABRICE)
  42. Il n'y paraîtra pas, je puis vous l'assurer. v.1708 (Acte 5, scène 10, DON FÉLIX)
  43. Il se meurt, et je puis dire ses vérités v.1727 (Acte 5, scène 12, FABRICE)

LE GALANT JARDINIER (1704)

  1. Une jeune enfant, qui a passé toute sa vie dans un couvent, qui n'en sort que depuis quinze jours... (Acte 1, scène 1, MADAME DUBUISSON)
  2. Ce vilain monsieur qui est ici depuis quelques jours ? (Acte 1, scène 2, LA MONTAGNE)
  3. Il n'y a qu'un homme riche et sot qui puisse faire ces dépenses-là. (Acte 1, scène 2, LA MONTAGNE)
  4. Mais venons-en au fait, s'il vous plaît ; j'ai eu la complaisance de m'accorder à vos visions, il faut continuer puisque j'ai commencé. (Acte 1, scène 6, LA MONTAGNE)
  5. Allons, palsangué, boutez dessus ; puisque vous êtes mon neveu, point de çarémonie. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
  6. Il ne faut plus chercher de qui sont les fêtes galantes qui se donnent ici depuis quelques jours ; c'est ce jeune amant, sans doute ? (Acte 1, scène 9, MARTHON)
  7. Au bout du compte, nous sommes arrivés à Paris ; la fin du voyage nous a séparés ; il n'a point eu depuis de mes nouvelles, ni moi des siennes. (Acte 1, scène 9, LUCILE)
  8. Allez, mademoiselle, le meilleur parti que vous puissiez prendre, c'est d'oublier ce jeune homme là, et de ne pas penser que vous l'ayez vu. (Acte 1, scène 9, MARTHON)
  9. Ce nouveau jardinier qui est ici depuis quelques jours... (Acte 1, scène 9, LUCILE)
  10. Vous : on dit que toutes ces dépenses ridicules qui se font depuis quelque temps dans le village sont de votre façon. (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DUBUISSON)
  11. Je ne suis pas le maître dans ma maison depuis que vous y êtes. (Acte 1, scène 19, MONSIEUR DUBUISSON)
  12. Que cela ne vous inquiète point, quelques dépenses qu'il puisse faire, j'ai assez de bien pour les soutenir. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR BAVARDIN)

LES CURIEUX DE COMPIÈGNE (1698)

  1. C'est la maîtresse de Monsieur Mouflard, un de ces Messieurs que j'ai logés chez vous ; c'est avec lui qu'elle est venue de Paris, ils sont fiancés depuis quatre jours. (Acte 1, scène 4, LE CHEVALIER)
  2. Mais, que puis-je là-dedans, moi ? (Acte 1, scène 8, MADAME PINUIN)
  3. Depuis huit jours que nous sommes ici, il n'a jamais manqué l'occasion de me dire les plus jolies choses ? (Acte 1, scène 9, MADAME ROBIN)
  4. Oui, vraiment, et sur la frontière même ; et comme il est un des plus anciens Officiers du Régiment, le moins que vous puissiez espérer, c'est de vous trouver au premier jour la commandante d'un Bataillon. (Acte 1, scène 9, MADAME PINUIN)
  5. Je n'en puis plus, j'en mourrai de chagrin. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR MOUFLARD)
  6. Et puis-je me flatter? (Acte 1, scène 22, CLITANDRE)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1697)

  1. Quelle favorable puissance v.1 (Acte 1, scène 1, THALIE)
  2. Depuis un temps une juste colère v.14 (Acte 1, scène 1, THALIE)
  3. Hé ! Depuis quand à Paris de retour ? v.27 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
  4. Mais enfin depuis quelque temps, v.40 (Acte 1, scène 2, THALIE)
  5. Et puis à peu près, là, sur le ton qu'ils prendront, v.189 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
  6. Je vous seconderai de toute ma puissance. v.244 (Acte 1, scène 3, THALIE)
  7. Je puis vous préparer à quelque grande fête, v.382 (Acte 3, scène 1, LE CHEVALIER)
  8. Puisque vous le voulez, il faut y consentir. v.539 (Acte 4, scène 1, LA COMTESSE)
  9. Puisque nous avons le loisir v.609 (Acte 4, scène 1, LA COMTESSE)
  10. Ah morbleu, que ne puis-je en faire la peinture ! v.751 (Acte 6, scène 1, LE VICOMTE)
  11. J'ai vieilli depuis, et ma voix v.903 (Acte 6, scène 1, MONSIEUR DE SOTTENVILLE)
  12. Oui, je ne puis oublier v.952 (Acte 6, scène 1, OLIMPE)
  13. Madame, je puis donc prétendre à votre foi ? v.956 (Acte 6, scène 1, LE CHEVALIER)
  14. Puisse l'Amour ne nous quitter jamais. v.965 (Acte 6, scène 1, LE MARQUIS)

L'IMPROMPTU DE SURESNES (1713)

  1. Depuis que les Dieux sur la terre v.6 (Acte 1, scène 1, THERSANDRE)
  2. Je veux qu'il y ait cette année une très copieuse et très excellente vendange, qu'on puisse faire passer pour du vin de Champagne. (Acte 2, scène 1, BACCHUS)
  3. Commençons par désobéir, et mettons les choses dans un état qui puisse ôter à nos familles l'espérance de nous désunir. (Acte 2, scène 2, ÉRASTE)
  4. Puissant Dieu des buveurs, pouvais-je mieux marquer mon respect pour vous et pour votre divine liqueur, qu'en la conservant chèrement comme j'ai fait. (Acte 2, scène 6, FORÊT)
  5. Comment diable, depuis près de trois ans je n'ai presque pas remarqué que personne se soit mis en état de me faire véritablement honneur, tant l'avarice des usuriers, comme vous, a pris soin de faire triompher dans le monde mes deux grands ennemis, la soif et la sobriété. (Acte 2, scène 6, BACCHUS)
  6. Depuis trois ou quatre ans, d'intelligence avec les Vignerons et les Courtiers, nous y mettions un prix fort haut, dont on nous donnait des contrelettres. (Acte 2, scène 6, FORÊT)
  7. Ce n'est pas d'aujourd'hui que vous vous connaissez, je sais de vos nouvelles, et Madame Pinterelle est depuis longtemps de vos amies. (Acte 2, scène 13, LA FOLIE)
  8. Mais que vous ne vous épousez-vous puisque vous vous aimez tant. (Acte 2, scène 13, LA FOLIE)
  9. Il y a quinze jours que je suis veuve, et depuis ce temps-là, Madame, nulle satisfaction dans la vie, point de partie de plaisir. (Acte 2, scène 14, LA VEUVE)
  10. Si peu, Madame ; Je me refuse à tout, je n'y ai encore soupé que huit ou dix fois depuis quinze jours ; mais je n'étais encore jamais venue dans celle-ci. (Acte 2, scène 14, LA VEUVE)
  11. Hé de grâce, Madame, ne méprisons pas les guinguettes, puisque je leur dois mon bonheur : c'était où nous avons fait connaissance. (Acte 2, scène 15, LE CHEVALIER)
  12. Oh çà, çà, puisque vous voilà si bien d'accord, il faut que vos noces se fassent en bonne compagnie ; l'air de ce pays-ci est admirable pour les mariages. (Acte 2, scène 15, LA FOLIE)
  13. Vous l'y trouverez, ne vous mettez pas en peine, tout votre vin vieux sera consommé, il n'en restera pas une goutte : oh pour cela, il n'y a que Bacchus qui puisse imaginer des choses comme cela. (Acte 2, scène 16, SILENE)
  14. C'est bien la mienne, puisque c'est mon vin qu'on y boit. (Acte 2, scène 17, FORÊT)
  15. Voilà qui est fait, je le veux bien, vous n'en ferez pas dédit, et la plus grande folie que la Folie puisse faire, c'est d'épouser le Dieu des ivrognes. (Acte 2, scène 19, LA FOLIE)
  16. Son puissant secours v.90 (Acte 2, scène 20, L'AMOUR)

RENAUD ET ARMIDE (1692)

  1. Vous êtes toujours chagrin, et depuis dix ans que je vous sers, je ne vous ai jamais vu de bonne humeur, pas même à la mort de Madame votre femme. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Vous êtes un peu crasseux aussi, j'en demeure d'accord, puisque vous le voulez ; mais comme vous avez du bien? croyez-moi, Monsieur, je ferais un peu décrasser ma fille, si j'étais à votre place. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  3. Je n'en puis plus, je me meurs, Lolive. (Acte 1, scène 12, CLITANDRE)
  4. Je ne puis plus vous soutenir, je vous en avertis, Madame. (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  5. Vous n'avez guère pensé à moi depuis que nous ne nous sommes vus ? (Acte 1, scène 12, LISETTE)
  6. Il est vrai que depuis que nous vous avons perdues, désespérés de ne point trouver dans le quartier de l'Université de quoi nous consoler de notre infortune, nous nous sommes logés dans le faubourg ; et par les conseils de Madame Jaquinet, Monsieur postule pour être Officier de Dragons. (Acte 1, scène 14, LOLIVE)
  7. Puis-je rien voir que vos appas ? v.29 (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
  8. De quelque manière que la chose puisse être, je vous demande votre fille pour mon fils, me la refuserez-vous ? (Acte 1, scène 22, MONSIEUR FILASSIER)
  9. Ah, je n'en puis plus, je me meurs ; perfide, barbare ! (Acte 1, scène 23, MADAME JAQUINET)

LE CHEVALIER À LA MODE (1687)

  1. Bon, bon, Madame, vous seriez, ma foi, bien embarrassée, si vous vous trouviez comme certaines grandes Dames de par le monde, à qui tout manque, et qui malgré leur grand nom, ne sont connues que par un grand nombre de créanciers, qui crient à leurs portes depuis le matin jusques au soir. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  2. Que diriez-vous, si vous vous trouviez réduite à gagner à pieds votre logis, comme quelques-unes à qui cela est arrivé depuis peu ? (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  3. Mais, est-il possible qu'il y ait des gens qui se puissent méconnaître jusqu'à ce point-là ? (Acte 1, scène 3, MADAME-PATIN)
  4. Robe ou Finance, tout m'est égal ; et depuis huit jours, je me suis résolue d'avoir un nom de Cour, et de ceux qui emplissent le plus la bouche. (Acte 1, scène 3, MADAME-PATIN)
  5. Ah, puisque c'est un mariage de conscience, je n'ai plus rien à vous dire. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  6. Ah, je m'en souviens, oui, oui ; c'est une vieille importune qui me fatigue depuis huit jours, pour parler en sa faveur, et je vous écrivis hier pour m'en débarrasser. (Acte 1, scène 4, MADAME-PATIN)
  7. Écoute, Lisette, puisque tu me parles franchement, je t'avouerai de bonne foi que le caractère de Madame Patin m'a toujours fait peur, et que sans certains intérêts de mon fils, je n'aurais jamais songé à l'épouser. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-MIGAUD)
  8. Mais, Monsieur le fat, taisez-vous, encore une fois ; et ne venez point gâter une affaire, qui est peut-être la meilleure qui me puisse arriver. (Acte 1, scène 7, LE-CHEVALIER)
  9. Ce n'est que depuis quatre jours que je la vois tous les soirs aux Tuileries. (Acte 1, scène 7, LE-CHEVALIER)
  10. Hé, Monsieur, c'est par exemple, un fort beau carrosse qu'elle a fait mettre sous une de vos remises, deux gros chevaux dans votre écurie, un cocher et un gros barbet qui ont amené tout cela, et que je vais renvoyer, puisque vous le voulez. (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
  11. Parbleu, vous viendrez, puisque vous voulez garder l'équipage. (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
  12. Je vais le voir avec vous ; et puisque c'est pour me plaire que vous faites cette dépense, je serai bien aise d'être la première à vous en dire mon sentiment. (Acte 1, scène 8, MADAME-PATIN)
  13. Vous m'auriez fait plaisir de me souffrir seule aujourd'hui ; mais, puisque vous voilà, finissons, je vous en prie. (Acte 2, scène 2, MADAME-PATIN)
  14. Vous devriez, Monsieur Serrefort, ne me point reprocher des choses où je ne me suis exposée que parce qu'on me croit votre belle-soeur ; mais, voilà qui est fait, Monsieur Serrefort, je ferai afficher que je ne la suis plus depuis mon veuvage, je vous renonce pour mon beau-frère, Monsieur Serrefort ; et puisque jusqu'ici mes dépenses, la noblesse de mes manières, et tout ce que je fais tous les jours, n'ont pu me corriger du défaut d'avoir été la femme d'un partisan, je prétends... (Acte 2, scène 2, MADAME-PATIN)
  15. Mais, ma tante, puisque vous êtes ma tante, pourquoi faut-il que je vous appelle autrement ? (Acte 2, scène 4, LUCILE)
  16. Vous marier au plutôt, s'il vous plaît, avec ce Monsieur que vous aimez, afin que cela m'autorise à épouser celui que j'aime aussi, et que quand mon père voudra me quereller, je puisse lui répondre : Je n'ai pas fait pis que ma tante. (Acte 2, scène 4, MADAME-PATIN)
  17. Oh bien, ma nièce, puisque vous êtes dans de si bonnes dispositions, je veux bien vous faire une confidence, que je n'aie encore faite à personne qu'à vous. (Acte 2, scène 4, MADAME-PATIN)
  18. Puisque cela est, je l'admire par avance, et je le trouve des mieux entendus. (Acte 2, scène 7, MADAME-PATIN)
  19. Je ne puis sortir d'aujourd'hui, Madame. (Acte 2, scène 9, MADAME-PATIN)
  20. Allons, Madame, puisque vous le voulez. (Acte 2, scène 9, MADAME-PATIN)
  21. Ma foi, je ne sais ; mais puisque la voici, je vais lui laisser ces tablettes ; elle les donnera à sa Maîtresse ? (Acte 2, scène 10, CRISPIN)
  22. Tu n'as que faire de les ouvrir, il n'y a encore rien de drôle ; et mon Maître ne les a que depuis peu. (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
  23. Puisque l'affaire vous touche, il n'est pas extraordinaire que je m'y trouve intéressé : vous avez eu quelque démêlé de carrosse à carrosse, avec une Marquise, qu'on nomme Dorimène. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR-MIGAUD)
  24. Faites-lui donc au moins parler par quelque personne qui puisse la persuader mieux que je n'ai fait. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR-MIGAUD)
  25. Un siège, je n'en puis plus. (Acte 3, scène 3, MADAME-PATIN)
  26. N'achevez pas, Madame, puisque vous êtes si sensible. (Acte 3, scène 3, LISETTE)
  27. Il y en a même, je crois, beaucoup d'oubliées ; mais, ce ne sont point mes Maîtresses ; et puisque Monsieur Crispin s'est diverti à mes dépens, et que cette liste vous irrite si fort contre moi, je prétends que ce soit lui qui me justifie... (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  28. Que diable, vous me ferez dire quelque sottise, et puis vous vous fâcherez contre moi. (Acte 3, scène 4, CRISPIN)
  29. Il n'importe, je veux bien vous croire innocent, puisque vous tâchez de le paraître ; et je vous aurais, je crois, pardonné, si je vous avais trouvé coupable. (Acte 3, scène 4, MADAME-PATIN)
  30. Depuis deux mois entiers, je me refuse à toutes les parties de plaisir qu'on me propose ; je n'en trouve qu'à vous voir, qu'à vous aimer, qu'à vous le dire ; je vous le jure à tous moments ; je surmonte, pour vous le persuader, l'aversion naturelle que les jeunes gens du siècle ont pour le mariage ; je renonce à toutes les compagnies ; je romps vingt commerces des plus agréables ; je désespère peut-être les plus aimables personnes de France. (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
  31. Je sens bien que vous me trompez, et je ne puis m'empêcher d'être trompée. (Acte 3, scène 4, MADAME-PATIN)
  32. Hé bien, Monsieur Guillemin, puisque Madame le veut, passez dans son cabinet avec elle, dressez le contrat comme il lui plaira ; elle me paraît si raisonnable, que je signerai tout aveuglément. (Acte 3, scène 6, LE-CHEVALIER)
  33. Et croyez-vous qu'un homme de Cour puisse être riche au temps où nous sommes ? (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  34. Puisqu'il fait des vers, il n'y a rien à dire. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  35. Car enfin, puisqu'ils sont pour vous, cela vous fait plus d'honneur qu'à moi-même. (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
  36. Ah, Madame, vous ne m'aimez plus, puisque vous êtes insensible au chromatique dont cet air est tout rempli. (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
  37. Va dire à ton Maître que pour de certaines raisons, je ne le puis voir que sur les dix heures, et qu'il ne manque pas de venir juste à cette heure-là. (Acte 4, scène 6, MADAME-PATIN)
  38. Oh çà, puisque je n'ai point d'argent à porter à mon Maître, ce que j'ai à lui dire n'est point si pressé. (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
  39. Sais-tu bien que c'est le plus grand service que tu lui puisses rendre, que de détourner ce mariage ? (Acte 5, scène 1, MONSIEUR-SERREFORT)
  40. Hé bien, ma nièce, qu'est-ce que je puis faire pour vous ? (Acte 5, scène 5, MADAME-PATIN)
  41. Hé, pourquoi donc, perfide, puisque tu trouves avec moi tous ces avantages, deviens-tu amoureux de ma nièce ? (Acte 5, scène 6, MADAME-PATIN)
  42. Peut-on être insensible, Madame, et se trouve-t-il des coeurs dans le monde qui puissent résister à tant de charmes ? (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)

LA FOLLE ENCHÈRE (1690)

  1. Pour moi, je ne puis vivre dans l'incertitude. (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  2. Ma pauvre Lisette, garde-toi bien de rien dire qui puisse donner à ma mère aucun soupçon de la vérité. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  3. Elle est bien contente d'elle depuis quelque temps. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  4. Je n'en puis plus, je suis au désespoir. (Acte 1, scène 5, MADAME-ARGANTE)
  5. Il y a une adroite de par le monde, qui depuis quelques jours prend soin d'observer sa conduite. (Acte 1, scène 5, MADAME-ARGANTE)
  6. Arrivée depuis trois mois seulement de la Province la plus reculée, je n'ai commencé à briller dans le beau monde que sous ce déguisement ; et de l'air dont je fais le jeune homme, je donne aux yeux les plus pénétrants à démêler que je ne le suis pas. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
  7. Je ne sais que penser, Monsieur ; vous voulez ménager mes rivales, puisque vous voulez éviter l'éclat. (Acte 1, scène 11, MADAME-ARGANTE)
  8. Que fais-je si son caprice n'irait point jusqu'à ne pas souffrir ce mariage, quelque avantageux qu'il me puisse être, s'il ne trouvait en mêle temps un parti considérable pour ma soeur ? (Acte 1, scène 11, ANGÉLIQUE)
  9. Parbleu, mon cher, il me semble que pour vider les petits comptes que nous avons ensemble, je ne te puis mieux joindre que dans cette maison. (Acte 1, scène 13, MERLIN)
  10. Je suis dans l'admiration, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 1, scène 13, MERLIN)
  11. Hé morbleu, pourquoi nous battre, puisque Madame nous accorde ? (Acte 1, scène 13, MERLIN)
  12. Ne me contraignez point à la passer avec une personne que je ne puis souffrir. (Acte 1, scène 22, ANGÉLIQUE)
  13. Je suis engagé de parole avec vous, j'en demeure d'accord ; mais, vous savez que depuis quelque temps, la parole est l'esclave de l'intérêt. (Acte 1, scène 22, MERLIN)

LE RETOUR DES OFFICIERS (1697)

  1. Oui, j'étais Rat de cave comme vous savez ; et par amiquié depuis qu'il est ici, je l'y sarvais parfois de valet de chambre, je ne suis rian de tout ça ; je charche condition : si vous en saviez queuque bonne où on portît la queue, par exemple, ça porte bonne chance. (Acte 1, scène 3, MATURIN)
  2. Tu es bonne personne, nous nous connaissons depuis longtemps, c'est toi qui m'as produit ici, le nid est bon, tu sais mes besoins, il faut me servir, je fais ta fortune. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
  3. Tenez, depuis que je suis en train d'hériter, il me vient du bien de tous les côtés. (Acte 1, scène 11, DES BALIVEAUX)
  4. Oh bien, bien, puisque la paix est faite, j'irai à la guerre. (Acte 1, scène 11, DES BALIVEAUX)
  5. Puisque vous allez bailler la robe, il ne faudra plus porter la queue, et vous aurez besoin de votre justaucorps. (Acte 1, scène 12, MATURIN)
  6. Laissez la faire, puisqu'elle vous aime, vous avez l'avantage, une fois. (Acte 1, scène 17, TOINETTE)
  7. Puisque l'amour n'est pas pour vous, v.22 (Acte 1, scène 20, MADEMOISELLE GODEFROI, FLAMANDE)
  8. Puisse aussi changer de nature, v.63 (Acte 1, scène 20, MONSIEUR TOUVENEL)

LA FÊTE DE VILLAGE. (1700)

  1. Ma femme n'est pas à beaucoup près si extravagante que sa soeur, et toutes les tentatives que j'ai faites pour régler son esprit et ses manières, n'ont jusqu'à présent servi de rien ; je serai réduit, je pense, pour éviter les altercations que nous avons tous les jours ensemble, à prendre le parti d'extravaguer avec elle, puisqu'il n'y a pas moyen qu'elle soit raisonnable avec moi. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR BLANDINEAU)
  2. Vivons à présent comme dans le temps présent ; et puisque c'est le bien qui fait vivre, pourquoi ne pas vivre selon son bien ? (Acte 1, scène 2, NAQUART)
  3. C'est un plaisir que vous aurez ; et puisque vous approuvez la chose, j'emploierai, pour la faire réussir, des moyens dont je ne me servirais pas sans votre aveu. (Acte 1, scène 2, NAQUART)
  4. Oui, Monsieur Blandineau, moi-même, puisque j'ai eu la complaisance de prendre une queue toute unie, je me la ferai porter, s'il vous plaît, pour ne pas figurer avec la populace. (Acte 1, scène 6, MADAME BLANDINEAU)
  5. Je ne puis pas suffire à toute la famille, c'est à qui m'aura. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  6. Oh, pour moi, je ne comprends pas comment depuis huit jours que nous sommes ici, vous n'avez point eu de ses nouvelles : il faut qu'il soit mort ou malade. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  7. J'ai perdu ma femme, et puis j'avons cette année bon vin, bonne récolte, je sommes tretous si aises. (Acte 2, scène 1, LE MAGISTER)
  8. Je n'en puis plus. (Acte 2, scène 3, MADAME BLANDINEAU)
  9. Je ne puis pas être de votre souper, je m'en retourne à Paris, je viens prendre congé de vous, mes chers enfants. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
  10. Je ne puis différer mon départ. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
  11. Et moi, je suffoque, je n'en puis plus. (Acte 2, scène 4, MADAME BLANDINEAU)
  12. Il y a dans la Ville un Tabellion qui règle tout, moyennant trente ou quarante francs par année ; et puis quand on a bons sens, bon esprit, on n'a qu'à juger à la rencontre, c'en est assez pour des gens de Province. (Acte 2, scène 4, MADAME CARMIN)
  13. Je n'y puis plus tenir, je suis au désespoir ; Monsieur Blandineau en achètera une qui m'ennoblisse, ou je ne le veux voir de ma vie. (Acte 2, scène 4, MADAME BLANDINEAU)
  14. Oh bien, Monsieur, puisqu'il est ainsi, ne signez donc pas, je vous en avertis ; car cela est tout autrement que vous ne souhaitez. (Acte 3, scène 10, LA GREFFIÈRE)

LA COMÉDIE DES COMÉDIENS (1710)

  1. Vous exigerez peut-être qu'il la pousse plus loin, et qu'il devienne un peu des amis de Léandre, qui depuis longtemps est si fort des nôtres. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  2. Mes vues sont bornées, Madame, je veux faire comme Léandre ; il a tenté fortune par plusieurs routes, il a été écolier en droit, apprentif notaire, façon d'abbé, régent de sixième, commis de la douane, avocat, maître à danser : il s'est fait depuis peu comédien, ce n'est pas le plus mauvais parti qu'il pouvait prendre. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  3. Cela se rencontre le mieux du monde, Éraste mon ami et mon camarade est aussi depuis quelque temps épris des charmes d'Isabelle. (Acte 1, scène 2, LÉANDRE)
  4. Oui, ma chère enfant, depuis notre mariage je suis galant et de meilleure humeur que je n'ai jamais été, et j'ai imaginé, pour vous faire plaisir, de vous donner ici ce soir une espèce de petit bal, une façon de petite fête. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
  5. J'étais un des meilleurs appuis du Théâtre Italien, je leur ai bien fait gagner de l'argent. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GRICHARDIN)
  6. Ils n'en plairaient peut-être pas davantage ; mais puisque vous vous obstinez tous tant que vous êtes à ne point prendre ce caractère-là, j'en imagine un pour moi qui en tiendra quelque chose. (Acte 2, scène 4, MARTON)
  7. Non, Monsieur, puisque vous voilà, vous y prendrez part, et nous pouvons en attendant? (Acte 2, scène 9, MONSIEUR GRICHARDIN)
  8. Depuis une goutte consulaire qui m'a prise, je n'ai de santé que les Fêtes et les Dimanches, encore ne marchai-je pas trop sûrement. (Acte 2, scène 9, MEZZETIN)
  9. Puisque cela est ainsi, il faut donc changer de personnage, et tâcher de vous plaire sous une autre figure. (Acte 2, scène 9, MEZZETIN)
  10. Est-il quelque chose que je ne puisse faire ? (Acte 2, scène 11, ANGÉLIQUE)
  11. Les persécutions que la jalousie de Junon a fait souffrir à quelques-unes de mes maîtresses ; le peu de fortune que j'ai fait aux autres, tout cela m'a décrié, vois-tu ; et depuis que cet aveugle Dieu Plutus a répandu dans l'univers un certain genre d'hommes qu'il favorise, at qui sont devenus les maîtres de toutes les richesses des autres, les femmes n'ont point d'égard au rang et à la dignité, l'éclat seul des trésors les éblouit : et j'aurais toutes les peines du monde, moi qui te parle, à trouver à l'heure qu'il est une petite Grisette de la première main. (Acte 3, scène 1, JUPITER)
  12. Je n'y retournerai qu'avec l'Amour : je veux faire la paix avec lui, à quelque prix que ce puisse être. (Acte 3, scène 1, JUPITER)
  13. Je suis convaincu que pour la bienséance, et pour la santé même, il faut être sobre ; et je ne puis me corriger d'être ivrogne et gourmand. (Acte 3, scène 2, LE DOCTEUR)
  14. Non, c'est un petit libertin qui s'est mis dans le goût de voyager, et après qui nous courons depuis quelques jours. (Acte 3, scène 2, JUPITER)
  15. Je parle aussi, Monsieu ; et pour le faire court, je vous dirai que je les voyais, que je leur parlais, et puis tout d'un coup je ne les ai plus vus ; la porte s'est ouverte d'elle-même, crac, les velà dedans. (Acte 3, scène 4, PIERROT)
  16. Il n'y a rian qui ne se puisse faire, je ménagerai ça ; mais vous me montrerez aussi la Musique à moi, par-dessus le marché. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
  17. Vraiment oui, il y en a trois à cette main-là dont je ne puis me servir. (Acte 3, scène 7, PIERROT)
  18. Tout va le mieux du monde, mon cher Mercure : il faut que nous soyons étrangement déguisés, puisque, tout Dieux que nous sommes, nous avons eu peine à nous reconnaître. (Acte 3, scène 8, L'AMOUR)
  19. Ils sont divins, s'ils égalent les vôtres ; et je ne conçois pas, pour moi, que personne dans le monde puisse disputer avec vous, ni de l'agrément, ni de la beauté. (Acte 3, scène 9, L'AMOUR)
  20. Je fais comme je dois faire ; et je le suis aussi, puisqu'il faut vous le dire. (Acte 3, scène 13, PIERROT)
  21. Puisque cela est comme ça, Messieux, entrez par la grande, ce n'est pas la peine que vous fassiez le tour. (Acte 3, scène 13, PIERROT)
  22. On les attend à la petite porte ; et puis mon maître a fait entrer deux Dieux chez lui : moi qui ne suis que le valet, j'y fais entrer deux hommes : nous voilà à deux de jeu ; ça est dans les règles. (Acte 3, scène 14, PIERROT)
  23. Parbleu, puisque je l'ai signé, tout coup vaille ; en faveur du plaisir que vous nous avez donné, je passe la fourberie que vous m'avez faite. (Acte 3, scène 18, MONSIEUR GRICHARDIN)
  24. Seigneur l'Amour, puisque votre excellence v.124 (Acte 4, scène 1, GUILLOT-GORJUS)
  25. Mais puisqu'enfin l'Hymen vous unit de sa chaîne? v.256 (Acte 4, scène ", L'AMOUR)
  26. Dé rian du tout, puisqu'il de veine. v.265 (Acte 4, scène ", MATHURINE)
  27. Et m'a depuis ce temps toujours tenu en chambre. v.286 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)
  28. Puis l'hiver à Paris nous recommencerons. v.345 (Acte 4, scène 4, LE CHEVALIER)

L'OPÉRA DE VILLAGE (1693)

  1. Depuis cinquante ans je sommes les Farmiers du Château, de père en fils : c'est à nous de faire les honneurs de la fête. (Acte 1, scène 2, THIBAUT)
  2. Nous savons un peu vos allures, vous êtes bon prince, Monsieur Galoche, et je veux bien vous l'avouer, puisque aussi bien vous vous en doutez : c'est à la petite fille en question que nous en voulons. (Acte 1, scène 4, LA FLÈCHE)
  3. Parguene autant vaut, puisqu'elle est promise. (Acte 1, scène 6, THIBAUT)
  4. Mon Maître est arrivé depuis une heure. (Acte 1, scène 8, LA FLÈCHE)
  5. Puisque tu t'en doutes, je veux bien te le dire ; mais, n'en parle à personne, ma cousine. (Acte 1, scène 9, LOUISON)
  6. Il est ici depuis une heure, et il veut m'emmener avec lui ; conseille-moi, que faut-il que je fasse ? (Acte 1, scène 9, LOUISON)

DIVERTISSEMENT DE SCEAUX (1705)

  1. Et puisque le hasard? nous conduit heureusement dans une Cour aussi charmante que celle-ci, auprès d'une Souveraine si agréablement vertueuse, nous vous prions de lui faire agréer que... nous ayons, s'il vous plaît, l'honneur de lui donner... un petit plat de notre métier. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR POISSON)
  2. Depuis le jour qu'Apollon v.44 (Acte 1, scène 1, LE DRUIDE)

SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR (1712)

  1. Je ne puis exprimer quel plaisir je reçois v.3 (Acte 1, scène 1, LE DUC)
  2. Je puis vous l'assurer, moi, Sancho. v.46 (Acte 1, scène 1, LE DUC)
  3. Et que dès aujourd'hui vous puissiez gouverner. v.52 (Acte 1, scène 1, LE DUC)
  4. Et puis vous assurer, quand vous me faites Grand, v.55 (Acte 1, scène 1, SANCHO)
  5. Car je puis bien jurer qu'une pareille grâce v.117 (Acte 1, scène 3, SANCHO)
  6. Déjà depuis longtemps j'ai connu que mon maître v.129 (Acte 1, scène 3, SANCHO)
  7. Je puis prendre pour vrai tout ce qu'il se figure : v.134 (Acte 1, scène 3, SANCHO)
  8. Quand je serai trompé, si grand que je puisse être, v.169 (Acte 1, scène 4, SANCHO)
  9. Puisque le Ciel pour nous a fait d'heureux loisirs, v.204 (Acte 1, scène 8, LE DUC)
  10. Qui pourront l'élever au rang des plus puissants ; v.251 (Acte 1, scène 9, LE DUC)
  11. Puisque c'est les servir que flatter leur manie, v.257 (Acte 1, scène 9, LA DUCHESSE)
  12. Que depuis son lever, jusqu'à ce qu'il se couche, v.285 (Acte 1, scène 10, LE DUC)
  13. Depuis qu'en vos exploits Sancho vous accompagne, v.293 (Acte 1, scène 10, SANCHO)
  14. Puissant Libérateur v.336 (Acte 1, scène 12, CARISAL)
  15. Hé le puis-je ? v.388 (Acte 1, scène 12, CARISAL)
  16. Je lui suis redevable autant qu'on puisse l'être : v.441 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  17. Et puisqu'à ce haut rang le Ciel m'a destiné, v.443 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  18. Sur ta grandeur naissante, où tu puisses trouver v.447 (Acte 2, scène 1, DON QUICHOT)
  19. Voilà des pots-pourris que je ne puis comprendre. v.549 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  20. Quoi qu'on en puisse dire, et quoi qu'on en enrage, v.561 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  21. Monseigneur Don Guichot, je n'y puis consentir : v.568 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  22. Pour ne rien hasarder qui vous puisse déplaire. v.590 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  23. Il est certain, quoi que l'on puisse dire, v.597 (Acte 2, scène 1, SANCHO)
  24. On n'en fait rien, pourtant, et je ne puis m'en taire. v.622 (Acte 2, scène 2, SANCHO)
  25. Dans mon Gouvernement, puisqu'il faut qu'on m'essaie, v.629 (Acte 2, scène 2, SANCHO)
  26. Qu'on se dépêche donc, et puis, que l'on me paie. v.630 (Acte 2, scène 2, SANCHO)
  27. J'y viens. Mon Bachelier depuis deux ou trois mois, v.659 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
  28. Depuis pour l'amour d'elle il pleure comme un veau : v.664 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
  29. Mais je ne puis blâmer l'amour qui le transporte, v.665 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
  30. Car depuis cinquante ans qu'on dit qu'elle est tombée v.685 (Acte 2, scène 3, PERALTE)
  31. Où diable puis-je prendre un millier de ducats ? v.708 (Acte 2, scène 3, SANCHO)
  32. À ce que je puis voir je suis en bon renom, v.806 (Acte 2, scène 8, SANCHO)
  33. Que je puisse attendre en ces lieux v.825 (Acte 2, scène 8, DON QUICHOT)
  34. Quels meilleurs sujets puis-je prendre ? v.829 (Acte 2, scène 8, LE DUC)
  35. Vous puissiez nous donner des décisions justes, v.895 (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
  36. Ma foi j'en doute aussi, puisque vous en doutez. v.897 (Acte 3, scène 1, SANCHO)
  37. Puis-je m'en dispenser ? Est-il un mal plus grand, v.904 (Acte 3, scène 2, LA BOHEMIENNE)
  38. Jugeons, puisqu'il le faut, v.986 (Acte 3, scène 3, SANCHO)
  39. Voyez depuis quel temps je m'en suis emparée, v.1032 (Acte 3, scène 4, MADAME RODRIGUE)
  40. Je puis vous protester que j'en ai conservé v.1071 (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  41. Je ne puis, Monseigneur, me résoudre à le faire. v.1085 (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  42. Et depuis quelques jours une tendre beauté, v.1087 (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  43. Et si je vous en dois, je ne puis vous payer. v.1095 (Acte 3, scène 4, DON CARLOS)
  44. En très peu de discours, et puis troussez bagage. v.1165 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
  45. D'où il vient, où il va, puis aussitôt jugé : v.1175 (Acte 3, scène 6, L'ÉTRANGER)
  46. Hé ! Que ne le pend-on, puisqu'il est content ? v.1190 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
  47. Qu'on ait à la casser, puisqu'elle n'est pas bonne. v.1225 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
  48. Voilà dans tout ceci ce que je puis résoudre. v.1232 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
  49. Mais puisqu'il est écrit, pour rendre la justice, v.1236 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
  50. Puisque j'ai si bien fait, je veux m'en tenir là. v.1243 (Acte 3, scène 6, SANCHO)
  51. Il est vrai ; cependant depuis une heure entière v.1263 (Acte 4, scène 1, SANCHO)
  52. Il n'en est point sur qui les Grands ne puissent mordre. v.1314 (Acte 4, scène 2, SANCHO)
  53. Point de milieu, docteur, quoi qu'il puisse arriver, v.1319 (Acte 4, scène 2, SANCHO)
  54. Puisque c'est Monseigneur le Duc qui de sa grâce v.1373 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
  55. Ont depuis étendu la défense aux Laquais ; v.1412 (Acte 4, scène 3, LE DOCTEUR)
  56. Ne puis-je par hasard savoir comme on vous nomme, v.1450 (Acte 4, scène 3, SANCHO)
  57. Que vous puissiez manger de tout en sûreté. v.1520 (Acte 4, scène 5, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
  58. Et que j'en puisse aussi manger en quantité. v.1521 (Acte 4, scène 5, SANCHO)
  59. Et je ne puis la soulager ; v.1583 (Acte 5, scène 2, SANCHO)
  60. Quelque part que vous puissiez être ; v.1603 (Acte 5, scène 2, SANCHO)
  61. Que faire ? Où puis-je recourir ? v.1612 (Acte 5, scène 2, SANCHO)
  62. Et je suis fort trompé si j'en puis faire rien. v.1627 (Acte 5, scène 3, SANCHO)
  63. Si je puis faire un pas. v.1633 (Acte 5, scène 4, SANCHO)
  64. Mais très résolument je ne puis m'en passer. v.1674 (Acte 5, scène 7, MENDOCE)
  65. On m'a voulu couper le chef, et puis l'oreille : v.1689 (Acte 5, scène 10, SANCHO)
  66. Puisque le grand Sancho, pour être tout à lui, v.1750 (Acte 5, scène 12, LE DUC)
  67. Perdre même les yeux, je ne puis demeurer : v.1755 (Acte 5, scène 12, SANCHO)
  68. Puisque ma dernière victoire v.1892 (Acte 5, scène 16, DON QUICHOT)
  69. Puisque vous m'avouez pour votre Souveraine, v.1899 (Acte 5, scène 16, DULCINEE)
  70. Tout coup vaille, il est bon, puisque tout aujourd'hui v.1922 (Acte 5, scène 17, SANCHO)
  71. Puis de myrte couronnée, v.1995 (Acte 5, scène 17, ARCHELAÜS)

LE CHARIVARI (1697)

  1. Pour cela il n'y a que la jeunesse, ou l'amour, qui puisse autoriser cette partie de plaisir. (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
  2. Mais la Madame Loricart est une vieille folle qu'il n'y a pas moyen d'apprivoiser ; et depuis trois semaines qu'elle est dans ce village, je n'ai pas osé en aborder. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
  3. Que c'était une bonne parsonne que ma marraine, alle m'aimait bian pendant son vivant ; mais du depuis qu'elle est trépassée... (Acte 1, scène 6, THIBAUT)
  4. En après ça je deviendrai veuf, et puis vela le garçon, je serai heureux comme un petit roi ; car je ne l'aime pas, moi, Madame Loricart ; et si ce n'était que je m'ennuie d'être Jardinier... (Acte 1, scène 6, THIBAUT)
  5. Toujours tout de même, alle nous fait enrager, comme de coutume ; alle ne veut jamais ce que je voulons, et alle veut toujours ce que je ne voulons pas ; et si je fais tout ce que je puis, moi, pour avoir l'honneur de ses bonnes grâces. (Acte 1, scène 9, MATHURINE)
  6. Je ne puis condamner les sentiments de ma nièce ; si pourtant elle avait suivi ceux de sa mère, elle serait maîtresse d'un gros bien, elle aurait un douaire considérable... (Acte 1, scène 9, CLÉONTE)
  7. Oh dame, accoutez, on est bian aise d'avoir queuque chose de bon pour son argent, et puis il m'est avis qu'une honnête femme ne doit point vouloir d'un mari sot. (Acte 1, scène 9, MATHURINE)
  8. Il n'en sera pargué rian, vous dis-je : je sais bian ce qui en arriverait, je sis brutal, je me connais, je n'aime pas les gausseries, je casserais la tête à queuqu'un, qui en trépasserait, la Justice s'en voudrait mêler, et puis crac, vela le marié branché ; le beau commencement de noce ! (Acte 1, scène 14, THIBAUT)
  9. Morgué, pas trop, et puis velez-vous que je vous dise, vous avez de vilaines manières, Madame. (Acte 1, scène 20, THIBAUT)

LE VERT-GALANT (1699)

  1. Ma foi, Monsieur, c'est le meilleur parti que nous puissions prendre. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
  2. C'est à quoi je ne puis me résoudre, mon pauvre Lépine. (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
  3. Depuis que j'ai l'honneur de vous servir, ou à Paris, ou à la Garnison, Monsieur, je ne vois pas que vous ayez eu de bonnes fortunes fort utiles. (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
  4. Je me suis remarié depuis peu, comme tu sais, ou comme tu ne sais pas. (Acte 1, scène 3, JÉRÔME)
  5. Ne puis-je pas savoir... (Acte 1, scène 9, ÉRASTE)
  6. Puissiez-vous encor dans cent ans v.37 (Acte 1, scène 27, JAVOTTE)

SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX (1707)

  1. Parfaitement bien, Monsieur le Diable, je n'ai jamais été si gai et si gaillard que depuis que vous vous mêlez de mes affaires ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SIMON)
  2. Vous êtes le Diable le plus amusant et le plus agréable que je connaisse ; il n'y a ni société ni compagnie à laquelle je ne préférasse la vôtre, et je ne puis assez vous remercier de m'avoir défait de votre camarade Monsieur Pillardoc, qui m'obsédait depuis plus de trente ans, et de vouloir bien à sa place, me prendre sous votre protection. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SIMON)
  3. L'honneur de votre présence, et l'avantage de posséder un Héros comme vous, sont de terribles aiguillons pour un Diable qui aime tant soit peu la gloire ; et puis, j'avais bien pris mon champ de bataille en l'attaquant auprès d'Orléans, Monsieur Pillardoc n'avait pas beau jeu. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
  4. Ceux qui avaient affaire de Monsieur, ceux qui avaient affaire à Madame, il m'en venait de tous côtés ; je me trouvai au bout de trois ans, plus de huit mille livres, Monsieur le Diable ; et le Seigneur Pillardoc les mit entre les mains d'un Agent de Change, qui avait été Page comme moi, et qui, en me rendant quinze et demi pour cent, y trouvait encore autant de profit pour lui, à ce que j'ai su depuis, par l'expérience que j'en ai faite. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SIMON)
  5. Depuis ce temps-là, pour faire enrager le mari, l'Amant me prit en amitié ; il me fit son Commis, me mit dans une affaire où je gagnai beaucoup, puis dans une autre, où je gagnai davantage ; et puis encore dans d'autres, tant qu'à la fin je me trouvai dans une où j'étais l'associé du mari de Madame. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR SIMON)
  6. Je vous en réponds, j'y veux travailler sérieusement ; et pour commencer, il faut vous faire voir ce qui se passe chez vous pendant votre absence, depuis qu'on vous croit mort, surtout. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
  7. C'est un bruit que j'ai fait courir depuis quelque temps. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
  8. Je vous ai mises dans le plus joli poste qu'on puisse souhaiter pour ne se point ennuyer, où vous devez déjà avoir fait un nombre infini de conquêtes. (Acte 1, scène 2, LE DIABLE)
  9. Madame Simon, une jeune veuve qui ne l'est que depuis huit jours, et qui n'a pas même pris le deuil, parce qu'elle n'est pas tout à fait sûre de l'être. (Acte 1, scène 3, THÉRÈSE)
  10. Et depuis la chute des feuilles jusqu'au Printemps, ce logis est une espèce de Temple, où l'on ne reçoit que les gens de guerre, et où tout Amant de Ville est proscrit et regardé comme un profane. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  11. Une femme d'une dépense prodigieuse, dont la maison ne désemplit pas de Colonels et de Capitaines, depuis la nouvelle de la mort de son mari ; qui se charge ouvertement du ridicule de loger chez elle un jeune Chevalier dans un appartement à côté du sien. (Acte 2, scène 1, BERTRAND)
  12. Cela est bien consolant pour une jeune coquette, qui n'a perdu un vieux mari que depuis douze ou quinze jours. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  13. Si le mort n'était pas mort, je vous réponds qu'elle ne serait pas si gaie, et puis on a reçu des lettres, qui ne laissent pas lieu d'en douter, et Madame attend à toute heure un certificat dans les formes, pour épouser Monsieur le Chevalier. (Acte 2, scène 1, LISETTE)
  14. Oui, Madame, et je ne crois pas que depuis ce temps-là le canon vous les ait emportées. (Acte 2, scène 2, LE MAJOR)

LE BON SOLDAT (1718)

  1. Il a dit, le lisant, puis-je croire cela ? v.39 (Acte 1, scène 2, JOCRISSE)
  2. Puis prenant ses cheveux et la piau de sa tête, v.41 (Acte 1, scène 2, JOCRISSE)
  3. Qu'il en puisse envoyer un plus petit que lui. v.84 (Acte 1, scène 5, GROGNARD)
  4. Mais je vois bien qu'enfin je n'y puis consentir. v.168 (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
  5. Je ne puis m'empêcher de répandre des larmes. v.170 (Acte 1, scène 10, GROGNARD)
  6. Je ne puis, v.171 (Acte 1, scène 10, GROGNARD)
  7. Non, puisque son départ causera mon trépas. v.175 (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
  8. Puisque je me résous à souffrir votre absence, v.185 (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
  9. Je ne puis me résoudre à souffrir ton absence, v.189 (Acte 1, scène 10, GROGNARD)
  10. Puisque le clair de lune est le plus beau du monde. v.198 (Acte 1, scène 10, JACINTE)
  11. Puis il est tard, la nuit sera bientôt passée. v.225 (Acte 1, scène 12, LE SOLDAT)
  12. Puis-je, mon Accordé, Monsieur, étant aux champs, v.227 (Acte 1, scène 12, ANGÉLIQUE)
  13. Je crois depuis deux ans vous l'avoir dit cent fois, v.276 (Acte 1, scène 15, ANGÉLIQUE)
  14. Pourquoi s'en revenir puisqu'il était si tard v.324 (Acte 1, scène 16, ANGÉLIQUE)
  15. Qui vous plaira, je crois, puisqu'il me semble bon. v.404 (Acte 1, scène 17, LE SOLDAT)
  16. J'ai tort, je suis mieux qu'eux puisqu'ils sont tous au Diable ; v.478 (Acte 1, scène 17, GROGNARD)

LE PRIX DE L'ARQUEBUSE (1717)

  1. Et depuis que ton père est devenu riche, et qu'il s'est fait Prévôt de la Ville, de simple Sergent qu'il était, depuis qu'il regorge de richesses, et que l'on dit qu'il a trouvé un trésor, il semble que cela te chagrine, et ta chance ne te tourne point à profit. (Acte 1, scène 1, NANETTE)
  2. N'est-ce point que tu aurais quelque amoureux, dont tu serais amoureuse de ton côté, à qui tu crois que ton père ne voudra pas te donner depuis qu'il a fait fortune, lui ? (Acte 1, scène 1, NANETTE)
  3. Ne serait-ce point que tu aurais quelque amoureux, mais bien amoureux, dont tu n'aurais été d'abord guères amoureuse, et puis après un peu davantage, et puis ensuite autant qu'il fallait, et puis un peu trop sur la fin ? (Acte 1, scène 1, NANETTE)
  4. Depuis la cave jusqu'au grenier, tout est rempli dans les cabarets, an si divarti bian, an fait bonne chère, et an ne manquera pas sitôt de provision, ni pour la pause, ni pour la danse. (Acte 1, scène 3, NICOLAS)
  5. Esprit borné, petit génie, vous ne méritez pas le bonheur qui vous arrive, puisque vous n'avez pas assez de lumières pour le prévoir. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE GIRAUT)
  6. Je me donne au diable, vous rêvez encore, ma soeur : allez-vous-en achever votre songe, et puis nous en verrons la suite. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR MARTIN)
  7. Il n'en sera rien, j'y mettrai bon ordre ; et puisqu'il ne songe point à me marier, je me marierai fort bien toute seule. (Acte 1, scène 6, MADEMOISELLE GIRAUT)
  8. Je ne puis pas bien dire qui vous êtes ; mais cependant votre visage ne m'est pas tout-à-fait nouveau. (Acte 1, scène 7, MADEMOISELLE GIRAUT)
  9. Je puis donc avec confiance lui déclarer les sentiments que j'ai pour vous, et lui demander en grâce? (Acte 1, scène 9, DORANTE)
  10. Je t'ai vu si fort ennemi de l'engagement sérieux ; tu perds tes bonnes qualités, je ne puis croire que tu te sois défait des mauvaises. (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
  11. Encore m'en fait-on mauvais gré, je n'ai jamais vu de nation plus incorrigible ; c'est ce qui fait que je n'y vais plus ; je rode aux environs, et je m'occupe depuis un temps à corriger les gens de Province. (Acte 1, scène 14, BRACASSAK)
  12. Puisque le respect pour les Dames ne vous retient pas, il est bon de vous dire que je me regarde comme le gendre de Monsieur le Prévôt. (Acte 1, scène 19, DORANTE)

LES FÊTES NOCTUNES DU COURS (1714)

  1. Je veux les brouiller, j'y réussirai, c'est dans cette vue que j'ai fait avertir Célide de notre partie, et que j'ai commencé, moi, depuis quelques jours, à me brouiller avec mon banquier d'Amiens. (Acte 1, scène 2, CIDALISE)
  2. Nous trouvons tous que c'est la meilleure forme qu'on y puisse donner pour notre profit. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
  3. Il n'y a pourtant qu'un sot qui vous la puisse faire, et il vaut mieux que ce soit celui-là qu'un autre. (Acte 1, scène 3, CINOEDOR)
  4. Cela ne me sera pas bien difficile, j'ai pour le reste de la nuit seulement une façon de toute-puissance dans ces promenades, dont je prétends me servir utilement pour le bonheur de bien des Amants. (Acte 1, scène 5, MARTON)
  5. Depuis quelques jours on y rencontre que des Masques ; et de toute la soirée, je n'ai encore pu parler à aucun visage. (Acte 1, scène 6, L'OLIVE)
  6. Je ne puis reconnaître personne sous le masque. (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
  7. Il ne l'aime pas trop lui-même, puisqu'il veut bien devenir son mari. (Acte 1, scène 9, MARTON)
  8. Il l'adore, je le sais ; elle l'aime, si elle l'épouse, je n'en puis douter ; je connais la vertu de Célide ; je réponds du coeur de Clitandre. (Acte 1, scène 9, CLITANDRE)
  9. J'ai emprunté depuis quatre jours mille pistoles pour me rapprocher en bon équipage. (Acte 1, scène 17, BUTORVILLE)
  10. Je ne sais pas de quelle utilité votre présence me peut-être, à moins que vous ne vouliez faire pour moi les honneurs du réveillon, et que Madame me permette de retourner dans le moment à Paris, où ce très puissantes raisons me pressent de me rendre. (Acte 1, scène 20, CLITANDRE)
  11. Je ne puis vous cacher que je vous aime : redites-moi que vous m'aimez, Clitandre, et ne me trompez pas, je vous en conjure. (Acte 1, scène 20, CÉLIDE)
  12. De toute sa puissance v.202 (Acte 1, scène 22, TOUS)

LA FEMME D'INTRIGUES. (1692)

  1. On vous y fournira des femmes de toutes tailles, de tous âges ; et si vous plaidez, vous y trouverez des Solliciteuses depuis une pistole jusqu'à trente : voilà ce qu'on appelle une bonne boutique ; il n'y a point ici de nenni. (Acte 1, scène 2, LA BRIE)
  2. Par la petite porte, elle est ce qu'elle a coutume d'être, elle se mêle d'intrigues, fait des mariages, prête sur gages ; et par la porte cochère, elle est veuve d'un Conseiller de Bretagne, qui depuis quelques jours est venue s'établir à Paris. (Acte 1, scène 2, GABRILLON)
  3. Je n'en puis plus, donne-moi une chaise. (Acte 1, scène 3, MADAME THIBAUT)
  4. Celui-là vous était recommandé, sans doute, puisque vous le nommez des premiers. (Acte 1, scène 3, MADAME THIBAUT)
  5. L'Abbé Castoret, puisqu'il est tant de vos amis, dites-lui que le Prieur Coffard n'est pas dans la volonté de le mettre en possession de rien, qu'aux conditions qu'il sait. (Acte 1, scène 3, MADAME THIBAUT)
  6. Ne me faites pas parler vous-même ; et comptez, quoi qu'il puisse arriver, que je ne montrerai jamais pour une pistole, ce serait le moyen de me décrier. (Acte 1, scène 4, LE MAÎTRE À DANSER)
  7. Vraiment, mon petit ami, vous faites bien le renchéri depuis que je vous ai donné les moyens de vous faire un des Syndics de la danse. (Acte 1, scène 4, MADAME THIBAUT)
  8. Non, Madame, je n'ai point été chez moi depuis mon retour de Versailles, j'ai quelques ordres à donner. (Acte 2, scène 3, LA RAMEE)
  9. Si c'est dans le service que vous souhaitez d'entrer, je ne puis rien pour vous. (Acte 2, scène 6, MADAME THIBAUT)
  10. Quelque bien que l'on puisse faire aux uns, on est presque toujours blâmé par les autres. (Acte 3, scène 1, MADAME THIBAUT)
  11. Elle s'est jetée depuis quelques jours dans le goût des petits collets. (Acte 3, scène 5, GABRILLON)
  12. Puisque vous voulez attendre, je vais le dire à la Maîtresse. (Acte 3, scène 7, GABRILLON)
  13. Si vous n'en étiez pas si pressé, je connais un jeune homme qui s'est brouillé depuis peu avec la femme d'un Banquier : s'ils ne se raccommodent pas ; son carrosse sera bien votre fait. (Acte 3, scène 8, MADAME THIBAUT)
  14. Je n'en puis plus. (Acte 3, scène 8, ARAMINTE)
  15. Je ne puis pas en conscience aller contre l'intention du fondateur, il faut que je boive d'obligation. (Acte 3, scène 10, LE COCHER)
  16. Mais, çà voyons, puisqu'il s'agit de vous marier, peut-on savoir, Monsieur_le_Marquis, à combien peut monter votre revenu ? (Acte 3, scène 12, MADAME THIBAUT)
  17. Cela n'est rien, puisque vous revenez de bonne foi. (Acte 4, scène 1, MADAME THIBAUT)
  18. Mais tu ne sais pas que depuis la séparation, ma mère a pris le temps que mon père était à la campagne, pour faire enlever de chez lui pour sept à huit cents pistoles de vieille vaisselle, que depuis trois jours elle a troquée pour de la neuve. (Acte 4, scène 1, LÉANDRE)
  19. Elle vous a déjà fait accroire que c'est moi qui ai dit à Monsieur, que Madame se faisait descendre tous les jours de carrosse dans la cour neuve du Palais, et puis qu'elle allait trouver Monsieur le Chevalier, qui l'attendait vis-à-vis saint Barthélemy dans un Fiacre. (Acte 4, scène 7, LE PETIT DRAGON)
  20. Laissez-moi un moment, je vous prie, j'ai le coeur si serré que je ne puis parler. (Acte 4, scène 15, MADAME THIBAUT)
  21. Pardonnez-moi vraiment ; cinq cent écus d'abord, puis deux cents pistoles. (Acte 4, scène 15, MADAME THIBAUT)
  22. Laissez faire, si je puis parvenir à mettre une pièce sur le théâtre sans être sifflée, on me verra aussi bien étoffé qu'un autre. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DE LA PROTASE)
  23. Si j'étais de vous, puisqu'elles réussissent si bien sur le papier, je me ferais apporter un fauteuil, et je les lirais moi-même en plein Théâtre. (Acte 5, scène 2, GABRILLON)
  24. Comme je ne puis faire pour moi, que je ne fasse en même temps pour trous les autres Poètes mes confrères, j'ai trouvé qu'il était à propos d'adresser mon Placet au nom de toute ma communauté des Auteurs, de Paris s'entend. (Acte 5, scène 2, MONSIEUR DE LA PROTASE)
  25. Je ne puis me lasser de te venir voir. (Acte 5, scène 5, ARDALISE)
  26. Je ne puis me lasser de les voir. (Acte 5, scène 5, ARDALISE)

LE DIABLE BOITEUX (1707)

  1. C'est moi, qui, en rentrant par la force des conjurations de votre mari, dans la fiole dont Cléophas m'avait tiré, passai par votre appartement, et qui a depuis fâché tant le Magicien, et qui est cause de l'aventure à qui je dois ma liberté. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
  2. Oh, sans colère, Madame Thérèse, remerciez-moi de ne mettre qu'un joli homme sur votre compte, vous savez bien que j'en puis nommer d'autres. (Acte 1, scène 1, LE DIABLE)
  3. Depuis quand es-tu ici ? (Acte 1, scène 5, MARTON)
  4. Tu as raison, puisqu'il m'a déshéritée. (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
  5. J'étouffe, je me meurs, je n'en puis plus, Marton. (Acte 1, scène 10, MADAME LUCAS)
  6. Dépêche-toi donc, Marton, je ne puis rester seule, et je crois toujours voir le défunt. (Acte 1, scène 15, MADAME LUCAS)
  7. Oui vraiment, votre mari ; depuis que vous êtes sortie d'ici, il me lutine d'une manière ; là, là, là, là, ne le voilà-t-il pas derrière vous ? (Acte 1, scène 17, MARTON)
  8. Le voilà, Madame : Mais je puis vous dire que je n'ai jamais signé d'acte en ma vie avec tant de répugnance que celui-là. (Acte 1, scène 18, LE NOTAIRE)
  9. Je n'en puis plus ! (Acte 1, scène 18, MADAME LUCAS)
  10. Point d'invectives, Madame Lucas : faites enterrer le défunt sans mausolée, puisque la succession vous manque, et laissez-nous nous applaudir d'avoir pu vous prendre pour dupe. (Acte 1, scène 18, LÉPINE)

LES FÉES. (1699)

  1. Ma puissance est presque épuisée, v.13 (Acte 1, scène 1, LA FÉE)
  2. Dont on jouit sous sa puissance, v.21 (Acte 1, scène 1, LA F?E)
  3. Quel temps à leur plaisir puis-je mieux consacrer, v.29 (Acte 1, scène 1, LA F?E)
  4. La peste m'étouffe si j'en sais rien ; il est trop scabreux de se mêler de vos affaires, à vous autres Grands, et je ne veux point me brouiller avec les Puissances. (Acte 2, scène 2, DARINEL)
  5. J'aurais tort, ma soeur, assurément, et je passerais condamnation pour Finette, si vous n'aviez pas la première trouvé l'art de mettre auprès de Cléonide la plus grande ennemie que je puisse avoir. (Acte 2, scène 2, BLANDONIE)
  6. Puisque vous avez si peu de complaisance pour moi, ma soeur, attendez-vous pour votre élève à toutes les traverses que je pourrai vous faire. (Acte 2, scène 2, MELISENDE)
  7. Vous en avez pour moi, apparemment, puisque vous m'en souhaitez pour vous ? (Acte 2, scène 4, FINETTE)
  8. Quel songe avez-vous fait depuis peu ? (Acte 2, scène 5, FINETTE)
  9. Un sommeil léger et tranquille assoupissait ce matin tous mes sens : mais il n'en avait suspendu l'usage que pour les flatter de l'illusion la plus agréable que tu te puisses imaginer. (Acte 2, scène 5, INEGILDE)
  10. J'ai bien jugé, ma soeur, que ma présence vous surprendrait agréablement ; et le peu de fréquentation que les Fées nous ont permis depuis que nous vivons sous leur puissance, n'a pas dû vous préparer à la visite que je vous fais. (Acte 2, scène 8, CLEONIDE)
  11. Comme j'ai à vous parler d'affaires réjouissantes, mes enfants, je suis bien aise de ne voir auprès de vous que des visages qui me réjouissent, et devant qui je ne sois pas obligé de garder une incommode gravité, qui m'a terriblement gêné depuis que la Fée votre mère s'avisa de me faire Souverain. (Acte 2, scène 9, ASTUR)
  12. Qu'il doit sa gloire et sa puissance ; v.143 (Acte 2, scène 10, UNE HABITANTE DE L'ÎLE)
  13. La Fortune épuise v.150 (Acte 2, scène 10, UNE HABITANTE DE L'ÎLE)
  14. Parlez, Seigneur ; ce n'est pas d'aujourd'hui que nous nous connaissons ; j'ai toujours été bon à mille choses, et je me suis encore bien appris, depuis que vous ne m'avez vu, j'ai presque toujours vécu parmi des femmes. (Acte 2, scène 9, DARINEL)
  15. Je ne puis quasi pas lui parler moi-même. (Acte 2, scène 10, FINETTE)
  16. Autorisez d'un tendre aveu l'ardent amour que vous avez fait naître, et les obstacles les plus puissants s'opposeront vainement à mon bonheur. (Acte 2, scène 12, ZIRPHILIN)
  17. Ma foi, je ne sais ; mais depuis que nous l'avons perdue, on s'en aperçoit furieusement dans la famille. (Acte 2, scène 14, ASTUR)
  18. Je l'ai approuvé sur ce que vous m'avez dit : mais depuis que je l'ai vu de loin seulement... (Acte 2, scène 14, ASTUR)
  19. Donnez-vous le temps de le connaître autrement, n'autorisez point Inégilde à ne pas rendre justice au mérite et à la vertu d'un Prince que j'ai choisi pour son époux, et qui ne peut manquer de l'être, puisque c'est moi qui l'ai résolu. (Acte 2, scène 14, MELISENDE)
  20. Je sais, Madame, ce que je dois à vos bontés : mais puisque celles de mon père m'autorisent à parler avec sincérité, je ne chercherai point de vains discours, et je vous dirai naturellement que je ne me résoudrai jamais à prendre l'engagement que vous avez projeté. (Acte 4, scène 1, INEGILDE)
  21. Il est borné, Madame, une puissance au-dessus de la vôtre, me dérobe à cette contrainte. (Acte 4, scène 1, INEGILDE)
  22. Arrêtez, Prince, et recevez un aveu de mes sentiments qui puisse autoriser ceux que vous ne pouvez vous empêcher de laisser paraître pour Inégilde. (Acte 4, scène 5, CLEONIDE)
  23. Ma fille est perdue, elle n'est pas seule, on nous la ramènera quelqu'un de ces jours ; tout ce que je puis, c'est de la faire chercher moi-même dans toute l'étendue de mes États. (Acte 4, scène 7, ASTUR)
  24. Quelle puissance invisible me force de les adorer ! (Acte 4, scène 10, ASTIBEL)
  25. Oui, Prince, je sais les sentiments que vous avez pour Cléonide ; c'est moi qui vous les ai si soudainement inspirés : puissiez-vous être à jamais heureux. (Acte 4, scène 14, BLANDONIE)
  26. Oh oui, puisque j'ai tant de belles qualités, je souscris à tout, voilà qui est fini : mais à condition que je ne verrai plus de tracasserie, et que les Fées seront mieux d'accord. (Acte 4, scène 14, ASTUR)

COLIN-MAILLARD. (1701)

  1. Je ne me fie point à ma tante, je crains qu'elle n'ait donné quelque avis à ce Capitaine, et je te recommande sur toutes choses de faire si bonne garde aux environs de ce logis, que personne n'en puisse approcher sans que j'en sois averti. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR ROBINOT)
  2. puis : voulez-vous que je vous dise, il me paraît qu'elle en aime quelque autre. (Acte 1, scène 3, MADAME BRILLARD)
  3. Depuis douze ans qu'elle est ma pupille, ses revenus et les miens se sont tellement mêlés et confondus, que cela fait une espèce d'embarras ; et pour en sortir aisément, je veux tâcher de n'avoir de compte à rendre qu'à moi-même. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR ROBINOT)
  4. Depuis hier matin, Madame. (Acte 1, scène 6, LÉPINE)
  5. Mon pauvre Lépine, il s'est fait depuis tantôt aussi d'étranges révolutions dans mon coeur (Acte 1, scène 14, ÉRASTE)
  6. Venez, venez, je vous aurons biantôt fagotés, et puis après ça je songerons au reste. (Acte 1, scène 14, MATHURIN)
  7. Je n'en puis plus douter, c'est un perfide. (Acte 1, scène 19, ANGÉLIQUE)
  8. Oui, traître, et mon plus grand chagrin, c'est que cela ne puisse pas t'en donner. (Acte 1, scène 20, ANGÉLIQUE)
  9. Fi, je ne le puis souffrir, moi. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR ROBINOT)

LES BOURGEOISES À LA MODE. (1692)

  1. C'est une femme de fort bon sens, qui aime les plaisirs, le jeu, la compagnie ; et depuis deux jours je me suis avisé de lui persuader de donner à jouer chez elle, pour avoir occasion d'y venir plus souvent, et pouvoir entretenir Mariane de la tendresse que j'ai pour elle. (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
  2. Monsieur le Notaire, qui est bourgeois depuis les pieds jusqu'à la tête, ne veut pas que sa fille prenne les manières de sa femme, et nous n'avons point avec elle tout le commerce qu'elle voudrait bien avoir avec nous. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  3. Puisqu'elle doit venir, il n'y a point de réponse, je la lui ferai moi-même. (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
  4. Il ne tient qu'à vous d'être parfaitement heureuse : belle, jeune, bien faite, spirituelle, vous êtes aimée de tous ceux qui vous voient, et vous avez le bonheur de n'aimer personne que votre Mari, que vous n'aimez guères ; vous êtes sans aucune passion dominante, que celle de vos plaisirs ; vous avez en moi une fille dévouée à tous vos sentiments, quelque déraisonnables qu'ils puisent être, et vous ne cherchez qu'à troubler la tranquillité de votre vie par des inégalités perpétuelles. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  5. Non vraiment, ma pauvre Lisette, je n'ose médire de personne, je ne puis risquer la moindre petite querelle avec des femmes qui me déplaisent. (Acte 1, scène 5, ANGÉLIQUE)
  6. Je vous demande pardon, Madame : c'est celui d'une Comtesse dont je ne puis tirer d'argent. (Acte 1, scène 7, MADAME AMELIN)
  7. Je lui ai depuis six mois fourni trois paires de hanches, il n'y a pas moyen que j'en sois payée. (Acte 1, scène 7, MADAME AMELIN)
  8. Hé bien, puisque vous comprenez, cela suffit, allez vite. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
  9. À cela près, Janot est bon garçon, et je ne puis m'empêcher de l'aimer. (Acte 1, scène 8, MADAME AMELIN)
  10. Je vais dépenser de l'argent, puisque j'en ai. (Acte 2, scène 4, ANGÉLIQUE)
  11. Comme une femme qui n'a pas dormi depuis vingt-quatre heures. (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  12. Tantôt complaisant jusqu'à l'excès, puis aussitôt brutal à la fureur : quelquefois content d'une chose qui lui déplaît un quart_d_heure après. (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
  13. Puisque vous prenez si bien les choses, vous n'êtes pas si fort à plaindre. (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  14. Hé, puisque vous êtes si habile, ne pouvez-vous pas deviner le reste ? (Acte 2, scène 7, LISETTE)
  15. Il n'y a personne, Monsieur, depuis le matin Monsieur est en Ville, et Madame vient de sortir avec Madame votre épouse. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  16. Quel parti, moi ; je suis pour Madame : et si vous voulez que je vous parle net, je ne crois pas qu'un mari puisse avoir raison. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  17. Assurément, c'est grand dommage qu'on ne puisse troquer de femme. (Acte 2, scène 8, LISETTE)
  18. Qu'elle me regarde comme le meilleur ami qu'elle puisse avoir. (Acte 2, scène 8, MONSIEUR GRIFFARD)
  19. Hé, pourquoi les changer, puisqu'elle s'en trouve bien ? (Acte 2, scène 9, LISETTE)
  20. Depuis l'affaire du diamant... (Acte 2, scène 9, MONSIEUR SIMON)
  21. Depuis le diamant ! (Acte 2, scène 9, LISETTE)
  22. Ah, ah, hé quelles affaires importantes te sont survenues depuis que je t'ai quittée ? (Acte 3, scène 5, FRONTIN)
  23. Hé, de quoi vous embarrassez-vous, puisque vous êtes toutes deux d'accord ? (Acte 3, scène 6, LISETTE)
  24. Elle donnera là-dedans assurément, quelque fine qu'elle puisse être. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  25. Envoyez-lui de l'argent qu'elle puisse recevoir comme d'un remords de conscience de quelque fripon converti. (Acte 3, scène 9, LISETTE)
  26. Non vraiment, mais il est toujours bon de lui faire valoir les choses ; et quelque chagrin qu'il en puise avoir dans la suite, il n'aura pas le mot à dire, ce sera lui qui l'aura voulu. (Acte 3, scène 10, LISETTE)
  27. Puis-je parler à Mariane ? (Acte 3, scène 11, LE CHEVALIER)
  28. Puisqu'il est ainsi, sans façon, Monsieur le Chevalier... (Acte 3, scène 12, FRONTIN)
  29. Tenez, Monsieur le Chevalier, je ne sais ce que c'est que de l'amour ; je ne puis dire que je vous aime, mais je suis bien aise que vous m'aimiez. (Acte 4, scène 1, MARIANE)
  30. Vous devriez être morte, depuis le temps que vous vivez comme vous faites. (Acte 4, scène 5, MONSIEUR SIMON)
  31. Cela me fera de la peine assurément ; mais puisque vous le voulez absolument, Monsieur, je tâcherai de trouver les moyens de me rendre ma prison supportable. (Acte 4, scène 6, ANGÉLIQUE)
  32. Les joueuses ont des ressources inépuisables, et les femmes à qui leurs maris ne donnent point d'argent, ne sont pas toujours celles qui en dépensent le moins. (Acte 4, scène 6, LISETTE)
  33. Vous n'avez point vu Araminte depuis le dernier billet que je lui ai rendu de votre part ? (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
  34. Je ne puis m'empêcher de vous plaindre. (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
  35. Oh bien, Monsieur, puisqu'il est ainsi, vous ne saurez rien. (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
  36. Parbleu, Monsieur, je n'y entends point de finesse ; puisque vous faites tant de façons, je vous baise les mains, je suis votre serviteur... (Acte 4, scène 9, FRONTIN)
  37. Ma pauvre Lisette, je n'en puis plus, je ne saurais me soutenir, je tremble. (Acte 5, scène 1, MARIANE)
  38. Nous avons depuis tantôt raisonné Frontin et moi, et nous avons trouvé un moyen sûr pour vous marier, quand votre père ne le voudrait pas. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
  39. C'est pour une chose que je ne puis dire qu'à lui-même. (Acte 5, scène 7, MONSIEUR JOSSE)
  40. Et puisqu'il en est ainsi, moi, je vais faire venir la personne à qui il appartient ; s'il est écrit qu'il sera perdu pour moi, j'aime mieux qu'il retourne à son vrai maître. (Acte 5, scène 12, FRONTIN)
  41. Tredame, Monsieur Janot, puisque Monsieur Janot y a, aura quand je le voudrai une bonne Charge de vingt mille écus que je lui mettrai sur la tête. (Acte 5, scène 14, MADAME AMELIN)

LA PARISIENNE (1691)

  1. Entrez chez votre jeune maîtresse, puisque vous y voici ; sa présence seulement, peut-être, adoucira l'aigreur de votre rhume. (Acte 1, scène 1, LA VIGNE)
  2. Fils d'un père puissamment riche? (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  3. Mais pour le désespoir où il a réduit mon amour, je ne puis le lui pardonner. (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
  4. On l'a vue depuis dans ce quartier, et peut-être y demeure-t-elle. (Acte 1, scène 3, L'OLIVE)
  5. Et depuis quand de retour ? Je te croyais dans le fond de l'Italie ! (Acte 1, scène 5, LA VIGNE)
  6. Qu'as-tu fait, infâme, depuis que tu as tout déménagé de chez moi ? (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  7. Je vous regardais en pitié ; car, je suis fort humaine, moi ; et je ne puis souffrir les personnes, que je n'aie une passion extraordinaire de les soulager. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  8. Ah, si j'en puis avoir, je m'en servirai bien, je t'en réponds. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
  9. Mais enfin, que puis-je faire pour vous ? (Acte 1, scène 8, LISETTE)
  10. Je ne songeais à Dorante que depuis l'absence d'Éraste. (Acte 1, scène 11, ANGÉLIQUE)
  11. Deux petits collets, maltraités du Lansquenet, Madame, qui depuis un quart d'heure m'arrêtent à cent pas d'ici, et pour quoi. (Acte 1, scène 14, LISIMON)
  12. Mais, puisqu'il est chez vous, qu'il y demeure : à quoi bon s'exposer mal à propos ? (Acte 1, scène 16, DAMIS)
  13. Allons donc, puisqu'il faut que j'en passe par là. (Acte 1, scène 16, DAMIS)
  14. Mais, quand puis-je espérer? (Acte 1, scène 18, DORANTE)
  15. Elle a raison ; puisque c'est une chose qu'il faut faire, dépêchons d'en être quittes. (Acte 1, scène 18, LA VIGNE)
  16. Oui, Monsieur, puisque vous reconduisez les autres, vous ne pouvez moins faire pour celui-ci. (Acte 1, scène 23, LISETTE)
  17. Puis-je me flatter, Madame? (Acte 1, scène 25, ÉRASTE)
  18. Ma fille vous aime, cela me suffit : puissiez-vous être longtemps heureux ! (Acte 1, scène 25, OLIMPE)

L'ÉTÉ DES COQUETTES (1754)

  1. Hé bien, soit, parlons donc caprice, puisque le terme de raison vous effarouche. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Vous m'avez ruiné, Madame, et je ne puis payer comptant que deux cent pistoles. (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
  3. Il y a peu de gens qui puissent écrire aussi noblement. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
  4. Je me suis donné un carrosse depuis quelques jours, Madame. (Acte 1, scène 7, DES SOUPIRS)
  5. J'étais né pour toute autre chose ; mais je ne me repends point du parti que j'ai pris, puisqu'il me donne quelquefois les moyens d'être auprès de Madame. (Acte 1, scène 7, DES SOUPIRS)
  6. Je n'en puis plus. (Acte 1, scène 10, ANGÉLIQUE)
  7. Je n'en puis revenir. (Acte 1, scène 14, CIDALISE)
  8. Moi, je ne puis m'empêcher d'en rire. (Acte 1, scène 14, ANGÉLIQUE)
  9. Depuis un mois il est parti pour moi. (Acte 1, scène 14, ANGÉLIQUE)
  10. Je n'y puis demeurer plus de quatre jours. (Acte 1, scène 21, CLITANDRE)
  11. Vous êtes un adroit fripon, Clitandre, puisque vous m'avez trompée. (Acte 1, scène 21, ANGÉLIQUE)
  12. Ma foi, Madame, puisque vous êtes si bonne, je vous avouerai tout ingénument ; mais pardonnez-moi cette bagatelle, ou ne m'empêchez pas du moins de me justifier près de Cidalise. (Acte 1, scène 21, CLITANDRE)
  13. Qu'avez-vous fait Monsieur, depuis que vous m'avez quittée ? (Acte 1, scène 22, CIDALISE)
  14. Oh je n'y puis plus tenir, en vérité, et j'ai trop d'horreur pour l'imposture. (Acte 1, scène 22, CIDALISE)
  15. Je n'en suis pas trop informée ; mais autant que j'en puis juger, on a fait entendre à ces Dames que depuis votre dernier départ vous avez toujours été en garnison dans le château de Martin-sec. (Acte 1, scène 22, LISETTE)
  16. Non, traître ; et puisque tu n'es pas parti, tu ne partiras point, sur mon honneur. (Acte 1, scène 23, LA COMTESSE)

LA DÉSOLATION DES JOUEUSES (1687)

  1. Madame, puis-je espérer que le changement dont on parle aujourd'hui dans tout Paris, fera changer les sentiments de Madame votre mère, et croyez-vous qu'elle me pardonne maintenant de n'être pas joueur de profession ? (Acte 1, scène 2, DORANTE)
  2. Je le crois, pour moi, et il me semble qu'il n'y a pas lieu d'en douter, puisque voilà vos sentiments justifiés par arrêt. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  3. Je vous réponds de mon coeur, Dorante ; mais je ne puis vous répondre de ma mère. (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
  4. Eh bien ! Crois-tu que je puisse hasarder une seconde demande ? (Acte 1, scène 2, DORANTE)
  5. J'ai depuis quelques jours un maître fripon avec moi, que je crois reconnaître, et qui ne s'est point fait mon valet sans quelque dessein. (Acte 1, scène 2, DORANTE)
  6. Vous savez, Monsieur, que depuis le peu de temps que j'ai l'honneur d'être à vous, je me suis toujours volontiers acquitté des commissions que vous m'avez données. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  7. Mon dessein n'est pas de te nuire, au contraire mais puisque tu m'as fait l'honneur de me choisir pour ton maître, il est juste que je profite de tes petits talents. (Acte 1, scène 3, DORANTE)
  8. Monsieur, puisqu'il faut dire comme vont les choses, il est vrai qne je me suis autrefois mêlé de quelques petites bagatelles, mais je vous assure que j'ai tout oublié. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  9. Je ne suis pas encore trop bien raccommodé avec la justice, et nous boudons ensemble depuis quelque temps. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  10. Mais, Monsieur, puisque vous devinez si bien les choses, je ne vous nierai point que quelques unes de ces petites bagatelles, quelques décrets mal purgés, m'ont fait résoudre à me mettre auprès de quelque honnête personne qui eût soin de moi, et qui m'honorât de sa protection en cas de besoin. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  11. Tantôt on est marquis, tantôt chevalier, puis marchand, quelquefois abbé, financier souvent. (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  12. Quand nous aurons épuisé l'Angleterre, nous passerons en Hollande. (Acte 1, scène 5, DORIMÈNE)
  13. Il faut que la marquise soit malade, puisqu'elle n'est point arrivée la première. (Acte 1, scène 6, LA-COMTESSE)
  14. Je n'en puis plus. (Acte 1, scène 8, L-INTENDANTE)
  15. Puis-je vous être utile à quelque chose, Madame ? (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
  16. Je suis au désespoir, voyez-vous, et j'ai déjà voulu me pendre trois fois depuis ce matin. (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
  17. Vous êtes des personnes raisonnables, et vous savez avec quelle bonne foi j'ai prêté mon argent au tiers et au quart depuis près de deux ans. (Acte 1, scène 9, LE-CAISSIER)
  18. Eh bien Madame, puisque vous y avez joué à la bassette, nous pouvons bien y jouer au lansquenet, sans difficulté. (Acte 1, scène 12, L-INTENDANTE)
  19. Puisque l'on veut plaisanter, je plaisante mieux qu'homme du monde. (Acte 1, scène 13, LE-CHEVALIER)

L'IMPROMPTU DE LIVRY (1705)

  1. De ses premiers regards tout ressent la puissance. v.23 (Acte 1, scène 1, LE PÂTRE)
  2. Ah, m'y voilà. On m'a fait Capitaine de ce Château, Madame, pour tout le temps que vous y demeurerez ; et je suis bien fâché que vous y demeuriez si peu, puisque ma Charge finira quand vous partirez, et c'est une bonne condition que celle du Maître de la maison. (Acte 1, scène 4, LE CAPITAINE)
  3. Que puisse à son tour v.67 (Acte 1, scène 5, FLORE)

LA FOIRE DE BESONS (1694)

  1. Il y est depuis deux jours, sa fille est avec lui. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  2. Nous sommes trop bons amis pour avoir des secrets l'un pour l'autre, et je me reproche de t'en avoir fait un, depuis six jours, de mon mariage avec Cidalise. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  3. Je suis si mal avec lui depuis longtemps, et il en use si mal avec sa famille, que j'ai cru pouvoir me dispenser... (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  4. Franchement, Frosine, ma figure lui fait honneur, et depuis qu'on s'est avisé de porter des visages dans le monde, il n'y a guères que le mien qu'elle puisse se vanter d'avoir fait. (Acte 1, scène 4, MADAME ARGANTE)
  5. Mais il n'y a point de jeune homme, quelque déterminé qu'il puisse être, qui ose vous insolenter de cette manière-là. (Acte 1, scène 5, FROSINE)
  6. C'est une petite Bourgeoise des plus jolies, qui m'avait ici donné rendez-vous : il lui arrive un accident, je ne puis pas avec bienséance la ramener chez elle toute nue. (Acte 1, scène 8, LE CHEVALIER)
  7. Je ne sais à qui j'ai l'obligation de l'ajustement où me voilà ; mais on m'a fait si grand plaisir, que je ne puis remercier assez... (Acte 1, scène 10, MADAME GUILLEMIN)
  8. Cela se rencontre fort mal au contraire ; et je ne puis en conscience, moi, donner les mains au bernement d'un Financier de ma connaissance. (Acte 1, scène 15, FROSINE)
  9. Il en arrivera ce qu'il pourra ; puisqu'on ne me mène point promener en ce pays-ci, j'irai fort bien me promener toute seule. (Acte 1, scène 16, CHOUCHETTE)
  10. Oui, je demeure chez lui depuis que ma tante a fait semblant de me mener au Couvent. (Acte 1, scène 16, CHOUCHETTE)
  11. Il faudra bien qu'il y consente, puisque tu le veux si sérieusement. (Acte 1, scène 19, CIDALISE)
  12. Tout ce que je puis pour ton service, c'est de faire bonne mine à Monsieur Griffard tout aujourd'hui. (Acte 1, scène 19, CIDALISE)
  13. Est-il possible que je puisse être un seul moment sans songer à cette inhumaine de Cidalise. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFFARD)
  14. Est-il possible que parmi tant de monde, je ne trouverai point quelqu'un qui puisse me dire, où est la maison de Monsieur Griffard ? (Acte 1, scène 22, FROSINE)
  15. Et n'avez-vous jamais remarqué que depuis quelque temps, elle est presque toujours à ses fenêtres pour vous voir passer ? (Acte 1, scène 22, FROSINE)
  16. Puisque nos coeurs sont si bien d'accord, pourquoi chercher à se faire de la peine ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIFFARD)
  17. Que puis-je faire qui vous fasse plaisir ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR GRIFFARD)
  18. Allez vous-en sarrer ça, Monsieur le Tabellion, et puis vous viandrez boire un coup. (Acte 1, scène 26, L'OLIVE)
  19. Depuis huit jours je suis votre nièce, je ne puis pas sitôt devenir votre femme. (Acte 1, scène 27, CIDALISE)
  20. Vous ne pouvez désapprouver le choix que j'ai fait, mon oncle, puisqu'il est si fort de votre goût. (Acte 1, scène 27, CLITANDRE)
  21. Ma foi vous êtes faits l'un pour l'autre, associez vos chagrins et vos infortunes, c'est le meilleur parti que vous puissiez prendre. (Acte 1, scène 27, L'OLIVE)
  22. En attendant l'effet de vos menaces, profitons du temps présent nous autres ; et continuons de nous réjouir, puisqu nous avons réussi dans notre entreprise. (Acte 1, scène 27, L'OLIVE)

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LA FOIRE SAINT GERMAIN (1697)

  1. Il en fait accroire depuis six mois à plus de quatre de ma connaissance. (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE MOUSSET)
  2. Vous vous en avisez, monsieur l'Arménien ; depuis huit jours que la Foire est ouverte, à peine m'avez-vous fait l'honneur de me saluer. (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE MOUSSET)
  3. Tu as fait de grands voyages, à ce que l'on m'a dit, depuis que nous nous sommes vus ? (Acte 1, scène 5, MADEMOISELLE MOUSSET)
  4. La chose est problématique ; comme enfant de Paris, Écuyer sieur de Lorange, et Chevalier de Gourdinvilliers, les ordres sont précis : mais comme Arménien, naturalisé depuis trois semaines, il n'y a rien à craindre. (Acte 1, scène 5, LORANGE)
  5. Je n'en puis plus. (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
  6. Depuis un mois, je suis amoureux de la plus aimable personne du monde. (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
  7. Je gage en deux jours d'emporter l'affaire, quelque difficile qu'elle puisse être. (Acte 1, scène 7, LORANGE)
  8. Mon cher Breton : je n'en puis plus, tous mes sens sont interdits. (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
  9. Je ne puis le deviner, mais il n'est pas bête. (Acte 1, scène 8, MADEMOISELLE MOUSSET)
  10. Pardonnez, charmante personne, à la violence de mon amour les artifices innocents dont on se sert pour me faciliter les moyens de vous entretenir : depuis longtemps je vous adore, je n'ai pu vous parler que des yeux, et je n'ai rien lu dans les vôtres qui m'ait flatté du moindre espoir. (Acte 1, scène 13, CLITANDRE)
  11. Je sais de ses fredaines ; et votre affaire n'est pas encore si bien conclue, qu'on ne puisse la rompre. (Acte 1, scène 13, MADEMOISELLE MOUSSET)
  12. Puisque tu approuves mon amour, songe donc à me rendre heureux, je te prie. (Acte 1, scène 14, CLITANDRE)
  13. Que vous est-il arrivé qui puisse vous causer un tel déplaisir ? (Acte 1, scène 19, MADEMOISELLE MOUSSET)
  14. Je l'y attendais depuis une heure ; il y est venu, j'ai été au-devant de lui, il n'a pas fait semblant de me voir, Mademoiselle Mousset ; et il est allé faire mille caresses en ma présence à une guenon, qui ne le regardait presque pas, seulement. (Acte 1, scène 19, MADEMOISELLE DE KERMORIN)
  15. Je n'en puis plus, je ne saurais parler. (Acte 1, scène 19, MADEMOISELLE DE KERMORIN)
  16. Il dit qu'elle est si ridicule, si ridicule ; il ne peut plus la souffrir depuis qu'il m'a vue. (Acte 1, scène 21, MAROTTE)
  17. Il n'y a point de régularité qui puisse tenir là contre, n'est-il pas vrai ? (Acte 1, scène 25, MADEMOISELLE MOUSSET)
  18. Je ne crois pas, Monsieur, que vous pensiez que je puisse avoir d'autres vues que celles... (Acte 1, scène 25, MADAME BARDOUX)

LES VENDANGES DE SURESNES (1695)

  1. Il viant rôder ici depuis que vous y êtes, un jeune gars de Paris. (Acte 1, scène 1, THIBAUT)
  2. Tu as raison, je ne puis trop me hâter de la marier, pour rompre le cours de cette intrigue. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR THOMASSEAU)
  3. Vivrai-je encore longtemps dans la contrainte où je suis depuis quelques jours ? (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
  4. Ça n'est pas malaisé à deviner, puisque je sommes ensemble. (Acte 1, scène 5, THIBAUT)
  5. Je ne roule dans le monde depuis quelque temps que par un excès de savoir faire ; les affaires de ma famille sont terriblement dérangées, ce mariage-ci peut les rétablir. (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
  6. Voici votre rival, allez rejoindre Thibaut ; vous avez tous trois de l'esprit, vous concerterez ensemble ce qu'il faudra faire ; et pour moi, je vous livre votre homme dans quelque panneau que vous puissiez lui tendre. (Acte 1, scène 7, MADAME DUBUISSSON)
  7. Je n'en puis plus. (Acte 1, scène 16, VIVIEN)

LA MÉTEMPSYCOSE (1718)

  1. Mais vous depuis longtemps des mortels malheureux v.9 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  2. J'ai, depuis vous, quitté les cieux, v.14 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  3. Et puisqu'en ces climats vous venez de descendre, v.53 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  4. Mais on dit que depuis un temps v.92 (Acte 1, scène 2, LA PAIX)
  5. Et puissent de concert exercer leurs talents. v.99 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
  6. Tôt ou tard sentent la puissance. v.111 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
  7. Puisqu'il le veut, révélons des secrets, v.130 (Acte 1, scène 3, L'AMOUR)
  8. Quelque danse, et puis finissons. v.189 (Acte 1, scène 3, BACCHUS)
  9. Et nous puisse attirer la faveur du Parterre. v.221 (Acte 1, scène 4, LA PAIX)
  10. Mercure, je ne puis vous le dissimuler. v.223 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
  11. Et moi, je ne puis plus me faire violence. v.224 (Acte 2, scène 1, MERCURE)
  12. Mais ici je te puis parler en confidence, v.271 (Acte 2, scène 1, JUPITER)
  13. Puisque ma femme est en ces lieux, v.372 (Acte 2, scène 2, JUPITER)
  14. C'est pour m'en éloigner une raison puissante. v.373 (Acte 2, scène 2, JUPITER)
  15. Dans le grand monde depuis peu ; v.397 (Acte 2, scène 3, FAUNUS)
  16. Car je ne puis lui cacher mon voyage. v.408 (Acte 2, scène 3, JUPITER)
  17. L'amour sans mon aveu se sert de ma puissance, v.413 (Acte 2, scène 4, CORINE)
  18. Souffrez que de ces lieux je puisse disparaître, v.502 (Acte 2, scène 5, CORINE)
  19. Que tous les coeurs sentiront ma puissance : v.656 (Acte 2, scène 9, L'AMOUR)
  20. Depuis un temps presque en toutes les Cours, v.672 (Acte 2, scène 9, L'AMOUR)
  21. Je ne puis faire que les belles v.682 (Acte 2, scène 9, L'AMOUR)
  22. Oui. Mais d'un Dieu puissant je brave le courroux ; v.694 (Acte 2, scène 9, L'AMOUR)
  23. Sans une puissance divine v.724 (Acte 2, scène 10, FAUNUS)
  24. De l'Amant qui la tient ici sous sa puissance? v.731 (Acte 2, scène 10, JUNON)
  25. Depuis que de l'aveu de toute la famille, v.859 (Acte 3, scène 2, MÉROPE)
  26. D'un rival puisant et jaloux. v.910 (Acte 3, scène 2, MÉROPE)
  27. Et qu'avait depuis peu dérangée son absence. v.1057 (Acte 3, scène 6, BACCHUS)
  28. Que personne puisse approcher v.1110 (Acte 3, scène 7, CORINE)
  29. Non, je ne le puis faire. v.1155 (Acte 3, scène 7, CORINE)
  30. Par une puissance magique, v.1177 (Acte 3, scène 7, FAUNUS)
  31. C'est une Puissance divine v.1267 (Acte 3, scène 10, PHILÈNE)
  32. J'entends sa voix. Depuis que je vous ai perdue, v.1285 (Acte 3, scène 10, PHILÈNE)
  33. Je vous entends, et je ne puis vous voir ; v.1289 (Acte 3, scène 10, PHIL?NE)
  34. Je ne puis demeurer en place ; v.1316 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
  35. Depuis quelques instants, tout ce qu'ici je vois v.1320 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
  36. Je n'en puis plus, me voilà presque morte, v.1372 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
  37. Je n'y puis plus tenir, et n'y puis rien comprendre ; v.1397 (Acte 3, scène 11, MÉROPE)
  38. Ne nous suffit-il pas qu'il ne puisse me voir ? v.1409 (Acte 3, scène 12, PHILÈNE)
  39. Et que je puisse voir leur Fête d'un peu loin. v.1458 (Acte 3, scène 13, CORINE)
  40. Après cela pourtant, je puis bien vous promettre? v.1540 (Acte 4, scène 2, FAUNUS)
  41. À cet événement je ne puis rien comprendre, v.1562 (Acte 5, scène 1, JUPITER)
  42. Et je ne puis imputer mon malheur v.1564 (Acte 5, scène 1, JUPITER)
  43. Je n'en puis plus, ici tout m'épouvante, v.1622 (Acte 5, scène 2, MÉROPE)
  44. Et puis par un effet presque aussi peu commun, v.1627 (Acte 5, scène 2, M?ROPE)
  45. Et je ne puis priver Bacchus de l'ambroisie ; v.1713 (Acte 5, scène 4, JUPITER)
  46. Je puis au gré de mon envie, v.1716 (Acte 5, scène 4, JUPITER)
  47. Ciel ! Puis-je recevoir de plus sensible injure ? v.1801 (Acte 5, scène 6, VÉNUS)
  48. Non, je ne puis trop tût satisfaire à son gré, v.1811 (Acte 5, scène 6, MERCURE)
  49. Que l'Univers admire ma puissance, v.1940 (Acte 5, scène 11, L'INCONSTANCE)
  50. De l'amour borne la puissance : v.1979 (Acte 5, scène 12, UN THESSALIEN)
  51. Se puisse permettre aisément. v.1989 (Acte 5, scène 12, UN THESSALIEN)
  52. Préférons, puis qu'il faut finir, v.2001 (Acte 5, scène 12, UN THESSALIEN)

LA LOTERIE (1697)

  1. Vous le prenez là sur un ton bien héroïque vraiment ; et comment l'entendez-vous donc, s'il vous plaît ; vous n'êtes à Paris que depuis deux ans, et vous voila déjà aussi extravagante que si vous y aviez été élevée toute votre vie. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  2. Et quelle extravagance trouves-tu dans une passion toute légitime, autorisée par l'aveu de mon père, soutenue par tout le mérite d'Éraste, et qui s'est augmentée de jour en jour par un secret penchant que je ne puis vaincre. (Acte 1, scène 1, MARIANE)
  3. La fille de Monsieur Sbrigany en un mot connaisse une autre passion que celle de son intérêt, et qu'elle puisse être sensible à quelqu'autre chose qu'à sa fortune. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
  4. Et moi l'être bien aussi tout de même, Monsir, Et vous demande en grâce de n'y point beaucoup trop attraper tout le monde dy Paris sti fois-ci, afin que moi puisse l'autrefois encor attraper une bonne partie. (Acte 1, scène 3, LE-FLAMAND)
  5. À ce que je puis voir les étrangers ne sont pas trop dupes, et il n'y a pas de pays au monde ou une Loterie comme la mienne rendît si bien qu'à Paris. (Acte 1, scène 4, SBRIGANY)
  6. Vous avez raison, Monsieur, et la Loterie pourrait devenir tumultueuse sur les fins : Mais voulez-vous que je vous dise, outre que Mademoiselle votre Fille est un peu rétive à vos ordres, je doute que la seule protection de Monsieur Desfourneaux puisse vous garantir de l'orage qui se prépare. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
  7. Je sis veuf depuis trois semaines, m'est avis que je sommes dans une année de bonheur ; ça dépêchons, vêla ma carte, j'ai six billets au moins, baillez-moi ma boîte. (Acte 1, scène 9, BASTIEN)
  8. Que vous importe, expédiez ce pauvre diable, Monsieur, puisqu'il a amené sa charrette. (Acte 1, scène 9, LISETTE)
  9. C'est le hasard qui fait cela, mon enfant ; je n'y puis que faire. (Acte 1, scène 11, SBRIGANY)
  10. Il faut bien que vous la preniez, puisqu'elle est à vous. (Acte 1, scène 11, SBRIGANY)
  11. Oui je la referai : mais il n'en sera ni plus ni moins, et puisqu'elle le prend sur ce ton-là elle n'aura parbleu que des souricières. (Acte 1, scène 16, SBRIGANY)
  12. De vous aimer toute ma vie, puisqu'on m'a permis de le faire. (Acte 1, scène 20, MARIANE)
  13. Il n'est point de difficultés, quelques insurmontables qu'elles puissent être... (Acte 1, scène 20, ÉRASTE)
  14. L'affaire la plus importante est qu'il ne vous voie point ensemble, puisqu'il l'a défendu ; sortez et reposez-vous... (Acte 1, scène 20, LISETTE)
  15. Puisque vous avez si bien deviné vos lots, Monsieur, je m'en vais vous chercher votre affaire. (Acte 1, scène 24, LISETTE)
  16. Mais, Monsieur, puisque vous avez repris votre argent... (Acte 1, scène 24, SBRIGANY)
  17. Il m'en faut l'intérêt, vous avez de la conscience, vous le gardez depuis six mois : je prendrai sans voir, faites bien les choses, deux livres de tabac pour moi, un éventail pour la fille de mon auberge, et de vos mouchoirs pour le Toulousain mon valet de chambre. (Acte 1, scène 24, LE-GASCON)
  18. Le voilà apparemment, il est fort beau , mais je ne crois pas qu'il puisse tenir dans mon carrosse. (Acte 1, scène 27, LA-MARQUISE)
  19. Non, non, ils l'allont noyer, je pense ; et puis ils disont qu'ils reviendront nous brûler nous autres. (Acte 1, scène 30, SIGNOLET)

LE MOULIN DE JAVELLE. (1692)

  1. Je n'y puis plus tenir, je crève : qu'on me remène au plus vite à Paris, je veux faire mes plaintes, et vous me servirez de témoins, Messieurs, s'il vous plaît. (Acte 1, scène 15, MADAME SIMONNEAU)
  2. Vous avez tort, Monsieur, je dirai ce que j'ai vu, je ne puis m'en défendre. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIMAUDIN)
  3. Madame Bertrand, je n'en puis plus, je tombe des nues, je n'ai pas la force de me remuer seulement. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR SIMONNEAU)
  4. Les maris sont devenus prudents depuis quelques années. (Acte 1, scène 23, MADAME SIMONNEAU)
  5. Au hasard d'un fâcheux avenir, profitons du temps présent, puisque nous y sommes. (Acte 1, scène 23, MADAME DU ROLLET)
  6. Puisqu'elle est mariée, tant pis pour elle ; nous allons avoir d'autres affaires. (Acte 1, scène 24, LOLIVE)
  7. Cependant il a encore eu depuis quinze jours la succession d'une vieille tante qui nous a quelquefois prêté de l'argent au dernier un. (Acte 1, scène 25, LOLIVE)
  8. Je ne puis deviner quel est son projet : mais il a du monde et de l'esprit, et il sort fort bien de ce qu'il entreprends : il faut le laisser faire. (Acte 1, scène 26, LE CHEVALIER)
  9. Oh çà, Monsieur, ne m'amusez point, s'il vous plaît ; ma tante me gronderait : laissez-moi lui porter ces écrevisses, et puis je reviendrai causer avec vous tant que vous voudrez. (Acte 1, scène 27, MAROTTE)
  10. Pas si fort depuis quelque temps que je sais de ses petites fredaines, elle a peur que je n'en parle à mon oncle. (Acte 1, scène 27, MAROTTE)
  11. Vraiment il faut bien qu'elle en ait, vous dis-je ; car elle est devenue bien meilleure qu'elle n'était depuis qu'elle se doute que je m'en doute. (Acte 1, scène 27, MAROTTE)
  12. Hé bien, elle ne donne pas tout à mon oncle, non : elle garde toujours quelque chose, et puis elle achète tantôt des gants, tantôt un chapeau, des cravates à dentelles, une canne quelquefois ; et tout cela n'est pas pour elle, comme vous le voyez. (Acte 1, scène 27, MAROTTE)
  13. À ce que je puis voir, tout le monde s'en mêle. (Acte 1, scène 27, LE CHEVALIER)
  14. Et depuis la mort de Monsieur votre père? (Acte 1, scène 33, LA COMTESSE)
  15. Nous ne nous étions point vus depuis cette dernière affaire qui nous arriva, je pense? (Acte 1, scène 34, LOLIVE)
  16. J'ai acheté depuis trois semaines la Charge de Grand-Inutile, moi ; et en faveur de votre mariage, je remettrai l'autre à Monsieur Ganivet à très bon compte. (Acte 1, scène 34, LOLIVE)
  17. Puisque mon oncle le veut absolument, voilà qui est fini, je me détermine. (Acte 1, scène 34, LA COMTESSE)
  18. Et puis un billet de quatre cents pistoles. (Acte 1, scène 34, LOLIVE)
  19. Mais, puisque le mariage, v.23 (Acte 1, scène 38, LA MARIÉE)

LA GAZETTE (1693)

  1. Je ne sais, Monsieur : mais depuis quelques jours vous venez bien souvent au Palais. (Acte 1, scène 1, LE SERGENT)
  2. Vous y traitez quelque affaire sérieuse, puisque vous ne m'en dites mot ? (Acte 1, scène 1, LE SERGENT)
  3. Assurément, il n'y arien à risquer, puisque vous vous en êtres bien trouvée. (Acte 1, scène 6, FILLON)
  4. L'un après l'autre encore, quand on a du bonheur, il n'y a rien qui ne se puisse faite. (Acte 1, scène 7, FILLON)
  5. Le mérite des Dames est un sujet qui me paraît inépuisable. (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
  6. À ce que je puis juger, Monsieur, vous êtes Monsieur Guillemin, apparemment ? (Acte 1, scène 10, CRASSIN)
  7. Voici le fait, mon cher Monsieur ; pour faire enrager des parents mal intentionnés qui comptent trop sur ma succession, je me suis mariée depuis trois mois incognito. (Acte 1, scène 11, LA COMTESSE)
  8. Depuis que j'ai lu cette malheureuse gazette, je suis le plus bourru des hommes, et tout le monde m'est suspect d'avoir part au mariage qui me chagrine. (Acte 1, scène 15, LE CHEVALIER)
  9. C'est un des parents de Monsieur Guillemin, qui est ici depuis quelques jours pour ce mariage, apparemment. (Acte 1, scène 16, FILLON)
  10. Par la morbleu, Monsieur Guillemin, si l'on ne me fait justice, je m'enrôlerai, et puis après nous verrons beau jeu. (Acte 1, scène 18, CHONCHON)
  11. D'un volage, d'un perfide, d'un scélérat que j'aime à la fureur, et qui depuis trous mois, ne m'a pas écrit ce qu'il est devenu, seulement. (Acte 1, scène 20, LA MARQUISE)
  12. Dans l'espérance de l'épouser, je lui ai donné un bon Contrat de mille écus de revenus ; et voyez le malheur, je ne l'ai pas revu depuis. (Acte 1, scène 20, LA MARQUISE)
  13. Et fi, Monsieur, puisqu'il est déjà dans la Gazette, si la chose ne se faisait point, on se moquerait de vous. (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
  14. Puisque c'est à vous qu'il faut s'adresser, Madame... (Acte 1, scène 24, CLITANDRE)

NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS (1704)

  1. Qui puissent inspirer l'amour. v.33 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
  2. Neptune, puissant Dieu des ondes, v.48 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
  3. Et qu'on ne puisse avoir l'orgueil de s'applaudir, v.56 (Acte 1, scène 1, LA FORTUNE)
  4. Et ne craignent point ta puissance. v.73 (Acte 1, scène 2, NEPTUNE)
  5. Qui puissent attirer les regards curieux v.98 (Acte 1, scène 2, NEPTUNE)
  6. Depuis longtemps, charmé de vos divins appas, v.249 (Acte 2, scène 2, CORIDON)
  7. Je puis prendre parti pour un jeune héros, v.391 (Acte 2, scène 4, CLITIDAS)
  8. Puisque l'Amour nous a préposés pour modèle v.409 (Acte 2, scène 5, LE MARIÉ)
  9. On boit longtemps, puis on défie v.428 (Acte 2, scène 5, LE MARI?)

CÉPHALE ET PROCRIS (1711)

  1. Il vous fallait au moins cette double puissance, v.12 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
  2. Je puis pourtant me tromper là-dessus. v.101 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
  3. Cette nouveauté puisse aujourd'hui trouver grâce. v.225 (Acte 1, scène 1, THALIE)
  4. Je ne m'en dédis point, et je ne puis m'en taire, v.312 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
  5. Ne puis-pas, car je sais me connaître, v.317 (Acte 2, scène 2, CALLITÉE)
  6. Puis, par une route connue, v.368 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
  7. Puis après avoir bien couru, v.391 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
  8. Nous puissions tout au moins leur dire v.461 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
  9. Je n'en répondrais pas. Depuis notre arrivée v.497 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
  10. Et puis quelques moments après v.504 (Acte 2, scène 2, PHILACTE)
  11. C'est là, depuis trois jours, ce qui fait que l'Aurore v.565 (Acte 2, scène 2, CALLITÉE)
  12. Par quelle puissance secrète v.605 (Acte 2, scène 3, CÉPHALE)
  13. De quelque Dieu la puissance absolue ? v.746 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
  14. Plein de respect, me taire est tout ce que je puis, v.750 (Acte 2, scène 5, CÉPHALE)
  15. Cette puissance invisible et suprême, v.776 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
  16. Puis-je payer jamais une faveur si grande ? v.831 (Acte 2, scène 5, CÉPHALE)
  17. Dans tous les lieux soumis à ma puissance v.833 (Acte 2, scène 5, C?PHALE)
  18. C'est la seule envers moi qui vous puisse acquitter. v.845 (Acte 2, scène 5, L'AURORE)
  19. Que depuis peu de temps l'Hymen tient dans ses chaînes, v.929 (Acte 2, scène 7, MERCURE)
  20. Céphale est en votre puissance, v.1021 (Acte 2, scène 7, CALLITÉE)
  21. C'est le meilleur qu'on puisse imaginer sans doute. v.1091 (Acte 2, scène 7, MERCURE)
  22. Je ne puis assez tôt aux pieds de la Déesse v.1256 (Acte 3, scène 2, CÉPHALE)
  23. Amour, vous implorer est tout ce que je puis : v.1302 (Acte 3, scène 2, CÉPHALE)
  24. Je ne puis pour Procris blâmer votre constance : v.1306 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
  25. Je puis pour les regards humains v.1391 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
  26. Je puis remettre dans vos mains v.1393 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
  27. Qu'aucun mortel surtout ne vous puisse connaître. v.1416 (Acte 3, scène 3, L'AURORE)
  28. Je puis vous être caution v.1442 (Acte 3, scène 4, PHILACTE)
  29. Et que pourtant je ne puis surmonter, v.1459 (Acte 3, scène 4, CÉPHALE)
  30. Puisqu'on m'en impose la loi. v.1525 (Acte 3, scène 5, CÉPHALE)
  31. Depuis qu'ils sont partis employer mal mon temps v.1561 (Acte 3, scène 7, DIONE)
  32. Et près de ces Dieux sourds, ou peut-être impuissants, v.1563 (Acte 3, scène 7, DIONE)
  33. Depuis un certain temps, sensible à votre peine, v.1582 (Acte 3, scène 7, DIONE)
  34. Et je ne puis cacher le trouble de mon âme. v.1623 (Acte 3, scène 8, PROCRIS)
  35. Que je parle à l'ingrat, que je puisse le voir, v.1686 (Acte 3, scène 8, PROCRIS)
  36. C'est une puissance suprême v.1699 (Acte 3, scène 8, CÉPHALE)
  37. Et moi, je fais, Dione, un effort impuissant v.1764 (Acte 3, scène 10, PROCRIS)
  38. Pour cela non, je puis vous en jurer ; v.1872 (Acte 3, scène 12, DIONE)
  39. Sans que l'on puisse, quoi qu'on fasse, v.1962 (Acte 3, scène 12, DIONE)
  40. Puisque en faveur de votre flamme v.2062 (Acte 4, scène 1, CALLITÉE)
  41. Que de leur puissance elle s'est défiée, v.2157 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
  42. Elle n'a depuis hier fait offrandes ni don. v.2169 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
  43. Puis, devant Jupiter, des fausses pruderies v.2219 (Acte 4, scène 2, MERCURE)
  44. Puis ensuite il s'est déplacé ; v.2258 (Acte 4, scène 3, PHILACTE)
  45. Si je puis sainement juger de l'aventure, v.2331 (Acte 4, scène 5, CALLITÉE)
  46. Je ne puis retrouver Céphale dans ces lieux. v.2426 (Acte 4, scène 9, PHILACTE)
  47. Ah ! Puisqu'à cet espoir vous êtes si sensible, v.2459 (Acte 4, scène 9, DIONE)
  48. Madame, et depuis ce moment v.2505 (Acte 4, scène 10, CÉPHALE)
  49. Du plus ardent amour dont on puisse brûler. v.2511 (Acte 4, scène 10, C?PHALE)
  50. Qu'exigez-vous, et que puis-je vous dire, v.2520 (Acte 4, scène 10, PROCRIS)
  51. Hé ! Puis-je l'être sans savoir v.2618 (Acte 4, scène 10, PROCRIS)

MADAME ARTUS (1707)

  1. Puisse tomber du Ciel la malédiction, v.2 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  2. Enrageons avec lui, puisqu'il faut enrager ! v.10 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
  3. D'accord. Puis, on voit dans le monde v.71 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  4. Qui depuis quelques mois, de son esprit maîtresse ; v.79 (Acte 1, scène 2, FINETTE)
  5. Et depuis qu'elle s'est introduite en ces lieux, v.85 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
  6. Pour vous coucher, Monsieur, depuis assez longtemps, v.106 (Acte 1, scène 3, MERLIN)
  7. De son ressentiment quoi qu'il puisse arriver, v.177 (Acte 1, scène 4, DORANTE)
  8. Autant que je le puis, je combats, je diffère : v.187 (Acte 1, scène 4, DORANTE)
  9. Depuis ce bois coupé ; car auparavant, zeste ! v.227 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  10. Puis des coteaux lointains perdus dans l'horizon ; v.246 (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  11. Non, qu'on puisse excuser ce que vous avez fait ; v.273 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  12. On vous en donne encore un que je ne puis croire, v.276 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  13. Plaît-il ? ? Puis, tous deux sûrs d'une égale tendresse? v.311 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  14. Et depuis mon absence elle est dans un Couvent. v.317 (Acte 1, scène 5, DORANTE)
  15. Je ne vous puis pas bien ici dire, entre nous, v.329 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  16. Mais je crois qu'il est bon, puisqu'elle vous le donne, v.331 (Acte 1, scène 5, DAMIS)
  17. C'est tout ce que je puis, mon frère, vous promettre, v.459 (Acte 2, scène 2, CÉLIDE)
  18. Depuis assez longtemps on n'a point eu l'honneur v.473 (Acte 2, scène 3, MERLIN)
  19. Par où lui puis-je avoir déplu ? v.482 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
  20. Rétablissez le calme, et puis je vous dirai? v.509 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  21. Depuis un certain temps est par trop prévenue. v.539 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
  22. Non, je l'ai depuis vue encore par-ci par-là, v.562 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
  23. Depuis quatre ou cinq ans, je la perdis de vue. v.567 (Acte 2, scène 3, ?RASTE)
  24. Cette honnête personne, à qui depuis un temps v.601 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANTE)
  25. Et si je puis juger par ce que j'en ai vu, v.621 (Acte 2, scène 4, FINETTE)
  26. Qui depuis quelque temps nous rend souvent visite? v.635 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANTE)
  27. Autant que je le puis, je la prends pour modèle, v.683 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANTE)
  28. Pour moi, je l'avouerai, je n'y puis rien comprendre, v.695 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
  29. Je ne sache de pis rien qu'on puisse me faire, v.759 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
  30. Je ne puis à présent m'expliquer davantage : v.784 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANTE)
  31. Et retourné depuis, a prié mon Notaire, v.876 (Acte 3, scène 7, MADAME ARTUS)
  32. Ne puis-je point, avant que l'entreprise éclose, v.1003 (Acte 3, scène 11, FINETTE)
  33. Je n'y puis résister, j'en meurs. v.1013 (Acte 3, scène 12, CÉLIDE)
  34. Je n'en puis plus. v.1013 (Acte 3, scène 12, FINETTE)
  35. À quel autre que vous puis-je mieux m'adresser ! v.1018 (Acte 3, scène 13, MASSINE)
  36. C'est mon frère, il est vrai : que puis-je ici pour vous ? v.1021 (Acte 3, scène 13, CÉLIDE)
  37. Et moi seul je ne puis venir à bout de l'être ; v.1096 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
  38. Dessein depuis longtemps entre elles concerté, v.1101 (Acte 4, scène 1, DORANTE)
  39. Qu'en cela mon coeur puisse un moment balancer ? v.1150 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
  40. Il n'est rien que du sien l'on ne puisse comprendre. v.1187 (Acte 4, scène 3, CÉLIDE)
  41. Depuis un mois entier je ne vous ai point vu, v.1245 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
  42. À moins que d'en voler, je ne puis à présent, v.1253 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
  43. Paix? Là-dessus puis-je me reposer ? v.1262 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
  44. C'est un argent, je le puis attester, v.1265 (Acte 4, scène 5, MONSIEUR LUDET)
  45. Nous avons fait, depuis que de nous il se sert, v.1277 (Acte 4, scène 5, MERLIN)
  46. Dites, est-elle ici ? Quand puis-je la revoir ? v.1293 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
  47. Ah ! Cet éclat n'a rien qui me puisse toucher, v.1349 (Acte 4, scène 7, MADAME ARTUS)
  48. Mais enfin, puisqu'au gré de ses intentions, v.1385 (Acte 4, scène 7, DORANTE)
  49. Établissons nos droits, et puis laissez-moi faire. v.1428 (Acte 4, scène 7, MADAME ARTUS)
  50. Puisque Madame Artus de ton maître est éprise, v.1444 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
  51. Cette jeune Rosette a des charmes puissants ; v.1585 (Acte 5, scène 9, DAMIS)

LE MARI RETROUVÉ (1698)

  1. Il ne dépend pas de moi de résister aux charmes de l'aimable Colette, et son mérite et sa beauté me paraissent dignes d'une fortune plus considérable que celle que je puis lui faire. (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
  2. On l'a assommé quelque part, sur ma parole ; tout le monde le croit, du moins ; et il faut que Madame Julienne en soit bien sûre, elle ; car depuis quelques jours elle est d'un contentement, d'une gaîté... (Acte 1, scène 1, LÉPINE)
  3. Et depuis un mois que son bourru d'oncle a quitté le moulin, n'avez-vous pas eu tout le temps et toute la commodité de lui conter vos raisons, et de savoir ce qu'elle a dans l'âme ? (Acte 1, scène 2, JULIENNE)
  4. Du depuis que je sommes mariés, il a voulu faire le maître ; oh dame, je nous sommes trouvés deux, le nous sommes querellés, je nous sommes battus ; aussi ça fait que je ne nous aimons guères. (Acte 1, scène 2, JULIENNE)
  5. Oh, point du tout, c'est le véritable, elle l'a reçu comme un vrai mari, je l'ai aidée à le battre, moi, Monsieur le Bailli, puisqu'il faut vous le dire. (Acte 1, scène 15, MADAME AGATHE)
  6. Je crois pargué bian que si, moi, et s'il ne l'était pas, il faudrait qu'il le devenir, puisque Monsieur le Bailli le dit. (Acte 1, scène 15, CHARLOT)
  7. Morgué, si je sis noyé, c'est vous qu'il faut pendre : car c'est de votre façon, puisqu'il faut tout dire. (Acte 1, scène 23, JULIEN)

LE TUTEUR (1694)

  1. Je suivrai de près le valet de chambre qui vous porte ma lettre : tâchez de plaire, puisque vous l'avez entrepris, et comptez qu'on n'épargnera rien pour vous rendre heureux. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
  2. As-tu quelque chose à m'apprendre qui puisse me faire plaisir ? (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
  3. Non, Lisette ; je suis née malheureuse, et je ne sache rien au monde qui puisse changer ma destinée. (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
  4. Ce Peintre, et ce Jardinier qui sont ici depuis quinze jours ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  5. Ce bizarre Monsieur Bernard, que votre père en mourant s'avisa pour nos péchés de nommer votre Tuteur en dépit de toute la famille, a ses raisons pour demeurer ici, et sous prétexte d'embellir sa maison de campagne, de faire peindre ses appartements, il vous cache aux yeux de tout le monde, et nous tient reléguées depuis six mois dans le fond d'un Village, où il y a plus de cinq mois et trois semaines que je m'ennuie. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
  6. Les mauvaises manières qu'il a pour moi ne me feront jamais sortir des égards que je me dois à moi-même ; et quelque passion que je puisse avoir, elle sera toujours soumise à la raison et à la bienséance. (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
  7. Oui, depuis le souper on m'a appris des choses qui ont achevé de me faire prendre des résolutions dont vous serez bien aise, et j'ai de bonnes nouvelles à vous dire. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BERNARD)
  8. Depuis la mort de ses parents, je n'ai épargné aucune chose pour la rendre une personne accomplie. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BERNARD)
  9. Il ne faut pas que cela vous étonne, Monsieur, elle est si fort outrée des mauvais desseins que l'on fait contre elle, que le moins qu'elle puisse faire, c'est de s'évanouir ; je crois que j'en mourrais, moi, si j'étais à sa place. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
  10. Il y était il n'y a pas une bonne heure : le Jardinier et ly se promenont, ils parlont, ils gesticulont, ils se tourmantont, et puis ils se séparont : le Monsieur à cheval galope d'un côté, et le Jardinier trotte de l'autre. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
  11. Maturine, la servante des trois Rois, dit qu'ils avont cheuz eux du depuis quatre jours, trois ou quatre Monsieux que votre Jardinier connaît itou : ils soupiont tout à l'heure ensemble, et ils parlions de vous, de Mademoiselle Angélique ; ils disiont qu'il la fallait ôter de vos pattes, et qu'ils la mettriont dans les pattes d'un autre. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
  12. Sur ce que le Jardinier et ly sont bons amis ; puisqu'ils s'aimont tant, il ne valont pas mieux l'un et l'autre. (Acte 1, scène 7, LUCAS)
  13. Demandez, je n'y ai pas mis les pieds depuis que j'ai l'honneur d'être à votre service. (Acte 1, scène 8, L'OLIVE)
  14. Et depuis quand ? (Acte 1, scène 9, L'OLIVE)
  15. Pargué, depuis toujours ; mais, il ne lui a dit que depuis tout à l'heure. (Acte 1, scène 9, LUCAS)
  16. Nous travaillons ici depuis quinze jours l'un et l'autre, moi à gâter le jardin de Monsieur Bernard, et vous à défigurer ses plafonds et ses cheminées ; car vous êtes un très mauvais Peintre, et je ne suis pas un bon jardinier, moi, sans contredit. (Acte 1, scène 11, L'OLIVE)
  17. Dans l'accablement où je suis, tu m'abandonnes à mes chagrins, et depuis que tu es sortie de ma chambre, j'ai fait les plus cruelles réflexions. (Acte 1, scène 13, ANGÉLIQUE)
  18. Je ne vous adore, il est vrai, que depuis deux mois, parce qu'il n'y a que deux mois que j'eus le bonheur de vous voir pour la première fois de ma vie. (Acte 1, scène 14, DORANTE)
  19. Non, non, puisque vous voulez vous promener, je ne vous quitterai point, je suis ce soir aussi dans le goût de la promenade ; allons, venez. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR BERNARD)
  20. Les moments me durent des siècles, absent d'Angélique, et je ne puis me rendre trop tôt dans un lieu où elle doit être, où je lui ai parlé de mon amour pour la première fois, et où j'espère la trouver sensible à ce que je souffre pour elle. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
  21. Ce peintre que vous avez ici depuis quinze jours. (Acte 1, scène 18, ANGÉLIQUE)
  22. Le pauvre homme a perdu l'esprit depuis quelque temps, il nous le faut veiller toutes les nuits. (Acte 1, scène 23, LISETTE)

LES VENDANGES (1694)

  1. Hé bien, ma tante, vela justement ce que c'est, puisqu'il faut vous le dire, je n'avais jamais été à Paris ; vous m'y avez menée, je ne veux plus du Collecteur. (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
  2. C'est qu'il n'osait pas à cause de vous ; mais, il nous a fait suivre, et depuis ce matin, il est dans le Village. (Acte 1, scène 1, CLAUDINE)
  3. Depuis queuques jours à qui en a-t-elle ? (Acte 1, scène 2, LUCAS)
  4. Tu es depuis le matin jusques au soir au cabaret. (Acte 1, scène 2, MARGOT)
  5. Oh ça, ma chère Margot, puisque vous avez deviné la passion que j'ai pour votre nièce, je veux bien vous en faire confidence, sûr que vous ne refuserez pas de m'y rendre service. (Acte 1, scène 6, ÉRASTE)
  6. Il y a plus de dix ans que je fais ce que je puis pour l'empêcher d'aller au cabaret, je n'en saurais venir à bout. (Acte 1, scène 7, MARGOT)
  7. Je n'y puis plus tenir, ma tante. (Acte 1, scène 8, CLAUDINE)
  8. J'en ai pensé mourir de chagrin, cet homme-là m'est insupportable ; et depuis que vous m'avez dit que vous m'aimiez, je le hais encore bien davantage. (Acte 1, scène 10, CLAUDINE)
  9. Je nous sommes déjà frottés plus de cent fois depuis que je sommes en ménage, que faut-il faire ? (Acte 1, scène 11, MARGOT)
  10. Si je puis une fois l'entarrer, drès le lendemain je serai ra femme. (Acte 1, scène 14, MARGOT)
  11. Oh, non, non, puisque je lui ai baillé, je ne veux point le reprendre. (Acte 1, scène 14, MARGOT)
  12. Oh, pour stila, je t'en réponds, puisqu'il te faut garder, je ne te quitterai plus, laisse-moi faire. (Acte 1, scène 16, LUCAS)

LES EAUX DE BOURBON (1697)

  1. Elles sont admirables ; et depuis que j'en prends, je me sens le corps et l'esprit tout rajeunis. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
  2. Puisque vous avez envie de dormir, vous seriez mieux dans votre lit que dans la rue. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR GROGNET)
  3. Oh, cela est bien changé, mon pauvre Monsieur_le_Baron, je n'en puis plus ; les eaux me sont mortelles, et l'on m'enterrera ici, je pense. (Acte 1, scène 7, LA PRÉSIDENTE)
  4. C'est une des plus belles portes par où l'on y puisse entrer, Madame, à ce que j'ai ouï dire. (Acte 1, scène 10, MADAME GUIMAUVIN)
  5. Depuis la paix de Savoie, nous avons de gros détachements sur la route. (Acte 1, scène 10, LA MARQUISE)
  6. Il y a ici, depuis quelque temps aussi, un Chevalier de votre connaissance, et qui fait vraiment bonne figure. (Acte 1, scène 10, MADAME GUIMAUVIN)
  7. Je vous ai fait garder votre appartement, allez y conduire Madame, Monsieur le Chevalier ; aussi bien, voici un de mes compères qui veut me parler ; car depuis le matin l'on m'a dit qu'il me cherche (Acte 1, scène 11, MADAME GUIMAUVIN)
  8. Alle loge depuis quelque temps cheux alle de certains drôles de malades qui avons plus de santé que Monsieur le Bailly, sur ma parole ; il ne leur faut morgué point d'iaux à ceux-là, et la femme le sait bian, da : mais stanpandant ils ne laissons pas d'en boire pour attraper l'homme. (Acte 1, scène 12, BLAISE)
  9. Tu connais ce vieux Baron de Saint Aubin, qui est à Bourbon depuis trois semaines, et vous vous souvenez tous deux de ce petit homme qui a été tout le printemps ici à prendre des eaux ? (Acte 1, scène 23, BABET)
  10. Mais pargué votre père a tort de vous vouloir marier, ly, puisque vous vous mariez si bian toute seule. (Acte 1, scène 23, BLAISE)
  11. Je ne puis assez vous témoignez, mon père, la joie que me donne le nouvel établissement que vous voulez faire en ce pays-ci, et je vous assure que bien loin de m'opposer... (Acte 1, scène 30, VALÈRE)
  12. Et moi, Monsieur, puis-je espérer aussi... (Acte 1, scène 30, VALÈRE)

L'IMPROMPTU DE GARNISON. (1692)

  1. Elle me parut toute charmante ; et depuis ce moment, je cherche l'occasion de te parler ; heureux si quand cette place est notre conquête, le coeur de ton adorable Maîtresse pouvait devenir la mienne. (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
  2. Que puis-je faire pour votre service, voyons ? (Acte 1, scène 1, MARTON)
  3. Quoique Flamande, j'ai les inclinations tout à fait Françaises ; j'ai demeuré si longtemps à Paris, j'ai sucé les moeurs du pays, je suis bonne Princesse ; et je puis dire sans vanité, que j'ai fait mon apprentissage chez une des plus habiles coquettes qui fût au monde. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  4. Paris passe pour être la source des Sciences, et c'est là que j'ai puisé le secret de manier adroitement une intrigue ; c'est là que j'ai appris à m'acquitter avec succès des petites commissions que l'on me donne, et à me rendre capable de soutenir la confidence d'une fille de dix-huit ans : aussi peut-on dire, à ma gloire, que je suis la personne de Flandres qui a le plus de réputation. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  5. Ce qui m'embarrasse, c'est qu'il y a ici un certain Espagnol, qui depuis deux ans est amoureux de ma maîtresse. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  6. Je crois que vos affaires n'iront pas tout à fait mal, puisque je m'en mêle. (Acte 1, scène 1, MARTON)
  7. Mais votre Don Julien, depuis deux ans qu'il vous fait la cour, n'a pas eu l'honnêteté de me faire le moindre petit présent. (Acte 1, scène 2, MARTON)
  8. Je veux seulement vous faire comprendre que les Français ont les manières plus insinuantes que les Espagnols ; c'est un fond de galanterie inépuisable, un abord civil et touchant, du respect sans bassesse, de la délicatesse dans la conversation ; fiers au combat, et soumis près des Dames, ils semblent également faits et pour l'amour, et pour la guerre. (Acte 1, scène 2, MARTON)
  9. Puisqu'il est ainsi, j'ai à vous dire, que s'il vous plaît, vous ne lui plaisez pas moins ; et ce n'est que pour vous le dire, que je l'ai fait demeurer dans le jardin. (Acte 1, scène 2, MARTON)
  10. Faut-il épuiser la bourse d'un vieillard avare, pour fournir aux dépenses d'un fils prodigue ? (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
  11. Il n'y a qu'un étourdi de Français qui puisse faire la chose. (Acte 1, scène 4, MARTON)
  12. Oui, Madame, je venais voir si vous étiez visible ; et puisque je vous vois, je comprends bien que oui ; je vais le dire à mon Maître. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
  13. La visite de cet homme m'embarrasse depuis ce que tu m'en as dit, Marton. (Acte 1, scène 7, ARAMINTE)
  14. Il est vrai que depuis que je suis dans le service, j'ai perdu bien de mes gens, Madame. (Acte 1, scène 8, DON JULIEN)
  15. Oui, Madame, je suis puissamment riche, il m'est dû vingt années de paie, et des millions de récompense. (Acte 1, scène 8, DON JULIEN)
  16. Je ne puis demeurer ici longtemps encore. (Acte 1, scène 10, DON JULIEN)
  17. Je me donne au diable, Madame, si je regrette les belles de Paris, puisqu'on trouve en ce pays-ci des adorables comme vous. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
  18. Julien est tout dressé depuis quinze jours, il n'y a eu que l'Impromptu du siège qui a empêché de le signer. (Acte 1, scène 12, MARTON)
  19. Savez-vous bien, seigneur Don Julien, puisque Don Julien y a, qu'il y a ici des fenêtres. (Acte 1, scène 13, MERLIN)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 51 textes (soit une présence dans 2,69 % des textes) dans lesquels il y a 972 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 19,06 occurences par texte.

Titres Prologue Acte 2 Acte 1 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Acte 6 Total
1 L'OP?RATEUR BARRY45000009
2 L'OPÉRATEUR BARRY01000001
3 LES AGIOTEURS094700020
4 LES ENFANTS DE PARIS086652027
5 LES FONDS PERDUS018200011
6 LA TRAHISON PUNIE01210768043
7 L'IMPROMPTU DE SURESNES0140000014
8 L'IMPROMPTU DE SURESNES01100002
9 LE CHEVALIER ? LA MODE010121244042
10 LA F?TE DE VILLAGE.076100014
11 LA COM?DIE DES COM?DIENS0551300023
12 SANCHO PANÇA, GOUVERNEUR0191516813071
13 SECOND CHAPITRE DU DIABLE BOITEUX059000014
14 LA FEMME D'INTRIGUES.027755026
15 LES F?ES.0140070021
16 LES FÉES.02300005
17 LES BOURGEOISES ? LA MODE.0129785041
18 LA MÉTEMPSYCOSE015915112052
19 NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS04500009
20 CÉPHALE ET PROCRIS018318120051
21 MADAME ARTUS011169132051
22 LES VACANCES0015000015
23 LES VACANCES00100001
24 LA D?ROUTE DU PHARAON0014000014
25 LA DÉROUTE DU PHARAON00200002
26 LA MAISON DE CAMPAGNE0017000017
27 LE GALANT JARDINIER0012000012
28 LES CURIEUX DE COMPI?GNE00600006
29 NOUVEAU PROLOGUE, ET NOUVEAUX DIVERTISSEMENTS006120514
30 RENAUD ET ARMIDE00800008
31 RENAUD ET ARMIDE00100001
32 LA FOLLE ENCH?RE0013000013
33 LE RETOUR DES OFFICIERS00600006
34 LE RETOUR DES OFFICIERS00200002
35 L'OP?RA DE VILLAGE00600006
36 DIVERTISSEMENT DE SCEAUX00100001
37 DIVERTISSEMENT DE SCEAUX00100001
38 LE CHARIVARI00900009
39 LE VERT-GALANT00500005
40 LE VERT-GALANT00100001
41 LE BON SOLDAT0016000016
42 LE PRIX DE L'ARQUEBUSE0012000012
43 LES F?TES NOCTUNES DU COURS0011000011
44 LES FÊTES NOCTUNES DU COURS00100001
45 LE DIABLE BOITEUX0010000010
46 COLIN-MAILLARD.00900009
47 LA PARISIENNE0018000018
48 L'?T? DES COQUETTES0016000016
49 LA D?SOLATION DES JOUEUSES0019000019
50 L'IMPROMPTU DE LIVRY00100001
51 L'IMPROMPTU DE LIVRY00200002
52 LA FOIRE DE BESONS0022000022
53 LA FOIRE SAINT GERMAIN0018000018
54 LES VENDANGES DE SURESNES00700007
55 LA LOTERIE0019000019
56 LE MOULIN DE JAVELLE.0018000018
57 LE MOULIN DE JAVELLE.00100001
58 LA GAZETTE0014000014
59 LE MARI RETROUV?00700007
60 LE TUTEUR0022000022
61 LES VENDANGES0012000012
62 LES EAUX DE BOURBON0012000012
63 L'IMPROMPTU DE GARNISON.0019000019
64 LA COMÉDIE DES COMÉDIENS00005005
  Total417554012176515972

 

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