Occurences de l'expression

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pour COLLE, Charles

Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse

L'AMANT ANONYME (1781)

Moi, grave Professeur_de_Langues_et_de_Sciences, me voilà devenu l'Agent d'une intrigue amoureuse, la plus bizarre, la plus romanesque !... (Acte 1, scène 1, OPHÉMON)
Cette négligence est d'autant plus singulière, que Madame l'a toujours distingué avant qu'elle fût veuve. (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
Il lui a rendu de grands services ; car il était l'ami intime de son mari, et il les a plus d'une fois raccommodés ensemble. (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
Madame en a conservé beaucoup de reconnaissance, et elle disait souvent que c'était le seul homme qu'elle estimât, d'autant plus qu'il n'avait jamais été amoureux d'elle. (Acte 1, scène 2, ROSALIE)
C'est l'homme le plus opposé au mariage, et qui a le plus d'éloignement pour les femmes. (Acte 1, scène 2, OPHÉMON)
Jeannette et Colin s'aimaient ; Jeannette et Colin étaient les bergers les plus pauvres du Hameau, et Madame, bienfaisante et sensible, dote et marie ce soir Jeannette et Colin. (Acte 1, scène 4, ROSALIE)
Rien n'est plus vrai, mon pauvre Picard. (Acte 1, scène 4, ROSALIE)
J'ai trouvé plus de trente fois, dans ma chambre, des robes, des bijoux, et différents présents ; tiens, cette bague est de lui. (Acte 1, scène 4, ROSALIE)
J'éclatai ; on osa me parler en maître ; le ressentiment, la fierté se joignirent à l'amour mécontent, et je ne connus plus de bornes. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Quelle était ma folie, d'oser attendre et d'exiger un retour que l'homme le plus sensible ne pourra jamais accorder ! (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Il vous déclare qu'il vous aime depuis plus de huit ans ; il n'ose l'avouer que deux ans après votre veuvage. (Acte 1, scène 6, DOROTHÉE)
En vérité, je vous admire, d'être si froide à cet égard : pour moi, je sens qu'il y a longtemps que la curiosité m'aurait conduite à l'intérêt le plus pressant et le plus vif. (Acte 1, scène 6, DOROTH?E)
Ce triste coeur est épuisé ; il abjure à jamais un sentiment qui n'est plus fait pour lui. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
La plus jolie femme de Paris, enfermée dans un vieux Château fort, avec le projet d'y rester toujours !... (Acte 1, scène 6, DOROTHÉE)
Non, elle seule y sera reçue : je ne suis plus sensible que pour elle. (Acte 1, scène 6, LÉONTINE)
Je le reverrai avec joie ; c'est l'homme le plus estimable et le plus honnête que j'aie jamais connu. (Acte 1, scène 6, L?ONTINE)
Mais sérieusement, je suis fâchée que vous ne l'ayez pas épousé ; peut-être eussiez-vous été plus heureuse avec lui. (Acte 1, scène 6, DOROTHÉE)
J'étais déguisé, comme vous me l'aviez ordonné ; le jour tombait, il faisait à peine clair dans la chaumière de ces bonnes gens ; je me suis annoncé de la part de Dorothée : et comme j'ai dit qu'elle voulait surprendre Léontine, j'ai surtout fait promettre le plus grand secret, en ajoutant au père et à la jeune fille, que pour éviter tout soupçon, elle leur recommandait, si par hasard elle en était rencontrée, de ne point lui parler. (Acte 2, scène 1, OPHÉMON)
En la servant, en lui donnant des conseils, je m'armai d'un extérieur froid et sévère, je m'interdis jusqu'aux plus simples expressions de l'amitié. (Acte 2, scène 1, LE VICOMTE)
Plus que jamais. (Acte 2, scène 3, LÉONTINE)
On m'en a conté plusieurs traits. (Acte 2, scène 3, LE VICOMTE)
La crainte inséparable de l'amour, comme il le dit lui-même ; en se nommant, il sait trop tôt tout ce qu'il perdrait ; il ne pourrait plus ni m'écrire, ni me rendre des soins que je ne souffrirais pas. (Acte 2, scène 3, LÉONTINE)
Voilà cependant où se bornent les voeux de l'amant le plus fidèle, le plus soumis et le plus passionné. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Il doit m'être indifférent, et rien de plus : qu'en pensez-vous ? (Acte 2, scène 5, LÉONTINE)
Il est très possible qu'il ait une physionomie assez commune pour être facilement confondu dans la foule ; et peut-être avez-vous vu plus de cent fois cette figure-là, sans vous en douter. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Ne dit-il pas que s'il ne vous voit point son bouquet, vous n'entendrez plus parler de lui. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
Son humeur austère et farouche me déplaît aujourd'hui plus que jamais. (Acte 2, scène 6, LÉONTINE)
Il a une certaine sécheresse plus que jamais. (Acte 2, scène 6, L?ONTINE)
Ses lettres, ses vers, sa conduite annoncent un esprit, une grâce, une passion qui ne peuvent appartenir qu'au plus honnête, au plus délicat et au plus aimable de tous les hommes. (Acte 2, scène 7, DOROTHÉE)
Ni moi non plus. (Acte 2, scène 8, JEANNETTE)
Colin ne quittera Jeannette que pour cultiver son champ ; le travail et la peine lui rendront plus chère celle qui les partage, et les faits adoucir. (Acte 2, scène 9, LÉONTINE)
Oui, vous avez raison, Jeannette vaut mille fois mieux que vous ; elle est du moins beaucoup plus sensée... (Acte 2, scène 9, DOROTHÉE)
Vous travaillerez donc sans cesse avec ardeur à empoisonner la plus brillante destinée qui fut peut-être jamais ! (Acte 2, scène 9, DOROTH?E)
Quel usage vous faites des dons les plus précieux ! (Acte 2, scène 9, DOROTH?E)
Je me retrace des moments délicieux que j'ai su goûter au milieu de mes plus vives peines, et ces lueurs de félicité sont mille fois préférables au cours monotone d'une vie constamment indifférente et paisible. (Acte 2, scène 9, LÉONTINE)
Allons ; puisque notre Sylphe est toujours le même, je ne regrette plus Paris. (Acte 2, scène 9, ROSALIE)
Je n'ai jamais vu de plus agréable ni de mieux imaginé. (Acte 3, scène 3, DOROTHÉE)
Dame, je ne sais plus où j'en étais. (Acte 3, scène 3, JEANNETTE)
T'as oublié le plus beau. (Acte 3, scène 3, COLIN)
Vous avez passé votre vie à la Cour et dans le plus grand monde ; vous l'auriez rencontré mille fois. (Acte 3, scène 3, LE VICOMTE)
Que vous avez la plus vive curiosité de le voir. (Acte 3, scène 3, DOROTHÉE)
Si vous ne le voyez pas, j'aurai beau lui dire de votre part les choses les plus honnêtes, il n'en croira rien. (Acte 4, scène 2, OPHÉMON)
Mais, par exemple, vit-on jamais rien de plus inconcevable ? (Acte 4, scène 2, LÉONTINE)
C'est un tremblement qui m'est naturel ; ce mal me tient depuis plusieurs années. (Acte 4, scène 4, LE VICOMTE)
Vous auriez pu le remarquer plus tôt. (Acte 4, scène 4, LE VICOMTE)
J'y voudrais plus d'émotion encore. (Acte 4, scène 4, LE VICOMTE)
Je le connais : mais ma mémoire ne va pas plus loin. (Acte 4, scène 5, OPHÉMON)
Oui, il est jeune, il n'a certainement pas plus de trente deux ou trente trois ans. (Acte 4, scène 5, OPHÉMON)
Oui, le sentiment le plus tendre pourrait seul excuser ce que je fais ; mais pour un Inconnu... (Acte 5, scène 1, LÉONTINE)
Je suis encore plus tremblant qu'elle... (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
En effet, vous venez de passer encore huit mois dans vos terres ; je m'en suis étonnée plus d'une fois, mais je n'en ai point pénétré le motif. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Que cette confidence rend mon amitié pour vous et plus vive et plus tendre ! (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Je vous estimais : mais à présent l'intérêt le plus sensible, le plus vrai, m'unit à vous pour toujours. (Acte 5, scène 2, L?ONTINE)
Si vous lui ravissez tout espoir, je n'en dois plus conserver. (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
Ne parlons plus de moi ; je ne suis occupée que de vous. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Achevez, mon cher Vicomte, une confidence qui m'intéresse plus que je ne puis vous l'exprimer. (Acte 5, scène 2, L?ONTINE)
Si je puis vous être utile, comptez sur tous les soins de la plus sincère amitié. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Ce n'est qu'au silence que j'ai dû peut-être les plus doux moments de ma vie. (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
Parlez, Madame : c'est l'ami le plus tendre qui vous en conjure. (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
Un mouvement surnaturel, un sentiment plus fort que ma raison, me maîtrise et m'entraîne. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Il va tomber à vos pieds, le plus heureux, le plus fortuné de tous les hommes. (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
Oui, c'est moi, oui c'est l'amant le plus passionné. (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
Oui, si je ne vous devais pas le bonheur le plus doux et le plus inespéré, j'aurais peine, je l'avoue, à vous pardonner ces craintes injurieuses qui m'outragent. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Eh bien, tout ce que la reconnaissance, l'amitié, l'amour peuvent inspirer de plus tendre, de plus passionné, je le ressens, je l'éprouve pour vous. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Que n'avez-vous parlé plus tôt ? (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Eh bien, retracez-vous ces sentiments si tendres, si violents, que je vous dépeignais alors, et croyez que ceux que vous m'inspirez sont mille fois plus vifs encore, et plus passionnés. (Acte 5, scène 2, LÉONTINE)
Ainsi donc ce qui fit mon plus grand tourment, va servir désormais à ma félicité. (Acte 5, scène 2, LE VICOMTE)
voilà le plus joli complot et le mieux concerté. (Acte 5, scène 3, DOROTHÉE)
Je ne sais plus qu'en penser. (Acte 5, scène 3, DOROTHÉE)

COCATRIX (1777)

Son front n'était plus ceint de la triple couronne ; v.55 (Acte 1, scène 1, AMATROX)
Je t'aime d'autant plus que je t'estime moins. v.130 (Acte 1, scène 1, AMATROX)
Avouons-le, Amatrox : il est beaucoup plus grand v.157 (Acte 1, scène 3, COLORAX)
Ou si plus amoureux que nous autres ne sommes, v.167 (Acte 1, scène 3, COLORAX)
Après les plus rudes épreuves, v.263 (Acte 1, scène 4, AMATROX)
Un Héros plus grand que des Saints. v.275 (Acte 1, scène 4, AMATROX)
Le déluge rendit la terre plus féconde... v.313 (Acte 1, scène 5, AMATROX)
Plus long et plus constant dans l'ancienne Cour. v.320 (Acte 1, scène 5, COCATRIX)
Eh bien, grand Amatrox, il n'est plus temps de feindre, v.333 (Acte 1, scène 5, COCATRIX)
Il ne nous reste plus que l'inceste ou la mort. v.400 (Acte 1, scène 5, COCATRIX)

L'ÃŽLE SONNANTE (1768)

J'en ai appris plus que je ne puis dire : on peut me raconter à présent tous les prodiges qu'on voudra, et de l'île des Maragons et des Lestrigons ; je croirai tout, je croirai tout. (Acte 1, scène 2, ZERBIN)
Mon fils, mon fils, ta Célenie t'aimera ; mais elle ne te le dira que quand elle ne parlera plus. (Acte 1, scène 2, ZERBIN)
Peut on un radotage plus complet ? (Acte 1, scène 2, ZERBIN)
Cette femme a dit, en vous entendant chantonner : « Chante, chante, mon fils ; mais prends garde de chanter plus que tu ne voudras. » (Acte 1, scène 2, ZERBIN)
Hé bien, hé bien, notre vaisseau, en dépit du gouvernail, en dépit du vent et de la marée, vient ici par le chemin le plus droit. (Acte 1, scène 2, ZERBIN)
Nous y voici : on y chante, on y chante , encore trois jours, et vous voilà bon gré malgré le plus déterminé chanteur. (Acte 1, scène 2, ZERBIN)
Fait du bruit, et son feu n'est plus un feu caché. v.18 (Acte 1, scène 3, PIANO)
Son coeur jaloux prendra les plus cruels moyens v.22 (Acte 1, scène 3, PIANO)
Et la mienne encore plus. (Acte 1, scène 4, ZERBIN)
Voilà bien le tyran le plus fat.... (Acte 1, scène 6, DURBIN)
Ranimer plus vivement v.137 (Acte 1, scène 10, VIVATCHÉ)
Au plus rigoureux trépas. v.172 (Acte 2, scène 1, PIANO)
Quel diable, j'ai bien trouvé un air plus vif : mais dans ce moment-ci les rimes ne me viennent point du tout. (Acte 2, scène 1, ZERBIN)
Peut-on voir un procédé plus v.204 (Acte 2, scène 1, ZERBIN)
N'ont plus lieu v.209 (Acte 2, scène 1, ZERBIN)
Vos procédés plus que vos vers : v.219 (Acte 2, scène 1, PIANO)
Attachez-vous un peu plus à la rime, v.220 (Acte 2, scène 1, PIANO)
Ne soit plus avec.... l'attirail v.230 (Acte 2, scène 2, ZERBIN)
Seigneur, vous n'avez plus de salon de musique : v.408 (Acte 2, scène 13, L'ESCLAVE)
Vos airs, vos septuors, tous vos plus grands morceaux v.422 (Acte 2, scène 13, L'ESCLAVE)
Et de plus, comme Médecin, v.490 (Acte 3, scène 1, PRESTO)
Plus le cruel nous tourne et nous retourne, v.555 (Acte 3, scène 6, ZERBIN)

ALFONSE DIT L'IMPUISSANT (1740)

Dès mes plus jeunes ans, amené dans Byzance, v.17 (Acte 1, scène 1, ALCIMADURE)
Flore l'embellissait des plus brillantes fleurs, v.47 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Et Zéphyre exhalait ses plus douces odeurs. v.48 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Fallait-il me priver de mes droits les plus doux ! v.63 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Le plus vil des mortels jouit de l'avantage v.65 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Seigneur, avec plus d'art il faut la ménager : v.83 (Acte 1, scène 2, ALCIMADURE)
Affectant à dessein les dehors les plus doux, v.92 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Dès que la nuit plus sombre, v.105 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Je ne t'écoute plus. v.128 (Acte 1, scène 2, ALFONSE)
Croit-il avec plus d'art attaquer ma sagesse ? v.154 (Acte 1, scène , LÉONOR)
Qui, même sur ce point, déjà ne l'est plus guère. v.170 (Acte 1, scène , ALCIMADURE)
Peut-il aller plus loin ? v.195 (Acte 1, scène , LÉONOR)
Les plaisirs les plus vifs, sans perdre de l'estime. v.197 (Acte 1, scène , ALCIMADURE)
Mourir en vous servant est ma plus chère envie. v.262 (Acte 1, scène 6, ALVARÈS)
Ne vous souvient-il plus de vos premiers serments ?... v.271 (Acte 1, scène 6, ALVARÈS)
Que l'amour, lui prêtant ses plus tendres faiblesses, v.361 (Acte 1, scène 8, ALCIMADURE)
À la reine fait-il les plus tendres adieux. v.416 (Acte 1, scène 10, ALFONSE)
J'achèterais, au prix de la mort la plus sûre, v.425 (Acte 1, scène 10, ALFONSE)
Ah ! Je ne veux plus vivre et régner que par toi. v.444 (Acte 1, scène 11, ALFONSE)
Je brave les complots des plus séditieux. v.447 (Acte 1, scène 11, ALFONSE)

LES ACCIDENTS OU LES ABBÃ‰S (1909)

Rien n'est plus sûr, puisque c'est moi qui suis entrée ici en place, et qui me nomme Mademoiselle Damour, fort à votre service.? (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE DAMOUR)
Savez-vous bien qu'il n'y a plus que vous à Paris, qui ne soyez point au fait des galanteries de votre vertueuse cousine ! (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Depuis un mois que j'y suis, moi, j'en ai entendu faire cent contes plus plaisants les uns que les autres ; et même dans ma province, à Rennes, du vivant de feu Monsieur de Kerléon, mon triste mari, l'on en débitait déjà des histoires qui avaient fait tout l'éclat que la comtesse elle-même pouvait désirer. (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Mais moi, je dis plus ; je n'en ai pourtant point de preuves. (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Je n'imagine rien, moi, mais, cruel abbé, puisque vous me réduisez à parler raison, je vous répéterai que je n'ai rien de prouvé sur ce dernier fait ; aussi est-ce à cause de cela, et parce-que vous vous êtes mis dans l'esprit que vous lui aviez obligation que je me suis ici laissé traîner chez elle,... que, par déférence pour vous, j'ai passé par dessus toutes les misères du cérémonial,... que je viens avec vous lui faire part de notre mariage, et en vérité c'est une des plus grandes marques d'amour que je pouvais vous donner, à vous d'ailleurs que j'ai si bien subjugué. (Acte 1, scène 2, LA MARQUISE)
Je ferai ce que je pourrai, Madame, mais il serait plus sûr de les faire écrire par le Suisse. (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE DAMOUR)
Cependant, le plus sûr, c'est qu'elle soupe ici. (Acte 1, scène 3, MADEMOISELLE DAMOUR)
Je ne vous ai rien permis, d'abord, mais du moins hier vous étiez plus poli. (Acte 1, scène , MADEMOISELLE DAMOUR)
Je ne donne plus dans ces folies-là, moi ; et il n'y aurait à présent que le mariage... (Acte 1, scène , MADEMOISELLE DAMOUR)
Et qu'est-ce que ces abbés ont de plus mûr ? (Acte 1, scène , MADEMOISELLE DAMOUR)
Mais ne m'interromps donc plus, et prête-moi une attention suivie pour que je te dise l'ordre et la marche de nos abbés. (Acte 1, scène , LAFLEUR)
C'est un homme de la plus haute qualité ; il a servi un peu dans la marine, et malgré cela il est de la plus grande grossièreté. (Acte 1, scène , LAFLEUR)
Ne crois pas cela, mon enfant, il compense sa brutalité par des qualité si brillantes..., si brillantes, que cela tient du prodige, que cela passe toute créance, et rien n'est pourtant plus vrai. (Acte 1, scène , LAFLEUR)
Oh, le plus grand jureur de son siècle, bref, l'on dirait que le rendez-vous des sept péchés mortels est sous le manteau de l'abbé Cormoran. (Acte 1, scène , LAFLEUR)
C'est un tyran, un roi de Maroc ; il n'y aurait plus de profit, mon enfant, il ferait même retrancher ceux qui nous viendraient de la part de Madame. (Acte 1, scène , LAFLEUR)
Eh bien, tiens, la voilà, mais ne me tourmente plus. (Acte 1, scène , MADEMOISELLE DAMOUR)
Rien n'est plus fatiguant, et c'est pour cela même que je veux me marier ; c'est pour me reposer, mordieu. (Acte 1, scène 7, L'ABBÉ DE CORMORAN)
Vous m'enchantez, Milord ; embrassez-moi, puisque vous n'êtes plus mon rival, puis le mariage du moins. (Acte 1, scène 9, L'ABBÉ DE CORMORAN)
Ce n'est point à lui non plus que... (Acte 1, scène 11, LAFLEUR)
Oh, c'est un abbé qu'elle vit avant-hier dans un petit bal particulier, et en deux heures de temps elle en est devenue folle, et sa folie est d'autant plus singulière que, suivant l'adresse de sa lettre que j'ai mise à la poste ce matin, cet abbé demeure dans un fameux hôtel garni, chez une femme de condition de province qui entretient vraisemblablement cette jolie colonne de l'Église. (Acte 1, scène 11, LAFLEUR)
Je ne sais pas, Milord, si l'abbé pourrait attendre après vous ; ce que je sais bien, c'est que Madame attend l'abbé avec la plus grande impatience, elle... (Acte 1, scène 11, LAFLEUR)
C'est que d'autres femmes le lui auront bientôt enlevé ; imaginez-vous donc que l'abbé Fleur de Pêché, avec la plus jolie figure que Dieu ait créée, joint à cela, m'a-t-on dit, d'être le plus grand persifleur, le plus grand fat, et le plus insolent des hommes. (Acte 1, scène 11, LAFLEUR)
Ah ça, Milord, nous n'avons plus rien à dire. (Acte 1, scène 11, LAFLEUR)
Vous devriez y aller plus tôt, Milord ; les premiers actes que l'on donne auparavant sont encore plus jolis, et Mademoiselle Allard dans le prologue... (Acte 1, scène 13, LA COMTESSE)
Oh, avant tout, Matame, il y aurait encore quelque chose de plus choli que ce prologue. (Acte 1, scène 13, MILORD)
Oui, che ferais un pien plus choli acte avec fous, si votre amour il foulait m'acorter maintenant, tout à stire, ce que vous m'avez fait entrefoir que vous ne retarderiez pas encore bien longtemps. (Acte 1, scène 13, MILORD)
Tenez, Matame, il y a pien cinq années qu'à l'imitation de la statue de notre roi Henry huit, je fis grafer à Londres la figure de mon visage, et en remarquant mon grand nais, les dames anglaises ils furent curieuses, et il y en eut plus de soixante qui crièrent au miracle. (Acte 1, scène 13, MILORD)
Ah ça, ne plaisantons plus, Comtesse, parlons raison. (Acte 1, scène 13, MILORD)
Si vous restiez ici plus longtemps, je sens que nous nous brouillerions à n'y plus revenir. (Acte 1, scène 13, LA COMTESSE)
Ainsi, croyez-moi, partez au plus vite. (Acte 1, scène 13, LA COMTESSE)
Enfin, l'on n'en voit plus comme cela ? (Acte 1, scène , LA MARQUISE)
Il est de la plus jolie figure du monde, trop jolie même pour un homme. (Acte 1, scène , LA COMTESSE)
En attendant je vous promets le plus profond secret et je vous jure, Madame, qu'il n'y aura au monde que ce médiateur qui le saura. (Acte 1, scène , LA MARQUISE)
Je suis charmé, moi, qu'elle lui montre tout ce qu'elle a de nos plus grands maîtres. (Acte 1, scène 19, LAFLEUR)
Avec vos vanteries et vos mensonges indignes, peut-on tromper une femme avec plus de bassesse ! (Acte 1, scène 20, LA COMTESSE)
Il ne me manquerait plus que de me marier aujourd'hui pour m'achever de peindre. (Acte 1, scène 21, LA COMTESSE)
C'est le plus habile et le plus honnête homme que je connaisse, Monsieur. (Acte 1, scène 24, LA COMTESSE)
Et vous jurer encore le plus grand secret. (Acte 1, scène 25, LA MARQUISE)
Et pour que cela soit encore plus fou, il faut que ma comtesse se déguise aussi en abbé. (Acte 1, scène 25, L'ABBÉ DE CORMORAN)
Iris croit plus honnête v.35 (Acte 1, scène 25, L'ABBÉ DE CORMORAN)
Hélas ! C'est plus fort qu'elle, v.39 (Acte 1, scène 25, L'ABB? DE CORMORAN)
Elle fut plus cruelle v.55 (Acte 1, scène 25, L'ABB? DE CORMORAN)

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Dans les 1895 textes du corpus, il y a 5 textes (soit une présence dans 0,26 % des textes) dans lesquels il y a 163 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 32,60 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	L'AMANT ANONYME	17	19	5	7	21	69
2	COCATRIX	10	0	0	0	0	10
3	L'?LE SONNANTE	8	1	0	0	0	9
4	L'ÎLE SONNANTE	3	8	2	0	0	13
5	ALFONSE DIT L'IMPUISSANT	20	0	0	0	0	20
6	LES ACCIDENTS OU LES ABB?S	39	0	0	0	0	39
7	LES ACCIDENTS OU LES ABBÉS	3	0	0	0	0	3
	Total	100	28	7	7	21	163