Occurences de l'expression
or
pour BOURSAULT, Edme
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
MARIE STUARD (1691)
- Un ordre exprès du Duc conduit ici mes pas. v.2 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Il me rappelle encore avec empressement ; v.9 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Le Comte de Morray peut aisément l'entendre v.12 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- De porter votre sort plus loin que vos souhaits. v.18 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Si par la mort du Duc cette action s'achève, v.20 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Les remords désormais ne sont plus de raison. v.30 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Quoique de ma fortune il ait été l'appui, v.33 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Et lorsqu'on est ingrat, et ne savez-vous pas bien, v.37 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Que les autres forfaits ne coûtent presque rien ? v.38 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Allez prêter l'oreille à ce qu'il va me dire. v.40 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Pour les gens de ma sorte est un lieu dangereux. v.46 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, nous sommes seuls. Tout paraît favorable? v.51 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- D'un effort généreux vous sentez-vous coupable ? v.52 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour peu que la fortune à mes voeux soit contraire v.55 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Que le sort à son gré vous flatte ou vous outrage, v.63 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Je suis las d'obéir aux ordres d'une femme. v.76 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Verrons-nous sans horreur un ouvrage si beau v.89 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- C'est une crime force qu'approuve la vertu. v.114 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Les plus heureux forfaits ne sauraient me tenter. v.125 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et tout semble d'accord pour perdre ce que j'aime. v.128 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pour ne pas offenser la beauté que j'adore v.131 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mon coeur n'exhale point le feu qui le dévore : v.132 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Quoiqu'il porte en tous lieux les traits qui l'ont frappé, v.133 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Gouverneur des Cinq-Ports, vous en être le maître. v.144 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- De l'illustre Stuard j'ai corrompu la garde. v.147 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- J'attends que pour sa fuite un port me soit ouvert. v.149 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mes déplorables jours vous sont plus chers qu'à moi. v.153 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Expose votre tête au sort le plus honteux. v.157 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Des soldats corrompus sont rarement fidèles ; v.159 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Et vous n'ignorez pas, Seigneur, que sur ce point v.160 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- D'une reine adorable ont proscrit l'innocence : v.167 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- L'injuste Elisabeth, maîtresse de son sort, v.168 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Dans ses cruelles mains tient l'arrêt de sa mort. v.169 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- La grandeur du péril les doit autoriser. v.173 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Pour dérober sa vie au sort qui la menace v.174 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Dites-moi quel effort vous voulez que je fasse. v.175 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Encore un coup, Seigneur, je suis prêt ? v.176 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- L'effort dont j'ai besoin, et que je vous demande, v.179 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- À la force pour titre, et ses crimes pour droits. v.185 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Si je sors d'Angleterre, et qu'on vous y retienne, v.186 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Suivez notre fortune en de meilleurs climats : v.189 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- De l'adorable objet qui vous devra le jour ? v.193 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- De ce port cette nuit doivent sortir vingt voiles ; v.195 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Du Comte de Morray trompons la vigilance : v.199 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Mais prêtez de la force à mon coeur qui chancelle ; v.215 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et puisque le silence est encore à mon choix, v.216 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quand je songe à l'horreur qui suit le nom de traître, v.222 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Si je n'ai votre appui pour me fortifier. v.229 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- D'honorer sa vertu de regrets impuissants. v.233 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et si quelque tendresse excitait vos remords, v.236 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Jugez en quel péril je me verrais alors. v.237 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Moi, des remords ! Moi, Comte ! v.238 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quelle peur vous alarme ? Et par quel sort fatal v.240 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour acquérir un trône il n'est point de forfaits, v.244 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- En quel rang ma fortune a-t-elle été réduite ? v.247 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsque sans effroi je me suis écarté, v.248 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- À quel degré d'honneur suis-je d'abord monté ? v.249 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- S'il épousa sa mère, il adorait la mienne ; v.267 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et par l'ordre du ciel il nous donna le jour, v.268 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour m'en convaincre mieux, s'il faut encore plus faire, v.278 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Si j'étais né d'un sang qui fut moins glorieux, v.280 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Aurais-je sur la reine osé porter les yeux ? v.281 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsque sur le trône on ne trouve monté, v.288 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- D'un amour qui lui plût son coeur encore frappé, v.296 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Je cherche à l'acquérir par la mort de ma soeur. v.309 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- La sort d'intelligence avec nos attentats, v.312 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et lorsqu'au premier crime on s'est autorisé v.320 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et je n'ignore pas ce précepte si beau, v.324 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quoique fasse le sang, il faudra peu d'effort v.328 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Pour mettre un si grand coeur au dessus des remords. v.329 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Que de ses jours sacrés il veut borner le cours v.333 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et pour qui son estime est changé en horreur. v.341 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Pour détourner l'orage, ou pour le prévenir, v.344 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Et quelle âme assez basse ose être encore rebelle ? v.347 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Elle lui parle encore en son appartement. v.353 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Plus son crime est énorme et ma haine équitable. v.371 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Madame, quelque horreur que le Duc vous imprime; v.374 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Ses amours ! Juste ciel, que m'apprend-on encore ? v.378 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Il l'adore. v.379 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il l'adore : Qu'entends-je ? v.380 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À ceux qui la briguaient ne pouvant l'accorder, v.392 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je jure que sa mort devancera la mienne, v.399 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et que pour lui porter de plus sensibles coups, v.400 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- À tous leurs mouvements une foule importune> v.414 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- D'un pas précipité court près la fortune ; v.415 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je vous en donne l'ordre, et e soin vous regarde. v.422 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Du Comte de Morray je viens de faire le choix : v.424 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Je l'ordonne. v.426 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Pour flatter ses désirs Newcastle est d'accord, v.432 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- De lui faire en secret ouvrir le premier port ; v.433 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Jusqu'à ce que du Duc le sort soit éclairci, v.440 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Comte, pour cet ingrat la mort aura des charmes. v.442 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ce sera pour ce traître une douleur mortelle, v.446 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- D'adorer votre soeur, et de vivre sans elle : v.447 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et ce qu'aura d'horrible un si funeste sort, v.448 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Lui seul de ce qu'il aime aura hâté la mort. v.449 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Forcera le perfide à mourir à toute heure. v.451 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et je l'accablerai par l'horreur de ma voir v.452 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Et vous n'ignore pas que pendant une nuit, v.460 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et plus de mes bienfaits, il fut favorisé, v.476 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je sais quelle justice à ses forfaits est due ; v.478 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Pour en banner d'abord ce qu'elle eut de tendresse ? v.483 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Prompte à le garantir du sort qui le menace, v.487 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Il vous dois sa fortune, et vous devra ses jours. v.489 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Si le Duc de Norfolk, que peut-être on opprime, v.514 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Cependant pour sa mort j'aperçois qu'on affecte, v.518 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- E t pour sauver le Duc si les remords sont vains, v.524 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Donnez quelque relâche aux soins qui vous dévorent. v.538 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Vous exposez des jours que l'univers adore. v.539 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Madame, et que m'importe, enfin, par quel secours, v.548 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Et poursuivi partout du remord qui me gêne, v.554 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Heureux si par ma mort la vôtre différé? v.590 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Nous sommes assurés des portes du palais. v.593 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Doit servir à sa reine, et d'escorte et de guide. v.595 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Ces moments fortunes ne se retrouvent pas. v.596 (Acte 2, scène 5, EURIC)
- Ô ciel ! Vois pour qui je t'implore. v.598 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Avant que de ce lieu tu ramène l'aurore, v.599 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Ait mis ce que j'adore à couvert des coups. v.601 (Acte 2, scène 6, NORFOLK)
- Mon sort sera plus beau pour chercher à m'en plaindre. v.615 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- Sortons, Madame? Ô Ciel ! D'où vient un si grand bruit ? v.617 (Acte 2, scène 8, NORFOLK)
- C'est le duc de Norlfolk qui cent fois ? v.622 (Acte 2, scène 9, NORFOLK)
- Il m'importe. v.622 (Acte 2, scène 9, KILLEGRE)
- Je suis sujet, Seigneur, et ce devoir l'emporte. v.623 (Acte 2, scène 9, KILLEGRE)
- Quel désordre, si tard, ose-t-on faire ici ? v.624 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Que je voulais ta mort moins que ton repentir v.637 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Il faut que de son sort ma vengeance décide. v.639 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Songez-vous aux remords que vous vous préparez ? v.640 (Acte 2, scène 10, MARIE-STUARD)
- Non, Madame, les Pairs ne viennent pas encore. v.650 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- Vous vous êtes levée aussitôt que l'aurore. v.651 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- A-t-on donné mon ordre ? Amène-t-on le traître ? v.654 (Acte 3, scène 1, ELISABETH)
- Ils ont pour ce perfide une haine mortelle. v.658 (Acte 3, scène 1, ELISABETH)
- D'empêcher désormais que l'ingrat me trahisse. v.667 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Si le Duc de Norfolk nous déclarait le guerre, v.670 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- La mort qu'on ma prépare est le digne salaire? v.682 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Quel autre encore plus loin eut porté ses exploits, v.684 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Si je l'eusse honoré de tes mêmes emplois ? v.685 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- D'une commune voix l'ont d'abord condamnée. v.703 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Avait conçut pour elle une invincible horreur ; v.709 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Qui trouvai-je ? Parlons : la vérité l'ordonne. v.718 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De former un d?sir qui put être coupable. v.723 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mon corps percé de coups vous est un sûr garant v.740 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour les autoriser à proscrire leurs rois. v.749 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Lorsqu'à quitter son trône elle se vit réduite, v.774 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et de faire à l'Écosse une guerre immortelle v.778 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Il faudrait qu'en tout temps par un glorieux choix v.784 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ce n'est pas un forfait dont mon coeur se repente/ v.795 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je jure que tranquille en son funeste sort v.796 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Sans se plaindre de vous elle attendait la mort : v.797 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Du plus énorme crime avoir été capable, v.806 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Ce n'est pas à ton gré le plus noir des forfaits ? v.809 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Deux fois digne de mort, que n'est-il à mon choix v.812 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Tu tentes à loisir les horreurs du trépas. v.817 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Je n'ai pas attendu que ma mort fut si proche, v.822 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Assure à ma mémoire un destin glorieux. v.829 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour s'immortaliser on ne peut faire un choix v.838 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- D'une action plus glorieuse. v.839 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Rien. Ce billet surpris rend ma mort légitime. v.851 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Si le même courroux qui termine ton sort v.864 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Lui laissait ignorer ma vengeance et ta mort. v.865 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Plus au gré de mes voeux la mort qui t'en sépare, v.874 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Gardes, laissez-les seuls ; et maîtres de la porte. v.878 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Empêchez seulement qu'aucun d'entre ou ne sorte, v.879 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Mais tel est de mon sort l'inflexible courroux, v.888 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Peut-être votre mort serait-elle encore loin. v.893 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Aux efforts impuissants d'un si faible secours. v.897 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Il est d'autres forfaits dont je ne le suis pas. v.901 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Lorsqu'il faut y monter par une voie injuste. v.903 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Et j'ai peur qu'avec moi vous ne fussiez d'accord, v.916 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Que l'on me rend justice en me donnant le mort. v.917 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je me flatte en mourant d'emporter votre estime ; v.919 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Je puis manquer de tout, hors de reconnaissance. v.923 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Et le reste d'un sang dont le force féconde, v.950 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Pour essuyer du sort les plus rigoureux coups v.956 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- À l'objet de ses feux s'est montré favorable ; v.967 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Tant que j'ai de la reine ignorer l'injustice v.978 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Ennemi des forfaits qu'on vous ose imputer v.980 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et pour être innocente à des yeux corrompus v.984 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- D'abord de leur éclat eut défile ma vue v.986 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- D'une secrète horreur j'eus longtemps l'âme émue ; v.987 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- J'adorais vos vertus, j'admirais vos appas : v.993 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Et j'ignorais, Madame, en prenant ce parti, v.1000 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- On me vient d'ordonner dans le même moment v.1004 (Acte 3, scène 5, KILLEGRE)
- Termine de vos jours la course infortunée. v.1007 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Que la mort qui m'attend serait digne d'envie v.1010 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Mais du sort le plus rude éprouvant le courroux v.1012 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- Peut-être que la reine après mon sort funeste v.1018 (Acte 3, scène 5, NORFOLK)
- M'appeler à la mort un moment après vous. v.1025 (Acte 3, scène 5, MARIE-STUARD)
- La reine attend l'ordre sacré v.1028 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Dont sa main autrefois vous avait honoré. v.1029 (Acte 4, scène 1, NEWCASTLE)
- Mon sort est d'obéir, le sien de commander. v.1033 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Pour en faire un présent que l'avenir abhorre, v.1034 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- De cette illustre marque il faut qu'elle t'honore. v.1035 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tiens, reporte à la reine un présent, qui sans doute, v.1042 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Et pour jouir en paix de ton malheureux sort v.1044 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Hâte, si tu le peux, les moments de ma mort. v.1045 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Tout méchant que tu sois, quelque effort que tu fasses, v.1046 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Encore un coup, crois-moi, fais hâter mon supplice. v.1050 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Et ne m'expose plus à l'horreur de te voir. v.1053 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Dont jamais la faveur n'a corrompu la voix, v.1065 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Un appas de grandeur a corrompu ma foi : v.1076 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Et si vous l'oubliez lors que vous serez roi, v.1077 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- L'union la plus forte est toujours imparfaite, v.1079 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Vous me feriez raison des mes forfaits trahis. v.1081 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Quoi dès le premier crime un remords vous désarme ! v.1087 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Que l'espoir glorieux d'un trône à partager ? v.1089 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- À de nouveaux mépris je veux forcer une traître. v.1107 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Vous frémissez pour lui du sort qui le menace : v.1110 (Acte 4, scène 3, MORRAY)
- Je demande à le voir, et j'abhorre sa vue. v.1115 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Dans l'espoir que la mort l'allait faire dédire ; v.1119 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Mais, méprisant la mort, et bravant ma puissance, v.1122 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Trouvait-il dans ses fers une fortune égale ? v.1127 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Quelque horreur que pour toi m'aient inspiré tes crimes : v.1139 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et tu n'ignores pas qu'elle était condamnée. v.1151 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Attiré l'étranger, corrompu mes sujets. v.1164 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Voilà quelle est ma plainte, et quels sont ses forfaits. v.1165 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour des crimes forgés, que vous ne croyez pas. v.1169 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- à des pairs corrompus dont la vue épouvante v.1170 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et voir sans passion une adorable reine, v.1183 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Devenue odieuse a force de vertus : v.1185 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et non sur le rapport que vous en fait un traître, v.1187 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et loin que le perfide implore ma pitié v.1196 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Au crime où malgré vous on vous force à tomber. v.1205 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- A porté votre nom aux deux bouts de la Terre ; v.1207 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- De l'aurore au couchant les plus augustes rois v.1208 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Pour rendre désormais votre gloire immortelle v.1210 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Elle est de même rang, de même autorité, v.1212 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- S'est vu par ses forfaits par l'acier d'un bourreau v.1232 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Qu'eut rendu mémorable une mort glorieuse : v.1235 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et le remords vengeur qui suit la trahison v.1240 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Madame, je ne puis, à ce torrent d'injures, v.1242 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Je ne suis point sorti du devoir d'un sujet : v.1245 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Préférèrent les fers, la torture, la mort, v.1252 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Aux appas séducteurs dont on flattait leur sort. v.1253 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà les grands forfaits dont ils furent coupables. v.1254 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Faire aller plus avant ma haine et tes forfaits. v.1260 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour porter sa clémence aussi loin que ton crime : v.1266 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Si tu peux concevoir que effort je me fais v.1271 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Par un effort pareil mérite mes bienfaits. v.1272 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Prêt à voir par ta mort ma vengeance assouvie : v.1273 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- C'est par un grand effort qu'un grand crime s'efface ; v.1281 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Eux, qui dans aucun sang n'autorisent le crime, v.1285 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Pour rendre à l'Angleterre un plus tranquille sort v.1286 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- De la reine d'Écosse ont tous signé la mort. v.1287 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ma rivale à la mort va devancer tes pas, v.1295 (Acte 4, scène 5, MORRAY)
- Ses ordres sont précis pour perdre sa rivale, v.1304 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Ne vaudrait-il pas mieux faire un plus noble effort, v.1314 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Et chercher des moyens pour détourner leur mort ? v.1315 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Après de tels affronts, quelque effort qu'on se fasse, v.1320 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Il en reste une horreur qui jamais ne s'efface : v.1321 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et qu'à leur premier ordre ils seront obéis, v.1334 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Le Comte de Morray viendra-t-il ? v.1336 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Vous avez de mon sort partagé le courroux, v.1338 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Après un sort si rude il m'eut été bien doux v.1346 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Témoins infortunés des malheurs de ma vie, v.1348 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Faut-il verser des pleurs quand un port m'est offert ? v.1351 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Et ne m'accablez point à force de tendresse. v.1353 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Que votre injuste mort nous a coûté de pleurs ! v.1358 (Acte 5, scène 1, MELVIN)
- Quoi que l'on doute encore de qui tu reçus l'être, v.1364 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- Et sans approfondir si tu sors de son sang v.1366 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- La mort de mon époux fut un de tes forfaits : v.1375 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Pour détruire une erreur dont j'abhorre le culte. v.1384 (Acte 5, scène 2, MORRAY)
- Qu'importe pour régner que je sache périr ? v.1403 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Les utiles forfaits aux ingrates vertus. v.1407 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Je ne puis résister au remords qui me gêne. v.1409 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Quelque effort que je fasse il me revient toujours. v.1411 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Est le plus glorieux, le plus saint de leurs droits. v.1419 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Si de vos jours sacrés le ciel bornait la course v.1432 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Deviendrait pas son ordre un lieu d'impunité v.1438 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Je me sens comme vous accablé de remords ; v.1446 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Et pour les étouffer je fais de vains efforts. v.1447 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Sa mort que je poursuis me coûtera des larmes : v.1449 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Le carnage et l'horreur triompheraient par tout. v.1451 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Mais pour venger la mort, honteuse aux diadèmes, v.1456 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- De peur de la flatter par de telles amorces v.1464 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Pour ses propres États chacun garde ses forces ; v.1465 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Borner sa violence à se plaindre de vous. v.1467 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Qu'elle meure. Et pourquoi me ferai-je un effort v.1474 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Pour conserver la vie à qui cherche ma mort ? v.1475 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Portez-lui le pardon ? v.1499 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Il est mort. v.1500 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Il est mort ! Ah, perfide, qu'entends-je ! v.1500 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- À la reine d'Écosse allez porter sa grâce, v.1505 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Madame, à mes forfaits préparez des supplices. v.1509 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Je ne paraît ici que pour vous faire horreur. v.1511 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A de toutes les morts souffert la plus affreuse. v.1521 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et mes remords trop lents n'ont point formé d'obstacle v.1524 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Jusqu'à vous aimer a porté son audace, v.1536 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- A séduit ma vertu, corrompu mon devoir, v.1539 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour commencer sa peine ordonnez qu'il m'écoute. v.1549 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- La douloureuse mort de son auguste soeur, v.1550 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Peut vous autoriser à m'écouter vous-même, v.1553 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Des larmes d'une reine honorés une reine : v.1557 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- L'adorable Stuard vient de finir son sort ; v.1558 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et vous allez frémir au récit de sa mort. v.1559 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ce sang de tant de rois le déplorable reste, v.1572 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- J'implore pour tous deux votre divin secours : v.1578 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Quoique jusqu'au tombeau la fortune me brave v.1588 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dont la reine innocente attend le coup mortel, v.1595 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et tous les gens de bien plaignant son triste sort v.1605 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- D'un éloge funèbre accompagnent sa mort. v.1606 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- L'innocence à la mort ne soit plus exposée. v.1612 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et si votre pouvoir n'arrête ce transport, v.1625 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tous ses juges, sans doute, auront un même sort. v.1626 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour moi qui désormais aurai honte de vivre, v.1627 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- De tes lâches projets la fortune se joue. v.1635 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Les forfaits les plus noirs sont les plus éclatants. v.1638 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- La mort qu'elle a soufferte est mon dernier ouvrage ; v.1643 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- J'en avais donné l'ordre, et j'allais être roi v.1645 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Si le sort inconstant ne m'eut manqué de foi. v.1646 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- La ciel cruel aux uns, et favorable aux autres v.1651 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Tous deux enfants de roi par un semblable sort v.1653 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Il vous élève au trône, et me livre à la mort. v.1654 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Quoiqu'on ait par son ordre arraché mon épée, v.1656 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Que j'avais, malgré lui, ma mort en mon pouvoir. v.1658 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Lorsqu'on tombe d'un trône où l'on a dû prétendre, v.1659 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Faites tous un effort pour tromper ses projets. v.1661 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Il est trop peu puni pour de si grands forfaits. v.1662 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Et j'ai la gloire, au moins, dans un sort si fatal, v.1665 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- De mourir autrement que n'est mort mon rival. v.1666 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
ÉSOPE À LA COUR (1701)
- De voir d'abord paraître un marmot sur la scène ? v.2 (Prologue, scène 1, UN PETIT GÉNIE)
- Au bonheur d'être grand j'aurais tort de prétendre ; v.5 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des Racines et des Corneilles : v.14 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- À nous porter au bien servent moins d'ordinaire v.27 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- (ou la chronologie a tort) v.35 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Ont toujours eu quelque rapport. v.38 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Ce qu'avant son voyage il faisait d'ordinaire. v.62 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Ébloui d'un trésor qu'il ne pouvait trop voir, v.63 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Et son trésor grossi grossira la tempête v.69 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Et vous, Iphis, sortez. v.75 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Mon ordre est une loi, c'est moi qui vous l'annonce, v.77 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Sortez. Je ne veux point d'inutile réponse. v.78 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Iphis, sortez, vous dis-je, et ne me voyez plus. v.80 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Après avoir été par l'ordre de ton prince, v.85 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Réformer les abus de province en province, v.86 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour venir réformer les abus de ma Cour. v.88 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- À corriger ma cour commence par moi-même : v.94 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Seigneur, vous obéir est ma plus forte envie. v.97 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pour s'immortaliser, fasse ce que vous faites, v.102 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et ceux, après ma mort, qui me succéderont v.119 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et que le trône enfin l'emporte sur le roi. v.124 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Je t'en prie en ami, je te l'ordonne en maître. v.130 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour en vaincre encore un, qui les surpasse tous, v.143 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et des soins du dehors passe à ceux du dedans : v.156 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Sous un dehors zélé cache un coeur hypocrite, v.174 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mais un trait important, que tes soins ont omis, v.187 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Que lorsque de la fable elle emprunte la voix. v.204 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- En voulut par lui-même être mieux informé. v.209 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand de quelque désordre ils pouvaient profiter, v.212 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Alors faisant semblant d'être encor dans l'erreur, v.218 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'ignorer leur artifice, v.219 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Dont lui-même avait de l'horreur, v.221 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Je n'ai rien de plus important. " v.224 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Les rois ont moins besoin d'augmenter leur fortune v.231 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Seigneur, répond encor la bande insatiable, v.233 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Une mémorable victoire, v.251 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De l'orgueilleux Iphis je te donne la place. v.272 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Tu peux de toute chose ordonner à ton choix. v.286 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Et son zèle se borne à me voir une fois, v.297 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Lorsque je le voudrai, ne le puis-je pas être ? v.320 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Qu'on l'aimerait mieux fait que d'être encore à faire. v.328 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Est-il un sort plus beau que d'asservir trois rois ? v.365 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- L'ordinaire destin des beautés difficiles v.367 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Que lorsqu'on veut trop prendre, on est soi-même pris. v.372 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Un héron, glorieux de voir que de ses plumes v.373 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne trouvait dans les eaux hors la perche et truite v.375 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Alors dans la rivière il fait divers plongeons ; v.388 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Son orgueil en rebute autant qu'il s'en présente, v.403 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- A peur d'être réduit au sort du limaçon. v.411 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et chacun dans l'automne a des remords cuisants v.426 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Fort bien. v.443 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Moi qui, de vos vertus adorateur sincère, v.448 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Et que leur médisance aide à me corriger. v.471 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- On tenait des discours et sans ordre et sans suite... v.473 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Il s'écrie, il s'emporte, il se rompt la cervelle : v.514 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Si l'on tenait encore une pareille foire, v.526 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Quand j'aurais un trésor à mettre en votre main, v.540 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Je sais par quel moyen on les force à se taire ; v.547 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Tout difforme et hideux que vous paraisse Ésope, v.562 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Non, vos charmes pour moi n'ont plus aucune amorce. v.570 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Vos remords seront vains si nous faisons divorce : v.571 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Si c'est là mon portrait et que je lui ressemble, v.582 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Lorsqu'avec bienséance on s'accommode à tout. v.593 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Qu'un orgueil ridicule attirait du mépris, v.605 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Si d'un remords, au moins, vous vous sentez capable, v.610 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ce matin tu portais des roses, v.624 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Ce soir tu portes du fumier. v.625 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et croyant ma conduite exempte de remords, v.640 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Je ne prends aucun soin de sauver les dehors. v.641 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Dont le coeur est encor susceptible de flammes, v.643 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Quand le ciel vous forma sur un si beau modèle, v.654 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- S'il en est temps encor, faites que votre époux v.668 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et portez-lui pour dot, comme une rare offrande, v.670 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Sa couronne, lui mort, appartient à sa fille ; v.682 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Pour balancer mon choix cette raison est forte ; v.690 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Mais enfin sur mon coeur Arsinoé l'emporte, v.691 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Sont toujours les raisons les plus fortes des rois, v.701 (Acte 2, scène 2, TIRRÈNE)
- Les succès les plus beaux et les plus glorieux v.724 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Ne sont pas sans chagrin pour les victorieux. v.725 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Et lorsque de l'hymen ils subissent les lois, v.732 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Seigneur, Arsinoé fût-elle encor plus belle, v.734 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Le coq étant fort beau, comme elle était fort belle, v.744 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leurs sévères parents autrement en ordonnent. v.754 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'abord il va percher sur le toit le plus haut v.759 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Leurs sévères parents autrement en ordonnent. v.783 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'abord il va percher sur le toit le plus haut v.788 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Accordez-lui la paix, sans épouser Argie. v.817 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Quoi qu'il fasse pour vous, il fait encor trop peu. v.835 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Qui rapportait le plus beau fruit du monde ; v.859 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Planté sur le bord d'un vivier : v.860 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il survint tout_à_coup un furieux orage. v.870 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Et l'orage passé chacun d'eux s'entresuit, v.877 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Avait si fort changé de face v.881 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ce figuier, désormais au rang des misérables, v.889 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Je prétends partager sa fortune cruelle, v.893 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Lui rendre ses attraits, et forcer les méchants v.901 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Jamais votre portrait ne fut mieux en son jour : v.907 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Qui voyant du figuier le destin déplorable, v.909 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Si du sort inconstant j'éprouvais le courroux, v.915 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Jamais vit-on disgrâce et plus prompte et plus forte ? v.921 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Que mon sort, cher Tirrène, est cruel ! v.922 (Acte 2, scène 4, IPHIS)
- Que m'importe ? v.922 (Acte 2, scène 4, TIRRÈNE)
- Monsieur, je viens ici, par un ordre du roi, v.927 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Respect, zèle, remords, tout aigrit son courroux. v.936 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Ce qu'a de plus horrible une chute si haute, v.945 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Lorsqu'un sujet s'oublie et trahit son devoir, v.967 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Et prendre garde encore, en risquant ces leçons, v.983 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Qu'eussions-nous l'un et l'autre encor plus de pouvoir, v.987 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- La fortune en aveugle ouvre ou ferme la main ; v.995 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- J'y vais d'un apologue ajouter la morale. v.998 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Que, donnant l'essor à mon zèle, v.1007 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- (qu'elle eût tort ou qu'elle eût raison) v.1014 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Devenue orgueilleuse à le voir complaisant, v.1018 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Elle eut beau de son crime étaler les remords, v.1026 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Elle fut mise dehors. v.1029 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Le sort des favoris qui s'osent oublier. v.1033 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- J'aurais sur ce sujet encor beaucoup à dire ; v.1035 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Je vous rapporterais un petit trait d'histoire, v.1070 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- J'ai tort, lui dit le roi, d'en user de la sorte : v.1088 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Vers qui que ce puisse être où mon penchant m'emporte, v.1090 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, vos sentiments sont conformes aux siens : v.1096 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Au sentier de la gloire encor prêts à vous suivre, v.1106 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Par vos ordres exprès je vous parle sans fard. v.1108 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui pendant leur jeunesse imprudents, emportés, v.1117 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Il vous rendra service encor mieux qu'il n'a fait. v.1121 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Qui peut-être à mes voeux vous rendra favorable : v.1123 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Un lion endormi, s'éveillant en sursaut, v.1128 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Sera ma plus forte envie. » v.1143 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Par des efforts vigoureux v.1152 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il s'attache avec soin à ronger une corde, v.1164 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qui de tout l'attirail est le noeud gordien ; v.1165 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Tant de fortune à son zèle s'accorde, v.1167 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour le récompenser de sa miséricorde. v.1169 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Iphicrate, autrefois l'ornement de la cour, v.1187 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- J'ignore quel plaisir ma figure vous fait ; v.1211 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le corps, quel qu'il puisse être, est l'ouvrage d'autrui ; v.1214 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh quoi ! Les dieux encore ? v.1244 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Laissez-là ces beaux noms, que le vulgaire adore. v.1245 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Il commence et finit, vous ne l'ignorez pas. v.1267 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- L'ordre toujours égal des saisons, des planètes, v.1272 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Vous qui paraissez être homme ferme, esprit fort, v.1274 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Parce que d'un peu loin vous croyez voir la mort, v.1275 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Dans une heure, au plus tard, votre mort était sûre, v.1277 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- À l'aspect de la mort vous êtes si timides v.1285 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mille de cris perçants importunent les dieux. v.1287 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- J'ai vu la mort de près dans plus d'une bataille ; v.1304 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Ni de croire des dieux, ni de les implorer. v.1307 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Plus juste ou plus craintif, je les implorerais. v.1311 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Votre raison alors sera-t-elle meilleure ? v.1313 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pouvez-vous ne rien croire et dormir d'un bon somme ? v.1317 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- De la vie à la mort il s'agit d'un instant ; v.1318 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Et que peut-on risquer qui soit plus important ? v.1319 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Qui dit Dieux, dit cléments. Un remords bien sincère v.1321 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh ! Ce remords sincère, est-on sûr de l'avoir ? v.1323 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- D'aller en sa faveur implorer leur secours. v.1337 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pendant que tu te portais bien, v.1339 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mais lorsqu'on la surcharge elle fond sous nos pas, v.1354 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Quel dieu, hors la fortune, à la cour est connu ? v.1363 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Et lorsque par hasard on rencontre ses yeux, v.1366 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- C'est lui que l'on invoque encor plus que les dieux... v.1367 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Adieu : je sors d'ici plein de votre mérite. v.1368 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Souffrez que je vous rende encore une visite : v.1369 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je crois, par les efforts que vos bontés feront, v.1370 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je demande un jour fixe encor cette semaine. v.1372 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que vous me voulussiez accorder cette gloire ! v.1377 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Les richesses de Flore et les dons de Pomone ; v.1381 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Que de clartés, hors la plus nécessaire ! v.1385 (Acte 3, scène 5, ESOPE)
- J'en conçois par avance une douleur mortelle. v.1416 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Si je lui faisais tort, j'en aurais du regret : v.1423 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Après l'avoir pleurée, et cru sa mort certaine, v.1428 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Au bout de quatorze ans m'ayant appris son sort, v.1430 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Je pars, je cours, j'arrive, et fais naufrage au port. v.1431 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- J'implore vos bontés dans le dernier besoin. v.1435 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Quelles fausses raisons colorent cet outrage ? v.1440 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope n'est pas seule, en sa bonne fortune, v.1444 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Qui d'un pauvre parent fuit la vue importune. v.1445 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Rhodope de son sort elle seule est la cause : v.1457 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Je veux m'en rapporter uniquement à vous. v.1475 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Un fleuve, enflé d'orgueil de l'abondance d'eau v.1482 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Sans moi, qui ne suis rien, tu serais encor moins. v.1489 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Est-ce à tort ?... je suis au désespoir ! v.1492 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Qui méconnut sa source, orgueilleux de son eau, v.1497 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Par orgueil comme lui, j'ai méconnu ma mère. v.1499 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Et croyais que le sort, lassé de me poursuivre, v.1506 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Adieu. La pauvre femme à l'instant est sortie, v.1510 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- À peine de ma chambre a-t-elle été dehors, v.1512 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Que pour la retrouver j'ai fait de vains efforts. v.1513 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Si mon crime fut grand, mon remords est extrême. v.1522 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Quelque rudes qu'ils soient, en mérite encor plus. v.1537 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que je viens de voir m'a si fort satisfait, v.1556 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Je ferai mes efforts pour la bien recevoir. v.1565 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Mais, Laïs, ses vertus corrigent sa naissance. v.1579 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Le poste glorieux qu'il occupe aujourd'hui ? v.1581 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- De son hideux aspect on est d'abord frappé. v.1588 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Hors l'esprit qu'il a droit, il a tout éclopé ; v.1589 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Et quoique sa morale ait des traits admirables, v.1590 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- L'esprit net, il est vrai, le corps indéchiffrable. v.1595 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- C'est d'une fort belle âme un fort vilain étui. v.1596 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Moi qui dois à votre ordre avec respect me rendre ; v.1611 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Crésus de ma présence eut d'abord l'âme émue, v.1623 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Et que si dans ces lieux j'éprouve un sort si doux, v.1624 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Au bord d'une fontaine, où l'onde était fort belle, v.1629 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Sensible à son malheur, mais encor plus active v.1632 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Quand elle fut hors de danger, v.1636 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Fait d'abord voeu de la manger, v.1639 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Assuré de l'arc qu'il portait, v.1641 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il allait lui donner une atteinte mortelle ; v.1643 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Le mord si rudement au pied, v.1646 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Épouse de Crésus, que mon sort sera doux, v.1655 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- Et vous savez le sort de quantité d'époux v.1671 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Je vous honore trop pour en être complice. v.1674 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- C'est le sort le plus doux. v.1679 (Acte 4, scène 4, ESOPE)
- Baisez-moi, je vous prie... encore une fois... bon. v.1680 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Jamais homme, à mon gré, ne se porta si bien. v.1683 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Que lorsque d'avec moi l'on s'en va mécontent. v.1692 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Expert en ce métier, je distingue d'abord v.1695 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- D'une armée ennemie et le faible et le fort. v.1696 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Fier, sans être orgueilleux ; doux sans être soumis ; v.1707 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Mais hors de son endroit, c'est la vertu des sots. v.1716 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Mais quel tort, dites-moi, m'a fait cet officier, v.1723 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Aller à la fortune est mon unique fin. v.1739 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Elle est hors de péril, et l'état hors de crainte. v.1772 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- La peau d'un loup, écorché vif, v.1773 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- On écorche le loup, on en couvre le sire ; v.1777 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et vous verrez alors si je rends bien service. v.1805 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et quiconque est formé d'un sang comme le vôtre, v.1816 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Lorsqu'à vous encenser tant de monde travaille, v.1824 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Aurait assurément grand tort sur mon sujet. v.1827 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Dans un corps de travers a mis un esprit droit. v.1835 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Quelque hommage forcé que la crainte leur rende, v.1836 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Que lorsque leur mérite est égal à leur rang. v.1839 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et le moindre alliage en corrompt le métal. v.1843 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Mais quel homme important en ce lieu me vient voir ? v.1855 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Et qui souhaiterait être assez fortuné v.1858 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Allons d'abord au fait : point d'inutiles termes. v.1864 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- D'une voix unanime et d'un commun accord, v.1874 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Les vertus d'un fermier sont dans son coffre-fort ; v.1875 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Fort bien. Mais croyez-vous y trouver votre compte ? v.1880 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Quoi que vous ordonniez, tout me semblera bon. v.1898 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Qu'est-ce que c'est encor que le tour du bâton ? v.1899 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Un profit clandestin... vous ne l'ignorez pas ! v.1907 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'ai là-dessus, vous dis-je, une ignorance extrême. v.1908 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que l'on aille d'un grand implorer une grâce, v.1912 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous êtes dans un poste à le savoir fort bien. v.1926 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je vois, par ses effets et ses métamorphoses, v.1928 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et pour ne point sortir de la ferme où nous sommes, v.1933 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Lorsque l'on offre au roi la somme qu'il lui faut, v.1934 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Cent millions, dit-on, plus_ou_moins, il n'importe. v.1936 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- On ajoute à cela ; mais d'une voix moins forte, v.1937 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je dévore. v.1956 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quel âge avez-vous bien pour travailler encore ? v.1957 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- La mort toujours au guet avec son attirail, v.1982 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- L'honora de sa présence. v.2005 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Ces premiers corrupteurs de la vie innocente v.2025 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voulant compter le temps qu'ils seront encor là, v.2029 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et qui sont morts sans satisfaire v.2034 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Des nonchalants rapporteurs, v.2047 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui font, comme il leur plaît, avoir raison ou tort, v.2051 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Et précurseurs de la mort ; v.2053 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Les affligés de mort subite. v.2065 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qu'un faiseur d'oraisons funèbres. v.2069 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour penser à la mort, sans y donner une heure. v.2072 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vieux, cassé, décrépit, la mort vient et vous prend : v.2073 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Dans le moment que la mort vous surprit, v.2076 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- L'affaire la moins importante v.2080 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il se peut qu'on ait tort de soupçonner son zèle ; v.2103 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Donnez ordre, seigneur, qu'on l'arrête. v.2108 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Qui semble être ennemi de l'argent et de l'or, v.2120 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- A dans une cassette, en secret, un trésor. v.2121 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- J'ignore le détail de ses supercheries, v.2122 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Ésope criminel, quels que soient ses remords, v.2132 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Je vous donne à tous deux ce qu'il a de trésors ; v.2133 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Laissez-moi lui parler ; je vous l'ordonne. v.2143 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- S'il était innocent, pour sortir d'embarras, v.2168 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Et que, pendant l'été, quand il tonne bien fort, v.2180 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Loin de vouloir répondre, il semble qu'elle dort ? v.2181 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Que lorsqu'en badinant je m'amuse à sonner. v.2183 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- À tort mon silence t'étonne. v.2186 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Pour ne répondre pas lorsque Jupiter tonne. v.2189 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Par sa fausse morale il en a tant surpris. v.2199 (Acte 5, scène 3, TIRRÈNE)
- Il acquiert sourdement des trésors véritables. v.2201 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- À couvert des efforts de la plus noire envie, v.2205 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Qui la fasse apporter et qui l'ouvre lui-même. v.2217 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- L'autre, qu'aucun mortel n'aurait qu'avec ma vie, v.2220 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Est celle du trésor dont on a tant d'envie. v.2221 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Observez bien mon ordre, et ne touchez que là. v.2223 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Et ce que par votre ordre on apporte en ces lieux v.2242 (Acte 5, scène 4, TRASIBULE)
- C'est ton trésor, Ésope ; avant qu'on l'ouvre, v.2244 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Eh bien ! Puisqu'on m'y force, il y faut consentir. v.2255 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Est-ce là le trésor qu'on m'oblige à chercher ? v.2258 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- C'est l'habit que j'avais quand par un sort propice, v.2260 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Habit vil, mais qu'on porte avec tranquillité, v.2262 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Si je l'eusse porté pendant toute ma vie, v.2265 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- L'orgueil suit de si près un extrême pouvoir, v.2283 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Souvent l'éclat flatteur de ce rang fortuné, v.2286 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand l'orgueil sur moi prenait trop de crédit, v.2290 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Voilà tout mon trésor. Quelque peu qu'il me coûte, v.2292 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je ne m'en dédis point, c'est un trésor, sans doute, v.2293 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Puisque, lorsqu'on travaille à me sacrifier, v.2294 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Auraient à votre cour moins d'orgueil qu'ils n'en ont ! v.2299 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Je vous pardonnerais un effort plus puissant v.2302 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Lorsque d'un innocent vous faites un coupable. v.2305 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Sûr qu'il est toujours juste en tout ce qu'il ordonne, v.2308 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Vous, que je laisse exprès pour garder cette porte, v.2312 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Que sans l'aveu d'Ésope aucun n'entre ou ne sorte ; v.2313 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et que son ordre ici puisse autant que le mien. v.2314 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Ayant su qu'un trésor, que l'on disait immense, v.2332 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Au milieu des trésors vous avez les mains pures. v.2337 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- " Je ne vous ai pas fait, dit-elle, un fort grand mal. " v.2351 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Ta morsure, il est vrai, me semble un faible outrage, v.2352 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Nous n'avons, sans votre ordre, osé la faire entrer. v.2360 (Acte 5, scène 6, GARDE)
- J'ignore quel sujet peut ici l'attirer... v.2361 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Elle a pour nous une haine mortelle. v.2362 (Acte 5, scène 6, TIRRÈNE)
- Ma mère attend votre ordre, et je l'attends comme elle. v.2363 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Et pour faire encor mieux, tarissez-en la source. v.2375 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Vous avez le pouvoir ; décidez, ordonnez. v.2376 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Dans mes premiers transports me trouvant trop à craindre, v.2378 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Je n'ai, seigneur, encor rien prononcé. v.2381 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et qui prends à ton sort plus de part que toi-même ? v.2387 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Venge-toi, tu le peux, tu le dois ; je l'ordonne. v.2394 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Si votre ordre contre eux avait tout son effet, v.2400 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Être de qualité, sans du bien, c'est un sort, v.2416 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Pour peu qu'on ait de coeur, plus cruel que la mort. v.2417 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Tandis que la balance est encor suspendue, v.2422 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Ah ! C'en est trop, seigneur ; quoi qu'on puisse ordonner, v.2425 (Acte 5, scène 8, TIRRÈNE)
- Accordez-moi, seigneur, leur grâce pour salaire : v.2435 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- C'est une récompense un peu forte pour moi ; v.2436 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Par leur confusion, leurs remords, leurs alarmes, v.2438 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- D'Ésope, à qui je dois cet important service, v.2451 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Faites que la fortune arrive au plus haut point. v.2452 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Ce serait un orgueil inexcusable à moi v.2460 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
LA SATIRE DES SATIRES (1669)
- Est un original qui n'a point de copie : v.10 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Il emporte le prix sur les plus éventés, v.11 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Je n'ai jamais rien vu qui fut mieux ordonné v.27 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Lorsqu'à charmer nos sens votre esprit s'étudie, v.29 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et morbleu ! (car enfin il m'a mise en furie, v.34 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Je ne puis en sortir, si je ne jure un peu. ) v.36 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il en parle sans cesse, et prétend fortement v.43 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Que l'Univers en corps soit de son sentiment. v.44 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Pour piller mon suffrage, et corrompre ma voix. v.48 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Despréaux qui l'entête, est si fort à son goût, v.55 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qui se fait appeler la Marquise Orthodoxe ; v.62 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Trésorier d'Angleterre, Électeur d'Allemagne ; v.86 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il fait encor au bout mettre un et cetera, v.88 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Après vingt qualités d'une telle importance, v.89 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- À des gens de sa sorte ira-t-on dire au nez, v.91 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Sûr qu'à vos sentiments c'est à tort qu'il s'oppose, v.93 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Accordés aujourd'hui, pour être unis ensemble, v.98 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Faire tort d'un hommage à vos charmants appas. v.104 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Par mon foi, moi d'abord que lui tourne son tête, v.109 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'en donne un coup bien fort dessus son dos qu'il tend. v.112 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Mon foi, le maison s'ouvre, et j'ai sorti dedans : v.116 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'aime encore plus que mieux qu'il déchire mon manche. v.117 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Et fort pien. v.125 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Qui traîne le désordre, et qui fait la cohue, v.126 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Hormis ceux dont les noms sont là-dessus. v.130 (Acte 1, scène 2, ?MILIE)
- Retourne, et souviens-toi de ce que je t'ordonne. v.133 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Vous voilà l'un et l'autre à ma miséricorde : v.141 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Comment Diable ? À l'écart dès le jour qu'on s'accorde ? v.142 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Vous avez le corps souple, et de plus l'air galant. v.152 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Les auteurs de ta sorte effarouchent les Muses. v.161 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Veux-tu que je te prouve, et par raisons fort nettes, v.189 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Qu'au plus fort de l'été l'on voit des alouettes ? v.190 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Et comme il prouvera par des raisons fort nettes, v.193 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Qu'au plus fort de l'été l'on ait des alouettes. v.194 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Je prétends vous prouver, et par raisons fort nettes, v.201 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Qu'au plus fort de l'été l'on a des alouettes ; v.202 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Fort bien. Te souviens-tu des mets qu'il fait venir ? v.215 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Régnait un long cordon d'Alouettes pressées." v.218 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- D'accord, mais c'est peut-être en hiver qu'il veut dire. v.222 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Point de glace, bon Dieu ! Dans le fort de l'été !" v.227 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Orner d'un méchant plat, un festin ridicule, v.234 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Sur le raisonnement, je suis plus fort que toi. v.243 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Est-ce Acante, Licas, Oriane, Caliste, v.249 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Monsieur en fait de fort beaux. v.265 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- "Lorsque d'un froid rimeur il dépeint la manie, v.274 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Ses vers, comme un torrent, coulent sur le papier : v.275 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Les Amants de sa sorte ont un grand privilège. v.302 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quand on est accorde, n'est-ce pas quasi fait ? v.304 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et parmi le grand nombre on n'est point formalise : v.306 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Dès qu'on est accordé, la pudeur prend l'essor. v.307 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Que je vous baise un peu, je vous en prie : encor, v.308 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et Monsieur l'accordé veut-il que je le baise ? v.309 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- D'accord, qui ne fait rien qui vaille. v.314 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'avoue ingénument que j'ai fort peu d'esprit, v.315 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- En vérité, l'esprit vous est fort obligé. v.320 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Avant qu'on la commence, ordonnez qu'on le die. v.326 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Que les vers en sont forts, et que tout m'en a plu ! v.348 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ah ! Fort bien. v.383 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le Cid est de Corneille, où Diable as-tu l'esprit ? v.391 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'en demeure d'accord : mais d'assez fraîche date, v.393 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il ne faut pas avoir l'esprit fort délicat, v.399 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qui jamais à médire a borné son génie ? v.406 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Et n'en peut-on sortir, sans égarer sa Muse ? v.410 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Sorti d'assez bon lieu, c'est vouloir sans raison v.411 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Corneille le premier, quoiqu'auteur assez bon ; v.423 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il veut bien faire grâce au bonhomme Corneille ; v.426 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et lui laissant en paix achever tout son sort, v.427 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- L'empêcher de mourir que de sa belle mort. v.428 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand d'un crime parfois il exprime l'horreur, v.443 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- On le saigne d'abord de trois ou quatre veines, v.450 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Pour faire évaporer par ces canaux ouverts, v.451 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- La grandeur du génie, et la force des vers. v.452 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il écrit nettement ; et pour dire encor plus, v.455 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À ces sots du bel air, dont l'esprit est sans force ; v.461 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Avec qui le bon sens est toujours en divorce, v.462 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qui de trois grands mots ornant leur entretien, v.463 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Hé, morbleu, que les amants sont bêtes ! v.482 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Nullement, mais à tort ton esprit se gendarme ; v.485 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- D'accord : mais notre ami, sans t'échauffer la soie. v.489 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qu'il ait prétendu se morfondre le bras, v.491 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'il censurât encore un endroit que voici, v.496 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand "chacun, malgré soi, l'un sur l'autre porté v.507 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oh ! D'accord, en ce cas ; v.527 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ce n'est, je crois, pas dire, au rapport de Madame v.533 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il doit peu t'importer, s'il ne m'en souvient pas ; v.564 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- La Marquise Ortodoxe aurait dit des merveilles, v.569 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans ce perturbateur du repos des oreilles. v.570 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Allons, mortifiez-le un peu. v.575 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Morbleu ! v.576 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- N'importe ; v.577 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je ne vois point d'auteurs s'exprimer de la sorte. v.578 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- J'ai beau lire Corneille, et Racine, et Boyer, v.580 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ces vers sont d'une force à jamais n'égaler. v.587 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et qu'on le dise, ou non ; que t'importe ? v.605 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il m'importe. v.605 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Non, le Diable m'emporte. v.606 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ses vers font encore en nature. v.610 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il est vrai, l'on le dit ; il est même fort bon ; v.615 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que voit-on là dedans qui soit hors de raison ? v.651 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Deux adroits Béarnais, compagnons de fortune : v.674 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Nul n'avait fait fortune, hors Henry-Quatre et lui, v.676 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- J'allais encor citer un endroit élégant, v.680 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lorsqu'au grand Alexandre il compare le Roi ? v.691 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et si, Morbleu ! Madame, êtes-vous raisonnable ? v.702 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lors qu'au grand Alexandre on compare le Roi, v.703 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoi qu'en pense l'auteur, il a tort, selon moi. v.707 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Lorsqu'au grand Alexandre, il compare le Roi ? v.708 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il a tort ! v.709 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oui-da, tort ; et le bon sens en gronde. v.709 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- On se fait par le monde un tort irréparable. v.737 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- C'est un jeune emporté, qui dans ce qu'il écrit, v.743 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Oui, morbleu ! Despréaux versifie, v.749 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ses cornes d'avocat, en cornes de satyre. v.754 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comme depuis Boursault, jusqu'à l'aîné Corneille, v.762 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoique pour s'expliquer, il emprunte un organe, v.781 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À la beauté de l'art, tu te connais fort peu. v.784 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
LE MÉDECIN VOLANT (1666)
- Je sais qu'elle a pour vous une forte tendresse ; v.2 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Contre un objet charmant, que je dois adorer. v.8 (Acte 1, scène 1, CLÉON)
- Il n'est pas de moyens que l'amour n'autorise. v.17 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Pour des charmes si doux lorsqu'une âme soupire. v.30 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- En un mot, je l'adore, et son père me l'ôte, v.37 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- D'accord ; de mon malheur je ne puis t'accuser ; v.39 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Moi, Monsieur ? Abusez, que m'importe ! v.41 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Il la tient enfermée, et je veux qu'elle sorte : v.42 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Mon coeur, pour cet effort, ne s'adresse qu'à toi, v.43 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- À présent, il m'importe, ma foi ! v.44 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Je veux bien, en ce lieu, t'informer de la chose : v.54 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- C'est à tort que tu prends de l'effroi : v.63 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Je le vais aborder... Va m'attendre chez moi, v.67 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Je viens vous informer de la part que j'y prends : v.72 (Acte 1, scène 4, CLÉON)
- C'est cela qui l'étouffe, et ces sortes de choses. v.81 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- J'appréhende si fort que Lucresse ne meure. v.85 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Et pour lors tout mon coeur, accablé de tristesse, v.89 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Pythagore, Platon, v.95 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Oui, Monsieur, et j'ai peur de sa mort. v.119 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Elle est donc fort malade ? v.120 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Elle a tort ; v.120 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Or, le mal dominant par d'occultes ressorts, v.123 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Il corrompt la matière, il ravage le corps ; v.124 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Et s'il faut qu'avec eux j'en demeure d'accord, v.131 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Rien n'abrège la vie à l'égal de la mort. v.132 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Elle n'est donc pas morte ? v.136 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je m'en réjouis fort. v.137 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Puisqu'elle veut mourir sans aucune ordonnance. v.141 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- De ces sortes de maux notre École s'offense. v.142 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Et c'est faire éclater des malices énormes, v.145 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Que vouloir refuser de mourir dans les formes. v.146 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Ah ! Monsieur, votre fille est fort mal ! v.152 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Elle sort de son lit, puis après elle y rentre, v.154 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Se promène, se sied, veut dormir, veut veiller. v.155 (Acte 1, scène 8, LISE)
- De la fille ergotante apportez de l'urine. v.165 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Apportez ! v.166 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- Se seraient contentés du rapport de leurs yeux, v.176 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- À ces fortes raisons je n'ai point de réplique. v.182 (Acte 1, scène 9, FERNAND)
- Si pour vous il est vrai que la mort ait si hâte ; v.204 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Et votre maladie est sans doute mortelle ; v.207 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Que le sort les sépare, et le sang les rejoint ; v.214 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Et le sang l'un de l'autre est si fort dépendant, v.217 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- J'ai la mort sur le bord de la lèvre, v.223 (Acte 1, scène 11, LUCRESSE)
- Parfois, sans qu'on le sache, on se porte fort mal, v.226 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- L'ordonnance, v.231 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Mais, ignorant son mal, il lui faut, ce me semble, v.235 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Une ordonnance propre à tous les maux ensemble ; v.236 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Et de voir la fortune, à mes voeux trop cruelle, v.255 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Qui de la médecine est l'illustre ornement, v.273 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Alors que d'un malade on prolonge la vie ; v.290 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Et d'un grand médecin rien n'égale le sort, v.291 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand sa seule présence intimide la mort, v.292 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Mortem medicamentis removet medicus expers. v.297 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je ne puis approuver l'importune méthode. v.299 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Aux emplois importants sont toujours réservés. v.302 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Je sors donc ; mais j'ose me promettre v.303 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Daignez-moi,je vous prie, informer de cela : v.309 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Je soutiens que le corps est le frère de l'âme, v.327 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Ces méchants médecins, qui, par un triste sort, v.341 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- En curant notre bourse, enrichissent la mort. v.342 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Je le viens de quitter, il est fort mon ami. v.361 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Deux minutes plutôt, je l'accordais sur l'heure. v.371 (Acte 1, scène 16, FERNAND)
- Vous pouvez, en ce lieu, m'accorder une grâce. v.375 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Il a tort, il l'avoue ; il se nomme coupable ; v.379 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Désormais, il en jure, il veut être meilleur, v.381 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Ne vous puis-je résoudre à la miséricorde ? v.383 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- C'est un pendard. Monsieur, qui mérite la corde. v.384 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Je veux faire accorder le pardon devant moi. v.398 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- Point, Monsieur, je le vois fort exact : v.413 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Désormais, de sa part, je ne crains nul outrage, v.415 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Mais il sort de chez nous ; il n'a rien que je sache ; v.431 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Je le veux ; refermons cette porte, v.447 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Quoi ! Monsieur, vous craignez qu'il ne sorte ? v.448 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Quand on est baladin, porte-t-on la soutane ? v.452 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Mais je l'honore plus que personne du monde. v.464 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Je puis. Taisez-vous donc. Mais,mon cher frère. Encore. v.473 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Comment diable fait-il, le futé ? Je l'ignore. v.474 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Pécore. v.479 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Il aurait tort de vous plus offenser ; v.479 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Mais faisons sortir l'autre. v.497 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
LE MORT VIVANT (1662)
- Que direz-vous alors ? v.23 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Sache encore qu'il n'est rien de cela, v.37 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mon coeur depuis un mois t'aime encore d'avantage. v.44 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Je suis prête, ordonnez. v.61 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Sera plus beau qu'un Ange, ou plus fort qu'un Sanson. v.74 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- D'adorer ses attraits je ne pus me défendre ; v.91 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Fort bien. v.95 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Donc à ma passion vous êtes favorable ? v.99 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Donc je puis espérer cet objet adorable ? v.100 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Nenni, mais par un sort qui pour vous est fatal, v.105 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je vis qu'elle était pâle, et toute morfondue, v.120 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- D'abord prêtant l'oreille à sa voix, j'en ouïs : v.129 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Avait bien du rapport aux cris d'un petit Chat. v.138 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Lors pour voir ce mystère ayant ouvert la porte, v.139 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Je trouvais cette femme en langueur ; demi-morte. v.140 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et la mère pour lors pleinement satisfaite, v.159 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Monsieur, dit-elle alors, connaissant votre zèle, v.163 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et qui vécut si bien, qu'encore même elle vit, v.173 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Qu'elle borne sa gloire au bonheur de m'avoir. v.182 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et lorsque par son ordre on peut tout espérer, v.185 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Embrasser les genoux, de qui doit l'adorer ! v.186 (Acte 1, scène 4, LAZARILLE)
- Lorsqu'il a déclaré l'amour qu'il a pour vous, v.205 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Ô fortune cruelle ! v.216 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Profitons ; il sort tout en colère. v.231 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Je l'ai vu qui d'ici sort assez brusquement ; v.233 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et vous pouvez penser que sa flamme est bien forte, v.239 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Puisque j'ose vous faire un serment de la sorte. v.240 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Maraud insupportable... v.255 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Pour la contraindre encore à souffrir mon amour. v.270 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Je puis donc, supportant que je venge un affront, v.273 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Le forcer à se battre, et t'avoir pour second. v.274 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'elle doit, à mon sort, par l'Hymen être unie, v.280 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Et que quand la fortune est pour nous rigoureuse, v.287 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Penses-tu qu'au moment qu'on adore une belle, v.291 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il soit fort aisé de faire une absence éternelle ? v.292 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Vivez-donc, si la mort est pour vous effroyable. v.295 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- La mort aux malheureux est toujours agréable. v.296 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Quel sort qui nous puisse arriver, v.297 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Avoir peur de la mort, et puis craindre la vie ; v.300 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- De forcer Lazarille à sortir de Séville : v.312 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Laissez votre fortune à ma discrétion. v.313 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Il me souvient encore d'une autre invention, v.314 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Les plus fins confondraient vos portraits. v.318 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Que m'importe ? v.319 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Encore moins. v.328 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Fléchit-elle à ma moindre ordonnance ? v.328 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Car enfin quoique j'ai un rapport fort sincère v.331 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Une fort mauvaise nouvelle : v.351 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Mon Frère, votre Père ayant fini son sort, v.352 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Pour de votre Maison devenir le support, v.353 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il est mort ! v.358 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il s'oppose sans cesse au cours de ma fortune, v.369 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et comme à tout moment sa rigueur m'importune, v.370 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Ton sort est déplorable. v.373 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Ajoute encore, Fabrice, v.373 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- J'adore une beauté, je dois être auprès d'elle, v.377 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et la mort de mon Père à Tolède m'appelle. v.378 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Te rendrait favorable un séjour ennuyeux. v.384 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Qu'elle honore mes feux par un feu mutuel. v.388 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Où d'abord faites gille. Hé bien l'avez-vous vue ? v.405 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Mais je vous trouve encore un fort joli mignon, v.412 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Je sais que votre force égale une tempête, v.418 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Que chacun se maintienne en sa forme ordinaire, v.434 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Votre esprit pénétrant n'ignorât jamais rien. v.440 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Et pour faire un portrait qui chatouille son âme, v.453 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Forcer mon Excellence à me servir de vous, v.459 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Porte plus loin l'odeur de ton nez qui renfrogne ; v.473 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qui tout d'abord soupire, et n'a dit qu'un seul mot. v.476 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qui des coeurs les plus durs sont vos adorateurs : v.480 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister aux sensibles amorces v.481 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Qui maîtrisent notre âme, et surmontent ses forces : v.482 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il vous adore, hélas ! v.484 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Car des Ambassadeurs étant fort au dessous, v.507 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pour connaître aisément votre rang glorieux, v.511 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Mon enfant, je ne l'ignore pas ; v.520 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qu'il s'en faut peu souvent que la mort ne l'attrape, v.533 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Et quand la mort nous tient rarement on échappe, v.534 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Loin de vous accorder un plus grand privilège, v.546 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Que je n'ose, Seigneur en former l'espérance ; v.550 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- N'a-t-elle encore pu pénétrer votre coeur ? v.556 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Cède au cruel effort de l'amour qui me tue, v.558 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Pensent journellement établir leur fortune, v.562 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Enfle... rompt... calme... brise... enfin je suis fort mal. v.564 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Douterez-vous encore que je cherche à vous plaire, v.565 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Sors te dis-je : Et pour toi. Belzébuth te confonde. v.582 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Si d'abord j'ai souri aux souhaits de ce rustre, v.593 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- C'est à force d'aimer qu'il paraît ridicule, v.598 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Ton oreille charmée, et tes sens interdits, v.603 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Quel qu'il soit à son sort je veux être funeste, v.606 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Pour m'apaiser vainement tu t'efforces, v.625 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Loin d'éteindre mon feu tu redoubles ses forces, v.626 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Savoir la mort d'un Père et perdre une Maîtresse ? v.630 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Sinon sa mort est sûre, et je te le promets. v.635 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- A m'obliger, ton soin si fort s'applique ? v.642 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Que votre esprit est prête aux desseins qu'il se forge : v.645 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Qu'au couteau d'un meurtrier j'aille tendre la gorge, v.646 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Et que dans un amour qui me touche fort peu, v.647 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Pour des Ambassadeurs torchez-en vous le bec. v.652 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Et sois plus favorable à l'ardeur que je sens. v.668 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Je veux le faire boire à regorge museau. v.676 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Emportez la chandelle, et me laissez ici. v.697 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Il n'importe, v.699 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Laissez-moi seul vous dis-je, et fermez cette porte. v.700 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Il faut qu'un grand matin faire en sorte qu'il vienne, v.704 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- N'est pas encore prête à faire son retour, v.709 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- A ne pas le troubler appliquons notre effort, v.713 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Et cédons au pouvoir du frère de la mort. v.714 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Que Lucifer t'emporte avec ton chien de trou, v.717 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Qui n'est qu'un engin propre à me tordre le cou, v.718 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Or comme il ne vis plus et qu'il est sous la tombe, v.727 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- À tort son esprit s'embarrasse, v.735 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Encore quelques moments tâchons de reposer, v.746 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je ne prétendais pas remporter tous mes membres, v.748 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- J'aurais volontiers mis les oreilles à bas ; v.750 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et pour mieux faire voir que ta force est extrême, v.755 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ou bien à ce dormeur fais connaître à son dam, v.765 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si bien que je conclus qu'alors que je te fis, v.773 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Quoi, mon Père ? Ah ! Si mon sort vous touche, v.779 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pour dire encore un mot, daignez ouvrir la bouche, v.780 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Ô bizarre destin ! Sort fatal ! v.784 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pour animer mon coeur j'ai beau faire un effort, v.785 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je ne suis point vaillant si ce n'est quand il dort. v.786 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Mais à mon triste sort soyez moins endurci, v.793 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Qui pour venger ma fourbe employant ses efforts, v.797 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Châtiera mon esprit aux dépens de mon corps. v.798 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Grâce au bon Jupiter je suis hors de ta patte, v.812 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je plus infortuné de la troupe d'Esprits, v.814 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ô fortune prospère, v.819 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et qu'à vous contenter fortement je m'attache, v.836 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Votre ombre vagabonde aura droit désormais v.837 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Il a perdu le sens, quelle angoisse mortelle ! v.839 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- C'est depuis votre mort qu'il est donc égaré ? v.842 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Ma mort ! v.843 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Vous êtes mort mon Père, et la chose est certaine. v.847 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Pour si peu qu'il est mort ce n'en est pas la peine. v.848 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si je suis mort, c'est donc sans m'en apercevoir : v.849 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- J'ai si bien fait le mort qu'il le faut devenir. v.854 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Quel horrible fantôme est gîté dans ce lieu ? v.862 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Hé bien, j'en suis d'accord, v.869 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Je suis ton père mort, v.870 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Tout me confond, mon trouble est plus fort que devant ; v.873 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Enfin mon père mort, ou mon père vivant, v.874 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- La mort que j'ai soufferte a changé tous les miens, v.878 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- C'est un monstre infernal revêtu de ma forme. v.879 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Est-il vrai que je veille, ou si c'est que je dorme. v.880 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- D'accord. v.883 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- L'un des deux est sans doute, ou Sorcier, ou Voleur. v.886 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Malheur sur la maison de qui choque les morts. v.889 (Acte 3, scène 5, GUSMAN)
- Qui des deux soit mon père, excusez mes efforts. v.890 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- J'ignore en quel lieu ce peut être. v.915 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- ne cherchez désormais votre Père qu'en moi, v.918 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ma fille. Lazarille amortis ton ardeur, v.921 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ailleurs je t'en dirai les secrets importants, v.926 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Que plutôt ne te vois-je emporter par le Diable : v.932 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Ah ! Je suis mort. v.933 (Acte 3, scène 7, FERDINAND)
- Fort bien, notre espoir décevant, v.933 (Acte 3, scène 7, GUSMAN)
- Te fait le Vivant Mort, et moi le MORT VIVANT. v.934 (Acte 3, scène 7, GUSMAN)
GERMANICUS (1694)
- Me défend désormais de vous traiter d'égale. v.4 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et j'ai blâmé le sort qui vous était contraire, v.7 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Qu'adoré du Sénat, comme l'était mon père, v.11 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et par l'ordre d'Auguste adopté par Tibère ; v.12 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Le premier des mortels était Germanicus. v.18 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Qui vous met au dessus du sort qui vous attend, v.22 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Dans le trouble mortel dont mon âme est saisie v.27 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- On l'a vu dans l'armée au sortir de l'enfance v.43 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Homme plus glorieux, ni gloire mieux acquise. v.48 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Je cherche à le haïr, et me dois cet effort. v.57 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Car pour Tibère enfin je m'en plaindrais à tort : v.58 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Voila par quels motifs il me trouve importune. v.67 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Je l'ai vu de Caius, adorer la fortune ; v.68 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Un seul remords... v.79 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Ma haine est faible encor et mon coeur s'en défie : v.80 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Que mon sort serait beau si vous m'aimiez autant ! v.86 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- On vous force à me prendre, et vous obéissez, v.90 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- En vain à votre sort le mien doit être joint ; v.97 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- L'ordre exprès d'Agrippa, de qui je tiens le jour, v.105 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Accordez-moi, Seigneur, ce que j'ose prétendre : v.119 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Laissez-moi le loisir, Seigneur, l'amour l'ordonne, v.135 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Qu'on s'en forme à soi-même une flatteuse idée : v.144 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- On aspire sans cesse à ce jour glorieux ; v.145 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Quelque peine pourtant que votre ordre me cause, v.147 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- À l'effort que je fais joignez-en un égal ; v.149 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Vous aspirez encor à voir un si grand homme ; v.168 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Il est au bord de l'Elbe où son emploi l'attache. v.172 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Rien de plus glorieux n'embellit nos Histoires ; v.175 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Ne vous exposez point à des peines mortelles. v.179 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Dés hier me fut rendue, et je l'apporte exprès. v.194 (Acte 1, scène 4, PISON)
- L'effort que je me fis quand je quittai vos charmes, v.211 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Ceux que mon sort afflige ont soin de me l'écrire ; v.215 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour y prendre votre ordre, et pour vous dire adieu. v.242 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais je sens dans mon coeur des transports si confus... v.245 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais vous estes secret, j'ignore vos amours. v.253 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et s'il se peut, Madame, ignorez-les toujours. v.254 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et que ma bienveillance était lors pure estime : v.264 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais j'avais des transports et des troubles secrets, v.265 (Acte 1, scène 4, PISON)
- J'appelai cette estime une amitié fort tendre : v.268 (Acte 1, scène 4, PISON)
- L'adorable Beauté qui captive mon âme, v.295 (Acte 1, scène 4, PISON)
- J'obéis à mon sort, et ne m'en défends pas ; v.309 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Puisque je l'ignorais deviez-vous m'en instruire ? v.316 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ne saviez-vous pas qu'en trahissant leur sort, v.317 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Avec le sang d'Auguste ils n'étaient pas d'accord ? v.318 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- La raison et les sens ont beau faire divorce ; v.327 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand les sens sont gagnez la raison est sans force : v.328 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si mon coeur prévenu, corrompant mon devoir, v.345 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quoi qu'au sort d'un époux vous alliez vous unir, v.365 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Du désordre où je suis j'appréhende la suite. v.380 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais pour me retenir forgez-moi des liens. v.382 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quoi qu'avoir des rivaux soit un sort déplorable, v.383 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je vous l'ordonne. v.410 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- D'une main qu'il adore il respecte les coups. v.418 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Dans la dure contrainte ou mes voeux sont forcés, v.421 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Va de mon infortune instruire ce grand homme. v.423 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Par l'ordre de César sont remplis d'espions. v.430 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle est jeune, elle est belle, et d'un sang glorieux ; v.445 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et si lors qu'on l'arrache à de si doux liens, v.481 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Madame, encor un coup, permettez qu'il vous voie ; v.483 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Endormez sa douleur par une ombre de joie ; v.484 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Voyez-le donc : ce bien est le seul qu'il implore, v.487 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Au nom d'un peu d'amour, s'il vous en reste encore ; v.488 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et de peur de sa mort qui suivrait vos refus, v.489 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Que pour prix de l'effort qu'il me contraint de faire, v.496 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- D'où me vient ce désordre, et pourquoi suis-je émue ? v.503 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- La vertu la plus forte a de faibles moments. v.510 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Je révoque mon ordre, et ne veux point qu'il vienne. v.511 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Que mon sort est d'aimer, si le vôtre est de plaire : v.536 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Lorsqu'avec ce grand air, qui fait pâlir d'effroi, v.553 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Que l'amour et l'amant sont trop fort joints ensemble. v.572 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Albin, son confident vient de sortir d'ici. v.577 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Vous voulez qu'il l'apprenne, et votre ordre est pressant : v.586 (Acte 2, scène 3, PISON)
- À l'effort de mon bras, qu'au pouvoir de vos yeux. v.622 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Animant ma valeur, favorisait mes armes : v.624 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Sur des corps expirants je frayais une voie ; v.628 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je croyais, comme vous, votre flamme immortelle ; v.640 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand par l'ordre d'un père il fallut vous aimer, v.653 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui demandent de moi des efforts différents. v.662 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si j'écoute mon sang, que le feu déshonore, v.663 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Mon devoir m'est trop cher pour vous aimer encore : v.664 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et que sera, Madame, à ma douleur mortelle v.671 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- D'un soupir favorable honorer ma douleur, v.689 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Une épouse adorable, et des plaisirs égaux : v.694 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mais à votre vertu quelqu'effort qu'il en coûte, v.695 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Rend-il mon sort moins rude, et mon malheur moins grand ? v.698 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Pour calmer un transport, qui me serait funeste, v.703 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Et ne présumez pas qu'en un sort si cruel, v.713 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Par amour l'un pour l'autre, amortissons nos flammes ; v.715 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Accordez cette grâce à mes voeux empressez : v.725 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Apprenant mon remords, me rendra son estime : v.744 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Vos appas séducteurs corrompirent mon zèle ; v.747 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Je n'attendais pas, Prince, en un si sort si contraire, v.751 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si le sort qui m'outrage eût voulu m'être doux, v.757 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- La Princesse Émilie, exorable à vos soins, v.761 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Désormais, par respect, je ne vous verrai plus. v.770 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Sortez donc vite, Prince, et ne me perdez pas. v.774 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour l'en faire sortir avec pleine assurance, v.783 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- D'un moment favorable attendez la présence. v.784 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Dût-il rendre à jamais ses jours infortunés... v.809 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Une fille d'Auguste implorer votre appui. v.814 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Et pour dire encor plus, l'honneur du genre humain. v.838 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Que je l'épouse ou non, je suis bien informé v.845 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- J'admire ses appas, j'adore ses vertus ; v.857 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Quoi que l'emportement pour son sexe ait de charmes, v.867 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Elle n'aimait, Seigneur, et n'aime encor que vous. v.886 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Le destin des Ingrats d'ordinaire est funeste. v.927 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et pour dire encor plus, au nom de ce que j'aime ; v.940 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Oubliez le forfait qui nous a désunis. v.942 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Que depuis mes remords vos appas m'ont fait prendre, v.952 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ne désespérez point un coeur qui vous adore : v.959 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- S'il eut l'heur de vous plaire il vous doit plaire encore : v.960 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Non, non, le repentir où votre âme est forcée, v.967 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Dans le rang où je suis, et du sang dont je sors, v.969 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ce serait me trahir qu'accepter un remords. v.970 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il n'est point de remords qui ne précède un crime : v.972 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Que d'un juste remords votre coeur soit la proie. v.976 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous forçât à m'aimer autant que je vous hais. v.978 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ce qu'a de plus affreux le sort le plus terrible : v.984 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- S'il faut vous adorer pour mieux sentir vos coups ; v.989 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Laisse à mon triste sort la douceur d'être plaint. v.1002 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Cessez de m'étaler le remords qui vous gêne : v.1011 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Vous corrompez, ingrat, jusques à ma raison : v.1014 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Mais s'il vous reste encor quelque ombre de tendresse, v.1019 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Adorable Livie, v.1023 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Gloire, Plaisirs, Grandeurs, sans vous tout m'importune ; v.1027 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je borne à vous aimer, mon plaisir, ma fortune ; v.1028 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il en lit encore un autre. v.1034 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Tandis que votre haine est encor suspendue, v.1053 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il adore Agripine, et la veut adorer ; v.1087 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- De son sort, et du mien je vous rends la maîtresse. v.1089 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Seigneur, je vous apporte une grande nouvelle. v.1106 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je vous honore trop pour en faire un secret. v.1108 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Si je n'ai pas d'abord cette ardeur empressée, v.1114 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Ces désirs violents, et ces transports si doux, v.1115 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Je l'ai vu par votre ordre, et sans être en courroux v.1127 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- L'effort qu'en ma faveur vous avez daigné faire, v.1130 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Qui doit à votre sort unir ma destinée : v.1134 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Pour prix d'un tel effort, et d'un tel sacrifice, v.1145 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Madame, je comprends quel chagrin vous dévore v.1157 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Si pour Germanicus vous soupirez encore : v.1158 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- Que le sort inflexible ait épuisé sa rage ; v.1166 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Pour sauver ma vertu dans ce désordre extrême, v.1189 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je mourrai sans regret si l'objet que j'adore... v.1201 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Téméraire Pison, qu'allez-vous dire encore ? v.1202 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si vous déshonorez le peu que j'ai d'appas ; v.1207 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Et ne me forcez point à plus que je ne veux. v.1220 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Sûre qu'à votre orgueil, que je viens d'abaisser, v.1223 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Mon sort, que vos bontés pouvaient rendre moins rude, v.1229 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pourras-tu sans remords te noircir à ce point ? v.1243 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Madame, au nom des Dieux ne vous emportez point. v.1244 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Est-ce à tort, cruel, que je m'emporte ? v.1245 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Que je te perde, ou non, malheureux, que m'importe ? v.1246 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Si tu perds un héros qu'adore l'Univers, v.1247 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Le plus noir des forfaits t'est facile à commettre ! v.1254 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- J'immole insolemment ce que vous adorez ? v.1260 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Ce forfait par un autre aurait pu se commettre : v.1262 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Depuis l'ordre cruel que César m'a fait prendre v.1273 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quelque espoir qui le flatte ordonnez qu'il s'absente : v.1281 (Acte 4, scène 1, PISON)
- C'est un appas mortel que César lui présente : v.1282 (Acte 4, scène 1, PISON)
- C'est à vous, qui l'aimez, à faire un digne effort v.1287 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour dérober ce Prince à son malheureux sort. v.1288 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pardonnez, cher Pison, si l'horreur d'un tel crime v.1293 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Dans les premiers transports d'un si juste courroux, v.1295 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- À de plus grands efforts je m'étais préparé. v.1316 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Que vois-je ? Me trompai-je ? Ou, pleurez-vous encore, v.1325 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Seigneur, si je ne vous adore, v.1326 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- C'est un crime forcé dont mon coeur vous absout : v.1331 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous aime, Seigneur, nul Romain ne l'ignore ; v.1337 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je l'ai dit en tous lieux, et veux le dire encore : v.1338 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ma fortune demain ne sera plus douteuse ; v.1353 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais n'importe, partez, pour ne plus me revoir : v.1355 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous l'ordonne même avec un coeur tranquille : v.1357 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et pour tromper le sort qu'il vous faut redouter, v.1359 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- D'un triomphe superbe honorer ma victoire : v.1366 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il m'est trop important que votre gloire éclate v.1373 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que lorsqu'on possède une vertu sublime, v.1417 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- N'a jamais fait de crime où l'on ne l'ait forcé ; v.1428 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- On endort ce qu'on hait par de fausses caresses ; v.1438 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- À l'abri des lauriers laissez passer l'orage. v.1445 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce que je perds ! l'ignorez-vous, Madame ? v.1449 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Je perds, si la fortune à ce point m'est cruelle, v.1453 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et pour dire encor plus, je perds, enfin, je perds v.1455 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Éloigné de vos yeux, sont-ils hors de danger ? v.1464 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Hé bien, cruel, souffrez qu'il vous corrompe : v.1490 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Où la mort vous attend précipitez vos pas : v.1491 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si c'est pour un héros un effort si pénible ; v.1510 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que m'importe, hélas ! quand tout me désespère, v.1513 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- L'ordre que je reçois m'est une loi suprême : v.1518 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Que mon sort envers vous ne fût contagieux. v.1520 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Pour ne pas à l'orage exposer votre tête, v.1521 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Les appas dangereux que j'ai trop adorez. v.1524 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Si vous m'aimez encor, j'en attends une preuve : v.1525 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Dans l'état déplorable où mon âme est réduite, v.1533 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je ne puis vous l'ôter, quelque effort que je fasse. v.1541 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et ne douterais plus du sort d'un si grand homme. v.1554 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Je l'ai quitté, je sais quels efforts il m'en coûte ; v.1558 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Elle n'ignore pas quelle nuit j'ai passée ; v.1569 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- J'ai cru voir sur un Char Drusus victorieux : v.1571 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Un spectre encor sanglant s'est offert à mes yeux, v.1572 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et si Germanicus voyait encor le jour, v.1575 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Rome n'est que désordre, et que confusion. v.1588 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Je m'en suis informée avec un soin extrême ; v.1605 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On ignore... v.1614 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ciel, qui m'as écoutée, et qui loin de l'orage v.1617 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Le soupçonner de fuir, c'était lui faire tort, v.1639 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Madame, il vous adore, et ne craint point la mort. v.1640 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- De l'ordre que j'avais je me suis souvenue. v.1645 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- J'ai vu dans ses regards un désordre funeste ; v.1649 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Parle, je te l'ordonne, ou cesse de me voir. v.1651 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Germanicus est mort ? v.1656 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Car à chaque forfait dont il s'ose flétrir, v.1663 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Jusqu'ici cependant on ignore son sort. v.1671 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- On l'ignore ! Dis tout. Germanicus est mort. v.1672 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour douter de leur sort les observe trop bien : v.1676 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Par le plus noir de tous couronné ses forfaits. v.1688 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il m'aime, il l'a fait voir ; n'importe c'en est un. v.1692 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Albin de votre sort va vous rendre certaine, v.1702 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Hé bien, Albin, ce que j'aimais est mort ? v.1703 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Pison a terminé son sort, v.1704 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Exprimer dans son sang l'horreur que j'ai pour lui. v.1708 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Parle ; je sais sa mort, je puis savoir le reste. v.1717 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Donnez moins de créance à des rapports confus. v.1719 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pour jeter dans votre âme une horreur légitime, v.1725 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de Pison mourant vous tracer un portrait, v.1727 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Quoi que Germanicus crût sa mort assurée, v.1729 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Calmer l'inquiétude où son sort vous jetait. v.1740 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- En sortant d'avec vous il fut revoir Tibère ; v.1741 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- D'abord qu'il l'aperçoit lui présente la main : v.1743 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il le quitte : et soudain à force d'artifices v.1749 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De crainte d'éclairer le plus noir des forfaits v.1751 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et pour tout rendre aisé dans l'horreur de la nuit, v.1759 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il devait le mander sans escorte, et sans bruit. v.1760 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À peine est-il sorti qu'un grand bruit nous surprend : v.1763 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Que je le plains, Albin, et que son sort me touche ! v.1769 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Son coeur prêt d'expirer luttait contre la mort : v.1771 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Cependant à ma voix il m'a connu d'abord. v.1772 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si pour Germanicus ta passion est forte, v.1773 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De son Appartement empêche qu'il ne sorte, v.1774 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qui par un crime horrible a fini mon destin. v.1776 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et faisant un effort pour la dernière fois : v.1780 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et m'ayant vu sortir de son Appartement, v.1783 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Après m'avoir dans l'ombre atteint mortellement, v.1784 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il semble que le sort en souffrant ma ruine, v.1797 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et me donner le temps d'implorer sa bonté, v.1799 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et de me garantir d'un si funeste sort ; v.1803 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Si l'aveu de mes feux n'eût mérité la mort. v.1804 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Un trépas immortel éternisait mon crime : v.1806 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Je mourrais à toute heure, et l'adorais toujours. v.1808 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Prend les traits de la mort pour des traits de l'amour. v.1816 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pardonne à mon orgueil ce qu'il t'a fait d'injure ; v.1818 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Et pour prix de tes soins dignes d'un autre sort v.1819 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Daigne accepter les pleurs que je donne à ta mort. v.1820 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- L'infortuné Pison vient de perdre la vie : v.1822 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Des desseins de César sa mort vous éclaircit. v.1823 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Madame, et le Sénat par un ordre équitable, v.1825 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Et si quelque forfait vous le rend odieux, v.1835 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Nous sortons du Palais, où le peuple irrité v.1847 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Puisqu'à nous rendre heureux la fortune conspire, v.1865 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Ne donnons pas au sort le temps de la dédire : v.1866 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Parlez lui de son fils, et faites un effort, v.1871 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Pour marquer la douleur que me cause sa mort. v.1872 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
LA FÊTE DE LA SEINE (1690)
- Sur ses fertiles bords on voit le Laboureur v.13 (Acte 1, scène 1, THÉTIS)
- La défendent des Orages. v.18 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Et lors qu'un plaisir finira v.21 (Acte 1, scène 1, TH?TIS)
- Venez oüir chanter les exploits glorieux v.29 (Acte 1, scène 2, THÉTIS)
- Que mon sort est heureux ! v.43 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Je vois en sortant de ma Source v.44 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Folâtrer sur mes bords les Amours, et les Jeux: v.45 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Que mon sort est heureux ! v.48 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Lorsque la jeunesse nous quitte, v.76 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Il faut aimer lorsque l'âge y convie : v.82 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- On ne voit sur nos bords que carnage, et qu'horreur : v.95 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Vous jouissez d'un sort si doux v.101 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Nos prés jonchés de mourants, et de morts ; v.114 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- N'attirent plus sur nos bords v.115 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE)
- Vous jouissez d'un sort si doux v.124 (Acte 1, scène 2, LE GANGE, LE NIL, LE PACTOLE, LE DANUBE)
- Que par toute l'Europe on arbore ses lys, v.131 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- On dirait que du Monde il gouverne le sort: v.135 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- Ne lui coûte qu'un faible effort. v.137 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Sont venus à genoux implorez ses bontés. v.141 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- On n'a point encor vu de pareil conquérant ; v.150 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Son coeur est encor plus grand. v.152 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Ce ne sont que plaisirs, que transports, qu'enjouements. v.170 (Acte 1, scène 2, LE DANUBE, LE PACTOLE)
LES MOTS À LA MODE (1694)
- Encore est-il certain, à bien peser les choses, v.23 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Être encor trop heureux de la revoir chez vous ? v.30 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Vous avez, pour ma plainte, en quatre louis d'or ; v.41 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je prétends par la suite en user mieux encor : v.42 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- N'importe ce qu'il coûte à venger cet outrage. v.47 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Mais si, par cas fortuit, votre femme était sage ? v.48 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Il est vrai que le cas serait assez fortuit. v.50 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je demeure d'accord qu'elle a d'autres défauts : v.53 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- C'est un mot favori qu'elle fourre en tous lieux : v.62 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Le cas dont il s'agit, est un cas plus énorme. v.71 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je reviens dans une heure avec un acte en forme. v.72 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Le nombre croit si fort qu'on dirait qu'il en pleuve : v.112 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Du ridicule orgueil qui vous rend si féroce. v.116 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Que mon père est orfèvre, et le vôtre boucher ? v.118 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Pour faire ses enfants nobles, en bonne forme, v.143 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- L'un est Monsieur du Rus, l'autre Monsieur de l'Orme; v.144 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Un chétif Avocat par un ordre sévère, v.159 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Fort bien : j'aime à vous voir dans ces sentiments là. v.169 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Vos ordres en tout temps me sont doux et faciles. v.171 (Acte 1, scène 4, BABET)
- L'un est un bon Marchand à grand'porte cochère, v.175 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- L'autre est un homme d'ordre, un banquier d'importance, v.179 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- À prêter pour six mois à quatorze pour cent. v.182 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Elle n'en est pas morte ; et vous n'en mourrez pas. v.190 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Encor n'est ce pas là ce que l'on fait de pire. v.212 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Mais je vais de ce pas y donner si bon ordre, v.215 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qu'il sera malaisé que nous puissions nous mordre. v.216 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- À peine un « gros » Seigneur, que le rang autorise, v.227 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Hors chez quelques Laquais qu'il est en étalage, v.231 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Laissez, encore un coup, mourir ce mot en paix. v.233 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- A moins qu'un « gros » Seigneur n'ait la taille fort grosse, v.235 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Ils ne sortiront pas comme ils seront entrés. v.270 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Vers une autre beauté j'avais pris mon essor, v.277 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Pour moi, mon coeur est libre encor : v.278 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- J'appréhende bien fort qu'il ne le soit plus guère. v.280 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Point du tout ; je l'honore autant qu'on le peut faire : v.299 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- De ces sortes de gens tâchez à vous défaire. v.336 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Comment te portes-tu ? J'en suis en peine. v.345 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Apporter pour Marote un petit tabouret. v.354 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Car je ne pense pas que votre orgueil vous porte v.355 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- À vous « équipoler » aux gens de notre sorte : v.356 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Et l'on nomme cela subordination. v.358 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Il faut de la raison et de l'ordre partout. v.369 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Cet orgueil avec moi ne lui sied-il pas bien ? v.377 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Partout Mars sur Thémis l'a toujours emporté. v.390 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- De « jolis » officiers ornent bien une armée. v.396 (Acte 1, scène 11, NANNETTE)
- Et ce qui rend la France en tous lieux formidable v.399 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- L'un pour temporiser et lasser l'Allemand ; v.405 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Est-il dans l'Univers encore un Capitaine v.411 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Pour traiter de « jolis » Hector, Achille, Hercule ? v.416 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Je t'apprendrai, friponne, à me morguer en face. v.455 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Vous êtes encor jeune; on le voit bien. v.458 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Le plus insupportable est d'être noble et gueux. v.466 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- D'un noble parfumeur, d'un gentilhomme orfèvre, v.468 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- C'est à vous à vous taire, imbécile Orateur. v.473 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Elle rêve. Eh, Messieurs ! Supposez qu'elle dorme. v.475 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Restez, Monsieur de l'Orme. v.476 (Acte 1, scène 12, BABET)
- Ils sont sortis. . v.480 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Informer vos parents de votre turpitude. v.488 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Comme il est fort et raide, et qu'il sait battre et mordre, v.499 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Il leur donne à tretous bien du fil à retordre : v.500 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- C'est fort bien dit. Peut-être v.503 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Plus ce désordre augmente et moins je le conçois. v.506 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Mordié nenni. Tout chétifs que je sommes v.507 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Monsieur le Commissaire apportez son mémoire. v.516 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Prêtez l'oreille : et vous, Monsieur, lisez. v.526 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Je te tordrai le cou, suborneuse. v.552 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- J'ignorons ce que c'est que de faire faux-bon : v.565 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Il me brisi, mordié, quasiment une côte, v.587 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Bien nigaud, bien butor, bien badaud de Paris: v.601 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Plus, quatre louis d'or pour un « Laisse-tout-faire ». v.612 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Mettez-vous en ma place. Est-ce à tort que je gronde ? v.615 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Une longue cornette, ainsi qu'on nous en voit, v.649 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Sait qu'un « Laisse-tout-faire » est un tablier fort court : v.658 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- J'en porte un par hasard qui sans aucune glose, v.659 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Pour laisser de l'oreille entrevoir les attraits, v.662 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Enfin, la « gourgandine » est un riche Corset, v.665 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Et mon front avait tort de croire son cas sale ? v.671 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Qui voulait me punir mérite un sort semblable. v.675 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Le moins qu'il puisse faire est amende honorable, v.676 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Tête-nue, en chemise, avec la torche au poing: v.677 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Madame fera bien de n'en démordre point. v.678 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Vous l'accusez à tort de vous manquer de foi ! v.686 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Donnez, puisqu'il vous plaît d'avoir ces ornements, v.697 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et qui de ce malheur n'étant tristes ni mornes, v.747 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vivent dans un plein calme à l'abri de leurs cornes ? v.748 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Mais c'est un don du ciel, qu'il ne m'accorde pas. v.750 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- J'aime mieux avoir tort que vous l'ayez vous-même ; v.752 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Que lorsqu'il faut m'aider à de certains ouvrages v.771 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Surtout, qu'il ne vous sorte aucun mot de la bouche v.779 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Dont l'oreille s'indigne, et l'honneur s'effarouche. v.780 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Portez des diamants, des dentelles, de l'or, v.781 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Et, si faire se peut, plus de richesse encor ; v.782 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Fort bien. Nous voilà tous les plus contents du monde. v.796 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
LA COMÉDIE SANS TITRE (1694)
- Son père encor galant la tenant par la main, v.11 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Encor suis-je trompé, car il n'est pas de poids. v.24 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- D'accord ; mais il est bien malin. v.40 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Le ciel en la formant épuisa ses trésors : v.43 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Elle a l'âme, Merlin, belle comme le corps. v.44 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Oui, pour vous : mais pour moi j'en suis fort dégoûté. v.60 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Me fait de sa fortune un entier sacrifice : v.74 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit que hors du Mercure il n'est point de salut. v.84 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Un Portrait d'une jeune Duchesse, v.101 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Qui lui porte un bouillon trop doux ou trop salé, v.107 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Et même elle refuse, étant fort enrhumée, v.109 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- De prendre un lavement lorsqu'il sent la fumée. v.110 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Sièges, Combats, Procès, Mort, Mariage, Amour, v.115 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Vous êtes fort bien fait ; on ne peut l'être mieux. v.123 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- De noms si biscornus, s'il faut dire cela, v.139 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Qu'on ne peut être Noble et porter ces noms-là. v.140 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Je voudrais fort, Monsieur, vous pouvoir obliger. v.144 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Ma foi, mon Père est mort sans m'en avoir parlé : v.152 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Me laissa par sa mort cinq mille écus de rente. v.166 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Le Bisaïeul peut-être encore moins que cela. v.175 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Qu'importe ? v.186 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Michaut ? Un Gentilhomme avoir nom de la sorte, v.186 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Si les morts revenaient ou d'en haut ou d'en bas, v.191 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ce nom de père en fils se perpétue à tort ; v.195 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et cinquante ans après on ne sait d'où l'on sort. v.196 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Parbleu ! tant pis pour vous d'être si formaliste. v.201 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Quelque rude qu'il soit il est encor trop doux. v.212 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- J'avais un lit fort ample, et d'un beau taffetas : v.224 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- À force d'être large, il était incommode ; v.225 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Les Bourgeois de ma sorte ont de la qualité. v.232 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Que je prends des couleurs qui font sortir le teint. v.252 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Qu'on en ait un manteau, sans ornements dessus, v.255 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- En bon Historien, qui ne fait point de contes, v.273 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Allons fermer la porte, et jusqu'après dîné, v.299 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Passons quelques moments sans être importuné. v.300 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Qui diable est l'animal qui heurte de la sorte ? v.301 (Acte 2, scène 1, MERLIN)
- Ouvre sans hésiter, et l'une et l'autre porte. v.302 (Acte 2, scène 1, ORONTE)
- Comment te portes-tu, ma pauvre enfant ? v.307 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Fort bien, v.307 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Nous portons même nom, avons mêmes aïeux ; v.343 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Rapporte tous les ans plus de dix mille livres. v.362 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Encore une parole et puis adieu. Cécile, v.365 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle a craint qu'en chemin il ne prêtât l'oreille, v.369 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle enferme un Billet, à l'aide d'un ressort. v.375 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Monsieur, qui l'a reçu m'en a payé le port. v.376 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Je vais diligemment reporter l'allégresse ; v.382 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- On ne fait point fortune avec trop de vertu. v.420 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est me déshonorer qu'employer de tels mots. v.439 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et comptez-vous pour rien l'affront du Pilori ? v.448 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- L'affront du Pilori me paraît quelque chose ; v.449 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Mais on souffre encor plus quand on se laisse pendre ; v.490 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est un sensible appas qu'une femme si forte : v.509 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Je n'ai pour la gagner qu'à fermer cette porte : v.510 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Que sais-je si demain j'aurais encor la force v.513 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- De pouvoir résister à cette douce amorce : v.514 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- On vous y forcerait, et vous feriez pendu. v.519 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Si je ne suis trompé sa mort fera du bruit. v.535 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mon abord sans doute vous surprend. v.539 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avant que de mourir je bornais mon espoir, v.543 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Accordez à mon empressement v.555 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Ne peuvent exprimer les transports que je sens. v.560 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Que d'avoir le malheur de vous être importun, v.575 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et de ne prendre pas un moment opportun. v.576 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Un avis d'importance, v.578 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- C'est un bien, grâce au ciel, et grâce à mes efforts. v.583 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Honorable aux vivants, et plus encore aux morts. v.584 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je ne puis être heureux qu'à force de trépas. v.604 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour inviter le monde aux Convois mortuaires, v.606 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De petits ornements de devises, d'emblèmes, v.610 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous jugez bien, Monsieur, qu'embellis de la sorte, v.613 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ils feront plus d'honneur à la personne morte ; v.614 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Au convoi de son corps viendront de toutes parts, v.616 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- À l'égard des vivants, dont l'orgueil est si vaste, v.617 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'en escortant la mort ils demandent du faste, v.618 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De traîner à leur suite un cortège nombreux. v.620 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Cet avis est fort beau ! v.621 (Acte 2, scène 7, CÉCILE)
- Mais, surtout, fort utile ? v.621 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Je vendrai ces billets trois louis d'or le mille ; v.622 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- La grâce que j'espère, et qui m'est importante, v.625 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Le Public est lésé quand on vous importune. v.649 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Adieu, ménagez-moi ma petite fortune. v.650 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je m'oblige de plus, lorsque vous rendrez l'âme, v.661 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- À vous plaire, à l'aimer je borne mes souhaits ; v.704 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Monsieur de Boisluisant est-il dehors ? v.716 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Il est sorti, Madame. Avancez. v.717 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Je puis dans le transport dont je suis animé, v.719 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Hé bien, mon cher Oronte ! v.721 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Oronte, là-dessus, ne dit point ce qu'il pense ? v.738 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Le reste me regarde, et j'en sortirai bien. v.744 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Et lorsqu'il fera temps que je le désabuse, v.749 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- On m'avait accordée à Monsieur de la Motte : v.769 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Mais comme il est fort riche, et que j'ai peu de bien. v.775 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Vous le savez, fort bien, fin matois que vous êtes. v.813 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- J'entends, par des raisons que moi-même je forge, v.817 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que ma postérité se plaint que je l'égorge ; v.818 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais tout dût-il crever, que tout crève n'importe, v.821 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- La raison opposée est toujours la plus forte. v.822 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et ne me forcez pas d'en dire davantage. v.838 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Il ne sortira point qu'il ne m'ait convaincu... v.851 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- C'est à tort ; v.855 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- D'accord. v.856 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Elle a plus de vertus encore que d'appas, v.859 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je fus me reposer vers des bornes de pierre, v.873 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- À peine étais-je assis sur une de ces bornes, v.877 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que deux gros limaçons me présentent les cornes ; v.878 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- À force de crier coucou, coucou, coucou. v.888 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- J'entre dans la forêt, et je cherche le drôle, v.890 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Fortement résolu pour venger mes soupçons, v.891 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- De lui faire éprouver le sort des limaçons. v.892 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Lorsque dans mon chemin, et presque sous mes pas, v.899 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je vous ai déjà dit que je la crois fort sage. v.914 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Et moins par son penchant que pour remplir mon sort, v.919 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je me verrai cocu, sans qu'elle ait aucun tort. v.920 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Rendez-moi mon argent, et sortons quitte à quitte. v.926 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que de remplir son sort il ne vous croit pas digne. v.930 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Lorsque je les reçus je vous en rendis grâces. v.938 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Je me flattais alors de me voir votre époux. v.940 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Retenir vos présents c'est vous aimer encor. v.947 (Acte 3, scène 4, CÉCILE)
- Je renonce à l'amour qu'on vend au poids de l'or. v.948 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- C'est par mon ordre exprès qu'on n'a rien à vous rendre ; v.953 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Et si vous l'ignorez je veux bien vous l'apprendre. v.954 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Vous a-t-on dérobé quelque somme un peu forte ? v.993 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- N'est-ce point que votre femme est morte ? v.994 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Force gens à Paris enseignent quelque langue. v.998 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je pris dans un Faubourg une maison fort grande, v.1005 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et mis un écriteau pour la Langue Normande ; v.1006 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Encor moins. v.1012 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- je voyais en passant force monde attaché. v.1016 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Mais le troisième mois eut le sort des premiers. v.1020 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Peu de gens ont affaire, à Florence, à Venise : v.1025 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- D'ignorer le Normand et de savoir si bien v.1027 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- L'un est infructueux, et l'autre fort utile. v.1029 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Je me flattais alors, et même avec excès, v.1031 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant quatorze mois a toujours été vaine ; v.1034 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pas un seul n'a paru pendant quatorze mois : v.1039 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui ne peut parler le langage Normand : v.1044 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui sait parfaitement deux ou trois langues mortes. v.1045 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et qui n'en sait pas une usitée à ses portes ; v.1046 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Qui sans avoir dessein d'aller jamais fort loin, v.1047 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Aime mieux Signorsi, que voire, ou Dieu me damne. v.1050 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Mais comme à ce dessein la fortune s'oppose, v.1053 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Du Mesnil, Professeur de la langue Normande. v.1078 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- En quelle occasion la fortune propice, v.1101 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Mais galamment, la mort de trois de mes Maris, v.1104 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais je tiens au défunt par de si fortes chaînes, v.1117 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Madame ? Je vous plains : cet effort est pénible. v.1121 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Voir mourir ce qu'on aime est un sort si fatal... v.1127 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Avoir la gorge nue, et laisser à dessein v.1139 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Je vais marquer sa mort du plus sublime style. v.1150 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- On découvre d'abord un mérite si grand... v.1163 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Sitôt qu'un mois commence on m'apporte un Mercure. v.1173 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- D'un défaut qui partout déshonore les femmes ; v.1182 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- De ne parler jamais que lorsqu'il le faudra. v.1184 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Je sèche de chagrin lorsque j'entends cela. v.1191 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Est-ce un si grand effort qu'être femme et se taire, v.1193 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Qu'aucune autre que nous n'ait encor pu le faire ? v.1194 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Mais avouez aussi que je parle encor moins : v.1212 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Eh ! Quelle gloire encor ? Être fille et se taire ! v.1218 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Je vous appris cet art. Sans moi vous l'ignoriez. v.1223 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'est un droit de l'aînée alors qu'elle a raison : v.1240 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Ah ! Que par le babil vous êtes encor fille, v.1246 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Vous parlez aujourd'hui plus qu'à votre ordinaire. v.1258 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Non, Monsieur ; je n'en démordrai pas. v.1268 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- C'est moi qui la première ai formé le dessein. v.1279 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous taisez-vous souvent de cette force-là ? v.1284 (Acte 4, scène 3, ORONTE)
- Quel rapide torrent d'inutiles paroles, v.1292 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- À force de babil elles m'ont enivré. v.1297 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- J'entre sans dire gare, et cherche à m'informer v.1305 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Par ordre alphabétique est mis en son endroit. v.1318 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Mordié je ne saurais avoir ma subsistance. v.1328 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Or donc, pour en venir à ma belle action, v.1330 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Et j'ai même à sa mort le plus contribué : v.1334 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je fus chercher le feu que l'on mit à l'amorce v.1335 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Du canon qui lui fit rendre l'âme par force. v.1336 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lui mort, les Hollandais souffrirent bien des mals ! v.1337 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il faut dire des maux, Vice-Amiraux. C'est l'ordre. v.1339 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Les Vice-Amiraux donc ne pouvant plus nous mordre, v.1340 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Eh ! Mordié ; comment donc voulez-vous que je dise ? v.1356 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Si vous me reprenez lorsque je dis des mals, v.1357 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lorsqu'un moment après pour mieux me faire entendre, v.1359 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Qu'on me berce d'un conte à dormir tout debout ; v.1374 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Lorsqu'on veut me railler je donne sur la face. v.1375 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Mordié ! je me bas l'oeil du Mercure et de toi. v.1378 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je viens te relayer ; Cécile me l'ordonne. v.1387 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Non, je suis toute à vous, et mon sort tient au vôtre : v.1419 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Mais je voudrais, Madame, être encore à quelqu'autre. v.1420 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Un tronc semble maudit s'il n'en sort quelque branche. v.1423 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Du Mercure Galant adorateur fidèle, v.1435 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Non, Monsieur ; mais il n'importe pas : v.1438 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Je crois vos Airs fort beaux, mais il faut autre chose : v.1444 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- D'ailleurs ce que je dis ne s'est point encor dit : v.1450 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Je vous demande à tous une équitable oreille. v.1459 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Fort nouveau. v.1471 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- C'est ainsi qu'ils sont mis d'ordinaire, v.1503 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- La vertu d'ordinaire est ce qu'on persécute : v.1508 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour un Corps si célèbre a donné tant d'horreur. v.1514 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Ce font des procureurs d'un ordre subalterne, v.1544 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Sauf correction, vous imposez. v.1550 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- À la sourdine encor il occupe pour elle. v.1556 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Et savent les forcer par divers stratagèmes, v.1559 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Lorsque d'un Chapelier on attrape un Chapeau, v.1569 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Aime mieux écorcher que de tondre la bête. v.1576 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Et quand tu seras mort ces honteux édifices, v.1587 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Encore dirent-ils que dans cette occurrence, v.1595 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Eh, Messieurs ! Il sied mal, lorsque vous disputez, v.1601 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- C'est un effort d'esprit, mais si rempli d'attraits, v.1625 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Je suis un invisible Corps, v.1637 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Ni qui je suis ni d'où je sors. v.1640 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Soit manque de lumière, ou de bonne fortune, v.1647 (Acte 5, scène 8, CÉCILE)
- Je suis un invisible Corps. v.1661 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Ni qui je suis ni d'où je sors. v.1664 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Ornez-la d'un prélude, et vantez, ses appas. v.1694 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
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LE PORTRAIT DU PEINTRE (1663)
- Il ne sort de sa bouche aucun mot affligeant. v.8 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Et que lorsqu'un amant s'est rangé sous nos lois, v.23 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et touchant ce repas j'ai quelque ordre à donner : v.40 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Mais paraître en désordre auprès d'une Marquise, v.46 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- M'exposer de la sorte à des yeux délicats ! v.47 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Mais alors qu'on la raille elle croit qu'on la loue, v.58 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et comme si son âme agissait par ressorts v.63 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Son esprit se démonte aussi bien que son corps. v.64 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Par respect l'un et l'autre attendons qu'elle sorte. v.77 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Mais peut-on me connaître à me voir de la sorte ? v.78 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On te jouera, Morbleu, parce qu'on te jouera. v.116 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Qui fait mieux des portraits que les peintres de Rome ; v.118 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il vous dépeint, Morbleu, mais je dis traits pour traits ; v.119 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais se voit-on jouer sans que l'on se corrige ? v.126 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- La Marquise d'Oriane a des appas si doux... v.171 (Acte 1, scène 3, CLITIE)
- À propos d'Oriane, elle dîne chez vous, v.172 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Si vous êtes fâcheuse elle sera sortie. v.178 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- Dis que c'est Oriane. v.179 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Servante à ma toute adorable. v.181 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Madame, et désormais je prétends que mon zèle... v.189 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Il m'a fait souvenir que je me porte mal. v.216 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Dans un chagrin mortel ce caprice me plonge. v.225 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Ce « Le » c'est une chose horriblement touchante ; v.230 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Si je fais mes efforts pour la bien imiter. v.256 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Va quérir cette clef, et me l'apporte ici. v.271 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Ce n'est pas qu'il m'importe, v.277 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Mais l'Auteur est hardi d'en user de la sorte, v.278 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Qui Dorante ? v.283 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Comment te portes-tu, vieil ami ? touche-là. v.287 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu te peux informer si Dorante s'en tire. v.310 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le compère vous drape, et vous mord en riant, v.315 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et ces sortes de gens vous imposent silence ? v.330 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Tous les autres... Mais tiens, mon Laquais me l'apporte. v.337 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Je n'ai point vu de Clef que la clef de la porte. v.338 (Acte 1, scène 7, LA-RAMÉE)
- Il s'en faut rapporter à Monsieur que voici, v.360 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- Ah, Monsieur Lisidor vous êtes un fin Diable, v.366 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Point, Monsieur Lisidor est un homme sans fard. v.368 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Pour moi qui n'y vois rien que de bien assorti v.371 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ils ont beau l'abhorrer je la trouve admirable. v.373 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Le Seigneur Lisidor est un homme d'esprit. v.379 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais Monsieur Lisidor doit prouver ce qu'il dit. v.380 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- S'il l'a fait trouver bonne il sera fort habile. v.381 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quand pour ouvrir la porte il appelle Georgette ? v.386 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Si durant son absence elle s'est bien portée ; v.393 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- « Hors les Puces la nuit qui m'ont inquiétée » v.394 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et ne dormait-on pas qu'il n'en eût fait venir ? v.400 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Mais Dorante il pouvait s'affranchir... v.415 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Et les moins délicats sont d'accord de ce point v.423 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Fort bien. v.429 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Le Seigneur Lisidor comme il se mortifie. v.430 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Le voyage d'Oronte est-il pas assuré ? v.435 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Où l'on parle d'Agnès qui joue au Corbillon ; v.448 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Quoi, Morbleu du tragique où l'on crève de rire, v.470 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- D'accord. v.475 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Dans celle que je dis, « Le petit Chat est mort ». v.476 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- « Nous sommes tous mortels, et chacun est pour soi », v.480 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et le force de rire en le catéchisant. v.496 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais Dorante sait bien qu'on ne peut mettre en doute. v.517 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je le connais, Pécore. v.533 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Je le soutiens, Madame, un Butor parisis, v.536 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Une grosse pécore, une pure mazette. v.537 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Toute la Normandie a-t-elle assez de pommes v.545 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ils ne le feront pas, je te le dis encor, v.547 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Écoutez, je connais Floridor, v.548 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX (1665)
- Alors qu'elle est réduite à le dire elle-même, v.6 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Sors. v.34 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Sors te dis-je, et te va faire pendre. v.34 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et votre honneur, Monsieur, il est fort en danger, v.35 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Sors donc. v.39 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Encor une fois ? v.39 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- À me favoriser votre coeur se dispose, v.69 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais un serment horrible à mon bonheur s'oppose : v.70 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- D'où je sors on vivait noblement. v.72 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ma mère est morte, aussi bien que mon père. v.73 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et qu'importe ? v.79 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- De ce frère si cher dont j'ignore le sort, v.87 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De qui j'ai le visage, et la voix, et le port ; v.88 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De ce frère, en un mot qui si fort me ressemble v.89 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- De la mort ou la vie eut appris la nouvelle. v.98 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Voyez donc à mon sort quelle peine se joint, v.99 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Peu m'importe. v.117 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Il l'adore, le traître. v.121 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Et de frère semblable, et d'horrible serment : v.140 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Me soutient qu'il m'adore, ardemment me conjure v.141 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Et tel est de mon sort le cruel traitement v.147 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- D'où naissait le refus qui si fort vous afflige ? v.149 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- De rivale à rivale on ne s'accorde rien, v.155 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Haïssez désormais, aussi bien cette fille... v.165 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Que Nicandre l'adore, ou Nicandre l'abuse, v.169 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Bon, bon ; mordez vous-en les doigts ; v.191 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Puis qu'il ne répond rien, d'accord des qualités. v.200 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Je l'adore, ou le Ciel me foudroie, v.205 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Des soufflets tout d'abord ! v.231 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Ce n'est pas qu'entre nous je ne sache fort bien v.239 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Et vous en sortirez si le Ciel vous y met v.243 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Mon Fanfan ; de mon frère, ou la vie ou la mort v.255 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Me remet le pouvoir de conclure mon sort ; v.256 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Te pendre ! À tort on l'aurait prétendu. v.267 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et qu'importe comment on puisse être pendu ? v.268 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Soit à tort, soit à droit, n'est-ce pas toujours l'être ? v.269 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Accordons un peu mieux tes discours et les miens, v.280 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Payez-moi donc, et sortons quitte à quitte. v.294 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Si tu railles encore, et que tu goguenardes, v.302 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Mis dehors, pas le sou, ne savoir chez qui vivre... v.305 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Allons chercher fortune aux degrés du Palais. v.316 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- J'ai beau pour vous connaître employer mes efforts... v.327 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne vous parois pas ce que j'étais alors, v.328 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Vouloir toute ma vie adorer ses appas... v.335 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Je ne vous connais pas, et j'ignore pourquoi... v.352 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- J'ignore à quoi tend sa querelle v.357 (Acte 2, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que vous n'en sortirez que par une fenêtre. v.378 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Pour vous aimer encore est peut être assez sotte, v.386 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Je l'adore, et j'adore elle seule v.397 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Qui dit courtisan dit toujours fort en gueule ; v.398 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Téméraire serment sors de cette mémoire, v.409 (Acte 2, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Je n'ai vu ni records, ni bourreau, ni charrette, v.413 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Il a crû tout d'abord que j'étais alguazil, v.424 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Quelle peste de preuve il me force de prendre ! v.457 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Dont la langue est dorée, et dont l'âme est de boue ; v.469 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- De ne pas l'ignorer à présent je me pique, v.489 (Acte 2, scène 8, ROBIN)
- Elle est toute charmante, et je n'adore qu'elle, v.510 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Il se moque, Madame, il n'adore que vous v.512 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Loin de vous avoir dit que j'adore Madame... v.514 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- À ton rapport sans doute il n'a pas consenti. v.523 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Il fallait que pour lors son valet fut en ville v.526 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Où donc, lors que Jacinte a commencé sa guerre v.529 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Vous m'avez, dites-vous, adorable Hipolite... v.545 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je sors. v.565 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Je sors aussi, mais avant que je sorte v.565 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À ton peste de bras qui n'a pas la main morte v.566 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite la gale, et qui mine ton corps ; v.567 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À tes pieds tout crochus je souhaite des cors ; v.568 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Que de toi désormais tout chacun se dégoûte ; v.570 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Et que pas un mortel ne te donne du pain ; v.572 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- À ton bas de visage un menton fort pointu ; v.575 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Au secours, à la force, embrassez l'intérêt... v.583 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Tout va le mieux du monde, Isidore paraît, v.584 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- Isidore ! v.585 (Acte 2, scène 10, JACINTE)
- De sa voix attractive incorpore la cause, v.590 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- J'appréhende si fort de vous voir indigné v.599 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Ma géniture, aurais-tu forligné ? v.600 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Vous forcerez le traître à m'en faire raison. v.604 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Et quinze ou seize archers aux captures forts prompts... v.619 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Nous ayant désarmés par votre autorité, v.635 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Vous ne l'ignorez pas les honnêtes chrétiens... v.671 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Pour porter un cartel de toi seul j'ai fait choix. v.675 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Je vais porter un cartel à Nicandre ! v.690 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- C'est assez, si j'y viens que le Diable m'emporte. v.729 (Acte 3, scène 4, RAGOTIN)
- Ciel vous m'êtes propice, et l'on ouvre la porte ; v.730 (Acte 3, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Le bonheur de vous voir va donc m'être accordé v.731 (Acte 3, scène 5, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'on ne vaut pas la peste alors qu'on vous ressemble, v.738 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Méchant comme la grêle, insolent suborneur, v.740 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Et de plus laissez-moi, j'ai des mains, je dévore. v.745 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Est-ce pas prés d'ici que demeure Isidore ? v.746 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- C'est en vain que tes bras sont plus forts que les miens. v.752 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- Isidore ! Allons vite. v.753 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Isidore ! v.755 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Aux torrides souhaits dont l'outrage me vexe ; v.774 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Et par un sort tragique âprement avancé v.775 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Isidore. v.787 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Isidore ! Hé vous me connaissez ? v.787 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Eutrope aime Isidore, et le Ciel a permis... v.791 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Relégué par le sort aux rives Lyonnaises, v.794 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Étreignez Isidore, et plaignez son émoi : v.796 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Mais ma joie Isidore est pourtant imparfaite, v.798 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- J'ai les muscles froissés, et le corps mutilé. v.807 (Acte 3, scène 9, ISIDORE)
- À la première porte attrapons un asile, v.810 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Si le Diable l'emporte, en puis-je être garant v.824 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ma mort est résolue, il le dit en Hébreu. v.839 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Imperceptiblement il s'est évaporé ; v.852 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Oui, pécore. v.861 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Et lors qu'à vos douleurs vous aurez donné trêve v.901 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- D'une indigne faiblesse à ma gloire mortelle v.913 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- La pudeur en tumulte autorise l'audace ; v.922 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je dois à l'apparence un amour qui m'honore, v.933 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- En voyant mes défauts m'aimerez-vous encore ? v.934 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- On me croit abusée, on te croit suborneur, v.943 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Je dois à votre feinte accorder mon aveu ; v.955 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais... Elle sort. v.963 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Ne sois plus un obstacle aux douceurs de mon sort v.964 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Il me lorgne. Ah c'est vous, ô Messire Nicandre, v.973 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Si je me cache ou non que t'importe ? v.979 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Il m'importe. v.980 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il t'importe ! As-tu quelque sujet v.980 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Nenni, c'est pour le mien ; je suborne des filles ; v.985 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Avaient mis à la porte un niais à merveille ; v.1005 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Aussitôt porte ouverte, aussitôt moi sorti, v.1012 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Désormais de sergents ne crains nulle surprise. v.1025 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Le perfide, il est hors de prison ! v.1032 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Vous lui feriez tort. v.1059 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Celle qui vous aimait est si fort en colère v.1061 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Car si vous le vouliez vous seriez honoré. v.1120 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Pourquoi vous fiez vous à ce chien de Normand v.1128 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- (Car tu viens de sortir de ce même logis.) v.1131 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Il est vrai que j'en sors, mais au moins... v.1132 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Je t'ai de ce logis aplani la sortie. v.1145 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- D'accord. Mais vos appas ont de telles amorces... v.1169 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- S'ils vous ont fait trembler ils ont assez de forces. v.1170 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Je l'ai vu dans la Morgue, où je crois qu'il enrage. v.1185 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Il ne se doutait pas d'un orage si prompt. v.1188 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- On l'a pris par mon ordre, v.1195 (Acte 4, scène 9, ISMÈNE)
- C'est par l'ordre à Monsieur. v.1197 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- C'est par l'ordre à Madame. v.1197 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Isidore ! v.1203 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Un aveu légitime autorise ma flamme, v.1213 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Je couchais d'ordinaire aux côtés de mon maître, v.1218 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Elle l'est par dehors. v.1248 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- On dirait que le sort contre moi se déclare ; v.1250 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Ce n'est certes qu'à moi que le sort est contraire v.1282 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Mais sortons de ce lieu, je vais faire un écrit... v.1283 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- N'en sortons point, Monsieur, que je n'aie un habit, v.1284 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Il a le Diable au corps de vouloir s'en aller. v.1288 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Du fidèle Robin le bonheur l'importune, v.1289 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Il mourrait de regret si je faisais fortune, v.1290 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Et de sortir d'ici le bourreau n'a dessein v.1291 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Mon maître ? Il est fort délicat. v.1308 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Toi qui sers cet ingrat, ne peux-tu faire en sorte, v.1317 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Si je le puis, que le Diable m'emporte. v.1318 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Croyant à son départ qu'il m'adorait dans l'âme v.1321 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Qui que ce soit n'importe, il suffit qu'on m'appelle. v.1334 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Depuis quand donc ne l'adorez-vous plus v.1348 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- J'oublierai ton forfait si tu veux t'en dédire, v.1378 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Dédaignant les défauts, honorant le mérite, v.1385 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Sortez. v.1389 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Une Ismène l'adore, et Monsieur... v.1402 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- A voir ce que je porte on connaît que je quête ; v.1414 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Il n'est pas temps encore v.1417 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Vois traîtresse un Robin qui t'adore, v.1418 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Elle vient de sortir qui déteste Nicandre, v.1437 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et ce nom par lui-même est si fort répété... v.1443 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Disons-lui qu'elle vienne, et l'informe de tout. v.1448 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- M'en répond corps pour corps, et m'en jure sa foi. v.1452 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- Mais Ismène l'adore, elle veut recouvrer211... v.1455 (Acte 5, scène 8, HIPOLITE)
- Que Monsieur votre père est un père fort noir, v.1492 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Loin de le déguiser j'en demeure d'accord. v.1495 (Acte 5, scène 9, HIPOLITE)
- Un habile fauteur pour le craindre si fort v.1496 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Mon sort est déplorable, et mon sort serait doux v.1499 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- S'ils se fussent connus celui-ci l'eut forcé v.1503 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Des forfaiteurs c'est donc ici le centre ? v.1518 (Acte 5, scène 10, ISIDORE)
- J'aurai tort si ce lieu loge plus d'un Nicandre. v.1546 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Mais voyons. Ho Nicandre ! J'ai tort v.1547 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Comme il répond. Nicandre ! Est-ce pas assez fort ? v.1548 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- J'ai tort. v.1550 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Qui donc encor est-ce là qui m'appelle ? v.1550 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais lorsqu'on vous a pris dans le Cours de la Reine... v.1562 (Acte 5, scène 12, ISMÈNE)
- Prenons chacun la nôtre, et sortons de prison. v.1568 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Pour moi, j'adore Ismène. v.1570 (Acte 5, scène 12, LE SECOND NICANDRE)
- Et j'adore Hipolite. v.1570 (Acte 5, scène 12, LE PREMIER NICANDRE)
- Et si touchant sa fille Isidore m'en croit v.1575 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Ex abundantia cordis os loquitur. v.1580 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- Et vous avant votre sortie v.1589 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
LE JALOUX ENDORMI (1662)
- Et qu'assez de trésors vous auriez en partage, v.3 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et j'éprouve du sort les plus sensibles coups, v.13 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Produirait Capricorne, et ferait Gemini ! v.22 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- D'un crime qu'on ignore enseigne la méthode, v.32 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Faut-il point, dis-je encore, que moi-même je brigue ? v.47 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et sur vos passions conformant mes désirs, v.49 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quand on vient pour vous voir, faut-il point que je sorte ? v.51 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sur vous, et vos Muguets que je ferme la porte ? v.52 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Préfère un sort d'Argus au destin d'Actéon. v.70 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Encore même, il l'a toute. v.80 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Mon sort. v.82 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Si vos débordements ne trouvaient une écluse, v.100 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Sans les doubles ressorts de mes six cadenas ; v.102 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Que je ne fus pas un amant fort heureux ? v.114 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Que votre mérite emporta la balance ? v.115 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- De ce qu'il fait j'aurai tort de me plaindre, v.127 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- De ce trou favorable il occupe l'entrée, v.140 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Si pour voir Olimpie en un coin fort obscur, v.145 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Pour me favoriser cache mon artifice. v.148 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Et lors. v.175 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Tous mes voeux sont bornés à chérir sa copie. v.176 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Qui vous sied assez bien, et me semble fort beau ; v.182 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et j'ai tort, mon Cadet, de paraître Jaloux, v.190 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et moi je sais fort bien qu'Olimpie est impie, v.192 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et sans les cadenas à sa porte attachés, v.193 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- N'espérez, cependant, passeport ni Patente, v.199 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Et d'un Original que je dois soupçonner, v.201 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Les ais de votre porte en seront resserrés. v.214 (Acte 1, scène 5, SPADARILLE)
- Je viens voir seulement si vous vous portez bien. v.218 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- C'est à tort à présent que ton âme biaise ; v.227 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Quelque soit le forfait dont mon coeur vous soupçonne, v.231 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Les anneaux désormais n'iront plus en campagne, v.247 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Encore, quel dessein vous oblige. v.252 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Et ces anneaux tous deux ont un rapport si grand, v.257 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Dont le morne visage est passablement blême. v.268 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Fait que je viens ici m'informer de ma fille, v.276 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Dites-moi donc comment elle se porte. v.277 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Mais n'est-ce point à tort qu'envers vous je la blâme ? v.287 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Lors que vous la voyez, quel est son accueil ? v.289 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- D'en user de la sorte elle a bien peu de droit. v.290 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- D'accord ; mais de vous deux, moi l'époux et le Gendre, v.291 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Cléandre, oserait-il suborner. v.295 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Fait semblant d'ignorer que Cléandre est ici ; v.302 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Mais on pourrait sortir aussitôt de l'Enfer, v.321 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Des plaintes d'Olimpie elle ignore la case, v.332 (Acte 1, scène 8, CLÉANDRE)
- C'est fort bien dit, allez. v.346 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- Or ça, notre Beau-père, et vous Sire Cléandre, v.351 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Réveiller les ressorts de mes six cadenas. v.366 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- L'intérêt d'Olimpie est plus fort que mes feux. v.374 (Acte 1, scène 10, CLÉANDRE)
- Et c'est le moindre effort qu'en semblable danger v.377 (Acte 1, scène 10, CL?ANDRE)
- Vraiment ! ça la dormeuse au sommeil un peu dur, v.385 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Pauvre Butor ! v.395 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Beau-père, et picora campi. v.402 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Et qu'importe ? v.433 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Il importe fort peu ; v.433 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Mon_Dieu, forcez-vous de la voir, v.437 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- À m'expliquer ainsi son dédain m'autorise, v.439 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je vous le dis encore, Aspasie ou Cléandre, à Spadarille v.455 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- J'aperçois qu'Olimpie a pour moi de l'horreur : v.461 (Acte 1, scène 12, CLÉANDRE)
- Ou plutôt j'aurai tort de me plaindre à mon tour, v.465 (Acte 1, scène 12, CL?ANDRE)
- Lors. v.477 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- N'affectons point d'importunes grimaces, v.484 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- S'il n'est hors de ses mains, mon souci n'est pas moindre. v.491 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- J'ai hors du pied, Beau-père, une vilaine épine ; v.495 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Et si, loin de l'objet, qui lui porte bissêtre, v.499 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Ses transports d'allégresse auront lieu de paraître ! v.500 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Beau-père ; elle s'est rendormie. v.504 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- D'accord. v.526 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Ah trigaud malfaisant, si je sors je te jure. v.527 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Tu ne sortiras pas, c'est moi qui t'en assure ; v.528 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais l'horrible défaut que chacun connaît bien, v.537 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- En entrant le premier tu m'as mis hors de peine, v.543 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
Dans les 1895 textes du corpus, il y a 12 textes (soit une présence dans 0,63 % des textes) dans lesquels il y a 1914 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 159,50 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Prologue | Total |
1 | MARIE STUARD | 75 | 52 | 60 | 62 | 70 | 0 | 319 |
2 | ÉSOPE À LA COUR | 52 | 59 | 74 | 74 | 66 | 6 | 331 |
3 | LA SATIRE DES SATIRES | 116 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 116 |
4 | LE MÉDECIN VOLANT | 80 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 80 |
5 | LE MORT VIVANT | 47 | 53 | 57 | 0 | 0 | 0 | 157 |
6 | GERMANICUS | 52 | 46 | 44 | 52 | 67 | 0 | 261 |
7 | LA FÊTE DE LA SEINE | 22 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 22 |
8 | LES MOTS À LA MODE | 93 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 93 |
9 | LA COMÉDIE SANS TITRE | 35 | 47 | 60 | 41 | 29 | 0 | 212 |
10 | LE PORTRAIT DU PEINTRE | 64 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 64 |
11 | LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX | 41 | 37 | 30 | 35 | 44 | 0 | 187 |
12 | LE JALOUX ENDORMI | 72 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 72 |
Total | 749 | 294 | 325 | 264 | 276 | 6 | 1914 |