Occurences de l'expression

La

pour BOISSY, Louis de

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LA VIE EST UN SONGE (1732)

À la clarté du jour, v.4 (Acte 1, scène 1, ULRIC)
Du remords accablant peut-il sentir les traits ? v.8 (Acte 1, scène 1, ULRIC)
Pour t'éclaircir cet horrible mystère, v.19 (Acte 1, scène 1, LE-ROI)
Et combla les frayeurs dont j'étais agité : v.28 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Et qu'il blasphémerait les Dieux. r v.32 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Au bien de mes sujets j'immolai la nature, v.36 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Qu'il fallait enchaîner pour le sauver du crime. v.46 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Le supplice m'étonne autant que la victime. v.47 (Acte 1, scène 1, ULRIC)
Je crus, par là, du Ciel détourner la fureur, v.48 (Acte 1, scène 1, LE-ROI)
Contre moi la raison elle-même conspire, v.56 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
Qu'une privant d'un fils, ôtent à la Province » v.59 (Acte 1, scène 1, LE ROI)
D'un trop juste remords daignez ouïr la voix. v.69 (Acte 1, scène 1, ULRIC)
Dans ce jour favorable, heureux si la vertu v.74 (Acte 1, scène 1, LE-ROI)
Mes semblables par tout entrent sans conséquence, v.85 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Et bouffon de la Cour, j'use de ma licence. v.86 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
La Porte s'ouvre : Ah ! ce font les enfers! v.96 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Parle, n'es-tu point las, v.100 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Il ne m'éclaircit point mon infortune extrême; v.109 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Il me parle souvent de la Terre et des Cieux, v.110 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Qu'ai-je commis conte eux pour subir l'esclavage, v.115 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Fais partager mes fers à toute la nature, v.128 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Ou donne-moi la liberté v.129 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Que ne puis-je goûter la funeste douceur v.134 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Pour soulager l'excès de ma douleur ! v.136 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Il porterait du moins la moitié de mes chaînes. v.137 (Acte 1, scène 4, SIGISMOND)
Ah ! S'il allait me saisir, misérable ! v.139 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Et mon esprit éclairé par l'étude v.144 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Quand pourrai-je un instant jouir de la lumière ? v.150 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Voilà ton langage ordinaire, v.153 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Et je ne vois jamais mes doutes éclaircis : v.154 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Les Dieux n'approuvent point la curiosité v.157 (Acte 1, scène 5, CLOTALDE)
Par la douceur et par l'obéissance. v.179 (Acte 1, scène 5, CLOTALDE)
Que l'on prétend m'inspirer la douceur ? v.181 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Dieux ! Qu'à la force il est dur de céder, v.191 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Et que la dépendance est un cruel supplice v.192 (Acte 1, scène 5, SIGISMOND)
Vous n'en devez toute la gloire v.203 (Acte 1, scène 7, LE-ROI)
Cessez de redouter la fureur qui l'anime ; v.229 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
Dès qu'il reconnaîtra la splendeur de son sang v.230 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
Et laissez-vous fléchir, v.234 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
La nature , les lois, la raison, l'équité, v.248 (Acte 1, scène 7, ULRIC)
Même la politique. v.249 (Acte 1, scène 7, ULRIC)
Mais puis-je, tel qu'il est, me déclarer son père, v.257 (Acte 1, scène 7, LE-ROI)
Ce Prince est-il, hélas ! En état de régner ? v.259 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Donnerai-je un tyran à la Pologne entière ? v.260 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Ah ! si vous consultez le bien de la Patrie, v.265 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
Et la Princesse Sophronie v.268 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
L'État de la Pologne aurait trop à rougir. v.280 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
Lui seul, Seigneur, lui seul peut assurer la paix. v.283 (Acte 1, scène 7, CLOTALDE)
M'inspirer le moyen d'accorder la nature v.290 (Acte 1, scène 7, LE-ROI)
Que la prudence en mot guide le sentiment... v.293 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Qu'ils viennent m'éclairer par un trait de lumière. v.295 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Par la vertu d'un breuvage propice, v.300 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
L'orner de tout l'éclat de la magnificence, v.306 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Comment il usera de la grandeur suprême ; v.316 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Et lui laisser le diadème : v.318 (Acte 1, scène 7, LE ROI)
Papa Roi, pour ce trait éclatant v.329 (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Jusqu'à l'astre brillant qui répand la clarté, v.342 (Acte 2, scène 1, SIGISMOND)
Quel zélé ? Quel respect ? Quel éclat m'environne ? v.346 (Acte 2, scène 1, SIGISMOND)
Ce dont je suis le plus flatté, v.349 (Acte 2, scène 1, SIGISMOND)
Et dont j'aime surtout l'éclat ! v.359 (Acte 2, scène 1, SIGISMOND)
Puisque ce fer brillant rend un Roi formidable. v.366 (Acte 2, scène 1, SIGISMOND)
C'est ainsi qu'on la porte, Sire. v.370 (Acte 2, scène 1, ULRIC)
Et C'est ainsi que l'on la tire. v.371 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
Lui qui m'a fait gémir dans un dur esclavage ? v.375 (Acte 2, scène 2, SIGISMOND)
Faire à vos yeux briller la vérité : v.380 (Acte 2, scène 2, CLOTALDE)
Les honneurs qu'on vous rend, ce Palais magnifique, v.381 (Acte 2, scène 2, CLOTALDE)
À la Cour de Pologne on vous a transporté; v.386 (Acte 2, scène 2, CLOTALDE)
Lui-même à son Conseil l'a déjà déclaré ; v.388 (Acte 2, scène 2, CLOTALDE)
Comme un esclave misérable ? v.394 (Acte 2, scène 2, SIGISMOND)
À la plus dure des prisons ? v.401 (Acte 2, scène 2, SIGISMOND)
J'en aurais moins gémi flatté par l'espérance, v.410 (Acte 2, scène 2, SIGISMOND)
On m'aurait vu souffrir la mort avec constance v.413 (Acte 2, scène 2, CLOTALDE)
Ah ! Tu la souffriras, v.414 (Acte 2, scène 2, SIGISMOND)
Tu seras dans ce jour la première victime v.420 (Acte 2, scène 2, SIGISMOND)
Puisqu'il répond, sans balancer v.429 (Acte 2, scène 3, SIGISMOND)
De vous jeter par la fenêtre, v.435 (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
Qui donc es-tu, réponds, ô vieillard vénérable ; v.444 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Me forcent d'approuver jusqu'à la liberté v.459 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Je me flatte j'espère v.466 (Acte 2, scène 4, LE-ROI)
Qu'inspire pour un fils la nature sincère, v.479 (Acte 2, scène 4, LE-ROI)
La tienne se refuse à mes embrassements ? v.480 (Acte 2, scène 4, LE ROI)
La voix du sang chez moi ne s'est point tue. v.481 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Et j'y lis d'un tyran toute la dureté. v.499 (Acte 2, scène 4, LE-ROI)
Père cruel ! Dont la bouche m'outrage, v.500 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Que la raison l'approuve, et que ma tyrannie v.506 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Que la nature justifie v.508 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Pour la première fois aujourd'hui j'en jouis, v.517 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Où devait t'entraîner la maligne influence v.537 (Acte 2, scène 4, LE-ROI)
N'était-ce pas à toi de les laisser agir ? v.543 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Puisqu'enfin mes destins éclaircis par toi-même, v.554 (Acte 2, scène 4, SIGISMOND)
Regarde-la plutôt comme un songe trompeur ; v.564 (Acte 2, scène 4, LE-ROI)
Serait-il vrai, Grands Dieux, que mon destin brillant v.570 (Acte 2, scène 6, SIGISMOND)
S'évanouir en m'éveillant ? v.573 (Acte 2, scène 6, SIGISMOND)
Quand de la vérité ma raison me répond ; v.579 (Acte 2, scène 6, SIGISMOND)
Est-ce de la Cour du Roi ? v.594 (Acte 2, scène 7, SIGISMOND)
À me faire trembler. La terreur qu'il m'inspire v.601 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
D'y réussir je ne puis me flatter. v.604 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
C'est ainsi qu'à la Cour on se voit ballotté. v.608 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
Et ce lazzi que vous me voyez faire, v.628 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
Cet entrechat a-t-il l'art de vous plaire ? v.631 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
Tu vas servir d'exemple à tout mauvais plaisant. v.636 (Acte 2, scène 7, SIGISMOND)
De me jeter par la fenêtre. v.645 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
C'est dommage, s'il faut qu'elle perde la vie. v.664 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
J'oublie en la voyant qu'elle est mon ennemie. v.667 (Acte 2, scène 7, SIGISMOND)
Vous enflammez mon coeur et le rendez timide. v.677 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
De vos yeux l'éclat est si doux v.678 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
Que je n'admire plus l'Astre qui nous éclaire ; v.679 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
Et ne m'avoir pas fait plus digne de lui plaire. v.686 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
De la Pologne en même-temps, v.704 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
Charmante Sophronie, il vous déclare Reine. v.705 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
Et comme la vertu préside à votre ardeur, v.716 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
Et que toujours il brava la tendresse. v.720 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
Des courtisans flatteurs le langage affecté, v.721 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
En s'éloignant du sein de la nature aimable, v.729 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
Si mon amour vous plaît, pourquoi vous en défendre ? v.741 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
C'est tout ce que pour vous je puis faire éclater. v.746 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
Vous, faite pour régner et pour donner la loi ? v.750 (Acte 2, scène 8, SIGISMOND)
Est-ce par la fureur que vous croyez me plaire ? v.758 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
Que la vertu la peut seule obtenir, v.766 (Acte 2, scène 8, SOPHRONIE)
Avec vous je suivrai la clémence sans peine ; v.769 (Acte 2, scène 9, SIGISMOND)
Comment vous trouvez la Princesse ? v.775 (Acte 2, scène 9, ARLEQUIN)
La douceur de ses yeux a passé dans mon coeur ; v.782 (Acte 2, scène 9, SIGISMOND)
Le désir de la gloire, et l'oubli de mes maux ; v.784 (Acte 2, scène 9, SIGISMOND)
Pour la seule vertu je la sens enflammée v.785 (Acte 2, scène 9, SIGISMOND)
Ne vous la souffle dans ce jour. v.790 (Acte 2, scène 9, ARLEQUIN)
Mais vous n'en devez pas être moins alarmé, v.794 (Acte 2, scène 9, ARLEQUIN)
Car le bruit court que le Roi la lui donne v.795 (Acte 2, scène 9, ARLEQUIN)
De la perte de la Couronne. v.797 (Acte 2, scène 9, ARLEQUIN)
Qui peut me disputer la Princesse que j'aime ? v.816 (Acte 2, scène 10, FEDERIC)
Pour la Princesse je soupire ; v.828 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Avant de la céder, il faudra que j'expire : v.829 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Il n'entend, il ne suit que la seule justice, v.832 (Acte 2, scène 11, LE-ROI)
Et pour mieux affermir la paix, v.835 (Acte 2, scène 11, LE ROI)
Que dis-je ? La Princesse abhorra mon rival, v.839 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Qu'osez-vous proposer ? La parole des Rois, v.842 (Acte 2, scène 11, LE-ROI)
Comme celle des Dieux, doit être inviolable ; v.843 (Acte 2, scène 11, LE ROI)
Pouvaient seuls retenir la haine qui m'enflamme ; v.851 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Du joug de la nature affranchissent ton fils, v.858 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Ma bouche te déclare une immortelle guerre : v.868 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Et j'atteste le Dieu du Ciel et de la Terre, v.869 (Acte 2, scène 11, SIGISMOND)
Pardonnez un transport, dont mes yeux sont la cause, v.882 (Acte 2, scène 13, SOPHRONIE)
La prison qui fut son berceau v.890 (Acte 2, scène 13, LE-ROI)
On saura dans la Tour le convaincre, sans peine, v.893 (Acte 2, scène 13, LE ROI)
Que tout l'éclat de la grandeur humaine v.894 (Acte 2, scène 13, LE ROI)
Et pour qui je ressens la pitié la plus vive, v.905 (Acte 2, scène 14, SOPHRONIE)
Va rentrer dans la nuit de son affreuse tour, v.908 (Acte 2, scène 14, SOPHRONIE)
Et la part que je prends à sa disgrâce extrême, v.910 (Acte 2, scène 14, SOPHRONIE)
N'a rien qui blesse la vertu ; v.913 (Acte 2, scène 14, SOPHRONIE)
Il est trop alarmé pour être combattu : v.915 (Acte 2, scène 14, SOPHRONIE)
Les outrages sanglants que te fait la Nature. v.922 (Acte 2, scène 14, SOPHRONIE)
On ne traita jamais un fils de la manière. v.926 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Vous êtes un barbare ; et jamais sur la terre... v.929 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Qu'au plus haut de la tour on l'enferme au plus vite. v.931 (Acte 3, scène 1, CLOTALDE)
La prison qu'Arlequin partage avec son Prince v.935 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Saura lui faire honneur dans toute la Province. v.936 (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
Mes premiers fers ont pris la place ! v.947 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Ô ! Réveil accablant qui confond ma raison ! v.949 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Par la douleur de la comparaison ? v.952 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
De mon bonheur détruit prouve la vérité. v.972 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
De la Beauté qui m'a charmé. v.974 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Et pour la démentir, ma flamme est trop réelle. v.978 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Et dont j'ai retenu la moindre circonstance. v.987 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
À la Cour de Pologne, en un Palais brillant, v.988 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
J'ai cru me voir en m'éveillant : v.990 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Me déclarer que j'étais fils du Roi, v.997 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Avec des traits de flamme v.1008 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Sa beauté la rendait digne d'être adorée. v.1011 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
J'ai déclaré mon feu sincère, v.1013 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
J'espérais par mes soins parvenir à lui plaire, v.1015 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Qu'avant que le Soleil redonnât la lumière, v.1020 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Au sein de mes tyrans je porterais la mort. v.1021 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
En goûtant ses douceurs notre coeur se déclare ; v.1028 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Mais la vertu dont votre esprit s'égare, v.1031 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Je sais qu'aux Immortels votre fureur déplaît ; v.1043 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Ou croyez-vous que par la cruauté v.1047 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Jusques sur la Vertu qu'on exerce en dormant. v.1053 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Jusques sur la Vertu qu'en songe l'on pratique. v.1058 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Par ta voix comme un trait de flamme v.1061 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
La Vérité, Clotalde a pénétré mon âme. v.1062 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Mais tout l'éclat de ces richesses v.1065 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Leur jouissance est un éclair qui fuit. v.1070 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Et la faveur avec la Renommée ? v.1071 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Et la vie ? v.1074 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Et la vie est un songe trompeur. v.1074 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
La Vertu seule est constante et réelle. v.1075 (Acte 3, scène 2, CLOTALDE)
Ce discours me remplit d'une clarté nouvelle. v.1078 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
J'en sens toute la force et la sublimité ; v.1079 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Des humaines grandeurs connaît la vanité. v.1081 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Et quoique d'un vain songe il tienne la naissance, v.1086 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
J'éprouve que sa flamme est une vérité. v.1087 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Pour l'éteindre jamais ma flamme m'est trop chère, v.1094 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Ma raison qui me fait sentir la fausseté ; v.1095 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
La Vertu l'accompagne, elle est pure comme elle ; v.1102 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
Et l'on m'arrachera la vie v.1110 (Acte 3, scène 2, SIGISMOND)
C'est Ulric ! La terreur est peinte fur son front. v.1114 (Acte 3, scène 3, CLOTALDE)
Aux troubles les plus grands la Pologne est en proie. v.1117 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Les peuples révoltés ont entraîné la Cour, v.1118 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Et pour son fils hautement se déclarent. v.1119 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Et de la guerre enfin tous les feux se préparent ; v.1121 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Et du peuple pour lui redouble la chaleur. v.1126 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Qu'à la beauté suprême elle joint la valeur. v.1128 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Elle suit la molesse, et méconnaît la peur ; v.1130 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Et qui craint la funeste fuite v.1135 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
À rassemblé dans son palais v.1137 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Doivent faire doubler la garde de ces lieux, v.1144 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Pour la mettre en état d'opposer sa défense v.1145 (Acte 3, scène 4, ULRIC)
Et rend des factieux la fureur inutile. v.1148 (Acte 3, scène 4, CLOTALDE)
Je n'en vois pas plus clair. v.1156 (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
Et l'a fait proclamer souverain de l'Empire. v.1169 (Acte 3, scène 6, RODERIC)
Vous allez renverser la tour ; v.1174 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
Jouissons un moment du plaisir d'être Prince ; v.1180 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
Seigneur le temps est cher, et la gloire vous presse v.1182 (Acte 3, scène 6, RODERIC)
De joindre au plutôt la Princesse. v.1183 (Acte 3, scène 6, RODERIC)
Allez, quand vous aurez remporté la victoire, v.1187 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
Et jamais.... Mais voici la Princesse elle-même ; v.1191 (Acte 3, scène 6, RODERIC)
De briser cette porte épargnez vous la peine, v.1203 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
L'heureuse Sophronie aura du moins la gloire v.1207 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Qu'un trait si généreux me la rend adorable ! v.1213 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Qui n'a qu'un faux éclat qu'un instant peut détruire, v.1230 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
C'est l'amour qui m'enflamme, il est l'unique erreur v.1233 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Dont j'aime encore à me laisser séduire, v.1234 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
La vérité ne vaut pas ce mensonge : v.1239 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Et je le trouve si flatteur, v.1240 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Un feu que le péril a contraint d'éclater. v.1251 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Vous dit trop qu'en ce jour vous avez su me plaire. v.1253 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Grands Dieux ? En cet instant flatteur, v.1254 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Vous veillez croyez-en ma flamme. v.1260 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Qui franchit pour vous seul la bienséance austère ; v.1266 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Voyez-le de ces monts couvrir toute la cime, v.1272 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Combattant avec vous la victoire m'est sûre ; v.1282 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
D'avoir tant balancé je rougis maintenant, v.1283 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Mon bras peut triompher de toute la nature ; v.1285 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Ce que peut la valeur conduite par l'amour. v.1287 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Ah ! La Vertu doit guider l'un et l'autre v.1288 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Ma gloire désormais est uni à la vôtre ; v.1291 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Qu'un Roi ne doit jamais se laisser emporter v.1293 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
Qu'il doit vaincre, non pas pour la faire éclater, v.1295 (Acte 3, scène 8, SOPHRONIE)
D'apprendre la Vertu de la bouche qu'on aime ! v.1303 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Guidé, belle Princesse, à la gloire par vous, v.1305 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
En marchant sur vos pas je suivrai la sagesse. v.1307 (Acte 3, scène 8, SIGISMOND)
Il vient d'être arrêté dans la forêt prochaine. v.1311 (Acte 3, scène 9, RODERIC)
Et de faire éclater un barbare courroux, v.1324 (Acte 3, scène 10, SIGISMOND)
Qui sait se vaincre ainsi, mérite la Couronne. v.1342 (Acte 3, scène 10, LE-ROI)
Par la force bien moins que par votre clémence ; v.1345 (Acte 3, scène 10, LE ROI)
Et pour vous en laisser la gloire et tout l'éclat v.1355 (Acte 3, scène 10, SIGISMOND)
Qu'excepté la Vertu, tout n'est rien que mensonge ; v.1375 (Acte 3, scène 10, SIGISMOND)

L'AUTEUR SUPERSTITIEUX (1732)

Qui vous fait brusquement quitter ainsi la table v.1 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Toute la compagnie en a paru choquée ; v.5 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Un procédé semblable a lieu de m'étonner. v.8 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Que la raison, monsieur, ne saurait excuser. v.15 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Et l'on nous a servi treize plats à la fois. v.19 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Mais elle n'est pas moins la cause de ma fuite. v.22 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Où malgré ma raison tout alarme mon coeur. v.27 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
L'intérêt, la gloire, avec l'amour, v.31 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Pour l'amour et la gloire il n'en est pas de même ; v.41 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Tous deux d'un feu pareil enflamment mon désir, v.43 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et font en même temps ma peine et mon plaisir. v.44 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Fait succéder la peur sans cesse à l'espérance. v.46 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Plaire à l'objet que j'aime, et me voir son époux, v.47 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Mais la crainte de perdre un bien si plein de charmes, v.49 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Y porte au même instant les plus vives alarmes. v.50 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Par un brillant ouvrage assembler tout Paris, v.51 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Malgré tous les efforts que tente la critique, v.53 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Forcer deux mille mains d'applaudir, à la fois, v.55 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Présente à mon esprit la plus haute victoire ; v.57 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
D'un guerrier qui triomphe on égale la gloire. v.58 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
La tristesse et l'ennui peints sur chaque visage, v.62 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et votre nom en butte au mépris éclatant, v.64 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Le désert qui succède à la foule écartée, v.65 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Je réponds de l'amour, espérez pour la gloire. v.74 (Acte 1, scène 1, DAMON)
J'ai songe que j'allais m'unir avec Hortense, v.81 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Des lustres presque éteints la lueur sombre et pâle v.93 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Éclairait tristement la moitié de la salle ; v.94 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
C'est un vilain réveil, ami, je le confesse, v.105 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Pour un auteur surtout dont on donne la pièce. v.106 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Est digne d'être plaint, et non d'être raillé. v.108 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et, loin que je vous plaigne, il faut que je vous gronde ; v.110 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Dans votre âme aujourd'hui la superstition v.111 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Et croyez un vain songe enfanté par la crainte. v.114 (Acte 1, scène 1, DAMON)
La superstition à l'homme est naturelle ; v.122 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et le hasard malin, pour la fortifier, v.123 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Se plaît incessamment à la justifier. v.124 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
La raison ne tient pas contre l'expérience, v.126 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
D'attirer du public la louange ou le blâme, v.129 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
De perdre ou d'obtenir l'objet de votre flamme. v.130 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
L'inconnu, cher Clitandre, alarme votre coeur, v.135 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Mais vous ouvrez le champ à la plaisanterie. v.138 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Et suit trop la frayeur où jette un tendre soin ; v.140 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Mais, si dans mes amours je parais moins à plaindre, v.141 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Ne me doivent-ils pas glacer d'un juste effroi ? v.144 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Oui, mais vous m'avez dit que la chose est secrète. v.145 (Acte 1, scène 1, DAMON)
La calotte, monsieur, doit vous faire présent. v.151 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Souvent avec la gloire emportent le profit. v.156 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Tiens, voilà pour t'apprendre à siffler de la sorte. v.161 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
L'augure vous alarme, et j'ai... v.167 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Si la journée aussi m'allait être fatale ! v.174 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Du reste de la lettre à quoi sert de m'instruire ? v.177 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Pour moi, si vous voulez, vous n'avez qu'à la lire. v.178 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
« Vous venez, monsieur, de perdre votre procès, malgré votre bon droit : tout ce que je puis vous dire, c'est que j'ai plaidé comme un ange. » (Acte 1, scène 2, DAMON)
Le trait est des plus consolants, v.179 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
« Tout le monde a trouvé le jugement ridicule, et a dit hautement que, pour n'avoir pas gagné une cause que j'avais si bien plaidée, il fallait que ma partie fût née sous une planète bien malheureuse. » (Acte 1, scène 2, DAMON)
Ah ! Qu'on a bien raison ! Grâces à ma planète, v.181 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Qu'on dise après cela que tout songe est menteur ; v.187 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Et crois un songe vain enfanté par la crainte. v.190 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Il est comme l'éclair qui devance l'orage ; v.198 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Que pour la retarder j'ai des motifs puissants, v.207 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
N'en déplaise aux frayeurs de votre esprit crédule, v.209 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Vous vous moquez, la pièce est pour ce soir promise ; v.213 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Les acteurs à cela doivent s'opposer tous. v.216 (Acte 1, scène 2, DAMON)
La frayeur à la fin lui tournera la tête ; v.222 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Quel plaisir pour vingt sous de huer comme un diable ! v.229 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Et je dirais tout haut : La pièce est de Clitandre, v.233 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Épargnez-vous, messieurs, la peine de l'entendre, v.234 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Damon m'a su convaincre, et sa raison m'éclaire ; v.237 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
J'allais, à mes dépens, divertir les acteurs : v.240 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
J'aurais, à leurs regards dévoilant ma faiblesse, v.241 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Dont j'allais devenir moi-même le héros. v.243 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Avec la fermeté qu'un sage doit avoir ; v.247 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Je puis du sort jaloux défier la fureur. v.256 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Tremblez, monsieur, j'entends la pendule qui sonne. v.257 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Allons, courage, ami, le présage est flatteur ; v.259 (Acte 1, scène 5, DAMON)
Ah ! monsieur, dissipez la peur qui vous domine. v.265 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
M'a dit que sur la pièce il faisait un grand fond ; v.267 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Je suis perdu, monsieur, ma pièce, déplaira. v.272 (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Et je cours me placer sans perdre un seul moment. v.276 (Acte 1, scène 5, DAMON)
C'est l'enfer des auteurs qu'un paradis semblable, v.281 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Ce qui présentement m'alarme davantage, v.285 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Comme la comédie est à deux pas d'ici, v.291 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Je n'irai pas bien loin pour en être éclairci. v.292 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
J'entre à la comédie, admire mon étoile ! v.297 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Dans le moment fatal qu'on a levé la toile ; v.298 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Je regarde en tremblant tous ces juges sévères, v.301 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Il me fixe des yeux, me montre de la main ; v.308 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
La pâleur sur le front, et la peur dans le sein, v.316 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Il approuve notre flamme, v.320 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Enchanté, comme moi, d'un aveu si flatteur, v.323 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Et s'il m'applaudissait en cet heureux instant, v.327 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)

LE MÉDECIN PAR OCCASION (1745)

Glissons-nous dans la pince, et parlons à Lisette. v.2 (Acte 1, scène 1, CHAMPAGNE)
Mon apparition vraiment la surprendra. v.3 (Acte 1, scène 1, CHAMPAGNE)
Elle me croit défunt ; ses yeux... Mais la voilà. v.4 (Acte 1, scène 1, CHAMPAGNE)
Dites-moi, s'il vous plaît, mon ami, qui vous êtes, v.5 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Je sais qu'à la compagne on en est très avide v.9 (Acte 1, scène 2, CHAMPAGNE)
Des gens d'esprit qui sont éloignés de la ville ; v.13 (Acte 1, scène 2, CHAMPAGNE)
C'est la voix de Champagne ! v.18 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Je reviens tout exprès pour essuyer tes larmes. v.21 (Acte 1, scène 2, CHAMPAGNE)
Oui, comme le souffleur tient à la comédie. v.25 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Lucile, qui l'adore, en est inconsolable. v.30 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
La douleur qui l'accable est d'autant plus cruelle, v.33 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Je la plains. v.35 (Acte 1, scène 2, CHAMPAGNE)
Sa tante, qui s'écoute, est malade en santé. v.43 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Aujourd'hui, c'est la tête, et demain, la poitrine. v.45 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Mais son mal est au fond l'ennui qui la domine. v.46 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Elle hait la campagne et chérit le plaisir. v.47 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Et madame, tout haut, s'en plaint depuis longtemps. v.56 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Vanter le grand savoir avec la politesse. v.58 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
Et voilà de son mal la véritable source. v.66 (Acte 1, scène 2, CHAMPAGNE)
La solitude aigrit le mal qui me consume. v.77 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
La lecture des vers ne sert qu'à le nourrir. v.79 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Évitons désormais ce dangereux plaisir, v.80 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Et partons pour la chasse, afin de me distraire ; v.81 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Le désir de vous plaire est le seul qui m'attire. v.86 (Acte 1, scène 3, CHAMPAGNE)
Oui ; lui seul peut me plaire. v.93 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
Grand Dieu ! Quelle brochure ! Ah ! Plus je la contemple, v.98 (Acte 1, scène 3, LE BARON)
On doit la respecter, c'est l'ouvrage du coeur. v.100 (Acte 1, scène 3, CHAMPAGNE)
Oh ! La fécondité toujours est un mérite. v.105 (Acte 1, scène 3, CHAMPAGNE)
La rigueur est trop grande. v.114 (Acte 1, scène 3, CHAMPAGNE)
Tout est prêt pour la chasse ; il est temps de partir. v.123 (Acte 1, scène 4, LA-MARQUISE)
Si j'étais à Paris, je serais à la source ; v.133 (Acte 1, scène 5, LA-MARQUISE)
Ma nièce est languissante, et cache aussi son mal. v.139 (Acte 1, scène 5, LA-MARQUISE)
Pour peu que cela dure, il faudra que j'en meure. v.142 (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
Le chemin de la mer n'est pas toujours aisé. v.151 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
J'ai trois maux à la fois ; ses tourments inconnus, v.155 (Acte 1, scène 5, LA-MARQUISE)
Mon amour tour à tour va du père à la fille ; v.161 (Acte 1, scène 5, LA-MARQUISE)
Passe encor pour la tante, elle a le coeur fort bon, v.167 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
Il est grand, il est beau de manquer de la sorte. v.173 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
L'ennemi, sans vouloir disputer la victoire, v.189 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
Se saisit du butin et nous laissa la gloire. v.190 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
Pour ma chère maîtresse, ah ! La bonne nouvelle ! v.193 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Je la dois à ce coup préparer sagement. v.196 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Mais, parle, en quel endroit as-tu laissé ton maître ? v.197 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Dans la forêt voisine. Avant que de paraître, v.198 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
Ils peuvent la porter en campagne. v.219 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
À la cour, v.219 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
À la ville, plus d'un l'arbore chaque jour : v.220 (Acte 1, scène 6, CHAMPAGNE)
La tante est vaporeuse, et le père hypocondre : v.225 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Pour le mal de la fille, oh ! J'ose bien répondre v.226 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Ce coup établira d'abord la confiance. v.230 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Ses traits sont inconnus à toute la famille ; v.233 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Et, par un grand bonheur, il n'a vu que la fille, v.234 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Oui, vraiment ; la marquise est veuve et sans enfants. v.240 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
C'est elle qui soutient la maison de son frère, v.241 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Et que ton maître ici doit gagner la première. v.242 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Le bruit de mon trépas est payé de ses larmes ! v.257 (Acte 2, scène 1, MONTVAL)
Modérez cette ardeur trop bouillante v.261 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Ce n'est qu'à la faveur de ce nom respectable v.265 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Oh ! Pour la ménager v.271 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Prenez la qualité d'un illustre étranger, v.272 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Qui, pour son plaisir seul, et par goût pour la France, v.273 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Cela vous donnera, monsieur, un grand vernis, v.275 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Lisette la conduit. v.279 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
On l'appelle à la cour le médecin des dames. v.290 (Acte 2, scène 2, CHAMPAGNE)
Car un rien m'incommode ; et, deux fois la semaine, v.301 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
L'anéantissement succède à la douleur. v.304 (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Des malaises si grands, et des inquiétudes ! v.306 (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
Le vôtre tient beaucoup de la vapeur, madame, v.309 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
La dissipation peut seule l'en ôter. v.311 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Quels sont vos goûts ? le jeu, les fêtes, la musique ? v.313 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Suivez tour à tour le plaisir qui vous pique. v.314 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
On est flatté, monsieur, ravi d'être malade. v.317 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
Sans doute vous aimez aussi la promenade ? v.318 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Fort, quand le jour est beau, que le monde est brillant. v.319 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
La danse ? v.320 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
À la fureur. v.320 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
La table ? v.320 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Beaucoup ; surtout la tragédie. v.321 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
Ses plaisirs variés vous rendront la santé, v.324 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Tous deux sont consumés d'une langueur obscure. v.333 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
On en peut d'autant moins pénétrer la nature, v.334 (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
La douleur do mon frère est noire, et toujours gronde. v.338 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
S'il éclate à nos yeux, ce n'est qu'en gémissant. v.340 (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
On se sent jusqu'au coeur pénétré de ses larmes. v.342 (Acte 2, scène 3, LA MARQUISE)
La cause de son mal. v.348 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
J'y compte ; je puis môme en faire la promesse, v.349 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Tenez-la bien, mon art no sera pas frivole. v.354 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Je dois auparavant la voir seule et m'instruire. v.358 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Par ses regards encor je veux être éclairé ; v.360 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Ce silence m'alarme et fait mourir ma joie. v.365 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
C'est la difficulté. Sa chambre est comme un fort v.367 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
Que fait-il donc tout seul, renfermé de la sorte ? v.374 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Il menace tout haut ; puis, tout bas, il se plaint. v.379 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
Je la tiens incurable. v.383 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Soyez moins alarmée. On vit avec cela. v.384 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Ce poison répandu vient de la capitale. v.385 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
C'est la métromanie. v.387 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
La fureur de rimer, dont la France est saisie. v.389 (Acte 2, scène 3, MONTVAL)
Arrachez l'un et l'autre à leur mélancolie : v.401 (Acte 2, scène 3, LA-MARQUISE)
Et vous Tallez revoir avant la fin du jour. v.408 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
De l'ouvrir devant vous, monsieur, et de la voir. v.411 (Acte 2, scène 4, LA-MARQUISE)
C'est ma nièce, monsieur, qu'il appelait ainsi. v.415 (Acte 2, scène 4, LA MARQUISE)
Je pars de Marseille en même temps que ma lettre ; je vous prie do ne pas la lire au baron votre frère, je veux avoir le plaisir de le surprendre. (Acte 2, scène 4, LA MARQUISE)
Il me tarde de la voir et de l'embrasser. (Acte 2, scène 4, LA-MARQUISE)
La marquise de vous me paraît très contente. v.430 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Flatteur près de la tante et tendre avec la nièce, v.434 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Alarme mon amour. v.447 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
De quoi sert le savoir, à quoi bon la naissance, v.450 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
La figure, l'esprit, les grâces, la vertu, v.451 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Quand tout cet assemblage est d'argent dépourvu ? v.452 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Pour elle, franchement, sa constance m'alarme. v.461 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Mon ardeur la mérite, et ce discours me charme. v.462 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Rien ne pourra la vaincre. v.466 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Sent renaître à présent le plus flatteur espoir ! v.467 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Mon coeur vole vers elle et brûle de la voir. v.468 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Elle dort. Vous savez qu'elle aime la peinture, v.470 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Savoir si la malade est à présent visible, v.481 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
L'amant sera caché sous les traits d'Esculape. v.486 (Acte 2, scène 5, MONTVAL)
Elle vient de passer la nuit la plus horrible, v.497 (Acte 3, scène 2, LA-MARQUISE)
Sa pâleur a fait place au plus fort vermillon. v.499 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Surprise de la voir dans celle émotion, v.500 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Je lui dis, pour tâcher de la rendre tranquille, v.501 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Je la vois qui frémit et se trouve plus mal. v.504 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Je viens de la laisser dans les bras do Lisette, v.506 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Et de la disposer à suivre vos avis. v.508 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Voyez-la sans tarder, monsieur ; le péril presse. v.510 (Acte 3, scène 2, LA MARQUISE)
Je suis impatient, plus que vous, de la voir. v.511 (Acte 3, scène 2, MONTVAL)
Quand il en sera temps... Madame, la voilà. v.516 (Acte 3, scène 2, MONTVAL)
Du médecin prussien un portrait si flatteur, v.519 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Que l'estime chez elle a dissipé la peur. v.520 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Oui ; mais comme elle est lasse v.521 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
De rester dans sa chambre, et veut changer de place, v.522 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Et ne peut qu'à monsieur dire sa maladie. v.526 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Elle est donc résolue à déclarer son mal ? v.527 (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Oui ; la douleur la force à cet aveu fatal. v.528 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Daignez la laisser seule, elle vous en supplie. v.529 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
Et je ne réponds point du succès sans cela. v.532 (Acte 3, scène 3, MONTVAL)
La chose étant ainsi, monsieur, je me retire, v.533 (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Et de tout médecin elle fuit la présence. v.541 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Tu devais l'éclaircir et détromper son coeur. v.543 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
La vérité d'abord détruira le mensonge. v.550 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
La peinture demande un beau jour qui l'éclairé. v.562 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Voici votre portrait, et je vais le placer. v.564 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Cacher l'original derrière la copie. v.566 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Là, vous aurez, monsieur, le plaisir ravissant v.567 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Vous donner sur la toile une seconde vie, v.573 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Sa bouche la baiser dans un léger transport, v.575 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Ont conduit pour orner ma figure brillante : v.581 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
À baiser ce pinceau quel plaisir prenez-vous ? v.584 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
L'objet qui l'a touché le rend cher à ma flamme ; v.585 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
C'est la main qui l'a fait, c'est Lucile elle-même. v.590 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
Avant que de la voir, la douceur de l'entendre. v.594 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Je me sens déjà lasse, et n'ai fait que deux pas. v.596 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Mettons-nous à l'ouvrage, il me délassera. v.600 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Et c'est le seul plaisir qui flatte ma douleur. v.604 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Ah ! Que ne peux-tu voir ces marques de ma flamme ! v.606 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Et sa perte à jamais fera couler mes larmes. v.622 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Je vous en convaincrais d'une façon si claire... v.625 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Est fait pour dissiper les erreurs de la nuit. v.628 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Je l'ai vu tout sanglant qui s'avançait vers moi, v.631 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Il me la demandait d'une bouche expirante, v.633 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Et la mienne a lié mon sort à son destin. v.636 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Et loin de le briser, la mort le serrera. v.644 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Rendons de mon amant la figure accomplie : v.646 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Déjà la ressemblance est à mon gré parfaite. v.649 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
La joie et la frayeur me tiennent suspendue. v.658 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Mes sens, de la douleur, passent rapidement v.663 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
A l'excès de la joie et du ravissement. v.664 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Où vos traits et ma flamme éclatent tour à tour ; v.676 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Tant de traits éclatants d'un amour véritable, v.685 (Acte 3, scène 5, MONTVAL)
Le bruit de ce trépas m'allait priver du jour. v.691 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Je l'ai donné pour tel tantôt à la marquise. v.705 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Vous êtes ma malade : en cette qualité, v.707 (Acte 3, scène 5, MONTVAL)
Mais, vraiment, la malade est en bonne santé ; v.715 (Acte 3, scène 4, CHAMPAGNE)
La guérison est prompte. v.717 (Acte 3, scène 4, CHAMPAGNE)
Pour donner à la chose un air de vérité, v.719 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Et qu'elle joue encore un peu plus la malade. v.721 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
Je vais, de mon côté, jouer le charlatan : v.723 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
Belle Lucile, il faut vous prêter à mon plan, v.724 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
Sitôt que la marquise et Cléon paraîtront, v.727 (Acte 3, scène 4, MONTVAL)
Tant mieux ! La médecine est un vrai pharaon : v.736 (Acte 3, scène 4, CHAMPAGNE)
Je veux rendre la joie à toute la maison, v.739 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Vous la voyez qui dort. Voilà son médecin. v.744 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
Mais, pour une malade, elle est assez vermeille. v.745 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Plus je la vois de près, plus j'en suis enchanté. v.751 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
D'éveiller la malade, ah ! Je l'embrasserais... v.760 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Et je brave la mort, quand elle est si jolie. v.762 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Comme on doit l'espérer, si cela continue, v.769 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
Nous la rende bientôt telle que je l'ai vue. v.770 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
Qu'on me la donne à moi telle que je la vois, v.771 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
La médecine vraie est la philosophie. v.778 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
La mauvaise santé provient de leurs excès... v.780 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
C'est la sagesse en tout, monsieur, qui fait la bonne. v.781 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
C'est le tempérament plutôt qui nous la donne. v.782 (Acte 3, scène 7, CLÉON)
Et, dans l'ordre commun, le mal et la douleur v.787 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
Des souffrances du corps l'âme est toujours la source, v.789 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
C'est lui qui de la fièvre allume le levain, v.792 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
Met la bile en fureur et brûle les viscères. v.794 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
Sitôt qu'elle est malade, il ne profite en rien. v.796 (Acte 3, scène 7, MONTVAL)
Pardon, si je vous ai laissé pour un moment : v.799 (Acte 3, scène 8, LA-MARQUISE)
La fraîcheur de son teint commence à reparaître ; v.802 (Acte 3, scène 8, LA MARQUISE)
Vous aviez pour Lucile alarmé ma pitié ; v.807 (Acte 3, scène 8, CLÉON)
Ou bien, si je le suis, c'est moi seul qu'il faut plaindre, v.809 (Acte 3, scène 8, CL?ON)
La voilà qui sourit : v.815 (Acte 3, scène 8, CLÉON)
Ah ! Je respire enfin. Que je suis soulagée ! v.829 (Acte 3, scène 8, LUCILE)
Du poids qui m'accablait je me sens dégagée : v.830 (Acte 3, scène 8, LUCILE)
Il me tarde de voir ma tante : avertis-la. v.832 (Acte 3, scène 8, LUCILE)
Que j'aime à la voir telle, et que je suis ravie ! v.838 (Acte 3, scène 8, LA-MARQUISE)
Et le plaisir que j'ai de vous revoir si belle. v.842 (Acte 3, scène 8, CLÉON)
Sa gaîté va renaître à l'aspect de la vôtre. v.850 (Acte 3, scène 8, LA-MARQUISE)
Songez qu'après la fille il faut guérir le père. v.853 (Acte 3, scène 8, LA-MARQUISE)
La santé de Lucile excuse cette ivresse, v.857 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
Il se plaint ; écoutons, j'en ferai mon profit. v.868 (Acte 4, scène 2, MONTVAL)
Même la faculté d'en faire de méchants. v.872 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
La nature aujourd'hui n'est pas en tout avare ; v.873 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Que la fécondité des rimeurs d'à présent. v.876 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Qu'il m'accorde la rime, et garde tout le reste ; v.878 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Que je fasse des vers, n'importe qu'ils soient plats. v.879 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Bon ; voilà qui m'apprend au vrai sa maladie. v.881 (Acte 4, scène 2, MONTVAL)
Le genre en est plaisant ; permettez que j'en rie. v.882 (Acte 4, scène 2, CHAMPAGNE)
Ah ! La rime le tient : je plains son embarras, v.883 (Acte 4, scène 2, CHAMPAGNE)
Et, pour trouver la rime, écraser le bon sens ; v.888 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Je n'en ai, pour tout prix, que la douleur secrète v.889 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Grands et petits, la cour, la ville et la province, v.897 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Toute la France, enfin, a rimé pour son prince : v.898 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Telle est la cruauté de ma barbare étoile ; v.905 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Aux yeux de tous encore il faut que je la voile. v.906 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Dans la peur que quelqu'un ne pénètre ma honte. v.909 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Qu'on me laisse en repos ; v.923 (Acte 4, scène 3, LE BARON)
Je ne suis point malade. Il vient mal à propos. v.924 (Acte 4, scène 3, LE BARON)
La nouvelle partout... v.926 (Acte 4, scène 3, LISETTE)
Je lui dois des égards et de la politesse. v.938 (Acte 4, scène 3, LE BARON)
Et c'est la qualité dont surtout je m'honore ; v.954 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Je la préfère à tout. v.955 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Il relève surtout l'éclat de la naissance : v.957 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Lui-même il est Mécène et Virgile à la fois, v.963 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
L'esprit a répandu partout la politesse ; v.965 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Et consulte le goût, même au sein des plaisirs. v.968 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Oh ! Pour le coup, monsieur, votre pinceau nous flatte v.969 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Et c'est un beau portrait, que la vérité gâte. v.970 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
On l'étend, sans nul choix, sur les plus applaudis, v.972 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Eux qui mériteraient l'estime la plus haute. v.973 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
L'auteur seul a la rage, ou plutôt la bassesse, v.977 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Par mille traits usés, dont la redite assomme, v.981 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
S'il est quelqu'un au monde à plaindre autant que moi. v.1012 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Que vous recouvrerez la joie et la santé : v.1019 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Et m'entendre applaudir lorsque je paraîtrais. v.1024 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Doucement ; vous m'allez étouffer de plaisir. v.1028 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Monsieur, à ce prix-là, soyez sûr de la chose. v.1033 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Non ; il ne blesse pas les lois de la droiture. v.1042 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Eh ! Qui brille aujourd'hui de sa propre clarté ? v.1044 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Et tout est charlatan, ou tout est plagiaire. v.1046 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
D'une main inconnue emprunte son éclat. v.1048 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Le robin, au palais, et l'orateur, en chaire, v.1050 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
La gloire d'un projet que son art s'approprie. v.1054 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Vous me rendez la vie en cet heureux instant ; v.1059 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
J'irai les réciter avec la même ivresse v.1065 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Que si j'étais l'auteur en effet de la pièce. v.1066 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Ta valeur, qui t'est propre, a pour soi la justice : v.1080 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Que dans la vérité leur pinceau la saisisse, v.1081 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Pour te peindre il ne faut qu'un seul trait ressemblant : v.1096 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
La gloire de Louis le Grand v.1101 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
À la bonté de Louis Douze. v.1102 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
J'adopte ces vers-là. C'est peu de la santé, v.1103 (Acte 4, scène 4, LE BARON)
Ce qui me flatte, moi, qui juge en médecin, v.1107 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Le teint clair ; dans votre oeil la vivacité brille. v.1109 (Acte 4, scène 4, MONTVAL)
Rien n'est plus surprenant ; mais puis-je être éclaircie v.1121 (Acte 4, scène 5, LA-MARQUISE)
Du sujet qui causait votre mélancolie ? v.1122 (Acte 4, scène 5, LA MARQUISE)
La chose est à présent inutile à savoir : v.1123 (Acte 4, scène 5, LE BARON)
Je suis impatient de la voir. v.1128 (Acte 4, scène 5, LE BARON)
La voici. v.1128 (Acte 4, scène 5, LA-MARQUISE)
En voyant ta santé, la mienne est raffermie. v.1130 (Acte 4, scène 6, LE BARON)
Quel plaisir ! v.1135 (Acte 4, scène 6, LE BARON)
Oh ! S'il dépend de moi, la guérison est sûre. v.1149 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
La langueur de ses yeux a passé dans mon âme ; v.1157 (Acte 4, scène 7, CLÉON)
L'amour, à soixante ans, m'a fait sentir sa flamme v.1158 (Acte 4, scène 7, CL?ON)
Pour la première fois. Je soupire, en un mot : v.1159 (Acte 4, scène 7, CL?ON)
Si je n'obtiens de vous la qualité de gendre. v.1162 (Acte 4, scène 7, CL?ON)
Votre soeur m'a flatté que j'y pourrais prétendre, v.1165 (Acte 4, scène 7, CL?ON)
Et la mienne est ravie. v.1170 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
Ne pouvaient me la rendre en un temps plus heureux, v.1172 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
Je vous prierai, monsieur, pour la rendre parfaite, v.1174 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
Monsieur, secourez-la. v.1190 (Acte 4, scène 7, LA-MARQUISE)
Pour la bien rétablir. v.1192 (Acte 4, scène 7, MONTVAL)
Les filles, la plupart, v.1192 (Acte 4, scène 7, CLÉON)
Je vous la recommande. v.1199 (Acte 4, scène 7, LA-MARQUISE)
Votre courroux est plaisant. v.1201 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
Comme vous, j'ai pensé tomber en défaillance. v.1206 (Acte 4, scène 8, MONTVAL)
Tout le monde ; et la foule est si grande, v.1210 (Acte 4, scène 9, CHAMPAGNE)
Que la cour du château ne peut la contenir. v.1211 (Acte 4, scène 9, CHAMPAGNE)
C'est peu que votre nom vole dans la campagne, v.1214 (Acte 4, scène 9, CHAMPAGNE)
La chose est ridicule. v.1217 (Acte 4, scène 9, MONTVAL)
Elle est des plus plaisantes. v.1217 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
Comment ! Elle est pour vous, monsieur, des plus brillantes v.1218 (Acte 4, scène 9, CHAMPAGNE)
Je pourrai faire face aux manants du village ; v.1221 (Acte 4, scène 9, CHAMPAGNE)
Ils viendront jusqu'ici vous relancer eux-mêmes. v.1226 (Acte 4, scène 9, CHAMPAGNE)
Nos docteurs à la mode en savent moins que vous. v.1228 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
Votre art est pour le père, et vos soins pour la fille. v.1230 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
Et l'estime publique affermira la leur. v.1232 (Acte 4, scène 9, LUCILE)
La fortune vous rit, saisissez-la bien vite ; v.1233 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
Profitez de la vogue, elle aide le mérite. v.1234 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
D'accomplir, malgré tout, votre songe à la lettre. v.1238 (Acte 4, scène 9, MONTVAL)
Un moment ; laisse-moi, laisse que je respire : v.1245 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Et de la faculté tu vois un nouveau membre. v.1249 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Eh ! ce sont là pour moi les malades qu'il faut ; v.1256 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Mais tu me connais trop ; sans cela mon audace v.1257 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
T'eût subjuguée ici comme la populace. v.1258 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Ah ! que la renommée est une belle chose, v.1261 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Et c'est sur le bonheur que son éclat se fonde. v.1266 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Oui, qui fait tous les jours la réputation, v.1267 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
La faveur d'un instant ou d'une circonstance v.1269 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Ce métier lui déplaît, la foule l'importune ; v.1273 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Mais, s'il le voulait bien, nous y ferions fortune ; v.1274 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Il devait préférer la médecine aux armes. v.1277 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Abuser à la fois et tuer les humains ! v.1280 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
On les tue à la guerre. v.1281 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Est la plus acharnée et veut tout mettre à sang. v.1292 (Acte 5, scène 1, CHAMPAGNE)
Un autre soin m'agite. Apprends que la comtesse v.1301 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
La ligue est générale, on veut nous l'arracher ; v.1304 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
Moi-même, au fond du coeur, je lui donne la pomme ; v.1306 (Acte 5, scène 3, LA MARQUISE)
Qui donne de la grâce au moindre mot qu'il dit. v.1311 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
Dès qu'on est à la mode, on devient notre idole ; v.1313 (Acte 5, scène 3, LA MARQUISE)
La plus sage y succombe, ainsi que la plus folle ; v.1314 (Acte 5, scène 3, LA MARQUISE)
Et l'éclat do la vogue éblouit tous les yeux. v.1316 (Acte 5, scène 3, LA MARQUISE)
La comtesse le peut consulter en ces lieux. v.1319 (Acte 5, scène 3, LUCILE)
La perfide, aujourd'hui, pour se l'attacher mieux, v.1320 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
Mais rien n'est plus affreux ! Que dit-il à cela ? v.1323 (Acte 5, scène 3, LUCILE)
Mais il la remercie. v.1324 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
Je ne sais : la comtesse est au fond si pressante, v.1325 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
La santé du logis s'y trouve intéressée, v.1329 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
C'est vous couper la gorge. v.1338 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
Il me tarde déjà d'exécuter la chose. v.1345 (Acte 5, scène 3, LA-MARQUISE)
Je la laisse avec vous pour qu'elle vous le dise. v.1349 (Acte 5, scène 3, LUCILE)
Il est vrai que j'y vois de la difficulté ; v.1360 (Acte 5, scène 4, LA-MARQUISE)
Mais pour elle il n'est rien que mon coeur n'aplanisse ; v.1361 (Acte 5, scène 4, LA MARQUISE)
Laissez-moi seule ici pour que j'y réfléchisse. v.1362 (Acte 5, scène 4, LA MARQUISE)
Ne peut la regarder ; c'est moi, sans contredit, v.1368 (Acte 5, scène 5, LA-MARQUISE)
Je me sacrifierai pour la santé commune ; v.1373 (Acte 5, scène 5, LA MARQUISE)
La veuve qu'on propose en doit avoir cinquante : v.1378 (Acte 5, scène 5, LA MARQUISE)
Et j'ose me flatter d'avoir la préférence. v.1382 (Acte 5, scène 5, LA MARQUISE)
Voilà mon parti pris : mais la difficulté v.1383 (Acte 5, scène 5, LA MARQUISE)
Je m'arrache à la fin à l'importunité. v.1387 (Acte 5, scène 6, MONTVAL)
La comtesse vous offre une riche parente. v.1390 (Acte 5, scène 6, LA-MARQUISE)
L'honneur qu'elle me fait est peu flatteur pour moi. v.1391 (Acte 5, scène 6, MONTVAL)
Vous partez cependant pour suivre la comtesse. v.1393 (Acte 5, scène 6, LA-MARQUISE)
Voyez à vos genoux tomber la faculté. v.1407 (Acte 5, scène 6, MONTVAL)
Mais la décence veut que j'en parle à mon frère. v.1414 (Acte 5, scène 6, LA-MARQUISE)
Adieu. Vous n'aurez pas à languir bien du temps ; v.1415 (Acte 5, scène 6, LA MARQUISE)
Je demeure interdit de plaisir et de joie ! v.1418 (Acte 5, scène 7, MONTVAL)
Mon coeur rend, pour le coup, grâce à la médecine, - v.1421 (Acte 5, scène 7, MONTVAL)
Je vous dois à son art, je la tiens pour divine. v.1422 (Acte 5, scène 7, MONTVAL)
Voilà le sort qui suit la grande réussite : v.1429 (Acte 5, scène 8, CHAMPAGNE)
Oh ! le plaisant péril, pour en être effrayé. v.1431 (Acte 5, scène 8, MONTVAL)
Comme, à vingt pas d'ici, je sifflais dans la rue, v.1433 (Acte 5, scène 8, CHAMPAGNE)
Ils allaient me saisir ; c'était fait de Champagne, v.1438 (Acte 5, scène 8, CHAMPAGNE)
Si la comtesse alors, qui parut à propos, v.1439 (Acte 5, scène 8, CHAMPAGNE)
Ah ! Mon coeur la partage. v.1449 (Acte 5, scène 8, CHAMPAGNE)
J'écarterai de vous la moindre inquiétude. v.1462 (Acte 5, scène 9, MONTVAL)
Vous rimerez pour moi pendant la matinée, v.1465 (Acte 5, scène 9, LE BARON)
Pour toute ma maison quel plaisir ! Quel bonheur ! v.1468 (Acte 5, scène 9, LE BARON)
La nouvelle faveur qui se répand sur nous ? v.1472 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Je ne dis pas cela ; c'est selon la saison. v.1488 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Dans la jeunesse il est, s'il faut no vous rien taire, v.1489 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Consultez-la, monsieur, l'effet en sera prompt. v.1508 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Courage ; ce soupir m'est d'un flatteur augure. v.1509 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
La vertu de Lucile, après tout, me rassure ; v.1510 (Acte 5, scène 11, CLÉON)
Prenez, monsieur, prenez pour guide la prudence ; v.1514 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Et de deux vrais amants protégez la constance ; v.1517 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Va, de dix ans au moins, vous prolonger la vie. v.1522 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Je surmonte la mienne, et je sens qu'à mon âge v.1525 (Acte 5, scène 11, CLÉON)
Je suis Français, monsieur : la guerre est mon métier, v.1531 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
D'un amour qui n'a pas la richesse en partage. v.1534 (Acte 5, scène 11, MONTVAL)
Lucile n'a plus rien à craindre de ma flamme, v.1537 (Acte 5, scène 12, CLÉON)
C'est peu de l'avouer, je veux la réparer. v.1548 (Acte 5, scène 12, LA-MARQUISE)
J'unis le vrai mérite à la rare constance, v.1554 (Acte 5, scène 12, CLÉON)
La gloire à la beauté, l'esprit aux sentiments, v.1555 (Acte 5, scène 12, CL?ON)
Mes enfants, formez vile un si bel assemblage ; v.1558 (Acte 5, scène 12, CL?ON)

LE BABILLARD (1745)

Par bonheur, à la fin, je viens de m'en défaire, v.4 (Acte 1, scène 1, CLARICE)
Il fallait, sans façon, v.6 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
Vous l'auriez fait, madame, à la première vue. v.8 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
Sa langue est justement un claquet de moulin, v.9 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
Suit indiscrètement la chaleur qui la guide ; v.12 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
Dit le bien et le mal sans voir la conséquence, v.15 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
Et de taire un secret ignore la science. v.16 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
Clarice, honneur du sexe, a le don de se taire, v.24 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
Ismène, son amie, avec grand étalage, v.39 (Acte 1, scène 1, CLARICE)
Distingué dans la guerre, et qui pour sa valeur v.41 (Acte 1, scène 1, CLARICE)
Doit bientôt d'une place être fait gouverneur. v.42 (Acte 1, scène 1, CLARICE)
Valère est officier, brigue la même place, v.43 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
Et ce n'est que pour nous qu'est fait le babillage. v.56 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
À moi, votre voisine ! Oh ! cela n'est pas bien. v.66 (Acte 1, scène 2, DAPHNÉ)
Mais je ne croyais pas la chose si prochaine. v.76 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Et la seule raison m'y fera consentir. v.78 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Pour la faire changer de résolution : v.85 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Dès que je la verrai, fiez-vous à mon zèle ; v.87 (Acte 1, scène 2, HORTENSE)
Ma soeur et moi, nous allons au palais, v.109 (Acte 1, scène 2, HORTENSE)
D'un hymen pour lequel j'ai de la répugnance. v.112 (Acte 1, scène 2, CLARICE)
Cela vous satisfait ; et comme le marquis v.122 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Me disait l'autre jour en allant chez Julie... v.123 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Pas le moindre laquais ; j'ai trouvé tout sorti, v.129 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Au faubourg Saint-Marceau j'allai premièrement ; v.133 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Des Gobelins ensuite au faubourg Saint-Laurent; v.134 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Du faubourg Saint-Laurent, sans presque prendre haleine, v.135 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
En cinq heures de temps faisant toute la ville, v.139 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Je revins au Palais, et du Palais dans l'Isle ; v.140 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Et de mon pied léger, jusqu'au bout de la rue : v.143 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
De la rue au marché ; puis je suis revenue. v.144 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
Il m'a fallu laver, frotter, ranger, plier; v.145 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
J'ai monté, descendu de la cave au grenier, v.146 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
Du grenier à la cave, arpenté chaque étage. v.147 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
J'ai plus de trente fois fait toute la maison, v.150 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
Qu'elle en a la migraine, et que pour s'en guérir, v.153 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
Si je ne respectais la maison où je suis, v.157 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Et, parlant à des gens qui passent votre sphère, v.159 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
À Clarice, tantôt, je dirai la manière v.163 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Et tu devrais savoir qu'en la passe où je suis, v.165 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Que Clarice aurait tort de préférer Valère, v.171 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Julie a du brillant et beaucoup de jeunesse : v.175 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
La déclaration est tout à fait nouvelle, v.179 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
Oh ! Valère en sera la dupe sûrement. v.182 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Avec lui je vous laisse. v.183 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
J'apprends que vous avez encor la hardiesse v.188 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Qui, par la mort d'Enrique, est demeuré vacant, v.190 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Mais, mon petit cousin, je vous trouve plaisant, v.193 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Je crois que nous faisions la guerre en Allemagne. v.208 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Alidor y laissa l'une de ses oreilles. v.212 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
As-tu vu la maison qu'il a tout près de Caen ? v.217 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Elle est belle. Je vais ten faire ici le plan v.218 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Mais, monsieur, vous battez la campagne v.219 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Officier à la cour, espion à la ville ; v.228 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Il faut avoir en tout de la discrétion. v.234 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
La chose est décidée ; v.240 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Et quand même la cour, par un coup de bonheur, v.241 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Je n'en serais pas moins le mari de Clarice, v.243 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
N'ayant pas, comme moi, le don de la parole, v.247 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Ton coeur en est jaloux, et cela te désole. v.248 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Mieux que mon avocat j'aurais plaidé moi-même v.251 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Sur sa langue les mots s'arrangent à son gré ; v.254 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Et je ne vois personne au Palais, aujourd'hui, v.257 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Oh ! Sur lui vous auriez remporté la victoire : v.259 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
Je ne balance pas un moment à le croire. v.260 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
La langue fut toujours une arme nécessaire. v.264 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Pour moi, j'articulais mes mots avant le temps, v.273 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Quel est donc ce laquais ? v.277 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
La bonne femme donc, j'ai son discours présent ; v.281 (Acte 1, scène 6, LÉANDRE)
S'écrit... Si, comme moi, vous saviez la physique, v.284 (Acte 1, scène 6, L?ANDRE)
La matière subtile, elle me réjouit. v.290 (Acte 1, scène 6, LÉANDRE)
Je la cite à propos, car j'ai de la mémoire, v.292 (Acte 1, scène 6, L?ANDRE)
La bataille d'Arbelle, où César fut vaincu, v.294 (Acte 1, scène 6, L?ANDRE)
Dans la vivacité je crois que je confonds. v.297 (Acte 1, scène 6, L?ANDRE)
La tante de Clarice arrive maintenant : v.305 (Acte 1, scène 7, NÉRINE)
Rentre, et sa soeur la suit ; Doris avec Mélite v.307 (Acte 1, scène 7, N?RINE)
Et ferez, s'il vous plaît, les honneurs du logis, v.310 (Acte 1, scène 7, N?RINE)
Monsieur, en attendant le retour de Clarice. v.311 (Acte 1, scène 7, N?RINE)
Je vole vers la tante et je cours l'embrasser, v.313 (Acte 1, scène 7, LÉANDRE)
Et lui donner la main. Je vous laisse y penser. v.314 (Acte 1, scène 7, L?ANDRE)
Nous pourrons balancer le pouvoir de Céphise. v.316 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
Monsieur, je vous protège, et cela vous suffit. v.317 (Acte 1, scène 8, N?RINE)
Dont notre babillard m'a fait ressouvenir, v.321 (Acte 1, scène 8, VALÈRE)
Je suis de la maison, point de cérémonie. v.327 (Acte 1, scène 9, HORTENSE)
Cela vous donne un air fripon. v.334 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Je viens de rencontrer Lucile dans la rue, v.335 (Acte 1, scène 9, HORTENSE)
Bon. Racontez-nous-la : plus qu'on ne saurait croire v.340 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Je vais vous la conter. v.341 (Acte 1, scène 9, CÉPHISE)
La dame en question, v.349 (Acte 1, scène 9, CÉPHISE)
Je ne la nomme point, et cela pour raison. v.350 (Acte 1, scène 9, C?PHISE)
C'est la jeune marquise. v.351 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
La conversation doit être générale. v.363 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Le moyen, si monsieur saisit toujours la balle ? v.364 (Acte 1, scène 9, MÉLITE)
Allez, laissez-les dire, et poursuivez toujours. v.366 (Acte 1, scène 9, DAPHNÉ)
Mesdames, irez-vous à la pièce nouvelle ? v.367 (Acte 1, scène 9, DORIS)
Le titre, s'il vous plaît ? v.368 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Le Babillard, monsieur. v.369 (Acte 1, scène 9, MÉLITE)
Oh ! Je veux voir cela, v.369 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
J'aime beaucoup la Foire. v.381 (Acte 1, scène 9, DORIS)
Qui tient du chat, du boeuf, presque au chameau semblable ? v.384 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Eh ! Laissez donc parler. v.399 (Acte 1, scène 9, CÉPHISE)
Comme je la connais dès la plus tendre enfance, v.415 (Acte 1, scène 9, MÉLITE)
À vous dire le vrai, la province m'ennuie, v.419 (Acte 1, scène 9, DORIS)
Car je hais les façons et la tracasserie ; v.420 (Acte 1, scène 9, DORIS)
Il ne se vit jamais une chose semblable ! v.423 (Acte 1, scène 9, CÉPHISE)
Que de fermer ainsi toujours la bouche aux gens. v.426 (Acte 1, scène 9, C?PHISE)
Lequel Dorante avait en hymen clandestin v.437 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
Laquelle Guillemette était, ne vous déplaise, v.439 (Acte 1, scène 9, L?ANDRE)
Fille du second lit d'Angélique la Chaise : v.440 (Acte 1, scène 9, L?ANDRE)
Et laquelle Angélique... v.441 (Acte 1, scène 9, L?ANDRE)
Oh ! Laquelle, lequel, v.441 (Acte 1, scène 9, MÉLITE)
Et ladite Hippolyte était soeur, d'autre part, v.445 (Acte 1, scène 11, LÉANDRE)
De l'avocat Martin, dit Babille ou Braillard, v.446 (Acte 1, scène 11, L?ANDRE)
Qui mourut en parlant. Le dit Martin Habille v.447 (Acte 1, scène 11, L?ANDRE)
Laquelle descendait du vicomte de Querre, v.453 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
Que monsieur est un sot. J'abandonne la place. v.456 (Acte 1, scène 12, ISMÈNE)
Or donc, pour revenir, pour être laconique, v.459 (Acte 1, scène 13, LÉANDRE)
Martin Braillard Babille était oncle d'Enrique, v.460 (Acte 1, scène 13, L?ANDRE)
Je dois avoir sa place, et le dis à dessein. v.462 (Acte 1, scène 13, L?ANDRE)
Hérita de ses biens; car ce Martin Braillard v.465 (Acte 1, scène 14, LÉANDRE)
N'avait, à son décès, laissé qu'un fils bâtard, v.466 (Acte 1, scène 14, L?ANDRE)
Et laissa les trois quarts de son corps à la guerre ; v.472 (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)
La cuisse droite à Mons, le bras gauche à Namur. v.474 (Acte 1, scène 15, L?ANDRE)
Six femmes à la fois, et leur donner la fuite ! v.487 (Acte 1, scène 15, NÉRINE)
Quelles femmes encor ! la braillarde Mélite, v.488 (Acte 1, scène 15, N?RINE)
L'éternelle Céphise et la rogue Doris, v.489 (Acte 1, scène 15, N?RINE)
Voyez la médisance. À peine ai-je eu le temps v.493 (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)
Vous venez d'échouer dans l'affaire en question, pour avoir trop parlé et n'avoir pas assez agi, et faute de vous être rendu chez moi quand je vous ai envoyé mon laquais. (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)
Vous n'en sauriez douter, puisque Valère vient d'obtenir le gouvernement par l'entremise de la personne chez qui je devais vous mener ce matin. (Acte 1, scène 15, L?ANDRE)
Mais j'aurai le plaisir d'aller partout m'en plaindre ; v.500 (Acte 1, scène 15, LÉANDRE)
Et Clarice vaut mieux que cent gouvernements. v.501 (Acte 1, scène 15, L?ANDRE)
Si mon babil a su vous plaire, v.520 (Acte 1, scène 16, LÉANDRE)
Si je vous déplais, au contraire, v.522 (Acte 1, scène 16, L?ANDRE)

LE FRANÃ‡AIS Ã€ LONDRES (1727)

Ce n'était pas la peine de me faire quitter Paris, le centre du beau monde et de la politesse ; et je me serais bien passé de voir une ville aussi triste et aussi mal élevée que Londres. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Je t'excuse, marquis ; tu en parlerais autrement si tu avais eu le temps de la mieux connaître. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Tiens, ce que les anglais ont de mieux, c'est qu'ils parlent français, encore ils l'estropient. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Nous l'estropions nous-mêmes, pour la plupart ; et cependant nous ne parlons que notre langue. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Cela fait un entretien bien amusant ! (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Les anglais ne sont pas brillants, mais ils sont profonds. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Sais-tu bien, marquis, puisque tu m'obliges à te parler sérieusement, qu'il ne faut que trois ou quatre têtes folles comme la tienne, pour achever de nous décrier dans un pays où notre réputation de sagesse n'est pas trop bien établie, et que tu as déjà donné deux ou trois scènes qui t'ont fait connaître de toute la ville ? (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
On dit que tu es un gentilhomme français si zélé pour la politesse de ton pays, que tu es venu exprès à Londres pour l'y enseigner publiquement, et pour apprendre à vivre à toute l'Angleterre. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Qu'au lieu de vouloir assujettir à ta façon de vivre une nation chez qui tu es, c'est à toi à te conformer à la sienne, et que, sans la sage police qui règne dans Londres, tu te serais déjà fait vingt affaires pour une ? (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Il est vrai, messieurs les anglais ont tort d'avoir l'air anglais chez eux ; ils devraient avoir à Londres l'air que nous avons à Paris. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
C'est pourtant à ces manières dont tu me fais tant la guerre, que j'ai l'obligation d'une conquête ; mais d'une conquête brillante ! (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Voilà encore la maladie de nos français qui voyagent. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Ils sont si prévenus de leur prétendu mérite auprès des femmes, qu'ils croient que rien ne résiste aux brillants de leurs airs, aux charmes de leur personne, et qu'ils n'ont qu'à se montrer pour charmer toutes les belles d'une contrée. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Ils s'érigent en petits conquérants des coeurs ; et, de l'air dont ils quittent la France, ils semblent moins partir pour un voyage qu'aller en bonne fortune. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
Mais, baron éternel, ce n'est pas sur un regard équivoque, sur une simple civilité que je suis assuré qu'on m'aime ; c'est parce qu'on me l'a dit à moi-même, parlant à ma personne. (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
On la nomme ? (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Je la connais ; je l'ai vue plusieurs fois chez Clorinde, une de ses amies. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Il est vrai, je ne le cache point, c'est de toutes les femmes que j'ai vues celle dont je chercherais la possession avec plus d'ardeur ; et je t'avouerai franchement que, s'il dépendait de moi, il n'est rien que je ne fisse pour te supplanter. (Acte 1, scène 1, LE-BARON)
Toi, me supplanter ? (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Je voudrais voir cela ! (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Je veux te la procurer... (Acte 1, scène 1, LE-MARQUIS)
Et, sans aller plus loin, voici Éliante elle-même qui vient fort à propos pour cela. (Acte 1, scène 1, LE MARQUIS)
Il cherche l'occasion de vous le déclarer : elle s'offre ; je la lui procure. (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Il veut me supplanter, madame, il veut me supplanter. (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Brisons-là ; c'est pousser trop loin la plaisanterie. (Acte 1, scène 2, ÉLIANTE)
Madame, la plaisanterie ne tombe que sur moi ; je la mérite. (Acte 1, scène 2, LE-BARON)
Le marquis, en badinant, n'a dit que la vérité. (Acte 1, scène 2, LE BARON)
Quel mal y a-t-il à cela ? (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Mais je ne vous aime pas, monsieur ; et quand cela serait, je veux qu'on ait de la discrétion : j'aime le mystère. (Acte 1, scène 2, ÉLIANTE)
Oui, en France, où l'on n'aime que par air, où l'on n'aspire à être aimé que pour avoir la vanité de le dire, où l'amour n'est qu'un simple badinage, qu'une tromperie continuelle, et où celui qui trompe le mieux passe toujours pour le plus habile. (Acte 1, scène 2, ÉLIANTE)
Nous sommes de meilleure foi ; nous n'aimons uniquement que pour avoir le plaisir d'aimer : nous nous en faisons une affaire sérieuse, et la tendresse, parmi nous, est un commerce de sentiments, et non pas un trafic de paroles. (Acte 1, scène 2, ?LIANTE)
J'ai pris le baron pour le mien ; il est garçon discret, et je suis dans la règle. (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
J'aurai de la discrétion par rapport à madame, car pour toi, rien ne m'oblige à garder le secret. (Acte 1, scène 2, LE-BARON)
Tu lui dis des choses désagréables ; tu la gênes ; tu es ici de trop. (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Pour vous punir, je vous laisse avec lui. (Acte 1, scène 2, LE-MARQUIS)
Je le sais, monsieur ; je ne suis pas assez injuste, ni assez déraisonnable pour ne pas sentir la différence qu'il y a entre vous et lui, et pour ne pas vous accorder toute l'estime que vous méritez. (Acte 1, scène 3, ÉLIANTE)
Monsieur, la chose est assez sérieuse pour mériter une mûre réflexion. (Acte 1, scène 3, ÉLIANTE)
Adieu, madame ; je vous laisse. (Acte 1, scène 3, LE-BARON)
Je suis femme, et j'ai pu me laisser éblouir par les grâces et par le faux brillant d'un mérite superficiel ; mais je suis anglaise en même temps, par conséquent capable de me servir de toute ma raison. (Acte 1, scène 4, ÉLIANTE)
Comme je ne puis être à Londres que trois jours, et que je dois, de là, partir pour la Jamaïque, j'ai résolu de l'emmener et de vous marier, avant mon départ, avec Jacques Rosbif. (Acte 1, scène 5, ÉLIANTE)
C'est bien l'anglais le plus disgracieux, le plus taciturne, le plus bizarre, le plus impoli que je connaisse. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Ma grande jeunesse, la tendresse que mon père m'a toujours témoignée, le bien même que je dois en attendre, ne me permettent pas de me soustraire à son obéissance. (Acte 1, scène 5, ÉLIANTE)
Avez-vous si tôt oublié la triste vie que vous avez menée pendant deux ans que vous avez vécu ensemble ? (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Toujours sombre, toujours brusque, il ne vous a jamais dit une douceur ; se levant le matin de mauvaise humeur, pour rentrer le soir ivre ; vous laissant seule toute la journée, ou réduite à la passer tristement avec d'autres femmes, aussi malheureuses que vous, à faire des noeuds, à tourner votre rouet pour tout amusement, et à jouer de l'éventail pour toute conversation. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Considérez, madame, que c'est la meilleure pâte de maris qu'il y ait au monde ; qu'ils doivent servir de modèle aux autres nations, et qu'un français a cent fois plus de politesse et de complaisance pour sa femme, qu'un anglais n'en a pour sa maîtresse. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Il n'aurait pas de plus grand plaisir que de vous voir brillante et parée, attirer tous les regards, assujettir tous les coeurs. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Le premier appartement, le meilleur carrosse et les plus beaux laquais seraient pour madame. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Vous verriez sans cesse une foule d'adorateurs empressés à vous plaire, ingénieux à vous amuser, étudier vos goûts, prévenir vos désirs ; s'épuiser en fêtes galantes, vous promener de plaisirs en plaisirs, sans que votre époux osât y trouver à redire, de peur d'être sifflé de tous les honnêtes gens. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Il faut lui parler avec la noble fermeté qui convient à une veuve, sans sortir du respect que doit une fille à son père ; il faut lui représenter que les maris de ce pays-ci ne sont pas faits pour rendre une femme heureuse, que vous en avez déjà fait la dure expérience, et qu'il s'offre un parti plus avantageux et plus conforme à votre inclination, un marquis français, jeune, riche, bien fait. (Acte 1, scène 5, FINETTE)
Il faut lui passer quelque chose, en faveur de la jeunesse et des grâces... (Acte 1, scène 5, FINETTE)
D'ailleurs, depuis que je ne t'ai vue, j'ai été entraîné par une chaîne de plaisirs, et j'ai fait connaissance avec un jeune seigneur français, qu'on appelle le marquis de Polinville. (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
Cela n'est pas concevable, et tu dois me trouver bien changé. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Cela est vrai ; je te trouve beaucoup plus ridicule qu'à l'ordinaire. (Acte 1, scène 6, ÉLIANTE)
Allez, ne la croyez pas ; je ne vous ai jamais vu si gentil. (Acte 1, scène 6, FINETTE)
Je ne savais que leur dire ; mais à présent, ce n'est plus cela. (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
Je suis sémillant, je badine, je folâtre, je papillonne, je voltige de l'une à l'autre, je les amuse toutes. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Je parois poli, respectueux en public ; mais je suis hardi, entreprenant tête à tête, rien ne plaît plus au beau sexe qu'une noble assurance. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
C'est elle qui m'a donné la première leçon de politesse : je ne l'oublierai pas. (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
Elle est modeste, mes louanges la font rougir. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Vive les femmes, elles sont l'âme de tous les plaisirs ! (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Par exemple, à table, rien n'est plus charmant qu'une jolie femme en pointe de vin, qui chante un air à boire, ou qui s'attendrit le verre à la main. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Nous autre anglais, nous n'entendons pas nos intérêts quand nous vous bannissons de nos parties. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Nous ne buvons que pour boire, et nous portons la tristesse jusqu'au sein de la joie. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Il n'est que les français pour faire agréablement la débauche. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
J'ai fait avant hier, avec le marquis, le plus délicieux souper, au lion rouge ; le tout accommodé par un cuisinier français, et servi à petits plats, mais délicats. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Tiens, ma petite soeur, je n'ai jamais tant eu de plaisir en ma vie. (Acte 1, scène 6, LE LORD HOUZEY)
Tout est déjà commandé pour cela : il faut que tu sois des nôtres, et Finette aussi. (Acte 1, scène 6, LE-LORD-HOUZEY)
Je le veux bien ; mais à condition que mon père, qui arrive aujourd'hui, sera aussi de la partie. (Acte 1, scène 6, ÉLIANTE)
Il se gâte, plutôt, et le voilà enrôlé dans la coterie de nos beaux d'Angleterre ; engeance ici d'autant plus insupportable qu'elle a tous les vices de vos petits-maîtres de France sans en avoir les grâces... (Acte 1, scène 7, ÉLIANTE)
C'est ce vilain Rosbif. (Acte 1, scène 7, ?LIANTE)
Cela est naturel. (Acte 1, scène 7, FINETTE)
Laissez-moi le soin de recevoir sa visite pour vous. (Acte 1, scène 7, FINETTE)
Je vais le congédier à la française. (Acte 1, scène 7, FINETTE)
Vous êtes naturellement si civil et si honnête à l'égard des autres, qu'on ne se lasse pas de l'être envers vous. (Acte 1, scène 8, FINETTE)
Qu'est-ce qu'il y a là de si plaisant ? (Acte 1, scène 8, ROSBIF)
Il vous dira que vous n'êtes ni assez bien mis pour être présenté à la fille d'un lord, ni assez aimable pour être son mari. (Acte 1, scène 8, FINETTE)
Et si, ce n'est encore rien en comparaison de nos jeunes seigneurs de la cour. (Acte 1, scène 8, FINETTE)
La curiosité. (Acte 1, scène 10, ROSBIF)
Cela étant, je m'en vais m'asseoir, pour vous voir plus à mon aise. (Acte 1, scène 10, ROSBIF)
Touchez là ; c'est me prier d'une partie de plaisir. (Acte 1, scène 10, LE-MARQUIS)
Vous avez perdu la parole ? (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Je n'aime pas la gloire aisée. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Plaît-il ?... (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Je crois qu'il le fait exprès pour m'impatienter, mais je n'en serai pas la dupe. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Je vais suivre son exemple et faire une conversation à l'anglaise. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
à votre place, j'aurais toujours à mes côtés un homme qui écrirait toutes mes réparties. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Cela ferait un beau livre, au moins ! (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
Vous avez tort de vous laisser voir pour rien : vous êtes un fort joli bouffon, et vous valez bien trois schelins. (Acte 1, scène 10, ROSBIF)
Donnez, s'il vous plaît, d'autres épithètes à un homme qui doit être mon époux. (Acte 1, scène 12, ÉLIANTE)
Je suis bonne, je veux bien lui pardonner encore cette fois-ci ; mais ce sera la dernière, et à condition qu'il sera plus discret et plus retenu à l'avenir. (Acte 1, scène 12, ÉLIANTE)
Adieu, je vous laisse. (Acte 1, scène 12, ÉLIANTE)
Monsieur_le_Marquis, j'ai un vrai chagrin de ne pouvoir pas vous donner à souper ce soir ; mon père arrive aujourd'hui, et je viens pour vous prier de remettre la partie à une autre fois. (Acte 1, scène 14, LE-LORD-HOUZEY)
Plus je vous vois, et plus je sens la supériorité que vous avez sur nous. (Acte 1, scène 14, LE-LORD-HOUZEY)
Ce jeune homme est assez poli pour un anglais. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
Monsieur, vous ne pouvez rien me dire dont je sois plus flatté. (Acte 1, scène 14, LE-LORD-HOUZEY)
Vous avez de la figure, vous avez des grâces, ce serait un meurtre de les enfouir ; il faut les développer, monsieur, il faut les développer. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
La nature commence un joli homme, mais c'est l'art qui l'achève. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Un coup de tête, un air d'épaule, un geste, un souris, un regard, une expression, une inflexion de voix ; la façon de s'asseoir, de se lever, de tenir son chapeau, de prendre du tabac, de se moucher, de cracher. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
C'est ainsi qu'on le porte à la cour de France. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Oui, comme cela. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Ne confondons point, s'il vous plaît, les uns avec les autres. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
écoutez ceci, c'est la quintescence du savoir-vivre... (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
un homme du monde a des manières, par égard, par attention pour les autres, pour leur marquer la considération qu'il a pour eux, l'envie qu'il a de leur plaire et de s'attirer leur bienveillance. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Il est toujours attentif à ne rien faire, à ne rien dire que d'obligeant : il prête poliment l'oreille à l'un, répond gracieusement à l'autre ; applaudit celui-ci d'un souris, fait agréablement la guerre à celui-là ; dit une douceur à la mère, regarde tendrement la fille. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Vous fait-il un plaisir ? (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
La façon dont il le fait, est cent fois au-dessus du plaisir même. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Par exemple, s'il sait que vous avez besoin d'une somme d'argent, il vous la glisse doucement dans la poche, sans que vous y preniez garde. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
De toutes les manières, cette dernière est la plus belle, mais, par malheur, c'est la moins usitée. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Il s'échappe adroitement, il vous laisse le champ libre ; et voilà ce qu'on appelle un homme qui sait vivre, un homme qui a des manières. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
Un provincial fait des façons, par une politesse mal entendue, par une ignorance des usages, et faute de connaître la cour et la ville. (Acte 1, scène 14, LE-MARQUIS)
On nomme cela être poliment brutal, ou brutalement poli. (Acte 1, scène 14, LE MARQUIS)
(Redoublez d'attention, je vous prie, car ceci est profond.) Un joli homme se donne des airs par complaisance pour lui-même, pour apprendre aux autres le cas qu'il fait de sa propre personne, pour les avertir qu'il a du mérite, qu'il en est tout pénétré, qu'on y fasse attention... (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
est-il à la promenade ?... (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Il marche fièrement, la tête haute, les deux mains dans la ceinture, comme pour dire à ceux qui sont autour de lui : "Rangez-vous, messieurs. (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Il se précipite dans un fauteuil, une jambe sur l'autre, tape du pied, marmotte un petit air, joue d'une main avec son jabot, et se caresse le menton de l'autre ; il s'en conte à lui-même, et semble se parler ainsi : " en vérité, je suis un fripon bien aimable, et voilà un visage qui donne sûrement de la tablature à la dame du logis ! " (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Tu détournes la tête, tu recules, tu rougis ? (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Est-ce qu'on a de la pudeur dans le monde ? " (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Tout ce que je vous dis-là paraît fat à bien des gens ; mais cela est nécessaire. (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
Il faut s'afficher soi-même, il faut se donner pour ce qu'on vaut : il faut avoir le courage de dire tout haut qu'on a de l'esprit, du coeur, de la naissance, de la figure. (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Le monde ne vous estime qu'autant que vous vous prisez vous-même ; et de toutes les mauvaises qualités qu'un homme peut avoir, je n'en connais pas de pire que la modestie : elle étouffe le vrai mérite, elle l'enterre tout vivant. (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Puisque nous sommes sur ce chapitre, je voudrais vous prier de m'apprendre quelles sont les qualités qui entrent nécessairement dans la composition d'un joli homme. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-HOUZEY)
Il faut être né d'abord avec un grand fonds de confiance et de bonne opinion de soi-même, un heureux penchant à la raillerie et à la médisance, avec un goût dominant pour le plaisir, et même pour le libertinage ; un amour extrême pour le changement et la coquetterie. (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
Je suis fourni de tout cela. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-HOUZEY)
Mais, par-dessus tout cela, il faut avoir reçu de la nature les grâces en partage, sans quoi les autres qualités deviennent inutiles ; de la liberté, du goût, de l'enjouement, du badinage, de la légèreté dans tout ce que vous faites. (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
L'agrément est avant tout, il fait tout passer ; et, s'il fallait opter, j'aimerais cent fois mieux faire une impertinence avec grâce, qu'une politesse avec platitude. (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Des traits, de la vivacité, du joli, du brillant dans ce que vous dites. (Acte 1, scène 15, LE MARQUIS)
Un la peste m'étouffe ! (Acte 1, scène 15, LE-LORD-HOUZEY)
Je vous ferai présent, la première fois, d'un recueil d'imprécations et de serments, nouvellement inventés par un capitaine de dragons, revus par un officier de marine, et augmentés par un abbé gascon, qui avait perdu son argent au trictrac. (Acte 1, scène 15, LE-MARQUIS)
Monsieur_le_Marquis... a la bonté... de me former le goût. (Acte 1, scène 15, LE-LORD-HOUZEY)
L'esprit, est à l'égard de l'âme, ce que les manières sont à l'égard du corps : il en fait la gentillesse et l'agrément : et je le fais consister à dire de jolies choses sur des riens, à donner un tour brillant à la moindre bagatelle, un air de nouveauté aux choses les plus communes. (Acte 1, scène 16, LE-MARQUIS)
L'esprit ne fait que voltiger sur les matières ; il n'en prend que la fleur. (Acte 1, scène 16, LE-MARQUIS)
C'est lui qui fait un homme lourd, pédant, mélancolique, taciturne, ennuyeux ; le fléau des compagnies, un moraliseur, un rêve creux ; en un mot... (Acte 1, scène 16, LE MARQUIS)
Un anglais, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Par politesse, je ne voulais pas trancher le mot, mais vous avez mis le doigt dessus. (Acte 1, scène 16, LE-MARQUIS)
C'est-à-dire, selon votre langage, qu'un anglais est un homme de bon sens, qui n'a pas d'esprit ? (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Toute la nation française vous doit un remerciement pour une si belle définition. (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Quelqu'opiniâtre que vous soyez, je vous convaincrai par la force de mon raisonnement... (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
C'est une chose étonnante que le bon sens vous soit à charge, et qu'il n'y ait que la bagatelle... (Acte 1, scène 16, LE-LORD-CRAFF)
Sans l'amour et sans ses charmes tout languit dans l'univers... (Acte 1, scène 16, LE-MARQUIS)
J'en aurai raison, fût-ce de toute la ville. (Acte 1, scène 17, LE-MARQUIS)
Adieu, monsieur de l'Angleterre ; si vous avez du coeur, nous nous verrons hors la ville. (Acte 1, scène 17, LE-MARQUIS)
Je vous prie d'excuser l'étourderie d'un jeune homme qui sort de son pays pour la première fois, et qui croit que toutes les moeurs doivent être françaises. (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
Monsieur, pouvez-vous donner dans un préjugé si peu digne d'un galant homme tel que vous me paraissez être, et décider de toute une nation sur un étourdi, comme celui que vous venez de voir ? (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
Sortez donc, monsieur, d'une erreur qui vous fait tort à vous-même, et rendez-vous à la raison dont vous faites tant de cas. (Acte 1, scène 18, LE BARON)
Je vous demande votre amitié avec votre estime ; vous venez d'emporter toute la mienne. (Acte 1, scène 18, LE-LORD-CRAFF)
Souffrez que je vous embrasse et que je vous témoigne la joie que je ressens d'avoir conquis le coeur d'un anglais, et d'un anglais de votre mérite. (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
La victoire est trop flatteuse pour ne pas en faire gloire. (Acte 1, scène 18, LE BARON)
À un très galant homme ; c'est tout ce que j'en sais. (Acte 1, scène 20, LE-BARON)
Mais la voici. (Acte 1, scène 23, LE-LORD-CRAFF)
L'époux que vous me donnerez sera toujours sûr de me plaire. (Acte 1, scène 24, ÉLIANTE)
Mais vous faites trop peu de cas de la raison, et c'est la chose dont on a plus de besoin dans un état aussi sérieux que celui du mariage. (Acte 1, scène 24, LE-LORD-CRAFF)
Pour vous, monsieur, vous avez un fonds de raison admirable : mais vous négligez trop la politesse, et elle est nécessaire pour rendre un mariage heureux, puisqu'elle consiste en ces égards mutuels qui contribuent le plus au contentement de deux époux... (Acte 1, scène 24, LE LORD CRAFF)
Ce français-là mérite d'être anglais ; vous ne pouviez pas mieux choisir. (Acte 1, scène 6, ROSBIF)
Vous venez, monsieur, de me convaincre que rien n'est au-dessus d'un anglais poli. (Acte 1, scène 27, LE-BARON)

L'HOMME DU JOUR (1732)

Si cela dure, il faut déserter la maison. v.4 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Gouverneur d'une place, et que chacun révère. v.18 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Révolté de se voir maltraiter de la sorte, v.25 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Il veut lui répliquer ; il est mis à la porte, v.26 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Dont la bonté m'attache, et m'arrête aujourd'hui, v.35 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Chez lui quitte le masque ; on voit la nuit profonde v.42 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Rien n'est pire que lui, quand il se montre en laid. v.48 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Et la jeune Lucile en est un témoignage. v.53 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
En amant qui veut plaire, il lui rendait hommage, v.54 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Quand ses yeux, au parloir, contemplaient sa beauté. v.55 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Qu'il a la liberté de la voir à toute heure, v.57 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Près d'elle il a changé de langage et d'humeur. v.59 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
D'un mari, par avance, il fait voir la froideur ; v.60 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Et, comme il manque au père, il néglige la fille. v.61 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Ils sont tous deux censés être de la famille. v.62 (Acte 1, scène 1, CELIANTE)
Et la simplicité forme son caractère. v.74 (Acte 1, scène 1, CELIANTE)
Et, pour mieux en juger, regardez la sourire : v.77 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Monsieur, d'enfant la traite, et la brusque sans cesse. v.81 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Ajoutez à cela le nouveau voisinage v.86 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
De la comtesse. v.87 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
On plaît par la folie. v.89 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
La comtesse est fort gaie, et l'enjouement séduit. v.91 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
L'esprit vole toujours sur la superficie. v.105 (Acte 1, scène 1, CELIANTE)
Et le coeur ne se voit jamais de la partie. v.106 (Acte 1, scène 1, CELIANTE)
Et je trouve qu'il a de la réalité. v.112 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Mais la comtesse vient. v.113 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Laissons là mes bontés, je vous prie. v.134 (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Vous flatter, vous nourrir de cet unique soin, v.143 (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
La nature, à mon sexe, en a fait une loi. v.147 (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
À fuir surtout l'éclat, le bonheur de la vie ; v.150 (Acte 1, scène 3, CELIANTE)
Au sein de la raison sa réponse est puisée. v.153 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Un tel soin est flatteur. v.163 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Se peut-il du baron que ce soit là la soeur ? v.164 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Comment la trouvez-vous ? Parlez. v.165 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Son esprit est brillant ! v.166 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Est chez vous déplacé. v.167 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
J'ai le front de le dire et de m'en applaudir. v.172 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Et qui ne peut passer même pour vraisemblable : v.177 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Qui l'ose déclarer, et qui n'en rougit point ! v.179 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Pour l'entendre avec vous, j'ai lié la partie. v.186 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Madame me propose un plaisir bien flatteur; v.187 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
L'une et l'autre épargnez votre ami, s'il vous plaît. v.192 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Il faut vous dégager. J'attends la préférence. v.193 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Il m'alarme pour vous. v.203 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
De vos craintes pour moi, comment, c'est là la cause ? v.205 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
La moitié, tout au moins, du prix que vous valez. v.215 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Être aimable, amusant, et ne songer qu'à plaire, v.217 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
L'agrément est sa loi, le plaisir son lien ; v.220 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Doit aigrir la douceur dont vous êtes pétri, v.227 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Monsieur ne doit pas craindre un changement semblable. v.229 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Mon coeur a pris, surtout, conseil de la raison. v.232 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Conseil de la raison ! Juste ciel ! Quel langage ! v.233 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
On doit la consulter en fait de mariage. v.234 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Je pardonne au Marquis d'oser me la citer ; v.235 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
La raison, chimère ! v.238 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
À détruire l'erreur dont le monde est la dupe ; v.242 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et nous rend à la fois sociables et sages. v.246 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et donne la naissance aux plus grands ridicules ; v.250 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
La comtesse a beau dire, elle-même a la sienne. v.257 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
La chose est certaine ; v.258 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Celle du premier ordre, à qui la bourgeoisie v.261 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Est mère de la joie, et source du bon goût ; v.264 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Et de plaire à ses yeux enseigne la science ; v.266 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Sait unir la justesse aux traits les plus brillants ; v.272 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Vous venez pour le coup de trouver la raison ; v.276 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
À la vieille raison il donnera le pas. v.280 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Une telle folie est la sagesse même : v.281 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
La raison, qu'aujourd'hui vous me faites connaître, v.290 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Soyons toujours en l'air : des choses de la vie v.293 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Prenons la pointe seule et la superficie. v.294 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Pour goûter le plaisir, ne faisons qu'effleurer. v.296 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Les plaisirs que de vous dans huit jours j'ai reçus, v.299 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La façon d'obliger que je mets au-dessus ; v.300 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Tout m'inspire pour vous l'amitié la plus vive. v.302 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La part qu'à ce lien vous voulez que je prenne. v.306 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Mon estime pour vous est égale à la vôtre, v.309 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Aux yeux de la Comtesse il vient de se cacher ; v.319 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Elle a de la naissance, elle attend un grand bien. v.324 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Ce qui doit à mes yeux la rendre encor plus chère, v.325 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
En corrompt la douceur, et gâte le portrait. v.332 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Sous un dehors flatteur cache un fond de bêtise : v.334 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Dans le temps qu'elle lance un coup d'oeil enchanteur, v.339 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Un silence stupide en dément la douceur. v.340 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Auprès d'elle, il n'est rien que n'ait tenté ma flamme v.345 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Prêt d'être son époux, et brûlant de lui plaire, v.349 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je la trouvais encor moins sotte dans le cloître : v.354 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Elle répondait juste à ce qu'on voulait dire, v.357 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Et quelquefois du moins on la voyait sourire. v.358 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Un non, un oui, placés encor mal à propos, v.360 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Il n'en est point qui soit comparable à la mienne. v.366 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je la trouve imbécile, et je la vois charmante : v.369 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je plains votre destin ; mais quoiqu'il soit fâcheux, v.379 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Cela ne se peut pas ; mon malheur est extrême. v.381 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Ma confiance est juste, et doit payer la vôtre. v.386 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Notre choix a d'abord de la conformité. v.387 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Que j'ai vue au couvent, dont la grâce ingénue v.389 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La nature a tout fait pour cette fille heureuse, v.393 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La mienne réunit seule tous les trésors. v.396 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Ses yeux, et son souris où règne la finesse, v.397 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Il s'attache, il est fait exprès pour la tendresse, v.401 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Et pétri par les mains de la délicatesse. v.402 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Oui, je crois l'être autant que je suis enflammé. v.404 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
M'ont fait, pour la revoir, voler à son couvent. v.416 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Vos recherches, vos soins, pourront la découvrir. v.423 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Vous la posséderez ; c'est un bien qui console. v.430 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Je suis le plus à plaindre ; et mon cruel voyage... v.433 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Que nos revers communs, excitant la pitié, v.443 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Adieu ; c'est à regret qu'un moment je vous laisse. v.446 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
J'ai découvert, Monsieur, la maison qu'elle habite. v.454 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Oui, j'en suis éclairci. v.455 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
La belle n'est pas loin. v.456 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Sachez qu'on la marie, et même incessamment. v.460 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
À lui-même, et la chose est très sûre. v.465 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Grand Dieu ! La singulière et fatale aventure ! v.466 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
La personne qu'il aime et qu'il doit épouser v.468 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Est brillante d'attraits, mais d'esprit dépourvue ; v.469 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Est justement la même à qui votre émissaire v.477 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
C'est la fille en un mot de Monsieur de Forlis; v.479 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Je n'en puis plus douter, et ce nom seul m'éclaire ; v.481 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Cet effroi s'est accru par la dure contrainte v.486 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Oui, le chagrin secret de voir tromper sa flamme, v.489 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et j'aime à m'en flatter, a jeté dans son âme v.490 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et le garant flatteur de son amour pour moi, v.495 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et qu'à regret d'un père elle subit la loi. v.496 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Cette grande douleur qui console la vôtre v.497 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Et d'un feu mutuel la flatteuse assurance v.501 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Par la main d'un ami qui lui-même l'ignore, v.506 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Je me plaignais tantôt de mon sort rigoureux, v.508 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et du baron du moins j'aurais la confidence. v.514 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Hélas ! j'ai tout perdu jusqu'à cette douceur. v.516 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Je vois sur votre front la douleur répandue. v.526 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Pour vous laisser garder un si cruel silence : v.529 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Plus que je ne voulais. v.534 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Et laissez-moi... v.545 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Marquis, la résistance est vaine, v.545 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Et vous m'éclaircirez. v.546 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Ont-ils pu vous porter d'atteinte plus sanglante ? v.550 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Mes gens de sa demeure ont l'ait la découverte, v.553 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Ils m'ont trop éclairé. v.555 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
J'ai su que sa famille au plus tôt la marie ; v.557 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Pour comble de chagrin je vais la voir unie v.558 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Je sens qu'elle est pour moi d'autant plus accablante v.566 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Le moyen à présent, Monsieur, que je la vois v.571 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Monsieur, pour un moment, mettez-vous à ma place, v.577 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Moi-même à l'y porter j'ai de la répugnance. v.593 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Je veux que cela soit : mettons la chose au pis. v.599 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
En voyant cette belle, en tâchant de lui plaire. v.602 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
À mon ami ferai-je un affront si sanglant ? v.603 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
À son plus haut degré c'est porter la sagesse. v.605 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Je plaindrais la moitié des femmes de Paris. v.608 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Ne tenez pas ailleurs un langage semblable ; v.609 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Je veux la dissiper dans ces mêmes instants, v.616 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
De mon trouble secret lui dévoiler la cause. v.618 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Vous voulez faire entendre à sa flamme jalouse v.633 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Que vous deviendrez seul coupable de la suite ; v.642 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Et que si trop avant je me laisse entraîner, v.643 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Quoi qu'il puisse arriver, je prends sur moi la chose ; v.645 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Quel trouble ! En la voyant j'ai peine à me contraindre! v.649 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Précisément au même où j'allais voir souvent, v.660 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
La rencontre me charme autant qu'elle m'étonne. v.662 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
À qui je dois, Monsieur, l'honneur de la connaître. v.666 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Elle est simple à l'excès ; mais on peut la conduire v.669 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
J'ai fait en sa présence éclater mon ardeur, v.671 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Tant mieux ! J'en suis charmé, la chose ira plus vite. v.673 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Ses parents, m'a-t-on dit, veulent la marier. v.683 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
J'ai toujours eu du goût pour la précision. v.691 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Mal et bien, rien, beaucoup : la singulière fille ! v.694 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Oui, votre état la jette en un trouble terrible ; v.698 (Acte 2, scène 3, LUCILE)
Prodige ! La voilà qui vient de proférer v.700 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Mon transport à la fin pourrait me découvrir. v.704 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Je vais la faire agir auprès de son amie. v.705 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Vous paraissez toujours interdite et tremblante ; v.710 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Pour ternir votre éclat par un mauvais maintien ; v.712 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
C'est par monosyllabe, et sans aucune suite. v.714 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Mais comme il vous plaira. v.719 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Laissons, Mademoiselle, un discours superflu. v.727 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
La naissance, le bien, avec l'âge assortis. v.736 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
N'importe, exagérez son mérite et sa flamme. v.741 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Oh ! Sans la bienséance... v.746 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Ce rire maintenant est des plus déplacés. v.751 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Ce que j'attends de vous veut de la diligence. v.757 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
C'est la troisième fois que vous me l'avez dit. v.763 (Acte 2, scène 5, LUCILE)
Vous la traitez, mon frère, avec trop de hauteur, v.767 (Acte 2, scène 6, CELIANTE)
Et vous l'étourdissez. Employez la douceur. v.768 (Acte 2, scène 6, CELIANTE)
La douceur, dites-vous ? La douceur est charmante ! v.769 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Et qu'à la fin sa haine en peut être le fruit ; v.772 (Acte 2, scène 6, CELIANTE)
Elle s'est plainte à moi, je dois vous informer... v.775 (Acte 2, scène 6, CELIANTE)
Tous ces petits propos doivent peu m'alarmer. v.776 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Je vous dis des douceurs, et vous osez vous plaindre ? v.790 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Le début est flatteur. v.794 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Et de régler l'essor de toute la journée. v.818 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Passons chez la marquise, et chez le commandeur; v.819 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Voyons la présidente, et puis mon rapporteur. v.820 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Je pense que Lafleur est sorti pour cela. v.823 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Répondent, la plupart, aussi mal qu'ils agissent. v.825 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
J'allais sortir, il faut que pour lui je demeure. v.834 (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Mais de le prévenir il m'épargne la peine. v.837 (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Assez ferme. Et la tienne, v.838 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Tu me fais cet aveu d'un air bien glacial ! v.843 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
La mienne est, par bonheur, d'avoir de l'indulgence. v.849 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Je vous laisse le maître, et je cours m'acquitter v.852 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Si c'est une corvée, il la faut essuyer. v.856 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
De ces promesses-là je connais la valeur. v.860 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
La dorure et l'éclat d'un nouveau vis-à-vis ; v.864 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Éclabousser vingt fois la pauvre infanterie, v.865 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Qui se sauve, en jurant, de la cavalerie ; v.866 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Apprendre et débiter la nouvelle du jour ; v.868 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Puis au Palais-Royal joindre un cercle agréable, v.869 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Pour sabler du Champagne à souper largement ; v.872 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Conduire à l'Opéra la duchesse indolente ; v.877 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Médire ou bien broder avec la présidente ; v.878 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Voilà le plan exact de ta journée entière, v.881 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Le plaisir est le noeud des plus grandes affaires; v.894 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Et c'est en badinant que la faveur s'obtient. v.896 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Qu'à la place du mien à la Cour je demande ; v.905 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Par plusieurs concurrents cette place est briguée ; v.909 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Du royaume, Baron, c'est la plus distinguée. v.910 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
M'a fait prendre la poste et hâter mon voyage. v.914 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Je crains ces dîners-là : j'aime la bonne chère ; v.929 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Tu n'auras qu'à donner tes ordres pour cela, v.931 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Comment donc ! Que veut dire un discours de la sorte ? v.937 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Par un fort galant homme. v.941 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
La chose est toute neuve! Et cet homme se nomme ? v.942 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Et que de nos façons il faut bannir la gêne, v.954 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
La chose est plus choquante : v.957 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Le Forlis, par bonheur, fait la méridienne ; v.961 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
À me flatter, Monsieur, d'une douce espérance. v.966 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
La joie enfin succède au plus affreux souci. v.968 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Je ne puis exprimer le plaisir que je goûte : v.969 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Non, non, vous ignorez combien il est flatteur. v.971 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Et je sens que je blesse au fond la probité. v.975 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Elle n'est point blessée en des choses semblables. v.977 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Ce n'est pas là sa place. v.981 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
J'ai plus d'expérience, et dois vous éclairer. v.983 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
La droiture est un frein que l'on doit révérer, v.984 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Devoirs essentiels de la société, v.987 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
On la doit consulter, surtout dans l'exercice v.989 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Des charges de l'État d'où dépend la justice ; v.990 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Et forme par degré la réputation : v.992 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Sur le pied de plaisir, ou de délassement. v.996 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Devient homme à la mode, et se met en crédit. v.1008 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Fondé sur l'intérêt, la fraude et l'avarice, v.1014 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Du sein de la lumière il tombe dans la nuit, v.1031 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Pour y plaire, y briller, pour avoir ses faveurs, v.1035 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
N'en déplaise au bon ton, dont je suis rebattu, v.1043 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Nous ne devons jamais rougir de la vertu. v.1044 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
L'habiller à notre air, la faire à nos manières. v.1050 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
La crainte que j'en ai me fait déjà trembler. v.1068 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Daignez donc me guider de la main et de l'oeil ; v.1071 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Et vous n'avez, Marquis, qu'à vous laisser conduire. v.1074 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Saisir, pour vous placer, le point de vue heureux ; v.1076 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Y répandre des clairs, y mettre des nuances ; v.1078 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Pour la mieux disposer, écrivez-lui d'abord. v.1088 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Mais je ne sais comment la lui faire remettre. v.1090 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
La chose étant ainsi, j'imagine un moyen... v.1095 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Sans blesser la sagesse elle peut la lui rendre, v.1097 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
D'autres la commettraient. v.1099 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
On ne peut la remettre en de meilleures mains. v.1100 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Il sert trop bien ma flamme ! v.1105 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
L'amour, la probité, la pitié, la raison, v.1115 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
C'est servir la vertu, non trahir la droiture. v.1118 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
Lui-même, qui plus est, me conduit par la main. v.1119 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
Je la vois, sa présence affermit mon dessein. v.1120 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
Je ne manquerai pas, Monsieur, de la lui rendre. v.1130 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
Peut-être, avec le temps, mon soin la formera. v.1132 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Et puis-je me flatter qu'elle soit bien reçue ? v.1133 (Acte 3, scène 3, LE MARQUIS)
Volons chez la Comtesse, elle est impatiente : v.1142 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Sans la commettre v.1146 (Acte 3, scène 3, LE MARQUIS)
Mais elle est sous les yeux d'un surveillant cruel, v.1152 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
L'intimide, et la tient dans une gêne affreuse. v.1154 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
Il faut à ses dépens jouer la comédie, v.1157 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Et je veux le premier, être de la partie. v.1158 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Moi, je l'ai retenu pour toute la journée. v.1174 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
N'en déplaise à l'espoir dont votre esprit se flatte, v.1177 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
J'arrive tout exprès du fond de la Bretagne. v.1185 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Moi, quinze jours plus tôt j'ai quitté la campagne. v.1186 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Quoi ! C'est un violon qui balance mes droits ? v.1191 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Il doit jouer, Monsieur, pour la dernière fois. v.1192 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
La musette, la flûte, ou le violoncelle ? v.1209 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Moi ! Joueur de musette ? Ah ! La chose est nouvelle. v.1210 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
La bagatelle seule occupe vos esprits : v.1211 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
C'est un gouvernement qu'à la Cour je demande. v.1214 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Quoi ! Ce n'est que cela v.1215 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Vous en aurez un autre, et la chose est facile. v.1217 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Il n'en trouverait pas dans dix ans un semblable. v.1222 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Quoi ! Pour un vain plaisir tu veux donc me quitter ? v.1224 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Un ancien ami n'a pas la préférence ? v.1225 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Le plaisir que j'attends me transporte d'avance. v.1229 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Donnez-moi donc la main, parlons en diligence. v.1230 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
À des ordres si doux je me laisse entraîner. v.1231 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Non, c'est flatter monsieur d'un espoir téméraire. v.1233 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
J'enlève le baron pour la journée entière. v.1234 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Je ne dérange rien dans les plans que je fais. v.1235 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Pour voir la nouveauté qui doit être jouée ; v.1238 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Puis de la table au bal, où déguisée en Flore, v.1241 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Je reviendrai, Monsieur, et ne la croyez pas. v.1243 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Je ferais hautement éclater mon dépit ; v.1248 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Jusqu'à lui je pénétre à travers la cohue. v.1253 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Comme un provincial dont il craint la présence. v.1258 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
An milieu du grand monde il me croit déplacé ; v.1259 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Et dans le même temps qu'il est pour moi glacé, v.1260 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Je voudrais excuser un procédé semblable, v.1265 (Acte 4, scène 1, CELIANTE)
Et chez qui, sans mentir, toute la France était, v.1272 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
La fureur de jouer vient saisir ceux qui restent. v.1278 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Les sacrificateurs en ordre sont placés. v.1280 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Le baron, qui se laisse emporter au courant, v.1287 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Je cache la fureur de mon coeur éperdu, v.1307 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Je dois pourtant me plaindre en cette circonstance v.1329 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Que ton coeur ne m'ait pas donné la préférence. v.1330 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
D'avec ceux qui n'en ont que la fausse apparence, v.1341 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Qui ne tiennent à toi que par le seul plaisir, v.1343 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Et d'agir fortement pour la place où j'aspire : v.1350 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Je t'en ferais ici des reproches sanglants, v.1352 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
La Cour n'est pas si prompte à répandre ses grâces ; v.1357 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Il faut longtemps briguer pour de pareilles places, v.1358 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Mon plan est arrangé, mes mesures sont prises v.1365 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Nos efforts prévaudront, et j'obtiendrai la place. v.1369 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
La somme que je dois, et je reviens vous prendre ; v.1377 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Vous n'aurez pas, Monsieur, la peine de m'attendre : v.1378 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Il a soin de cacher le plaisir qu'il lui fait, v.1387 (Acte 4, scène 4, CELIANTE)
Je viens de la surprendre v.1393 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Va, c'est apparemment la lettre d'une amie. v.1397 (Acte 4, scène 5, CELIANTE)
Son humeur taciturne et sa mélancolie : v.1402 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
La curiosité dont je me sens pressée v.1406 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Sur son front satisfait on voit la joie écrite. v.1414 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
C'est lui, Mademoiselle ; et j'en fais la gageure. v.1417 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Mais, tenez, la voilà qui porte ici ses pas ; v.1420 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Celui que l'on surprend est un larcin qu'on fait. v.1424 (Acte 4, scène 5, CELIANTE)
Enfin me voilà seule ! Et bannissant la crainte, v.1425 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
La lettre d'un amant qui règne dans mon coeur ! v.1427 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Ma peine, et mon plaisir ne sauraient se comprendre. v.1430 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Cher amant ! Si les traits de l'ardeur la plus vive. v.1433 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
« Non, belle Lucile, il n'est point de situation plus singulière que la nôtre, ni d'amant plus malheureux que moi. (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Je m'aperçois qu'on vous méprise, et qu'on vous croit sans esprit et sans sentiment, vous qui pensez si juste, et dont le coeur tendre et délicat égale la sensibilité du mien, et c'est tout dire. (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Vous êtes à la veille d'en épouser un autre, et je n'ose me plaindre. (Acte 4, scène 6, LUCILE)
N'importe ; montrez-moi, s'il vous plaît, ce papier. v.1448 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
Plus je la lis, et plus cette lettre m'étonne, v.1465 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Je sens toute la force et la délicatesse v.1470 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Il est honteux pour moi de mériter vos plaintes. v.1473 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
La méprise est heureuse ! Et mon âme respire ! v.1477 (Acte 4, scène 8, LUCILE)
Je jouis d'un plaisir tout nouveau, v.1491 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
Rien n'égale l'esprit de la beauté que j'aime. v.1497 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
L'abattement où m'a plongée la crainte d'être oubliée de vous a dû donner de moi cette idée ; et depuis que je vous vois ici, votre présence me jette dans un trouble qui sert à la confirmer. (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Il m'ôte jusqu'à la liberté de m'exprimer, et je suis trop occupée à sentir, pour avoir le loisir de parler. » (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Je la goûte encor plus que vous ne l'approuvez. v.1503 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
C'est par mille respects, par un culte flatteur, v.1511 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
En cela j'ai suivi le penchant qui m'inspire. v.1521 (Acte 4, scène 8, LUCILE)
Pour vous plaire, je veux m'y montrer plus aimable ; v.1526 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Et goûtant sans mélange un destin bien plus doux, v.1527 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Pardon, si j'interrromps, Monsieur, mais la duchesse v.1529 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
La fille me rappelle, et j'ai promis au père; v.1538 (Acte 4, scène 11, LE BARON)
Et la duchesse va l'emmener avec elle. v.1542 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
La Comtesse est là-bas qui lui sert de renfort : v.1543 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Qu'il s'agit d'assortir des porcelaines. v.1547 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Et de mettre d'accord la Chine et le Japon. v.1548 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Ils s'aiment, je le vois, et je plains leur ennui ; v.1551 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Monsieur les laisse seuls, et je fais comme lui. v.1552 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Sa vue et son retour la tirent du néant ! v.1568 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Souffrez, dans le transport dont la mienne est pressée... v.1569 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
Le sentiment l'échauffe, et non pas la saillie. v.1574 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Mon bonheur est troublé par de justes alarmes ; v.1586 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
D'accord ; mais pour vous plaire, il redevient aimable ; v.1593 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
Me prépare le joug du plus dur esclavage; v.1598 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Ma bouche eût déclaré mes sentiments secrets, v.1607 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Par la comparaison que je fais de sa flamme v.1614 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Il ne songe qu'à plaire, et ne veut qu'éblouir : v.1619 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
De tout Paris son art veut faire la conquête ; v.1621 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
La, n'ayez aucune alarme. v.1629 (Acte 4, scène 14, LISETTE)
Avec lui je vous laisse, et suis mademoiselle. v.1646 (Acte 4, scène 15, LISETTE)
La duchesse, monsieur, elle-même est venue v.1650 (Acte 4, scène 16, LE MARQUIS)
Sans doute il s'y rendra, dès que la chose presse. v.1654 (Acte 4, scène 16, LE MARQUIS)
Et je sers mon amour en travaillant pour lui. v.1664 (Acte 4, scène 17, LE MARQUIS)
Vous la méritez bien; mais je suis inquiète. v.1666 (Acte 5, scène 1, LUCILE)
Et profiter du temps que son rival lui laisse. v.1669 (Acte 5, scène 1, LUCILE)
Il pourra balancer son penchant pour la mode, v.1673 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
La méprise est piquante. v.1682 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
La comtesse en ces lieux accompagne ses pas. v.1683 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Je n'ai pu m'échapper des mains de la Duchesse : v.1685 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Je suis au désespoir. La cruelle Comtesse v.1686 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Qu'à la pièce nouvelle elles m'ont entraîné. v.1688 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Qu'entends-je ! Il prend le ton d'un amant langoureux ! v.1695 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
De notre hymen, ce soir, je veux former la chaîne ; v.1698 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Empressement flatteur ! Je ne l'ai jamais pu. v.1700 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Adorant et brûlant pour l'objet le plus doux, v.1707 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
J'avais cru jusqu'ici que nous valions la peine v.1722 (Acte 5, scène 2, LUCILE)
Je vois que la petite est fille à sentiment. v.1724 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
J'ai soupiré, langui pour un jeune écolier, v.1731 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
Mais langui constamment pendant un mois entier. v.1732 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
Fera votre épitaphe, au lieu d'épithalame. v.1750 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
Sa menace est fondée, et j'en suis alarmé. v.1755 (Acte 5, scène 4, LE BARON)
Pour unir à jamais ta fortune et la mienne, v.1757 (Acte 5, scène 4, LE BARON)
Que par tes heureux soins un autre obtient la place. v.1766 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Si vous n'écoutez plus la voix de l'amitié. v.1799 (Acte 5, scène 5, LE BARON)
Tout mis dans la balance, au malheur effroyable v.1818 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Vous me rendez la vie en agissant ainsi. v.1828 (Acte 5, scène 7, LE BARON)
Faites en ma présence éclater moins de zèle ; v.1829 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR DE FORLIS)
Pour un autre j'ai cru la chose décidée. v.1833 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE FORLIS)
La place était promise, et non pas accordée. v.1834 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)
Mon oncle, qui parlait pour votre concurrent, v.1835 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)
La vôtre qui se trouve être à sa bienséance, v.1838 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)
Mais il est mon ami, cela revient au même. v.1846 (Acte 5, scène 8, LE BARON)
Fait du vôtre, Monsieur, la critique tout haut. v.1848 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE FORLIS)
Je ne puis te blâmer, ni condamner ta flamme. v.1858 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Prononce : je te laisse arbitre de tes voeux. v.1860 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Déclarez mon bonheur. v.1863 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Je n'ai pas son audace, et je suis alarmé ! v.1864 (Acte 5, scène 10, LE MARQUIS)
Ce que vous avez eu la bonté de m'écrire, v.1869 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Et ce que je ne puis me lasser de relire v.1870 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Donnez-moi, de la voir je suis impatiente. v.1874 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
Sa bouche clairement prononce en ma faveur. v.1879 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
« L'abattement où m'a plongée la crainte d'être oubliée de vous, a dû donner de moi cette idée. » (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
« Depuis que je vous vois ici, votre présence me jette dans un trouble qui sert à la confirmer. » (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
La petite convient qu'il sait tout le mystère ; v.1897 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
La lettre... v.1902 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Que ton choix est louable, et digne de me plaire ! v.1905 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
La place que j'obtiens est un fruit de ses soins. v.1907 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Ah ! Marquis, deviez-vous me jouer de la sorte, v.1909 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Vous, à qui j'ai marqué l'estime la plus forte ? v.1910 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
De joie en ce moment je ne tiens point en plaoe ! v.1913 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
Et les Vacarminis autant qu'il vous plaira. v.1920 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)

L'APOLOGIE DU SIÈCLE (1734)

Porte, au lieu de marotte, un bouquet à la main ? v.2 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
La Critique du siècle, avec art travestie, v.10 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
Non, j'abjure la raillerie , v.12 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
De la douceur que je respire, v.19 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
La Critique n'est plus de saison ; v.21 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Faire la satire des Vices, v.30 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Et de tout temps, sur la Critique, v.38 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
Et que le moindre trait alarme ses esprits, v.50 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Et qu'il les blâme, après les avoir applaudis, v.54 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
La Critique est funeste, et je vous l'interdis. v.55 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Il la professe en sage, et non pas en cynique ; v.59 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
S'il fronde la sottise, il épargne le sot : v.60 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
Il fait par ses écrits la censure publique v.64 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
Écrivons pour la paix, non contre le repos. v.70 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Pour plaire sagement, et sans qu'on nous redoute, v.71 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
J'espère la remplir. v.76 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Allez, j'aurai toujours l'honneur de la frayer. v.77 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Par la louange vouloir plaire ! v.78 (Acte 1, scène 1, L'ACTRICE)
Corrigez ce langage, v.91 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
La politesse veut... v.95 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
On me gruge au Palais ; au jeu, l'on me friponne, v.98 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Et l'on me vole à la maison, : v.99 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Qu'est-ce qu'un correctif ? Vous me ferez plaisir v.106 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Dont la bouche me jure un amour fans égal, v.114 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Mais on la nomme une femme ordinaire, v.117 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Qui fuit le train du monde, et qui, faite pour plaire, v.118 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Et l'ami déloyal qui m'enlève la Belle, v.121 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
On doit avoir pitié d'un homme de la sorte. v.126 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Qui de filer la carte ose professer l'art ? v.134 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Le modèle parfait dz la bonne conduite, v.146 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Et celui qui voilant le noir dessein qu'il a, v.150 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Contre son concurrent qu'il supplante par là ? v.152 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
L'animal vicieux, esclave des plaisirs, v.156 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Formé pour imposer, non pour subir la loi, v.159 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Sans quartier, sur la table où brille son adresse. v.179 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Un homme qui parvient à des emplois brillants v.180 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Par la bassesse et le pillage, v.181 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Un pied-plat qui devrait conduire l'équipage v.182 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Celui de qui la noire calomnie v.184 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Va semer contre nous des écrits clandestins, v.185 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Qui nous ravit l'honneur bien plus cher que la vie. v.188 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Et, par sa lâche flatterie, v.194 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Pour la rareté du fait, soit ; v.215 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Votre plainte, Monsieur, est d'abord légitime: v.218 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Des mauvais procédés dont on est la victime, v.219 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De quelques faux amis qu'on se trouve la dupe, v.223 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De la fureur qui nous occupe, v.224 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Et nous ne songeons pas que c'est souvent la faute v.227 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Vous le voyiez en laid, et dans son vilain jour : v.235 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
La Justice jamais fut elle mieux rendue, v.238 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
La vérité fut-elle mieux connue ? v.240 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Plus loin, dans la Nature, a-t-on jamais percé ? v.241 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Jamais la Nation fut-elle plus polie ? v.242 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Le Commerce plus sûr, et la Société v.243 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
La Grâce au savoir s'y marie, v.245 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
La bienséance à la commodité. v.247 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
À l'enjouement la noblesse est unie, v.248 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Et l'élégance à la solidité. v.249 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Est conforme à la vérite. v.256 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
J'ai trop crû la fureur dont j'étais agité ; v.257 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Dès qu'on me montre la raison. v.265 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Sans nuire à la franchise, orner l'extérieur ; v.274 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
La dépouillant de son austérité, v.277 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Rendre agréable la sagesse, v.278 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Et faire aimer la probité v.279 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Sous les traits de la politesse. v.280 (Acte 1, scène 2, PHILINTE)
Qu'il a fait éclater si fost contre le vice. v.295 (Acte 1, scène 3, L'INDIFFÉRENT)
Quoi ! Vous riez d'un galant homme v.302 (Acte 1, scène 3, MOMUS)
Et quelle idée est donc la vôtre ! v.306 (Acte 1, scène 3, MOMUS)
Irai-je me fâcher contre un plat personnage, v.311 (Acte 1, scène 3, L'INDIFFÉRENT)
De rares qualités un brillant assemblage, v.315 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Faibles jouets de la nature, v.319 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Et nous ne nous formons l'esprit ni la figure. v.322 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Aussi brillant, aussi poli, v.336 (Acte 1, scène 3, L'INDIFFÉRENT)
Que de la main d'un Artiste accompli, v.337 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Un malheureux, à qui la Nature cruelle v.347 (Acte 1, scène 3, L'INDIFFÉRENT)
En est assez puni par la douleur mortelle, v.349 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
En l'accablant du poids de mon mépris extrême, v.353 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Alors, plus la victoire est pleine, v.357 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Plus son éclat honteux dégrade le vainqueur. v.358 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Et la comparaison flatteuse v.364 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Du soin de s'applaudir lui-même. v.368 (Acte 1, scène 3, L'INDIFF?RENT)
Seigneur, je viens vous éclairer, v.376 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
Dans la carrière où je vous vois entrer. v.378 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Remplissant l'univers de nouvelles clartés, v.388 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
J'ai des vieux préjugés vaincu la tyrannie ; v.389 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La probité, du poids d'un vain scrupule, v.394 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Loué bêtement la Constance, v.404 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
La Candeur, la Fidélité, v.405 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
La Modestie et la Franchise, . v.406 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
La Bonne-Foi, l'Integrité. v.407 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Apprenez qu'aujourd'hui, la Candeur est sottise ; v.409 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
La Constance fadeur, ou défaut d'agréments ; v.410 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La Modestie, un vice des plus grands, v.411 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Qui par la crainte qu'elle excite, v.412 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Ôte la grâce, étouffe les talents, v.413 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La Bonne Foi produit les plus petits esprits, v.415 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Qui n'osant s'écarter de la marche commune, v.416 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Ne font jamais un pas vers la Fortune ; v.417 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La Franchise, des étourdis ; v.421 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Et la Fidélité fait les plus sottes femmes, v.422 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Fait un amusement au lieu d'un esclavage, v.429 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
Et rend illustre une aimable volage v.430 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La juste Défiance, au coeur toujours couvert, v.431 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La Bonne Opinion, ferme dans tous ses pas, v.434 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La, douce Politesse, et l'exacte Décence v.438 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Et leur servant de voile, augmentent les plaisirs, v.441 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La Coquetterie attrayante, v.442 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Pour mieux plaire toujours décente, v.444 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Animant la beauté qu'elle rend plus piquante, v.446 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Qui répand ses attraits jusques sur la laideur, v.447 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La femme du grand monde, ou la femme charmante. v.449 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
La fine Politique, et le Manège adroit, v.450 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Époux clandestin de l'Intrigue, v.451 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Ami des Souterrains, et père de la Brigue, v.452 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
L'art de tout aplanir, et l'utile science v.454 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
D'aller à la Fortune avec rapidité,v v.455 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Et d'une main que conduit la prudence, v.456 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Qui franchit la barrière, et qui vole au plus grand. v.460 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Oh, voilà pour le coup les vertus à la mode. v.461 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
La morale en est douce, et l'usage commode. v.462 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Sur la sagesse du vieux temps, v.471 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
Des vains déclamateurs, en maximes fertiles, v.478 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Qui joignent l'art de plaire à l'art de s'agrandir, v.485 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Polis dans le commerce, et vaillants au combat ; v.489 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Comblés de gloire, ils sont dignes de leur éclat. v.490 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Je donne, en ces instants, le prix sans balancer : v.492 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Ils sont riches, brillants, le sort leur est prospère. v.493 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Et c'est à vous que je veux plaire. v.495 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Sur la vertu, quoique je la révère, v.496 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Attaquez-la, Seigneur, vous n'offensez personne. v.501 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
Vous déguisez la pente où vous êtes enclin, v.505 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
J'applaudis de bon coeur à ce trait de génie, v.507 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Haï de la moitié du monde qu'il déchire, v.513 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Vous pouvez, en faisant la juste apologie v.521 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
La mienne est mal adroite, et pourroit les meurtrir. v.526 (Acte 1, scène 4, MOMUS)
Qu'à l'avenir, toute la terre v.539 (Acte 1, scène 4, LE GÉNIE)
Beauté, Laidron, Roturière, Marquise, v.546 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Les vertus, les défauts, l'esprit et la sottise ; v.549 (Acte 1, scène 4, LE G?NIE)
Seigneur, la Muse de la Danse v.558 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
À louer vos brillants appas, v.560 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
Vraiment, Momus est galant cette année. v.562 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
La noblesse de vos pas, v.563 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
La mollesse de vos bras, v.564 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
La langueur de vos yeux, tant leur puissance est grande, v.565 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
De vous revoir il ne se lasse pas. v.567 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
Quel éloge ! La noblesse, v.568 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
La danse grave avait la préférence. v.574 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
La danse grave ! Ha, ha ! C'est de la vieille danse v.575 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Apprenez qu'à présent la souplesse, la force, v.582 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Et qu'à former des pas hardis, forts et brillants, v.585 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Je date seulement la danse véritable. v.594 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Vous avez vu la Danseuse novice, v.597 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Partant ainsi du fond de la coulisse, v.598 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Qui fait la danse au fond ; c'est la danse brillante, v.612 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
C'est la position de nos pieds bien tournés, v.613 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Pareil à la gerbe éclatante, v.616 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Qui, s'élançant du sein de sa prison, v.617 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Qu'elle doit rendre aux yeux la justesse frappante. v.621 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Déesse, qui vous voit ne peut la critiquer. v.622 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
Comme dans une pièce il est de la prudence v.623 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
De finir par un trait qui la fasse claquer, v.624 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Par un double entrechat qui le fasse applaudir, v.627 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
C'est l'épigramme de la Danse. v.628 (Acte 1, scène 5, TERPSICORE)
Fait la gloire du siècle, aimable Terpsicore. v.631 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
J'applaudis, sans le voir, le Divertissement. v.637 (Acte 1, scène 5, MOMUS)
Tout est poli, tout est galant, v.648 (Acte 1, scène 7, CHANTEUR DU DIVERTISSSEMENT)
Tout possède le don de plaire, v.649 (Acte 1, scène 7, CHANTEUR DU DIVERTISSSEMENT)
Et le plus sot paraît brillant ; v.650 (Acte 1, scène 7, CHANTEUR DU DIVERTISSSEMENT)
Et la beauté la plus sévère v.653 (Acte 1, scène 7, CHANTEUR DU DIVERTISSSEMENT)

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LE PLAGIAIRE (1746)

Ce défaut, il est vrai, s'accroît par ses alarmes ; v.9 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
En affectant pour eux ce qui peut la troubler. v.16 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Je me plains du veuvage, et pour mieux l'effrayer, v.19 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Je n'en suis pas la dupe, et j'en ris en secret ; v.32 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Goûte, je te l'avoue, un plaisir délicat. v.36 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
C'est ma fête aujourd'hui, pour la rendre parfaite, v.37 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Je veux la célébrer à leurs dépens, Lisette : v.38 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Avant la fin du jour, j'espère y parvenir. v.44 (Acte 1, scène 1, LA COMTESSE)
Je me flatte d'avoir l'avantage sur lui. v.55 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Agréez-en l'hommage, et soyez-en la Reine, v.57 (Acte 1, scène 2, LE MARQUIS)
Pour soutenir l'éclat où je dois me montrer, v.59 (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
À la reconnaissance, un pareil choix m'invite ; v.61 (Acte 1, scène 2, LA COMTESSE)
J'exerce innocemment tout l'art de la magie ; v.66 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Je change un mont en plaine, une ville en hameau ; v.68 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Maître des Éléments je fais trembler la terre, v.69 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
J'allume les éclairs, je lance le tonnerre : v.70 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
La poudre, entre mes mains, devient un vrai pinceau ; v.76 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Et mes nombreux soleils sont toujours applaudis. v.80 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
La flamme, sous mes doigts, prend la forme de l'onde ; v.81 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Tantôt c'est un jet d'eau qui jaillit à la ronde, v.82 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Aujourd'hui c'est.... l'Atlas, demain la Pyramide, v.85 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Je prétends vous servir trois plats de mon métier : v.99 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
S'il peut vous divertir, il me délassera. v.111 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Daignez ne pas tarder, car la première fête, v.113 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
Mon hommage, en public, à la tante s'adresse; v.117 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Mais j'offre tous mes voeux en secret à la nièce. v.118 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Je veux, à la faveur d'un ballet que j'apprête, v.121 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DU BERCEAU)
Et la tromper si bien par un coup de mon art, v.123 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR DU BERCEAU)
Écoute un seul moment, avant que je te laisse; v.142 (Acte 1, scène 4, LE BARON)
Mais tu composes, toi, souvent de la musique. v.150 (Acte 1, scène 4, LE BARON)
Point du tout. La musique est un talent aimable, v.153 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Mais la rime, entre nous, est un art roturier, v.155 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
La poésie, un art roturier ! Quel blasphème! v.157 (Acte 1, scène 4, LE BARON)
C'est la langue des Dieux. Chanter ré, mi, fa, si, v.159 (Acte 1, scène 4, LE BARON)
À son point d'excellence il faut porter la Rime ; v.161 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Marquis, sont la plupart dans les Indes galantes. v.166 (Acte 1, scène 4, LE BARON)
Écoute un air de flûte aussi neuf que brillant. v.168 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Elle ignorait l'excès de sa flamme parfaite. v.177 (Acte 1, scène 4, LE BARON)
Il a la rage encore, ou l'inhumanité v.186 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Je saurai vous soustraire aux yeux de la Comtesse ; v.191 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BERCEAU)
Vous allez bientôt seul entretenir la nièce, v.192 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR DU BERCEAU)
La parure est aisée avec tant d'agréments. v.198 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Pouvez-vous m'en blâmer ? Ne doit-il pas nous plaire ? v.207 (Acte 1, scène 7, LUCILE)
Madame, il est fondé sur la délicatesse; v.215 (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DU BERCEAU)
Servi par les amours, et fait pour la tendresse; v.216 (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DU BERCEAU)
Ah ! Je voudrais déjà qu'on m'en ouvre la porte. v.219 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Je crois qu'elle plaira. v.227 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Pour bien voir le coup d'oeil, voici la bonne place. v.230 (Acte 1, scène 7, MONSIEUR DU BERCEAU)
Je suis seule avec vous, j'ai l'esprit alarmé. v.232 (Acte 1, scène 8, LUCILE)
Je n'ai pu parvenir à vous baiser la main. v.252 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Oui ; mais vous la baisez, en parlant de la sorte. v.253 (Acte 1, scène 8, LUCILE)
Daignez donc m'éclaircir. Suis-je aimé ? Parlez, moi ? v.255 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Vous me faites trembler ; mais je m'alarme à tort. v.264 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Non ; sur son coeur volage v.265 (Acte 1, scène 8, LUCILE)
Je les donne pour vous ; la peur de l'épouser, v.267 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
M'oblige, en ce moment, à la désabuser. v.268 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
À la Comtesse, moi, j'irai tout découvrir. v.279 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Je vais lui déclarer que pour vous je soupire. v.281 (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
Mais vous continuerez à tromper la Comtesse. v.285 (Acte 1, scène 8, LUCILE)
À la flûte, tout bas, joignons mon chant discret. v.296 (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
Tendres amants, voilà la nuit ; v.297 (Acte 1, scène 9, LE MARQUIS)
J'en suis très satisfait ; la preuve, la voici. v.306 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Pour la faire expliquer, je n'avais qu'un quart_d_heure ; v.308 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Tant mieux : nous serons tous enchantés de la voir. v.318 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
C'est Monsieur_le_Marquis qui sait sort bien la gamme. v.327 (Acte 2, scène 2, MONSIEUR DU BERCEAU)
De la gaieté surtout, elles sont des plus folles. v.332 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
S'il tombe, c'est toujours la saute du poème. v.336 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Rimons plutôt, rimons pour la seule Comtesse ; v.339 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Sa main sera le prix... Non, préférons la nièce ; v.340 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Pour mieux cacher mon coeur et tromper la Comtesse. v.348 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Vous ne m'avez rien lu de la semaine entière. v.351 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Elle ignorait l'excès de sa flamme parfaite, v.361 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Tant il brûlait secrètement : v.362 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Que ce Pigeon est sage ! Il prend la bonne route ; v.367 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Elle ignorait l'excès de sa flamme parfaite, v.373 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Tant il brûlait secrètement : v.374 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
On en peut voir dont l'éclat est plus vif ; v.388 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Prêtez l'oreille à mon langage, v.390 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Mais, que dit la Colombe? v.398 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Sera la plus douce du monde. v.400 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Ah ! Faites-la pour elle. Il sera trop content. v.401 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Que je la sasse, moi ? Ce discours me surprend. v.402 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Vous voyez le Pigeon aux pieds de la Colombe. v.404 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
La Colombe, aujourd'hui, veut payer votre fable ; v.416 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Au gré de mon ardeur, est mis là pour la rime. v.430 (Acte 2, scène 5, LE BARON)
Le souhait est flatteur : v.440 (Acte 2, scène 5, LA COMTESSE)
La Colombe discrète a tout l'air de ma nièce, v.445 (Acte 2, scène 5, LA COMTESSE)
Votre amour, sur ces vers, a tort de s'alarmer ; v.448 (Acte 2, scène 5, LE BARON)
Et qui, dans la Musique, est surtout fort savant. v.452 (Acte 2, scène 5, LE BARON)
Pour la colombe, c'est une jeune chanteuse ; v.453 (Acte 2, scène 5, LE BARON)
Comme l'abbé lui trouve une voix très flatteuse, v.454 (Acte 2, scène 5, LE BARON)
Et de choisir l'instant où j'allais être à vous ? v.471 (Acte 2, scène 5, LA COMTESSE)
Si son coeur se déclare en saveur de vos feux, v.480 (Acte 2, scène 5, LA COMTESSE)
L'amour est un noeud libre, et non un esclavage. v.482 (Acte 2, scène 5, LA COMTESSE)
De ma feinte bonté, le fat sera la dupe. v.485 (Acte 2, scène 5, LA COMTESSE)
N'y pensons plus ; je dois mon coeur à la plus belle. v.490 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Dissipez la frayeur dont vous êtes émue, v.493 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
La Comtesse, Madame, approuve un feu si doux. v.496 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
J'aime la poésie à l'adoration : v.499 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
Payer de jolis vers ! La pitoyable chose ! v.510 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
Je m'écrirai pour vous. Vous n'aurez que la peine. v.514 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
La réponse... v.521 (Acte 2, scène 7, LUCILE)
C'est lui seul que j'implore, et je sens qu'il m'enflamme ; v.529 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Confidence... surtout, de la discrétion. v.538 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Est flatteuse, mon cher, et c'est un peu trop dire. v.542 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
La modestie, au fond, est la vertu d'un sot, v.544 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Levons-nous, et marchons, pour mieux saisir la rime. v.547 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Poursuivons la rebelle, elle suit vainement. v.548 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
Pour le coup, je la tiens. v.549 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Oui ; des hommes, Monsieur, qui cherchent à me plaire ; v.557 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Ou bien qu'il extravague. Eh ! C'est la même chose. v.562 (Acte 2, scène 10, CORALINE)
La décence est pour nous un tyran absolu, v.563 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
On doit la respecter autant que la vertu. v.564 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Je la suis fort, Monsieur. v.566 (Acte 2, scène 10, CORALINE)
De votre art et du mien, faisons un doux mélange. v.569 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Mais, c'est ici la salle où nous devons danser. v.571 (Acte 2, scène 10, CORALINE)
Et comme la première, aujourd'hui, j'y figure, v.574 (Acte 2, scène 10, CORALINE)
Que, par un pas brillant, je dois me surpasser, v.575 (Acte 2, scène 10, CORALINE)
La danse, par malheur, a mis la rime ensuite : v.577 (Acte 2, scène , LE BARON)
Dans la position où je suis maintenant. v.583 (Acte 2, scène , LE BARON)
II y rime à bocage, et convient à la fête. v.605 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Demeurez, elle vaut la peine qu'on s'arrête. v.606 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Le Ramier figurer avec la Tourterelle. v.609 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
La Caille et le Perdreau forment un pas de deux ; v.612 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Le Serin y voltige autour de la Linotte ; v.613 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Sur ce Peuple qui suit plus prompt que les éclairs ; v.616 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Une Faisane reste, ils se livrent la guerre ; v.617 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
S'applaudit avec elle, et l'élevant aux cieux, v.619 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Mais, avec le Marquis, la Comtesse s'avance. v.621 (Acte 2, scène 11, MONSIEUR DU BERCEAU)
Le plaisir de m'écrire au nom de ma maîtresse, v.625 (Acte 2, scène 11, LE BARON)
Est la fête pour moi la plus enchanteresse. v.626 (Acte 2, scène 11, LE BARON)
Il se cacherait mieux, s'il avait su lui plaire : v.638 (Acte 3, scène 2, )
La raison vous conduit, et vous êtes dans l'âge, v.646 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Je laisse votre coeur le seul maître aujourd'hui, v.651 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Que vos clartés, Madame, et que votre sagesse, v.653 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
La livrer à son goût, ce serait la trahir; v.655 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
Ouvrez-moi, sans détour, votre coeur la première ; v.658 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Madame, uniquement je la borne à vous plaire. v.661 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
C'est un piège ; gardons de lui rien déclarer. v.664 (Acte 3, scène 3, LUClLE)
(Vous peindre d'un seul trait l'objet de votre flamme. v.670 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Qui, près de vous ici, roucoulait en cachette v.673 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Je puis, présentement, me déclarer sans crainte. v.693 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Sa douleur, à ces mots, perce à travers la feinte, v.694 (Acte 3, scène 3, LA COMTESSE)
Je vous envoyé, ma Déesse, les vers où tout mon espoir est renfermé ; j'en attends la copie de votre main, comme le sceau de mon bonheur. (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Dites-lui qu'au plutôt je vais la copier, v.729 (Acte 3, scène 5, LUCILE)
Ses Vers vont, pour le coup, obtenir leur salaire. v.731 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
Ai-je donc la berlue ? v.740 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Toi ? La chose est comique. v.747 (Acte 3, scène 7, CORALINE)
Il épousera donc la beauté qu'il adore ? v.751 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
On prépare la noce, et son valet l'ignore ? v.752 (Acte 3, scène 7, CORALINE)
D'entendre votre éloge, ayez la complaisance. v.756 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
En place, un seul instant, je ne saurais rester. v.757 (Acte 3, scène 7, CORALINE)
En capriolant, toi, tu pourras me le lire. v.759 (Acte 3, scène 7, CORALINE)
Dès qu'on la voit, son feu, sa gentillesse, v.764 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Et la suivante éclipse la maîtresse. v.767 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
La preuve qu'ils sont bons, c'est que je les ai faits. v.770 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
Que sais-tu si longtemps ? Je me lasse d'attendre. v.771 (Acte 3, scène 8, SCAPIN)
Laisse-là ton parent ; il m'a l'air équivoque. v.780 (Acte 3, scène 8, SCAPIN)
Ma valeur, sans cela... tu l'aurais éprouvée. v.792 (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
De la mienne, reçois ce gage en attendant. v.793 (Acte 3, scène 8, SCAPIN)
Car, actuellement, elle en fait la copie. v.799 (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
En cet instant flatteur, puis-je trop triompher ? v.802 (Acte 3, scène 9, LE BARON)
Apprenez, ignorants, à respecter la rime, v.807 (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
Ce trait la justifie et prouve son pouvoir. v.810 (Acte 3, scène 9, LE BARON)
J'en mourrais de plaisir. Mais de qui le sais-tu ? v.821 (Acte 3, scène 9, LE BARON)
Et tu dois, sur le champ, me faire ce plaisir. v.826 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Ah ! La rime est un art roturier, v.829 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
La Comtesse est sans doute.... v.836 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Ami, je te la cède. v.836 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
La seule confidence ici que je puis faire , v.840 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Je viens d'en recevoir la preuve convaincante, v.843 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Ce billet me surprend presqu'autant qu'il me flatte. v.847 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Oh ! ne plaisante pas, Baron , à cet égard : v.849 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Un écrit si galant veut des vers de ma part ; v.850 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
C'est la cause, entre-nous, de ma peine secrète ; v.851 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
C'est l'ouvrage tout pur de la délicatesse, v.856 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Mais j'en veux, par mes yeux, voir la preuve bien claire. v.877 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Je reconnais sa main. Ah ! Le tour est sanglant ! v.879 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Quoi ! Ton cerveau pour moi s'est donné la torture ? v.889 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Il a produit les vers dont j'ai sait la lecture ? v.890 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Mon cher, éclaircis-moi ce surprenant mystère. v.893 (Acte 3, scène 5, LE MARQUIS)
Votre hommage, Baron, a su plaire à ma nièce ; v.898 (Acte 3, scène 11, LA COMTESSE)
Leur silence me lasse ; et, pour former ces noeuds, v.912 (Acte 3, scène 11, LA COMTESSE)
Non ; un autre est l'objet de ma secrète flamme. v.917 (Acte 3, scène 11, LUCILE)
Vous outrez la réserve, et d'un si grand défaut, v.927 (Acte 3, scène 11, LA COMTESSE)
Ce mot doit calmer vos alarmes. v.933 (Acte 3, scène 11, LA COMTESSE)
Et la sincérité sert mieux que les détours. v.944 (Acte 3, scène 11, LUCILE)
Et la plaisanterie est le juste salaire v.949 (Acte 3, scène 11, LUCILE)
Que méritent les soins d'un auteur plagiaire. v.950 (Acte 3, scène 11, LUCILE)
Au pigeon, pour le coup, la colombe est ravie. v.953 (Acte 3, scène 11, LA COMTESSE)
Va m'en dédommager, et je cours la trouver. v.955 (Acte 3, scène 11, LE BARON)
Pour ne laisser nul vide, agréez qu'un ballet v.960 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)
Étant fait à la hâte, v.961 (Acte 3, scène 12, LE MARQUIS)
Oui, Monsieur, je m'en flatte. v.962 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)
Que des artificiers la Troupe se signale, v.965 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)
Tonnons, lançons la foudre, et mettons tout en feu. v.968 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)
Forçons ici la nuit à nous prêter ses voiles : v.969 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)
Que la charmante Iris les annonce à la terre ; v.974 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)
Et qu'il soit applaudi de tous les spectateurs. v.976 (Acte 3, scène 12, MONSIEUR DU BERCEAU)

LE JE NE SAIS QUOI (1731)

Et tient ses agréments des mains de la Nature. v.11 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Et dans tout ce qu'il fait il a le don de plaire. v.15 (Acte 1, scène 1, MOMUS)
Que la plus charmante des Grâces v.18 (Acte 1, scène 1, VÉNUS)
Qui faisait autrefois la gloire de ma Cour, v.20 (Acte 1, scène 1, V?NUS)
La brigue ne fait rien dans notre Régiment, v.31 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Aussi bien que le Dieu dont vous blâmez la fuite. v.34 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Un tel honneur me flatte infiniment : v.35 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Qu'a sur moi cet enfant volage ; v.37 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Ce corps dont la chaleur s'est un peu ralentie. v.39 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Sans le Je ne sais quoi tout languit dans la vie, v.41 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
C'est le Je ne sais quoi qui met sur la Folie, v.43 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Cet aimable vernis qui la rend si jolie, v.44 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Il donne à ses accords ce doux charme qui plaît, v.49 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Et remplit seul la Tragédie v.50 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De la chaleur de l'intérêt. v.51 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
La Beauté n'offre aux yeux qu'un éclat impuissant : v.53 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Forme la sympathie. v.55 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De toucher et de plaire ils sont toujours certains, v.69 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Du départ de ce Dieu vous êtes seuls la cause. v.74 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Je m'étonne, sur nous, que vous mettiez la chose. v.76 (Acte 1, scène 2, VÉNUS)
C'est l'affectation, c'est la coquetterie, v.78 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Pour suivre la Nature en ce séjour champêtre. v.83 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Voilà ce qu'a produit la fureur de paraître. v.84 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De la Simplicité l'on ne sent plus le prix ; v.85 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De la contagion si quelqu'un est exempt, v.89 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Nos Officiers de la Calotte. v.92 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
L'Ennui mortel a pris sa place, v.101 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
L'Amour ne fait plus que languir, v.103 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
S'y vient nicher au milieu du Plaisir. v.107 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Cela me paraît difficile. v.109 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
D'en prendre la défense : v.113 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
C'est la cause d'ailleurs de tous les Immortels. v.114 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Si l'Ennui s'établit dans le sein de la France, v.115 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Le Dieu, dont la présence, v.120 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
De rappeler ce Dieu volage, v.134 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Mais ne croyez pas rire, avec un tel langage ; v.140 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
On plaît moins par le sérieux, v.141 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Mais aux Mortels pourquoi donner la gloire v.146 (Acte 1, scène 2, VÉNUS)
Plus capable que nous d'obtenir la victoire. v.150 (Acte 1, scène 2, V?NUS)
La contrainte et l'apprêt qui suivent la Grandeur, v.154 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Des Coquettes elle est la Reine, v.160 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
D'un si noble dessein je vous applaudis fort: v.164 (Acte 1, scène 2, MOMUS)
Me dire des douceurs, sans faire la grimace ? v.186 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Ah ! Cous m'affadissez par votre flatterie, v.189 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Faites-moi tous les deux un plaisir, je vous prie? v.193 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Qu'une vieille Coquette à mes yeux enlaidie, v.203 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Adieu, je prends la fuite, v.211 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Ah ! Montrez-nous plutôt le moyen de vous plaire, v.213 (Acte 1, scène 3, VÉNUS)
Vous rapprocher de la Simplicité. v.215 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Moins on est près de la Nature, v.227 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
C'est moi plutôt qui vous cède la place. v.230 (Acte 1, scène 3, VÉNUS)
Ou la Géométrie est fausse et vaine en soi, v.243 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
L'exacte Vérité, la solide Raison, v.250 (Acte 1, scène 4, LE G?OM?TRE)
Ont seules droit de plaire, v.251 (Acte 1, scène 4, LE G?OM?TRE)
Pour moi, la Vérité qui me conduit ici, v.259 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
Avant d'être mieux éclairci. v.261 (Acte 1, scène 4, LE G?OM?TRE)
D'une conviction qui soit inébranlable. v.277 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
Il faut, s'il vous plaît me permettre, v.281 (Acte 1, scène 4, LE G?OM?TRE)
Mais pour mieux affermir mon esprit chancelant, v.296 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
Je ne suis pas un Dieu qu'on mesure à la toise, v.307 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Je suis un Don de la Nature, v.313 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Et qu'on ne vit jamais briller dans la figure, v.315 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Pour moi, qui ne me rends qu'à la seule évidence, v.317 (Acte 1, scène 4, LE GÉOMÈTRE)
Au Dieu de l'Agrément je fais la révérence, v.322 (Acte 1, scène 5, LE PETIT MAÎTRE)
Et quelle est la Puissance, v.324 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Et qui m'ont aujourd'hui donné la préférence v.332 (Acte 1, scène 5, LE PETIT MAÎTRE)
Qui font l'ornement de la France. v.334 (Acte 1, scène 5, LE PETIT MA?TRE)
Eh, pourquoi s'il vous plaît ? v.338 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
La demande m'étonne ! v.339 (Acte 1, scène 5, LE PETIT MAÎTRE)
Si je plais, c'est à vous que j'en suis redevable. v.344 (Acte 1, scène 5, LE PETIT MAÎTRE)
Que ceux qui sont marqués au coin de la Nature. v.368 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
La Nature jamais ne fit un Petit Maître ; v.372 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Le Chef-d'oeuvre de l'Art et de la Vanité : v.375 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Li Tieu qui préside à la Tonne, v.389 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Four faire l'Ambassade, et la Harangue à fous. v.392 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Que li mène soupir sti soir même à la file. v.410 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Pourvu qu'un Cabaret, centre de vos plaisirs, v.415 (Acte 1, scène 6, LE PETIT MAÎTRE)
Par la tertombre, moi, v.448 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Le défi me paraît plaisant, v.453 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Li plutôt afre l'air, le foix et la fissage v.460 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Admire cette coffre, et mon larche poitrine ; v.463 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Et foilà ce qui plaît, surtout, v.468 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Vous le plaisantez aujourd'hui, v.481 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Oh ! L'estre fort pien dit cela, Tiaple m'emporte, v.485 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
La chose me surprend. Vous trouvez mes façons v.487 (Acte 1, scène 6, LE PETIT MAÎTRE)
Oh ! Pour trancher en deux mots la dispute, v.492 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Et je fais plus de cas de la Nature brute, v.494 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
On peut la voir paraître, v.496 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Jusqu'ici, d'être aimable, on m'a pourtant flatté. v.500 (Acte 1, scène 6, LE PETIT MAÎTRE)
Eh, comment donc marcher ? Montrez-m'en la science. v.514 (Acte 1, scène 6, LE PETIT MAÎTRE)
Comme li marche, moi. La facon la plus ronde v.516 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Esire la meillire facon. v.517 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Et par là, plaire à tout li monde. v.519 (Acte 1, scène 6, LE SUISSE)
Et de quitter la raillerie, v.523 (Acte 1, scène 6, LE PETIT MAÎTRE)
Vous faites sagement de rester au village. v.537 (Acte 1, scène 7, LE PETIT MAÎTRE)
Ah, vous voilà, Seigneur, je vous trouve à la fin, v.538 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Madame, apprenez-moi, s'il vous plaît, qui vous êtes. v.543 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Et de la Gentillesse, v.546 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Dont le goût naturel surpasse la Science v.553 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Du Peuple Auteur qu'il éclaire souvent ; v.554 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
De la bonté des pièces de Théâtre, v.556 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Vous travestir de la sorte ? v.574 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
D'être chéri de lui je me sens trop flatté, v.583 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Et trop heureux qui sait vous plaire. v.588 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Les Grâces et la Volupté, v.593 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
De notre sexe né pour plaire, v.597 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Formé pour les amours, porté vers le plaisir, v.598 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Ou plutôt avec vous le Plaisir s'est enfui : v.607 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Le Plaisir me ressemble, il est un peu malin, v.613 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Que dis-je, pour chasser la Tristesse cruelle, v.615 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Et la Coquetterie, v.618 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
On l'appelle galanterie. v.620 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Il se dit des plaisirs le père véritable, v.623 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Et n'est que la source effroyable v.624 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Cet ennemi fatal de la délicatesse v.627 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Par son affreux système a détruit la tendresse : v.628 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Des règles de la bienséance v.634 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Sans rien gagner du côté du plaisir. v.638 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Par la seule innocence on y peut parvenir, v.639 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Le Plaisir est trop pur pour subsister sans elle, v.640 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
J'ai de la peine à plaire, v.647 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Je m'arrache à regret des bras de la mollesse, v.652 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Je crois que du sommeil la force enchanteresse v.653 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Ni cet air animé qui leur donne la vie. v.659 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
A mon secours j'appelle l'art flatteur, v.660 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Pour ramener cet éclat séducteur, v.661 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
On s'applaudit déjà, mon coeur en est flatté, v.664 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
On fait pour la réduire un effort inutile, v.667 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
J'y mets la main moi-même, et n'y puis réussir. v.668 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Et par malheur la chose est sans remède. v.670 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Le chagrin que j'en ai me rend encor plus laide. v.671 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Vous méritez votre laideur, v.672 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Et l'avocat m'assomme en plaidant ses raisons ; v.681 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Je le lis ; mais je sens dès la première page : v.685 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Et que de mon mérite il fasse l'étalage, v.687 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Mon visage en fait la critique. v.689 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Qui porte jusqu'aux cieux sa voix sans la forcer, v.693 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Le chant désagréable et la mauvaise grâce v.698 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
En troublant ses accords, trouble tout mon plaisir, v.699 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Et dans mon coeur portant la glace, v.700 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Si les dames sifflaient en pleine comédie, v.707 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
J'irais exprès pour voir cela. v.708 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Mais malgré leur éclat qui vient frapper mes yeux, v.713 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Lasse de prendre l'air, bien moins que la poussière, v.730 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Par tant d'objets qui n'ont que l'art de me déplaire, v.732 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Je compte que la nuit va me dédommager v.738 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
D'avoir passé tristement la journée ; v.739 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Et par la Volupté je me vois amenée v.740 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Dans un Hôtel riant, tout fait pour la loger. v.741 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
D'abord la gaieté se déploie v.742 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
D'un repas enchanteur tout annonce la joie : v.745 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Petits plats délicats, et convives choisis. v.746 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Le plaisir désire vient insensiblement v.754 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Dans le vif transport qui m'enflamme, v.755 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Avec un vin de Grave aussi frais que brillant, v.756 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Je le sens, ce plaisir, qui coule dans mon âme. v.757 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Qu'on n'attend point, forçant la porte, v.759 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Et glacer tous les coeurs par l'ennui qu'il apporte, v.761 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Nous prenons tous la fuite, et notre joie est morte. v.762 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Madame, sans quitter cette plaine fleurie, v.775 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Fuyez l'art imposteur dont vous êtes esclave ; v.779 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
A cet instinct si sûr, laissez aller votre âme, v.789 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Il la saura mener droit au plaisir, v.790 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Soit : mais vous me tiendrez parole, s'il vous plaît ; v.797 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC FÉMININ)
Et tous les Plaisirs vont renaître. v.805 (Acte 1, scène 8, LE PUBLIC F?MININ)
Pour tout dire en un mot, je règne sur la scène, v.818 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRANÇAIS)
Quand le peuple est mon maître, et m'impose la loi : v.825 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Sitôt que je n'ai point le bonheur de lui plaire, v.826 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Je marche à la lueur du flambeau d'Alecton, v.832 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Il se lance sur moi dans sa cruelle rage! v.838 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRANÇAIS)
Que la peste t'étouffe ! Avec ce bruit terrible, v.842 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
Applaudissez du moins à mes gestes choisis, v.844 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRANÇAIS)
Puis ma main, avec grâce, en décore mon flanc. v.849 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Campé de la manière, ô Prince sans égal ! v.852 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
Et vous orneriez bien une place publique : v.854 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
À me battre les flancs je perds toute ma peine. v.859 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRANÇAIS)
J'ai beau rouler mes yeux ; j'ai beau lancer ce bras, v.860 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Et forcer mon gosier, vous n'applaudissez pas ! v.861 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Et montrez la rigueur d'un parterre inflexible. v.863 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Puisque vous n'êtes point frappé par la terreur, v.864 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Voyons si la pitié touchera votre coeur. v.865 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Laissez-vous, Dieu puissant, attendrir par mes larmes ; v.867 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Mes voeux infortunés excitent la risée. v.871 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Et qui fait applaudir jusqu'à nos défauts mêmes. v.875 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Ne laissez point tomber un théâtre fameux, v.876 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Vos Mépris redoublés lassent ma patience, v.882 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRANÇAIS)
Adieu, je vais, je cours, guidé par la colère, v.886 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Des Princes tels que moi la ressource ordinaire, v.887 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Et signalant mes coups par des débris illustres, v.890 (Acte 1, scène 9, L'ACTEUR FRAN?AIS)
Vos pas brillants... v.893 (Acte 1, scène 10, LE MUSICIEN)
Et sans vous nos Fêtes languissent v.903 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Madame excelle donc au grand art de la danse, v.905 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Je suis le Phoenix de la danse, v.913 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Et comme une aigle qui s'élance, v.915 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Je règne sur la Terre, v.920 (Acte 1, scène 10, LE MUSICIEN)
Cent lacs d'amours. v.929 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
La jeunesse, v.930 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
La vieillesse, v.931 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
La justesse, v.933 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
La vitesse v.934 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Si je peins un buveur renversé sous la table, v.941 (Acte 1, scène 10, LE MUSICIEN)
Mes bras expriment la mollesse v.944 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Des oiseaux amoureux qui plaignent leur martyre : v.953 (Acte 1, scène 10, LE MUSICIEN)
Le jet d'eau qui s'élance audacieusement, v.957 (Acte 1, scène 10, LE MUSICIEN)
Le goût brillant de l'Italie ; v.966 (Acte 1, scène 10, LE MUSICIEN)
D'une coquette qui veut plaire, v.975 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Faut-il d'une Jalouse exprimer la colère ? v.978 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Arrêtez. Il Suffit. Avec toute la France, v.983 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Madame, j'applaudis, j'admire votre danse : v.984 (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
Ah ! Vous me suivrez donc, la chose étant ainsi. v.986 (Acte 1, scène 10, LA DANSEUSE)
Par l'action, par la délicatesse, v.997 (Acte 1, scène 11, ARLEQUIN)
Par l'esprit et la gentillesse, v.998 (Acte 1, scène 11, ARLEQUIN)
De tout faire sentir vous avez la science, v.1001 (Acte 1, scène 11, ARLEQUIN)
C'est Momus dont je suis la Loi, v.1012 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Et de la part de cet aimable Maître, v.1013 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Tous les honneurs de la calotte. v.1030 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Enjoint à lui par la folie v.1033 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
De perdre la parole, v.1037 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Même en faisant la capriole, v.1041 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Le Fléau de la joie, et le Dieu de l'ennui. v.1043 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
La pièce a donc votre suffrage. v.1048 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Votre bouche rend flatteurs v.1050 (Acte 1, scène 12, ARLEQUIN)
Les traits piquants de la satire, v.1051 (Acte 1, scène 12, ARLEQUIN)
Décidez-vous, Seigneur ? Au bas de la Requête v.1065 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Donnez-moi donc la main sans autre repartie, v.1070 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Mon coeur avec le vôtre a de la sympathie, v.1072 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Vous êtes fait pour la Folie, v.1074 (Acte 1, scène 12, SILVIA)
Ce soir même à la Comédie. v.1079 (Acte 1, scène 12, ARLEQUIN)
À tous les cours je donnerai la loi : v.1080 (Acte 1, scène 12, ARLEQUIN)
On vous applaudira sans cesse. v.1081 (Acte 1, scène 12, ARLEQUIN)
Sur tous les autres Dieux j'emporte la victoire : v.1086 (Acte 1, scène 13, MOMUS)
Par mon ordre déjà la fête est préparée. v.1092 (Acte 1, scène 13, MOMUS)
Que le tambour, que la trompette, v.1093 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Célèbrent de Momus le Triomphe éclatant, v.1094 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Que la flûte, que la musette, v.1095 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Que le tambour, que la trompette, v.1098 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Annoncent de Momus le triomphe éclatant. v.1099 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Grands Officiers de la Calotte, v.1100 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Armés sa main de la marotte. v.1102 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Est la saine philosophie. v.1109 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Qui règne dans ce corps brillant, v.1111 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
N'est que la raison travestie, v.1112 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Et la morale embellie v.1114 (Acte 1, scène 14, UN CALOTIN)
Que la Marotte v.1120 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Que la calotte v.1123 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Couvre la tête falote v.1124 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Un riche heureux, s'il voulait l'être, v.1128 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Que la Marotte, etc. v.1130 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Prétend faire le galant. v.1132 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Que la marotte, etc. v.1135 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Que la Marotte, etc. v.1140 (Acte 1, scène 15, UN CALOTIN)
Que la Marotte, etc. v.1145 (Acte 1, scène 15, ARLEQUIN)

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LES DEHORS TROMPEURS (1740)

Si cela dure, il faut déserter la maison. v.4 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Gouverneur d'une place, et que chacun révère. v.18 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Révolté de se voir maltraiter de la sorte, v.25 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Il veut lui répliquer ; il est mis à la porte. v.26 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Dont la bonté m'attache, et m'arrête aujourd'hui, v.35 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Chez lui quitte le masque ; on voit la nuit profonde v.42 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Rien n'est pire que lui, quand il se montre en laid. v.48 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Et la jeune Lucile en est un témoignage. v.53 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
En amant qui veut plaire, il lui rendait hommage, v.54 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Quand ses yeux, au parloir, contemplaient sa beauté : v.55 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Qu'il a la liberté de la voir à toute heure, v.57 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Près d'elle il a changé de langage et d'humeur. v.59 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
D'un mari, par avance, il fait voir la froideur ; v.60 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Et comme il manque au père, il néglige la fille. v.61 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Ils sont tous deux censés être de la famille. v.62 (Acte 1, scène 1, CÉLIANTE)
Et la simplicité forme son caractère. v.74 (Acte 1, scène 1, CÉLIANTE)
Et pour mieux en juger, regardez-la sourire. v.78 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Monsieur d'enfant la traite, et la brusque sans cesse. v.81 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Ajoutez à cela le nouveau voisinage v.86 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
De la comtesse. v.87 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
On plaît par la folie. v.89 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
La comtesse est fort gaie, et l'enjouement séduit. v.91 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
L'esprit vole toujours sur la superficie, v.105 (Acte 1, scène 1, CÉLIANTE)
Et le coeur ne se voit jamais de la partie. v.106 (Acte 1, scène 1, C?LIANTE)
Et je trouve qu'il a de la réalité. v.112 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Mais la comtesse vient. v.113 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
Laissons là mes bontés, je vous prie. v.134 (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
Vous flatter, vous nourrir de cet unique soin, v.143 (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
La nature à mon sexe en a fait une loi. v.147 (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
À fuir surtout l'éclat, le bonheur de la vie ; v.150 (Acte 1, scène 3, CÉLIANTE)
Au sein de la raison sa réponse est puisée. v.153 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
Un tel soin est flatteur. v.163 (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
Se peut-il du baron que ce soit là la soeur ? v.164 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Comment la trouvez-vous ? Parlez. v.165 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Son esprit est brillant. v.166 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
Est chez vous déplacé. v.167 (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
J'ai le front de le dire et de m'en applaudir. v.172 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
Et qui ne peut passer même pour vraisemblable ; v.177 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Qui l'ose déclarer et qui n'en rougit point ! v.179 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Pour l'entendre avec vous j'ai lié la partie. v.186 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Madame me propose un plaisir bien flatteur, v.187 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
L'un et l'autre épargnez votre ami, s'il vous plaît. v.192 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Il faut vous dégager. J'attends la préférence. v.193 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Il m'alarme pour vous. v.203 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
De vos craintes pour moi, comment, c'est-là la cause ? v.205 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
La moitié tout au moins du prix que vous valez. v.215 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Être aimable, amusant et ne songer qu'à plaire, v.217 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
L'agrément est sa loi, le plaisir son lien ; v.220 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Doit aigrir la douceur dont vous êtes pétri, v.227 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Monsieur ne doit pas craindre un changement semblable. v.229 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Mon coeur a pris, surtout, conseil de la raison. v.232 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Conseil de la raison ! Juste ciel ! Quel langage ! v.233 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
On doit la consulter en fait de mariage. v.234 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Je pardonne au marquis d'oser me la citer ; v.235 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
La raison, chimère ! v.238 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
À détruire l'erreur dont le monde est la dupe ; v.242 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et nous rend à la fois sociables et sages. v.246 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et donne la naissance aux plus grands ridicules ; v.250 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
La comtesse a beau dire, elle-même a la sienne. v.257 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
La chose est certaine ; v.258 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Celle du premier ordre, à qui la bourgeoisie v.261 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Est mère de la joie et source du bon goût ; v.264 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Et de plaire à ses yeux enseigne la science ; v.266 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Sait unir la justesse aux traits les plus brillants ; v.272 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
Vous venez pour le coup de trouver la raison ; v.276 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
À la vieille raison il donnera le pas. v.280 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Une telle folie est la sagesse même. v.281 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
La raison qu'aujourd'hui vous me faites connaître, v.290 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Soyons toujours en l'air : des choses de la vie v.293 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Prenons la pointe seule et la superficie. v.294 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Pour goûter le plaisir, ne faisons qu'effleurer. v.296 (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
Les plaisirs que de vous dans huit jours j'ai reçus, v.299 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La façon d'obliger que je mets au-dessus, v.300 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Tout m'inspire pour vous l'amitié la plus vive. v.302 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La part qu'à ce lien vous voulez que je prenne. v.306 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Mon estime pour vous est égale à la vôtre ; v.309 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Aux yeux de la comtesse il vient de se cacher ; v.319 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Elle a de la naissance, elle attend un grand bien. v.324 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Ce qui doit à mes yeux la rendre encor plus chère, v.325 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
En corrompt la douceur, et gâte le portrait. v.332 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Sous un dehors flatteur cache un fonds de bêtise ; v.334 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Dans le temps qu'elle lance un coup d'oeil enchanteur, v.339 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Un silence stupide en dément la douceur. v.340 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Auprès d'elle il n'est rien que n'ait tenté ma flamme. v.345 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Près d'être son époux, et brûlant de lui plaire, v.349 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je la trouvais encor moins sotte dans le cloître : v.354 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Elle répondait juste à ce qu'on voulait dire, v.357 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Et quelquefois du moins on la voyait sourire. v.358 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Un non, un oui, placés encor mal à propos. v.360 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Il n'en est point qui soit comparable à la mienne. v.366 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je la trouve imbécile, et je la vois charmante. v.369 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Je plains votre destin ; mais quoiqu'il soit fâcheux, v.379 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Cela ne se peut pas ; mon malheur est extrême. v.381 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Ma confiance est juste et doit payer la vôtre. v.386 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Notre choix a d'abord de la conformité. v.387 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Que j'ai vue au couvent, dont la grâce ingénue v.389 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La nature a tout fait pour cette fille heureuse, v.393 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
La mienne réunit seule tous les trésors. v.396 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Ses yeux et son souris, où règne la finesse, v.397 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Il s'attache, il est fait exprès pour la tendresse, v.401 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Et pétri par les mains de la délicatesse. v.402 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Oui, je crois l'être autant que je suis enflammé. v.404 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
M'ont fait, pour la revoir, voler à son couvent. v.416 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Vos recherches, vos soins pourront la découvrir. v.423 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
Vous la posséderez, c'est un bien qui console ; v.430 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Je suis le plus à plaindre, et mon cruel voyage... v.433 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Que nos revers communs excitant la pitié, v.443 (Acte 1, scène 7, LE MARQUIS)
Adieu. C'est à regret qu'un moment je vous laisse. v.446 (Acte 1, scène 7, LE BARON)
J'ai découvert, monsieur, la maison qu'elle habite. v.454 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Oui, j'en suis éclairci. v.455 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
La belle n'est pas loin. v.456 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Sachez qu'on la marie, et même incessamment. v.460 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
À lui-même, et la chose est très sûre. v.465 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Grand dieu ! La singulière et fatale aventure ! v.466 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
La personne qu'il aime, et qu'il doit épouser, v.468 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Est brillante d'attraits, mais d'esprit dépourvue ; v.469 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Est justement la même, à qui votre émissaire v.477 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
C'est la fille, en un mot, de Monsieur De Forlis ; v.479 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Je n'en puis plus douter, et ce nom seul m'éclaire ; v.481 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Cet effroi s'est accru par la dure contrainte v.486 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Oui, le chagrin secret de voir tromper sa flamme, v.489 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et j'aime à m'en flatter, a jeté dans son âme v.490 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et le garant flatteur de son amour pour moi, v.495 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et qu'à regret d'un père elle subit la loi. v.496 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Cette grande douleur qui console la vôtre, v.497 (Acte 2, scène 1, CHAMPAGNE)
Et d'un feu mutuel la flatteuse assurance v.501 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Par la main d'un ami qui lui-même l'ignore, v.506 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Je me plaignais tantôt de mon sort rigoureux, v.508 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Et du baron du moins j'aurais la confidence. v.514 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Hélas ! J'ai tout perdu jusqu'à cette douceur. v.516 (Acte 2, scène 1, LE MARQUIS)
Je vois sur votre front la douleur répandue. v.526 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Pour vous laisser garder un si cruel silence : v.529 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Plus que je ne voulais. v.534 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Et laissez-moi... v.545 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Marquis, la résistance est vaine, v.545 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Et vous m'éclaircirez. v.546 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Ont-ils pu vous porter d'atteinte plus sanglante ? v.550 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Mes gens de sa demeure ont fait la découverte, v.553 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Ils m'ont trop éclairé. v.555 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
J'ai su que sa famille au plus tôt la marie : v.557 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Pour comble de chagrin, je vais la voir unie v.558 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Je sens qu'elle est pour moi d'autant plus accablante, v.566 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Le moyen à présent, monsieur, que je la vois v.571 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Monsieur, pour un moment, mettez-vous à ma place, v.577 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Moi-même à l'y porter j'ai de la répugnance. v.593 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Je veux que cela soit : mettons la chose au pis. v.599 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
En voyant cette belle, en tâchant de lui plaire. v.602 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
À mon ami ferais-je un affront si sanglant ? v.603 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
À son plus haut degré c'est porter la sagesse. v.605 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Je plaindrais la moitié des femmes de Paris. v.608 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Ne tenez pas ailleurs un langage semblable ; v.609 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Je veux la dissiper dans ces mêmes instants, v.616 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
De mon trouble secret lui déclarer la cause. v.618 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Vous voulez faire entendre à sa flamme jalouse, v.633 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Que vous deviendrez seul coupable de la suite ; v.642 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Et que si trop avant je me laisse entraîner, v.643 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
Quoi qu'il puisse arriver, je prends sur moi la cause ; v.645 (Acte 2, scène 2, LE BARON)
Quel trouble ! En la voyant, j'ai peine à me contraindre. v.649 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Précisément au même où j'allais voir souvent, v.660 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
La rencontre me charme autant qu'elle m'étonne. v.662 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
À qui je dois, monsieur, l'honneur de la connaître. v.666 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Elle est simple à l'excès, mais on peut la conduire : v.669 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
J'ai fait en sa présence éclater mon ardeur, v.671 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Tant mieux, j'en suis charmé, la chose ira plus vite. v.673 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Ses parents, m'a-t-on dit, veulent la marier. v.683 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
J'ai toujours eu du goût pour la précision. v.691 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Mal et bien, rien, beaucoup ; la singulière fille ! v.694 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Oui, votre état la jette en un trouble terrible ; v.698 (Acte 2, scène 3, LUCILE)
Prodige ! La voilà qui vient de proférer v.700 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Mon transport à la fin pourrait me découvrir. v.704 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
Je vais la faire agir auprès de son amie. v.705 (Acte 2, scène 3, LE BARON)
Vous paraissez toujours interdite et tremblante : v.710 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Pour ternir votre éclat par un mauvais maintien ; v.712 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
C'est par monosyllabe et sans aucune suite. v.714 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Mais, comme il vous plaira. v.719 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Laissons, mademoiselle, un discours superflu. v.727 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
La naissance, le bien, avec l'âge assorti. v.736 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
N'importe, exagérez son mérite, sa flamme. v.741 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Oh ! Sans la bienséance... v.746 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
Ce rire maintenant est des plus déplacés. v.751 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
Ce que j'attends de vous veut de la diligence. v.757 (Acte 2, scène 4, LE BARON)
C'est la troisième fois que vous me l'avez dit. v.763 (Acte 2, scène 5, LUCILE)
Vous la traitez, mon frère, avec trop de hauteur, v.767 (Acte 2, scène 6, CÉLIANTE)
Et vous l'étourdissez. Employez la douceur. v.768 (Acte 2, scène 6, C?LIANTE)
La douceur, dites-vous, la douceur est charmante ! v.769 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Et qu'à la fin sa haine en peut être le fruit. v.772 (Acte 2, scène 6, CÉLIANTE)
Elle s'est plainte à moi, je dois vous informer... v.775 (Acte 2, scène 6, CÉLIANTE)
Tous ces petits propos doivent peu m'alarmer. v.776 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Je vous dis des douceurs, et vous osez vous plaindre ? v.790 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Le début est flatteur. v.794 (Acte 2, scène 6, LE BARON)
Et de régler l'essor de toute la journée. v.818 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Passons chez la marquise et chez le commandeur ; v.819 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Voyons la présidente et puis mon rapporteur. v.820 (Acte 2, scène 7, LE BARON)
Je pense que Lafleur est sorti pour cela. v.823 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Répondent la plupart aussi mal qu'ils agissent. v.825 (Acte 2, scène 8, LE BARON)
J'allais sortir, il faut que pour lui je demeure ; v.834 (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Mais de le prévenir il m'épargne la peine. v.837 (Acte 2, scène 9, LE BARON)
Assez ferme. Et la tienne, v.838 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Tu me fais cet aveu d'un air bien glacial ! v.843 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
La mienne est par bonheur, d'avoir de l'indulgence. v.849 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Je vous laisse le maître, et je cours m'acquitter v.852 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Si c'est une corvée, il la faut essuyer. v.856 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
De ces promesses-là je connais la valeur. v.860 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
La dorure et l'éclat d'un nouveau vis-à-vis ; v.864 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Éclabousser vingt fois la pauvre infanterie, v.865 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Qui se sauve en jurant, de la cavalerie, v.866 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Apprendre et débiter la nouvelle du jour ; v.868 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Puis au palais-royal joindre un cercle agréable, v.869 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Pour sabler du champagne à souper largement ; v.872 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Conduire à l'opéra la duchesse indolente, v.877 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Médire ou bien broder avec la présidente ; v.878 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Voilà le plan exact de ta journée entière, v.881 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Le plaisir est le noeud des plus grandes affaires. v.894 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Et c'est en badinant que la faveur s'obtient. v.896 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
Qu'à la place du mien à la cour je demande. v.905 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Par plusieurs concurrents cette place est briguée ; v.909 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Du royaume, baron, c'est la plus distinguée. v.910 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
M'a fait prendre la poste et hâter mon voyage. v.914 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Je crains ces dîners-là. J'aime la bonne chère, v.929 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Tu n'auras qu'à donner tes ordres pour cela, v.931 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Comment donc ! Que veut dire un discours de la sorte ? v.937 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Par un fort galant homme. v.941 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
La chose est toute neuve ; et cet homme se nomme ? v.942 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Et que de nos façons il faut bannir la gêne, v.954 (Acte 2, scène 10, LE BARON)
La chose est plus choquante : v.957 (Acte 2, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Le Forlis par bonheur fait la méridienne : v.961 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
À me flatter, monsieur, d'une douce espérance. v.966 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
La joie enfin succède au plus affreux souci. v.968 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Je ne puis exprimer le plaisir que je goûte : v.969 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Non, non, vous ignorez combien il est flatteur... v.971 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Et je sens que je blesse au fond la probité. v.975 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Elle n'est point blessée en des choses semblables. v.977 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Ce n'est pas là sa place. v.981 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
J'ai plus d'expérience, et dois vous éclairer. v.983 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
La droiture est un frein que l'on doit révérer ; v.984 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Devoirs essentiels de la société, v.987 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
On la doit consulter, surtout dans l'exercice v.989 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Des charges de l'état d'où dépend la justice ; v.990 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Et forme par degrés la réputation : v.992 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Sur le pied de plaisir ou de délassement. v.996 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Devient homme à la mode, et se met en crédit. v.1008 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Fondé sur l'intérêt, la fraude et l'avarice, v.1014 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Du sein de la lumière il tombe dans la nuit, v.1031 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Pour y plaire, y briller, pour avoir ses faveurs, v.1035 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
N'en déplaise au bon ton, dont je suis rebattu, v.1043 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Nous ne devons jamais rougir de la vertu. v.1044 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
L'habiller à notre air, la faire à nos manières. v.1050 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
La crainte que j'en ai me fait déjà trembler. v.1068 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Daignez donc me guider de la main et de l'oeil ; v.1071 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Et vous n'avez, marquis, qu'à vous laisser conduire. v.1074 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Saisir pour vous placer, le point de vue heureux ; v.1076 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Y répandre des clairs, y mettre des nuances ; v.1078 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Pour la mieux disposer, écrivez-lui d'abord. v.1088 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Mais je ne sais comment la lui faire remettre. v.1090 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
La chose étant ainsi, j'imagine un moyen... v.1095 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
Sans blesser la sagesse, elle peut la lui rendre, v.1097 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
D'autres la commettraient. v.1099 (Acte 3, scène 1, LE BARON)
On ne peut la remettre en de meilleures mains. v.1100 (Acte 3, scène 1, LE MARQUIS)
Il sert trop bien ma flamme ! v.1105 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
L'amour, la probité, la pitié, la raison, v.1115 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
C'est servir la vertu, non trahir la droiture. v.1118 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
Lui-même, qui plus est, me conduit par la main. v.1119 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
Je la vois, sa présence affermit mon dessein. v.1120 (Acte 3, scène 2, LE MARQUIS)
Je ne manquerai pas, monsieur, de la lui rendre. v.1130 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
Peut-être avec le temps mon soin la formera. v.1132 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Et puis-je me flatter qu'elle soit bien reçue ? v.1133 (Acte 3, scène 3, LE MARQUIS)
Volons chez la comtesse, elle est impatiente. v.1142 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Sans la commettre, v.1146 (Acte 3, scène 3, LE MARQUIS)
Mais elle est sous les yeux d'un surveillant cruel, v.1152 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
L'intimide et la tient dans une gêne affreuse. v.1154 (Acte 3, scène 3, LUCILE)
Il faut à ses dépens jouer la comédie, v.1157 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Et je veux le premier être de la partie. v.1158 (Acte 3, scène 3, LE BARON)
Moi, je l'ai retenu pour toute la journée. v.1174 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
N'en déplaise à l'espoir dont votre esprit se flatte, v.1177 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
J'arrive tout exprès du fond de la Bretagne. v.1185 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Moi, quinze jours plus tôt j'ai quitté la campagne. v.1186 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Quoi ! C'est un violon qui balance mes droits ? v.1191 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Il doit jouer, monsieur, pour la dernière fois. v.1192 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
La musette, la flûte, ou le violoncelle ? v.1209 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Moi, joueur de musette ? Ah ! La chose est nouvelle. v.1210 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
La bagatelle seule occupe vos esprits : v.1211 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
C'est un gouvernement qu'à la cour je demande. v.1214 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Quoi ! Ce n'est que cela ? v.1215 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Vous en aurez un autre, et la chose est facile. v.1217 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Il n'en trouverait pas dans dix ans un semblable. v.1222 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Quoi ! Pour un vain plaisir tu veux donc me quitter ? v.1224 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Un ancien ami n'a pas la préférence ? v.1225 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Le plaisir que j'attends me transporte d'avance. v.1229 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Donnez-moi donc la main, partons en diligence. v.1230 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
À des ordres si doux je me laisse entraîner. v.1231 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Non, c'est flatter monsieur d'un espoir téméraire. v.1233 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
J'enlève le baron pour la journée entière. v.1234 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Je ne dérange rien dans les plans que je fais. v.1235 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Pour voir la nouveauté qui doit être jouée ; v.1238 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Puis de la table au bal, où, déguisée en Flore v.1241 (Acte 3, scène 5, LA COMTESSE)
Je reviendrai, monsieur, et ne la croyez pas. v.1243 (Acte 3, scène 5, LE BARON)
Je ferais hautement éclater mon dépit, v.1248 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Jusqu'à lui je pénètre à travers la cohue, v.1253 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Comme un provincial dont il craint la présence. v.1258 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Au milieu du grand monde il me croit déplacé ; v.1259 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Et dans le même temps qu'il est pour moi glacé, v.1260 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Je voudrois excuser un procédé semblable, v.1265 (Acte 4, scène 1, CÉLIANTE)
Et chez qui, sans mentir, toute la France était, v.1272 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
La fureur de jouer vient saisir ceux qui restent. v.1278 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Les sacrificateurs en ordre sont placés. v.1280 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Le baron, qui se laisse emporter au courant, v.1287 (Acte 4, scène 1, MONSIEUR DE FORLIS)
Je cache la fureur de mon coeur éperdu, v.1307 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Je dois pourtant me plaindre en cette circonstance, v.1329 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Que ton coeur ne m'ait pas donné la préférence. v.1330 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Et d'agir fortement pour la place où j'aspire : v.1348 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Je t'en ferais ici des reproches sanglants, v.1350 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
La cour n'est pas si prompte à répandre ses grâces ; v.1355 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Il faut longtemps briguer pour de pareilles places, v.1356 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Mon plan est arrangé, mes mesures sont prises v.1363 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
Nos efforts prévaudront, et j'obtiendrai la place. v.1367 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR DE FORLIS)
La somme que je dois, et je reviens vous prendre ; v.1375 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Vous n'aurez pas, monsieur, la peine de m'attendre. v.1376 (Acte 4, scène 2, LE BARON)
Il a soin de cacher le plaisir qu'il lui fait, v.1385 (Acte 4, scène 4, CÉLIANTE)
Je viens de la surprendre v.1391 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Va, c'est apparemment la lettre d'une amie. v.1395 (Acte 4, scène 5, CÉLIANTE)
Son humeur taciturne et sa mélancolie : v.1400 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
La curiosité dont je me sens pressée v.1404 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Sur son front satisfait on voit la joie écrite. v.1412 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
C'est lui, mademoiselle, et j'en fais la gageure. v.1415 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Mais tenez, la voilà qui porte ici ses pas : v.1418 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Celui que l'on surprend est un larcin qu'on fait. v.1422 (Acte 4, scène 5, CÉLIANTE)
Enfin me voilà seule, et bannissant la crainte, v.1423 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
La lettre d'un amant qui règne dans mon coeur ! v.1425 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Ma peine et mon plaisir ne sauraient se comprendre. v.1428 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
Cher amant ! Si les traits de l'ardeur la plus vive, v.1431 (Acte 4, scène 6, LUCILE)
N'importe ; montrez-moi, s'il vous plaît, ce papier. v.1446 (Acte 4, scène 7, LE BARON)
Plus je la lis, et plus cette lettre m'étonne. v.1463 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Je sens toute la force et la délicatesse v.1468 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Il est honteux pour moi de mériter vos plaintes. v.1471 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
La méprise est heureuse, et mon âme respire. v.1475 (Acte 4, scène 8, LUCILE)
Je jouis d'un plaisir tout nouveau ; v.1489 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
Rien n'égale l'esprit de la beauté que j'aime. v.1495 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
L'abattement où m'a plongée la crainte d'être oubliée de vous, a dû donner de moi cette idée ; et depuis que je vous vois ici, votre présence me jette dans un trouble qui sert à la confirmer. (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Je sens que mon coeur fait tort à mon esprit. Il m'ôte jusqu'à la liberté de m'exprimer, et je suis trop occupée à sentir, pour avoir le loisir de penser." (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Je la goûte encor plus que vous ne l'approuvez. v.1501 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
C'est par mille respects, par un culte flatteur, v.1509 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
En cela j'ai suivi le penchant qui m'inspire. v.1519 (Acte 4, scène 8, LUCILE)
Pour vous plaire je veux m'y montrer plus aimable : v.1524 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Et goûtant sans mélange un destin bien plus doux, v.1525 (Acte 4, scène 8, LE BARON)
Pardon, si j'interromps, monsieur ; mais la duchesse v.1527 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
La fille me rappelle, et j'ai promis au père. v.1536 (Acte 4, scène 11, LE BARON)
Et la duchesse va l'emmener avec elle. v.1540 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
La comtesse est là-bas qui lui sert de renfort : v.1541 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Qu'il s'agit d'assortir des porcelaines. v.1545 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Et de mettre d'accord la Chine et le Japon. v.1546 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Ils s'aiment, je le vois, et je plains leur ennui. v.1549 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Monsieur les laisse seuls, et je fais comme lui. v.1550 (Acte 4, scène 12, LISETTE)
Sa vue et son retour la tirent du néant. v.1566 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
Souffrez, dans le transport dont la mienne est pressée... v.1567 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
Le sentiment l'échauffe, et non pas la saillie. v.1572 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Mon bonheur est troublé par de justes alarmes ; v.1584 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
D'accord, mais pour vous plaire il redevient aimable ; v.1591 (Acte 4, scène 13, LE MARQUIS)
Me prépare le joug du plus dur esclavage ; v.1596 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Ma bouche eût déclaré mes sentiments secrets, v.1605 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Par la comparaison que je fais de sa flamme, v.1612 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Il ne songe qu'à plaire, et ne veut qu'éblouir : v.1617 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
De tout Paris son art veut faire la conquête ; v.1619 (Acte 4, scène 13, LUCILE)
Là, n'ayez aucune alarme. v.1627 (Acte 4, scène 14, LISETTE)
Avec lui je vous laisse, et suis mademoiselle. v.1644 (Acte 4, scène 15, LISETTE)
La duchesse, monsieur, elle-même est venue v.1648 (Acte 4, scène 16, LE MARQUIS)
Sans doute il s'y rendra, dès que la chose presse. v.1652 (Acte 4, scène 16, MONSIEUR DE FORLIS)
Et je sers mon amour en travaillant pour lui. v.1662 (Acte 4, scène 17, LE MARQUIS)
Vous la méritez bien ; mais je suis inquiète. v.1664 (Acte 5, scène 1, LUCILE)
Et profiter du temps que son rival lui laisse. v.1667 (Acte 5, scène 1, LUCILE)
Il pourra balancer son penchant pour la mode, v.1671 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
La méprise est piquante. v.1680 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
La comtesse en ces lieux accompagne ses pas. v.1681 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
Je n'ai pu m'échapper des mains de la duchesse : v.1683 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Je suis au désespoir. La cruelle comtesse v.1684 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Qu'à la pièce nouvelle elles m'ont entraîné. v.1686 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Qu'entends-je ? Il prend le ton d'un amant langoureux. v.1693 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
De notre hymen ce soir je veux former la chaîne ; v.1696 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Empressement flatteur ! Je ne l'ai jamais pu. v.1698 (Acte 5, scène 2, LE BARON)
Adorant et brûlant pour l'objet le plus doux, v.1705 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
J'avais cru jusqu'ici que nous valions la peine v.1720 (Acte 5, scène 2, LUCILE)
Je vois que la petite est fille à sentiment. v.1722 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
J'ai soupiré, langui pour un jeune écolier, v.1729 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
Mais langui constamment pendant un mois entier. v.1730 (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
Sa menace est fondée, et j'en suis alarmé. v.1753 (Acte 5, scène 4, LE BARON)
Pour unir à jamais ta fortune et la mienne, v.1755 (Acte 5, scène 4, LE BARON)
Que par tes heureux soins un autre obtient la place. v.1764 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Si vous n'écoutez plus la voix de l'amitié, v.1797 (Acte 5, scène 5, LE BARON)
Tout mis dans la balance, au malheur effroyable v.1816 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE FORLIS)
Vous me rendez la vie en agissant ainsi. v.1826 (Acte 5, scène 7, LE BARON)
Faites en ma présence éclater moins de zèle ; v.1827 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR DE FORLIS)
Pour un autre j'ai cru la chose décidée. v.1831 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE FORLIS)
La place était promise et non pas accordée. v.1832 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)
Mon oncle, qui parlait pour votre concurrent, v.1833 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)
La vôtre qui se trouve être à sa bienséance, v.1836 (Acte 5, scène 8, LE MARQUIS)
Mais il est mon ami, cela revient au même. v.1844 (Acte 5, scène 8, LE BARON)
Fait du vôtre, monsieur, la critique tout haut. v.1846 (Acte 5, scène 8, MONSIEUR DE FORLIS)
Je ne puis te blâmer ni condamner ta flamme. v.1856 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Prononce : je te laisse arbitre de tes voeux. v.1858 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Déclarez mon bonheur. v.1861 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Je n'ai pas son audace, et je suis alarmé. v.1862 (Acte 5, scène 10, LE MARQUIS)
Ce que vous avez eu la bonté de m'écrire, v.1867 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Et ce que je ne puis me lasser de relire v.1868 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Donnez-moi, de la voir je suis impatiente. v.1872 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
Sa bouche clairement prononce en ma faveur. v.1877 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
"L'abattement où m'a plongée la crainte d'être v.1883 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
Me jette dans un trouble qui sert à la confirmer. " v.1889 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
La petite convient qu'il sait tout le mystère ; v.1899 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
La lettre... v.1904 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Que ton choix est louable, et digne de me plaire ! v.1907 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
La place que j'obtiens est un fruit de ses soins. v.1909 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)
Ah ! Marquis, deviez-vous me jouer de la sorte, v.1911 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
Vous à qui j'ai marqué l'estime la plus forte ? v.1912 (Acte 5, scène 10, LE BARON)
De joie en ce moment, je ne tiens point en place ! v.1915 (Acte 5, scène 10, LA COMTESSE)
Et les vacarminis autant qu'il vous plaira. v.1922 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR DE FORLIS)

LA CRITIQUE (1732)

Qui vous fait brusquement quitter ainsi la table v.1 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Toute la compagnie en a paru choquée ; v.5 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Un procédé semblable a lieu de m'étonner. v.8 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Que la raison, monsieur, ne saurait excuser. v.15 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Et l'on nous a servi treize plats à la fois. v.19 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Mais elle n'est pas moins la cause de ma fuite. v.22 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Où malgré ma raison tout alarme mon coeur. v.27 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
L'intérêt, la gloire, avec l'amour, v.31 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Pour l'amour et la gloire il n'en est pas de même ; v.41 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Tous deux d'un feu pareil enflamment mon désir, v.43 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et font en même temps ma peine et mon plaisir. v.44 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Fait succéder la peur sans cesse à l'espérance. v.46 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Plaire à l'objet que j'aime, et me voir son époux, v.47 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Mais la crainte de perdre un bien si plein de charmes, v.49 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Y porte au même instant les plus vives alarmes. v.50 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Par un brillant ouvrage assembler tout Paris, v.51 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Malgré tous les efforts que tente la critique, v.53 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Forcer deux mille mains d'applaudir, à la fois, v.55 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Présente à mon esprit la plus haute victoire ; v.57 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
D'un guerrier qui triomphe on égale la gloire. v.58 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
La tristesse et l'ennui peints sur chaque visage, v.62 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et votre nom en butte au mépris éclatant, v.64 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Le désert qui succède à la foule écartée, v.65 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Je réponds de l'amour, espérez pour la gloire. v.74 (Acte 1, scène 1, DAMON)
J'ai songe que j'allais m'unir avec Hortense, v.81 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Des lustres presque éteints la lueur sombre et pâle v.93 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Éclairait tristement la moitié de la salle ; v.94 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
C'est un vilain réveil, ami, je le confesse, v.105 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Pour un auteur surtout dont on donne la pièce. v.106 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Est digne d'être plaint, et non d'être raillé. v.108 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et, loin que je vous plaigne, il faut que je vous gronde ; v.110 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Dans votre âme aujourd'hui la superstition v.111 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Et croyez un vain songe enfanté par la crainte. v.114 (Acte 1, scène 1, DAMON)
La superstition à l'homme est naturelle ; v.122 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Et le hasard malin, pour la fortifier, v.123 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Se plaît incessamment à la justifier. v.124 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
La raison ne tient pas contre l'expérience, v.126 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
D'attirer du public la louange ou le blâme, v.129 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
De perdre ou d'obtenir l'objet de votre flamme. v.130 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
L'inconnu, cher Clitandre, alarme votre coeur, v.135 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Mais vous ouvrez le champ à la plaisanterie. v.138 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Et suit trop la frayeur où jette un tendre soin ; v.140 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Mais, si dans mes amours je parais moins à plaindre, v.141 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Ne me doivent-ils pas glacer d'un juste effroi ? v.144 (Acte 1, scène 1, CLITANDRE)
Oui, mais vous m'avez dit que la chose est secrète. v.145 (Acte 1, scène 1, DAMON)
La calotte, monsieur, doit vous faire présent. v.151 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Souvent avec la gloire emportent le profit. v.156 (Acte 1, scène 1, DAMON)
Tiens, voilà pour t'apprendre à siffler de la sorte. v.161 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
L'augure vous alarme, et j'ai... v.167 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Si la journée aussi m'allait être fatale ! v.174 (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
Du reste de la lettre à quoi sert de m'instruire ? v.177 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Pour moi, si vous voulez, vous n'avez qu'à la lire. v.178 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
« Vous venez, monsieur, de perdre votre procès, malgré votre bon droit : tout ce que je puis vous dire, c'est que j'ai plaidé comme un ange. » (Acte 1, scène 2, DAMON)
Le trait est des plus consolants, v.179 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
« Tout le monde a trouvé le jugement ridicule, et a dit hautement que, pour n'avoir pas gagné une cause que j'avais si bien plaidée, il fallait que ma partie fût née sous une planète bien malheureuse. » (Acte 1, scène 2, DAMON)
Ah ! Qu'on a bien raison ! Grâces à ma planète, v.181 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Qu'on dise après cela que tout songe est menteur ; v.187 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Et crois un songe vain enfanté par la crainte. v.190 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Il est comme l'éclair qui devance l'orage ; v.198 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
Que pour la retarder j'ai des motifs puissants, v.207 (Acte 1, scène 2, CLITANDRE)
N'en déplaise aux frayeurs de votre esprit crédule, v.209 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Vous vous moquez, la pièce est pour ce soir promise ; v.213 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Les acteurs à cela doivent s'opposer tous. v.216 (Acte 1, scène 2, DAMON)
La frayeur à la fin lui tournera la tête ; v.222 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Quel plaisir pour vingt sous de huer comme un diable ! v.229 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Et je dirais tout haut : La pièce est de Clitandre, v.233 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Épargnez-vous, messieurs, la peine de l'entendre, v.234 (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
Damon m'a su convaincre, et sa raison m'éclaire ; v.237 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
J'allais, à mes dépens, divertir les acteurs : v.240 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
J'aurais, à leurs regards dévoilant ma faiblesse, v.241 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Dont j'allais devenir moi-même le héros. v.243 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Avec la fermeté qu'un sage doit avoir ; v.247 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Je puis du sort jaloux défier la fureur. v.256 (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
Tremblez, monsieur, j'entends la pendule qui sonne. v.257 (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Allons, courage, ami, le présage est flatteur ; v.259 (Acte 1, scène 5, DAMON)
Ah ! monsieur, dissipez la peur qui vous domine. v.265 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
M'a dit que sur la pièce il faisait un grand fond ; v.267 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Je suis perdu, monsieur, ma pièce, déplaira. v.272 (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
Et je cours me placer sans perdre un seul moment. v.276 (Acte 1, scène 5, DAMON)
C'est l'enfer des auteurs qu'un paradis semblable, v.281 (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Ce qui présentement m'alarme davantage, v.285 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Comme la comédie est à deux pas d'ici, v.291 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Je n'irai pas bien loin pour en être éclairci. v.292 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
J'entre à la comédie, admire mon étoile ! v.297 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Dans le moment fatal qu'on a levé la toile ; v.298 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Je regarde en tremblant tous ces juges sévères, v.301 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Il me fixe des yeux, me montre de la main ; v.308 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
La pâleur sur le front, et la peur dans le sein, v.316 (Acte 1, scène 7, CLITANDRE)
Il approuve notre flamme, v.320 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Enchanté, comme moi, d'un aveu si flatteur, v.323 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Et s'il m'applaudissait en cet heureux instant, v.327 (Acte 1, scène 8, CLITANDRE)
Seigneur, malgré la brigue et la clameur publique, v.333 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Parmi les doctes soeurs, vous venez de placer v.334 (Acte 1, scène 1, THALIE)
La juste et la saine Critique : v.335 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Donner à votre choix trop d'applaudissement. v.340 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Quel bonheur de la voir gouverner le Parnasse, v.341 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Par un injuste effet de la prévention, v.345 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
De tout le genre humain on la croit l'ennemie : v.346 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Qu'a fait d'elle, en tous lieux, la noire Calomnie, v.350 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Et la féliciter sur ses honneurs nouveaux. v.354 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Sans blesser la personne, attaque les défauts. v.358 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Elle ne prétend plus, surtout, qu'on la confonde v.359 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Avec la satire sa soeur, v.360 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Mais par le noir plaisir qu'elle prend à médire, v.367 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Dont la plume anonyme v.369 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Jusques sur la vertu répand ses traits impurs , v.370 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
Pour la gloire de l'art qu'elle rend méprisable. v.375 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
C'est la Critique apparemment v.380 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Je vous laisse avec lui. v.381 (Acte 1, scène 1, THALIE)
Pour complimenter la Critique, v.385 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Vous que guide la Haine et la Prévention; v.389 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Qui n'êtes inspiré que par la Médisance, v.390 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Tronquent la Vérité, dégradent la Raison ; v.392 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
À qui la satire effarée v.393 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Et connaissez mieux la Critique: v.406 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Contre la Vérité jamais elle n'agit ; v.407 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Censure en galant homme, et non en satyrique v.409 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Je ne la croyais pas capable de scrupule : v.411 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
À la plus solide raison. v.418 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Et jamais je ne goûte un plaisir plus flatteur, v.421 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Que lorsque j'emporte la pièce. v.422 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Parlons de la Critique, et rendons-lui justice : v.425 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Elle est, autant que moi, portée à la malice ; v.427 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Sa main pour rien ne tient pas un flambeau ; v.428 (Acte 1, scène 2, L'AUTEUR)
Et vous défends, sous la plus rude peine v.432 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Apprenez qu'en tout temps le Vrai seul la transporte ; v.434 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Et que le flambeau qu'elle porte v.436 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Éclaire et ne brûle jamais. v.437 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
Je viens voir la Critique ; v.438 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Ce qui plaît au Public, a droit de me déplaire ; v.445 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
C'est la droite équité que jamais il n'écoute : v.451 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
La raison fixerait son esprit trop volage, v.457 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
On verrait moins d'abus ; la prudence et la paix, v.459 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Par la même raison, je me pique aujourd'hui v.471 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
N'auriez-vous point pitié de vos semblables ? v.478 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
N'auriez-vous pas vous-même éprouvé la rigueur ? v.480 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Mais à la charge il n'est pas revenu, v.482 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Que je vais à la Comédie. v.491 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Applaudit-il ? Je suis ardent v.493 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
À faire la contre-partie. v.494 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Ce qui me flatte enfin, et qui doit le piquer, v.495 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Vous l'allez applaudir, je gage : v.508 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
C'est la Critique du Public : v.511 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Et pour la nouveauté qu'il porte jusqu'aux nues, v.525 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Sa fureur pour la mode et pour tout charlatan : v.529 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
La plus insipide louange, v.546 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Et d'applaudir toujours le banal compliment, v.547 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Place au Dames, place au Théâtre ; v.551 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Annoncez ; bis ; la capriole. v.554 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Vous peignez-là la multitude, v.559 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Qu'entraîne la coutume ou l'aveugle habitude, v.562 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Et non le vrai Public que la raison conduit, v.563 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Qui me guide moi-même, et sans cesse m'éclaire : v.565 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Je porte ici de quoi prouver la chose : v.580 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
La Liste que voilà v.584 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Pièces que le Public a sifflées, et qu'il devait applaudir. (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Tout l'argent du convoi que son rival lui laisse. v.598 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Madame Marc, la bonne amie v.600 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
De ce pauvre Saint-Pol que j'aime à la folie, v.601 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Où, sans intéresser, tout choque la raison, v.606 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
À qui l'on fait l'honneur d'en faire la critique. v.607 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Vous pourrez du Public excuser la rigueur, v.609 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Applaudissant à sa beauté. v.614 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Qui n'est qu'un rhabillage v.618 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Mais le dernier est pis que tout cela. v.620 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
En sont par-out la base. v.623 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
On y voit la vertu régner dans chaque phrase. v.624 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
La politesse de ces Dames, v.629 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
En se renvoyant la couronne. v.631 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
L'une la quitte galamment v.632 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Et je trouve charmant ce qu'il trouve si plat. v.638 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Pièce que le Public a applaudie, et qu'il devait siffler. (Acte 1, scène 3, APOLLON)
D'applaudir un pareil ouvrage, v.646 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Dont le héros n'est qu'un plat personnage, v.647 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
D'une façon brillante et singulière. v.655 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
L'art de la pièce est grand, et la conduite exacte ; v.657 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Qu'un lieu commun de la tragédie v.663 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Et l'heureux dénouement de la pièce, v.665 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Le public dépouillant sa rigueur à propos, v.669 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Et, tout pesé dans la balance, v.671 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Il n'a pu refuser son applaudissement v.672 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Et dans la bienséance. v.674 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Et dans la bienséance ? Ah ! le trait est fort bon ! v.675 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Et comment nommez-vous la proposition v.676 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Vous nous vantez les moeurs, la chose est sans égale ; v.680 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Mais il finit par la vertu. v.683 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Adieu, Seigneur, adieu, je quitte la partie, v.684 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
Que pour la raillerie, v.689 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Que la Critique vous oublie. v.692 (Acte 1, scène 3, APOLLON)
Se moque aussi de la Critique, v.698 (Acte 1, scène 3, CHRISANTE)
La Critique paraît ; c'est elle, je la vois. v.704 (Acte 1, scène 4, APOLLON)
Dans le haut rang où je vous place ; v.710 (Acte 1, scène 5, APOLLON)
Et donnez le précepte et l'exemple à la fois. v.711 (Acte 1, scène 5, APOLLON)
Que pour éclairer les auteurs. v.716 (Acte 1, scène 5, LA CRITIQUE)
À votre fortune brillante. v.718 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
Pardon , j'ai de la peine à remettre vos traits v.719 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
J'ai pourtant avec vous assez de ressemblance. v.721 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
La Critique ne devrait pas v.722 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Méconnaître la Médisance ; v.723 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
La Raison et le Vrai le guident constamment ; v.728 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Et vous plaisez le plus souvent, v.729 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Par la vérité trop sincère, v.732 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
On est presque toujours assuré de déplaire ; v.733 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Les pas de la Raison sévère. v.736 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Qui vous rend le fléau de la société. v.738 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Par l'art que j'ai de flatter l'auditeur, v.744 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Ma langue n'a pas la prudence, v.750 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
J'en fais tous les plaisirs et tout l'amusement ; v.755 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
Faisant sur un sofa des noeuds nonchalamment, v.761 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Qui sommeillait en l'écoutant. v.764 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Une prude enrageait, et parlait de la pluie : v.765 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Déplorait de la paix les malheurs éclatants, v.769 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Qui faisait tomber la Gazette v.770 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Se contemplait fort amoureusement : v.775 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Et pour achever la peinture, v.780 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Un Marquis tout brillant v.781 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
S'amusait en sifflant. v.784 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
De ranimer la conversation v.790 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
Et d'amuser la compagnie : v.791 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Tout le monde, en un mot, baillait à l'unisson v.792 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Qu'il répand la chaleur dans toute l'assemblée; v.799 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Dans tous les coeurs la joie est réveillée; v.801 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Je triomphe dans la mêlée, v.803 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
À peine, en éclatant, permet-on que j'achève ! v.810 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
J'avoue, en ces moments flatteurs, v.813 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
En goûtant le plaisir de médire d'eux-même. v.816 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Par le plaisir de nuire exerçant vos malices, v.828 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Et recevez mille applaudissements. v.832 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Non, cela me dépite : v.833 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Faites comme je fais, ne songez qu'à leur plaire, v.840 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
Vont la plus sotte compagnie v.849 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
N'en déplaise à leur beau génie ; v.851 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Tirez-le de la rime, il est sot, emprunté, v.854 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Fait mille quiproquos dans la société, v.855 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Clio, la lunette à la main, v.857 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
En voulant parcourir le séjour du Tonnerre, v.858 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Fait mille faux pas sur la terre, v.859 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Est rebattu de ses clameurs, v.868 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
À la faveur de la Satire, v.874 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Pour votre plaisir propre, et pour celui des autres, v.879 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Nous vivrons comme soeurs et dans la bonne-foi : v.881 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Mais à l'user, la chose est différente ; v.891 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Eh, pourquoi, s'il vous plaît ? v.895 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
Votre langue mordante. v.900 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
Et pour faire de vous ce portrait ressemblant, v.903 (Acte 1, scène 6, LA CRITIQUE)
D'arriver à Paris pour soulager mon coeur, v.919 (Acte 1, scène 6, LA MÉDISANCE)
Et la tourner en ridicule; v.920 (Acte 1, scène 6, LA M?DISANCE)
Ayez la bonté de m'apprendre v.929 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Flon, flon, larira dondaine, v.934 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Un Dieu plaisant et gai gai v.935 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Larira dondé, v.936 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Talarari ta la ra rire, v.938 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Et dans la nouveauté couru v.939 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Lanturlu, lanturlu. v.940 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
À la Cour, à la Ville, v.941 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La nuit et le jour v.944 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Je chante la, la, la, la, la, v.945 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Je chante la Folie. v.946 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La laide et la jolie, v.948 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La mirtan plan lantirelarigaut. v.950 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Tout le long de la rivière ; v.956 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Et toute la terre est à moi. v.961 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
À ce langage, à ces refrains, v.962 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Qui fait les plaisirs de la Ville, v.964 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Je fais la censure, v.976 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Mon plaisir et mon métier v.977 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La bonne aventure, v.979 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La bonne aventure. v.981 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Voilà la fable : v.996 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Que son goût en soit flatté, v.998 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Voilà la vérité. v.999 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Il faut pour plaire même au grand nombre de femmes. v.1004 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Fait mon plus grand plaisir. v.1008 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La table fut toujours votre champ de bataille, v.1017 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Si je veux, par exemple, enflammer un tendron v.1026 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Que ma flamme v.1037 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Porte mes brûlants soupirs ; v.1039 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Faites des plaisirs. v.1043 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Que ma flamme v.1060 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Porte mes brûlants soupirs ; v.1062 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Faites des plaisirs. v.1066 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Pour plaire à vos yeux je me tourne, tourne, tourne, v.1074 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
La Critique est sincère, v.1087 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Vous avez su me plaire, v.1088 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Vient répandre un aveu si flatteur ! v.1094 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Je vous adore et je vous plais. v.1103 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Votre amour, quand on lui plaît, v.1104 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
L'enjouement aux leçons, la sagesse aux plaisirs. v.1115 (Acte 1, scène 7, LA CRITIQUE)
Taupe à la raillerie. v.1135 (Acte 1, scène 7, LE VAUDEVILLE)
Chantons la gloire, v.1137 (Acte 1, scène 8, LA CRITIQUE, LE VAUDEVILLE)
Hélas ! Ce sont tous frais perdus ! v.1150 (Acte 1, scène 8, LE VAUDEVILLE)
Chantons la gloire, v.1152 (Acte 1, scène 8, LE VAUDEVILLE)
Chantons la gloire, v.1161 (Acte 1, scène 8, LE VAUDEVILLE)
Est-ce pour insulter au dépit qui m'enflamme ? v.1165 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Seigneur ; parlez-moi de la danse, v.1197 (Acte 1, scène 8, LA CRITIQUE)
Je veux me plaindre en vain vous m'imposez silence. v.1200 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Qu'un vent flatteur, v.1206 (Acte 1, scène 8, LE VAUDEVILLE)
Crier en fendant la presse : v.1223 (Acte 1, scène 8, LA CRITIQUE)
Je m'offre pour la Princesse, v.1225 (Acte 1, scène 8, LA CRITIQUE)
La gloire de ce trépas. v.1229 (Acte 1, scène 8, LA CRITIQUE)
On l'applaudit beaucoup ; v.1233 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)
Mais d'ouïr ma Complainte ayez la politesse. v.1236 (Acte 1, scène 8, ARLEQUIN)

LE COMTE DE NEUILLY (1736)

Faites-moi, s'il vous plaît, la grâce de me dire v.2 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Si Madame bientôt reviendra de la Cour. v.3 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Il est impatient de la voir aujourd'hui ; v.8 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Brûlant de l'assurer de sa reconnaissance v.9 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Vous venez de la part du Comte de Neuilly ! v.11 (Acte 1, scène 1, LUCIE)
La renommée ici nous a fait son histoire ; v.14 (Acte 1, scène 1, LUCIE)
La renommée est juste à l'égard de mon maître ; v.18 (Acte 1, scène 1, NELTON)
II soulage leur peine, il prévient leurs besoins, v.27 (Acte 1, scène 1, NELTON)
D'autres par plus d'exploits ont brillé dans la guerre : v.37 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Mais souvent ces guerriers, qui ravageant la terre, v.38 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Ne se font admirer que par des traits sanglants, v.39 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Doivent toute leur gloire à des vices brillants. v.40 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Quoiqu'elle ait moins d'éclat, la sienne est plus solide, v.41 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Et si la probité, si la vertu rigide v.42 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Font seules le grand homme aux yeux de la raison, v.43 (Acte 1, scène 1, NELTON)
Il est beau d'obtenir un éloge semblable ; v.45 (Acte 1, scène 1, LUCIE)
Mais la jeune Marquise a mal passé la nuit, v.47 (Acte 1, scène 1, LUCIE)
Je les trouve chargés d'une langueur secrète, v.57 (Acte 1, scène 2, NELTON)
Qui semble de son coeur annoncer la défaite. v.58 (Acte 1, scène 2, NELTON)
Non tels qu'il les poussait pour la mort d'un ami. v.60 (Acte 1, scène 2, NELTON)
Et sa plainte tout haut n'ose se faire entendre. v.62 (Acte 1, scène 2, NELTON)
La différence frappe à travers tout détour, v.63 (Acte 1, scène 2, NELTON)
Avait senti les traits de la seule amitié. v.71 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Que la vertu paisible est mon seul exercice, v.81 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Paraît, lance un regard, et subjugue mon coeur. v.84 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
J'attends, pour m'y briser, l'âge de la sagesse > v.86 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
En dépit de moi-même, hélas ! J'y suis forcé : v.100 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
La raison venge bien cette injuste partage. v.102 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Noblement avec toi, les armes à la main ; v.104 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Il aigrit sa douleur en voulant la cacher, v.111 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Lui fera du devoir subir la juste loi, v.115 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Et la saura du moins rendre digne de moi : v.116 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Mais doit-elle éclater ? Ou doit elle se taire ? v.117 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Des pleurs que malgré vous la douleur vous arrache, v.126 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Hélas ! v.128 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Et le sort m'a placé trop au-dessous de vous v.132 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Vous faites éclater un soupçon qui m'offense, v.134 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
La vertu sur le mien a seule du crédit. v.136 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
J'en sens toute la force, et sais ce qu'il renferme, v.142 (Acte 1, scène 3, NELTON)
La noblesse du coeur en fait seule le prix, v.144 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Je ne balance plus, et je te rends les armes ; v.158 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
La beauté qui vous plaît, peut-elle être connue ? v.165 (Acte 1, scène 3, NELTON)
La Marquise est-elle revenue ? v.166 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Ignore l'art flatteur d'exprimer ses désirs ; v.172 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Où la mode gouverne et le dehors décide. v.178 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Qui se rend à la grâce et non au sentiment : v.180 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Vieilli dans la douleur ! Puis-je plaire à présent ? v.183 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Mais quand j'en aurais l'art, j'en fuirais la conduite ; v.186 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Et l'amour est un monstre où manque la vertu. v.188 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Chassez de votre coeur, la crainte qui l'agite ; v.189 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Rien ne saurait ternir l'éclat du vrai mérite, v.190 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Et, plus fort que la mode, il brille en tout pays. v.192 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Un triomphe si doux, n'est dû qu'à la jeunesse. v.194 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Un brillant passager au mérite solide. v.197 (Acte 1, scène 3, NELTON)
On dit qu'en tous ses pas, la sagesse la guide ; v.198 (Acte 1, scène 3, NELTON)
Tes discours séduisants ont beau flatter mon âme, v.201 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Je ne puis me résoudre à déclarer ma flamme, v.202 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Ma gloire m'est trop chère, et c'est la compromettre. v.209 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
Elle a de la naissance, elle est sage et discrète ; v.225 (Acte 1, scène 4, NELTON)
Je ne puis mieux choisir. Je vais... Mais la voici. v.227 (Acte 1, scène 4, NELTON)
Et je voulais, Monsieur, le voir auparavant ; v.232 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
J'y dois suivre les pas de la jeune Marquise : v.233 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Avait jusqu'à ce jour méconnu la tendresse, v.242 (Acte 1, scène 5, NELTON)
Sachez, d'un feu brûlant qu'il se sent dévorer, v.244 (Acte 1, scène 5, NELTON)
Veillai-je en ce moment, et l'ai-je bien ouï ? v.247 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Un instant a fait naître une flamme si vive ; v.249 (Acte 1, scène 5, NELTON)
Mais pour la déclarer, sa bouche est trop craintive, v.250 (Acte 1, scène 5, NELTON)
Quelle fatalité ! Je le plains aujourd'hui, v.255 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Et je dois l'empêcher pour lui sauver la vie, v.277 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Léonore du Comte a reçu la visite, v.281 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Et je croirai servir la France et l'Angleterre , v.285 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Si je puis par mes soins faire voir à la terre, v.286 (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Léonore choisit l'état de la retraite. v.289 (Acte 2, scène 1, LA MARQUISE)
Sa beauté, sa douceur, font que je la regrette. v.290 (Acte 2, scène 1, LA MARQUISE)
Et les malheurs d'autrui m'éclairent sur les miens. v.308 (Acte 2, scène 2, LA MARQUISE)
Qui de l'éclat du jour passent dans les ténèbres, v.310 (Acte 2, scène 2, LA MARQUISE)
Et disparus soudain ne laissent après eux v.311 (Acte 2, scène 2, LA MARQUISE)
Cependant Léonore et sa langueur étrange, v.322 (Acte 2, scène 3, LUCIE)
Sur le sort de sa flamme, inquiet et troublé, v.327 (Acte 2, scène 4, NELTON)
Tantôt d'un faux espoir mon âme s'est flattée ; v.330 (Acte 2, scène 4, LUCIE)
Elle a pour lui la plus parfaite estime, v.333 (Acte 2, scène 4, LUCIE)
Et la retraite seule est aimable à ses yeux. v.336 (Acte 2, scène 4, LUCIE)
Je comptais l'informer du succès de sa flamme ; v.338 (Acte 2, scène 4, NELTON)
Je suis bien éloigné de ce flatteur espoir, v.339 (Acte 2, scène 4, NELTON)
Il a reçu des Cieux l'âme la plus sensible, v.341 (Acte 2, scène 4, NELTON)
Vieilli par la fatigue, usé par la douleur, v.347 (Acte 2, scène 4, NELTON)
Ne vous en flattez point, v.352 (Acte 2, scène 4, LUCIE)
Ah ! De grâce, Lucie, éclaircissez-mon coeur ; v.363 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Et je trouve aujourd'hui sa santé languissante. v.366 (Acte 2, scène 5, LUCIE)
Qu'entends-je ! Ce discours m'alarme vivement : v.367 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Je crains les noirs effets de sa mélancolie. v.370 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Pour m'en bien assurer je brûle de la voir. v.372 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Depuis sept où huit jours, je la trouve changée, v.373 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Et dans la rêverie elle est toujours plongée : v.374 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Quelle peine l'occupe, et cause sa langueur ? v.376 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Et que ses moindres maux alarment ma tendresse : v.378 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
La raison la conduit dans tout ce qu'elle fait : v.388 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Elle vient, et je vous laisse ensemble. v.393 (Acte 2, scène 5, LUCIE)
Sa tristesse m'alarme, et près d'elle je tremble. v.394 (Acte 2, scène 5, LE MARQUIS)
Dévoilez-moi votre âme et calmez mes alarmes : v.405 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Vous poussez des soupirs, et vous versez des larmes, v.406 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Laissez-moi. Je ne puis, ni ne dois vous instruire. v.409 (Acte 2, scène 6, LÉONORE)
Son silence est pour moi plus affreux que la mort. v.415 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Je voulais de ces lieux partir sans vous rapprendre. v.426 (Acte 2, scène 6, LÉONORE)
Je voulais à tous deux épargner la douleur ; v.428 (Acte 2, scène 6, L?ONORE)
Et, pour la détourner, j'évitais votre vue. v.430 (Acte 2, scène 6, L?ONORE)
Pour la dernière fois je parle à Léonore. v.437 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Vont d'un voile éternel la cacher à mes yeux : v.440 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Nécessaire ! Grand Dieu ! Quand ma mort la suivra. v.451 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Tout plaisir sans ce bien, toute paix m'est ravie, v.469 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Et vouloir me l'ôter, c'est m'arracher la vie. v.470 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
La générosité que vous me faires voir v.471 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
De la vôtre je dois redouter les attraits. v.476 (Acte 2, scène 6, LÉONORE)
Mon amitié peut-elle exciter vos alarmes ? v.478 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
En quoi peut-il choquer la sévère vertu ? v.480 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Être toujours ensemble, et se complaire en tout, v.483 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Tel est le noeud flatteur qui m'unit avec vous : v.487 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Ma soeur, ne partez pas, la rigueur est trop grande ; v.490 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Laissez-moi seulement vivre où vous demeurez : v.491 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
Appellez, comme moi, la raison à votre aide, v.521 (Acte 2, scène 6, LÉONORE)
D'avoir traîné pour lui la moitié de ma vie ; v.538 (Acte 3, scène 1, LE COMTE)
Il fallait que l'amour y joignit ses transports ! v.540 (Acte 3, scène 1, LE COMTE)
Ce plaisir est payé d'une absence éternelle, v.549 (Acte 3, scène 1, LE COMTE)
Non, rien ne peut la vaincre ; elle part sans retour. v.552 (Acte 3, scène 1, NELTON)
Va savoir si je puis parler à la Marquise. v.557 (Acte 3, scène 1, LE COMTE)
Le monde est idolâtre, elle en est la Déesse. v.570 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Pour elle il fait brûler l'encens le plus flatteur, v.571 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Il enchaîne à ses pas le plaisir séducteur ; v.572 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Pour la mieux amuser, ses efforts le varient. v.573 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
La naissance sans bien est un poids dans la vie, v.585 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
La fougue des désirs qu'on ne peut contenter, v.600 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Et portent le remords fans éteindre la flamme. v.602 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Le désespoir survient, le séjour de la paix v.603 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Et du goût des plaisirs sentant la violence, v.605 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Et, si près du péril, je suis toute tremblante. v.610 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
Votre pays, d'ailleurs, m'a donné la naissance, v.613 (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Et la fidélité surtout est son partage. v.630 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
Il me l'a confié pour servir votre flamme ; v.634 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
Il voulait avec moi rendre heureux vos destins, v.635 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
La Marquise, Monsieur, peut tout sur Léonore ; v.638 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
Si l'on peut la résoudre à choisir un époux, v.643 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
Parlez à la Marquise, et comptez sur Lucie. v.645 (Acte 3, scène 2, LUCIE)
Adieu. Si mon ardeur n'éclate dans ce jour, v.647 (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Sa fille part demain, je la perds sans retour. v.648 (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Dans un si grand péril déclarons ma tendresse. v.650 (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Je déplore son sort, et je plains Léonore, v.653 (Acte 3, scène 4, LUCIE)
Chaque moment accroît, l'ennui qui la dévore ; v.654 (Acte 3, scène 4, LUCIE)
J'ai beau la conjurer d'éclaircir mes alarmes, v.661 (Acte 3, scène 4, LUCIE)
Au lieu de me répondre, elle cache ses larmes : v.662 (Acte 3, scène 4, LUCIE)
Si sa mère savait... Mais je la vois rentrer. v.664 (Acte 3, scène 4, LUCIE)
Je la vis : son air noble annonçait sa naissance. v.688 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Elle vous ressemblait. Son malheur me toucha : v.689 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
La plus forte amitié d'abord nous attacha : v.690 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
La Comtesse en mourant (j'ai peine à retenir v.693 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Les larmes que m'arrache un si dur souvenir) v.694 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Vous remit dans mes mains, en vous baignant de larmes, v.695 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Pour comble de malheurs, je la perdis, hélas ! v.701 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Je vous mis en sa place, et changeai votre sort. v.705 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
De Milady Sussex en publiant la mort, v.706 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Je fis en même temps répandre la nouvelle, v.707 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Que fa fille la nuit était morte après elle. v.708 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Ma tendresse est égale à la force du sang ; v.710 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Je souffre en vous parlant les plus vives douleurs, v.717 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Tant de secrets nouveaux que j'apprends à la fois, v.721 (Acte 3, scène 5, LÉONORE)
M'ont presque dérobé l'usage de la voix. v.722 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
Je dois pleurer la mort, et les malheurs d'un père, v.727 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
Et je dois regretter la perte d'une mère. v.728 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
Ah ! Si je ne tiens pas à vous par la naissance , v.739 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
J'y tiens par les bienfaits et la reconnaissance ; v.740 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
Je sens, dans ces moments que je suis éclairée, v.743 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
La croyance où j'étais de vous devoir le jour. v.745 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
Vos bontés, si de vous j'avais reçu la vie, v.747 (Acte 3, scène 5, L?ONORE)
Et de vos fiers tyrans redoutez la puissance. v.756 (Acte 3, scène 5, LA MARQUISE)
Respirons ! De son fils je ne suis pas la soeur, v.757 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
Et je sens succéder la joie à la douleur. v.758 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
J'allais lier mes voeux d'une chaine éternelle. v.763 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
Brûlait de s'acquitter du devoir qu'il doit rendre v.784 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Trop sûr que la Comtesse, et sa fille après elle, v.795 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Ont rejoint mon ami dans la nuit éternelle ; v.796 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Sans que leur voix s'en plaigne, et leur ombre en gémisse. v.800 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Je vous suis attaché par la plus forte estime ; v.803 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Ma flamme vous surprend : dans l'espace d'un jour, v.809 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Au sein de la douleur, je succombe à l'amour. v.810 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Mais contre la beauté, que peut notre sagesse ? v.811 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Il m'est doux, quand je suis soumis à la tendresse, v.812 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Monsieur, le noble aveu d'une flamme si belle v.815 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Flatte trop Léonore, et moi-même avec elle ; v.816 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Qu'elle ait pour la retraite un penchant invincible, v.819 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Je tremble que ce goût ne la rende inflexible ; v.820 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
La raison me défend de la gêner en rien. v.822 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Si vers la solitude un attrait véritable v.824 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Malgré la vive ardeur dont je suis dévoré, v.826 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Et de la liberté je suis trop partisan. v.830 (Acte 4, scène 2, LE COMTE)
Et je m'applaudirais d'unir son fort au vôtre. v.840 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Mais ce n'est pas assez de ce discours flatteur, v.842 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Un secret important, qui vous comblant de joie, v.847 (Acte 4, scène 2, LA MARQUISE)
Ce coup est accablant ; pour elle j'en soupire : v.855 (Acte 4, scène 4, LE COMTE)
Mais quel est le secret qu'elle voulait me dire ? v.856 (Acte 4, scène 4, LE COMTE)
Venez, et que d'un mot je vous sauve la vie. v.860 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
Non. Laissez-moi mourir. v.861 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Du moment où mon coeur peut la faire éclater. v.866 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
Des transports que je fais éclater devant vous, v.873 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
Ah ! La source est plus pure, et le motif plus doux ! v.874 (Acte 4, scène 5, L?ONORE)
Le Comte de Sussex dont je tiens la naissance, v.883 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
De l'extrême douleur à la joie excessive. v.887 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Et je crains d'expirer d'un excès de plaisir. v.890 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Non, je ne la suis pas. v.892 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
Jouissons de concert de la douceur extrême, v.899 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
L'Amour a dans nos coeurs prévenu la raison v.906 (Acte 4, scène 5, LÉONORE)
Et je brûlais pour vous avant de me connaître : v.908 (Acte 4, scène 5, L?ONORE)
Que d'instants au plaisir ont volé les remords ? v.914 (Acte 4, scène 5, L?ONORE)
Grand Dieu ! Je m'étonnais qu'une flamme si pure v.915 (Acte 4, scène 5, L?ONORE)
Pût offenser tes lois, et blesser la nature ; v.916 (Acte 4, scène 5, L?ONORE)
Et, démentant la voix de ces remords cruels, v.917 (Acte 4, scène 5, L?ONORE)
Et de le répéter je ne me lasse point : v.922 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Sentez-vous la douceur d'un retour si charmant ? v.926 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Songez-vous que les noeuds d'un flatteur hyménée v.927 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Quelle crainte est la vôtre ? Et qu'osez-vous me, dire ? v.932 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Et je jure à vos pieds par l'ardeur qui m'enflamme, v.940 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
Mon coeur qui la connaît, lui jure qu'il l'adore, v.948 (Acte 4, scène -, LE MARQUIS)
Madame ; et dans ce jour il ose se flatter v.949 (Acte 4, scène -, LE MARQUIS)
Qu'approuvant le transport qu'il a fait éclater, v.950 (Acte 4, scène -, LE MARQUIS)
Lëonore, j'ai lieu de me plaindre de vous. v.953 (Acte 4, scène -, LA MARQUISE)
Je sens pour Léonore une si vive flamme, v.975 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
Puisque je l'adorais, en la croyant ma soeur. v.978 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
Donnez-moi Léonore, ou donnez-moi la mort. v.982 (Acte 4, scène 6, LE MARQUIS)
Le temps le calmera, mon fils, et je vous laisse. v.984 (Acte 4, scène 6, LA MARQUISE)
Que ne me laissait-on mourir dans mon erreur ? v.986 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
La mort à mes regards était bien moins cruelle, v.988 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
Que la perte d'un bien que je me suis promis, v.989 (Acte 4, scène 8, LE MARQUIS)
Parlez, ne laissez pas mon esprit en balance, v.992 (Acte 5, scène 1, LE MARQUIS)
Et puis-je me flatter... v.994 (Acte 5, scène 1, LE MARQUIS)
Ils n'ont pu la changer, son âme est inflexible, v.995 (Acte 5, scène 1, LÉONORE)
Qui ? Moi, me dérober des bras de la Marquise ! v.1012 (Acte 5, scène 1, LÉONORE)
Qu'en dépit de ma flamme, et malgré votre feu, v.1021 (Acte 5, scène 1, L?ONORE)
Je ne la deviendrai que de son propre aveu. v.1022 (Acte 5, scène 1, L?ONORE)
Et si je vous croyais, je perdrais la dernière. v.1024 (Acte 5, scène 1, L?ONORE)
La suite, quel_que_soit le préjugé sévère, v.1031 (Acte 5, scène 1, LE MARQUIS)
Je serais malheureuse, et blâmée à la fois. v.1038 (Acte 5, scène 1, LÉONORE)
J'ai du moins la douceur de me voir respectée, v.1044 (Acte 5, scène 1, L?ONORE)
De la Marquise en tout je révère la loi : v.1053 (Acte 5, scène 1, LÉONORE)
Quand il a la raison et l'honneur pour soutien, v.1058 (Acte 5, scène 1, L?ONORE)
Je vais revoir ma mère, et, sûr de votre flamme, v.1063 (Acte 5, scène 1, LE MARQUIS)
Le bruit le plus flatteur a frappé mon oreille. v.1076 (Acte 5, scène 3, LE COMTE)
Que d'y fixer vos pas je dois avoir la gloire, v.1080 (Acte 5, scène 3, LE COMTE)
Il est vrai, la Marquise ordonne cette fête ; v.1087 (Acte 5, scène 3, LÉONORE)
Et m'aurait-on flatté d'une fausse espérance ? v.1091 (Acte 5, scène 3, LE COMTE)
Connaissez un rival à ce bouillant transport ; v.1129 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
D'un ami tant pleuré j'embrasse donc la fille, v.1143 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
La joie et la douleur, la pitié, la surprise v.1151 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
Que l'amitié, Monsieur, demeure la maîtresse ; v.1155 (Acte 5, scène 4, LÉONORE)
D'une fille pour vous j'ai toute la tendresse. v.1156 (Acte 5, scène 4, L?ONORE)
Et laissez-vous toucher par mes gémissements. v.1158 (Acte 5, scène 4, L?ONORE)
La Marquise devient insensible aujourd'hui ? v.1161 (Acte 5, scène 4, L?ONORE)
Et je sens à mon tour la pitié qui m'agite, v.1164 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
Fortune ! Contre moi fallait-il susciter v.1165 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
Un rival que je dois et plaindre, et respecter ? v.1166 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
Du Comte en même-temps j'entends la voix plaintive ; v.1168 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
Cher Neuilly, me dit il, la mort m'est favorable, v.1171 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
Daigne la secourir, et lui servir de père. v.1176 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
La solide amitié doit être mon partage. v.1180 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
Et pour la signaler, je rentre sous ses lois. v.1182 (Acte 5, scène 4, LE COMTE)
Du Comte de Sussex la fille m'est connue, v.1183 (Acte 5, scène 5, LE COMTE)
La fortune, il est vrai, n'est pas son apanage ; v.1192 (Acte 5, scène 5, LE COMTE)
Pour la seconde fois entrez dans ma famille. v.1199 (Acte 5, scène 5, LA MARQUISE)

LE RIVAL FAVORABLE (1739)

Clarice l'aime-t-elle aujourd'hui ? v.2 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Dans une âme coquette on lit malaisément. v.4 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Non, celle de Clarice est plutôt indécise; v.5 (Acte 1, scène 1, MARTON)
C'est l'inégalité qui la caractérise, v.6 (Acte 1, scène 1, MARTON)
Il veut vaincre sa flamme, et cet effort extrême v.9 (Acte 1, scène 1, MARTON)
Oui, mais, s'il est perdu, Clarice le saura ; v.23 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Et tel peut le trouver qui la compromettra. v.24 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
La Lettre heureusement n'a point de signature. v.26 (Acte 1, scène 1, MARTON)
Pour supplanter mon Maître, il est trop son ami. v.36 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
La trahison plutôt est un ragoût pour eux, v.39 (Acte 1, scène 1, MARTON)
C'est par cette raison qu'il doit plaire plus vite, v.42 (Acte 1, scène 1, MARTON)
Je croyais le contraire, et ce discours m'alarme ; v.45 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Ciel ! Que me dis-tu-là ? Mon amour est à plaindre, v.49 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Tu pourras, sans miracle, en faire la conquête. v.54 (Acte 1, scène 1, MARTON)
Je n'ose m'en flatter. v.55 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Plaisanterie à part, je prévois du fracas. v.56 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Qu'il prenne garde à lui, s'il te plaît, il est mort. v.60 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Non. Je suis né vaillant, et c'est là ma marotte v.62 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Et j'ai servi huit ans, la chose est avérée. v.65 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Trois dans l'Épée, et cinq dans la Livrée. v.66 (Acte 1, scène 1, LA FLEUR)
Ses inégalités alarment ma tendresse. v.70 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Elle écoute Léandre, et son encens la flatte. v.74 (Acte 1, scène 2, LA FLEUR)
Dis-moi, La Fleur, crois-tu qu'il lui plaise en effet ? v.75 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Il est avantageux ; je crains pour votre flamme ; v.77 (Acte 1, scène 2, LA FLEUR)
Une folle, d'accord ; mais Clarice... v.79 (Acte 1, scène 2, DAMON)
Comment va la santé ? Comment va la tendresse ? v.82 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Puis-je savoir de toi quelle beauté l'enflamme ? v.85 (Acte 1, scène 3, DAMON)
C'est Clarice ? v.87 (Acte 1, scène 3, DAMON)
De nous couper la gorge ? v.91 (Acte 1, scène 3, DAMON)
On ne se coupe plus la gorge pour des femmes, v.93 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Rien n'est plus indécent : pour accorder nos flammes, v.94 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Faire agir l'artifice, et non la violence. v.98 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Conduisons-nous ici comme on fait au Palais, v.99 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Sollicitons sans bruit, notre Juge est Clarice, v.101 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Appliquons tout notre art à la rendre propice ; v.102 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Et puisqu'enfin l'Amant au Plaideur est conforme, v.105 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Pour emporter le fonds, faisons valoir la forme. v.106 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Pour répondre en deux mots à ce beau plaidoyer, v.108 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Employer dans tes feux, la ruse et le détour. v.111 (Acte 1, scène 3, DAMON)
C'est de faire éclater une flamme sincère, v.113 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Et de n'avoir recours qu'à sa force pour plaire : v.114 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Si la forme, Léandre, emportera le fonds. v.116 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Tu crois qu'un feu loyal doit enflammer ta veuve ? v.118 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Mon triomphe est certain ; tu seras supplanté. v.124 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Pour user avec toi de la même franchise, v.129 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Vain espoir qui te flatte. v.138 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Avant qu'à ses regards notre ardeur se déclare, v.141 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Clarice... v.147 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Depuis six mois entiers tu languis dans ses chaînes ; v.149 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Moi, je ne la connais que depuis trois semaines, v.150 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Supplantera le tien avant la fin du jour. v.152 (Acte 1, scène 3, L?ANDRE)
Veux-tu parier une fête galante v.153 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
Je déclare ma flamme, et sa fierté dispute v.157 (Acte 1, scène 3, LÉANDRE)
En trois heures de temps ! La victoire est rapide. v.161 (Acte 1, scène 3, DAMON)
Les moments te sont chers. Je te laisse. À tantôt. v.163 (Acte 1, scène 3, DAMON)
J'en ai la preuve en main. v.168 (Acte 1, scène 4, LÉANDRE)
Ma flamme ingénieuse en saura faire usage. v.173 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
J'ai disposé Clarice, et l'on doit tout oser, v.175 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Quand on a l'art de plaire, et le don d'amuser. v.176 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Je la vois qui s'avance, et l'instant est propice. v.177 (Acte 1, scène 4, L?ANDRE)
Je ne veux plus chez moi voir d'amants déclarés ; v.180 (Acte 1, scène 5, CLARICE)
Rien n'est plus sérieux que l'ardeur qui m'enflamme. v.202 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
Ne me tenez jamais un langage pareil, v.204 (Acte 1, scène 5, CLARICE)
Vous aurez, s'il vous plaît, Monsieur, pour agréable, v.206 (Acte 1, scène 5, CLARICE)
Ne veut pas qu'on vous aime, et qu'on vous le déclare ? v.210 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
Dans ce siècle où l'on joint l'aisance à la finesse, v.221 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
La partie achevée, on va souper ensemble. v.225 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
L'amitié ne rompt point par la rivalité. v.227 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
Et quand le plus heureux emporte enfin la place, v.229 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
Nous vous servirons mieux par émulation. v.236 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
Notre plan est si beau, souffrez qu'il s'exécute : v.238 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
Mais Madame, un moment, mettez-vous à ma place, v.245 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
Moi, Monsieur, je me lasse, v.246 (Acte 1, scène 5, CLARICE)
Ou changez de langage, ou ne me voyez plus. v.248 (Acte 1, scène 5, CLARICE)
Ce ne sont que les mots qui vous font de la peine ; v.250 (Acte 1, scène 5, LÉANDRE)
L'esprit, comme il lui plaît, peut leur donner un sens : v.252 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
Ce terme répété vous fera de ma flamme v.258 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
Sentir toute la force et l'excès violent, v.259 (Acte 1, scène 5, L?ANDRE)
La nouveauté du trait fait passer son audace. v.266 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Son esprit donne à tout un vernis si plaisant, v.268 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Qu'on ne peut se fâcher ; j'en goûte la tournure. v.269 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
La raison et l'amour le tiennent suspendu ; v.288 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Il paraît à mes yeux, tantôt laid, tantôt beau. v.291 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Non ; il est trop flatteur pour être véritable. v.293 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Ah ! Le Peintre qui flatte, est toujours préférable. v.294 (Acte 1, scène 6, MARTON)
La raison nous présente un coloris trop dur ; v.295 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Je voudrais bien plutôt en étouffer la force. v.297 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Opter du sentiment, ou bien de la Raison. v.304 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Qui de tout esclavage affranchisse mon coeur. v.308 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Par ses réflexions, la raison nous maltraite ; v.309 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
J'aurai, grâces à lui, la liberté pour Reine ; v.313 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Pour loi, la fantaisie, et le plaisir pour chaîne. v.314 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Sans inspirer l'amour, il a le don de plaire ; v.321 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Et sans attacher l'âme, il sert à la distraire ; v.322 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Ce commerce flatteur, faisant diversion, v.323 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
De la raison en vain il cache le flambeau ; v.335 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Sa clarté luit, et perce à travers son bandeau : v.336 (Acte 1, scène 6, MARTON)
C'est pour livrer notre âme à de volages noeuds v.340 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Qui sont l'ouvrage seul de la folle inconstance, v.341 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Si l'innocence échappe à l'éclat qui les suit, v.343 (Acte 1, scène 6, MARTON)
La gloire y fait naufrage et l'honneur y périt v.344 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Et qui peut au devoir marier le plaisir. v.348 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Marton, sur ce sujet vos clartés sont petites ; v.349 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
La sagesse, à propos, en sait régler l'essor ; v.351 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Le monde nous éclaire, et le modère encor. v.352 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Et dont ne peut rougir la femme la plus sage : v.354 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Au sein de la décence il est toujours conçu, v.355 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Sa douceur de tout soin fait perdre la mémoire, v.357 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Telle est la liaison où je veux me borner. v.359 (Acte 1, scène 6, CLARICE)
Imperceptiblement on se laisse entraîner. v.360 (Acte 1, scène 6, MARTON)
Du plaisir de vous voir je puis enfin jouir ! v.363 (Acte 1, scène 7, DAMON)
Je ne puis vous en dire la cause. v.370 (Acte 1, scène 8, MARTON)
Remarquez bien, Monsieur, qu'il la quitte à l'instant. v.375 (Acte 1, scène 8, LA FLEUR)
Puisqu'il faut éclaircir votre esprit alarmé, v.379 (Acte 1, scène 8, MARTON)
Léandre plaît, Monsieur, mais vous êtes aimé. v.380 (Acte 1, scène 8, MARTON)
Par là, que veux-tu dire ? Explique ce langage. v.381 (Acte 1, scène 8, DAMON)
Oh ! C'est pour la distraire. v.390 (Acte 1, scène 8, MARTON)
Faites, pour l'éprouver ; la cour à sa voisine ; v.394 (Acte 1, scène 8, MARTON)
Et je sens la froideur succéder à mon feu. v.400 (Acte 1, scène 8, DAMON)
Je veux exactement obéir à Clarice ; v.401 (Acte 1, scène 8, DAMON)
Que je pars pour ne plus la revoir de ma vie. v.410 (Acte 1, scène 8, DAMON)
Dis-lui que je la perds sans en être agité. v.412 (Acte 1, scène 8, DAMON)
Voilà les jeux de ton sexe volage ! v.417 (Acte 1, scène 9, LA FLEUR)
Je ne veux ni brusquer, ni filer la tendresse. v.422 (Acte 1, scène 9, MARTON)
On traitait autrefois l'amour dans la fadeur, v.423 (Acte 1, scène 9, MARTON)
Et faute d'aliment il séchait de langueur. v.424 (Acte 1, scène 9, MARTON)
Avec la liberté mon coeur se sent renaître ! v.430 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Dans mon âme, la paix va faire sa demeure, v.433 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Et ses transports flatteurs sont ma sécurité. v.440 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
La tristesse est toujours fille du sentiment. v.444 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Plus d'affaire de coeur, trop de chagrin la suit. v.447 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Et donne du plaisir sans causer de la peine. v.450 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Pour goûter un plaisir aussi doux que permis, v.451 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Le plus spirituel me plaira par justice : v.458 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Et fermerai la bouche aux critiques malins. v.460 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Peut-être je verrai la Marquise en passant. v.464 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Je n'ose l'assurer ; la chose est incertaine. v.470 (Acte 2, scène 1, MARTON)
Marton, la différence entre eux est infinie ! v.473 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Mais, à la même loi Damon se soumettra. v.475 (Acte 2, scène 1, MARTON)
Son exil, de mes feux prouvait la violence : v.482 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
Et que par la raison mes liens sont rompus. v.484 (Acte 2, scène 1, CLARICE)
La tient secrètement toujours sous son empire. v.486 (Acte 2, scène 2, MARTON)
Ah ! La Fleur, en ces lieux, tu reviens à propos, v.487 (Acte 2, scène 3, MARTON)
Il n'importe à quel titre ; il suffit qu'il la voie. v.494 (Acte 2, scène 3, LA FLEUR)
Elle revient bientôt au vrai goût qui la guide, v.505 (Acte 2, scène 3, MARTON)
Ton Maître y gagnera par la comparaison. v.508 (Acte 2, scène 3, MARTON)
Je vais de son rappel lui porter la nouvelle ; v.513 (Acte 2, scène 3, LA FLEUR)
Mais Arlequin, qui vient, alarme mon amour, v.515 (Acte 2, scène 3, LA FLEUR)
Faites, dans ce moment, que La Fleur se retire. v.518 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Tu prends l'alarme, et tu crains mon mérite. v.521 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Laisse-nous pour raison. v.523 (Acte 2, scène 4, MARTON)
La Fleur devrait rougir du sot rôle qu'il joue. v.529 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Tournez sur ce brillant un peu votre regard. v.531 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Madame, il est formé pour vaincre la plus fière, v.541 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Et l'ouvrage en est riche autant que la matière. v.542 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Qui doit dans la balance emporter votre choix. v.544 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Qu'à me l'offrir, La Fleur a tardé bien du temps. v.548 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Contemplez ce brillant ; sa blancheur est parfaite, v.553 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Trompe d'abord la vue, et n'est que de tombac. v.556 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Tout mis dans la balance, et jugé sainement, v.559 (Acte 2, scène 4, MARTON)
La Bague de Léandre est un faux diamant : v.560 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Et son éclat trompeur le peint et l'apprécie. v.562 (Acte 2, scène 4, MARTON)
L'or en prouve, à la fois, toute la pureté, v.567 (Acte 2, scène 4, MARTON)
La constance, le prix, et la solidité. v.568 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Me font prendre la boîte, et rendre le brillant. v.572 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Le penchant, l'intérêt, le devoir, la raison. v.575 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Tu gagnes plus que moi, la chose est manifeste. v.581 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Je perds la tabatière, et la Bague te reste. v.582 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
De ma flamme sincère. v.585 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Entre Arlequin et moi, tu balances, Marton ? v.587 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Je suis humilié par la comparaison. v.588 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Je veux de la douceur, je veux de la franchise. v.593 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Et pour trancher le mot, je veux de la bêtise ; v.594 (Acte 2, scène 4, MARTON)
La bonté l'accompagne, et c'est ce qu'il me faut, v.595 (Acte 2, scène 4, MARTON)
Peux-tu mettre laLa Fleur à de telles épreuves v.597 (Acte 2, scène 4, LA FLEUR)
Je ne m'alarme point, elle l'a dit pour rire. v.602 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
Sais-tu qu'à la rigueur je risque autant que toi ? v.604 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
En vain par ce discours tu prétends me flatter ; v.607 (Acte 2, scène 5, LA FLEUR)
Mais, je t'en avertis, j'aime jusqu'à la rage. v.609 (Acte 2, scène 5, LA FLEUR)
Corbleu ! Je te bombarde, et je la prend d'assaut ! v.616 (Acte 2, scène 5, LA FLEUR)
Je sens du premier choc, que la place succombe. v.617 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
Je vais joindre mon Maître. Adieu. Gare la bombe ! v.618 (Acte 2, scène 5, LA FLEUR)
As-tu vu la Marton ? v.619 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
Elle s'est déclarée aujourd'hui pour un autre : v.621 (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
Et pour les faux brillants Marton a du mépris. v.623 (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
La Mode a le pouvoir de leur donner du prix. v.624 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
Dédaigne mon Brillant, lorsqu'à la Présidente v.626 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
Je la vois à ton doigt, et tu n'es pas sincère. v.630 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
Je te laisse la bague en faveur du bon mot, v.636 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
Marton me tient rigueur! Tant mieux, j'aurai la gloire v.637 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
Quand j'ai donné tantôt le bon soir à Clarice v.641 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
Et son coeur est à moi, s'il goûte mon langage. v.646 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
Que je deviendrai seul, en les brouillant tous deux ; v.655 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
L'Idole de Clarice, et le Roi de ses voeux. v.656 (Acte 2, scène 6, L?ANDRE)
À tout, pour la revoir, je suis déterminé. v.660 (Acte 2, scène 7, DAMON)
Il sera des plus fins s'il échappe à mes lacs ! v.664 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
Jouons la modestie, et sachons ce qu'il pense. v.666 (Acte 2, scène 8, LÉANDRE)
Et moi de t'y revoir, j'ai de la joie aussi. v.668 (Acte 2, scène 8, LÉANDRE)
Je méconnais Léandre à ce langage-là, v.675 (Acte 2, scène 8, DAMON)
Lui, dont la vanité jamais ne s'ébranla, v.676 (Acte 2, scène 8, DAMON)
Moi, je suis presque sûr de gagner la gageure, v.681 (Acte 2, scène 8, DAMON)
Malgré ma confiance, il alarme mes feux. v.684 (Acte 2, scène 8, LÉANDRE)
Tu croyais, de plein saut, remporter la victoire. v.685 (Acte 2, scène 8, DAMON)
En me parlant ainsi, ne me trompes-tu point? v.691 (Acte 2, scène 8, DAMON)
Dont la protection m'est d'ailleurs nécessaire. v.705 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
De l'accueil gracieux qu'il a fait à sa flamme v.709 (Acte 2, scène 10, L?ANDRE)
J'ai promis qu'il l'aurait avant la fin du jour. v.712 (Acte 2, scène 10, L?ANDRE)
On n'a pas tout reçu des mains de la nature. v.721 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
Fais-moi donc ce plaisir, Damon, je t'en conjure. v.722 (Acte 2, scène 10, L?ANDRE)
Et quand tu le voudras, je plaiderai pour toi. v.724 (Acte 2, scène 10, L?ANDRE)
Voici tout ce qu'il faut ; fais-la sans plus remettre. v.726 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
Conviens donc que pour toi j'ai bien de la bonté. v.727 (Acte 2, scène 10, DAMON)
J'en demeure d'accord, et c'est la vérité. v.728 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
Vois si la lettre est bien. v.730 (Acte 2, scène 10, DAMON)
Comme je la désire. v.730 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
Je vais la copier. v.731 (Acte 2, scène 10, L?ANDRE)
Te laisse plus longtemps ignorer son bonheur. v.736 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
La perfide ! Quel trait ! Je me sens déchirer ! v.739 (Acte 2, scène 10, DAMON)
Je conçois ton dépit ; mais j'ai dû t'éclairer. v.740 (Acte 2, scène 10, LÉANDRE)
Que pour voir ton triomphe, et sa flamme infidèle. v.742 (Acte 2, scène 10, DAMON)
Adieu ; je te la cède, v.745 (Acte 2, scène 10, DAMON)
Je goûte un bien nouveau : ce Billet de Clarice v.749 (Acte 2, scène 11, LÉANDRE)
L'écrit qu'il m'a laissé met le comble à mon art. v.752 (Acte 2, scène 11, L?ANDRE)
Mon plan n'est plus douteux, et je n'ai qu'à le suivre, v.758 (Acte 2, scène 11, L?ANDRE)
Il me tarde de voir Clarice de retour. v.760 (Acte 2, scène 11, L?ANDRE)
J'attends.... mais la voici qui vient. v.761 (Acte 2, scène 11, L?ANDRE)
Il faudrait me borner au plaisir de vous voir : v.768 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Plus vif que l'amitié, moins fou que la tendresse, v.785 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Sans causer de langueur, je veux qu'il intéresse. v.786 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
C'est embellir Platon. v.791 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Soit. Réformons tous deux la langue de Cythère. v.794 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Et celui de « langueur », qui riment à fadeur. v.796 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Supprimons les « soupirs », les « feux avec les flammes », v.797 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
« Votre beauté divine, et vos brillants appas. » v.804 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Qui remplissent de trouble, et causent tant d'alarmes. » v.806 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Mais que mettre à la place v.809 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
De choisir, d'agréer, d'intéresser, de plaire. v.814 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
On pourra l'employer quatre fois la semaine. v.817 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
C'est ce pauvre Damon qui me fait de la peine. v.818 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
La raison, s'il vous plaît ? v.822 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
La chose me surprend, et n'est pas vraisemblable. v.825 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Vous, porteur d'un billet ? Chanson que tout cela, v.839 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Car la Lettre n'est pas encore cachetée : v.842 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Ma Déesse, ne soyez donc plus jalouse de la Dame en question. (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Cela commence à prendre. v.846 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Puis-je moins payer la plus légère de vos faveurs ! (Acte 2, scène 12, CLARICE)
La Dame en question, c'est toujours le langage v.858 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Mais qui rendra la lettre ? v.869 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
C'est moi qui prendrai soin de la faire remettre. v.870 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Dites-moi la demeure et le nom de la Belle. v.873 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Ah ! c'est la compromettre ; et sa personne est telle v.874 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
La première venue. v.881 (Acte 2, scène 12, LÉANDRE)
Je la connais. v.882 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
La Marquise viendra faire un médiateur, v.883 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Je dois sur son péril l'éclairer sagement: v.888 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Je l'en ferai rougir, et préviendrai la suite : v.894 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Non, dès que je la verrai, v.903 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
Je la vois qui paraît. v.905 (Acte 2, scène 12, CLARICE)
C'est pour vous épargner le malheur d'un éclat. v.912 (Acte 2, scène 13, CLARICE)
Ce début a lieu de m'alarmer. v.915 (Acte 2, scène 13, ÉLIANTE)
Quel est donc cet éclat ? Daignez m'en informer. v.916 (Acte 2, scène 13, ?LIANTE)
Ce discours, à la fin, et m'insulte et me blesse. v.926 (Acte 2, scène 13, ÉLIANTE)
La part qu'y prend mon coeur, Madame, est faible en soi. v.931 (Acte 2, scène 13, CLARICE)
Pouvez-vous aussi loin pousser la calomnie ? v.937 (Acte 2, scène 13, ÉLIANTE)
Oh ! La Lettre est réelle, v.941 (Acte 2, scène 13, CLARICE)
Et prouve clairement votre ardeur mutuelle. v.942 (Acte 2, scène 13, CLARICE)
Oh ! Vous m'éclaircirez sur un fait qui m'outrage. v.958 (Acte 2, scène 13, ÉLIANTE)
Mais que la chose soit ou qu'elle ne soit pas, v.959 (Acte 2, scène 13, LÉANDRE)
À quoi bon l'éclaircir ? v.964 (Acte 2, scène 13, LÉANDRE)
Pourquoi vous alarmer ? v.964 (Acte 2, scène 13, L?ANDRE)
De soumettre un amant elle doit s'applaudir, v.967 (Acte 2, scène 13, L?ANDRE)
La Marquise est déjà dans le salon voisin, v.971 (Acte 2, scène 14, MARTON)
Madame, et vous attend les cartes à la main. v.972 (Acte 2, scène 14, MARTON)
Parlez, pour la punir. v.976 (Acte 2, scène 14, CLARICE)
Eh ! La Marquise attend. v.976 (Acte 2, scène 14, LÉANDRE)
Plaisante question! v.978 (Acte 2, scène 15, CLARICE)
Vous prenez mal la chose : elle est flatteuse au fonds. v.983 (Acte 2, scène 15, LÉANDRE)
Flatteuse ? Quel discours ! v.984 (Acte 2, scène 15, ÉLIANTE)
Mais craignez la Marquise ; elle peut vous entendre ; v.985 (Acte 2, scène 15, LÉANDRE)
Le venin de sa langue est prompt à se répandre. v.986 (Acte 2, scène 15, L?ANDRE)
Madame, la Marquise est dans l'impatience, v.990 (Acte 2, scène 16, MARTON)
La Marquise a raison; c'est se moquer des gens. v.992 (Acte 2, scène 16, LÉANDRE)
De venir vous chercher elle prendra la peine. v.994 (Acte 2, scène 16, MARTON)
Je vous laisse. v.996 (Acte 2, scène 16, LÉANDRE)
Je veux qu'il m'éclaircisse. v.997 (Acte 2, scène 16, ÉLIANTE)
Et je ne sais comment finira la dispute. v.1014 (Acte 3, scène 1, MARTON)
Pour la mieux enchaîner, il faut dans son erreur, v.1019 (Acte 3, scène 1, MARTON)
Il a tort maintenant de la croire volage. v.1025 (Acte 3, scène 1, MARTON)
Qui porte l'évidence et la conviction, v.1027 (Acte 3, scène 1, LA FLEUR)
Mais tant mieux pour Damon, qu'il s'y soit laissé prendre, v.1030 (Acte 3, scène 1, MARTON)
Aux regards de Clarice, il n'en jouera que mieux. v.1031 (Acte 3, scène 1, MARTON)
Et sera plus pour lui que la vérité même. v.1034 (Acte 3, scène 1, MARTON)
Tu ne languiras pas, Marton ; car le voici. v.1036 (Acte 3, scène 1, LA FLEUR)
Ce changement flatteur me transporte d'avance. v.1038 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Quel plaisir pour mon coeur de l'en rendre témoin ! v.1040 (Acte 3, scène 2, DAMON)
De quel objet ce coeur devient-il la conquête? v.1041 (Acte 3, scène 2, MARTON)
Cydalise, Monsieur, plairait-elle à vos yeux ? v.1051 (Acte 3, scène 2, LA FLEUR)
Choisissez la Marquise, elle est vive et piquante. v.1057 (Acte 3, scène 2, MARTON)
Elle a pour la Finance un penchant trop marqué. v.1064 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Je ne vois plus personne à la Cour, à la Ville. v.1066 (Acte 3, scène 2, MARTON)
Il est vrai que Clarice a plus de grâces qu'elle. v.1070 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Clarice, en sa personne a le je ne sais quoi : v.1071 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Mais son coeur est volage, elle est laide pour moi. v.1072 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Je préfère Éliante, et lui donne la pomme; v.1073 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Dans la chambre prochaine. v.1077 (Acte 3, scène 2, MARTON)
Je veux, je veux, Marton, en ce moment flatteur v.1079 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Faire aux yeux de Clarice éclater mon ardeur. v.1080 (Acte 3, scène 2, DAMON)
Et le plaisir de voir sa vanité choquée, v.1082 (Acte 3, scène 2, DAMON)
J'applaudis votre idée, en bien elle me frappe. v.1085 (Acte 3, scène 2, LA FLEUR)
Non, tu m'écouteras; la chose t'intéresse. v.1089 (Acte 3, scène 3, DAMON)
Tu peux aimer Clarice, et mon coeur y renonce. v.1093 (Acte 3, scène 3, DAMON)
J'en suis vraiment charmé. Mais laisses-moi. v.1096 (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
La Belle est en ces lieux, v.1108 (Acte 3, scène 3, DAMON)
Saisis un meilleur temps pour déclarer ton feu ; v.1111 (Acte 3, scène 3, LÉANDRE)
Apprends-m'en la raison ? v.1113 (Acte 3, scène 3, DAMON)
Oui, Léandre confus prouve la calomnie, v.1117 (Acte 3, scène 5, ÉLIANTE)
Écoutez ; j'ai poussé la vivacité loin, v.1119 (Acte 3, scène 5, CLARICE)
De notre démêlé sa présence est la cause, v.1121 (Acte 3, scène 5, CLARICE)
Et sans lui, votre coeur m'eût déclaré la chose. v.1122 (Acte 3, scène 5, CLARICE)
Je n'avouerai jamais ce qui n'est pas, Clarice : v.1129 (Acte 3, scène 6, ÉLIANTE)
Votre histoire, Éliante, éclatera dans peu : v.1144 (Acte 3, scène 6, CLARICE)
Vous affecter en vain de la tenir secrète; v.1145 (Acte 3, scène 6, CLARICE)
J'excuse ; et qui plus est, je plains votre faiblesse. v.1158 (Acte 3, scène 6, ÉLIANTE)
Que je veux déclarer ma tendresse nouvelle. v.1166 (Acte 3, scène 7, DAMON)
Venez m'aider, Monsieur, à détromper Clarice. v.1169 (Acte 3, scène 7, ÉLIANTE)
Elle croit fermement, sur la foi de Léandre, v.1173 (Acte 3, scène 7, ?LIANTE)
Est trop flatteur pour moi, pour oser le détruire ; v.1178 (Acte 3, scène 7, DAMON)
La première partie est vraie exactement, v.1179 (Acte 3, scène 7, DAMON)
Je puis le déclarer, puisque vous me charmez : v.1184 (Acte 3, scène 7, DAMON)
Pourquoi feindre pour moi cette flamme fatale ? v.1201 (Acte 3, scène 7, ÉLIANTE)
Vous me parlez d'amour pour la première fois. v.1204 (Acte 3, scène 7, ?LIANTE)
Faut-il pour l'obtenir, que je verse des larmes ? v.1213 (Acte 3, scène 7, ÉLIANTE)
Ces pleurs, pour m'enflammer, sont de nouvelles armes. v.1214 (Acte 3, scène 7, DAMON)
Prenez-vous du plaisir à jouir de ma peine ? v.1217 (Acte 3, scène 7, ÉLIANTE)
Est-ce en attendrissants, qu'on inspire la haine ? v.1218 (Acte 3, scène 7, DAMON)
Madame, je le suis, je hais la perfidie. v.1221 (Acte 3, scène 7, DAMON)
C'est trop, vous-même ici jouer la Comédie : v.1222 (Acte 3, scène 7, CLARICE)
Votre amant vous adore, et tout haut le déclare. v.1225 (Acte 3, scène 7, CLARICE)
Le plaisir d'être aimée, est le plus grand de tous ; v.1227 (Acte 3, scène 7, CLARICE)
L'Amour fait son profit du déchet de la gloire ; v.1230 (Acte 3, scène 7, CLARICE)
Quoi ! C'est peu contre moi d'armer la calomnie, v.1233 (Acte 3, scène 7, ÉLIANTE)
Et la tranquillité qu'inspire l'innocence. v.1238 (Acte 3, scène 7, ?LIANTE)
Du soin de l'éclairer se remet toute entière. v.1242 (Acte 3, scène 7, ?LIANTE)
Peut noircir la sagesse, et jamais la détruire. v.1246 (Acte 3, scène 7, ?LIANTE)
La vérité m'oblige à prendre sa défense. v.1249 (Acte 3, scène 8, DAMON)
Elle en est la victime et non pas la complice. v.1253 (Acte 3, scène 8, DAMON)
Votre bouche, Monsieur, en vain la justifie ; v.1258 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
J'ai de quoi l'éclaircir, et de quoi vous confondre : v.1262 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
La Lettre... v.1263 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
Madame, la voilà : v.1279 (Acte 3, scène 8, DAMON)
Connaissez-vous la main d'où part ce billet-là ? v.1280 (Acte 3, scène 8, DAMON)
Il est vrai, votre flamme y brille en tous son jour. v.1284 (Acte 3, scène 8, DAMON)
Et pour un coeur sans foi, que cette ardeur éclate. v.1286 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
Mais je ne vous plains pas, vous l'avez mérité : v.1288 (Acte 3, scène 8, DAMON)
Votre mauvaise foi se dévoile en cela. v.1292 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
Quand la Lettre est pour vous, quand j'ai chargé Marton v.1299 (Acte 3, scène 8, CLARICE)
La Lettre est pourtant arrivée v.1310 (Acte 3, scène 9, DAMON)
C'est la faute, Marton de votre négligence. v.1318 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Il faut qu'absolument Léandre me la donne. v.1322 (Acte 3, scène 9, DAMON)
Il vous la donnera, je vous le cautionne: v.1323 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Vous êtes un ingrat, vous êtes un volage. v.1334 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Je la connais. v.1341 (Acte 3, scène 9, MARTON)
La Lettre enfin... v.1341 (Acte 3, scène 9, DAMON)
Mes yeux ont-ils besoin de plus grande clarté ? v.1343 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
C'est un affront sanglant qu'aucun autre n'approche : v.1345 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Je lui dois arracher la victoire des mains. v.1348 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Il n'est qu'un seul moyen que je vais déclarer ; v.1352 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
C'est de sacrifier Éliante à ma flamme ; v.1353 (Acte 3, scène 9, CLARICE)
Et promet hautement de n'aimer que Clarice. v.1362 (Acte 3, scène 9, DAMON)
Il me la sacrifie enfin, et je l'épouse. v.1370 (Acte 3, scène 10, CLARICE)
Vous en êtes la dupe. v.1376 (Acte 3, scène 10, LÉANDRE)
De mes vrais sentiments, il m'a seul éclaircie ; v.1386 (Acte 3, scène 10, CLARICE)
Et fixant mon esprit, pour la première fois, v.1387 (Acte 3, scène 10, CLARICE)
C'est d'avoir attaqué la gloire d'Eliante. v.1398 (Acte 3, scène 10, CLARICE)
Qu'avant la fin du jour vous seriez sa conquête ; v.1406 (Acte 3, scène 11, DAMON)
Mais la forme n'a pas prévalu sur le fonds, v.1407 (Acte 3, scène 11, DAMON)
Et la chose pesée avec un soin extrême, v.1417 (Acte 3, scène 12, MARTON)
C'est La Fleur dont je dois récompenser les soins : v.1419 (Acte 3, scène 12, MARTON)
Je suis dans une juste alarme ; v.1453 (Acte 3, scène 13, ARLEQUIN)

LA FRIVOLITÉ (1753)

De vous revoir dans ce brillant séjour. v.6 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Pour avoir ce plaisir, j'ai pressé mon retour, v.7 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Les roses du Printemps, qu'alarment mes glaçons. v.11 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Dans le fort de la canicule. v.14 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Je vous dirai bien plus : votre glace mortelle v.18 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLITÉ)
Et le Public s'en plaint. v.26 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
Il sifflait autrefois, il bâille maintenant : v.27 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Au fond, cela revient au même ; v.28 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Car la manière est moins brutale. v.30 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Et vous réunissez cent plaisirs différents ; v.41 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLITÉ)
C'est la légèreté qui forme votre empire. v.47 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
L'attachent à la terre avec solidité. v.52 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLITÉ)
Et mon règne est fondé sur la réalité. v.54 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
La figure et les traits d'une jeune Beauté, v.56 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
De tout l'éclat d'une fortune immense : v.60 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
J'attire ici toute la France, v.62 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
Dont je suis la Divinité. v.63 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
Je fixe les désirs de ce peuple brillant : v.65 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
Doivent faire, pour vous, éclater leur amour, v.71 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Sont également mes esclaves ; v.75 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLITÉ)
Le Magistrat que je délasse, v.77 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
Au Militaire, il dispute la place v.79 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
1I taille mes pompons, il leur donne la grâce ; v.83 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLIT?)
Et donner aux talents ce brillant coloris v.92 (Acte 1, scène 1, LA FRIVOLITÉ)
Pour mieux la célébrer, je vais, ma souveraine, v.97 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Par un bal singulier, dont vous serez la Reine, v.100 (Acte 1, scène 1, L'HIVER)
Que la réalité n'est que l'amusement, v.109 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Votre sincérité me plaît. v.112 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
Le Sage en vain déclame contre, v.119 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Qu'il mesure la Terre, ou soit qu'il vole au Ciel, v.122 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Soit qu'il sonde la Mer, je suis toujours son guide; v.123 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Et l'Anglais si profond, ou qui passe pour tel, v.124 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Qu'à goûter le plaisir, sans rechercher sa cause, v.130 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Et qu'à prendre, en passant, la fleur de chaque chose. v.131 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Donner dans le léger, voler fur la surface, v.135 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
D'en agréer la dédicace.. v.137 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Le Héros, dont j'écris la vie, v.143 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
C'est le Suisse qui rêve, ou la Philosophie v.149 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
J'y compare d'abord l'esprit, qui nous éclaire, v.158 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Qu'on le transplante en commerçant, v.162 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Le beau Sexe n'est plus esclave en Italie ; v.175 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Nous ont polis, nous ont éclairés tous ; v.181 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Comme celui de Rome et de la Grèce. v.186 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Puissent-ils venir mieux dans la nouvelle France, v.189 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
La révolution n'est pas si loin qu'on pense. v.191 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Le règne de l'Esprit peut, comme la Science, v.192 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Nous préférons l'Algébre à la Danse souvent. v.203 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
Ses invisibles coups, qui tiennent de la fable, v.206 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Et soumettre le Ciel au pouvoir de la Terre. v.214 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Vous regardez cela comme un amusement. v.215 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Pour l'érudition, dont la lourdeur accable, v.217 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
Si nous la négligeons, le mal n'est pas bien grand. v.218 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
De la bêtise, en tout, nous ont fait les Héros ; v.228 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Madame, s'il vous plaît, trêve de persiflage. v.240 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
Fait, pour servir en tout de modèle brillant, v.245 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
L'ouvrage a de la vogue, et l'Auteur réussit. v.261 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR FAUSTER)
La réussite, ou le grand bruit, v.272 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
La première semaine, en foule on s'extasie ; v.275 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
La seconde, elle baisse, et n'offre rien de neuf, v.276 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
La troisième, elle perd la vie. v.277 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
C'est une Anglaise, et de ma connaissance. v.283 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLITÉ)
Je ne saurais trop bien la recevoir. v.284 (Acte 1, scène 2, LA FRIVOLIT?)
Vous faites aujourd'hui les honneurs de la France, v.285 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Vous partez, Miss-Blar ! v.288 (Acte 1, scène 3, LA FRIVOLITÉ)
Il fallait vous répandre au milieu du grand monde, v.297 (Acte 1, scène 3, LA FRIVOLITÉ)
La bonne compagnie est la plus ennuyeuse. v.304 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
La tristesse est assise à côté du bon ton. v.305 (Acte 1, scène 3, MISS BLAR)
C'est dans son sein pourtant que le plaisir habite, v.306 (Acte 1, scène 3, LA FRIVOLITÉ)
Et la gaieté, son adorable soeur. v.308 (Acte 1, scène 3, LA FRIVOLIT?)
La sienne n'est point vraie, et puisqu'il faut le dire, v.309 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Et non pas la gaieté qui rit de bonne foi. v.312 (Acte 1, scène 3, MISS BLAR)
Voulez-vous qu'elle éclate en bourgeoise maussade ? v.313 (Acte 1, scène 3, LA FRIVOLITÉ)
Oui, c'est la meilleure façon : v.314 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Quand elle a besoin d'art, la joie est bien malade. v.315 (Acte 1, scène 3, MISS BLAR)
Sa plus grande ennemie est la réflexion. v.316 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Sans être de la Faculté, v.319 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
L'origine et la qualité. v.322 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Milady pense trop. La pensée est mortelle. v.323 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Elle fait haïr la clarté, v.324 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
C'est le poison de la santé. v.325 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Mais le guérir, Monsieur, c'est la difficulté. v.327 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
La recette en est simple autant que naturelle. v.328 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Sitôt que de la vie on se sent dégoûté, v.329 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
On se doit sur le champ débarrasser la tête v.330 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
C'est végéter comme une plante. v.337 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Le cercle des plaisirs que chaque instant varie. v.354 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Ces plaisirs ! Je les cherche, et je n'en trouve point. v.355 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
La promenade est un remède... v.356 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
La table ?... v.358 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
À votre place, moi, je jouerais de mon reste. v.361 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Il faut extravaguer jusqu'à la frénésie. v.363 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
J'étais malade à Londres à force de raison, v.367 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Cinquante fois plutôt d'un excès de plaisir, v.370 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Et j'ai porté chez moi la froideur à l'excès. v.373 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Contre votre mélancolie, v.374 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Vous donner du goût pour la vie, v.379 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Et faire succéder le plaisir au chagrin. v.380 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
En France, Milady, l'auriez-vous éprouvé ? v.386 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Pour la première fois, le jour me parut beau, v.391 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Mon plaisir s'altéra. v.393 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Et mon amour troublé s'alarma vivement. v.397 (Acte 1, scène 3, MISS BLAR)
Le cinquième, il devint volage, v.398 (Acte 1, scène 3, MISS BLAR)
Et, dans mon coeur trahi, ne laissa que la rage. v.402 (Acte 1, scène 3, MISS BLAR)
Il fallait, avec lui, vous lier seulement. v.409 (Acte 1, scène 3, LA FRIVOLITÉ)
Je me flattais de fixer fa tendresse. v.420 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Cela tient un peu du miracle, v.424 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Mais je vous croyais Milady. v.429 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
Si vous jouez la Comédie, v.440 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
En plusieurs Langues, moi, j'en fais facilement, v.441 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
En Français, en Anglais, tout comme en Allemand, v.442 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR FAUSTER)
La colère, à sa vue, est mon seul sentiment ; v.451 (Acte 1, scène 3, MISS-BLAR)
Madame, elle est immense, et rien ne peut la rendre : v.457 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
La charita, la charita. v.461 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Comment nous entendrons encor, Bella mia, v.462 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Ils reparaîtront sur la scène. v.464 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Ma joie, au moins, à la vôtre est égale. v.466 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
La mandoline, la timbale. v.468 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Puis-je la célébrer par des transports trop fous ? v.473 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Dans ses plaisants éclats, l'agréable Joueur. v.476 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Moi, Serpilla, dans son souris moqueur. v.477 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Ma main la cla, claquera. v.484 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Que je vous adore, Miss-Blar. v.487 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
C'est Serpilla plutôt qui vous lie à son char, v.488 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
C'est ainsi, de vos dons, que j'enrichis la France. v.497 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
À la raison, qui prendra ma défense. v.499 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
La raison, comme vous, est étrangère ici. v.500 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Et je confirme la sentence. v.503 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Je n'attendais pas moins de la Frivolité, v.504 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Et digne soeur de la légèreté. v.506 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
La nommer, c'est la définir. v.508 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
Rien, sans l'habit anglais, ne pouvait réussir. v.510 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
C'est la fureur des accords d'Italie. v.514 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
La chose est en effet très-digne de risée. v.517 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
En changeant de plaisirs, nous les multiplions. v.519 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Mais, mais, j'admire en vous ces exclamations ! v.521 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Elle est, par conséquent, et la sienne et la vôtre. v.524 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLIT?)
Non, je la méconnais défigurée ainsi. v.525 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Nous voulons justement en embellir la nôtre. v.526 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Vous la dénaturez, et gâtez l'une et l'autre. v.529 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Je la veux toute seule établir sans mélange ; v.532 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Priver la Nation d'un si bel ornement ! v.536 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Dont la mélodie est si tendre, v.540 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Non, la plaisanterie est toute dans les notes. v.558 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Mais rire à l'Opéra ce n'est pas la coutume. v.564 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Ah ! Ne plaisantez pas : c'est commettre une offense v.567 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
La dignité du magasin ! v.569 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Est dans la mauvaise musique. v.572 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Est la plus noble sans réplique. v.574 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Qui la vantent par air, avec un ton de maître. v.576 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Sans avoir bien souvent celui de la connaître. v.578 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Je m'en rapporte à lui, qu'il décide la chose. v.583 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
L'intérêt de la scène est son premier soutien, v.589 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
De la tendresse, exprimer le langage, v.591 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
J'applaudis tout haut sa musique, v.596 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
Craint d'éclater, Monsieur, et rit modestement. v.599 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
Amenez une troupe anglaise, v.606 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLITÉ)
Vous verrez tout Paris déserter la Française, v.609 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLIT?)
Et vous venir en foule applaudir et louer. v.610 (Acte 1, scène 4, LA FRIVOLIT?)
La proposition me touche, v.611 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Madame, j'attendrai que vous sachiez l'anglais. v.612 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Il est au fait avant qu'on ait ouvert la bouche. v.614 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Nous jouerons donc la pantomime, v.616 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Et nous approcherons, Monsieur, du baladin. v.617 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
La raison est Anglaise et le bon sens est Suisse. v.628 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR FAUSTER)
Quand je blesse quelqu'un, c'est pour toute la vie. v.639 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
Il prend, des miens, la licence facile, v.645 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Sans en avoir la profondeur : v.646 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Le batelage d'Italie, v.647 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
La décence, le goût, la grâce et l'agrément, v.654 (Acte 1, scène 4, MISS-BLAR)
Pour les joindre à la force, où nous primons à Londres ; v.655 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Qu'un plagiat qui me désole, v.659 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Et qu'un déplacement affreux. v.660 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
La troupe Italienne en tout le parodie ; v.665 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Ne quitte plus la Bergerie. v.667 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Tout paraît travesti, tout est lazzis, chansons. v.670 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Comme on outre le jeu, l'on charge la Musique, v.671 (Acte 1, scène 4, MISS BLAR)
Pour combattre l'éclat de cette réussite, v.688 (Acte 1, scène 5, LA FRIVOLITÉ)
Célébrons son retour par un brillant duo. v.690 (Acte 1, scène 5, LA FRIVOLIT?)
II est de la façon d'un serin de Bergame. v.694 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
L'autre, avec nos accords, exalte ses éclats. v.709 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
C'est une grande voix, pour peu qu'on la travaille. v.710 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
Et devant lui baissez la nuque. v.715 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Un tel blasphème est indigne de grâce. v.722 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
À la tête, à ces mots, il lui jette une tasse. v.723 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Lui lance un tabouret, au milieu de la face, v.726 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
De la Guerre aussitôt le signal se déploie. v.732 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
La Reine du Cassé sort de son trône en larmes. v.742 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Ils la décoiffent sans respect v.744 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Dans la mêlée, elle perd son bonnet, v.746 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Au fort de la bagarre ; v.749 (Acte 1, scène 6, LA FRIVOLITÉ)
J'étais de la bataille un paisible témoin, v.751 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Cet Amphion en A, mi, la, v.754 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Qui de nos démêlés est la cause bizarre. v.755 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Pour me justifier, je veux ouvrir la bouche : v.758 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Il me la ferme d'un soufflet. v.759 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Jusques dans ce Palais où, quittant mes amis, v.766 (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
Pour assurer la réussite, v.780 (Acte 1, scène 6, LA FRIVOLITÉ)
Per aber la libertat. v.786 (Acte 1, scène 6, LA FRIVOLITÉ)
Que la Vielle, Instrument de ma gloire, v.787 (Acte 1, scène 6, LA FRIVOLITÉ)
La flûte, le Basson célèbrent ma victoire. v.788 (Acte 1, scène 6, LA FRIVOLIT?)
Que la Vielle, Instrument de ma gloire, v.789 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS, ARLEQUIN)
La flûte, le Basson célèbrent ma victoire. v.790 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS, ARLEQUIN)

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Dans les 1953 textes du corpus, il y a 14 textes (soit une présence dans 0,72 % des textes) dans lesquels il y a 3603 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 257,36 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LA VIE EST UN SONGE	56	94	96	0	0	246
2	L'AUTEUR SUPERSTITIEUX	2	0	0	0	0	2
3	L'AUTEUR SUPERSTITIEUX	89	0	0	0	0	89
4	LE M?DECIN PAR OCCASION	0	2	0	0	0	2
5	LE MÉDECIN PAR OCCASION	55	61	94	90	75	375
6	LE BABILLARD	2	0	0	0	0	2
7	LE BABILLARD	130	0	0	0	0	130
8	LE FRAN?AIS ? LONDRES	154	0	0	0	0	154
9	L'HOMME DU JOUR	0	0	0	5	2	7
10	L'HOMME DU JOUR	108	117	71	71	46	413
11	L'APOLOGIE DU SIÈCLE	170	0	0	0	0	170
12	LE PLAGIAIRE	0	0	1	0	0	1
13	LE PLAGIAIRE	61	70	67	0	0	198
14	LE JE NE SAIS QUOI	252	0	0	0	0	252
15	LES DEHORS TROMPEURS	0	0	0	2	0	2
16	LES DEHORS TROMPEURS	108	117	71	69	47	412
17	LA CRITIQUE	4	0	0	0	0	4
18	LA CRITIQUE	298	0	0	0	0	298
19	LE COMTE DE NEUILLY	72	48	56	54	35	265
20	LE RIVAL FAVORABLE	0	2	0	0	0	2
21	LE RIVAL FAVORABLE	126	157	94	0	0	377
22	LA FRIVOLITÉ	202	0	0	0	0	202
	Total	1889	668	550	291	205	3603