Occurences de l'expression

pas

pour BEAUMARCHAIS, Pierre Augustin Caron de

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L'AUTRE TARTUFFE (1792)

Ne t'accoutumes donc pas à charger son nom d'épithètes : cela peut se redire et nuire à tes projets. (Acte 1, scène 2, SUZANNE)
Mais non pas Tartuffe. (Acte 1, scène 2, SUZANNE)
Tu n'es pas mal bourru non plus ! (Acte 1, scène 2, SUZANNE)
N'est-il pas avéré pour nous que cet astucieux Irlandais, le fléau de cette famille, après avoir chiffré comme secrétaire, quelques ambassades auprès d'Almaviva, s'est emparé de leurs secrets à tous ; que ce profond machinateur a su les entraîner de l'indolente Espagne en ce pays, remué de fond en comble, espérant y mieux profiter de la désunion où ils vivent, pour séparer le mari de la femme, épouser la jeune pupille, et envahir les biens d'une maison qui se délabre ? (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Quoi qu'il demande, ne le pas refuser ? (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Il n'est pas temps encore ; ils sont tous subjugués par lui. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
On ne te croirait pas ; tu nous perdrais sans les sauver. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Moi, je ne le veux pas. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Ne serais-tu pas aise d'en être délivrée ? (Acte 1, scène 4, BÉGEARSS)
Ma foi, pas trop. (Acte 1, scène 4, SUZANNE)
Il ne voudrait pas qu'on le sût. (Acte 1, scène 4, BÉGEARSS)
Ce n'est pas trop mal vu : de beaux diamants terminent bien des choses ! (Acte 1, scène 4, BÉGEARSS)
N'ai je pas ordonné, en passant dans ce pays-ci... (Acte 1, scène 5, ALMAVIVA)
Si vous ne m'aviez pas interdit de vous contrarier là-dessus, je vous dirais que votre second fils... (Acte 1, scène 6, BÉGEARSS)
Je dénaturerai mes biens, et lui ferai tout passer. (Acte 1, scène 6, ALMAVIVA)
Monsieur, voilà le coffre aux diamants : ne le gardez pas trop longtemps ; que je puisse le remettre en place avant qu'il soit jour chez Madame. (Acte 1, scène 7, SUZANNE)
C'est-là qu'elle a voulu passer les trois années de mon absence ; qu'elle y a mis au monde. (Acte 1, scène 8, ALMAVIVA)
Pour l'espoir de ma vie entière, je ne voudrais pas devenir complice d'un tel attentat ! (Acte 1, scène 8, BÉGEARSS)
Je n'en veux pas apprendre davantage ; renferme tous les autres, et moi je garde celui-ci, (Acte 1, scène 8, ALMAVIVA)
Je sens, à ma rage, combien cette indigne passion !... (Acte 1, scène 8, ALMAVIVA)
Agréez mon respect ; avez-vous bien passé la nuit ? (Acte 1, scène 12, LÉON)
On vous disait, Monsieur, si occupé, que je n'ai pas osé vous fatiguer de mon respect. (Acte 2, scène 3, FLORESTINE)
Monsieur, quand vous êtes passé, vous aviez un air si défait.... (Acte 2, scène 4, FIGARO)
N'est-ce pas aujourd'hui Saint-Léon ? (Acte 2, scène 4, FLORESTINE)
Meissieir Bégearss, ché vois qu'il est pas pour ici ! (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Meingoth, ch'attendrai pas, Meissieir, en gombagnie té vous. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Pas plis à vous, té lettres. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Non, ché viens pas. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Celui-là, ché crois, pas partié : ce sera bien plitôt d'un autre. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Pas contents dehors. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Oui, mais chasseire pas... (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Chasseire pas pourquoi : les lettres, il vient chez Monsieur O'connor. Et puis je sais pas quoi c'est timbré, moi. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Parle pas, fous, de sté panquier ; peur personne, entende fous. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Chaurais pas du. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Mon maître y dit, Meissier, vous afre tout l'esprit, et moi pas... (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Ché sais pas. (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Che sais pas là... (Acte 2, scène 8, GUILLAUME)
Oui, mais un sot est un falot ; la lumière passe à travers. (Acte 2, scène 8, FIGARO)
Ce moyen-là n'est pas trop légal. (Acte 2, scène 8, FIGARO)
Ne peux-tu pas me les garder chez moi ? (Acte 2, scène 9, BÉGEARSS)
Mon enfant le jour de sa fête on peut lui passer quelque chose. (Acte 2, scène 11, MADAME ALMAVIVA)
Maman n'est pas rentrée, et Monsieur Bégearss est sorti profitons d'un moment heureux. (Acte 2, scène 14, LÉON)
Mon enfant, je n'en doute pas : ton coeur excellent m'en répond. (Acte 2, scène 15, MADAME ALMAVIVA)
Remporte tout, Suzanne ; il n'est pas plus question de déjeuner que de lecture. (Acte 2, scène 16, MADAME ALMAVIVA)
Je ne sais pas de quoi il est question : mais je parierais bien que c'est-là du Bégearss tout pur. (Acte 2, scène 16, SUZANNE)
Si je ne craignais pas votre vivacité, je vous instruirais sur des points qu'il vous importe de savoir. (Acte 2, scène 18, FIGARO)
Avec ces façons-là, Monsieur, le traître n'aura pas votre vie ; mais il aura votre maîtresse, et votre fortune avec elle. (Acte 2, scène 18, FIGARO)
Léon, un homme d'honneur n'égorge pas le fils de son ami. (Acte 2, scène 20, BÉGEARSS)
Ce n'est pas la centième fois que vous lui devez de la reconnaissance : au fait, nous lui en devons tous. (Acte 2, scène 21, ALMAVIVA)
J'en doute d'autant moins, que j'ai beaucoup connu le parent dont Monsieur hérite ; un jeune homme assez libertin, joueur, prodigue et querelleur, sans frein, sans moeurs, sans caractère, et n'ayant rien à lui, pas même les vices qui l'ont tué, qu'un combat des plus malheureux... (Acte 2, scène 22, FIGARO)
Ne pouvait-on pas le voler ? (Acte 2, scène 22, FIGARO)
Encore un pas de fait !... (Acte 2, scène 24, BÉGEARSS)
Si je rapproche tout ceci de sa conduite envers mon fils, je présume qu'elle se reproche d'avoir écouté son amour, entretenu ses espérances, ne se croyant pas un parti assez considérable pour lui. (Acte 3, scène 1, MADAME ALMAVIVA)
J'ignore d'où provient le mal ; mais il se passe ici des choses bien étranges ; quelque démon y souffle un feu secret. (Acte 3, scène 1, SUZANNE)
Je souhaite, Madame, que vous ne vous abusiez pas. (Acte 3, scène 1, SUZANNE)
Que se passe-t-il donc ici ? (Acte 3, scène 2, MADAME ALMAVIVA)
Madame, je ne le crois pas. (Acte 3, scène 2, BÉGEARSS)
Née sans bien, il est vrai, mais belle et vertueuse, élevée au milieu de nous, mon fils, devenu héritier, n'en a-t-il pas assez pour deux ? (Acte 3, scène 2, MADAME ALMAVIVA)
Mon_dieu, je ne m'en plaindrai pas ! (Acte 3, scène 2, MADAME ALMAVIVA)
Mais que mon fils ne porte point la peine d'un crime qu'il n'a pas commis ! (Acte 3, scène 2, MADAME ALMAVIVA)
Ah mon ami, par compassion pour moi !... (Acte 3, scène 2, MADAME ALMAVIVA)
Après vingt années de souffrances nous passerons des jours heureux ; et c'est à vous, mon digne ami, que ma famille les devra. (Acte 3, scène 2, MADAME ALMAVIVA)
Vingt ans se sont passés sans que j'aie pu obtenir que ce triste aliment de votre éternelle douleur s'éloignât de vos yeux ; mais, indépendamment du mal que tout cela vous fait, voyez quel danger vous courez ! (Acte 3, scène 2, BÉGEARSS)
Je ne soupçonne point Suzanne ; mais une femme de chambre instruite que vous conservez ces papiers, ne pourrait-elle pas un jour s'en faire un moyen de fortune ? (Acte 3, scène 2, BÉGEARSS)
Ne lui devez vous pas un sacrifice qui le préserve de mille affreux dangers ? (Acte 3, scène 6, BÉGEARSS)
Non, je ne le permettrai pas. (Acte 3, scène 6, BÉGEARSS)
J'espère, Monsieur, que vous n'exigez pas qu'on s'explique devant vos gens. (Acte 3, scène 7, BÉGEARSS)
Je ne dis pas cela. (Acte 3, scène 8, ALMAVIVA)
Quelque chagrin qu'on ait à s'en défaire, et quelqu'intérêt même qu'on eût à les garder, le saint respect des morts doit avoir le pas devant tout. (Acte 3, scène 8, BÉGEARSS)
Un accident inopiné, ne peut-il pas en rendre un adversaire possesseur ? (Acte 3, scène 8, B?GEARSS)
Je n'ai pas hésité d'y substituer le mien, en combattant ses délais imprudents. (Acte 3, scène 8, BÉGEARSS)
Sainte amitié, tu n'es rien qu'un vain titre, si l'on ne remplit pas tes austères devoirs ! (Acte 3, scène 8, B?GEARSS)
Non, vous ne nous quitterez pas. (Acte 3, scène 8, ALMAVIVA)
Monsieur, vous ne pouvez pas faire un plus digne emploi du pouvoir que la loi vous donne sur elle. (Acte 3, scène 8, ALMAVIVA)
Je ne reviens pas de mon étonnement ! (Acte 3, scène 9, ALMAVIVA)
N'aviez-vous pas pris malgré moi tous ceux que vous vouliez garder ? (Acte 3, scène 9, BÉGEARSS)
Plût au ciel qu'elle m'eût consulté plus tôt, vous n'auriez pas contre elle des preuves sans réplique ! (Acte 3, scène 9, B?GEARSS)
Je combattrais avec plus d'avantage en faveur du fils de la loi ; car enfin, il n'est pas comptable du triste sort qui l'a mis dans vos bras. (Acte 3, scène 9, BÉGEARSS)
N'oubliez pas cet insolent valet. (Acte 3, scène 9, BÉGEARSS)
Parvenir à brûler les lettres de Madame, pour qu'elle ne voie pas, qu'il en manque ! (Acte 4, scène 1, FIGARO)
À demain donc ; car je ne vois pas que rien périclite ce soir... (Acte 4, scène 1, FIGARO)
Vous êtes bien bon d'y songer : chacun n'a-t-il pas sa manie ? (Acte 4, scène 2, BÉGEARSS)
Il n'est pas essentiel qu'un sage entende tout quand il sait si bien deviner. (Acte 4, scène 2, BÉGEARSS)
Ce n'est pas de ces coups brillants qui éblouissent la galerie. (Acte 4, scène 2, FIGARO)
N'a-t-il pas dit aussi, « Le soleil luit pour tout le monde » ? (Acte 4, scène 2, BÉGEARSS)
Pourquoi l'appelez-vous Bégearss ? N'est-il donc pas plus d'à moitié le seigneur Almaviva ? (Acte 4, scène 3, BÉGEARSS)
Encore un pas, Bégearss, et tu l'es tout-à-fait. (Acte 4, scène 3, B?GEARSS)
Ce n'est pas lui. (Acte 4, scène 4, SUZANNE)
Si la morale ne vous échauffe pas, l'autre, en revanche, excite en vous un assez vif enthousiasme. (Acte 4, scène 4, SUZANNE)
Ce n'est pas elle : c'est toi ; ta comparaison d'un génie.... (Acte 4, scène 4, BÉGEARSS)
Cette conduite est en effet biZarre pour qui ne sait pas son secret ; mais nous qui l'avons pénétré, notre devoir est de le plaindre. (Acte 4, scène 5, BÉGEARSS)
Non pas aujourd'hui, mais.... demain, sans y mettre de faiblesse. (Acte 4, scène 5, BÉGEARSS)
Après ce que je viens de dire, il ne conviendrait pas que ma présence ici gênât un parti qu'elle doit prendre en toute liberté ; mais, quel qu'il soit, ô mes amis ! (Acte 4, scène 6, BÉGEARSS)
Ce n'est pas vous perdre en entier, puisque je retrouve une soeur où j'espérais posséder une épouse. (Acte 4, scène 7, LÉON)
Car il ne faut pas se flatter ; son injuste prévention va quelquefois jusqu'à la haine. (Acte 4, scène 9, FLORESTINE)
Si vous lui parliez avec force il ne vous résisterait pas. (Acte 4, scène 9, LÉON)
Vos reproches m'affligent presque autant que son injustice. Mais, pour que vous ne gêniez pas le bien que je dirai de vous, mettez-vous dans mon cabinet ; vous m'entendrez de là plaider une cause si juste ; vous n'accuserez plus une mère de manquer d'énergie, quand il faut défendre son fils ! (Acte 4, scène 9, MADAME ALMAVIVA)
Floresta, la décence ne te permet pas de rester. (Acte 4, scène 9, MADAME ALMAVIVA)
Prie Monsieur, de ma part, de passer un moment ici. (Acte 4, scène 10, MADAME ALMAVIVA)
Que va-t-il donc se passer ? (Acte 4, scène 10, SUZANNE)
Mais je viens de le voir dans un état à faire compassion ; l'esprit troublé, le coeur serré de l'ordre que vous lui donnez de partir sur le champ ; surtout du ton de dureté qui accompagne cet exil. (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Mais, depuis deux années qu'un accident affreux... les lui a tous transmis, n'est-il pas étonnant que vous n'ayez rien entrepris pour le relever de ses voeux ? (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Si c'est pour l'en priver, Monsieur, la haine ne va pas plus loin ! (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Je voudrais bien, Monsieur, ne pas vous offenser. (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Non, vous ne fuirez pas ; vous n'échapperez point à la conviction qui vous presse. (Acte 4, scène 13, ALMAVIVA)
Grand dieu, tu ne permets donc pas que le crime le plus caché demeure toujours impuni ! (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Monsieur, Monsieur, je le rendrai ; je sais que je n'en suis pas digne. (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Je vois ce qui n'existe pas... (Acte 4, scène 13, MADAME ALMAVIVA)
Non, ce n'est pas. (Acte 4, scène 13, ALMAVIVA)
Ce n'est pas ce que vous croyez. (Acte 4, scène 13, ALMAVIVA)
J'ai passé la mesure.... elle se trouve mal.... Ah dieux ! courons lui chercher du secours. (Acte 4, scène 13, ALMAVIVA)
Je ne lui survivrai pas. (Acte 4, scène 15, LÉON)
Non, elle ne l'est pas ; ce n'est qu'une suffocation ; le sang qui monte avec violence. (Acte 4, scène 16, FIGARO)
Non, maman, vous ne mourrez pas. (Acte 4, scène 17, LÉON)
Non, maman, vous ne mourrez pas, et nous réparerons nos torts. (Acte 4, scène 18, LÉON)
Je puis encore la supporter, puisque mon fils a la vertu de ne pas détester sa mère. (Acte 4, scène 18, MADAME ALMAVIVA)
Dieu veuille qu'il ne soit pas trop tard ! (Acte 4, scène 18, FIGARO)
Passez-la sur sa chais longue ; et le plus grand calme autour d'elle. (Acte 4, scène 18, FIGARO)
Monsieur, au moins ne recommencez pas : elle s'éteindrait dans nos mains ! (Acte 4, scène 18, FIGARO)
Oublions le passé, Léon. (Acte 5, scène 2, ALMAVIVA)
N'est-ce pas qu'elle est ma fille ? (Acte 5, scène 3, MADAME ALMAVIVA)
Dussé-je être pendu, il n'en gardera pas une obole ! (Acte 5, scène 4, FIGARO)
S'il apprend par son Allemand ce qui se passe dans l'hôtel, il n'y rentrera plus. (Acte 5, scène 4, FIGARO)
Non pas ; il en sait trop pour l'entamer si brusquement. (Acte 5, scène 6, FIGARO)
Puisque vous attachez à l'aveu de mes torts, le pardon que je sollicite, j'espère que monsieur ne sera pas moins généreux. (Acte 5, scène 7, FIGARO)
car Monsieur n'avait pas sonné lorsque je suis entré chez lui, pour savoir ce qu'on y faisait du coffre aux brillants de Madame, que j'ai trouvé là tout ouvert. (Acte 5, scène 7, FIGARO)
Enfin, vous voyant tous d'accord, j'avoue que j'ai fait l'impossible pour provoquer entre madame et vous la vive explication, qui n'a pas eu la fin que j'espérais... (Acte 5, scène 7, FIGARO)
Ce n'est pas à moi de juger. (Acte 5, scène 7, ALMAVIVA)
Elle ne peut l'être pour personne, si mon ami ne la désavoue pas ; s'il met mon ame à l'aise, en me permettant d'avouer que je tiens de lui ces effets. (Acte 5, scène 7, BEGEARSS)
Celui-là n'a pas un bon coeur, que la gratitude fatigue, et cet aveu manquoit à ma satisfaction. (Acte 5, scène 7, BEGEARSS)
L'enfer n'est pas aussi profond que vous ! (Acte 5, scène 7, ALMAVIVA)
Il n'est plus dangereux, bien démasqué, et pas vingt-cinq louis dans le monde ! (Acte 5, scène 8, FIGARO)
Il vient un âge où les honnêtes gens se pardonnent leurs torts, leurs anciennes faiblesses, et font succéder un doux attachement aux passions orageuses qui les avaient trop désunis. (Acte 5, scène 8, ALMAVIVA)

LE BARBIER DE SÃ‰VILLE ou LA PRÃ‰CAUTION INUTILE (1775)

Jusque-là ceci ne va pas mal, hein, hein. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Ils ne se le disputent pas, ils y règnent paisiblement ensemble... (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Mon_Dieu, nos faiseurs d'opéras-comiques n'y regardent pas de si près. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Aujourd'hui, ce qui ne vaut pas la peine d'être dit, on le chante. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Ce n'est pas ça... (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Cet homme ne m'est pas inconnu. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Eh non, ce n'est pas un abbé ! (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Je ne te reconnaissais pas, moi. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Ne vois-tu pas, à mon déguisement, que je veux être inconnu ? (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Le poste n'était pas mauvais ; parce qu'ayant le district des pansements et des drogues, je vendais souvent aux hommes de bonnes médecines de cheval... (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Il n'y a point de remède universel ; mais qui n'ont pas laissé de guérir quelquefois des Galiciens, des Catalans, des Auvergnats. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Et tu ne lui fis pas représenter... (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Je me crus trop heureux d'en être oublié, persuadé qu'un grand nous fait assez de bien quand il ne nous fait pas de mal. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Tu ne dis pas tout. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Pas mal. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Non, pas tout de suite. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
En vérité, je ne sais comment je n'eus pas le plus grand succès, car j'avais rempli le parterre des plus excellents travailleurs ; des mains... comme des battoirs ; j'avais interdit les gants, les cannes, tout ce qui ne produit que des applaudissements sourds ; et d'honneur, avant la pièce, le café m'avait paru dans les meilleures dispositions pour moi. (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Tout comme un autre : pourquoi pas ? (Acte 1, scène 2, FIGARO)
Mais tu ne me dis pas ce qui t'a fait quitter Madrid. (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
Il est donc passé quelqu'un ? (Acte 1, scène 3, BARTHOLO)
Il n'y a pas un moment à perdre ; il faut m'en faire aimer, et l'arracher à l'indigne engagement qu'on lui destine. (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
De plus, son barbier, son chirurgien, son apothicaire ; il ne se donne pas dans sa maison un coup de rasoir, de lancette ou de piston, qui ne soit de la main de votre serviteur. (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Parlez-moi des gens passionnés ! (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Je cherche dans ma tête si la pharmacie ne fournirait pas quelques petits moyens innocents... (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Il faut marcher si vite que le soupçon n'ait pas le temps de naître. (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Il ne serait même pas mal que vous eussiez l'air entre deux vins... (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Nous serons bien heureux s'il ne vous reconnaît pas, vous qu'il n'a jamais vu. (Acte 1, scène 4, FIGARO)
C'est que vous ne pouvez peut-être pas soutenir ce personnage difficile. (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Pas mal, en vérité ; vos jambes seulement un peu plus avinées. (D'un ton plus ivre.) N'est-ce pas ici la maison... (Acte 1, scène 4, FIGARO)
Et Bazile qui ne vient pas ! (Acte 1, scène 5, BARTHOLO)
Ne regardez pas, ne regardez donc pas ! (Acte 1, scène 6, FIGARO)
Ne vous écrit-elle pas : Chantez indifféremment ? (Acte 1, scène 6, FIGARO)
Je ne sais pas faire de vers, moi. (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Tout ce qui vous viendra, Monseigneur, est excellent : en amour, le coeur n'est pas difficile sur les productions de l'esprit... (Acte 1, scène 6, FIGARO)
Je ne ferais pas mieux, moi qui m'en pique. (Acte 1, scène 6, FIGARO)
Elle passera plutôt à travers cette jalousie que d'y manquer. (Acte 1, scène 6, FIGARO)
Ne te fâche pas, Figaro, j'en prendrai beaucoup. (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
Ma boutique à quatre pas d'ici, peinte en bleu, vitrage en plomb, trois palettes en l'air, l'oeil dans la main, Consilio manuque, FIGARO. (Acte 1, scène 6, FIGARO)
Je ne sais si ces murs ont des yeux et des oreilles, ou si mon argus a un génie malfaisant qui l'instruit à point nommé ; mais je ne puis dire un mot ni faire un pas, dont il ne devine sur-le-champ l'intention... (Acte 2, scène 1, ROSINE)
Pas trop bonne, Monsieur_Figaro. (Acte 2, scène 2, ROSINE)
Je n'entendais pas ; mais... (Acte 2, scène 2, ROSINE)
Il n'a rien ; mais s'il n'eût pas quitté brusquement Madrid, il pouvait y trouver quelque bonne place. (Acte 2, scène 2, FIGARO)
Un jeune homme tel que vous le dépeignez n'est pas fait pour rester inconnu. (Acte 2, scène 2, ROSINE)
à deux pas de moi. (Acte 2, scène 2, FIGARO)
Je ne l'ai pas nommée ? (Acte 2, scène 2, FIGARO)
Je ne vous crois pas, je vous assure. (Acte 2, scène 2, ROSINE)
Je n'ai pas le temps de recommencer celle-ci ; mais en la lui donnant, dites-lui... (Acte 2, scène 2, ROSINE)
D'en parler seulement, il exhale un tel feu qu'il m'a presque enfiévré de sa passion, moi qui n'y ai que voir ! (Acte 2, scène 2, FIGARO)
Passez par le cabinet du clavecin, et descendez le plus doucement que vous pourrez. (Acte 2, scène 2, ROSINE)
Ce damné barbier qui vient d'écloper toute ma maison en un tour de main ; il donne un narcotique à l'Éveillé, un sternutatoire à La Jeunesse ; il saigne au pied Marceline ; il n'y a pas jusqu'à ma mule... (Acte 2, scène 4, BARTHOLO)
N'a-t-on pas, ce matin encore, ramassé lestement votre chanson pendant que j'allais la chercher ? (Acte 2, scène 4, BARTHOLO)
Pour celles qui donnent sur la rue, ce ne serait peut-être pas si mal... (Acte 2, scène 4, BARTHOLO)
Ce barbier n'est pas entré chez vous, au moins ? (Acte 2, scène 4, BARTHOLO)
Vous n'accordez pas même qu'on ait des principes contre la séduction de Monsieur_Figaro ? (Acte 2, scène 4, ROSINE)
Vous ne répondez pas à ma question sur ce barbier. (Acte 2, scène 4, BARTHOLO)
Je ne vous cache pas même que je l'ai trouvé fort aimable ; et puissiez-vous en mourir de dépit ! (Acte 2, scène 4, ROSINE)
Et tu ne l'as pas vu ? (Acte 2, scène 6, BARTHOLO)
Je vous demande à tous deux s'il est entré quelqu'un chez Rosine, et vous ne me dites pas que ce barbier... (Acte 2, scène 7, BARTHOLO)
Si je ne veux pas qu'elle soit vraie, je prétends bien qu'elle ne soit pas vraie. (Acte 2, scène 7, BARTHOLO)
Il n'y aurait pas moyen de rester dans la maison. (Acte 2, scène 7, LA-JEUNESSE)
J'ai passé chez vous sans vous trouver. (Acte 2, scène 8, BARTHOLO)
Croyez qu'il n'y a pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien : et nous avons ici des gens d'une adresse !... (Acte 2, scène 8, BAZILE)
En ce cas, vous n'avez pas un instant à perdre. (Acte 2, scène 8, BAZILE)
Oui, mais vous avez lésiné sur les frais ; et dans l'harmonie du bon ordre un mariage inégal, un jugement inique, un passe-droit évident, sont des dissonances qu'on doit toujours préparer et sauver par l'accord parfait de l'or. (Acte 2, scène 8, BAZILE)
Il faut en passer par où vous voulez ; mais finissons. (Acte 2, scène 8, BARTHOLO)
N'y comptez pas. (Acte 2, scène 8, BAZILE)
Votre mariage seul m'occupera toute la journée ; n'y comptez pas. (Acte 2, scène 8, BAZILE)
Non pas. (Acte 2, scène 8, BARTHOLO)
Il médirait, qu'on ne le croirait pas. (Acte 2, scène 9, FIGARO)
Ne craignez rien ; nous lui donnerons tant d'ouvrage, qu'il n'aura pas le temps de songer à celui-là. (Acte 2, scène 10, FIGARO)
Il m'a rendu compte de l'état de Marceline, qui même n'est pas trop bien, à ce qu'il dit. (Acte 2, scène 11, ROSINE)
Il n'en a pas manqué une seule. (Acte 2, scène 11, ROSINE)
Je vois bien qu'elle n'y est pas, la sixième. (Acte 2, scène 11, BARTHOLO)
Pour qu'on vous crût, mon enfant, il faudrait ne pas rougir en déguisant coup sur coup la vérité, mais c'est ce que vous ne savez pas encore. (Acte 2, scène 11, BARTHOLO)
Qui ne rougirait pas, Monsieur, de voir tirer des conséquences aussi malignes des choses les plus innocemment faites ? (Acte 2, scène 11, ROSINE)
Rentrez, rentrez ; je ne suis pas timide. (Acte 2, scène 12, BARTHOLO)
Je le cache dans ma poche, pour que vous ne sachiez pas ce que c'est. (Acte 2, scène 13, LE COMTE)
Est-ce que je ne suis pas le médecin des chevaux du régiment ? (Acte 2, scène 13, LE COMTE)
Non, docteur, je ne prétends pas v.43 (Acte 2, scène 13, LE COMTE)
Que notre art obtienne le pas v.44 (Acte 2, scène 13, LE COMTE)
N'est-il pas de notoriété que le maréchal guérit toujours ses malades sans leur parler ; au lieu que le médecin parle beaucoup aux siens... (Acte 2, scène 13, LE COMTE)
Sans les guérir, n'est-ce pas ? (Acte 2, scène 13, BARTHOLO)
Est-ce que vous ne le voyez pas ? (Acte 2, scène 13, LE COMTE)
Pas davantage. (Acte 2, scène 14, LE COMTE)
Mais n'en décampez pas moins à l'instant. (Acte 2, scène 14, BARTHOLO)
Si vous êtes exempt des gens de guerre, vous n'êtes pas exempt de politesse, peut-être ? (Acte 2, scène 14, LE COMTE)
Montrez-moi votre brevet d'exemption ; quoique je ne sache pas lire, je verrai bientôt... (Acte 2, scène 14, LE COMTE)
Ne voilà-t-il pas un billet doux qu'elle laisse tomber de sa poche ? (Acte 2, scène 14, LE COMTE)
Mais n'es-tu pas un peu curieuse de lire avec moi le papier qu'il t'a remis ? (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
Je ne sais pas seulement ce que j'en ai fait. (Acte 2, scène 15, ROSINE)
Si je ne le mets pas en colère, il n'y aura pas moyen de refuser. (Acte 2, scène 15, ROSINE)
Mais vous, quelle raison avez-vous de ne pas le montrer ? (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
Je ne vous entends pas ! (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
Si je me suis modérée jusqu'à ce jour, ce n'était pas pour vous donner le droit de m'offenser impunément. (Acte 2, scène 15, ROSINE)
Je ne la suis pas encore. (Acte 2, scène 15, ROSINE)
Vous ne le verrez pas. (Acte 2, scène 15, ROSINE)
Nous ne sommes pas ici en France, où l'on donne toujours raison aux femmes ; mais, pour vous en ôter la fantaisie, je vais fermer la porte. (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
L'usage des odeurs... produit ces affections spasmodiques. (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
Ce n'est rien, mon enfant : un petit mouvement de vapeurs, voilà tout ; car ton pouls n'a seulement pas varié. (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
Lorsque vous croyez que cette lettre ne vient pas de mon cousin. (Acte 2, scène 15, ROSINE)
Je vais voir la pauvre Marceline, que ce Figaro a, je ne sais pourquoi, saignée du pied : n'y viens-tu pas aussi ? (Acte 2, scène 15, BARTHOLO)
Je n'ai pas besoin de précepteur. (Acte 3, scène 2, BARTHOLO)
Mais ne vous est-il pas possible de parler plus bas ? (Acte 3, scène 2, BARTHOLO)
Il faudra m'enfuir : autant vaudrait n'être pas venu... (Acte 3, scène 2, LE COMTE)
Mais pour que ceci n'eût pas l'air concerté, ne serait-il pas bon qu'elle vous connût d'avance ? (Acte 3, scène 2, BARTHOLO)
Ne lui donnerez-vous pas bien une leçon ? (Acte 3, scène 2, BARTHOLO)
Il ne faut pas me dire deux fois les choses : il ne faut pas me les dire deux fois. (Acte 3, scène 2, BARTHOLO)
Si elle allait s'obstiner à ne pas venir ! (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
La voici ; ne nous montrons pas d'abord. (Acte 3, scène 3, LE COMTE)
Non, je ne me trouve pas mal... mais c'est qu'en me tournant... (Acte 3, scène 4, ROSINE)
Et pas un fauteuil ici ? (Acte 3, scène 4, BARTHOLO)
Il ne nous quittera pas. (Acte 3, scène 4, ROSINE)
- Il n'y a pas d'apparence, bachelier, qu'elle prenne de leçon ce soir ; ce sera pour un autre jour. (Acte 3, scène 4, BARTHOLO)
Mais, après une pareille émotion, mon enfant, je ne souffrirai pas que tu fasses le moindre effort. (Acte 3, scène 4, BARTHOLO)
Je croirai, Monsieur, que vous n'aimez pas à m'obliger, si vous m'empêchez de vous prouver mes regrets en prenant ma leçon. (Acte 3, scène 4, ROSINE)
Ne la contrariez pas, si vous m'en croyez. (Acte 3, scène 4, LE COMTE)
Mais, bachelier, je l'ai déjà dit à ce vieux Bazile : est-ce qu'il n'y aurait pas moyen de lui faire étudier des choses plus gaies que toutes ces grandes aria, qui vont en haut, en bas, en routant, hi, ho, a, a, a, a, et qui me semblent autant d'enterrements ? (Acte 3, scène 4, BARTHOLO)
Pas vrai ? (Acte 3, scène 4, BARTHOLO)
Monsieur, il n'est pas tous les jours fête ; mais sans compter les soins quotidiens, Monsieur a pu voir que, lorsqu'ils en ont besoin, mon zèle n'attend pas qu'on lui commande... (Acte 3, scène 5, FIGARO)
Votre zèle n'attend pas ! (Acte 3, scène 5, BARTHOLO)
Ce n'est pas cela, Monsieur, qui grossira le mémoire. (Acte 3, scène 5, FIGARO)
S'il ne lui rend pas la vue, ce n'est pas cela non plus qui l'empêchera d'y voir. (Acte 3, scène 5, FIGARO)
On n'est pas de cette extravagance-là ! (Acte 3, scène 5, BARTHOLO)
Ma foi, Monsieur, les hommes n'ayant guère à choisir qu'entre la sottise et la folie, où je ne vois pas de profit je veux au moins du plaisir ; et vive la joie ! Qui sait si le monde durera encore trois semaines ! (Acte 3, scène 5, FIGARO)
Oui, sans doute, Monsieur le barbier, revenez sur vos pas ! (Acte 3, scène 5, BARTHOLO)
Monsieur, vous ne commencez pas trop mal ; je m'en rapporte à votre confrère qui est là rêvassant. (Acte 3, scène 5, FIGARO)
Je... je ne suis pas le confrère de Monsieur. (Acte 3, scène 5, LE COMTE)
Parbleu, Monsieur, je viens vous raser, voilà tout ; n'est-ce pas aujourd'hui votre jour ? (Acte 3, scène 5, FIGARO)
Monsieur passe-t-il chez lui ? (Acte 3, scène 5, FIGARO)
Non, Monsieur ne passe point chez lui. (Acte 3, scène 5, BARTHOLO)
Et pourquoi pas dans mon appartement ? (Acte 3, scène 5, ROSINE)
Pardon, mon enfant, tu vas achever de prendre ta leçon ; c'est pour ne pas perdre un instant le plaisir de t'entendre. (Acte 3, scène 5, BARTHOLO)
On ne le tirera pas d'ici ! (Acte 3, scène 5, FIGARO)
Fatigués, harassés, moulus de votre façon, n'a-t-il pas fallu les faire coucher ! (Acte 3, scène 5, BARTHOLO)
N'est-ce pas dans votre chambre ? (Acte 3, scène 5, FIGARO)
La clef de la jalousie n'y est-elle pas ? (Acte 3, scène 6, FIGARO)
Ils n'auraient pas dit un mot que je n'eusse été en tiers. (Acte 3, scène 8, LE COMTE)
Je ne m'étais pas trompé ; tout est brisé, fracassé. (Acte 3, scène 10, BARTHOLO)
N'allez pas nous démentir, Bazile, en disant qu'il n'est pas votre élève, vous gâteriez tout. (Acte 3, scène 11, BARTHOLO)
En vérité, Bazile, on n'a pas plus de talent que votre élève. (Acte 3, scène 11, BARTHOLO)
Vous ne l'avez pas vu, l'homme de loi ? (Acte 3, scène 11, LE COMTE)
Non, je ne l'ai pas vu, l'homme de loi. (Acte 3, scène 11, BAZILE)
Je ne vous entends pas. (Acte 3, scène 11, BAZILE)
Allez vous coucher, mon cher Bazile : vous n'êtes pas bien, et vous nous faites mourir de frayeur. Allez vous coucher. (Acte 3, scène 11, LE COMTE)
En effet, messieurs, je crois que je ne ferai pas mal de me retirer : je sens que je ne suis pas ici dans mon assiette ordinaire. (Acte 3, scène 11, BAZILE)
Cet homme-là n'est pas bien du tout. (Acte 3, scène 12, BARTHOLO)
Si c'était une leçon de danse, on vous passerait d'y regarder ; mais du chant !... (Acte 3, scène 12, LE COMTE)
Ne frottez donc pas. (Acte 3, scène 12, BARTHOLO)
Fort bien, Madame, ne vous gênez pas. (Acte 3, scène 12, BARTHOLO)
Passer mes jours auprès d'un vieux jaloux, qui, pour tout bonheur, offre à ma jeunesse un esclavage abominable ! (Acte 3, scène 12, ROSINE)
Comment, Bazile, vous ne le connaissez pas ! (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
En ma place, Bazile, ne feriez-vous pas les derniers efforts pour la posséder ? (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Il vaut mieux qu'elle pleure de m'avoir, que moi je meure de ne l'avoir pas... (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Pourquoi pas plus tôt ? (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Il n'en a pas. (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Tenez, mon ami, je ne suis pas tranquille. (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Je vous reconduis : n'ont-ils pas fait estropier tout mon monde par ce Figaro ! (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Tenez, Bazile, voilà mon passe-partout. (Acte 4, scène 1, BARTHOLO)
Rosine, puisque vous n'êtes pas encore rentrée dans votre appartement... (Acte 4, scène 3, BARTHOLO)
Par le temps affreux qu'il fait, vous ne reposerez pas, et j'ai des choses très pressées à vous dire. (Acte 4, scène 3, BARTHOLO)
N'est-ce donc pas assez d'être tourmentée le jour ? (Acte 4, scène 3, ROSINE)
Ce n'est pas tout. (Acte 4, scène 3, ROSINE)
N'es-tu pas avec moi ? (Acte 4, scène 5, LE COMTE)
Vous avez pour vous trois passions toutes-puissantes sur le beau sexe : l'amour, la haine et la crainte. (Acte 4, scène 5, FIGARO)
Je commençais, Monsieur, à craindre que vous ne vinssiez pas. (Acte 4, scène 6, ROSINE)
Monsieur, si le don de ma main n'avait pas dû suivre à l'instant celui de mon coeur, vous ne seriez pas ici. (Acte 4, scène 6, ROSINE)
J'aurais passé ma vie à vous détester. (Acte 4, scène 6, ROSINE)
Le plus affreux supplice n'est-il pas de haïr, quand on sent qu'on est faite pour aimer ? (Acte 4, scène 6, ROSINE)
Si c'est pour cela qu'il m'a donné le passe-partout... (Acte 4, scène 7, BAZILE)
Mais, Votre Excellence..., je ne comprends pas... (Acte 4, scène 7, BAZILE)
Mais plutôt vous, comment n'y êtes-vous pas ? (Acte 4, scène 8, BAZILE)
Ce ne sont donc pas des voleurs ? (Acte 4, scène 8, L'ALCADE)
Ne devais-je pas, cette nuit même, être vengée d'un trompeur ? (Acte 4, scène 8, ROSINE)
Que la quittance de mes cent écus : ne perdons pas la tête. (Acte 4, scène 8, FIGARO)
Est-ce qu'elles ne sont pas deux demoiselles qui portent le même nom ? (Acte 4, scène 8, LE NOTAIRE)

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Dans les 1907 textes du corpus, il y a 2 textes (soit une présence dans 0,10 % des textes) dans lesquels il y a 308 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 154,00 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	L'AUTRE TARTUFFE	21	31	27	40	14	133
2	LE BARBIER DE S?VILLE ou LA PR?CAUTION INUTILE	38	61	49	25	0	173
3	LE BARBIER DE SÉVILLE ou LA PRÉCAUTION INUTILE	0	2	0	0	0	2
	Total	59	94	76	65	14	308