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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
ARBATE |
La tendresse de coeur est une grande marque, |
Acte 2, sc. 1, v. 77 |
2 |
ARBATE |
Votre coeur, votre adresse ?clataient chaque jour : |
Acte 2, sc. 1, v. 90 |
3 |
ARBATE |
Et venez ? ses yeux signaler votre adresse, |
Acte 2, sc. 1, v. 149 |
4 |
ARBATE |
De quelque attachement l'invincible tendresse : |
Acte 2, sc. 1, v. 173 |
5 |
MORON |
Il me faut manier la chose avec adresse ; |
Acte 2, sc. 2, v. 297 |
6 |
EURYALE |
M'inspire pour la vaincre une adresse nouvelle : |
Acte 2, sc. 4, v. 373 |
7 | IPHITAS |
Si ton coeur demeure insensible, je n'entreprendrai point de le forcer : mais au moins sois complaisante aux civilit?s qu'on te rend, et ne m'oblige point ? faire les excuses de ta froideur : traite ces princes avec l'estime que tu leur dois, re?ois avec reconnaissance les t?moignages de leur z?le, et viens voir cette course o? leur adresse va para?tre. |
Acte 4, sc. 4, IPHITAS, phrase 5 |
8 | ARISTODÈME |
Pour moi, Madame, vous ?tes le seul prix que je me propose partout : c'est vous que je crois disputer dans ces combats d'adresse, et je n'aspire maintenant ? remporter l'honneur de cette course que pour obtenir un degr? de gloire qui m'approche de votre coeur. |
Acte 4, sc. 4, ARISTODÈME, phrase 1 |
9 | CYNTHIE |
Il est vrai, Madame, que ce jeune prince a fait voir une adresse non commune, et que l'air dont il a paru a ?t? quelque chose de surprenant. |
Acte 6, sc. 1, CYNTHIE, phrase 1 |
10 | EURYALE |
Non, Madame, rien n'est capable de toucher mon coeur,, ma libert? est la seule ma?tresse ? qui je consacre mes voeux ; et quand le Ciel emploierait ses soins ? composer une beaut? parfaite, quand il assemblerait en elle tous les dons les plus merveilleux et du corps et de l'?me, enfin quand il exposerait ? mes yeux un miracle d'esprit, d'adresse et de beaut?, et que cette personne m'aimerait avec toutes les tendresses imaginables, je vous l'avoue franchement je ne l'aimerais pas. |
Acte 6, sc. 4, EURYALE, phrase 1 |
11 | LA PRINCESSE |
J'ai toujours regard? l'hymen comme une chose affreuse, et j'avais fait serment d'abandonner plut?t la vie, que de me r?soudre jamais ? perdre cette libert? pour qui j'avais des tendresses si grandes ; mais, enfin, un moment a dissip? toutes ces r?solutions, le m?rite d'un prince m'a frapp? aujourd'hui les yeux ; et mon ?me tout d'un coup ( comme par un miracle ) est devenue sensible aux traits de cette passion que j'avais toujours m?pris?e. |
Acte 8, sc. 1, LA PRINCESSE, phrase 2 |
12 | LA PRINCESSE |
Vous m'avez toujours t?moign? une tendresse extr?me, et je crois vous devoir bien plus par les bont?s que vous m'avez fait voir, que par le jour que vous m'avez donn? : mais si jamais pour moi vous avez eu de l'amiti?, je vous en demande aujourd'hui la plus sensible preuve que vous me puissiez accorder ; c'est de n'?couter point, Seigneur, la demande de ce prince, et de ne pas souffrir que la Princesse Aglante soit unie avec lui. |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 2 |
13 | LA PRINCESSE |
Il ne m'a pas trouv?e assez bien faite pour m'adresser ses voeux. |
Acte 10, sc. 2, LA PRINCESSE, phrase 1 |