n |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | TRIVELIN |
Comme j'avais besoin d'un prompt secours, et qu'il n'y avait point de temps ? perdre, un de mes amis que je rencontrai me proposa de me mener chez un honn?te particulier qui ?tait mari?, et qui passait sa vie ? ?tudier des langues mortes ; cela me convenait assez, car j'ai de l'?tude : je restai donc chez lui. |
Acte 1, sc. 1, TRIVELIN, phrase 4 |
2 | TRIVELIN |
Le terme est dur ; il frappe mes oreilles d'un son disgracieux ; ne purgera-t-on jamais le discours de tous ces noms odieux ? |
Acte 1, sc. 5, TRIVELIN, phrase 2 |
3 | LÉLIO |
J'attendais nos musiciens, Madame, et je cours les presser moi-m?me. |
Acte 1, sc. 9, LÉLIO, phrase 1 |
4 |
MATHURINE |
Voyez le biau discours ? faire, |
Acte 1, sc. 11, v. 23 |
5 | LÉLIO |
Je chercherais volontiers ? qui vous parlez, Madame ; car ce discours-l? ne peut pas s'adresser ? moi. |
Acte 2, sc. 2, LÉLIO, phrase 1 |
6 | TRIVELIN |
Un coup d'?ventail par l?-dessus, coup galant qui signifie : Ne l?chez point ; l'?ventail est saisi ; nouvelles pirateries sur la main qu'on tient ; l'autre vient ? son secours ; autant de pris encore par l'ennemi : Mais je ne vous comprends point ; finissez donc. |
Acte 2, sc. 3, TRIVELIN, phrase 11 |
7 | TRIVELIN |
Ce n'est pas le tout, mon ami : ses discours ont charm? mon coeur ; de la mani?re dont elle m'a peint, j'avais honte de me trouver si aimable. |
Acte 2, sc. 5, TRIVELIN, phrase 2 |
8 | TRIVELIN |
Retranchez ces petits agr?ments-l? de votre discours ; ce sont des fleurs de rh?torique qui m'ent?tent ; je voulais avoir de l'argent, cela est vrai. |
Acte 2, sc. 6, TRIVELIN, phrase 2 |
9 | LE CHEVALIER |
Il n'y a rien de plus poli que ce discours-l?. |
Acte 2, sc. 8, LE CHEVALIER, phrase 1 |
10 | LE CHEVALIER |
Car je ne sais que r?pondre ? de pareils discours, moi. |
Acte 2, sc. 8, LE CHEVALIER, phrase 3 |
11 | LÉLIO |
Car je ne vous crois pas extr?mement amus?e des discours de Monsieur. |
Acte 2, sc. 9, LÉLIO, phrase 2 |
12 | LÉLIO |
Arlequin m'a tenu aussi des discours qui signifiaient que tu ?tais fille ; ta beaut? me l'a fait d'abord soup?onner ; mais je me rends. |
Acte 3, sc. 3, LÉLIO, phrase 2 |