******************************************************** DC.Title = DIALOGUE DE L'AMOUR ET DE L'AMITIÉ DC.Author = CARCASSONNE, Adolphe DC.Creator = FIEVRE, Paul DC.Subject = Dialogue DC.Subject.Classification = 842 DC.Description = Edition du texte cité en titre DC.Publisher = FIEVRE, Paul DC.Contributor = DC.Date.Issued content = DC.Date.Created = DC.Date.Modified = Version du texte du 31/07/2021 à 11:00:47. DC.Coverage = (sans pays) DC.Type = text DC.Format = text/txt DC.Identifier = http://www.theatre-classique.fr/pages/documents/PERRAULT_DIALOGUEAMOURAMITIE.xml DC.Source = https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k108211q DC.Language scheme = UTF-8 content=fr DC.Rights = Théâtre Classique, (creative commons CC BY-NC-ND) *************************************************************** DIALOGUE DE L'AMOUR ET DE L'AMITIÉ M. DC.LXV. Avec Privilège du Roi. Adolphe CARCASSONNE. Sur le dialogue de l'Amour et de l'Amitié. Puisque ce n'est pas assez que je vous aie lu mon dialogue, et que vous désire encore en avoir une copie, je ne veux pas vous la refuser. J'avoue, MONSIEUR, que j'ai eu bien de la peine à m'y résoudre, et qu'étant persuadé comme je le suis, que vous êtes l'Homme du monde qui a le goût le plus fin et le plus délicat en toutes choses, et principalement pour ces sortes d'ouvrages, j'ai bien appréhendé que la réflexion plus exacte que vous pourrez faire sur celui-ci en le lisant, ne vous fit diminuer beaucoup de l'approbation que vous lui avez donnée. La valeur de votre estime, et l'apparence qu'il y a que j'en vais perdre une bonne partie, rendant assurément ma crainte très raisonnable ; néanmoins quelque chose qui en arrive, je serai satisfait. On trouve toujours son compte avec vous ; et si je n'obtiens pas des louanges, je recevrai des avis que j'aime davantage, parce qu'il me sont plus utiles, et parce qu'ils me seront aussi des marques plus assurées de votre amitié de votre amitié. Mais, MONSIEUR, avant que vous lisiez cette petite galanterie, il faut que je vous dise deux ou trois questions que l'on me fit en une conversation où je me trouvais il y a quelques jours, et que vous sachiez aussi ce que je répondis. On me demanda d'abord pourquoi l'Amour et l'Amitié s'appellent frère et soeur. Je ne pensais pas, à vous dire le vrai, que l'on dut s'arrêter à cela, et qu'on s'avisât jamais de leur disputer cette qualité ; car si tous les jours mille personnes que le sang ni l'alliance n'ont point unis, se donnent l'un à l'autre ces noms tendres et doux, parce qu'ils s'aiment, ou seulement parce qu'ils veulent se la persuader, doit-on trouver étrange que l'Amour même, et l'Amitiés en personne, en usent de la sorte, et qu'ils appellent frère et soeur, quand même ils se seraient pas ? Mais il le sont en effet, et l'on ne peut pas en disconvenir, pour peut qu'on examine leur généalogie. Il est constant que l'Amour et fils du Désir, et le la Beauté ; Platon qui le connaissait particulièrement nous en assure, il l'appelle même le Désir de la la Beauté et lui donne ce nom composé de celui de ses père et mère, pour nous marquer son origine. Il est aussi très certain que l'Amitié est fille du Désir s'attachant à la Bonté, parce que si le désir, s'attachent à la Beauté, a donné l'être à la Beauté, a donné l'être àl'Amour,on ne peut pas douter que le même désir et la Beauté ne s'étant pas unis ensemble, n'aient donné naissance à l'Amitié. En effet nous voyons encore aujourd'hui, que si nous aimons une maîtresse parce qu'elle est belle, nous aimons un ami parce qu'il es bon. Cela ne pouvant pas être contesté, il paraît que l'Amour et l'Amitié sont frère frère et soeur du côté de leur père, bien qu'à la vérité ils aient des mères différentes. Ensuite de cette question on ne fit une autre qui me sembla fort jolie, et qui ne venait aussi d'une femme d'esprit que vous connaissez ; elle demanda qui était l'ainé des deux, de l'Amour et de l'Amitié. Quoi qu'il soit malaisé de dire précisément ce qui en est, à cause de longtemps, qu'il y a qu'ils sont au monde, je ne doutai pas néanmoins d'assurer que l'Amour était l'aîné. Je ne me fondai point sur ce que les poètes disent qu'il a démêlé la Chaos, et qu'il est plus vieux que le Monde, bien loin d'être le cadet de l'Amitié, parce que c'est du premier et grand amour, père de toutes choses, que les poètes ont voulu parler, et non pas de celui-ci qui n'est que son fils. Je n'arrêterai point non plus sur la différence que quelques-uns ont mise être l'Amour en l'Amitié, que celle-ci est toujours réciproque, et que l'autre ne l'est jamais, et qu'ainsi l'Amour précède l'Amitié, puisqu'en effet il faut que l'affection naisse premièrement de l'un des deux côtés avant que d'être mutuelle. Je ne m'arrêtai pas, dis-je, à cette différence, parce que je la trouve absolument fausse. L'on sait que l'Amour et l'Amitié sont quelquefois réciproques, et que quelquefois il ne le sont pas. Je ne ma réglai que sur la généalogie que j'ai déjà avancée, et sur l'histoire de leur naissance, que je leur contai le plus naïvement qu'il me fut possible. Je leur dis donc que la Beauté et la Bonté étaient deux soeurs si accomplies et i charmantes, qu'on ne pouvait pas les voir ni les connaître sans les aimer ; quelques uns les trouvèrent si semblables ; qu'ils les prirent souvent l'une pour l'autre, et leur donnèrent aussi le même nom. Mai ceux qui les observèrent plus soigneusement, remarquèrent une très grande différence entre elles. La Beauté avait beaucoup d'éclat et d'apparence qui donnait dans la vue d'abord ; et sans mentir ou pouvait dire que pour la conquête d'un coeur elle n'avait besoin que d'être regardée, aussi était-elle extrêmement impérieuse et fière ; et quoi qu'elle n'eut ni gardes ni soldats autour d'elle, il n'était point de rois sur la Terre qui se fissent obéir si promptement, et dont l'Empire fut plus absolu que la tyrannie qu'elle exerçait sur tout ce qui aurait un coeur et des yeux. Elle était fort coquette, et aimait passionnément à se produire dans le grand monde, afin de s'attirer des louanges dont elle témoignait ne se soucier pas beaucoup, mais néanmoins qui lui plaisait tellement, qu'elle obligeait et forçait même toutes sortes de gens à lui ne donner. La Bonté tout au contraire était fort modeste et fort retirée ; et quoi qu'elle fut d'une humeur assez sociale et assez communicative avec les personnes qu'elle connaissait, elle fuyait pourtant la foule autant qu'elle pouvait, et elle ne haïssait rien tant que de se faire de fête mal à propos. Il est vrai qu'elle n'avait pas ce brillant et cet abord surprenant se sa soeur ; mais quand on s'était donné le loisir de la considérer avec attention, et de la pratiquer quelque temps,on demeurait persuadé qu'elle était infiniment aimable, et que ses charmes étaient bien plus solides et plus véritables que ceux de la Beauté. Le désir jeune et bouillant qui voyageait presque toujours pour satisfaire son humeur prompte et inquiète, et qui ne trouvait point de pire maison que la sienne, se promenant un jour et cherchant quelque aventure, rencontra la Beauté assise à la porte de son logis, où elle se tenait presque toujours oisive, et seulement pour être vue, pendant que la Bonté sa soeur était dans la maison qu'elle gardait, et où elle ne se tenait pas sans rien faire. Le désir, dis-je ayant rencontré la Beauté, se sentit tout ému et tout hors de soi en la voyant : mais comme il était assez hardi de son naturel, il l'aborde quoi qu'il ne la connut pas ; il la cajole, et lui fait cent galanterie qu'elle reçut avec beaucoup de joie. La procédé brusque et enjoué du cavalier lui plut extrêmement, elle crut voir en lui quelque chose de noble et de généreux, capable des plus hautes entreprises, et qui témoignait sans doute une illustre naissance ; elle s'imagina même que le ciel l'avait destinée pour lui, et qu'assurément il les avait faits l'un et l'autre; de sorte qu'après quelques recherches de la part du désir, leur mariage s'accomplit assez promptement. De ce mariage naquit l'amour,qui donna bien de la satisfaction à ses père et mère durant les premiers jours de son enfance ; car au lieu que les autres enfants ne font que crier et pleurer en venant au monde, celui-ci ne faisait que chanter et danser, il ne demandait qu'à rire et à se réjouir, il discourait de toute chose agréablement, il faisait même de petits vers et des billets doux les plus spirituels qu'on eut jamais vus ; enfin son père et sa mère en étaient si contents, qu'ils rompaient la tête à tout le monde des jolies choses qu'il avait dites ou qu'il avait faites ; mais lorsqu'il fut un peu plus grand, il changea si fort,qu'il n'était pas reconnaissable. Il devint rêveur et chagrin, il ne voulait ni boire ni manger, il soupirait sans cesse, il ne dormait point; il ne faisait que se plaindre, et réveillait son père, sans avoir le plus souvent ce qu'il lui fallait ; car on ne lui avait pas plutôt donné une chose qu'il en était las, et qu'il en demandait une autre,quine le contentait pas plus que la première : enfin c'était bien le plus cruel enfant qui fut jamais, et qui donna le plus de peine à élever ; mais revenons à notre histoire. Le Désir après quelques jours de mariage, ayant jeté les yeux sur la bonté sa belle-soeur, qu'il n'avait pas encore bien considérée à cause de la grande passion qu'il avait eu d'abord pour sa femme, mais qui commençait un peu à se refroidir : l'ayant, dis-je regardée de plus près, il remarqua en elle mille agréments et mille perfections qui la touchèrent sensiblement. Surtout il fut charmé de son humeur douce, complaisante, et officieuse, qui m'aimait qu'à faire du bien, et dont il y avait lieu d'attendre bien plus de secours dans les besoins et dans les rencontres fâcheuses de la vie, que de la Beauté sa soeur, qui semblait n'être née que pour la joie, et qui en effet né se connaissait point du tout à prendre part aux afflictions : il l'a reconnut patiente et généreuse, jusqu'à obliger ceux-même qui l'avaient offensée ; tout au contraire de la Beauté, qui bien loin de souffrir des mépris, se fâchais quand on ne la cajolait pas assez galamment. Enfin il jugea que si dans la possession de la Bonté on ne goûtait pas des plaisirs si sensibles ni si touchants qu'en celle de laBeauté, on en recevait assurément de plus tranquille et de plus durables. Épris de tant de perfection, et de tant d'aimables qualités, il lui découvre les sentiments qu'il avait pour elle ; la Bonté qui était facile, et qui ne pouvait pas refuser ceux qui la priaient de bonne grâce, lui accorda volontiers ce qu'il souhaitait, et le reçut pour son mari.De leur alliance naquit l'amitié, qui fut les délices et la joie de tout le monde. Il est vrai que durant son premier âge elle ne fut pas si gentille ni si agréable que l'avait été l'Amour : mais lorsqu'elle commença d'être un peu grande, elle parut si belle et si charmante, qu'elle fut désirée et recherchée de tous ceux qui la virent. On tâchait de la mettre de toutes les parties que l'on faisait, et une compagnie ne semblait pas complète et en état de se bien divertir, si elle manquait à s'y rencontrer ; les philosophes mêmes ne doutaient pas de dire que sa présence diminuait toutes les affliction et redoublait tous les plaisirs, et que la vie était ennuyeuse sans elle. Il est vrai qu'elle donnait sujet à toutes sortes de personnes de sa louer de sa conduite, et qu'elle était aussi sage et aussi discrète que l'Amour était fou et emporté ; aussi son père qui le reconnu dans plusieurs rencontres se plaignait souvent à elle des déplaisirs que lui donnait son frère, et lui en faisait confidence pour en recevoir du conseil et de la consolation. Voilà, MONSIEUR, comme je leur en fis l'Histoire, qui fait voir non seulement que l'Amour et l'Amitié sont frère et soeur, mais aussi que l'Amour est l'ainé. Ce qui paraît encore assez dans leur manière d'agir ensemble : car enfin il ne faut que considérer comme l'Amour gourmande sa soeur, comment il la fait passer par où il veut, et de quelle sorte il lui fait sa part, pour remarquer qu'il la traite en cadette, et qu'il use souvent de son droit d'aînesse. Tout cela fut assez bien reçu de la compagnie, et l'on n'y trouva rien à redire, sinon que le désir eut épousé deux femmes en même temps, et encore deux soeurs ; mais je ne pense pas que l'on doive chicaner là-dessus, ni que l'on veuille lui faire son procès à la Tournelle ou à l'Officialité, comme à un Bigame. Il y a trop longtemps que toute cette intrigue est découverte, sans que personne en ait jamais formé la moindre plainte, et de plus cela s'est passé dans le premier âge du Monde, où il n'était pas défendu d'épouser les deux soeurs. On sait d'ailleurs que le Désir n'est pas d'humeur à se contenter d'une femme, et qu'enfin outre la Beauté et la Bonté il a encore l'utilité, l'Honnêteté et le Belle Joie, eu qualité de femmes légitimes, sans compter les maîtresses qu'il entretient en ville, comme la Richesse, la Vaine Gloire, et la Volupté, dont il a même des enfants ; qui sont l'Avarice, l'Ambition et le Débauche, ses Filles naturelles. On n'ignore pas non plus qu'il conserve d'autres petites inclinations qu'il aime éperdument : car c'est sa coutume de sa porter avec plus d'empressement et de chaleur aux choses qui lui sont défendues, qu'à celles qui lui sont permises. Vous pouvez maintenant MONSIEUR, lie le Dialogue de l'Amour et de l'Amitié, et voir comment ils s'entretiennent. Je sais bien que vous leur avez ouï dire cent fois les mêmes choses d'une manière bien plus galante, et que si vous vouliez nous en faire le récit, nous y remarquerions si bien leurs véritables caractères, qu'ils nous semblerait les entendre discourir eux-même ; mais chacun rapporte les choses à sa façon et du mieux qu'il lui est possible. Je leur ai ouï faire encore quantité d'autres conversations assez jolies, que je pourrai vous écrire quelque jour, si je vois que celle-ci ait eu le bonheur de vous plaire, à vous, dis-je, que je puis nommer l'arbitre des bonnes choses, et le grand maître desAllégories. En cette qualité vous pouvez faire tout ce que vous voudrez de ce Dialogue, et traiter en toute rigueur l'amour et l'amitié qui y sont, pourvu que vous me conserviez celle que vous m'avez promise. Vous penserez aussi ce qu'il vous plaira de ce que je leur fait dire, pourvu que vous croyez que l'Amitié dit vrai, quand elle vous assure que je suis passionnément, MONSIEUR, votre très humble et très affectionné serviteur, P. PERSONNAGES L'AMOUR, frère de l'Amitié. L'AMITIÉ, soeur de l'Amour. DIALOGUE DE L'AMOUR ET DE L'AMITIÉ L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php)L'Amour est un enfant aussi vieux que le monde,Il est le plus petit et le plus grand des dieux,De ses feux il remplit le ciel, la terre et l'onde,Et toutefois Iris le loge dans ses yeux. L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) J'ai le visage long, et la mine naïve, Je suis sans finesse et sans art ; Mon teint est fort uni, sa couleur assez vive Et je ne mets jamais de fard. Mon abord est civil, j'ai la bouche riante Et mes yeux ont mille douceurs, Mais quoique je sois belle, agréable et charmante, Je règne sur bien peu de coeurs. On me cajole assez, et presque tous les hommes Se vantent de suivre mes lois ; Mais que j'en connais peu dans le siècle où nous sommes, Dont le coeur réponde à la voix ! Ceux que je fais aimer d'une flamme fidèle Me font l'objet de tous leurs soins ; Et quoique je vieillisse ils me trouvent fort belle Et ne m'en estiment pas moins. On m'accuse souvent d'aimer trop à paraître Où l'on voit la prospérité, Cependant il est vrai qu'on ne peut me connaître Qu'au milieu de l'adversité. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMITIÉ. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) L'AMOUR. ***************** Erreur dans l'interprétation du texte (ligne 290, programme : edition_txt.php) ==================================================