Occurences de l'expression

maladie

pour MOLIERE

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SGANARELLE (1663)

  1. Les querelles, procès, faim, soif et maladie, v.453 (Acte 1, scène 17, SGANARELLE)

LE MÉDECIN MALGRÉ LUI (1668)

  1. Il faut bien obéir à notre maître : et puis, nous avons intérêt, l'un et l'autre, à la santé de sa fille notre maîtresse, et, sans doute, son mariage différé par sa maladie, nous vaudrait quelque récompense. (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  2. Cela se pourrait faire, et nous tâchons de rencontrer quelque habile homme, quelque médecin particulier, qui pût donner quelque soulagement à la fille notre maître, attaquée d'une maladie qui lui a ôté, tout d'un coup, l'usage de la langue. (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
  3. Vous ne pouviez jamais, vous mieux adresser, pour rencontrer ce que vous cherchez : et nous avons ici, un homme le plus merveilleux homme du monde, pour les maladies désespérées. (Acte 1, scène 4, MARTINE)
  4. Un médecin, qui a guari, je ne sais combien de maladies. (Acte 1, scène 5, LUCAS)
  5. Monsieur, j'ai une fille qui est tombée dans une étrange maladie. (Acte 2, scène 2, GÉRONTE)
  6. Monsieur, c'est là sa maladie. (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  7. Plût à Dieu que la mienne eût cette maladie, je me garderais bien de la vouloir guérir. (Acte 2, scène 4, SGANARELLE)
  8. Voyez, comme il a deviné sa maladie ! (Acte 2, scène 4, JACQUELINE)
  9. Je tiens que cet empêchement de l'action de sa langue, est causé par de certaines humeurs, qu'entre nous autres, savants, nous appelons humeurs peccantes, peccantes, c'est-à-dire... humeurs peccantes : d'autant que les vapeurs formées par les exhalaisons des influences qui s'élèvent dans la région des maladies, venant... pour ainsi dire... à... (Acte 2, scène 4, SGANARELLE)
  10. Assurément : mais, Monsieur, que croyez-vous qu'il faille faire à cette maladie ? (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  11. Pourquoi s'aller faire saigner quand on n'a point de maladie ? (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
  12. Il n'importe, la mode en est salutaire : et comme on boit pour la soif à venir, il faut se faire aussi saigner pour la maladie à venir. (Acte 2, scène 4, SGANARELLE)
  13. Vous saurez, donc, Monsieur, que cette maladie que vous voulez guérir, est une feinte maladie. (Acte 2, scène 5, LÉANDRE)
  14. Mais il est certain que l'amour en est la véritable cause : et que Lucinde n'a trouvé cette maladie, que pour se délivrer d'un mariage, dont elle était importunée. (Acte 2, scène 5, L?ANDRE)
  15. Allez-vous-en, Monsieur l'Apothicaire, tâter un peu son pouls, afin que je raisonne tantôt, avec vous, de sa maladie. (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
  16. Voilà une maladie qui m'a bien donné de la peine ! (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
  17. C'est une maladie qui la tient, et je sais le remède qu'il y faut apporter. (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
  18. Serait-il possible, Monsieur, que vous pussiez, aussi, guérir cette maladie d'esprit ? (Acte 3, scène 6, GÉRONTE)

LE TARTUFFE (1669)

  1. Tantôt vous payerez de quelque maladie, v.802 (Acte 2, scène 4, DORINE)

L'AMOUR MÉDECIN (1666)

  1. Hippocrate dit, que ces sortes de maladie ne se terminent qu'au quatorze, ou au vingt-un, et il n'y a que six jours qu'il est tombé malade. (Acte 3, scène 2, MONSIEUR TOMÈS)
  2. Les gens de la maison faisaient ce qu'ils pouvaient et la maladie pressait : mais je n'en voulus point démordre, et la malade mourut bravement pendant cette contestation. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR TOMÈS)
  3. La maladie de votre fille.[..] (Acte 3, scène 4, MONSIEUR TOMÈS)
  4. Monsieur, nous avons raisonné sur la maladie de votre fille . et mon avis, à moi, est que cela procède d'une grande chaleur de sang : ainsi je conclus à la saigner le plus tôt que vous pourrez. (Acte 3, scène 4, MONSIEUR TOMÈS)
  5. Et moi, je dis que sa maladie est une pourriture d'humeurs, causée par une trop grande réplétion : ainsi je conclus à lui donner de l'émétique. (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DES FONANDRÈS)
  6. C'est pourquoi il s'agit de raisonner auparavant comme il faut, de peser mûrement les choses, de regarder le tempérament des gens, d'examiner les causes de la maladie, et de voir les remèdes qu'on y doit apporter. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR-BAHYS)
  7. Conservons-nous donc dans le degré d'estime où leur faiblesse nous a mis, et soyons de concert auprès des malades, pour nous attribuer les heureux succès de la maladie, et rejeter sur la Nature toutes les bévues de notre art. (Acte 4, scène 1, MONSIEUR FILERIN)
  8. Comme l'esprit a grand empire sur le corps, et que c'est de lui bien souvent que procèdent les maladies, ma coutume est de courir à guérir les esprits, avant que de venir au corps. (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)

L'AVARE (1669)

  1. Il faut demander un délai, et feindre quelque maladie. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)

LE MISANTHROPE (1667)

  1. Je vous dirai tout franc, que cette maladie, v.105 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)

LE MÉDECIN VOLANT (1659)

  1. Va-t'en vite ; je vois bien que cette maladie-là reculera bien les noces. (Acte 1, scène 3, GORGIBUS)
  2. Il n'importe : le sang du père et de la fille ne sont qu'une même chose ; et par l'altération de celui du père, je puis connaître la maladie de la fille. (Acte 1, scène 4, SGANARELLE)
  3. Ne vous étonnez pas de cela ; les médecins, d'ordinaire, se contentent de la regarder ; mais moi, qui suis un médecin hors du commun, je l'avale, parce qu'avec le goût je discerne bien mieux la cause et les suites de la maladie. (Acte 1, scène 4, SGANARELLE)
  4. Ovide, ce grand médecin, au chapitre qu'il a fait de la nature des animaux, dit... cent belles choses ; et comme les humeurs qui ont de la connexité ont beaucoup de rapport ; car, par exemple, comme la mélancolie est ennemie de la joie, et que la bile qui se répand par le corps nous fait devenir jaunes, et qu'il n'est rien plus contraire à la santé que la maladie, nous pouvons dire, avec ce grand homme, que votre fille est fort malade. (Acte 1, scène 5, SGANARELLE)
  5. Ayant appris la maladie de Mademoiselle votre fille, je vous suis venu témoigner la part que j'y prends, et vous faire offre de tout ce qui dépend de moi. (Acte 1, scène 7, AVOCAT)

DON GARCIE DE NAVARRE (1682)

  1. Et votre maladie est digne de pitié. v.1867 (Acte 5, scène 6, DONA ELVIRE)

LA CRITIQUE DE L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)

  1. Voyez un peu, comme les maladies arrivent sans qu'on y songe. (Acte 1, scène 3, ÉLISE)

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LE MALADE IMAGINAIRE (1682)

  1. Ma raison est que, me voyant infirme, et malade comme je suis, je veux me faire un gendre? et des alliés médecins, afin de m'appuyer de bons secours contre ma maladie, d'avoir dans ma famille les sources des remèdes qui me sont nécessaires, et d'être à même des consultations, et des ordonnances. (Acte 3, scène 5, ARGAN)
  2. Que d'affaires ; je n'ai pas seulement le loisir de songer à ma maladie. (Acte 3, scène 8, ARGAN)
  3. Ils savent la plupart de fort belles humanités ; savent parler en beau latin, savent nommer en grec toutes les maladies, les définir, et les diviser ; mais pour ce qui est de les guérir, c'est ce qu'ils ne savent point du tout. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
  4. Mais enfin, mon frère, il y a des gens aussi sages, et aussi habiles que vous ; et nous voyons que, dans la maladie tout le monde a recours aux médecins. (Acte 6, scène 3, ARGAN)
  5. C'est notre inquiétude, c'est notre impatience qui gâte tout, et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes, et non pas de leurs maladies. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
  6. Il a ses raisons pour n'en point vouloir, et il soutient que cela n'est permis qu'aux gens vigoureux et robustes, et qui ont des forces de reste pour porter les remèdes avec la maladie ; mais que pour lui il n'a justement de la force, que pour porter son mal. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
  7. Encore un coup, mon Frère, est-il possible qu'il n'y ait pas moyen de vous guérir de la maladie des médecins, et que vous vouliez être toute votre vie enseveli dans leurs remèdes ? (Acte 6, scène 4, BÉRALDE)
  8. Vous voyez, mon Frère, les étranges maladies dont il m'a menacé. (Acte 6, scène 6, ARGAN)
  9. Voyez-vous, j'ai sur le coeur toutes ces maladies-là que je ne connais point, ces... (Acte 6, scène 7, ARGAN)
  10. Je dédaigne de m'amuser à ce menu fatras de maladies ordinaires, à ces bagatelles de rhumatisme et défluxions, à ces fiévrottes, à ces vapeurs, et à ces migraines. (Acte 6, scène 10, TOINETTE)
  11. Je veux des maladies d'importance, de bonnes fièvres continues, avec des transports au cerveau, de bonnes fièvres pourprées, de bonnes pestes, de bonnes hydropisies formées, de bonnes pleurésies, avec des inflammations de poitrine, c'est là que je me plais, c'est là que je triomphe ; et je voudrais, Monsieur, que vous eussiez toutes les maladies que je viens de dire, que vous fussiez abandonné de tous les médecins, désespéré, à l'agonie, pour vous montrer l'excellence de mes remèdes, et l'envie que j'aurais de vous rendre service. (Acte 6, scène 10, TOINETTE)
  12. L'inquiétude que lui donne ma maladie. (Acte 6, scène 11, ARGAN)
  13. Voilà le vrai moyen de vous guérir bientôt ; et il n'y a point de maladie si osée, que de se jouer à la personne d'un médecin. (Acte 6, scène 14, TOINETTE)
  14. Mais il faut savoir bien parler latin, connaître les maladies, et les remèdes qu'il y faut faire. (Acte 6, scène 14, ARGAN)
  15. Quoi l'on sait discourir sur les maladies quand on a cet habit-là ? (Acte 6, scène 14, ARGAN)

DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE (1682)

  1. Cinq ou six paysans et paysannes, en me voyant passer, me sont venus demander mon avis sur différentes maladies. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)

DON JUAN (1683)

  1. Cinq ou six Paysans ou Paysannes en me voyant passer me sont venus demander mon avis sur différentes maladies. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)

MONSIEUR DE POURCEAUGNAC (1670)

  1. Au reste, il n'est pas de ces médecins qui marchandent les maladies : c'est un homme expéditif, qui aime à dépêcher ses malades ; et quand on a à mourir, cela se fait avec lui le plus vite du monde. (Acte 2, scène 5, L-APOTHICAIRE)
  2. Il faut savoir vitement le court ou le long d'une maladie. (Acte 2, scène 5, L-APOTHICAIRE)
  3. Voilà déjà trois de mes enfants dont il m'a fait l'honneur de conduire la maladie, qui sont morts en moins de quatre jours, et qui, entre les mains d'un autre, auraient langui plus de trois mois. (Acte 2, scène 5, L-APOTHICAIRE)
  4. Le malade est un sot, d'autant plus que, dans la maladie dont il est attaqué, ce n'est pas la tête, selon Galien, mais la rate, qui lui doit faire mal. (Acte 2, scène 6, PREMIER MÉDECIN)
  5. C'est signe que la maladie n'est pas dans le sang. (Acte 2, scène 6, PREMIER MÉDECIN)
  6. La conjoncture est tout à fait heureuse, et j'ai ici un ancien de mes amis avec lequel je serai bien aise de consulter sa maladie. (Acte 2, scène 6, PREMIER MÉDECIN)
  7. Comme ainsi soit qu'on ne puisse guérir une maladie qu'on ne la connaisse parfaitement, et qu'on ne la puisse parfaitement connaître, sans en bien établir l'idée particulière et la véritable espèce, par ses signes diagnostiques et prognostiques, vous me permettrez, Monsieur notre ancien, d'entrer en considération de la maladie dont il s'agit, avant que de toucher à la thérapeutique et aux remèdes qu'il nous conviendra faire pour la parfaite curation d'icelle. (Acte 2, scène 8, PREMIER MÉDECIN)
  8. Je l'appelle mélancolie hypocondriaque, pour la distinguer des deux autres ; car le célèbre Galien établit doctement à son ordinaire trois espèces de cette maladie que nous nommons mélancolie, ainsi appelée non seulement par les Latins, mais encore par les Grecs ; ce qui est bien à remarquer pour notre affaire : la première, qui vient du propre vice du cerveau ; la seconde, qui vient de tout le sang, fait et rendu atrabilaire ; la troisième, appelée hypocondriaque, qui est la nôtre, laquelle procède du vice de quelque partie du bas-ventre et de la région inférieure, mais particulièrement de la rate, dont la chaleur et l'inflammation porte au cerveau de notre malade beaucoup de fuligines épaisses et crasses, dont la vapeur noire et maligne, cause dépravation aux fonctions de la faculté princesse, et fait la maladie dont par notre raisonnement il est manifestement atteint et convaincu. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
  9. Qu'ainsi ne soit, pour diagnostique incontestable de ce que je dis, vous n'avez qu'à considérer ce grand sérieux que vous voyez ; cette tristesse accompagnée de crainte et de défiance, signes pathognomoniques et individuels de cette maladie, si bien marquée chez le Divin vieillard Hippocrate ; cette physionomie, ces yeux rouges et hagards, cette grande barbe, cette habitude du corps, menue, grêle, noire et velue, lesquels signes le dénotent très affecté de cette maladie, procédante du vice des hypocondres ; laquelle maladie par laps de temps naturalisée, envieillie, habituée, et ayant pris droit de bourgeoisie chez lui, pourrait bien dégénérer, ou en manie, ou en phtisie, ou en apoplexie, ou même en fine frénésie et fureur. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
  10. Tout ceci supposé, puisqu'une maladie bien connue est à demi guérie, car ignoti nulla est curatio morbi, il ne vous sera pas difficile de convenir des remèdes que nous devons faire à Monsieur. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
  11. Premièrement, pour remédier à cette pléthore obturante, et à cette cacochymie luxuriante par tout le corps, je suis d'avis qu'il soit phlébotomisé libéralement ; c'est-à-dire que les saignées soient fréquentes et plantureuses : en premier lieu de la basilique, puis de la céphalique ; et même si le mal est opiniâtre, de lui ouvrir la veine du front, et que l'ouverture soit large, afin que le gros sang puisse sortir ; et en même temps, de le purger, désopiler, et évacuer par purgatifs propres et convenables, c'est-à-dire par cholagogues, mélanogogues, et caetera ; et comme la véritable source de tout le mal, est ou une humeur crasse et féculente, ou une vapeur noire et grossière qui obscurcit, infecte et salit les esprits animaux, il est à propos ensuite qu'il prenne un bain d'eau pure et nette, avec force petit-lait clair, pour purifier par l'eau la féculence de l'humeur crasse, et éclaircir par le lait clair la noirceur de cette vapeur ; mais avant toute chose, je trouve qu'il est bon de le réjouir par agréables conversations, chants et instruments de musique, à quoi il n'y a pas d'inconvénient de joindre des danseurs, afin que leurs mouvements, disposition et agilité puissent exciter et réveiller la paresse de ses esprits engourdis, qui occasionne l'épaisseur de son sang, d'où procède la maladie. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
  12. À Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pensée d'ajouter rien à ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les symptômes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le devînt, pour la beauté des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez dépeint fort graphiquement, graphice depinxisti, tout ce qui appartient à cette maladie ; il ne se peut rien de plus doctement, sagement, ingénieusement conçu, pensé, imaginé, que ce que vous avez prononcé au sujet de ce mal, soit pour la diagnose, ou la prognose, ou la thérapie ; et il ne me reste rien ici, que de féliciter Monsieur, d'être tombé entre vos mains, et de lui dire qu'il est trop heureux d'être fou, pour éprouver l'efficace et la douceur des remèdes que vous avez si judicieusement proposés: je les approuve tous, manibus et pedibus descendo in tuam sententiam. (Acte 2, scène 8, SECOND-MEDECIN)
  13. Sans doute, quand il y aurait eu complication de douze maladies. (Acte 3, scène 1, PREMIER MÉDECIN)
  14. Votre prétendu gendre a été constitué mon malade : sa maladie qu'on m'a donné à guérir, est un meuble qui m'appartient, et que je compte entre mes effets ; et je vous déclare que je ne prétends point qu'il se marie, qu'au préalable il n'ait satisfait à la médecine, et subi les remèdes que je lui ai ordonnés. (Acte 3, scène 2, PREMIER MÉDECIN)
  15. Les médecins sont obligés au secret : il suffit que je vous ordonne, à vous, et à votre fille, de ne point célébrer, sans mon consentement, vos noces avec lui, sur peine d'encourir la disgrâce de la Faculté, et d'être accablés de toutes les maladies qu'il nous plaira. (Acte 3, scène 2, PREMIER MÉDECIN)

LES PRÉCIEUSES RIDICULES (1660)

  1. Ne vous étonnez pas de voir le Vicomte de la sorte, il ne fait que sortir d'une maladie, qui lui a rendu le visage pâle comme vous le voyez. (Acte 1, scène 11, MASCARILLE)
  2. Holà, ne pressez pas si fort la cadence, je ne fais que sortir de maladie. (Acte 1, scène 12, JODELET)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 14 textes (soit une présence dans 0,74 % des textes) dans lesquels il y a 71 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 5,07 occurences par texte.

Titres Acte 1 Prologue Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Acte 6 Acte 7 Acte 8 Acte 9 Acte 10 Acte 11 Total
1 SGANARELLE1000000000001
2 LE M?DECIN MALGR? LUI401040000000018
3 L'AVARE1000000000001
4 LE MISANTHROPE1000000000001
5 LE M?DECIN VOLANT5000000000005
6 LA CRITIQUE DE L'?COLE DES FEMMES1000000000001
7 LE MALADE IMAGINAIRE000200130000015
8 DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE0001000000001
9 DON JUAN0001000000001
10 LES PR?CIEUSES RIDICULES2000000000002
11 L'AMOUR M?DECIN0006200000008
12 MONSIEUR DE POURCEAUGNAC001230000000015
13 LE TARTUFFE0010000000001
14 DON GARCIE DE NAVARRE0000010000001
  Total150231721130000071

 

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