Occurences de l'expression
on
pour SCHELANDRE, Jean de
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TYR et SYDON (1628)
- Vrai fils de Tisiphone, adopté de Cyprine, v.2 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Tyran du jugement et de la volonté, v.4 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Jusques à quand, amour, au fonds de tes enfers v.7 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Si les dieux sont cléments et tendres au pardon, v.11 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Tu n'es pas un vrai Dieu, rigoureux Cupidon. v.12 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Depuis que par mes yeux un éclair de ton foudre v.13 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mit en braise mon coeur, mes chastes voeux en poudre, v.14 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et qu'en ton feu grégeois, qui s'accroît dans les eaux, v.15 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mes larmes ont servi de cire à tes flambeaux, v.16 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Comment a peu mon âme endurer cette guerre ? v.17 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- D'un cours continuel n'ait tari mes humeurs ? v.20 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Fut-il jamais au monde une fille de roi, v.23 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sont ternis tout_à_coup, et cierges retournés, v.27 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sont, au lieu de rayons, de pleurs environnés : v.28 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Moi qui des plus francs coeurs maîtresse reconnue v.29 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- ( Qu'aujourd'hui je ressens, las ! Trop à mon dommage ) v.38 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qu'un refrongné refus confit en cruauté, v.40 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Que direz-vous de moi ? Le feu qui me consomme v.41 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- La vengeance du Ciel surmonte mes rigueurs, v.43 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ce sont larmes de sang que les larmes secrètes. » v.46 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Lorsque mon coeur, poussé de mouvements soudains, v.47 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ma langue à mon palais, immobile, se colle : v.50 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Las ! Si voit-il mon mal ; ma mine seulement v.51 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ne l'expose que trop à son beau jugement : v.52 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mais, inhumain qu'il est, aveugle volontaire, v.53 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Il est d'autres chaînons de longtemps détenu, v.55 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mon oeil est (je le sais) d'un autre oeil prévenu, v.56 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Crève-coeur non pareil ! Celle qui me devrait v.59 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Céder en toute chose, anticipe mon droit ! v.60 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Par le premier soupir de mon sein désolé, v.64 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Si tes attraits larrons ne m'avaient devancée. v.66 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Arracher de son trône Hécate au triple front ; v.68 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Conjurer les fureurs, le médisant discord, v.72 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Le soupçon méfiant, la forte frénésie, v.74 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Et tout ce que d'affreux l'enfer conçut jamais, v.75 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Je vous ferai la guerre en me donnant la paix. v.76 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Le dessein précédent pour y fonder le sien. ) v.79 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Plutôt par un poison je me verrai vengée v.81 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Remets, remets ton sens en sa propre maison ; v.87 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Écarte les vapeurs qui troublent ta raison, v.88 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- ( À qui premier le peut ) l'objet de son désir, v.92 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Sans égard d'aucuns temps, de personne ou de place. v.93 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Ont donné dans la vue au prince de Sidon, v.95 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Dois-tu, par un dépit flottant à l'abandon v.96 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Du vent passionné d'une injuste querelle, v.97 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Machiner un effet si funeste contre elle ? v.98 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Non ! Meurs plutôt, pauvrette, en imputant ta mort v.99 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qu'à ce traître complot pour guérir condescendre, v.101 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Digne d'une Progné, non pas d'une Cassandre. v.102 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Un songe, cette nuit, m'a brouillé le cerveau : v.104 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Mon front était à sec ; mes yeux, étant marris v.111 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Comme par nonchalance, et faute de lumière, v.113 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Non pas d'un vrai dormir, doux frère d'Atropos v.115 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- ( Car mon tourment n'est point compatible au repos ), v.116 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- De spectres, de frayeurs et de songes fantasques. v.118 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Seules, ma soeur et moi, nous cueillions des fleurettes, v.121 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Son col haut et poli, son front large et longuet, v.127 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Son poil était plus blanc que les floquets de laine v.129 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Baisant ses mains, ses yeux, sa bouche et son tétin ; v.136 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Je conçus lors dépité une humeur envieuse v.145 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Puis recourir aux bois, joyeux de sa conquête ; v.150 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- J'y cours, et lui s'enfuit ; mais, talonné de près, v.151 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Peureux, il lâche prise et me quitte son faix : v.152 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Je poursuis nonobstant ; après telle rescousse, v.153 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Le désir de vengeance et d'honneur qui me pousse v.154 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Après avoir longtemps, sans crainte des dangers v.156 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Brossé parmi les forts et les ronces poignantes, v.157 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Par vallons raboteux, par cavernes sonnantes, v.158 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- ( Chose effroyable à voir ! ) Son chef devint tout rond, v.159 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Il perdit à l'instant les armes de son front, v.160 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Son poitrail s'épaissit de longue chevelure, v.161 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Son poil devint tout roux et ses deux yeux ardents, v.163 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Bref, ce fut un lion, qui, vers moi se tournant v.168 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Fit bondir en sursaut un inutile réveil, v.171 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Qui n'ôta point le songe en ôtant le sommeil. v.172 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Dieux ! Si c'est mon trépas que Morphé me présage, v.173 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- C'est ma félicité plutôt que mon dommage. v.174 (Acte 1, scène 1, CASSANDRE)
- Si jamais un amant, tout content de sa dame, v.177 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Je suis celui qui dois, selon mes premiers voeux v.179 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Honorer son autel du trépas de cent boeufs : v.180 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- À ceux qui leurs beaux ans consacrent à son père, v.182 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Si favorable aux siens que l'inconstante roue v.185 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Me serait trop d'honneur en tout événement : v.192 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- ( L'objet le plus parfait que le soleil contemple ) v.194 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Engravé dans mon sein, d'un trait noble et doré, v.195 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Il a piqué son coeur d'une flèche pareille ; v.198 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Le formaliste hymen contre moi le défend : v.203 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Puis, quelque dur traité qu'on m'y veuille apporter, v.207 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Alors que l'espérance est solide et constante. v.210 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- J'entendrai de ce coin toute leur conférence. v.214 (Acte 1, scène 2, BELCAR)
- Non, non, ne craignez pas, ma mère, que mon feu v.215 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Des bornes de l'honneur s'égare tant soit peu ; v.216 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- J'aime, mais sans hasard de voir abandonnée v.217 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- La fleur de mon printemps qu'en faveur d'Hyménée. v.218 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Abouché mon tétin, je vous ai toutefois v.223 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Pendue à mon collet et mille et mille fois, v.224 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Pour cela je suis libre, et de franche façon v.227 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Je prends l'autorité de vous donner leçon. v.228 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Ils nous en font accroire, ô sottes que nous sommes ! v.230 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Qu'ils sont blessés à mort, comme en effet aussi v.231 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Ainsi de nos faveurs, dont ils brûlent d'envie, v.237 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Et l'ennui languissant d'une attente console. v.250 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- C'est, Madame, c'est là le soupçon qui me tient, v.251 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Mais sa modeste humeur, n'est-ce pas un bon frein ? v.256 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Tous deux sont maitrisés de naturelle rage. v.261 (Acte 1, scène 3, ALMODICE)
- Toutes sont d'une chair sujette à caution. v.263 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- Moi-même, décrépite, ai cette passion, v.264 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Consentirait au mal (la prenant sur le vert), v.267 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Las ! Madame, plutôt se darde le tonnerre v.269 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Sur mes cheveux grisons, et m'engouffre sous terre, v.270 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Quoi donc ? Pour l'avenir v.275 (Acte 1, scène 3, MÉLIANE)
- De convier ici le soulas de ma vie ? v.278 (Acte 1, scène 3, M?LIANE)
- Marche à ta malencontre, infernale courrière. v.282 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Mon prince, que les cieux v.283 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- Secondent vos desseins toujours de mieux en mieux. v.284 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Que demandez-vous plus, mon cher coeur ? Je vous aime, v.293 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- Dont Vénus entretient les grâces quelquefois. v.296 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Prêtez à mon souci votre gai coloris v.304 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Comme vous contentez mon oeil et mon oreille, v.305 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Si nous ne respirons vous et moi qu'une vie, v.309 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Tout beau, mon cher ami ! Souvent ces doux appas v.311 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- Nous attirent un mal que l'on ne prévoit pas. v.312 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Retranchons ce plaisir, quoi qu'il nous soit licite, v.313 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- De ma témérité dont vous êtes complice, v.318 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Si je n'avais pour moi votre excès de bonté, ) v.320 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Ce rebut est donc juste, et celle qui le fait. v.323 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- N'eut fondé nul soupçon si je ne l'eusse ouïe, v.326 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- On se devrait servir d'une femme en tel age v.333 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Non pour un chaste hymen, mais pour maquerellage : v.334 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- En ceste affreuse vieille on le pourrait cercher. v.336 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Aussi (comme on le dict) le tissu de sa vie v.337 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Est tout d'ambition, d'avarice et d'envie. v.338 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Non, ne vous fâchez point ; ce qu'elle m'en a dit v.339 (Acte 1, scène 4, MÉLIANE)
- A bien quelque raison, mais n'a pas grand crédit, v.340 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Or bien, je me soumets selon votre demande, v.342 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Faites la mienne aussi, mon coeur, apaisez-vous. v.343 (Acte 1, scène 4, M?LIANE)
- Ô baisers ravissants, non moins puissants que doux ? v.344 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Vos charmes sont si forts qu'ils pourraient arrêter v.347 (Acte 1, scène 4, BELCAR)
- Doncques, ce grand soupçon, qui, toujours me gênant, v.351 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ah ! Que de mon martyre ils triomphent heureux ! v.356 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qu'ai-je aperçu, bons dieux ? Une fille sans crainte v.365 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Baiser son Adonis entre ses bras éteinte ! v.366 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Détruire vos desseins jusques aux fondements, v.372 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Votre amour clandestine aux lois d'honneur contraire : v.374 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Mon ennemi, que j'aime autant et plus que moi, v.376 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Car j'ouvrirais mon flanc d'une lame pointue, v.378 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ce lacs où le dépit contre toi me convie. v.382 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ô que l'on dit bien vrai ! Fortune vient aider v.383 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ceux qui sont sans vergogne âpres à demander ; v.384 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Amour haït les couards ; la reine d'Amathonte v.385 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ne départit jamais ses faveurs à la honte : v.386 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Rassemblant les rayons de mon oeil attrayant, v.388 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Parant mon teint de lys et de roses mêlées. v.389 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je lui faisais sentir les désirs de mon âme, v.394 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Les amants d'aujourd'hui ne sont pas si fidèles v.397 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Montre ta fin prochaine. Et quoi ! Sur un peut-être, v.401 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Voudrais-tu bien trahir ton honneur, ton bon maître ? v.402 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Las ! Que ferai-je donc ? Puisque toute ma vie v.406 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Chaste soeur d'Apollon, soyez-moi secourable. v.410 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Quoi ? Mon cher nourrisson, d'où vous nait ce vouloir v.415 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qui vous chéris si fort que pour vous contenter v.419 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Moi de qui vous avez honoré les mamelles, v.421 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qui n'ai pas plus que vous conservé mes prunelles, v.422 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- D'où vient de vous à moi le soupçon méfiant ? v.431 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ne répondez-vous point, quand je parle en priant ? v.432 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Il n'est si grand ennui qu'un bon conseil n'allège. v.434 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qu'on ne puisse esquiver si ce n'est le trépas ; v.436 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais le mal découvert est demi-consolé. v.440 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- C'est mon frère enlevé d'une main violente ; v.442 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- C'était tout mon support, las ! Ne puis-je savoir v.443 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Le temps de son retour ? Je meurs de le revoir. v.444 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Madame, c'est l'amour, et non pas l'amitié, v.447 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- C'est ce petit garçon qui blessait sans pitié v.448 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Pour vous donner secours j'ai le savoir et l'âge ; v.454 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Servez-vous donc de moi, souvent en un tel fait v.455 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Le bon avis des vieux donne aux jeunes l'effet. v.456 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Il faut bien reconnaître avant de bien aimer, v.459 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Et savoir de quel bois on se doit enflammer. v.460 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Je ne connais point d'homme assez grand, assez brave, v.461 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Il faut qu'un rang d'honneur sur vos désirs commande. v.465 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- J'ai fait élection d'une valeur si grande, v.466 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Fait fondre sur la terre en sifflant et grondant, v.472 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Par le fer et le feu dont le tartare est ceint, v.475 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qu'on n'exigera point une trahison d'elle, v.478 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Et que, pour vous placer au désiré bonheur, v.479 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Je veux mettre à mépris et la vie et l'honneur. v.480 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- La valeur, la beauté, la royale façon v.483 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Du prince prisonnier, m'ont prise à l'hameçon. v.484 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Un grand étonnement dans mon sang se remue ! v.486 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Vous me surprenez donc ! Que serait devenu v.487 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ce ferme jugement par tant d'effets connu ? v.488 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Qui le rendrait contraire à mon contentement ? v.495 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qui vous rendait jadis contraire à tout amant ? v.496 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Est-ce aimer follement que d'aimer son pareil ? v.499 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- C'est aimer follement que d'aimer sans conseil. v.500 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Pour voir ce qui m'est bon n'ai-je pas assez d'âge ? v.501 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Il doit avec raison souscrire à mon désir. v.503 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Je voudrais lier Mars des noeuds de son enfant. v.507 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Armez-vous de constance. v.509 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mon coeur est déjà pris. v.510 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Amour est si puissant que son arc souverain v.511 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Pourrait même enfoncer des murailles d'airain. v.512 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Puis en cygne, en bélier, en mille autres façons. v.519 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Les nymphes ne sont pas, sous les raides glaçons, v.520 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- À couvert de ses feux ; sous les vagues profondes v.521 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Il blesse les tritons et l'empereur des ondes. v.522 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- En vain, nourrice, en vain vos conseils bien donnéz v.523 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- La seule jouissance y peut donner remède, v.529 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Non le courroux du Roi, qui viendrait m'accabler, v.531 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Non l'effet, qui pourrait difficile sembler, v.532 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais votre saint honneur, dont je serai meurtrière, v.533 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Or sus, tant de raisons ont vaincu ma folie. v.537 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Le destin ne veut pas que mon hymen allie v.538 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Non, non, je le dépite et sais le seul asile v.541 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- J'ai ce fer protecteur, qui, bravant son pouvoir, v.543 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Retiendra mon honneur en son juste devoir. v.544 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ha ! Que vois-je ? Bons dieux ! Tout beau ! v.545 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Quoi ! Que mes doigts contraints v.548 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Vous quittent cette lame à mon sang destinée ! v.549 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Ma résolution n'en est pas détournée. v.550 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Mon mortel désespoir ne s'en fléchira pas ; v.552 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Qu'en tout temps sans refus on y voit introduits v.555 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Vivez, et dussions-nous nous lâcher à tous crimes : v.561 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Car les pertes de biens, d'honneur, d'amis intimes, v.562 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- N'ont rien qui ne soit doux à l'égal de la mort, v.563 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Rencontre en son effort toute chose possible. » v.566 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Au fonds de mes pensers un moyen qui nous duise. v.574 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Travaillez donc, ma mère, et ne présumez point v.575 (Acte 1, scène 5, CASSANDRE)
- Mais, toute insupportable à ton dos imposée, v.578 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Malencontreuse vieille ? Eh ! Que sur ton sommet v.579 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- D'horribles maudissons ton dessein te promet ! v.580 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Retournent tout_à_coup mon esprit à l'envers ! v.584 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Que de flots et de vents d'un inconstant orage v.585 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Poussent mon jugement à deux pas du naufrage ! v.586 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais las ! Mettrai-je aussi Cassandre à nonchaloir ? v.591 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Va sécher à mon su ; faut-il que je l'endure ? v.593 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Si d'un si lâche tour je trame son malheur ? v.596 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Que dira son Belcar ? Sa passion constante v.597 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Et même avec quel front le pourrai-je aborder ? v.599 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Quels seront mes discours pour le persuader ? v.600 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Après avoir longtemps, par mes propres messages, v.601 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Mais voir mon nourrisson dans telle extrémité, v.604 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Se fondre toute en pleurs, voir sa fin tout proche, v.605 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- En faveur de ma fille, et de tout mon pouvoir v.608 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- C'est où le naturel par contrainte m'oblige. v.610 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Trésor d'expérience en mon timbre compris, v.611 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ô chef de mon conseil ! Ma caboche routière ! v.613 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ne laisse en ton cerveau tendon, veine ou recoin v.615 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Monstre que ta toison n'est pas ainsi chenue v.617 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Or donc, si je faisais... mais non... toutefois, si... v.619 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Le danger en est grand, faisons donc d'autre sorte ; v.621 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- À mon premier avis la raison me remporte : v.622 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Il est bon, c'en est fait, il y faut travailler, v.623 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Je vais tout maintenant ce prince conseiller v.624 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Avec tant d'artifice et de raisons plausibles, v.625 (Acte 1, scène 5, ALMODICE)
- Ayant par assassins, contre la foi publique, v.629 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Léonte massacré pour sa femme impudique, v.630 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- De voir par représailles accabler son garant, v.632 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Le doute de son fait entretient sa pensée. v.638 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Un de ses espions, que nous avons surpris, v.639 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- M'a découvert la ruse et son séjour appris, v.640 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Avant que les meurtriers, qu'à la croix on attache, v.641 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Marchez, efforcez-vous ; quiconque le prendra v.643 (Acte 2, scène 1, ARAXE)
- Allons, je le connais ; j'ai remarqué la sorte v.645 (Acte 2, scène 1, SOLDAT)
- Dont il était vêtu passant à cette porte. v.646 (Acte 2, scène 1, SOLDAT)
- J'ai peur qu'un repentir suivra mon attentat. v.648 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Mon maraud de valet fait bien longue demeure ; v.649 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Et je vois toutefois que depuis son départ v.651 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Mon ombre s'accourcit de plus d'un demi-quart. v.652 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Car j'ai mis mon argent sur la foi d'un soldat, v.655 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Sans pleige ni témoin de notre concordat. v.656 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- En un pauvre jaloux quand le front lui démange ! v.658 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Avant ce mal de tête, on m'eut eu beau prêcher v.659 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Au lieu de bien jouer son difficile rôle, v.662 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Découvert mon fourchon que l'on ne voyait pas, v.664 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Dieux ! Que ferais-je alors ? Je quitterai Sidon v.667 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Et mettrai sur les flots ma vie à l'abandon : v.668 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Qu'alors que dans son nid il sait qu'on a ponnu, v.671 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Et qu'il voit du public son diffame connu. v.672 (Acte 2, scène , ZOROTE)
- Courage, compagnons ! Sans doute, c'est notre homme. v.673 (Acte 2, scène , SOLDATS)
- Ne nous est arrivé : nous aurons tous de quoi v.675 (Acte 2, scène , SOLDATS)
- Nous donner du bon temps, plus aises que le Roi. v.676 (Acte 2, scène , SOLDATS)
- Prenant pour mon repos ce buisson frais et sombre, v.678 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Mais comment pouvons-nous l'avoir perdu de vue ? v.681 (Acte 2, scène 3, SOLDATS)
- Allons revisiter cette épine touffue v.682 (Acte 2, scène 3, SOLDATS)
- Nous savons ta richesse et comment on te nomme. v.694 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Ce n'est pas pour ton or que nous te contraignons : v.695 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Ton or porte malheur, témoins nos compagnons. v.696 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Qui ne te connaîtrait ! Je me fâche, à la fin. v.699 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Nous te garrotterons si tu fais plus le fin. v.700 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Bien, le voilà tout fait, le passage à Sidon. v.703 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Tout ce que j'ai vaillant, je le baille en pur don, v.704 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Prenons cela d'avance. v.705 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Que nous mettions pour toi notre vie à l'encan ? v.708 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Revengeant mon honneur par une juste voie, v.713 (Acte 2, scène 4, ZOROTE)
- Traitât son lieutenant à la rigueur des armes ? v.718 (Acte 2, scène 4, SOLDATS)
- Dont nature s'émeut pour produire à son terme ; v.722 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Déjà des aquilons les zéphyrs sont vainqueurs v.723 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Et reçoivent en prix des couronnes de fleurs, v.724 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Lui rendant l'habit vert que la mort des saisons v.727 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Avait caché trois mois au coin de ses tisons ; v.728 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Et des nymphes de l'eau les bruyantes chansons v.731 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Après un long combat triomphent des glaçons. v.732 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Ô mars ! Voici ton mois. Ta riante maîtresse v.733 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Donc, qui me tient encor que je ne fais sortir v.735 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Ne font-ils égayer leurs toiles ampoulées ? v.738 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Éole nous semond d'un souffler opportun : v.739 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Je vois doux au montoir les phoques de Neptun[e], v.740 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Qui semble convier nos carènes dormantes v.741 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- À labourer son dos en rides écumantes. v.742 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Que font tant de drapeaux qu'ils ne sont éventés, v.743 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Et voltigeant en plis sur les poupes montés ? v.744 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Sinon que des tambours les cordages se tendent ? v.746 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Que tarde l'airain creux, que de sons éclatants v.747 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- L'honneur que la fortune a bien osé défendre ? v.750 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- En trêve languissante avec honte me laisse ? v.754 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Non ! Non ! D'un froid hiver je n'ai rien que le teint. v.755 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Je brûle par dedans : mon feu n'est pas éteint ; v.756 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Ait sillonné mon front et ma taille courbée, v.758 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- On ne verra jamais mon courage envieilli, v.759 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Ni l'amour de Bellone en mon âme failli. v.760 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Sire, c'est en ce point que les dignes monarques v.761 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Clothon d'un même lin ne retord en ses doigts v.763 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Leurs âmes sont d'en haut et paraissent royales, v.765 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- En vigueur, en constance, en valeur spéciales : v.766 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Car l'humeur mieux séante aux monarques bien nés, v.767 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Les états sur la guerre ont fondé leurs colonnes ; v.769 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- La guerre, c'est la forge où se font les couronnes ; v.770 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Par là sont parvenus en gloire surhumaine v.773 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Qui ne craignait manquer sinon de résistants, v.780 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- N'ont-ils point par le choc de sanglantes batailles v.781 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Dans l'enclos du renom conservant leurs lauriers, v.783 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Qu'alors que seulement ta force était connue v.789 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- Où tous les immortels, contre toi conjurés, v.791 (Acte 2, scène 5, PHULTER)
- La guerre est mon ébat. Puisse finir ma vie v.793 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Lorsque de l'exercer finira mon envie ! v.794 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- La guerre est un beau jeu dont l'honneur est le prix, v.795 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Va doncques, mon Phulter, faire croître nos troupes ; v.797 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Sur l'onde et sur le sec violenter le sort. v.800 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Les jours vont expirer de notre surséance ; v.801 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- C'est trop longtemps croupir hors de la bienséance. v.802 (Acte 2, scène 5, PHARNABAZE)
- Combien à votre abord mon mal est rengrégé ! v.804 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Plutôt que de me voir le premier annonçant v.807 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Quel fard peut donner lustre à mon triste message ? v.809 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Dieu vous gard[e], Timadon ; je vous prends au passage. v.810 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Très fâcheux à l'entendre, et plus à le conter. v.812 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Qui sait plutôt son mal est plutôt consolé. v.815 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Mon penser ne peut pas si grand malheur se feindre. v.817 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Léonte, hélas ! Léonte, ô deuil sans réconfort ! ... v.819 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Dieux ! Que me dites-vous ? Quoi ! Léonte est-il mort ? v.820 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Mon oeil que cet aspect a rendu criminel ! v.824 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Il faut honteusement que j'en meure d'ennui. v.828 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Ce grand fanal d'honneur est-il réduit en cendre ? v.829 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Ô ciel ! Le donniez-vous pour sitôt le reprendre ! v.830 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Ce prince environné de terreur et d'amour, v.831 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- A trouvé son couchant auprès de son aurore. v.834 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Un arbre bien fleuri, si l'on en a le fruit ? v.836 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- D'exemple et de conduite, en retraite de targe ! v.842 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Ah ! Mon roi, triste père, où sera ta vertu ? v.843 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Las ! Que j'ai peur de voir ton courage abattu v.844 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Et la mort de ton fils de la tienne suivie ! v.846 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Jamais son coeur altier, s'élevant comme à bonds, v.847 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Ne se pourra tenir qu'il ne sorte des gonds. v.848 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Grimpent au mont fourchu les bacchantes ménades, v.850 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Que les plus doux propos lui sont injurieux : v.852 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Hélas, mon cher ami, que ma charge m'est dure ! v.854 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Aucun ne le peut mieux que vous, mon capitaine, v.857 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Car, encor que du fait mon âme soit bien nette, v.861 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Or çà, contez-moi donc comment la parque inique v.865 (Acte 2, scène 6, THAMYS)
- Quelqu'un sur ce discours pourrait nous rencontrer : v.867 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Tirons-nous à l'écart, je ne m'ose montrer. v.868 (Acte 2, scène 6, TIMADON)
- Je ne fais rien que perdre et ma ruse et mon temps : v.869 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Méliane et Belcar ont les coeurs trop constants. v.870 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Faire qu'elle ait de lui quelque ombrage conçu. v.874 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- En faveur de Cassandre, autre aide que son père, v.876 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Qui peut donner le change à ce captif amant, v.877 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Qui, selon mon avis, ne peut être inutile. v.880 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Si le Sidonien se trouve tant heureux v.881 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Il n'y peut réussir que par mon entremise v.883 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Puis, quand c'en sera fait, Cassandre étant contente, v.887 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Il faut bien qu'il renonce à sa première attente ; v.888 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- En pareille charnure et pareil embonpoint, v.890 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Et l'une et l'autre pièce ont un égal usage ; v.891 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- ( Où l'oeil n'est abusé que par l'échantillon ), v.893 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Tout est d'un même drap prêt à mettre au foulon. v.894 (Acte 2, scène 7, ALMODICE)
- Cela me rend l'esprit tout confus et fantasque. v.896 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Pour un simple baiser s'est donné du souci v.898 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Me conseille aujourd'hui, voire me sollicite, v.899 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- De convier ma belle au plaisir illicite, v.900 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- On en verra bientôt des sinistres effets. v.902 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Qu'Almodice possède en mon sort amoureux, v.906 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Qu'irriter contre moi cette fine traîtresse ; v.908 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Puis, en tout cas, j'aurai pour mon dernier ressort, v.909 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- L'aveu de son conseil en cet honteux effort. v.910 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Mais les amants n'ont point de serment volontaire, v.912 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Et tous serments forcés sont de nulle valeur. v.914 (Acte 2, scène 8, BELCAR)
- Quels propos sont-ce là ? Rencontre bien plaisante ! v.923 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- À mon hardi dessein la porte se présente. v.924 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Je ne veux que mon oeil pour bon juge en cela. v.925 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Ah ! Mon prince ! Et qui vous pensait là ? v.926 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Qui seule peut donner la mort ou le pardon v.929 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- À celui qui vous met sa vie à l'abandon. v.930 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Que dites-vous, Monsieur ? Quelle humeur vous transporte ? v.931 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Par toutes vos beautés, ici je vous conjure, v.936 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Si vous ne trouvez bon qu'à cette heure, en ce lieu, v.937 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Tout mal fait se pardonne entre les bons amis, v.941 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Mais un crime non fait ne peut être permis. v.942 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- J'aurai donc le pardon quand j'aurai fait l'offence ? v.943 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- C'est souffrance du mal qu'un pardon par avance. v.944 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Bien donc ! Au pis aller, je n'en puis que mourir. v.945 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Voudriez-vous à la mort sans contrainte courir ? v.946 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Non, non, j'y suis contraint, car ma douleur trop forte v.947 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- D'un périlleux essai souvent on se repent. v.949 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Sachez donc, mon soleil (mon astre plus puissant v.953 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Je ne puis plus suffire à l'ardeur de mon âme. v.956 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Tout le soulagement que l'honneur peut souffrir, v.957 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Je l'ai déjà donné : que puis-je plus offrir ? v.958 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Quand l'amour n'est pas fort, l'honneur maintient son être ; v.959 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Faites-vous tant d'état d'une action brutale ? v.963 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- De fruit hors de saison nul ne se doit pourvoir. v.965 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Ce fruit est en saison quand on le peut avoir. v.966 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Un don bien attendu davantage contente. v.967 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Un don devient achat par une longue attente. v.968 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Ce qu'on tient en la main ne peut être égaré. v.970 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Tu me fais rude guerre ! Eh ! Penses-tu, mon coeur, v.973 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Mais, las ! S'il avenait (comme on voit que fortune v.975 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Puisqu'on s'en aperçut ( penser épouvantable ! ), v.979 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Où serait mon asile en la terre habitable ? v.980 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Quand bien sa volonté, contre moi conjurée, v.988 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Te serait conservé, malgré tes ennemis. v.990 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Or, le bon médecin dès son abord n'essaye v.991 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Cédons au cours du temps, Belcar, je t'en supplie. v.996 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Dompte, mon cher ami, ce déréglé désir, v.997 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Jure-moi, mon mignon, de ne plus demander v.1001 (Acte 2, scène 9, M?LIANE)
- Il ne faut rien promettre où l'on est sans puissance. v.1003 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Je ne suis pas moi-même en mon obéissance : v.1004 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Le pilote à son gré fait sa barque mouvoir, v.1005 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- L'écuyer son genêt, Cupidon mon vouloir. v.1006 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Mais les mauvais tireurs sont sujets au rebut. v.1010 (Acte 2, scène 9, MÉLIANE)
- Allons... fut-ce ma mort, je ne puis que l'attendre. v.1016 (Acte 2, scène 9, BELCAR)
- Tu m'as doncques, tyran sans courage et sans foi, v.1017 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Contre toute divine et toute humaine loi, v.1018 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Massacré mon Léonte, et ta main déloyale v.1019 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- A poussé mon appui sous la voute infernale. v.1020 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- N'esclaircissait mon sang ! J'en mourrais enragé. v.1030 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Ha monstre ! Quel sujet ! Ha, tigre impitoyable ! v.1031 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Les plus belles vertus sont crimes capitaux. v.1034 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Ses rares dons du ciel, ont ému ton envie. v.1036 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Jetez dedans Sidon les flammes et l'acier ; v.1042 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Qui leur fasse expier les ombres de Léonte. v.1044 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Nous les enfoncerons. Ô que d'exploits étranges v.1047 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Feront en leur fureur vos puissantes phalanges ! v.1048 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Je les vois déjà fondre après ce casanier v.1049 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Du forestier Liban, qui, par ondes soudaines, v.1051 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Et cependant, Phulter, n'auroi-je pas raison v.1053 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- De dépêcher Belcar sans le mettre en prison ? v.1054 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- La justice, ô grand roi ! Met de l'eau sur son feu, v.1057 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Consulte le tonnerre avant que s'y résoudre. v.1060 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Et tirer la raison courageuse et publique v.1063 (Acte 2, scène 10, PHULTER)
- Je marche à front levé ; ne me contraignez plus. v.1066 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Mourant, n'accusez point mon jugement sévère ; v.1068 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- La disgrâce vous vient de lui, non pas de moi. v.1069 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Votre pouvoir est libre, et non pas votre foi. v.1070 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Appuyez vos soupçons de preuve suffisante. v.1072 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Ayant perdu mon fils, encore ai-je le tort ? v.1073 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Que ne le gardait-on, puisqu'on l'avait en gage ? v.1075 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Belcar, je n'use plus de raisons contre vous : v.1077 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Plus j'entends de discours, plus s'aigrit mon courroux. v.1078 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Des plus fortes raisons énerve la puissance. v.1080 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- De mon enfant perdu n'êtes-vous pas garant ? v.1081 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- On me connait trop franc pour m'appeler rusé. v.1085 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Mais oïons Timadon ; selon qu'il le recite, v.1087 (Acte 2, scène 10, BELCAR)
- Ayant quitté son maître et sans lumière et seul ! v.1090 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Non, non, c'est trop plaider. Sur peine de ta tête v.1091 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Enchaine-le, Thamys, et me réponds de lui. v.1093 (Acte 2, scène 10, PHARNABAZE)
- Fortune, dont le vent hors de leur route emmène v.1099 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Du comble de mon aise en mille adversités, v.1102 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Dois-je vouer ma plainte à mon unique frère, v.1107 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Autrefois mon support, aujourd'hui ma misère ? v.1108 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Voilà de mon Belcar le tombeau préparé, v.1109 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Qui seul roi de mon coeur veut être préféré ! v.1110 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- La nature et l'honneur d'un remords me tourmentent, v.1112 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Éventer le second, dont il est seule cause ; v.1120 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mêmes (si je le puis) il faut à contre-coeur v.1121 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Montrer en mon désir ce dont j'ai plus de peur. v.1122 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Soulagez mon angoisse, autrement je me meurs. v.1126 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Tu me dois dispenser, sainte ombre de Léonte, v.1127 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Si la force d'amour mon amitié surmonte ! v.1128 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que tu mis en oubli, par ton amour extrême, v.1131 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- En cette passion qui les âmes conjoint, v.1134 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais nul pour mon Belcar ne s'afflige que moi. v.1138 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Grand conducteur du jour, et toi, blanche Diane, v.1139 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Car elle perd la vue en perdant son flambeau, v.1141 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Cache ton coloris, car il m'est inutile. v.1144 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ton teint m'est déplaisant, puisque je vois péri v.1145 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Le fruit de mon amour naguères si fleuri. v.1146 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Prête-moi tes poumons, afin que puissamment v.1149 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Je pousse des soupirs égaux à mon tourment ; v.1150 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Donne-moi tous tes flots, roi des ondes cruelles : v.1151 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Qu'ils deviennent en moi larmes continuelles ; v.1152 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et lorsque, pour pleurer, tes eaux me défaudront, v.1153 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ma vigueur et ma vie en pleurs se résoudront. v.1154 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Pauvrette, que dis-tu ? Non, non, mets bas les armes. v.1155 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Quand le coeur de ton coeur subira le trépas ? v.1158 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que la Parque à nous deux ne peut donner qu'un terme, v.1160 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Nous mourrons l'un et l'autre ensemble en un moment. v.1162 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que ne sais-tu ce noeud ? Peut-être en mon dessein v.1165 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que ton propre intérêt amollirait ton sein. v.1166 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ô que mon coeur, troublé d'une trop vive atteinte, v.1167 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ne sont-ils en franchise en faveur du bon droit, v.1169 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Comme pour disputer la raison le voudrait ? v.1170 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Je plaiderais comment celui qui mit au monde v.1171 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Un prince en qui l'honneur infiniment abonde, v.1172 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ne peut être méchant comme il est soupçonné : v.1174 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Du milan le milan, chacun de son semblable, v.1176 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Ainsi, quand on voudrait du père se venger, v.1181 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et toute infraction d'un solennel traité, v.1185 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais, las ! C'est perdre temps, car ton âme aveuglée v.1187 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- A tourné son bon sens en faveur déréglée. v.1188 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- L'effet en est conclu, dont te pourra sortir v.1189 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Sinon le désespoir, au moins le repentir. v.1190 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Quand, par grâce du Roi, son arrêt se modère, v.1192 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- N'est pas plus gai que moi, que Léonte en mourant v.1193 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Dénichant Cupidon du coeur de nos princesses. v.1195 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Comment chez les mortels on voit soudainement v.1197 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Se tourner en douleurs un grand contentement ! v.1198 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Hélas ! Que nous perdons un rare personnage, v.1200 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- En qui se relevait tout l'honneur de nos rois, v.1201 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Almodice, mon coeur, quel revers contre moi ! v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Ô question gentille ! v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Sur toute émotion l'amour retient son rang. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Je déplore la mienne, et non celle d'autrui. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- On n'en veut qu'à Belcar. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Les filles d'aujourd'hui n'ont guères de prudence. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Les vieilles comme vous n'ont guères de constance. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Je crains, vous voyant courre au péril sans contrainte. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Quand on a tout perdu, c'est erreur que la crainte. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Devient donc sans respect et sans crainte d'aucun ? v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Fidélité rebelle aux volontés royales. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Fidélité contraire aux rigueurs déloyales. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Au fonds, sur l'ennemi l'avantage on doit prendre. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Les plus grenez épics de grêle sont battus ; v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Rencontrent sans merci la fortune et l'envie ; v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- De leurs coups furieux, s'en trouve confirmé : v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Non pas comme l'on voit la fille de Terée v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Lorsque sous l'air serein la prime des saisons v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Des affiquets de Flore émaille nos gazons ; v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Quand le clair scorpion les frimas nous apporte, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Dès le moindre frisson, le passager oiseau v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Au contraire, un ami ressemble à la colonne, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Qui tant plus se raidit et tant moins abandonne v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Le deu de son appui, que tant plus elle sent v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Qu'on ne doit rien aimer que selon leur vouloir. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Et les soeurs de Clothon ne forment les destins v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Tu nous en fis leçon, folle infante de Crète, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Pour un jeune étranger, qui, payant ton amour, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Il faut bien par contrainte, ô phénix de Phénice ! v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Usez de la raison pour vaincre votre ennui, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Ô tison de discorde ! Outil de perfidie ! v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Tout ton crédit, ton temps et ton propos méchant. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Non, je n'ai pas le sein de bronze ni de marbre, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Et dans quelque désert les tigresses n'ont pas v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Toi, tourne au gré du vent ; non seulement délaisse v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Mais rend-toi sa partie, et fais tout ton effort v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- À lui montrer ta haine au lieu de ton support ; v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Fais comme les mâtins, dont la troupe se rue v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Sur celui qu'on poursuit de pierres par la rue. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Je verrai le Dieu blond qu'à Delphes on adore v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Que de voir ma promesse aller contre son cours, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Le feu confus en l'eau, l'air opprimé de terre, v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- N'importe à mon égard que la fortune assemble v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Auraient de l'impuissance à fléchir mon courage. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Prenez mon zèle en gré ; ce qui l'émeut si fort, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- De son acier fatal ma carcasse édentée ? ) v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Ce n'est point que, légère ou sans affection, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Je ne plaigne ce prince en son affliction. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Commandez, essayez si pour son allégeance v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Je manque en loyauté non plus qu'en diligence ; v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Déjà pour son supplice on dresse l'échaffaud. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Les conseils en sont pris, où serait son refuge ? v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Ma mère, mais encor ne peut-on pas tâcher v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Songeons-y, je vous prie. v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Tous les jours sont garnis de barreaux près à près ; v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Sont commandés d'un chef que Thamys on appelle. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Par les armes du front le taureau forcené, v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Par le nez l'éléphant, et de façon pareille v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- L'homme le plus farouche est conduit par l'oreille. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Au reste, offrez, donnez : qui serait refusant v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Père d'invention, d'art et de complaisance, v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Grand patron des coureurs et des aventuriers v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Influe en mon langage, ô beau cyllénien ! v.12 (Acte 3, scène 1, M?LIANE)
- Nous le ferons couler en robe déguisée v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Dans quelque bon vaisseau tout prêt à démarrer. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Pour croire son salut, il faut que je le voie. v.12 (Acte 3, scène 1, MÉLIANE)
- Poursuivons ce complot, il est bien entrepris. v.12 (Acte 3, scène 1, ALMODICE)
- Pren donc, comme j'ay dit, mon fidelle Balorte, v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Va, mon ambassadeur, secourir mon enfant. v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Un rayon de bon sens dans son trouble funeste, v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- S'il me vut condamner, va deffendre ma cause, v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Si son fils s'est perdu par jeunesse peu caute, v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- (ainsi que font, horreur ! Les ladres qui s'y baignent) ; v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Que mon Belcar ne soit menacé du trespas : v.12 (Acte 3, scène 2, ABDOLOMIN)
- Es-tu ce grand Belcar dont la dextre aguerrie v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Estendoit son renom plus loin que la Syrie, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Et qui faisoit trembler à son premier aspect v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Est-ce donc là ce bras lié de fortes chaisnes v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Est-ce donc là ce chef au bourreau destiné v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Que l'on esperoit voir de fin or couronné, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Comment as-tu changé ton auguste palais, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Contre ce noir cachot, comblé de vilenie, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Quel est cest accident ? Es-tu donc devenu v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Convaincu mille fois d'avoir, quand et la vie, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ne s'estonna point plus quand, de cholère eprise, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Que moi, qui, voulant tendre aux aymables surgeons v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Où la belle Cyprine abreuve ses pigeons, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- ô monarque des dieux, dont l'oeillade gouverne v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tout ce que l'univers enveloppe en son cerne, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Pourquoy, jusqu'à ce jour, m'as-tu sous ton support v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ma conduite d'adresse et mes travaux de gloire ? v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Qui sous mes coups pesans sont tombez à milliers v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Eust en un champ d'honneur, brisant ma violence, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Eust envoyé mon ombre au charontide bord v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Où les plus lasches coeurs qui d'honneur ne font conte v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Craignent toutesfois moins le tourment que la honte ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Que je te plains, ma belle, en qui gît tout mon bien ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Combien mon propre mal m'est moindre que le tien, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- À la compassion que ton père à la hayne ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ny mon regard affreux, ma palleur descharnée, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ny l'odeur des onguens, l'air renclos et relant, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Soit lorsque le soleil alloit monter en coche, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Soit alors que dans l'onde il achevoit son tour, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- T'enquerir de mon mal en me donnant courage. v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tastent l'accez fievreux en mon poulx se mouvant ; v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tantost, sous le corail de ta bouche mignonne, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tu fais l'essay toi-même au crystal qu'on me donne v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Mais le plus grand effect de ta rare bonté v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Sans mourir de regret ne peut estre conté : v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- C'est lors qu'ayant ouy mon amoureuse plainte, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Tu t'osas confesser d'un même trait attainte, v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Et mon present estat la memoire en deffend), v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Dont un torrent du sort rompt aujourd'huy la course. v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- En quoy, mon capitaine ? v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Ne tardons point, sortez (car les huis sont ouverts) ; v.12 (Acte 3, scène 3, THAMYS)
- Venez vous retirer au fonds d'une carraque v.12 (Acte 3, scène 3, THAMYS)
- ô bonté ravissante ! Amoureuse merveille ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- ô d'un coeur feminin constance nompareille ! v.12 (Acte 3, scène 3, BELCAR)
- Malencontreux destin ! Detestable fortune ! v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Et maudit celui-cy, qui sera mon dernier. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Ongles mal aiguisez... v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Sonne tant en ce lieu ? J'en tremble tout de crainte. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Veillé-je, ou si je songe ? Et qu'est-ce que je voy ? v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- De quelle passion l'estrange violence v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Comment ! Que faites-vous ? Qu'ont fait ces fils deliez, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- En rides sur ce front ? v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Se plaindre et se tuer sont choses differentes. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- " par nous ny pour nous seuls nous ne vivons icy ; v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- " mourir par nostre main nous ne devons aussi. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- " qui demolit le siége où son ame reside. " v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Non, non, ne croyez pas v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qu'en sortant de la vie on sorte de misère. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Et qui porte son mal de quel costé qu'il verse, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Nul ne peut remonter en sa place première. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Vivons doncques, vivons, targuez de la vertu, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Et ne nous rendons point sans avoir combattu. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Laissons l'impatience à la folle commune. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Remonstrent la constance aux malades les sains. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- J'en atteste les dieux, si mon ame n'applique v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qui m'oste un bienvueillant, liberal et bon maistre, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- En qui seul ma fortune affermissoit son estre ! v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Ny même un desespoir, rançon de trop grand prix, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Où la faulx de la Parque estalle son ravage, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Celui-là sur autruy n'est pas fondé si fort v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qu'alors qu'un accident moissonne son support v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Au contraire, en usant des amis qu'il possède, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Ouy bien, quand on a l'oeil à quelque reconfort. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- En faut-il un meilleur qu'une vengeance pronte, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qui même l'ambrosie en volupté surmonte ? v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qui rendront la pareille aux meurtriers inhumains. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Vous verrez de Sidon les murailles rasées, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Les thresors enlevez, les maisons embrazées, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Mesmes, en attendant que leur maistre on punisse, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Qu'un royaume et son roy d'un même coup finisse, v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Belcar, son fils unique. Ah ! Qu'est-ce là, bons dieux ? v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Et la sueur au front. à l'eau ! Courez à l'eau ! v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Madame ! ... elle n'oit rien. Ma fille, respondez ! v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Mon nourrisson, mon coeur, mon tout, parlez à moi ; v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Je dormois doucement... d'où vient qu'on me reveille ? v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Quoy doncques ? Voulez-vous aux ennuis succomber ? v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- D'un cuisant desplaisir son jugement empesche. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Adieu. Veillez-y donc. v.12 (Acte 3, scène 4, PHULTER)
- Couchez ce corps transi separé de son ame. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- On doit ce sainct office aux pasles trespassez. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- De mon dueil immortel qui m'anime le coeur. v.12 (Acte 3, scène 4, CASSANDRE)
- Tout vostre desespoir ne vient pas de Leonte. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Laissons-le en son repos, puisqu'aucun n'en remonte. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Les chaînes, les prisons et les gardes forcées, v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- À vous de trop long-temps ma foi j'ay tesmoignée v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Vostre père, vos biens, vostre honneur mespriser... v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Ny le temps ny le lieu n'ont point assez d'espace. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Un voile sur le front, de ce pas toutes deux v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Allons prendre un esquif sur le rivage ondeux v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Mais partons promptement ; j'ay crainte qu'après lui v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- L'on ne se mette en queste. v.12 (Acte 3, scène 4, ALMODICE)
- Qu'il me tarde, ô titan ! Que ton oeil nous éclaire v.12 (Acte 5, scène 1, MÉLIANE)
- Appesantit le train de ton viste attelage ? v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Avance, beau soleil : si jamais ton brandon v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Renforça ses ardeurs du feu de Cupidon, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Pense combien m'attriste une longue demeure ; v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Aux douze logemens de ton tour general. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Le larron qui furette en la maison sappée, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Dès qu'un abboy de chiens son oreille a frappée, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Tant qu'après son coup fait il reprend son audace, v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Partageant son butin transporté de sa place. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Ainsi je sens mon corps herissé de frisson ; v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Les moindres mouvements me tournent à soupçon. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Menace mon complot d'un presage tragique. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Plus mon partement tarde, et tant plus j'apperçoy v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Peut avoir fait dessein tout à mon prejudice. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- J'ay voulu voir Cassandre ; on ne la trouve point. v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Qui sçait si la nourrice auroit donné le change ! v.12 (Acte 5, scène 1, M?LIANE)
- Qu'ayant son corps de garde avec ruse escarté, v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- A soudain de son teint la beauté desrobée ; v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- Le veneur voit bondir et de course et de sauts v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- Evitons son regard : nous sommes en horreur v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- (sinon du crime entier) de punissable erreur. v.12 (Acte 5, scène 1, SOLDATS)
- Desmarez sans arrest, ne vous monstrez point lasches ; v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Mes courriers sont allez par terre après Thamys, v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Mais je sais que Belcar dessus l'onde s'est mis. v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Plus je songe à cela, plus mon ame est piquée v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- J'ay trop de bons levriers pour ne point t'atraper. v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Tous ceux qui de ton crime ont esté les complices. v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Plusieurs s'en sont meslez ; j'en soupçonne quelqu'un, v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Si ma prompte vengeance eust son desir suivy, v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Son effect à mon bras n'eust point esté ravy ; v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Mais, tandis qu'assoupy d'une angoisse profonde v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Je me suis retiré de tout accez du monde, v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Les fins renards qu'ils sont ont bien choisi leur temps. v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Si croy-je enfin que tous n'en seront pas contens. v.12 (Acte 5, scène 2, PHARNABAZE)
- Pousse fort, compagnon ! Que beny soit le dieu v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Ceste roche en croissant par son ombre fourchue v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER P?CHEUR)
- De buissons de deux parts nous met hors de la vue. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER P?CHEUR)
- Or çà, que ferons-nous ? Traisnons ce corps à bord. v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- ô dieux ! à quel barbare a peu monter en l'ame v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXI?ME P?CHEUR)
- Hastons-nous, mon amy ; laissons les complimens. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- N'emporterons-nous rien de ces beaux ornemens ? v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Sauvons-nous au plustost à la mercy des vagues. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Nous avons son argent, ses chaines et ses bagues, v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER P?CHEUR)
- Le bon coup de filet ! Qu'il nous est bien venu ! v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Si l'on nous voit icy nous patirons du crime. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER PÊCHEUR)
- Un soupçon en tel fait legerement s'imprime. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER P?CHEUR)
- Contentons-nous du gain, rentrons en nostre esquif. v.12 (Acte 5, scène 3, PREMIER P?CHEUR)
- Mettons-la bien au sec. Tu n'es que trop craintif. v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Petit tertre à couvert, penchant sur l'onde proche, v.12 (Acte 5, scène 3, MÉLIANE)
- Propre à lascher la bride à mon ame enragée, v.12 (Acte 5, scène 3, MÉLIANE)
- Antres, buissons, cailloux, recevez mes discours : v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Que nous ne retournions sans bruit à nostre pesche. v.12 (Acte 5, scène 3, DEUXIÈME PÊCHEUR)
- Que mon trouble s'accroist quand parmy l'air serain v.12 (Acte 5, scène 3, MÉLIANE)
- Tu t'enfuis donc, Belcar ! Ta larronnesse fuite v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Entraine mon amour et ma vie à ta suite. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Tu t'en vas, ô voleur ! M'emportant tout mon bien, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Deslaissoit librement sa natale maison, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Ses grandeurs, ses amis et son père grison ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Est-ce donc pour t'avoir de l'infame coignée v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Donne quelque advantage à ton esprit leger ? v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- T'en donne un repentir aussi vain que terrible. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Cours, traitre, à ton malheur ; va querir, vagabond, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Une exemplaire fin, loyer de ce faux bond. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Et toi, non plus ma soeur, mais ma rivale infame, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- ô monstres infernaux ! Fantosmes du Tenare ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Quoy ! Vous tardez encor ! Ma vie est prolongée v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Pour accroistre les feux dont mon ame est rongée ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Donc, feux de jalousie et d'enragé courroux, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Embrasez-moi, du tout je m'abandonne à vous. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- ô double desespoir dont je me sens poursuivre, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Car, bien que dans mon coeur soit né par cest effort v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Converty mon amant à prendre le retour ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Monstre à cest inconstant l'inconstance des ondes ; v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Descouvre-lui l'enfer de ces grottes profondes ; v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Bref, montre-toi cruelle envers sa cruauté, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Du moins, si ton retour ne te semble pas seur, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Tu peux encor à temps esteindre mon soupçon ; v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Mais, las ! Homme obstiné d'une et d'autre façon, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Je voy ton double rapt : tes voiles qui s'esloignent v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- De ton consentement la malice tesmoignent. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- C'estoit donc, imposteur, pour me faire un tel tour, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Que tu voulois cueillir la fleur de mon amour ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Tu t'estois donc promis que je seroy si folle v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Que de fonder l'hymen sur ta simple parole, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Et qu'estant tyrienne aussi bien que Didon, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Comme elle je mettroy l'honneur à l'abandon ? v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- J'ay tousjours reprimé ta sale convoitise ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- ô satyre impudent ! Ton infidelité v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Doncques, puisqu'à la mort me voilà resolue, v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Renforce-toi, mon coeur. Considerons là-bas v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- À mon tombeau choisi sert encore d'obstacle ! v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- C'est Cassandre elle-même ; on la cognoist d'icy. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- N'est-ce pas un prestige ? Il semble que je songe. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Non, non, je ne dors point ; ce n'est pas un v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Mensonge. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Helas ! C'est ma soeur morte, et mon oeil d'assez près v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- De son visage pasle aperçoit tous les traicts. v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Mais avant mon decez, si me la faut-il joindre v.12 (Acte 5, scène 3, M?LIANE)
- Ma promenade libre, ainsy que mon penser. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mon mortel crève-coeur n'aura point d'allegeance v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Favorable Neptun, mon heur despend de toi, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Car ton calme riant met mon esprit au coy. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Que puis-je deviner, ô monarque celeste ? v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- S'est puny par soy-même ou bien par mon amant. v.12 (Acte 5, scène 4, M?LIANE)
- Mourons, quoy qu'il en soit. v.12 (Acte 5, scène 4, M?LIANE)
- Soit tesmoin contre moi de l'oreille ou des yeux. v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- Quels discours sont-ce là ? v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Attendre pour sortir le congé de ton maistre ; v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- Mais au deffaut de lui pren-moi pour respondant v.12 (Acte 5, scène 4, M?LIANE)
- Que ce tien second coup vaut bien le precedent. v.12 (Acte 5, scène 4, M?LIANE)
- Holà ! Je tien ton bras, ô carnacière louve, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Quel comble vous donnez à mes travaux soufferts ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Empoignez-moi ce monstre ! Hélas ! Ma pauvre fille, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Non, ces membres transis et ce blesme visage v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Me font voir que ta langue a perdu son usage, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Au soleil esclypsé sont devenus pareils. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Dont tu diras la cause, ô megère execrable ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mon coeur bondit et crève à ce funeste objet. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Quoy ! Tu ne diras mot ? Ton orgueilleux desdain v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Barbare lestrigonne ! Ah ! Qu'une ame enragée v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Souvent soubs un beau corps se rencontre logée ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Ainsi dessous l'esmail d'un florissant gazon v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Creuse un mortel aspic son infecte maison. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Tu parleras tantost. Sus, que l'on me convocque v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- On satisface au meurtre encore tout fumant. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Donc je perds mon Belcar ! La faulx qui tout terrasse v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- En puis-je mais s'il a son peril recherché, v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- La nuit, à mon insceu, jeune homme desbauché ? v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Qu'ay-je peu faire plus, sinon qu'en diligence v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Que son orage tombe et que son fiel se crève v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Redonde à mon enfant comme un coup mutuel ? v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Ah ! Sauvage raison dont ce tigre me paye, v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Qu'ils doivent estre esgaux, compagnons à la mort. v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mais las ! Il est si prompt, qu'à peine a-t'on peu faire v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Qu'il n'ait donné curée à sa main sanguinaire ; v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Puisque je perds, helas ! Mon soustien de vieillesse. v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Convertir à ce coup ma langueur en repos ! v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Mais quel homme est-ce là que mes gardes conduisent ? v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- ô roi que chacun tient pour miroir de bonté, v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Mon travail vous plaira quand je l'auray conté. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Dictes donc, mon amy. v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- En perte de mes biens, en danger de mon corps. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Il estoit sous ma garde en prison bien murée. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- M'ont induit en secret à le faire sortir. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- Dans une bonne barque, v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- En habit desguisé, craignant qu'on le remarque. v.12 (Acte 5, scène 5, THAMYS)
- ô jour plein de bonheur et de resjouissance ! v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Je m'en vay donner ordre à son abord heureux. v.12 (Acte 5, scène 5, ABDOLOMIN)
- Pour estouffer ce monstre animé de malice ; v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Non pour joindre à son crime un tourment tout egal, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Exposez les raisons de vostre ire si grande. v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Lors nous mettrons bien-tost les bonnes en alloy, v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Nous ne condamnons point sur des plaintes legères v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Or bien, je ne prends point pour reigle mon courroux ; v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Non comme un souverain, comme un père en furie, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Je ne requiers de vous, despouillant mon pouvoir, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Donc quelle extremité d'une peine exemplaire v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Et tous ceux de ma suitte en ont eu quant et moi v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Confessez-vous le fait ? v.12 (Acte 5, scène 4, LES JUGES)
- Ce qu'il plaist à mon père v.12 (Acte 5, scène 4, MÉLIANE)
- Est juste à mon egard. v.12 (Acte 5, scène 4, M?LIANE)
- C'est donc mon seul plaisir, non ton crime infernal, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Ô jouet d'Alecton ! Qui te fera du mal ? v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Sus, allez, je le vux ; que la teste on lui oste v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Où s'est commis le meurtre, entre l'onde et la coste. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Helas ! Escoutez-moi, monarque redouté : v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Gardez-vous de punir de son forfait extrême v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Faut-il qu'aux cruautez son exemple vous meine ? v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Il faut faire aux cruels selon leur cruauté. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Au fond, perte sur perte est toujours pauvreté. v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Par la race des rois les peuples sont en paix. v.12 (Acte 5, scène 4, PHULTER)
- Portant la verge d'or, sur mon throsne preside ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Que ce front effronté, juste proye à corbeau, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- S'esléve à mon avu sous ce royal bandeau ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Taxent mon indulgence à l'entour de sa cendre ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Que le monde en soit plein, qu'un vulgaire effrené v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Imite par licence un mal non condamné ! v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- De vray, non pas si bien qu'en Cassandre et Leonte, v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Mais mieux qu'en ceste folle engendrée à ma honte. v.12 (Acte 5, scène 4, PHARNABAZE)
- Doncques le sort cruel, contre moi mutiné, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- M'a repris tout_à_coup ce qu'il m'avoit donné, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- À qui, malencontreux, me doy-je comparer ? v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Prendray-je pour patron la reyne de Pergame, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Non, non, son brave Hector, mourant au champ d'honneur, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Est bien avantagé sur mon pauvre Leonte, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qui traisne avec sa mort une espèce de honte ; v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Cassandre et Meliane ont leur fin plus amère, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- L'une ès mains de sa soeur, l'autre ès mains de son père. v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Ainsi d'un pareil mal les regrets sont plus grands, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qu'aujourd'huy ma maison de prodiges fourmille ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Donc, pour venger ma fille, il faut perdre ma fille ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Je ne puis expier mon sang que par mon sang, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Que l'amour paternelle en mon ame reside. v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Voicy mon admiral. Eh bien ! Qu'avez-vous fait ? v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- N'ayant que ceste vieille au vaisseau rencontrée. v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Ont mieux aymé la mort dans les vagues eslire, v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Et d'un sault volontaire avaler à longs traits v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Le flot qui, bouillonnant, les couvroit tost après. v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Les morts et les poissons m'en ont dict autant qu'elle. v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Sus, que ce corps hideux, en fonds de fosse enclos, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Aux tortures soit mis. Qu'on lui brise les os, v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Jointe avecque Thamys, la trahison tramée. v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Non, non, je ne vux point de mes grands malefices v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Je sais qu'ils me sont deubs ; si vous les differiez, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Ma Cassandre n'auroit, malgré mon vain secours, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mon roy, que dites-vous ? Ah ! Quelle fausseté v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Auroit sur Meliane un tel soupçon jeté ? v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Est-il vray ? Courez donc par la proche descente ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Qu'on ne passe pas outre. Helas ! Que j'ay de crainte v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- De retirer en vain mon bras après l'attainte ! v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Malheureux ! Qu'ay-je fait, et quelle illusion v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- M'a rendu trop sevère, à ma confusion ? v.12 (Acte 5, scène 1, PHARNABAZE)
- Oyez donc, s'il vous plaist. Permettez que je die v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Pour joindre des deux parts au joug de Cupidon v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- La Cyprine de Tyr et le Mars de Sidon. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Attaquoit l'escarmouche aspre et continuelle. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Lors, prenant un augure (helas ! Trop mensonger) v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Deux peuples ennemis en heureuse concorde, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Libre, mon entremise à leur ayde j'accorde, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais, ô dur changement dont le tout fut brisé, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Quand le decès du frère estonna nostre oreille, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Seconde affliction qui l'autre surpassa, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Comme rien ne pouvoit consoler ceste amante, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- C'est que, par mon adresse, au moyen de Thamis, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais, las ! Je rencontray ma fille, son aisnée, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Et comme depuis peu je sçavois que son mal v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mon devoir obligé dès son aage plus tendre, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Traistresse conscience ! Enorme tromperie ! v.12 (Acte 5, scène 1, L'AMIRAL)
- Nous avions levé l'anchre, et nos voiles tendus v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Sont d'un vent à souhait ronds et fermes rendus. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- La terre, au branslement dont l'onde nous balance, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais le malheur bien tost vint à jouer son roolle, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Nous n'estions guères loing, quand le prince amoureux v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Qui, tremblante, met bas son voile du visage, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- " À ta discretion, grand Belcar, me voicy ; v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Rien n'est de mieux acquis qu'une chose donnée. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Pour le moins ma constance est digne de pitié. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Quoy ! L'obligation que tu m'as de la vie v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Comme on voit quelquefois un jeune pastoureau, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Destourner son chemin d'un lyon qu'il avise, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Va, ce n'est pas ton sexe ou ton humilité ; v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Je te pardonne à toi, mais ce crapault infect, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Ta fausse conseillère, en sentira l'effect. " v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Lui donc, impatient, après m'avoir cherché, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Ayant entre ses dents son courroux remasché, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Exerce à plis de reins deux avirons trouvez. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Son esquif glisse loing de chaque coup de rame, v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Au moins tu m'as donné le moyen de mourir. v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- ô dieux ! ô feux du ciel ! ô fortune contraire ! v.12 (Acte 5, scène 1, ALMODICE)
- Mais en le prononçant les juges plus sevères v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- La seule patience, en son geste, en son oeil v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- Sinon qu'ayant la court humblement suppliée v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- Ainsi, que serviroient ny bandeau ny contrainte ? v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- J'embrasse mon destin sans regret et sans crainte v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- (vous le pouvez bien voir, les signes en sont grands), v.12 (Acte 5, scène 2, L'ARCHER)
- Ah ! La voicy qui vient. Voyez comme elle monte v.12 (Acte 5, scène 2, SOLDAT)
- Paix là, prestons l'oreille... elle fait un signal. v.12 (Acte 5, scène 2, SOLDAT)
- Apprenez, assistans, que c'est mon seul silence v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Qu'en celui de Charon, la tempeste du sort ; v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Vu que je suis rebelle à son trône sacré ? v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Mais, las ! Non par mes mains. N'imputez point, amis, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- À mon renom futur un tel acte commis. v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Le temps, qui donne jour à toute verité, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Mettra mon innocence en plus grande clarté. v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Toy donc, executeur du coup de mon repos, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Monstre-moi comme il faut agencer ma posture v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Pour donner à mon ame une prompte ouverture. v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- De suivre mon desir et le plaisir du roy ? v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Qu'avant m'avoir ouy plus avant on ne passe. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Quel est ce nouveau bruit ? Que voy-je là, bons dieux ? v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Archers, ne craignez rien ; tenez, je rends mon glaive. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Mais pour entre vos mains recognoistre mon tort. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Ma vie est pour ma dame une rançon capable, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Qu'il me donne et reçoive un adieu deplorable. v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Quelle rage, ô Belcar ! T'a peu donc inciter, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Mais, ma reyne, plus tost, qui vous fait condescendre v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- De s'enfoncer au sein mon poignard amassé. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Cependant c'est le mal qu'à tort on vous impose ; v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Que vous peut-on d'ailleurs imputer autre chose ? v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Si l'on ne vous punit que pour m'avoir sauvé v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Qu'on me remette aux fers : me voilà retrouvé. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Je suis, et non pas vous, s'il faut une victime, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- À Leonte et Cassandre offrande legitime. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Aujourd'huy resolu de me donner secours, v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Qui vous fait, innocent, venir en confiance, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Ou bien est-ce un remords de vostre conscience ? v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Qui, des dieux irritez vous donnant la terreur, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- À ma bonté trahie, à vostre foi faussée ? v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- (l'arrest de mon supplice estant irrevocable v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Et la hayne du roy contre vous implacable), v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- M'auront une autre face, un aspect moins hideux, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Si dans la trahison dont ma soeur m'a trompée v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Car nous serons contens dans les Champs-Elysez v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Et ne verrons jamais nos manes divisez, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Ma deesse, eh ! Comment cet injuste soupçon v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Vous a-t-il peu seduire en aucune façon ? v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Qu'en mon amour si franc et si bien estably v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Faite à vostre beauté, qui son pouvoir ignore ! v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Sçachez que vos liens sont aussi forts que doux, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Dieux d'en haut et d'en bas, en justice conjoints. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Lors que dans ma nacelle, à route vagabonde, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- J'allois comme un plongeon dansant au gré de l'onde ! v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Non, non, madame, non ; le roy vous donne grace. v.12 (Acte 5, scène 2, PHULTER)
- À bonne heure je viens pour lui, mais pour nous tous. v.12 (Acte 5, scène 2, PHULTER)
- Sans Belcar, que le ciel à mon secours ameine ; v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Qui m'avoit contre lui troublé jusqu'à la rage, v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Que je lui vay tantost rendre son prisonnier. v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- çà, que de mes deux bras je t'aille environner : v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Que n'ay-je un myrte en main propre à te couronner ! v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- ô mon parfait amy ! Ma mesfiance fausse v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- À quel comble de bien mon mal passé m'ameine ! v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Qu'est-ce qui peut encor manquer à mon desir ? v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Ouy, je mourray content, ma dame estant sauvée, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Ma constance cognue et la sienne esprouvée. v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Ne parle plus de mort. Nous mourrons s'il le faut : v.12 (Acte 5, scène 2, MÉLIANE)
- Mais je croy que mon père auroit le coeur d'un scythe v.12 (Acte 5, scène 2, M?LIANE)
- Desjà l'ambassadeur, qui mon abord precède, v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Du meurtre et du soupçon que son ame possède v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Aura justifié tant mon père que moi v.12 (Acte 5, scène 2, BELCAR)
- Mais tout court je reviens pour au conseil me rendre. v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Le roy, comme on m'a dit, a fait en son chemin v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Rencontre d'un seigneur de chez Abdolomin, v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- De sorte qu'à present ils sont en conference, v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Qui me fait d'un accord concevoir l'esperance, v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Par lequel nous pourrons voir encor une fois v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Tu defis ton bandeau quand par toi fut tirée v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Ou, si c'est par hazard, à ce coup on peut dire v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Je vay donc assister à ce qu'on resoudra : v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Mon maistre, s'il me croit, retif ne s'y rendra. v.12 (Acte 5, scène 3, L'AMIRAL)
- Tu nous estonnes fort de si rare nouvelle ; v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- Belcar à Meliane est donc quitte aujourd'huy ! v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- Les plaisirs qu'ils se font nul acquit ne reçoivent ; v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Sont-ils seurs que le roy, depité de ses pertes, v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- Ne donne un mauvais comble à leurs peines souffertes ? v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- À peine pourra-il pardonner à tous deux. v.12 (Acte 5, scène 4, SOLDATS)
- Un violent amour qu'à peine peut-on croire. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Quelqu'un de ses suivans m'en a conté l'histoire. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Au fond de sa chaloupe il dormoit estendu, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Un royal galion, qui de Sidon venoit, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Pour du fait de Leonte esclaircir nostre roy, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Lorsque, ayant de son père entendu l'innocence v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Il fit continuer le voyage entrepris : v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Car ny fortes raisons, ny prières, ny larmes v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- " non, non, dit-il, amis ; quand j'ay quitté ma dame, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Elle a pris en depost la moitié de mon ame. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Or est-elle en danger, si ce n'est qu'en personne v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Je me purge d'un fait dont elle me soupçonne v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Et qu'elle ait avancé ses jours dès mon depart). v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Le malheur de Pyrame ou l'honneur de Persée. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Sus donc ! Voguez en haste ! Allons la revancher ! v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Retirons, s'il se peut, mon gage le plus cher. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Mais c'est mal concevoir l'equité de ma cause, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- D'un constant amoureux et d'un coeur innocent. v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Allons, au nom des dieux. J'espère que sa rage v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Ne surmontera pas ce trait de mon courage, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Car enfin mon amour au seul dessein peut tendre v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- De mourir son captif ou de vivre son gendre. " v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Nul n'y conteste plus, puisqu'il l'a resolu ; v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Si bien qu'il est venu justement à bonne heure v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- En quittant son vaisseau, prest de surgir au port, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Où, comme je vous dis, son estrange arrivée, v.12 (Acte 5, scène 4, MESSAGER)
- Non, ce n'est pas à moi qu'on fait croire des bayes : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Pour telles fictions mes douleurs sont trop vrayes. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Il ne peut s'en purger, même dans son senat, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Eternelle en mon coeur la rancune en vivra. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Toutesfois pour ce coup, puisque de son gré même v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Vienne comme au secours de mon bras irrité. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Je le vux bien avoir, mais non pas qu'il se donne : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Car, grace aux immortels, j'ay la force très bonne, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Et n'ay que trop de peuple, avec tant de bon droit, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Pour dedans sa Sidon le reduire à l'estroit, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Selon que mon humeur se trouvera sevère. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Qu'il s'en retourne donc, libre comme il estoit ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Encor le souffriray-je aujourd'huy sous mon toict. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mais un coeur de lyon flatte qui s'humilie. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Sire, accordez-lui donc que son humilité v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Et souffrez qu'en personne un hommage il vous rende v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Ne lui deniez point ce front grave et sacré ; v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Puisque vous daignez bien sa rançon lui remettre, v.12 (Acte 5, scène 5, BALORTE)
- Mon ame estant pour lui d'amitié despourvue, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Les fonctions d'un juge et d'un roy sont pareilles : v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Sire, ils ont pour autruy des yeux et des oreilles, v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Doit-il cacher sa vue alors qu'on la desire ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Sortons. v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Il ne peut pas de moi tirer un bon accueil. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Si vous l'esconduisez, rende un funeste effect. v.12 (Acte 5, scène 5, L'AMIRAL)
- Son desespoir n'est pas adoucy tout à fait. v.12 (Acte 5, scène 5, L'AMIRAL)
- Il faut que jusqu'au bout leurs passions s'espreuvent. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- ô prudence ! ô bonté ! v.12 (Acte 5, scène 5, L'AMIRAL)
- Roy terrible en puissance et fameux en honneur, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- De qui pend aujourd'huy ma vie et mon bon-heur, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Peut confondre le ciel dans le bas element, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Entr'eux mirent au lot tous leurs honneurs divers, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Effroyable d'esclairs et de bruict estonnant, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Frappe bien quelquefois d'un traict tourbillonnant v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Jamais les tendres joncs ny les basses genestes ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Toute humaine grandeur prend son estre et son lieu ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Si les divins mortels que l'or d'une couronne v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- D'autant de soin pesant que de gloire environne v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sont fils de Jupiter et ses divins portraits, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Aux bontez de leur père et de leur prototype ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Qu'inconstans en colère et constans en douceurs, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Vous doncque, ô Pharnabaze ! à qui les cieux amis v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Un royaume opulent ont dignement sousmis, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Monarque genereux qui de ce commun père v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Contre celui de serf, devant vous, mon arbitre. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Qui de vie et de mort ont sur moi le pouvoir ? v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Au lieu de me guairir accroistre mon tourment. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- ( Dure compassion ! Rude misericorde v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Qui raggrave ma peine au pardon qu'elle accorde ! ) v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Exiger de ma main mon trespas violant ! v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Quoy donc ! Oseriez-vous, ennemy que vous m'estes, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Quant à moi, j'y renonce, et suis trop bien tenu v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Pour rompre mon lien par vous assez cognu. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sans que par long discours plus claire je la rende. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Ouy, je vous entens bien : c'est qu'avec un pardon v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- J'envoye encor ma fille en la court de Sidon. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Celui dont tout le bien de moi seul peut dependre ! v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Que j'aurois bien vengé le sang de mon enfant v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Si son hoste coulpable en estoit triomphant ! v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Non, non, ne rompez point vostre voeu de vengeance, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- En affligeant mon père et le privant de fils. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Retenez son unique en échange du vostre ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Que s'il n'est point pareil à Leonte en tous points, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- En humble affection le sera pour le moins : v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Au reste, s'il ne tient qu'à croistre mon partage, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Ayant, sinon d'Hercul'la force tant vantée, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Au moins l'obeyssance à vous mon Eurysthée. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Ne rejettez donc point, mais de grace acceptez v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Ce qu'une ame sans fard offre à vos volontés. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sidon sous vostre sceptre à ce moyen se range ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Toute en submission sa resistance change ; v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Mon père et tous les siens se rendent quand et moi : v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Nous vous serons subjets, et vous nous serez roi. v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- Sinon, dès maintenant punissez mon audace, v.12 (Acte 5, scène 5, BELCAR)
- J'ay part à son serment, autheur de ma naissance. v.12 (Acte 5, scène 5, MÉLIANE)
- Donc si de sa vertu l'ouverte cognoissance, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Si sa grande franchise et son hardy dessein, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Si son fidele amour ne vous touche le sein, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Vive par son moyen, soit de vous escoutée, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Fille dont la constance assez vous a paru v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Car d'un noeu si serré nos desirs sont liez v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- J'en parle franchement, mon amour invincible v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Que cette passion ne rejette à l'escart. v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Faites donc, mon cher père, appareil de deux fosses, v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Cela pend des desseins en vostre ame conclus v.12 (Acte 5, scène 5, M?LIANE)
- Mon maistre, mon bon roy, pensez plus loing qu'à vous : v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- (ce que nous souhaittons que si tost ils ne veuillent), v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Au lieu que, nous donnant ce guerrier pour ressource, v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- Jettons-nous à ses pieds, et ne les quittons point. v.12 (Acte 5, scène 5, PHULTER)
- (si par haute valeur on devient immortel), v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Digne que ses favurs Cupidon te prodigue v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Les myrtes sur ton front querellent tes lauriers ! v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Quel timon possedé de hayneuse manie, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Ou bien quel Lycaon, vray monstre en felonnie, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Auroit non pas le coeur de te faire du mal, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Que de n'aymer enfin ton amitié si rare, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Dont la perseverance emporte son effect, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Ce que, tant fust-il grand, ton merite n'eust faict ! v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Ah ! Mon fils (car ainsi desormais je t'appelle : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Pourrois-je, mon enfant, tout seul contrevenir v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Non seulement au ciel, qui te vut maintenir, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Mais aux voeux de mon peuple, à ma propre lignée, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Qui tous à tes desirs donnent cause gaignée ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Non, ma fille est à toi ; triomphe, mon Belcar. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Moi-même je me rends, prest à suivre ton char : v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Car tes puissans discours ont vaincu ma rancune, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Va, je t'accorde tout. Pourrais-je avec raison v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- D'un gendre mieux choisi relever ma maison ? v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Que ton père entre en joye et que mes pleurs s'essuyent ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Que sur même baston nos vieux âges s'appuient ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Amants, embrassez-vous ; confirmez l'hyménée. v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Qu'en publique allaigresse on allume des feux ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Qu'on pare les portaux de tapis somptueux ; v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Dont l'importun regard renouvelle ma playe, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
- Que d'un même loyer qu'Almodice on le paye, v.12 (Acte 5, scène 5, PHARNABAZE)
TYR et SYDON (1628)
- Ô grand fils de Junon, qui d'un tour de ton bras v.1 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Ô mars ! Père d'honneur, je te rends mille grâces. v.4 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Et toi, puissant Hercule, honte des fainéants, v.5 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Invincible ennemi des monstres et géants, v.6 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Qui vois comme dans Tyr on révère ton temple v.7 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- (Peut-être le plus beau que tout le ciel contemple), v.8 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Mon patron, je t'estime entre les demi-dieux v.9 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Moins fermes que la paille en tourbillon mouvante, v.16 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Qu'ils ont barre aujourd'hui sur tous leurs ennemis. v.18 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Ont osé contre nous la Phénice entreprendre, v.20 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Viennent ceux de Sidon tous en ligne assister. v.22 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Mais qu'ils sont bien trompés ! Je peins la crainte blême v.23 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Au milieu de leurs fronts dans leur enceinte même, v.24 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Tant sont-ils acculés, au petit pied réduits ! v.25 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Pensez-y, Monseigneur : ils sont trop bien conduits v.26 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Ils ont un capitaine en santé revenu, v.29 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Leur prince, homme sans peur, qui n'est que trop connu v.30 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Nous y serons présents, et voilà ce que j'aime. v.36 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Ne méprisons jamais un adversaire armé. v.37 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Les premiers coups du jeu ne donnent pas le gain. v.41 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Non, mais que prudemment votre conseil en use, v.44 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Nous réservions la joie à la fin du procès. v.46 (Acte 1, scène 1, PHULTER)
- Tant plus ai-je d'honneur en l'allant aborder. v.49 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- De bonheur, de courage, et de capacité, v.54 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Belcar, à qui mon père, un vrai foudre de guerre, v.55 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- À qui j'ai destiné les effets de mon bras, v.57 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Jaloux de son honneur dès mon âge plus bas. v.58 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- C'est où tend le désir de mon âme échauffée, v.59 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- J'enrichisse mon nom de ses exploits guerriers ; v.62 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Bref, voilà l'espérance où mon humeur se baigne ; v.67 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Il m'est indifférent ; mon seul but est l'honneur, v.69 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Parlez, mon grand ami, ne soyez étonné. v.73 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Belcar expressément, ô Léonte, vous mande v.76 (Acte 1, scène 1, LE-HERAULT)
- Vous fassiez battre aux champs et vous mettiez en montre v.83 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Pour à moitié chemin lui venir à rencontre. v.84 (Acte 1, scène 1, LE HERAULT)
- Dis-lui que ses délais ont déjà rabattu v.85 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Va donc, dépêche-toi, nous n'avons que tarder. v.89 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Que l'on sonne à cheval, qu'avec ordre on s'avance, v.91 (Acte 1, scène 1, LÉONTE)
- Qu'on arrange nos gros en toute diligence. v.92 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- J'irai dès que j'aurai mon harnais endossé. v.94 (Acte 1, scène 1, L?ONTE)
- Qui, des moindres pasteurs et des plus grands monarques v.96 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- De ceux le plus souvent moissonnent le printemps v.101 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qui devraient et voudraient respirer plus longtemps, v.102 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Et ceux qui, saouls des biens, las des maux de ce monde, v.103 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- N'ont autre ambition qu'une fosse profonde, v.104 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- On les voit tous courbés, malsains et mal plaisants, v.105 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Traîner à contre-coeur le fardeau de leurs ans ? v.106 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Au gré du vent muable et de l'onde flottante ? v.115 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Peut-elle plus forger sur sa boule inconstante v.116 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Que je ne prévois point (car son ire attisée v.119 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ha ! Si, comme l'on croit, et facile et glissante v.123 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- « On ne doit de tout point appeler misérable v.127 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qui peut prendre à propos un trépas honorable. » v.128 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Si les secrets chaînons qui jusqu'à ce jourd'hui v.129 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ont accroché mon âme en son fragile étui v.130 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Jà dès maintes moissons s'étendraient en repos v.133 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Vos plus ardents souhaits rencontrent à rebours, v.138 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Car, tant que vous vivez, vos âmes non contentes v.143 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ne conçoivent, chétifs, que nouvelles attentes, v.144 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Et parmi tant d'objets dont l'amour vous époint, v.145 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Mais le plus vain désir dont s'abusent tant d'hommes, v.147 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- C'est dans l'ambition des grandeurs où nous sommes, v.148 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Rois gênés de soucis, qui parmi nos honneurs v.149 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Si pour mets plus exquis ils ont leur panetière, v.155 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Pour leur suite un matin ; si leur nom n'est connu v.157 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qu'en un chétif hameau dont leur tige est venu, v.158 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Aussi sont-ils exempts de la mordante envie ; v.159 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Leur âme en bas état est d'honneur assouvie ; v.160 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils dorment en repos, sans crainte et sans soupçons ; v.161 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- On n'espionne pas leurs humeurs et façons ; v.162 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils n'ont à contenter tant d'avides sangsues v.163 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qui briguent dans les cours des pensions indues ; v.164 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils sont pleiges d'eux seuls, et ne sont obligés v.165 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- De répondre en autrui du droit des mal-jugés ; v.166 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils n'ont soin des méfaits dont ils ne sont pas cause, v.167 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ils ne sont appelés, par blâmes différents, v.169 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Quand le sort impiteux contre lui se mutine ; v.172 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Plus grands sont ses malheurs, plus aussi ses péchés v.173 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Sont du babil piquant d'un vulgaire toucher. » v.174 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Qui nous fait grisonner par son inquiétude ! v.176 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ô dangereux bandeau, dont tout homme chargé v.177 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Depuis qu'un vieil ami du vainqueur Macédon v.181 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Mit en mes simples mains le sceptre de Sidon, v.182 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Combien ai-je tâché d'ombrager mes contrées v.183 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Sous l'aile de la paix, si longtemps désastrées ! v.184 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Le juste cavesson des mutins abattus, v.186 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Nourrice des bons arts, saint noeud de concordance, v.187 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Trésor de tout bonheur, et corne d'abondance ; v.188 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Rend herbeux et désert le charontide port : v.190 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Ô paix ! Mon cher désir, qu'ai-je fait pour t'atteindre v.191 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Et pour ce grand brasier dans mon terroir éteindre ? v.192 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Vous le confesseront, et que par piété v.197 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- D'entre ses régions vous teniez la meilleure. v.200 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Ne prétendait pas moins que ma couronne et moi ? v.202 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Maudite faim d'honneur, que d'horribles carnages v.203 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Sont provenus de toi sur nos tristes rivages, v.204 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Depuis que le flambeau qui marque les saisons v.205 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- A logé douze fois en ses douze maisons ! v.206 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Les cieux en ont horreur ; ses feux pleins de vengeance v.207 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Les champs, les ruisseaux, l'air et Mercure sont las v.209 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Nos conseils prodiguant tant de peuple à crédit. v.214 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Dépend d'une rencontre en défense inégale. v.220 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Mon roi, prenez courage, et croyez que les cieux v.221 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Accableront enfin ce coeur ambitieux v.222 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Selon sa vanité ne pourrait pas suffire v.224 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Car les dieux tous bénins, contraires aux tyrans, v.229 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Sont des paisibles rois les gardes et garants. » v.230 (Acte 1, scène 2, BALORTE)
- Allons les supplier que leurs yeux secourables v.231 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Rendent en ce conflit nos armes favorables. v.232 (Acte 1, scène 2, ABDOLOMIN)
- Eh ! Pour dieu, compagnon, si ce point vigoureux, v.233 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Vive et non périssable après l'heure funeste, v.236 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- L'honneur, l'honneur sacré, cher prix de la vertu, v.237 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- S'il vous demeure encore au fonds de la pensée v.239 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Vous qui, sous ma conduite, avez six fois de rang v.241 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Sans que, dessous mon aile, en aucune entreprise v.243 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Le sort ait contre nous déployé sa maîtrise, v.244 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Rendra notre couronne ou libre ou prisonnière : v.248 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Ni d'un gazon voisin : le nôtre est en danger. v.250 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Pourquoi vaudrions-nous moins que ne faisions jadis ? v.253 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Les renards fugitifs au fonds de leurs tanières v.255 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- À ceux que de longtemps nous possédons des leurs, v.258 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Sous l'effort de nos bras ont engraissé la terre, v.263 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Un reste mal conduit par un novice en guerre. v.264 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- L'éclat de votre front, second astre de Mars, v.265 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- Astre à son relever influant leur valeur, v.269 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- Ainsi que son éclipse a causé leur malheur ; v.270 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- Malheur dont la vergogne empreinte en leur courage v.271 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- « Autant vaut le soldat que vaut son conducteur. » v.274 (Acte 1, scène 3, ARAXE)
- Eh bien ! Le Tyrien vient-il quand on l'ajourne ? v.276 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Lui semble, quoique bref, différé longuement. v.278 (Acte 1, scène 3, LE-HERAULT)
- Osant bien, Monseigneur, ainsi me discourir, v.281 (Acte 1, scène 3, LE-HERAULT)
- Digne que de ton nom quelque mer se surnomme ! v.284 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- Aux armes donc, enfants ! Courage ! Assurez-vous v.289 (Acte 1, scène 3, BELCAR)
- C'est le prince Léonte. Ô gentille brigade ! v.292 (Acte 1, scène 4, ARAXE)
- Ho ! Nous vous tenons bien ! Tous vos efforts sont vains. v.294 (Acte 1, scène 4, SOLDATS)
- Ha ! Mon cher Timadon, n'ai-je point de secours ? v.297 (Acte 1, scène 4, LÉONTE)
- Non, non, que l'on m'achève, et que de ma patrie v.303 (Acte 1, scène 5, BELCAR)
- Mon honneur étant mort, de l'avoir survécu. v.306 (Acte 1, scène 5, BELCAR)
- Prince, il se faut résoudre ; on vous fait courtoisie ; v.307 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Il tombe, soutenez-le, et prenez-en bon soin ; v.309 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Moi, je retourne au gros donner ordre au besoin ; v.310 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- J'ai vu la colonelle encore à la mêlée v.311 (Acte 1, scène 5, PHULTER)
- Que je sois prisonnier ! Qu'on m'emmène captif ! v.313 (Acte 1, scène 6, LÉONTE)
- ?tant du front au pied par leurs yeux compassé, v.318 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- But de leurs maudissons, sujet de leur risée ! v.320 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- De faire mon entrée en ces murs ennemis, v.322 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Pensant prendre leur roi sur le seuil de son porche, v.324 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Engloutissez mon corps, qu'on ne l'emmène pas, v.330 (Acte 1, scène 6, LÉONTE)
- Et privez le soleil de l'aspect de ma honte ! v.331 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Hola ! Mon maître ! Et quoi ? La douleur vous surmonte ? v.332 (Acte 1, scène 6, TIMADON)
- Qui soit entré par force en prisons bien fermées, v.335 (Acte 1, scène 6, TIMADON)
- Monsieur, consolez-vous. Belcar, notre support, v.341 (Acte 1, scène 6, SOLDATS)
- Prisonnier comme vous, est en danger de mort. v.342 (Acte 1, scène 6, SOLDATS)
- Ô dieux ! C'est dont j'enrage ! Eh ! Belcar est blessé ; v.343 (Acte 1, scène 6, LÉONTE)
- Privé de son bras droit, de vigueur, de monture. v.345 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Ainsi s'acquiert l'honneur, même dans la capture. v.346 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Mais moi, tout au contraire, ô mal-timbré cerveau ! v.347 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Que, passant le commun, les plus vaillants j'affronte, v.349 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Comme un lièvre aux panneaux on a saisi Léonte. v.350 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Or, baste pour ce coup, il convient de souffrir ; v.351 (Acte 1, scène 6, L?ONTE)
- Celui conte deux fois qui conte sans son hôte. » v.358 (Acte 1, scène 6, SOLDATS)
- Combien d'impatience agite mon attente, v.361 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Et que mon espérance est douteuse et flottante ! v.362 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- D'où me vient cet effroi contraire à mon humeur ? v.363 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- D'où ces chancellements au cours de mon bonheur ? v.364 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que dois-je redouter ? Au fonds, que puis-je craindre, v.365 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- « (Ciel qui des coeurs hardis seconde les efforts, v.367 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Quel point d'égalité m'y peut-on faire entendre ? v.370 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Quelle comparaison de peuple ni de roi ? v.371 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Quelle proportion d'Abdolomin à moi, v.372 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Dont l'amitié puissante, en sa flotte choisie v.374 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Par le vaillant David et par son sage fils, v.375 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mêla si dextrement les honneurs aux profits v.376 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Moi, neveu d'un Straton, dont la seule vertu v.379 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Les masures du Tyr non guère moins illustres v.386 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qui doit débattre un jour du monde le partage ? v.390 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Enfin Tyr, propre mère à l'ingrate Sidon, v.391 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- À Sidon parricide, indigne de pardon ; v.392 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Tyr, qui seule arrêta la conquête des Perses ; v.394 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Bref, Tyr, la riche Tyr, sous l'heureuse conduite v.397 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- D'un vaillant Pharnabaze et d'un Léonte ensuite, v.398 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Craindrait-elle Sidon, bien moins puissante ville, v.401 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que s'ils ont un Belcar remarquable en valeur, v.403 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mon fils a le courage et plus noble et meilleur ; v.404 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Puis leurs soldats sont mols, sont rebutés ; en somme, v.405 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Entre tant de barbus on n'y connaît qu'un homme. v.406 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Ce sont tous cerfs craintifs par un lion menez, v.407 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais mon ost est tout plein de lions déchaînés. v.408 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Arrière donc de moi la peur, voire la doute, v.409 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- M'annonçant que des cieux la juste bienveillance v.421 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Aura de mon côté fait tourner la balance. v.422 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- A vidé son vaisseau d'un cours égal et lent v.424 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Depuis qu'on m'a mandé qu'en armes partiales v.425 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- On allait disputer les faveurs martiales. v.426 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Les cris en sont venus jusques près de ces lieux v.427 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que mon courage oppose à ces âmes peureuses. v.430 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Quoi ! Font-ils encor ferme ? Ô lâcheté des nôtres ! v.437 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais toujours ce rocher son choc a repoussé. v.440 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Donner jusqu'à Sidon, prêts d'entrer pèle-mêle ; v.442 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Belcar seul tenait bon ; mais un effort dernier, v.443 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- En lui cassant le bras l'a rendu prisonnier. v.444 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Et mon fils ? v.445 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Excusez ma contrainte à porter un message... v.446 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Voilà qu'un escadron contre lui se rallie, v.449 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Dont il n'a peu sortir. v.450 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Ils l'ont environné tant qu'à force de bras v.451 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Ils l'ont traîné vers eux, veuille ou ne veuille pas. v.452 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Ô poltrons de sa suite ! Aviez-vous du courage ? v.453 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qu'à peine trois des siens virent son accident, v.455 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Le second, fort blessé, son passe-port impètre v.458 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Pour en donner avis ; l'écuyer Timadon v.459 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- S'est jeté quant et lui dans les murs de Sidon. v.460 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Et surtout, et surtout toi, mon dieu sanguinaire, v.465 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qu'avait donc, pour conduire et pour bien entreprendre v.473 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Qu'avait-il d'excellent plus que mon fils et moi, v.475 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Lui qui le monde entier assujettit à soi ? v.476 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mais si veux-je ou mourir ou vaincre à ton dépit, v.479 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- En livrant à Sidon la guerre sans répit. v.480 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Car, bien que pour un temps je perde mon Achille, v.482 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Nos chefs pour six soleils la trêve ont transigé, v.485 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Attendant s'il vous plaît qu'elle soit prolongée ; v.486 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Des corps des deux partis les guérets sont tous noirs, v.487 (Acte 1, scène 7, LE COURRIER)
- Mes gens ès garnisons, sans que trop on s'écarte. v.490 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Nos armes céderont aux rigueurs de l'hiver, v.491 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Or par les lois d'honneur je suis forcé de faire v.493 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Il viendra lentement ; en litière on l'a mis : v.495 (Acte 1, scène 7, LE-COURRIER)
- Il le faut bien penser, en tenir si bon conte v.497 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Que son doux traitement redonde sur Léonte ; v.498 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Mes filles suppléeront, par entretien discret, v.499 (Acte 1, scène 7, PHARNABAZE)
- Ma soeur, qu'en pensez-vous ? Qu'en dirons-nous au roi ? v.501 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Voyez ce teint plombé qui son visage couvre, v.503 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Que s'il n'avait, dit-on, que le mal apparent, v.505 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Le médecin pourrait se rendre son garant ; v.506 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Las ! Que plût-il aux dieux que nous tinssions ici v.513 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Son otage trop cher qui nous met en souci, v.514 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Léonte, notre frère. Ah ! Combien j'appréhende, v.515 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Mort ou vif cestuy-ci, que tel on nous le rende ! v.516 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- D'une compassion mon âme est attendrie v.520 (Acte 2, scène 1, MÉLIANE)
- Quand je vois sur son front, sur son oeil languissant, v.521 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Quelque vaillant qu'il soit et rare personnage ; v.528 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Quand je me ramentai son courage barbare v.531 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Embrasant, enfondrant (cruel plus que les eaux) v.533 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Enfin, quand mon esprit renouvelle à mes sens v.537 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Entrons. v.543 (Acte 2, scène 1, CASSANDRE)
- Ô courage de fer ! Lestrygonne inhumaine ! v.544 (Acte 2, scène 1, MÉLIANE)
- Si ton coeur était noble, ami de la vertu, v.545 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Contre l'ennemi même, alors qu'il ne peut nuire. » v.548 (Acte 2, scène 1, M?LIANE)
- Où voulez-vous aller ? Quelle humeur sans raison v.549 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- De ne fuir rien tant que sa propre maison, v.550 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Trémousser tout le corps d'un geste déshonnête, v.555 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Non, non, ma femme, non ; laissez ce badinage, v.559 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Tantôt à contempler vos joyaux plus exquis, v.561 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Tantôt du fin aloi démêler la monnaie, v.563 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Car je ne dors que trop tout le long de la nuit. v.570 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Tantôt faire causer vos perroquets mignons, v.573 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Faire jouer, sauter, vos chiens et vos guenons, v.574 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Et quelquefois aussi feuilleter un bon livre : v.575 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Voilà comme en honneur la matrone doit vivre ; v.576 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- C'est de ces femmes-là dont le monde fait cas, v.577 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Non des légers esprits adonnez au tracas, v.578 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- La perle de son temps, miroir de chasteté, v.582 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- En gardant son foyer auprès de son matin, v.585 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Non aux femmes de bien, d'aller aux bacchanales. v.588 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Car combien s'en voit-il de ma sorte en mon âge v.591 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- De se trouver au bal en honnête maintien v.593 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Hanter ouvertement les bonnes compagnies v.595 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Où l'on ne fait ni dit aucunes vilenies, v.596 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Mon ami, c'est la mode, et qui fait autrement v.597 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Il faut que son mari sotte l'ait reconnue, v.600 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ou bien lui-même est fol ; il est jaloux, dit-on ; v.601 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Peut-être qu'il se sent mal sûr de son bâton. v.602 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Vous me payez souvent de réponse ambiguë. v.615 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Souvent votre soupçon de malice m'argue. v.616 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- On doit l'autour hagard de longes attacher. v.617 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- On donne au cheval gai la renne courte et forte. v.619 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Un point d'occasion séduit la plus constante. v.623 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Que trop d'occasions quand le désir nous tente ! v.624 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Enfin vous n'irez point ; c'est assez contester. v.625 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Ne compatirait point à mon esprit gaillard ; v.630 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Que de passer en deuil mon âge le plus beau v.634 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Contre une telle angoisse où sera mon soulas ? v.638 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Cherchons la liberté dans la plaine Élysée ; v.640 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- On peut tenir mon corps, non mon âme, en prison ; v.641 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Une corde, un couteau, m'en feront la raison ! v.642 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Étrange passion pour un désir frivole ! v.643 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- À la charge pourtant que ma soeur vous convoie v.647 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Et qu'en aucun devis sans elle on ne vous voie. v.648 (Acte 2, scène 2, ZOROTE)
- Ô la gentille garde, et dont j'ai grand besoin ! v.650 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Je t'en réponds, vieux fol, l'on te la garde bonne. v.651 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Qu'on m'arrache les yeux si je te le pardonne ! v.652 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ici me soient témoins la nocière Junon, v.653 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Et le dieu conjugal, dont on chante le nom v.654 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- On met sa tête au joug et sa fleur en cueillette, v.656 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Non seulement d'effet, ains même de pensée v.660 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- M'ont tenté de regards et discours séduisants) : v.662 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Prenant mêmes en gré son crachat et sa toux v.665 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Pour des baisers d'ami qu'on dit être si doux, v.666 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Pourvu qu'il supportât mon humeur libre et gaie, v.667 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Jusques là que l'honneur n'en reçut point de plaie. v.668 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Mais, puisqu'un tel Saturne, un Tithon décrépit, v.669 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Aigrit de jour en jour mon trop juste dépit, v.670 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Que ma sage conduite augmente sa manie, v.671 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Que mon obéissance accroît sa tyrannie, v.672 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ô femme du tonnant, emperière des cieux, v.673 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Votre ire contre moi si ma foi je révoque. v.676 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Me traiter en compagne, et non pas en esclave. v.679 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Doncques, si désormais, pour un peu m'alléger, v.682 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- J'imite non du tout Cyprine l'indiscrète, v.683 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Las ! Pardonnez-le moi : c'est un commun péché v.685 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- S'adresse donc à moi quelque homme qui me plaise, v.687 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Et qu'il maudisse amour s'il n'en revient content. v.689 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Zorote, ouvre ton front : ta ramure t'attend ; v.690 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Je te la planterai si profonde en la tête v.691 (Acte 2, scène 2, PHILOLINE)
- Ma soeur, ma bonne soeur, ayez pitié de moi, v.693 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Soyez mon réconfort en mon cuisant émoi ; v.694 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- C'est un esprit léger, une humeur volontaire ; v.696 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Je vous ai tout conté ; si je ne lui permets, v.697 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- C'est plutôt l'affliger que lui donner de l'aide ; v.700 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Qui vous a sans conseil procuré ce tourment, v.702 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- D'épouser une fille, après un long veuvage, v.703 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Frère, corrigez donc, d'un procédé prudent, v.709 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Fondez votre soupçon de fortes conjectures. v.712 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Telles ont le coeur gai, ne cherchant que le ris, v.713 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Qui n'ont aucun dessein d'offenser leurs maris, v.714 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Et telle a le discours et le front de Minerve, v.715 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Montrez-vous le plus sage en lui cédant un peu ; v.721 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Pour peu que vous daigniez à son gré vous changer, v.725 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Qu'elle n'abuse point d'une honnête licence : v.728 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Lors, si vous connaissez que son coeur se dévoie v.731 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- (cela ne se pourra sans que tôt on le voie ; v.732 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Moi je vous aiderai, l'intérêt m'y semond ; v.733 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Je sonderai son âme, et jusqu'au plus profond, v.734 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Soit par son entretien, soit à l'air du visage, v.735 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Soit par bons espions, qu'on peut mettre en usage). v.736 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- En ce cas, vengez-vous, ne lui pardonnez rien, v.737 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Employez sans pitié contre un si grand outrage v.739 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Hélas ! Ma bonne soeur, je m'en repose en vous ; v.741 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Selon votre conseil, je lui serai plus doux. v.742 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Mais d'être baladin mon age me dispense ; v.743 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Tu me soupçonnerais de rentrer en enfance. v.744 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Puisque vous auriez part en mon ignominie. v.748 (Acte 2, scène 3, ZOROTE)
- Je réponds que sans bruit j'aurai les yeux ouverts, v.749 (Acte 2, scène 3, THARSIDE)
- Soupirs, seul entretien de mon ardeur extrême, v.751 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Si vous êtes de vent, donnez-m'en quelque effet v.753 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Prenez un choix certain dans vos effets contraires. v.755 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- J'ai tort : vous n'êtes pas des soupirs volontaires : v.756 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Dont le mont de Sicile a ses éclairs mouvants, v.758 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Enflez-vous donc si fort de sanglots élancés v.761 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qu'on connaisse l'effort dont vous êtes poussé, v.762 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qu'on entende mon mal comme on le voit à clair. v.766 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Quoi ! Pensez-vous tenir mon brasier immortel ? v.769 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Non, dans le coeur d'un homme il ne peut être tel ; v.770 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Mon âme quittera, pour se mettre à son aise, v.771 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Et lors ne pensez point me suivre en mon trépas, v.773 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Pensez donc à vous-même, et, si vous voulez vivre, v.775 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Hau-là ! Qu'ai-je entendu ? Que ces rideaux on ouvre. v.779 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Las ! Bons dieux, son oeil d'un nuage se couvre. v.780 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Du vinaigre ! Il revient : je sens battre son pouls. v.782 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Qu'il me fait de pitié ! Monsieur, prenez courage ! v.783 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Que c'est un mal caché, non le mal apparent, v.789 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Me le cèlerez-vous ? Quelle angoisse inconnue v.791 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- En votre guérison de santé vous denue ? v.792 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Que si l'éloignement d'un bon père vous cuit, v.793 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- D'un monarque ennemi vous va persécutant, v.797 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- C'est là qu'il vous sied mieux de paraître constant. v.798 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- « L'invincible vertu dont l'âme est remparée v.799 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Au fond, ne craignez point : vous n'êtes pas en main v.801 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Me porter à Charon, misérable butin, v.806 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Toutefois, je reçois votre enquête à mon aide ; v.808 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Ma langue s'enhardit avec votre bonté v.809 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Et mon piteux état se donne liberté. v.810 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Mon secret important, que chacun se retire. v.812 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Vous saurez donc, madame, et ne vous fâchez point, v.813 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Ont de rayons subtils un brasier allumé v.817 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Au profond de mon sein dont je suis consumé. v.818 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Seulement d'aviser son front en droite ligne. v.820 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Il s'émeut derechef. Monsieur, reprenez coeur. v.821 (Acte 2, scène 4, MÉLIANE)
- Estimez-vous si peu vos mérites connus ? v.825 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Brisons là de discours, car je crains, pour cette heure, v.831 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- De vous importuner par ma longue demeure ; v.832 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Si mon conseil aura sur vous quelque pouvoir. v.834 (Acte 2, scène 4, M?LIANE)
- Qu'une bonté si rare en si rare beauté v.837 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Se rencontrât ailleurs qu'en la divinité, v.838 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qui l'aurait peu penser ? Ô merveille du monde ! v.839 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Ô ma bonne fortune à nulle autre seconde ! v.840 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Qu'on ne vienne à ce coup du vivre appareiller. v.842 (Acte 2, scène 4, BELCAR)
- Tant plus, mon Timadon, je pèse et considère v.843 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- La prise de Belcar et l'âge de son père, v.844 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Tant plus je me console, espérant voir en bref v.845 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- La fin de ce royaume orphelin de son chef. v.846 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Le bon homme se meurt, quelque mine qu'il fasse ; v.848 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- C'est un tronc sans vigueur, un corps demi-transi. v.849 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Quand, d'un traité de paix me faisant la semonce, v.851 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- J'ai, lui rivant ce clou, fait ma brusque réponse ? v.852 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Cette affaire, ai-je dit, n'est pas mise à mon choix : v.853 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Que de Tyr et Sidon les conseils et les rois, v.854 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Jugent si l'on pourrait rendre bien terminée, v.855 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Pour moi, qui chez mon père ai moins de volonté v.857 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Que prisonnier chez vous je n'ai de liberté, v.858 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Si dirai-je en passant que selon mon courage, v.859 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- On soumit en duel le plus faible au plus fort : v.862 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Ne se pourront tenir en des bornes égales. v.864 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Il vous a répondu qu'il prenait patience, v.868 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Ce que pour vous montrer, il vous donnait pouvoir v.873 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- En l'enclos de Sidon de tout ouïr et voir, v.874 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Ses magasins fournis, ses galions armés, v.877 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Vous n'estimeriez plus qu'une entière conquête v.879 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- À ces mots, un sanglot du profond de son coeur v.881 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Aussi ne vois-tu pas, nonobstant toute ruse, v.883 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Que chacun des passants a la face confuse ? v.884 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Et dès qu'on m'aperçoit, que les plus apparents v.886 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Font signe au menu peuple et composent leur geste, v.887 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- De vrai, cette cité son renom ne dément. v.893 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Que de monde assemblé ! Quel riche bâtiment ! v.894 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Que les toits y sont hauts et les boutiques drues ! v.896 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Sachez ses qualités, son nom, son parentage. v.900 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Si je ne lui donnai l'ouverture du bal ? v.902 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Ma soeur, je suis pour vous ; je l'ai dit à mon frère, v.903 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Selon votre âge tendre, il vous est trop sévère : v.904 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Excusez jusqu'ici son chagrin naturel, v.905 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- C'est le prince de Tyr, pour lequel honorer v.909 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- On fait à frais publics tout ce jeu préparer. v.910 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Passons vite et l'oeil bas. v.911 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Ne courons pas la poste. v.911 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Il faut civilement répondre s'il accoste. v.912 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Les pauvres, Monseigneur, ne vous sont pas semblables. v.915 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Mais les biens que je veux sont hors de mon pouvoir. v.918 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Mes devis à l'honneur ne sont jamais nuisants. v.922 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Sa condition simple à vous ne s'apprivoise. v.923 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Prince, pardonnez-moi, je suis neuve à la court. v.925 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Que vous plaît-il de moi ? Monsieur, on nous regarde. v.927 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Mon discours ne craint point la foule babillarde. v.928 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- M'ont fait du premier branle une offre volontaire, v.932 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Pour lui donner sa part en cette primauté. v.934 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Or, après plusieurs tours et longues promenades, v.935 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Méritez d'emporter cet honorable prix. v.938 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- C'est dont je vous supplie, ô belle, qu'on vous voit v.939 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- L'honneur que vous m'offrez sur un premier aspect v.941 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Ne peut (pardonnez-moi) qu'il ne me soit suspect. v.942 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Monsieur, vous me sondez, en vous donnant carrière, v.943 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Mais, outre qu'en cela mon jugement se range v.947 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- (Car ce qu'on voit en moi de passablement beau v.949 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Sur qui votre grandeur doit étendre son choix. v.953 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Quelquefois par humeur à soi-même on déplaît, v.958 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Et l'on pèche aussi bien (faute de se connaître) v.959 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Mais mon élection se trouvera suivie v.963 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- De tout oeil clair-voyant non prévenu d'envie. v.964 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- C'est pourquoi je m'arrête en mon dessein premier. v.965 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Quant à la dignité de mon rang coutumier, v.966 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- En ces lieux d'allégresse on porte ses offrandes v.967 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Et moi, dès mon berceau de grandeur assouvi, v.969 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Orne leur qualité d'autres dons de nature. v.972 (Acte 3, scène 1, L?ONTE)
- Les grands ont cette humeur, et leurs femmes aussi v.973 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Au choix des favoris en font souvent ainsi ; v.974 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Des princes aux petits les amitiés sont libres. v.976 (Acte 3, scène 1, TIMADON)
- Je mets le prince à part, et vous parle en garçon. v.977 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Si je vous éconduis, c'est en cette façon. v.978 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Il faut apparier les garçons et les filles, v.979 (Acte 3, scène 1, PHILOLINE)
- Ma soeur, n'estrivez plus. Cet honneur non brigué v.981 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Çà, votre belle main ; n'attardons l'assemblée. v.984 (Acte 3, scène 1, LÉONTE)
- Suivons, Monsieur, allons. v.985 (Acte 3, scène 1, THARSIDE)
- Que t'en semble, Phulter ? N'ai-je pas eu raison v.989 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- De rembarrer ainsi la mignarde oraison v.990 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Où serait mon courage ? Où seraient mes esprits ? v.994 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Vraiment, la voilà bonne ! Ils n'ont plus que leur ville v.995 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Mes gens les ont battus jusqu'aux pieds de leurs tours, v.997 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Tant en forts combattants qu'en bons vaisseaux de guerre ; v.1000 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Ils n'ont plus de bons chefs, de finances fort peu, v.1001 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Non, non, leur ai-je dit, Abdolomin se trompe v.1003 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Croyant qu'en si bon train ma course j'interrompe ; v.1004 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- « M'a laissé pour leçon qu'une âme bien guerrière v.1007 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Qu'on peut bien partager, quand on en est requis, v.1009 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Ce qu'on veut conquérir, non ce qu'on a conquis. » v.1010 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Qu'il se dispose donc par offre volontaire v.1011 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Ou bien qu'il se prépare à jouer de son reste v.1015 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Dès que Titan luira dans le mouton céleste ; v.1016 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Que, touchant mon Léonte, il m'est indifférent v.1017 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Mon courage n'est point affaibli par le temps, v.1021 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Et nonobstant ce poil j'ai mes bras de trente ans. v.1022 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Ô mots dignes de vous, en qui l'honneur réside, v.1023 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Dont l'esprit et le coeur se conservent sans ride v.1024 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Qu'ils fléchiront du tout sous l'effroi de la mort ; v.1030 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Et lors, soit que Léonte, en si noble conquête, v.1035 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- On verra notre bande au double s'irriter. v.1038 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Au contraire, Sidon, de son prince étant veuve, v.1039 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Or conte-moi, Phulter, comment, à cette fois, v.1041 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Le champ fut balancé par un tel contrepoids v.1042 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Les deux contraires chefs prisonniers demeurèrent. v.1044 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Je ne l'ai pas bien su : jamais d'un long discours v.1045 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Je ne souffre empêcher ma colère en son cours. v.1046 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- « On doit, quand un revers à nos désirs s'oppose, v.1047 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Du terroir reconquis nous passâmes les bornes ; v.1051 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Du Mont_Antiliban nos quartiers se plaçaient, v.1053 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Ainsi voit-on souvent, par un vol passager, v.1057 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- En un ordre constant sous leur chef se ranger, v.1058 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Qu'au clairon de leurs cris retentissent les nues. v.1060 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Et n'ayant le bonheur ni le nombre pareil, v.1062 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Même reconnaissant la fougue refroidie v.1063 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Connilla quelques jours, esquivant, reculant, v.1065 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Où l'on n'eût su couper ses flancs en nulle sorte. v.1068 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Nos camps se ressemblaient d'ordonnance à peu près, v.1073 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Eux et nous avions mis l'arabe mercenaire. v.1076 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Parmi nos bons coureurs, qui, sur chevaux légers, v.1077 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Du dard et de l'écu secondaient les archers v.1078 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Ses plus gros bataillons, d'un et d'autre côté, v.1085 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Et d'étrangers piétons, lui sa grecque phalange, v.1087 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Notre bagage, en queue, avait pour son appui v.1089 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Des troupes à deux fronts, ce qu'il n'avait pas, lui, v.1090 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Car sa ville à son dos l'assurait. à la tête. v.1091 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Nous courons la campagne, où la cavalerie v.1095 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Gardait son parallèle avec l'infanterie ; v.1096 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Maint peloton volant de tireurs assurez v.1097 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- On avait mi-parti le jour et la poussière ; v.1100 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais le sidonien, rusé comme en tout temps, v.1102 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Par évolutions, au débat d'un passage, v.1103 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Nous donna le soleil et le vent au visage. v.1104 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Au seul gain de Charon par le ciel destinée ! v.1108 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Bellonne, ayant au front de Gorgonne la crête, v.1111 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Chassait avec son fouet la rage et la tempête v.1112 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mon prince exécuta mille traits de vaillance, v.1116 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Qu'on ne voit trébucher de fleurettes aux prés v.1118 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Fraye d'un courbe outil la rive non tondue. v.1120 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Caché de son harnois, combattait en son lieu. v.1122 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Le foudre suit l'éclair de son acier qu'il lève, v.1127 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- En forçant les plus forts sans pardon et sans trêve. v.1128 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Léonte de sa part enfonce la victoire, v.1131 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais le piéton se mêle et demeure douteux. v.1133 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Qui voit sur le sablon de l'océan venteux v.1134 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- En arrière, en avant, nous avançons toujours. v.1138 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- La palme était à nous, quand d'un vallon plus proche, v.1139 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Là votre fils, trop prompt, sans conduite avancé, v.1141 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- N'ayant que trop de coeur, mais manque de conduite. v.1143 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Mais un escadron frais vertement le soutint ; v.1146 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Avise à son danger et la retraite essaye ; v.1148 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Lors son cheval lui tombe et son bras est froissé ; v.1149 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- On le prend à merci comme il est terrassé. v.1150 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- La lumière faillante, on commande aux trompettes v.1151 (Acte 3, scène 2, PHULTER)
- Et par un bon tribut sous moi s'humilier, v.1154 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Au bras gauche un Belcar et mon Léonte au droit ? v.1158 (Acte 3, scène 2, PHARNABAZE)
- Ah ! Qu'elle parle bien, danse de bonne grâce ! v.1159 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Timadon, mon ami, je ne m'en puis ravoir. v.1161 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Enfin je suis navré jusqu'au profond de l'âme, v.1164 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Gaigner ce beau tendron qui ne me peut fuir. v.1166 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Je reconnais déjà que la place est prenable, v.1167 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Et pense avoir rendu la brèche raisonnable. v.1168 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Commandez-vous, mon maître, en cet âpre désir, v.1169 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- « Mars et son fils Amour ont chacun leur saison : v.1173 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- L'un règne à la campagne et l'autre à la maison. » v.1174 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Il ne faut que la paix où Cupidon domine, v.1175 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Mais il fut sur le fait honteusement surpris. v.1178 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Ô la honte gaillarde, où ceux qui s'en moquèrent v.1179 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Aux belles de leur temps souvent se sont joués. v.1182 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Mais plusieurs comme Hercule en ont perdu la vie. v.1183 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Sa mort d'honneur divin fut néanmoins suivie. v.1184 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Rien n'a terni l'honneur de ce dompte-géant v.1185 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Que de s'être montré lascif et fainéant, v.1186 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- En la jeunesse il faut que ce mal ait son cours. v.1193 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Cerchons l'invention la plus prompte et plus sûre v.1195 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- D'avoir la guérison d'où me vient la blessure ; v.1196 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Il y faut procéder de subtile façon ; v.1197 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Le tout est d'éviter du mari le soupçon : v.1198 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Excusez, Monseigneur, la crainte que j'en ai : v.1201 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Que son vieil radoteur la retient de si court v.1206 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Vous n'en chevirez pas, car ce matois grison v.1209 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Lui donnerait plus tôt la mort ou la prison. v.1210 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Vous êtes à Sidon, vous n'êtes pas à Tyr. v.1214 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Quand elle aurait pour garde un dragon hespéride, v.1215 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Pour frauder les plaisirs du monarque des dieux, v.1218 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Cette bonne commère, à ce qu'il m'en appert, v.1225 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- As-tu sondé ce gué ? v.1227 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Parfaisait avec vous un pair de bonne mine, v.1228 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Et que des violons les fredonnant accords v.1229 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Rendant d'étonnement l'assistance ravie, v.1232 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Non ; mais, pour m'en distraire v.1235 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Nous nous fussions portés à quelque privauté v.1241 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- C'est une occasion qui vous est préparée v.1244 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- À passer votre temps, et dont peut-être aussi v.1245 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- L'heur me naîtra de voir mon dessein réussi. v.1246 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- « Celle qui sent pour soi la débauche être bonne v.1247 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Ne trouve pas mauvais qu'une autre s'abandonne, v.1248 (Acte 3, scène 3, L?ONTE)
- Sois sûr qu'un beau présent suivra ce bon office. v.1252 (Acte 3, scène 3, LÉONTE)
- Et le passionné tellement simuler v.1254 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- (m'ayant de sa maison déjà promis l'entrée) v.1255 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Elle est vieille, de vrai ; son haleine me put ; v.1257 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Mais je me contraindrai pour venir à mon but. v.1258 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- Comme je l'amusai sur un conte plaisant, v.1262 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- La folâtre qu'elle est, riant de bon courage, v.1263 (Acte 3, scène 3, TIMADON)
- C'est assez pour ce coup, mon gentil écuyer ; v.1265 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Jamais ton entretien ne saurait m'ennuyer, v.1266 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Mais de ce cabinet rentrons en notre salle, v.1267 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Pour maintenir mon droit j'ai la lance en arrêt, v.1270 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Quant à moi, je suis votre et j'invoque Alecton v.1273 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Pour envoyer mon âme au gouffre de Pluton v.1274 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Si je vous romps jamais mon amour conjugale. v.1275 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Or sus, contentez-moi d'une assurance égale. v.1276 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Quoi ! Mon coeur, pensez-vous qu'un pauvre cavalier v.1277 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Qu'aussi belle que bonne, aussi riche que sage ? v.1280 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Mais pensons à mon maître, et cherchons quelque voie v.1283 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Je suis prête, mon coeur. Que veux-tu que je fasse ? v.1287 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Mais mon frère est bien fin ; devant lui rien ne passe ; v.1288 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Qui me rendrait d'abord le visage confus. v.1298 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Faites donc vos essais, vos approches premières ; v.1299 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Tient le pas de son huis si clos et bien gardé v.1302 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Qu'on le peut bien tromper ! L'ivrogne, tel qu'il est, v.1305 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Quand son maître s'absente aux tavernes se plaît. v.1306 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Or, excepté ce monstre, horreur de la famille, v.1307 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Qui plaignent leur maîtresse et plaignent le soupçon v.1309 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Du jaloux qui ne souffre entr'elles un garçon. v.1310 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Nul n'avise au dedans quiconque entre ni sorte. v.1312 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Faites donc par argent ou par vin répandu v.1313 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Glisser quelque billet qui vous soit répondu, v.1314 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Sinon d'un trait de plume, au moins de voix fidèle. v.1315 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Vous verrez à bon port votre amoureux surgir. v.1318 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- De le monter au lit j'ose bien entreprendre ; v.1319 (Acte 4, scène 1, THARSIDE)
- Tu vaux trop, ma mignonne. Adieu, le temps se perd ; v.1321 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Mon prince, trop actif, en amour mal expert, v.1322 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Pense qu'en m'amusant son service j'oublie, v.1323 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Ou qu'indiscrètement son dessein je publie. v.1324 (Acte 4, scène 1, TIMADON)
- Ô grands dieux ! Le moyen de vivre en bon accord ! v.1325 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Avec quelque beauté me donner au coeur joie, v.1336 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- De qui, pour mon argent, mieux qu'en elle employé, v.1337 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Ma vengeance contre elle, et que rien je n'en cache, v.1340 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Plaisir à lui déplaire en un coin de son feu. v.1342 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Il me faut donc chercher quelque jeune mignonne v.1343 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Que pour fille de chambre en gaussant je lui donne, v.1344 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- De dépit elle en crève et n'en ose gronder. v.1346 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Que ne fais-je rencontre, au choix que je projette, v.1347 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- D'une belle à mon gré qui se rende sujette v.1348 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- De se roidir contre elle et de plier sous moi ! v.1350 (Acte 4, scène 2, ZOROTE)
- Ah ! Je sais bien ton cas. C'est assez, je vois naître v.1351 (Acte 4, scène 2, TIMADON)
- Une occasion propre au dessein de mon maître : v.1352 (Acte 4, scène 2, TIMADON)
- Car si bien sa voix claire à son luth il marie v.1355 (Acte 4, scène 2, TIMADON)
- Je vous cherche, monsieur. v.1357 (Acte 4, scène 3, LE PAGE)
- Entrons vite, il vous faut mettre bas le pourpoint. v.1358 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Eh ! Mon_Dieu, qu'ai-je fait ? v.1359 (Acte 4, scène 3, LE PAGE)
- Non, n'ayez pas de crainte. v.1359 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Avant que sans douter bienheureux on le nomme ! v.1364 (Acte 4, scène 3, LÉONTE)
- Tant voit-on de rochers sur nos têtes penchés, v.1365 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Tant sont-ils tout_à_coup, d'esprit comme de corps, v.1369 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Si Léonte dément ses exploits renommez ? v.1374 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Qui l'enchaîne et l'entraîne à son gré triomphant. v.1378 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Lui, dont tout l'orient n'eût point assouvi l'âme, v.1379 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- A borné sa conquête en une seule dame. v.1380 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Ô vergongne ! Ô douleur ! Rage qui me possède ? v.1383 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Que fais-tu, Timadon ? M'as-tu donc délaissé, v.1385 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Sans aide, sans conseil, et d'ennuis oppressé, v.1386 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Ne considérant pas que toute inquiétude v.1387 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Qu'au lieu d'une heure ou deux, le temps de ton congé v.1389 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- En des jours, ains des ans, me semble prolongé ? v.1390 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Las ! Tu connais assez combien ma peine est dure, v.1391 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Encor si je pouvais soulager mon esprit v.1393 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Avec cette beauté conférant par écrit ! v.1394 (Acte 4, scène 3, L?ONTE)
- Mon ami, le doux mot ! v.1398 (Acte 4, scène 3, LÉONTE)
- Vous rendra bien content en la fin de la farce. v.1400 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Adieu vous dis, monsieur. v.1403 (Acte 4, scène 3, TIMADON)
- Je me laisse conduire. v.1403 (Acte 4, scène 3, LÉONTE)
- Mon soupçon n'est pas faux : en amour comme en chasse, v.1409 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Prévient et le bon nez et le conseil prudent. v.1412 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Dont, tant bien qu'en serait mon devoir acquitté, v.1415 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Seule il me convaincrait négligente et peu caute, v.1418 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Belles comme elles sont, parmi des courtisans, v.1420 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Mes leçons désormais leur sont des rêveries, v.1422 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Qui des rayons du feu tout en feu s'évapore. v.1426 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Je le sais bien par moi : dès mes jeunes saisons v.1427 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Je me suis fait frotter pour ces démangeaisons, v.1428 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Qui chatouillent bien plus que cirons ni grattelles : v.1429 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Notre sexe a souvent des heures qui sont telles v.1430 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Il nous ferait tomber du seul bout de son doigt. v.1432 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Sexe, fragile sexe ! En qui la honte née v.1433 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Au lieu de la raison pour bride étant donnée, v.1434 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- D'abondant la nature aux hommes l'a soumis, v.1435 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Dès que d'un pouce ou deux nous en avons tâté, v.1439 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Nous en voulons un pied, j'entends de liberté. v.1440 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Forge moins de soucis dans mon timbre chenu. v.1444 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- J'y veille toutefois : « souvent en onde coye v.1445 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Plutôt qu'en eau courante un bon nageur se noie. » v.1446 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Par son entretien froid ont été divertis, v.1448 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- De façon plus ouverte et plus riche en discours, v.1451 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- À tous ses mouvements donne un plus libre cours. v.1452 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Sur le ciel de son front à pointes frétillantes, v.1454 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Son air toujours gaillard, son visage poupin, v.1455 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- D'un teint où contre l'art la nature conspire v.1458 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- (Bravant et la céruse et le cher vermillon), v.1459 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Aussitôt il s'y brûle ainsi qu'un papillon, v.1460 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Et crois (dont bien m'en prend) que son rang de princesse v.1461 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Or notre souverain, connaissant son humeur, v.1463 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Son penser est peut-être en l'honneur mieux ancré v.1467 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Le roi, dis-je, a conclu, même au gré de l'aînée, v.1469 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Et, n'était qu'aujourd'hui contre une offre de paix v.1471 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Il a reconfirmé la guerre pour jamais, v.1472 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Je croirai qu'en son coeur l'alliance il projette v.1473 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Charge que Méliane en toute confiance v.1477 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- C'est dont je suis en peine, et crains que peu à peu v.1479 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Duquel lorsqu'on voudra rendre la braise éteinte, v.1481 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Il faudra le souffrir et nourrir par contrainte, v.1482 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- Mon coeur, égaye-toi, ton Belcar se guérit, v.1487 (Acte 4, scène 4, MÉLIANE)
- Et selon ton désir la fortune te rit. v.1488 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Peut-on plus de ce prince espérer qu'il ne donne, v.1489 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Puisqu'à notre puissance il soumet sa couronne ? v.1490 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Toutes conditions il baille à notre choix, v.1491 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Pourvu tant seulement qu'on m'accorde pour femme v.1493 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- À lui, qui tient déjà le meilleur de mon âme, v.1494 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Achetant de son tout la chose qu'en pur don v.1495 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- L'on eut dû lui porter jusques dans sa Sidon : v.1496 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Car, si pour s'appuyer les filles on marie, v.1497 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Que lui, qui donne à tous, à nous-mêmes, l'effroi ? v.1499 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Son entregent fait voir qu'il ne manque en aucunes. v.1502 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Fondant son patrimoine au seul droit de la guerre, v.1505 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Qu'épouser un monarque indigne de sa terre. v.1506 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Et puis notre Léonte, à qui sans coup férir v.1507 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Je vais non seulement un royaume acquérir, v.1508 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Mais vaincre, qui plus est, son rude antagoniste, v.1509 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- L'aise m'étouffera si mon coeur ne l'évente ; v.1517 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Mais je n'ai confiance à nulle âme vivante v.1518 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Bien qu'ainsi que ma soeur son lait ne m'ait nourrie, v.1521 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Si m'a-t-elle toujours non moins qu'elle chérie. v.1522 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Aussi m'a mis ès mains mon libéral amant, v.1523 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Et promesse de plus, si par son entremise v.1525 (Acte 4, scène 4, M?LIANE)
- Et, si sa majesté ne se cabre au contraire, v.1529 (Acte 4, scène 4, ALMODICE)
- De résister aux traits dont ton coeur est battu : v.1532 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Belcar est ton vainqueur. Il faut céder, pauvrette. v.1533 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Ne fais plus de la fine, et confesse la dette. v.1534 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Ha ! Bons dieux ! Qu'à mon dam je crains d'avoir appris v.1535 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Quels sont les rets subtils de l'enfant de Cypris ! v.1536 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- J'accuse un innocent, ne songeant point à moi ; v.1540 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Déjà de cruauté j'ai son âme blâmée, v.1541 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Et si tiens son absence à souverain malheur. v.1544 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Je ne puis espérer qu'à ce prince on m'allie, v.1545 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Je sais que mon désir est contre la raison, v.1547 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Est traître à mon honneur et traître à ma maison, v.1548 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Ainsi qu'un clair ruisseau dont le cours élancé, v.1551 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Tout volontairement, par soi-même forcé, v.1552 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Engloutit et son onde et son nom légitime. v.1554 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Donc si fuir la mort n'est pas en mon pouvoir, v.1556 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- J'encourrai le péril où mon instinct me pousse. v.1557 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- La mort selon nature est toujours la plus douce. v.1558 (Acte 4, scène 5, CASSANDRE)
- Evoé Bromien, dieu conquéreur des Indes, v.1563 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Tous les soucis chagrins qui troublaient mon cerveau, v.1565 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- À force de bon vin sont allez à vau-l'eau. v.1566 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Ni le pain ni le vin ne m'ont pas semblé cher, v.1573 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Mais on m'a bien vendu ce que j'ai pris de chair. v.1574 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Pour ne plaindre l'argent qu'on donne aux maquereaux v.1578 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Sentant du premier coup défaillir mon baston. v.1581 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Ma main s'appuie au crin, mes lèvres au téton, v.1582 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Je dis quand le sujet à mon gré se rencontre ; v.1583 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Enfin, j'ai fait passer trente beautés en monstre, v.1584 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Afin de contenter mon charnel appétit v.1585 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Si n'ai-je rien vu là qui mon désir enflamme, v.1587 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- À d'autres pour le soir mon cas était remis, v.1589 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- L'on ne me répond point. Aucun n'est à la porte ; v.1595 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Donc force me sera d'attendre que l'on sorte. v.1596 (Acte 4, scène 6, ZOROTE)
- Voulant prendre un creuset, ne rencontre un lingot. v.1606 (Acte 4, scène 9, TIMADON)
- J'ai fait de mon relief une plate peinture ; v.1607 (Acte 4, scène 9, LE PAGE)
- Assurait son faquin d'un aussi fort plastron, v.1609 (Acte 4, scène 9, LE PAGE)
- Le plus hardi lancier y deviendrait poltron. v.1610 (Acte 4, scène 9, LE PAGE)
- Quittons les bataillons cruels v.1613 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Où rien qu'horreur ne se rencontre, v.1614 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- De notre valeur faire monstre. v.1616 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1617 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Ou l'oreille me corne, ou j'entends quelque son v.1621 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Qui me rompt le sommeil et semble une chanson. v.1622 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Le Page continue à chanter . v.1623 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Cherchons les assauts de Bacchus v.1624 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1628 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Ô le gentil perdreau ! Sans doute on me l'envoie. v.1633 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1638 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- L'argent peut contenter ton premier entonnoir ; v.1642 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Mais le désir de l'autre est hors de mon pouvoir. v.1643 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1648 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Qu'il fait bon mouvoir les linceuls v.1654 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Quand la nappe a fait son service ! v.1655 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Adieu donc, mars, qui te repais v.1656 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Bon, bon ! Sur ce ton-là, la petite friande ! v.1660 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Qui me donne un souper et le gîte chez lui ? v.1663 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Que voici bien mon fait ! Viens, ma mignonne, approche. v.1664 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Vous m'avez le minois, bon homme, de bailler v.1666 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Mon coeur, ne te soucie ; encor trouveras-tu v.1670 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- N'importe, au pis aller, vous avez bonne bourse. v.1673 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Mais cependant, mon père, où ferai-je mon nid ? v.1674 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Tu trouveras chez moi bonne table et bon lit. v.1675 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- D'un bon baston de lit, plus doux que le lit même. v.1677 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- Au reste nous feindrons (entends bien mon dessein) v.1678 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Pour vaincre en son esprit l'humeur mélancolique. v.1681 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Si la folle en dansait, nous ferions un beau coup ! v.1682 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Rien, monsieur. v.1684 (Acte 4, scène 10, LE PAGE)
- En ma maison des champs, où nul oeil ne m'empêche, v.1685 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Nous irons dérober un morceau de bon temps. v.1686 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Entrons. Hé ! Bagoas ! v.1687 (Acte 4, scène 10, ZOROTE)
- Voyez-vous pas mon seau ? v.1690 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Est-ce là ton devoir, quand les servantes chaument ? v.1692 (Acte 4, scène 11, ZOROTE)
- Les folles qu'elles sont me nasardent, m'empaument, v.1693 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Mille niches me font, si je ne prends le faix v.1694 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Quand d'une vous souffrez les maudissons hardis ? v.1699 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- De m'amener ici, mon père, c'est folie, v.1700 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Pensant donner la chasse à la mélancolie. v.1701 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Pandore, il n'y faut plus que ta seule rencontre v.1704 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Pour combler la maison de toute mal-encontre. v.1705 (Acte 4, scène 11, BAGOAS)
- Chapon mal recousu ! Vieil hongre à maigre dos ! v.1710 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Singe au menton pelé ! Tu me sembles dispos. v.1711 (Acte 4, scène 11, LE PAGE)
- Enfin, je suis honteux de mon piteux état : v.1718 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- En ont la récompense aux dépens de nos peines, v.1721 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Combien qu'aux bons effets nous paraissions plus qu'eux. v.1723 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Ces pennaches flottants, ces veaux d'or, ces mignons, v.1726 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Pour être plus au sûr nous nomment compagnons. v.1727 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Qu'au sortir du combat ils nous feront tous riches ; v.1729 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Nos piques nous seront des aulnes à satin. v.1731 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Mais si tôt qu'ils ont vu l'occasion passée, v.1732 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Si nous sommes vainqueurs, l'honneur en est à tous ; v.1734 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Le gain remonte aux chefs, la risque étant finie, v.1736 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- La poule, sans crier, des bons hôtes plumants, v.1738 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Qui le soir de sa monstre à peine aura de quoi v.1742 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Nourrir en sa personne un serviteur de roi. v.1743 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Jamais notre bon temps n'arrive qu'en cachettes, v.1744 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Car notre bien public sont des coups de fourchettes ; v.1745 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- De fatigues sans fin nous portons le fardeau, v.1746 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Nous ayons l'oeil gaillard, l'armure toujours claire, v.1749 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Il est vrai que souvent nous faisons la débauche v.1752 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- S'il dort, c'est d'être las, non d'avoir trop soupé. v.1763 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Je veux devenir riche en quelque bon hasard, v.1766 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Aussi sont-ce badauds, et non pas beaux esprits, v.1770 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Qui sont dans leurs desseins facilement surpris. v.1771 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Qu'ainsi ne soit, le monde est plein de voleries ; v.1772 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Ne vous en fâchez pas, messieurs, ès environs ; v.1774 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Quand j'ai tout regardé, je vois bien des larrons. v.1775 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Au fort, je ne crois pas qu'un bon tireur de laine v.1776 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Nous ne sommes que deux, tirons-nous à l'écart... v.1782 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Je sais bien un bon coup : y veux-tu prendre part ? v.1783 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- De quoi, mon cher ami ? v.1784 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- Ha ! Bon ! Que faut-il faire ? v.1786 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- Tu sais que de long-temps nous sommes ébahis v.1787 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- De voir qu'en liberté le glorieux Léonte v.1788 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Est-ce pas une honte ? v.1789 (Acte 5, scène 1, LA-RUINE)
- Nous n'avons porte ici, casemate, avenues, v.1792 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Que d'un oeil attentif il n'ait bien reconnues, v.1793 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Ce qu'on ne souffre pas à nos meilleurs voisins. v.1795 (Acte 5, scène 1, LA RUINE)
- Or bien, l'occasion se présente certaine v.1796 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Saches que son malheur lui-même cherchera, v.1799 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Là, si nous l'attrapons, le mari de la dame, v.1804 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Avec un bon vaisseau qui nous mettra dehors. v.1807 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Le bon homme cornard, qui Zorote est nommé, v.1810 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Pour ne perdre le temps, j'abrègerai le conte : v.1812 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Un certain escalier, qui vers ma chambre monte, v.1813 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Du fonds de son logis peut entrer et sortir. v.1815 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- De là donc, par hasard, prochain sans être en vue, v.1816 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Dont, et de leurs devis prononcez à voix claire, v.1820 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Qu'il a soudain conclu sa vengeance par nous. v.1823 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Nous serons assez forts, ne t'enquiers pas des autres ; v.1825 (Acte 5, scène 1, LA-DÉBAUCHE)
- Prends ta bonne estocade, un masque sur le nez. v.1826 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Tu toucheras monnaie avant les coups donnés. v.1827 (Acte 5, scène 1, LA D?BAUCHE)
- Laissons, mon cher ami, ce beau prince à son aise, v.1828 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- L'heure de son retour ne vous saurait tromper ; v.1830 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Mais comment as-tu fait ? Conte-le-moi, ma belle ; v.1832 (Acte 5, scène 2, TIMADON)
- Une drachme d'argent nous en a fait raison, v.1834 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Dont en un cabaret voisin de la maison v.1835 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Servira de retraite à ton grand capitaine ; v.1840 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Bref, tout va bien, mon fils, ne t'en mets pas en peine. v.1841 (Acte 5, scène 2, THARSIDE)
- Qu'on me plante à mon su des cornes sur le front, v.1842 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Et que sans m'émouvoir je souffre un tel affront ! v.1843 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Qu'incertain des enfants engendrez en mon lit, v.1850 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Ô ! Que je suis trop fier, et que j'ai tout mon age v.1852 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Tu devais t'adresser, Léonte, à des niais, v.1854 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Poltrons ou gens de peu ; moi, je suis trop mauvais, v.1855 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Et proteste Junon, de tels torts coutumière, v.1856 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Sur le pas de mon huis te prendre à l'avantage. v.1861 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Et ceux qui n'en ont point m'aimeraient mieux aider v.1867 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- À labourer mon champ, m'y prêtant leur semence, v.1868 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Qu'à sarcler un chardon qui de naître y commence. v.1869 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- J'ai donc tout mon refuge à mes deniers contant. v.1870 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Moyennant cette drogue on fait tout en ce temps. v.1871 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- De six coupe-jarrets allongeurs d'estocade, v.1873 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Qui ne pourront faillir d'attraper au sortir, v.1874 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Sous l'aile de la nuit, ce beau mignon de Tyr. v.1875 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- (si mort en pleine rue à telle heure on le trouve) v.1877 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Quels seront les auteurs d'un meurtre si tôt fait ? v.1878 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- D'où pourront provenir sa cause et son effet ? v.1879 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Pour moi, je suis bien sûr, sans crainte qu'on m'impute v.1880 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- La ruine d'un mur qui mon parterre enferme. v.1885 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Font la prise facile à mes veneurs rusés. v.1887 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Léonte, c'en est fait, tout prince que vous êtes, v.1888 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Vous servirez d'exemple aux ribleurs deshonnêtes, v.1889 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Nous trouverons après quelque autre nouveau coup v.1890 (Acte 5, scène 3, ZOROTE)
- Chers joyaux, dont la nuit pare son voile sombre v.1896 (Acte 5, scène 4, LÉONTE)
- Puis qu'elle a tel rapport à celle de mon âme ! v.1901 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- (mais toujours sans repos) : ainsi fait mon amour. v.1903 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- Vous êtes tous ardents et n'échauffez personne : v.1904 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- Ainsi brûle mon coeur en mon corps qui frissonne. v.1905 (Acte 5, scène 4, L?ONTE)
- C'est lui-même, avançons. Que chacun s'évertue ! v.1908 (Acte 5, scène 4, LA-RUINE)
- Quelles gens sont-ce là ? Qui va là ? v.1909 (Acte 5, scène 4, LÉONTE)
- Çà, çà, pendards, à moi ! Que je vende mon sang. v.1911 (Acte 5, scène 4, LÉONTE)
- Monsieur, pardonnez-moi ! v.1913 (Acte 5, scène 4, LA-DÉBAUCHE)
- D'où procède ce bruit ? Je n'y puis rien connaître. v.1916 (Acte 5, scène 5, TIMADON)
- À moi, mon Timadon ! v.1917 (Acte 5, scène 5, LÉONTE)
- Êtes-vous là, mon maître ? v.1917 (Acte 5, scène 5, TIMADON)
- On assassine un prince, et le souffrirez vous ? v.1919 (Acte 5, scène 5, TIMADON)
- Les plus mauvais sont morts. Que le reste s'enfuie ! v.1920 (Acte 5, scène 5, LÉONTE)
- Mon Timadon, viens vite ! Il faut que je m'appuie ! v.1921 (Acte 5, scène 5, L?ONTE)
- Que ferai-je ! Ô bons dieux ! v.1922 (Acte 5, scène 5, TIMADON)
- Moi, je meurs volontiers, puisque je suis vainqueur. v.1923 (Acte 5, scène 5, LÉONTE)
- Entrons dans ce logis. v.1924 (Acte 5, scène 5, L?ONTE)
- Page, va dire au roi mon accident funeste. v.1925 (Acte 5, scène 5, LÉONTE)
- En voilà deux contents, bien payez de leurs gages ! v.1928 (Acte 5, scène 6, ARCHERS)
- Voyons, éclairez-moi... je connais ces visages, v.1929 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Mais ils ne diront pas où sont leurs compagnons. v.1930 (Acte 5, scène 6, LE PREVOT)
- Monsieur, en voici l'un que nous vous amenons. v.1931 (Acte 5, scène 6, ARCHERS)
- Un soldat tel que moi n'est pas de ton gibier. v.1934 (Acte 5, scène 6, SOLDAT)
- Vous êtes des pigeons de notre colombier. v.1935 (Acte 5, scène 6, ARCHERS)
- Venez çà, mon ami. v.1938 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Dites-moi donc comment d'ordinaire on vous nomme. v.1940 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- Pourquoi fuyez-vous donc ? v.1949 (Acte 5, scène 6, ARCHERS)
- Si j'eusse eu mon épée v.1949 (Acte 5, scène 6, SOLDAT)
- Nous en dirons deux mots. Cheminons cependant. v.1951 (Acte 5, scène 6, LE-PREVOT)
- À ce dernier effort que mon malheur me livre ! v.1953 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Son maître n'a de soi que tout mauvais présage. v.1957 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Quel est son plus grand coup ? v.1958 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Mais il monte plus haut, car il crache le sang. v.1959 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Sire, Léonte est mort. v.1960 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Ah ! Que l'on me soutienne ! v.1960 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Forcez-vous, mon bon roi, que ce coeur vous revienne, v.1961 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Mais sans un bon traité ne vous laissez pas prendre. v.1965 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- La vie et l'honneur saufs, tout le reste soumis. v.1967 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Et l'honneur ne craint pas qu'un voleur le détrousse. v.1969 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Conte-nous cette mort. v.1972 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ses paroles n'ont point démenti sa vaillance. v.1973 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Marquait son écuyer d'une même couleur, v.1975 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- « Mon Timadon, dit-il, ne sois point si dolent ; v.1978 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Vois que moi-même seul je me vais consolent ; v.1979 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Va porter prudemment mes adieux à mon père ; v.1981 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- À mon esprit content ne laisse aucun regret, v.1983 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Sinon le seul penser de sa plainte future. v.1984 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- On a vu peu à peu ses membres s'assoupir. v.1991 (Acte 5, scène 7, SOLDAT)
- Ô comble douloureux de mes longues misères ! v.1992 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ô jeune homme imprudent ! Prince inconsidéré ! v.1994 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Avec quelle raison ni couleur de justice ? v.1997 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Un roi dont la justice est jointe aux intérêts v.1998 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- De son simple vouloir colore ses arrêts. v.1999 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Cet acte à tout le monde offenserait l'oreille. v.2000 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Cet acte, à son avis, me rendrait la pareille. v.2001 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Il aime trop l'honneur pour en user ainsi. v.2002 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Pour absoudre mon fils, il le hait trop aussi. v.2003 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- On ne peut contre lui nul prétexte produire. v.2004 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Le ciel tient le courroux des monarques en bride. v.2008 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Les tyrans vont toujours où le courroux les guide. v.2009 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Donc, ô dieu souverain, modèle des bons rois, v.2010 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Des grands et des petits, des bons et des mauvais ; v.2015 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Si depuis mon printemps j'ai choisi mon entrée v.2016 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Au vrai temple d'honneur par la porte d'Astrée ; v.2017 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- N'a quitté tant soit peu mon progrès de grandeur. v.2019 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Si j'ai le coeur sans fiel, et si la convoitise v.2020 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ô libéral donneur, donne-moi de ce pas, v.2022 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ne concède une fois à toute créature. v.2025 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- J'ai dressé contre lui ce tour de cruauté, v.2027 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Prendre son lieu fatal pour le rendre animé, v.2031 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Je veux, non que ton bras d'une flamme tranchante v.2032 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Les vipères, les fouets, les ondes reculantes, v.2037 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Les vautours, les rochers et le tour d'Ixion v.2038 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Soient employez ensemble à ma punition ; v.2039 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Ou (puisque voir le jour est mon plus grand martyre) v.2040 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Que je sois pour jamais privé de mon empire, v.2041 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Vagabond, fugitif, de chacun détesté, v.2042 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Que l'air m'ôte son souffle et le feu sa splendeur, v.2046 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- L'eau son humidité, la terre sa verdeur ; v.2047 (Acte 5, scène 7, ABDOLOMIN)
- Sire, espérez en mieux ; nous avons tout loisir, v.2050 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Si par prévention notre âme appréhensive v.2052 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Nous serions sans repos et toujours en suspens ; v.2054 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Nous verrions mille maux près de nous se campant ; v.2055 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Nos plus beaux jours, troublez de cette connaissance, v.2056 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
- Selon leurs maux passez méprisent les futurs, v.2059 (Acte 5, scène 7, BALORTE)
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Dans les 1919 textes du corpus, il y a 1 textes (soit une présence dans 0,05 % des textes) dans lesquels il y a 2147 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 2 147,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 5 | Acte 4 | Total |
1 | TYR et SYDON | 255 | 220 | 228 | 477 | 0 | 1180 |
2 | TYR et SYDON | 229 | 157 | 201 | 168 | 212 | 967 |
Total | 484 | 377 | 429 | 645 | 212 | 2147 |