Occurences de l'expression
Se
pour REGNARD, Jean-Francois
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
LA SÉRÉNADE (1694)
- Cependant, Marine, dis-lui que j'ai vendu un collier à la personne qui doit épouser mademoiselle sa fille. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
- Un courtier d'usure, comme vous, ne doit s'intriguer que d'affaires de contrebande, et laisser les honnêtes filles en repos. (Acte 1, scène 1, MARINE)
- À dieu ne plaise, ma pauvre Marine, qu'on voie jamais aucun vrai mariage de ma façon ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
- Une fille est une marchandise qu'on ne saurait garantir, et l'on n'en a pas plus tôt fait l'emplète qu'on voudrait en être défait à moitié de perte. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
- Oui, mais ceux qui font des mariages ne s'embarrassent guère du succès ; et quand ils ont reçu leur pot-de-vin, et que le poisson est dans la nasse, sauve qui peut. (Acte 1, scène 1, MARINE)
- Vous connaissez du moins l'homme qu'on lui destine, puisque vous lui avez vendu un collier ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
- Oui, pour des ladres comme vous, qui ne connaissent d'autre bonheur que celui d'amasser du bien, et de faire travailler leur argent à gros et très gros intérêt : mais pour une jeune personne comme Léonor, qui cherche à passer ses jours dans le plaisir, vous trouverez bon, s'il vous plaît, vous et madame sa mère, qu'elle préfère l'agréable à l'utile ; et que moi, de mon côté, je fasse tout mon possible pour rompre un mariage aussi biscornu que celui-là. (Acte 1, scène 1, MARINE)
- Ma pauvre enfant, romps, casse, brise le mariage en mille pièces, je m'en soucie comme de cela. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
- Je t'aiderai même, en cas de besoin, pourvu que tu me fasses payer de mes peines un peu grassement. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
- Un peu grassement ! (Acte 1, scène 1, MARINE)
- Mort de ma vie, n'êtes-vous pas déjà assez gras ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
- Marine est toujours railleuse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
- Mais je ne songe pas que mon homme m'attend : il veut donner tantôt une sérénade à sa maîtresse. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
- Musiciens et filles de chambre ont volontiers commerce ensemble ; n'y en a-t-il point quelqu'un de tes amis à qui tu voulusses faire gagner cet argent-là ? (Acte 1, scène 1, MONSIEUR MATHIEU)
- Ce mariage te met de mauvaise humeur. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-MATHIEU)
- Je prie le ciel qu'il te conduise, et que tu te puisses casser le cou. (Acte 1, scène 2, MARINE)
- Il n'y aurait pas grand mal quand tous ces maquignons de mariages-là seraient au fond de la rivière avec une bonne pierre au cou. (Acte 1, scène 2, MARINE)
- J'ai une lettre à lui rendre de la part de sa maîtresse. (Acte 1, scène 2, MARINE)
- Comment se porte ta maîtresse ? (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Il y a toujours quelque chose à refaire aux filles. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- il se porterait assez bien, s'il avait un peu plus d'argent. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Tel que tu me vois, je sers mon maître sans gages, et incognito. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Tu fais souvent mauvaise chère. (Acte 1, scène 3, MARINE)
- Assez. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Cela n'empêche pas que je ne nourrisse quelquefois mon maître quand il est mal avec son père. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Vous plairait-il seulement, ô beauté léoparde ! (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Va, va, quand je serai morte, je me tairai assez. (Acte 1, scène 3, MARINE)
- Tu sauras pourtant, malgré que tu en aies, que ma maîtresse se marie aujourd'hui avec un homme qu'elle n'a jamais vu ; que sa mère a terminé l'affaire ; qu'elle prie Valère... que la peste te crève ! (Acte 1, scène 3, MARINE)
- Tu auras menti, et il ne sera pas dit que tu me feras entendre malgré moi. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Je ne veux rien savoir ; laisse-moi en repos ; garde tes nouvelles pour un autre. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Le diable puisse t'étrangler. (Acte 1, scène 3, SCAPIN)
- Par ma foi, c'est une charmante chose qu'une femme ! (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
- Voilà une des plus raisonnables que je connaisse. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
- Mais je m'amuse ici, et je dois aller promptement porter cette lettre à mon maître ; car il est diablement amoureux. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
- Qui dit amoureux, dit impatient ; et qui dit impatient, suppose un homme qui a plus tôt donné un coup de pied au cul que le bonjour. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
- Et Marine ne t'a point dit la cause de son refroidissement ? (Acte 1, scène 5, VALERE)
- Elle m'a seulement donné une petite lettre qui vous expliquera peut-être mieux la chose. (Acte 1, scène 5, VALERE)
- " Si vous m'aimez autant que je vous aime, nous sommes les plus malheureuses personnes du monde. (Acte 1, scène 5, VALERE)
- Et je me laisserai enlever Léonor ! (Acte 1, scène 5, VALERE)
- Monsieur, le ciel m'a donné des talents merveilleux pour faire des mariages ; et je puis dire, sans vanité, qu'il n'y a guère de jour qu'il ne m'en passe quelqu'un par les mains. J'en ai même ébauché plus de mille en ma vie qui n'ont jamais été achevés ; mais j'aime trop la propagation de l'espèce, pour avoir le courage d'en rompre aucun. (Acte 1, scène 5, SCAPIN)
- Il serait mal adressé. écoutons. (Acte 1, scène 6, SCAPIN)
- Passez tantôt chez moi, ou envoyez-y quelqu'un de votre part, avec un billet de votre main ; cela suffira : c'est de l'argent comptant, Monsieur Mathieu. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-GRIFON)
- Je n'en suis point en peine, et je vous laisse le collier, Monsieur Grifon. (Acte 1, scène 6, MONSIEUR-MATHIEU)
- Mauvaise connaissance qu'un musicien de l'opéra ! (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
- De quoi diantre vous avisez-vous de me faire musicien ? (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- J'aimerais mieux être toute autre chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Mon fils, j'ai une nouvelle à vous apprendre ; la présence du musicien ne gâtera rien, et peut-être pourra-t-il nous être utile. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
- Je ne puis que vous louer, monsieur, de former une entreprise si hardie. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Vous avez eu le bonheur d'enterrer une première femme, vous hasardez d'en prendre une seconde ; le péril ne vous rebute point : cela est fier, cela est grand, cela est héroïque ; et, pour ma part, je n'ai garde de manquer d'applaudir à une résolution aussi généreuse que la vôtre. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Oui, monsieur, que monsieur votre père vous donne seulement une belle-mère bien faite, belle, jeune, et laissez-le faire ; vous serez ravi qu'il se soit remarié, sur ma parole. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Je suis sûr qu'il en sera content. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
- Ce que je voudrais de vous maintenant, monsieur de l'opéra, ce serait que vous m'aidassiez à donner une petite sérénade à ma maîtresse. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR GRIFON)
- Vous ne pouvez mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Musique italienne, française ; je suis un homme à deux mains. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Je ménagerai votre bourse ; ne vous mettez pas en peine. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Il ne nous faudra que trente-six violons, vingt hautbois, douze basses, six trompettes, vingt-quatre tambours, cinq orgues, et un flageolet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Pour les voix, nous prendrons seulement douze basses, huit concordants, six basses-tailles, autant de quintes, quatre hautes-contre, huit faussets, et douze dessus, moitié entiers et moitié hongres. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Il ne faut pas moins de voix pour accompagner tous les instruments. Laissez-nous faire. Je veux qu'il y ait dans cette musique-là une espèce de petit charivari qui conviendra merveilleusement bien au sujet. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- On doit m'amener ma maîtresse ; je suis bien aise que vous la voyiez, et que vous m'en disiez votre sentiment l'un et l'autre. (Acte 1, scène 7, MONSIEUR-GRIFON)
- Prenez-la belle et jeune, au moins, surtout d'humeur complaisante ; tous vos amis vous conseilleront la même chose. (Acte 1, scène 7, SCAPIN)
- Qu'avez-vous donc, mademoiselle ? (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- Je suis ravie, ma fille, de vous voir des sentiments raisonnables, et j'ai toujours bien jugé que vous ne voudriez pas me désobéir. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- J'aimerais mieux mourir que de faire quelque chose qui vous déplût. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Tout ce que j'ai à me reprocher, madame, c'est que mon obéissance ait si peu de mérite en cette occasion ; et les choses sont dans un état à me permettre d'avouer, sans honte, que votre choix et mon inclination ont un parfait rapport ensemble. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Est-ce à moi de parler comme je fais, quand vous êtes si peu sensible, Valère, aux bontés que ma mère a pour nous ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Oui, monsieur ; mademoiselle est fille, monsieur est garçon ; elle est aimable, il est joli homme ; ils ont fait connaissance, ils s'aiment, ils sont dans le goût de s'épouser : y a-t-il rien là que de fort naturel ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
- À l'âge que j'ai, ma mère, vous voudriez me faire épouser un homme comme monsieur ? (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- À l'âge que vous avez, mon père, vous voudriez vous marier à une fille comme mademoiselle ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
- En vérité, ma mère, vous êtes trop raisonnable pour exiger de moi une chose aussi éloignée de bon sens. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Sérieusement parlant, mon père, vous n'êtes point d'âge encore à radoter. (Acte 1, scène 1, VALERE)
- Avec votre permission, mon père, cela ne sera pas, je vous assure. (Acte 1, scène 1, VALERE)
- Cela ne sera pas ! (Acte 1, scène 1, MONSIEUR-GRIFON)
- Que dirait-on dans le monde, si, en ma présence, je vous laissais faire une action aussi extravagante que celle-là ? (Acte 1, scène 1, VALERE)
- Quand il serait mon père cent fois plus qu'il ne l'est encore, je ne souffrirai point que l'amour lui fasse tourner la cervelle jusqu'à ce point-là. (Acte 1, scène 1, VALERE)
- Cela n'est rien ; j'ai bien des excuses à vous faire pour ma fille, monsieur. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- Mais aussi pourquoi vous exposer à vous marier, sans savoir si monsieur votre fils le voudra bien ? (Acte 1, scène 1, MARINE)
- Et moi, je vous réponds de cette petite impertinente-là ; elle vous épousera, ou je la mettrai dans un lieu d'où elle ne sortira de long-temps. (Acte 1, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- J'y demeurerai plutôt toute ma vie que d'épouser un homme que je n'aime point. (Acte 1, scène 1, LÉONOR)
- Ne vous mettez pas en peine ; je saurai la réduire ; elle sera votre femme aujourd'hui, ou vous mourrez de mort subite. (Acte 1, scène 9, MADAME-ARGANTE)
- Voilà à quoi vous m'exposez, monsieur le coquin. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-GRIFON)
- Laisse-moi faire, je veux l'épouser à ta barbe ; je m'en vais dépenser tout mon bien pour m'en faire aimer ; je lui donnerai des présents, des bijoux, des maisons, des contrats, des cadeaux, des festins, des sérénades ; des sérénades, monsieur le musicien ; et je lui ferai des enfants pour te faire enrager. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR GRIFON)
- Doucement, monsieur ; nous abaisserons ses fumées d'amour. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
- Il ne la tient pas encore. J'ai pris le soin d'une sérénade ; il vient de négocier un certain collier : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
- Laissez-moi un peu rêver tout seul. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
- J'ai ma sérénade en tête ; si je pouvais avoir seulement de quoi payer les musiciens dont je me veux servir... (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
- J'ai besoin de me recueillir, vous dis-je ; laissez-moi en repos, et allez fortifier Léonor dans le dessein de ne point épouser votre père. (Acte 1, scène 11, SCAPIN)
- On s'accoquine à servir ces gredins-là, je ne sais pourquoi ; ils ne paient point de gages, ils querellent, ils rossent quelquefois ; on a plus d'esprit qu'eux, on les fait vivre, il faut avoir la peine d'inventer mille fourberies, dont ils ne sont tout au plus que de moitié ; et avec tout cela nous sommes les valets, et ils sont les maîtres. (Acte 1, scène 12, SCAPIN)
- Et que fais-tu à présent ? (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
- La justice aujourd'hui a l'esprit si mal tourné ; il n'y a plus rien à faire dans le commerce : elle prend toujours les choses du mauvais côté. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
- Ma foi, il n'y a plus que ce métier-là pour faire quelque chose ; il n'y a rien de tel, quand on a de l'argent, que d'en aider des particuliers dans leurs nécessités pressantes. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
- Je me suis associé d'un fort honnête homme, qui est, je pense, lui associé d'un autre fort honnête homme chez qui il m'envoie prendre deux mille huit cents livres. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
- Serions-nous assez heureux !... (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
- Cela serait admirable. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
- Nous demeurons ensemble ; il me loge fort haut, me meuble modestement, m'habille chaudement pour l'été, fraîchement pour l'hiver, me nourrit sobrement, ne me donne point de gages ; mais ce que je prends c'est pour moi. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
- De tout mon coeur : je ne refuse point des parties d'honneur. (Acte 1, scène 13, CHAMPAGNE)
- Voilà un homme à qui j'ai affaire, mais ce ne sera que pour un moment. (Acte 1, scène 13, SCAPIN)
- Voilà un fripon que je friponnerai, sur ma parole, si je puis seulement attraper le billet. (Acte 1, scène 14, SCAPIN)
- Je vous dis, monsieur, que vous aurez plus de peine que vous ne pensez à réduire cet esprit-là. (Acte 1, scène 15, MARINE)
- Monsieur, je vous cherchais pour vous dire que dans peu votre sérénade sera en état. (Acte 1, scène 15, SCAPIN)
- Voilà ma maison, et voilà celle de ma maîtresse. (Acte 1, scène 15, MONSIEUR-GRIFON)
- Tant mieux ; cela est fort commode pour mon dessein. (Acte 1, scène 15, SCAPIN)
- Oui, monsieur, pour vous faire des excuses de ce qui s'est passé à votre entrevue. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Elle revient à elle, j'en suis bien aise. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
- Elle est au désespoir de n'avoir pu se contraindre devant madame sa mère : mais elle dit qu'elle vous hait trop pour se faire la moindre violence. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Je n'ai que faire de ces excuses-là. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
- Elle m'a aussi chargée de vous prier de ne point presser madame sa mère sur votre mariage, et de lui donner du temps pour s'accoutumer à une figure aussi extraordinaire que la vôtre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Je vous demande pardon, monsieur ; je vous respecte trop pour vous rien dire de mon chef qui vous déplaise. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Ce sont les sentiments de ma maîtresse que je vous explique le plus clairement et le plus succinctement qu'il m'est possible. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Je ne veux point savoir ses sentiments, tant qu'elle en aura d'aussi ridicules. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
- Il ne tiendra pas à moi qu'elle ne change ; et, quelque aversion qu'elle ait pour vous, elle ne laissera pas de vous épouser si elle m'en veut croire. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Vous ne seriez pas le premier magot qui aurait épousé une jolie fille. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Malgré tout ce qu'elle me dit, je ne veux point me fâcher ; elle peut me rendre service. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
- Je suis assez franche, comme vous voyez. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- C'est ce qui me semble. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR-GRIFON)
- Je veux être de tes amis ; et, si le mariage se fait, ne te mets pas en peine. (Acte 1, scène 16, MONSIEUR GRIFON)
- Dis-moi un peu, en confidence, quelle sorte de caractère est-ce que Léonor, et que faudrait-il que je fisse pour lui plaire ? (Acte 1, scène 16, MONSIEUR GRIFON)
- C'est, monsieur, que, quand elle s'est mis quelque chose en tête, et qu'on s'avise de la contredire, elle crie, elle peste, elle jure, elle bat, elle mord, elle égratigne, elle estropie même en cas de besoin ; mais, dans le fond, c'est une bonne enfant. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Elle a du goût pour toutes les belles manières ; elle vend, pour jouer, tout ce qu'elle a ; elle met ses nippes en gage pour aller à l'opéra et à la comédie ; elle court le bal sept fois la semaine seulement ; elle fesse son vin de Champagne à merveille, et sur la fin du repas elle devient fort tendre. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Dans ce siècle-ci, quand un mari laisse faire à sa femme tout ce qu'elle veut, c'est un homme adorable ; on ne peut pas lui demander autre chose. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Commencez donc par ne point trop presser les affaires. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Je vais lui proposer vos conventions ; et comme il n'y a rien dans ces articles-là qui répugne à la coutume, je ne doute point qu'elle ne les accepte. (Acte 1, scène 16, MARINE)
- Cette fille-là a quelque chose de bon dans ses manières. (Acte 1, scène 17, MONSIEUR-GRIFON)
- Ne pourriez-vous point, monsieur, me faire le plaisir et l'honneur de m'enseigner le logis de Monsieur Grifon ? (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
- Avoir l'avantage de lui rendre un petit billet que Monsieur Mathieu m'a fait l'honneur de me donner, afin que ledit Sieur Grifon me fasse la grace de me compter deux mille huit cents livres, restant à payer pour un collier que ledit Sieur Grifon a acheté dudit Sieur Mathieu. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
- Le voilà, monsieur ; je ne viens qu'à bonnes enseignes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
- C'est une gloire que je ne mérite pas, monsieur : je suis seulement son compère, Isaac-Jérôme-Boisme Rousselet, maître marchand fripier ordinaire privilégié suivant la Cour : si l'on peut vous y rendre quelque service, vous n'avez qu'à disposer de votre petit serviteur. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
- J'ai des amis en ce pays-là : mon frère est apprenti partisan chez le commis du secrétaire de l'intendant d'un homme d'affaires, et mon oncle est le sous-portier de l'hôtel des fermes. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
- J'abuse de votre loisir, monsieur, mais ce n'est pas ma faute ; avec deux mille huit cents livres, vous serez débarrassé de mes importunités, et je prendrai congé de vous quand il vous plaira. (Acte 1, scène 18, SCAPIN)
- Mais voici mon maître avec sa maîtresse : il ne me reconnaîtra pas. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
- Charmante Léonor, que vous devez me paraître adorable avec de pareils sentiments ! (Acte 1, scène 20, VALERE)
- Et où veux-tu que je les cherche à présent ? (Acte 1, scène 20, VALERE)
- Monsieur, je suis à votre service. (Acte 1, scène 20, MARINE)
- Mais serais-tu fille à travailler de nuit ? (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
- Bon, bon ; il ne me faut pas de plus vaillants champions pour mon dessein. (Acte 1, scène 20, SCAPIN)
- Il y a deux cents louis neufs dans cette bourse, voyons si je ne me suis point trompé. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR-GRIFON)
- Serviteur. (Acte 1, scène 21, MONSIEUR-GRIFON)
- Monsieur Mathieu ne laisse point moisir l'argent entre les mains de ceux qui lui doivent. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR-GRIFON)
- Moi, qui n'ai jamais rien aimé, je m'avise de devenir amoureux à mon âge. (Acte 1, scène 22, MONSIEUR GRIFON)
- J'entends quelqu'un qui chante : serait-ce lui ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
- Par la sembleu, je suis bien nourri. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Ce Monsieur Scapin fait bien les choses, oui. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Passez votre chemin, mon ami. (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
- Que je passe mon chemin ? (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Ne serait-ce point quelque émissaire de mon coquin de fils, qui viendrait ici pour troubler la fête ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
- Holà, l'ami, qui parlez tout seul, suis-je loin de chez moi, par parenthèse ? (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Palsembleu, si je le savais, je ne le demanderais pas. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Je suis pourtant venu pour quelque chose. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Monsieur Grifon, le connaissez-vous ? (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Justement, un fripon, un vilain, un fesse-mathieu. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- À qui penses-tu parler ? (Acte 1, scène 23, MONSIEUR-GRIFON)
- Comme Monsieur Mathieu est un vilain, je ne gagne pas grand'chose ; mais je suis sobre. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- J'étais de sang froid quand je l'ai perdu, je le retrouverai quand je serai de sang froid, cela est infaillible. (Acte 1, scène 23, CHAMPAGNE)
- Monsieur mon fils choisit mal ses gens. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR-GRIFON)
- Quelque nuit qu'il fasse, je connais les fourbes d'une lieue. (Acte 1, scène 24, MONSIEUR GRIFON)
- Il faut vous servir à la française. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
- Amis, tenez-vous tous prêts ; la bête est dans nos filets. Lorsqu'un vieux fou s'échappe d'être amoureux sur ses vieux ans, il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
- Vive la jeunesse ! v.3 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
- De la tendresse. v.6 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
- Fuyez d'ici, sombre vieillesse, v.7 (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
- Il faut qu'il mette la nappe, et qu'on boive à ses dépens. (Acte 1, scène 26, CHOEUR)
- Se mit dans la cervelle v.11 (Acte 1, scène 26, UNE-MUSICIENNE)
- D'épouser une hirondelle v.12 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
- Il pria les oiseaux de chanter à la fête : v.15 (Acte 1, scène 26, UNE MUSICIENNE)
- Ils fouillent dans mes poches, monsieur le musicien, et prennent ma bourse. (Acte 1, scène 26, MONSIEUR-GRIFON)
- Ils fouillent aussi dans les miennes, mais il n'y a rien ; ils seront bien attrapés. (Acte 1, scène 26, SCAPIN)
- Si vous voulez consentir que j'épouse Léonor, je vous montrerai votre collier. (Acte 1, scène 27, VALERE)
- Je te promets que, si je le retrouve, je consens à tout. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
- Quand une fille se marie, elle a besoin d'un collier. (Acte 1, scène 27, VALERE)
- Je vous prie, mademoiselle, de l'accepter pour l'amour de moi. (Acte 1, scène 27, VALERE)
- Vous voulez bien, monsieur, que je vous fasse aussi mes petites excuses, et que je vous dise que le borgne à qui vous avez tantôt donné deux cents louis, c'était moi ; que je ne suis qu'une façon de musicien. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
- Non je ne veux jamais entendre parler, ni de fils, ni de maîtresse, ni d'amour, ni de mariage, et je vous donne à tous les diables. (Acte 1, scène 27, MONSIEUR-GRIFON)
- Tant mieux : voilà peut-être la première chose qu'il ait donnée de sa vie. (Acte 1, scène 27, MARINE)
- Malgré toute ma ressource, gardez-vous d'un sexe enchanteur : non content de prendre le coeur, il en veut encore à la bourse. (Acte 1, scène 27, SCAPIN)
LE JOUEUR (1692)
- Que servir un joueur est un maudit métier ! v.3 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
- Ne serai-je jamais laquais d'un sous-fermier ? v.4 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
- Je ronflerais mon soûl la grasse matinée, v.5 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
- Je serais dans la suite un conseiller du roi, v.8 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
- J'aurais un bon carrosse à ressorts bien liants ; v.11 (Acte 1, scène 1, HECTOR)
- Quand se lèvera-t-il ? v.25 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Mais, avant qu'il se lève, v.25 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Il faudra qu'il se couche ; et franchement... v.26 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Ou bien réduit à sec, d'une âme familière, v.33 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Des serments les plus forts appuyant sa tendresse, v.37 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Tu sais qu'il a cent fois promis à ma maîtresse v.38 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Et quand cela serait, n'aurais-je pas raison ? v.43 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Angélique, entre nous, serait extravagante v.45 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- L'amour se plaît un peu dans le dérèglement. v.48 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Qui ne sut de ses jours ce que c'est que le jeu. v.51 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Qui n'ont, pour imposer, qu'un grand air débraillé, v.55 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Un haut-de-chausse bas prêt à tomber sous eux ; v.60 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- C'est le goût d'à présent ; tes cris sont superflus, v.63 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Je ne souffrirai pas qu'on trompe ma maîtresse, v.65 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Et qu'on profite ainsi d'une tendre faiblesse ; v.66 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Qu'elle épouse un joueur, un petit brelandier, v.67 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Ton sermon me paraît un tant soit peu brutal. v.72 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Ta maîtresse est coiffée. v.74 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Dorante, par mes soins, l'épousera. v.77 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Quand l'amour veut parler, la raison doit se taire, v.82 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Son amour peut passer pour fièvre intermittente ; v.86 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Oui, c'est la passion qui seule le dévore : v.89 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Et ta maîtresse, encor hier, promit à Valère, v.94 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Et Dorante en sera possesseur aujourd'hui. v.100 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Est-ce de même, dis ? Ma maîtresse Angélique, v.106 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Valère a déserté la maison paternelle, v.109 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Nous y serions encore, à ne t'en point mentir. v.112 (Acte 1, scène 2, HECTOR)
- Quoi qu'il en soit, enfin, je ne t'abuse pas, v.115 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Dire ce que je vois, avertir ma maîtresse v.117 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Que Valère toujours est faux dans sa promesse ; v.118 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Qu'il ne sera jamais digne de ses amours ; v.119 (Acte 1, scène 2, N?RINE)
- Il jure entre ses dents. v.131 (Acte 1, scène 4, HECTOR)
- Et n'ai pas, grâce au ciel, un écu dans ma bourse. v.146 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
- Il est, selon l'usage, v.153 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Qu'on vend cher maintenant l'argent à la jeunesse ! v.161 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Mais enfin, j'ai tant fait, avec un peu d'adresse, v.162 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Hector, mon cher Hector, viens çà que je t'embrasse. v.166 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Qui le refuserait serait bien difficile : v.169 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Mais y penses-tu bien ? v.175 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Vous vous ajusterez ensemble en quatre mots. v.183 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Et quand l'argent renaît, votre tendresse expire. v.189 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Votre bourse est, Monsieur, puisqu'il faut vous le dire, v.190 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Me fasse abandonner cette aimable personne. v.194 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Que vous jouez toujours, malgré tous vos serments, v.199 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Et qu'elle abjure enfin ses tendres sentiments. v.200 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Bon ! Cela ne se peut ; on t'a voulu surprendre. v.202 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Vous êtes assez riche en bonne opinion, v.203 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Je prends le parti... mais cela ne se peut pas. v.208 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Si cela se pouvait, qu'une passion neuve ?... v.209 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- la Comtesse sa soeur. v.211 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Ce dessein me plaît fort. v.211 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Cette veuve, je crois, ne serait point cruelle ; v.214 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Ce serait une éponge à presser au besoin. v.215 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Et qui veut épouser ; c'est là sa passion. v.220 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Épouser ? v.221 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Grand épouseur aussi, la galope et la flaire. v.222 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Qui croit de ses appas les femmes tributaires ; v.226 (Acte 1, scène 6, HECTOR)
- Excusez-moi, Monsieur, je ne puis m'arrêter. v.232 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
- Qui sont, pour la jeunesse, autant de trébuchets. v.240 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- J'aime les jeux galants où l'esprit se déploie. v.245 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
- Non, à présent le jeu n'est que fureur : v.247 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Risque plus volontiers, et perd plus sans se plaindre. v.250 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
- Dans leurs dérèglements ressemblent à la lune, v.258 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
- Se couchant le matin, et se levant le soir. v.259 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
- Vous me poussez à bout ; mais je vous ferai voir v.260 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Je saurai me servir de mon pouvoir de père, v.262 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
- Et que de mon courroux vous sentirez l'effet. v.263 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
- Serez-vous bientôt las d'une telle conduite ? v.269 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Et je serai ravi de le voir confondu. v.283 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Maîtresse de son choix. Avec ce bon dessein, v.287 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Et pour vous faire voir quels sont mes bons desseins, v.299 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
- Vous ne regretterez nullement la dépense ; v.305 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
- Et nous ferons, Monsieur, la chose en conscience. v.306 (Acte 1, scène 7, HECTOR)
- Que sur mes sentiments votre âme se repose. v.309 (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
- Je vais voir Angélique ; et mon coeur se propose v.310 (Acte 1, scène 7, VAL?RE)
- Non, quand ce ne serait que pour le contredire, v.317 (Acte 1, scène 9, GÉRONTE)
- Je suis, pour vous servir, gentilhomme auvergnac, v.323 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Mon nom est Toutabas, Vicomte de La Case, v.325 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Et votre serviteur, pour terminer ma phrase. v.326 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Et l'on ne vous a pas fait présent, en galère, v.329 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- On ne peut de mon art assez faire de cas ; v.332 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Monsieur le professeur, avec raisons, v.335 (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- De quoi sert, je vous prie, une foule inutile v.337 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- De chanteurs, de danseurs, qui montrent par la ville ? v.338 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Chanter ré mi fa sol, ou danser un menuet ? v.340 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Dans mon art au plus tôt se fasse initier ? v.344 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Qu'il apprenne un métier qui, par de sûrs secrets, v.347 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- En le divertissant, l'enrichisse à jamais ? v.348 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Le jeu fait vivre à l'aise v.349 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Nombre d'honnêtes gens, fiacres, porteurs de chaise ; v.350 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Des chevaliers sans ordre ; et tant de demoiselles v.354 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Et dont tous les hivers la cuisine se fonde v.357 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Glisser des dés heureux, ou chargés, ou pipés ; v.368 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Je reviendrai demain pour la seconde fois. v.387 (Acte 1, scène 10, TOUTABAS)
- Je ne puis respirer, et j'en mourrai, je pense. v.390 (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Heureusement mon fils n'a point vu ce fripon : v.391 (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
- Mon coeur serait bien lâche, après tant de serments, v.395 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
- Je sens la liberté de retour dans mon coeur. v.399 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
- Rappeler à mes sens son air et son esprit ; v.404 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais il se garde bien d'en déloger si vite. v.414 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Que vous lui connaissez ; que d'un ton pathétique, v.417 (Acte 2, scène 1, NÉRINE)
- Je ne veux opposer à tout votre courroux v.419 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Qu'un seul mot : je vous aime, et je n'aime que vous. v.420 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Il se soufflettera d'une main mutinée, v.425 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Se donnera du front contre une cheminée, v.426 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Il ne se fera pas grand mal. v.430 (Acte 2, scène 1, N?RINE)
- Laisse-moi faire. v.430 (Acte 2, scène 1, ANGELIQUE)
- Vous épousez Dorante. v.434 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- J'aime à vous voir vaincre votre tendresse. v.437 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Cet amour, entre nous, était une faiblesse. v.438 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Il faut se dégager de ces attachements v.439 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Que la raison condamne et qui flattent nos sens. v.440 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Qu'un époux qui du jeu ressent la tyrannie. v.442 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Moi ? Non : dans ce dessein nos humeurs sont conformes. v.449 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je vais l'épouser, moi. v.452 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- L'épouser ? v.452 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ce maintien réservé, prendre un nouvel époux ? v.456 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- ConnAisseuse en maris, vous deviez mieux choisir. v.468 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais vous n'y pensez pas. Croyez-vous qu'il vous aime ? v.470 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que personne ne peut me disputer, je pense. v.473 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Et je puis en user à ma discrétion. v.476 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Que Valère pour vous ait eu le coeur sensible. v.478 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- L'or est d'un grand secours pour acheter un coeur ; v.479 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mes sentiments, ma soeur, sont différents des vôtres ; v.485 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- Un conseiller de robe, un seigneur de finance, v.489 (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
- M'a fait quitter ma chaise à deux ou trois cents pas ; v.508 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Et j'y serais encor dans des peines mortelles, v.509 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Si l'amour, pour vous voir, ne m'eût prêté ses ailes. v.510 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Oh ! Point du tout, je suis votre humble serviteur. v.512 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Près du sexe je sais me démêler d'intrigue. v.514 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- J'ai de l'esprit, du coeur, plus que seigneur de France ; v.525 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Ces serrements de mains dont on vous estropie, v.533 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Ces grands embrassements dont un flatteur vous lie, v.534 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Moi, j'aime à pourchasser des beautés mitoyennes. v.541 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Je pousse la fleurette, et conte mes raisons. v.544 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Me laisse avec madame, et va coucher sans bruit. v.548 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Et ce commerce-là me paraît assez doux. v.551 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
- C'est ainsi que je veux en user avec vous. v.552 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Je suis tout naturel, et j'aime la franchise : v.553 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Ma bouche ne dit rien que mon coeur n'autorise : v.554 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Le mot d'amour me blesse, et me fait trouver mal. v.559 (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
- L'effet n'en serait pas peut-être si fatal. v.560 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Elle veut qu'en détours la chose s'enveloppe ; v.561 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
- Et ce mot dit à cru lui cause une syncope. v.562 (Acte 2, scène 4, N?RINE)
- Sur vous l'on sait assez que je jette les yeux. v.576 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Et sais, quand il le faut, oublier un secret. v.584 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Quel est, en vous aimant, le but de ses désirs, v.587 (Acte 2, scène 4, LE_MARQUIS)
- Et de quel droit il vient chasser sur mes plaisirs. v.588 (Acte 2, scène 4, LE, MARQUIS)
- Monsieur, c'est de la part de la grosse comtesse. v.589 (Acte 2, scène 5, 1er_LAQUAIS)
- Cette jeune duchesse v.590 (Acte 2, scène 6, 2nd_LAQUAIS)
- Va m'attendre en secret où tu fus avant-hier, v.599 (Acte 2, scène 7, LE_MARQUIS)
- Ouvrez de votre coeur les sentiments cachés. v.616 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
- Que je serais heureux, v.623 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
- Regardez votre soeur ; et jugez si ses yeux v.631 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
- Quoi ! D'aucun feu pour moi votre âme n'est éprise ? v.633 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
- Quelques civilités que l'usage autorise... v.634 (Acte 2, scène 10, VALÈRE)
- Taisez-vous, s'il vous plaît, petite ridicule. v.638 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
- Monsieur vaut-il le soin qu'on se mette en courroux ? v.643 (Acte 2, scène 10, LA COMTESSE)
- Elle connaît ses gens. v.645 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Point de faiblesse au moins, ayez un coeur de roc. v.648 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Non, non ; laissez-moi faire. v.649 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Mais que me sert, hélas ! Que mon coeur vous préfère ? v.650 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
- Que sert mon amour un si sincère aveu ? v.651 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
- Que la fureur du jeu se mêle où vous régnez : v.656 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
- Mon coeur n'en aura point de jaloux sentiments. v.660 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
- Désormais, plein de votre tendresse, v.661 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
- Nulle autre passion n'a rien qui m'intéresse : v.662 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
- Non, ne vous présentez jamais devant mes yeux. v.664 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
- Vous mollissez. v.664 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Ma mort sera l'effet de mon cruel dépit. v.671 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
- Nérine, qu'il viendrait se percer à ma vue : v.678 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
- Vous intéresse encore aux jours d'un malheureux, v.681 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
- Non, ce n'est point assez de me rendre la vie ; v.682 (Acte 2, scène 11, VAL?RE)
- Pour faire des serments il est toujours tout prêt. v.692 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Je joins à ce présent celui de mon portrait. v.696 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
- Hélas ! De mes sermons voilà quel est l'effet ! v.697 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Ne se repente point de sa facile ardeur. v.705 (Acte 2, scène 11, ANGELIQUE)
- Fiez-vous aux serments de mon âme amoureuse. v.706 (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
- Ah ! Que voilà pour l'oncle une époque fâcheuse ! v.707 (Acte 2, scène 11, NÉRINE)
- Angélique m'a fait ce généreux présent. v.712 (Acte 2, scène 13, VALÈRE)
- Je vous amène encore un lénitif de bourse, v.714 (Acte 2, scène 13, HECTOR)
- Oh ! Monsieur, point du tout. Je suis une bourgeoise, v.722 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Qui sais me mesurer justement à ma toise. v.723 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Qui se font teindre en noir du haut jusques en bas : v.725 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Monsieur, disposez de ma bourse. v.731 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Et je veux l'endosser. v.733 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
- Je sais que ce serait blesser ma conscience. v.739 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Pour des nantissements qui valent bien leur prix, v.740 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- De la vieille vaisselle au poinçon de Paris, v.741 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Je n'ai pour te donner, vaisselle ni bijoux. v.744 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
- Je voudrais les avoir ; ce serait de grand coeur. v.749 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Sans des nantissements il ne faut rien prétendre. v.754 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
- Refuser un billet endossé de ma main ? v.757 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
- Laissez-moi ; je cherche en ma boutique. v.758 (Acte 2, scène 14, HECTOR)
- Il est vrai. J'ai tantôt cette grosse partie v.767 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
- De ces joueurs en fonds qui doivent s'assembler. v.768 (Acte 2, scène 14, VAL?RE)
- Quoi qu'il puisse arriver, nous tirera d'affaire. v.771 (Acte 2, scène 14, VALÈRE)
- Voilà les mille écus comptés dans cette bourse. v.786 (Acte 2, scène 14, MADAME LA RESSOURCE)
- Aux maux désespérés il faut de l'émétique : v.795 (Acte 2, scène 15, VALÈRE)
- Qui t'aurait fait sitôt chasser de ta maîtresse ? v.803 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- De ses ardeurs pour moi je ne suis point la dupe ; v.811 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et lorsque de ses feux je sens quelque retour, v.812 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Ni rappeler ici ses serments, ses parjures : v.815 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Tiens, reçois cette bague, et dis à ta maîtresse v.818 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Que, malgré ses dédains, elle aura ma tendresse, v.819 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Et que la voir heureuse est mon plus grand bonheur. v.820 (Acte 3, scène 1, DORANTE)
- Oui, Monsieur, Angélique épousera Valère ; v.822 (Acte 3, scène 2, HECTOR)
- Voilà les sentiments d'un héros de Cassandre. v.830 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- La jeunesse toujours eut des droits sur les belles ; v.834 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Et quand, à certain âge, on veut se faire aimer, v.836 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Et vous prenez la chose ainsi qu'il la faut prendre. v.839 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Ma présence est assez inutile en ces lieux. v.841 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Ah ! Qu'à notre secours à propos vous venez ! v.852 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Les choses sont, Monsieur, tout au plus juste prix ; v.856 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Il faut bien se mettre sur ses gardes. v.858 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Pour gages de cinq ans, frais, mises, loyaux-coûts." v.865 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Moi, fort à votre service. v.866 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- "Secondement, il doit à Jérémie Aaron, v.872 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Ont obtenu déjà sentence par défaut, v.881 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Personne de ses droits usante et jouissante, v.891 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Pour ses appointements de deux quartiers échus." v.893 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Payé fidèlement, se monte à presque autant. v.901 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- "Premièrement, Isaac De La Serre... " v.902 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Cela sent comme baume. Or donc ce De La Serre, v.906 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Mais un de ses parents, v.908 (Acte 3, scène 4, HECTOR)
- Il a les yeux sereins et l'accueil avenant. v.925 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Cela va diablement hausser nos actions. v.933 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Monsieur, écoutez-moi ; calmez un peu vos sens ; v.940 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Vous vous sentez en fonds, ergo plus de maîtresse. v.950 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Ah ! Juge mieux, Hector, de l'amour qui me presse. v.951 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
- Ses jours sont enchaînés par des plaisirs nouveaux ; v.960 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
- Sous ses heureuses mains le cuivre devient or. v.965 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
- Qui veulent imposer et se donner pour neuves ; v.975 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
- De vieux seigneurs toujours prêts à vous cajoler ; v.976 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
- Plus agréablement peut-on passer la vie ? v.978 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
- Le jeu rassemble tout ; il unit à la fois v.980 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
- Coupe orgueilleusement la duchesse indigente. v.983 (Acte 3, scène 6, VAL?RE)
- Tant mieux. Pour se conduire en bonne politique, v.990 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Pour mettre quelque chose à l'abri des orages, v.994 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Je vois votre sellière. v.1002 (Acte 3, scène 6, HECTOR)
- Je suis votre humble serviteur. v.1005 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
- Ma culotte s'use en deux ou trois endroits. v.1017 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
- Vous cousez si mal... v.1018 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
- Que votre coeur pour moi se laisse un peu toucher ! v.1028 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
- Vous avisez-vous là de faire des enfants ? v.1032 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
- Seulement deux cents francs. v.1033 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
- Pour moi, je ne sors point d'ici qu'on ne m'en chasse. v.1042 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
- Écoutez, je vous dis un secret qui, je crois, v.1044 (Acte 3, scène 7, VALÈRE)
- Se fera-t-il bientôt ? v.1051 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR GALONIER)
- Sera-ce dans ce jour ? v.1052 (Acte 3, scène 7, MADAME ADAM)
- Allez, laissez-moi faire. v.1055 (Acte 3, scène 7, HECTOR)
- Voilà des créanciers assez bien régalés. v.1057 (Acte 3, scène 8, HECTOR)
- Rien ne porte malheur comme payer ses dettes. v.1059 (Acte 3, scène 8, VALÈRE)
- Mais voici le Marquis, ce héros de tendresse. v.1062 (Acte 3, scène 9, HECTOR)
- Oui, de notre comtesse. v.1063 (Acte 3, scène 9, HECTOR)
- Que ma chaise se tienne à deux cents pas d'ici. v.1064 (Acte 3, scène 9, LE_MARQUIS)
- Faites que ce valet à l'écart se retire. v.1070 (Acte 3, scène 10, LE_MARQUIS)
- Avec ducs, archiducs, princes, seigneurs, Marquis, v.1076 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
- J'ai la botte trompeuse et le jeu très brouillé. v.1085 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
- Jeté, sans y songer, quelque amoureuse flamme. v.1091 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
- J'ai trouvé la matière assez sèche de soi ; v.1092 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
- Mais la belle est tombée amoureuse de moi. v.1093 (Acte 3, scène 11, LE, MARQUIS)
- Vous nourrissez dans l'âme une velléité v.1101 (Acte 3, scène 11, LE_MARQUIS)
- Et vos airs insolents ne plaisent point du tout. v.1113 (Acte 3, scène 11, VALÈRE)
- Quels desseins emportés ? ... v.1120 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
- Laissez-moi donc. v.1122 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
- Cesse de le contraindre : v.1122 (Acte 3, scène 12, VALÈRE)
- Et prend mal à propos les choses de travers. v.1125 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
- L'amour de la Comtesse auprès de lui m'appelle... v.1130 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
- Quoi ! Vous osez, monsieur, d'un coeur ambitieux, v.1132 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
- Attaquer la Comtesse, et nous le dire encore ! v.1134 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
- Oui, les droits sur le coeur ; mais sur la bourse, v.1140 (Acte 3, scène 12, HECTOR)
- Et voilà comme il faut se tirer d'une affaire. v.1142 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
- Et que le tout se soit passé dans la douceur. v.1145 (Acte 3, scène 12, LE_MARQUIS)
- Serviteur. Vous et moi, nous en valons deux autres. v.1146 (Acte 3, scène 12, LE, MARQUIS)
- J'ai dans le coeur, Hector, un bon pressentiment ; v.1152 (Acte 3, scène 13, VALÈRE)
- En vain vous m'opposez une indigne tendresse, v.1162 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
- Je n'ai vu de mes jours avoir tant de mollesse. v.1163 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Il ressent pour le jeu des fureurs nonpareilles, v.1166 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Et cet homme perdra quelque jour ses oreilles. v.1167 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- La raison, les conseils ne peuvent m'en distraire, v.1174 (Acte 4, scène 1, ANGELIQUE)
- J'y consens. Acceptez pour époux un joueur, v.1177 (Acte 4, scène 1, NÉRINE)
- Vous laissera manquer même du nécessaire, v.1179 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Aux bijoux de sa femme, ou bien à sa vaisselle, v.1187 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Qui va, revient, retourne, et s'use à voyager v.1188 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Il la laisse où d'abord elle fut engagée, v.1191 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Et prend, pour remplacer ses meubles écartés, v.1192 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Ses terres en décret, et son lit à l'encan ! v.1197 (Acte 4, scène 1, N?RINE)
- Il sent toujours pour vous la plus sincère ardeur. v.1209 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Le temps me presse. Adieu. v.1212 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- S'il n'est pas vrai qu'il joue à présent. v.1217 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais ce n'est proprement que par noblesse d'âme : v.1223 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- On voit qu'il se défait de son argent exprès, v.1224 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Pour n'être plus touché que de vos seuls attraits. v.1225 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Il sait que l'homme est faible, il se met en défense. v.1230 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Quoi ! Ton maître jouerait au mépris d'un serment ? v.1232 (Acte 4, scène 2, ANGELIQUE)
- Il se défend, Madame, encor comme un lion. v.1236 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- De sa bourse expirante il ramassait le reste ; v.1239 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Appeler du secours : il faut faire approcher v.1244 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Notre corps de réserve, et je m'en vais chercher v.1245 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Deux cents louis qu'il a laissés dans sa cassette. v.1246 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Les partis sont aux mains ; à deux pas on se bat, v.1248 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Nous allons nous servir de nos armes dernières, v.1250 (Acte 4, scène 2, HECTOR)
- Cédez à votre étoile ; épousez-le. J'enrage v.1254 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
- Je ne puis me résoudre à paroître à ses yeux. v.1257 (Acte 4, scène 3, ANGELIQUE)
- Veux-tu de ta maîtresse imiter la rigueur ? v.1260 (Acte 4, scène 5, DORANTE)
- Non, monsieur ; je vous sers toujours avec vigueur. v.1261 (Acte 4, scène 5, NÉRINE)
- Laissez-moi faire. v.1262 (Acte 4, scène 5, N?RINE)
- Ô ciel ! Ce trait me désespère. v.1262 (Acte 4, scène 6, DORANTE)
- Le respect à l'amour saura servir de bride, v.1271 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Près du sexe d'abord sont si gesticulants... v.1273 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Quoiqu'on soit vertueuse, il faut telle paraître ; v.1274 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Qu'Angélique si mal reconnaisse vos feux : v.1277 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Bannissons la tendresse ; il faut la supprimer. v.1284 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Et l'on ne me dit point pareille chose en face. v.1295 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Ne sera pas peut-être aussi respectueux. v.1301 (Acte 4, scène 7, LA COMTESSE)
- Je suis au désespoir : je n'ai vu de ma vie v.1302 (Acte 4, scène 8, LA COMTESSE)
- Que je suis et serai votre seul conquérant ; v.1309 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- À Valère de près j'ai serré le bouton : v.1313 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Il serait un Achille, un Pompée, un César, v.1316 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Il ne faut point avoir de mollesse en sa vie. v.1318 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
- Vous ne connaissez pas, Marquis, tout votre mal ; v.1320 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
- Pour n'être que le prix d'une seule victoire. v.1323 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Vous exposer sans cesse à de nouveaux combats. v.1325 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
- Est-ce ce financier de noblesse mineure, v.1326 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Qui, dans mille portraits, expose ses aïeux, v.1332 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
- À vos transports jaloux un autre se dérobe. v.1338 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
- Ce docteur en soupers, qui se tait au palais, v.1340 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Nous nous serions parlé sans sortir de la salle. v.1350 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Sans lui donner le temps seulement de crier, v.1352 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
- Pour lui votre fenêtre eût servi d'escalier. v.1353 (Acte 4, scène 9, LE, MARQUIS)
- La sagesse est tout mon apanage. v.1355 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Quoi ! Vous prétendriez, si j'avais la foiblesse... v.1362 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
- Ah ! Ma foi ! L'on n'a plus tant de délicatesse ; v.1363 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Je crois que nos deux coeurs seront toujours fidèles. v.1374 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
- Et vous aurez dans peu ma dernière réponse. v.1379 (Acte 4, scène 9, LE_MARQUIS)
- Adieu. Fasse le ciel, Marquis, que dans ce jour v.1380 (Acte 4, scène 9, LA COMTESSE)
- On le serait à moins. Allons, saute, Marquis. v.1385 (Acte 4, scène 10, LE_MARQUIS)
- De tes prospérités font leur cause commune ; v.1395 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
- Tu chantes, danses, ris, mieux qu'on ne fit jamais v.1397 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
- Les yeux à fleur de tête, et les dents assez belles. v.1398 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
- Près du sexe tu vins, tu vis, et tu vainquis ; v.1400 (Acte 4, scène 10, LE, MARQUIS)
- Hé quoi ! Monsieur, tout seul vous sautez de la sorte ! v.1403 (Acte 4, scène 11, HECTOR)
- C'est un pas de ballet que je veux repasser. v.1404 (Acte 4, scène 11, LE_MARQUIS)
- Mon maître, qui me suit, vous le fera danser, v.1405 (Acte 4, scène 11, HECTOR)
- Pour cause, nous devons tous deux nous éviter. v.1409 (Acte 4, scène 11, LE_MARQUIS)
- Le voici. Ses malheurs sur son front sont écrits : v.1420 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Non, l'enfer en courroux et toutes ses furies v.1422 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Il est sec. v.1428 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- De serpents mon coeur est dévoré ; v.1428 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Tout semble en un moment contre moi conjuré. v.1429 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
- Confus, désespéré, je suis prêt à me pendre. v.1439 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Heureusement pour vous, vous n'avez pas un sou v.1440 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Que la foudre t'écrase. v.1442 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Ah ! Charmante Angélique, en l'ardeur qui m'embrase, v.1443 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
- À vos seules bontés je veux avoir recours ! v.1444 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
- Notre bourse est à fond ; et, par un sort nouveau, v.1448 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Calmons le désespoir où la fureur me livre. v.1450 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Que je lise Sénèque ? v.1455 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Eh ! Vous n'y pensez pas ; v.1456 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- "Chapitre six. Du mépris des richesses. v.1459 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Leur possession trouble, et leur perte est légère : v.1462 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
- Le sage gagne assez quand il peut s'en défaire." v.1463 (Acte 4, scène 12, VAL?RE)
- Que le coeur, par amour, ne s'y laisse attacher. v.1469 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- N'ayant plus de maîtresse, et n'ayant pas un sou, v.1472 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- De mon sort désormais vous serez seule arbitre, v.1474 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Je bénis le sort et ses revers, v.1476 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Moins on a de richesse, et moins on a de peine. v.1479 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- C'est posséder les biens que savoir s'en passer." v.1480 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Que ce mot est bien dit ! Et que c'est bien penser ! v.1481 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Sous ses heureuses mains le cuivre devient or, v.1497 (Acte 4, scène 12, HECTOR)
- Ah ! Je sens redoubler ma colère. v.1498 (Acte 4, scène 12, VALÈRE)
- Est-ce toi, malheureux, qui causes ce transport ? v.1501 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
- Ah ! Si vous aviez lu son traité des richesses, v.1510 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
- Et le mépris qu'on doit faire de ses maîtresses ; v.1511 (Acte 4, scène 14, HECTOR)
- Qui, d'une et d'autre part, me paraissent contents. v.1521 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
- Que son consentement... v.1523 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
- Vous faites voir, mon fils, bien peu d'empressement. v.1525 (Acte 4, scène 14, GÉRONTE)
- Lui faire compliment, et l'embrasser... v.1528 (Acte 4, scène 14, G?RONTE)
- Oui-dà ! Laisse-moi faire. v.1534 (Acte 4, scène 15, GÉRONTE)
- Hé ! Madame, cessez d'éviter ma présence. v.1542 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Faire éclater ici mes sentiments jaloux, v.1544 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Plus que vous ne pensez, mon coeur vous justifie. v.1546 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Je suis assez vengé si j'en puis faire autant. v.1549 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Mais enfin de l'amour l'impérieuse loi v.1552 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Et vous ne laissez pas, Madame, d'y courir. v.1557 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Persiste en ses desseins, donnez-moi mon congé. v.1561 (Acte 5, scène 1, NÉRINE)
- Je suis fille d'honneur ; je ne veux point qu'on dise v.1562 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Que vous ayez sous moi fait pareille sottise. v.1563 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- Valère est un indigne ; et, malgré son serment, v.1564 (Acte 5, scène 1, N?RINE)
- De la fureur du jeu veux-tu qu'il se défasse, v.1567 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mon neveu vous épouse ; et je viens seulement v.1572 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- Donner à votre hymen un plein consentement. v.1573 (Acte 5, scène 1, DORANTE)
- À gagner ses dépens en servant le public. v.1577 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
- C'est une illustre au moins, et qui sait en secret v.1580 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
- Votre bonté pour moi toujours se renouvelle ; v.1586 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
- Avec et pardevant un conseiller-notaire. v.1595 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
- Pour certaine chanteuse on dit qu'il en tient là. v.1596 (Acte 5, scène 2, MADAME LA RESSOURCE)
- Le drôle veut passer quelque acte à l'opéra. v.1597 (Acte 5, scène 2, NÉRINE)
- Mais voici la Comtesse. v.1598 (Acte 5, scène 3, NÉRINE)
- À ce bonheur charmant je n'ose pas prétendre. v.1606 (Acte 5, scène 3, DORANTE)
- La perte n'est pas grande, et se peut réparer. v.1609 (Acte 5, scène 3, LA COMTESSE)
- Vous serez, par ma foi, Marquise cette fois ; v.1612 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
- En faisant avec moi cette heureuse alliance, v.1618 (Acte 5, scène 4, LE_MARQUIS)
- Vous la connaissez ? v.1624 (Acte 5, scène 4, NÉRINE)
- D'aller de ses parents montrer la turpitude. v.1635 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
- Je suis Marquise donc, moi qui suis sa cousine ? v.1639 (Acte 5, scène 4, MADAME LA RESSOURCE)
- Taisez-vous, insolent. v.1653 (Acte 5, scène 4, LA COMTESSE)
- Je n'y puis plus tenir, ma soeur, et je vous laisse. v.1662 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
- Avec qui vous voudrez finissez de tendresse ; v.1663 (Acte 5, scène 5, LA COMTESSE)
- En modernes seigneurs sortir de dessous terre, v.1671 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
- De quoi s'avise-t-il de me rompre en visière ? v.1675 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
- Madame se marie. v.1677 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
- Oh ! Je suis curieuse ; il faut me montrer tout. v.1684 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
- Mais que vois-je, grands dieux ! Quelle surprise extrême ! v.1686 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
- Ah ! Ma pauvre maîtresse, v.1690 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
- Faut-il vous voir ainsi durement mise en presse ? v.1691 (Acte 5, scène 6, N?RINE)
- Je viens de lui donner pour prix de ses amours, v.1696 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
- Et qu'il m'avait juré de conserver toujours. v.1697 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
- Laissez-moi le garder un moment, je vous prie : v.1702 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
- C'est la seule faveur qu'on m'ait faite en ma vie. v.1703 (Acte 5, scène 6, DORANTE)
- À beaux deniers comptants, quand vous serez sa femme. v.1707 (Acte 5, scène 6, NÉRINE)
- Lorsque je le verrai, j'en serai plus certaine. v.1711 (Acte 5, scène 6, MADAME LA RESSOURCE)
- Mon coeur tout pénétré... mais, ciel ! Quelle tristesse, v.1714 (Acte 5, scène 7, VALÈRE)
- Nérine, a pu saisir ta charmante maîtresse ? v.1715 (Acte 5, scène 7, VAL?RE)
- Le portrait dont ma main vous a fait possesseur v.1720 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
- Tu ne seras heureux, par ma foi, qu'en peinture. v.1723 (Acte 5, scène 7, NÉRINE)
- Ne consentez-vous pas à ce parti, Dorante ? v.1727 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
- Et mon coeur subira votre arrêt sans se plaindre. v.1731 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
- Il verra mon portrait sans se désespérer. v.1741 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
- Ingrat, ne croyez pas qu'on m'abuse toujours. v.1761 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
- Malgré tous vos serments, parjure, à la même heure, v.1766 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
- Ah ! Cessez de vouloir plus longtemps m'outrager, v.1768 (Acte 5, scène 7, ANGELIQUE)
- Et contre mon avis vous avez fait la chose. v.1770 (Acte 5, scène 7, HECTOR)
- De tous vos débats, moi, je ne suis point la cause ; v.1771 (Acte 5, scène 7, MADAME LA RESSOURCE)
- Laissez-le-moi garder ; j'en paierai l'intérêt v.1773 (Acte 5, scène 7, DORANTE)
- Son coeur ressent, je crois, le même empressement. v.1777 (Acte 5, scène 8, NÉRINE)
- Le notaire en ce lieu va se rendre ; v.1782 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
- Autrefois mon coeur eut la faiblesse v.1786 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
- De rendre à votre fils tendresse pour tendresse ; v.1787 (Acte 5, scène 8, ANGELIQUE)
- Oh ! Par ma foi, je n'ose ; v.1794 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
- Ce récit est trop triste en vers ainsi qu'en prose. v.1795 (Acte 5, scène 8, HECTOR)
- Sa folle passion m'en fait assez juger. v.1801 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
- Le beau présent de noce ! v.1806 (Acte 5, scène 9, HECTOR)
- À jamais je vous laisse. v.1806 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
- Si vous êtes heureux au jeu comme en maîtresse, v.1807 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
- Et si vous conservez aussi mal ses présents, v.1808 (Acte 5, scène 9, ANGELIQUE)
- Quelque autre fois, Monsieur, vous serez plus heureux. v.1813 (Acte 5, scène 9, DORANTE)
- Adieu, tison d'enfer, fesse-mathieu femelle. v.1815 (Acte 5, scène 10, HECTOR)
- Grâce au ciel, ma maîtresse a tiré son enjeu. v.1816 (Acte 5, scène 11, NÉRINE)
- Vous épouser, Monsieur, c'était jouer gros jeu. v.1817 (Acte 5, scène 11, N?RINE)
LES SOUHAITS (1700)
- Vous devinez assez que je viens vous prier v.14 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
- Le premier se trouva brutal jusqu'à l'extrême ; v.34 (Acte 1, scène 2, LA-MARIÉE)
- Le second plus brutal, et très jaloux, de plus ; v.35 (Acte 1, scène 2, LA MARI?E)
- Seulement pendant une année, v.41 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Vous épuiseriez tout Paris. v.43 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Qu'il aurait à lui seul tous les défauts de tous, v.49 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Écoutez le conseil que je vais vous donner. v.56 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Et dans l'autre elle fut avare de ses biens ; v.68 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
- Il se plaît sous un joug d'airain, v.76 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- D'asservir bien souvent deux amants de sa main, v.77 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Un grand homme souvent épouse un avorton : v.81 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
- Épouser une grande femme, v.83 (Acte 1, scène 3, LE NAIN)
- Ce ne seront que des idées, v.95 (Acte 1, scène 3, LA-SUISSESSE)
- À porter des géants ses flancs sont destinés : v.102 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Que sa fécondité doit vous fournir assez v.104 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Et vos enfants seront bien proportionnés. v.106 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Cela gâterait-il quelque chose à l'affaire, v.108 (Acte 1, scène 3, LE-NAIN)
- Sur ce point laisse agir ta femme : v.110 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Tes voeux ne seront point déçus ; v.112 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Quand tu seras époux, tu deviendras peut-être v.113 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Un mari toujours embarrasse : v.116 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Heureuse celle qui s'en passe ! v.117 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Vous en pourrez trouver qui seront plus de mise : v.119 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Mais de mauvaise marchandise v.120 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Assez bien nourri pour son âge ; v.123 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
- Je m'y plais à passer les nuits : v.137 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
- En vain, pour le chasser, je fais ce que je puis. v.140 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
- Quand j'ai seulement bu mes neuf ou dix bouteilles, v.141 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
- Il me prend un dégoût pour tout ce qu'on me sert, v.145 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
- Dans cette affreuse maladie, v.147 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
- Oui ! Vous êtes plus mal qu'on ne se persuade. v.155 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Je viens vous demander, pour vivre heureusement, v.156 (Acte 1, scène 3, L-HOMME-DE-BONNE-CHÈRE)
- Et qui puisse porter l'effroi dans tous les plats, v.159 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
- Et surtout une soif que rien ne puisse éteindre. v.160 (Acte 1, scène 3, L HOMME DE BONNE CH?RE)
- Serait-ce t'obliger qu'avancer ton trépas ? v.162 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Ma noblesse est plus vieille et plus pure, je crois, v.186 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
- Trois fois seulement par semaine. v.202 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
- Lasse, et ne nourrit pas son maître bien longtemps. v.206 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
- Je me reposerai le reste de ma vie. v.208 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
- Vous vous raillez, je crois. Remplissez mon souhait : v.215 (Acte 1, scène 4, LE-GASCON)
- À pousser la quarte et la tierce, v.217 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
- Et faire une passe au collet : v.218 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
- Quelque brave que ce puisse être. v.222 (Acte 1, scène 4, LE GASCON)
- Vous ne sauriez m'imposer en ce jour : v.228 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
- Qui par vous nous est présenté. v.239 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
- Seigneur Mercure, en vérité, v.240 (Acte 1, scène 6, POISSON)
- Qui vous sert à faire voyage, v.242 (Acte 1, scène 6, POISSON)
- Et près du sexe même étendu nos conquêtes. v.252 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
- Rassasiés de gloire et de ses dons frivoles, v.259 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
- C'est donc où se bornent nos voeux, v.275 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
- Pour peu que vous vouliez en passer votre envie, v.286 (Acte 1, scène 6, LA-THORILLIÈRE)
- Ordonnez donc, seigneur Mercure, v.297 (Acte 1, scène 6, POISSON)
- Assez et trop longtemps ma lâche complaisance v.301 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
- Ne cesserez-vous point, dans votre humeur farouche, v.305 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
- De m'immoler sans cesse à vos transports jaloux ? v.306 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
- Et le mal d'assez près me touche. v.308 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
- On ne m'abuse point par de fausses caresses ; v.310 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
- Que manque-t-il à vos tendresses ? v.312 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
- J'en devrais être aussi le père, ce me semble : v.317 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
- De tant d'enfants aucun ne me ressemble ; v.319 (Acte 1, scène 7, VULCAIN)
- Il serait beau, vraiment, que de votre visage v.322 (Acte 1, scène 7, VÉNUS)
- Mes enfants eussent quelques traits ; v.323 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
- Vous n'avez pas assez d'attraits v.324 (Acte 1, scène 7, V?NUS)
- Nous ressentions tes coups comme les autres hommes ? v.340 (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
- Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi, v.341 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Seigneur ; je l'ai jugé trop peu digne .de foi. v.342 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Et vous-même étouffant tout sentiment d'époux, v.345 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Contre ses volontés, par vos soins retenue, v.347 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Qu'en dites-vous, seigneur ? Que faut-il que j'en pense ? v.351 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Ne ferez-vous point taire un bruit qui nous offense ? v.352 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Seigneur, je ne rends point compte de mes desseins : v.353 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Et, quand il sera temps qu'elle soit enfermée, v.355 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Vous en serez instruit avec la renommée. v.356 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- De vos secrets complots je suis trop éclairci : v.358 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Et vos lâches amours ne sauraient se contraindre. v.360 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Seigneur, je ne rends point compte de mes amours : v.361 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Vénus ignore encor quel en sera le cours ; v.362 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Et, quand il sera temps, par vous ou par un autre v.363 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Ah ! Je sais trop le sort que vous me réservez. v.365 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Qu'on ose des ardeurs avouer la plus noire ? v.368 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Vous pensez qu'approuvant vos feux injurieux, v.369 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Je vous laisse achever ce complot à mes yeux ; v.370 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Que ma foi, mon honneur, mon amour y consente ? v.371 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- En épousant Vénus, cette belle déesse, v.379 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Vous saviez que son coeur, sensible à la tendresse, v.380 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Ne se refusait pas aux transports les plus doux : v.381 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Accusez-en le sort et le ciel tout entier, v.385 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Pour moi seul aujourd'hui devenez difficile : v.388 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Vous vous avisez tard de devenir jaloux ; v.389 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Et serais seulement époux ad honores ! v.394 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Ma femme est à moi seul, et n'en veux qu'à ce prix. v.398 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Je percerai le sein des antres les plus creux. v.406 (Acte 1, scène 9, VULCAIN)
- Rendez grâce au seul noeud qui retient mon courroux ; v.409 (Acte 1, scène 9, MARS)
- J'ai mon amour ensemble et ma gloire à défendre : v.412 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Voilà par quel chemin il vous faudra passer. v.414 (Acte 1, scène 9, MARS)
- Ton insolent amour aura sa récompense. v.416 (Acte 1, scène 10, VULCAIN)
- Que le mérite seul peut nous faire espérer. v.421 (Acte 1, scène 11, LA-THORILLIÈRE)
- Là, vous serez admirés et chéris : v.427 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Me faire comédien suisse. v.434 (Acte 1, scène 11, POISSON)
- Mortels, jusqu'à présent nul n'a demandé rien v.435 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Que je lui puisse accorder pour son bien. v.436 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Je vois bien que chacun s'empresse v.437 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Les plaisirs, le bon vin, les honneurs, la richesse : v.439 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Mais nul n'a souhaité la vertu, la sagesse ; v.440 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Riez, chantez, dansez, livrez-vous à la joie ; v.445 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Laissez à Jupiter le soin du lendemain. v.447 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
- Les suivants de Mercure forment une contredanse qui finit la comédie. v.448 (Acte 1, scène 11, MERCURE)
LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES. (1690)
- Cinthio avec une autre que moi, qu'il fait passer pour sa soeur ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- Il ne fait pas semblant de me connaître. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- J'ai tout quitté pour le chercher, et il ne daigne pas seulement me regarder. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- Et tu n'oses arrêter sur moi tes regards. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- Je te casserai, ma foi, la gueule, et je ferai bien passer tes pestes de vapeurs. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Voilà une fille qui me semble bien surprise ! (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
- Vous ne reconnaissez pas Isabelle ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Tu me méprises, perfide ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Et que faites-vous donc ici, madame la coureuse ? (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
- Voulez-vous parier, monsieur, que c'est l'amour qui l'a mise en campagne ? (Acte 1, scène 7, PIERROT)
- Les filles sont des vaisseaux qui ne vont d'ordinaire que de ce vent-là. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
- Aussi pourquoi me laissez-vous seule ? (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il faut de la compagnie aux filles, quand ce ne serait qu'un manche à balai. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
- Mais il ne voulut point y demeurer, appréhendant qu'elle ne fût malsaine, à cause de l'humidité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Il me témoigna encore qu'il ne pourrait pas y coucher, à cause qu'étant fatigué et ayant besoin de repos, les chevaux pourraient interrompre son sommeil pendant la nuit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Peut-être pas tant que vous pensez. (Acte 1, scène 7, PIERROT)
- Je trouvai qu'il n'avait pas mauvaise raison ; car quand on repose, comme vous savez, on n'est pas bien aise d'être interrompu. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Il trouva que ma chambre l'accommodait assez, et me fit entendre qu'il serait ravi d'y rester. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Mais comme il est extrêmement honnête, il refusa l'offre que je lui faisais, de peur de m'incommoder, et dit qu'il ne souffrirait point que ma chambre fût embarrassée pour l'amour de lui, et qu'il coucherait plutôt dans l'écurie que de me causer la moindre incommodité. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Je lui dis qu'il n'avait qu'à se coucher dans mon lit. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Je n'en fus pas la maîtresse : il ne voulut jamais permettre que je m'incommodasse pour l'amour de lui ; il dit qu'il serait au désespoir de m'avoir découchée, et... (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Il me dit qu'il y avait longtemps qu'il m'aimait, qu'il voulait être mon mari ; et il m'en donna sa promesse, que j'ai encore. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Ah, malheureuse ! (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
- Entrez dans cette hôtellerie-là, et prenez garde de dire que vous me connaissez. (Acte 1, scène 7, MEZZETIN)
- Monsieur, je ne puis plus aller ; j'ai les fesses tout écorchées. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
- Je crois que monsieur Croquignolet votre père et madame Croquignolet votre mère vont être bien surpris, quand ils verront arriver dans leur boutique monsieur Mathurin Blaise Croquignolet, leur fils l'avocat, qui vient de Flandre. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
- Cela est assez drôle, da ! (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
- Parbleu, monsieur, vous pouvez aller à toutes les occasions du monde comme à celle-là, je vous suis garant que vous n'y serez jamais blessé. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
- Mais, monsieur, gagnons pays, s'il vous plaît ; allons vite chez votre père, visiter son vin de Bourgogne ; car je sens que j'ai besoin de forces. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
- On m'a mandé à l'armée que ma grande soeur Toinon avait la petite vérole, et je ne serais pas bien aise d'en être marqué. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
- C'est, morbleu, bien fait de conserver votre teint ; et il serait fâcheux qu'un jeune homme que le canon a respecté fût exposé au caprice d'une maladie aussi insolente. (Acte 1, scène 9, LE-VALET)
- Je m'arrête volontiers où il y a bon vin et jolie servante. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
- Pardi, monsieur, cherchez vos débotteuses ; ce n'est pas là mon affaire. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Monsieur, voilà une dondon qui me paraît assez résolue ; mais il me semble qu'elle vous saboule un peu. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
- Je sens quelque chose... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
- C'est un Nicodème qui n'a pas le sens commun. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
- Si tu voulais un peu, pour me délasser de mes exploits guerriers... (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
- Me voilà bien chanceuse avec votre argent ! (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Allons, monsieur, retirez-vous ; ce n'est pas là de la viande pour vos oiseaux. (Acte 1, scène 10, LE-VALET)
- Je crois qu'il ne faudrait encore qu'un Mathurin Croquignolet pour faire fuir tous les poulets de notre basse-cour. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Si vous voulez entrer chez nous, voilà la porte ouverte ; sinon, je suis votre très humble servante. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Croyez-moi, mon petit visage botté, ne m'échauffez pas les oreilles ; car je pourrais prendre le mien à telle chose qui vous déplairait fort. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
- La cause fut appelée, qui dura plus de huit heures ; mais en vertu de bonnes pièces de canon, dont nous étions porteurs, nous fîmes bien vite déguerpir l'ennemi. (Acte 1, scène 10, MONSIEUR-CROQUIGNOLET)
- Mais je vous prie, monsieur le vivandier, et vous, mon petit clerc de procureur, de passer votre chemin, et de ne pas regarder derrière vous : m'en tendez-vous ? (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
- Allez, mon petit ami, je ne daigne seulement pas vous répondre ; mais si vous jetez seulement les yeux sur cette fille-là, je vous ferai mourir sous le bâton. (Acte 1, scène 10, CINTHIO)
- Me connais-tu présentement ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Suis-je Isabelle que tu as trahie, que tu as obligée de quitter sa patrie pour venir te reprocher ton inconstance, et se déguiser en servante ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Isabelle n'est pas capable d'un pareil emportement, ni de se jeter à la tête de tout venant, comme moi-même je vous ai vue faire. (Acte 2, scène 1, CINTHIO)
- Il me semble, monsieur, que vous pressez de près ma servante. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Monsieur, pour qui prenez-vous ma servante ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Quand vous voudrez tenir hôtellerie, faites provision de servantes qui considèrent les gens de qualité. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
- D'où vient que monsieur se plaint de vous ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Ne vous ai-je pas dit qu'une servante d'hôtellerie doit être douce et avenante aux étrangers ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je ne l'avais prise que pour servir à la cuisine ; mais je vois bien que la friponne ne s'en tient pas là. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Il faut se tirer d'affaire. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Ce beau monsieur-là est bien plaisant d'amener des filles dans notre hôtellerie pour le servir, et emporter tous nos profits ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Il ne passe point de monsieur dans l'hôtellerie dont je ne puisse bien être de même la soeur, si je voulais m'en donner la peine. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Claudine a raison, monsieur, cela ne se fait point : quand il y a une servante dans une hôtellerie, on ne doit se servir que d'elle ; et d'ailleurs Claudine est très habile in utroque, c'est-à-dire qu'elle fait aussi bien une chambre qu'un ragoût. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je conviens, monsieur, qu'elle sait parfaitement bien son métier de fille ; mais c'est une petite imprudente, qui sert au premier venu ce qu'elle ne devrait servir qu'à moi seul. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
- Moi, servir à un autre ce que je vous ai promis ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Voyez, je vous prie, si ce n'est pas assez pour le repas d'un homme seul je lui présente une jeune poularde, tendre, grasse jusqu'au bout des ongles, comme moi ; monsieur n'est pas content ; il en veut encore une autre. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Il ne faudrait encore qu'un homme comme vous pour mettre toute une rôtisserie à feu et à sang. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je me serais fort bien contenté de la poularde ; je ne suis pas si grand mangeur : mais je sais qu'on la présente à tout venant ; on l'a déjà servie sur vingt tables différentes, et je ne suis pas homme à m'accommoder du reste de toute la terre. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
- Parbleu, monsieur, prenez garde s'il vous plaît à ce que vous dites ; je ne m'entends point à ce tripotage-là, et l'on ne sert chez moi que des viandes neuves. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Bardé, lardé, cela m'est indifférent : quand les choses sont bonnes, je les trouve telles ; je ne m'y laisse point attraper. (Acte 2, scène 2, CINTHIO)
- Il faudrait, pour satisfaire le goût de monsieur, lui servir quelque vieille volaille racornie, quelque doyenne de basse-cour. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Ce serait là le moyen de gagner ses bonnes grâces. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- J'ai une oie qui me sert depuis trois mois à faire mes soupes ; vous en aurez la fleur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Il n'y a point encore eu de postillon assez hardi pour mettre la dent dessus. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Allons, taisez-vous ; que je ne vous entende pas souffler ; rentrez là-dedans. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je vois bien que monsieur ne se connaît pas mieux en servantes qu'en poulardes : on vous mettra une aile de boeuf sur le gril. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Est-il possible, mademoiselle, que tant d'amour soit suivi de tant de perfidie ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Je ne sais qu'un secret pour n'en être point trompée ; c'est de les tromper les premiers. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Après m'avoir engagé son coeur par une promesse de mariage ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Promesse de mariage ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Il fut obligé de me quitter pour un duel, où il tua son ennemi : l'amour me fit voler sur ses pas ; je suis venue à Paris ; je me suis déguisée sous l'habit d'une servante ; et sous le nom de Claudine, je suis venue demeurer dans cette hôtellerie, où je l'ai revu avec plaisir, dans le temps que je devais l'oublier pour toujours ; mais, hélas ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- D'où vient donc, mademoiselle, qu'avec toutes vos connaissances, vous vous êtes laissé attraper comme une novice ? (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- J'avoue que je n'en ai pas été quitte à meilleur marché que vous ; mais je ne savais pas ce que je sais, et avec le temps je me rendrai encore plus connaisseuse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- C'est-à-dire, mademoiselle, que vous ne prétendez pas en demeurer là, et que vous ne voulez pas être fille à une aventure. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Cinthio est venu à la traverse pour prendre parti sous mes étendards ; et, si vous ne me l'aviez fait connaître pour un déserteur de profession, je ne sais si je ne l'aurais pas enrôlé. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Quel bonheur, mademoiselle, de pouvoir changer si facilement ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Et que je serais contente si, pour me venger de mon infidèle, je le pouvais haïr autant qu'il le mérite ! (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Ne vous embarrassez point de votre vengeance ; remettez seulement vos intérêts entre les mains d'une coquette de ce pays-ci, dont il sera amoureux ; je vous promets qu'elle le fera aller bon train. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Non, non ; je ne me croirais pas assez vengée de m'en rapporter à une autre. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Je vous dis que c'est le magasin de toute l'inconstance qui se débite en Europe. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Quand un Français dit qu'il vous aime, il vous le dit d'une manière si tendre et si passionnée, qu'il semble que son amour doive durer pour le moins vingt ans après sa mort. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Les femmes seraient trop heureuses si leur tendresse durait seulement vingt jours. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Aujourd'hui ils portent des perruques qui leur pendent jusqu'aux genoux, demain ils en auront d'autres qui ne leur passeront pas les oreilles ; ils sont quelquefois habillés le plus simplement du monde, deux jours après il faut les chercher dans leurs dentelles et leurs rubans ; tantôt ils sont serrés dans leurs habits et empaquetés comme des momies, et quelquefois une pièce de drap ne suffit pas pour leur faire une manche d'été : enfin, tout est girouette dans un Français, depuis les pieds jusqu'à la tête. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Voulez-vous que je vous représente un Français qui veut surprendre la tendresse d'une jeune personne ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Premièrement, je vous avertis que la braise n'est pas plus chaude. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Ma princesse ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Non, mon amour ne peut aller plus loin, et je suis au désespoir de n'avoir que des termes ordinaires pour vous l'exprimer. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Là-dessus, on pleure, on laisse échapper un gros soupir, on se donne de la tête contre un coin de la cheminée : il n'en faut pas davantage ; voilà une femme dans la nasse. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Je sens que j'ai le coeur français. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Je m'en vais vous faire voir un Français sur son retour de tendresse, c'est-à-dire huit jours après la déclaration. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Parbleu, madame, on a ses affaires. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Est-ce là la tendresse que vous m'aviez jurée ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Vous m'aviez tant fait de serments que votre passion serait éternelle ! (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Mais vraiment, mademoiselle, si cela est comme vous voulez me le faire entendre, un Français pour une femme n'est pas une meilleure pratique qu'un Italien. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Adieu, mademoiselle ; je vous promets que je n'entreprendrai rien sur le coeur de votre amant, et qu'à mon égard vous n'aurez point sujet de crier au voleur. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Un coeur est pourtant un larcin dont les femmes aujourd'hui ne se font pas grand scrupule. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Viens çà, Pierrot ; je vais à une grande expédition ; je te laisse maître en ma place : prends bien garde à la maison, et surtout qu'il ne se passe rien autour de nos filles. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Mordi, laissez-moi faire ; si elles me trompent, elles seront bien fines. (Acte 2, scène 4, PIERROT)
- L'honneur est un joyau ; mais un joyau qui se gâte quand on le laisse exposé à l'air. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- Il n'a pas parlé des filles ; car elles étaient fort clairsemées dans son temps, aussi bien que dans celui-ci. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- Vous ne savez donc pas que je suis présentement votre pédagogue ? (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- Je suis à votre égard ce que la bride est à un cheval, un bâton à un aveugle, un gouvernail à un vaisseau : je suis la bride, et vous êtes le cheval ; je suis le bâton, vous êtes l'aveugle ; vous êtes le vaisseau, et moi le gouvernail : mais un gouvernail avec lequel j'empêcherai que vous n'alliez donner contre les rochers des garçons ; car ce monde est une mer, et les vents soufflent dans cette eau qui bouillonne... ce qui fait que la raison dans... cette mer... (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- Vite, vite, au secours ! (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Voilà un homme qui se noie. (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Quand on est fait d'une certaine manière, on en a à revendre de cette marchandise-là. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- Une petite carogne me pria de lui donner un baiser. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- Moi, il ne faut pas me le dire deux fois : 0je ne fus ni fou ni étourdi ; je m'approchai ; elle me donna un grand soufflet : depuis ce temps-là, j'ai bien juré que je n'en baiserais plus. (Acte 2, scène 6, PIERROT)
- L'Espérance, Brise-Fer, Poudre-à-Canon, l'Effroi-des-Poulets ! (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
- Vous n'avez qu'à dire, mon capitaine ; je fais d'abord main basse. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
- Ce drôle-là a tué plus de poulets à lui seul que toute ma compagnie ensemble. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
- En voilà assez d'échinés. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
- Il ne faut pas laisser refroidir cette ardeur-là : allons chercher Cinthio. (Acte 3, scène 1, PASQUARIEL)
- Il me semble qu'il a assez l'encolure d'un dénicheur de filles. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
- Si vous étiez Cinthio, ou que vous fussiez seulement cousin, petit-cousin, arrière-petit-cousin de Cinthio, par la ventrebleu ! (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
- Car vous me paraissez bien échauffé. (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
- C'est un drôle qui va de fille en fille avec une promesse de mariage circulaire. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
- Par ma foi, j'en suis bien aise. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
- Vous ne voulez donc pas, monsieur, épouser ma soeur ? (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
- Sommes-nous dans un siècle à épouser ? (Acte 3, scène 2, CINTHIO)
- Laissez-moi faire seulement. (Acte 3, scène 2, ARLEQUIN)
- Comme il faut sortir vigoureusement d'une affaire. (Acte 3, scène 3, ARLEQUIN)
- Enseignir moi, s'il plaît à monsir, où être un logiment pour mon chevau et pour mon personne. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
- Tenez, monsieur, en voilà une où vous serez parfaitement bien ; il y a de bon vin, et vous y trouverez aussi de jolies filles ; et voilà ce que vous demandez ; j'entends à demi-mot. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Moi demandre excuse à monsir, si ne parlir pas bon français ; mais mon pensir l'être beaucoup plus meilleur que mon parlemente. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
- Croyez-moi, monsieur, allez vous reposer dans cette hôtellerie-là : car un homme qui n'a qu'une jambe doit être une fois plus las qu'un autre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Vous verrez que c'est un de ces sots qui se sont laissé prendre. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Moi avoir toujours fait mon service sur la mer, et j'ai commandir un vaisseau de guerre des États dans le combat naval. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
- Apparemment que vous avez un bon passeport ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Moi venir expressément de mon pays, de la part des États, pour demandir à la cour qu'on me rendre mon vaisseau, que sti tiaple de Français avoir fait griller comme du poudin. (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
- Il fallait crier au feu ; quelqu'un serait venu à votre secours. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Mais, monsir, comment faire pour servir ? (Acte 3, scène 4, LE-HOLLANDAIS)
- Moi, n'avoir plus ni jambe, ni vaisseau. (Acte 3, scène 4, LE HOLLANDAIS)
- Je vous conseille, monsieur, d'aller servir aux Invalides. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Das, dick... Mon petit ami, vous sentez votre vieux rossé. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Allons, dépêchons-nous vite ; tire ton écritoire, ferme la porte, chasse les chiens, prends une chaise, mouche ton nez, laisse de la marge, écris gros. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
- Dites-moi votre nom, surnom, qualité, patrie, rue, paroisse, logis, appartement. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
- Vous croyez donc, mon ami, que j'ai le loisir d'entendre toutes vos sottises ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
- Et cinq ou six demoiselles à faire déménager ? (Acte 3, scène 5, PIERROT)
- Connaissez-vous cette soi-disant fille-là ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
- Et vous, la belle aux yeux escarbillards, connaissez-vous ce pèlerin-ci ? (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
- Je ne le connais que trop ; c'est un ingrat qui m'a trompée avec une promesse de mariage. (Acte 3, scène 5, ISABELLE)
- Si toutes les filles d'aujourd'hui avoient autant de maris que de promesses de mariage, elles en auraient assez pour en changer par saison. (Acte 3, scène 5, ARLEQUIN)
- Tenez, monsieur, la voilà ; lisez. (Acte 3, scène 5, ISABELLE)
- Tenez, lisez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Lisez donc ; je vous cède mes droits de magistrature. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- En voilà assez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Nous allons voir si vous avez bon air à danser au bout d'une ficelle. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Non, monsieur le Commissaire, il n'y a point de supplice assez cruel pour punir sa perfidie. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- À quoi le désespoir ne m'a-t-il pas réduite ? (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- J'ai quitté mes parents pour le suivre ; je me suis exposée à mille hasards ; car vous savez les risques que court une fille toute seule. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- Je me suis mise servante dans l'auberge d'Arlequin, où j'ai caché mon nom sous celui de Claudine. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- Tu me le payeras, coquin, de faire pleurer mon secrétaire. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Que la corde soit bien grosse ; voilà un fripon qui a la vie dure. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Je me servirai de cet argent-là pour vous faire une pompe funèbre. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Mais, monsieur le Commissaire, un peu de quartier ; je suis prêt à l'épouser. (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
- T'épouser, après toutes tes infidélités ! (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- Je renonce à ta tendresse ; je ne veux point d'un coeur aussi corrompu que le tien. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- De grâce, mademoiselle, que l'amour vous fasse oublier un crime que l'amour même a fait commettre ! (Acte 3, scène 6, CINTHIO)
- Écoutez, mademoiselle ; quand il sera sec, vous n'en serez pas plus grasse ; vous l'êtes assez. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN, PIERROT)
- Pourvu qu'il paye grassement mes écritures, je vous conseille de lui pardonner ; il est assez puni d'avoir une femme. (Acte 3, scène 6, PIERROT)
- Je devrais vous haïr, et je sens que je ne le puis. (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- Présentement que l'affaire est toisée, il est bon de vous dire que le commissaire et le clerc sont deux fripons qui ont pris cet habit-là pour vous faire marier ensemble. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Monsieur, en faveur de cette noce-là il faut se divertir. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Allons, qu'on fasse venir les violons, et qu'on appelle toute l'auberge. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Elle a beau se contraindre, v.14 (Acte 3, scène 7, MEZZETIN)
- Veut quitter prise ; v.22 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN, MEZZETIN, PASQUARIEL)
- Une sottise. v.25 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN, MEZZETIN, PASQUARIEL)
LE BAL (1696)
- À pouvoir se sauver ici de quelque orage. v.12 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- On dit que pour la noce ici tout se prépare. v.16 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Lisette dans ces lieux m'a promis de se rendre v.19 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Sentez plutôt. Quel baume ! v.32 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR-GRASSET)
- Se peut-il volerie aussi haute ? v.60 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Juste ciel ! Seulement fais qu'avant mon trépas v.62 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Je puisse de mes yeux voir trois de ces corsaires, v.63 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Danser la sarabande à deux pieds des pavés ! v.66 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Adieu.... Laissez-m'en deux, comme un échantillon, v.69 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Pour montrer qu'à bon droit vous passez pour fripon. v.70 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Je l'ai fait à dessein. Hippocrate commande, v.72 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Et dit en quelque endroit que, pour se bien porter, v.73 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Il se faut quelquefois dérober un souper. v.74 (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- En t'attendant, tu vois que je me désennuie. v.79 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Tout est perdu, Merlin ; Léonor se marie. v.80 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- De Falaise à Paris vient par le messager : v.82 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Hors ma maîtresse et moi, tout le monde s'apprête. v.84 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Et de Falaise encor. Dis-moi : monsieur Géronte, v.91 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Et que dit ta maîtresse ? v.95 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Elle se désespère, v.95 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Quoi ! Ma pauvre Lisette, v.100 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Laisserons-nous crever un pauvre agonisant ? v.101 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- À venir traverser ce maudit mariage. v.108 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Comme moi, des fripons ! Fijac seul me ressemble. v.111 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Je le verrai, nous agirons ensemble. v.112 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Si Valère pouvait seulement se montrer... v.113 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Bon ! Cela ne se peut. Comment pouvoir entrer ? v.114 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Ne sais-tu pas encor quelle adresse est la nôtre ? v.116 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- On m'a dit que ce soir on doit danser, chanter. v.117 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Aide-nous seulement. v.119 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Mon maître, plus heureux, épouse incognito, v.121 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Je pourrai t'épouser de même ex abrupto. v.122 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Dont on sort rarement, a voulu se munir, v.125 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Oui-da, l'état de veuve est une douce chose : v.127 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- On a plusieurs amants, sans que personne en glose ; v.128 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- On laisse celui-ci de peur qu'il ne se gâte ; v.132 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- J'ai du montant de reste, et le vin assez gai. v.146 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Mais je m'arrête trop, et je laisse mon maître v.147 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Se distiller en pleurs, et s'enivrer peut-être. v.148 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Je te quitte, et je vais arrêter ses transports. v.149 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Si Lisette est pour nous, nous sommes assez forts. v.150 (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Je veux à les servir m'employer tout entière : v.151 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
- De la joie ! Ah, Lisette ! À la fin, dans la cour, v.153 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
- Qu'on avait mis en croupe ainsi qu'une valise. v.159 (Acte 1, scène 6, GILLETTE)
- L'affaire est dans sa crise. v.160 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Trop heureuse maison, et vous, murs trop épais, v.161 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Mais bientôt, malgré vous, je verrai ses appas v.165 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Cap à cap, sans réserve, et du haut jusqu'en bas. v.166 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Je verrai son nez... son... Mais j'aperçois Lisette. v.167 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Maîtresse subalterne, adorable soubrette, v.168 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Pour serrer le doux noeud du lien conjugal. v.170 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Le bourreau t'en fasse un qui te serre la gorge, v.171 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Sur son blanc estomac deux globes se soutiennent, v.175 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Qui pourtant, à l'envi, sans cesse vont et viennent, v.176 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Oh ! Non, elle est bai clair ; ses cheveux sont en onde, v.180 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Comment se porte-t-elle ? v.185 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Assez mal : elle dit v.185 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Sans cesse elle soupire. v.189 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Pour savoir se servir d'une beauté d'emprunt, v.193 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- L'autre, de faux cheveux compose sa coiffure ; v.195 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Cette autre de ses dents bâtit l'architecture ; v.196 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Et l'autre ses tétons à l'art de son tailleur. v.198 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Bon, hon : va, s'il fallait que cette marchandise v.207 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Fût sujette à visite avant que d'être prise, v.208 (Acte 1, scène 7, SOTENCOUR)
- Ah ! Serviteur, mon gendre : v.211 (Acte 1, scène 8, GÉRONTE)
- L'esprit sec et bouché, le regard de hibou, v.233 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Mais le sexe, à Paris, a la mine jolie, v.235 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Me réserveriez-vous pour un tel accident ? v.245 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Qui ne dit mot, consent, v.246 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
- Beau-père, jusqu'ici, s'il faut que je le dise, v.247 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- La future n'a point encor dit de sottise ; v.248 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Peut-être qu'elle en pense : en tout cas, j'avertis v.249 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Des filles de Falaise. Il étudie en droit, v.257 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Très altéré, beau-père, au moins ne vous déplaise : v.263 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- On a soif volontiers, quand on vient de Falaise. v.264 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Je me sens là-dedans un terrible appétit. v.266 (Acte 1, scène 8, SOTENCOUR)
- Lisette, que dis-tu de monsieur Sotencour ? v.274 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
- À ne t'en point mentir, je suis au désespoir. v.277 (Acte 1, scène 9, LÉONORE)
- Il faut qu'il vous épouse, où j'y perdrai la vie. v.280 (Acte 1, scène 9, LISETTE)
- Laissez-nous, s'il vous plaît, avec tous nos ennuis. v.301 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
- Tant mieux : je vous voudrais encor désespérée. v.308 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Je sais juste baisser ou hausser une corde ; v.316 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Ah ! Laisse-moi, Lisette, en proie à mon malheur. v.325 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
- Écoutez-le, de grâce, un seul moment sans peine ; v.327 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- À quoi m'exposez-vous ? v.335 (Acte 1, scène 10, LÉONORE)
- Je ferai sentinelle. v.336 (Acte 1, scène 10, LISETTE)
- C'est Lisette, monsieur, qui cause ce vacarme. v.343 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Fais mieux le guet au moins : une seconde alarme v.344 (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Ah, madame ! Aujourd'hui secondez nos amours ; v.346 (Acte 1, scène 10, VALÈRE)
- Évitez d'un rival l'odieuse poursuite ; v.347 (Acte 1, scène 10, VAL?RE)
- Lisette, quelle est donc cette mine bouffonne ? v.356 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
- Je crois dès à présent sa musique enragée : v.359 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
- Pour des doubles bidets, passe. v.361 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
- Laissez... v.365 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Et que j'ai pris plaisir à composer moi-même v.368 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Cela ne se dit point. v.370 (Acte 1, scène 11, LISETTE)
- Pour vous servir, monsieur, v.374 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Sur cette basse v.376 (Acte 1, scène 11, SOTENCOUR)
- Vous seriez trop longtemps, monsieur, à l'accorder ; v.378 (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Hé bien, que dirons-nous ? Où donc est ta maîtresse ? v.395 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
- Je vois qu'à me trouver la belle peu s'empresse. v.396 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
- Bon, je sais des maris, qui, pour éviter noise, v.399 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
- N'ont jamais approché leurs femmes d'une toise, v.400 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
- Et qui ne laissent pas d'avoir en leur maison v.401 (Acte 1, scène 12, LISETTE)
- On m'a dit seulement que sa langue babille. v.407 (Acte 1, scène 12, SOTENCOUR)
- Qué, sans plus différer, ici jé vous embrasse. v.416 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
- Oui, je me nomme un tel ; mais j'ai, ne vous déplaise, v.419 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
- Jé viens vous montrer l'aise v.420 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
- Et vais le front levé sans crainte du sergent. v.430 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
- Sotencour est mon nom, me connaissez-vous bien ? v.433 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
- Je vous dois quelque chose ? v.435 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
- Vous né connaissez plus lé baron d'Aubignac, v.441 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
- Quand elle le serait encor plus que le Nil, v.445 (Acte 1, scène 13, SOTENCOUR)
- Un jour dé carnaval, chez cetté conseillère v.451 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
- Donnez-lui seulement deux ou trois cents écus. v.465 (Acte 1, scène 13, LISETTE)
- Non, non, laissez-moi faire, v.468 (Acte 1, scène 13, LE-BARON)
- Il le sera dans peu. v.477 (Acte 1, scène 14, GÉRONTE)
- Oh ! Qu'il ne vous dit pas tout ce que le mien pense ! v.511 (Acte 1, scène 16, LÉONORE)
- Parbleu, plus d'une curieuse v.515 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
- De l'aîné des Amours va tomber amoureuse, v.516 (Acte 1, scène 16, SOTENCOUR)
- Qu'il va blesser de coeurs ! v.519 (Acte 1, scène 16, LISETTE)
- Laissez-moi faire ; allez, je ne suis pas un sot. v.522 (Acte 1, scène 17, MATHIEU-CROCHET)
- Je vais plus qu'on ne veut, quand on m'a mis en danse. v.523 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
- C'est à nous de danser et d'entamer le bal. v.525 (Acte 1, scène 17, MATHIEU CROCHET)
- Au secours ! Au secours ! Votre fille, on l'emporte ; v.527 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
- Des carêmes-prenants lui font passer la porte. v.528 (Acte 1, scène 18, GILLETTE)
- Tu rêves : tiens, voilà que je danse avec elle, v.532 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
- Monsieur, laissez-la dire ; elle a perdu l'esprit. v.533 (Acte 1, scène 18, MERLIN)
- Au diable la pécore avec ses visions ! v.537 (Acte 1, scène 18, SOTENCOUR)
- Serviteur. v.539 (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
- J'ai votré Léonor pour mon nantissement, v.542 (Acte 1, scène 18, LE-BARON)
- On m'enlève ma fille ! Au secours ! Au voleur ! v.545 (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- Contre un hymen injuste on a pris sa défense. v.548 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
- Que Léonor, pour vous, sent une haine extrême ; v.552 (Acte 1, scène 19, VALÈRE)
- Oh bien, la belle peut revenir sur ses pas v.561 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
- Je lui baise les mains et la rends de bon coeur. v.566 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
- Retournons à Falaise. v.570 (Acte 1, scène 19, SOTENCOUR)
- Nous vous devons assez en ce moment, v.577 (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
- Pour ses maux soulager : v.592 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
- Ma bergère, laisse-moi, v.593 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
- Ma bergère, laisse-moi v.595 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
- Prendre un tendre baiser. v.596 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
- Ma bergère, laisse-moi, v.597 (Acte 1, scène 20, LES-MASQUES)
- Ma bergère, laisse-moi v.599 (Acte 1, scène 20, LES MASQUES)
- Prendre un tendre baiser. v.600 (Acte 1, scène 20, LES MASQUES)
- Un baiser dérober ? v.604 (Acte 1, scène 20, MERLIN)
ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)
- Champagne, Picard, la Violette, Tortillon, Basque, mes pantoufles, ma robe de chambre, mon carrosse, à dîner, un bouillon. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
- Ne suis-je pas bien malheureux qu'un homme de ma qualité soit obligé d'éveiller ses gens lui-même ? (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- C'est un trésor en hiver qu'un laquais au pied d'un lit ; son ventre sert de bassinoire. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- Ce n'est point pour te quereller, Mezzetin, que je t'éveille de si bon matin ; c'est seulement pour te dire que toutes ces bonnes fortunes me donnent fort à penser. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
- À l'égard de celles qui me viennent par les présents que l'on m'envoie de toutes parts, passe ; mais pour celles que nous faisons en volant des montres, en enfonçant des boutiques, et en coupant des bourses ; ma foi, j'ai peur que toutes ces bonnes fortunes-là ne nous fassent faire notre mauvaise fortune à la Grève. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- Tenez, voilà-t-il pas encore la robe que vous volâtes à cet aveugle des Quinze-Vingts, qui vous sert de robe de chambre ? (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- J'ai déjà dit trois ou quatre femmes que j'avais besoin d'un surtout de toilette : il y a bien du relâchement dans la galanterie ; et les femmes commencent à se décrier furieusement dans mon esprit. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
- Nous ne vivrons pas longtemps bien ensemble. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- À propos de robe de chambre, tandis que vous dormiez, madame la marquise de Noirchignon vous en a envoyé une. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Passe. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Il est aussi venu' un laquais de la part de madame la comtesse de Charbonglacé, qui a laissé un paquet dans une toilette. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- La Comtesse pourrait bien me faire faire la sottise de l'aimer. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Laisse-le entrer. (Acte 1, scène 1, LE-VICOMTE)
- Monsieur, c'est la Marquise. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
- Donne-moi vite la robe de chambre de la Marquise. (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
- Ce n'est pas la Marquise, monsieur, c'est la Comtesse. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
- Et vite, la robe de chambre de la Comtesse ! Tout serait perdu si elle me trouvait sans cela. (Acte 1, scène 3, LE-VICOMTE)
- Je n'ai pourtant encore fait la conquête que d'un bouillon postérieur qui me cause des épreintes horribles : il faut que ma femme de chambre ne me l'ait pas donné de droit fil. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
- Ce n'est pas avec des simples que l'âcreté de mon mal peut se guérir : ma maladie est là. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
- On sait bien qu'une femme grosse a toujours de petits maux de coeur. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
- Moi, grosse ! (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
- Grosse ! (Acte 1, scène 4, LA VEUVE)
- Je n'ai rien, c'est que je soupai furieusement hier au soir. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
- Il faut qu'il y ait autre chose : N'êtes-vous point hydropique ? (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
- J'en serais bien fâché. (Acte 1, scène 4, LE-VICOMTE)
- Une, deux, trois robes de chambre, c'est-à-dire trois maîtresses. (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
- Voilà l'effet de tes serments !... (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
- Mon_Dieu, ma soeur, cela est bien aisé à dire ; mais vous ne parleriez pas comme vous faites, si vous sentiez ce que je sens. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Et que sentez-vous donc, s'il vous plaît ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Vraiment, je vous trouve une jolie mignonne, pour sentir quelque chose ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Et que sentirai-je donc, moi qui suis votre aînée ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Est-ce que l'on m'entend plaindre des envies que cause I'état de fille ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Vous êtes encore une plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Plaisante morveuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Je ne suis pas si morveuse que je le parais, et il y aurait déjà longtemps que je serais femme si mon père avait voulu ; car on m'a dit qu'on pouvait l'être à douze ans. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Qui vous a donc appris de si belles choses ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Cela ne s'apprend-il pas tout seul ? (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Quand je songe que je serai mariée, je suis si aise, si aise ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Il faut que ce soit quelque chose de fort joli que le mariage, puisque la pensée seule fait tant de plaisir. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Les soins des domestiques, l'incommodité d'une grossesse : non, quand il n'y aurait que la peur d'avoir des enfants, je renoncerais au mariage pour toute ma vie. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- On dit que c'est pour cela qu'il faut se marier. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Quelle petitesse de raisonnement ! (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Je supporterai fort bien toutes les fatigues du ménage ; et quoique je sois jeune, si j'étais mariée présentement, je suis sûre que je n'en mourrais pas. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Tout ce que je puis faire encore pour vous, c'est de vous conseiller de bannir de votre cerveau toutes vos idées matrimoniales, et de croire qu'il n'y a personne assez dépourvu de bon sens pour vouloir se charger de votre peau. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- La la, cette charge-là n'est pas si pesante et ne fait pas peur à tout le monde : il n'y a pas encore huit jours que je trouvai dans une boutique, au Palais, un monsieur de condition, qui me dit que j'étais bien à son gré, et qu'il serait bien aise de m'épouser. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Vous serez plus grande et plus folle. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Vous ne voyez donc pas qu'il se moquait de vous, et que vous vous donnez un ridicule dans le monde ? (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Je vous dis, encore une fois, que j'ai plus d'âge qu'il ne faut ; mais puisque vous me trouvez trop jeune, faisons une chose ; vous avez quatre années plus que moi, donnez-m'en deux ; cela ne gâtera rien ni pour l'une, ni pour l'autre. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Qu'est-ce donc, mesdemoiselles ? (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- Voilà bien du bruit : il me semble que vous vous flattez comme chiens et chats. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- Pierrot, c'est ma soeur qui se fiche : elle veut qu'il n'y ait de mari que pour elle. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Est-ce que cela se peut ? (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- Voyez-vous, mademoiselle, il faut marier les filles quand elles sont jeunes. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- Ce gibier-là ne se garde pas : la mouche s'y met. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- Hé ! Pardi, laissez-la dire. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- J'ai... mais je n'oserais le dire. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Vous avez raison, car vous allez dire une sottise. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Palsangué, laissez-la donc parler : vous lui rembourrez les paroles dans le ventre. (Acte 1, scène 6, PIERROT)
- Il n'y a plus moyen de tenir à vos impertinences : je vous laisse ; et si je faisais bien, j'avertirais mon père de mettre ordre à votre conduite. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Çà, çà, Pierrot, il faut que tu me fasses un plaisir. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- C'est une belle chose que la nature ! (Acte 1, scène 8, PIERROT)
- Si, par bonheur, ou par malheur, vous veniez à être mariée, vous vous presseriez. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Je sais de vos fredaines : vous n'avez pas toujours une aiguille et de la tapisserie entre les mains, et vous commencez à escrimer de la plume. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Laissez là votre ouvrage, et m'écoutez. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Le mariage, dis-je, étant un usage aussi ancien que le monde ; car on s'est marié avant vous, et on se mariera encore après... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- J'ai résolu, pour éterniser la famille Brocantine... (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Est-ce que je ne me porte pas encore assez bien ? (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Vous l'épouserez ? (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Une autre fille que moi, qui ne saurait pas vivre, vous dirait, mon père, que vous risquez beaucoup en vous mariant ; qu'il faut avoir perdu l'esprit pour songer, à votre âge, à un engagement, et que l'on renferme tous les jours des gens aux Petites-Maisons pour de moindres sujets : mais moi, qui sais le respect que je vous dois, sans me prévaloir des raisons que les enfants ont d'appréhender un second mariage, je vous dirai que, puisque vous crevez de santé, vous faites parfaitement bien de prendre une femme. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Pour moi, je vous le conseille ; car je voudrais que tout le monde fût marié. (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
- Vous prenez la chose du bon biais. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Non ; on ferait bien mieux de vous laisser passer la première, et d'attendre à me marier que vous eussiez trois ou quatre enfants ! (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Il faut bien qu'elle passe avant toi ; elle est ton aînée ; et afin de te mettre en état d'être bientôt mariée, elle épousera un honnête homme. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- J'ai bien du respect pour la médecine ; mais, avec votre permission, mon père, je n'épouserai point un médecin. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Avec votre permission, ma fille, vous l'épouserez. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- Je vous prie, mon père, de ne me point donner ce chagrin, et ne m'obligez pas à épouser un homme pour qui je n'ai nulle estime. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Il n'y a qu'un mot qui serve ; il faut épouser monsieur Bassinet, ou un couvent. (Acte 2, scène 1, BROCANTIN)
- J'aime mieux lui céder mes droits, et qu'elle passe avant moi. (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Monsieur, j'étais avec cette femme qui marchande ces singes, et qui veut donner six écus du gros, parce qu'elle dit qu'il ressemble à son mari. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
- Laisse cela ; j'ai autre chose en tête. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
- Va me chercher Octave ; j'ai quelque chose de conséquence à lui dire. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
- Je vois bien que nous ne vivrons pas longtemps ensemble : je ne veux point de bête dans ma maison. (Acte 2, scène 2, BROCANTIN)
- Il m'aime bien, car il me l'a dit, et j'espère que nous serons bientôt mariés ensemble. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse, c'est que je ne sais pas encore tout à fait ce que c'est que le mariage : ne pourrais-tu pas me le dire ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Assurément ; il n'y a rien de si aisé : c'est comme qui dirait une chose... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
- Vous ne pouviez jamais mieux vous adresser qu'à moi. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
- C'est comme, par exemple, une chose où l'on est ensemble... Votre père... avait épousé... votre mère... ; ça faisait qu'ils étaient deux ; et comme çà, votre grand-père..., d'un côté..., la nature... (Acte 2, scène 3, PIERROT)
- Mais vous n'aurez pas été deux jours ensemble, que vous saurez toutes ces drogues-là sur le bout du doigt. (Acte 2, scène 3, PIERROT)
- Ah, mademoiselle ! (Acte 2, scène 3, PIERROT)
- Mademoiselle, prêtez-moi un écu ; je n'ai point de monnaie. (Acte 2, scène 4, LE-VICOMTE)
- Monsieur, je n'ai point ma bourse sur moi ; mais je vais le faire payer. Holà, quelqu'un ! Qu'on paye cet homme-là. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Ces marauds-là ne sont jamais contents. J'en ai déjà tué quinze ou seize ; mais je ne serai point satisfait que je n'en aie achevé le quarteron. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Ma foi, mademoiselle, les heures d'un joli homme sont bien comptées. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Les femmes se pressent aujourd'hui ; elles savent que les quartiers d'hiver seront diablement courts cette année ; je n'ai pas un moment à moi. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
- À peine ai-je quitté la toilette, qu'il faut aller dîner chez Rousseau. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Au feu d'une pipe qu'il faut qu'un homme de qualité allume sa tendresse. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Ont-ils le sens commun ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- C'est ce que je dis tous les jours à deux grands haquiers d'avocats, qui sont sans cesse autour de moi à me faire endêver. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Je veux être déshonoré, vous êtes la seule bourgeoise avec qui je déroge ; mais, à vous parler franchement, toutes les femmes que je vois, au prix de vous, c'est, ma foi, de la piquette contre du vin de Sillery. (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Vous dites la même chose de moi quand vous êtes auprès d'une autre ? (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Mais, à propos de guenon, quand nous marions-nous ensemble ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Écoutez, il ne faut pas laisser morfondre l'amour d'un officier ; cela n'est pas de longue haleine. (Acte 2, scène 5, LE VICOMTE)
- Je ne sais pas ; mais mon père dit qu'il y a quatorze ans que ma mère était grosse de moi. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Je sais déjà bien des choses : j'ai déjà lu cinq ou six comédies de Molière, et j'en suis au troisième tome de Cyrus ; je fais du point à la turque, et j'apprends à chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Je vous prie de m'excuser ; j'ai aujourd'hui quelque chose qui m'en empêche. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- S'il n'y avait que cela, je ne laisserais pas de chanter. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Qu'avez-vous donc autre chose ? (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Comme si les fontanges faisaient quelque chose à la voix ! (Acte 2, scène 5, LE-VICOMTE)
- Je ne suis pas encore assez forte pour tenir ma partie. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Il y a là-bas deux sergents et environ douze archers qui vous guettent pour vous mettre en prison. (Acte 2, scène 6, PASQUARIEL)
- Ce sont bien des pousse-culs, de par tous les diables. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
- Ne peut-on pas savoir la cause de votre chagrin ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Je partis : présentement, voyez, je vous prie, le peu de bonne foi qu'il y a dans le commerce ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
- De mauvaises raisons : il dit qu'il n'a point fait ce billet-là ; mais son nom y est, une fois ; il faudra bien qu'il le paye ou qu'il crève ; car, palsambleu ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
- Voilà encore une montre qui est assez jolie. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Mais, mais, mademoiselle, vous poussez ma complaisance à bout. (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
- Ah, charmante princesse ! (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
- Mais, mademoiselle, ces breloques-là valent-elles bien deux cents pistoles ? (Acte 2, scène 7, LE-VICOMTE)
- Monsieur le Vicomte, vous m'épouserez, au moins. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Que je suis aise de lui avoir fait ce petit plaisir ! (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
- Ayant appris, monsieur, que vous êtes un homme savant et de bon conseil, je voudrais bien vous parler d'une affaire que je suis sur le point de terminer. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
- Qu'on ne se repent jamais de se taire, et qu'on s'est repenti souvent d'avoir parlé ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Ignorez-vous que la nature a donné à l'homme deux pieds pour marcher, deux bras pour agir, deux narines pour sentir, et qu'elle ne lui a donné qu'une langue pour parler ? (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
- Pythagore faisait observer le silence à ses disciples pendant sept années. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Solon avait coutume de dire qu'un homme qui parle beaucoup est semblable à un tonneau vide, qui fait plus de bruit qu'un plein. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Bias, qu'un grand parleur n'était autre chose qu'une forteresse sans murailles, une ville sans porte, et un vaisseau sans gouvernail. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Isocrate, qu'il n'y avait ici-bas que deux choses à faire, écouter et se taire. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Taisez-vous donc. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
- Je sais bien que l'usage de la parole a été donné à l'homme pour expliquer ses pensées. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Selon Socrate, c'est I'art de persuader ; selon Agathon, c'est l'art de tromper ; selon Gorgias, l'usage du discours ; selon Chrysippe, la clef des coeurs ; selon Cléanthe, la science des sciences ; selon Vatadérius, le boulevard de la vérité ; selon Aristote, le bouclier de l'orateur ; selon Cicéron, l'art de bien dire ; et selon moi, l'art de ne guère parler. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Si vous voulez donc que je vous donne mes avis, expliquez-moi le sujet dont il s'agit ; mais surtout d'un style vif, serré, pressé, concis, laconique, car vous savez que la vie de l'homme est courte : ars longa, vita brevis. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Le temps est cher ; on en perd tant à boire, à manger, à dormir, à s'habiller, à danser, à rire, à chanter ; et l'on ne songe pas que la santé revient après la maladie, le printemps après l'hiver, la paix après la guerre, le beau temps après la pluie ; mais que le temps passé ne revient jamais. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
- Mais vouloir savoir est une chose, et savoir en est une autre. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- C'est que l'un se conduit par la raison et l'autre par l'instinct. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- C'est que l'un paye ses dettes, l'autre se moque de ses créanciers. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
- C'est que l'un assassine peu à peu ses malades, et que l'autre tue tout d'un coup ceux qui se portent bien. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
- Les erreurs d'Ulysse ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Je voudrais savoir seulement si je dois épouser une brune ou une blonde. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
- Vous ne toussez ni ne crachez : je ne puis prendre mon temps. (Acte 3, scène 1, ARLEQUIN)
- Vous voulez donc savoir si vous devez épouser une brune ou une blonde ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Voulez-vous que je vous dise cela par les règles d'astronomie, prophétie, chronologie, analogie, physionomie, chimie, astrologie, hydromancie, éromancie, pyromancie, koscinomancie, chyromancie, nigromancie ? (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Si vous voulez, je me servirai des connaissances de la rhétorique, physique, logique, métaphysique, arithmétique, art magique, poétique, politique, musique, dialectique, éthique, mathématique, téraprectique. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- La blonde est tendre, languissante et amoureuse ; la brune est vive, gaillarde et fringante. (Acte 3, scène 1, LE-DOCTEUR)
- Ainsi vous voyez que c'est une matière bien délicate : Undique ambages, et qu'il est difficile d'y porter un jugement certain ; car, quoique je sois consommé dans toutes sortes de sciences, ne croyez pas que je veuille que mon sentiment prévale. (Acte 3, scène 1, LE DOCTEUR)
- Pardi, mademoiselle, vous voilà à charmer ! (Acte 3, scène 2, PIERROT)
- Ne pense pas te moquer ; je tâterais fort bien de l'armée, et je n'appréhenderais pas plus le feu qu'un autre. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Tu sais que mon père veut que j'épouse monsieur Bassinet. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Je me sers du déguisement où tu me vois pour détourner ce mariage. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Je vais lui apprendre des nouvelles d'Isabelle, et je lui en ferai, parbleu, passer l'envie. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Pour moi, Pierrot, je ne m'embarrasse pas de cela ; je ne songe qu'à faire rompre, si je puis, l'impertinent mariage dont je suis menacée. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Mais je crois que voilà monsieur Bassinet ; laisse-moi avec lui : je vais commencer mon rôle. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- C'est lui-même ; il ressemble à un marcassin. (Acte 3, scène 2, PIERROT)
- Serviteur, monsieur, serviteur. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- On m'avait dit que Mademoiselle Isabelle était dans sa chambre. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Mademoiselle Isabelle est-elle malade ? (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Je viens ici pour l'épouser. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Pour l'épouser ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- N'avez-vous point senti quelque petit mal de tête... (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Ma foi, vous porterez bien cela ; et je suis plus aise que vous ayez cette fille-là qu'un autre. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Mais quand elle sera votre femme, au moins n'allez pas nous la gâter par vos manières ridicules. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Nous avons eu assez de peine à la mettre sur le pied où elle est. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Je vois bien qu'elle ne serait point mauvaise pour vous. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Elle a, par-dessus cela, une adresse à conduire une affaire de coeur qui ne se comprend pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Voilà des qualités merveilleuses pour être femme. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Les uns disent qu'elle a des vapeurs ; les autres lui font faire un voyage : il y en a d'assez enragés qui lui font garder le lit cinq ou six mois pour une détorse... et... que sais-je, moi ! (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Quand il n'y en aurait que le quart, c'est bien encore assez, de par tous les diables ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Une détorse ! (Acte 3, scène 3, MONSIEUR BASSINET)
- Au moins, je veux être de vos amis ; et je prétends, quand vous serez marié, aller sans façon manger chez vous votre chapon. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- À ce que je vois, vous connaissez parfaitement la demoiselle en question ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Ce n'est pas d'aujourd'hui que nous sommes toujours ensemble, et si vous étiez discret, je vous apprendrais quelque chose sur son chapitre, que je suis sûr que vous ne savez pas. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Je passe... (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Je passe toutes les nuits dans sa chambre. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- mais vous irez jaser. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Ensemble ? (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Ensemble ; et cette nuit nous en ferons autant infailliblement. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Elle ne saurait se coucher sans moi. (Acte 3, scène 3, ISABELLE)
- Je ne vois pas que rien presse encore de quitter la robe et le bonnet de médecine, pour me faire coiffer de mademoiselle Isabelle. (Acte 3, scène 3, MONSIEUR-BASSINET)
- Pardi, monsieur Bassinet, je crois que vos fumées d'amour pour Isabelle sont bien passées présentement. (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
- Serait-il arrivé quelque malheur dans ma famille ? (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
- C'est comme des armes à feu ; ça tire quelquefois sans qu'on y pense. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
- Il m'a promis qu'il quitterait sa profession de médecin, si je voulais lui donner Isabelle, et qu'il se ferait troqueur. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
- Si vous voulez me la bailler, je vous quitte, vous et vos chevaux, dès demain ; et si, je crois que je vous panse avec autant d'honneur qu'un médecin fait ses malades. (Acte 3, scène 5, PIERROT)
- Voulez-vous que je vous dise mon sentiment ? (Acte 3, scène 5, PIERROT)
- Notre vacation est la plus jolie du monde ; nous voyons tout ce qu'il y a de gens de qualité ; il n'y a point de prince qui fasse la dépense que nous faisons ; nous changeons de meubles tous les jours ; on ne voit jamais chez nous la même chose, et notre cabinet est le rendez-vous de tous les fainéants de la ville. (Acte 3, scène 5, BROCANTIN)
- On dit que c'est l'ambassadeur du prince Tonquin des Curieux qui veut m'épouser. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
- Le prince des Curieux épouser ma fille ! (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
- Je suis bien obligé à son altesse tonquinoise. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
- Ah, mademoiselle ! (Acte 3, scène 7, PIERROT)
- Quel diable de jargon ! Qu'est-ce donc qu'il dégoise là ? (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
- Je ne veux point épouser un perroquet. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Un jour de rester seule à la tontine... v.13 (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- J'ai ma soeur qui est bien plus jolie que moi ; et si vous aviez vu ma cousine Gogo, c'est tout autre chose. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Oh ! Je ne veux jamais rester seule ; j'ai trop peur. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Ce n'est pas sans raison que nos anciens modernes ont dit ingénieusement que le mariage était d'une très grande ressource pour de certaines gens, et que les aigrettes, dont quelques femmes galantes faisaient présent à leurs maris, étaient semblables aux dents, qui font du mal quand elles percent et nourrissent quand elles sont venues. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Avec moi, monsieur, point de surprise. (Acte 3, scène 7, BROCANTIN)
- Seriez-vous bien aise d'être ma femme ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Je vous avertis par avance que si je suis jamais mariée avec vous, je ne vous incommoderai point de toute la nuit ; car je suis la meilleure coucheuse du monde : je me trouve le matin comme je me suis mise le soir. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Sera, si cela se peut, sage ; v.15 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Elle doit se faire une loi v.16 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Il me semble de voir un cheval de louage ; v.23 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Item, point de maître à danser ; v.33 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Ce sont courtiers d'amour dont il faut se passer. v.34 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Ces gens-là se font trop de fête ; v.35 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Mais avant de passer outre, il est bon que je vous fasse part de quelques petits avis en vers, que j'ai faits pour servir de niveau à la femme qui tombera sous ma coupe. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Point de maître à danser ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Ou bien cochers sexagénaires. v.42 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Ces oiseaux gras et bien nourris v.44 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Ils se racquittent près des femmes v.47 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- C'est à cause de cela. Ces messieurs-là ne montrent pas toujours la courante et le menuet. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Qui voudra se mettre en famille, v.50 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Dès qu'on en casse les coquilles, v.57 (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Je vous expliquerai tout cela quand vous serez ma femme. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Apparemment que vous disposez le bal pour notre mariage ? (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
- Je m'en doutais bien, car j'ai eu envie de faire une selle en le voyant. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
- Il y a encore pis que cela ; cet homme sera pendu avant qu'il soit vingt-quatre heures. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
- Et comment connaissez-vous cela ? (Acte 3, scène 8, BROCANTIN)
- Je n'y manque jamais, à une heure près ; et, si vous voulez, je vous dirai quand vous le serez. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
- Ni moi d'une fille qui a eu des détorses de neuf mois. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-BASSINET)
- Je venais ici pour vous dire que je ne voulais point de la fille d'un fou, et qui passe toutes les nuits avec des godelureaux. (Acte 3, scène 8, MONSIEUR BASSINET)
- Consolez-vous, la belle, je vais vous présenter un époux qui vaudra cette vilaine égoutture de bassin. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
- Ce sera là votre second gendre ; c'est un grand seigneur de mon pays. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
- Cela pourrait être ; car il vous ressemble comme deux gouttes d'eau, et vous savez que la ressemblance engendre l'amitié. (Acte 3, scène 8, ARLEQUIN)
- Je sens que mon coeur se réveille ; v.68 (Acte 3, scène 8, MEZZETIN)
LES VENDANGES (1731)
- Que ma fille s'unisse, en lui donnant la main. v.10 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Vous deviendrez bien riche avecque ces dépenses ! v.14 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
- Le pauvre homme ! Il me semble encor que je le vois. v.19 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
- Tous ses discours portaient toujours sentence. v.21 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
- A-t-il dit mille fois. Quoi qu'on puisse amasser, v.23 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
- Il ne faut point de bourse à qui veut dépenser. v.24 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
- Grandes maisons se font par petite cuisine. v.25 (Acte 1, scène 1, MADAME TRIGAUDIN)
- Que dépense bien faite est grande économie ; v.30 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Mais pourquoi rassembler la crasse du Palais ? v.32 (Acte 1, scène 1, MADAME-TRIGAUDIN)
- N'en déplaise à votre humeur bourrue, v.33 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Et beaucoup d'avocats, qui font les grands seigneurs, v.39 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Se trouvent bien d'avoir des gendres procureurs. v.40 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Faites-nous seulement bonne mine et grand'chère. v.42 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Du souper sur vos soins mon esprit se repose. v.45 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Au moins, sur toute chose, v.46 (Acte 1, scène 1, TRIGAUDIN)
- Ne gagnant rien, on doit modérer ses dépenses : v.50 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
- Dans un pays conquis, serait moins difficile. v.54 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
- Peu de jours se passaient qu'il n'arrivât mort d'hommes : v.58 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
- Mais tout est bien changé, chacun se tient reclus ; v.59 (Acte 1, scène 2, TRIGAUDIN)
- Au procureur fiscal qu'il tienne, en mon absence, v.62 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
- Je vais dresser le plan du contrat de Babet. v.64 (Acte 1, scène 3, TRIGAUDIN)
- Et madame Babet, dé Léandre amoureuse, v.65 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
- Dresse un plan pour ne pas devenir procureuse. v.66 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
- On a beau la garder et l'observer de près, v.67 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
- Il suffit que Toinon soit dans ses intérêts, v.68 (Acte 1, scène 4, GRIFFONET)
- Mon estime pour toi sera-t-elle trompée ? v.73 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Un apprenti sergent, petit clerc d'avocat, v.76 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Le moins, en le servant, que tu puisses prétendre, v.78 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- N'es-tu pas sûre de ma réponse ? v.81 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Au Palais à présent on n'en amasse guères : v.86 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Il en a fait serment, que je pense, à la cour. v.88 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Je ne l'ai point encore ouï que dans une cause ; v.89 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Aussi ne parle-t-il à chacun d'autre chose : v.90 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Dès qu'il ouvre la bouche, on déserte sur l'heure. v.93 (Acte 1, scène 5, TOINON)
- Pour servir vos amours je suis prêt à tout faire. v.97 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
- M'envoie, et je reviens. Quoi qu'il puisse arriver, v.99 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
- J'oserai tout pour vous, jusqu'à vous enlever. v.100 (Acte 1, scène 6, GRIFONET)
- La France deviendrait un pays bien désert. v.111 (Acte 1, scène 7, TOINON)
- Mais, pour les prendre, il faut se voir, et convenir v.115 (Acte 1, scène 7, TOINON)
- Tout semble conspirer au succès de ma flamme ; v.122 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
- En cette occasion se déclare pour nous : v.124 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
- Mais vous me paraissez incertaine, inquiète : v.126 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
- Après m'avoir donné votre consentement, v.127 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
- Avez-vous pu si tôt changer de sentiment ? v.128 (Acte 1, scène 8, L?ANDRE)
- N'imputez point ce trouble à mon peu de tendresse, v.129 (Acte 1, scène 8, BABET)
- Léandre ; et n'accusez que ma seule faiblesse. v.130 (Acte 1, scène 8, BABET)
- Madame ; et ce soupçon heureusement calmé v.132 (Acte 1, scène 8, LÉANDRE)
- Dans un long entretien votre esprit s'embarrasse ; v.134 (Acte 1, scène 8, TOINON)
- La chaise ? v.140 (Acte 1, scène 8, TOINON)
- Sera très favorable à notre évasion ; v.144 (Acte 1, scène 8, TOINON)
- Laissez-moi lui parler. v.148 (Acte 1, scène 9, LÉANDRE)
- Vous toussez fort. v.156 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
- À la bonne heure, soit ; dépêchez seulement : v.163 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Expliquez-vous, je suis tout à votre service. v.170 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Qui répond à ses feux d'une ardeur mutuelle ; v.174 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
- Elle a dû, ce me semble, aussitôt vous instruire v.185 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Et n'ai point là-dessus de réponse à vous faire. v.190 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- J'oserai... v.195 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
- Oui, je pèse toujours mûrement une affaire, v.202 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Ce complot se fait-il de l'aveu de la belle ? v.213 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Oui, tout cela se fait de concert avec elle : v.214 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
- C'est ainsi qu'on m'a dit la chose. v.215 (Acte 1, scène 10, L?ANDRE)
- Que votre ami, monsieur, achève son dessein ; v.219 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Vous approuvez la chose ? v.221 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
- Se trouvera, ma foi, bien camus. v.222 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Vos conseils seront en tout suivis. v.224 (Acte 1, scène 10, LÉANDRE)
- Je réponds du succès. Savez-vous quelle cause v.225 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Je plaidai l'autre jour ? Morbleu, la belle chose ! v.226 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- Je vais en répéter quelques traits seulement. v.227 (Acte 1, scène 10, TRIGAUDIN)
- La chose vous plaira, j'en suis très assuré. v.231 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
- En la cause, je suis pour le maître de l'âne, v.234 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
- Certes ! La cause est rare. v.236 (Acte 1, scène 11, LÉANDRE)
- Portèrent la terreur au sein de 1'Italie, v.241 (Acte 1, scène 11, TRIGAUDIN)
- Mais naturellement tout cela se dénoue, v.250 (Acte 1, scène 12, TRIGAUDIN)
- J'abuse trop longtemps v.251 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
- De grâce, laissez-moi. v.260 (Acte 1, scène 12, LÉANDRE)
- Deux paysans qui vont crever, je pense ; v.261 (Acte 1, scène 13, TOINON)
- Car ils haltent tous deux comme des chiens de chasse. v.265 (Acte 1, scène 13, TOINON)
- Demain il fera jour ; rien encor ne se gâte. v.301 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
- La chose presse. v.303 (Acte 1, scène 15, MATHIEU)
- Serez-vous satisfait ? v.308 (Acte 1, scène 15, GRIFONET)
- Tu seras quelque jour un juge d'importance. v.313 (Acte 1, scène 15, TRIGAUDIN)
- Eh ! Pour le maître, passe ; v.321 (Acte 1, scène 16, GUILLOT)
- Y me semble de même. v.329 (Acte 1, scène 17, GUILLOT)
- Y n'y cherche point tant de chose ni de frême. v.330 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
- An n'en serait chevir, et c'est la mer à boire : v.334 (Acte 1, scène 17, MATHIEU)
- S'il les récuse, enfin ? v.348 (Acte 1, scène 18, MATHIEU)
- Je verbaliserions après tout à notre aise. v.353 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
- Monsieu, ne vous déplaise, v.354 (Acte 1, scène 18, GUILLOT)
- La chose le requiert. Sans me rompre la tête, v.357 (Acte 1, scène 18, TRIGAUDIN)
DÉMOCRITE (1700)
- Et j'ai dans ce désert enfin fixé mes pas. v.16 (Acte 1, scène 1, STRABON)
- Voudraient de leur moitié se voir loin à ce prix. v.20 (Acte 1, scène 1, STRABON)
- Il faut prendre ou laisser, et l'on ne choisit pas. v.24 (Acte 1, scène 1, STRABON)
- Depuis deux ans je jeûne en ce désert maudit. v.27 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Un jeûne de deux ans cause un rude appétit. v.28 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Des noix, des raisins secs et quantité d'oignons. v.32 (Acte 1, scène 2, THALER)
- Que j'ai prise en passant dans le plus clair ruisseau. v.36 (Acte 1, scène 2, THALER)
- Mais laisse Démocrite achever son destin : v.44 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- J'aime encore le sexe. v.53 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Mais elle n'est pas tant ma fille que l'on pense. v.58 (Acte 1, scène 2, THALER)
- C'est donc la mode aussi d'en user parmi vous v.60 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Qu'on ne se pique pas d'être enfant de son père ? v.62 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Mais vous, qui près de lui passez ainsi la vie, v.73 (Acte 1, scène 2, THALER)
- Je vivrais affranchi du commerce des sens, v.79 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Nous voyons Jupiter avec ses satellites ; v.94 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Les atomes, d'ailleurs, par un secret lien, v.103 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Que l'âme et que I'esprit n'est qu'une même chose, v.105 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Et que la vérité, que chacun se propose, v.106 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Faire aller un carrosse, et rouler à mon aise. v.113 (Acte 1, scène 2, THALER)
- Et comment as-tu fait, cela ne te déplaise ? v.114 (Acte 1, scène 2, STRABON)
- Bon ! Quelque sot !... Vous jaseriez peut-être ? v.118 (Acte 1, scène 2, THALER)
- Mais Démocrite vient. Motus, il faut se taire. v.126 (Acte 1, scène 3, THALER)
- Cela se voit assez : mais pour moi, sans scrupule, v.129 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
- Il se fâche, il s'apaise, il évite, il poursuit ; v.135 (Acte 1, scène 3, DÉMOCRITE)
- Il veut, il se repent, il élève, il détruit: v.136 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
- Il se croit en effet le plus sage du monde : v.138 (Acte 1, scène 3, D?MOCRITE)
- Dans ce panégyrique où votre esprit s'aiguise, v.141 (Acte 1, scène 3, STRABON)
- La femme, s'il vous plaît, n'est-elle pas comprise ? v.142 (Acte 1, scène 3, STRABON)
- Car je ne pense pas que nul d'entre eux jamais v.151 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Y puisse être attiré par i'odeur de nos mets. v.152 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- D'un repas apprêté par la seule nature? v.154 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Le corps, ce poids honteux, où l'âme est asservie, v.157 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- T'occupera-t-il seul le reste de ta vie? v.158 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
- Âme stupide et grasse ! v.160 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- Elle est grasse à vos yeux ; v.160 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Je serai bien contraint, moi, de vous planter là. v.164 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Puisque ton coeur est plein de sentiments si bas : v.167 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- Assez d'autres, sans toi, suivront ici mes pas. v.168 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
- Affranchir ton esprit de l'empire des sens : v.171 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
- Animal sensuel, qui n'oserais me suivre ! v.173 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
- Sensuel, j'en conviens ; j'aime à manger pour vivre : v.174 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Saurait-il ma faiblesse ? v.177 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- Mais ce n'est pas à moi que ce discours s'adresse ? v.178 (Acte 1, scène 4, D?MOCRITE)
- Seriez-vous assez sot v.180 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Sous la sagesse en vain on se met à couvert ; v.191 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- Puisque ton coeur est plein de sentiments si bas : v.195 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Assez d'autres, sans toi, suivront ailleurs nies pas. v.196 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Animal sensuel ! v.197 (Acte 1, scène 4, STRABON)
- Je voudrais me cacher ce secret à moi-même. v.198 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- La vérité se voit en elle toute pure ; v.205 (Acte 1, scène 4, DÉMOCRITE)
- Jusqu'assez près d'ici j'avais suivi ses pas. v.212 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
- Serait-il retourné ? v.214 (Acte 1, scène 5, CRIS?IS)
- Je sens, en la voyant, la raison et l'amour, v.215 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
- Donné, sans y penser, près de quelque embuscade ? v.218 (Acte 1, scène 5, STRABON)
- C'est aussi tout le fard dont j'use les matins. v.228 (Acte 1, scène 5, STRABON)
- Elle doit son éclat à sa seule beauté. v.231 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
- Fait voir que vous avez quelque dessein de plaire. v.234 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
- Qui parlez à vos sens impérativement, v.240 (Acte 1, scène 5, STRABON)
- Un appétit secret dans le coeur répandu, v.247 (Acte 1, scène 5, DÉMOCRITE)
- À se perpétuer et rendre son espèce... v.249 (Acte 1, scène 5, D?MOCRITE)
- Pour un homme d'esprit vous parlez mal tendresse. v.250 (Acte 1, scène 5, STRABON)
- L'amour, ne vous déplaise, est un je ne sais quoi, v.251 (Acte 1, scène 5, STRABON)
- Je ne sais quelle ardeur que l'on sent pour la femme : v.254 (Acte 1, scène 5, STRABON)
- Les choses qui me font tant de peine à comprendre. v.262 (Acte 1, scène 5, CRISÉIS)
- Demeurons dans ce bois ; laissons aller la chasse ; v.265 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
- Attendons quelque temps que la chaleur se passe. v.266 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
- Qui vont par les forêts détrousser les passants. v.268 (Acte 1, scène 6, STRABON)
- Et comment se peut-il que ces sombres forêts v.271 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
- Tout cela ne vaut rien. Ces gens-ci, dans leur course, v.273 (Acte 1, scène 6, STRABON)
- Paraissent en vouloir plus au coeur qu'à la bourse. v.274 (Acte 1, scène 6, STRABON)
- Plus long discours serait fort inutile. v.277 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Cela se voit assez ; mais, quand il vous plaira, v.279 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
- Vous êtes donc chasseurs ? v.284 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Se tuer, s'excéder, se mettre hors d'haleine ; v.286 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Fatiguer de ses cris les échos des montagnes ; v.289 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
- Passer en plein midi les guérets, les campagnes ; v.290 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
- Dans les plus creux vallons fondre en désespérés, v.291 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
- Sont les amusements des plus fameux héros ; v.300 (Acte 1, scène 6, AGÉNOR)
- Oui, seigneur, c'est lui-même ; et voilà son élève. v.318 (Acte 1, scène 6, STRABON)
- Mais il faut excuser, on ne vous attend pas. v.324 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Ce sera de bon coeur, et sans cérémonie. v.325 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
- De manger à présent je ne sens nulle envie ; v.326 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
- Mais je veux toutefois, sortant de ce désert, v.327 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
- Qui ? Nous, seigneur ? v.331 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Je serai votre appui, quoi qu'on dise ou qu'on fasse. v.337 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
- Je vous demande encore une seconde grâce, v.338 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
- Sans son consentement je ne saurais rien faire : v.342 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
- Où les choses qu'on voit sont pour moi si nouvelles, v.345 (Acte 1, scène 6, CRIS?IS)
- Que vous connaissez mal les lieux dont vous parlez ! v.347 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Vous vous moquez, je pense. v.350 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Ne me refusez pas. v.354 (Acte 1, scène 6, CRISÉIS)
- Mais, seigneur... v.355 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Pour se rendre en ces lieux on va les avertir. v.359 (Acte 1, scène 6, AGÉLAS)
- Je vous laisse. Surtout, cette aimable personne... v.361 (Acte 1, scène 6, AG?LAS)
- Tu te gausses de moi. v.367 (Acte 1, scène 6, THALER)
- Que je fais une chose à mon coeur si contraire. v.374 (Acte 1, scène 6, DÉMOCRITE)
- Que je sens là-dedans de trouble et de combats ! v.376 (Acte 1, scène 6, D?MOCRITE)
- Insensibles témoins de la faim que j'endure ; v.378 (Acte 1, scène 8, STRABON)
- Ne fasse qu'un repas de toute ma personne. v.382 (Acte 1, scène 8, STRABON)
- Si j'avais le secret de deviner la cause v.385 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
- Du chagrin qu'à mes yeux votre visage expose, v.386 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- De cet ennui soudain qui vous tient sous ses lois, v.387 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Agénor est un prince assez digne d'Ismène. v.398 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Je sais qu'il vous adore, et qu'il n'ose à vos yeux, v.399 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Par respect pour le roi, faire éclater ses feux. v.400 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- S'il était un peu moins sensible à la grandeur. v.404 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
- Je le chasse, il revient ; et je ne sais pourquoi, v.407 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
- Ce jour plus qu'aucun autre, il cause mon effroi. v.408 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
- J'en suis un peu la cause, et vous me le devez, v.412 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
- Par un second hymen épousa le feu roi v.415 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
- Du trône athénien vous seriez l'héritière, v.418 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Et que son successeur deviendrait votre époux. v.419 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- De ce fardeau pour moi voulut bien se charger. v.428 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Quinze ans se sont passés depuis cette aventure. v.433 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- N'as-tu point remarqué qu'au retour de la chasse, v.441 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
- Ses regards inquiets m'ont dit son embarras : v.443 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
- Il semblait m'éviter et détourner ses pas. v.444 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
- Ne lui fasse... v.446 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
- C'est une étrange chose ! Il faut que les amants v.447 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
- Sur quelque objet nouveau qui passe dans la rue ; v.450 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- D'une mouche on lui fait une grosse montagne : v.454 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- On doit, parfois, passer quelque fredaine aux hommes. v.458 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Que tout cela se fait à la charge d'autant. v.460 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Autant que je le puis, je tiens le cas secret. v.468 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
- Eussent fixé mon sort auprès de votre mère, v.470 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Ta belle humeur pourrait me sembler agréable, v.485 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
- Pour chasser le chagrin, madame, où je vous vois, v.487 (Acte 2, scène 1, CLÉANTHIS)
- Consentez, je vous prie, à venir avec moi, v.488 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- On appelle cela, je pense... un Démocrite. v.493 (Acte 2, scène 1, CL?ANTHIS)
- Laisse-moi quelque temps tout à ma rêverie ; v.498 (Acte 2, scène 1, ISMÈNE)
- J'en fais mon seul plaisir. Tout ce que tu m'as dit, v.499 (Acte 2, scène 1, ISM?NE)
- C'est là qu'il faut venir se montrer au grand jour ; v.504 (Acte 2, scène 2, STRABON)
- Qu'on se rie à mon nez, et qu'on suive mes pas ; v.512 (Acte 2, scène 3, THALER)
- Si quelqu'un vient encor se gausser davantage, v.513 (Acte 2, scène 3, THALER)
- Ils sont un régiment de diverses figures ; v.517 (Acte 2, scène 3, THALER)
- Si seigneur à la cour, dans ses airs de conquête, v.525 (Acte 2, scène 3, STRABON)
- Qui fait le bel oiseau ? C'est, dit-on, le plumage. v.529 (Acte 2, scène 3, THALER)
- J'y serais volontiers tout le temps de ma vie. v.538 (Acte 2, scène 3, THALER)
- De la vivacité. Danse. Prends du tabac. v.547 (Acte 2, scène 3, STRABON)
- Achevez donc tout seul. v.551 (Acte 2, scène 3, THALER)
- Prends d'un jeune seigneur la taille et le maintien. v.552 (Acte 2, scène 3, STRABON)
- J'afferme, je reçois, je dispose des fonds, v.571 (Acte 2, scène 4, L'INTENDANT)
- Quoi ! Si je veux tousser, cracher, moucher, que sais-je ? v.578 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
- Sont toujours les premiers à montrer leurs bêtises. v.585 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
- Pour faire à tout moment, et dire des sottises, v.586 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
- Messieurs, laissez-moi seul, et trêve de vos soins. v.588 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
- Quand je ne serais pas au rang de vos amis, v.600 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
- À gagner le procès le plus désespéré, v.612 (Acte 2, scène 4, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
- Messieurs, je suis ravi qu'en vous rendant service, v.617 (Acte 2, scène 4, DÉMOCRITE)
- Et servez-vous ainsi le reste de vos jours : v.620 (Acte 2, scène 4, D?MOCRITE)
- Et dans l'occasion tout bas se désavouent ; v.626 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
- Qui disent tout le bien et le mal qui n'est pas ; v.628 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
- Qui ne déparlent pas, et qui ne disent rien ; v.636 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
- Aux sottises qu'un autre est toujours prêt à dire ; v.642 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
- Se respecte soi-même, et s'admire tout seul. v.644 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
- Je te laisse à juger si, de tant de matière, v.645 (Acte 2, scène 5, D?MOCRITE)
- Dis-moi, que dit, que fait, que pense Criséis ? v.648 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
- Elle se plaît ici bien mieux qu'en son village. v.650 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Vous savez qu'en princesse on la traite. v.653 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- D'une mouche assassine irriter ses attraits. v.655 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Agélas l'observait d'un oeil plein de désirs. v.659 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Ne ressent de l'amour quelque vive étincelle. v.662 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Semble-t-elle répondre à ce muet langage ? v.666 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
- Si le prince l'aimait, le cas serait plaisant. v.672 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Que nous serions heureux ! v.675 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Notre fortune ici serait faite à tous deux. v.676 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Je les trouve à présent presque aussi sots que vous. v.679 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- J'étouffe, et je sens là... certain poids qui m'oppresse. v.681 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
- D'où vous vient, s'il vous plaît, cette sombre tristesse ? v.682 (Acte 2, scène 5, STRABON)
- Je vais le conjurer de nous laisser partir. v.695 (Acte 2, scène 5, DÉMOCRITE)
- Allons sur ses pas... v.701 (Acte 2, scène 6, STRABON)
- Mon port lui paraît noble, et ma mine assez bonne ; v.705 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- La princesse a, je crois, dessein sur ma personne. v.706 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Madame, s'il est vrai, selon nos axiomes, v.709 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Je suis homme de cour ; et, pour la politesse, v.717 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Et tous nos courtisans voudraient vous ressembler. v.720 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- Je suis, sans me vanter, assez bien avec lui : v.724 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Le plaisir de nous voir quelquefois nous rassemble ; v.725 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Et nous devons, je crois, ce soir souper ensemble. v.726 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- D'accord ; mais il sait vivre, et connaît bien ses gens. v.728 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Pour convive, je suis d'une assez bonne étoffe, v.729 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Je veux être un maraud, si mes sens, en échange, v.734 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Peu de coeurs devant vous ont conservé leur paix. v.736 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- On sait de son esprit se servir à propos ; v.739 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Se plaindre, se brouiller, écrire quatre mots, v.740 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Revenir, s'apaiser, se remettre en colère ; v.741 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Faire bien le jaloux, et vouloir se défaire ; v.742 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Commander à ses pleurs de sortir au besoin ; v.743 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Être un jour sans manger, bouder seul en un coin ; v.744 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Redoubler quelquefois de tendresses nouvelles. v.745 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- La nature, en naissant, vous fit l'âme sensible. v.749 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- Mon bonheur serait pur, et ma gloire trop grande, v.757 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- Mais où parle I'amour, la raison doit se taire. v.762 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Que je me serais fait un bonheur de lui plaire ! v.765 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- Que d'un charme puissant on se sent ravir l'âme. v.769 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- Qu'en vous voyant paraître, aussitôt on se pâme. v.770 (Acte 2, scène 7, STRABON)
- Je sens que ma vertu combat mal avec vous ; v.771 (Acte 2, scène 7, CLÉANTHIS)
- Criséis, par votre ordre, en ces lieux va se rendre ; v.783 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
- Mais si je puis, seigneur, avec vous m'exprimer, v.785 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
- Ne remarques-tu point, comme moi, ses beautés ? v.793 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
- Ses airs dans cette cour ne sont point empruntés ; v.794 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
- Son esprit se fait voir, même dans son silence : v.795 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
- Elle n'a rien des bois que la seule naissance. v.796 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
- De ces feux violents .quelle sera la fin ? v.797 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
- Mais, seigneur, quel est votre dessein ? v.798 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
- Quel sera donc le sort de la princesse ? v.799 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
- Athènes, par un choix où chacun s'intéresse, v.800 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
- Que d'épouser Ismène, alliée au feu roi. v.802 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
- Ce coeur même, en secret, souvent s'applaudissait v.805 (Acte 3, scène 1, AGÉLAS)
- M'a charmé, sans avoir nul dessein de me plaire, v.808 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
- Je me sens entraîner tout d'un autre côté. v.810 (Acte 3, scène 1, AG?LAS)
- Puisse à jamais régner cette nouvelle flamme ! v.812 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
- Et le sort prend plaisir, d'une chaîne secrète, v.815 (Acte 3, scène 1, AG?NOR)
- Un bracelet d'un prix qui passe sa puissance : v.823 (Acte 3, scène 1, AGÉNOR)
- Sire, excusez l'affront de notre importunance. v.828 (Acte 3, scène 2, THALER)
- Ils m'ont pris un bijou, morgué, dans mon gousset : v.846 (Acte 3, scène 2, THALER)
- Mais tout chacun ici ne vous ressemble pas. v.853 (Acte 3, scène 2, THALER)
- Ahi ! Vous êtes, seigneur, par trop considérant. v.857 (Acte 3, scène 2, THALER)
- Seigneur, de vos bontés, qu'on aura peine à croire, v.871 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
- Et font de leur beauté tout leur amusement. v.878 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
- Ne s'en trouve-t-il point quelqu'un assez heureux v.881 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
- Et dise de son coeur les sentiments secrets. v.886 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
- Il en est un pourtant, si j'ose ici le dire, v.887 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
- Qui, d'un charme flatteur que sa présence inspire, v.888 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
- Se distingue aisément, et qui de toutes parts v.889 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
- Ne paraissent plus rien, et deviennent si laids v.894 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
- Aimeriez-vous un peu cette heureuse personne ? v.896 (Acte 3, scène 3, AGÉLAS)
- Je ne sais point, seigneur, ce que c'est que d'aimer. v.897 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
- Qu'il m'aime, moi, seigneur ! Je me garderais bien, v.901 (Acte 3, scène 3, CRISÉIS)
- On parle dans ces lieux autrement qu'on ne pense ; v.903 (Acte 3, scène 3, CRIS?IS)
- Seigneur, je ne voulusse être déjà bien loin. v.910 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- Non, seigneur, à tel point je ne puis m'oublier, v.917 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
- Si Criséis le veut, je consens à tout faire. v.924 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Seigneur, l'obscurité v.925 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
- Mais, s'il faut devant vous dire ce que l'on pense, v.927 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
- Où l'humeur se contraint, où le coeur se dément, v.937 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- La cour, qu'en ce tableau vous nous représentez, v.941 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Vous ne la prenez pas par ses plus beaux côtés. v.942 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Quelque aigreur que cette cour vous laisse, v.943 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Convenez que toujours l'esprit, la politesse, v.944 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Que le sexe y tient un doux empire ; v.947 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Et que deux yeux charmants, tels qu'à présent j'en vois, v.949 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Me préserve le ciel d'un jugement semblable ! v.956 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Démocrite est-il homme à se laisser toucher ? v.957 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- Libre de passions, dégagé de faiblesse, v.959 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Votre coeur, je le sais, se ferme à la tendresse. v.960 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Ma présence, je crois, n'est pas trop nécessaire. v.964 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- Absent, comme présent, vous pouvez, à loisir, v.965 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
- Voudrait-il s'abaisser à cet excès d'amour ? v.970 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- Oui, belle Criséis, je sens pour vous un feu v.973 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Ma surprise est extrême, v.976 (Acte 3, scène 4, CRISÉIS)
- Mon silence, seigneur, répond assez pour moi. v.978 (Acte 3, scène 4, CRIS?IS)
- Ce silence douteux à trop de maux m'expose. v.979 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Vous, qui voyez le rang que l'amour lui propose, v.980 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Secondez mes désirs, parlez en ma faveur. v.981 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Moi, seigneur ? v.982 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- Vos conseils ont sur elle une entière puissance ; v.983 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Par grâce, de ce soin, seigneur, dispensez-moi : v.985 (Acte 3, scène 4, DÉMOCRITE)
- Je suis un faible agent auprès d'une maîtresse ; v.987 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
- J'ignore le grand art qui surprend la tendresse. v.988 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
- Votre amour, où vos soins veulent m'intéresser, v.989 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
- Reculerait, seigneur, plutôt que d'avancer. v.990 (Acte 3, scène 4, D?MOCRITE)
- Un soin m'appelle ailleurs ; je vous laisse avec elle. v.992 (Acte 3, scène 4, AGÉLAS)
- Puis-je, pour couronner mes amoureux desseins. v.993 (Acte 3, scène 4, AG?LAS)
- Il vient de m'ordonner de disposer votre âme, v.999 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
- Et la rendre sensible à sa nouvelle flamme : v.1000 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
- La charge est vraiment belle ; et, pour un tel dessein, v.1001 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
- Quels sont vos sentiments ? Que prétendez-vous faire ? v.1003 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
- Que me conseillez-vous de faire en cas pareil ? v.1005 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
- Car je prétends toujours suivre votre conseil. v.1006 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
- Ce que je vous conseille ? v.1007 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
- Se rapporte si bien au penchant de mon coeur ! v.1010 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
- Je sentais pour le prince un mouvement secret, v.1013 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
- Pour lui vous sentez donc cet appétit secret.... v.1017 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
- J'ai senti dans mon coeur une flamme inconnue ; v.1020 (Acte 3, scène 5, CRISÉIS)
- En cessant de le voir, une tristesse affreuse v.1023 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
- Tout d'un coup m'a rendue inquiète et rêveuse ; v.1024 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
- À son air, à ses traits, j'ai pensé tout le jour : v.1025 (Acte 3, scène 5, CRIS?IS)
- Les symptômes d'amour que cause la nature. v.1032 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
- N'exciterait jamais une amoureuse flamme. v.1036 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
- Je sens qu'elle a raison, et cependant j'enrage. v.1040 (Acte 3, scène 5, DÉMOCRITE)
- Sont bien vides de sens, bien pleins d'extravagance, v.1044 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
- De se laisser mener par de tels animaux, v.1045 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
- N'ait senti les effets de quelque perfidie ; v.1048 (Acte 3, scène 5, D?MOCRITE)
- La chose me parait cependant fort plaisante. v.1064 (Acte 3, scène 6, STRABON)
- Messieurs, servira-t-on ? Le dîner est tout prêt. v.1069 (Acte 3, scène 7, LE MAÎTRE D'HÔTEL)
- L'homme ait inventé l'art de se tuer lui-même ! v.1076 (Acte 3, scène 7, DÉMOCRITE)
- Il creuse son tombeau sans cesse avec ses dents. v.1078 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
- Et tâche, autant qu'il peut, d'abréger ses années. v.1080 (Acte 3, scène 7, D?MOCRITE)
- Il faut le laisser dire, aller toujours son train, v.1085 (Acte 3, scène 8, STRABON)
- En jase qui voudra, j'ai fait en homme sage v.1087 (Acte 4, scène 1, THALER)
- Il n'y sera qu'un sot tout le temps de sa vie : v.1091 (Acte 4, scène 1, THALER)
- Il a biau se sentir du talent, du génie, v.1092 (Acte 4, scène 1, THALER)
- On pourrait se moquer et de vous et de moi. v.1106 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
- Chacun parle à sa guise, et qui voudra s'en moque : v.1108 (Acte 4, scène 1, THALER)
- Excusez si je prends cet air libre avec vous. v.1110 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
- Il voudrait bien déjà se voir loin de ces lieux. v.1125 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
- Tout y blesse ses yeux ; v.1126 (Acte 4, scène 1, CRISÉIS)
- Son coeur n'est pas content ; quelque soin l'embarrasse. v.1127 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
- Que ce n'est que par art qu'elles paraissent belles, v.1131 (Acte 4, scène 1, CRIS?IS)
- Me réjouit l'esprit. Serviteur, Criséis. v.1137 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
- Je suis bien aise v.1143 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
- Que mon air, quel qu'il soit, vous contente et vous plaise. v.1144 (Acte 4, scène 2, CRIS?IS)
- À de plus hauts desseins vous aspirez ici, v.1145 (Acte 4, scène 2, DÉMOCRITE)
- Pour d'autres sentiments, je puis m'en dispenser, v.1153 (Acte 4, scène 2, CRISÉIS)
- Sans blesser mon devoir, ni sans vous offenser. v.1154 (Acte 4, scène 2, CRIS?IS)
- Un soin plus important à présent la tourmente. v.1159 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
- Eût trompé mon espoir, et trahi mes desseins ? v.1162 (Acte 4, scène 3, D?MOCRITE)
- A de ses faux brillants séduit son jeune coeur. v.1166 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
- C'est à toi que le roi fait la plus grande offense. v.1175 (Acte 4, scène 3, DÉMOCRITE)
- Morgué, le prince a tort de s'adresser à moi : v.1177 (Acte 4, scène 3, THALER)
- Je vais faire beau bruit. Serviteur cependant. v.1182 (Acte 4, scène 3, THALER)
- Dieux ! Que fais-je ? Où m'emporte une indigne tendresse ? v.1183 (Acte 4, scène 4, DÉMOCRITE)
- Suis-je donc Démocrite ? Et quelle est ma faiblesse ! v.1184 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Pendant que je suis seul, laissons agir mon coeur, v.1185 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Depuis assez longtemps, mon rire satirique v.1187 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Je veux sans nuls témoins rire à présent de moi ; v.1189 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- De sentir l'aiguillon d'une flamme perfide ! v.1192 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Il te faut des chemins tout parsemés de fleurs. v.1198 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Tu ne saurais saisir ces haines rigoureuses v.1199 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Que sentent pour l'amour les âmes généreuses v.1200 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- Ah ! Qu'ensemble on voit peu la prudence et l'amour ! v.1206 (Acte 4, scène 4, D?MOCRITE)
- On voit assez, à l'air dont il est habillé, v.1209 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
- Quel noir démon vous pousse à causer notre ennui ? v.1213 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
- Et mon dessein n'est point de plaire, en vérité. v.1222 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
- Le roi lui doit sa foi ; cependant, à ses yeux, v.1229 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
- On sait qu'à Criséis il adresse ses voeux : v.1230 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
- Par de lâches conseils dont vous êtes prodigue, v.1231 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
- Vous m'accuseriez peu de ces soins obligeants. v.1238 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
- Vous me connaissez mal. C'est une chose étrange, v.1239 (Acte 4, scène 5, D?MOCRITE)
- S'il voulait de son choix se rapporter à moi : v.1246 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
- En sorte qu'en ôtant ces secours superflus, v.1257 (Acte 4, scène 5, DÉMOCRITE)
- Il nous en reste assez pour, telles que nous sommes, v.1259 (Acte 4, scène 5, CLÉANTHIS)
- Est bien lasse de vous. v.1264 (Acte 4, scène 5, CL?ANTHIS)
- L'affaire est en bon train pour la princesse Ismène : v.1267 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Mais pour mon compte à moi, je suis assez en peine. v.1268 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Il n'est rien que pour lui de bon coeur je ne fasse. v.1272 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Le ciel me le devait, pour me récompenser v.1273 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Je m'en sens déjà plus trois fois que ce matin. v.1278 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Hé ! Vous voilà, princesse, infante de ma vie ! v.1280 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Vous voyez un seigneur fort satisfait de soi, v.1281 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Quoiqu'on embrasse ici des gens de tous métiers, v.1289 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Et l'on ne leur sert point, même en des jours de fêtes, v.1295 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- À qui beaucoup de vin fait sortir la tendresse ; v.1299 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Qui vont en cet état aux pieds de leur maîtresse v.1300 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Et pousser des hoquets en guise de soupirs ? v.1302 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- De nos jeunes seigneurs c'est assez là manière. v.1303 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Ma tendresse n'est point d'un pareil caractère. v.1304 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- J'ai près du sexe, enfin, l'air de la vieille Cour. v.1306 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Et de ses mouvements n'a plus été le maître. v.1308 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- En un instant a pu me rend~e si sensible ; v.1316 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Et je n'ai point senti de transports aussi doux v.1317 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Pour tout autre mortel que j'en ressens pour vous. v.1318 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- L'on n'a jamais senti de feux si violents v.1321 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Que ceux qu'auprès de vous et pour vous je ressens. v.1322 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Bon ! Que vous servirait de savoir qui je suis ? v.1325 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Ce nous serait peut-être une source d'ennuis, v.1326 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Après vous avoir fait l'aveu de ma faiblesse. v.1327 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Ah ! Que cette pudeur augmente ma tendresse ! v.1328 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Je ne saurais passer pour femme, à mon avis ; v.1342 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Ce discours, quoique abstrait, me paraît assez bon. v.1345 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Qu'il semble que le ciel nous ait faits l'un pour l'autre. v.1348 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Qui d'aucune vertu ne rachetait ses vices, v.1354 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Lui fit naître en l'esprit un dessein salutaire ; v.1358 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Coquette, sans esprit, menteuse, pie-grièche. v.1366 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Il se nommait Strabon. v.1376 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Savoir quel nom portait cette épouse si chère ? v.1378 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Ses traits n'en disent rien ; mais je le sens bien mieux, v.1380 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Au soudain changement qui se fait dans mon âme. v.1381 (Acte 4, scène 6, CL?ANTHIS)
- Il faut que cela soit ; car je sens que pour vous v.1384 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- M'en aller au plus tôt. Que ma surprise est forte ! v.1389 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- Déserteur de ménage, et maudit renégat, v.1392 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Je ressentais pour lui les transports les plus doux, v.1395 (Acte 4, scène 6, CLÉANTHIS)
- Qu'elle est laide à présent ! Et qu'elle a l'air mauvais ! v.1404 (Acte 4, scène 6, STRABON)
- La coquine aura su, par quelque ami présent, v.1407 (Acte 5, scène 1, STRABON)
- Se faire consoler de son époux absent : v.1408 (Acte 5, scène 1, STRABON)
- Assez et trop longtemps un chagrin domestique v.1413 (Acte 5, scène 1, STRABON)
- De me voir en ces lieux si mon épouse gronde, v.1417 (Acte 5, scène 1, STRABON)
- Vous promettont assez, mais ils ne tenont guère. v.1421 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Après quoi, je dirons serviteur à la cour. v.1435 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Le serpent sous les fleurs se cache en ce séjour : v.1436 (Acte 5, scène 2, STRABON)
- L'autre une croquignole, enfin chacun s'empresse, v.1441 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Tout du mieux qu'il le peut, à me faire caresse : v.1442 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Qui faisait jaser d'elle un peu par-ci par-là. v.1452 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Ce serait un affront. v.1455 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Les uns disent tant mieux, et les autres tant pis. v.1460 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Si j'avais mon joyau, je les laisserais dire. v.1462 (Acte 5, scène 2, THALER)
- Oses-tu bien encor te montrer à ma vue ? v.1474 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
- Ou, si de la sagesse un beau feu vous excite, v.1481 (Acte 5, scène 3, STRABON)
- Allez dans les déserts, et suivez Démocrite : v.1482 (Acte 5, scène 3, STRABON)
- De vous voir avec lui je serai peu jaloux. v.1483 (Acte 5, scène 3, STRABON)
- As-tu bientôt assez contemplé ma figure ? v.1485 (Acte 5, scène 3, CLÉANTHIS)
- C'est là que l'on apprend à corriger ses moeurs, v.1487 (Acte 5, scène 3, STRABON)
- D'en avoir ! Justes dieux ! Verrai-je d'un oeil sec v.1503 (Acte 5, scène 3, STRABON)
- Ne vous ressemble guère. v.1516 (Acte 5, scène 3, THALER)
- Seigneur, il ne faut pas m'arrêter davantage : v.1517 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
- Votre rare mérite en est l'unique cause. v.1521 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
- Mon mérite ? Ah ! Vraiment, c'est bien prendre la chose. v.1522 (Acte 5, scène 4, DÉMOCRITE)
- Ici votre présence est encor nécessaire. v.1525 (Acte 5, scène 4, AGÉLAS)
- Après quoi vous pourrez, libres dans vos desseins, v.1527 (Acte 5, scène 4, AG?LAS)
- Il ne faut point, seigneur, surprendre ma faiblesse v.1533 (Acte 5, scène 4, CRISÉIS)
- Par le flatteur aveu d'une feinte tendresse. v.1534 (Acte 5, scène 4, CRIS?IS)
- Vous respecter, seigneur, est tout ce que je dois. v.1536 (Acte 5, scène 4, CRIS?IS)
- Seigneur, il court un bruit que je ne saurais croire ; v.1543 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
- Il intéresse trop mes droits et votre gloire : v.1544 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- Vous voulez épouser Criséis en ce jour. v.1546 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- Le bruit qui se répand ne me fait nul outrage : v.1547 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
- Peut réparer assez l'injustice des dieux. v.1550 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
- Seigneur, je vous l'apporte. v.1556 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
- Oui ; c'est, seigneur, un bijou de famille. v.1560 (Acte 5, scène 5, THALER)
- La drôlesse, un matin, s'en vint, bon jour, bonne oeuvre, v.1571 (Acte 5, scène 5, THALER)
- Seigneur, j'ai satisfait aux ordres de la reine, v.1575 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
- Mais, hélas ! N'est-ce point une heureuse imposture ? v.1580 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
- Seigneur, ce bracelet avecque ce rubis v.1581 (Acte 5, scène 5, CLÉANTHIS)
- Il est temps qu'à présent, puisque le ciel i'ordonne, v.1583 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
- Je ne le puis tenir que de vos seuls bienfaits. v.1586 (Acte 5, scène 5, AG?LAS)
- Mais ce prince pourra, sensible à vos attraits, v.1593 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
- Seigneur... v.1596 (Acte 5, scène 5, AGÉNOR)
- Demandez ; je ne puis trop vous récompenser. v.1597 (Acte 5, scène 5, AGÉLAS)
- Seigneur, depuis longtemps je garde le silence ; v.1599 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
- La nature en nos coeurs ne perd jamais ses droits ; v.1610 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
- L'amour m'avait forcé, pour traverser ma vie, v.1615 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
- Où la fière sagesse a brisé son orgueil. v.1618 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
- La nature perverse entraînait la raison. v.1621 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
- Je ne me trouve pas assez bien de la cour, v.1625 (Acte 5, scène 5, DÉMOCRITE)
- Seigneur, pour y vouloir faire un plus long séjour. v.1626 (Acte 5, scène 5, D?MOCRITE)
- Je ne serai pas seul qui, d'une âme enchantée, v.1647 (Acte 5, scène 7, STRABON)
LES FOLIES AMOUREUSES (1696)
- D'un divertissement complet. v.6 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Une en trois actes seulement ! v.12 (Prologue, scène 1, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Eh ! Mademoiselle, v.17 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
- Hé ! Ne devons-nous pas nous intéresser tous v.19 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Que nous allons représenter ! v.24 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
- Moi, je n'y sais point de finesse ; v.25 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Et s'il avait voulu suivre mon sentiment, v.35 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Ou qu'il eût eu moins de paresse... v.36 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Dont peut l'amoureuse manie v.44 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Embarrasser l'organe du génie v.45 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Il semble aux gens, parce qu'ils savent lire, v.51 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Vous êtes de plaisants crasseux ! v.53 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Mille pardons, Mademoiselle ; v.54 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
- Qu'assez à contre-temps vous paraissez chercher. v.58 (Prologue, scène 2, MONSIEUR DANCOUR)
- Avec simplicité je dis ce que je pense, v.61 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- On me fait passer pour un diable, v.67 (Prologue, scène 2, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- S'il est ainsi, laissez-vous donc conduire ; v.69 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
- Mademoiselle ! ... v.73 (Prologue, scène 2, MONSIEUR-DANCOUR)
- L'auteur, dans les foyers, se fait tenir à quatre ; v.95 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
- Il ne veut point laisser jouer sa pièce. v.96 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE DESBROSSES)
- Oui, de quelques raisons qu'on puisse le combattre, v.97 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
- L'auteur l'entend fort bien ! Il serait beau, ma foi, v.100 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Que messieurs les auteurs nous donnassent la loi ! v.101 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Ses raisons ne sont pas meilleures que les nôtres. v.108 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Appuyerez-vous, monsieur, ses raisons ? v.110 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Mardienne, monsieur, finissez ; v.112 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Lorsque vous vous radoucissez ! v.115 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
- Que quand les choses ne vont pas v.117 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Selon mes intérêts, ou selon mon attente. v.118 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Qu'un si dur procédé le blesse ; v.128 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
- D'aller prôner mon sentiment ? v.132 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Pour cela, non ; mademoiselle v.134 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
- Et tout-à-l'heure encore, au public seulement. v.136 (Prologue, scène 3, MONSIEUR DANCOUR)
- Diantre soit des censeurs et des donneurs d'avis, v.140 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- D'ingénieuses rêveries, v.146 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Avec raison l'auteur se pique. v.150 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- De sottes gens qui ne peuvent se taire, v.154 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Qui font les beaux esprits, les savants connaisseurs. v.155 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Laissez parler de tels censeurs. v.156 (Prologue, scène 3, MONSIEUR-DANCOUR)
- Est à présent de radoucir l'auteur. v.159 (Prologue, scène 3, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
- Avec nombreuse compagnie : v.170 (Prologue, scène 4, MONSIEUR-DUBOCAGE)
- Ils disent que c'est la folie ; v.171 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
- Qu'au succès elle s'intéresse. v.174 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
- Mais je vois quelqu'un qui s'empresse v.175 (Prologue, scène 4, MONSIEUR DUBOCAGE)
- Serviteur à la compagnie. v.177 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Avec la vôtre a quelque ressemblance. v.185 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Serviteur donc, mes amis et confrères. v.197 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Seigneur Momus, votre divinité v.198 (Prologue, scène 5, MONSIEUR-DANCOUR)
- Vous nous autorisez à trop de vanité. v.201 (Prologue, scène 5, MONSIEUR DANCOUR)
- Non, point du tout ; laissez-le faire. v.202 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Franchement, là... quelle heureuse aventure v.204 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Et de n'en point changer on se fait une loi. v.213 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Il est bien plus aisé de servir deux amants v.215 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Mais enfin quel dessein ici-bas vous attire ? v.222 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-DESBROSSES)
- Les dieux sont devenus d'assez honnêtes gens, v.225 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Dans ce dessein capricieux, v.231 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Se faire un rôle original. v.237 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Et, pour vous établir, vous choisissez ces lieux ! v.246 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Je ne souffrirai point de concurrents semblables. v.249 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Seule, je défendrai mes droits. v.252 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE BEAUVAL)
- Et nous ferons bourse commune : v.256 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Vous êtes, ce me semble, en peine ; v.274 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Pour préparer des divertissements v.280 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Dont le public, je crois, pourra se satisfaire. v.281 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Ce ne sera pas peu que de pouvoir lui plaire. v.286 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- En bourdonnant un air étaler ses appas : v.294 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Des auteurs de prose et de vers, v.297 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- D'un air présomptueux, et d'un ton de fausset, v.301 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Et de la Cour et du service, v.304 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Qui se plaignent de l'injustice v.305 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- À lorgner dans une coulisse v.310 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Ah ! Tout beau, Monseigneur Momus ! v.316 (Prologue, scène 5, MADEMOISELLE-BEAUVAL)
- Pour servir de matière au divertissement. v.322 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Nous vous donnerons seulement v.323 (Prologue, scène 5, MOMUS)
- Messieurs, vous serez les témoins v.333 (Prologue, scène 6, MOMUS)
- Il serait bien fâcheux qu'après tant de travaux, v.338 (Prologue, scène 6, MOMUS)
- Qui raille assez souvent, mais qui ne ment jamais, v.347 (Prologue, scène 6, MOMUS)
- Paix, tais-toi, parle bas ; tu sauras mon dessein. v.356 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Ait du Seigneur Albert trompé la vigilance. v.362 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Je lève enfin le masque ; et, quoi qu'il puisse dire, v.378 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Que le ciel vous maintienne en ce dessein louable ! v.381 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Pour moi, j'aimerais mieux cent fois servir le diable. v.382 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Tant que le jour est long, il gronde entre ses dents : v.387 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Lui, quand il dort d'un oeil, l'autre fait sentinelle ; v.394 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Que servir plus longtemps un maître de la sorte. v.398 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Lisette, tous nos maux vont finir désormais. v.399 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Nos coeurs se sont trouvés liés de sympathie ; v.402 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- De nous unir encor par ses engagements. v.404 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Je serais fille à prendre un parti violent ; v.407 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Pour m'affranchir d'Albert et de ses lois si dures, v.409 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Quand on m'impose un joug à mon humeur contraire. v.414 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Présentement qu'Éraste à m'épouser s'apprête, v.417 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Mille vivacités me passent par la tête. v.418 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- J'ai du coeur, de l'esprit, du sens, de la raison, v.419 (Acte 2, scène 1, AGATHE)
- Il fait toute la nuit sentinelle en dedans, v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Grâce au ciel, tout va bien. Une terreur secrète, v.433 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Qui de loin, ce me semble, examinait ces lieux. v.436 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Et pour laisser Agathe à l'aise respirer, v.439 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Puissent servir d'obstacle à tout effort humain. v.444 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- C'est Lisette : Agathe est avec elle. v.449 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Est-ce donc vous, monsieur, qui faites sentinelle ? v.450 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
- Lisette et moi, monsieur, nous avons fait partie v.454 (Acte 2, scène 2, AGATHE)
- Tout cela se pouvait faire à votre fenêtre. v.458 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Que ce serait bien fait ! v.460 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et comment, s'il vous plaît, voulez-vous qu'on repose ? v.465 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Chez vous, toute la nuit, on n'entend d'autre chose v.466 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Crier, tousser, cracher, éternuer, courir. v.468 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- J'allai dans certain coin me mettre en sentinelle : v.486 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ses deux jambes à faux dans la corde arrêtées v.489 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Ah ! Malheureuse engeance ! Apanage du diable ! v.497 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Non, c'était seulement pour attraper l'esprit. v.500 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Taisez-vous, s'il vous plaît. v.505 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Il faut que de chez moi sur-le-champ je la chasse. v.506 (Acte 2, scène 2, ALBERT)
- Le moindre déplaisir puisse saisir mon coeur ! v.511 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Qui quitte ses parents pour être mariée ; v.514 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Il faut l'amadouer ; j'ai besoin de ses soins. v.528 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Je t'aime dans le fond, et plus que l'on ne pense. v.530 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Et je vous aime aussi plus que vous ne pensez. v.531 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Un bel amour, vraiment, à me casser le nez ! v.532 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Mais je pardonne tout, et te donne promesses v.533 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Que tu ressentiras l'effet de mes largesses, v.534 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Si tu veux me servir dans une occasion. v.535 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Voyons. De quel service est-il donc question ? v.536 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Et j'ai quelque dessein d'en faire un jour ma femme. v.546 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Vous avez trop d'esprit pour faire une sottise ; v.549 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Et j'en appellerais à votre barbe grise. v.550 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Faire des héritiers dont l'heureuse naissance v.553 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- De mes collatéraux détruise l'espérance. v.554 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Ce sera mon affaire, et point du tout la tienne. v.562 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Contre leur dent cruelle il la faut conserver : v.568 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Et ne laisser partout qu'un peu d'entrée au jour. v.572 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Paraisse être l'effet de ma précaution. v.576 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- De se voir, par mes soins, de la sorte enfermée ; v.578 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Cela pourrait causer du refroidissement : v.579 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Que tout ce qu'on en fait n'est que pour se défendre, v.582 (Acte 2, scène 3, ALBERT)
- Et bien d'autres encor dont vous usez de même, v.586 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Pour la seconde fois tâter du mariage ; v.590 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Encor plus fou d'oser la griller là-dedans. v.592 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Ainsi, dans ce dessein, funeste en conséquences, v.593 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- J'ai, jusqu'à présent, eu de la vertu de reste : v.598 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Si vous me choisissez pour prendre cette peine, v.601 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Je ne veux point tremper dans vos lâches desseins : v.603 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Lisette ne vaut rien ; mais, de crainte de pis, v.619 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
- Je ne laisserai pas, quoi qu'on dise et qu'on glose, v.621 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
- D'accomplir le dessein que mon coeur se propose. v.622 (Acte 2, scène 4, ALBERT)
- Que faites-vous ici seul, et devant ma porte ? v.626 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
- Que je puis m'appeler un homme universel. v.632 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Comme bien d'autres font ; selon l'occasion, v.635 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- J'ai servi volontaire un an dans la marine ; v.637 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Et me sentant le coeur enclin à la rapine, v.638 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Vous me connaissez mal ; j'ai d'autres soins en tête. v.649 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Ayant pour bien des maux des secrets merveilleux, v.651 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Je m'amuse à chercher des simples dans ces lieux. v.652 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Et je ne serais pas réduit d'être valet, v.663 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- En homme secourable aussitôt je m'approche ; v.670 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Me conseillèrent tous de quitter le pays. v.676 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Et batailler un jour, seul, contre un parti bleu. v.680 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Se promener ici, sans offenser personne. v.686 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Serviteur. v.688 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
- Serviteur. Avant de nous quitter, v.688 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Y serons-nous bientôt ? v.694 (Acte 2, scène 5, CRISPIN)
- Allez l'apprendre ailleurs ; partez : je vous conseille v.701 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
- Puisque vous souhaitez une phrase plus claire, v.722 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Nous en viendrons à bout, quoi qu'il dise et qu'il fasse ; v.726 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- J'aurais pour le succès assez bonne espérance, v.730 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Si de quelque argent frais nous avions le secours : v.731 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Dès ses plus tendres ans chez ma mère élevée, v.737 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- Nos deux coeurs, qui semblaient l'un pour l'autre être faits, v.740 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- Goûtaient de cet amour l'heureuse intelligence, v.741 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- Je ne le connais point ; et lui, comme je pense, v.745 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- Il faut savoir d'abord si dans la forteresse v.749 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Nous nous introduirons par force ou par adresse ; v.750 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- S'il est plus à propos, pour nos desseins conçus, v.751 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Tu te sers à propos des termes militaires ; v.753 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- J'ai même déserté deux fois dans la milice. v.757 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Quand on veut, voyez-vous, qu'un siège réussisse, v.758 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Quand on est bien instruit de tout ce qui se passe, v.761 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- On renverse un rempart, on fait brèche ; aussitôt v.763 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- À quelque chose près. v.767 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- La suivante Lisette est dans nos intérêts. v.768 (Acte 2, scène 7, ERASTE)
- Il est toute la nuit arrivé du secours ; v.772 (Acte 2, scène 7, CRISPIN)
- Un secret confié, dit un excellent homme v.781 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- (J'ignore son pays et comment il se nomme), v.782 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- C'est la chose à laquelle on doit plus regarder, v.783 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- Cependant, n'en déplaise à ce docteur habile, v.785 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- J'ai fait par le jardin entrer le serrurier, v.787 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- Qui doit à mon dessein promptement s'employer. v.788 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- L'ouvrier libre et seul puisse agir à loisir. v.792 (Acte 3, scène 1, ALBERT)
- L'air n'y sera pour moi ni meilleur, ni plus doux. v.804 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
- Mon coeur à ce discours se pâme de plaisirs. v.807 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Les filles, d'ordinaire assez dissimulées, v.809 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
- Font, au seul nom d'époux, d'abord les réservées, v.810 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
- Pour moi, que le pouvoir de la vérité presse, v.813 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
- Qui ne trouve en cela ni crime ni faiblesse, v.814 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
- C'est bien dit. Que sert-il, au printemps de son âge, v.817 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- De vouloir se soustraire au joug du mariage, v.818 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Et de se retrancher du nombre des vivants ? v.819 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Mes sentiments aussi sont conformes au vôtre : v.826 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- On me vient tous les jours proposer des partis v.828 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Qui paraissent pour moi d'un très grand avantage : v.829 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Pour toi seule soupire, et que, de ton côté, v.832 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- On ne peut être heureux, belle Agathe, et se taire. v.838 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Non : mais, en récompense, v.842 (Acte 3, scène 2, AGATHE)
- Elle n'a pas seize ans, et vous êtes fort vieux ; v.851 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Elle se porte bien, vous êtes catarrheux ; v.852 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Elle a toutes ses dents, qui la rendent plus belle ; v.853 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- À quelle malheureuse ici-bas plairiez-vous ? v.856 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Et mettre en sûreté ses dangereux appas. v.859 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Loin de tous damoiseaux, où de son arrogance v.861 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Souhaitez-vous, monsieur, quelque chose de moi ? v.867 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- À quoi servent, monsieur, les façons que vous faites ? v.869 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- Assez près de chez vous ma chaise s'est rompue : v.873 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
- Qu'elle se porte bien, ou qu'elle soit malade, v.889 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- Cette vue où mon oeil se plaît à s'égarer, v.892 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
- N'étala ses attraits avec tant de parure. v.894 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
- Votre chaise à présent doit être accommodée ; v.898 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- Votre présence ici ne fait aucun besoin : v.899 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- Je me retirerai plutôt que d'être cause v.905 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
- Que madame, pour moi, souffre la moindre chose. v.906 (Acte 3, scène 3, ERASTE)
- Pour faire enfin cesser les chagrins qu'on nous donne. v.914 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
- Jugez si quelque fille en ce lieu peut se plaire. v.921 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
- Cela sera bientôt. v.930 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Vous ne pouvez jamais prendre un plus beau dessein, v.931 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Se servent de main-mise un peu de temps en temps... v.939 (Acte 3, scène 5, CRISPIN)
- Ce garçon-là me plaît, et parle de bon sens. v.940 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Croit qu'on fit pour lui seul une femme fidèle. v.945 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Il faut faire soi-même, en tout temps, sentinelle ; v.946 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Suivre partout ses pas ; l'enfermer, s'il le faut ; v.947 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Qui pourra m'attraper, bien habile sera. v.952 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Chaque jour, là-dedans, j'invente quelque adresse v.953 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Pour mieux déconcerter leur ruse et leur finesse. v.954 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Quand vous seriez jaloux, devez-vous vous défendre v.961 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Pour avoir plus qu'un autre un coeur sensible et tendre ? v.962 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Un jaloux, disent-ils, qui sans cesse querelle, v.965 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Par de jaloux transports peut se voir animer, v.976 (Acte 3, scène 5, ERASTE)
- Vous n'avez pas, je crois, autre chose à me dire : v.985 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Que le ciel vous maintienne en ces bons sentiments ; v.987 (Acte 3, scène 5, ALBERT)
- Au secours ! Aux voisins ! Quel accident terrible ! v.989 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- Pauvre seigneur Albert, que vas-tu devenir ? v.991 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- Mais encor faut-il bien savoir ce qui se passe. v.994 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
- Ce maudit serrurier, venu pour nous griller ; v.1000 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- J'ai, dans le même instant, vu ses yeux s'égarer, v.1003 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- Elle court, elle grimpe, elle chante, elle danse. v.1006 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- De ce triste accident vous êtes seul l'auteur ; v.1016 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- Maudite prévoyance, et malheureuses grilles ! v.1018 (Acte 3, scène 6, ALBERT)
- Elle change de forme et de déguisement. v.1024 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
- Ne se peut-il point faire v.1029 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Ne se peut-il point faire v.1033 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Que chacun de vous deux m'en dise ce qu'il pense. v.1042 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Ah ! Ma chère Lisette, elle a perdu l'esprit. v.1043 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
- Sans respect du métier, se prenant par la main, v.1059 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Se mirent à danser jusques au lendemain. v.1060 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Voir une faculté faire en rond une danse, v.1061 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Les cheveux à la tête en dresseront d'horreur... v.1067 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Je sens qu'en tons heureux ma verve se dégorge. v.1069 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Je suis seigneur Albert, qui te chéris, qui t'aime. v.1078 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
- Et, si c'est ton désir encor, je danserai. v.1080 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
- Quelle rauque grenouille, au milieu de ses joncs, v.1087 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Sais-tu, dans un concert, ou croasser, ou braire ? v.1089 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Interrompre un concert où ta seule présence v.1093 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Cause des contre-temps et de la discordance ? v.1094 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Et se mêler au chant des tendres rossignols ? v.1096 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Troubla-t-il des serins l'agréable ramage ? v.1098 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Tu n'es et ne seras qu'un sot toute ta vie. v.1101 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Qu'il fasse une musique, et prompte, et vive, et tendre, v.1105 (Acte 3, scène 7, AGATHE)
- Lisette, suivons-la, voyons s'il est possible v.1125 (Acte 3, scène 8, ALBERT)
- Ma pauvre maîtresse ! Ah ! J'ai le coeur si saisi ! v.1127 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
- "Vous serez surpris du parti que je prends ; mais l'esclavage où je me trouve devenant plus dur chaque jour, j'ai cru qu'il m'était permis de tout entreprendre. (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Il faut que, cette nuit, sans plus longue remise, v.1133 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Nous fassions éclater quelque noble entreprise, v.1134 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Ce serait le plus sûr, v.1136 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- D'accord. Mais, vous rendant service, v.1137 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- C'est pour nous épouser. v.1139 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Vous serez épousé ; moi, je serai pendu. v.1140 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Il me vient un dessein... tu connais bien Clitandre ? v.1141 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Nous disposerons tout pour notre mariage. v.1146 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Ah ! Monsieur, excusez l'ennui qui me possède. v.1149 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
- Qu'il veuille à mon secours s'employer aujourd'hui. v.1152 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
- Il a mille secrets pour guérir bien des maux ; v.1155 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
- Refuser, lorsqu'on vous en priait, v.1159 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
- D'un objet si charmant, sans lui donner secours ? v.1164 (Acte 3, scène 11, ALBERT)
- J'immole encor pour vous tout mon ressentiment. v.1167 (Acte 3, scène 11, CRISPIN)
- Es-tu donc à ses yeux devenu médecin ? v.1176 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
- Pour cacher mon dessein et me déguiser mieux, v.1179 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
- Que j'avais pour tous maux des secrets admirables, v.1181 (Acte 3, scène 12, CRISPIN)
- Il en faut profiter. Je ressens dans mon coeur v.1184 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
- Et ferons éclater ton art et tes secrets. v.1188 (Acte 3, scène 12, ERASTE)
- Il semble à ces messieurs, dans leur manie étrange, v.1193 (Acte 3, scène 13, CRISPIN)
- Qu'une fille a d'esprit, de raison, de bon sens, v.1196 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
- Quelque secours d'argent nous serait nécessaire. v.1202 (Acte 3, scène 1, ERASTE)
- Je ne puis demeurer en place un seul moment. v.1203 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Près d'elle, mon esprit, comme le sien, se trouble ; v.1205 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Ah ! Monsieur, suis-je assez au rang de vos amis, v.1207 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Pour m'aider du secours que vous m'avez promis ? v.1208 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Veut-il de ses secrets faire l'expérience ? v.1210 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- On se doit en tout temps l'un à l'autre service. v.1214 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
- L'homme dont il s'agit en ces lieux doit se rendre ; v.1217 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
- En me développant la cause et les effets, v.1220 (Acte 3, scène 2, ERASTE)
- Quel service, monsieur, peut être égal au vôtre ! v.1222 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Apprendre, en voyageant, des secrets surprenants. v.1236 (Acte 3, scène 2, ALBERT)
- Eh bien ! Qu'est-ce ? Comment passez-vous votre temps ? v.1240 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Vous conserve gaillards, et vous maintienne en joie ! v.1242 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Il faut se divertir, c'est moi qui vous le dis. v.1244 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Je la trouve charmante ; et, malgré sa vieillesse, v.1245 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
- On trouverait encor des retours de jeunesse. v.1246 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
- La jeunesse est complète. v.1257 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
- Et je ne laisse pas, à l'âge où me voilà, v.1259 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- D'avoir des serviteurs, et qui m'en content, dà. v.1260 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Mais vois-tu, mon ami, veux-tu que je te dise ? v.1261 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Les hommes d'aujourd'hui, c'est piètre marchandise, v.1262 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Ils ne valent plus rien ; et pour en ramasser, v.1263 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Tiens, je ne voudrais pas seulement me baisser. v.1264 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Si l'on ne m'avait mise à treize ans en ménage. v.1270 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- C'est tuer la jeunesse, à vous en parler franc, v.1271 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- À vous dire le vrai, j'étais assez gentille. v.1274 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- À vingt-sept ans, j'avais déjà quatorze enfants. v.1275 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Ils m'ont, jusqu'à présent, chicané mon douaire ? v.1282 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Hélas ! Peut-on plus loin pousser l'égarement ? v.1284 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
- La friponne, ma foi, joue, à charmer, ses rôles. v.1285 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
- Mon unique recours sera le désespoir. v.1292 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Ne me refusez pas, de grâce, cette somme. v.1294 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Il ne faut pas, de front, heurter son sentiment. v.1296 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
- Quel risque à ses désirs de vouloir condescendre ? v.1301 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
- Tiens, voilà cet argent : va, puissent au procès v.1303 (Acte 3, scène 4, ALBERT)
- Je suis sûre à présent du gain de notre affaire : v.1305 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Mais ce secours m'était tout-à-fait nécessaire. v.1306 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Donne à mon procureur, Lisette, cet argent : v.1307 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Je crois qu'à me servir il sera diligent. v.1308 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Que je veux vous servir, et de toute mon âme. v.1310 (Acte 3, scène 4, ERASTE)
- Adieu. Qu'un jour le ciel vous rende ce service ! v.1314 (Acte 3, scène 4, AGATHE)
- Tous deux nous attendons ici votre présence. v.1326 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
- J'ai depuis peu de temps pourtant bien fait des choses, v.1329 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Pour savoir si le mal dont nous cherchons les causes v.1330 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Réside dans la basse ou haute région : v.1331 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Et, pour mettre d'accord ces deux messieurs ensemble, v.1333 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Je n'ai pas, pour venir, trop tardé, ce me semble. v.1334 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Sent toujours de son mal quelque crise nouvelle : v.1338 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
- Monsieur m'a conseillé de la mettre en vos mains. v.1340 (Acte 3, scène 7, ALBERT)
- Sans doute elle serait beaucoup mieux dans les siennes ; v.1341 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Je laisse aux médecins exercer leur science v.1349 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Sur les maux dont le corps ressent la violence : v.1350 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Tout va bien. La fortune à nos voeux s'intéresse. v.1361 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Agathe, en ton absence, avec un tour d'adresse, v.1362 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Pourvu qu'un seul moment nous puissions écarter v.1367 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Tant qu'il suivra ses pas, nous ne saurions rien faire. v.1369 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Reposez-vous sur moi ; je réponds de l'affaire. v.1370 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Et la fausse malade entend à demi-mot. v.1372 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- La pièce en vaudra mieux, plus elle sera forte. v.1374 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Laisse-moi faire après le reste seulement : v.1380 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Va, si de belle peur le vieillard ne trépasse, v.1381 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Mais comment voulez-vous qu'Agathe à ce dessein, v.1383 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Sans en avoir rien su, puisse prêter la main ? v.1384 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Mais songe seulement à bien jouer ton rôle ; v.1386 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Amuse le vieillard du mieux qu'il se pourra, v.1388 (Acte 3, scène 8, ERASTE)
- Dieu conduise la barque, et la mette à bon port ! v.1392 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
- Un transport martial à présent la tourmente. v.1394 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
- Elle s'est mise en homme, à cet excès fatal. v.1396 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
- Mon argent doit servir à lever des soldats ; v.1400 (Acte 3, scène 9, ALBERT)
- Pour tirer de leurs mains cent mauvaises pistoles, v.1409 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Que l'on puisse trouver en affaires pareilles : v.1413 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Je voudrais que quelqu'un m'apportât ses oreilles. v.1414 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Enfin me voilà prêt d'aller servir le roi ; v.1415 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Je puis, sous ses drapeaux, aller loin quelque jour. v.1420 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Le beau sexe sur moi ne fit jamais d'effet. v.1424 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Ce pauvre sexe meurt et d'amour et d'ennui, v.1427 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- J'examinais ses yeux. à ce qu'on peut comprendre, v.1433 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Lequel sera suivi d'un assoupissement : v.1435 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Que tout ressente ici l'horreur et le carnage. v.1442 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Frappez. Serrez vos rangs ; percez cet escadron. v.1444 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Les coquins n'oseraient soutenir notre vue. v.1445 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Tout se prépare bien ; je la vois qui repose. v.1449 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Son mal, à mon avis, ne provient d'autre chose v.1450 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Qui veut avec effort se mettre en liberté. v.1452 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- En qui je fisse entrer cet esprit de folie, v.1458 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Lisette est un sujet v.1459 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
- Qui, sans aller plus loin, vous servira d'objet. v.1460 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
- Je vous baise les mains, et vous donne parole v.1461 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
- Je veux l'embarrasser. v.1473 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Toujours sur ses beaux yeux votre vue assurée, v.1477 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Votre main dans la sienne étroitement serrée. v.1478 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Ne consentez-vous pas qu'il lui donne la main, v.1479 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Pour que l'attraction se fasse plus soudain ? v.1480 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Oui, je consens à tout. v.1481 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
- Ciel ! Quel nuage épais se dissipe à mes yeux ! v.1483 (Acte 3, scène 10, AGATHE)
- Quel tumulte confus dans mes sens se redouble ! v.1486 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Laissez-moi de son flanc v.1491 (Acte 3, scène 10, ERASTE)
- Aux accès violents dont son coeur se transporte, v.1493 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Je vois que j'ai donné la dose un peu trop forte. v.1494 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Lisette, tiens ma clef ; va, cours vite là-haut ; v.1500 (Acte 3, scène 10, ALBERT)
- Courez donc au plus tôt. Laisserez-vous périr v.1503 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Ce bois nous favorise ; Albert ne saura pas v.1507 (Acte 3, scène 11, ERASTE)
- Et le laissons tout seul exhaler son transport. v.1512 (Acte 3, scène 11, LISETTE)
- Lisette ! Agathe ! Ô ciel ! Tout est sourd à mes cris. v.1515 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
- Au voleur ! À la force ! Au secours ! Je succombe. v.1517 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
- Et moi seul en ce jour j'avAis perdu l'esprit. v.1520 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
- Traîtres de ravisseurs, vous serez tous pendus. v.1524 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
- Et toi, sexe trompeur, plus à craindre sur terre v.1525 (Acte 3, scène 12, ALBERT)
LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES. (1691)
- À peine suis-je entré dans la ville, qu'on fait derrière mon cheval l'opération à ma valise ; on en tire les hardes, et on la fait accoucher avant terme. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Je fais deux pas dans la rue, un fiacre me couvre de boue depuis les pieds jusqu'à la tête ; un porteur de chaise me donne d'un de ses bâtons dans le dos : il vient un homme me saluer ; je lui ôte mon chapeau, un coquin par derrière m'arrache ma perruque ; et, pour comble de friponneries, on veut me faire payer l'entrée à la porte comme bête à cornes, parce que je viens pour me marier... (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Monsieur, n'êtes-vous pas un coupeur de bourses ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Mademoiselle, c'est que j'achevais ma main au lansquenet. (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
- Monsieur le conseiller a dit qu'il allait revenir. (Acte 1, scène 4, PIERROT)
- C'est notre bel esprit ; je la tiens quitte de sa visite dès à présent. (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
- La mienne est toute déchirée entre les jambes, et ma chemise passe, révérence parler, par... (Acte 1, scène 4, BAGATELLE)
- Taisez-vous, petit sot, et faites ce que je vous dis. (Acte 1, scène 4, COLOMBINE)
- J'ai beau arranger mes traits, il me semble qu'il y en a toujours quelqu'un qui se révolte contre mon économie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Nous commençons tout doucement à monter en graine, et nous sommes assez fortes pour bien soutenir une thèse en mariage. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Je sens quelquefois qu'une fille n'est pas née pour vivre seule ; je t'avouerai même que j'emploie tout mon esprit pour attirer quelque amant dans le filet conjugal. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Le mariage se décrie de jour en jour ; je crois, pour moi, que nous allons voir la fin du monde. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Quoique le mariage ne soit plus guère à la mode, les hommes ont beau faire, ils ne sauraient se passer de nous. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Je ne m'applique nuit et jour à autre chose. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Je relève, avec art, les agréments que la nature m'a donnés : je joins à quelque brillant d'esprit les talents de la poésie et de la musique : pour mes manières, elles sont douces et insinuantes ; et, avec tout cela, point d'épouseurs. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Mais vous en aurez menti, messieurs les soupirants ; et si j'accorde quelque faveur, ce ne sera, ma foi, que par-devant notaire, et en vertu d'un bon parchemin bien signé. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Cependant ce n'est pas une chose si difficile que tu le penses, d'engager un homme. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Savoir risquer un billet dans son temps, marcher sur le pied à l'un, tendre la main à l'autre, se brouiller avec celui-ci, se raccommoder avec celui-là : crois-moi, avec ce petit manège-là, il faut, bon gré, mal gré, que quelque bête donne dans les toiles. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Il me semble que tu copies assez bien une coquette d'après nature. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Il n'y a plus que les sottes qui se persuadent d'attraper des hommes par des airs composés. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Cousine, le monde m'en a plus appris qu'à toi, et je te suis caution qu'une fille n'est piquante qu'autant qu'elle a pris sel dans la coquetterie. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Ce ne sont pas là les maximes de ma mère, qui me prône tous les jours que la coquetterie est l'antipode du mariage ; et j'ai ouï dire cent fois à mon oncle qu'une fille coquette ressemble à ces vins pétillants dont tout le monde veut tâter, et dont personne ne veut acheter pour son ordinaire. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Voilà-t-il pas mes contes de grand'mères, qui condamnent dans leurs enfants les plaisirs que l'âge leur refuse ! (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Je veux, moi, te donner des conseils pour le mariage, plus courts et plus faciles : et afin que tu les retiennes mieux, je vais te les lire en vers. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Une fille qui veut se faire v.1 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Un époux parmi ses amants, v.2 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Sous un faux semblant de sagesse ; v.6 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Elle y porte à la fois la joie et la tendresse ; v.8 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Délaver la douceur avecque la rudesse ; v.10 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Du frein ou de l'épron usant avec adresse, v.11 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Suivant que l'animal est vif ou paresseux. v.12 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Je ne sais pas comment sera le reste, mais le début est fort vif. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Pour conserver les coeurs qu'elle a su préparer, v.13 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Par de fausses bontés alors on le retire : v.19 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- On se désespère, on soupire ; v.22 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Trac, l'oiseau rentre au trébuchet. v.23 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Rien ne se démentira. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Un mari ne se prend pas comme un oiseau ; il faut bien d'autres piéges. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Lui parle-t-on d'amour, vante-t-on ses appas, v.24 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Elle impose silence en faisant la novice ; v.25 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Et sait se démonter à visse : v.27 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Et, dispensant ainsi la rigueur, la tendresse, v.30 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- C'est jouer de malheur, après tant de souplesse, v.32 (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- Savante comme tu l'es, tu devrais te mettre à montrer le coquettisme en ville : tu serais bientôt riche. (Acte 1, scène 5, ISABELLE)
- Mademoiselle, voilà monsieur le comte Octave. (Acte 1, scène 6, BAGATELLE)
- Je te laisse avec lui ; car apparemment c'est un épouseur : et ma mère m'attend. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Ta mère t'attend : va, va, elle est la maîtresse, elle attendra tant qu'elle voudra : demeure ici ; tu en apprendras plus avec moi en un quart_d_heure, que tu ne feras en toute ta vie avec ta mère. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Ne suis-je pas bien malheureuse ! (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Malgré la rigueur de votre père, je viens vous assurer, mademoiselle, que je perdrai plutôt la vie que l'espérance d'être un jour votre époux. (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
- Oui, mademoiselle, nous avons résolu cela : et s'il ne vous épouse, je vous épouserai, moi. (Acte 1, scène 8, MEZZETIN)
- Vous savez, Monsieur_le_Comte, quels sont mes sentiments pour vous : cela vous doit suffire. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
- Vous chantez bien : voilà ma cousine qui accompagne parfaitement du clavecin : je veux vous entendre ensemble. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
- Mais, mademoiselle, chanter dans l'état où je suis ; pénétré de douleur, désespéré... (Acte 1, scène 8, OCTAVE)
- Je ne dors ni ne veille ; je sens toujours là un tintamarre, comme s'il y avait un régiment de lutins. (Acte 1, scène 9, PIERROT)
- Est-ce que vous prétendez, mon petit monsieur, épouser ma fille malgré moi ? (Acte 1, scène 9, TRAFIQUET)
- Monsieur, n'allez pas souffrir cela ; on vous prendrait pour un insensé. (Acte 1, scène 9, PIERROT)
- Va, va, tu n'as qu'à y revenir ; je te ferai danser un branle de sortie sans violons. (Acte 1, scène 10, PIERROT)
- Et vous, mademoiselle l'impertinente, ne vous ai-je pas défendu de le voir ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
- Elles ont appris à danser du même maître. (Acte 1, scène 10, PIERROT)
- Ne t'ai-je pas dit que je ne voulais pas que tu songeasses davantage à cet homme-là pour être ton époux ? (Acte 1, scène 10, TRAFIQUET)
- Allons, allons, il faut faire cesser tout ce manége-là. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
- Je veux que tu passes chez monsieur Fesse-Mathieu, pour le prier de venir ici ; et que tu ailles de là dans la rue de la Huchette, savoir si le messager du Mans est arrivé. (Acte 1, scène 11, TRAFIQUET)
- Pardonnez-moi... mais... c'est que... en vérité... mademoiselle ; je m'en vais... (Acte 1, scène 12, PIERROT)
- Pour moi, je ne sais plus quelle maladie a attaqué le cerveau de cet animal-là : il ne voit plus, il n'entend plus ; il a assurément quelque chose de brouillé dans son timbre. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
- Je n'oserais ; je sens là un tourbillon, un étouffement de la nature... heurtant contre l'amour. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
- Je trouve cela assez plaisant. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
- Autre chose ne peut vous dire votre très humble serviteur et fidèle amant, Pierrot. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
- Mon très humble serviteur et fidèle amant, Pierrot. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
- Voilà donc où le bât vous blesse, monsieur l'amoureux ! (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
- Mademoiselle, je sais bien que mon mérite n'est pas capable de mériter ;... mais, d'un autre côté,... voilà que l'occasion,... votre beauté... Je ne suis pas bien riche ; mais, ma foi, je suis un bon garçon. (Acte 1, scène 12, PIERROT)
- J'entends cela le mieux du monde ; mais je vous prie, monsieur Pierrot, d'étouffer un peu vos hoquets de tendresse, et d'aller porter cette lettre à monsieur de la Maltotière. (Acte 1, scène 12, COLOMBINE)
- La conquête de Pierrot n'est pas bien illustre : je sens néanmoins une secrète joie de voir que rien ne m'échappe. (Acte 1, scène 13, COLOMBINE)
- Mademoiselle, voilà monsieur le conseiller Nigaudin. (Acte 1, scène 14, LE-LAQUAIS)
- Mademoiselle, quand il s'agira de venir vous offrir ses hommages, on n'obtiendra point de défaut contre moi : en cas de rendez-vous auprès des dames, je ne me laisse jamais contumacer, et je me rends bien vite à l'ajournement personnel. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Que vous dites les choses galamment ! (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
- Vous avez un tour aisé et naturel dans les expressions, que les autres n'ont point ; et il semble toujours que vous demandiez le coeur, quelque indifférente chose que vous puissiez dire. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
- Moi, mademoiselle ! Je ne vous demande rien ; vous me prenez donc pour un escroc ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Tout franc, mademoiselle, les gens d'épée n'ont point le boute-dehors comme nous. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Ma foi, il y a bien de l'entêtement ; car, entre nous, il n'y a point de gens qui tiennent une procédure si irrégulière auprès des dames que les gens de guerre : ils sont brusques et entreprenants sur le fait des faveurs, et n'observent jamais les délais fixés par l'ordonnance de l'amour. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Il est vrai qu'on n'est point en sûreté contre leurs entreprises ; et quand ils sont chez les dames, ils s'imaginent être dans un quartier d'hiver à vivre à discrétion. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
- À propos de quartier d'hiver, mademoiselle, il me semble qu'ils sont venus cette année quinze jours plus tôt pour moi. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- J'avais hypothèque spéciale sur votre coeur, sans ce visage d'épetier qui est arrivé, et qui se prétend privilégié sur la chose : mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Il est vrai qu'un juge craint fort peu de chose ; mais la plupart de ces gens de guerre sont des brutaux qui usent d'abord des voies de fait. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Vous avez assez d'autres endroits pour vous faire distinguer. (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
- Qu'on n'ait du coeur. Je voudrais que vous me vissiez aux buvettes : je fais tout trembler ; et si tous mes confrères les praticiens me ressemblaient, il ne se recevrait pas le quart des nasardes qui se donnent tous les jours. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- C'est un petit déshabillé de chasse que je me suis fait faire pour la cour. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Je sens quelquefois des convulsions de bravoure que je ne saurais retenir. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- J'étais né pour la guerre : mais mon père, voyant que j'avais trop d'esprit pour ce métier-là, me mit dans notre présidial de Beauvais, et m'acheta une charge d'assesseur. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Ah, monsieur l'assesseur ! (Acte 1, scène 15, COLOMBINE)
- Tout franc, mademoiselle, je ne me plains pas de mes lumières, et je vous avoue que j'ai une pénétration d'esprit qui me surprend quelquefois. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- L'une des parties m'avait envoyé un carrosse de cent pistoles, et l'autre deux chevaux gris de six cents écus ; vous jugez bien qui avait le bon droit ? (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- Ma foi, vous avez raison ; les chevaux entraînèrent le carrosse. (Acte 1, scène 15, NIGAUDIN)
- À quoi vous amusez-vous là ? (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Si tu ne me laisses entrer, je mettrai le feu à la maison. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Que je suis malheureuse ! (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Mordi, mademoiselle : il est plus difficile d'entrer chez vous que de prendre trois demi-lunes l'épée à la main. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Mais, mademoiselle, on est bien aise de conserver le peu qu'on a de linge. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Voyez-vous, mademoiselle, je suis le gentilhomme de France du meilleur commerce ; mais, ventrebleu ! (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Je me distingue en voyant des gens de cour ; les officiers me font plaisir ; je trouve des ressources avec les financiers : et pour peu qu'on aime les bagatelles, c'est le moins qu'on puisse avoir que deux ou trois petits abbés dans une maison. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Pour les abbés, passe : on sait bien que cette graine-là est nécessaire aux femmes : mais j'enrage de voir à vos trousses un tas de gens de robe, qui sont pour la plupart des croquants, à qui l'esprit n'a été donné que comme le sel aux jambons pour les conserver. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Bon ! L'été les femmes les souffrent faute d'officiers : mais ce sont des oiseaux de semestre qui disparaissent avec les hirondelles. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Et puis les affaires viennent sans qu'on y pense ; on a tous les jours, malgré soi, des procès ; et vous savez qu'auprès d'un juge sensible, l'enjouement d'une jolie femme est toujours la meilleure pièce d'un sac. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Fi, monsieur, ne m'en parlez point ; je ne le saurais souffrir : c'est une éponge à sottises. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Qu'avez-vous donc, mademoiselle ? (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Vous me paraissez bien enrhumée. (Acte 1, scène 16, LE CAPITAINE)
- Ce n'est rien, monsieur ; on ne peut pas toujours se porter si bien que vous. (Acte 1, scène 16, COLOMBINE)
- Je le crois, ma foi, qu'il est hon ; il y a plus de trente ans que je m'en sers jour et nuit ; je ne suis pas comme ces femmes qui le mettent le soir sur leur toilette. (Acte 1, scène 16, LE-CAPITAINE)
- Pour une demoiselle, il me semble que vous avez là un vilain mâtin sous votre table. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
- Chassez-moi ce chien de dessous cette table. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
- Mon petit ami, si vous ne dénichez au plus vite, je vous ferai amoureusement descendre par la fenêtre. (Acte 1, scène 17, LE-CAPITAINE)
- Et vous, monsieur, de quoi vous avisez-vous de faire du bruit mal à propos ? (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
- Il n'y a qu'un homme de robe et officier d'un présidial capable de tousser quand on le cache sous une table. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
- Puisque vous avez fait la sottise, démêlez la fusée comme il vous plaira. (Acte 1, scène 17, COLOMBINE)
- Adieu, monsieur ; nous ne serons pas toujours seul à seul ; et s'il vous tombe jamais quelque décret sur le corps, je vous apprendrai ce que c'est que de scandaliser un juge chez des femmes. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
- On ne traite pas comme cela un conseiller assesseur, et je m'en plaindrai à votre citadelle. (Acte 1, scène 18, NIGAUDIN)
- Monsieur, je viens de chez votre notaire ; il vous prie bien fort de l'excuser ; il ne saurait venir aujourd'hui. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Ni demain non plus : il lui est survenu une petite affaire ; je ne crois pas qu'il puisse venir si tôt. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Tu as raison ; je ne crois pas qu'il revienne de longtemps. C'est bien dommage ; c'était le seul honnête homme de notaire que j'aie encore trouvé. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
- Je me déferai peut-être à la fin de ma fille, et je ne verrai plus dans ma maison des animaux de toute sorte d'espèces, et particulièrement cette assemblée de femmes, ou plutôt cette académie de folles qui s'y tenait. (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
- Tout franc, monsieur, je commençais à être bien las de toutes ces visageresses, et j'étais résolu de prendre mon congé ou de vous donner le vôtre. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Mais, monsieur, je voudrais bien vous lâcher un petit mot, tandis que je sommes sur la chose du mariage. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Ce qui me console ; monsieur, c'est que celle que j'épouse est aussi folle que moi. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Et qui est donc cette malheureuse-là ? (Acte 2, scène 1, TRAFIQUET)
- Monsieur, vous la connaissez bien ; c'est... mademoiselle votre fille. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Vraiment, monsieur, cela est tout prêt ; on n'attend plus que votre consentement et le sien. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Mais, monsieur, il ne faut pas se fâcher ; cela n'est pas si inégal. (Acte 2, scène 1, PIERROT)
- Vous avez une fille : ergo vous êtes pourvu d'une drogue dont vous voudriez être défait ; car une fille, c'est une fleur qui se fane, si elle n'est cueillie dans sa saison ; c'est un quartaut de vin de Champagne qui jaunit, s'il n'est bu dans sa primeur. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Cette marchandise-là ne dure toujours que trop. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Vous pouvez aussi vous vanter que vous serez le beau-père de France le mieux engendré. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je n'ai aucune mauvaise qualité ; je hais le vin à la mort ; j'ai une aversion incroyable pour le jeu, et je suis fort aisé à vivre : je ne crois pas avoir assommé plus de vingt paysans ; et si, ce n'était que pour des bagatelles, quelques rentes seigneuriales. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Vous dites donc, monsieur, que ma fille sera doucement avec vous ; et qu'est-ce que c'est que cela, s'il vous plaît ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
- Il n'y a que des fripons qui s'amusent à ce métier-là. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je porte quelquefois des cartes et des dés par complaisance ; mais je ne m'en sers qu'en compagnie, et je vous assure que si j'étais seul je ne jouerais jamais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Je vous l'ai toujours dit, monsieur ; il n'y a que les mauvaises compagnies qui gâtent la jeunesse. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
- Je vois pourtant là quelque chose qui a assez la physionomie d'une bouteille. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
- Allons, allons, il faut passer par là-dessus : on ne fera pas un homme exprès pour moi. (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
- Apparemment vous n'épouserez pas ma fille sans la voir ? (Acte 2, scène 2, TRAFIQUET)
- Non, monsieur ; j'ai vu un chevalier avec un abbé qui sont venus pour l'emprunter jusqu'à sept heures. (Acte 2, scène 2, PIERROT)
- Si on me l'emprunte comme cela quand elle sera ma femme, elle ne durera pas si longtemps que je pensais. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Mon garçon, la fille de monsieur se prête donc quelquefois de main en main quand on la demande ? (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- En tout cas, si dans six mois ou un an je ne m'accommodais pas de votre fille, en perdant quelque chose dessus, vous la reprendriez. (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
- Ma fille, voilà le bailli en question : tu ne voudras peut-être pas lui ouvrir ton coeur en ma présence ? (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
- Monsieur, je ne vous rends pas un méchant office de vous laisser seul avec votre maîtresse. (Acte 2, scène 3, TRAFIQUET)
- Ne vous étonnez pas, mademoiselle, si vous me voyez reculer trois pas au frontispice de vos charmes : vous avez des yeux capables d'embraser tout le bailliage de mon coeur ; et depuis qu'on porte des bouches, on n'a jamais bouchonné un bouchon si bouchonnable. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Je suis confuse de vos civilités, monsieur ; et il faudrait avoir plus d'esprit que je n'en ai pour répondre à un compliment aussi bien tourné. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Il est vrai que pour des compliments, il n'y a personne dans notre province qui ose me prêter le collet. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- À vous entendre parler, vous ne paraissez pas content des cavaliers de ce pays-ci ; et les dames, qu'en dites-vous ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- La la ; elles sont d'assez bonne amitié : j'en ai trouvé quelques unes de jolies en mon chemin ; mais, tout franc, je n'en ai point encore vu une de votre calibre. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Il faut pourtant tomber d'accord qu'elles ont un tour d'esprit et des manières de se mettre que les femmes de province n'ont pas. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Oui-da, oui-da, je trouve qu'elles se coiffent raisonnablement haut, et je crois que leurs maris ne sont guère coiffés plus bas, (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Où passe-t-on le temps avec plus d'économie ? (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Pour moi, je trouve cela le plus joli du monde ; mais que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Les maris disent ce qu'ils veulent, et les femmes font ce qui leur plaît ; c'est la mode du pays. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Et, s'il vous plaît, quand une femme revient du bal à cinq heures du matin avec un cavalier, qu'elle éveille toute la maison, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Ils ne disent rien ; dès que la femme est rentrée, ils se rendorment. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Mais, je vous prie, lorsqu'une femme vend ses pierreries pour faire l'équipage de quelque galant homme qui va à l'armée, que disent les maris à Paris ? (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Les Parisiens sont trop bons serviteurs du Roi pour trouver cela mauvais. (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Vaille que vaille, puisque j'ai fait les frais du voyage, je vous épouserai ; mais à condition que, dès le lendemain de la noce, vous vous mettrez dans la carriole du Mans pour venir régenter les chapons de ma basse-cour : l'air de Paris donne trop de maux de tête. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Quelque loi que vous m'imposiez, elle me paraîtra toujours douce, pourvu que je sois sûre de passer avec vous le reste de mes jours : vous me tenez lieu de tout ; et du moment que je vous ai vu, j'ai senti pour vous... (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
- Adieu, ma belle enfant ; touchez là : dans une heure au plus tard je vous fais marquise ou baillivesse ; vous choisirez. (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
- Voyez, je vous prie, cet idiot de bailli qui va se faire marquis. (Acte 2, scène 5, COLOMBINE)
- Je vous prie, mademoiselle ma fille, de ne point m'échauffer les oreilles ; je sais ce qu'il vous faut, et c'est à vous d'obéir quand je vous ai choisi un mari, entendez-vous ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
- Mais voyez, je vous prie, comme cela fait la raisonneuse ! (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
- Je vous dis encore une fois, mon père, laissez-moi mener cette affaire-là. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
- Et que trouvez-vous, s'il vous plaît, à redire au mari que je vous propose ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
- C'est un homme qui se présente de front au mariage, et ne sait pas ce que c'est qu'un préliminaire d'amour. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
- Comment veux-tu donc qu'il se présente ? (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
- Si tu as de la raison tu dois m'obéir, et prendre le parti qui se présente. (Acte 2, scène 6, TRAFIQUET)
- Le parti qui se présente ? (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Oui, le parti qui se présente. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
- Oui, s'il vous plaît ; il ne faut point tant faire de gestes et de grimaces : est-ce qu'il lui manque quelque chose ? (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
- Il faudrait, mon père, que je fusse bien aveugle ou bien insensible pour, refuser un tel parti. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Viens, ma fille, que je t'embrasse. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
- Que cet embrassement me fait de plaisir ! (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Et moi, pour reconnaître ton obéissance, je te promets d'augmenter ton trousseau de six chemises, et d'aller te voir toutes les fêtes et dimanches quand tu seras au Maine. (Acte 2, scène 7, TRAFIQUET)
- Ce n'est pas son dessein de quitter Paris. (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
- Je n'irai pas perdre un amant pour la mauvaise humeur d'un père : nous sommes dans un temps où il faut garder le peu qu'on en a. (Acte 2, scène 9, COLOMBINE)
- Enfin, Pierrot, te voilà dans le bourbier jusqu'au cou. De quoi t'avises-tu d'être amoureux ? (Acte 2, scène 10, PIERROT)
- Je dis, mademoiselle, que quand je serai mort, je ne verrai plus goutte. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
- Mademoiselle, assurément vous me ferez faire quelque mauvais coup : je me serais déjà jeté vingt fois par la fenêtre de notre grenier, s'il avait été seulement un étage plus bas. (Acte 2, scène 10, PIERROT)
- Je te conseille, de ce pas, d'aller faire ce saut-là pour l'amour de moi. (Acte 2, scène 10, COLOMBINE)
- Mademoiselle, voilà la comtesse de Flamèche et la marquise de Bistoquet qui demandent à vous voir. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
- La comtesse de Flamèche et la marquise de Bistoquet ! (Acte 2, scène 11, COLOMBINE)
- Ce sont des dames qui disent qu'elles demeurent depuis peu dans le quartier. (Acte 2, scène 11, LE-LAQUAIS)
- Bonjour, mademoiselle ; comment vous portez-vous ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- On a dû vous dire, mademoiselle, que mon équipage s'est arrêté vingt fois à votre porte ; mais vous êtes introuvable, et toute des plus rares. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Mais voyez ce teint, je vous prie, madame la Comtesse. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Apparemment que vous l'avez pris du bon faiseur ; je n'ai jamais rien vu d'aussi charmant. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Quand vous voudrez, nous jouerons ensemble ; mais je vous avertis que je suis la plus malheureuse fille du monde. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
- Une charrette de foin a fait un embarras, ce qui nous a obligées de nous sauver chez Lamy, où nous avons bu chacune trois bouteilles de vin pour nous désennuyer. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Il faut dire la vérité ; madame la Comtesse porte le vin comme un charme. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Madame la Marquise veut qu'on lui rende justice, et qu'on lui dise qu'il n'y a point de Breton qu'elle ne boive par-dessous la jambe ; c'est bien le plus hardi vin de femme ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Une fille comme vous peut-elle se résoudre à cette vilenie-là ? (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- J'ai assez de peine à m'y résoudre ; mais que voulez-vous ? (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
- Faites comme moi, mademoiselle ; depuis que j'ai épousé mon mari, nous ne couchons plus ensemble. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Cela est fort bon pour vous, madame la Marquise, qui avez quantité d'enfants de votre premier lit ; mais une fille qui se marie est bien aise de savoir au juste à quoi elle est propre. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Pour moi, je suis malheureuse en garçons ; je n'en saurais élever ; je n'en ai plus que dix-sept. (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Dix-sept ! (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
- J'en aurais bien eu vingt-cinq ou trente, si tout était venu à profit ; mais les fausses couches ont fait de terribles brèches dans ma famille. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Elle est d'une finesse extraordinaire ; on croirait que vous allez rompre. (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
- Depuis deux ans, Dieu merci, j'en suis un peu la maîtresse ; j'ai obligé monsieur le Comte à faire lit à part ; car je suis présentement bien revenue de la bagatelle. (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Peut-on savoir, ma chère, qui vous épousez ? (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Ah, mademoiselle ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Que je suis malheureuse ! (Acte 2, scène 12, COLOMBINE)
- Non, madame, assurément je ne passerai pas, ou la peste m'étouffe ! (Acte 2, scène 12, PASQUARIEL)
- Si je passe la première, je veux que cinq cent mille diables me tordent le cou ! (Acte 2, scène 12, MEZZETIN)
- Elles n'ont que faire de me tant dégoûter du bailli ; si je l'épouse, ce ne sera qu'à mon corps défendant. (Acte 2, scène 13, COLOMBINE)
- Quand vous serez las de chanter, vous me direz peut-être ce que vous me voulez. (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
- Monsieur, ce sont des filles surnaturelles, qui connaissent les astres, les langues, et tout ce qu'il y a de plus extraordinaire au monde et hors du monde ; elles ne parlent qu'en vers : enfin, ce sont des filles d'un mérite sublime. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
- Puisque ces créatures -là savent tant de belles choses, elles pourront donc bien me déterminer sur un mariage ? (Acte 2, scène 14, ARLEQUIN)
- Vous ne pouvez pas mieux vous adresser. (Acte 2, scène 14, MEZZETIN)
- Vous saurez que je sens une convulsion, v.35 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- C'est manquer de bon sens que de vivre sans femme. v.45 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
- Et pour se marier, il faut être archi-fou. v.46 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
- Le bridon qui retient la jeunesse fougueuse, v.52 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
- L'onguent qui guérit seul la brûlure amoureuse, v.53 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
- Marchandise mêlée et bien de contrebande ; v.65 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
- Elle sert un mari, soulage sa vieillesse : v.72 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
- La femme est dans le monde un miroir de sagesse, v.73 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
- Oui, cela se disait du temps de Jean-de-Vert. v.77 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Plutôt que prendre femme, épousez un désert : v.78 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
- Elle ne met jamais de frein à sa dépense ; v.80 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
- Un vaisseau sur lequel le nocher le plus sage v.83 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
- C'est l'arsenic du coeur : la fureur la conduit ; v.85 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
- Qui prétend se venger d'un époux offensif, v.89 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Il aura sur l'esprit répandu ses trésors ; v.94 (Acte 2, scène 15, PREMIÈRE BOHEMIÉNNE)
- Elle se fait un fonds de son économie : v.96 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
- De ses petits défauts aisément nous racquitte. v.100 (Acte 2, scène 15, PREMI?RE BOHEMI?NNE)
- La savante ne dit que vers, métamorphose, v.107 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
- Et méprise un époux qui ne parle qu'en prose : v.108 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
- Celle qui d'un beau sang voit ses pères issus, v.109 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
- Vous compte ses aïeux pour toutes ses vertus. v.110 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMI?NNE)
- Ne serai-je point,... là... v.120 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Ne me déguisez rien. v.121 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Mauvaise sauvegarde v.135 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Moi je dis, à vous voir seulement par le dos... v.137 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
- Ah ! Je sens déjà là... v.145 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Je prétends me servir des droits du voisinage, v.151 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Et laisser qui voudra goûter du mariage. v.152 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Prédiseuses du diable, ah ! Laissez-moi partir. v.162 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Pour vous laisser, je veux vous mettre hors d'état v.165 (Acte 2, scène 15, SECONDE BOHEMIÉNNE)
- Un accord : je serai six mois de l'an garçon, v.169 (Acte 2, scène 15, ARLEQUIN)
- Il n'en est pas encore où il pense ; je lui garde le meilleur pour le dernier. (Acte 3, scène 1, COLOMBINE)
- Mademoiselle, voilà un bel esprit qui monte, madame Pindaret. (Acte 3, scène 2, LE-LAQUAIS)
- Que je suis heureuse de vous rencontrer ! (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
- Il est vrai que j'ai le domestique du monde le plus brutal : qu'une femme de qualité me vienne voir, on ne m'en dit rien ; qu'une procureuse frappe à ma porte, on vient m'en faire la honte en pleine compagnie. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
- En vérité, mademoiselle, il faut que votre train soit travaillé d'un prodigieux dévoiement de mémoire ; oui, je crois que je suis venue ici plus de dix fois depuis les calendes du mois dernier. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
- Les calendes, mademoiselle ; c'est la manière de compter des Romains, et la mienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
- Si ma servante datait sa dépense autrement, elle ne coucherait pas chez moi deux jours de suite. (Acte 3, scène 3, MADAME PINDARET)
- Que vous êtes heureuse, madame, de savoir tant de belles choses ! (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
- Il faut dire la vérité ; on se décrasse en ma compagnie, et tout le monde avoue que je n'ai point la conversation roturière. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
- Comment pouvez-vous fournir à la dépense d'esprit que vous faites ? (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
- Si vous ne vous ménagez, vous n'en aurez jamais assez pour le reste de vos jours. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
- Cela ne coûte rien à une femme comme moi, qui se joue des auteurs ; j'entretiens commerce avec les anciens, et je fraye aussi avec les modernes. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
- Assurément, mademoiselle ; j'en attrape assez le vrai, et je veux vous faire voir quelle est ma lecture quotidienne. (Acte 3, scène 3, MADAME-PINDARET)
- Vous auriez de la chalandise. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
- J'allai voir, il y a quelque temps, une marquise ; je ne fus qu'un quart_d_heure avec elle, c'était pendant la canicule : sa conversation ne laissa pas de m'enrhumer si fort, que je me suis mise au gruau pendant trois semaines pour en revenir. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
- Cela étant, madame, quand vous allez en visite de marquise, de crainte de vous enrhumer une seconde fois, il faudrait faire porter un manteau fourré avec votre Juvénal. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
- En vérité, madame, vous fûtes bien heureuse d'en être quitte pour un rhume ; cela valait bien la peine de tomber en apoplexie. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
- À propos, mademoiselle, avec-vous vu mon madrigal ? (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
- Vous me ferez, je vous assure, un sensible plaisir. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
- Ce n'est pas cela ; c'est un rondeau sur une absence, que je laisse quelque temps mitonner sur le réchaud de la réflexion... (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
- MADRIGAL, Sur l'inconstance d'une maîtresse qui changea d'amant, parce qu'il avait soupiré par le derrière. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
- Oui, cela s'entend de reste ; peu s'en faut que je ne le sente. (Acte 3, scène 5, COLOMBINE)
- Et se fait un nouvel amant ! v.174 (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
- On dira, volage Lisette, v.175 (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
- J'ai d'assez belles humanités, comme vous voyez ; mais je vais me donner à la physique. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
- Oui, mademoiselle. C'est une des plus nobles sciences qu'il y ait ; elle a pour objet tout ce qui tombe sous les sens, et par conséquent, le corps humain, qui est la plus belle et la plus parfaite de toutes les structures humaines. (Acte 3, scène 5, MADAME-PINDARET)
- Adieu, mademoiselle ; je sens que ma colique veut me reprendre. (Acte 3, scène 5, MADAME PINDARET)
- Vous allez voir comme je vous chamarre une danse sérieuse. (Acte 3, scène 6, ARELQUIN)
- Je vous prie, monsieur, de m'en dispenser ; je suis d'une fatigue outrée, et voilà huit nuits de suite que je cours le bal. (Acte 3, scène 6, COLOMBINE)
- Il faut donc que madame danse à votre place ? (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Excusez-moi, s'il vous plaît ; je ne danse point, je fais des vers. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
- Madame, vous danserez en vers, ou vous crèverez en prose. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Madame Pindaret se laisse tomber. v.178 (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
- Voilà un menuet qui m'a mise sur les dents. (Acte 3, scène 6, MADAME-PINDARET)
- Souffrez, mademoiselle, que je vous quitte pour aller me mettre au lit. (Acte 3, scène 6, MADAME PINDARET)
- Hé bien, mademoiselle, ne vous avais-je pas bien dit qu'il n'y avait guère de marquis plus ridicule que moi ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Palsembleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Ma foi, mademoiselle, il faut du plain-pied à un marquis. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- C'est-à-dire que vous n'oseriez pas y faire le fanfaron comme ailleurs. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Il y a longtemps que j'ai secoué la pudeur de ces demi-gens de qualité qui commencent à se donner au public. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Je ne tâte point des coulisses ; sur l'orchestre, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Comment voulez-vous qu'un pauvre diable de comédien se fasse entendre au bout d'une salle ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Mais, de bonne foi, monsieur le Marquis, croyez-vous que ce soit pour voir peigner votre perruque, prendre du tabac, et faire votre carrousel sur le théâtre, que le parterre donne ses quinze sols ? (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Ma foi, quand il n'aurait que ce plaisir-là, cela vaut bien une mauvaise comédie. (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Savez-vous bien que cet été ils l'ont traité de monseigneur dans un placet ? (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Le parterre monseigneur ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Vous avez beau pester, le parterre fait du bien à tout le monde ; il redresse les auteurs, il tient les comédiens en haleine ; un fat ne se campe point impunément devant lui sur les bancs du théâtre : en un mot, c'est l'étrille de tous ceux qui exposent leurs sottises au public. (Acte 3, scène 7, COLOMBINE)
- Je vous baise les mains : je n'entends point la comédie dans une loge comme un sansonnet ; je veux, morbleu ! (Acte 3, scène 7, ARLEQUIN)
- Mademoiselle, voilà votre couturière. (Acte 3, scène 8, LE-LAQUAIS)
- Oui, mademoiselle j'espère qu'il vous habillera parfaitement bien : depuis que je travaille, je n'ai jamais vu d'habit si bien taillé. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Oui-da, mademoiselle ; vous pouvez vous habiller jusqu'à la chemise inclusivement. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Peut-on voir votre minois, petite femelle ténébreuse ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Que ne vous laissez-vous voir aussi, Margot, vous qui êtes si jolie ? (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
- Je n'oserais, mademoiselle. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- C'est que monsieur Harpillon m'a défendu de regarder les hommes ; et il serait fâché s'il savait que je me fusse montrée. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Monsieur, il n'y a point de ce que vous pensez à son fait : c'est un homme qui n'a que de bons desseins ; il m'a promis de m'épouser ; et pour preuve de cela, il m'a déjà envoyé une housse verte avec une bergame. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Si tu voulais, Margot, m'épouser à la Harpillon, j'irais moi jusqu'à une verdure. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Je vous remercie, monsieur ; cela ferait jaser le monde. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Écoutez, Margot, votre montée a peut-être raison, et il pourrait bien y avoir quelque chose à refaire à votre réputation. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Ma mie, me voudrais-tu tailler une chemise et quelques caleçons ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Je suis votre servante, monsieur ; on ne travaille point en homme au logis. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Mais il me semble, Margot, que ce manteau-là monte bien haut ; on ne voit point ma gorge. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
- Ce n'est peut-être pas la faute du manteau, mademoiselle. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Taisez-vous, Margot ; vous êtes une sotte : tenez, remportez votre manteau ; j'y suis faite comme je ne sais quoi. (Acte 3, scène 9, COLOMBINE)
- Un petit mot : j'ai besoin d'une fille de chambre ; je crois que tu serais assez mon fait. (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Sais-tu raser ? (Acte 3, scène 9, ARLEQUIN)
- Moi, raser ! (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Je vois bien que vous êtes un gausseur: je mourrais de peur, si je touchais un homme seulement du bout du doigt. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Adieu, mademoiselle ; dans un quart_d_heure je vous rapporterai votre manteau avec de la gorge. (Acte 3, scène 9, MARGOT)
- Nous autres gens de qualité, nous aimons quelquefois à rabattre sur la grisette. (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
- Je vous dirai, monsieur le Marquis, qu'avant que de vous épouser, je vous demande encore une grâce. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
- Nous sommes un certain nombre de filles qui avons fait serment de ne point prendre de mari qui n'ait été reçu auparavant dans notre académie. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
- Ne vous mettez pas en peine : on vous habillera en femme ; on vous fera peut-être faire serment d'être un époux commode, de laisser faire à votre femme tout ce qu'il lui plaira, de n'être point de ces maris coquets qui vivent de rapine, et laissent leurs femmes pour aller picorer sur le commun. (Acte 3, scène 10, COLOMBINE)
- Voilà qui est bien drôle, qu'il faille, pour vous épouser, commencer par se déshumaniser ! (Acte 3, scène 10, ARLEQUIN)
- Ô toi qui veux épouser Colombine, v.180 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
- Versez tout votre fard v.199 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
- Barbouillez vite ce museau, v.201 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
- Je peux présentement résister à la pluie ; me voilà bien peint. (Acte 3, scène 11, ARLEQUIN)
- Le damoiseau v.205 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
- Au museau v.206 (Acte 3, scène 11, MEZZETIN)
- Voilà qui est assez drôle. (Acte 3, scène 12, ARLEQUIN)
- Ce que j'ai vu tantôt, et ce que je vois présentement, m'oblige de vous dire, monsieur le bailli, que vous pouvez, tout de ce pas, vous en retourner dans le Bas-Maine, manger vos chapons ; car pour ma fille, vous n'en croquerez que d'une dent. (Acte 3, scène 12, TRAFIQUET)
- Et qu'une fille à Paris soit bien près de ses pièces pour épouser un bailli du Bas-Maine. (Acte 3, scène 12, COLOMBINE)
LE DISTRAIT (1697)
- Vous ne prendrez point des sentiments plus doux ? v.4 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Me paraissent, pour moi, tout à fait laconiques. v.6 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Dites-moi, s'il vous plaît, la véritable cause v.9 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
- Qui vous fait rejeter les partis qu'on propose. v.10 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
- Sont un jour quelque chose, et le lendemain rien. v.16 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Fort bien ! La réponse est honnête ; v.21 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Il s'offre deux partis, vous les chassez tous deux : v.23 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
- Le premier est trop riche, et le second trop gueux. v.24 (Acte 1, scène 1, VAL?RE)
- Qu'il ne fasse point voir ces traits de pétulance, v.30 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Qu'il ait auprès du sexe un peu de politesse ; v.33 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Qu'il mêle à ses discours certain air de sagesse ; v.34 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Cet homme à rencontrer sera très difficile ; v.37 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Ce parti semble vous étonner ! v.44 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Et je le trouve, moi, selon ma fantaisie. v.46 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Il répond rarement à ce qu'on lui propose ; v.49 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- On ne le voit jamais à lui dans nulle chose : v.50 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- On peut être, à mon sens, homme sage et distrait. v.52 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Vous êtes tous les jours témoin de sa tendresse. v.66 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- D'accord. Lisette ! Holà ! Lisette ! De la vie v.77 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- On ne vit dans Paris femme si mal servie. v.78 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Lisette ! v.79 (Acte 1, scène 1, MADAME GROGNAC)
- Eh bien, Lisette ! Est-ce fait ? Me voilà. v.79 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Oh ! Vous grondez sans cesse. v.84 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Répondez seulement à ce que l'on souhaite. v.85 (Acte 1, scène 2, MADAME GROGNAC)
- Vous parlez bien à l'aise, avec votre censure. v.89 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Mon_Dieu ! Je sais assez comme il faut se conduire, v.97 (Acte 1, scène 3, MADAME GROGNAC)
- La voilà. Vous verrez quels sont ses sentiments. v.99 (Acte 1, scène 3, MADAME GROGNAC)
- Venez, mademoiselle, et saluez les gens. v.100 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Depuis trois ans et plus qu'elle apprend à danser ! v.103 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- À se taire. v.105 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Ce sont courtiers d'amour pour une demoiselle. v.110 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Présentez mieux la gorge, et baissez cette épaule. v.113 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Vous ne rougissez pas quand on parle d'époux ! v.120 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- On devrait s'en passer, si l'on avait bon sens. v.127 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- La même chose un jour pourra nous arriver. v.135 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- On ne fait donc point mal à se faire enlever ? v.136 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- C'est une grosse bête, et qui n'est propre à rien. v.139 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Elle est bien votre fille, et vous ressemble bien. v.140 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Vous pourriez à la fin lasser ma patience. v.142 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Je sens, lorsque je vois un petit homme à peindre... v.150 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- Je sens là je ne sais quoi qui plaît ; v.151 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- Qui vous fait ressentir ce mouvement naissant ? v.156 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Lisette ; et tu nous peux en faire le portrait. v.160 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- Se peigne, chante, rit, se promène, s'agite ; v.165 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Qui près du sexe encor vit assez sans façon : v.167 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Il sera très riche quelque jour : v.172 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
- De quel front, s'il vous plaît, sans mon consentement, v.175 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Osez-vous bien penser à quelque attachement ? v.176 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Je ne le verrai point, vous serez obéie ; v.186 (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- Mais c'est une eau qui dort, dont il faut se garder. v.191 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Taisez-vous, péronnelle. v.194 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Adieu. Je suis votre servante. v.198 (Acte 1, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Vous aurez, s'il se peut encor, garçon ou fille, v.201 (Acte 1, scène 4, VALÈRE)
- De vos enfants alors vous pourrez disposer v.203 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
- Tout à votre plaisir, sans que j'aille y gloser. v.204 (Acte 1, scène 4, VAL?RE)
- Et je ne vois pas, moi, son esprit se porter v.207 (Acte 1, scène 5, LISETTE)
- J'avais dessein de faire une double alliance ; v.209 (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
- Bonjour, mon oncle. Ah ! Ah ! Lisette, te voilà ! v.219 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- De ces distractions il est assez capable. v.229 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Cidalise, qu'on sait avoir l'âme si bonne v.253 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- S'exerce-t-elle assez ? D'un trait envenimé v.259 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Toujours l'honneur du sexe est par vous entamé. v.260 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
- Il ne prêche pas mal. Passez au second point, v.264 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je suis déjà charmé. Que dis-tu de ma danse, v.265 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Lisette ? v.266 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vous dansez tout-à-fait en cadence. v.266 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Et lorsque, tout fumant d'une vineuse haleine, v.269 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Vous allez vous baiser comme des demoiselles ; v.273 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
- Votre troisième point sera-t-il le plus fort ? v.279 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Soyez bref en tout cas, car Lisette s'endort ; v.280 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Cent fois bien autrement et me lasse et m'ennuie ; v.282 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Et je serai contraint de faire à votre soeur v.283 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
- Vous devez de moi seul attendre du secours. v.288 (Acte 1, scène 6, VAL?RE)
- Mais que fais-je donc tant, Monsieur, ne vous déplaise, v.289 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Pour trouver ma conduite à tel excès mauvaise ? v.290 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Rien qui puisse attirer ces réprimandes-là. v.292 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Oui ; mais en récompense, v.294 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Sans bruit, au petit pas se retire chez soi. v.304 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Un malade, entre nous, se conduirait-il mieux ? v.307 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vous serez le sixième, et vous paierez pour nous ; v.311 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Vous voilà cinq seigneurs bien en argent comptant ! v.316 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Vous en seriez charmé, si vous la connaissiez. v.324 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je la connais : mais vous, connaissez-vous sa mère ? v.325 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Je veux apprivoiser cet animal farouche. v.330 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- L'apprivoiser ! Monsieur ? Vous perdrez votre temps, v.331 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Ralentissez un peu cette amoureuse audace. v.334 (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Que nous sommes instruits comme il faut se conduire ; v.338 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- J'y penserai, mon oncle. Adieu. v.345 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Une affaire à présent m'empêche de le voir : v.347 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
- Accepte ce baiser de moi pour Isabelle. v.350 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
- J'adore ta maîtresse, et je sens que je t'aime v.354 (Acte 1, scène 7, LE CHEVALIER)
- Vous pourriez me blesser ; je crains les contre-coups. v.356 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- D'aller voir sa maîtresse : et quelle est cette affaire ? v.358 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
- À ne rien déguiser, aiment bien en ce temps ? v.360 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
- Seront-elles encor par les hommes dupées ? v.362 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
- Et qui diable déjà t'a conté de ses tours ? v.371 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Et se mordit, morbleu, jusques au sang. v.375 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Qu'il n'y retourna pas une seconde fois. v.376 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Pour son carrosse il prit celui qui dans la rue v.378 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Se trouva le premier. Le cocher touche, et croit v.379 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Il croit être en sa chambre ; et, d'un air de franchise, v.385 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Assez diligemment il se met en chemise, v.386 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Et bientôt il allait se mettre dans le lit, v.388 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Quand mon maître étonné se sauva de ce lieu v.391 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Pour te rendre service. v.398 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Ah ! Lisette, j'enrage. v.401 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Mais fol et vain espoir ! Vermisseaux que nous sommes ! v.413 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Comme le ciel se rit des vains projets des hommes ! v.414 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Il a déclaré, se voyant sur sa fin, v.419 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Le trait est vraiment noir, et ne peut se souffrir. v.424 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Et je n'en donnais pas une dose modique ; v.426 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Malgré sa fièvre lente et ses redoublements, v.432 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Sa fluxion, son rhume, et ses apoplexies, v.433 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Son crachement de sang, et ses trois pleurésies, v.434 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Déjà tout préparé, se porte mieux que moi. v.436 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Votre course n'a pas produit grand avantage. v.437 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Et nous nous conduirons par ses avis fidèles. v.442 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Son esprit se promène encor sur quelque objet. v.448 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Je sais que ta maîtresse a de naissants appas, v.451 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Il ne ressemble pas à quantité d'amants ; v.455 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- C'est un homme, morbleu, tout plein de sentiments. v.456 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Mais, s'il aime Clarice ensemble et ma maîtresse, v.457 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Que puis-je faire, moi, pour servir sa tendresse ? v.458 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Les épousera-t-il toutes deux ? v.459 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Il rêve fort à rien, il s'égare sans cesse ; v.462 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Une femme, Monsieur ; et moi, Mademoiselle ; v.466 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- D'ailleurs fort honnête homme, à ses devoirs austère, v.469 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Aimant, comme j'ai dit, sa maîtresse en héros : v.471 (Acte 2, scène 1, CARLIN)
- Si Léandre ressent une tendresse extrême v.473 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Pour Clarice, Isabelle est prise ailleurs de même, v.474 (Acte 2, scène 1, LISETTE)
- Cette friponne-là serait bien mon affaire. v.490 (Acte 2, scène 2, CARLIN)
- Mais mon maître paraît, il tourne ici ses pas. v.491 (Acte 2, scène 2, CARLIN)
- Il rêve, il parle seul, et ne m'aperçoit pas. v.492 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
- Je ne sais si l'absence, aux amants peu propice, v.493 (Acte 2, scène 3, LEANDRE)
- Je serais bien à plaindre, aimant comme je fais, v.500 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
- Qu'un autre profitât du fruit de ses attraits. v.501 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
- Plus je ressens d'amour, plus j'ai d'inquiétude. v.502 (Acte 2, scène 3, CARLIN)
- Ce qu'on te voit chercher ne se trouve jamais. v.513 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
- Il en tient un peu là. Sa présence d'esprit v.520 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
- Ce ne sera pas là le dernier d'aujourd'hui. v.525 (Acte 2, scène 5, CARLIN)
- Que j'épouse Isabelle, et je feins quelques soins. v.529 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
- Je ressens de la voir la plus ardente envie... v.534 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
- Mais connais-tu comment la chose est avenue, v.538 (Acte 2, scène 5, LEANDRE)
- D'adoucir les tourments de près d'un mois d'absence. v.547 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- À chaque instant aussi mon amoureuse flamme v.550 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Notre sexe autrefois changeait, c'était la mode ; v.554 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Madame, vous plaît-il de vous mettre à votre aise ? v.558 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Nous n'avons qu'un fauteuil ici, ne vous déplaise, v.559 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Et mon maître s'en sert, comme vous pouvez voir. v.560 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Je te suis obligée, et ne veux point m'asseoir. v.561 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Si je vous aimais moins, je serais plus tranquille. v.562 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- J'appréhende en secret que quelque amour nouvelle... v.566 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Sont de passer mes jours et mourir avec vous. v.569 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- L'amour prend dans ses yeux ses plus puissantes armes ; v.571 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Je suis au désespoir ; et je sens dans mon coeur v.576 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Mon amour outragé se changer en fureur. v.577 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Quel sujet tout-à-coup vous a mise en colère, v.578 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Suivez, servez, aimez, adorez Isabelle. v.583 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Me punisse à vos yeux, et me réduise en poudre, v.587 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Prononcez-vous un nom dont mon amour s'offense ? v.591 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Vous, qui m'occupez seule, et que seule aussi j'aime ! v.595 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- De ce cruel soupçon ma tendresse s'aigrit ; v.597 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Que pour quelque autre objet je devienne sensible. v.599 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Avec ces sentiments vous me rendez justice. v.610 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Mais le dédit pourrait traverser vos desseins. v.612 (Acte 2, scène 6, CARLIN)
- Serait de voir un jour sa fortune établie : v.615 (Acte 2, scène 6, CLARICE)
- Je m'offre à le servir pour avoir l'agrément. v.617 (Acte 2, scène 6, LEANDRE)
- Tout à propos ici le voilà qui se montre. v.618 (Acte 2, scène 6, CARLIN)
- Hé ! Bonjour, mon ami. Quelle heureuse rencontre ! v.619 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Mais dis-moi, seras-tu toujours fou, chevalier ? v.624 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
- Et quand comme Carlin on serait mal formé, v.628 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Votre comparaison est odieuse, et cloche. v.631 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
- Pour certains chevaliers ne se donnerait pas. v.633 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
- Tu te fâches, mon cher ! Il faut que je t'embrasse. v.634 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- L'oncle a donc fait la chose enfin de bonne grâce ? v.635 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Ses écus, ses louis étaient-ils neufs ou vieux ? v.637 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Cela se voit assez. v.641 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
- "Des rigueurs d'une Iris qui rit de ma tendresse ; v.645 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- "Là mon amour expire, et Bacchus en secret v.646 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- "Succède aux droits de ma maîtresse. v.647 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- "Et Bacchus en secret v.650 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- "Succède aux droits de ma maîtresse. " v.657 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Que vous semble, Monsieur, et de l'air et des vers ? v.658 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- J'étais fort serviteur de monsieur votre père, v.662 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- Et je vous veux servir de la bonne manière. v.663 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- Je me sens obligée à votre honnêteté. v.664 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
- Je crois que nous serions mieux de l'autre côté. v.665 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- J'ai de ma part aussi quelque chose à te dire. v.666 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Je suis, comme l'on sait, assez bien près du roi, v.668 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- D'accord. Il vous ressemble en cela davantage. v.671 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
- Vous avez du service, un nom, de la valeur : v.672 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- Ah ! Je vous fais excuse, v.674 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- Madame ; et maintenant je vois que je m'abuse. v.675 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- Ce serait de milice un nouveau supplément : v.677 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
- Cette troupe, je crois, serait bientôt complète. v.679 (Acte 2, scène 7, CARLIN)
- Je m'en flatte en secret ; du moins il me le dit. v.681 (Acte 2, scène 7, CLARICE)
- Ne m'interrogez point, et regardez ses yeux. v.697 (Acte 2, scène 7, LEANDRE)
- Près d'elle on me verrait pousser bien loin l'affaire ; v.699 (Acte 2, scène 7, LE CHEVALIER)
- Souffrez donc, s'il vous plaît, que je vous reconduise. v.706 (Acte 2, scène 8, LEANDRE)
- Vous donnez une main pour l'autre par méprise. v.707 (Acte 2, scène 8, CARLIN)
- J'ai, Carlin, en secret, un ordre à te prescrire ; v.710 (Acte 2, scène 9, LEANDRE)
- Le beau secret, ma foi ! v.714 (Acte 2, scène 9, CARLIN)
- N'allez pas, par méprise, en conter à quelque autre. v.723 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
- Adieu, Monsieur. Je suis tout à votre service. v.726 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
- Ah ! Mon pauvre Carlin, je suis au désespoir. v.729 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
- J'avais dans ce moment cent choses à lui dire. v.731 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
- Ne perdons point de temps ; sortons, suivons ses pas : v.732 (Acte 2, scène 11, LEANDRE)
- Fuir autant qu'on pouvait mauvaise compagnie : v.739 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
- Doit aimer ses amis avec tous leurs défauts. v.741 (Acte 2, scène 12, CARLIN)
- De notre diligence on peut se prévaloir ; v.744 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Il n'est encore, au plus, que sept heures du soir. v.745 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Il me semble pourtant que j'aurai peine à plaire, v.746 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Ma mère en est la cause, et ce qu'elle me dit v.748 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- D'abjurer la tendresse, et d'avoir la prudence v.754 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Que ce serait bien fait ! Car enfin, en amour, v.756 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Je ne sais si ce que mon coeur sent v.761 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Se peut nommer amour ; mais enfin je t'avoue v.762 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Par un destin puissant, et des charmes secrets, v.764 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Je me trouve attachée à tous ses intérêts ; v.765 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Ses manières, son air, occupent mon esprit ; v.769 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- M'en présentent l'image au milieu de mes songes. v.771 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Léger dans ses propos, qui toujours danse ou chante ; v.779 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Laissant vivre sa femme au gré de ses désirs, v.781 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- S'embarrassant fort peu si ce qu'elle dépense v.782 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Crois-tu que son esprit à ce parti se range ? v.787 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Sans se voir, on ne peut pourtant se marier. v.789 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Un sort heureux déjà conduit ici ses pas. v.793 (Acte 3, scène 1, LISETTE)
- Je vous trouve à la fin. Ah ! Bonjour ma princesse ; v.794 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Vous avez aujourd'hui tout l'air d'une déesse ; v.795 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Et la mère d'amour, sortant du sein des mers, v.796 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- De l'amour à ses pieds apprendre l'exercice, v.803 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Pousser de gros soupirs, serrer le bout des doigts ? v.804 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Vous êtes mal debout : voulez-vous vous asseoir ? v.817 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Lisette, des fauteuils. v.818 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Un fauteuil m'embarrasse. v.819 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Fais-m'en approcher un pour m'étendre à mon aise. v.822 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Tenez-vous sur vos pieds, Monsieur, ne vous déplaise. v.823 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Paix donc ; ne lui dis rien, Lisette, qui le blesse. v.830 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Bon ! Bon ! Il faut apprendre à vivre à la jeunesse. v.831 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Lisette est en courroux. çà, changeons de discours. v.832 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Cette maman encor fait-elle la hargneuse ? v.834 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Elle est toujours grondeuse : v.835 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Ces gens-là ne sauraient, dit-on, se marier. v.841 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Laissez, laissez-moi seul affronter la tempête. v.846 (Acte 3, scène 2, LE CHEVALIER)
- Un dessein qui pourra nous tirer d'embarras. v.848 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Qu'elle apprenne à se taire, elle fera bien mieux. v.860 (Acte 3, scène 3, MADAME GROGNAC)
- Ce serait espagnol ; italien aux femmes ; v.862 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
- L'amour par son accent se glisse dans leurs âmes : v.863 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
- À des hommes, français ; et suisse à des chevaux. v.864 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
- Il faut présentement passer au verbe actif ; v.876 (Acte 3, scène 3, LE CHEVALIER)
- Un gentilhomme ici d'assez belle espérance ; v.899 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
- Et s'il pouvait vous plaire, il serait trop heureux. v.900 (Acte 3, scène 4, VAL?RE)
- Il a su se produire, v.902 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
- J'aime mieux vous baiser, maman. v.914 (Acte 3, scène 4, MADAME GROGNAC)
- Je veux que nous dansions ensemble une courante. v.917 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
- C'est trop pousser la chose ; allons, retirez-vous. v.918 (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
- De le faire passer pour maître italien ; v.923 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- Son esprit violent, prompt à se gendarmer. v.927 (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
- Voilà, je vous l'avoue, une fâcheuse affaire. v.928 (Acte 3, scène 7, LISETTE)
- N'as-tu pas ri, Lisette, à voir danser ma mère ? v.929 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
- Laissons pour quelque temps passer ici l'orage. v.932 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
- Écoutons un moment ; nous n'oserions sortir. v.934 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
- De ses distractions il faut nous divertir ; v.935 (Acte 3, scène 7, ISABELLE)
- Elle sonne à présent. v.945 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
- C'est du meilleur qu'on puisse jamais prendre, v.948 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
- Vous devriez, Monsieur, exercer vos largesses, v.961 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
- Et m'en faire présent... v.962 (Acte 3, scène 8, CARLIN)
- Par de plus nobles noeuds je me sens attaché. v.967 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Vous pourra coûter cher, aux sentiments qu'il montre. v.972 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
- Dont mon amour murmure, et dont mon coeur s'offense. v.977 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Il ne m'aime pas trop, Lisette. v.978 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
- Cette Lisette-là lui tourne mal l'esprit ; v.980 (Acte 3, scène 9, CARLIN)
- Je passerais des jours filés d'or et de soie. v.994 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Ah ! Te voilà, Lisette ! v.1001 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Et ma maîtresse aussi. v.1002 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
- Aux coups de vos beaux yeux qui pourrait se soustraire ? v.1006 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Et qu'on serait heureux si l'on pouvait vous plaire ! v.1007 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- C'est une fausseté. v.1013 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Lisette, tu devrais, dans le soin qui t'anime, v.1014 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Cette Lisette-là lui tourne mal l'esprit ; v.1017 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
- Recevra de ma main sa juste récompense. v.1023 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- C'est Madame Grognac qui revient sur ses pas. v.1025 (Acte 3, scène 9, LISETTE)
- Lisette, que dis-tu ? v.1026 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
- Vous cacher à ses yeux est chose assez facile, v.1030 (Acte 3, scène 9, LEANDRE)
- Ne puisse nous y voir. v.1033 (Acte 3, scène 9, ISABELLE)
- Et vous dise en deux mots que je veux, dès ce jour, v.1040 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Vous savez ses desseins, et qu'un dédit m'engage, v.1042 (Acte 3, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Ce dédit m'embarrasse et me tient en cervelle. v.1050 (Acte 3, scène 11, LEANDRE)
- Quel bonheur tout nouveau vous présente à mes yeux ? v.1053 (Acte 3, scène 12, LEANDRE)
- Vous pouvez de ses soins bientôt tout vous promettre. v.1063 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
- Pour lui faire réponse, et reviens au plus tôt. v.1065 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
- Puisque vous le voulez, j'en use librement. v.1069 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
- Et de continuer à vous rendre service. v.1071 (Acte 3, scène 14, CLARICE)
- Ah ! Je vois ma méprise. v.1078 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
- Carlin, tout est perdu ! J'ai fait une sottise. v.1079 (Acte 3, scène 17, LEANDRE)
- Vous pouvez dans ce lieu tout à votre aise écrire, v.1086 (Acte 3, scène 18, ISABELLE)
- Le hasard, malgré moi, dans ce lieu vous assemble, v.1090 (Acte 3, scène 18, LEANDRE)
- Mon dessein n'était point de vous y mettre ensemble. v.1091 (Acte 3, scène 18, LEANDRE)
- Je suis au désespoir. v.1092 (Acte 3, scène 18, ISABELLE)
- Moi, je me désespère. v.1098 (Acte 3, scène 21, LEANDRE)
- Et ces deux filles-là se vont battre en duel. v.1101 (Acte 3, scène 22, CERLIN)
- Je ne me sens point propre aux soins d'une famille ; v.1110 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
- Je sais bien que l'hymen peut avoir ses dégoûts ; v.1112 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
- Chaque état a les siens, et nous les sentons tous. v.1113 (Acte 4, scène 1, VAL?RE)
- Plus nos sens étonnés frémissent du danger. v.1116 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
- Votre application peut-être serait vaine. v.1118 (Acte 4, scène 1, CLARICE)
- Léandre sent pour vous une sincère ardeur : v.1120 (Acte 4, scène 1, VALÈRE)
- Se peut-il qu'à votre âge v.1126 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
- Si j'en faisais autant, je passerais chez vous v.1128 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
- C'est un étrange cas. Faut-il que la jeunesse v.1138 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
- Apprenne maintenant à vivre à la vieillesse, v.1139 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
- Pour enrichir un frère, en faire un gros seigneur, v.1148 (Acte 4, scène 2, LE CHEVALIER)
- Vous réservant, à vous, de mon bien le surplus ; v.1153 (Acte 4, scène 2, VALÈRE)
- Tu sais bien qu'entre-nous nous parlons assez net. v.1156 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- Le devoir d'une femme engage à mille choses ; v.1162 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- On trouve mainte épine où l'on cherchait des roses : v.1163 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- Que diable ! Tu réponds toujours la même prose. v.1174 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- Mais tu me dis aussi toujours la même chose. v.1175 (Acte 4, scène 3, CLARICE)
- Pour faire une réponse aux termes d'un billet, v.1188 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
- Et Lisette. v.1191 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
- Ici mal à propos votre esprit se gendarme ; v.1194 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
- Lisette, tu remets le calme dans mon âme ; v.1206 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
- Mon soupçon se dissipe, et fait place à ma flamme. v.1207 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
- Je prends comme je dois tes conseils là-dessus ; v.1212 (Acte 4, scène 4, CLARICE)
- De ses soupçons jaloux pourquoi la guéris-tu ? v.1216 (Acte 4, scène 5, LE CHEVALIER)
- Comment ! De ma maîtresse effleurer la vertu ! v.1217 (Acte 4, scène 5, LISETTE)
- Un sort heureux, Monsieur, vous présente à mes yeux. v.1220 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ses dettes à payer, et sa manière à suivre : v.1227 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
- Mais je serais content de vous en voir défait. v.1236 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
- Fait insulte au bon sens, et vise à la folie. v.1239 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
- Cent bruits semés de vous, fâcheux à votre gloire. v.1255 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Peut-on m'accuser d'être fourbe, flatteur, v.1260 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qui de ces vices-là seulement vous soupçonne : v.1263 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Qu'on ne peut se soustraire à votre médisance ; v.1267 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Que vous parlez toujours avant que de penser ; v.1268 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Que tout votre mérite est de chanter, danser ; v.1269 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Vous passez en hiver les nuits au clair de lune, v.1271 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Et tout homme prudent doit se garder toujours v.1280 (Acte 4, scène 6, LEANDRE)
- Se livre tout entière à ses transports jaloux, v.1289 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Votre distraction nous fasse quelque tour ? v.1293 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
- Vous avez de l'esprit et de la politesse ; v.1294 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
- Tu te feras chasser ? v.1299 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Je ne ressemble point aux hommes de notre âge, v.1302 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Je dis ce que je pense, et sans déguisement ; v.1308 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Un cerveau faible, étroit, qui ne tient qu'une chose, v.1318 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Peut répondre en tout temps à ce qu'on lui propose ; v.1319 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Je vous excuse aussi. Mais permettez, de grâce, v.1322 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
- Que je remette ici chaque chose en sa place, v.1323 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
- C'est le moindre défaut qu'on puisse reprocher. v.1325 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Est-il juste, après tout, que l'on s'assujettisse v.1326 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- À répondre à cent sots selon leur sot caprice ? v.1327 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Ce qu'on pense vaut mieux cent fois que leurs discours. v.1328 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- De ses travaux fameux d'amour et de bouteilles ; v.1331 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Ni le don de parler, ni l'esprit de se taire ! v.1335 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Ne me rassure pas, et je crains sa présence. v.1340 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Comme ordinairement j'en use en pareil cas. v.1342 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
- Je serai satisfait, v.1346 (Acte 4, scène 7, LEANDRE)
- Font souvent embrasser des amants bien brouillés. v.1350 (Acte 4, scène 7, CARLIN)
- Je veux la rassurer de ses soupçons jaloux, v.1354 (Acte 4, scène 8, LÉANDRE)
- Et je serai bientôt aussi distrait que vous. v.1362 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Votre absence d'esprit est une maladie v.1363 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Qui se gagne aisément. v.1364 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Pour écrire, à ce coup, j'apporte toute chose. v.1367 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Voyons de votre prose. v.1368 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Le sexe aime les vers. v.1372 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Promesse d'épouser, plainte, douceur, rupture, v.1379 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Tout cela se trafique avec l'écriture. v.1380 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Si le papier qui sert aux amoureux billets v.1381 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Vous versez à grands flots l'encre sur votre écrit. v.1386 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Je tiens dès à présent la lettre indéchiffrable. v.1392 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Si vous vous en serviez... v.1400 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- « Monsieur, par la présente, il vous plaira payer v.1406 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- À damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue... » v.1408 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Cela peut être vrai pour de serviles âmes v.1411 (Acte 4, scène 9, LÉANDRE)
- Se mêlent du trafic. v.1413 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Le ciel en soit loué ! Me voilà hors de crise. v.1415 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Je tremblais de vous voir faire quelque méprise. v.1416 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Vous avez plus d'esprit que je ne l'eusse cru ; v.1417 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Ce n'est que par tendresse. v.1419 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Tiens, porte de ce pas la lettre à son adresse. v.1420 (Acte 4, scène 9, LEANDRE)
- Pour vous servir plus vite en cette conjoncture, v.1423 (Acte 4, scène 9, CARLIN)
- Il me semble pourtant que, selon tout indice, v.1431 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
- Il peut se faire aussi qu'il instruise Isabelle v.1435 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
- Il peut se fourvoyer sans rien appréhender ; v.1441 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
- Et de tels serviteurs sont nés pour commander. v.1442 (Acte 4, scène 10, CARLIN)
- Pense-t-il que l'on soit bien tenté de sa peau, v.1446 (Acte 5, scène 1, LISETTE)
- Mais, de grâce, un seul mot. v.1453 (Acte 5, scène 1, CARLIN)
- Elle peut revenir et nous trouver ensemble. v.1464 (Acte 5, scène 3, ISABELLE)
- Que ce soin ne vous fasse aucune impression : v.1465 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
- N'êtes-vous pas ma femme ? Et pour hâter les choses, v.1467 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
- J'ai dressé le contrat moi-même avec les clauses, v.1468 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
- Me jeter à ses pieds, lui dire mes alarmes, v.1475 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
- Lisette m'appuiera. Malgré son noir chagrin, v.1477 (Acte 5, scène 3, LE CHEVALIER)
- Mais je vois votre soeur tourner ici ses pas. v.1482 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tant mieux. Mais puisque enfin vous épousez Léandre, v.1487 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Suivez-moi seulement, et demeurez en paix. v.1493 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Je vois, je tiens, je sens toute sa perfidie. v.1500 (Acte 5, scène 5, CLARICE)
- Avec ces vains détours penses-tu me tromper ? v.1505 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
- « Je suis au désespoir, Mademoiselle, que l'aventure du cabinet vous ait donné quelque soupçon de ma fidélité. » (Acte 5, scène 6, CLARICE)
- Ouf, hai ! Je n'en puis plus ; vous serrez le sifflet. v.1509 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
- Mais du moins, jusqu'au bout lisez donc le billet. v.1510 (Acte 5, scène 6, CARLIN)
- Que je lise, maraud ! Que veux-tu qu'il m'apprenne ? v.1511 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
- De ses déloyautés ne suis-je pas certaine ? v.1512 (Acte 5, scène 6, CLARICE)
- Que ma rivale encor se présente à mes yeux ? v.1518 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
- Peut me venger assez de ton lâche forfait. v.1522 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
- Un autre que Carlin en vos mains l'a remise ? v.1523 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- Le maraud ! Je saurai châtier sa méprise ; v.1524 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- Lasse ma patience, et me fait de ces tours. v.1526 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- Te pousse à me trahir d'une telle façon ? v.1534 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- Moi, Monsieur, vous trahir ! Je vous sers avec zèle ; v.1535 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- Je l'ai mise avec soin dans les mains d'Isabelle. v.1536 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- Quelle faute insensé ! v.1538 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- Pour lui faire sentir son peu de jugement, v.1545 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- La présence d'esprit au suprême degré. v.1550 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- Ce serait, je vous jure, un garçon tout parfait. v.1558 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- Ma curiosité m'en a fait lire assez ; v.1561 (Acte 5, scène 7, CLARICE)
- En changeant le dessus, nous changeons bien la thèse. v.1563 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- Vous avez le bras bon, soit dit par parenthèse. v.1564 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- « Je suis au désespoir que l'aventure du cabinet vous ait pu donner quelque soupçon de ma fidélité. (Acte 5, scène 7, CLARICE)
- Votre rivale ne servira qu'à rendre votre triomphe plus parfait. (Acte 5, scène 7, CLARICE)
- Monsieur, par la présente, il vous plaira payer à damoiselle, en blanc, d'elle valeur reçue, et dieu sait la valeur. » (Acte 5, scène 7, CLARICE)
- Votre méprise ici me paraît fort étrange. v.1567 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- M'embarrasse l'esprit de ses impertinences. v.1571 (Acte 5, scène 7, LEANDRE)
- J'ai diablement d'esprit ; on écrit mes sentences. v.1572 (Acte 5, scène 7, CARLIN)
- Avec empressement, Monsieur, je viens vous dire v.1584 (Acte 5, scène 8, VALÈRE)
- Que mon plaisir serait de pouvoir, en ce jour, v.1585 (Acte 5, scène 8, VAL?RE)
- Qu'au bien qu'on vous devait laisser par testament. v.1594 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
- L'on peut dresser quelque machine, v.1595 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
- Faire jouer sous main quelque secrète mine... v.1596 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
- Ce que pour vous servir mon adresse m'inspire. v.1600 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
- Laissez-moi, l'affaire est dans le sac. v.1601 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
- Et vous, ne manquez pas de pousser à la roue. v.1604 (Acte 5, scène 8, CARLIN)
- Le dessein en est pris ; je ne vous quitte point v.1605 (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
- Je ne pourrai donc pas disposer de ma fille ? v.1611 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
- Taisez-vous. v.1613 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
- Monsieur sera mon gendre. Et pour me délivrer v.1617 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
- Monsieur, guérissez-vous des soucis où vous êtes : v.1624 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
- Quand il ne voudrait point encor se marier, v.1625 (Acte 5, scène 9, MADAME GROGNAC)
- Et qui lui fait danser quelquefois la courante. v.1628 (Acte 5, scène 9, VALÈRE)
- Et que vous deveniez réfractaire à ses lois, v.1649 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
- Refusant d'épouser celle dont il fit choix ; v.1650 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
- Il devait, à mon sens, encore faire pis. v.1658 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Votre hymen à présent ne me convient en rien : v.1661 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Pour épouser ma fille il faut avoir du bien. v.1662 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- D'un pareil testament. S'il épouse Isabelle, v.1664 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
- Je lui donne à présent mon bien après ma mort. v.1665 (Acte 5, scène 10, VAL?RE)
- Dans peu je me propose v.1667 (Acte 5, scène 10, LE CHEVALIER)
- De l'être encore plus : si je vaux quelque chose, v.1668 (Acte 5, scène 10, LE CHEVALIER)
- Signez donc ce papier... une plume, Lisette. v.1671 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
- Vous, pour le prix d'une juste tendresse, v.1675 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
- Le dénouement est bien prêt à se faire. v.1683 (Acte 5, scène 10, CARLIN)
- Taisez-vous, s'il vous plaît. v.1693 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Puisque tout est signé, que la chose se fasse. v.1696 (Acte 5, scène 10, VALÈRE)
- Je suis au désespoir. C'est à moi qu'on s'adresse v.1700 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Fasse qui le voudra les frais du mariage ; v.1703 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Vous l'avez commencé, finissez votre ouvrage : v.1704 (Acte 5, scène 10, MADAME GROGNAC)
- Allons, embrassez-vous, vous ne sauriez mieux faire ; v.1708 (Acte 5, scène 11, LE CHEVALIER)
- Vous serez belles-soeurs. Mais, surtout, gardez-vous v.1709 (Acte 5, scène 11, LE CHEVALIER)
- Lorsque j'en donnerai, je serai plus secrète. v.1711 (Acte 5, scène 11, ISABELLE)
- Une autre fois aussi je serai plus discrète. v.1712 (Acte 5, scène 11, CLARICE)
- Laissez votre oncle en paix. Quel diantre de langage ! v.1715 (Acte 5, scène 12, CARLIN)
- Pour le lendemain, passe ; et j'en vois aujourd'hui v.1721 (Acte 5, scène 13, CARLIN)
LE RETOUR IMPRÉVU (1700)
- Je suis fort aise de vous rencontrer. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- Parlons ensemble un peu sérieusement, je vous prie, mademoiselle Lisette. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
- Aussi sérieusement qu'il vous plaira, Madame Bertrand. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Elle ne fait rien que de mal ; et le pis que j'y trouve, c'est qu'elle garde auprès d'elle une coquine comme vous, qui ne lui donnez que de mauvais conseils, et qui la poussez dans un précipice où son penchant ne l'entraîne déjà que trop. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- Voilà un discours très sérieux au moins, madame ; et si je répondais aussi sérieusement, la fin de la conversation pourrait bien faire rire ; mais le respect que j'ai pour votre âge, et pour la tante de ma maîtresse, m'empêchera de vous répondre avec aigreur. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Il serait à souhaiter, madame, que vous en eussiez autant : vous ne seriez pas la première à scandaliser votre nièce, et à la décrier, comme vous faites, dans le monde, par des discours qui n'ont point d'autre fondement que le dérèglement de votre imagination. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Y a-t-il rien de plus scandaleux que la dépense que Lucile fait tous les jours ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- C'est bien à elle d'avoir seule une grosse maison, des habits magnifiques ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- Fort innocemment : elle boit, mange, chante, rit, joue, se promène ; les biens nous viennent en dormant, je vous assure. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Et la réputation se perd de même. (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- Premièrement, ma fille unique ne veut plus être religieuse ; je m'en vais la marier : mon frère le chanoine, qui lui en veut depuis longtemps, la déshéritera ; car il est vindicatif. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
- Patience, patience ; elle ne sera pas toujours jeune. (Acte 1, scène 1, MADAME BERTRAND)
- Elle va se marier ? (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- Je crois que ce sera quelque belle alliance ! (Acte 1, scène 1, MADAME-BERTRAND)
- Ce sera un mariage dans toutes les formes ; et quand il sera fait, vous serez trop heureuse de nous faire la cour, et d'être la tante de votre nièce. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Tu ne connais pas madame Bertrand, la tante de ma maîtresse ? (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- C'est une femme fort à son aise, qui a de bonnes rentes sur la Ville, des maisons à Paris. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Il ne faut désespérer de rien ; cela peut venir. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- S'il lui mourait trois oncles, deux tantes, trois couples de cousins germains, deux paires de neveux et autant de nièces, elle se trouverait une fort grosse héritière. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Le parti n'est pas mauvais dès à présent ; et la beauté... (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Tu as raison, sa beauté lui tient lieu de tout, et mon maître est absolument déterminé à l'épouser. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Et elle, absolument déterminée à épouser ton maître. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Il y aura peut-être quelque tribulation à essuyer au retour de notre bon homme de père : mais il ne reviendra pas si tôt ; nous aurons le temps de nous préparer ; et mon maître ne sera pas malheureux, s'il n'a que ce chagrin-là de son mariage. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Tu es encore un plaisant visage, de croire que Clitandre puisse jamais se repentir d'avoir épousé Lucile, une fille que j'ai élevée ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Il n'y a pas là de quoi se rassurer. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Une fille sage et vertueuse ! (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Clitandre fait de la dépense, parce qu'il est amoureux : l'amour rend libéral ; le mariage corrige l'amour. (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Si mon maître devenait avare, où en serions nous ? (Acte 1, scène 2, MERLIN)
- Bonjour, ma chère Lisette. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
- Que fait ta belle maîtresse ? (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
- Elle est chez elle avec Cidalise. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
- Va, cours, ma chère Lisette, la prier de se rendre au plus tôt ici ; je n'ai d'heureux moments que ceux que je passe avec elle. (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
- Hé bien, monsieur, vous allez donc épouser ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- C'est vraiment bien fait, de terminer ainsi toutes ses affaires. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Et que ferons-nous quand il sera revenu ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Mon ami, jouissons du présent ; n'ayons point de regret au passé, et ne lisons point des choses fâcheuses dans l'avenir. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
- Il n'y a que trois semaines que j'ai touché une demi-année d'avance de ce fermier à qui vous avez donné quittance de l'année entière. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- J'ai reçu, l'autre semaine, dix-huit cents livres de ce curieux, pour ces deux grands tableaux dont votre père avait refusé deux mille écus quelque temps avant que de partir. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- J'ai encore eu deux cents louis d'or de ce fripier, pour cette tapisserie que monsieur votre père avait achetée, il y a deux ans, cinq mille francs, à un inventaire. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Oui, oui, nous avons fait de bons marchés pendant son absence, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Voilà un petit rafraîchissement qui nous mènera quelque temps, et nous travaillerons ensuite sur nouveaux frais. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
- Travaillez-y donc vous-même ; car pour moi je fais conscience d'être l'instrument et la cheville ouvrière de votre ruine ; c'est par mes soins que vous avez trouvé le moyen de dissiper plus de dix mille écus, sans compter douze ou quinze mille francs que vous devez encore à plusieurs quidams, usuriers ou notaires (c'est presque la même chose), qui nous vont tomber sur le corps au premier jour. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Celui qui m'embarrasse le plus, c'est ce persécutant monsieur André ; et si, je ne lui dois que trois mille cinq cents livres. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
- Il a, depuis quatre jours, obtenu contre vous une sentence des consuls ; et il ne serait pas plaisant que, le jour de la noce, il vous coucher au Châtelet. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Si mon père peut être encore cinq ou six mois sans revenir, j'aurai tout le temps de réparer, par mon économie, les premiers désordres de ma jeunesse. (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
- Il vaut mieux que vous fassiez toutes ces sottises-là de son vivant qu'après sa mort ; il ne serait plus en état d'y remédier. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Monsieur votre père fera un gros profit pendant son voyage ; vous aurez fait une grosse dépense pendant son absence : quand il reviendra, de quoi aura-t-il à se plaindre ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Ce sera comme s'il n'avait bougé de chez lui ; et, au pis aller, ce sera lui qui aura eu tort de voyager. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Que tu parles aujourd'hui de bon sens, mon pauvre Merlin ! (Acte 1, scène 4, CLITANDRE)
- Entre nous, ce n'est pas un grand génie que monsieur votre père ; je l'ai mené autrefois par le nez, comme vous savez ; je lui fais accroire ce que je veux : et quand il reviendrait présentement, je me sens encore assez de vigueur pour vous tirer des affaires les plus épineuses. (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Combien serez-vous à table aujourd'hui ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Et votre bon ami le Marquis, soi-disant tel, qui vous aide à manger si généreusement votre bien, et qui n'est qu'un fat au bout du compte, y sera-t-il ? (Acte 1, scène 4, MERLIN)
- Les démarches que vous me faites faire, Clitandre, ne peuvent être justifiées que par le succès qu'elles vont avoir ; et je serais entièrement perdue dans le monde, si le mariage ne mettait fin à toutes les parties de plaisir où je me laisse engager tous les jours. (Acte 1, scène 5, LUCILE)
- Je n'ai jamais eu d'autres sentiments, belle Lucile ; et voilà votre amie qui peut vous en rendre témoignage. (Acte 1, scène 5, CLITANDRE)
- On dira qu'on se fait pendre par compagnie ; et par compagnie, il ne tiendra qu'à vous de vous faire épouser : mon maître a tant d'amis ! (Acte 1, scène 5, MERLIN)
- Je me donne au diable, pendant que nous sommes en train, il me prend envie d'épouser Lisette aussi par compagnie, moi ; c'est une chose bien contagieuse que l'exemple. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
- Non ; ces sortes d'alliances-là ne me plaisent point. (Acte 1, scène 5, CIDALISE)
- Je vais voir si tout se prépare pour votre souper. (Acte 1, scène 5, MERLIN)
- Serviteur, mon ami. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Épouserons-nous ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Allons, de la gaîté ; je ne me suis jamais senti de si belle humeur ; et je vous défie de m'ennuyer. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Cela serait beau, qu'un Marquis fût le premier au rendez-vous ! (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Vous connaissez ce cheval barbe et cette jument arabe que je mets ordinairement à ma chaise ; il n'y a pas deux meilleurs animaux pour un rendez-vous de vitesse. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Il me semble que vous faites ordinairement votre cour à Paris. (Acte 1, scène 6, LUCILE)
- là, qu'on se voit à la queue du roman. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Je ressens mon bonheur dans toute son étendue. (Acte 1, scène 6, CLITANDRE)
- Ce sera quand il vous plaira, au moins, que nous ferons quelque marché de coeur ensemble : je suis fait pour les dames ; et les dames, sans vanité, sont aussi faites pour moi. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Je veux être déshonoré, si je ne vous trouve fort à mon g é : je me sens même de la disposition à vous aimer un jour à l'adoration, à la fureur ; mais point de mariage au moins, point de mariage ; j'aime les amours sans conséquence : vous m'entendez bien ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Vraiment, ce discours-là est assez clair ; il n'a pas besoin de commentaire. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Il est vrai que je n'ai pas mon pareil pour débourgeoiser un enfant de famille, le mettre dans le monde, le pousser dans le jeu, lui donner le bon goût pour les habits, les meubles, les équipages. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Je le mène un peu raide ; mais ces petits messieurs-là ne sont-ils pas trop heureux qu'on leur inspire les manières de cour, et qu'on leur apprenne à se ruiner en deux ou trois ans ? (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Que ton père a eu de prévoyance, d'esprit, de jugement, de te laisser un gouverneur aussi sage, un économe aussi entendu ! (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Je me sens en disposition louable de bien boire du vin ; vous allez voir si j'en tiens raisonnablement. (Acte 1, scène 7, LE-MARQUIS)
- Voilà, Dieu merci, les affaires en bon train : nos amants sont en joie ; fasse le ciel que cela dure longtemps ! (Acte 1, scène 8, MERLIN)
- Tu n'es donc pas venu tout seul ? (Acte 1, scène 9, MERLIN)
- Vraiment non ; je suis arrivé avec mon maître ; et pendant qu'il est allé avec le carrosse de voiture faire visiter à la douane quelques ballots de marchandises, il m'a fait prendre les devants pour venir dire à monsieur son fils qu'il est de retour en parfaite santé. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
- Il semble que tu ne me fais guère bonne mine ; et tu ne me parais pas trop content de notre arrivée. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
- Non ; il sera ici dans un moment. (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
- Que veux-tu que je fasse ? (Acte 1, scène 9, JAQUINET)
- Va te reposer ; entre au logis, tu trouveras bonne compagnie : ne t'effarouche point, on te fera boire de bon vin de Champagne. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
- Dis à mon maître que son père est de retour, mais qu'il ne s'embarrasse point : je vais l'attendre ici, et tâcher de faire en sorte que nous puissions... (Acte 1, scène 9, MERLIN)
- Dis-lui qu'il se tienne en repos ; et toi, commence par t'enivrer, et tu t'iras coucher. (Acte 1, scène 9, MERLIN)
- Allons, Merlin, de la vivacité, mon enfant, de la présence d'esprit, Ceci est violent : un père qui revient en impromptu d'un long voyage ; un fils dans la débauche, sa maison en désordre, pleine de cuisiniers ; les apprêts d'une noce prochaine ! (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Il faut se tirer d'embarras pourtant. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Enfin, après bien des travaux et des dangers, voilà, grâce au ciel, mon voyage heureusement terminé ; je retrouve ma chère maison, et je crois que mon fils sera bien sensible au plaisir de me revoir en bonne santé. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Nous le serions bien davantage à celui de te savoir encore bien loin d'ici. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Les enfants ont bien de l'obligation aux pères qui se donnent tant de peine pour leur laisser du bien. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Je ne veux pas différer davantage à rentrer chez moi, et à donner à mon fils le plaisir que lui doit causer mon retour : je crois que le pauvre garçon mourra de joie en me voyant. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Sérieusement parlant, serait-ce vous, mon cher maître ? (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Vous voyez, monsieur, fort à votre service, comme un serviteur fidèle, gai, gaillard, et toujours prêt à vous obéir. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Non ; je suis venu par le carrosse de Bordeaux, où mon vaisseau est heureusement abordé depuis quelques jours... (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Mais nous serons aussi bien... (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
- Comment se porte mon fils ? (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- A-t-il eu grand soin de mes affaires ; et mes deniers ont-ils bien profité entre ses mains ? (Acte 1, scène 11, G?RONTE)
- Pour cela, je vous en réponds ; il s'en est servi d'une manière... (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- dont vous serez étonné, sur ma parole. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Je trouverai donc une grosse somme d'argent qu'il aura amassée ? (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Et non, vous dis-je : ce garçon-là est bien meilleur ménager que vous ne pensez ; il suit vos traces ; il fatigue son argent à outrance ; et sitôt qu'il a des pistoles, il les fait travailler jour et nuit. (Acte 1, scène 11, MERLIN)
- Je me meurs d'impatience de l'embrasser : allons, Merlin. (Acte 1, scène 11, GÉRONTE)
- Une affaire de deux mille écus qui me sont dûs par son maître, dont j'ai le billet, et, en vertu d'icelui, une bonne sentence par corps, que je vais faire mettre à exécution. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
- Oui, justement, Clitandre, un enfant de famille, dont le père est allé je ne sais où, et qui sera bien surpris, à son retour, quand il apprendra la vie que son fils mène pendant son absence. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
- Autant que le fils est joueur, dépensier et prodigue, autant le père, à ce qu'on dit, est un vilain, un ladre, un fesse-mathieu. (Acte 1, scène 12, MONSIEUR-ANDRÉ)
- Que voulez-vous dire avec votre ladre et votre fesse-mathieu ? (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
- Comme les honnêtes gens se connaissent ! (Acte 1, scène 12, MERLIN)
- Quand vous saurez le fond de cette affaire-là, vous serez charmé de monsieur votre fils ; il a acheté une maison de dix mille écus. (Acte 1, scène 12, MERLIN)
- Au contraire, je ne me sens pas de joie. (Acte 1, scène 12, GÉRONTE)
- Tenez, voyez-vous bien cette maison couverte d'ardoise, dont les fenêtres sont reblanchies depuis peu ? (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Ne serait-ce point la maison de madame Bertrand ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- Mais pourquoi cette femme-là vend-elle ses héritages ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- Mais je m'amuse ici trop longtemps ; fais-moi ouvrir la porte. (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- Nous voilà dans la crise. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Serait-il arrivé quelque accident à mon fils ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- M'aurait-on volé pendant mon absence ? (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- Nous avons vu là-dessus les meilleures devineresses de Paris, la Duverger même ; il n'y a pas moyen de les faire déguerpir : ce diable-là est furieusement tenace ; c'est celui qui possède ordinairement les femmes, quand elles ont le diable nu corps. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Bon, elle en sera plus aisée à emporter. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Oh çà, monsieur, puisque nous savons la cause du mal, il ne sera pas difficile d'y remédier ; je crois que nous en viendrons à bout : laissez-moi faire. (Acte 1, scène 10, MERLIN)
- Qu'il y a de traverses dans la vie ! (Acte 1, scène 10, GÉRONTE)
- J'entends monsieur Géronte qui revient sur ses pas : sauve-toi au plus vite. (Acte 1, scène 15, MERLIN)
- On est convenu qu'elle achèverait le terme ; et comme elle a l'esprit faible, elle se met dans une fureur épouvantable quand on lui parle de la vente de cette maison ; c'est là sa plus grande folie, voyez-vous. (Acte 1, scène 17, MERLIN)
- Hé bien, monsieur, parlez-lui donc ; la voilà qui vient heureusement ; mais souvenez-vous toujours qu'elle est folle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
- Voilà monsieur Géronte de retour, je pense ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
- Oui, madame, c'est lui-même ; mais il est revenu fou : son vaisseau a péri ; il a bu de l'eau salée un peu plus que de raison ; cela 1ui a tourné la cervelle. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
- S'il s'avise de vous accoster par hasard, ne prenez pas garde à ce qu'il vous dira ; nous allons le faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
- Si vous lui parlez, ayez un peu d'égard à sa faiblesse ; songez qu'elle a le timbre un peu fêlé. (Acte 1, scène 18, MERLIN)
- Laisse-moi faire. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- Il a quelque chose d'égaré dans la vue. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
- Prêt à vous rendre mes petits services. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- On dit qu'il revient des esprits dans ma maison ; il faudra bien qu'ils en délogent, quand ils seront las d'y demeurer. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- Il ne se souvient pas que son vaisseau a péri : quelle pitié ! (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
- Je suis à votre service, et ma maison est plus à vous qu'à moi-même. (Acte 1, scène 18, MADAME BERTRAND)
- Madame, je ne prétends point abuser de l'état où vous êtes. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- Dites-moi, madame Bertrand, êtes-vous toujours aussi sage, aussi raisonnable qu'à présent ? (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- Je ne pense pas, monsieur Géronte, qu'on m'ait jamais vue autrement. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
- Mais si vous n'êtes pas ordinairement plus fou qu'à présent, je trouve qu'on a grand tort de vous faire enfermer. (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
- Voilà la machine qui se détraque. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- La, la, ne vous chagrinez point ; je prétends que vous y ayez toujours votre appartement comme si elle était à vous, et que vous fussiez dans votre bon sens. (Acte 1, scène 18, GÉRONTE)
- Qu'est-ce à dire, comme si j'étais dans mon bon sens ? (Acte 1, scène 18, MADAME-BERTRAND)
- À quoi pensez-vous de vous mettre en colère contre une femme qui a perdu l'esprit ? (Acte 1, scène 18, MERLIN)
- Vient-on, s'il vous plaît, faire tapage à la porte d'un honnête homme, et scandaliser toute une populace ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Les diables de chez vous sont un peu ivrognes ; ils se plaisent dans la cave. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
- Il nous est revenu que le maître de ce logis vient d'arriver d'un long voyage : serait-ce vous par aventure ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- C'est quelque chose de beau que les voyages, et cela façonne bien un jeune homme : il faut savoir comme monsieur votre fils s'est façonné pendant le vôtre ; les jolies manières... (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Ce garçon-là est bien généreux : il ne vous ressemble pas ; vous êtes un vilain, vous. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
- Nous avons eu bien du chagrin, bien du souci, bien de la tribulation de votre retour ; je veux dire, de votre absence : votre fils en a pensé mourir de douleur, en vérité ; il a pris toutes les choses de la vie en dégoût ; il s'est défait de toutes les vanités qui pouvaient l'attacher à la terre ; richesses, meubles, ajustements. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Il serait mort, je crois, de chagrin pendant votre absence, sans cet honnête monsieur-là. (Acte 1, scène 20, MERLIN)
- Ne le voyez-vous pas bien sans que je vous le dise ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Votre fils est encore à table, qui se console de votre absence du mieux qu'il est possible. (Acte 1, scène 20, LE MARQUIS)
- Il serait beau, vraiment, qu'au retour d'un voyage, après une si longue absence, un fils qui sait vivre, et que j'ai façonné, eût l'impolitesse de recevoir son très cher et honoré père dans une maison où il n'y a que les quatre murailles ! (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Et ma belle tapisserie, qui me coûtait près de deux mille écus, qu'est-elle devenue ? (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
- Le sujet était lugubre ; elle représentait la brûlure de Troie : il y avait là-dedans un grand vilain cheval de bois qui n'avait ni bouche ni éperons : nous en avons fait un ami. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- N'aviez-vous pas aussi deux grands tableaux qui représentaient quelque chose ? (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Oui vraiment ; ce sont deux originaux d'un fameux maître, qui représentent l'enlèvement des Sabines. (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
- Justement : nous nous en sommes aussi défaits, mais par délicatesse de conscience. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Par délicatesse de conscience ! (Acte 1, scène 20, GÉRONTE)
- Ces nudités-là sont scandaleuses pour la jeunesse. (Acte 1, scène 20, LE-MARQUIS)
- Vraiment, je viens d'apprendre de jolies choses, monsieur Géronte ; et votre fils, à ce qu'on dit, engage ma nièce dans de belles affaires. (Acte 1, scène 21, MADAME-BERTRAND)
- Oui, un débauché, qui m'a donné de mauvais conseils, et qui est cause.... (Acte 1, scène 21, MERLIN)
- Ne nous plaignons point les uns des autres, et ne parlons point mal des absents ; il ne faut point condamner les personnes sans les entendre. (Acte 1, scène 21, LE-MARQUIS)
- vous prenez les choses du bon côté... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
- quand vous serez content, tout le monde le sera... (Acte 1, scène 21, LE MARQUIS)
- C'est cette coquine de Lisette et ma nièce. (Acte 1, scène 22, MADAME-BERTRAND)
- Il ne faut pas, mon père, abuser plus longtemps de votre crédulité. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
- Tout ceci est un effet du zèle et de l'imagination de Merlin, pour vous empêcher d'entrer chez vous, où j'étais avec Lucile dans le dessein de l'épouser. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
- Je vous demande pardon de ma conduite passée : consentez à ce mariage, je vous prie : on vous rendra votre argent ; et je promets que vous serez content de moi dans la suite. (Acte 1, scène 23, CLITANDRE)
- Lucile est ma nièce ; et si votre fils l'épouse, je lui donnerai un mariage dont vous serez content. (Acte 1, scène 23, MADAME-BERTRAND)
- Pouvez-vous donner quelque chose, et n'êtes-vous pas interdite ? (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
- Qu'on me rende mon argent, je me sens assez d'humeur à consentir à ce que vous voulez ; c'est le moyen de vous empêcher de faire pis. (Acte 1, scène 23, GÉRONTE)
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ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME (1694)
- Pour m'expliquer en termes plus clairs, j'ai avancé la dépense du voyage depuis notre garnison jusqu'à ce village-ci ; nous y avons déjà séjourné quinze jours sur mes crochets : je vous prie que nous comptions ensemble, et je vous demande mon congé. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Oh, palsembleu ! (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Pasquin, quitter le service d'un officier, c'est se brouiller avec la fortune. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Oui, monsieur, j'ai fait depuis peu des réflexions morales sur la vanité des plaisirs mondains : je suis las d'être bien battu et mal nourri ; je suis las de passer la nuit à la porte d'un lansquenet, et le jour à vous détourner des grisettes ; je suis las enfin d'avoir de la condescendance pour vos débauches, et de m'enivrer au buffet, pendant que vous vous enivrez à table. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Je vais me rendre mari d'une certaine Lisette, qui est le bel esprit de ce village-ci. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Les plus jolies filles de Poitou la consultent comme un oracle, parce qu'elle a fait ses études sous une coquette de Paris ; c'est là où elle est devenue amoureuse de moi. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Je n'ai point encore trouvé en mon chemin cette Lisette si aimable ; j'en sais mauvais gré à mon étoile. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Ce n'est pas votre étoile, monsieur ; c'est moi qui ai pris soin de vous cacher Lisette : je l'ai trouvée trop jolie pour vous la faire connaître. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Il y a huit ans que je vous sers ; à vingt-cinq écus de gages, somme totale, six cents livres ; sur quoi j'ai reçu quelques coups de canne, coups de pied au cul ; partant reste toujours six cents livres, que je vous prie de me donner présentement. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- À noyer, à écraser ! (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Vous avez été jusqu'à présent très content de mon service, et vous cessez de l'être dans le moment que je vous demande mes gages. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Va, mon cher, je veux bien encore ne te point chasser de chez moi. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Vraiment, monsieur, ce n'est pas vous qui me chassez ; c'est moi qui vous demande mon congé, et les six cents livres. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- Je sais bien que j'ai tous les talents pour faire fortune à la ville ; mais je borne mon ambition à Lisette, à qui j'apporte en mariage les six cents livres dont je vais vous donner quittance. (Acte 1, scène 1, PASQUIN)
- J'épouse demain la petite fermière Agathe. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- J'ai si bien fait, par mon manège, que le père est à présent aussi amoureux de moi que sa fille. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Agathe m'attend chez elle à quatre heures ; et, avant que d'y aller, j'ai à régler certaines choses avec le notaire. (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Puisque tu veux absolument que nous finissions d'affaire ensemble... (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Quelque peine que cela me fasse... (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Je n'ai plus rien à ménager avec cet homme-là ; Lisette me sollicite de rompre son mariage avec Agathe. (Acte 1, scène 2, PASQUIN)
- Allons voir ce qui en sera. (Acte 1, scène 2, PASQUIN)
- Te feras-tu encore tirer l'oreille pour m'aider à rompre son mariage, en faveur de mon pauvre frère Colin à qui Agathe était promise ? (Acte 1, scène 3, LISETTE)
- Ce n'était que fêtes, danses et chansons préparées pour les noces de Colin et d'Agathe ; et depuis que ton officier réformé est venu nous enlever le coeur de cette jolie fermière, toute notre galanterie poitevine est en deuil. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
- Colin est mon frère, et s'il n'épouse point Agathe par ton moyen, Lisette n'épousera point Pasquin. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
- C'est un jeune amant à la franquette, qui n'est capable que de se trémousser à contretemps. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
- Il va, il vient, il piétine, il peste contre son infidèle, et a toujours quelque raisonnement d'enfant qu'il veut qu'on écoute ; enfin, c'est un petit obstiné que j'ai été contrainte d'enfermer, afin qu'il me laissât en paix travailler à ses affaires. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
- Petit lutin, tu seras toujours sur mes talons ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Laissez opiner Colin ; il me paraît homme de tête. (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
- J'ai trouvé un secret pour qu'Agathe me r'aime, et j'ai commencé à imaginer... (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Et va-t'en achever d'imaginer ; laisse-moi exécuter. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Ce ne sera pas toi qui... (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Je te dis que tu te taises. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- C'est que j'ai eune ruse pour faire venir Agathe dans un endroit où je vous cacherai tous deux. (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Et pis, quand a sera là, je li dirai : Çà, gnia personne qui nous écoute ; n'est-y pas vrai, Agathe, qu'ou m'avez dit cent fois qu'ou m'aimiez ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
- N'est-y pas vrai, li redirai-je, que quand vous me dites ça, je dis, moi, que les paroles étaient belles et bonnes, mais que ça ne tient guère, à moins qui n'y ait quelque chose, là, qui signifie qu'ou n'oseriez pus prendre d'autre mari .que moi ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Et nous serons cachés pour entendre tout cela ? (Acte 1, scène 4, PASQUIN)
- Je ne barguignerai point à li faire tout dire ; car si a m'épouse, l'épousaille couvre tout ; et sinon, je sis bien aise qu'on sache que la récolte appartient à sti qui a défriché la terre. (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Donc, je dirai à Agathe : N'est-y pas vrai, quand j'eu entr'ouvart votre collet, que je pris dessous un papier dans votre sein, et que sur ce papier vous m'aviez fagoté en lacs d'amour votre nom parmi le mien, pour montrer ce que je devions être l'un à l'autre ? (Acte 1, scène 4, COLIN)
- A dira peut-être que c'est qu'a dormait ; mais je sais bien qu'a ne faisait que semblant ; car a se réveillit tout juste quand... (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Vous sortirez tous deux de votre cache, et vous li direz : Agathe, faut qu'ou vous mariez rien qu'avec Colin tout seul, ou nous allons dire partout qu'ous aimez deux hommes à la fois. (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Faire gloire d'aimer un autre que sti avec qui on se marie ! (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Ne vlà-t-il pas qu'il dit comme Lisette à cause que... (Acte 1, scène 4, COLIN)
- Quand l'amour s'est une fois emparé d'un coeur aussi simple que celui d'Agathe, il est difficile de l'en chasser ; il se trouve mieux logé là que chez une coquette. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
- Il faut empêcher Agathe de sortir de chez elle, afin qu'elle ne vienne point rompre les mesures que nous avons prises. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
- La coiffure seule suffit pour amuser une femme toute la journée. (Acte 1, scène 5, PASQUIN)
- Je vous avais bien dit que ses empressements ne dureraient pas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- C'est tout le contraire, Lisette. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Oui, sur la fin de ce siècle-ci, les amants et les saisons se sont bien déréglés ; le chaud et le froid n'y dominent plus que par caprice. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- En Poitou nous avons une règle certaine ; c'est que le jour des noces, le thermomètre de la tendresse est à son plus haut degré ; mais le lendemain il descend bien bas. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Vous voulez me persuader tous deux que Dorante sera inconstant ; mais il faudrait que je fusse folle pour craindre qu'il change. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Quand Colin me disait tout simplement qu'il me serait fidèle, je le croyais ; et je ne croirais pas Dorante qui est gentilhomme, et qui fait des serments horribles qu'il m'aimera toujours ? (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- En amour, les serments d'un courtisan ne prouvent rien ; c'est le langage du pays. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Parlons d'autre chose, Lisette. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Elles n'inventent point de modes qui ne servent à cacher quelque défaut. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Le col long et les gorges creuses ont donné lieu à la steinkerque ; et ainsi du reste. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Ce qui m'embarrasse le plus, c'est la coiffure. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Je ne pourrai jamais venir à bout d'arranger tant de machines sur ma tête ; il n'y a pas de place pour en mettre seulement la moitié. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Quand il s'agit de placer des fadaises, la tête d'une femme a plus d'étendue qu'on ne pensé. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Mais vous me faites souvenir que j'ai ici le livre instructif que la coiffeuse a envoyé de Paris. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- « La duchesse, le solitaire v.1 (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Voici le second tome. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Cherche-moi l'endroit où le livre dit que se met la souris. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- « La souris est un petit noeud de nompareille qui se place dans le bois. (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Nota qu'on appelle petit bois un paquet de cheveux hérissés, qui garnissent le pied de la futaie bouclée. » (Acte 1, scène 6, PASQUIN)
- Qu'il ne me fasse pas attendre au moins. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Adieu, Lisette. (Acte 1, scène 6, AGATHE)
- Çà, il faut à présent nous assurer de ton maître. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Il est chez le notaire ; il faut qu'il repasse par ici ; pour aller chez Agathe, et je l'arrêterai pendant que tu iras te déguiser en veuve. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
- Récapitulons un peu ce déguisement. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Sur la réputation qu'elle a dans Poitiers d'être fort riche, mon fanfaron s'est vanté qu'elle était amoureuse de lui. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
- Pour se venger, elle a pris plaisir à se trouver masquée à deux ou trois assemblées où il était, de faire la passionnée ; en un mot, de se moquer de lui, trouvant toujours des excuses pour ne se point démasquer. (Acte 1, scène 7, PASQUIN)
- Amuse-le pendant que je me déguiserai ; et après, tu iras avertir Agathe qu'elle vienne nous surprendre ; tu la feras écouter notre conversation. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Laisse-moi faire. (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Comment lui tournerai-je la chose ? (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- Un homme qui se croit aimé de toutes les femmes en est aisément la dupe. (Acte 1, scène 8, PASQUIN)
- Ce n'est plus de mes affaires que je veux vous parler à présent. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Fait comme vous êtes, monsieur, je n'eusse jamais deviné que l'amour vous ferait perdre votre fortune. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Il faudra se faire violence. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
- Avec vingt mille écus on achète un régiment, on est utile au prince ; tu sais qu'un gentilhomme doit se sacrifier pour les besoins de l'État. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
- Entre nous, l'État n'a pas besoin de vous, puisqu'il vous a remercié de vos services à la tête de votre compagnie. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Je serai ravi de te faire gagner cent pistoles. (Acte 1, scène 9, DORANTE)
- Il faut que vous vous promeniez, sans faire semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Elle va venir, sans faire semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Pour lors vous l'aborderez, vous, en faisant semblant de rien ; elle vous écoutera en faisant semblant de rien. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Voilà comment se font les mariages des Tuileries. (Acte 1, scène 9, PASQUIN)
- Voici la veuve, monsieur ; faites semblant de rien ; hem, semblant de rien. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
- La promenade est bien déserte aujourd'hui. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
- Il faut un peu la laisser ronger son frein. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Elle est sensible aux bons airs. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Je me sers de mes avantages. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Si elle vous entendait chanter, elle serait charmée, monsieur. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
- Il me fait soupirer, gémir, sentir l'absence v.11 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Que je n'aie soumise à ce petit ingrat ; v.15 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Et, pour toute récompense, v.16 (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Je vais chanter, pour me désennuyer, un petit air que je fis à Poitiers pour cette charmante veuve. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- C'est assez la faire languir. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Périssent de jalousie toutes les femmes du monde, pourvu que vous vouliez bien... (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Je sens que mon feu se rallume. (Acte 1, scène 10, DORANTE)
- Profitez du moment, monsieur : elle est femme ; et puisque sa parole baisse, il faut qu'elle soit bien faible. (Acte 1, scène 10, PASQUIN)
- Je tiendrai... ma promesse... ou bien... (Acte 1, scène 10, LISETTE)
- Nous sommes seuls, madame ; accordez-moi donc enfin ce que vous m'avez tant de fois refusé à Poitiers ; levez ce voile cruel... (Acte 1, scène 11, DORANTE)
- Je ne dors point ; la fatigue du carrosse, la chaleur, la poussière, le grand jour... (Acte 1, scène 11, LISETTE)
- Puisqu'il faut vous l'avouer, dès la seconde fois que je vous vis, je formai le dessein de faire votre fortune ; mais je voulais vous éprouver. (Acte 1, scène 11, LISETTE)
- Je l'avoue finalement ; à votre refus, j'avais baissé les yeux sur une petite fermière ; parce que je trouvais une somme d'argent pour nettoyer de gros biens que j'ai en direction : mais d'honneur je ne l'ai jamais regardée que comme un enfant, une poupée avec quoi on se joue ; et depuis les charmantes conversations de Poitiers, vous n'avez point désemparé mon coeur. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
- Mais, avant toutes choses, il faut que vous disiez à Agathe, en ma présence, que vous ne l'avez jamais aimée. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
- En votre présence ? (Acte 1, scène 13, DORANTE)
- Qui, puisqu'il faut vous faire la confidence, a eu pour moi certaines faiblesses. (Acte 1, scène 13, DORANTE)
- Je me laisse enlever, je vous épouse : faut-il d'autres marques de mon amour ? (Acte 1, scène 13, DORANTE)
- Au moins, je vous ordonne d'aller tout présentement rompre l'engagement que vous avez avec le père. (Acte 1, scène 13, LISETTE)
- Je ne suis fâchée que de ce qu'il vous vient de dire des faussetés de moi. (Acte 1, scène 14, AGATHE)
- Il dit que j'ai eu des faiblesses pour lui : ah ! (Acte 1, scène 14, AGATHE)
- Que je suis malheureuse ! (Acte 1, scène 14, AGATHE)
- C'est Lisette ! (Acte 1, scène 14, AGATHE)
- Ce n'est pas sa faute, comme vous voyez, si je ne suis qu'une fausse veuve. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
- Hé bien, que vous dit le coeur présentement ? (Acte 1, scène 14, LISETTE)
- Il fera tout comme s'il vous aimait ; et sitôt que vous lui aurez dit un mot, il ne songera plus qu'à se venger de Dorante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
- Il s'agit d'une vengeance qui servira de divertissement à toute notre petite société galante. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
- Il sera berné... qu'il ne manquera rien. (Acte 1, scène 14, LISETTE)
- Pasquin me vient de dire que tout allait bien, pourvu que je patientisse ; mais, quand je devrais tout gâter, je ne saurais plus me tenir en place ; je sis trop amoureux. (Acte 1, scène 15, COLIN)
- Ce n'est pas de vous au moins que je dis que je sis amoureux : il ferait beau var que j'aimisse encore eune... ingrate ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
- changeuse ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
- Oui, vous êtes une traîtresse. (Acte 1, scène 15, COLIN)
- Pour traîtresse, non... (Acte 1, scène 15, AGATHE)
- Que je sis aise, moi ! (Acte 1, scène 15, COLIN)
- Vous allez user toute votre tendresse ; gardez-en un peu pour quand vous serez mariés, vous en aurez besoin. (Acte 1, scène 15, LISETTE)
- Nous avons vu de loin qu'elle se laissait baiser la main par Colin ; nous avons jugé... (Acte 1, scène 16, NANETTE)
- Que je suis honteuse, Nanette, d'avoir été trompée par un homme ! (Acte 1, scène 16, AGATHE)
- J'ai bien fait de ne voir ni le père ni la fille : si la veuve m'allait manquer, je serais bien aise de retrouver Agathe. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
- J'entends des villageois qui chantent ; laissons-les passer. (Acte 1, scène 17, DORANTE)
- Mon pauvre Nicaise, tu perds ton temps et ta chanson. (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- Je ne serais plus à la peine v.23 (Acte 1, scène 18, NICAISE)
- Il est vrai que ma franchise v.25 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- Fut surprise v.26 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- J'ai pensé faire la sottise : v.29 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- Tu ne m'as pas prise au mot ; v.30 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- Tu seras le sot. v.31 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- Tu seras le sot. v.32 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- Tu seras le sot. v.33 (Acte 1, scène 18, NANETTE)
- La veuve est partie, monsieur ; une de ses tantes est venue l'enlever à ma barbe. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
- Tout ce que la pauvrette a pu faire, c'est de sortir la tête par la portière du carrosse, et de me faire signe de loin qu'elle ne laisserait pas de vous aimer toujours. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
- Se serait-elle moquée de moi ? (Acte 1, scène 20, DORANTE)
- Monsieur, j'ai sellé votre anglais ; le voilà attaché, à la porte : si vous voulez suivre le carrosse, il n'est pas encore bien loin. (Acte 1, scène 20, PASQUIN)
- Dites donc au papa qu'il abrége les formalités : ces articles, ce contrat, me désespèrent. (Acte 1, scène 21, DORANTE)
- Nous irons dans un moment trouver mon père ; et, s'il nous fait trop attendre, nous nous marierons tous deux tout seuls. (Acte 1, scène 21, AGATHE)
- Vous ne le connaissez pas ? (Acte 1, scène 23, AGATHE)
- Ma foi, je m'en vais danser. (Acte 1, scène 23, PASQUIN)
- Sitôt que la noce sera faite, nous nous marierons. (Acte 1, scène 24, AGATHE)
- Se moque de vous v.48 (Acte 1, scène 24, DORANTE)
- Votre cheval est sellé. (Acte 1, scène 24, PASQUIN)
- Ce sera des deniers de la veuve ? (Acte 1, scène 24, LISETTE)
LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX (1705)
- Honneur au seigneur Apollon. v.1 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Ah ! Dieu vous gard', seigneur Mercure. v.2 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Vous savez, grand dieu du Parnasse, v.5 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Que ce n'est pas chose nouvelle v.9 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Ce travail me lasse et m'ennuie, v.15 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Et qu'à se gonfler d'ambroisie. v.18 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- À vous servir je serai diligent. v.31 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Le seigneur Jupiter, dont vous êtes l'agent, v.32 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Honnête ou non, c'est dont fort peu je m'embarrasse, v.33 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- À quelque nymphe du Parnasse v.35 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Vos muses, ailleurs destinées, v.37 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Tous vos faiseurs de vers, mal avec la fortune, v.40 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Une bergère, une grisette, v.44 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Que dit à cela son épouse ? v.46 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Elle suit les transports de son humeur jalouse ; v.47 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Quand la dame, en revanche, a formé le dessein v.52 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- De se dédommager d'un époux infidèle, v.53 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Et qu'un galant se rend patron v.54 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Il faut qu'il en passe par là, v.57 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Heureux qui se passe de moi ! v.76 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Chacun, depuis un temps, de ce métier se pique ; v.82 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Que je leur laisse ma pratique ; v.84 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Qui du théâtre encor puissent prendre le soin ? v.98 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Le censeur de son temps, l'amour des beaux esprits, v.101 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- La comédie en pleurs, et la scène déserte, v.102 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Avec ce rare auteur sont presque ensevelis. v.106 (Acte 1, scène 1, MERCURE)
- Qu'on le fasse venir. v.115 (Acte 1, scène 1, APOLLON)
- Les faveurs qu'Apollon dispense aux beaux esprits ; v.137 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Finir ses jours au moulin ! v.146 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Un poète aisément s'endort dans la mollesse. v.149 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
- L'abondance souvent, unie à la paresse, v.150 (Acte 1, scène 2, APOLLON)
- Trouverait à Paris encor ses partisans. v.158 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- De ces lâches flatteurs, des complaisants serviles, v.183 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
- S'il pouvait réussir dans ce noble dessein, v.197 (Acte 1, scène 2, PLAUTE)
- Tout ce qui sera nécessaire v.211 (Acte 1, scène 2, MERCURE)
- Qu'elle paroisse sur la scène. v.218 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Coupeurs de bourse adroits, médecins, usuriers, v.226 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Possédant femme ou maîtresse fidèle, v.230 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Mais un dieu doit user de générosité. v.237 (Acte 1, scène 3, MERCURE)
- Pour me faire enrager il semble qu?il soit fait : v.239 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
- Tous les jours le coquin lasse ma patience. v.241 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
- Quant à présent, monsieur, je ne vous puis rien dire ; v.244 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Me mettre au désespoir, et me jouer ces tours ? v.247 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Retirer ma valise, il te faut tant de temps ? v.250 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Quoi ! Tu serais resté jusqu'à l'heure qu'il est v.258 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Voyant que le commis qui gardait ma valise v.260 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Usait depuis une heure avec moi de remise, v.261 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Faudra-t-il que le vin te commande sans cesse ? v.264 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Vous savez que chacun, monsieur, a sa faiblesse ; v.265 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Je me sens de bien vivre une assez bonne envie. v.268 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Mais pourquoi hantes-tu mauvaise compagnie ? v.269 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Assez souvent, d'un vin bien pris et mal cuvé, v.275 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Nous devons nous prêter aux faiblesses des autres, v.280 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Leur passer leurs défauts, comme ils passent les nôtres. v.281 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Si je te connaissais à ce seul vice enclin ; v.283 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Tu ressens pour le jeu la pente la plus forte... v.285 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Ah ! Si je joue un peu, c'est pour passer le temps. v.286 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Isabelle à présent vous retient sous sa loi ; v.298 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Tu ne sais pas pourquoi ! Se peut-il qu'à ses charmes, v.300 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- À ses yeux tout divins on ne rende les armes ? v.301 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- J'approuvais fort ce choix : outre que ses ducats v.306 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Pour t'empêcher de dire encor quelque sottise, v.312 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Finissons, et chez moi va porter ma valise. v.313 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Quelle est cette valise ? v.317 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Et l'adresse bien mise, ont dissipé ma crainte. v.321 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Lisez plutôt ces mots distinctement écrits : v.322 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- C'est « À monsieur Ménechme, à présent à Paris. » v.323 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Il est vrai ; mais enfin, quoi que tu puisses dire, v.324 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Enfin, ce n'est point là ma valise. v.326 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Cependant à la vôtre elle ressemble fort. v.327 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Votre malle assez lourde, et qui nous arrêtait : v.335 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- J'obéis à votre ordre avec zèle et vitesse ; v.336 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Je fis, par le commis, mettre dessus l'adresse : v.337 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Et je ne crois pas, moi, que dans votre valise v.348 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Nous eussions pour vingt francs de bonne marchandise. v.349 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- D'ordinaire avec moi passent fort mal leur temps ? v.355 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Mon dessein n'était pas de vous mettre en colère. v.356 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Pour un surtout de chasse il me sera commode. v.361 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- L'aventure ne peut se comprendre aisément. v.363 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Je suis né, tu le sais, assez près de Péronne, v.368 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Las de passer mes jours dans le fond d?une terre, v.372 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Un frère seul resta de toute la maison, v.374 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Que deux gouttes de lait ne sont pas plus semblables. v.385 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Nous nous ressemblions, mais si parfaitement, v.386 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Ce n'est pas sans raison que j'ai l'âme surprise, v.392 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Valentin. À ce frère appartient la valise ; v.393 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Que notre oncle est défunt, et qu'il laisse ses biens v.395 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- À ce frère jumeau, qui doit ici se rendre. v.396 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Comme moi, sa valise au coche aura fait mettre ; v.405 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Je vous attends, monsieur, pour vous remettre « comptant les soixante mille écus que votre oncle vous a laissés par testament, et pour épouser mademoiselle Isabelle, dont je vous ai plusieurs fois parlé dans mes lettres : le parti vous convient fort, et son père Démophon souhaite cette affaire avec passion. (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Ne manquez donc point de vous rendre au plus tôt à Paris, et faites-moi la grâce de me croire votre très humble et très obéissant serviteur, (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Il faut que justement je fasse une méprise, v.412 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Et que notre bonheur vienne de ma sottise. v.413 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Qui laisse de grands biens dont il vous a frustré : v.415 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Un frère qui reçoit tous ces biens qu'on lui laisse, v.416 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Et qui vient enlever encor votre maîtresse. v.417 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Vous connaissez mon zèle et mon empressement ; v.427 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Elle est vieille, et jalouse à désoler les gens ; v.434 (Acte 2, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Ses airs et ses discours sont tous impertinents ; v.435 (Acte 2, scène 2, LE CHEVALIER)
- Pareil empressement doit l'agiter, je crois. v.443 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Il semble que l'Amour, dans ce jour si charmant, v.446 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Plus que je n'espérais, presse votre retour ? v.450 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Votre aimable présence v.452 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
- Me dédommage bien des chagrins de l'absence. v.453 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Non, je ne vois que vous qui, sans art, sans secours, v.454 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Fi donc, badin ! L'amour quelquefois, quoique absente, v.456 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- À votre souvenir me rendait-il présente ? v.457 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Me consolait un peu d'une absence effroyable : v.460 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Le mien a-t-il sur vous fait un effet semblable ? v.461 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Que l'Aurore vermeille, avec ses doigts de roses, v.468 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
- Avait semé de fleurs nouvellement écloses : v.469 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Qui reçoit dans son sein un torrent de cristal, v.471 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Semblent être poussés par autant de Naïades ; v.473 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Là, dis-je, reposant sur un lit de roseaux, v.474 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Vous sentiez la déesse une lieue à la ronde. v.489 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
- Je suis au désespoir de cette circonstance ; v.500 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Et la possession souvent du premier jour v.510 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Leur ôte tout le sel et le goût de l'amour. v.511 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Je sens qu'il doit aller par-delà la mort même ; v.513 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
- Et si, par un malheur que je n'ose prévoir, v.514 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Votre mort... Ah, grands dieux ! Ciel affreux désespoir ! v.515 (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Je veux que nous dînions ensemble dans ce jour. v.519 (Acte 2, scène 3, ARAMINTE)
- Une affaire à présent m'arrache de ces lieux : v.523 (Acte 2, scène 3, LE-CHEVALIER)
- J'en suis vraiment fort aise. v.544 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- Hélas ! On n'est jamais trahi que par ses proches. v.557 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
- À cause que madame a vécu quelque temps, v.558 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
- Et je raisonne ainsi : J'en ai cinquante, et passe ; v.561 (Acte 2, scène 5, DÉMOPHON)
- Vous êtes mon aînée ; ergo, dans un seul mot, v.562 (Acte 2, scène 5, D?MOPHON)
- Ma jeunesse à mon teint se fait assez connaître. v.565 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- C'est qu'il faut de mon bien vous passer pour jamais ; v.567 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- Ma maîtresse est encor, malgré vous, jeune et belle ; v.576 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
- Et tous les connaisseurs vous la soutiendront telle. v.577 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
- Je jugeais à peu près quels seraient ses discours ; v.578 (Acte 2, scène 7, DÉMOPHON)
- Et j'ai fort prudemment cherché d'autres secours. v.579 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
- Pour rendre, s'il se peut, les affaires bien sûres. v.581 (Acte 2, scène 7, D?MOPHON)
- Je l'ai connu de loin ; et cette ressemblance, v.600 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Dont vous m'avez parlé, passe toute croyance : v.601 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Son esprit, il est vrai, n'est pas semblable au vôtre. v.604 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- On doit peu s'étonner de cet air de rudesse v.608 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
- Dans un provincial nourri sans politesse : v.609 (Acte 2, scène 1, LE CHEVALIER)
- De loin, comme j'ai dit, j'observais sa querelle ; v.612 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- J'ai d'abord enseigné l'auberge que voici. v.618 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Que de la ressemblance on pourrait profiter, v.623 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Ce serait deux beaux coups à la fois ! v.626 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Pour vous serait la nièce, et pour moi la suivante. v.629 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Mais comment ferions-nous, dans ce hardi dessein, v.630 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
- Imposez au notaire, et soyez diligent, v.638 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Quelle délicatesse et vaine et ridicule ! v.641 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Nantissez-vous de tout sans rien mettre au hasard ; v.642 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- S'il tenait cet argent, il se pourrait bien faire v.644 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Et promis, par écrit, d'épouser Araminte. v.656 (Acte 2, scène 1, LE-CHEVALIER)
- Sur cet engagement bannissez votre crainte. v.657 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- On se marierait plus que la loi ne permet. v.659 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Allez vous encrêper sans perdre un seul instant. v.666 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Vous avez maintenant bien autre chose à faire ; v.668 (Acte 2, scène 1, VALENTIN)
- Contre le mur voisin m'écrase de sa roue. v.685 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
- Un bois plein de voleurs est plus sûr. Ma valise, v.692 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
- Contre la foi publique, en arrivant, m'est prise ; v.693 (Acte 2, scène 2, M?NESCHME)
- Il faut en ce pays être un peu sur ses gardes. v.697 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Heureusement encor, laissant ma malle au coche, v.700 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
- Tout est-il pour vous seul, monsieur ? v.714 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- La guerre m'a défait d'un frère heureusement. v.715 (Acte 2, scène 2, MÉNESCHME)
- Le ciel lui fasse paix, v.718 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Et dans tous vos desseins vous donne un plein succès ! v.719 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Si vous avez besoin de mon petit service, v.720 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- À servir mes amis sans aucun intérêt. v.723 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Qui vous peut enseigner mieux que moi sa maison ? v.727 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Vous ne pouvez pas mieux vous adresser qu'à moi : v.731 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Il est de mes amis, et nous irons ensemble. v.732 (Acte 2, scène 2, VALENTIN)
- Le dîner se morfond ; ma maîtresse s'ennuie. v.736 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Ma maîtresse ne peut en deviner la cause. v.740 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Mais qu'est-ce donc, monsieur ? Quelle métamorphose ! v.741 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Mon zèle de ces soins ne peut se dispenser : v.750 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- À ce qui vous survient je dois m'intéresser : v.751 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Ma maîtresse a pour vous une tendresse extrême, v.752 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Votre maîtresse m'aime ? v.753 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
- Quand vous souhaiterez, vous serez son époux. v.758 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Je serai son époux ? v.759 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
- Vous n'avez pas, je crois, d'autre dessein en tête. v.760 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Mille amants sont venus s'offrir à ma maîtresse ; v.764 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Mais Ménechme est le seul qui flatte sa tendresse. v.765 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Je me nomme Finette, et sers chez Araminte ; v.769 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Vous servez chez elle ? v.771 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
- Vous êtes là, ma mie, en très mauvaise école. v.773 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
- Ma maîtresse à dîner chez elle vous attend. v.775 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Votre maîtresse fait un fort joli métier ! v.779 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
- Depuis un certain temps il est assez sujet v.782 (Acte 2, scène 3, VALENTIN)
- Tantôt il paraissait assez sage ; et peut-on v.786 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Voulez-vous, de bon sens, me dire une parole ? v.788 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Votre maîtresse ailleurs, en ses nobles projets, v.798 (Acte 2, scène 3, MÉNESCHME)
- Peut à d'autres oiseaux tendre ses trébuchets. v.799 (Acte 2, scène 3, M?NESCHME)
- De faire à ma maîtresse un discours aussi sot : v.806 (Acte 2, scène 3, FINETTE)
- Pour faire réussir leurs pratiques secrètes, v.813 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
- Pour leur dresser après quelque piège au besoin. v.815 (Acte 2, scène 4, M?NESCHME)
- Et si de m'attraper quelqu'un se met en tête, v.820 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
- Où les coeurs les plus fiers enfin se laissent prendre. v.824 (Acte 2, scène 4, VALENTIN)
- Votre conseil est bon ; entrons sans plus attendre. v.825 (Acte 2, scène 4, MÉNESCHME)
- En vérité, Madame, il faut que je vous dise... v.832 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Que je suis fort surpris... et que dans ma surprise... v.833 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
- Le trouble où je vous vois, ce noir déguisement, v.838 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- Vous est-il survenu quelque mauvaise affaire ? v.840 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- Mais je n'userai point de la communauté v.850 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Dans ses discours, parfois, il est impertinent. v.854 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
- Quel diantre de discours ! Passez, et laissez-nous. v.858 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Je n'ai jamais senti ni froid ni chaud pour vous. v.859 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
- Ferme, monsieur ; ici poussez bien l'insolence : v.861 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
- Quand j'irai, je consens, pour punir ma folie, v.864 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Que la porte sur moi se brise et m'estropie. v.865 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
- Mais d'où venez-vous donc ? Ne me déguisez rien. v.866 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- Du coche le plus rude où mortel puisse aller ; v.871 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Et je ne pense pas que, de Paris à Rome, v.872 (Acte 2, scène 5, M?NESCHME)
- Je ne me suis jamais senti tant de vigueur. v.887 (Acte 2, scène 5, FINETTE)
- Si l'on vous brutalise, est-ce ma faute à moi ? v.891 (Acte 2, scène 5, VALENTIN)
- Que je suis malheureuse ! Et quelle est ma faiblesse v.892 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- D'avoir à cet ingrat déclaré ma tendresse ! v.893 (Acte 2, scène 5, ARAMINTE)
- Est venu promptement, il passera de même. v.897 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Bon ! Je me passerai fort bien de vos faveurs. v.899 (Acte 2, scène 5, MÉNESCHME)
- Que le ciel te punisse, et l'enfer te confonde ! v.901 (Acte 2, scène 6, FINETTE)
- Adieu donc, mes princesses : v.904 (Acte 2, scène 6, MÉNESCHME)
- Choisissez mieux vos gens pour placer vos tendresses. v.905 (Acte 2, scène 6, M?NESCHME)
- J'ai senti cependant un tendre mouvement ; v.907 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
- Et l'on ne peut assez louer votre vertu. v.911 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
- Vous pourrez m'occuper, et vous servir de moi. v.915 (Acte 2, scène 7, VALENTIN)
- Je brûle cependant d'aller voir ma maîtresse : v.916 (Acte 2, scène 7, MÉNESCHME)
- Un désir curieux, plus que l'amour, me presse. v.917 (Acte 2, scène 7, M?NESCHME)
- Savoir en quel état les choses peuvent être ; v.921 (Acte 2, scène 8, VALENTIN)
- Rien n'est plus surprenant ; et votre ressemblance v.924 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- Avec votre jumeau passe la vraisemblance. v.925 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- Il n'est homme à présent dont vous ne trompiez l'oeil. v.927 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- D'autres à ce jumeau se sont déjà mépris : v.942 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- Il serait arrivé mort d'homme ou de femelle. v.949 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- Il vous croit trop bien mort ; et jamais, quoiqu'on ose, v.952 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- Il ne peut du vrai fait imaginer la cause. v.953 (Acte 3, scène 1, VALENTIN)
- Mais voyons le beau-père, et servons notre amour. v.955 (Acte 3, scène 1, LE-CHEVALIER)
- Qui se nomme Ménechme, et qui vient de Péronne, v.960 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
- À dessein d'épouser votre fille en personne. v.961 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
- Ah, monsieur ! Permettez que cet embrassement v.962 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
- Vous fasse voir l'excès de mon contentement. v.963 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
- Dans cet embrassement à vos yeux se déploie, v.965 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Et mon âme serait entièrement contente, v.969 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
- Qu'à son âme le ciel fasse miséricorde ! v.976 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
- Ce mot se peut entendre v.980 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
- En diverses façons, suivant qu'on le veut prendre. v.981 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
- Il se plaignait toujours de quelque infirmité. v.983 (Acte 3, scène 2, VALENTIN)
- Vous allez voir ma fille ; et j'ose me flatter v.990 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
- Que son air et ses traits pourront vous contenter. v.991 (Acte 3, scène 2, D?MOPHON)
- Quand vous ne seriez pas au gré de son désir v.999 (Acte 3, scène 2, DÉMOPHON)
- Laissez-moi seul ici ; va-t'en trouver mon frère : v.1004 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
- L'empêcher de venir ici voir sa maîtresse ; v.1008 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
- Ainsi je suis d'avis, quelque ardeur qui vous presse, v.1009 (Acte 3, scène 3, VALENTIN)
- Un homme de province, assez bien fait pourtant, v.1014 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
- Doit, pour vous épouser, arriver à l'instant. v.1015 (Acte 3, scène 4, D?MOPHON)
- Et la personne aussi sera de votre goût. v.1018 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
- Mon père, sans pousser ce discours jusqu'au bout, v.1019 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
- Ils veulent qu'une femme épouse leurs caprices : v.1028 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
- Et je n'en voudrais pas, quand ce serait un prince. v.1033 (Acte 3, scène 4, ISABELLE)
- Madame, il ne faut pas si fort se déchaîner v.1034 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
- Si vous le haïssez, il s'en peut trouver d'autres v.1036 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
- De qui les sentiments différeront des vôtres. v.1037 (Acte 3, scène 4, LE CHEVALIER)
- Je suis au désespoir qu'un dégoût téméraire v.1040 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
- Non ; ne contraignons point, monsieur, ses volontés : v.1043 (Acte 3, scène 4, LE-CHEVALIER)
- Ne rompaient mes desseins et toutes mes visées. v.1053 (Acte 3, scène 4, DÉMOPHON)
- Oses-tu dans ces lieux soutenir ma présence ! v.1061 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
- Tu feins de l'ignorer, âme double et traîtresse ! v.1068 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
- Tu 'abusais, hélas ! d'une feinte tendresse : v.1069 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
- Scandaliser ici monsieur, qui, de sa vie, v.1080 (Acte 3, scène 5, DÉMOPHON)
- Il a fait de mon bien un assez long usage : v.1084 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
- Et si de ses malheurs je n'avais eu pitié, v.1086 (Acte 3, scène 5, ARAMINTE)
- Elle y vise assez. v.1089 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
- Je ne veux pas ici m'exposer plus longtemps v.1090 (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
- À madame à présent je quitte la partie ; v.1092 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
- Je reviendrai sitôt qu?elle sera partie. v.1093 (Acte 3, scène 5, LE CHEVALIER)
- Je connais vos desseins, v.1098 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
- Mais je veux l'épouser en dépit de la fille, v.1100 (Acte 3, scène 6, ARAMINTE)
- Toujours de plus en plus son cerveau se démonte. v.1104 (Acte 3, scène 7, DÉMOPHON)
- Ne soit venue ici causer quelque malheur. v.1107 (Acte 3, scène 7, DÉMOPHON)
- Épouser une fille appelée Isabelle, v.1117 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- Elle a senti d'abord un peu de répugnance ; v.1124 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
- Mais, vous voyant, son coeur n'a plus fait de défense. v.1125 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
- Vous sortez d'avec elle, et paraissez content. v.1127 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
- Nous avions, de vous voir, une allégresse extrême, v.1129 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
- Quand ma soeur est venue, avec ses sots discours, v.1130 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
- Se peut-il que si tôt vous perdiez la mémoire ? v.1132 (Acte 3, scène 8, D?MOPHON)
- C'est me faire passer pour un visionnaire ; v.1136 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- Quoi qu'il en soit enfin, à présent je la vois ; v.1138 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
- Que ce soit la première ou la seconde fois, v.1139 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
- J'en suis assez content ; mais j'en fais peu de cas v.1143 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- De gâter la jeunesse, et n'est utile à rien : v.1151 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- La cour aurait pour moi d'assez puissants appas, v.1158 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- La guerre me ferait d'ailleurs assez d'envie, v.1160 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
- Vous êtes de bon sens, v.1166 (Acte 3, scène 8, VALENTIN)
- Qu'avez-vous, s'il vous plaît ? Vous paraissez surprise, v.1168 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- Comme si je disais ici quelque sottise. v.1169 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
- Jusqu'ici je vous crois et vertueuse et sage ; v.1173 (Acte 3, scène 8, MÉNESCHME)
- Que vous me réservez à quelque catastrophe. v.1177 (Acte 3, scène 8, M?NESCHME)
- Isabelle toujours doit se porter au bien. v.1179 (Acte 3, scène 8, DÉMOPHON)
- Monsieur me flatte trop ; ses tendres compliments v.1182 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Me font connaître assez quels sont ses sentiments. v.1183 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Femme, maîtresse, ami, tout m'est indifférent ; v.1187 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
- Je ne me contrains pas, et dis ce que je pense. v.1188 (Acte 3, scène 9, M?NESCHME)
- Ce serait un affront.... v.1193 (Acte 3, scène 9, DÉMOPHON)
- Laissez-moi, je vous prie, v.1193 (Acte 3, scène 9, MÉNESCHME)
- J'ai donc vu là l'objet dont je serai l'époux ? v.1198 (Acte 3, scène 10, MÉNESCHME)
- De ses perfections je n'ai pas l'âme atteinte : v.1201 (Acte 3, scène 10, VALENTIN)
- Un de nos créanciers tourne vers nous ses pas : v.1203 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
- Sont de ses débiteurs, et veut que cela soit : v.1219 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
- J'ai, pendant votre absence, v.1228 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
- Obtenu contre vous certain mot de sentence, v.1229 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR COQUELET)
- Sa mémoire est perdue ; il ne se souvient plus, v.1238 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
- Et comment se peut-il qu'à son âge... v.1243 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
- Oh ! L'effet du canon ne saurait se comprendre. v.1249 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
- Laissez-moi lui couper le nez. v.1270 (Acte 3, scène 11, MÉNESCHME)
- Laissez-le aller : v.1270 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
- Vous causerez ici quelque accident funeste. v.1272 (Acte 3, scène 11, VALENTIN)
- Serviteur. v.1278 (Acte 3, scène 11, MONSIEUR-COQUELET)
- De quoi s'avise-t-il de me venir chercher v.1279 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
- Pour être le plastron de ses impertinences ? v.1280 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
- Qu'il prenne un autre champ pour ses extravagances. v.1281 (Acte 3, scène 12, M?NESCHME)
- Présentement, monsieur, nos pas seraient perdus ; v.1283 (Acte 3, scène 12, VALENTIN)
- Je m'en vais un moment tranquilliser ma bile. v.1288 (Acte 3, scène 12, MÉNESCHME)
- Je prétends l'observer autour de cette place. v.1292 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
- Le poisson, de lui-même, entre dans notre nasse : v.1293 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
- Servir utilement la Fortune et l'Amour. v.1295 (Acte 3, scène 13, VALENTIN)
- J'ai toujours observé cette porte de vue ; v.1296 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
- Ne fasse encor trop tôt découvrir le mystère. v.1301 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
- Je ris, lorsque je pense à ce qui s'est passé : v.1303 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
- Je les ai mis aux mains d'une ardeur assez vive. v.1304 (Acte 4, scène 1, VALENTIN)
- Se sent, en la voyant, brûler de nouveaux feux, v.1307 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Porte ailleurs tes présents ; ne me parle jamais. v.1311 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
- J'ai de ses vilains mots l'oreille encor blessée ; v.1316 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
- Et ma maîtresse en est si fort scandalisée, v.1317 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
- Dont la garde, à mon sens, est assez inutile : v.1321 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Quand le besoin d'argent nous presse et nous harcèle, v.1324 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Tu sais, ma pauvre enfant, qu'on troque la vaisselle. v.1325 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- (À peine pouvons-nous dire comme il se nomme) v.1329 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Pour nous mettre à notre aise, et nous faire ses hoirs : v.1331 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Soixante mille écus d'argent sec et liquide v.1332 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Tu vois bien qu'il ferait une sottise extrême, v.1341 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- S'il se piquait encor d'avoir des feux constants : v.1342 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Il faut bien, dans la vie, aller selon le temps. v.1343 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Nous nous passerons bien d'amants tels que vous êtes. v.1344 (Acte 4, scène 2, FINETTE)
- Mes mains de cet argent seront dépositaires ; v.1348 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Un Suisse à barbe torse, et nombre de valets, v.1354 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Mon buffet ne sera qu'or et que porcelaine ; v.1356 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Le vin y coulera, comme l'eau dans la Seine : v.1357 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Pour toi ma tendresse est extrême. v.1364 (Acte 4, scène 2, VALENTIN)
- Ma maîtresse, rompant avec vous tout à fait, v.1370 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Ses lettres, ses bijoux. En nous rendant les nôtres, v.1372 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Et que de se revoir on n'a plus nulle envie, v.1377 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- On se rend l'un à l'autre et lettres et portraits. v.1378 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Ce garçon vous dira que cela se pratique, v.1380 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Lorsque de savoir vivre et de monde on se pique. v.1381 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Pour moi, dans pareil cas, toujours j'en use ainsi. v.1382 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
- M'ennuie étrangement, me lasse et me fatigue ; v.1384 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
- Vous pourriez bien sentir ce que pèse mon bras ? v.1386 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
- Que ma maîtresse prit en vous donnant le sien. v.1390 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- J'ai donné mon portrait à ta maîtresse ? v.1391 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
- C'est pousser assez loin votre discrétion. v.1399 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
- Hé bien ! Connaissez-vous ce visage et ces traits ? v.1406 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Jamais peintre ne fit portrait si ressemblant. v.1411 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
- Oh ! Finissez vous-même. v.1417 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
- De ma maîtresse. v.1420 (Acte 4, scène 3, FINETTE)
- Je ne sais ce que c'est. Passe vite, et me laisse. v.1421 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
- Les enfers déchaînés seraient cent fois plus doux. v.1427 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
- Mais, quand elle serait mille fois plus diablesse, v.1428 (Acte 4, scène 3, MÉNESCHME)
- Je ne la connais point, elle, ni sa maîtresse. v.1429 (Acte 4, scène 3, M?NESCHME)
- Quoi qu'il dise, l'amour le tient, encore au coeur : v.1430 (Acte 4, scène 3, VALENTIN)
- Mais je vois le Marquis ; il tourne ici ses pas. v.1442 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
- Hé ! Cadédis, mon cher, quelle heureuse fortune ! v.1444 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Qué jé t'embrasse... encore... et millé fois pour une. v.1445 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Régardé-moi ; jé suis outré dé désespoir ; v.1447 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Lé jour mé scandalise, et voudrais contré quatre, v.1448 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Pour terminer mon sort, trouver seul à mé battre. v.1449 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Jé sors d'uné maison, qué la terre engloutisse, v.1456 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Et qu'avec elle encor la nature périsse ! v.1457 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Excuse si jé viens ici t'importuner ; v.1462 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Si je dis qu'en ce point ma surprise est extrême. v.1465 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
- Quel est donc cé discours ? Il mé passe. À l'entendre... v.1468 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Et qué, sans déplacer, jé vous ouvris ma bourse ? v.1477 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- À moi ? J'aurais perdu le sens et la raison, v.1478 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
- Cet hommé-ci présent peut rendré témoignage ; v.1480 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Viens çà, bélître ; parle ; oseras-tu nier v.1482 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Il m?en vient dans l'esprit quelque confuse idée v.1485 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
- Quelqué confuse idée ? Oh ! Moi, j'en suis certain. v.1486 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Point d'explication, la chose est assez claire. v.1492 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Quand on mé doit, voilà lé sergent qué jé porte. v.1496 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Il nous tuera tous deux. Quand vous ne serez plus, v.1502 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
- De quoi vous serviront quarante mille écus ? v.1503 (Acte 4, scène 5, VALENTIN)
- Tirez-moi de ses mains ; faites qu'il se contente. v.1509 (Acte 4, scène 5, MÉNESCHME)
- Et vous m'aviez fait voir des sentiments d'honneur ; v.1515 (Acte 4, scène 5, LE-MARQUIS)
- Jé serais dégradé dé noblesse chez nous, v.1518 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Je lui conseille encor de me chanter injure. v.1520 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
- Pour me faire enrager, tous semblent s'être unis. v.1523 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
- Vous ne voulez donc pas que je vous y conduise ? v.1528 (Acte 4, scène 6, VALENTIN)
- Je n'ai besoin de vous ni de votre entremise ; v.1529 (Acte 4, scène 6, MÉNESCHME)
- Je vous suis obligé des services rendus : v.1530 (Acte 4, scène 6, M?NESCHME)
- De tous ses créanciers mon maître sera quitte. v.1537 (Acte 4, scène 7, VALENTIN)
- De huit, de cinq, de sept. J'achèterais, je pense, v.1544 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
- De grâce, laissez-moi promener mes regards v.1547 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
- Où l'amour se distille en de fades paroles, v.1552 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
- J'espère à l'avenir m'en servir comme un autre. v.1556 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
- Et, mettant à profit mon conseil salutaire, v.1565 (Acte 4, scène 8, VALENTIN)
- Où vous ne serez pas. v.1579 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
- Lui dire que pour vous ma tendresse est éteinte. v.1581 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
- Aimez-la, j'y consens ; je fais voeu désormais v.1582 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
- Si brutal que l'on soit, qu'on puisse avoir l'audace v.1588 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
- Veux-tu que je m'expose encore à ses sottises ? v.1592 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
- Mon_Dieu ! Non. Sans sujet vous en venez aux prises. v.1593 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Assez durs, dites-vous ? v.1600 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Ainsi, c'est l'autre lui, vêtu de ses dépouilles, v.1608 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- La chose, j'en conviens, ne paraît pas trop claire : v.1612 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Frère jumeau, semblable et d'habit et de traits, v.1614 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Dont la langue à tantôt sur vous lancé ses traits. v.1615 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Vous l'avez pris pour lui ; mais quoiqu'il soit semblable v.1616 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- L'amour rend ma méprise et juste et pardonnable. v.1620 (Acte 4, scène 9, ISABELLE)
- Je pousse un peu trop loin mes tendres entreprises. v.1624 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
- Mais, d'une et d'autre part, oublions nos méprises. v.1625 (Acte 4, scène 9, LE CHEVALIER)
- Il doit, dans l'embarras, vous servir de fanal. v.1627 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Épouser l'un pour l'autre, et prendre le contraire : v.1629 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Quoi qu'aujourd'hui le ciel fasse pour ma fortune, v.1632 (Acte 4, scène 9, LE-CHEVALIER)
- Trêve de compliments. Quand vous serez époux, v.1634 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Il vous sera permis de tout dire entre vous. v.1635 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Que madame à présent en paix rentre chez elle. v.1637 (Acte 4, scène 9, VALENTIN)
- Que l'on puisse trouver une âme encor si noire. v.1641 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Vous avez sa promesse, il faut qu'il l'accomplisse. v.1648 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Si je ne le fais pas, que le ciel me punisse ! v.1649 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
- Sur la foi des serments avoient été trompées ; v.1653 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Se faisaient d'un écrit confirmer les serments ; v.1655 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Mais que leur sert d'user de cette prévoyance v.1656 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Il ne faut se fier que sur un bon contrat. v.1659 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Nous serons le jouet et les dupes des hommes. v.1661 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- De venger, si je puis, tout le sexe offensé. v.1663 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
- Qui s'admire lui seul, et n'a que du caquet, v.1667 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Et, quand ce ne serait que pour vous en venger, v.1674 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Il faudrait l'épouser pour le faire enrager. v.1675 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Mais, s'il ne m'aime point, quel sera l'avantage v.1676 (Acte 5, scène 1, ARAMINTE)
- Est-ce donc pour s'aimer qu'on s'épouse à présent ? v.1678 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- D'épouser sans amour et même sans estime. v.1681 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Il faut se marier : vous êtes dans un temps v.1682 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Ce conseil bienfaisant que mon zèle vous donne, v.1684 (Acte 5, scène 1, FINETTE)
- Le hasard nous sert donc tous deux également, v.1690 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
- Finissez, croyez-moi, n'allez pas davantage v.1696 (Acte 5, scène 2, DÉMOPHON)
- Traverser mes desseins, et montrez-vous plus sage. v.1697 (Acte 5, scène 2, D?MOPHON)
- Ménechme m'appartient, et voilà la promesse v.1700 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
- Qu'il me fit de sa main pour marquer sa tendresse. v.1701 (Acte 5, scène 2, ARAMINTE)
- Heureusement ici je vois venir mon gendre. v.1717 (Acte 5, scène 3, DÉMOPHON)
- Un autre, à toute force, et me serrant la main, v.1726 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
- Malgré tous tes serments, malgré ton premier choix ! v.1734 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
- Sans donner seulement une larme à ma mort ! v.1739 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
- Vous, qui pour nous jadis eûtes tant de tendresse, v.1744 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
- Verrez-vous dans mes bras expirer ma maîtresse ? v.1745 (Acte 5, scène 3, FINETTE)
- Et te puisse avec elle entraîner, que m'importe ? v.1749 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
- J'ai ta promesse en main ; voilà ta signature : v.1752 (Acte 5, scène 3, ARAMINTE)
- Cette femme a fait voeu de me désespérer. v.1763 (Acte 5, scène 3, MÉNESCHME)
- Qui que tu sois enfin, laisse-moi, je te prie. v.1765 (Acte 5, scène 3, M?NESCHME)
- Et nous vous attendons avec empressement. v.1767 (Acte 5, scène 4, DÉMOPHON)
- Je crois que ma présence ici ne déplaît pas, v.1770 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
- Malgré tous ses attraits, manquait à sa personne : v.1773 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
- De pareils sentiments n'entrent point dans mon âme. v.1777 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Monsieur ne pense pas aussi ce qu'il vous dit. v.1778 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
- La franchise du coeur qu'il a par préciput. v.1782 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
- Rien ne presse si fort. v.1787 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
- À ce bel hymen, moi, s'il vous plaît, je m'oppose ; v.1788 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
- Et j'en ai dans les mains une très juste cause. v.1789 (Acte 5, scène 4, ARAMINTE)
- Vous vous divertissez, vous avez de quoi rire. v.1805 (Acte 5, scène 4, ROBERTIN)
- Voilà, je le confesse, un homme abominable. v.1820 (Acte 5, scène 4, MÉNESCHME)
- Monsieur pourrait-il bien avoir l'âme assez noire,... v.1824 (Acte 5, scène 4, ISABELLE)
- Je servirai toujours contre lui de témoin. v.1827 (Acte 5, scène 4, FINETTE)
- De notre différend cet homme sera juge ; v.1829 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
- Soixante mille écus, que votre oncle vous laisse, v.1833 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
- A tantôt été mise entre les mains d'un homme v.1837 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
- Semblable à vous d'habit, de mine, de hauteur, v.1838 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
- Qui prétend épouser la fille de monsieur ; v.1839 (Acte 5, scène 5, VALENTIN)
- Vous voyez s'il se peut un plus méchant esprit, v.1843 (Acte 5, scène 5, ROBERTIN)
- Mais je vois à présent que vous ne valez rien. v.1847 (Acte 5, scène 5, DÉMOPHON)
- Non, je ne pense pas que l'enfer soit capable v.1852 (Acte 5, scène 5, MÉNESCHME)
- Ma présence, je crois, est ici nécessaire, v.1856 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
- Quel objet se présente, et que me fait-on voir ? v.1862 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Je ne m'avise point d'aller prendre le vôtre. v.1868 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Mon père, en son vivant, se fit nommer ainsi. v.1870 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Ce frère, étant jumeau, dans tout me ressemblait. v.1878 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Que cet embrassement v.1882 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
- Vous témoigne ma joie et mon ravissement. v.1883 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
- Mon frère, est-ce bien vous ? Quelle heureuse rencontre ! v.1884 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
- Se peut-il qu'à mes yeux la fortune vous montre ? v.1885 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quoi qu'il puisse arriver, nous aurons l'un ou l'autre. v.1889 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
- Puisque vous m'accordez le choix qui se présente, v.1893 (Acte 5, scène 6, ISABELLE)
- Il semble, à vous entendre, v.1896 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Que vous n'ayez ici qu'à vous baisser et prendre. v.1897 (Acte 5, scène 6, M?NESCHME)
- Moi, je vous prends tous deux. Je veux que l'on m'instruise v.1900 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
- En quelles mains enfin cette somme est remise. v.1901 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
- C'est moi qui, pour la mienne, ayant pris sa valise, v.1904 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
- Ai su me prévaloir d'une heureuse méprise. v.1905 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est moi qui, dans l'ardeur d'une feinte tendresse, v.1908 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
- À madame autrefois ai fait une promesse ; v.1909 (Acte 5, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il laisse à son neveu cette succession : v.1915 (Acte 5, scène 6, ROBERTIN)
- Comment donc ! Voulez-vous que j'épouse une folle ? v.1921 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Je vous trouve plaisant de disposer de moi ! v.1923 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
- Vous vouliez m'épouser, c'est un autre moi-même. v.1925 (Acte 5, scène 6, LE-CHEVALIER)
- S'en sont dit tout autant, et se connaissaient bien. v.1935 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Moi, quand ce ne serait que pour la ressemblance, v.1936 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
- Je voudrais l'épouser, sans tant de résistance. v.1937 (Acte 5, scène 6, FINETTE)
- Vous n'avez, je le vois, que mon bien seul en vue ; v.1940 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
- Oui, je l'épouserai, pour me venger de vous, v.1942 (Acte 5, scène 6, ARAMINTE)
- Ce sera très bien fait. v.1944 (Acte 5, scène 6, MÉNESCHME)
- Vous ne changerez rien à mon premier dessein. v.1947 (Acte 5, scène 6, DÉMOPHON)
- Chacun, Finette, ici songe à se marier ; v.1950 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
- Marions-nous aussi, pour nous désennuyer. v.1951 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
- Et je ne laisse pas de te donner ma foi. v.1955 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
- Mais si je méritais vos applaudissements, v.1958 (Acte 5, scène 6, VALENTIN)
LA CRITIQUE DE L'HOMME À BONNES FORTUNES. (1690)
- Vous me paraissez bien fâché. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
- Je sors présentement de l'hôtel de Bourgogne, et j'en suis si outré, que si je trouvais à présent un comédien italien, la moindre chose qu'il lui en coûterait , ce serait une oreille. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
- Rien ne prouve mieux la dépravation du goût du siècle, que l'affluence des femmes, des carrosses et des chevaux qui vont à cette comédie. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
- Franchement, vous autres gens d'épée, vous avez quelque sujet de la fronder : il me semble que parfois on vous donne sur la crête. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
- Ma foi, s'il y a quelque chose de passable, c'est quand le Vicomte dépouille cette innocente jusqu'à un jonc d´or qu'elle a au doigt. (Acte 1, scène 1, NIVELET)
- Dans le fond, on n'a en vue que le service du roi. (Acte 1, scène 1, LE BARON)
- On n'attend plus que cette Comtesse avec sa cousine, qui sont allées à ces bateleurs d'Italiens. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- J'en refuse autant d'un autre. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- Enfin, si ma tante m'avait crue, je n'aurais jamais demeuré dans une auberge ; mais puisqu'on m'y a forcée, m'y voilà ; j'enrage pourtant assez. (Acte 1, scène 2, NIVELET)
- Je suis toujours par voie et par chemin, pour aller quérir les drogues à cette grande halbreda de Comtesse. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- Il y a sans cesse à refaire autour d'elle : tantôt c'est du blanc ; tantôt c'est du rouge ; tantôt c'est un gros bourgeon qu'il faut raboter ; et que sais-je ? (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- Tant y a qu'il y a toujours quelque chose à calfeutrer sur son visage. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- Les rues en seraient pavées, que je ne voudrais pas en ramasser un ; et puis, en cas de mari, comme vous savez, pour quinze écus on ne peut pas avoir grand'chose... (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- À la fin, voilà notre diable de Comtesse. (Acte 1, scène 2, CLAUDINE)
- Ma pauvre cousine, vous ne crèverez pas toute seule. (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
- Qu'on me déchausse. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
- Et vous, mademoiselle, où le mal vous tient-il ? (Acte 1, scène 3, NIVELET)
- C'était bien un filou qui m'a pris ma bourse, où il y avait dix louis, hi, hi, hi ! (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
- La comédie m'a dégoûtée pour six semaines. (Acte 1, scène 3, LA COMTESSE)
- Claudine, courez vite chez le médecin, demander une potion pour rassurer une femme qui a pensé accoucher dans la presse. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
- Monsieur Nivelet, il faut appeler du secours. (Acte 1, scène 3, LE BARON)
- Françoise, Eustache, la maîtresse ! (Acte 1, scène 3, LE BARON)
- Pour vous, mademoiselle, tenez-vous en repos dans ce fauteuil, en attendant qu'on serve. (Acte 1, scène 3, NIVELET)
- Ali, ma pauvre bourse ! (Acte 1, scène 3, LA COUSINE)
- Ah, mademoiselle ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- Ma foi, mademoiselle, il ne me reste présentement pas grand'chose ; je n'ai qu'un parement de manche, le cuir de mes poches, et quelques lambeaux de chemise. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- Avoir résisté trois semaines à la tentation, et m'être laissé aller comme un coquin ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- C'est une chose qui crie vengeance que le mauvais goût de Paris, et l'âpreté que l'on a en ce pays-ci pour les sottises. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- Il ne faut que les fesses d'un singe pour mettre tous les badauds en campagne. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- Monsieur_le_Marquis, vous me feriez bien plus de plaisir d'y retrouver ma bourse. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- Ah, mademoiselle ! (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- Désabusez-vous de cela ; jamais femme n'est morte de trop parler. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce fat de Vicomte, avec ses boutons à jouer à la boule, et cette valise en forme de manchon ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- J'enrage quand je vois le parterre s'efflanquer de rire à des sottises qui n'ont pas le sens commun. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- On ne laisse pas de s'égosiller de rire ; comme, par exemple, le tuyau d'orgue, la fille de hasard, le cheval de louage, et cette autre innocente qui va dire à son père que si son apothicaire ne lui donne que quarante-cinq ans, c'est qu'il ne le voit que par derrière. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- Apparemment, à cause de la presse, vous vous serez mise au parterre. (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- Nous avons été trop heureuses de voir la comédie de chez le limonadier. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- M'avez-vous vu serpenter sur le théâtre ? (Acte 1, scène 4, LE-MARQUIS)
- De quelque côté que l'on voie cette damnée pièce-là, elle est affreuse par tous les endroits. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- Pourquoi un homme de qualité comme vous veut-il se brouiller avec tout un parterre ? (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- Écoutez, c'est un dangereux ennemi ; je le craindrais plus avec ses sifflets, que bien des marquis avec leurs épées. (Acte 1, scène 4, LA COUSINE)
- Quand je suis grosse, je ne lave jamais ; cela m'enrhume. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
- Ma foi, madame, ne nous faites plus de ces frayeurs-là ; l'ai cru que vous nous serviriez votre enfant sur table. (Acte 1, scène 5, NIVELET)
- Comme il sent son avoine ! (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Pour l'ordinaire, Mademoiselle, je suis assez ponctuel au repas ; mais, pour ce soir, deux mille carrosses m'ont barré depuis l´hôtel de Bourgogne jusqu'ici. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
- Oh çà, dites-nous-en quelque chose : il n'y a point d'homme qui raconte si bien que vous. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
- Ah, mademoiselle ! (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
- Je fais gloire d'obéir à vos ordres ; mais il est bien difficile de parler et de souper tout ensemble, et j'ai grand'faim. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
- Et moi, quand j'étais Gascon, lorsque l'on me donnait un repas, c'était pour toute ma semaine. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
- Dites-nous donc quelque chose, monsieur. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
- C'est à dire que le singe épouse Monsieur Brocantin. (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Est-ce que je m'amuse à voir une comédie ? (Acte 1, scène 6, LE-MARQUIS)
- Je suis toujours dans les coulisses à badiner avec les actrices ; mais j'ai envoyé mes porteurs au parterre, qui m'ont dit que la pièce ne valait pas le diable. (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Monsieur, dans une auberge, on n'engraisse pas à faire des récits. (Acte 1, scène 6, CLAUDINE)
- Vous vous racquitterez sur le dessert. (Acte 1, scène 6, LA COUSINE)
- Je suis votre serviteur, Mademoiselle ; je ne me coucherai pas bredouille ; il me faut de la viande. (Acte 1, scène 6, BONAVENTURE)
LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE (1708)
- Messieurs, nous aurons l'honneur de vous donner demain la tragédie de... et, le jour suivant, vous aurez encore une représentation du Légataire. (Acte 1, scène 1, LE-COMÉDIEN)
- Est-ce qu'il n'y a pas assez longtemps que vous nous fatiguez de votre Légataire ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- À moi, morbleu, à moi : il y a plus de sens, de raison et d'esprit dans cette tête-là qu'il n'y en a sur votre théâtre, dans vos loges, et dans votre parterre, quand ces trois ordres seraient réunis ensemble. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Cette maxime est bonne pour les sots ; mais non pas pour moi. Je ne me laisse jamais entraîner au torrent : je fais tête au parterre ; et quand il approuve quelque endroit, c'est justement celui que je condamne. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Je vous dirai, monsieur, que nous autres comédiens nous sommes d'un sentiment bien contraire : c'est de ce tribunal-là que nous attendons nos arrêts ; et, quand il a prononcé, nous n'appelons point de ses décisions. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
- Et moi, morbleu, j'en appelle comme d'abus ; j'en appelle au bon sens ; j'en appelle à la postérité ; et le siècle à venir me fera raison du mauvais goût de celui-ci. (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Quelque succès qu'ait notre pièce, nous n'espérons pas, monsieur, qu'elle passe aux siècles futurs : il nous suffit qu'elle plaise présentement à quantité de gens d'esprit, et que la peine de nos acteurs ne soit pas infructueuse. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
- Si j'étais de vous autres comédiens, j'aimerais mieux tirer la langue d'un pied de long que de représenter de pareilles sottises : mourez de faim, morbleu, mourez de faim avec constance plutôt que de vous enrichir avec une aussi mauvaise pièce : et qu'est ce que c'est encore que cette Critique dont vous nous menacez ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Je vous dirai, monsieur, par avance, que ce n'est qu'une bagatelle ; deux ou trois scènes qu'on a ajoutées pour donner à la comédie une juste longueur, et pour vous amuser jusqu'à l'heure du souper. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
- Cela sera-t-il bon ? (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Ils n'ont autre chose à vous dire, le public ! (Acte 1, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Monsieur, je vous laisse avec lui : tâchez à le faire convenir qu'il a tort ; mais ne lui exposez que de bonnes raisons : il ne se paie pas de mauvais discours, je vous en avertis, et il a souvent imposé silence à des gens qui avaient autant d'esprit que vous. (Acte 1, scène 2, LE-COMÉDIEN)
- Mon carrosse, mon carrosse. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Sitôt que votre carrosse sera devant la porte, on viendra vous avertir ; mais vous en avez encore pour un quart_d_heure tout au moins. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- On m'attend au Marais pour faire une reprise de lansquenet ; je vais souper proche les Incurables ; nous devons courir le bal toute la nuit ; et, sur les huit heures du matin, il faut que je me trouve à un réveillon à la porte Saint-Bernard. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Ma vivacité fournira à tout ; et si vous ne voulez pas me suivre, voilà Monsieur Boniface qui ne m'abandonnera point dans l'occasion : c'est un jeune poète que je produis dans le monde, un bel esprit qui fait des vers pour moi quand j'en ai besoin : je l'ai amené à la comédie pour m'en dire son sentiment. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Il me sert de chaperon ; il a une mine sans conséquence : que voulez-vous qu'une femme fasse d'un visage comme le sien ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Mon carrosse, en arrivant, a été une heure dans la rue Dauphine sans pouvoir avancer ni reculer ; le voilà présentement dans le même embarras. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Parbleu, Monsieur Boniface, je suis bien aise de vous rencontrer dans les foyers. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous venez de voir cette comédie qui a fait courir tant de monde ; je serai charmé que vous m'en disiez votre sentiment : j'ai autrefois entendu des petits vers de votre façon qui n'étaient pas impertinents. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- On voit bien, madame la Comtesse, que vous vous connaissez en physionomie. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- C'est une source d'imagination vive, hardie, échauffée ; rien ne l'arrête, rien ne l'embarrasse : je lui trouve un fonds de science qui m'étonne, une fécondité qui m'épouvante. Croiriez-vous, monsieur le Marquis, qu'il a fait vingt-cinq comédies, et, pour le moins, autant de tragédies ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Les comédiens n'en veulent jouer aucune : mais ce qu'il y a de beau, c'est que ses comédies font pleurer, et que ses tragédies font rire à gorge déployée. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Madame_la_Comtesse est, à son ordinaire, vive et pétulante ; il faut qu'elle se divertisse toujours aux dépens de quelqu'un. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- Je rencontrai dernièrement un auteur dans la rue, qui fit à toute force arrêter mon carrosse ; il me fatigua de ses vers pendant une heure entière ; il en récita au laquais, au cocher, aux chevaux ; et, si un autre carrosse ne fût survenu, qui lui serra les côtes de fort près, et lui fit quitter prise, je crois qu'il parlerait encore, ou qu'il serait devenu lui-même la catastrophe de sa tragédie. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Je ne suis encore qu'un jeune candidat dans la république des lettres, un nourrisson des Muses ; mais je soutiens que la pièce est vicieuse a capite ad calcem, c'est-à-dire de la tête aux pieds. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- Un nourrisson des Muses ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Les Muses n'ont-elles pas fait là une belle nourriture ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Quand serez-vous sevré, Monsieur Boniface ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Que je serais ravie de savoir du grec ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Mais cela serait tout à fait plaisant. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Oui, madame, cela serait tout à fait plaisant et nouveau. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Je ne m'arrête point à la diction, je laisse cette critique aux esprits subalternes ; c'est à l'analyse, à la conduite, à la texture d'une pièce que je m'attache ; et, par là, je vous prouverai que celle-ci est impertinente. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- C'est un gouffre de science. Mon_Dieu, que j'aurais envie de l'embrasser ! (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Pour vous consoler, Monsieur Boniface, baisez ma main. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Qu'avons-nous affaire ici d'épopée, et de tous les grands mots grecs et latins dont Monsieur Boniface fait une parade fastueuse ? (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Apprenez, monsieur le jurisprudent hors de saison, qu'il n'est point question, dans une comédie, du droit romain ni de Justinien : il s'agit de divertir les gens d'esprit avec art ; et je vous soutiens, moi, que la conduite de cette pièce est très sensée. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Le premier acte expose le sujet ; le second fait le noeud ; dans le troisième commence l'action ; elle continue dans les suivants : tout concourt à l'événement ; l'embarras croît jusqu'à la dernière scène ; le dénouement est tiré des entrailles du sujet. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Tous les acteurs sont contents, et les spectateurs seraient bien difficiles s'ils ne l'étaient pas, puisqu'il me paraît qu'ils ont été divertis dans les règles. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il n'a cependant manqué aucune représentation. La première, il ne vit rien ; la seconde, il n'entendit pas un mot ; la troisième, il ne vit ni n'entendit ; et, toutes les autres fois, il était dans les foyers occupé devant le miroir à rajuster sa personne, ranimer sa perruque, se renouveler de bonne mine, pour être en état de donner la main quelque femme de qualité, et la conduire avec succès dans son carrosse. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Pour moi, ne trouvant plus de place dans les premières loges, je l'ai vue la première fois dans l'amphithéâtre, où je me trouvai entourée de cinq ou six jeunes seigneurs qui ne cessèrent de folâtrer autour de moi : jamais jolie femme ne fut plus lutinée ; et, si la pièce n'avait promptement fini, je ne sais, en vérité, ce qu'il en serait arrivé. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Vous avez bien raison, madame la Comtesse, de pester ; vous n'avez jamais tant couru de risque en vos jours qu'à cette comédie. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Pour moi, j'étais dans le parterre à la première représentation ; il ne m'en a jamais tant coûté pour voir une mauvaise comédie : une moitié de mon justaucorps fut emportée par la foule, et j'eus bien de la peine à sauver l'autre au milieu des flots de laquais qui m'inondèrent de cire en sortant, et me brûlèrent tout un côté de ma perruque. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- Les auteurs qui ont des habits aussi mûrs que le vôtre, Monsieur Boniface, ne doivent point se trouver dans le parterre à une première représentation. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Madame_la_Comtesse a raison. (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il me semble qu'il n'y en a point. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- Comment appelez-vous donc ces pirouettes, ces caracoles, ces chaudes embrassades qui se font sur le théâtre pendant qu'on mouche les chandelles ? (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Demandez plutôt au parterre, je suis sûr qu'il sera de mon avis. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Mais je perds ici bien du temps. Mon cher Monsieur Boniface, voyez, je vous prie, si mon carrosse n'est point à la porte : de moment en moment je sens que je m'exténue ; je fonds, je péris, je deviens nulle. (Acte 1, scène 4, LA COMTESSE)
- Dans un moment, madame, je viens vous rendre réponse. (Acte 1, scène 4, MONSIEUR BONIFACE)
- Allez toujours devant, j'y serai aussitôt que vous ; ayez soin seulement que nous buvions bien frais, et que le rôt soit cuit à propos. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
- Si je n'étais pas retenue, je lui proposerais de nous donner ce soir à souper, pour nous dédommager de la mauvaise comédie que nous venons de voir. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
- Qu'appelez-vous mauvaise comédie ? (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
- Mauvaise comédie !... (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
- Je la trouve excellente : je ne me suis jamais tant diverti ; et monsieur Clistorel m'a guéri de toute la mauvaise humeur que j'y avais apportée. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
- Quelque quartaut de ta cave a-t-il échappé à ses cerceaux ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
- Mon cuisinier avait, à dîner, manqué sa soupe ; ses entrées ne valaient pas le diable, et le coquin avait laissé brûler un faisan qu'on m'avait envoyé de mes terres. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
- Tu as pu rire de pareilles sottises ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
- Et c'est justement la scène de la veuve qui m'a donné un dégoût pour la pièce ; j'ai une antipathie extrême pour cet habit ; et si mon mari mourait aujourd'hui je me remarierais demain pour n'être pas obligée de me représenter sous un si lugubre équipage. Je crois que je ne ferais pas mal dès à présent de choisir quelqu'un pour lui succéder. (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
- Ce serait très bien fait. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Et que dites-vous, s'il vous plaît, de ce gentilhomme normand, monsieur Alexandre Choupille, de l'enfant posthume, du Clistorel, et de la servante qui ne veut pas être interloquée ? (Acte 1, scène 5, LA COMTESSE)
- Pour moi, je n'y entends point tant de façon ; quand une chose me plaît, je ne vais point m'alambiquer l'esprit pour savoir pourquoi elle me plaît. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
- Monsieur parle de fort bon sens. (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Madame_la_Comtesse, par exemple, je ne la détaille point par le menu ; il suffit qu'elle me plaise en gros : je n'examine point si elle a les yeux petits, le nez rentrant, la taille renforcée ; elle me plaît, je n'en veux point davantage. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
- Madame, je suis votre serviteur. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR-BREDOUILLE)
- Je vais souper à la Place Royale, où nous devons attaquer un aloyau dans les formes ; et je serais au désespoir que la scène commençât sans moi. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR BREDOUILLE)
- Il me semble que j'aperçois monsieur Clistorel. (Acte 1, scène 6, LA COMTESSE)
- Parbleu, figure vous-même ; je serais bien fâché que la mienne fût aussi ridicule que la vôtre. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
- Et moi, je serais au désespoir de vous ressembler : ne voilà-t-il pas un petit gentilhomme bien tourné ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
- Oui : l'on dit que c'est vous qui recrépissez toutes les vieilles du quartier. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
- Je suis jeune encore, comme vous voyez ; mais quand j'ai bu du vin de Champagne, j'ai le lendemain le coloris obscur, les nuances brouillées, et des erreurs au teint, qui me vieillissent de dix années. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
- Il a remis sur pied des teints aussi désespérés que le vôtre. (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
- Pourquoi donc, mon petit comédien, connaissant mon mérite, êtes-vous assez impudent pour me jouer en plein théâtre ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
- Savez-vous que personne n'approche de plus près que nous les princes et les grands seigneurs ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-APOTHICAIRE)
- Un pygmée, un extrait d'homme comme vous représenterait Achille, Agamemnon, Mithridate ! (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
- Je vous prie, monsieur Clistorel le sérieux, de nous dire seulement deux vers, pour voir comment vous vous y prenez. (Acte 1, scène 8, LE MARQUIS)
- Et Lisette, et Crispin, et l'enfer, et les dieux. v.2 (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
- Elle ne vous ressemble donc pas ? (Acte 1, scène 8, CLISTOREL-COMEDIEN)
- Doucement, messieurs, doucement : je ne souffrirai point qu'il arrive de malheur, et que deux Clistorels se coupent la gorge en ma présence. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
- Vous, monsieur Clistorel l'apothicaire, retournez dans votre boutique, et vous, monsieur Clistorel le comédien, je veux que vous me meniez au bal, et que nous dansions ensemble le rigaudon, la chasse, les cotillons, la jalousie, et toutes les autres danses nouvelles, où j'excelle assurément ; et je puis me vanter qu'il n'y a point de femme qui se trémousse dans un bal avec plus de noblesse, de cadence, de vivacité, de légèreté et de pétulance. (Acte 1, scène 8, LA COMTESSE)
- Madame, votre carrosse est à la porte, et vous descendrez quand il vous plaira. (Acte 1, scène 9, MONSIEUR BONIFACE)
- Je conseille à l'assemblée d'en faire autant. (Acte 1, scène 10, LE MARQUIS)
LE LÉGATAIRE UNIVERSEL (1704)
- Bonjour, belle Lisette. v.1 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- J'ai cru que ce serait le dernier de sa vie ; v.17 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- De ses bouillons de bouche, et des postérieurs, v.19 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Il ne me donne rien ; mais j'ai, pour récompense, v.25 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Je lui dis, à son nez, des mots assez piquants : v.27 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Mais dans son testament ses grâces départies v.38 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Déjà ne sont-ils pas assez de concurrents, v.47 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Il a tant d'héritiers, le bon seigneur Géronte, v.49 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Cent sept mâles vivants : juge encor des femelles. v.54 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Oui ! Mais mon maître aspire à la plus grosse part : v.55 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Ma première femme était assez gentille, v.58 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Qu'Éraste, que je sers, trouvait fort à son goût : v.60 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Que par là je ne fusse un arrière-neveu. v.64 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Oui-da ; tu peux passer pour parent de campagne, v.65 (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Le reste de ses jours il fera maigre chère. v.70 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Secundo, quoiqu'il soit diablement amoureux, v.71 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Madame Argante, avant de couronner ses feux, v.72 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Fasse ledit neveu légataire de tout. v.75 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- J'ai brillé dans l'étude avec assez d'honneur, v.87 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- L'époux un peu jaloux m'en a fait déserter. v.92 (Acte 1, scène 1, CRISPIN)
- Ah ! Te voilà, Lisette ! v.97 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- J'ai cru que cette nuit serait sa nuit dernière, v.101 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Ne lui serviront guère, ou je me trompe fort. v.104 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Quel que soit mon espoir, je sens que la nature v.106 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Excite dans mon coeur de tristes sentiments. v.107 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- Je sentis autrefois les mêmes mouvements, v.108 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
- Cependant la nature, excitant la tristesse, v.113 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
- Faisait quelque conflit avecque l'allégresse, v.114 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
- L'amour... On sent cela bien mieux qu'on ne l'exprime. v.118 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
- Je ressens pour mon oncle une amitié sincère ; v.121 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Je donne dans son sens en tout pour lui complaire ; v.122 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- Quoi qu'il dise ou qu'il fasse, ayant le droit ou non, v.123 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- Il faut que le vieillard soit mal dans ses affaires, v.125 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Je n'ai de leur dessein rien appris davantage. v.134 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Votre maîtresse est mise aussi dans l'entretien. v.135 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Pour moi, je crois qu'il veut vous laisser tout son bien, v.136 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Et vous faire épouser Isabelle. v.137 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Ah ! Lisette, v.137 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Que tu flattes mes sens ! Que ma joie est parfaite ! v.138 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- Est de tous mes désirs une cause plus belle, v.142 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- L'Amour et l'intérêt seront contents tous deux. v.144 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Serait-il juste aussi qu'un si bel héritage v.145 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Verrais-je d'un oeil sec déchirer par lambeaux, v.147 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Une succession qui doit, par parenthèse, v.149 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Vous rendre un jour heureux, et nous mettre à notre aise ? v.150 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Va, tranquillise-toi ; v.151 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Ce que j'ai dit est dit ; repose-toi sur moi. v.152 (Acte 1, scène 2, ?RASTE)
- Si votre oncle vous fait le bien qu'il se propose, v.153 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Sans trop vanter mes soins, j'en suis un peu la cause : v.154 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- N'allez pas en user comme de l'autre, non ! v.163 (Acte 1, scène 2, CRISPIN)
- Et l'autre un peu plus bas, et se nomme Scrupule. v.169 (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Le Laquais apporte une chaise. v.173 (Acte 1, scène 3, ÉRASTE)
- De grâce, asseyez-vous. Ôte donc cette chaise ; v.174 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
- Mon oncle en ce fauteuil sera plus à son aise. v.175 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
- Le Laquais ôte la chaise, apporte un fauteuil, et sort. v.176 (Acte 1, scène 3, ?RASTE)
- J'ai, cette nuit, été secoué comme il faut, v.177 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Il faut présentement songer à réparer v.182 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Les désordres qu'a pu causer la maladie, v.183 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Enfin ne vous laisser manquer de nulles choses. v.187 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Oui, j'aimerais assez ce que tu me proposes ; v.188 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Mais il faut tant d'argent pour se faire soigner, v.189 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Ces porteurs de seringue ont pris des airs si rogues !... v.191 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Qui pourrait s'en passer et mourir tout d'un coup, v.193 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Un homme de bon sens n'y doit ménager rien. v.198 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Et dans peu vous saurez mes sentiments aussi ; v.206 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Choisir une personne honnête et qui me plaise, v.219 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Pour lui laisser mon bien et la mettre à son aise. v.220 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- On leur laisse un bonsoir avec un pied de nez. v.226 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Pour voir au naturel leur tristesse profonde, v.227 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Par les maux que je sens, d'avoir longtemps vécu ; v.230 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Quoiqu'un sable brûlant cause ma néphrétique, v.231 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Et je vois bien des gens se tromper à ma mine. v.236 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Vous ne paraissez pas plus malade que moi. v.238 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Oui : dans ses procédés elle est toute charmante. v.244 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Je m'en vais l'épouser. v.251 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- J'en ai, je vous l'avoue, une allégresse extrême. v.252 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- De quelle malheureuse allez-vous être époux ? v.254 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Je pourrai, dans mes maux, tirer de grands secours. v.266 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Que me sert-il d'avoir une avide cohorte v.267 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Que de se ménager un secours nécessaire. v.276 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Prendra seule le soin de toute la maison. v.278 (Acte 1, scène 4, ?RASTE)
- Votre bien seul m'est cher. v.281 (Acte 1, scène 4, ÉRASTE)
- Quoi qu'il puisse- arriver, je te ferai du bien, v.282 (Acte 1, scène 4, GÉRONTE)
- Et tu ne seras pas frustré de ton attente. v.283 (Acte 1, scène 4, G?RONTE)
- Elles le sentiront de reste assurément. v.290 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
- Je serais bien malade, et plus qu'à l'agonie, v.299 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Qui doit faire oublier et ses maux et son âge ; v.312 (Acte 1, scène 7, MADAME-ARGANTE)
- Madame, le devoir m'y fera consentir ; v.314 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Pour être, comme il dit, un remède à ses maux ; v.318 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Il se trompe bien fort, s'il prétend, sur ma mine, v.319 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Au feu que je ressens si l'amour est propice, v.324 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- De tendresse, d'amour, de désir, de ménage, v.339 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- De ses airs ne soyez point blessées : v.343 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Elle me dit parfois librement ses pensées ; v.344 (Acte 1, scène 7, G?RONTE)
- Je voudrais me porter comme monsieur se porte. v.348 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
- Il veut se marier ; et n'a-t-il pas raison v.349 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
- Quoi ! Refusera-t-il une aimable personne v.351 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
- Que son heureux destin lui réserve et lui donne ? v.352 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
- Vous me conseillez donc de conclure l'affaire ? v.355 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Vos conseils amoureux et vos rares avis, v.357 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Puisque vous le voulez, monsieur, seront suivis. v.358 (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Malgré sa répugnance et l'orgueil de ses sens, v.361 (Acte 1, scène 7, ÉRASTE)
- Doit suivre aveuglément le choix de ses parents ; v.362 (Acte 1, scène 7, ?RASTE)
- Et tous les médecins qui connaissent ses maux v.369 (Acte 1, scène 7, LISETTE)
- Lisette, le remède agit à certain point... v.377 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Ah ! Ah !... Madame, il faut que je vous dise adieu ; v.381 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Éraste, conduis-les. Excusez-moi, de grâce, v.384 (Acte 1, scène 7, GÉRONTE)
- Un seul de vos regards, d'un mouvement facile, v.387 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
- C'est trop nous retenir, laissez-nous donc partir. v.397 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- Je ne puis vous quitter ni vous laisser sortir v.398 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
- Quoi ! Vous aurez, madame, assez de cruauté v.401 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
- Quand je vous la promis, vous me fîtes serment v.405 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- Vous ferait de ses biens donation entière. v.407 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Vous, madame, y consentiriez-vous ? v.409 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
- Assurément, monsieur, il sera mon époux. . v.410 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Qu'elle trouvait à prendre un parti présenté, v.413 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Devait de ses parents suivre la volonté ? v.414 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
- Pour rompre ses projets, je flattais son caprice ? v.416 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
- Que les choses iront ainsi que je l'espère, v.424 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
- Que je serais bientôt cause de son trépas ; v.429 (Acte 2, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- Que l'affaire est rompue, et qu'il n'y pense pas. v.430 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Mais Lisette s'avance, et j'entends quelque bruit. v.433 (Acte 2, scène 1, ÉRASTE)
- Je vous laisse avec lui ; pour moi, je me retire. v.435 (Acte 2, scène 3, MADAME-ARGANTE)
- Vous, de votre côté, secondez mon ardeur. v.437 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANTE)
- Fasse, devant vos yeux, un si sot mariage ; v.440 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Hélas ! Ma pauvre enfant, j'en suis au désespoir. v.442 (Acte 2, scène 3, ÉRASTE)
- Qu'il faut laisser aux sots. Mais Géronte s'avance. v.460 (Acte 2, scène 3, LISETTE)
- Ma colique m'a pris assez mal à propos ; v.461 (Acte 2, scène 4, GÉRONTE)
- Je n'ai senti jamais à la fois tant de maux. v.462 (Acte 2, scène 4, G?RONTE)
- On sait que d'un malade on doit excuser tout. v.465 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
- Mon oncle fera mieux une seconde fois : v.469 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
- Reposez-vous sur moi des soins de cette fête, v.479 (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
- Puisse nous racquitter de votre triste vue : v.484 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
- Et je veux avec vous danser les cotillons. v.486 (Acte 2, scène 4, LISETTE)
- Ma maîtresse, qui sort dans ce moment d'ici, v.489 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
- Lisons. Va me chercher, Lisette, mes lunettes. v.492 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
- Depuis notre entrevue, monsieur, j'ai fait réflexion sur le mariage proposé, et je trouve qu'il ne convient ni à l'un ni à l'autre ; ainsi vous trouverez bon, s'il vous plaît, qu'en vous rendant votre parole, je retire la mienne, et que je sois votre très humble et très obéissante servante, (Acte 2, scène 5, LISETTE)
- Vous pouvez maintenant, sans que l'on vous punisse, v.495 (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
- Vous retirer chez vous, et quitter le service ; v.496 (Acte 2, scène 5, ISABELLE)
- Et d'un plaisir soudain tous mes sens sont ravis. v.502 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
- Dans un corps moribond, à ses feux si contraire ? v.508 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
- Ira-t-il se loger avec des fluxions, v.509 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
- Attends un peu là-bas, et que rien ne te presse ; v.511 (Acte 2, scène 5, GÉRONTE)
- Je vais faire, à l'instant, réponse à ta maîtresse. v.512 (Acte 2, scène 5, G?RONTE)
- Mais tu louais tantôt mon dessein et mes feux. v.521 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
- Puisque je suis tranquille, et qu'un conseil plus sage v.523 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
- Et faire en ta faveur un legs universel v.526 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- Le mot de testament ; il semble m'annoncer, v.530 (Acte 2, scène 6, ÉRASTE)
- Je frémis, quand je pense à ce moment cruel. v.533 (Acte 2, scène 6, ?RASTE)
- Gentilhomme normand, assez gueux, ce dit-on ; v.538 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
- Et l'autre est une veuve avec peu de richesse, v.539 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- Certain baron qui n'eut pour bien que ses aïeux. v.542 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- Leur laisser à chacun vingt mille écus comptant, v.545 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- Vingt mille écus ! Le legs serait exorbitant. v.546 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
- C'est qu'ils se sont tous deux avisés de m'écrire v.552 (Acte 2, scène 6, GÉRONTE)
- Pour me voir, m'embrasser, et retourner contents. v.554 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- Je crois que tu n'es pas fâché que je leur laisse v.555 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- De quoi vivre à leur aise, et soutenir noblesse. v.556 (Acte 2, scène 6, G?RONTE)
- Et moi, je trouve mal cette dernière clause ; v.559 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
- Et de tout mon pouvoir à ce legs je m'oppose. v.560 (Acte 2, scène 6, LISETTE)
- Ma foi, pour te servir j'ai diablement couru ; v.574 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Mais dans une heure au plus ils seront ici. v.581 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- À son âge, il voudrait nous faire un tour semblable ! v.584 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Il pense maintenant à faire un testament v.590 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Où ton maître sera nommé son légataire. v.591 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Je t'embrasse et rembrasse, et, ma foi, de bon coeur ; v.594 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Et qu'un épanchement de joie et de tendresse, v.595 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- En te congratulant... L'amour qui m'intéresse... v.596 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- La nouvelle est charmante, et vaut seule un trésor. v.597 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Il faut, ma chère enfant, que je t'embrasse encor. v.598 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Excuse si la joie emporte un peu le geste. v.600 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Il met au testament une fâcheuse clause. v.603 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Il dispose v.604 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Quarante mille écus d'argent sec et liquide ! v.607 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Vous en aurez menti, cela ne sera pas, v.610 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Gentilhomme, natif d'entre Falaise et Caen : v.614 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Plaideuse s'il en fut, comme on m'a dit souvent, v.617 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- C'est tirer du métier toute la quintessence. v.619 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Comme d'un arsenal, quelque ruse nouvelle v.624 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Il a su seulement, par une lettre écrite, v.627 (Acte 2, scène 8, LISETTE)
- Je serai ce quelqu'un, je te le promets bien. v.637 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Et je veux que Géronte à tel point les haïsse, v.639 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Qu'ils soient déshérités ; de plus, qu'il les maudisse, v.640 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Car je dois t'épouser, si... v.645 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Et tel n'y pense pas qui doit payer pour moi. v.653 (Acte 2, scène 8, CRISPIN)
- Je crois qu'elle sera surprise assurément. v.662 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
- Moi-même entre ses mains je promets de la mettre, v.664 (Acte 2, scène 9, ÉRASTE)
- Cela sera-t-il bien que toi-même on te voie ? v.667 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
- Dis-leur de bouche encor qu'elles ne pensent pas v.669 (Acte 2, scène 9, GÉRONTE)
- Oui, depuis que j'ai pris ce généreux dessein, v.677 (Acte 2, scène 10, GÉRONTE)
- Je me sens de moitié plus léger et plus sain. v.678 (Acte 2, scène 10, G?RONTE)
- Vous paraissez fâché. Quoi ! v.684 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
- Qui me l'a mise ? v.686 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Vos sottises. v.686 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Que de vous marier vous formez le dessein. v.694 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Et quand cela serait : pourquoi vous récrier, v.697 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
- Et la mâle vigueur requise en mariage ? v.700 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- J'espère à la seconde en faire encore autant. v.706 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Ce sera très bien fait. v.707 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
- De son propre couteau sur ses jours il attente. » v.712 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Virgo libidinosa senem jugulat. (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Moi ! Le ciel m'en préserve ! Et ce sont tous des ânes, v.715 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Moi seul j'ai fait bouquer toute la Faculté. v.718 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Et que tous nos garçons ne fussent qu'assistants. v.721 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Faire, en jeune apprenti, ces fonctions secrètes ! v.724 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Leur dessein, en effet, était bien ridicule. v.731 (Acte 2, scène 11, LISETTE)
- C'est bien fait. Ces messieurs voulaient vous offenser : v.733 (Acte 2, scène 11, GÉRONTE)
- Pour crever ; et moi seul j'en aurai tout le blâme. v.736 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- De bon sel polychreste extrait et raffiné... v.742 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Serviteur, serviteur. v.755 (Acte 2, scène 11, CLISTOREL)
- Plus haut que sa seringue, et glapit comme trois. v.758 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
- Qui s'est fait, depuis peu, passer apothicaire, v.763 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
- Casse, séné, rhubarbe, et le tout de hasard, v.766 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
- Allons nous reposer. Lisette, suis mes pas. v.770 (Acte 2, scène 12, GÉRONTE)
- Souvenez-vous toujours, quand vous serez tranquille, v.772 (Acte 2, scène 12, LISETTE)
- Éraste ne vient point me rendre de réponse. v.775 (Acte 3, scène 1, GÉRONTE)
- Tout est-il mort ici, laquais, valet, servante ? v.787 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- J'ai beau heurter, crier, aucun ne se présente. v.788 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Le diable puisse-t-il emporter la maison ! v.789 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Parbleu, j'en suis bien aise. Ah, monsieur ! Touchez là. v.798 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Au point que je ne puis assez vous le montrer. v.801 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Vous paraissez surpris autant qu'on le peut être. v.803 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Mon père se fâcha de cette diligence ; v.811 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Mais un ami sensé lui dit, en confidence, v.812 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Qu'il est vrai que ma mère, en faisant ses enfants, v.813 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- N'observait pas encore assez l'ordre des temps ; v.814 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Je suis votre neveu, quoi qu'en dise l'envie ; v.831 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- C'est bien fait ; et je loue assez l'intention. v.834 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Dans quatre ais de sapin reposer à votre aise. v.839 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Vous avez un neveu, monsieur, ne vous déplaise, v.840 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Qui dit ses sentiments en pleine liberté. v.841 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Que la succession sera des plus complètes, v.844 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Vous vous feriez fesser dans la place publique. v.848 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Le titre d'usurier et de fesse-mathieu. v.850 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- C'est à vous de sortir et de passer la porte. v.856 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- C'est de vous y laisser encor vivre et mourir. v.858 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Et nous pourrons, la nuit, converser de plain-pied. v.862 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Nous fournisse, à pleins brocs, une liqueur aisée : v.864 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Fais main basse sur tout ; le bon homme a bon clos, v.865 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Grands dieux ! Vit-on jamais insolence semblable ? v.871 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- En repos laissez-moi finir ma triste vie, v.876 (Acte 3, scène 2, GÉRONTE)
- Je vous fais enterrer mort ou vif. Je vous laisse. v.883 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Mon oncle, encore un coup, tenez votre promesse, v.884 (Acte 3, scène 2, CRISPIN)
- Dans ses yeux, dans ses traits, un je ne sais quoi brille ; v.891 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- De laisser votre bien, une si belle somme, v.895 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Moi, lui laisser mon bien ! J'aimerais mieux cent fois v.897 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- Si c'est sur mon bien seul qu'il fonde sa cuisine, v.903 (Acte 3, scène 3, GÉRONTE)
- Quand ils n'assomment pas un oncle assez âgé, v.909 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Que dis-tu de ses airs ? v.917 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
- J'aurais bien eu besoin ici de ta présence v.919 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
- Lisette en est témoin. v.921 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
- Elles ont toutes deux témoigné des surprises v.935 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
- Dont elles ne seront de six mois bien remises. v.936 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
- Sans avoir, sur ce point, su votre sentiment, v.945 (Acte 3, scène 4, ÉRASTE)
- Et de plus, obtenu votre consentement. v.946 (Acte 3, scène 4, ?RASTE)
- Ne t'embarrasse point encor de mariage. v.947 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
- Que mon exemple ici serve à te rendre sage. v.948 (Acte 3, scène 4, G?RONTE)
- Tu pourrais, à la fin, lasser ma patience. v.960 (Acte 3, scène 4, GÉRONTE)
- Et dis ce que je pense avecque liberté. v.962 (Acte 3, scène 4, LISETTE)
- Et se dit votre nièce. v.965 (Acte 3, scène 5, LE LAQUAIS)
- Gardez-vous bien, monsieur, d'en user de la sorte ; v.967 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
- Et vous ne devez pas lui refuser la porte. v.968 (Acte 3, scène 5, LISETTE)
- Entre tant de parents, ce serait bien le diable v.971 (Acte 3, scène 6, LISETTE)
- Permettez, s'il vous plaît, que cet embrassement v.973 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Vous témoigne ma joie et mon ravissement : v.974 (Acte 3, scène 7, CRISPIN)
- Elle a de la douceur et de la politesse. v.979 (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
- Je suis assez content déjà de la parente. v.983 (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
- Je n'avais autrefois que cela de grosseur ; v.986 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Cela gâte la taille, et furieusement. v.989 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Vous passeriez encor pour fille assurément. v.990 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
- J'ai fait du mariage une assez triste épreuve. v.991 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Vous vous doutez assez qu'après ce prompt trépas, v.993 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- M'oblige à dévorer en secret mes ennuis. v.997 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Un coeur qui ne brûla que de ses premiers feux. v.1002 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- On ne poussa jamais plus loin la foi promise. v.1003 (Acte 3, scène 8, ÉRASTE)
- Voilà des sentiments dignes d'une Artémise. v.1004 (Acte 3, scène 8, ?RASTE)
- Je propose d'abord un bon déclinatoire ; v.1016 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- On passe outre : je forme empêchement formel ; v.1017 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- La cause est au bailliage ainsi revendiquée : v.1019 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Une femme d'honneur se voir interloquée ! v.1023 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
- Mais juge, de ses jours, ne m'interloquera : v.1026 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
- Ce procès n'est pas seul le sujet qui m'amène, v.1031 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Est-ce à moi, s'il vous plaît, que ce discours s'adresse ? v.1039 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
- Oui, mon oncle, à vous-même. A-t-il rien qui vous blesse, v.1040 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Que, depuis très longtemps, avec mademoiselle, v.1043 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- De quoi se mêlent-ils ? Est-ce là leur affaire ? v.1047 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
- Nous avons fait, monsieur, assembler vos parents ; v.1050 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- De vous faire interdire, en observant les lois. v.1054 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Au secours ! Aux voisins ! Au meurtre ! On m'assassine. v.1063 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Quoi ! Contre votre sang vous osez blasphémer ! v.1065 (Acte 3, scène 8, CRISPIN)
- Ouf ! Ce jour-ci sera le dernier de ma vie. v.1079 (Acte 3, scène 8, GÉRONTE)
- La mauvaise famille et du Maine et de Caen ! v.1081 (Acte 3, scène 8, LISETTE)
- L'ardeur de vous servir m'a donné cet habit ; v.1089 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
- Qu'ils seront, par ma foi, tous deux déshérités. v.1094 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
- L'adresse et l'artifice ont passé dans mon coeur. v.1102 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
- Qu'on a, sous cet habit, et d'esprit et de ruse ! v.1103 (Acte 3, scène 9, CRISPIN)
- Enfin de ses neveux l'oncle se désabuse ; v.1104 (Acte 3, scène 9, ÉRASTE)
- Quoi ! L'oncle de monsieur serait défunt ? v.1109 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Arrivant dans sa chambre et se traînant à peine, v.1111 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
- Sans voix, sans sentiment, sans pouls, sans connaissance. v.1116 (Acte 3, scène 10, LISETTE)
- Je suis au désespoir. C'est ce dernier transport v.1117 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
- Où tu l'as mis, Crispin, qui causera sa mort. v.1118 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
- Moi, monsieur ! De sa mort je ne suis point la cause ; v.1119 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Et le défunt, tout franc, a fort mal pris la chose. v.1120 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Pourquoi se saisit-il si fort pour des discours ? v.1121 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- J'en voulais à son bien, et non pas à ses jours. v.1122 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Ne désespérons point encore de sa vie ; v.1123 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
- Il tombe assez souvent dans une léthargie v.1124 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
- Qui ressemble au trépas, et nous alarme fort. v.1125 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
- Et je serai frustré, par cette mort cruelle, v.1131 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
- Fortune, je sens bien l'effet de ton courroux ! v.1133 (Acte 3, scène 10, ?RASTE)
- Et présenter un front digne de la tempête : v.1136 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Que nous sert le courage, et que pouvons-nous faire ? v.1139 (Acte 3, scène 10, ÉRASTE)
- Lisette, quelque temps tiens la bouche cousue, v.1143 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Plutôt que tant de bien passe en des mains profanes, v.1151 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Et Lisette, et Crispin, et l'enfer, et les dieux. v.1154 (Acte 3, scène 10, CRISPIN)
- Le legs universel qu'il prétendait me faire, v.1159 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
- Lisette et moi, monsieur, pour finir nos projets, v.1161 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Épuise contre nous les traits de sa colère, v.1164 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
- Nos soins ne seront pas infructueux et vains ; v.1165 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
- Seront mis, si je veux, à l'abri de orage. v.1168 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
- Non que l'ardeur du gain et la soif des richesses v.1179 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
- Me fissent ressentir leurs indignes faiblesses ; v.1180 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
- Je devais épouser Isabelle à ce prix : v.1182 (Acte 4, scène 1, ?RASTE)
- Et le tout se serait passé bien à propos. v.1194 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- En stériles regrets passe et s'évanouisse ? v.1196 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
- Mais à présent j'échoue, et je demeure à sec. v.1202 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Un autre, en pareil cas, serait aussi stérile. v.1203 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Où vous seriez traité peu favorablement, v.1206 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Peut-être je pourrais, par quelque coup d'adresse, v.1207 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Exercer mon talent et montrer ma prouesse : v.1208 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Fort inutilement s'y casserait la tête ; v.1211 (Acte 4, scène 1, CRISPIN)
- Tu veux donc me confondre et me désespérer ? v.1213 (Acte 4, scène 1, ÉRASTE)
- Je les ai mis tous deux dans cette salle basse. v.1215 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Voyez ; que voulez-vous, s'il vous plaît, qu'on en fasse ? v.1216 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Non, pas encor, je pense. v.1220 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Attends encore un peu. Je me sens accabler. v.1226 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
- Comme d'un coup de foudre, écraser à la fois ? v.1230 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Attendez... Il me vient... Le dessein est bizarre ; v.1231 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
- Fais-nous part du dessein que ton coeur se propose. v.1235 (Acte 4, scène 2, ÉRASTE)
- Allons, mon cher Crispin, tâche à voir quelque chose. v.1236 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Laisse-moi donc rêver... Oui-da... Non... Si, pourtant... v.1237 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
- Il est vrai ; mais enfin j'accouche d'un dessein v.1241 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
- Qui passera l'effort de tout esprit humain. v.1242 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
- Je t'en laisse l'emploi. v.1245 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- L'amour doit ranimer ton adresse passée. v.1247 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- C'est penser à merveilles. v.1252 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Vous serez légataire, et je vous le promets. v.1254 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
- Allons, Lisette, allons, ranimons notre zèle ; v.1255 (Acte 4, scène 2, CRISPIN)
- Et je cours te servir. Je reviens sur mes pas. v.1261 (Acte 4, scène 2, LISETTE)
- Si ton dessein succède au gré de notre envie, v.1263 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
- Je serais légataire ! Et, par même moyen, v.1265 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
- J'épouserais l'objet qui fait seul tout mon bien ! v.1266 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
- Cependant une terreur secrète v.1267 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
- S'empare de mes sens, m'alarme et m'inquiète : v.1268 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
- Il faut faire un faux seing ; et ma main alarmée v.1271 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
- Se refuse au projet dont mon âme est charmée. v.1272 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
- Géronte ne pouvait se servir de ses doigts ; v.1274 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
- N'est point, comme tu vois, requise en notre affaire ; v.1276 (Acte 4, scène 3, ?RASTE)
- À de bonnes raisons je me laisse gagner ; v.1278 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
- Et je sens tout_à_coup renaître en mon courage v.1279 (Acte 4, scène 3, CRISPIN)
- La robe ; dépêchons, passez-la dans mes bras. v.1285 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
- Ah ! Le mauvais valet ! Chaussez chacun un bas. v.1286 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
- Voilà son air, ses traits ; et l'on doit s'y méprendre. v.1291 (Acte 4, scène 4, LISETTE)
- Ma foi, déjà je sens un peu d'émotion : v.1294 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
- Secondez-moi bien tous dans cette affaire-ci. v.1302 (Acte 4, scène 4, CRISPIN)
- Ce jour mal condamné me blesse encore l'oeil. v.1306 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
- Tirez bien les rideaux, que rien ne nous trahisse. v.1307 (Acte 4, scène 5, CRISPIN)
- Fasse un heureux destin réussir l'artifice ! v.1308 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Si j'ose me porter à cette extrémité, v.1309 (Acte 4, scène 5, ?RASTE)
- Un dieu, dont le pouvoir sert d'excuse aux amants, v.1313 (Acte 4, scène 5, ÉRASTE)
- Rien n'est désespéré : cette cérémonie v.1323 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
- D'avoir fait de ses biens la distribution, v.1326 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
- Qui, se communiquant après dans tous les sens, v.1329 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
- Messieurs, asseyez-vous. Toi, va fermer la porte. v.1332 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Que ces actes secrets se passent sans témoins. v.1334 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
- Il serait à propos que monsieur prît la peine v.1335 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR GASPARD)
- Moi, je ne puis quitter monsieur un seul moment. v.1337 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
- Mon oncle, sur ce point, dira son sentiment. v.1338 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Je puis leur confier mes volontés secrètes, v.1340 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- L'intitulé sera tel que l'on doit le faire, v.1343 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Par-devant... fut présent... Géronte... et caetera. v.1345 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR SCRUPULE)
- Qu'on se garde surtout de me mettre trop près v.1353 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Ce serait tous les jours procédure nouvelle, v.1356 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Et je serais encor contraint de déguerpir. v.1357 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Tout se fera, monsieur, selon votre désir. v.1358 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Se fasse à peu de frais et fort modestement. v.1362 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Il fait trop cher mourir, ce serait conscience. v.1363 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Jamais, de mon vivant, je n'aimai la dépense ; v.1364 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Que j'aime tendrement, pour mon seul légataire, v.1371 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Unique, universel. v.1372 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Vaisselle, argent comptant, contrats, maisons, billets ; v.1374 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Et même tous bâtards, à qui Dieu fasse paix, v.1377 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Item. Je donne et lègue à Lisette présente... v.1383 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Qui depuis cinq ans me tient lieu de servante, v.1384 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Pour épouser Crispin en légitime noeud, v.1385 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Et pour récompenser l'affection, le zèle v.1387 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Deux mille écus ! Je crois que le pendard se moque. v.1391 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Du plus clair de mon bien seront pris et perçus. v.1394 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Le ciel vous fasse paix d'avoir de moi mémoire, v.1395 (Acte 4, scène 6, LISETTE)
- Item. Je laisse et lègue à Crispin... v.1401 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Je crois qu'il perd l'esprit. Quel est donc son dessein ? v.1402 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Pour les bons et loyaux services... v.1403 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Vous ne connaissez pas, mon oncle, ce Crispin : v.1405 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1412 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Le présent malhonnête, et que ce soit trop peu ? v.1414 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Oui, sans laquelle clause v.1415 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Le testament sera nul, et pour cause. v.1416 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Vous n'y pensez donc pas ? v.1418 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Si vous me fâchez, j'en laisserai deux mille. v.1420 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Il ne me laissera plus rien, s'il continue. v.1428 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- Voilà le testament heureusement fini. v.1430 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
- Laissez-moi, s'il vous plaît, l'acte qu'on vient de faire. v.1440 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- Et veut récompenser votre peine et vos soins. v.1445 (Acte 4, scène 6, ÉRASTE)
- C'est maintenant, monsieur, ce qui presse le moins. v.1446 (Acte 4, scène 6, MONSIEUR-GASPARD)
- Lisette, conduis-les. v.1447 (Acte 4, scène 6, CRISPIN)
- De laisser à Lisette une somme semblable ? v.1452 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
- Pouvais-je moins laisser à cette pauvre fille ? v.1455 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
- Et j'ai dû lui laisser, un peu de subsistance, v.1459 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
- M'en préserve le ciel ! v.1471 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
- Sans former d'entreprise, v.1471 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
- Laissons la chose au point où votre oncle l'a mise. v.1472 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
- Ce serait cent fois pis ; j'en mourrais de douleur. v.1473 (Acte 4, scène 7, ÉRASTE)
- Certain remords cuisant, certaine syndérèse, v.1475 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
- Qui furieusement sur l'estomac me pèse. v.1476 (Acte 4, scène 7, CRISPIN)
- Il m'a semblé d'abord entendre ouvrir la porte ; v.1500 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
- Comme un grand revenant, Géronte sur ses pieds. v.1502 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
- T'abuse et te fais voir un fantôme en idée. v.1504 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
- Excuse, mon enfant, je te prenais pour lui. v.1506 (Acte 4, scène 8, LISETTE)
- Un seul revers te rend faible et pusillanime ! v.1520 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
- Reprends des sentiments qui soient dignes de toi : v.1521 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
- Allons-nous abuser encor quelque notaire ? v.1524 (Acte 4, scène 8, CRISPIN)
- Qui pourrait bien servir notre mariage. v.1528 (Acte 4, scène 8, ÉRASTE)
- D'appeler le secours dont il aura besoin. v.1530 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
- Et viens vous rassurer ici par ma présence. v.1532 (Acte 4, scène 8, ?RASTE)
- Et mes deux mille écus pour prix de mon service ? v.1535 (Acte 4, scène 9, LISETTE)
- Quel est votre dessein, et que voulez-vous faire ? v.1539 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- À faire réussir en secret vos desseins ; v.1542 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Reprendre de ses sens heureusement l'usage, v.1544 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Le parti le meilleur, sans user de délais, v.1545 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Est de lui reporter vous-même ses billets. v.1546 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Les nobles sentiments qui règnent dans votre âme : v.1548 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
- Le ciel m'inspirera ce qu'il faut que je fasse. v.1552 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
- Mon excuse, madame, est écrite en vos yeux. v.1558 (Acte 5, scène 1, ?RASTE)
- Je puis faire paraître un sentiment sincère. v.1560 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
- Votre personne seule est le bien qui me flatte ; v.1563 (Acte 5, scène 1, ISABELLE)
- Tous ces beaux sentiments sont fort bons dans un livre. v.1567 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- L'amour seul, tel qu'il soit, ne donne point à vivre : v.1568 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Mais ne craignez-vous rien de son ressentiment ? v.1574 (Acte 5, scène 1, MADAME-ARGANTE)
- Qu'il prenne à vos désirs un sentiment contraire ? v.1576 (Acte 5, scène 1, MADAME ARGANTE)
- Il faut, mademoiselle, en ce péril offert, v.1581 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
- N'en rougissez point, ce n'est que pour les rendre. v.1584 (Acte 5, scène 1, ÉRASTE)
- Et quand il sera temps, tous unanimement v.1597 (Acte 5, scène 2, ÉRASTE)
- Nous viendrons travailler ensemble au dénouement. v.1598 (Acte 5, scène 2, ?RASTE)
- Je ne puis revenir encor de ma faiblesse : v.1603 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
- Je ne sais où je suis : l'éclat du jour me blesse ; v.1604 (Acte 5, scène 4, G?RONTE)
- Lorsque de votre mal vous ressentiez l'effet, v.1614 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
- La peine que j'ai prise, et les soins nécessaires v.1615 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
- Vous seriez étonné, mais d'un étonnement v.1617 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
- Où donc est mon neveu ? Son absence m'ennuie. v.1619 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
- Non, monsieur, sur son lit, où, baigné de ses pleurs, v.1625 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
- L'infortuné garçon gémit de ses malheurs. v.1626 (Acte 5, scène 4, CRISPIN)
- Un oncle toujours plein de tendresse pour lui, v.1629 (Acte 5, scène 4, GÉRONTE)
- J'ai donc, Lisette, été plus mal que je ne crois ? v.1634 (Acte 5, scène 5, GÉRONTE)
- Hélas ! À ce bonheur me serais-je attendu ? v.1642 (Acte 5, scène 6, ÉRASTE)
- Sensible à mes douleurs, permet que je l'embrasse ! v.1644 (Acte 5, scène 6, ?RASTE)
- Si vous aviez pu voir les syncopes, les crises v.1651 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
- Dont, par la sympathie, il sentait les reprises, v.1652 (Acte 5, scène 6, LISETTE)
- Vous sentiriez bientôt quelque soulagement. v.1662 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Le corps se porte mieux lorsque l'esprit se trouve v.1663 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
- Voici donc le papier que, selon vos desseins, v.1665 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Vous nous l'avez dicté plein de sens et raison. v.1674 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Monsieur était présent, aussi bien que madame : v.1676 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
- Éraste était présent ? v.1679 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- Lisette, parle donc. v.1683 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- Je sens, dans mon gosier, que ma voix s'embarrasse. v.1684 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
- A dicté mot à mot ses volontés dernières. v.1692 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- C'est qu'on peut se tromper. Mais c'était vous, ou moi. v.1694 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Fut présent devant nous, dont les noms sont au bas, v.1721 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Étant en son bon sens, comme on a pu connaître v.1723 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
- Ah ! Quel coeur de rocher, et quelle âme assez noire v.1728 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Ne se fendrait en quatre, en entendant ces mots ? v.1729 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Mais laissez-moi donc lire ; v.1739 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Excusez-moi, monsieur, c'est votre léthargie. v.1752 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Quand ils y seraient tous, on ne les plaindrait guère. v.1756 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Je fais mon légataire unique, universel, v.1757 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Se peut-il ? Juste ciel ! v.1758 (Acte 5, scène 7, ÉRASTE)
- Et même tous bâtards, à qui Dieu fasse paix, v.1761 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- À cet article-la, je vois présentement v.1765 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- Que j'ai bien pu dicter le présent testament. v.1766 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
- Qui me sert de servante, v.1768 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Pour épouser Crispin en légitime noeud, v.1769 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR SCRUPULE)
- Non... jamais... car enfin... ma bouche... quand j'y pense... v.1771 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Je me sens suffoquer par la reconnaissance, v.1772 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Je ne suis point l'auteur de ces sottises-là. v.1774 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- Lui refuseriez-vous cette petite grâce ? v.1779 (Acte 5, scène 7, LISETTE)
- Comment ! Six mille francs ! Quinze ou vingt écus, passe. v.1780 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- Pour tous les obligeants, bons et loyaux services v.1787 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Pour avoir souvenir de moi dans ses prières. v.1792 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Si généreusement me laisser cette somme ! v.1796 (Acte 5, scène 7, CRISPIN)
- Quel éclaircissement voulez-vous qu'on vous donne ? v.1799 (Acte 5, scène 7, MONSIEUR-SCRUPULE)
- Je tremble du malheur dont je sens les approches ; v.1808 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- Je n'ose me fouiller, v.1809 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
- Qu'on me fasse raison. Quelles friponneries ! v.1815 (Acte 5, scène 7, GÉRONTE)
- J'avais perdu l'esprit, le sens, et la raison. v.1818 (Acte 5, scène 7, G?RONTE)
- De vouloir approuver le présent testament. v.1822 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
- Mais tu n'y penses pas. Veux-tu donc que je laisse v.1823 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
- Vous savez ce qu'un coeur peut ressentir pour elle ; v.1832 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
- Vous avez éprouvé le pouvoir de ses coups : v.1833 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
- Charmé de ses attraits, j'embrasse vos genoux ; v.1834 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
- Que, lorsqu'en écoutant un sentiment plus sain, v.1837 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
- Votre coeur moins épris a changé de dessein. v.1838 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
- Monsieur, vous me voyez embrasser vos genoux : v.1845 (Acte 5, scène 8, ÉRASTE)
- Voulez-vous aujourd'hui nous désespérer tous ? v.1846 (Acte 5, scène 8, ?RASTE)
- La tendresse m'accueille. v.1847 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
- Pour avoir mes billets, je consens à tout faire ; v.1852 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
- Je ratifie en tout le présent testament, v.1853 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
- Et donne à votre hymen un plein consentement. v.1854 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
- De vos remerciements volontiers je me passe. v.1856 (Acte 5, scène 8, GÉRONTE)
- Mariez-vous tous deux, c'est bien fait ; j'y consens : v.1857 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
- Qui puissent hériter de vous en droite ligne ; v.1859 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
- Que ne fusent jamais les guerres ni les pestes. v.1864 (Acte 5, scène 8, G?RONTE)
- Lisette, sur mon front viens ceindre des lauriers : v.1866 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
- J'ai du bien maintenant assez pour être sage. v.1868 (Acte 5, scène 9, LISETTE)
- Et femme au par-dessus : mais ce n'est pas assez ; v.1873 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
- Je renonce à mon legs, si vous n'applaudissez. v.1874 (Acte 5, scène 9, CRISPIN)
LE DIVORCE (1688)
- Cela est de la dernière impertinence, de se trouver mal quand il faut gagner de l'argent. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
- Que voulez-vous que je fasse de tout ce monde-là ? (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
- Nous ne pouvons pas jouer la comédie aujourd'hui ; voilà notre portier qui vient de se trouver mal, et Pantalon, qui devait faire un rôle de Patrocle, est indisposé. (Prologue, scène 1, ARLEQUIN)
- Terminez vos regrets, que votre douleur cesse ; v.1 (Prologue, scène 2, MERCURE)
- Dans votre sort Jupiter s'intéresse, v.2 (Prologue, scène 2, MERCURE)
- Tout doucement, Monsieur Jupiter ; ne choquons point le parterre, s'il vous plaît ; nous en avons besoin : cela ne se gouverne pas comme votre tête. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
- Monsieur Jupiter, si vous vouliez me laisser votre monture, je la ferais mettre à la daube : aussi bien les dieux de l'opéra, qui sont bien montés quand ils viennent, s'en retournent toujours à pied. (Prologue, scène 3, ARLEQUIN)
- Je le sais bien ; j'étais la chambre de madme votre soeur quand son mari, monsieur Sotinet, mon maître et votre beau-frère, la surprit comme elle vous écrivait la dernière lettre que vous avec reçue d'elle, où elle vous mande de venir au plus tôt à Paris, afiun de prendre des mesures avec vous pour se mettre à couvert du chagrin que son vieux mari lui fait tous les jours. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- T'assicurio, Mezzetino, ch'il matrimonio di mia sorella con Sotinetto non è stato mai mio gusto ; e se ne fossi stato creduto, egli non si sarreba mai conchiuso. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
- Mais quand on ne peut pas changer sa condition, et qu'elle est mauvaise, il faut tâcher de l'adoucir autant qu'il est possible. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Ma per addolcir la stato de mia sorella, io non veda altro mezzo, ch'une bonissima separazione. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
- D'accord ; et c'est à quoi il faudrait songer, si vous aviez de ce qui se touche. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Mais malheureusement mais vous êtes gueux comme un rat, et il y a longtemps que votre noblesse serait tombée par terre, si la roture ne l'avait soutenue. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Mais laissez-moi faire : si votre soeur consent à la séparation, je m'engage, moi, de faire toruver tout l'argent qu'il faudra pour l'obtenir ; et si , je veux que ce soit mon maître qui le fournisse. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- J'ai une dent contre lui, pour certains coups de bâton qu'il me donna une fois, à cause qu'il me surprit à la cave avec la servante du logis. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- E che cosa facevi in cantina con la serva ? (Acte 1, scène 1, AURELIO)
- Orsù, vado a trovar mia sorella ; farò il possibile per resolverla a separarsi da suo marito. (Acte 1, scène 1, AURELIO)
- Serviteur, monsieur. (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Que je pense de jolis tours pour délivrer ma maîtresse des mains de son vieux mari ! (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Si mon cher ami Arlequin était encore au monde, c'est là justement l'homme qu'il ma faudrait ; mais le pauvre garçon s'est avisé de se faire pendre, et ... (Acte 1, scène 1, MEZZETIN)
- Il me semble... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Tu arrives fort à propos pour rendre service à Monsieur Aurélio, dans une affaire de conséquence. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- Celui qui a tant de noblesse, et qui n'a jamais le sou ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Lui-même : il est aussi gueux à présent comme il était du temps que tu le servais. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- Tant pis ; car je ne suis pas aussi sot que je l'ai été, moi ; et je ne m'emploierai jamais pour qui que ce soit, qu'auparavant je ne sois assuré de la récompense. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Va, va, le seigneur Aurélio est honnête homme. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- Sers-le bien, et ne te mets point en peine ; tes gages te seront bien payés ; et si l'affaire que j'ai en tête réussit, je te réponds d'une bonne récompense. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- Mais tire-moi d'un doute : il a couru un bruit que tu avais été pendu, et je te croyais déjà bien sec. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- Tu sais bien que j'ai toujours aimé les grandes choses : dès le temps même que nous avions l'honneur de servir ensemble le roi sur ses galères... (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je n'eus pas plus tôt quitté la rame, que je me jetai malheureusement dans les médailles. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Non, dans les médailles ; c'est-à-dire que quand je n'avais rien à faire, pour me désennuyer, je m'amusais à mettre le portrait du roi sur des pièces de cuivre, que je couvrais d'argent, et que je donnais à mes amis pour du pain, du vin, de la viande, et autres choses nécessaires : mais comme il y a toujours des envieux dans le monde (voyez, je vous prie, comme on empoisonne les plus belles actions de la vie !), on fut dire à la justice que je me mêlais de faire de la fausse-monnaie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Ces messieurs montèrent donc dans ma chambre, et, le plus honnêtement du monde, me prièrent, de la part de la justice, de lui aller parler tout-à-l'heure ; qu'il y avait un carrosse à la porte, qui m'attendait. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Et moi, j'eus beau dire que j'avais affaire, que je ne pouvais pas sortir, que j'irais une autre fois, il me fut impossible de résister aux honnêtetés et aux empressements de ces messieurs-là. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Aux honnêtetés des pousse-culs. (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- L'un m'avait pris par un bras, aussi m'avait fait l'autre, en me disant le plus obligeamment du monde : "Oh ! Puisque nous avons été assez heureux que de vous trouver, vous ne nous échapperez pas, et nous aurons le plaisir de vous emmener avec nous" ; et à force de civilités, ils m'entraînèrent dans leur carrosse, et me conduisirent à la justice. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- D'abord que je fus arrivé, on me présenta à cinq ou six visages vénérables, qui étaient assis sur des fleurs-de-lis. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Et ces messieurs ne vous prièrent-ils point de vous asseoir ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- À quoi je répondis fort modestement : oui, monsieur, pour vous rendre mes très humbles services. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Vous êtes un honnête homme, ajouta-t-il ; tout-à-l'heure nous allons parler à vous ; asseyez-vous toujours en attendant. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Et où t'asseoir ? (Acte 1, scène 2, MEZZETIN)
- Sur une petite chaise de bois qu'on avait mise à côté de moi. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je leur répliquai qu'oui, que je leur demandais excuse si je ne faisais pas aussi bien que je l'aurais souhaité ; mais que j'avais grande envie de travailler, et qu'avec le temps, j'espérais devenir plus habile. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je remarquai que mon discours les avait réjouis ; mais cela n'empêcha pas qu'ils ne me condamnassent sur l'heure à être pendu et étranglé à la Croix Du Trahoir. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Quand j'entendis qu'on m'allait pendre, je commençai à crier : mais, messieurs, vous n'y pensez pas. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Aussi y eurent-ils beaucoup d'égard ; et, pour faire les choses dans l'ordre, ils me firent expédier une dispense d'âge. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je dis que non, et que cela pourrait par la suite me donner la gravelle ; je priai seulement les archers de me laisser boire à la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- On se range en haie ; je m'approche de la fontaine ; je donne un coup d'oeil autour de moi, et zest, je m'élance la tête en avant dans le robinet de la fontaine. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Du robinet de la fontaine, je descendis dans la Seine ; de là, je fus à la nage jusqu'au Havre-de-Grace ; au Havre-de-Grace, je m'embarquai pour les Indes, d'où me voilà présentement de retour ; et voici mon histoire achevée. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je le fais exprès pour épargner les semelles. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Mon maître m'a ordonné tantôt de lui amener un barbier : il ne faut pas manquer cette occasion pour lui voler sa bourse ; elle servira à mettre nos affaires en train. (Acte 1, scène 3, MEZZETIN)
- Animal, c'est tout le contraire : je te dis de ne laisser entrer personne pour voir ma femme, et de fermer la porte au nez de tous ceux qui se présenteront. (Acte 1, scène 4, SOTINET)
- Ne savez-vous pas bien qu'un vieux mari est comme ces arbres qui ne portent point de bons fruits, et qui ne servent que d'ombre ? (Acte 1, scène 4, PIERROT)
- On m'a dit, monsieur, que vous aviez besoin d'un homme de ma profession ; je viens vous offrir mes services. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Ne vous mettez pas en peine, monsieur ; dans deux petites heures votre affaire sera faite. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Que cela ne vous étonne pas : j'ai bien été trois mois entiers après une barbe, et tandis que je rasais d'un côté, le poil revenait de l'autre : mais présentement je suis plus habile ; vous allez voir. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Ma foi, je vous demande pardon : l'empressement de vous raser m'a fait prendre mon manteau pour votre linge à barbe. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Venez, maître Jacques, repassez-moi ce rasoir pour faire la barbe à monsieur. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- La bourse est de ce côté-ci ; ne la manque pas. (Acte 1, scène 5, MEZZETIN)
- Tenez-vous donc, si vous voulez ; croyez-vous que je n'aie que vous à raser ? (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Au secours ! (Acte 1, scène 5, SOTINET)
- Il faut filer doux ; ce coquin-là le ferait comme il le dit : il a une mauvaise physionomie. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
- Limousin, monsieur, pour vous rendre service. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- J'étais auparavant tailleur de pierres ; et comme on disait que j'avais beaucoup de légèreté dans la main, je crus que je serais plus propre à ce métier-ci. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Il me semble que vous avez la main gauche bien plus légère que la droite. (Acte 1, scène 5, SOTINET)
- Ce sont de petits talents qu'on reçoit de la nature, et dont un honnête homme ne doit pas se glorifier. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
- Mais vous avez quelque chose ? (Acte 1, scène 5, SOTINET)
- Mais il faut qu'on ait perdu l'esprit, de faire un tintamarre semblable dans mon antichambre ! (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Et de quoi vous embarrassez-vous de votre teint ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Que ne me laissez-vous faire ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Tu me mets au désespoir. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Crois-tu que je puisse me résoudre à donner tous les jours un habit neuf à mes appas ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- J'ai une conscience si délicate, que je me reprocherais les conquêtes qui ne se seraient pas faites de bonne guerre, et je crois que je mourrais de honte d'avoir dix années de plus que mon visage. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Bon, bon, mademoiselle, vous avez là un plaisant scrupule ; la beauté que l'on achète n'est-elle pas à soi ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Qu'importe que vos joues portent les couleurs d'un marchand ou les vôtres, pourvu que cela vous fasse honneur ? (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Les femmes ne sont-elles pas assez déguisées sans se masquer encore ? (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Par ma foi, voilà une belle délicatesse de sentiments. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Il n'y a plus que le rouge qui se met à la toilette qui marque la pudeur des femmes d'aujourd'hui ; elles ne rougiraient jamais sans cela. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Et que serait-ce donc, madame, s'il vous fallait peler avec de certaines eaux, comme la dernière maîtresse que je servais, qui changeait tous les six mois de peau. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Si je l'ai vu ? C'étoit moi qui faisois l'opération ; elle me faisait prendre la peau de son front, que je tirais de toute ma force ; elle criait comme un beau diable, et moi je riais comme une folle ; il me semblait habiller un levraut : mais ce qui est de meilleur, c'est qu'elle portait toujours sur elle, dans une boîte, la peau de son dernier visage calcinée, et disait qu'il n'y avait rien de si bon pour les élevures et les bourgeons. (Acte 1, scène 6, COLOMBINE)
- Mademoiselle, voilà un homme qui demande à vous parler. (Acte 1, scène 6, UN-LAQUAIS)
- Qu'on le fasse entrer. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
- Je crois, mademoiselle, que vous n'avez pas l'honneur de me connaître ; mais quand vous saurez que je m'appelle Monsieur De La Gavotte, sieur de Trotenville, vous devinerez aisément que je suis maître à danser. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Votre nom, monsieur, est assez connu dans Paris ; et j'espère devenir une bonne écolière, ayant pour maître le plus habile homme du métier. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Vous mettez ma modestie hors de cadence ; et quand on n'a, comme moi, qu'un mérite léger et cabriolant, pour peu qu'on l'élève par des louanges un peu fortes, il court risque, en tombant, de se casser le cou. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Il est vrai que voilà une pensée qui est tout-à-fait bien mise en oeuvre ; c'est un brillant. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- Pour de l'esprit, mademoiselle, les gens de notre profession en regorgent. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Je sors présentement de chez la femme d'un élu, où je me suis fait admirer par mon esprit ; j'ai deviné une énigme du Mercure galant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Vous savez, madame, que c'est là présentement la pierre de touche du bel-esprit. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Pour vous, monsieur, vous n'avez pas besoin que l'on imprime le vôtre, pour faire connoître votre mérite au public ; on sait assez que vous êtes l'honneur de l'escarpin. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- J'avais autrefois un carrosse à un cheval ; mais mes amis m'ont conseillé de changer de voiture, afin de ne pas causer une erreur dans le public, qui prend souvent, dans cet équipage-là, un maître à danser pour un lévrier d'Hippocrate. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Vous devriez bien avoir un carrosse à deux chevaux : depuis que l'on ne joue plus, il y a tant de chevaliers qui en ont à vendre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Est-ce que vous ne savez pas " qu'un tendre engagement va plus loin qu'on ne pense ? " (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- C'est une fureur, mademoiselle, et toutes les coquettes s'en plaignent hautement, et disent que l'opéra leur enlève les meilleures pratiques, et qu'elles sont ruinées de fond en comble. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Là, là, donnez-vous patience ; on leur fera peut-être tout rendre : mais cependant elles usent en toute rigueur de leurs privilèges ; et un amant qui n'exprime son amour qu'avec des fontanges et des bas de soie, se morfond dix ans derrière leur porte. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Ho bien, monsieur, nous la verrons une autre fois ; mais présentement je vous prie de danser un menuet avec moi. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Tel que vous le voyez, il n'y a point d'homme au monde qui gourmande une chanterelle comme lui ; il ferait danser, s'il l'avait entrepris, tous les invalides et leur hôtel. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Que dites-vous de ma danse ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Ne voulez-vous point que j'aie l'honneur de danser avec vous ? (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Pour aujourd'hui, monsieur, il n'y a pas moyen ; je suis d'une fatigue, cela ne se conçoit pas. (Acte 1, scène 7, ISABELLE)
- C'est bon pour les maîtres à danser fantassins. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- On me donne une marque chaque visite ; et je veux vous montrer quel a été le travail de cette semaine. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Qu'on m'apporte ma valise. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- C'est le travail d'une semaine ; et si, ce que je vous montre-là, c'est de l'argent comptant. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Il est vrai ; mais dans ce temps-là les maîtres à danser n'étaient pas obligés d'être dorés dessus et dessous, comme à présent ; et une paire de galoches était la voiture qui les menait par toute la ville. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Mais présentement on ne nous regarde pas, si nous n'avons le cheval et le laquais. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Mademoiselle, voilà votre maître à chanter, Monsieur Amilaré-Bécarre. (Acte 1, scène 7, COLOMBINE)
- Très volontiers, madame ; cela me fera bien du plaisir : car tel que vous me voyez, je suis à deux mains, et je chante aussi bien que je danse. (Acte 1, scène 7, TROTENVILLE)
- Ne dirait-on pas que ce serait là un siamois échappé d'un écran ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Je suis ravi, messieurs, que vous vous trouviez ensemble. (Acte 1, scène 8, ISABELLE)
- Voilà une voix d'un assez beau métal ; cela n'est pas mal. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Il faut se jeter par les fenêtres, quand on a entendu chanter ainsi. (Acte 1, scène 8, COLOMBINE)
- Voyez-vous, mademoiselle, je ne suis point de ces gens qui louent à plein tuyau. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Un homme comme moi, qui a été toute sa vie nourri de dièses et de bémols, est diablement délicat en musique. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Ce sont des dièses, pour montrer que c'est un a mi la ré bécarre. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
- Je ne compose jamais que sur ce ton, et c'est pour cela que j'en porte le nom. (Acte 1, scène 8, AMILARE)
- Vous composez donc toujours sur ce ton-là ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Croyez-vous, mon ami, que la musique m'embarrasse ? (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Est-ce que je ne vois pas bien qu'il faut marquer là une dissonance, et que l'octave s'entrechoquant avec l'unisson, vient à former un dièse bémol. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- Je vous apprendrai à insulter ainsi la croche française. (Acte 1, scène 8, TROTENVILLE)
- J'ai fait le barbier ; j'ai volé la bourse ; il y avait cent louis d'or dedans ; vous m'en avez promis dix : je prétends les avoir, ou je ne me mêle plus de rien. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- Je te les ai promis, et tu les auras ; et de plus, je te promets de te faire épouser Colombine ; mais il faut faire encore une petite fourberie. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Pour épouser Colombine, j'en ferais cinquante, des fourberies. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- Tiens-toi un peu en repos, et laisse-moi rêver au moyen de t'introduire chez Monsieur Sotinet, pour rendre cette lettre à Isabelle. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Laissez-moi en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Laisse-moi songer en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Si vous ôtez vos mains de là, vous n'épouserez point Colombine. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Et y dansera-t-on, à la noce ? (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- On y dansera ; oui, bourreau. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- On dansera à ma noce, et je danserai avec Colombine ! (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- Nous verrons un peu à présent si vous vous tiendrez en repos. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Tiens, voilà le pot-de-chambre ; puisses-tu pisser la parole ! (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Ma chère Colombine, que je t'embrasse, mon petit coeur, m'amour. (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- Si tu remues à présent, ou que tu parles, nous allons voir beau jeu. (Acte 2, scène 1, MEZZETIN)
- Et pourquoi faut-il que j'aie tous les jours la tête rompue de vos folles dépenses, qui me mènent à l'hôpital ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- J'aime assez vos airs de reproches ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Sachez, s'il vous plaît, monsieur, qu'un homme comme vous, qui a épousé une fille de qualité comme moi, est trop heureux quand elle veut bien s'abaisser à porter son nom. Mon mérite n'est-il pas bien soutenu d'avoir pour piédestal le nom de Monsieur Sotinet ! (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Je sens un soulèvement de coeur, quand j'entends seulement prononcer le nom de Monsieur Sotinet. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Je connais un homme qui s'appelle Monsieur Josset, et sa femme se fait appeler la Marquise de Bas-Aloi. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
- Taisez-vous, impertinente ; on ne vous parle pas. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- Vous n'êtes pas plus sage que votre maîtresse. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- Pourquoi voulez-vous qu'elle se taise, quand elle a raison ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Ne sait-on pas assez dans le monde l'honneur que je vous ai fait, quand je vous ai épousé ? (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Madame parle comme un oracle ; toutes les paroles qu'elle dit sont des sentences que toutes les femmes devraient apprendre par coeur. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
- On n'entend parler d'autre chose que de votre jeu et de vos dépenses. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- Mais j'empêcherai bien que cela ne dure, et je veux que tu sortes tout présentement de chez moi. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- Je ne pourrai pas mettre dehors une coquine de servante quand il me plaira ? (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- Je ne veux pas que tu m'aimes, moi ; je veux que tu me haïsses. (Acte 2, scène 2, SOTINET)
- Il m'est impossible ; je sens pour vous une tendresse... (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
- Je vous prie, monsieur, de vous en aller dans votre appartement, et de me laisser en repos dans le mien. (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Hé ! Monsieur, retirez-vous ; voilà madame qui trépasse, et je la garantis morte, si vous ne décampez tout-à-l'heure. (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
- À te dire vrai, Colombine, je suis bien lasse de la vie que je mène. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Est-ce là ce qui vous embarrasse ? (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- On se démarie aussi facilement qu'on se marie ; et je savais toujours bien, moi, que tôt ou tard il en fallait venir là ; il n'y avait pas de raison autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Vous en aurez menti, messieurs les maris ; et quand il n'y auroit que moi, j'y brûlerai mes livres, ou cela sera autrement. (Acte 2, scène 3, COLOMBINE)
- Je voudrais, Colombine, que tu fusses mariée ; tu verrais si c'est une chose si aisée que d'aimer un mari. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Je dois aller passer l'après-dînée chez la marquise : viens achever de m'habiller dans mon cabinet. (Acte 2, scène 3, ISABELLE)
- Un dévoiement, madame, causé à ma bourse par les fréquentes crudités d'une fortune indigeste, m'a obligé d'avoir recours au remède astringent d'un petit billet payable au porteur, que j'apportais à monsieur votre époux ; mais n'y étant pas, j'ai cru qu'un homme de ma qualité pouvait entrer de volée chez les dames, et que vous ne seriez pas fâchée de connaître le chevalier De Fondsec. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
- Je suis ravie, monsieur, de l'honneur que je reçois ; mais je voudrais que ce ne fût pas une suite de votre malheur, et devoir à ma bonne fortune, et non pas à votre mauvaise, la visite que je reçois : mais il faut espérer que vous serez plus heureux. (Acte 2, scène 4, ISABELLE)
- Monsieur le chevalier voudra bien passer toute l'après-dînée avec nous ? (Acte 2, scène 4, ISABELLE)
- À cinq heures et un quart, chez la comtesse qui m'a envoyé cette épée d'or. (Acte 2, scène 4, LE-CHEVALIER)
- Vouloir que je rende une visite pour une épée qui ne pèse que soixante louis ! (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
- Ma foi, cette visite-là se peut remettre. (Acte 2, scène 4, LE CHEVALIER)
- Ils font un bruit de diable ; ils disent qu'il y a trois jours qu'ils n'ont mangé. (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
- Madame, voyez là-bas s'il y a quelque chose de reste, et qu'on leur donne seulement pour les empêcher de crier. (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
- Il faut dire la vérité ; monsieur le chevalier est d'un bon naturel : il ôterait volontiers le morceau de sa bouche pour le donner à ses gens. (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
- C'est une commission que de me servir. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
- Je le crois, vraiment ; au bout de trois ans je leur donne congé pour récompense. (Acte 2, scène 6, LE-CHEVALIER)
- Je ne sais, madame, ce que vous voulez faire ; mais je vous avertis que monsieur a enfermé une roue du carrosse dans son cabinet, pour vous empêcher de sortir. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
- Nous irons dans le carrosse de monsieur le chevalier. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
- Cela ne se peut pas, madame ; mon cocher s'en sert : c'est que je lui donne mon carrosse un jour la semaine pour ses gages ; c'est aujourd'hui son jour, et il l'a loué à des dames qui sont allées au bois de Boulogne. (Acte 2, scène 8, LE-CHEVALIER)
- Si madame veut aller à l'opéra, je trouverai bien un carrosse. (Acte 2, scène 8, COLOMBINE)
- Peut-on revenir à la demi-Hollande, quand on s'est si longtemps servi de batiste ? (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
- J'y allai dès deux heures à la première représentation ; j'eus tout le temps de m'ennuyer avant que l'on commençât ; mais ce fut bien pis, quand on eut une fois commencé. (Acte 2, scène 8, ISABELLE)
- Ces gens-là ne jouent que de vilaines choses. (Acte 2, scène 9, LE-CHEVALIER)
- Vous ne serez plus Madame Sotinet, ou j'y perdrai mon latin. Je viens de consulter un avocat de mes amis sur votre affaire. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Il dit que cela ira son grand chemin, et qu'il y aurait là de quoi faire casser aujourd'hui vingt mariages. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- On va me tympaniser par la ville, et je vais donner la comédie à tout Paris. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- On va vous tympaniser ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Mort non pas de ma vie, madame, c'est vous éterniser, que de faire un coup d'éclat comme celui-là ! (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Dites-moi, je vous prie, auroit-on tant d'empressement à lire l'histoire galante de certaines femmes, si une séparation ne les avait rendues célèbres ? (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Et l'on n'aurait jamais connu tout l'esprit d'Artémise, sans ses lettres, qui ont été produites à l'audience. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Il fallait donc, Colombine, que j'apprisse de longue main à mépriser, comme ces femmes dont tu me parles, les chimères et les fantômes de réputation et d'honneur qui font peur aux esprits simples comme le mien. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Je conviens, avec toi, qu'il y a beaucoup d'honnêtes femmes qui sont lasses de leur métier et de leur mari ; mais, du moins, elles n'en instruisent pas la ville par la bouche d'un avocat, et ne se font point déclarer fieffées coquettes par arrêt de la cour. (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
- Il y a déjà près de deux ans que vous êtes femme de Monsieur Sotinet ; et quand ce serait le meilleur mari du monde, il serait gâté depuis le temps. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Madame, ne vous mettez point en peine, vous n'irez point aux juridictions ordinaires : le dieu d'Hymen est arrivé depuis quelque temps en cette ville, pour démarier toutes les personnes qui sont lasses du mariage. (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Laissez-moi faire ; j'ai une peste de tête... (Acte 3, scène 2, COLOMBINE)
- Il n'en faut pas davantage pour gagner le procès le plus désespéré. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
- Allons, viens ; suis-moi : je te dirai ce qu'il faut que tu fasses. (Acte 3, scène 3, COLOMBINE)
- Colombine m'a dit que tu avais servi chez un avocat. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
- Voici la dernière fourberie que tu feras : il faut que tu plaides la cause de Mademoiselle Isabelle devant le dieu de l'Hyménée. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
- Dès qu'il y est, il entre à la buvette, où il mange des saucisses, des rognons, des langues, et boit du meilleur. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
- Un avocat mange des saucisses ? (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Si cela est, je serai avocat, et bon avocat ; car je mangerai plus de saucisses qu'un autre : je les aime à la folie. (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- D'abord, tu commenceras ton plaidoyer en disant : messieurs, je parle pour Mademoiselle Isabelle, contre son mari, qui est un débauché, un puant, un fou, et autres choses semblables. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
- Laisse-moi faire, pourvu que les saucisses marchent... (Acte 3, scène 4, ARLEQUIN)
- Je conclus à ce que nous allions manger les saucisses, avant qu'elles refroidissent. (Acte 3, scène 4, MEZZETIN)
- Pour Messire Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, contre la dame Sotinet, sa femme, demanderesse en séparation. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Je ne suis pas surpris, messieurs, de voir à ce nouveau tribunal une femme qui veut secouer le joug d'un mari ; mais je m'étonne de n'y pas voir avec elle la moitié des femmes de Paris. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- En effet, messieurs, une jeune femme qui épouse un vieillard, dans l'espérance de l'enterrer six mois après, n'est-elle pas en droit de lui demander raison de son retardement ; et n'est-elle pas bien fondée à faire rompre son mariage, puisque son mari n'a pas satisfait à l'article le plus essentiel du contrat, par lequel il s'est obligé tacitement à ne pas passer l'année ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Celui pour qui je parle, après avoir longtemps contemplé du port les naufrages de tant de malheureux époux, s'embarqua enfin sur la mer orageuse du mariage ; et quand il fit ce solécisme en conduite, qu'il souffrit cette léthargie de bon sens, cette éclipse de raison, s'il se fût mis une corde au cou, ou qu'il se fût jeté dans la rivière, il n'auroit jamais tant gagné en un jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Il fit ce qu'ont accoutumé de faire les gens sur le retour, quand ils épousent de jeunes filles, c'est-à-dire qu'il confessa avoir reçu vingt mille écus, quoiqu'elle ne lui eût jamais apporté en mariage qu'un fonds de galanterie outrée, et une fureur effrénée pour le jeu : voilà la dot de la Dame. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Oui, oui, messieurs ; quand je dis que voilà la dot de la Dame Sotinet, je n'avance rien que de véritable ; mais ne croyez pas que, parcequ'elle n'a rien eu en mariage, elle en dépense moins en se mariant. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Les jeunes filles qui se vendent à des vieillards achètent en même temps le droit de les envoyer à l'hôpital promptement, par leurs dépenses extravagantes : c'est ce qu'a presque fait la Dame Sotinet ; car enfin le pauvre homme ne fut pas plus tôt marié, qu'il vit bien comme presque tous les autres qui s'enrôlent dans cette milice qu'il avait fait une sottise ; que le mariage est une affaire à laquelle il faut songer toute sa vie ; qu'un bon singe et la meilleure femme sont souvent deux méchants animaux ; et que ce grand philosophe avait bien raison de s'écrier, en voyant trois ou quatre femmes pendues à un arbre : que les hommes seraient heureux, si tous les arbres portaient de semblables fruits ! (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Ce fruit-là serait diablement âcre, et il ne serait bon, tout au plus, qu'en compote. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Est-ce que l'on se marie pour coucher avec sa femme ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Il vit fondre chez lui, dès le lendemain, tous les fainéants de la ville, chevaliers sans ordre, beaux esprits sans aveu ; cent petits poètes crottés, vrais chardons du Parnasse ; de ces fades blondins, minces colifichets de ruelles ; en un mot, il vit faire de sa maison une académie de jeux défendus, et fut obligé de payer une grosse amende, à quoi il fut condamné. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Vous devriez garder vos passages pour une meilleure cause. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Les pierreries engagées ; la vaisselle d'argent vendue ; des tableaux d'un prix extraordinaire enlevés : car le Sieur Sotinet a toujours été extrêmement curieux d'originaux, et se connaissait parfaitement en peinture. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Je le crois bien : il a porté les couleurs assez longtemps pour s'y connaître. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Mais, messieurs, s'il n'y avait que de la dissipation dans la conduite de la Dame Sotinet, vous n'entendriez pas retentir votre tribunal des plaintes de son mari ; mais puisqu'il est aujourd'hui obligé d'avouer sa honte et son malheur, approchez, financiers, plumets, chevaliers, et vous godelureaux les plus déterminés ; paraissez sur la scène. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Oui, oui, messieurs, nous trouverons de tous ces gens-là dans l'équipage de la Dame Sotinet, équipage qu'elle promène scandaleusement par toute la ville, et la nuit et le jour. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Non, ce n'est point pour elle que le soleil éclaire, elle méprise cette clarté bourgeoise ; elle ne sort de chez elle qu'avec les oublieurs, et n'y rentre qu'à la faveur des crieurs d'eau-de-vie. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Son mari a la cruauté de lui refuser un flambeau ; il faut bien qu'elle attende le jour pour s'en retourner chez elle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- On ne manquera pas de vous dire que celui pour qui je suis est un brutal ; j'en tombe d'accord : un ivrogne ; je le veux : un débauché ; j'y consens : un homme même qui est quelquefois attaqué de vertiges ; cela est vrai : mais, messieurs... (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Taisez-vous, ignorant, ce sont des figures de rhétorique qui persuadent. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Quand tout cela serait, dis-je, messieurs, sont-ce des raisons pour faire rompre un mariage ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Si je vous parlais des intrigues de la Dame Sotinet, de ses aventures galantes, de ses subtilités pour tromper son mari ; mais... vous rougiriez, illustres et vieilles coquettes de notre temps, de voir qu'une femme de dix-huit ans vous a laissées bien loin après elle dans la carrière de la galanterie et j'apprendrais aux femmes qui m'écoutent de nouveaux tours de souplesse (elles n'en savent déjà que trop). (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Ne tiendra-t-il qu'à donner de pareilles détorses à l'Hymen ? (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Non, non, vous n'autoriserez point une telle injustice. (Acte 3, scène 6, BRAILLARDET)
- Messieurs, je parle pour Damoiselle Zorobabel de Roqueventrousse, demanderesse en séparation, contre Mathurin-Blaise Sotinet, sous-fermier, ci-devant laquais, et défendeur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- L'aspect de ce sénat cornu, pompe digne de l'Hymen ; cet attirail funeste et menaçant, tout cela, je l'avoue, m'inspire quelque terreur : mais, d'un autre côté, l'équité de ma cause me recreat et reficit ; puisque je parle ici pour quantité de femmes, qui vous disent par ma bouche qu'un mari est à présent un meuble fort inutile ; et que, quand il n'y en aurait point, le monde ne finirait pas pour cela. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Le mois de mars 87, Mathurin-Blaise Sotinet, âgé de soixante-dix ans, sentit un prurit pour la noce, une démangeaison pour le mariage ; cette vieille rosse, refaite et maquignonée, cette mèche sèche et ridée, prit feu aux étincelles des yeux de celle pour qui je parle. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Il l'épousa, et il ne tint qu'à lui de voir qu'il avait mis dans sa maison un trésor de sagesse et de prudence, puisqu'elle ne dépensa, en se mariant, que les vingt mille écus qu'elle avait eus en mariage. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Rare exemple de modération pour les femmes d'aujourd'hui, qui montent insolemment sur une grosse dot, pour insulter à l'économie de leurs maris. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Taisez-vous donc, si vous pouvez. Si on n'impose silence à Maître Braillardet, je n'achèverai jamais ma plaidoirie. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Vous la voyez, messieurs, à votre tribunal, cette innocente opprimée, cette femme qui engage ses pierreries, vend sa vaisselle d'argent. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Le Sieur Sotinet était entré malheureusement dans l'affaire du bois carré. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Tous ses associés sont en fuite. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Cette chaste tourterelle, privée de son tourtereau, que d'impitoyables sergents lui ont enlevé, va, court, engage tout. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Pour tirer son mari d'un cul-de-basse-fosse. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Mais que dirons-nous, messieurs, de ses débauches, ou, pour mieux dire, que n'en dirons-nous pas ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Non, messieurs, c'est plutôt une futaille, ou, pour mieux dire, un râpé qui ne fait que se remplir et se vider à tous moments. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- C'est un bouchon ambulant ; c'est une éponge toute dégouttante de vin, dont les vapeurs obscurcissent et soufflent enfin la chandelle de sa raison. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- N'avait-il bu que de l'eau, Maître Braillardet, quand, sortant tout chancelant d'un cabaret, pour assister à l'enterrement d'un de ses meilleurs amis, il se laissa tomber dans la fosse, où il serait encore, si, par malheur pour sa femme, on ne l'en eût retiré ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Mais, s'il n'y avait que des coups à essuyer, je ne m'en plaindrais pas ; car on sait bien qu'une femme veut être un peu pansée de la main ; mais de se voir, à tous moments, exposée aux extravagances d'un fou ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Oui, messieurs, je vous le garantis tel, et des plus fous qui se fassent. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Morbleu, plaidez votre cause si vous voulez. (Acte 3, scène 6, SOTINET)
- Vous voyez, messieurs, que votre présence ne saurait servir de gourmette à ce furieux. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Que serait-ce, si cette pauvre innocente se trouvait toute seule avec lui ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Approchez, malheureuse opprimée ; venez, épouse infortunée : c'est à l'ombre de ce tribunal que vous trouverez un asile assuré contre la pétulance de votre persécuteur. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Qu'une femme, qui doit être la soucoupe des plaisirs d'un mari, soit le ballon de ses emportements ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Qui voudrait dorénavant se mettre en ménage, si vous fermiez la porte aux séparations ? (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Le divorce ayant été de tout temps tout ce qu'il y a de plus piquant dans le mariage, ce ragoût de veuvage anticipé, cette viduité prématurée que vous allez servir à la Dame Sotinet, va faire venir l'eau à la bouche à quantité de femmes de Paris : elles en voudront tâter. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Cornuum quanta seges ! (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Taisez-vous, taisez-vous. (Acte 3, scène 6, CORNICHON)
- Ayant aucunement égard à la requête de la partie de Maître Cornichon, le dieu de l'Hymen a ordonné que la Dame Sotinet demeurera séparée de corps et de biens d'avec son mari ; qu'elle reprendra les vingt mille écus qu'elle a apportés en mariage ; qu'elle jouira, dès à présent, de son douaire, étant réputée veuve, et d'une pension de trois mille livres ; et, attendu la démence avérée du Sieur Sotinet, nous avons ordonné qu'à la diligence de sa femme, il sera incessamment enfermé aux Petites-Maisons, ou à Saint-Lazare. (Acte 3, scène 6, DIEU DE L'HYMEN)
- Je le veux bien ; car j'ai toujours ouï dire qu'une femme et un almanach sont deux choses qui ne sont bonnes tout au plus que pour une année. (Acte 3, scène 6, ARLEQUIN)
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LE CARNAVAL DE VENISE (1699)
- Redoublez vos efforts, dépêchez, le temps presse; v.5 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
- Tout accuse votre lenteur ; v.6 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
- On ne peut travailler avec assez d'ardeur, v.7 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
- Quand au plaisir on s'intéresse. v.8 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
- Quelle divinité s'empresse v.13 (Acte 1, scène 1, L'ORDONNATEUR)
- Vos soins me paraissent trop lents. v.31 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
- Accourez, dieux des arts ; embellissez ces lieux ; v.34 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
- Servez le fils du plus grand roi du monde ; v.36 (Acte 1, scène 2, MINERVE)
- Servons le fils du plus grand roi du monde ; v.38 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
- Fasse des conquêtes : v.41 (Acte 1, scène 3, SUIVANT-DE-LA-MUSIQUE)
- Venez, coeurs sensibles, v.44 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
- Fasse des conquêtes : v.49 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
- Il cause des larmes, v.52 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
- Mais ses biens parfaits v.54 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
- Nous vengent de ses traits. v.55 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
- Fasse des conquêtes : v.57 (Acte 1, scène 3, SUIVANT DE LA MUSIQUE)
- Les dieux seuls en ce jour auront-ils l'avantage v.60 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR)
- Il faut que ce bien se partage. v.63 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR)
- Que l'on donne aux mortels le soin de ses plaisirs, v.65 (Acte 1, scène 3, L'ORDONNATEUR, UN SUIVANT MUSIQUE, UN SUIVANT DANSE)
- Venez vous délasser de vos travaux guerriers ; v.71 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
- Ses travaux nous ont fait un repos précieux : v.75 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
- Il sait à ses drapeaux enchaîner la victoire ; v.77 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
- Ses travaux nous ont fait un repos précieux ; v.80 (Acte 1, scène 3, LE-CHOEUR)
- Il sait à ses drapeaux enchaîner la Victoire ; v.82 (Acte 1, scène 3, LE CHOEUR)
- Vous qui suivez mes pas, remplissez mon attente ; v.84 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
- Tout ce que Venise a de jeux v.86 (Acte 1, scène 3, MINERVE)
- Depuis qu'il connaît ma faiblesse, v.98 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Je ne vois plus le même empressement. v.99 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
- Fait bien souvent expirer sa tendresse. v.101 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
- Qu'ici la saison nous présente. v.113 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Et pour un étranger j'ai senti naître un feu v.126 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- De ses tendres regards je me sens enchanter. v.128 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- À ses discours flatteurs je n'ai pu résister. v.129 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- M'a fait cent fois même serment. v.133 (Acte 2, scène 2, ISABELLE)
- Il faut briser nos noeuds ; v.137 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Que mon dépit fasse éclater le vôtre ; v.138 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Il nous abuse l'une ou l'autre. v.139 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Le secret de sa flamme. v.142 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Quand je vous vois ensemble, v.147 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
- L'Amour, qui dans vos yeux tous ses charmes rassemble, v.148 (Acte 2, scène 1, L?ANDRE)
- De vos tendres regards j'ai senti les attraits ; v.157 (Acte 2, scène 1, LÉANDRE)
- Oses-tu déclarer ton infidélité ? v.164 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Jouis de ta victoire, orgueilleuse rivale ; v.167 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Dissiper en regrets ma tendresse fatale ? v.170 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
- Et surpasse encor mon ardeur ; v.172 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
- L'un ou l'autre périsse ; v.174 (Acte 2, scène 1, L?ONORE)
- Ne servent qu'à serrer nos noeuds. v.178 (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
- Dans le sein des mers. v.203 (Acte 2, scène 5, UNE-MUSICIENNE)
- Dans le sein des mers. v.207 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
- Sert, dans ce doux asile, v.210 (Acte 2, scène 5, LA-MUSICIENNE)
- Dans le sein des mers. v.215 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
- Nous ressentons dans l'onde v.216 (Acte 2, scène 5, LA-MUSICIENNE)
- Dans le sein des mers. v.223 (Acte 2, scène 5, LE-CHOEUR)
- Si l'hiver chasse les zéphyrs, v.231 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
- Nous ressentons des feux pleins d'appas, v.236 (Acte 2, scène 5, UN-ARMÉNIEN)
- Me fait sentir de mortelles terreurs. v.247 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Ne craignez rien de ses fureurs. v.248 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- Ahi ! Que cette crainte m'offense ! v.250 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- Pourquoi vous offenser de la juste frayeur v.251 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Dont je sens les atteintes ? v.252 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Si notre amour éclatait à ses yeux, v.257 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Rien ne pourrait calmer ses transports furieux. v.258 (Acte 2, scène 6, ISABELLE)
- Bannissez ces alarmes, v.270 (Acte 2, scène 6, LÉANDRE)
- Nommez-moi seulement le rival qui m'offense, v.298 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Et laissez agir mon courroux. v.299 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- On se laisse aisément tromper par ce qu'on aime, v.304 (Acte 3, scène 2, LÉONORE)
- Et Léandre à ses yeux... v.307 (Acte 3, scène 2, L?ONORE)
- Que l'amour dans nos coeurs se transforme en colère ; v.308 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
- Que l'amour dans nos coeurs se transforme en colère : v.318 (Acte 3, scène 2, ENSEMBLE)
- Rien ne peut s'opposer à mon impatience ; v.322 (Acte 3, scène 2, RODOLPHE)
- Je brise, quand je veux, des trônes éclatants ; v.334 (Acte 3, scène 3, LA-FORTUNE)
- Par quelque événement éterniser ma gloire. v.336 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
- Venez implorer mon secours, v.337 (Acte 3, scène 3, LA FORTUNE)
- Et d'allumer de semblables feux. v.349 (Acte 3, scène 3, UN-MASQUE)
- Sans cesse je les implore, v.354 (Acte 3, scène 3, UN MASQUE)
- De ses voiles épais la nuit couvre les cieux. v.357 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Je sais que mon rival, dans l'ardeur qui le presse, v.358 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Doit ici, par ses chants, exprimer sa tendresse ; v.359 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Pour l'observer, cachons-nous en ces lieux. v.360 (Acte 3, scène 4, RODOLPHE)
- Sommeil, qui, dans ta fausseté v.363 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
- Viens verser sur cette beauté v.367 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
- Jouisse du repos que ses yeux m'ont ôté. v.370 (Acte 3, scène 5, L?ANDRE)
- L'Amour me favorise, et je vois dans ces lieux v.376 (Acte 3, scène 5, LÉANDRE)
- Et cessez un moment, avec vos traits vainqueurs, v.388 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- Se changeront en des plaisirs charmants. v.392 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- On voit les roses les plus belles ; v.394 (Acte 3, scène 6, ISABELLE)
- Mais il se réveille aisément. v.399 (Acte 3, scène 6, LÉANDRE)
- Mais il fuit en vain ma présence ; v.403 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
- Avant que le soleil paraisse dans ces lieux, v.404 (Acte 3, scène 7, RODOLPHE)
- Que je ressens pour ce jaloux, v.415 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Puis-je briser la chaîne qui m'accable ? v.425 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- Ah ! Quand on ressent quelque ardeur, v.435 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Pour rendre le calme à mes sens, v.437 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- Dites que vous m'aimez, trompez-moi, j'y consens ; v.439 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- Cette fausse pitié, cette cruelle feinte, v.440 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- Peut-être calmeront les douleurs que je sens. v.441 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- Ce serait un supplice extrême v.444 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- De déclarer des feux que l'on ne ressent pas. v.445 (Acte 3, scène 8, ISABELLE)
- Ne sera-t-il jamais victorieux 3 v.447 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- Vous gardez le silence ; insensible ! Inhumaine ! v.448 (Acte 3, scène 8, RODOLPHE)
- L'ingrat que vous percez cause encor ma langueur. v.466 (Acte 4, scène 1, LÉONORE)
- Ne chassez point l'amour qui flatte encor mon coeur. v.468 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
- Doit-elle s'opposer à mon dépit vengeur ? v.470 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
- Ministres qui servez le courroux qui m'entraîne, v.471 (Acte 4, scène 1, L?ONORE)
- J'ai servi le juste transport v.477 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
- De notre tendresse outragée : v.478 (Acte 4, scène 2, RODOLPHE)
- Qu'ai-je fait, malheureuse ? Hélas ! v.482 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
- Sur ce traître ou sur moi fais voler ses éclats, v.489 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
- Que je m'unisse à toi, v.504 (Acte 4, scène 2, LÉONORE)
- Laissons de ses regrets calmer la violence. v.510 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
- Allons faire savoir à l'objet qui m'offense v.514 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
- Un trépas dont son coeur sera saisi d'effroi ; v.515 (Acte 4, scène 3, RODOLPHE)
- Sur le sein de Neptune, on est à tous moments ; v.535 (Acte 4, scène 4, UNE-CASTELLANE)
- Et l'on y voit flotter sans cesse les amants v.537 (Acte 4, scène 4, UNE CASTELLANE)
- Ou ne vous ouvrez plus que pour verser des larmes. v.554 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- Ou ne vous ouvrez plus que pour verser des larmes. v.558 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- Ou ne vous ouvrez plus que pour verser des larmes. v.564 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- Mais que servent, hélas ! Ces regrets superflus ? v.565 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- La plus affreuse mort me paraîtra trop belle, v.570 (Acte 4, scène 5, ISABELLE)
- Le bruit de votre mort causait seul mes alarmes ; v.575 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
- Ne vaut pas un seul de vos jours. v.581 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
- Et la nuit et l'Amour m'ont sauvé de ses coups. v.585 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
- L'excès de mon bonheur se peut-il concevoir ? v.587 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
- Que je sens à vous voir v.589 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
- Ne fasse sur mes jours l'effet du désespoir. v.590 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
- Hélas ! Que pourriez-vous refuser à ma vie ? v.597 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
- Je vous allais chercher dans le sein du trépas ; v.604 (Acte 4, scène 6, ISABELLE)
- Le tumulte et la nuit serviront nos désirs. v.610 (Acte 4, scène 6, LÉANDRE)
- Un vaisseau par mes soins dans le port va se rendre, v.612 (Acte 4, scène 6, L?ANDRE)
- Descend encor vivant, et cause mes alarmes. v.620 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
- Chasse la barbarie v.630 (Acte 5, scène 1, PLUTON)
- Mais Pluton y consent, si l'Amour le commande. v.639 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
- Mais je prétends qu'une loi s'accomplisse ; v.641 (Acte 5, scène 2, PLUTON)
- Et se fait même ouvrir les portes des enfers. v.653 (Acte 5, scène 1, OMBRE-HEUREUSE)
- Pluton commande, obéissez. v.669 (Acte 5, scène 7, PLUTON)
- Pour chasser le chagrin qui la presse, v.673 (Acte 5, scène 8, PLUTON)
- Riez, chantez, dansez, montrez votre allégresse ; v.674 (Acte 5, scène 8, PLUTON)
- Qu'on ne parle plus de tristesse v.675 (Acte 5, scène 8, PLUTON)
- Rions, chantons, dansons, montrons notre allégresse : v.677 (Acte 5, scène 8, LE-CHOEUR)
- Qu'on ne parle plus de tristesse v.678 (Acte 5, scène 8, LE CHOEUR)
- Et fixer des torrents la course vagabonde ; v.685 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
- En vain ses noirs frimas, pour attrister le monde, v.686 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
- Sitôt que je parais, je bannis la tristesse ; v.688 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
- À mon départ le plaisir cesse ; v.690 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
- Vous qui m'accompagnez, montrez votre allégresse ; v.692 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
- Je veux joindre à ces jeux une nouvelle danse ; v.694 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
- Par de nouveaux déguisements. v.697 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
- Chantez, dansez, profitez des beaux jours ; v.700 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
- Des passe-temps si doux ; v.705 (Acte 5, scène 10, LE-CARNAVAL)
- Les moments que l'on passe à rire v.706 (Acte 5, scène 10, LE CARNAVAL)
- Les moments que l'on passe à rire v.708 (Acte 5, scène 10, LE-CHOEUR)
SAPOR (1704)
- Rougissent sous les fers dont ils sont opprimés. v.4 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
- Qui, vengeant un époux et deux fils par ses mains, v.11 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Et cet amer retour, ce revers que je sens, v.19 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- De mes honneurs passés me fait des maux présents. v.20 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Le malheur sert en vous de lustre à la vertu. v.24 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
- Je sens des mouvements de haine et de fureur, v.27 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
- Ce fer toujours caché, le seul bien qui me reste, v.33 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- En tout temps, en tout lieu, m'offre un secours funeste ; v.34 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Et je puis, insultant le sort et ses revers, v.35 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- La Perse va bientôt, apprenant ma défaite, v.50 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Pour arracher son prince à d'odieuses mains, v.51 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Est second fils du roi qui règne dans la Perse ; v.54 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Afin que, plus à craindre en rassemblant nos haines, v.57 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Ma gloire le voulait, l'État y consentit ; v.60 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Il voit à tout moment croître Ismène et ses charmes ; v.66 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Et ce jeune guerrier, charmé de ses appas, v.67 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- De cette même main qui verse les malheurs, v.79 (Acte 1, scène 1, THÉONE)
- À vos plaintes enfin il faudra qu'il se rende : v.81 (Acte 1, scène 1, TH?ONE)
- Qui n'ont pu préserver mes fils ni mon époux, v.84 (Acte 1, scène 1, ZÉNOBIE)
- Et qui, m'abandonnant en prenant leur défense, v.85 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- De l'orgueilleux Romain rassembler les regards ! v.92 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Qui devait sous ses lois tenir Rome asservie ? v.98 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Voilà par quel triomphe elle vient se venger, v.99 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Et, tandis que mon cour dans les douleurs se noie, v.101 (Acte 1, scène 1, Z?NOBIE)
- Malheureuse princesse ! Où vas-tu t'emporter ? v.119 (Acte 1, scène 2, ZÉNOBIE)
- De quel espoir trompeur te laisses-tu flatter ? v.120 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Ce que tu n'as pu faire, et tant de rois ensemble, v.121 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Avec tous les soldats que l'Orient rassemble, v.122 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Tu veux donc l'entreprendre, et seule, et dans les fers ! v.124 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Quels secours attends-tu d'une haine impuissante ? v.125 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Tu n'as pu conserver un seul de tant d'États, v.128 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Ton bras sur ses lauriers veut allumer la foudre ! v.130 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Au milieu de son camp, dans le sein de sa cour, v.131 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Quand je l'implorerais, ce ne serait qu'en vain ; v.135 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Mais pourquoi de ses traits voudrais-je encor me plaindre ? v.137 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Je ne t'accuse point, ô ciel, de tes rigueurs ; v.139 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Tu m'as rendue heureuse à force de malheurs ; v.140 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- En me persécutant, ta fureur m'a servie ; v.142 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- N'aurai-je désormais que les pleurs pour défense ? v.146 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Entraîne, s'il se peut, et Rome, et l'univers ; v.148 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Le dessein en est pris. v.149 (Acte 1, scène 2, Z?NOBIE)
- Bientôt il se montre à vos yeux : v.152 (Acte 1, scène 3, THÉONE)
- Un plaisir dont soudain ses yeux ont éclaté. v.155 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
- Si, suivant trop peut-être un transport de tendresse, v.157 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
- Je cherche à m'informer du trouble qui vous presse. v.158 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
- Aujourd'hui, plus sensible à vos cruels malheurs, v.159 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
- De vos cris plus fréquents ces voûtes retentissent ; v.161 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
- De pleurs renouvelés vos beaux yeux s'obscurcissent ; v.162 (Acte 1, scène 3, TH?ONE)
- De ses traits courroucés puisse attaquer ma vie ; v.166 (Acte 1, scène 3, ZÉNOBIE)
- Sur les ailes du temps la tristesse ordinaire v.169 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Chaque jour, chaque instant ne sert qu'à les aigrir. v.172 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Je ne songe en secret qu'à m'échapper des fers ? v.176 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Non, ce n'est pas assez de me rendre à l'empire ; v.178 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Lasse de fatiguer le ciel de tant de voeux, v.184 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Et d'opposer ces murs pour toute ma défense, v.185 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Sans force, sans secours, même sans espérance, v.186 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Du Perse à mon secours exciter la lenteur. v.192 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Le fleuve vit rougir et ses flots et ses bords ; v.200 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Tu sauras seulement que, dans nos mains sanglantes, v.201 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Le désespoir rendit nos armes plus tranchantes. v.202 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Son amour peut servir d'instrument à ma haine : v.210 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Unissons nos dédains, notre cause est commune ; v.214 (Acte 1, scène 3, Z?NOBIE)
- Va, laisse-nous, Théone, un moment seuls ici. v.216 (Acte 1, scène 4, ZÉNOBIE)
- Quel excès de bonheur, quelle heureuse nouvelle, v.218 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
- Plus je sentais ma haine en mon âme s'accroître ; v.226 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- Un cour comme le mien hait ces secours frivoles ; v.237 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- À travers des dangers courant se faire jour, v.239 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Au bruit de ses exploits m'apprenne son amour. v.240 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Semer par tout le camp la discorde et l'horreur ? v.247 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
- Le sort serait douteux ; ma rapide vengeance v.253 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- Offre un plus prompt secours à mon impatience : v.254 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Pour servir votre amour, et mériter mon cour, v.255 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- La victime, du moins, sera digne de vous. v.260 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- Qui paraisse au-dessus du nom d'Aurélien ; v.264 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Finissez... v.267 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- Les dieux... Ah ! Vous me haïssez v.268 (Acte 1, scène 5, SABINUS)
- Le succès important de mes hardis desseins ? v.272 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- Se ranger en un jour près de vos étendards ; v.280 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- La Perse, sous vos lois dressant ses pavillons, v.283 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- De ses meilleurs soldats grossir vos bataillons : v.284 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Ceux qu'arrose le Tigre, et qui boivent l'Euphrate ; v.286 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Fait sur les bords du Nil flotter ses étendards. v.296 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Vous êtes insensible aux honneurs d'un empire, v.298 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Inutiles secours, vaines et faibles armes, v.302 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Seront de quelque prix, exposés à vos yeux ? v.303 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- As-tu fait autrefois de semblables efforts v.311 (Acte 1, scène 5, ZÉNOBIE)
- Qu'il faut briser les fers d'une reine innocente, v.321 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- Le désespoir m'aura vengé de ton amour. v.332 (Acte 1, scène 5, Z?NOBIE)
- À quoi m'engage-t-on ? Que veut-on que je fasse ? v.334 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Du sein d'un empereur sortir toute fumante ! v.338 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- D'un prince qui pour moi prodiguant ses faveurs... v.339 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Non, je ne puis penser à de telles horreurs ; v.340 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Tout mon sang en frémit. Trop cruelle princesse, v.341 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Faut-il par des fureurs vous prouver ma tendresse ? v.342 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Si, pour se faire aimer, il n'est que ce chemin, v.343 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Laissez du moins au meurtre accoutumer ma main ; v.344 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Laissez-moi m'essayer sur de moindres victimes, v.345 (Acte 1, scène 6, SABINUS)
- Quoi ! Seigneur, quand le ciel, secondant vos guerriers, v.347 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Votre cour abattu se refuse à la joie ! v.350 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Vous seul, d'un noir chagrin partout environné, v.351 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Plus qu'aucun des vaincus paraissez consterné ! v.352 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Seigneur, que craignez-vous ? Quelle vaine terreur v.359 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Ne s'y lasse jamais, et ne s'y couche pas : v.364 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Vous commandez, seigneur, du couchant à l'aurore, v.365 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- D'où naît dans votre cour l'ennui qui vous traverse ? v.369 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- De quelques mouvements soupçonnez-vous la Perse ? v.370 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Vous aimez ! Vous, seigneur, à l'amour immolé ! v.375 (Acte 2, scène 1, SABINUS)
- Ne se vit plus à plaindre au comble de la gloire. v.378 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
- J'appelle à mon secours ma fierté, ma raison ; v.380 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- J'oppose à mon amour mon rang et ma naissance, v.381 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Une princesse, hélas ! trop charmante à mes yeux, v.388 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Je condamne les dieux, j'accuse la fortune ; v.390 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Je fuis, mais vainement, j'ai le trait dans le sein. v.392 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Est présent à mes yeux, et flatte ma pensée ; v.394 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Que ne la laissais-tu, la princesse orgueilleuse, v.397 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Porter aux ennemis sa beauté dangereuse ? v.398 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Pour me servir, hélas ! N'osais-tu me tromper ? v.400 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Jamais faire un présent plus funeste aux Romains ? v.404 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Que me sert d'étouffer le flambeau de la guerre, v.414 (Acte 2, scène 1, AURÉLIEN)
- Si j'allume en mon sein des feux plus violents, v.415 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Et dérobe à mon cour le repos que je sens ? v.416 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Ce feu trop retenu ne peut plus se celer, v.423 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Attendent quel sera le destin des captives ; v.426 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Se reposent sur toi de l'éclat de ce jour. v.436 (Acte 2, scène 1, AUR?LIEN)
- Hé bien, Firmin ! Hé bien ! Verrai-je la princesse ? v.437 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
- Seigneur, elle s'empresse v.438 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Vous soupirez, seigneur, et votre âme abattue v.441 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Semble, dans ce moment, redouter cette vue. v.442 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Pour soumettre mon cour au pouvoir de ses yeux, v.448 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
- Seigneur, qu'allez-vous faire ? v.450 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Je serais plus heureux, si je le savais moins. v.452 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
- Je vois déjà, seigneur, vos chefs et vos soldats, v.455 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Et se nommant tout haut vengeurs de la patrie, v.457 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Obéir en secret à leur propre furie. v.458 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- La haine des Romains, ardents à se venger, v.459 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Vous aurez beau, seigneur, opposer votre gloire, v.462 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Le Romain, attentif à ses premiers destins, v.467 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Et cet affront rendant ses fureurs légitimes, v.469 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Où d'un aveugle amour m'exposent les erreurs : v.472 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
- La foudre et ses éclats ne pourraient m'alarmer : v.475 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Ne peut être remise en de meilleures mains. v.484 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Ce n'est pas s'égarer que de s'y délasser. v.488 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Oui, seigneur, jamais Rome, en un jour de victoire, v.489 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- À peser vos erreurs avecque vos vertus. v.496 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- À se lasser bientôt dans ces routes austères, v.502 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Et se flatter encor, fiers et présomptueux, v.503 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Qu'un seul jour de vertu peut faire un vertueux. v.504 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Ah ! Qu'il est beau, seigneur, au vainqueur de la terre, v.505 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Qui tient tout sous ses lois, de borner son pouvoir v.507 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- De laisser sa vertu seule dans la balance v.509 (Acte 2, scène 2, FIRMIN)
- Tous tes conseils, Firmin, ne sont plus de saison, v.511 (Acte 2, scène 2, AURÉLIEN)
- Et mes sens égarés ont séduit ma raison ; v.512 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Une secrète voix, qui ne saurait se taire, v.513 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Que fais-je cependant dont ma gloire s'offense ? v.517 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Me voit-on de l'empire oublier la défense ? v.518 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Mais on vient. Que je sens de trouble dans mon âme ! v.529 (Acte 2, scène 2, AUR?LIEN)
- Seigneur, un tel discours a de quoi me surprendre ; v.537 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
- Après de vains efforts, m'a mise dans vos fers : v.540 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Et le plus grand de tous, sans espoir, sans secours, v.543 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Puis-je au milieu des fers conserver quelques charmes ? v.545 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Avait, en vous touchant, si mal servi mon cour. v.548 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Madame, on n'a jamais ressenti tant de feux ; v.556 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
- Si c'est assez pour vous qu'un empire romain, v.559 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- À moi, seigneur ! À moi ! Songez... v.561 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
- Serait-il un captif indigne de vos fers ? v.564 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
- Je l'avouerai, seigneur, une telle victoire v.565 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
- Et même le présent de l'empire romain v.571 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- M'est odieux, seigneur, offert d'une autre main. v.572 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Que m'apprenez-vous donc ? Et que m'osez-vous dire ? v.573 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
- Ne seront pas encor dans ce jour exaucés. v.576 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- Par quel heureux secret il a touché votre âme ? v.582 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- Seigneur, jusqu'à ce jour v.583 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
- J'avouerai seulement qu'en ma plus tendre enfance, v.585 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Quand mes jours plus sereins coulaient dans l'innocence v.586 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Quand je le vois, seigneur, une furtive joie v.593 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Dans nies yeux indiscrets malgré moi se déploie ; v.594 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Vole au-devant de lui, dans mon sein trop serré : v.596 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Quand je ne le vois plus, une langueur secrète v.597 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Je le cherche et lui parle en secret dans mon cour. v.600 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Mes yeux ne s'ouvrent plus que pour voir ses alarmes, v.601 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Que pour le regarder, ou pour verser des larmes : v.602 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Plus sensible à ses maux que je ne suis aux miens, v.603 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Je le plains plus cent fois qu'il ne se plaint lui-même. v.605 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- N'en doutez point, madame, à ces signes secrets v.607 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
- On reconnaît assez l'amour et ses effets ; v.608 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- J'ai donc senti l'amour, seigneur, sans le connaître : v.610 (Acte 2, scène 3, ISMÈNE)
- Puisse ma mort calmer la colère des dieux ! v.620 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Mais ma raison s'égare, et je me sens troubler. v.623 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Seigneur, en ce moment, je croyais lui parler. v.624 (Acte 2, scène 3, ISM?NE)
- Vous m'instruisez assez des ardeurs de votre âme ; v.626 (Acte 2, scène 3, AURÉLIEN)
- Je ne me suis paré que de ma seule flamme. v.634 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- Songez que de nommer un rival qui m'offense v.637 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- C'est presque de sa mort prononcer la sentence : v.638 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- Je vous laisse y penser. v.639 (Acte 2, scène 3, AUR?LIEN)
- Son bras de fers honteux sentît la barbarie ; v.650 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
- Je n'avais pas encore assez rempli son sort, v.651 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
- Et j'étais réservée à lui donner la mort. v.652 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
- C'est toi qui, par ces noeuds, dont l'appareil m'offense, v.657 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
- Se prépare à tarir la source de vos pleurs ; v.664 (Acte 2, scène 4, THÉONE)
- Ah ! Que m'oses-tu dire, v.666 (Acte 2, scène 4, ISMÈNE)
- Ah ! Périsse en mon cour ce dessein odieux ! v.675 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
- Mais allons l'informer de tout ce qui se passe ; v.677 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
- À ses mortels ennuis je vais mêler mes pleurs. v.679 (Acte 2, scène 4, ISM?NE)
- Est-il vrai ? Le croirai-je, adorable princesse ? v.681 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Quoi ! Votre cour encor dans mon sort s'intéresse ! v.682 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Je puis, sans vous blesser, m'offrir à vos regards ! v.684 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Cependant, plus sensible au feu qui vous inspire, v.693 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- D'un trône abandonné frivole récompense ; v.697 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Et, pour comble d'ennui (j'en rougis quand j'y pense), v.698 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Ce prince aimé de vous, que vous favorisez, v.699 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Ne vous rendra jamais ce que vous refusez. v.700 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Un présent mille fois encor plus précieux. v.712 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Songez-vous qui je suis ? Ah, princesse charmante ! v.713 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- C'est trop pour un mortel ressentir de plaisir : v.716 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Arrêtez ces torrents où mon âme se noie, v.717 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Est-il quelque revers dont je puisse me plaindre ? v.722 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- J'allume ses transports, j'excite sa furie : v.730 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- D'une secrète horreur mon âme prévenue, v.733 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Vous presse à partager les ennuis de mon âme. v.738 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Mérite-t-il encor de causer vos frayeurs ? v.740 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Et l'on oublie assez son injustice extrême, v.745 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Lorsque l'on se souvient seulement qu'on vous aime. v.746 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Moi, ne vous plus aimer ! Ma tendresse offensée v.749 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Verserait dans mon cour ce funeste poison ? v.752 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Je vous aime, et c'est là le seul bien qui me reste. v.754 (Acte 3, scène 1, SAPOR)
- Je vois avec chagrin qu'en ces lieux ma présence v.765 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
- Je me serais gardé de m'offrir devant vous. v.768 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
- Ce que pense un amant de ses feux pénétré, v.775 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Si j'en crois votre bouche, elle use de détours. v.780 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Quel dangereux rival vous traverse et vous nuit. v.784 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
- Est un bien qu'en secret je me suis destiné ; v.788 (Acte 3, scène 2, AUR?LIEN)
- Pût disposer d'un cour, ainsi qu'il fait d'un bras ; v.792 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Dussent toujours d'une âme assurer la conquête. v.794 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- À travers cent rivaux se fait jour dans un cour : v.796 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Mais il est certains cours, si j'ose ici le dire, v.801 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- D'une esclave orgueilleuse on sait tirer vengeance ; v.809 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
- Avant qu'aux champs fumants d'Émesse et de Larisse v.813 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Le ciel de mes malheurs se fut rendu complice, v.814 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Ces mots dans votre bouche auraient pu se suspendre ; v.818 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Prince, si vous l'étiez, vous seriez moins à plaindre. v.833 (Acte 3, scène 2, AURÉLIEN)
- D'être aimé seulement autant que l'on vous hait. v.836 (Acte 3, scène 2, SAPOR)
- Et, quand je le pourrais, ah ! Ne serait-ce pas, v.867 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
- Loin de sauver ses jours, avancer son trépas ? v.868 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
- Vous l'avez commencé, finissez votre crime : v.870 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
- Si la mort est l'objet de vos lâches desseins, v.871 (Acte 3, scène 3, ISM?NE)
- Armons-nous, punissons un rival qui m'offense ; v.878 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
- Madame, en ce moment n'en accusez que vous. v.880 (Acte 3, scène 3, AUR?LIEN)
- Ah, seigneur ! Arrêtez ; je suis prête à tout faire : v.881 (Acte 3, scène 3, ISMÈNE)
- Parmi ces sentiments n'aille se faire jour ; v.891 (Acte 3, scène 3, AURÉLIEN)
- Il se répand un bruit que je ne crois qu'à peine ; v.901 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
- On dit que dans ce jour vous épousez Ismène : v.902 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
- Et dans tout ce palais se trouve répandu. v.904 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
- D'un doute qui m'outrage éclaircissez mon âme, v.905 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
- Épousez-vous Ismène. v.906 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
- Elle y consentirait ! Non, je ne le puis croire ; v.909 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
- Ma fille n'ira point, insensible à sa gloire, v.910 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
- Sapor y consent-il ? M'avez-vous consultée ? v.917 (Acte 3, scène 4, Z?NOBIE)
- Je ne t'ai point portée, ingrate, dans ce sein, v.923 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
- Insensible ! Inhumaine ! v.929 (Acte 3, scène 4, ZÉNOBIE)
- N'avez-vous pas assez lassé ma patience ? v.933 (Acte 3, scène 4, AURÉLIEN)
- Vous m'instruisez, madame ; et je ne savais pas v.936 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- Je misse à votre front une tache si noire ; v.938 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- Et qu'un sceptre romain, par ma main présenté, v.939 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- D'intéresser ma gloire en ce fatal amour. v.944 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- Mais, madame, aujourd'hui plus sensible à ma flamme, v.945 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- Quoi qu'il en soit enfin, quoi qu'on en puisse dire, v.949 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- Tenez votre promesse : ici tout m'obéit ; v.955 (Acte 3, scène 4, AUR?LIEN)
- Dieux cruels, voyez-moi, suis-je assez confondue ? v.958 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
- Avouer sa faiblesse aux pieds des immortels ! v.960 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
- Mes yeux seront témoins... v.961 (Acte 3, scène 5, Z?NOBIE)
- Avec un coeur exempt et de tache et d'offense, v.977 (Acte 3, scène 5, ZÉNOBIE)
- Vous promet tout, madame ; oui, vous serez vengée ; v.982 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Un mouvement secret dans le fond de mon cour v.983 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Accuse ma faiblesse et blâme ma lenteur : v.984 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Ce cour d'aucun remords ne se sent combattu ; v.987 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Et vous servir, madame, est servir la vertu. v.988 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Quel changement soudain ! Qui cause dans votre âme v.989 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
- J'en frémis ; l'empereur vous épouse à mes yeux ; v.992 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Prévenons ses desseins, détruisons ses projets ; v.995 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Changeons, par un seul coup, ses lauriers en cyprès ; v.996 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Qu'il périsse à vos yeux. v.999 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Ce soin de me venger, ces nobles sentiments, v.1000 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
- Tout ce que vous voyez, ne se fait pas pour moi. v.1012 (Acte 3, scène 6, ZÉNOBIE)
- Ne se fait pas pour vous ! Et pour qui donc, madame ? v.1013 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Vous voulez m'abuser ; non, je ne puis vous croire : v.1018 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Le dessein en est pris, rien ne m'en peut distraire. v.1022 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Le bruit de cet hymen, qui vient de se répandre, v.1025 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Des moments retardés accusent la lenteur. v.1028 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Le succès du complot est écrit dans ses yeux. v.1032 (Acte 3, scène 6, SABINUS)
- Je n'ose regarder ce palais odieux, v.1047 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
- Cet hymen se célèbre à vos yeux dans ce jour, v.1055 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
- Fuyons, fuyons, Théone, au sein d'un antre horrible ; v.1058 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
- Prompte à briser mes fers, je marche sur vos pas, v.1067 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
- Après avoir conçu le dessein téméraire v.1073 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
- D'épouser en ce jour l'assassin de mon père ? v.1074 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
- D'aucune tache encor ne se trouve ternie ; v.1078 (Acte 4, scène 1, THÉONE)
- Quel horrible dessein ! v.1080 (Acte 4, scène 1, ISMÈNE)
- Voilà de tes conseils l'ordinaire injustice. v.1081 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
- Et que t'a fait Sapor pour vouloir qu'il périsse ? v.1082 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
- L'amour, pour l'opprimer, se met de la partie. v.1086 (Acte 4, scène 1, ISM?NE)
- Mais, dieux ! Je l'aperçois ; il tourne ici ses pas. v.1087 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
- Et mon cour tout entier se livre à la fureur. v.1096 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- C'est Sapor qui vous parle. Ah ! Ma chère princesse, v.1101 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Jetez les yeux sur moi. Quel sombre ennui vous presse ? v.1102 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Vous ne me dites rien ? Ciel ! Que je sens d'effroi ! v.1103 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Serais-je donc trahi ? Par qui ? Comment ? Pourquoi ? v.1104 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- L'aurais-je pu penser ? Quel amour ! Quelle glace ! v.1105 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Servaient à méditer une illustre vengeance, v.1118 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Et pourquoi verse-t-on du sang avec ces armes ? v.1122 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Quelle secrète horreur dans moi va se répandre ! v.1126 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Vos sens d'une autre ardeur sont enfin prévenus ; v.1131 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Vous fasse souvenir des serments et des pleurs v.1135 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- De mes cruels malheurs je suis le seul complice ; v.1142 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Que, toujours insensible aux charmes d'un empire,' v.1146 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Vous oublieriez pour moi le trône et ses grandeurs ? v.1148 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Je me suis trop flatté d'une fausse promesse, v.1153 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Et du charme imposteur d'une feinte tendresse ; v.1154 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Hélas ! Connaissez mieux en quel temps je veux feindre. v.1162 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
- Abandonné, trahi, désespéré, vaincu, v.1171 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Est-ce ainsi qu'autrefois, sensible à mes alarmes, v.1177 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Je ne me réservais, pour prix de la victoire, v.1190 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Apaiser, par mon sang, les mânes murmurants. v.1196 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Ce n'était pas assez qu'aux plaines de Larisse v.1197 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Blanchir des ossements dont ils étaient comblés : v.1200 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- De vastes flots de sang j'eusse inondé la terre ; v.1202 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- L'Oronte a vu deux fois ses flots précipités, v.1207 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Mes regrets aussi bien seraient-ils superflus. v.1212 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Je sens que je vous aime encor plus que jamais. v.1216 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Ah ! Dans mon désespoir, v.1223 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Se perdre dans le sein du traître, du perfide ! v.1230 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Faisons sentir ici ceux de la jalousie ; v.1234 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- En vain votre tendresse, v.1237 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Tremblante pour ses jours, dans son sort s'intéresse ; v.1238 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Si, pressé du transport d'une jalouse rage, v.1241 (Acte 4, scène 2, SAPOR)
- Sortons d'ici, Théone, je me sens accablé ; v.1247 (Acte 4, scène 2, ISMÈNE)
- Où ma faiblesse a su si longtemps se cacher ; v.1251 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Les sentiments secrets d'une âme toute nue. v.1254 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Ciel, tu me réservais à cette perfidie ! v.1258 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- M'ont-ils assez joué l'une et l'autre à leur tour ? v.1260 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- À quel point se réduit toute mon espérance ! v.1262 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Je tremble, je frémis, je sens couler mes pleurs ! v.1267 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Est-ce la mort, grands dieux ! Qui cause mes alarmes ? v.1269 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Je serai descendu dans l'infernale horreur ? v.1275 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Quoi ! L'on vous aimera (j'en frémis quand j'y pense), v.1277 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Et je ne vivrai plus pour venger cette offense ! v.1278 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Elle a pu me trahir, l'ingrate ! Sera-t-elle v.1281 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Non, je serai vengé dans le sein du trépas. v.1283 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Que l'amour dans mon cour se convertisse en rage : v.1286 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Courons, qu'attendons-nous ? Qu'il périsse !... v.1289 (Acte 4, scène 3, SAPOR)
- Le jour m'est à présent une peine cruelle ; v.1293 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Lorsque je vais verser tout mon sang à ses yeux ; v.1296 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Et que mon bras, armé pour se rendre justice, v.1297 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Le cours toujours trompeur de ses déguisements ? v.1300 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Que ne se faisait-elle encore un peu d'effort ? v.1303 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Prince, calmez l'excès de vos ressentiments ; v.1307 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
- Ma fille est malheureuse, et voilà tout son crime : v.1310 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Bien plus que sa constance, a fait briller ses feux. ' v.1312 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Non que je veuille ici, trop pleine de tendresse, v.1317 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Faire grâce à l'amour, et cacher sa faiblesse. v.1318 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Si de meilleurs conseils avoient été suivis, v.1319 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Ma fille, vous et moi, nous serions tous péris, v.1320 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Mais enfin, plus sensible à l'ardeur qui la touche, v.1322 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Ismène a consenti, dans ce funeste jour, v.1323 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Quoi ! Malgré ses froideurs, Ismène, dans son cour, v.1327 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Ces sentiments trompeurs, arrachés par la feinte, v.1329 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Je vous crois criminelle, et je suis seul coupable : v.1333 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Vous ne serez jamais à mes yeux plus aimable, v.1334 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Mais peut-être, madame, une pitié secrète, v.1337 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Hélas ! D'un seul soupir elle eût calmé l'orage, v.1341 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Son cour ne pouvait-il s'exprimer par ses yeux ? v.1344 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Tout mentait dans Ismène ; et ses regards timides v.1345 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
- On l'observait. v.1347 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- On l'observait, grands dieux ! Ah ! Courons, hâtons-nous : v.1348 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Je sens que dans mon cour l'espoir s'évanouit. v.1352 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Ciel, je ne serai plus l'objet de ta colère : v.1358 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Il ne te reste plus contre moi qu'un seul trait ; v.1359 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Il n'est plus temps ici de se répandre en plaintes ; v.1361 (Acte 4, scène 4, ZÉNOBIE)
- Ne serve qu'à hâter les coups de votre main. v.1364 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Dans mon appartement Sabinus va se rendre ; v.1365 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- De ses soins empressés nous devons tout attendre. v.1366 (Acte 4, scène 4, Z?NOBIE)
- Si je puis seulement avoir le fer en main. v.1372 (Acte 4, scène 4, SAPOR)
- Non, non, vous n'irez point : qu'il vienne ici, s'il ose, v.1373 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
- Achever cet hymen que son cour se propose, v.1374 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
- Est un faible secours contre tant de puissance. v.1378 (Acte 5, scène 1, ISMÈNE)
- Va verser sur ton front un opprobre éternel ; v.1380 (Acte 5, scène 1, ZÉNOBIE)
- Ton âme, en ce moment, n'est assez confondue, v.1386 (Acte 5, scène 1, Z?NOBIE)
- C'est trop longtemps ici l'attendre et se cacher ; v.1394 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Il est temps maintenant que le ciel se déclare. v.1395 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Dans le temps que pour moi votre tendresse éclate, v.1399 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Et, n'accusant que moi d'une fausse inconstance, v.1403 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Non que par ces raisons je veuille m'excuser ; v.1405 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Peut-être qu'un moment j'ai pu vous accuser ; v.1406 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Ah ! Périsse un soupçon né de mon désespoir, v.1409 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Laissez-moi présenter une moins chère tête. v.1416 (Acte 5, scène 2, ISMÈNE)
- Ce serait me punir bien plus que me venger ; v.1418 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
- Et, quoique vos périls m'apportassent des charmes, v.1419 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
- Je serais mal payée encor de mes alarmes ; v.1420 (Acte 5, scène 2, ISM?NE)
- Que vous me refusez, qui destinez-vous ? v.1422 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Mon cour de son bonheur serait encor jaloux. v.1430 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Non, laissez-moi, madame, achever mon ouvrage : v.1431 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Moi seul j'espère tout du feu de mon courage ; v.1432 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Je dispense les dieux d'appuyer mes exploits. v.1434 (Acte 5, scène 2, SAPOR)
- Ciel ! Conservez Sapor, j'abandonne le reste. v.1436 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Son supplice déjà sert d'exemple aux rebelles, v.1440 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
- Et vous, madame, et vous, l'objet de ma faiblesse, v.1443 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
- Voilà donc de quel prix vous payez ma tendresse ! v.1444 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
- À cet illustre emploi vous destiniez ses jours, v.1445 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
- Que Sapor pût jamais former d'autre dessein v.1449 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
- Que de briser ses fers et te percer le sein ? v.1450 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
- Ainsi bientôt mes jours seront en sûreté. v.1458 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
- Le plus affreux trépas n'a rien dont je pâlisse. v.1459 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
- Et vous pouvez, seigneur, commander qu'il périsse ? v.1460 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Tes jours sont à leur fin. Gardes, qu'on le saisisse. v.1472 (Acte 5, scène 3, AURÉLIEN)
- Firmin, obéissez. v.1473 (Acte 5, scène 3, AUR?LIEN)
- Seigneur, ordonnez donc que je meure avec lui. v.1474 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Trop heureux en mourant de causer vos alarmes ! v.1477 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
- Adieu, belle princesse, adieu. v.1479 (Acte 5, scène 3, SAPOR)
- M'unir à toi du moins dans le sein du trépas : v.1482 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Tu ne mourras pas seul. Retirez-vous, perfides ; v.1483 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Laissez-moi l'arracher à des mains parricides, v.1484 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Traîtres, éloignez-vous. Mais je ne puis passer. v.1486 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Ah ! Seigneur, suspendez un arrêt plein d'horreur : v.1489 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Ordonnez de ma main, disposez de mon cour. v.1490 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Par ces sacrés genoux que je tiens, que j'embrasse, v.1491 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Détournez sur moi seule un coup qui le menace ; v.1492 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Au nom de notre hymen, seigneur, au nom des dieux ! v.1494 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Finissez un discours dont ma fierté murmure, v.1495 (Acte 5, scène 4, ZÉNOBIE)
- Lorsque notre ennemi la dispense à nos soins ; v.1497 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
- Et les jours de Sapor, quelque amour qui nous presse, v.1499 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
- Seraient trop achetés d'une telle faiblesse. v.1500 (Acte 5, scène 4, Z?NOBIE)
- Ah, cruels ! De quel sang arrosez-vous la terre ! v.1503 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Ah, seigneur ! Mais je vois vos secrètes horreurs. v.1506 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Mon, vous rie voulez point que ce héros périsse ; v.1507 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Allez vous opposer à ces indignes coups ; v.1510 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Seigneur... v.1512 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Ah, barbare ! C'est vous dont les secours trop lents... v.1513 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
- Seigneur, vous êtes obéi, v.1518 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Son ardeur devant nous précipitait ses pas ; v.1522 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Où des rois ses aïeux sont les bustes antiques : v.1524 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Qu'à ces bustes chéris j'expose mes adieux. v.1526 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Ne l'ayant pu verser dans le sein de la guerre. » v.1531 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Et porter seul des coups dignes de la victime ! » v.1536 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- À ces mots se taisant, d'une intrépide main v.1537 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Il enfonce le fer promptement dans son sein ; v.1538 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Il se perce, son sang par deux canaux bouillonne. v.1539 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Il sent glisser en lui la mort, sans se troubler ; v.1541 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Et lui seul, sans effroi, voit tout son sang couler : v.1542 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Je l'ai laissé, seigneur, sans forces, étendu v.1549 (Acte 5, scène 5, FIRMIN)
- Le trépas d'un seul homme v.1551 (Acte 5, scène 5, AURÉLIEN)
- J'assure, d'un seul coup, mon trône et mon amour. v.1554 (Acte 5, scène 5, AUR?LIEN)
- Éloigne-toi, barbare ; évite ma présence ; v.1559 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
- Dans les frémissements de mon horreur extrême, v.1563 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- Je n'ose t'approcher pour te percer moi-même ; v.1564 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- Je réserve ma main pour un plus noble emploi : v.1565 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- L'aurais-je dû penser ! Quel coup épouvantable ! v.1568 (Acte 5, scène 5, ZÉNOBIE)
- J'irai, sans ton secours, dans la nuit du trépas : v.1570 (Acte 5, scène 5, ISMÈNE)
- Je te laisse, en mourant, un noble exemple à suivre. v.1571 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- Si tu t'y présentais, je voudrais le quitter : v.1577 (Acte 5, scène 5, ISM?NE)
- Ce poignard tout sanglant pour t'en percer le sein. v.1586 (Acte 5, scène 6, ZÉNOBIE)
- Dans le sein de la mort, cruel ! Que dans tes bras. v.1594 (Acte 5, scène 6, Z?NOBIE)
- C'est le seul prix qui reste à marquer ma victoire. v.1599 (Acte 5, scène 7, AURÉLIEN)
- Me récompense assez des pertes de l'amour. v.1602 (Acte 5, scène 7, AUR?LIEN)
ARLEQUIN AUX ENFERS (1689)
- Je suis votre serviteur ; vous pouvez aller à tous les diables. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Serre la botte, serre la botte. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
- Tenez, monsieur, voyez, il est sur les dents ; il sera fourbu de ce voyage. (Acte 1, scène 1, PIERROT)
- Dis-moi donc présentement ce que nous venons faire ici, et pourquoi on nous a fait déménager aussi vite que si nous avions dix commissaires à nos trousses. (Acte 1, scène 1, COLOMBINE)
- Ils enragent de se battre quand ils ne voient personne. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Cela m'embarrasse un peu ; car ce diable d'argent, c'est la cheville ouvrière d'un ménage. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Si tu voulais me laisser faire, je ferais de bonnes connaissances, et nous n'en serions pas plus mal. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Autrefois, quand tu étais absent, je ne manquais de rien. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Je me défie diablement de ces femmes qui battent monnaie en l'absence de leurs maris. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Ces maris se mettent d'abord cent choses dans la tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- J'ai des secrets merveilleux, qui m'ont été donnés par un chimiste qui m'aimait autrefois. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Je compose une huile, que j'appelle élixir de patience, dont une goutte, appliquée sur le front d'un mari, le délivre pour jamais du mal de tête. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Mais je crois que tu gagnerais bien davantage si ton secret le délivrait de sa femme. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- J'en ai un autre bien plus beau pour les femmes d'aujourd'hui : je compose la poudre de bonne réputation. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Qu'une coquette soit décriée, que sa conduite soit la plus raboteuse du inonde, elle n'a qu'à changer de quartier, ne plus voir d'hommes, et prendre une pincée de ma poudre dans un bouillon, en trois mois elle fera assaut de vertu avec les plus vestales. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Voilà le plus beau secret du inonde. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Mais peux-tu faire assez de cette poudre-là ? (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Qu'un homme ait une colique enragée, en un moment je la lui fais passer ; je le couche par terre, je fais chauffer une meule de moulin, et je la lui applique sur l'estomac : n'ayez pas peur qu'il ait jamais la colique. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Le malade meurt ordinairement ; mais s'il ne mourait pas, ce serait le plus beau secret du monde. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je n'ai qu'à aller aux Invalides, je servirai de grue pour monter les pierres, et on me paiera comme trente manoeuvres ensemble. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Je te dis qu'il n'y a pas une plus jolie vacation au monde ; on est de tous les bons repas ; jamais de promenades sans le maître à chanter : on se donne de petits airs de familiarité avec l'écolière ; on lui prend la main pour lui faire battre la mesure : le mari passe tout sur la foi de la musique, et il ne se doute pas, bien souvent, de la partie qu'on fait chanter à sa femme. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Voilà mon affaire : il n'y a qu'une chose qui m'embarrasse ; il me semble que je ne suis pas assez bien habillé. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Ne te mets pas en peine ; tu n'auras pas montré trois mois, que tu seras aussi doré que les maîtres à danser. (Acte 1, scène 2, COLOMBINE)
- Adieu ; je m'en vais chercher Orphée ; il n'a qu'à se bien tenir ; je lui ferai manger son violon jusqu'au manche. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Cette marchandise-là ne devrait pas beaucoup payer d'entrée ; elle paye assez à la sortie. (Acte 1, scène 2, ARLEQUIN)
- Il y a longtemps, madame, que la tapisserie de mes inclinations est pendue au clou à crochet de vos beautés. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- À propos, mademoiselle, est-ce vous que j'aime ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Car vous me paraissez bien petite aujourd'hui. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Il est assez difficile, monsieur, de vous répondre juste sur ce que vous me demandez. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- Oui, charmante princesse, c'est vous. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Si nous nous marions ensemble, jamais nos enfants n'entreront dans le régiment des gardes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Je ne pense pas que vous ayez dix-sept paumes. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Que je serais heureux si je pouvais être le tailleur fortuné qui prendra la mesure d'une si aimable personne ! (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Mais je crains bien que les ciseaux de mon amour... (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Comme mon amour ne vise qu'au mariage, plus je vous regarde, et plus je trouve que vous êtes assez mon fait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Allons, la belle, dites la vérité ; n'est-il pas vrai que vous serez bien aise d'être ma moitié ? (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Ce sont de plaisantes marmousettes ! (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- J'ai le derrière un peu gros, tirant même sur le porteur de chaise ; mais mon médecin m'a promis qu'il me ferait en aller cela ; il m'a ordonné de prendre du petit-lait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Il m'a dit que c'était une humeur âcre, répandue dans le diaphragme du mésentère, et qui tombe sur l'omoplate. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- On se trompe quelquefois dans ce calcul-là, et l'on n'y trouve pas souvent tout le bonheur qu'on s'y était proposé. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- Cela est assez extraordinaire. (Acte 1, scène 3, ISABELLE)
- Une fois seulement, après avoir pris du tabac, je voulais éternuer, elle me fit manquer mon coup ; de dépit, je pris un chandelier, je lui cassai la tête, et elle mourut un quart_d_heure après. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Voilà le seul différend que nous ayons jamais eu ensemble, et qui ne dura pas longtemps, comme vous voyez. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Je n'aime point à voir languir le inonde ; et puis l'on gagne son argent par ses mains. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Point du tout : je suis accoutumé au sang de jeunesse. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Il a servi le roi trente-deux années. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- C'est que, comme il était fort charitable, lorsqu'il rencontrait quelque agonisant que l'on menait à la Grève, il se mettait avec lui dans la charrette, et l'aidait à mourir du mieux qu'il pouvait. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Tous ses confrères les médecins (car il avait pris ses licences dans leur école) disaient qu'il n'y avait jamais eu un homme aussi adroit, et qu'on ne voyait point de besogne faite comme la sienne : aussi l'avaient-ils fait recteur de la Faculté. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Je m'y sentais assez d'inclination ; mais vous savez qu'il faut qu'un gentilhomme voie le pays. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- J'ai couru par toutes les sept parties du monde, et me voilà enfin à vos pieds, ma divine princesse, le coeur en braise, pour vous dire que je me pendrai assurément, si vous n'êtes unie avec moi par le lien conjugal. (Acte 1, scène 3, ARLEQUIN)
- Est-ce cela qui vous embarrasse ? (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
- Tout doucement, monsieur ; réservez ces caresses-là pour votre femme. (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- C'est-à-dire que voilà la manière dont vous traitez vos femmes, quand vous voulez les régaler : je suis votre très humble servante, je n'aime point la mort aux rats. (Acte 1, scène 4, ISABELLE)
- Oui, si vous voulez me promettre de m'épouser, je vous promets, moi, de la faire crever dans deux jours comme un vieux mousquet. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
- Non, je ne serai pas contente que je ne t'aie étranglé de mes propres mains. (Acte 1, scène 5, COLOMBINE)
- La, la, la, ma petite femme, ce ne sera rien ; cela ne m'arrivera plus. (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
- Quand vous voulez battre une femme, que ne lui sanglez-vous un coup de bâton sur la tête, sans vous amuser à la faire crier deux heures ! (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
- Allons, je veux faire la paix : je n'aime pas à voir de noise dans un ménage ; je veux vous raccommoder : venez çà. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
- Sans moi, vous vous seriez battus, et vous voilà les meilleurs amis du monde. (Acte 1, scène 6, LE VENDEUR DE TISANE)
- Qui fait les madrigaux de Proserpine. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- Je sais bien que la plupart des académiciens, là-haut, ne se donnent pas cette peine-là, et que, pourvu qu'ils la sachent lire, on les reçoit tout d'une voix ; mais ce n'est pas de même ici ; et il ne suffit pas de savoir faire l'anatomie d'un mot, pour être l'interprète des mystères de notre diabolique Académie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- C'est moi qui ai enrichi les comédiens français ; et il n'y avait point d'hiver que je ne leur donnasse sept ou huit pièces, tant sérieuses que comiques. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- Jamais qu'une fois ; mais aussi tout Paris venait se crever à la première représentation ; car personne ne voulait attendre la seconde, de peur de ne la point voir. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- Une comédie nouvelle, pour être bonne, ne doit se jouer qu'une fois ; quand elle va jusqu'à deux, ma foi, on s'ennuie. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- Ils ont raison, au bout du compte ; car, comme les bonnes choses aujourd'hui n'ont point de cours, pour peu qu'une méchante pièce puisse être représentée une fois, voilà les comédiens riches. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
- Tout au contraire, je marquai, dans mes rôles, les endroits où l'on devait siffler, afin que l'acteur se reposât et qu'il reprit haleine. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- Et moi je voudrais que les sifflets fussent au diable. (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
- Il en faisait pour la prose, pour les vers, pour les Français, pour les Italiens ; mais, ma foi, où il triomphait, c'était pour l'Opéra. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- Ce devait être la plus belle chose qu'on eût jamais vue sur le théâtre. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
- Je ne l'avais pas pris de la métamorphose comme ces chardons du Parnasse ; fi ! (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
- Cela sent le collège : je l'avais tiré tout entier de l'histoire de France ; il portait pour titre : les Aventures du Pont-Neuf. (Acte 1, scène 7, L AUTEUR)
- Avant que d'aller plus avant, je voudrais bien savoir une chose de vous ; car on dit que l'on est si savant quand on est mort ! (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
- Que cela ne vous fasse point de peine : c'est un mal de famille. (Acte 1, scène 7, L-AUTEUR)
- C'est une chose étonnante, phlégétontique assemblée, que de voir l'affluence d'âmes qui tombent journellement par vos soins dans mon royaume : il faut désormais refuser l'entrée aux survenants, ou faire bâtir des appartements nouveaux ; et, pour cela, je crois qu'il sera bon de lever un droit sur le bois et le charbon qui se brûlent ici-bas : voilà le sujet pour lequel je vous assemble. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
- J'ai vu autrefois le temps si misérable, qu'il ne venait pas ici le moindre petit griffonneur de sergent, qu'il ne fallût députer un diable tout exprès pour aller le quérir ; et présentement, nous ne sommes employés qu'à les chasser : il faut que les greffiers attendent des années entières à la porte, parce qu'ils ne veulent pas passer devant les conseillers, qui pleuvent ici de toutes parts. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
- Il ne faut plus recevoir de gens de robe ; l'enfer est déjà assez lugubre ; et surtout, point de greffiers, car ces gens-là mettent l'enfer en mauvais prédicament. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
- Bienheureux si, quelque jour, ils ne m'en chassent pas. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
- Je suis si soûl des gens de chicane, que dernièrement je fis une querelle d'Allemand à un diable de qualité, qui revenait de Paris ; et je lui fis fermer la porte, parce qu'il avait hanté mauvaise compagnie là-haut, et qu'il sortait du corps d'un procureur. (Acte 1, scène 8, PLUTON)
- Vous avez eu raison ; ce serait le moyen de gâter bient8t tout ici. (Acte 1, scène 8, PROSERPINE)
- Du dix-sept, passé deux mille sept cent treize médecins avec leurs mules. (Acte 1, scène 9, CARON)
- Je ne veux plus qu'on en reçoive aucun à l'avenir qu'il n'ait une attestation de service et un certificat des fossoyeurs, comme il a bien et fidèlement exercé sa charge de médecin, et tué pour le moins dix mille personnes à sa part. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- Pour les apothicaires, passe. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- On est échauffé en ce pays-ci, et on a besoin de lavements pour se déconstiper. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- Dudit jour, cinquante-sept mille deux cent dix sept, tant fermiers, sous-fermiers, que commis et rats-de-cave. (Acte 1, scène 9, CARON)
- Il est vrai qu'il en est tombé ce matin une bruine ; on ne se voyait pas en enfer. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- Pour les fermiers, tout franc, il n'y a plus moyen de les passer ; ils sont si gros et si gras, que ma barque enfonce. (Acte 1, scène 9, CARON)
- Nous ne pouvons pas les refuser, c'est ici leur apanage. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- Plus, quinze mille sept cents, tant clercs que procureurs. (Acte 1, scène 9, CARON)
- Pour ceux-là, il faut en faire provision ; c'est le bois d'andelle de l'enfer ; et je ne veux pas que l'on brûle autre chose dans mon cabinet. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- Et pourquoi les laisse-t-on passer ? (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- Qu'on les fasse venir au plus vite, je veux les voir ; voilà du fruit nouveau. (Acte 1, scène 9, PLUTON)
- S'il est étonnant de voir un mari chercher sa femme jusqu'aux enfers, il ne l'est pas moins de voir une femme souhaiter avec empressement de retourner avec son mari, quand une fois elle en a été séparée. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Ni la débuteuse non plus. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Pour moi, je ne suis point de celles qui regardent la séparation d'avec un mari comme la porte de leur félicité ; et j'avoue franchement que je suis d'assez mauvais goût pour trouver qu'il n'y a point de bonheur égal à celui de vivre avec un époux que l'on aime et dont on est tendrement aimé. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Je sais que je ne suis pas du goût d'aujourd'hui, et que pour être présentement femme du bel air, il ne faut prendre un mari que comme un surtout de bienséance, et un paravent de réputation ; mais j'aime mieux n'être pas tout à fait à la mode, et être un peu plus dans la route de mon devoir. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- C'est ce qui fait que je viens implorer votre clémence, et vous prier, par tout ce que vous avez de plus cher, au nom de l'amour que vous vous êtes porté l'un et l'autre, de m'accorder la grâce que je vous demande, de me rendre à un mari que je chéris plus que toute chose au monde, et je serai obligée de faire le reste de ma vie des voeux pour la santé et la prospérité de vos majestés diaboliques. (Acte 1, scène 10, ISABELLE)
- Ce sont des anciens marguilliers qui veulent passer devant des avocats. (Acte 1, scène 10, CARON)
- Les femmes d'aujourd'hui sont si malheureuses, et l'empire des maris si absolu, que je ne m'étonne plus qu'il y ait tant de filles à marier, et qui regardent le mariage comme l'écueil de leurs plaisirs et le tombeau de leur liberté. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- En effet, n'est-ce pas une chose qui crie vengeance, de voir l'inhumanité avec laquelle les pauvres femmes, ces moutons d'amour, sont traitées par ces loups dévorants ! (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- Ne dirait-on pas, dis-je, que le mariage, qui devrait être l'union, le noeud et la soudure des volontés, soit présentement un champ de bataille, où le mari s'exerce à chagriner sa femme, et où la femme est toujours la malheureuse exposée aux insultes, et bien souvent aux coups de celui qui devrait être le rempart de sa faiblesse ? (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- Pour moi, je vous déclare que, si heureusement mon mari était mort le premier, j'aurais crié ; je me serais couverte, jusqu'au bout des ongles, d'un deuil où le coeur n'aurait pas eu grande part ; mais loin de le venir trouver aux enfers, je me serais bien donné de garde de le chercher. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- Ainsi, puisqu'il vient me chercher de si loin : c'est une marque qu'il ne saurait se passer de moi ; mais il ne m'aura que par le bon bout : je prétends avoir des conditions si avantageuses, qu'on ne puisse pas me reprocher d'avoir gâté le métier... (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- Comme c'est une chose qui crie vengeance, de voir le peu de dépenses que les femmes font aujourd'hui, je veux avoir plus d'argent que par le passé, et que chacun ait, sa semaine, la clef du coffre-fort. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- Si vous l'aviez une semaine, je courrais grand risque la suivante de ne pas entrer en exercice. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Voilà un grand item celui-ci : point de jolies femmes de chambre, c'est-à-dire, que je les choisirai moi-même les plus laides que faire se pourra, et qui auront au moins quarante-cinq ans. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- On n'est jamais bien servi par ces vieilles-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Cet oiseau-ci sait bien sa leçon. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
- La la, voyons : j'ai aussi à proposer mes conditions, moi, et voilà des articles que nous ferons signer par des notaires de ce pays-ci ; car je crois qu'il n'y en manque pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Je sais bien qu'il y a partout assez de gens qui se mêlent de ces emplois-là. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Cela est juste ; mais il n'en coûte pas grand'chose gour faire enterrer une petite femme. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
- Ces diables de corbeaux-là ne les mesurent pas B la toise, et ils rançonnent si exorbitamment un pauvre mari, que souvent il aimerait presque autant que sa femme ne mourût pas. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Ils gagnent assez d'ailleurs. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
- Je le crois bien ; je m'en contenterais bien, moi qui suis Proserpine. (Acte 1, scène 10, PROSERPINE)
- Dans le temps où nous sommes, il n'y a point de femmes qui puissent promettre cela. (Acte 1, scène 10, COLOMBINE)
- Je veux que les enfants que j'aurai dans ln suite (car il faut recommencer sur nouveaux frais) soient élevés à ma fantaisie, et j'en disposerai comme de chose à moi appartenante. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- De quoi vous embarrassez-vous ? (Acte 1, scène 10, PLUTON)
- Puisqu'elle est votre femme, tous les enfants qu'elle aura ne seront-ils pas les vôtres ? (Acte 1, scène 10, PLUTON)
- Nego consequentiam. (Acte 1, scène 10, ARLEQUIN)
- Après avoir entendu les raisons des uns et des autres, pour vous défrayer des frais de votre voyage, moi Pluton, prince des ténèbres, souverain du Styx et du Phlégéton, gouverneur des pays-bas, président du sabbat, et correcteur né des arts, métiers et professions, je vous permets non seulement d'emmener chacun votre femme, mais toutes celles qui sont en enfer, sans même en excepter Proserpine. (Acte 1, scène 10, PLUTON)
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Dans les 1963 textes du corpus, il y a 21 textes (soit une présence dans 1,07 % des textes) dans lesquels il y a 5448 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 259,43 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Prologue | Total |
1 | LA S?R?NADE | 167 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 167 |
2 | LA SÉRÉNADE | 6 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 6 |
3 | LE JOUEUR | 101 | 103 | 77 | 104 | 71 | 0 | 456 |
4 | LES SOUHAITS | 107 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 107 |
5 | LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES H?TELLERIES. | 45 | 67 | 57 | 0 | 0 | 0 | 169 |
6 | LE BAL | 146 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 146 |
7 | ARLEQUIN, HOMME ? BONNES FORTUNES. | 61 | 59 | 90 | 0 | 0 | 0 | 210 |
8 | LES VENDANGES | 90 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 90 |
9 | DÉMOCRITE | 99 | 98 | 93 | 84 | 53 | 0 | 427 |
10 | LA COQUETTE, OU L'ACAD?MIE DES DAMES. | 99 | 96 | 75 | 0 | 0 | 0 | 270 |
11 | LA COQUETTE, OU L'ACADÉMIE DES DAMES. | 16 | 31 | 8 | 0 | 0 | 0 | 55 |
12 | LE DISTRAIT | 0 | 0 | 0 | 0 | 4 | 0 | 4 |
13 | LE DISTRAIT | 95 | 114 | 92 | 84 | 73 | 0 | 458 |
14 | LE RETOUR IMPR?VU | 167 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 167 |
15 | ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME | 137 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 137 |
16 | ATTENDEZ-MOI SOUS L'ORME | 13 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 13 |
17 | LES M?NECHMES, ou LES JUMEAUX | 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
18 | LES MÉNECHMES, ou LES JUMEAUX | 39 | 185 | 97 | 100 | 87 | 0 | 508 |
19 | LA CRITIQUE DE L'HOMME ? BONNES FORTUNES. | 56 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 56 |
20 | LA CRITIQUE DU L?GATAIRE | 81 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 81 |
21 | LA CRITIQUE DU LÉGATAIRE | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
22 | LE L?GATAIRE UNIVERSEL | 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
23 | LE LÉGATAIRE UNIVERSEL | 108 | 105 | 101 | 120 | 90 | 0 | 524 |
24 | LE DIVORCE | 112 | 55 | 73 | 0 | 0 | 5 | 245 |
25 | LE CARNAVAL DE VENISE | 26 | 37 | 37 | 29 | 22 | 0 | 151 |
26 | SAPOR | 97 | 106 | 86 | 92 | 81 | 0 | 462 |
27 | ARLEQUIN AUX ENFERS | 119 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 119 |
28 | LES FOLIES AMOUREUSES | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 1 |
29 | LES FOLIES AMOUREUSES | 0 | 104 | 215 | 0 | 0 | 77 | 396 |
30 | LES FILLES ERRANTES, OU LES INTRIGUES DES HÔTELLERIES. | 0 | 0 | 3 | 0 | 0 | 0 | 3 |
31 | ARLEQUIN, HOMME À BONNES FORTUNES. | 0 | 0 | 13 | 0 | 0 | 0 | 13 |
32 | LE DIVORCE | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 | 2 |
Total | 1988 | 1164 | 1118 | 613 | 481 | 84 | 5448 |