Occurences de l'expression
on
pour NIVELLE DE LA CHAUSSEE, Pierre Claude
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
LA FAUSSE ANTIPATHIE (1734)
- On ne se plaindra plus que je suis indocile. v.1 (Prologue, scène 1, LE GÉNIE)
- Que vois-je ? La Folie et la Bon-Sens aussi. v.4 (Prologue, scène 1, LE G?NIE)
- Son projet est digne de moi. v.7 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- On peut le contenter ? Eh ! Mais rien n'est plus fou. v.14 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Vous m'étonnez. Puis-je mieux faire ? v.17 (Prologue, scène 2, LE GÉNIE)
- À qui faut-il donc m'adresser ? v.18 (Prologue, scène 2, LE G?NIE)
- Le caprice est son guide et sa loi naturelle : v.23 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Son goût est pour lui-même une énigme éternelle. v.24 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Dont les goûts sont entre eux plus_ou_moins différents, v.29 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Ces ris contagieux, ces éclats indécents ; v.40 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Enfants de l'ignorance, ennemis du bon-sens, v.41 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Sa joie et ses plaisirs ne sont point un délire, v.44 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Ce public m'appartient, les autres sont à vous. v.47 (Prologue, scène 2, LE BON SENS)
- Bon-Sens, vous radotez. Ils m'appartiennent tous. v.48 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Ou par droit naturel, ou par droit de conquête. v.50 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- Eh, que m'importe, à moi, d'avoir raison, ou tort ? v.52 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- On m'aime ; et l'on vous craint : voilà la différence. v.56 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- Lorsque vous paraissez, on baille ; et rien de plus. v.57 (Prologue, scène 2, LA FOLIE)
- On va plaider ma cause, et j'y serai présent. v.60 (Prologue, scène 2, LE BON-SENS)
- D'où vient donc que ces gens lui font tant de caresses ? v.62 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- Ah ! Parbleu, mon Patron, je vous sers assez bien, v.63 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Envers et contre-tous ; je ne ménage rien. v.64 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Vous êtes ce que j'ai de plus cher au monde. v.65 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Sans cesse, à tout propos, je critique, je fronde. v.66 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Quand, suivant leur coutume, ils vous font quelque outrage, v.69 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Ventrebleu ! Je m'élève, et contre eux je fais rage. v.70 (Prologue, scène 3, LA CRITIQUE)
- Si vous continuez, vous me ferez haïr. v.72 (Prologue, scène 3, LE BON-SENS)
- Le sexe dont je suis ne vous rend guère hommage : v.73 (Prologue, scène 3, LA PRÉCIEUSE)
- Et mets en non-valeur ma dispense de vous. v.75 (Prologue, scène 3, LA PR?CIEUSE)
- Personne, en vérité, ne s'exprime comme elle. v.78 (Prologue, scène 3, L'ADMIRATEUR)
- Voyons ; ce n'est pas d'aujourd'hui v.79 (Prologue, scène 3, LA FOLIE)
- Perdre son temps et son latin. v.84 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous savez l'embarras que mon emploi me donne ; v.85 (Prologue, scène 3, LE GÉNIE)
- Je voudrais, s'il se peut, ne déplaire à personne ; v.87 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Donnez m'en le secret ; vous le savez ? v.89 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Convenez entre vous ; déterminez ma route ; v.90 (Prologue, scène 3, LE GÉNIE)
- Dites-moi votre goût ; ordonnez vos plaisirs. v.92 (Prologue, scène 3, LE G?NIE)
- Or sus, pour commencer, tout d'abord je conclus v.95 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Que la meilleure pièce est où l'on rit le plus. v.96 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Est-ce qu'on rit encore ? v.103 (Prologue, scène 3, LA PRÉCIEUSE)
- Est-ce qu'on ne rit plus ? v.103 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Vous me la donnez belle ! Et, par quelle aventure... v.104 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Et le Bon-Sens aussi. Je m'en moque. Au surplus, v.106 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Monsieur l'ordonnateur, adieu, jusqu'à dimanche. v.108 (Prologue, scène 3, LE BOURGEOIS)
- Non : je n'y prends point de part. v.110 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Dites-nous votre avis. Que trouvez-vous de bon ? v.112 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Oui, rien de bon, ni même de passable. v.113 (Prologue, scène 4, LE-CRITIQUE)
- Vous ne louez donc jamais ? v.114 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Non ; v.114 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Suffisent pour cela, quand on est connaisseur. v.120 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- C'est le Bon-Sens qui fait que jamais je ne loue. v.121 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Que l'on exerce autant par air, que par humeur. v.124 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Mais au contraire, je me prête v.125 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qui n'est jamais content, n'est pas digne de l'être. v.129 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Tel épluche un ouvrage, en croyant s'y connaître ; v.130 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qui ne sont bine souvent que dans son propre goût, v.132 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Ah ! Vous êtes trop bon. v.133 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- A donner un spectacle un peu moins détestable. v.136 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Je connais le public. Il est malin, cruel, v.137 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- On l'a rendu facile : Il y faut moins d'esprit. v.142 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Comme on voit une tendre mère v.145 (Prologue, scène 4, LE BON-SENS)
- Mais son utilité n'a pas duré longtemps ; v.148 (Prologue, scène 4, LE BON SENS)
- Qu'importe que l'on nuise aussitôt qu'on fait rire ? v.152 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Font apporter ici sottise sur sottise, v.155 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Dont ils savent trop bien empaumer les acteurs : v.156 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Empoisonnez encore leur haine mutuelle. v.158 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Et la rage qu'ils ont à s'entre-déchirer ; v.159 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Fut-ce même Apollon. Le public aime à rire v.161 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- De ceux que tous les jours on lui voit admirer. v.162 (Prologue, scène 4, LE CRITIQUE)
- Je serai donc sûr de vous plaire. v.164 (Prologue, scène 4, LE GÉNIE)
- Cette guerre d'auteurs aurait bien son mérite. v.167 (Prologue, scène 5, L'ADMIRATEUR)
- Quoi ? Nous aurons toujours des bisbilles d'auteurs ? v.169 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Ces sujets sont trop bas. La Public vous en quitte, v.170 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Prenez le ton philosophique ; v.172 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- À l'usage du sexe et des honnêtes gens ; v.174 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Mais ne lui donnez pas des allures trop basses. v.176 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Pour dire ce qu'on veut, c'est l'unique moyen. v.182 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- D'heureuses libertés sont bine récompensées, v.183 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Soyez maniéré dans vos réflexions, v.184 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Et toujours imprévu dans vos expressions. v.185 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Monsieur entend apparemment v.187 (Prologue, scène 5, LE BON-SENS)
- Ce jargon-là tout couramment ? v.188 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- Ah ! Vous haussez les épaules à tout ce que l'on dit. v.191 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- C'est celui de l'esprit. Quiconque en parle un autre ; v.193 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Encanaille à la fois sa langue et son esprit. v.194 (Prologue, scène 5, LA FOLIE)
- Donnerons-nous encor dans ce tatillonnage ? v.195 (Prologue, scène 5, LE GÉNIE)
- La raison a repris son ancien langage ; v.198 (Prologue, scène 5, LE BON-SENS)
- Il doit être pour vous aussi bon que pour eux. v.200 (Prologue, scène 5, LE BON SENS)
- À qui donc ? v.201 (Prologue, scène 5, LE GÉNIE)
- Au bon sens. v.201 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Je m'y connais : ce n'est point lui. v.203 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- Ismène ouvre, ce soir, son cercle académique. v.204 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- On doit en sa faveur y relire aujourd'hui v.205 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- La Bon-sens ; mais je dis le bon-sens véritable. v.209 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- Approuvera mon goût, et me rendra raison v.213 (Prologue, scène 5, LA PRÉCIEUSE)
- De l'accueil si bourgeois qu'on me fait en son nom. v.214 (Prologue, scène 5, LA PR?CIEUSE)
- La bonne connaissance ! v.215 (Prologue, scène 6, LE BON-SENS)
- Pour moi, l'on satisfait aisément mes désirs. v.217 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Tout homme qui s'adonne à divertir autrui, v.221 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Mérite que l'on ait un peu d'égard pour lui. v.222 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Aussi malgré ma femme, et ses façons maussades ; v.223 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- Mon cuisinier fait des merveilles. v.227 (Prologue, scène 6, L'ADMIRATEUR)
- De vos avis on se passera bien. v.229 (Prologue, scène 6, LE GÉNIE)
- Quiconque admire tout, ne se connaît à rien. v.230 (Prologue, scène 6, LE G?NIE)
- Je vous trouve partout ou l'on trouve quelqu'un, v.233 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Je n'ai vu sa figure en aucun lieu du monde. v.235 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Cela sent son poète une lieue à sa ronde. v.236 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- C'est toute une autre espèce, un être de raison. v.237 (Prologue, scène 7, LA FOLIE)
- Avez qui vous n'aurez jamais de liaison. v.238 (Prologue, scène 7, LE BON-SENS)
- Qu'on nomme ? v.239 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Le Bon-Sens. v.239 (Prologue, scène 7, LA FOLIE)
- Hé bien ? Qu'a-t-on conclu ? v.241 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Qu'attend-on ? v.242 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Le monde, et l'assemblée. v.244 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Le monde se cherche, et je le cherche aussi. v.245 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Nous ne valons qu'autant que nous nous faisons voir, v.249 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Je me fais un plaisir d'abaisser son orgueil v.253 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Tant, qu'au milieu d'un acte enfin l'on m'aperçoit. v.256 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Je me lève, on me rend le salut qu'on reçoit ; v.257 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Elle va son train, et moi, le mien. v.259 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- La sienne pour le mieux. J'ai la mienne à songer. v.264 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Avant qu'on soit au fait des nouvelles courantes, v.265 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Que l'on ait décliné vingt femmes différentes, v.266 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- À qui, de loge en loge, on va faire sa cour, v.267 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Et qu'on ait au foyer été faite son tour, v.268 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Ma décision roule alternativement v.272 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Qui sont ? v.273 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Ah ! Je vous reconnais pour être d'un pays, v.275 (Prologue, scène 7, LE GÉNIE)
- Où d'abord on sait tout, sans avoir rien appris. v.276 (Prologue, scène 7, LE G?NIE)
- Sont ceux où la presse est extrême. v.278 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Les nouveautés sont toujours belles. v.281 (Prologue, scène 7, LE PETIT-MAÎTRE)
- Ne nous donnez jamais que des pièces nouvelles ; v.283 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- C'est du reste à quoi je conclus. v.288 (Prologue, scène 7, LE PETIT MA?TRE)
- Vous n'étrennerez pas, si cela continue. v.291 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Peut-être que j'aurai mon tour. v.292 (Prologue, scène 8, LE BON-SENS)
- Passons à vous, Monsieur. v.293 (Prologue, scène 8, LE GÉNIE)
- On pense mal des gens qui n'osent dire un mot. v.298 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Bon, bon, dites toujours. v.300 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- Peut-on s'en empêcher ? v.301 (Prologue, scène 8, LA FOLIE)
- J'écoute ce qu'on dit ; v.301 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Cet homme, par hasard, serait-il raisonnable ? v.303 (Prologue, scène 8, LE BON-SENS)
- Quand on compte si peu sur sa capacité, v.305 (Prologue, scène 8, LE BON SENS)
- On ne dit jamais rien qui ne soit convenable. v.306 (Prologue, scène 8, LE BON SENS)
- Mais ce sera sans conséquence. v.309 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Ce ne sont que des préjugés. v.310 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- La vrai, le naturel ont des charmes pour moi. v.314 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENSÉ)
- Que l'on veut bien nommer du nom de comédie, v.316 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Qu'on ne voit qu'une fois, que jamais on ne lit, v.317 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Où l'esprit et le coeur ne font aucun profit. v.318 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Quoi ? Nous aurons des farces surchargées ? v.319 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Des suppositions, des caractères faux, v.321 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Des portraits inventés, dont jamais la nature v.323 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- C'est assez des travers que chacun d'eux se donne. v.328 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Peignez les tels qu'ils sont. Un ridicule outré v.329 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Fait rire, et cependant ne corrige personne. v.330 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- À vos décisions, je soumets mon système. v.334 (Prologue, scène 8, L'HOMME SENS?)
- Ah ! Je le reconnais à ce discours sensé. v.335 (Prologue, scène 9, LE BON-SENS)
- La voilà ce public que j'avais annoncé, v.336 (Prologue, scène 9, LE BON SENS)
- Lui ? C'est un franc visionnaire, v.339 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- On ne gagne souvent que de l'incertitude. v.342 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Surtout que le Bon-sens pour jamais se retire : v.345 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Je ne puis, Au on-sens je suis trop attaché. v.349 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Mais souffre qu'avec lui je vous réconcilie. v.350 (Prologue, scène 9, LE G?NIE)
- Cet accord vous convient, et ferait mon bonheur. v.351 (Prologue, scène 9, LE G?NIE)
- Qui, moi ? Que je m'unisse avec un raisonneur. v.352 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Qui s'oppose sans cesse à mon heureux délire, v.353 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Dont le but est d'apprendre à se passer de rire ? v.354 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Un pédant, dont le front toujours chargé d'ennui, v.355 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Son secours m'est utile, et j'ai besoin du vôtre. v.364 (Prologue, scène 9, LE GÉNIE)
- Hé bien ! Éprouve donc sa persécution, v.365 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Insensé ; je te livre à sa direction. v.366 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- Rappelleront ici les plaisirs fugitifs : v.370 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- J'aurai conduit ailleurs leur folâtre cohorte. v.371 (Prologue, scène 9, LA FOLIE)
- C'est prédiction pourrait bien s'accomplir. v.375 (Prologue, scène 10, LE GÉNIE)
- On peut ici se passer d'elle. v.378 (Prologue, scène 10, LE BON-SENS)
- Plus d'un vrai nourrisson des filles de Mémoire v.380 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- Si ce n'est pas assez, ils auront des rivaux. v.382 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- J'en sais qui n'ont besoin que d'un peu plus d'audace ; v.383 (Prologue, scène 10, LE BON SENS)
- La Folie en tous temps, est bonne à ménager. v.386 (Prologue, scène 6, LE GÉNIE)
- Déesse, vous voyez mon embarras extrême. v.387 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Un seul m'a paru bon ; mais il est dangereux. v.390 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Les Bon-sens t'a promis ses soins officieux. v.392 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Je n'ai rien à donner. v.394 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Est-ce une bonne aubaine ? v.395 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- C'est l'essai d'un auteur que je connais à peine. v.396 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Au bas du Pinde on m'a fait ce présent. v.397 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Le Public qu'on prévient, refuse son suffrage. v.400 (Prologue, scène 12, THALIE)
- Allons, prenons toujours ; les temps sont malheureux. v.404 (Prologue, scène 12, LE GÉNIE)
- Ton maître et ma maîtresse auraient bien dû s'aimer. v.405 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Léonore a toujours une mélancolie v.407 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- On veut qu'une maîtresse ait l'air vif, sémillant ; v.409 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Un peu moins de bon sens, un peu plus de brillant. v.410 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- L'état de Léonore est cruel et funeste. v.412 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Frontin, toute sa vie, est... v.413 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Et jamais on n'en eut un dépit plus mortel. v.417 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Furieux de la perdre, attaqua son époux, v.421 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Léonore aussitôt saisit sa liberté ; v.425 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Sous ce nom inconnu, qu'elle conserve encore. v.427 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Que ne ferait-on pas pour fuir ce qu'on abhorre ? v.428 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Géronte apprit enfin notre asile secret, v.430 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Oui. Nous vîmes la fin d'un si long esclavage. v.432 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Cet oncle généreux nous retira chez lui. v.433 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Car Léonore est veuve, et dans le plus bel âge. v.435 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Douze ans d'absence ont mis tous ses biens au pillage : v.436 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Que Géronte est allé faire un tour à Paris. v.438 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Vois l'état malheureux où nous serons réduites. v.440 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Géronte a pour sa nièce une tendre amitié ; v.441 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Mais tu sais qu'on ne peut vivre avec sa moitié. v.442 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Toujours contente d'elle, et jamais du prochain ; v.445 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Dont la vertu bruyante insulte au genre humain ? v.446 (Acte 1, scène 1, N?RINE)
- Je crois que Léonore arrête ici mon maître ; v.452 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Quand Damon acheta cette terre ici près, v.454 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Géronte, en attendant, s'en vint nous accueillir ; v.458 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Et, comme un bon voisin, nous offrir un asile. v.459 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Nous vînmes donc chez lui. Mais notre domicile v.460 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Mon maître cependant paraît n'y pas songer. v.462 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Julie ? Ah ! Si mon maître en avait l'âme éprise, v.464 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Son amour oserait paraître à découvert. v.465 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Léonore est trop fière ; et sa fierté nous perd. v.466 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Les femmes ne sont pas tout ce qu'elles paraissent. v.467 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Les femmes se connaissent. v.468 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
- Léonore m'appelle. Adieu. Cela suffit. v.469 (Acte 1, scène 1, NÉRINE)
- Me confirme encor plus cette heureuse nouvelle. v.472 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Mais de la part d'Orphise on vient de m'avertir v.474 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Pour toi, l'on ne sait plus désormais où te prendre. v.476 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- J'étais avec Frontin, puisqu'il faut vous le dire : v.479 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Nous disions que Damon aurait dû vous aimer : v.481 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Tu n'es pas raisonnable. v.483 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Que Damon vous aimait, madame, j'avais tort. v.486 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Accuses-tu Damon de tant d'indifférence ? v.488 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Si l'on aimait encore, ainsi que Céladon, v.489 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Peut-être je pourrais en soupçonner Damon. v.490 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Mais de pareils amans ne sont plus qu'en idée. v.491 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On ne se donne plus le tems d'être enchaîné : v.493 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- L'amour prend son essor aussitôt qu'il est né. v.494 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Dès qu'on aime, on en fait un récit infidèle ; v.495 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On exagère un feu qui n'est qu'une étincelle ; v.496 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Pour mieux en assurer l'objet de son amour, v.497 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- La sotte vanité conduit tout le mystère ; v.499 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Si Damon vous aimait, il en eût fait l'aveu. v.501 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ainsi nous nous trompions... cela vous fâche un peu ? v.502 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Vous vous émancipez. M'avez-vous reconnue v.503 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Ainsi vous croyez donc mon discours conséquent. v.505 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Non, ma chère maîtresse, il est extravagant, v.506 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- C'est que Damon vous aime. v.507 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Mais accorde-toi donc, Nérine, avec toi-même. v.508 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Un tiers voit mieux que ceux qui sont dans l'embarras. v.509 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Que Damon n'avait pas v.510 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Les défauts des amans qu'en ce siècle on voit naître. v.511 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Quoi ? Parce que l'on n'est ni fat, ni petit-maître, v.512 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- On ne peut vous aimer ? L'obstacle est imprévu. v.513 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Mais encore, quoi donc ? v.515 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- Un silence pénible, autant qu'involontaire, v.519 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Ce sont-là mes garants. Tout cela fait en somme v.523 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- De l'amour ; et, de plus, un amant honnête homme. v.524 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Léonore et Damon sont formés l'un pour l'autre. v.535 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Quand on dépend de soi, pour soi l'on se marie. v.539 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ni les égarements d'un âge sans raison. v.541 (Acte 1, scène 3, LÉONORE)
- À peine j'achevais ma première saison, v.542 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On me tira du cloître ; et j'entrai dans le monde, v.543 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Avec les préjugés dont la jeunesse abonde. v.544 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Avait promis ma main, sans consulter mon choix. v.546 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je me prévins d'abord. Mon dépit fut extrême. v.547 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je croyais qu'on devait m'obtenir de moi-même. v.548 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On ne m'honora pas d'une seule entrevue. v.551 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- On me fit malgré moi prononcer mon arrêt. v.554 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Quel hymen ! Ou plutôt quelle union fatale ! v.555 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- L'aversion, sans doute, entre nous fut égale. v.556 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Moi-même je m'enfuis ; et mon époux mourut. v.558 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Mais j'ai connu l'erreur de mon antipathie, v.559 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Je crois, si mon époux n'eût pas perdu la vie, v.560 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Que sans doute l'hymen, mon devoir, et le temps, v.561 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- Auraient mis dans mon coeur de plus doux sentiments. v.562 (Acte 1, scène 3, L?ONORE)
- En tout cas, par bonheur, il est en l'autre monde. v.563 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Pour vous montrer sur quoi mon préjugé se fonde, v.564 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Au sujet de Damon, il faut vous expliquer v.565 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Ce que m'a dit Frontin. Il m'a fait remarquer v.566 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Que Damon s'accoutume à la maison d'Orphise. v.567 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Eh ! Souffrez qu'on vous dise... v.568 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Mais on vient. v.569 (Acte 1, scène 3, N?RINE)
- Le diable qui l'amène a bien mal pris son temps. v.570 (Acte 1, scène 3, NÉRINE)
- Entre ma fille et vous tout mon coeur se partage. v.575 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- J'espère que Géronte en fera davantage ; v.576 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Vous deviendrez, madame, une seconde fille, v.579 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Et vos plus grands malheurs m'attacheront à vous. v.581 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Ma reconnaissance... v.584 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Damon va nous quitter. Et c'est ce qui m'oblige v.588 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- À vous venir prier d'empêcher son départ. v.589 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Madame, sur Damon, ai-je assez de crédit ?... v.593 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Assez, pour l'amener au point dont il s'agit. v.594 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Connaissez-vous Damon ? Parlez avec franchise. v.596 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je le crois honnête homme. v.597 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Quand on est noble, on peut en faire confidence. v.604 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Ceux qui font autrement sont toujours ennuyeux. v.606 (Acte 1, scène 4, LÉONORE)
- Quand on est riche, est-il naturel qu'on s'en cache ? v.607 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je crois qu'on en peut faire un mari fort passable. v.612 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- De savoir si Damon est un parti sortable. v.616 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Comme on vous servirait ; faites comme pour vous. v.618 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je veux, de votre main, l'accepter pour mon gendre. v.620 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Je crois qu'il va venir vous faire son adieu. v.621 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Tout homme qu'on recherche en abuse toujours : v.626 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Et, de rien qu'il était, s'érige en personnage. v.628 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Leur fatuité vient du cas que l'on en fait. v.629 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Il faut les maîtriser, malgré que l'on en ait, v.630 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Se les assujettir, les faire à son caprice. v.631 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Nous perdons leur estime, en leur rendant justice ; v.632 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Nous nous avilissons, si nous sentons leur prix ; v.633 (Acte 1, scène 4, ORPHISE)
- Voilà des intérêts remis en bonnes mains. v.638 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Quelle commission dangereuse et cruelle ! v.639 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- Je ne puis y songer ni pour moi, ni pour elle. v.640 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Oui, cette occasion n'est qu'un piége fatal. v.641 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- Laissons aller Damon ; il faut que je l'évite. v.643 (Acte 1, scène 5, L?ONORE)
- La seule occasion qui peut vous éclaircir. v.646 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Que de mettre en danger mon honneur et ma gloire. v.648 (Acte 1, scène 5, LÉONORE)
- À ne point voir Damon, ne vous obstinez plus. v.649 (Acte 1, scène 5, NÉRINE)
- Cette affectation serait plus dangereuse. v.651 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Mais j'aperçois Damon. v.654 (Acte 1, scène 5, N?RINE)
- Que deux amants sont sots, quand ils sont en présence ! v.655 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- On dit que vous allez chercher en d'autres lieux v.657 (Acte 1, scène 6, N?RINE)
- Quoi ! Vous partez, Monsieur ? v.661 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Si la maison vous plaît ? v.663 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Mon honneur, ma raison, le danger, ma faiblesse ; v.664 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon repos, dites-vous ? v.665 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Car enfin je dois voir ce qu'on rend trop visible, v.671 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Sa bonté m'est à charge, et vous serait nuisible. v.672 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Quelqu'un l'ignore-t-il ? Non, jamais on ne peut v.674 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mais je ne puis répondre à ce qu'elle souhaite. v.676 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- On croyait que Julie aurait dû vous charmer. v.677 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Quoi ! Ses attraits naissants n'ont pu vous enflammer ? v.678 (Acte 1, scène 6, L?ONORE)
- Vous ne l'aimez donc pas ? v.680 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Non. J'échappe à ses charmes. v.680 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous seriez exposée à des soupçons jaloux. v.681 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Orphise, avec raison, n'accuserait que vous v.682 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Allez, monsieur, allez où l'amour vous appelle. v.688 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Mon coeur s'entretiendrait dans l'amour le plus tendre, v.692 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Tenez monsieur, j'ai peine à croire au merveilleux : v.694 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Tant de discrétion est hors de vraisemblance. v.695 (Acte 1, scène 6, N?RINE)
- Sans entrer plus avant dans votre confidence, v.696 (Acte 1, scène 6, LÉONORE)
- Puisque vous nous quittez, vous avez vos raisons. v.697 (Acte 1, scène 6, L?ONORE)
- Moi, des raisons ? Je vois vos injustes soupçons. v.698 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Vous croyez que je vole où mon bonheur m'appelle. v.699 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Puisque vous m'y forcez, apprenez mon état. v.701 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Si j'aimais, mon amour éviterait l'éclat. v.702 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Je dis plus. Mon aveu deviendrait un outrage, v.703 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Qui déshonorerait l'objet de mon hommage. v.704 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Mon vainqueur ne pourrait répondre à mon amour. v.705 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Un prompt événement peut changer mon destin. v.710 (Acte 1, scène 6, DAMON)
- Partez, monsieur, partez ; vous ne pouvez mieux faire. v.711 (Acte 1, scène 6, NÉRINE)
- Il est donc marié ?... Que devient mon amour ? v.714 (Acte 1, scène 7, LÉONORE)
- Est-ce là le bonheur dont mon coeur s'est flatté ? v.717 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Ai-je pu contenir ma colère trop prompte ? v.719 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- N'en ai-je point trop dit ? Ah ! Je mourrais de honte. v.720 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Ah ! Ne te donne point une gêne importune. v.724 (Acte 1, scène 7, LÉONORE)
- Quand la nécessité ramène ma raison, v.725 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Cesse de retarder encor ma guérison. v.726 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- C'est assez... va chercher l'épouse de Géronte. v.727 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Pour ne plus voir Damon, qui part dans un moment, v.729 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Je vais me renfermer dans mon appartement. v.730 (Acte 1, scène 7, L?ONORE)
- Ah ! Te voilà, Nérine ! Enseigne-moi mon maître. v.731 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ton maître est marié ; tu m'en fais un secret ? v.733 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Mon maître est un sournois comme on n'en trouve guère : v.735 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Oui, je crois que le diable est son homme d'affaires. v.736 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Il n'a fait, que je sache, aucune connaissance ; v.740 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Si ce n'est chez Géronte, où tu sais bien comment v.741 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ce n'est pas de mon bail : c'est quelque vieille histoire... v.744 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Bon ! Il n'a point de femme appartenante à lui ; v.745 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ton maître a-t-il quelque procès ? v.750 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Le robin m'a donné ce paquet d'importance, v.752 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
- Ah ! Tu n'es bon à rien. Va-t'en, sans différer. v.757 (Acte 1, scène 8, NÉRINE)
- Damon est-il parti ? v.759 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Ne m'abandonne pas. v.762 (Acte 2, scène 1, LÉONORE)
- Une personne unique, une femme adorable. v.764 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Des noms aussi flatteurs ne me conviennent point : v.765 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Damon nous reste enfin, grâce à votre entremise : v.767 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Ses gens l'ont dit aux miens. v.769 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Vous me voyez sensible, on ne peut davantage. v.771 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Allons, Madame, il faut achever votre ouvrage. v.772 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Mon ouvrage ? v.773 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Quoi donc ? v.773 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Mais ne venez-vous pas d'empêcher son départ ? v.774 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Non, je vous jure. v.776 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Damon reste pourtant ; les ordres sont donnez. v.777 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Je connais le motif qui l'attache en ces lieux. v.782 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Damon ne peut quitter un séjour qu'elle habite. v.784 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- N'aime guère à jouer un second personnage. v.788 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Elle voudrait que tout lui devînt personnel ; v.789 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Plaire, à l'exclusion de toutes ses pareilles ; v.792 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- N'en reconnaître aucune, et dominer partout. v.793 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- À votre âge, madame, on est fort de ce goût. v.794 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Dans l'arrière-saison, on ne fait qu'en changer ; v.797 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Du monde qui nous quitte on cherche à se venger, v.798 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Du plaisir qui nous fuit, des défauts qu'on regrette, v.799 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Auxquels on voudrait bien être encore sujette. v.800 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- On se masque ; l'on prend un air d'autorité ; v.802 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- On se croit vertueuse en voulant le paraître, v.803 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Tandis qu'au fond du coeur, on néglige de l'être ; v.804 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Qu'au contraire on se fait un plaisir inhumain v.805 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- De nourrir son orgueil aux dépens du prochain. v.806 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- On échange un défaut contre un autre plus grand ; v.810 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Et l'on corrige un vice avec un autre vice. v.811 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Je dois prendre à Damon. v.814 (Acte 2, scène 2, L?ONORE)
- Voyons donc ce que c'est. v.814 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Apprenez que Damon ne peut être à Julie. v.815 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Qui l'en empêchera ? Pourquoi donc, je vous prie ? v.816 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Bon ! Que me dites-vous ? Le traître est marié ? v.818 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Non, je vous en assure. v.819 (Acte 2, scène 2, LÉONORE)
- Damon devait cesser de nous importuner. v.822 (Acte 2, scène 2, ORPHISE)
- Il reste ; je l'ignore ; et l'on m'en fait un crime : v.827 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Mon repos, mon honneur, tout en est la victime. v.828 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Vous connaissez Orphise, et sa malignité. v.829 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Et qu'on m'imputerait la dernière bassesse ? v.831 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Nérine, quelle horreur ! On me croit la maîtresse v.832 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Et l'on n'en croira rien. v.837 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Ah ! Quelle est ton erreur ? v.837 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- C'est assez qu'une histoire attaque notre honneur, v.838 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- On n'examine rien ; et la crédulité v.841 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Va toujours contre nous jusqu'à l'absurdité. v.842 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Je ne m'étonne plus si tant d'infortunées v.843 (Acte 2, scène 3, NÉRINE)
- Se plaignent, tous les jours, d'être à tort condamnées. v.844 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Je vois bien à présent qu'une femme d'honneur, v.845 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Avec son innocence, a besoin de bonheur. v.846 (Acte 2, scène 3, N?RINE)
- Damon devait partir. J'ai reçu ses adieux : v.849 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Je ne sais que penser ; je ne sais que conclure. v.852 (Acte 2, scène 3, LÉONORE)
- Il faut donc m'éloigner, il faut que je me chasse. v.856 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Va le trouver. Dis-lui... Non, il vaut mieux écrire. v.859 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- On ne dit par écrit que ce que l'on veut dire. v.860 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Et toi, tu lui feras remettre mon billet. v.861 (Acte 2, scène 3, L?ONORE)
- Je vais tâcher de trouver son valet. v.862 (Acte 2, scène 4, NÉRINE)
- Faisons cesser enfin le bruit de mon trépas. v.865 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Mon ennemi s'apaise après tant de débats. v.866 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Celle à qui mon malheur avait uni ma vie, v.867 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Du moins on se fait fort de lui faire agréer v.869 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- J'ai donné ma parole ; on répond de la sienne. v.871 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Nous nous verrons bientôt, pour ne nous plus revoir. v.873 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Mes amis en secret m'ont donné cet espoir. v.874 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- En attendant, cessons une feinte importune : v.879 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Allons à Léonore annoncer ma fortune. v.880 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Avant que je lui dise et mon nom et mon rang, v.881 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Pénétrons dans son coeur. C'est d'où mon sort dépend. v.882 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Voyons si mon amour... mais j'aperçois Nérine. v.883 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Peut-on voir Léonore ? v.884 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Ah ! Monsieur, j'imagine v.884 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- De grâce, annonce-moi. v.890 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Il m'est de conséquence. v.892 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- En vérité, monsieur, je ne vous comprends pas... v.893 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Elle est en bonnes mains ; et, puisqu'elle te plaît, v.897 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- On ne saurait prévoir des tours de cette espèce. v.903 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Puisqu'on ne peut parler à ta belle maîtresse, v.904 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Tu lui donneras bien un billet de ma part. v.905 (Acte 2, scène 6, DAMON)
- Voilà donc l'encloueure ! Allons, à tout hasard. v.906 (Acte 2, scène 6, NÉRINE)
- Réfléchissons un peu sur mon étourderie. v.911 (Acte 2, scène 7, NÉRINE)
- Mon petit intérêt m'a fait illusion. v.913 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- C'est la première fois... maudite occasion ! v.914 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tu sais apprivoiser l'honneur le plus sauvage ; v.915 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Sans toi, l'on pourrait l'être avec facilité. v.917 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Damon ne voudra pas reprendre son présent : v.921 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Au contraire, il croira qu'il n'est pas suffisant. v.922 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Voilà pour cet article. Autre réflexion. v.925 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Mais comment m'acquitter de ma commission ? v.926 (Acte 2, scène 7, N?RINE)
- Tiens, fais rendre à Damon... v.927 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Tiens, donne à ta maîtresse... v.927 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Donnez, je remettrai chacune à son adresse. v.928 (Acte 2, scène 8, NÉRINE)
- Damon ! v.929 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Madame avait quelque ordre à me donner ? v.929 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Vous le deviez attendre ; et je dois m'étonner v.930 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Une raison heureuse, ou du moins légitime, v.932 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dont je vais vous instruire... v.933 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- D'un éclaircissement, dont je n'ai pas besoin. v.934 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Nous nous devons toujours éviter l'un et l'autre. v.935 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- J'ai ma raison. Souffrez que j'ignore la vôtre. v.936 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Partez, monsieur, partez ; et cessons de nous voir ; v.937 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Damon ose me retenir ? v.941 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Apprenez donc mon crime, avant de me punir. v.942 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Il est vrai. Pardonnez cette dernière instance. v.944 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Qu'on vous dise un secret qui peut m'être important. v.946 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ces soupirs, si longtemps retenus dans mon coeur, v.949 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Peuvent enfin paraître aux yeux de mon vainqueur. v.950 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous cédons l'un et l'autre à notre antipathie ; v.956 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Sont d'un commun accord entre nous dénoués. v.958 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nos serments étaient nuls, ils ont été forcés ; v.961 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Notre bouche à regret les avait prononcés. v.962 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nos coeurs ont réclamé contre la tyrannie v.963 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- La loi me restitue et ma main et mon coeur. v.965 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous pouvons tous les deux nous choisir un vainqueur. v.966 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Hélas ! Mon choix est fait ; et vous devez m'entendre. v.967 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- C'est donc-là ce secret que vous vouliez m'apprendre ? v.968 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Et vous croyez, monsieur, qu'il doit m'intéresser ? v.969 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Quoi donc ! Ce faible espoir peut-il vous offenser ? v.970 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ce que vous m'annoncez est toujours un divorce. v.972 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Oui, tel que soit le nom dont vous les colorez, v.973 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- C'est votre épouse enfin que vous déshonorez. v.974 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Vous prétendez, monsieur, me rendre la complice v.975 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- D'un coupable abandon fondé sur un caprice. v.976 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- C'est vous qui l'exigez. Peut-elle y consentir ? v.977 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- D'un si terrible affront. Je me mets à sa place. v.979 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Pour elle enfin, monsieur, je vous demande grâce. v.980 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Elle m'accuserait... votre coeur est son bien. v.982 (Acte 2, scène 8, L?ONORE)
- Quand je consens à rompre un faux engagement, v.986 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Ce n'est point un affront ; c'est un bonheur pour elle. v.988 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Quelle conformité. v.992 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Soyez-y donc sensible. v.992 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Nous ne romprons pas moins nos liens rigoureux. v.994 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dites-moi donc comment elle a pu vous haïr ? v.997 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Oublions-nous tous deux. v.999 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Vous, sur qui je fondais le bonheur de ma vie, v.1000 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Dont vous allez causer l'éternelle souffrance ! v.1003 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Perd-on le souvenir, en perdant l'espérance ? v.1004 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Que je puis oublier l'auteur de mon malheur. v.1006 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- N'ajoutez pas encore à mon état funeste v.1008 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Ces frivoles raisons que vous me proposez, v.1010 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Qu'invente contre moi votre délicatesse, v.1011 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- De votre aversion, c'est le plus sûr garant. v.1013 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Léonore, achevez. v.1017 (Acte 2, scène 8, DAMON)
- Damon... v.1017 (Acte 2, scène 8, LÉONORE)
- Quoi donc ? v.1020 (Acte 2, scène 9, NÉRINE)
- D'avoir conçu peut-être un soupçon indiscret. v.1022 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Pardonnez-moi, madame. v.1023 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Vous souffrez que Damon vous parle de sa flamme ? v.1024 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Que Damon, par malheur, est déjà marié ? v.1026 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- D'un malheureux hymen Damon est dégagé. v.1030 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- On va briser sa chaîne ; il me l'a dit lui-même. v.1031 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Toutefois à Damon j'ai caché mon amour. v.1034 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- On va briser ses fers ? v.1037 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Ils vont être rompus. v.1037 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- J'ai rencontré l'objet que je devais aimer. v.1041 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Si le même rapport n'eût agi dans son coeur, v.1045 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Mon époux est vivant ! v.1049 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Oui. C'est ce que Géronte a dit en arrivant. v.1050 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Il va vous confirmer cette heureuse nouvelle. v.1051 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Et veut mal-à-propos se choisir sa conquête. v.1060 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- J'en ai fait un second plus conforme à mes voeux : v.1062 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Que ne me laissait-on finir mes tristes jours ? v.1066 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Devais-je consentir à quitter mon asile, v.1068 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Et l'amour en devait empoisonner le reste. v.1075 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Damon vint dans ces lieux. C'est l'époque funeste v.1076 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Du plus grand de mes maux. Mon coeur en fut blessé. v.1077 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Je crus pouvoir aimer. Mon coeur s'est trop pressé. v.1078 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Et d'ailleurs, quelle est donc cette grande infortune ? v.1080 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- C'est d'avoir cru pouvoir disposer de mon coeur. v.1081 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Mais enfin, sous ce nom, qu'au moins pour mon bonheur v.1082 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- De quel front à présent paraîtrais-je à ses yeux ? v.1085 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- Dont il accablerait une épouse infidèle, v.1087 (Acte 2, scène 9, L?ONORE)
- C'est la sujétion du sexe infortuné v.1089 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Abandonnez enfin le nom de Léonore. v.1091 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- Aussi bien que l'amour, l'aversion s'épuise. v.1095 (Acte 2, scène 9, ORPHISE)
- On connaît son erreur sans pouvoir en guérir. v.1097 (Acte 2, scène 9, LÉONORE)
- Léonore est en pleurs ? D'où vient qu'elle m'évite ? v.1099 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- C'est vous, Monsieur Géronte ? Où courez-vous si vite ? v.1100 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Je dois à Léonore un petit compliment ; v.1101 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Si vos gens sont exacts, ils pourront vous le dire. v.1104 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Après un mois d'absence, il est fort consolant. v.1106 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Nous nous retrouverons ; et plutôt dix fois qu'une. v.1107 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ne nous imposons point une gêne importune, v.1108 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Monsieur, parlez du vôtre. v.1111 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Monsieur, entendons-nous une fois dans la vie. v.1115 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Vous avez toujours eu cette démangeaison. v.1118 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Monsieur, c'est que jamais je n'aimai le mystère. v.1119 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Son époux est vivant ? v.1125 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Ont arrêté les miens, quand j'allais terminer : v.1129 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais d'une autre façon j'ai su me retourner, v.1130 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Léonore, en tout cas, n'y participe en rien. v.1133 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- C'est sur quoi nous allons avoir un entretien ; v.1134 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Mais cependant, pour certaine raison, v.1137 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Il faudra, qu'elle ou moi, sortions de la maison. v.1138 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Pourquoi donc, s'il vous plaît ? v.1140 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- Ma fille avec Damon. v.1141 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Oui-da, ce parti-là pourrait être assez bon. v.1142 (Acte 2, scène X, GERONTE)
- À suivre son époux. J'y compte. Je vous laisse. v.1148 (Acte 2, scène X, ORPHISE)
- Les femmes ont toujours des projets merveilleux. v.1150 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Ma nièce n'aura point regret à mon voyage. v.1151 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Son époux, il est vrai, n'est pas mort. Cependant v.1153 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Qui n'interrompra guère, ou très peu son veuvage, v.1155 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Puisqu'il veut bien laisser casser son mariage. v.1156 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Allons la préparer à cet événement. v.1157 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Elle n'espère pas un si bon dénouement. v.1158 (Acte 2, scène 11, GERONTE)
- Sachons ce que Géronte aura fait chez sa nièce. v.1159 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- À son hymen, il peut me servir à mon gré. v.1161 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- Damon est gentilhomme ; il est même titré... v.1162 (Acte 3, scène 1, ORPHISE)
- La modération lui paraît insipide : v.1167 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- C'est toujours à l'extrême où son penchant la guide. v.1168 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Ses moindres mouvements sont des convulsions ; v.1169 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- La vertu, dans son coeur, se change en passions, v.1170 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Ah ! Vous voilà, monsieur, dans votre humeur critique. v.1172 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Le mépris pour le sexe est un air qu'on se donne, v.1175 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Qui n'est, en vérité, convenable à personne. v.1176 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Madame, je suis juste, et sans prévention. v.1177 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- J'avais fait jusqu'ici certaine exception... v.1178 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Peut-on savoir combien vous en exceptiez ? v.1179 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Son caprice imprévu me trouble la raison. v.1182 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- J'exceptais Léonore ; et cela vous fait rire. v.1184 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- C'est votre nièce, à qui vous faisiez cet honneur ? v.1185 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Léonore, elle-même. v.1186 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Elle a bien du bonheur. v.1186 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Fondé sur le scrupule, et sur l'entêtement. v.1190 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Je m'en vais préparer Damon à sa disgrâce. v.1191 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Bon ! Je l'ai prévenu de tout ce qui se passe. v.1192 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Plutôt on les apprend, plutôt on s'en console. v.1195 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Peut-être que Damon, que j'ai fait avertir, v.1197 (Acte 3, scène 2, GERONTE)
- Aller retrouver son époux. v.1201 (Acte 3, scène 2, ORPHISE)
- Venez, monsieur, venez vous unir avec nous ; v.1202 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- La pauvre Léonore... elle se croyait veuve. v.1203 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Eh bien, il n'en est rien ; nous en avons la preuve. v.1204 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Mais de son esclavage on pourrait l'affranchir. v.1205 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Un mot de ce qu'on aime a toute une autre force. v.1207 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Quoi ! Vous voulez, monsieur, la porter au divorce ? v.1208 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Ne l'abandonnez pas à sa triste vertu. v.1210 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Ce sont-là de vos tours. Vous servez en ami. v.1213 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Ne veulent pas permettre une union si belle. v.1219 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- On s'en consolera. Modérez votre zèle. v.1220 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Je m'en consolerai ? v.1221 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Non, vous n'en mourrez pas. v.1222 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Vous, donnez un conseil plus sage et plus utile. v.1224 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Quoi ? Voulez-vous déshonorer Silvie. v.1227 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Moi, la déshonorer ? En quoi, je vous supplie ? v.1228 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Elle a fait trop longtemps le malheur de ma vie. v.1231 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Quand on ne s'aime point, aisément on s'oublie. v.1232 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Quand on ne s'aime point ? v.1233 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- On cherche volontiers à sortir de ses fers. v.1234 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Pour qui donc votre coeur était-il si sensible ? v.1236 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Léonore n'est point l'objet de vos amours ? v.1237 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Léonore est l'objet que j'aimerai toujours. v.1238 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Nous extravaguons tous. v.1239 (Acte 3, scène 3, ORPHISE)
- Mais l'histoire en serait trop longue à détailler. v.1242 (Acte 3, scène 3, GERONTE)
- Mon secret doit ici n'être su de personne. v.1243 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Ce nom m'a fait frémir ; et ce rapport m'étonne. v.1244 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- D'un époux, qu'on ne peut abandonner sans crime. v.1252 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Sont des inventions pour orner des romans. v.1254 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Monsieur, que voulez-vous que madame devienne ? v.1256 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Quoi ! Faudra-t-il qu'au fond de quelque asile obscur, v.1258 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- J'ai gagné sur mon coeur, ou du moins je le crois. v.1265 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Ah, rencontre cruelle ! Et qu'est-ce que je vois ? v.1266 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Eh ! Le puis-je ? C'est vous qui voulez mon trépas. v.1269 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Mon coeur n'a pas besoin d'une épreuve cruelle. v.1271 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- C'est me persécuter, c'est me déshonorer, v.1274 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Que d'exposer encor mon coeur à se défendre. v.1275 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ce sont de vains regrets que je ne puis entendre. v.1276 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Je vais le retrouver, et remplir mon devoir. v.1278 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Madame, si je crois ce qu'on m'a fait entendre, v.1280 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- À des moyens plus doux, qu'on vient de vous offrir. v.1282 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Non, je n'ai point assez d'audace, ni de force, v.1283 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Il faut un front d'airain pour donner ce scandale. v.1287 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- On vous excepterait de la loi générale. v.1288 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Sur l'espoir d'un succès toujours déshonorant, v.1290 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Que personne ne croit, et dont chacun se moque v.1296 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Inonder le public d'injurieux libelles ; v.1300 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ébruiter des malheurs qu'on pouvait empêcher, v.1301 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ou qu'au moins la raison devait faire cacher : v.1302 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Eh ! Non. Rassure-toi. Ta crainte est mal fondée. v.1304 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Eh ! Mais, pardonnez-moi. v.1305 (Acte 3, scène 4, ORPHISE)
- Non. Il s'agit au plus v.1305 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- L'heureuse liberté qu'on offre de lui rendre ; v.1308 (Acte 3, scène 4, GERONTE)
- Daignez lui pardonner. v.1309 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- À sa discrétion, je veux m'abandonner. v.1310 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Peut-être que l'absence, et son état funeste v.1311 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Auront changé son coeur ; le mien fera le reste. v.1312 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Songez-vous qu'un mortel, insensible à vos larmes, v.1315 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je perds tout, en perdant ce bonheur apparent. v.1321 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ah, cruel ! D'où vient donc le remords qui m'accable... v.1323 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Non, quand je briserais les noeuds que je reprends, v.1326 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Ce serait avouer, et consommer mon crime. v.1328 (Acte 3, scène 4, L?ONORE)
- Sa haine ou son amour ne m'intéressent plus. v.1333 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Ne consent-elle pas que nos fers soient rompus ? v.1334 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Y consentirait-elle, v.1335 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Je n'eus jamais son coeur ; elle a repris sa foi. v.1337 (Acte 3, scène 4, DAMON)
- Arrêtez. On pourrait en dire autant de moi. v.1338 (Acte 3, scène 4, LÉONORE)
- Pourquoi s'abandonner au torrent des scrupules ? v.1343 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- De trop grands sentiments sont souvent ridicules. v.1344 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Si c'était un époux tel qu'eût été Damon, v.1345 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Que je ne connais point ; car ma soeur, dieu merci, v.1349 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Ne consultait personne en tout, comme en ceci ; v.1350 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Et n'ose se montrer que par ses gens d'affaires ; v.1352 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Qui, lorsqu'on le croit mort, revient après douze ans v.1353 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Quels rapports étonnants ! v.1354 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Peut on savoir le nom... v.1357 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Voulez-vous achever de perdre Léonore ? v.1360 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- Son repos, son honneur devraient bien vous toucher. v.1361 (Acte 3, scène 6, L?ONORE)
- Vous vous nommez Silvie, et non pas Léonore. v.1363 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Damon, y songez-vous ? v.1367 (Acte 3, scène 6, ORPHISE)
- Tenez... je suis... voilà votre consentement ; v.1369 (Acte 3, scène 6, DAMON)
- Voyons donc. v.1371 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
- Ô sort trop fortuné ! C'est mon époux que j'aime. v.1372 (Acte 3, scène 6, LÉONORE)
- La bonne antipathie ! Ah ! Gardez-la toujours. v.1373 (Acte 3, scène 6, GERONTE)
AMOUR POUR AMOUR (1753)
- On n'a que des soupçons, qui seront dissipés v.3 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sitôt qu'on me verra si fort en évidence. v.4 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Comptez que les plus fins y seront attrapés. v.5 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- D'ailleurs, je veux savoir au vrai ce que l'on pense v.6 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Récapituler tout dans le fond de mon âme, v.9 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Ma foi, l'intention est très bonne, sans doute : v.11 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Mais l'exécution ?... v.12 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- De ses décisions. Écho toujours fidèle, v.19 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Mais il est c[h]ef de meute ; on le fuit au hasard ; v.23 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Exercé, sans quartier, sur les pièces qu'on donne. v.28 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Il est bien attrapé, quand une pièce est bonne, v.29 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Pourquoi donc ? v.31 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Il croirait déroger, en donnant son suffrage. v.35 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- En matière d'esprit, on ne veut point de maître. v.38 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Sur les gens du métier on aime à dominer. v.39 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On s'érige en Juge, on veut l'être, v.40 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On se met au dessous de ceux qu'on applaudit : v.41 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On se met au dessous de ceux que l'on critique. v.43 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Outre que l'amour propre y fait mieux son profit, v.44 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Mais la Critique abonde ; elle coule de source, v.47 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Anime le génie, et lui donne du jeu : v.48 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Le rend vif, pétillant, ironique, fertile ; v.49 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Lui fournit des bons mots qui, trottant parla Ville, v.50 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Font citer leur Auteur, et penser comme lui. v.51 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- On ne brille jamais mieux qu'aux dépens d'autrui. v.52 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Pour moi, j'embrasserais l'honnête homme d'auteur v.56 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Je lui donne du moins hautement, mon suffrage ; v.58 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Sans regretter l'encens que je donne est échange : v.60 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Et je pense que c'est l'avoir à bon marché. v.62 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Et qui donc ? v.65 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Que l'on voit depuis peu, comme un astre naissant, v.66 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Commencer sa carrière, et parfumer le monde v.67 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- De l'ambre qu'il exhale, une lieue à la ronde, v.68 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- Eh ! Le voici lui-même avec tout son éclat, v.69 (Prologue, scène 1, L'AUTEUR)
- La définition en sera bientôt faite. v.71 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Il va nous aborder si nous n'y prenons garde. v.74 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Tâchons de l'éviter. v.75 (Prologue, scène 1, L'AMI)
- Nous allons nous placer. v.76 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Si vous le trouvez bon. v.78 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Et pourquoi non ? v.79 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Vous ne savez donc pas ?.... v.80 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Fiez-vous à l'Affiche ! On va faire un beau bruit. v.81 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Qu'est-il donc arrivé ? Peut-on en être instruit ? v.82 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- On ne la donne point. Rien n'est plus ridicule. v.84 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce que vous m'apprenez, m'étonne. v.94 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Un peu mieux avisés, ont craint un mauvais sort. v.99 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Une pièce nouvelle est toujours assez bonne. v.101 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Les vieilles à présent n'amusent plus personne. v.102 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Et celle qu'on devait aujourd'hui nous donner, v.103 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Vous est-elle connue ? v.104 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- On m'en a fait l'histoire, v.104 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce que nous dit Monsieur, a de quoi m'étonner ; v.106 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Car l'auteur ne lit guère, autant qu'on n'a pu dire. v.107 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- On remit la partie. v.112 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Mais à votre retour on sut mieux ménager... v.113 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Vous le connaissez ? v.124 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- On ne peut davantage. v.125 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- C'est que Monsieur est votre protégé. v.127 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- Du jour qu'il vous plaira, nous n'aurons qu'à dater. v.129 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Soyez toujours pour moi, Monsieur, ce que vous êtes. v.130 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Monsieur... v.131 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Ce font des dettes. v.131 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Que ma reconnaissance aura soin d'acquitter. v.132 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Je connais tant d'auteurs, que j'ai crû vous connaître. v.133 (Prologue, scène 2, LE SOT)
- Non ; c'est moi qui dois l'être. v.134 (Prologue, scène 2, L'AUTEUR)
- Adieu donc. v.135 (Prologue, scène 2, L'AMI)
- N'êtes-vous pas charmé de cette connaissance ? v.136 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Il peut être fâché ; mais non pas affligé. v.139 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Ne le voyez-vous pas à son air satisfait ! v.143 (Prologue, scène 3, L'AMI)
- Peut-on rire avec vous de ce qui vous fait rire ? v.144 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- De ceux qui sont chargés de notre amusement : v.146 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Vont-ils présentement chercher leurs rhapsodies ? v.148 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il faille un autre monde, et d'autres habitants ! v.152 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ah ! Bientôt ils iront se pourvoir dans la Lune ; v.153 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Oui, les auteurs iront... v.154 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Que vous gardez toujours contre ces pauvres gens ! v.155 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Et j'éclate, à regret, contre leur ignorance. v.157 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ne fournissons-nous plus à rire à nos dépens ? v.158 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Est-ce que le bon sens a fait fortune en France ? v.159 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et les Originaux y sont-ils moins fréquents ! v.160 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il me semble pourtant que la moisson est belle ; v.162 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dont les Ministres de Thalie v.165 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- On vous l'a lue apparemment ? v.171 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Non : mais dans les Foyers une petite amie v.172 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- C'est une actrice, ah bon ! Suivant son sentiment. v.174 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Cela ne vaut donc rien ? v.175 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- C'est assez son idée : v.175 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Car on peut appeler de ces jugements-là ; v.177 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- S'il n'a pas l'honneur de lui plaire, v.180 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Sur le reste, aussitôt, elle étend son arrêt. v.181 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et vous, sur son rapport, qu'est-ce qui vous déplaît ? v.182 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- D'abord lé titre est bon. v.183 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- C'est ce qu'on ne voit point pour la plupart du temps ; v.184 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Et je ne crois non plus au titre d'une pièce v.185 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Celle-ci, selon vous, ne peut qu'être mauvaise ? v.187 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Voyons. v.188 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Ah ! Ceci me confond. v.189 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Soyez sûr que la forme emportera le fond. v.192 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Les personnages sont des Français déguisés ; v.195 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Dont l'habit et le nom, suivant toute apparence, v.197 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Feront entre eux et nous la seule différence : v.198 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Car l'auteur aura fait comme les autres font. v.199 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- De nous représenter des Persans tels qu'ils sont. v.201 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Ose-t-on aujourd'hui dépayser la scène ? v.202 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- L'auteur en connaît le danger. v.203 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- À qui donc ? v.204 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Vous bornez la nature à votre façon d'être. v.209 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous ne reconnaissez aucune autre manière ; v.211 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Que faire ? L'on a beau réclamer, insister ; v.214 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Ou souffrez, puisqu'on cherche à combler vos désirs, v.217 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Vous êtes du métier, Monsieur, à vous entendre ? v.219 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Mais aurez-vous aussi la bonté de défendre v.222 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Voyons-la, j'y consens. v.223 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qui n'a pas le bon sens. v.226 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Mais on s'y prête ailleurs. v.233 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Oui, dans un conte bleu ; v.233 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- On veut bien souffrir là, que tout soin chimérique ;. v.235 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Oui : mais on veut qu'il soit d'une certaine espèce. v.238 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Il a son caractère, il a son genre à part, v.240 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Comment, vous prétendez lui donner des entraves, v.242 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Mais le connaissez-vous, le plaisir ? v.243 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Renoncez au plaisir, ou changez de système. v.248 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Les moyens qu'il saisit sont toujours les meilleurs : v.251 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Son nom le définit. Dès qu'il est, c'est assez. v.254 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Les règles n'y font rien. Il est au dessus d'elles. v.255 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Quant à nous, ne soyons jamais embarrassez v.256 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Eh mais ! Il a raison : que diable ! Au bout du compte, v.260 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Nous ne devons ici proscrire que l'ennui. v.261 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- S'il est vrai, craignez donc la pièce d'aujourd'hui. v.262 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Pour moi, je suis prévenu contre. v.265 (Prologue, scène 4, DAMIS)
- Êtes-vous toujours juste en pareille rencontre ? v.266 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- Gagez contre Monsieur. v.268 (Prologue, scène 4, L'AMI)
- On a tant d'avantage à parier contre elle, v.272 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Qu'on ne peut mettre moins de dix contre un au jeu. v.273 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- Son préjugé pourrait devenir un oracle. v.277 (Prologue, scène 4, L'AUTEUR)
- T'aura communiqué son aimable enjouement. v.279 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Car on prend volontiers l'humeur de ce qu'on aime ; v.280 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Dont je vais essayer le succès en ce jour. v.282 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Comment donc ? v.284 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Dès longtemps sa promesse aurait eu son effet. v.286 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour peu qu'on les connaisse, on en est bientôt las. v.290 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- On peut rencontrer sous la main v.294 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Dont il nous serait doux de nous rendre vainqueurs v.297 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais ? Tout ce que l'on en peut dire, v.298 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tu n'as donc plus d'espoir. v.302 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et nous verrons finir notre métamorphose. v.303 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Tu sais la loi qu'on nous impose v.304 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour rentrer dans les droits dont nous sommes déchus. v.305 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- C'est la condition que l'on nous a prescrite : v.309 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nous avons satisfait à tout exactement. v.310 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Il faut croire que non. v.311 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- N'avons-nous pas rempli cette clause importune. v.312 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quoi ! N'avons-nous pas fait vingt conquêtes pour une ? v.315 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Cette condition n'a pas été remplie. v.321 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- En voici bien d'une autre ! Hé, qu'avons-nous donc fait ? v.322 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nous n'avons inspiré qu'un goût faible et volage, v.323 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et l'on n'a pris, pour nous, qu'un amour, de passage. v.324 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ma foi, je n'en crois rien : je suis sûr de mon fait, v.325 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Et mais, on me l'a dit cent fois. v.327 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Vous verrez qu'on peut être heureux sans être aimé. v.329 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Nous ferions selon vous, pour jamais en exil, v.332 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Puisqu'on ne peut trouver de cet amour sincère ! v.333 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais où se tient-il donc ? C'est donc une chimère ! v.334 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qu'on n'ait point eu pour vous un amour véritable ? v.336 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Mais laissons le passé, songeons présentement... v.338 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Et pourquoi donc ? Nadine, et l'aimable Zémire, v.340 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Sont capables d'aimer bien véritablement. v.341 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- On se flatte toujours de ce que l'on désire. v.342 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Dont le coeur fut pour vous vainement enflammé ? v.345 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Car, sur quoi fondez-vous un espoir qui m'étonne ? v.349 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Passe encor : mais Seigneur, nous paraissons tout prêts v.351 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- D'entrer dans la saison qui précède l'automne. v.352 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ont-ils changé ? v.354 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Non : mais nos trésors épuisés.... v.354 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- En avons-nous besoin auprès de nos maîtresses ? v.355 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ce ne font, à leurs yeux, que de fausses richesses. v.356 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- L'amour le plus honnête en consomme toujours. v.357 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Tous ces mots consacrés aux plus tendres amours : v.360 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ne vous sont pas permis. La défense est expresse. v.362 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Quand on donne, on n'a pas besoin de commentaire. v.366 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ses grands airs, ses grands mots, son rang, son opulence, v.369 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Qu'avez-vous à pouvoir mettre en comparaison ? v.371 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- De l'esprit, du savoir, du sens, de la raison v.372 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Pour l'ordinaire, un fat supplante un honnête homme. v.376 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- De vous voir devenir son heureuse conquête ? v.379 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Zémire aura le sort que tant d'autres ont eu. v.381 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Toute comparaison serait injurieuse. v.383 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Qu'on croit que la dernière est la plus merveilleuse. v.386 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ah, quelle différence ! Et que j'ai de raisons v.387 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- À cet âge, où l'on croit qu'il suffit d'être belle, v.389 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Zémire croit avoir besoin de mes leçon v.390 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que dis-je ? Elle en connaît le prix. v.391 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Mes conseils sont reçus avec reconnaissance. v.393 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Les progrès que j'ai faits, ne m'ont pas moins surpris v.394 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Que le fonds de son coeur et de son caractère. v.395 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Non, Zaleg, les soins assidus v.396 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Pour Zémire et pour moi ne seront point perdus. v.398 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Je n'aurais pas voulu me conduire autrement. v.402 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Ce moment pourrait bien n'arriver de longtemps. v.414 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- De façon que la fée en soit bien convaincue : v.419 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Ce sont les mots prescrits. v.425 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Oui ; répondez à cette objection. v.429 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- La nature et l'amour les lui pourront apprendre. v.430 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- En admettant la supposition, v.432 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que vous ne vous soyez déclaré son amant ; v.434 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Que vous n'ayez parlé, comme on parle en aimant ? v.435 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Aura bien entendu parler de mon amour. v.450 (Acte 1, scène 1, ZALEG)
- Va donc, et réussis. v.451 (Acte 1, scène 1, AZOR)
- Voyons dans la route prochaine v.453 (Acte 1, scène 2, AZOR)
- Ne ferions-nous pas mieux d'être avec nos compagnes v.455 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et peut-on préférer ces bois à nos prairies ? v.459 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On entend leur murmure ; on voit couler leurs eaux ; v.462 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Assise sur les fleurs qu'ils sont sans cesse éclore ; v.463 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On en cueille ; on s'en paie ; on s'embellit encore ; v.464 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On y respire un air délicieux, v.465 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qui donne à nos attraits une fraîcheur nouvelle : v.466 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Leur onde claire et pure est un miroir fidèle ; v.467 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- On peut avec plaisir y promener ses yeux ; v.468 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Le Ciel s'y peint, et l'on s'y voit soi-même. v.469 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ces amusements-là ne sont plus ceux que j'aime. v.470 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Tu vois comme l'on change ! v.471 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Je l'étais ; ou plutôt je n'étais bonne à rien ; v.476 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais nous avons troqué d'humeur l'un avec l'autre ; v.477 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je crois, en bonne foi, vous devoir du retour. v.479 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- D'autres ont succédé. v.482 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et quels sont ces plaisirs ? v.483 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Ce sont ceux que le temps, v.483 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- L'âge, avec la raison, amènent chaque année. v.484 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Hé quoi donc ? Dans quatre ans n'aurai-je pas vingt_ans ? v.486 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Et mais, un jour viendra que nous en aurons trente. v.487 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- D'ici-là, c'est un siècle. On n'en voit pas la fin. v.488 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Cependant, profitons de la saison courante. v.489 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Dans les plaisirs du temps coulons notre destin. v.490 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Nous serons comme ont fait nos mères, nos parentes. v.491 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- D'ailleurs, chaque saison a des fleurs différentes ; v.492 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Tout me donne à rêver[.] v.494 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- De quoi me faire, un fond heureux et suffisant v.498 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- On ne rajeunit pas. v.501 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Peut-on s'en soucier si peu ! v.505 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Nous vous cédons l'honneur d'en être la plus belle ; v.508 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Quelque riche qu'on soit des dons de la nature, v.510 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Pardonnez ma franchise, et sachez votre état ; v.513 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Je suis donc bien changée. v.517 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Le mystère entre nous n'est pas trop de saison. v.522 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Hé quoi, vous prétendez que c'est à la raison v.524 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Lorsque la raison vient (puisqu'il faut qu'elle vienne) v.529 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Changer, comme elle a fait, mon humeur et la vôtre ; v.531 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Elle doit opérer de la même façon. v.533 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Mais effectivement j'en ai quelque soupçon. v.534 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Qu'est-ce donc qui se passe au-dedans de vous-même ? v.536 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Avec étonnement je regarde ces lieux. v.537 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Il semble que j'habite une terre inconnue : v.539 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Tout ce qui m'environne est étrange à mes yeux : v.540 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Mon âme est autrement émue. v.542 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Mes esprits et mes sens n'ont plus le même cours. v.543 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- De démêler d'où vient le trouble de mon coeur. v.547 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Et sans savoir quels sont mes sentiments secrets, v.551 (Acte 1, scène 3, Z?MIRE)
- Que ne consultez-vous ?.... v.559 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Qui donc ? v.559 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Non, vraiment. v.560 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Je t'ai confié ma douleur ; v.567 (Acte 1, scène 3, ZÉMIRE)
- Allez, je sais à quoi notre union m'engage : v.570 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Hé non. v.572 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Zémire chaque jour fond, change, et dépérit. v.574 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et voilà ce qu'on gagne à raisonner morale ; v.575 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Et de primer sur nous d'une façon nouvelle, v.579 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- De pouvoir abonder en discours superflus v.580 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Entre Azor et Zémire a fait la liaison. v.582 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- La pauvre malheureuse y perdra la raison. v.584 (Acte 1, scène 3, NADINE)
- Pourquoi donc ? v.588 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Elle me voit toujours avec tant de bonté ! v.589 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Ne fait-on jamais rien contre sa volonté ? v.590 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ces entretiens abstraits, que d'abord on admire, v.594 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Et qu'on ne tarde guère à trouver ennuyeux ? v.595 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Nos entretiens sont tels qu'il convient à Zémire. v.596 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Quoi qu'on dise en faveur du sexe dont nous sommes, v.599 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Les éloges sont faux, ou du moins trop flatteurs. v.600 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- C'est un métier qu'il faut abandonner aux hommes, v.602 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Par forme, comme on dit, de dédommagement. v.603 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Chacun a son talent. L'art de plaire est le nôtre ; v.604 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Celui de raisonner, bien ou mal, est le vôtre. v.605 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Elle avait tout l'esprit que nous devons avoir ; v.610 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Chansons ! En se parant, on y gagne toujours. v.614 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Ne les y voit-on plus ? v.617 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Non. v.617 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- C'est donc d'aujourd'hui ? v.617 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- C'est que l'on ne sait pas tous les maux que l'on cause. v.620 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Sa tristesse paraît assez sur son visage ; v.623 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Et je ne comprends pas que l'on dispute un fait. v.624 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Aurais-je le bonheur de causer cet effet ? v.626 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Mais quelle vision ! Que venez-vous me dire ? v.628 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Eh ! C'est qu'apparemment je ne m'y connais point. v.633 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Les beaux jours du printemps ne font pas plus beaux qu'elle : v.639 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Il faut donc qu'avec vous elle se contrefasse; v.642 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Nadine, la beauté ne se contrefait pas. v.643 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Je voudrais qu'elle vînt pour vous confondre en face : v.644 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Je conviens avec vous que son ajustement v.646 (Acte 1, scène 5, AZOR)
- Vous avez raison. v.650 (Acte 1, scène 5, NADINE)
- Vous me paraissez bien contente ! v.654 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Pour contente, à présent je la suis. v.655 (Acte 1, scène 6, ZÉMIRE)
- Volontiers : aussi bien le sérieux m'ennuie. v.658 (Acte 1, scène 6, NADINE)
- Pourquoi donc ? v.660 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Azor ne daigne pas m'honorer d'un coup d'oeil ! v.664 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Azor, au nom des Dieux, quels chagrins sont les vôtres ? v.668 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Mes instances sont vaines ! v.670 (Acte 1, scène 7, ZÉMIRE)
- Elle peut, au défaut de mon expérience, v.673 (Acte 1, scène 7, Z?MIRE)
- Mais vous, qui me pressez de vous ouvrir mon coeur, v.675 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Avez-vous bien en moi la même confiance ? v.676 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Voyons, n'avez-vous rien que vous m'ayez caché ? v.678 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- La confiance exige, et veut du réciproque. v.679 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Hé quoi donc ? Vous gardez un silence équivoque ? v.681 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Concertez mieux votre réponse. v.687 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Qu'entends-je ? C'est Assan ! Ce grand bruit nous l'annonce. v.688 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Observons-les des yeux. v.692 (Acte 1, scène 7, AZOR)
- Sous ces traits empruntés, continuons toujours v.693 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- L'ingrat n'a pu m'aimer, empêchons qu'on ne l'aime. v.695 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ah ! Zémire, c'est vous ! Mon bonheur est extrême. v.696 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je m'échappe en secret pour venir honorer v.697 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Dans son plus bel ouvrage, Assan vient t'adorer. v.699 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Zémire, à ce portrait, devrait se reconnaître. v.700 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- L'amour et la beauté sont ici rassemblés ; v.704 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Assan vient, à vos pieds, déposer son hommage. v.705 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- C'est celui qu'il convient de parler à Zémire ; v.708 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- À peine avez-vous fait connaissance avec moi. v.714 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Mon coeur fut pénétré d'une atteinte imprévue, v.716 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Il semblerait que c'est par forcé et par contrainte v.721 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Que vous avez conçu de l'amitié pour moi. v.722 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- L'amour, dont le feu me dévore. v.725 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Dites-moi, cet amour est donc un sentiment. v.726 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Tel qu'il est dans mon coeur, il les renferme tous. v.730 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Il peut avoir raison. v.731 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Quand on a de l'amour, à quoi le connaît-on ? v.738 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- L'effet que font sur moi vos armes invincibles ? v.743 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne définit bien l'amour qu'aux coeurs sensibles. v.744 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce qu'on ne ressent point ne s'imagine pas. v.745 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Quelle horreur m'environne ! v.747 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Oui, Zémire, aussitôt mon bonheur m'abandonne ; v.748 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Partout ailleurs, qu'au fond de cet heureux séjour, v.750 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Aucun amusement n'est plus à mon usage : v.751 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Il semble, mot-à-mot, lire au fond de mon coeur. v.754 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Aurais-je de l'amour ? Achevons de m'instruire. v.755 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Mais quel but à l'amour ? À quoi peut-il conduire ? v.758 (Acte 1, scène 9, Z?MIRE)
- Au bonheur le plus grand, quand il est mutuel. v.759 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne peut s'y tromper ; rien n'est moins équivoque. v.762 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Pour être l'un à l'autre, il semble qu'on soit né ; v.763 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne fait plus qu'un coeur, qu'un esprit et qu'une âme ; v.766 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- On ne pense, on n'agit, on n'existe en effet v.767 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Qu'autant que l'on s'adore ; on devient ce qu'on aime. v.768 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Ce que vous m'apprenez est le bonheur suprême. v.769 (Acte 1, scène 9, ZÉMIRE)
- Non, Zémire, il vous reste encore v.775 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Zémire, l'on peut donc vous aimer et vous plaire ? v.779 (Acte 1, scène 9, ASSAN)
- Je connais le prix d'un don si précieux. v.781 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Qu'est devenu l'objet dont mon âme est charmée ? v.784 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Reste ; et dévore ici ta honte et ton regret. v.786 (Acte 1, scène 10, ASSAN)
- Ce qu'il me fait entendre, a de quoi me confondre ; v.787 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Il n'est donc plus de coeur dont on puisse répondre ? v.788 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- D'où vient qu'à mon aspect Zémire a disparu ? v.789 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Que veut dire un coup_d_oeil confus, embarrassé, v.792 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- N'en croyons que Zémire. On peut lire aisément v.795 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- Saisissons une erreur qui flatte mes désirs : v.799 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- On n'en refuse point de la main des plaisirs. v.800 (Acte 1, scène 11, AZOR)
- On n'avait jamais pris de pareils truchements. v.803 (Acte 2, scène 1, ZALEG)
- Pourquoi donc ? v.805 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Vous leur avez gâté leurs chants harmonieux, v.806 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Que vous, disent-ils donc de si fâcheux. v.809 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Répéter, fredonner, ramager à l'oreille ; v.811 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Que ne leur laissiez-vous les sons mélodieux v.813 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Dont ils font retentir nos forêts etc nos plaines. v.814 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- On peut varier ce refrain. v.817 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Pour lui donner une autre forme, v.819 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Bon voyage aux oiseaux : en faveur de leurs chants, v.827 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Ils vont tous, de ma grâce, avoir la clef des champs. v.828 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Soit. Ils iront dans ces retraites. v.829 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Continuer leurs chants nouveaux ; v.830 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Seront aussi mes interprètes. v.832 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Ils auront des petits qui les imiteront. v.833 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Les uns, de proche en proche, iront dans les campagnes, v.834 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Dans les forêts, sur les montagnes, v.835 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Les apprendre aux échos qui les répéteront ; v.836 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Traverseront les vastes mers, v.838 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Et porteront au bout de l'univers v.839 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Seront connus partout, et ne mourront jamais. v.842 (Acte 2, scène 2, ZALEG)
- Non ; un pareil honneur n'est pas ce qui m'anime, v.843 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Plus nous faisons de bruit, et moins on nous estime. v.844 (Acte 2, scène 2, NADINE)
- Eh bien, Azor, Assan, n'ont pu vous égayer ? v.853 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Quoi donc ? v.856 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Des choses qui vont te surprendre, v.860 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Dont il semble qu'Azor ait craint de me parler, v.861 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et qu'au fond de mon coeur j'ai peine à démêler. v.862 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Voyons. v.863 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Le secret de mon coeur. v.865 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- La découverte est bonne ; elle doit vous charmer. v.869 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Nous croyons nous aimer autant qu'on peut aimer ? v.870 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Soit ; ayons de l'amour, Zémire, il en faut prendre. v.877 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- J'ai bien peur d'en avoir. On vient de me l'apprendre. v.878 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et ne peut-on savoir v.880 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Oui : mais il n'est charmant qu'autant qu'on en inspire v.884 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Nous ne pouvons ensemble en faire aucun partage. v.889 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Non, j'ai dans la pensée v.892 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Par exemple, Assan m'aime ; il me l'a fait connaître : v.895 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il sera malheureux autant qu'on puisse l'être ; v.897 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mais voyons, contez-moi cette étrange aventure. v.900 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Sa situation deviendra bien affreuse ? v.903 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Non ; puisque apparemment Azor ne m'aime pas, v.906 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- J'ai mes raisons aussi pour chercher à m'instruire. v.907 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Quel effet dans son coeur aurait-il dû produire ? v.909 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- On ne peut jamais rendre un si sensible hommage, v.914 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- L'encens qu'on offre aux Dieux ne vaut pas ce langage : v.915 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Et peut-on en parler un autre à ce qu'on aime ? v.920 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ni ces expressions, ni ces termes flatteurs, v.925 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- "Dont je crois que l'usage est si doux et si tendre. v.926 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Sur ce qu'Assan m'a dit, je me suis reconnue. v.932 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Ce n'est que loin d'Azor qu'on me voit soupirer ; v.934 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Son absence, m'accable, et me devient mortelle : v.935 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Ma situation change, elle n'est plus la même. v.938 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il ranime mes yeux, mon esprit, et ma voix. v.939 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Du bonheur que je crois le plus grand de la vie. v.942 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mes chagrins sont si bien détruits ou suspendus, v.945 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Il vous donne des soins ; il vous préfère à nous. v.951 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Tout bien considéré, je crois que Zaleg m'aime ? v.959 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Cependant, quand je songe à ces tendres regards v.962 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Les miens plus d'une fois ont fait baisser les siens : v.964 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Mais sa bouche jamais ne m'a rien confirmé. v.970 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Est-il honteux d'aimer ? Faut-il garder son coeur ? v.976 (Acte 2, scène 3, ZÉMIRE)
- Et serait-ce blesser son honneur et fa gloire v.977 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Que de reconnaître un vainqueur ? v.978 (Acte 2, scène 3, Z?MIRE)
- Elle n'a donc rien de réel. v.982 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Dans la confusion de vos tristes pensées v.985 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Par bonheur je n'ai plus l'esprit de m'attrister. v.988 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Ce n'est rien. Je croyais que l'on venait ici. v.993 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Il m'a fait savoir son amour. v.997 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Dont Zaleg s'est servi, ne m'a pas moins charmée, v.999 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Je vais vous le conter.... Mais je parle aux échos ! v.1001 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Mais, ne nous fâchons pas de ce qu'elle sommeille ; v.1003 (Acte 2, scène 3, NADINE)
- Employons les moyens qui rendent tout possible ; v.1009 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Déployons à ses yeux, prodiguons, répandons v.1010 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Les biens les plus parfaits, les plus précieux dons : v.1011 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Ne peut manquer d'avoir son succès ordinaire. v.1016 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Quelle sera ma honte et ma douleur extrême ! v.1019 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Dans un songe enchanteur faisons que mon ingrat v.1020 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Apparaisse à Zémire avec tout son éclat. v.1021 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Opposons Azor à lui-même. v.1022 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Puisse-t-elle, à mon gré, lui plaire, l'enflammer, v.1023 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Et perdre son bonheur en se faisant aimer... v.1024 (Acte 2, scène 4, ASSAN)
- Amour conduis mes pas... Quoi, toujours mou rival : v.1028 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Il semble qu'en tous lieux son ombre m'accompagne ! v.1029 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Avançons, et cherchons cette aimable mortelle. v.1032 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Je ne vais qu'en tremblant où mon coeur me conduit; v.1033 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Les dons de mon rival ont prévenu les miens. v.1035 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Quelle profusion ! Je l'avais bien prévue. v.1036 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Mes yeux font éblouis ! Que deviendront les siens ? v.1038 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Voilà ce que j'oppose, et quel est mon pouvoir. v.1040 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Que vais-je devenir ?... Zémire, On vous outrage. v.1043 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Ce tribut offensant doit blesser votre honneur ; v.1044 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Déposons à ses pieds une offrande plus pure. v.1047 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Ce que j'offre à Zémire, est ce qu'on offre aux Dieux. v.1050 (Acte 2, scène 5, AZOR)
- Qui suis-je ? Est-il bien sûr que ce ne soit qu'un songe, v.1051 (Acte 2, scène 6, ZÉMIRE)
- Rassurons-nous ; ce n'est heureusement pour moi v.1053 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'une de ces erreurs où le sommeil nous plonge. v.1054 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Tâchons d'en effacer la triste impression... v.1055 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Serait-ce une autre illusion ? v.1056 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Est-ce à moi qu'on en veut ! La frayeur me saisit, v.1058 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Amis auprès de moi ?... Mais lisons cet écrit. v.1060 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Mon coeur ne se sent point flatter v.1062 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Quand j'y pense, j'éprouve un sentiment contraire. v.1064 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Ah, que! don plus flatteur se présente à ma vue ? v.1068 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Mon âme, à cet aspect, est tendrement émue : v.1069 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Qu'auparavant je ne connaissais pas. v.1078 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- On n'en pouvait pas mieux assortir les couleurs. v.1081 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- On ne peut respirer de plus douces odeurs. v.1082 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- Il sera beaucoup mieux... Non, rien n'est plus parant. v.1084 (Acte 2, scène 6, Z?MIRE)
- C'en est fait, mon secret n'est plus en ma puissance. v.1087 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Tombons à ses genoux... Je perdrais mon bonheur. v.1088 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Voyez votre bienfait et ma reconnaissance. v.1089 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je vois qu'on ne peut pas lui faire plus d'honneur. v.1090 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Azor, il faudrait lire au fond de ma pensée : v.1091 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- L'expression ne peut en rendre la moitié. v.1092 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ne fut mieux reconnue et mieux récompensée. v.1094 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Lui dirai-je mon rêve ? Oui. v.1097 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Dissipez mon effroi. v.1103 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Elle vient malgré moi d'un songe que j'ai fait. v.1107 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Un songe, dites-vous ? v.1108 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- L'impression m'en reste ; v.1108 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Il semble m'annoncer un avenir funeste ; v.1109 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Et je crains qu'il n'ait son effet. v.1110 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Quoi ? Vous donnez dans une erreur pareille, v.1111 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Qui ne durent qu'autant que la raison sommeille, v.1113 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Je l'avoue à ma honte. v.1115 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Mais il faut cependant que je vous le raconte. v.1116 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Voyons ; j'y ferai mon possible. v.1118 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Dont la punition est d'errer parmi nous.... v.1120 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je sais que je vous ai raconté son histoire, v.1121 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Et mais pardonnez-moi ; je dois m'en accuser. v.1135 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Qu'avez-vous répondu ? v.1147 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Non... Mais ce n'est qu'un songe, au moins. v.1149 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- J'ai promis de répondre un jour à sa tendresse. v.1154 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Vous n'êtes pas étonné, confondu ? v.1155 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Non : je ne vois rien là qui ne soit très possible. v.1156 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Aussitôt le sommeil, le Génie, et le songe, v.1163 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Que ce n'était-là qu'un mensonge ! v.1165 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Comment donc ? v.1166 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ce songe peut avoir v.1166 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Un effet plus constant que vous ne pouvez croire. v.1167 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Ne m'avez-vous pas dit qu'un songe est une erreur ? v.1174 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Conciliez-vous donc. Que faut-il que je croie ? v.1177 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- D'un Génie inconnu je deviendrais la proie ! v.1178 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Non ; je n'aurai jamais un destin si contraire : v.1180 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Eh quoi ? N'a-t-il pas eu le bonheur de vous plaire ? v.1182 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Ai-je agi librement en cette occasion ? v.1183 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Je n'ai point eu de part à cette illusion. v.1184 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Ne répondez de rien. v.1185 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Non, vous ne l'êtes pas ; c'est moi qui vous l'assure, v.1186 (Acte 2, scène 7, AZOR)
- Que jamais ce Génie avec tout son amour.... v.1189 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Ce sera loin de vous.... Ne nous rencontrons plus ; v.1196 (Acte 2, scène 7, ZÉMIRE)
- Évitons-nous tous deux ; moi, par obéissance ; v.1197 (Acte 2, scène 7, Z?MIRE)
- Que son dépit la rend touchante ! v.1201 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Non, jamais il ne fut un objet plus charmant. v.1202 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Que son courroux est cher à mon coeur ! Qu'il m'enchante ! v.1204 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- À prononcer l'aveu de sa tendresse extrême. v.1206 (Acte 2, scène 8, AZOR)
- Ne me reprochez plus ma tristesse profonde. v.1209 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- J'ai crû que votre coeur devait être content ; v.1210 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- M'a dit qu'Azor était le plus content du monde. v.1212 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Est-il bien raisonnable ? v.1218 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Ne parlions plus d'Azor ; épargne sa victime. v.1219 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Allons, n'y pensons plus. v.1220 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- M'apprêter le sujet d'un si long repentir ? v.1222 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Dans les réponses qu'il m'a faites ? v.1224 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- En termes assez clairs il vient de m'annoncer v.1229 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Qu'à l'espoir d'être à lui, mon coeur doit renoncer. v.1230 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- D'Azor et de ses soins on pourra se passer. v.1232 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Hé, peut-on disposer ainsi de sa mémoire ! v.1234 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Je vois que, parmi nous, tous les jours on oublie v.1236 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- On se brouille avec elle ; on la quitté; on en changes v.1239 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- On la punit, et l'on se venge. v.1240 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Zémire, ce doit être, à plus forte raison, v.1241 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Quelle comparaison ! v.1242 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Sais-je comme on inspire, et comme on prend du goût ? v.1247 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- On cède à son étoile, et l'on fuit la nature. v.1249 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Il tient lieu de raison dans un coeur qu'on outrage. v.1251 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- L'oubli sera plus sûr, j'en ferai mon bonheur. v.1253 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Mais il traîne en longueur. La vengeance est plus prête, v.1255 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Et d'ailleurs, fait bien plus d'honneur. v.1256 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Ainsi donc, contre Azor, Nadine se déclare ! v.1257 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Ah, ah, l'amour rend donc l'esprit un peu bizarre ? v.1260 (Acte 3, scène 1, NADINE)
- Je vois que, sur ses maux, on a tort d'éclater, v.1261 (Acte 3, scène 1, ZÉMIRE)
- Que dans le fonds de l'âme il faut qu'on les dévore, v.1262 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Je consulte une amie, elle m'accable encore ; v.1263 (Acte 3, scène 1, Z?MIRE)
- Où l'on m'a fait savoir ce que c'est que l'amour ! v.1268 (Acte 3, scène 2, ZÉMIRE)
- Mon ignorance était paisiblement séduite. v.1270 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Mon malheur, ce me semble, avait moins de rigueur. v.1271 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Ah, qu'il m'est douloureux de connaître mon coeur ! v.1272 (Acte 3, scène 2, Z?MIRE)
- Zémire, connaissez quel est votre pouvoir. v.1274 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- En vous, est le seul bien que mon coeur se propose. v.1276 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Et d'exciter pour moi dans lé fond de votre âme v.1279 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- C'est là mon titre le plus doux, v.1284 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Tâchons de l'éblouir. v.1285 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Cherchons à m'en défaire. v.1285 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je ne pourrai jamais en connaître le prix. v.1287 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Ces garants de l'amour dont mon coeur est épris, v.1289 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ont dû vous annoncer de plus grands sacrifices. v.1290 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mon destin a fixé ma vie et ma fortune v.1293 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Et je n'en connais point que l'amour ne rapproche. v.1297 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ils me sont tous indifférents. v.1298 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Tant de beautés ne sont point faites v.1299 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Laissez-moi profiter des bontés du hasard ; v.1305 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Qui m'a fait naître au fond de cette solitude.. v.1306 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Elle règne sur nous ; et nous régnons sur elle. v.1312 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Zémire, y pensez-vous ? Quel est donc ce langage ? v.1317 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Non. v.1321 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Je vois ce qui vous rend si contraire à mes voeux. v.1323 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Il est un inconnu, qu'un destin malheureux v.1325 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Son amitié pourra se changer en amour. v.1328 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Son âme, dès longtemps, se serait enflammée. v.1330 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Depuis qu'il vous connaît il serait votre amant. v.1331 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Est rarement le fruit d'une longue habitude. v.1333 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- On ne l'évite point ; l'atteinte est imprévue. v.1338 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Le font éclore ; aussitôt il est né. v.1340 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- On a beau le cacher, il devient si sensible? v.1341 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que l'on ne tarde guère à le rendre visible : v.1342 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Oh le déclare : heureux si l'aveu qu'on en fait v.1343 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Pouvait toujours produire un bon effet ? v.1344 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Nous devons commencer d'abord par vous aimer. v.1356 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Nous cherchions à vous enflammer, v.1358 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Pour arriver enfin à ce bonheur suprême. v.1359 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je pouvais me flatter que mon amour extrême v.1361 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Ces distinctions-là ne vous avancent guère. v.1363 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais il s'agit d'Azor ; Zémire, en bonne foi, v.1364 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Par où mérite-t-il un don si précieux ? v.1367 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mais, Zémire, songez qu'à vos divins appas v.1374 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Son coeur ne s'est jamais offert en sacrifice : v.1375 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Croyez que dès longtemps, il en eût fait l'aveu. v.1379 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Mais c'est lorsqu'on ne peut se parler autrement. v.1385 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Sont le partage v.1386 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- À vérifier un soupçon ; v.1389 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Zémire, gardez-vous, en aucune façons ; v.1392 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Que n'ai-je mieux suivi les conseils que je donne ? v.1401 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Je n'espère jamais aucune guérison : v.1402 (Acte 3, scène 3, ZÉMIRE)
- Mais vous persuadez ma gloire et ma raison. v.1403 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- À vos sages avis mon amour s'abandonne : v.1404 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Je jure, entre vos mains, qu'ils auront leur effet, v.1405 (Acte 3, scène 3, Z?MIRE)
- Les mots sont prononcés. C'est moi qui suis punie. v.1409 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Jouis de ton bonheur ; ma vengeance est finie. v.1413 (Acte 3, scène 3, ASSAN)
- Heureux dans son exil, heureux dans son amour v.1415 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Zémire, ce sera son effet le plus doux. v.1420 (Acte 3, scène 4, AZOR)
- Peut-on savoir où vous en êtes ? v.1421 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Vos explications sont-elles bientôt faites ? v.1422 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Hé bien, partons-nous pour les cieux ? v.1427 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Ah ! demeurons plutôt en ces aimables lieux, v.1428 (Acte 3, scène 5, ZÉMIRE)
- Qu'ils vont, de plus en plus, être chers à mes yeux v.1430 (Acte 3, scène 5, Z?MIRE)
- Établissons ici notre heureuse puissance, v.1431 (Acte 3, scène 5, AZOR)
- Allons, régnons où l'on nous aime. v.1433 (Acte 3, scène 5, NADINE)
- Où peut-on être mieux que dans l'heureux séjour .i v.1435 (Acte 3, scène 5, ZALEG)
- Ou l'on trouve Amour pour Amour. v.1436 (Acte 3, scène 5, ZALEG)
- Nous vous consacrons ce bocage. v.1440 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Couronne mes désirs : v.1444 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Régner sur ce qu'on aime, v.1445 (Acte 3, scène 6, LA PRINCIPALE HABITANTE)
- Prend autant d'amour qu'il en donne. v.1448 (Acte 3, scène 7, ZÉMIRE)
- La plus belle couronne v.1449 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Est sur quoi mon bonheur se fonde ; v.1452 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- De tous les biens du monde, v.1453 (Acte 3, scène 7, Z?MIRE)
- Sachez en faire un bon usage : v.1460 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- On dit que les amants de Cour. v.1467 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Sans aimer veulent qu'on les aime ; v.1468 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Adonis même eût fait redire ; v.1472 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Coquette et légère, à mon tour, v.1475 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Le vieux Philémon, l'autre jour, v.1479 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mon Amant trouve, chaque jour, v.1483 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
- Mille beautés qu'on me préfère, v.1484 (Acte 3, scène 7, ZALEG)
LE PRÉJUGÉ À LA MODE (1735)
- Ah ! Constance, est-ce à vous à prendre ma défense, v.1 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Vous me connaissez peu, si vous me soupçonnez v.3 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Madame, pardonnez... v.4 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Damon, soyez-en sûr ; croyez qu'il m'est bien doux v.7 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- De servir un ami si cher à mon époux. v.8 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- C'est l'étroite amitié dont votre époux m'honore, v.9 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Quoi ! Votre liaison ?... v.11 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- M'expose à son courroux. v.11 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Tout le monde n'est pas aussi juste que vous. v.12 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Je ne reconnais point Sophie à ce caprice ; v.13 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous m'étonnez. D'où vient cette extrême injustice ? v.14 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Inutile bonheur ! v.15 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Peut-être elle me rend justice au fond du coeur, v.16 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle outrage à la fois mon amour et ses charmes. v.18 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- On se trompe, en jugeant trop généralement. v.19 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Dont son sexe est toujours l'innocente victime : v.21 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Tel est son sentiment, qu'elle croit légitime. v.22 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Autorise encor plus son injuste terreur. v.24 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Elle vous trouve à plaindre, et m'en rend responsable. v.26 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Monsieur, elle se trompe, et nous offense tous. v.28 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Damon, il n'en est rien. v.30 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous voulez qu'on vous croie. v.30 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Brisons là, je vous prie. Avant notre départ, v.31 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Sophie à mes conseils aura peut-être égard ; v.32 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Vous savez que son sort dépend de votre père. v.34 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- J'attends Argant ; je vais hâter votre bonheur. v.35 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Je suis confus... v.36 (Acte 1, scène 1, DAMON)
- Allez, je me fais un honneur v.36 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Surtout, que mon époux ignore cet outrage. v.38 (Acte 1, scène 1, CONSTANCE)
- Faut-il que mon époux ne fasse aucun usage v.41 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Des conseils d'un ami si fidèle et si sage ? v.42 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- D'affecter un bonheur qui n'a rien de réel ?... v.44 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Du moins, n'ajoutons pas ce supplice à ma peine ; v.49 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Son inconstance est moins affreuse que sa haine. v.50 (Acte 1, scène 2, CONSTANCE)
- Vous m'avez ordonné de vous attendre ici, v.51 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je vais de point en point y répondre d'avance. v.57 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que je parle d'abord à mon tour. v.59 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- On me maria donc, et me voilà rangé, v.63 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Si bien qu'on me trouva totalement changé : v.64 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et véritablement une union si belle, v.65 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mais auprès d'une femme on a beau se contraindre : v.69 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Bon ! Naturellement le sexe aime à se plaindre. v.70 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Elle ne savait pas, ni vous non plus, madame, v.73 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que sans amour on peut très bien aimer sa femme v.74 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Madame se plaignit, et mon père en fut juge. v.78 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Le bonhomme autrefois fut dans le même cas. v.79 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mon fils a tort, dit-il, je ne l'excuse pas. v.80 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Je répondrais de même, et j'irais en avant. v.83 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Quand on croit deviner, on se trompe souvent. v.84 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- La contradiction me ravit et m'enchante... v.85 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Eh ! Bien, madame, soit ; vous êtes très contente... v.86 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Monsieur, en doutez-vous ? v.87 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et que... J'enrage de bon coeur... v.91 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Oui ; mais on a pris soin de lui gâter l'esprit. v.95 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Damon et votre époux en sont dans un dépit... v.96 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Qui peut donc avoir mis dans son coeur trop crédule v.97 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Cet effroi mal fondé, ce dégoût ridicule, v.98 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Cette aversion folle, et ces airs de mépris v.99 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- À son âge on n'a point de chimères pareilles v.101 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- À celles dont elle a fatigué mes oreilles. v.102 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Au contraire, une Agnès se fait illusion, v.103 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et savoure à longs traits la douce impression v.104 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que son coeur enchanté reçoit de la nature ; v.105 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Que vous lui débitez contre votre mari. v.112 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Mon malheur ne m'épargne aucune circonstance. v.113 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Apprenez donc, monsieur, la façon dont je pense, v.114 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Dans l'accusation que vous me supposez. v.116 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Mais enfin, si mon sort cessait d'être aussi doux, v.119 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Si j'avais à pleurer le coeur de mon époux, v.120 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Je cacherais ma honte, en me rendant justice, v.121 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Et je me garderais d'augmenter mon supplice. v.122 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Si quelque occasion peut mieux faire connaître, v.125 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Voilà mes sentiments, tirez la conséquence. v.129 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- On n'agit pas toujours aussi bien que l'on pense : v.130 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Un beau raisonnement ne détruit pas un fait. v.131 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Enfin, si vous voulez me convaincre en effet, v.132 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Concourez avec moi pour marier ma nièce ; v.133 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Et que bientôt Damon... v.135 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Il me convient, à moi. v.136 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- On ne s'engage point sans quelque inquiétude. v.142 (Acte 1, scène 3, CONSTANCE)
- Voilà bien des façons qui ne servent à rien. v.147 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Bon. La voici, je vais commencer l'entretien. v.148 (Acte 1, scène 3, ARGANT)
- Ma nièce, comment donc entendez-vous la chose ? v.149 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Vous a-t-on dit vrai ? v.150 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Après ce que madame a dû vous confier, v.151 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Moi, te sacrifier ! Quand je veux au contraire v.153 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Te donner pour époux quelqu'un qui t'a su plaire ; v.154 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Damon ? v.155 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Qui vous a fait ces confidences-là ? v.155 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Qui t'approuve, et qui croit qu'une fille à ton âge v.157 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Doit commencer d'abord par un bon mariage. v.158 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Parbleu, c'est pour ton bien, v.159 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Madame est donc heureuse ? v.162 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- On ne peut davantage. v.162 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Je dois en convenir. v.163 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Voilà des nouveautés qu'on ne peut prévenir. v.164 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je veux bien pour Damon avoir un peu d'estime, v.166 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Peut-être, si mon sexe abusé tant de fois, v.168 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je choisirais Damon... l'exemple me rend sage : v.170 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Je remarque aujourd'hui qu'il n'est plus du bon air v.172 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- D'aimer une compagne à qui l'on s'associe. v.173 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Mais ailleurs on a fait de l'amour conjugal v.175 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- On lui reprocherait tout ce qu'il voudrait être. v.178 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- De passer de la honte à l'infidélité. v.184 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Constance ! Heureuse, elle. v.187 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Non, vous ne l'êtes pas. v.188 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Elle a dit mon secret ; je vais dire le sien. v.191 (Acte 1, scène 4, CONSTANCE)
- Je n'y connais plus rien. v.192 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- J'ai vu... j'ai reconnu les traces de vos pleurs ; v.195 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Au fond de votre coeur j'ai surpris vos douleurs. v.196 (Acte 1, scène 4, SOPHIE)
- Celle-ci ne veut pas épouser son amant. v.200 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Constance... mais qui diable y pourrait rien comprendre ? v.201 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Vous m'avez entendu, madame, heureuse ou non. v.203 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Quant à vous, je m'en vais remercier Damon... v.204 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Ferme, continuez à ne vous pas entendre. v.206 (Acte 1, scène 4, ARGANT)
- Damon n'osera s'en aller. v.207 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Ah ! Sophie, on croira que je vous fais parler. v.208 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- En quoi suis-je donc si coupable ? v.210 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Oui, ma chère Constance, il est vrai, je n'ai pu v.211 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Me contraindre. Quel tort fais-je à votre vertu ? v.212 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- M'ôter impunément le bonheur de ma vie, v.218 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Qui devraient être égaux !... mais ils ont fait les lois. v.220 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Sa femme est sa compagne, et non pas son esclave. v.222 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- M'en soupçonneriez-vous ? v.225 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Non, je vous rends justice ; v.225 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Mais vous autorisez un injuste soupçon. v.227 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- On peut interpréter d'une étrange façon, v.228 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- On les peut imputer à votre indifférence, v.230 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Que nous donne un ingrat, quand il nous pousse à bout. v.232 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- On peut aller plus loin. v.234 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Non, mon époux m'estime. v.234 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Vous vous contentez là d'un bien faible retour ; v.235 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Quoi ! Les hommes ont-ils d'autres droits que les nôtres ? v.238 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Se contenteraient-ils de n'être qu'estimés ? v.239 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Tout perfides qu'ils sont, ils veulent être aimés. v.240 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- J'aimerais trop Damon ; j'en ferais un ingrat, v.243 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Sur le coeur de Damon prenez plus d'assurance. v.245 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Non, la fidélité n'est pas en leur puissance. v.246 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Comptez sur son amour et sur sa probité. v.247 (Acte 1, scène 5, CONSTANCE)
- Que sont-ils devenus ? Qu'est-ce qui vous en reste ? v.249 (Acte 1, scène 5, SOPHIE)
- Madame, je vous cherche. On vient... v.253 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mon époux ? v.257 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Votre époux !... Lui !... La demande est bonne ! v.257 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Est-ce jamais par-là que son chemin s'adonne ? v.258 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Sachons ce que ce pourrait être. v.262 (Acte 1, scène 6, SOPHIE)
- Que l'on vient d'apporter, Madame ; il est charmant. v.264 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Vous allez ajouter conquête sur conquête. v.269 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Mais quelle vision lui passe par la tête ? v.270 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- À qui voulez-vous donc qu'on ait fait cet envoi ? v.276 (Acte 1, scène 6, FLORINE)
- Damon, de qui votre oncle approuve la tendresse... v.278 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Mais voici mon époux : dans cette conjoncture, v.281 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Dois-je lui confier cette étrange aventure ? v.282 (Acte 1, scène 6, CONSTANCE)
- Voyons un peu l'effet qu'ont produit mes présents. v.283 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Durval, vous m'étonnez. v.285 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- On vient de me l'apprendre ; v.285 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je ne l'aurais pas cru, malgré tous mes soupçons ; v.287 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Vous m'avez procuré d'assez belles leçons, v.288 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Qui ne sortiront pas si-tôt de ma mémoire. v.289 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Je l'avais bien prévu... Monsieur, pouvez-vous croire... v.290 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Mais à mon désaveu vous n'avez point d'égard. v.292 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Je n'imaginais pas qu'on eût la cruauté v.295 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Oui, je souffrais trop de la voir si contrainte ; v.306 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Madame est bonne amie. v.309 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- De grâce, épargnez-nous cette froide ironie. v.310 (Acte 1, scène 7, SOPHIE)
- Quand même vous seriez encor mieux son époux, v.311 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Car il faut amuser ceux qui vous font leur cour. v.324 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Ne déconcertez point le plaisir qui vous suit, v.328 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Madame, on partira lorsque vous serez prête... v.329 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Vous avez un habit convenable à la fête... v.330 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Monsieur... v.331 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Dont vous avez refait enfin votre équipage. v.334 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Dépensez hardiment, et vous aurez raison. v.339 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Cet époux a pourtant quelque chose de bon. v.340 (Acte 1, scène 7, FLORINE)
- Le trop juste sujet de ma confusion. v.343 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- À quelle occasion ? v.344 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Que l'on pût avec moi prendre tant de licence. v.346 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Vous parlez de licence ! En quoi donc, s'il vous plaît ? v.347 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- S'ils sont chez moi... v.351 (Acte 1, scène 7, CONSTANCE)
- Que ce sont des présents qui vous ont été faits. v.355 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Et vous ne daignez pas chercher à le connaître ?... v.357 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Mais sur qui vos soupçons pourraient-ils s'arrêter ? v.359 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- N'importe, donnons-lui de violents soupçons. v.363 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- Madame, cependant j'ai de fortes raisons v.364 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- De plus... présents ou non... madame... vous pouvez... v.371 (Acte 1, scène 7, DURVAL)
- N'est-ce point mon époux qui m'a fait ces présents ? v.375 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Des époux ne font pas des tours aussi plaisants ; v.376 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Il lui donne à regret, toujours moins qu'il ne faut, v.379 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Mais nous avons ici Damis avec Clitandre, v.381 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- Je crois qu'on en pourrait accuser ces messieurs. v.383 (Acte 1, scène 8, FLORINE)
- As-tu quelque soupçon ? v.384 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Eh ! N'empoisonnez pas encore mes douleurs. v.387 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Profitez du plaisir que l'on offre à vos charmes, v.393 (Acte 1, scène 8, CONSTANCE)
- Quel état ! Et l'on veut que je prenne un époux ? v.395 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Qu'on ne m'en parle plus ; ils se ressemblent tous. v.396 (Acte 1, scène 8, SOPHIE)
- Il est vrai : mais entrons un moment chez Constance. v.398 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mon équipage est bon : j'imagine qu'ailleurs v.399 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Constance en devait être ; elle n'est point venue. v.401 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Entrons chez elle... allons ; c'est une attention v.403 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Dont elle vous aura de l'obligation. v.404 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- On y peut envoyer. v.406 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Du sort de ton épouse adoucis la rigueur ; v.407 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Souvent les procédés font excuser le reste. v.410 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je crois tous nos chasseurs dans son appartement... v.411 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour nous entretenir, choisissons ce moment. v.412 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je t'ai fait un secret dont la charge m'accable ; v.414 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je t'ai craint ; j'ai prévu tes conseils, des discours, v.415 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que ma faible raison me rappelle toujours. v.416 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quand j'ai voulu parler, la honte m'a fait taire ; v.417 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qui font de leurs amis de malheureux esclaves ; v.421 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- C'est une liaison libre et délicieuse, v.426 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Dont le coeur et l'esprit, la raison et le temps, v.427 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ont ensemble formé les noeuds toujours charmants ; v.428 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Doit prêter de concert, sans qu'on la violente. v.430 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Eh ! Bien, sois donc enfin le seul dépositaire v.433 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- D'un secret dont je vais t'avouer le mystère ; v.434 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que du fond de mon coeur, il passe au fond du tien ; v.435 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mes inclinations, ami, sont bien changées ; v.437 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mes infidélités vont être bien vengées... v.438 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quoi ! Ton volage coeur se livrera toujours v.443 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne pourront-elles plus renaître de leurs cendres ? v.446 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- L'inconstance est souvent un des plus grands malheurs. v.448 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Apprends quel est l'objet qui cause mon supplice. v.449 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Non ; je suis ton ami, mais non pas ton complice. v.450 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ne m'abandonne pas dans mes plus grands besoins ; v.451 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je ne veux point entrer dans cette confidence. v.453 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Cet objet si charmant dont je reprends les lois, v.455 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Constance ! v.459 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- À mon ravissement rien ne peut être égal... v.460 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Tu le crains, et Constance en pourra craindre autant. v.463 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Qu'il est triste d'avoir été trop inconstant !... v.464 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- J'ai, par mille moyens qu'invente mon amour, v.467 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Apprends donc que je suis cet amant qu'on ignore, v.469 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- dont tout le monde ici soupçonne des rivaux, v.472 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On s'attache encor plus par ses propres bienfaits ; v.475 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On s'enrichit du bien qu'on fait à ce qu'on aime. v.477 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Que peut-elle penser ?... Durval, y songes-tu ? v.479 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- J'ai vu le trouble affreux dont son âme est atteinte ; v.481 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Malgré tout cet amour dont je t'ai rendu compte, v.485 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je me sens retenu par une fausse honte. v.486 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un préjugé fatal au bonheur des époux, v.487 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Pour plus d'une raison, je ne veux point d'éclat ; v.492 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je n'ai déjà donné sur moi que trop de prise... v.493 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un congé pour passer deux mois dans ce séjour, v.496 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Sous prétexte de faire ici ton mariage. v.497 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Damon, voilà pourquoi Constance est du voyage : v.498 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ma maison est ouverte à tous les survenants, v.503 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mon rang m'attire ici mille respects gênants... v.504 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ne se sont-ils pas mis aussi de la partie ? v.506 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Tu les connais, ce sont d'assez mauvais railleurs ; v.507 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Alors contre moi seuls ils deviendront meilleurs. v.508 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Avec des campagnards dont tu connais l'espèce, v.513 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Sans que dans mon désert un seul ami paroisse. v.514 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Le serment de s'aimer n'est donc que pour la forme ? v.522 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ah ! Peut-on faire ainsi, sans le moindre remord, v.531 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- La mode n'a point droit de nous donner des vices, v.538 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ou de légitimer le crime au fond des coeurs. v.539 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Pour qu'on ne doive plus en être la victime ; v.541 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Faisons ce qu'on doit faire, et non pas ce qu'on fait. v.543 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Pour aller vivre ensemble au fond d'une retraite. v.546 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Un inconvénient, sans doute inévitable, v.549 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Si j'apprends à Constance un triomphe si doux, v.551 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je crains de lui donner moins d'amour que de gloire ; v.554 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On en voit tous les jours mille exemples divers. v.556 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- On en trouve toujours de toutes les espèces, v.557 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Surtout lorsque l'on cherche à flatter ses faiblesses. v.558 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ce soupçon pour Constance est trop injurieux. v.559 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Tu ne le connais pas, ce sexe impérieux : v.560 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Dans notre abaissement il met son bien suprême ; v.561 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Ce reproche convient à l'un tout comme à l'autre. v.565 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Eh ! Pourquoi voulons-nous qu'il soit soumis au nôtre ? v.566 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Mais le traitons-nous mieux, quand nous l'avons séduit ? v.567 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Nous plaindrons-nous toujours, injustes que nous sommes, v.569 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Ce que nous ne pouvons nous empêcher d'aimer ? v.572 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Constance aura de plus à punir mes parjures, v.573 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- À craindre une rechute, un nouvel abandon ; v.575 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Constance doit me faire acheter mon pardon. v.576 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Et plus son ascendant croîtra de jour en jour. v.580 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- La résolution en est déterminée... v.582 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Au contraire. v.587 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quoi donc ? v.587 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Je renonce aux projets dont je viens de t'instruire. v.589 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Laisse-moi, tes conseils ont pensé me séduire. v.590 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Mais songe donc aux biens où tu vas renoncer. v.591 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Sais-tu bien quel arrêt tu viens de prononcer ? v.592 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- Il faut donc que Constance expire dans les larmes, v.593 (Acte 2, scène 1, DAMON)
- C'en est fait, pour jamais ma honte est asservie... v.598 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Sois content, mon coeur cède, et se rend à l'amour. v.599 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Quelle rencontre, ô ciel ! C'est elle qui s'avance... v.601 (Acte 2, scène 1, DURVAL)
- Je retenais Damon qui voulait s'en aller : v.603 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Je crois que devant lui nous pouvons nous parler ? v.604 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On vous a demandée. v.605 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- L'on a dit que madame était incommodée. v.606 (Acte 2, scène 2, DAMON)
- Je l'ai feint, et je viens vous en rendre raison. v.607 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Vous ne m'en devez rendre en aucune façon. v.608 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Vous savez le sujet de mon inquiétude ; v.610 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Depuis que l'on m'a fait ces dons injurieux, v.612 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Est-ce pour ces présents ? On saura vos refus. v.615 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Cher ami, n'en fais rien, ou crains mon désaveu. v.620 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Sachez donc un secret... vous ne le croirez pas... v.623 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Mais... que ne pouvez-vous lire au fond de son coeur... v.627 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Vous parlez de Damon ? v.628 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Non, il me fait parler... voyez son trouble extrême... v.630 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- À son bonheur. v.633 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Damon y peut compter. v.636 (Acte 2, scène 2, CONSTANCE)
- Moi, je réponds pour lui ; v.636 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Ôtez donc à Sophie un préjugé fatal v.639 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'elle a contre l'hymen. Ah ! Qu'elle en juge mal ! v.640 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qu'au contraire leur sort sera digne d'envie ! v.641 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Non, il n'est point d'état plus heureux dans la vie, v.642 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Pour ceux que la raison et l'amour ont unis. v.643 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- L'hymen seul peut donner des plaisirs infinis ; v.644 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On en jouit sans peine et sans inquiétude : v.645 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- On se fait l'un pour l'autre une heureuse habitude v.646 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Qui rencontre à la fois dans l'objet qui l'enchante, v.649 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Il trouve son devoir dans le sein des plaisirs. v.652 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Madame, on en pourrait trouver plus d'un modèle. v.654 (Acte 2, scène 2, DURVAL)
- Voilà ce que jamais on n'aurait attendu. v.655 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Venez, rassemblons-nous, la scène est impayable... v.657 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Allons, rions. De quoi ? v.659 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- On m'écrit... tu riras. v.660 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Nous ne le craindrons plus, cet aimable volage, v.661 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Qui fut le plus heureux de tous les inconstants ; v.663 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Nous le connaissons tous, et même à nos dépens : v.664 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Je le connais : son père fut de même ; v.665 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Il faut qu'à son sujet je vous... non, poursuivez ; v.667 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Voyons quels contretemps lui sont donc arrivés. v.668 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Est-ce que pour si peu l'on traite ainsi les gens ? v.671 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Non, il n'en a jamais trouvé que d'indulgents. v.672 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Non, le jeu n'a jamais dérangé sa fortune. v.674 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Ce n'est pas son défaut. v.675 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- Je vous le donne en cent. Qui l'aurait jamais cru ? v.679 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Non. v.685 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Non. v.688 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- C'est donc cette actrice ? v.688 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Eh ! Non, aucunement. v.688 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- Mais ne serait-ce point son épouse qu'il aime ? v.689 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Ce sont contes en l'air qu'il vient vous faire ici. v.691 (Acte 2, scène 3, ARGANT)
- Pardonnez-moi. v.692 (Acte 2, scène 3, CLITANDRE)
- On vous en avait dit quelque mot à l'oreille ; v.693 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- On ne devine pas une énigme pareille. v.694 (Acte 2, scène 3, DAMIS)
- Pour peu qu'on soit sensé, l'on devine le bien... v.695 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Mais vous vous étonnez fort à propos de rien : v.696 (Acte 2, scène 3, CONSTANCE)
- Constance prend la chose affirmativement. v.703 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Bon ! Bon ! C'est pour la forme. v.704 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Je suis sûr qu'elle en rit dans le fond de son âme... v.705 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Et que dit-on par-tout d'un retour si touchant ? v.708 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- À ton avis, Durval ? L'enquête me fait rire. v.709 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- À la cour, à la ville, on l'a tant blasonné, v.711 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Hué, sifflé, berné, brocardé, chansonné, v.712 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- En fin fond de province, il l'a contrainte à fuir ; v.715 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Ils sont allés s'aimer, et bientôt se haïr. v.716 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- C'est d'entrer dans le monde, et non pas d'en sortir. v.720 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Ils jouissent, sans doute, au fond de leur retraite, v.721 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- Un maître dont il est le premier domestique, v.725 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Sa femme l'a remis à son apprentissage. v.729 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Cet homme est possédé du démon conjugal. v.731 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Possédé de sa femme... Eh ! Ris-en donc, Durval. v.732 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- C'est un homme perdu, noyé dans son ménage. v.734 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Confisqué. v.735 (Acte 2, scène 4, CLITANDRE)
- Pour qui donc cette histoire est-elle si risible ? v.738 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Et qui ne sont pour lui qu'un sujet de scandale. v.741 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Non, vous ne pensez pas ce que vous avancez. v.743 (Acte 2, scène 4, DAMON)
- Nous en ferons ta cour à l'aimable Sophie. v.750 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Moi, je crois qu'on peut rire, et même sans scrupule, v.753 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- D'un amour que le monde a jugé ridicule. v.754 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Sainfar est dans le cas ; on en est convenu. v.755 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Il a pris un travers assez bien reconnu, v.756 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Puisque son aventure est mise en comédie. v.757 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Tout de bon ? v.758 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- J'ai la pièce ; on l'a fort applaudie : v.758 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Nous jouerons celle-ci... messieurs, qu'en dites-vous ? v.760 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Volontiers. v.761 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Si l'on veut. v.761 (Acte 2, scène 4, DURVAL)
- On la nomme l'époux amoureux de sa femme. v.762 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Bon ! C'est un des travers qu'on doit moins épargner : v.763 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Et la société n'y ferait pas son compte. v.765 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Combien il est d'époux retenus par la honte ! v.766 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Les dames y joueront : Constance aura le sien, v.768 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Durval contrefera l'amoureux de Constance : v.770 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Damon aura tout juste un rôle de Caton ; v.771 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- L'arrangement est bon. v.772 (Acte 2, scène 4, ARGANT)
- Ah ! Ton valet-de-chambre, Henri ; c'est notre affaire. v.774 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- C'est d'engager Constance à jouer dans la pièce. v.777 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Détermine Damon : quant à toi, tu sais bien v.779 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- Que l'on doit se prêter ; tu ne risqueras rien. v.780 (Acte 2, scène 4, DAMIS)
- En est-ce assez ? Dis-moi, que pourras-tu répondre ? v.781 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Il fallait cet exemple, afin de te confondre. v.782 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Où m'allais-je embarquer ?... ne me presse donc plus ; v.783 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Tes conseils désormais deviendraient superflus. v.784 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Vous permettez qu'on joue une farce indiscrète, v.785 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Je verrai ses beaux yeux y répondre à leur tour ; v.788 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Hélas ! C'est un plaisir qu'on doit bien me permettre... v.790 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- On verra que je sens tout ce que je dirai. v.792 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je mettrai, malgré moi, trop d'amour dans mon rôle ; v.793 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Constance est prévenue, elle pourra penser v.796 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Je ferai beaucoup mieux de tout abandonner ; v.799 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Je le vais annoncer, et partir tout de suite. v.801 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- J'ai fait peindre Constance en secret, et je crois v.803 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Que son portrait est fait ; car c'est depuis un mois v.804 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Qu'on est après. Le peintre est dans le voisinage, v.805 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- C'est un soulagement dont mes yeux ont besoin, v.807 (Acte 2, scène 5, DURVAL)
- Si la mode empoisonne un naturel heureux, v.811 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- À quoi sert le bonheur d'être né vertueux ? v.812 (Acte 2, scène 5, DAMON)
- Je crois avoir détruit son préjugé frivole. v.814 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Sophie a contre moi ce prétexte de moins. v.816 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Sachons s'il est le seul qui me reste à détruire... v.817 (Acte 3, scène 1, DAMON)
- Ah ! Vous voici, monsieur ! Entrez-vous au concert ? v.819 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- À propos, est-il vrai qu'on vous perd ? v.820 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Durval devait partir, un contre-ordre est venu ; v.823 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- C'est par ce contre-temps que je suis retenu. v.824 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Un contre-temps, Monsieur ! v.825 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mais, par votre ordre enfin, j'ai reçu mon arrêt ; v.827 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Pardonnez ce murmure, il est bien légitime v.829 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Au malheureux à qui l'on va chercher un crime v.830 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Au fond d'un avenir qui n'est pas fait pour lui : v.831 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- On me punit de ceux dont on soupçonne autrui. v.832 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je vois qu'on vous a fait un rapport trop fidèle ; v.833 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- On pouvait l'adoucir. v.834 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Il est donc vrai, cruelle ? v.834 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Puisque vous en tirez cette conclusion, v.839 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je n'ai rien à répondre en cette occasion. v.840 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Non... j'en voudrais guérir. v.843 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je connais jusqu'où va votre zèle ; v.845 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Madame, supposons qu'il soit... v.847 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Eh ! Bien, en convenant de tout ce qui vous plaît... v.848 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Constance fut séduite avec ces beaux discours. v.852 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Une personne à charge, et sans autorité ; v.855 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Son coeur fait notre titre, et nous donne un état. v.860 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- D'un généreux retour est-il donc incapable ? v.862 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Quand on s'égare, on peut revenir sur ses pas. v.864 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Son humeur inconstante est trop bien avérée : v.866 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Son exemple, en un mot... Eh ! Croyez-vous ?... Mais non. v.867 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Ce que je voulais dire est hors de saison. v.868 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je crois connaître à fond votre heureux caractère ; v.873 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Peut-être l'on pourrait vivre heureuse avec vous, v.875 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Si la constance était au pouvoir d'un époux : v.876 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Lorsque l'on craint pour vous, vous répondez d'autrui. v.879 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Damon, vous me perdrez, si vous comptez sur lui. v.880 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Achevez, prononcez... v.883 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- On pourrait l'espérer. v.889 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Qui puisse m'exposer en aucune façon. v.891 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- J'ai mes raisons. v.892 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Dont toute autre que moi se laisserait surprendre. v.901 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Damon, vous voulez donc me contraindre à vous fuir ? v.908 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Mon malheureux amour se fera violence ; v.909 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Je vais le condamner au plus cruel silence. v.910 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Il faut s'y conformer jusques à ce retour. v.912 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Oui, ma bouche et mes yeux sauront se contenir. v.916 (Acte 3, scène 2, DAMON)
- Damon, est-ce donc là le serment qui vous lie ? v.918 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Encore... une autre fois ne nous oublions plus. v.920 (Acte 3, scène 2, SOPHIE)
- Je serai donc heureux, et je le suis d'avance : v.921 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Je jouis des plaisirs que donne l'espérance. v.922 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Durval m'a tout promis, allons le retrouver ; v.923 (Acte 3, scène 3, DAMON)
- Damon, voilà ton rôle. v.925 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- On le lui fera prendre... ah ! Je te cherche aussi. v.927 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- C'était pour te donner ton rôle ; le voici. v.928 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Tu sors de chez Constance ? v.929 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Peut-on savoir comment ? v.931 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Ami, j'ai de bons yeux : v.936 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et celle à qui l'on donne ici toutes ces fêtes, v.937 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Sera-t-elle bientôt au rang de tes conquêtes ? v.938 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- C'est de toi qu'il faudrait avoir pris des leçons. v.939 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Quoi ! Tu voudrais sur moi détourner les soupçons ! v.940 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Tant de discrétion m'alarme et m'épouvante. v.941 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Sans contredit. v.943 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Mon plus grand plaisir est de leur rompre en visière. v.945 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Non. v.947 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Que sans y songer... v.947 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous pourrions nous nuire : il faudrait s'arranger, v.948 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Et nous concilier dans certaine occurrence, v.949 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Pour ne nous pas trouver tous deux en concurrence. v.950 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Entendons-nous ; sur-tout point de supercheries : v.954 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Entre nous seulement soyons honnêtes gens : v.955 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous avons sous la main vingt conquêtes pour une. v.957 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Partageons entre nous la fortune : v.958 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Établis ton quartier. v.959 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Tu ris. Ne cherchons point à nous pousser à bout : v.960 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous en perdrions trop devant la même place... v.962 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- D'ailleurs, certain égard nous convient à tous deux. v.963 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- C'est pourquoi convenons. v.968 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Mon choix n'annonçait pas un facile succès. v.972 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
- Nous espérons tous deux, ma joie en est extrême ; v.974 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Nous ne nous croisons pas. v.975 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Ma concurrence eût pu te nuire également. v.976 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Je vais pousser ma chance, et toi songe à la tienne. v.977 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Dans peu je te rendrai bon compte de la mienne. v.978 (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Oh ! Parbleu, nous verrons qui s'en fait plus accroire : v.981 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Il en veut à Constance indubitablement ; v.983 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Nous nous sommes joués, il trouvera son maître : v.985 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- On n'est heureux qu'autant qu'on se donne pour l'être. v.986 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Je sais me fabriquer des preuves de bonheur : v.987 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- J'ai là certain portrait qui doit me faire honneur... v.988 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Durval, voilà ton rôle et celui de Constance. v.989 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Pour Damon, je n'ai pu vaincre sa résistance : v.990 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Donne, il le voudra bien. v.991 (Acte 3, scène 7, DURVAL)
- Je vais chercher Argant, et lui donner le sien. v.992 (Acte 3, scène 7, DAMIS)
- Je regardais sans voir : mon esprit occupé v.995 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Cette conformité, cette même faiblesse, v.1002 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Que le ciel pour moi seul avait mis dans son coeur, v.1004 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Et que je trouve encor dans le fond de mon âme ? v.1005 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- J'ai cessé trop longtemps d'entretenir sa flamme. v.1006 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Eh ! De quoi son amour se serait-il nourri ? v.1007 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Dans le fond de son coeur il doit avoir péri. v.1008 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Ce soupçon est fondé sur trop de circonstances. v.1009 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Non, de si grands chagrins ne sont point si secrets ; v.1011 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- M'a-t-elle seulement honoré de ses larmes ? v.1013 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- On ménage un ingrat qu'on trouve encore aimable. v.1017 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Ne sait pas à quel point ses malheurs ont été : v.1019 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Tous tes égarements n'ont point trop éclaté. v.1020 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- En tout cas, sa vertu te répond... v.1023 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Quel amour, que celui qu'on ne doit qu'au devoir ! v.1024 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- N'importe. Va trouver ton aimable Sophie ; v.1025 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Annonce-lui qu'enfin je me réconcilie ; v.1026 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Vante-lui mon amour, pour avancer le tien... v.1027 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Mais non ; attends encore, ami ; ne lui dis rien. v.1028 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Je crois qu'il vaudrait mieux que Constance lui dise... v.1029 (Acte 3, scène 8, DURVAL)
- Pour la dernière fois je puis donc y compter ? v.1031 (Acte 3, scène 8, DAMON)
- Va voir si quelqu'un est dans son appartement : v.1035 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Que fais-tu là, planté contre cette muraille ? v.1037 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- À quel appartement, monsieur, faut-il que j'aille ? v.1038 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Ce que l'on n'a point dit, peut bien se répéter. v.1040 (Acte 3, scène 9, HENRI)
- Qu'on sache si madame a du monde chez elle. v.1041 (Acte 3, scène 9, DURVAL)
- Pourvu qu'elle soit seule... aurai-je ce bonheur ? v.1043 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Pourrai-je, sans témoins, débarrasser mon coeur v.1044 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- D'un secret, dont le poids sans cesse se redouble ?... v.1045 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Que va-t-il m'annoncer ? v.1047 (Acte 3, scène 10, DURVAL)
- Monsieur, présentement v.1047 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Sont chez elle apparemment. v.1048 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Que je suis malheureux ! Remettons la partie. v.1049 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Oui, Monsieur, elle n'a que Florine avec elle. v.1054 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Allons... il faut aller... puisque tout me seconde. v.1057 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Mais je ne songe pas qu'il peut entrer du monde. v.1058 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Quel contretemps s'oppose à ce que je désire !... v.1061 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je ne puis m'enfermer sans que l'on en raisonne... v.1065 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Que faire... aussi, d'où vient que Damon m'abandonne ?... v.1066 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Je ne puis le risquer... il faut y renoncer... v.1067 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Ses charmes... ses regards, dont je sais la puissance... v.1070 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Mes remords... mon amour, dans ce terrible instant, v.1071 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- De parler aussi-bien qu'on pense à ce qu'on aime !... v.1074 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- C'est affaire de coeur. Parbleu, depuis longtemps, v.1079 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Le patron reprenait haleine à mes dépens... v.1080 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Allons, apprêtons-nous à battre la campagne. v.1082 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Je prépare à Constance une aimable surprise. v.1085 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Voyons, tandis qu'il fait éclore son poulet, v.1087 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Quel est mon rôle. à moi, le rôle de valet ! v.1088 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Mais cela ne va point avec mon ministère : v.1089 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- À quelqu'un de nos gens il pourrait convenir... v.1091 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Sachons donc à qui j'ai l'honneur d'appartenir... v.1092 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Ventrebleu, le sot maître à qui l'on m'a donné ! v.1095 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Oui-dà, le personnage est bien imaginé. v.1096 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Ce maraud me distrait. C'est son rôle, je gage. v.1097 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Monsieur, je m'entretiens avec mon personnage... v.1098 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Peste ! En voici bien long tout d'un article écrit ! v.1099 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Voyons : c'est moi qui parle ; aurai-je de l'esprit ? v.1100 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- À la triste moitié, dont il s'est empêtré ; v.1103 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Son ridicule amour ici l'a séquestré : v.1104 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- C'est un oison bridé, tapi dans sa retraite, v.1105 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Faquin... Contenons-nous... Chassons cet importun. v.1108 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Lorsque j'appellerai ; que l'on se tienne prêt. v.1111 (Acte 3, scène 11, DURVAL)
- Allons ; hé ! Qu'on me selle un coureur vif et frais. v.1112 (Acte 3, scène 11, HENRI)
- Le parti que je prends est donc bien ridicule, v.1113 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Si jusqu'à des valets... étouffons ce scrupule... v.1114 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Continuons pourtant... achevons, si je puis. v.1116 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Hola... Henri... voyons, relisons cette lettre. v.1118 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Je la puis envoyer... mettons ma signature... v.1121 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Constance est peu sensible à ces vains ornements ; v.1124 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Henri !... Les valets sont d'une lenteur extrême. v.1126 (Acte 3, scène 12, DURVAL)
- Monsieur, me voilà prêt ; vous n'avez qu'à parler. v.1127 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Quel est cet équipage ? Où crois-tu donc aller ? v.1128 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Vous vous reprenez donc pour elle de tendresse ? v.1130 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Ma foi, monsieur, tant pis. v.1131 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Mais... tout franc, convenez que votre amour la traite v.1137 (Acte 3, scène 13, HENRI)
- Va chercher la réponse, et donne cet écrin. v.1139 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Finissons ces discours ; va-t-en où je t'envoie : v.1141 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Je t'attends ; que sur-tout personne ne te voie. v.1142 (Acte 3, scène 13, DURVAL)
- Oui, mon impatience est un peu trop marquée... v.1146 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Il est bien dangereux de montrer tant d'amour. v.1147 (Acte 3, scène 14, DURVAL)
- Eh ! Bien, quelle réponse ? v.1149 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Non ? Tant mieux ; ce coquin ignore mon secret. v.1155 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Constance, avec raison, viendra me confier v.1159 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Notre explication sera plus naturelle, v.1161 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Damon l'approuverait. Je n'ai besoin de rien. v.1164 (Acte 3, scène 15, DURVAL)
- Diable ! Ceci m'aurait donné des honoraires... v.1166 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- Combien ? Dix, vingt louis ; ma foi, mettons-en trente. v.1170 (Acte 3, scène 16, HENRI)
- On vient me l'arracher par le trait le plus noir. v.1180 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Un inconnu m'apporte une preuve trop sûre v.1181 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Il semble qu'on se plaise encore à redoubler v.1187 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Ces indignes présents, dont on veut m'accabler. v.1188 (Acte 4, scène 2, CONSTANCE)
- Non, ma recherche est vaine. v.1189 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Quel fâcheux contretemps ! v.1190 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- On dit qu'il se promène. v.1190 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je ne puis plus souffrir l'excès de mon ennui. v.1192 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Oui, madame, éclatez, cessez de vous contraindre : v.1193 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Quand on n'est plus aimée, il faut se faire craindre. v.1194 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Quand on n'est plus aimée ! v.1195 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- On peut le mener loin. v.1195 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Eh ! Qui sont-elles donc ? v.1198 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Bon ! Il Vous laissera gémir et soupirer. v.1199 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On croit nous faire grâce, en nous faisant pleurer : v.1200 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On ne convient jamais des chagrins qu'on nous donne : v.1201 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- On croit que dans nos coeurs le plaisir s'empoisonne ; v.1202 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que le sexe se fait lui-même son tourment, v.1203 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Et qu'il n'a pas l'esprit d'être jamais content. v.1204 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Servez-vous contre lui de ces lettres fatales, v.1205 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Que j'aurais de plaisir à confondre un ingrat ! v.1207 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Je ne veux point aigrir son coeur et son esprit, v.1211 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Ni détruire un espoir que mon amour nourrit. v.1212 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- J'assure à mon volage un retour plus facile : v.1214 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je lui donne un moyen de me mieux abuser, v.1215 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Des présents qu'on m'a faits, et qu'il m'en débarrasse : v.1218 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Il vous éconduira par des plaisanteries, v.1222 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- De ne le pas trouver sensible à son honneur. v.1224 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Mon coeur, que je contiens dans un calme pénible, v.1226 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Fuyons l'occasion, peut-être inévitable, v.1229 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- De trouver mon époux encore plus coupable. v.1230 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Et toi, prends cet écrin ; tu connais l'indiscret... v.1232 (Acte 4, scène 3, CONSTANCE)
- Je vous l'ai dit, madame, ils sont deux téméraires. v.1234 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Allons, madame, quitte à faire une bévue. v.1238 (Acte 4, scène 3, FLORINE)
- Voyons pourtant. à qui remettrai-je l'écrin ? v.1239 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Gens de même acabit, personnages frivoles, v.1241 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Étourdis par instinct et par réflexion, v.1243 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Effrontés sans succès et sans confusion, v.1244 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Qu'on éconduit toujours, sans pouvoir s'en défaire, v.1246 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Scélérats en amour, dont les langues traîtresses v.1249 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Nous font bien plus de tort que toutes nos faiblesses : v.1250 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Voilà les compagnons, dont le couple indiscret v.1251 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- M'a vingt fois confié leur risible secret. v.1252 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Ce n'est pas l'intérêt qui m'en donne l'envie : v.1258 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Oh ! Non ; c'est seulement pour finir ce tracas, v.1259 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Ne nous y jouons point : l'intention est pure ; v.1261 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- On y pourrait donner toute une autre tournure. v.1262 (Acte 4, scène 4, FLORINE)
- Consolez-vous, une autre en fera plus d'état : v.1267 (Acte 4, scène 5, FLORINE)
- Tu veux par vanité me les abandonner. v.1271 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Le change me paraît difficile à donner. v.1272 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Prends toujours, à bon compte ; v.1273 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Je cacherai ta honte. v.1274 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Voyons donc à quel prix tu mettais ta conquête. v.1277 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Comment, diable ! Ah ! Marquis... le présent est honnête. v.1278 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Une cruelle est rare ; on en trouve si peu, v.1279 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Qu'elle n'a point de prix. Retire ton enjeu. v.1280 (Acte 4, scène 6, CLITANDRE)
- Te voilà bien confus v.1283 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- De ce qu'en ma présence on te les a rendus. v.1284 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- On avait ses raisons. v.1285 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- En ne nommant personne. v.1288 (Acte 4, scène 6, DAMIS)
- Que vois-je ! Mon écrin ! v.1289 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Nous disputons ensemble. v.1289 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Constance aura pensé qu'il venait de l'un d'eux. v.1291 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Clitandre est mon rival. v.1292 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Passons, je te l'accorde. v.1293 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Ce n'est que pour le rendre à son propriétaire. v.1297 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Apprends donc ce mystère. v.1298 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Nous ne nommerons pas. v.1299 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Certaine dame, à qui nous rendons quelque soin, v.1300 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Nous a fait, de sa part, sans désigner personne, v.1301 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- C'est ce que je soupçonne. v.1302 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Un de nous l'a donné. v.1303 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Oui, rien n'est plus constant. v.1303 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Mais aucun n'en convient. v.1304 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Damis, par vanité, n'ose le reconnaître. v.1305 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Bien plus honnêtes gens que vous ne vous croyez. v.1307 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Durval, à qui crois-tu qu'on les ait renvoyés ? v.1308 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Qu'il ait donné l'écrin, de grâce, dites-moi, v.1311 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Quelle conclusion tirez-vous du renvoi ? v.1312 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- On ne refuse rien de quelqu'un qui sait plaire. v.1313 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Ce n'est donc point de moi ? La conséquence est claire. v.1314 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Si je l'avais donné, crois qu'on l'aurait gardé. v.1315 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Son désaveu peut être aussi vrai que le vôtre ; v.1317 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Qui sait si quelque tiers, qu'on n'imagine pas, v.1319 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Oh ! Qu'il paroisse donc, ce rival ténébreux. v.1323 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Cherche quelqu'autre objet ailleurs qui le console. v.1325 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Quand je le dis, on peut m'en croire à ma parole. v.1326 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Clitandre veut encore une autre caution. v.1327 (Acte 4, scène 7, DURVAL)
- Ne me fais point faire une indiscrétion. v.1328 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Sans quoi, Durval et moi, nous n'osons pas te croire. v.1330 (Acte 4, scène 7, CLITANDRE)
- Que tu sois plus avant dans cette confidence. v.1333 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Tiens, considère un peu... Vois sa confusion. v.1335 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Est-ce là le portrait de celle... en question... v.1336 (Acte 4, scène 7, DAMIS)
- Infidèle !... Est-ce ainsi qu'on nomme une cruelle ? v.1338 (Acte 4, scène 8, DAMIS)
- Est-ce une illusion ?... Est-ce un songe funeste ?... v.1341 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Quel rapport !... Ah ! Cruels, achevez donc le reste. v.1342 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Est-ce à moi qu'ils ont fait leur confidence affreuse ?... v.1346 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Constance, est-il possible ?... ai-je bien entendu ? v.1347 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ton faible coeur s'est-il lassé de sa vertu ? v.1348 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Mais ma crédulité se laisse empoisonner v.1351 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Par des convictions que je dois soupçonner. v.1352 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Rejetons loin de nous... le puis-je ? Quand j'y songe ! v.1353 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Quoi !... D'une vérité puis-je faire un mensonge ?... v.1354 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Que sa fausse vertu nourrissait dans mon coeur ! v.1356 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ah ! Pourquoi n'ai-je plus ton voile salutaire ? v.1357 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Voilà donc le sujet de sa tranquillité, v.1359 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- L'effet de son amour, l'effort de sa raison, v.1363 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Ne l'a jamais été que de sa trahison. v.1364 (Acte 4, scène 9, DURVAL)
- Constance a surpassé ton attente et la mienne. v.1369 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Tu ne l'as donc pas vue ? v.1371 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Je ne le fus jamais ; j'estimais trop Constance : v.1377 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Je serais trop heureux dans cette circonstance... v.1378 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Que de se voir forcé de haïr ce qu'on aime ? v.1381 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- On soupçonne aisément, on accuse de même. v.1382 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- J'ai des rivaux heureux... l'un d'eux a son portrait, v.1383 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Et l'autre avait son coeur : c'est l'aveu qu'on m'a fait... v.1384 (Acte 4, scène 10, DURVAL)
- Constance absolument n'a point trahi sa gloire. v.1386 (Acte 4, scène 10, DAMON)
- Madame, épargnons-nous la plainte et le reproche : v.1390 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Ce fruit de mon amour, si cher à ma tendresse, v.1397 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Disposez de mon sort au gré de vos souhaits ; v.1399 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- De vos seules bontés je veux toujours dépendre. v.1406 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Doit-on déshonorer ce qu'on a tant aimé ? v.1416 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Il fallait savoir mieux conserver mon estime. v.1417 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Pourquoi ne l'ai-je plus ? Apprenez-moi mon crime. v.1418 (Acte 4, scène 11, CONSTANCE)
- Donne, donne. à quoi sert tant de discrétion ? v.1423 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Sans doute ce sera quelque conviction v.1424 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Des affronts que m'a faits une épouse infidèle. v.1425 (Acte 4, scène 11, DURVAL)
- Je vais donc la convaincre ; en voici les moyens. v.1428 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- L'espoir de la confondre est tout ce qui me reste. v.1430 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Durval... ce n'est qu'à moi qu'ils sont injurieux. v.1436 (Acte 4, scène 12, CONSTANCE)
- À des discours sans preuve on aurait répondu ; v.1439 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Mais je prétends qu'ici chacun soit confondu. v.1440 (Acte 4, scène 12, DURVAL)
- Constance à vos genoux ? v.1443 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Reconnaissez l'erreur qui vous prévenait tous v.1444 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Damon vous aura dit ce qui se passe ici ? v.1447 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Outre ce qu'on m'a dit, vous avez quelque titre ? v.1450 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- En voici ; lisez donc ces coupables écrits. v.1451 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Je vous conjure encore en cette occasion... v.1455 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Monsieur, épargnez-vous cette confusion. v.1456 (Acte 4, scène 13, CONSTANCE)
- Diable ! Allons doucement ; ceci change la thèse. v.1457 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Quoi donc ? v.1458 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- De mon écriture ? v.1460 (Acte 4, scène 13, DURVAL)
- Et celui-ci, monsieur ? v.1462 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- N'allons pas plus avant ; le reste est superflu. v.1463 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Nous lirons, s'il vous plaît ; c'est lui qui l'a voulu. v.1464 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- S'il est vrai qu'à mes yeux Constance ait eu des charmes, v.1466 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Ils ont fait, dans leur temps, leur effet sur mon coeur. v.1467 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Et de me soupçonner d'un si grand ridicule.» v.1472 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Nos fautes ont pour vous de furieux appas. v.1474 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Et nous ne demandons qu'à partager les vôtres. v.1476 (Acte 4, scène 13, ARGANT)
- Monsieur, en vérité, l'on ne peut mieux écrire ; v.1479 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- C'est dommage pourtant qu'on ne puisse vous lire. v.1480 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- C'est une trahison que vous imaginez. v.1482 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Qu'une autre traiterait de la bonne façon. v.1485 (Acte 4, scène 13, FLORINE)
- Venez ; pour vous venger, laissez-lui son soupçon. v.1486 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Non. Ce n'est plus à vous, madame, à vous défendre. v.1488 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Voilà ce beau retour... Damon, vous m'entendez. v.1490 (Acte 4, scène 13, SOPHIE)
- Pour convaincre une femme, il faut bien du bonheur ; v.1493 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Rarement un époux en vient à son honneur. v.1494 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Quand on veut s'embarquer dans ces sortes d'affaires, v.1495 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- On ne saurait avoir des preuves assez claires ; v.1496 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Les femmes sont d'ailleurs terribles sur ce point : v.1498 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- S'élever à grands cris, et sonner le tocsin ; v.1502 (Acte 4, scène 14, ARGANT)
- Quelle vengeance affreuse exerce contre moi v.1513 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Cet objet étranger dont j'ai quitté la loi !... v.1514 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Cependant je l'accuse, et je suis confondu. v.1517 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- N'es-tu pas plus heureux, que d'être convaincu ? v.1518 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Mais je connais Constance, et je mettrais ma vie... v.1524 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Tu la perdrais... Constance... ô regret superflu ! v.1525 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- J'ai creusé cet abîme où son coeur s'est perdu ; v.1526 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Mon exemple a causé la chute qui m'accable. v.1527 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Ne le suivez donc plus, comme vous avez fait, v.1529 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Puisque vous convenez d'un si funeste effet. v.1530 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Ton repos deviendrait peut-être mon ouvrage : v.1532 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- Tu n'as que trop suivi ton premier mouvement. v.1533 (Acte 4, scène 15, DAMON)
- J'avais beau m'enflammer et m'irriter contre elle, v.1535 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Ils sont faux ; mais enfin je cède à ta prière : v.1539 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Suis-moi, je t'en ferai la confidence entière. v.1540 (Acte 4, scène 15, DURVAL)
- Occupe tout le monde, achève, je te prie. v.1548 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- C'est un vol ; et voici comme on te l'a soustrait. v.1550 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Car je viens de trouver ce peintre chez Constance : v.1559 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- D'abord ils ont voulu faire les petits-maîtres ; v.1564 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Mais je leur ai serré de si près le bouton, v.1565 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Qu'il a fallu, morbleu, qu'ils changeassent de ton. v.1566 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- le bonheur dont ces fats ont osé se vanter. v.1570 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Après leur avoir fait la leçon assez forte, v.1571 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je me trouve au milieu de mon bonheur extrême, v.1579 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Et l'on m'accuse encor d'insensibilité, v.1582 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Lorsque je vais périr accablé sous la honte v.1583 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Où m'a plongé l'accès d'une fureur trop prompte. v.1584 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Dis à mon désespoir. v.1585 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Mais au sort de Constance il est temps de pourvoir. v.1586 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Ah ! Je suis son bourreau plutôt que son époux. v.1589 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Constance t'a sauvé la honte de l'éclat : v.1593 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Elle en impose à tous, et cache son état ; v.1594 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Son courage surpasse encor son infortune ; v.1595 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Elle fait les honneurs d'une fête importune, v.1596 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Dont elle ne croit pas être l'objet secret. v.1597 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Viens, un plus long délai lui deviendrait funeste. v.1600 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Son courage est peut-être à son dernier effort. v.1601 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Cher ami, je te rends le maître de mon sort. v.1602 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Sois mon unique appui, ma ressource auprès d'elle ; v.1603 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Peins-lui mon désespoir. Ah ! Quel que soit ton zèle, v.1604 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Tu sauras mieux que moi persuader Constance : v.1607 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je lui serais suspect dans cette circonstance. v.1608 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- D'aller à ses genoux lui reporter ton coeur ? v.1610 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Me refuserais-tu d'achever ton ouvrage ? v.1611 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Tu veux qu'un furieux qui sort de son accès, v.1613 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- La honte me retient... v.1619 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- La honte est dans l'offense, et non pas dans l'excuse ! v.1620 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Où je jure à Constance un éternel mépris ? v.1622 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- L'amour pardonne tout : mais je t'ouvre un moyen ; v.1625 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je dois avec Constance avoir un entretien ; v.1626 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Nous sommes convenus de ce déguisement ; v.1630 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Je pourrai la tromper ; j'éclaircirai mon sort, v.1633 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Je lirai dans son coeur. v.1634 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Afin de lui donner une pleine assurance ; v.1635 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Constance contre moi peut et doit exhaler v.1642 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ces reproches qu'elle a condamnés au silence : v.1643 (Acte 5, scène 1, DURVAL)
- Ce qui vient d'arriver te prouve le contraire ; v.1647 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- La douceur de Constance a dû te satisfaire. v.1648 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Quel autre aurait ainsi ménagé son époux ? v.1649 (Acte 5, scène 1, DAMON)
- Que l'amour-propre abonde en mauvaises défaites, v.1655 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- Quand il faut réparer les fautes qu'on a faites !... v.1656 (Acte 5, scène 2, DAMON)
- Prendre congé du siècle à l'âge de vingt ans ; v.1665 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Passe, quand jusqu'au bout on a joué son rôle ; v.1667 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Du moins le souvenir du passé vous console ; v.1668 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On l'emporte avec soi, cela sert de soutien : v.1669 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- N'avoir que mon ennui pour tout amusement. v.1674 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Le monde a ses chagrins : eh ! Bien, on les essuie ; v.1675 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On s'accoutume, on roule, et l'on pousse la vie ; v.1676 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On va, l'on vient, on voit, on babille, on se plaint, v.1677 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On s'agite, on se flatte, on espère, et l'on craint ; v.1678 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Il vient un bon moment, car il faut qu'il en vienne, v.1679 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- On en fait son profit, afin qu'on s'en souvienne. v.1680 (Acte 5, scène 3, FLORINE)
- Damon suivait mes pas... et je ne le vois plus ; v.1681 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Mais il ne peut tarder. Nous sommes convenus v.1682 (Acte 5, scène 4, CONSTANCE)
- Vous voici... reprenons le fil de ce discours, v.1685 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Dont on nous empêchait de poursuivre le cours. v.1686 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Damon, permettez-moi de répandre des larmes v.1687 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Aux yeux de tout le monde elles m'allaient trahir : v.1689 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- C'est encor un motif qui m'a contrainte à fuir. v.1690 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Quand Durval commença mon bonheur et ma gloire, v.1692 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mon coeur sembla pour lui prévenir sa saison. v.1693 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Aurais-je mieux choisi dans l'âge de raison ? v.1694 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Notre hymen se conclut. Aurais-je dû m'attendre, v.1695 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on ne saurait donner de bornes à l'amour. v.1698 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mon bonheur fut plus grand, puisqu'on m'aima de même. v.1700 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- L'excès de mon amour lui parut indiscret : v.1705 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je crus perdre la vie en perdant son amour. v.1710 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je sentis qu'on ne vit que par l'objet qu'on aime ; v.1712 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on perd tout en perdant ces transports mutuels, v.1713 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ces égards si flatteurs, ces soins continuels, v.1714 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Cet intérêt si tendre, et cette confiance, v.1716 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qu'on trouve dans un coeur que l'on tient sous ses lois. v.1717 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je joignis à mes maux celui de me contraindre. v.1719 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Puisque je vous demande un conseil salutaire. v.1724 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Justice à son épouse ? Ai-je bien entendu ? v.1730 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais comment puis-je avoir révolté mon époux ? v.1733 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Se pardonnera-t-il de m'avoir offensée ? v.1736 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sa confusion ne l'aliène encore ; v.1740 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Que sa honte offensante et cruelle pour moi, v.1741 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Peut-être j'étais dans cette conjoncture ; v.1743 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ce qui m'est revenu flattait ma conjecture. v.1744 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Si son heureux retour avait quelque apparence, v.1748 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Qui peut le retarder ?... si mes jours lui sont chers, v.1749 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- qu'il vienne en sûreté... mes bras lui sont ouverts... v.1750 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- S'il voyait les transports que mon coeur vous déploie... v.1751 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne puis à présent être trop circonspecte ; v.1755 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Un pardon trop aisé doit me rendre suspecte. v.1756 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Autant que mon amour, mon devoir m'y convie ; v.1759 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je ne puis donc m'aller jeter entre ses bras ?... v.1762 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais... qu'ai-je vu? Comment ?... D'où vous vient mon portrait ? v.1766 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Vous tremblez... je frémis... on ne veut plus me voir. v.1769 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- De la main de Durval ces lignes sont tracées. v.1771 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Mais que vois-je ? Des pleurs les ont presque effacées. v.1772 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Pourquoi n'ai-je pas prévenu mon époux ? v.1779 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Conduisez-moi, courons... v.1780 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Cher époux, lève-toi. Va, je reçois ton coeur : v.1783 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Je reprends avec lui ma vie et mon bonheur. v.1784 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Quoi ! Vous me pardonnez l'outrage et le parjure ? v.1785 (Acte 5, scène 5, DURVA5L)
- Eh ! De qui ? C'est un songe passé ; v.1787 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ton retour me suffit. v.1788 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Oublions qu'autrefois j'ai cessé de te plaire. v.1790 (Acte 5, scène 5, CONSTANCE)
- Ah ! Ah ! Mon gendre en conte à sa femme... il l'embrasse ! v.1794 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Mais, est-ce tout de bon ? v.1795 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Monsieur a du bonheur dans ce qu'il entreprend. v.1796 (Acte 5, scène 6, SOPHIE)
- Oui, je ne prétends plus que personne l'ignore ; v.1797 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Que l'on m'approuve ou non, mon bonheur me suffit. v.1799 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Peut-être mon exemple aura plus de crédit : v.1800 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- On pourra m'imiter. Non, il n'est pas possible v.1801 (Acte 5, scène 6, DURVAL)
- Mais c'est qu'on n'est pas fait à ces incidents-là. v.1804 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Je crois qu'on peut l'aimer, même encor mieux qu'une autre. v.1806 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Oserais-je à mon tour, sans indiscrétion, v.1807 (Acte 5, scène 6, DAMON)
- Vous faire souvenir d'une convention ? v.1808 (Acte 5, scène 6, DAMON)
- Damon, je m'en souviens. Ah ! Ma chère Constance... v.1809 (Acte 5, scène 6, SOPHIE)
- Mais conseillez-moi donc dans cette circonstance... v.1810 (Acte 5, scène 6, SOPHIE)
- Oui, conseillez un coeur déjà déterminé... v.1811 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
- Le conseil en est pris, quand l'amour l'a donné. v.1812 (Acte 5, scène 6, ARGANT)
L'ÉCOLE DES MÈRES (1745)
- Mon père, en vérité, j'ai peine à vous comprendre. v.1 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Et son dessein n'est pas de se donner un gendre. v.3 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Son mari m'a promis de t'accorder sa fille ; v.5 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Tiens ton coeur et ta main tout prêts à se donner. v.7 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Cet ordre rigoureux a de quoi m'étonner. v.8 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Permettez que je vous remontre... v.9 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- Doligni, laissons-là des débats importuns. v.10 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Qu'autrefois nous avons, en pareille rencontre, v.12 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Ce n'est donc pas pour moi que vous me mariez ? v.17 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Pour qui donc ? v.18 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Si l'on n'eût retenu ma jeunesse indiscrète. v.23 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Mais je ne connais point Mademoiselle Argant. v.24 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- Il le faut augmenter ; sinon, il vient à rien. v.28 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Qu'une femme à la longue en a toujours assez. v.31 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI-fils)
- C'est qu'à quinze ou seize ans on est du moins jolie. v.33 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI fils)
- En tout cas, tu feras comme les autres font. v.35 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Qui s'embarque, est-il sûr de faire un bon voyage ? v.36 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- À rien. Ce n'est qu'après qu'on se connaît à fond. v.38 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Et malheureusement on ne le reprend plus. v.42 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Sans compter quelquefois la raison qui s'en mêle, v.44 (Acte 1, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Monsieur, ma maîtresse est visible. v.48 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Bon. Et Monsieur Argant n'arrive donc jamais ? v.49 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- On l'attend tous les jours. v.51 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Quoi qu'il en soit, on dit qu'il revient aujourd'hui. v.54 (Acte 1, scène 2, ROSETTE)
- Mais allons voir sa femme, et lui faire ma cour. v.57 (Acte 1, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- Il m'aime, je le sais ; c'est sur quoi je me fonde. v.59 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Qu'est-ce ? Vous n'êtes pas le plus content du monde ? v.60 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Ceux d'un père et d'un fils sont toujours orageux. v.62 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- J'aime ; et mon père veut que j'en épouse une autre. v.63 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il a tort ; et son goût devrait suivre le vôtre. v.64 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Il s'agit de mes feux. Comment sont-ils reçus ? v.66 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Marianne ayant mis en toi sa confiance... v.67 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Que concluez-vous de cela ? v.68 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Mauvaise conséquence. v.69 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Nous ne nous faisons point ces confidences-là. v.70 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Voyez donc ! v.71 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- De tous vos entretiens ne font pas le sujet ? v.73 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Vous avez vos propos, et nous avons les nôtres. v.75 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sur quoi roulent-ils donc, et quel en est l'objet ? v.76 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Des gazes, des pompons, des fleurs, une dentelle, v.78 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Sont d'abord des sujets qui ne tarissent point. v.79 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Quand on est en gaieté, quelquefois on y joint v.80 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Des contes de couvent. Enfin, que sais-je, moi ? v.82 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- On parle, on cause, on jase, on caquette, on babille, v.83 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Et l'on rit bien souvent, sans trop savoir pourquoi. v.84 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Non, jamais on n'a vu de fille si discrète. v.85 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Je sers d'exception. v.86 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Le Marquis, par hasard, n'est-il point mon rival ? v.87 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Il fait profession d'être un galant banal. v.89 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Ses succès ont cent fois couronné son adresse. v.92 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Et tant de coeurs conquis, bien ou mal-à-propos, v.95 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Mon malheureux amour m'éclaire. v.100 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI-fils)
- Pour connaître tous ses défauts. v.102 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Peut-être à tort je la soupçonne ; v.103 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Mais pour une jeune personne v.104 (Acte 1, scène 3, DOLIGNI fils)
- Il est vrai que l'on nous accuse v.107 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Nous pourrions à bon titre en dire autant de vous. v.111 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Il est encor des coeurs dignes d'un honnête homme. v.113 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- D'ailleurs, en vains soupçons votre esprit se consomme ; v.114 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- La bonté de son coeur la rend inestimable. v.117 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- On ne la connaît point à la ville, à la cour : v.121 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Tel est ce cher marquis d'impression nouvelle. v.125 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Plus le concours est grand, plus il la trouve belle. v.130 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Aussi, pour parvenir jusqu'au suprême honneur v.131 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- De l'avoir sur son compte, il n'est rien qu'il n'emploie. v.132 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- En un mot, ce qui fait sa gloire et son bonheur, v.133 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- C'est l'opprobre éclatant dont il couvre sa proie, v.134 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- L'esprit et le bon-sens vont rarement ensemble. v.138 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Parlez-lui donc vous-même ; il tourne ici ses pas. v.140 (Acte 1, scène 3, ROSETTE)
- Eh ! Bonjour, Doligni... Parbleu, que je t'embrasse. v.141 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Ces embrassades-là sont aussi du bel air. v.142 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'est-ce donc ? Mon abord te trouble ! Il t'embarrasse ! v.143 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- J'en vois la cause. Allons, rassure-toi, mon cher ; v.144 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Je fais profession d'être un rival commode : v.145 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Un honnête homme aura v.150 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Quand on est tête-à-tête avec elle en secret, v.156 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Il n'est personne alors qu'on ne doive oublier. v.158 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Ne cherchons point tous deux à nous humilier. v.160 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Eh ! Bien, à la bonne heure ; elle est fort la maîtresse. v.163 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Ainsi, monsieur, cherchez vos passe-temps ailleurs. v.167 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Finissez mon éloge, et me laissez en paix. v.169 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- La petite cousine était donc, entre vous, v.172 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Vraiment oui ; monsieur en est fort amoureux. v.175 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- (Car, pour peu que l'on aime, on a peur de son ombre,) v.177 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Il me communiquait sa crainte et son erreur. v.178 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Mais nous en étions là, quand vous êtes venu ; v.186 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Qu'il ne peut se fonder aucune liaison v.188 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Entre deux coeurs qui n'ont ensemble v.189 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Aucun de ces rapports qu'exige la raison. v.190 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Que l'amour et le temps ne font que redoubler, v.193 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Venons à Marianne. v.197 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- À faire dans le monde un jour bien du fracas. v.198 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Le bon-sens fut toujours ami de la vertu. v.202 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Marianne suivra celui du bon vieux temps, v.204 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Pardonnez, au surplus, si dans cette occurrence v.208 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Je n'ai pas eu pour vous le plus profond respect ? v.209 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- J'y rentre, et je vous fais mon humble révérence. v.210 (Acte 1, scène 4, ROSETTE)
- Parlons de Marianne. v.213 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Expliquons-nous. v.216 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Parbleu ! C'est ce qu'on sent pour l'objet qu'on adore. v.218 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Est-ce que l'on aime encore ? v.220 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Est-ce qu'on n'aime plus ? v.221 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Du pays où l'on aime. v.222 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Non, je n'en vis jamais à la ville, à la cour ; v.226 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qu'on aime, et que sans doute on aimera toujours. v.229 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Le monde est plein d'amants ; il s'en fait tous les jours... v.230 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- L'intérêt, l'amour-propre, et semblables raisons v.232 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Engagent à former entre eux des liaisons v.233 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qui n'ont rien de l'amour que le nom. v.234 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qu'il en est dont le coeur est vraiment enflammé. v.235 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Dis que l'on feint d'aimer, et de se croire aimé. v.236 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais, tout comme d'une autre, on peut s'en amuser. v.238 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Et si son coeur allait se laisser abuser ? v.240 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Que pour le seul plaisir de la déshonorer, v.243 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Et d'en rire après son naufrage ? v.244 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Croyez que, tôt ou tard, ils ne pardonnent rien. v.248 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Renoncez à la gloire, ou plutôt à la honte v.249 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- D'établir votre honneur sur les débris du sien. v.250 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- Le monde a cependant des maximes contraires. v.251 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Oui, l'on s'y fait un jeu d'un crime accrédité. v.252 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- En ont toujours banni jusqu'au moindre scrupule. v.256 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Laissons-la marier ; et nous verrons après. v.264 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La confidence est fort honnête. v.265 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Quant à présent, j'aspire à certaine conquête, v.266 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Dont je fais un peu plus d'état. v.267 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mon choix va t'étonner ; mais prête-moi l'oreille. v.268 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Doligni, tu connais cette jeune merveille v.269 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qui remplit tout Paris de son nouvel éclat. v.270 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Comment fais-tu pour plaire ? Est-ce un don ? Est-ce un art ? v.277 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Mais enseigne-moi donc. v.278 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI fils)
- On peut t'en faire part. v.278 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu t'en trouveras mieux de toutes les façons. v.280 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Je sens tout le besoin que j'ai de tes leçons. v.281 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Il ne faut que refondre un peu ton caractère. v.282 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Mais vraiment j'y consens. v.283 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Ton défaut capital v.283 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qui, sans nulle raison, te saisit et te glace, v.285 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Sitôt qu'on te regarde ou qu'on te parle en face. v.286 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Avec elle, par-tout, on est hors de sa place ; v.289 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Sur tout ce que l'on dit, sur tout ce que l'on fait, v.293 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tel qu'on prend pour un sot, parce qu'il est timide, v.295 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il te manque le ton, l'air et les moeurs du temps : v.300 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Le monde où tu vas vivre exige, entre autres choses, v.301 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Qu'on soit plus amusant que solide et sensé. v.302 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu raisonnes toujours, et jamais tu ne causes. v.304 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Déraisonne, morbleu, plutôt que d'ennuyer : v.305 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Un peu moins de bon-sens, et plus de badinage. v.306 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La raison, que tu crois un si bel apanage, v.308 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- On la vante mal-à-propos ; v.312 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Quand on a de l'esprit, on peut se passer d'elle ; v.313 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- La raison, tout au plus, ne convient qu'à des sots. v.314 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Tu traites la raison d'une manière étrange. v.315 (Acte 1, scène 5, DOLIGNI-fils)
- Je ne me cite pas ; mais on peut m'imiter. v.318 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Sur ce que je t'ai dit, fais tes réflexions. v.320 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, mes commissions ? v.321 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Oh ! Palsembleu, Monsieur, souffrez que je respire. v.322 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Si vous continuez ainsi, vous me tuerez. v.323 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il n'en est pas ainsi des malheureux piétons. v.327 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Reste en place ; respire ; et point de ces dictons. v.328 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Bon ! v.332 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est certaines gens, pour certaine raison, v.334 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qui vont dès le matin. v.335 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- De votre petite maison. v.336 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ces messieurs sont venus ? v.339 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Non pas eux, mais leurs gens. v.339 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ces gens ont-ils des gens !... v.340 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Leurs gens sont des sergents ; v.340 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Et voici, monsieur, de leur prose, v.341 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Je n'en ai jamais vu. Contentez-vous, mes yeux... v.343 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tiens, fais-en ton profit. v.345 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comment se porte-t-on ? v.348 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comment a-t-on reçu les bijoux ? v.349 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ce n'est pas là mon compte, à moi. v.352 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Quoi ! Pas même, monsieur, ce qu'on me donnera ? v.354 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Non ; ou bien tu verras ce qui t'arrivera. v.355 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On va la marier. v.357 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Tout de bon ? v.357 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À ce baron qui la pourchasse : v.358 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Bon ! v.360 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- De quoi ris-tu ? Dis donc. v.362 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Dont la suivante d'Arthénice v.363 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- En tout bien, tout honneur. v.366 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Nous parlions d'amitié, quand la fausse femelle v.367 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- "Va-t-en, m'a-t-elle dit, au diable, avec ton maître. v.369 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Depuis assez longtemps, il a dû reconnaître v.370 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- C'est que le vieux baron lui-même, à pas de loup, v.374 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qui mordant à la grappe, et d'un air tout honnête, v.376 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Qu'il aurait la bonté de m'épargner la peine v.379 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Eh ! Non pas, s'il vous plaît ; souffrez que je m'en passe. v.382 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Je ne crois pas qu'on puisse en avoir de plus lestes. v.385 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Leurs filles sont après à garnir vos deux vestes ; v.388 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ou Monsieur La Fleur est ivre, v.391 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ou ces gens sont devenus fous. v.392 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Par l'homme en question j'ai fini mes messages ; v.395 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Il demande un billet du triple, et de bons gages. v.398 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Ils lui sont dévolus. Ignorez-vous l'usage ? v.401 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Est-ce donc qu'à mon âge v.404 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans être libertin, on peut se réjouir. v.406 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Comment donc libertin ? Le suis-je ? v.407 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ah ! Mon cher maître, v.407 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Mais encore en quoi donc ? Dis-le-moi ; j'y consens. v.409 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Eh ! Ne sont-ce pas là des plaisirs innocens ? v.412 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et vous indisposez le public contre vous. v.414 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Peut-on empêcher les jaloux ? v.416 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Crois-moi, va, je connais le monde ; v.417 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On n'y blâme que ceux qu'on voudrait imiter. v.418 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- En faux raisonnements votre morale abonde. v.419 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Si vous ne changez pas tout-à-fait de conduite, v.421 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Empêchez que du moins on n'en parle en tous lieux. v.422 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Songez-y ; je vous signifie v.426 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- Vous savez que monsieur l'en presse assez souvent. v.430 (Acte 1, scène 6, LA FLEUR)
- De refaire ma bourse et de me mettre en fonds. v.433 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Va donc, sois diligent. v.435 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il achève à présent de donner audience. v.442 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Mon fils. v.444 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- En quoi, madame, y peut-il conspirer ? v.444 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je crains que ce bonheur ne soit qu'une chimère. v.446 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- De la part du marquis, que s'est-il donc passé ? v.447 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Mon amour va pour lui toujours jusqu'au délire. v.449 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Eh ! Qui me répondra que mon fils le mérite ? v.451 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ma foi, ce n'est pas moi. N'allons pas à l'appui v.452 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- D'un accès de raison qui passera bien vite. v.453 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Madame, dépouillons les préjugés vulgaires. v.459 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- S'il a quelques défauts, ils lui sont nécessaires. v.461 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Je le soutiens, et nous serons d'accord. v.462 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'on cherche à copier, sans en venir à bout ? v.466 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il aime le plaisir, et contracte des dettes ? v.470 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- C'est le projet flatteur qu'a formé mon amour. v.472 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ne vous plaignez donc point. v.473 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Conçois-tu mon mari ? v.476 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Est-ce qu'on peut jamais concevoir ces gens-là ? v.477 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Son obstination me paraît bien cruelle. v.478 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Oui, sa prévention contre un fils si bien né... v.479 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Est le premier chagrin qu'il m'ait jamais donné. v.480 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Ce n'est que depuis peu que son humeur varie, v.481 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il a des volontés, et qu'il vous contrarie. v.482 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Où je vois, pour mon fils, le plus grand avantage. v.491 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Non vraiment ; si cela peut être, v.494 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Je prétends que mon fils ait un brillant état. v.495 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Je veux, par les grands biens qui sont en ma puissance, v.496 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Et que dans le grand monde il vive avec éclat. v.498 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Il faut bien, à son tour, que monsieur obéisse. v.501 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Il en contracterait l'habitude importune. v.503 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- C'est bien assez d'avoir reçu, dans la maison, v.504 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'il vous fit accueillir, par la seule raison v.506 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'elle porte son nom. v.507 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Que c'est vous montrer v.509 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Qu'on puisse jamais rencontrer. v.511 (Acte 2, scène 1, ROSETTE)
- Voilà mon fils. v.512 (Acte 2, scène 1, MADAME ARGANT)
- Me pardonnerez-vous ? v.517 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui : soyez content d'elle. v.519 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Elle me connaît bien. v.520 (Acte 2, scène 2, LE MARQUIS)
- Va, compte qu'il saura récompenser ton zèle. v.521 (Acte 2, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mon coeur vous est ouvert. v.526 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Dans la sincérité mon âme est affermie ; v.527 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- J'en fais profession, et surtout avec vous. v.528 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- À votre âge, mon fils, et fait comme vous êtes, v.531 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Recevant dans le monde un accueil enchanteur, v.532 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- On a dû vous dresser mille embûches secrètes, v.533 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- C'est une beauté rare, et qu'on m'a fort vantée, v.539 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous rougissez, mon fils, et ne répondez point. v.541 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne peut abandonner ce dangereux vainqueur, v.543 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Oui, l'on vous a dit vrai : mais soyez plus tranquille. v.549 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Que mon coeur, sans vouloir autrement s'engager, v.551 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ne tient qu'autant qu'on veut ; la rupture est facile : v.555 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- De semblables romans n'ont pas pour héroïnes v.557 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Des personnes assez divines v.558 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour fixer, sans retour, ceux qui leur font l'honneur v.559 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- C'est l'espoir assuré d'un facile bonheur v.561 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Qui fait que l'on s'abaisse à leur rendre les armes. v.562 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Et l'on est leur amant, sans en être amoureux. v.564 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Augmente mon estime, et mon amour pour vous ! v.566 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ah ! Mon fils, pardonnez mes frayeurs indiscrètes. v.567 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et c'est sur vous aussi que mon coeur s'en repose. v.571 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- J'ai de l'ambition ; mais pour vous seulement. v.572 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous aurez tout mon bien, je vous l'ai destiné. v.574 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ce n'est pas là mon plan. v.579 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Un bien considérable en aplanit la route. v.582 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais, pour vous abréger un chemin toujours long, v.583 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- On ne peut mieux penser. Vous ne m'étonnez point : v.589 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais l'hymen, à mon âge, est un état bien grave. v.590 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Un peu d'aversion ? v.593 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Quand mon aversion serait cent fois plus forte, v.594 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mais mon père ? ... v.599 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Je prévois ses refus ; mais ils ne tiendront pas. v.600 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Nous disputons beaucoup. Après bien des débats, v.601 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Mais vous le désiriez ; c'est sur quoi je me fonde : v.610 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Ne faut-il pas avoir un titre dans le monde ? v.612 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Si vous n'aviez pas eu la bonté de contraindre v.615 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Mon père à cet achat, j'eusse été très à plaindre. v.616 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Cette acquisition l'a longtemps retenu. v.617 (Acte 2, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il est vrai ; c'est ce qui m'étonne. v.618 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Je crois qu'à son retour la scène sera bonne. v.620 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- De l'état que nous avons pris v.622 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Pendant le cours de son absence. v.623 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Il n'a jamais donné dans la magnificence. v.626 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- Ne seront pas trop de son goût. v.628 (Acte 2, scène 3, LE MARQUIS)
- çà, Monsieur, votre nom ? v.631 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Mon nom ?... v.632 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Afin qu'on vous annonce. v.632 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Je n'en connais pas un. v.633 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- J'attends votre réponse. v.633 (Acte 2, scène 4, LE-SUISSE)
- Connais-tu ça ? v.634 (Acte 2, scène 4, 1er-LAQUAIS)
- Moi ! Ma foi, non. v.634 (Acte 2, scène 4, 2eme-LAQUAIS)
- Ah ! Monsieur, pardonnez... madame, c'est mon père. v.635 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Quel est donc ce mystère ? v.636 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- C'est vous, Monsieur Argant ? v.637 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANT)
- Un suisse, comme un sot, fait toujours son métier. v.641 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Oui, Monsieur. v.642 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Et ce tas de valets dont l'antichambre est pleine, v.645 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Chacun a son emploi. v.648 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Parbleu, pendant deux mois qu'a duré mon voyage, v.649 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mais en quoi donc, Monsieur ? v.651 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Ce titre de monsieur a choqué mon oreille. v.652 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et j'ignore pourquoi monsieur s'en formalise. v.658 (Acte 2, scène 4, LE MARQUIS)
- Ce cérémonial me paraît fort suspect ; v.660 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Ce ridicule abus s'est impatronisé ; v.664 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Sachez, en m'appelant par mon nom véritable, v.668 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un fils puisse donner à l'auteur de ses jours. v.670 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Il est vrai ; mais enfin je sais qu'au fond de l'âme v.671 (Acte 2, scène 4, MADAME ARGANT)
- C'est une affaire à part ; je n'en veux point connaître. v.674 (Acte 2, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Mon maître ? v.676 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Eh ! Parbleu, c'est monsieur Le Marquis. v.677 (Acte 2, scène 5, LE-COUREUR)
- Qui donc ? v.678 (Acte 2, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! C'est mon fils. v.678 (Acte 2, scène 5, MADAME ARGANT)
- C'est ainsi qu'on vous nomme ? v.679 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, Monsieur. v.680 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- De quel droit ? Mais vous m'étonnez fort. v.680 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Qui sont-ils donc ? v.681 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- N'avez-vous pas l'honneur d'être né gentilhomme ? v.682 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Ce marquisat que nous avions en vue ? v.685 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Est-ce que ce n'est pas une affaire conclue ? v.686 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Ma foi, non. v.687 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Monsieur... v.688 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Mais mon fils en a pris le nom. v.690 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Autant qu'à vous, mon fils, cet affront m'est sensible. v.692 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Être aussi fou que lui ? J'ai, mais à fort bon prix, v.695 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Acquis trois bonnes métairies, v.696 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Mon père est bien désespérant ! v.698 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Ces acquisitions, je vous en suis garant, v.699 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- J'enrage de bon coeur. v.701 (Acte 2, scène 6, LE MARQUIS)
- Sachez vous contenir ; v.701 (Acte 2, scène 6, MADAME ARGANT)
- Fort bien. Mécontentez une femme en un point, v.705 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, je suis une ingrate ; allons, accablez-moi ; v.707 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ma femme, sans courroux, parlons de bonne foi. v.709 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Nous convient-il d'avoir une terre titrée ? v.710 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Pourquoi donc mon fils n'en aurait-il pas un ? v.712 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Sont-ce là des raisons d'un homme de bon sens ? v.714 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Non, monsieur ; vous voulez, je le vois, je le sens, v.715 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Parlez-vous tout de bon ? v.717 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Ayons ce marquisat. Il faut vous satisfaire. v.719 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Quand mon fils en a pris le titre avec le nom, v.720 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Pour mon fils. v.727 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- On propose une fille aimable et de naissance, v.728 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mon fils est assez riche. Un si grand mariage v.731 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Il ne trouverait plus d'occasion si belle. v.734 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Qu'exige-t-on de vous ? v.735 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Que j'assure mon bien. v.736 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Réveiller le procès que nous avions ensemble, v.738 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Au lieu d'embrasser mon projet ? v.739 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Avec un bon mari. v.744 (Acte 2, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- C'est Monsieur Doligni. Je vous laisse avec lui. v.746 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Songez que l'on attend ma réponse aujourd'hui. v.747 (Acte 2, scène 7, MADAME ARGANT)
- Vous voilà de retour. On vient de me l'apprendre : v.748 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Bien, quoi donc ? v.751 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Puis-je vous consoler ? v.754 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Non. v.754 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Vous me revoyez donc d'un oeil bien différent ? v.755 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Mon amitié pour vous ne s'est point affaiblie. v.756 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Puis-je me consoler, quand moi-même je crains v.757 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- De vous plonger bientôt dans les plus grands chagrins. v.758 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en prends jamais pour mon compte ; v.759 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Ma femme, et j'en rougis de honte, v.761 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Éprise, pour son fils, d'une amitié trop tendre, v.763 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Par une autre raison qui n'est pas moins contraire, v.769 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Mon fils, à ce sujet, implore ma pitié. v.771 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Il aime éperdument une jeune personne v.772 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Digne de sa tendresse et de mon amitié. v.773 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI P?RE)
- Il a donc votre aveu ? v.774 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mais oui, je le lui donne. v.774 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Son choix fera mon bonheur et le sien. v.775 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Il n'a pas pu la voir sans y fixer son choix. v.780 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Marianne est l'objet dont son âme est charmée ? v.781 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- La présence décide ; on se prend par les yeux : v.782 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Son choix revient au même : il n'en sera pas mieux. v.784 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ouvrez-moi votre sein ; que mon coeur s'y déploie : v.786 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Mon amour paternel v.793 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Marianne se croit la fille de mon frère, v.797 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et n'imagine pas qu'elle soit chez son père. v.798 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Bon ! v.799 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Elle est dans la bonne foi. v.799 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Feu mon frère eut toujours le même nom que moi. v.802 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ne pouvant engager mon épouse obstinée v.807 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Immoler à son fils cette triste victime, v.810 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Il est assez bon, ce me semble. v.818 (Acte 2, scène 8, DOLIGNI PÈRE)
- Et je n'ai si longtemps retardé mon retour, v.819 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Et je m'en vais savoir si, pendant mon absence, v.822 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ses charmes et son innocence, v.823 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- De son aveugle mère ont pu la faire aimer... v.824 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Sur-tout ne dites point ce que je vous confie ; v.826 (Acte 2, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Comment vont nos projets ? v.827 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Apprends-moi quel succès a couronné ton zèle. v.828 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Tout a donc réussi, v.833 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Présumez un peu moins de mon faible talent. v.835 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- À mon obéissance a servi de soutien ; v.840 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Et mon coeur, étonné de se trouver si tendre, v.841 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- L'heureuse nouvelle ! Achève ton ouvrage. v.843 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il faut donc renoncer à ses moindres bienfaits. v.850 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Comment donc ? v.851 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ni vaincre son indifférence. v.854 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je connais trop son coeur ; il m'est inaccessible : v.856 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ce n'est que pour son fils qu'il peut être sensible : v.857 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Je ne sais si mes soins ne m'ont pas fait haïr. v.860 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ne me forcez donc pas d'insister davantage. v.861 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- En vous la demandant mon âme est déchirée. v.865 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Ne t'imagine pas non plus que je m'y prête. v.868 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai de fortes raisons pour ne pas consentir v.869 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Vienne dans mon désert empoisonner ma vie. v.872 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Dans sa tranquillité profonde. v.874 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- C'est lorsqu'on a du moins un peu connu le monde v.875 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Qu'on peut, dans la retraite, avoir de vrais plaisirs. v.876 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Hélas ! Je l'ignorais dans mon obscurité : v.879 (Acte 2, scène 9, MARIANNE)
- Non ; c'est un dessein pris, où je suis affermi : v.883 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Au fils de mon meilleur ami. v.885 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Nous avons tous les deux conclu cet hyménée. v.886 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- S'il est à ton gré, comme au mien, v.887 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- J'en tire un bon augure. Il sera ton époux... v.890 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Quel est cet inconnu qui marche sur nos traces ? v.891 (Acte 2, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ce vieux monsieur-là, sauf son respect et le vôtre, v.893 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Eh ! Bien... Est-ce monsieur ? v.894 (Acte 2, scène 10, MAITRE D HOTEL)
- Monsieur, on a servi. v.896 (Acte 2, scène 10, MAITRE-D-HOTEL)
- Il faut que mon esprit soit devenu gothique, v.903 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Dont vous avez passé le tiers hors de Paris, v.907 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Mais rendons-nous justice, et n'ayons plus d'humeurs. v.910 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Avions-nous conservé celles de nos ancêtres ? v.912 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- D'âge en âge on ne fait que changer de folie. v.916 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Le nom d'aucun des plats qu'on a servis à table. v.920 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en ai pas, non plus, reconnu la moitié. v.921 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Il faut être sorcier pour savoir ce qu'on mange. v.923 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Garni de marmousets et d'arbustes confus, v.926 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Qui font un bois-taillis, où l'on ne se voit plus v.927 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Et tient, en attendant, tout le monde à la gêne. v.932 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Quels convives d'ailleurs ! Je veux être pendu, v.933 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- À l'étrange jargon qu'ils parlaient tous ensemble. v.935 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ce sont de beaux esprits que Le Marquis rassemble, v.938 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Et qui dans votre hôtel ont ouvert leur bureau. v.939 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Rien n'y manque. J'en dois remercier mon fils. v.942 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne m'attendais pas de trouver mon logis v.943 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Mais enfin laissons-là ces propos superflus ; v.945 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Revenons au sujet qui me touche le plus. v.946 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Elle veut au marquis assurer tout son bien ; v.949 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Il n'est donc plus d'espoir. v.951 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Mais peut-on s'empêcher de s'en laisser charmer ? v.955 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Loin de répondre à l'apparence, v.959 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Le projet et le piège ont tourné contre moi. v.960 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Votre position est fâcheuse. v.961 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Depuis notre hymen, l'union la plus belle v.966 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- D'ailleurs, je lui dois tout. Je n'avais rien au monde. v.968 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Malgré ma misère profonde, v.969 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- De parents qui pouvaient s'opposer à son choix. v.972 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Cependant mon bonheur, ou plutôt sa constance, v.974 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Qui jouissait déjà d'un bien considérable, v.977 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Que des successions ont augmenté depuis. v.978 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Je m'en souviens sans cesse avec reconnaissance. v.979 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ma fille... non, monsieur, je ne puis m'en priver. v.983 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Votre fille est chez vous, déclarez-vous son père. v.986 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Je vous offre mon ministère. v.990 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Il en est, sans comparaison, v.996 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Tout comme des enfants mutins et volontaires : v.997 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Quand la force leur manque, ils entendent raison. v.998 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Songez que votre femme, au gré de son espoir, v.1000 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Va remplir le projet dont elle est trop éprise ; v.1001 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Que, sans doute, on fera les accords dès ce soir ; v.1002 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI P?RE)
- Et se rendre en secret maîtresse de son sort ! v.1007 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ne la contraigne point à cette violence, v.1010 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Les persécutions feront le même effet ; v.1011 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Il faudra tenir bon : peut-être... v.1014 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Je voudrais conserver la paix dans ma famille... v.1015 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Il pourrait concilier tout, v.1017 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Sa légitime peut monter v.1019 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Bien, seriez-vous homme à vous en contenter ? v.1021 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Allons, je le veux bien, pour vous tirer de peine. v.1024 (Acte 3, scène 1, DOLIGNI PÈRE)
- Ah ! Mon cher... v.1025 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Mon oncle, le diriez-vous ? v.1029 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- M'a donné les noms les plus doux. v.1031 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Elle est donc bien intéressée v.1032 (Acte 3, scène 2, DOLIGNI PÈRE)
- Qu'il n'est rien, près de vous, dont je ne vienne à bout ; v.1035 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Qu'elle aurait soin de mon destin. v.1037 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- C'est au sujet de mon cousin... v.1038 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- C'est l'hymen de son fils, tel qu'il est projeté. v.1043 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- À qui donc ? Pour tous deux, j'implore vos bontés. v.1045 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- C'est l'établissement le plus considérable... v.1046 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Vous la désespérez, si vous n'y consentez ; v.1047 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Prétendre que son fils soit le seul possesseur v.1049 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Moi, je ne lui veux point de mal ; et si mon zele... v.1055 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Je m'en rapporte à toi. Tu sais ce qu'on propose ; v.1057 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Et ne consulte ici que ton propre intérêt. v.1061 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- Je me serais déjà prononcé mon arrêt. v.1062 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- À braver mon destin ? Quelle en serait l'issue ? v.1067 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- De déchirer toujours le sein qui m'a conçue, v.1069 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Pourquoi me consulter dans cette conjoncture ? v.1071 (Acte 3, scène 2, MARIANNE)
- Jugez donc si j'ai lieu v.1075 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- De déclarer son sort. v.1076 (Acte 3, scène 2, MONSIEUR ARGANT)
- On ne peut mieux plaider une méchante cause. v.1081 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Quel est donc ce langage ? v.1083 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Dont notre heureux hymen ait été couronné ? v.1086 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'il en fut encor un conçu dans votre sein. v.1088 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Si vous en conservez un souvenir fidèle ? v.1090 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mais cette fille enfin dont vous plaignez le sort, v.1092 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Dans mon coeur, il est vrai, l'absence a triomphé. v.1098 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- L'éloignement, l'oubli, le temps, ont étouffé v.1099 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Et mon fils en a profité. v.1105 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mais ma tante a raison ; elle se justifie. v.1106 (Acte 3, scène 3, MARIANNE)
- Monsieur, il n'est plus temps. Et j'ose vous répondre v.1114 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Que, de la tête aux pieds, il faudrait la refondre, v.1115 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Et qu'on n'en viendrait pas à bout. v.1116 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Qui vient tard dans le monde, y joue un triste rôle. v.1117 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- À Marianne on peut s'en rapporter. v.1120 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Oui, voyez comme elle est : vous connaissez aussi v.1122 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Son esprit et sa gentillesse ; v.1123 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- On ne compare point une personne unique. v.1125 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Vous pouviez épargner cet éloge ironique. v.1126 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que j'accorde à mon fils. v.1129 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Nous avons deux enfants : mais l'usage m'absout, v.1131 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Si j'en laisse un des deux au fond d'une clôture. v.1132 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il n'en faut avoir qu'un, quand on veut qu'il ait tout. v.1134 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Pouvez-vous mieux placer mon espoir et le vôtre ? v.1135 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il est bien naturel, quand on a le bonheur v.1136 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- De chercher à s'en faire honneur. v.1138 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Elle a versé sur lui ses plus précieux dons. v.1140 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Il peut aller à tout, si nous le secondons. v.1141 (Acte 3, scène 3, MADAME ARGANT)
- Peut-on donner dans ce prestige ? v.1142 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- C'est un titre banal. On ne peut faire un pas v.1145 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'on ne voit accorder ce nom imaginaire v.1146 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- À tout venant, à gens qui ne sont bien souvent v.1147 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Ce qu'on prend pour esprit, dans le siècle où nous sommes, v.1150 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que l'on nomme autrement, faute de connaissance. v.1154 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Proverbes, quolibets, folles allusions, v.1155 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Quelque superficie, et des expressions v.1157 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Joignez-y le ton suffisant : v.1159 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Pour moi, mon avis est, dût-il paraître étrange, v.1161 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Que ces petits messieurs, qui sont si florissants, v.1162 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Feraient un marché d'or, s'ils donnaient, en échange, v.1163 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Tout ce qu'ils ont d'esprit pour un peu de bon-sens. v.1164 (Acte 3, scène 3, MONSIEUR ARGANT)
- Mon mariage projeté v.1166 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Et nous ne songeons pas aux présents qu'il faut faire. v.1170 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Il convient d'envoyer demain les pierreries : v.1173 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- C'est l'ordre ; et l'on ne peut, quand on est régulier, v.1174 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Vous avez bien raison ; c'est penser à merveille. v.1177 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- Je vais donc commander qu'on mette vos chevaux. v.1179 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Est-ce là son affaire ? v.1182 (Acte 3, scène 4, MADAME ARGANT)
- Et mourir satisfait de son sort et du vôtre. v.1185 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Vous partagez tous deux mon coeur par la moitié. v.1188 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Parlez. Mes sentiments vous sont assez connus. v.1191 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Parlez donc ; qu'entre nous votre bouche prononce. v.1192 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Au fond de votre coeur cherchez votre réponse, v.1193 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Et non pas dans des yeux un peu trop prévenus. v.1194 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- De ces distinctions je vous laisse le maître. v.1199 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Quant à moi, j'ai, monsieur, un trop profond respect v.1200 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Pour donner des avis à ceux qui m'ont fait naître. v.1201 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- De me piquer d'honneur. Le sang parle de loin : v.1205 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, quelle est donc cette crainte imprévue ? v.1206 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR ARGANT)
- Quand vous me demandez à moi mon entremise... v.1208 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- M'ordonner assez nettement v.1215 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Mon silence pourtant n'empêche pas mes voeux. v.1217 (Acte 3, scène 4, LE MARQUIS)
- Nous avons, ou plutôt vous avez en bon bien, v.1221 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Avec sa légitime on voudra bien la prendre ; v.1228 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Et même l'on aura des grâces à vous rendre. v.1229 (Acte 3, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais est-ce un sujet qui convienne ? v.1239 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Je suis sa caution. v.1240 (Acte 3, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Quelle est donc sa pensée ? v.1242 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Cette fille, en un mot, que la prévention v.1243 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Qu'on peut puiser au fond d'une clôture... v.1246 (Acte 3, scène 6, MADAME ARGANT)
- Telle qu'elle est enfin, on offre de la prendre ; v.1248 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Et le fils de monsieur, si vous le permettez... v.1249 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi ! Le fils de monsieur... vous me compromettez. v.1251 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ah ! Quelle trahison ! v.1253 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Monsieur nous fait honneur. v.1253 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ce sera pour mon fils le comble du bonheur. v.1254 (Acte 3, scène 7, DOLIGNI PÈRE)
- Feignons. Il faut se rendre. v.1255 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mon fils ne peut jamais être mieux assorti. v.1256 (Acte 3, scène 7, DOLIGNI PÈRE)
- Qu'on le fasse venir. v.1257 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Tout-à-l'heure il était là-dedans ; qu'on y voit. v.1258 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Il doit avoir pris son parti. v.1259 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Allez, vous dis-je, allez ; faites qu'on me l'envoie. v.1260 (Acte 3, scène 7, MADAME ARGANT)
- Bon ; le voici qui vient. v.1261 (Acte 3, scène 7, MARIANNE)
- Je reprends ma parole et mon consentement. v.1267 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Monsieur, j'aurais besoin d'un éclaircissement. v.1269 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- On daigne rechercher pour vous notre alliance. v.1270 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous voyez mon saisissement. v.1271 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Eh ! Bien, soyez content. v.1275 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Hélas ! C'en est donc fait. v.1278 (Acte 3, scène 8, MARIANNE)
- Eh ! Qui donc ? v.1280 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- On ne peut être plus confus. v.1283 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Mon père, épargnez-vous ces signes superflus : v.1285 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Je ne puis, mon désordre a trop su me confondre. v.1286 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- De grâce, laissez donc... v.1287 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- L'excès de vos bontés ne pouvait se prévoir : v.1288 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Je suis désespéré de n'y pouvoir répondre. v.1289 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- L'amour dans mon coeur trop sensible v.1291 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI-fils)
- Mais la nécessité m'arrache mon secret. v.1296 (Acte 3, scène 8, DOLIGNI fils)
- Eh ! Monsieur, quel est-il ? v.1298 (Acte 3, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ah ! Monsieur, vous devez préférer ma cousine. v.1299 (Acte 3, scène 8, MARIANNE)
- La méprise n'est pas telle qu'on l'imagine. v.1301 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Ah ! Monsieur, pardonnez... v.1304 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Comment donc ? v.1305 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Ses refus ont montré son amour. v.1305 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il vient d'en donner sans détour v.1306 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- S'il avait accepté, j'en serais moins content. v.1308 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Vous me permettez donc de demeurer constant ? v.1309 (Acte 3, scène 9, DOLIGNI-fils)
- Sans doute. Allons rêver au parti qu'il faut prendre. v.1310 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ton bonheur n'est que suspendu. v.1311 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne t'embarrasse pas, va, tu seras mon gendre. v.1312 (Acte 3, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Il s'en mêle encor à son âge ! v.1314 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Eh ! Que ferons-nous donc, nous autres jeunes gens, v.1315 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Jugeons un peu moins vite, ou soyons indulgents. v.1317 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Il me semble qu'un fils devrait, avec raison, v.1319 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Est-ce ma faute, à moi, si toute la maison v.1321 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- N'est-il venu personne apporter un billet ? v.1323 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, voyons, qu'espères-tu ? v.1326 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Qu'enfin nous allons prendre un autre train de vie. v.1327 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Et par quelle raison ? v.1328 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Parce qu'on vous marie. v.1328 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- La raison les attend au fond de leur ménage. v.1331 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- À moins qu'on n'ait le diable au corps. v.1334 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Au contraire. Je vais m'enterrer tout vivant, v.1337 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Renoncer au plaisir qui convient à mon âge, v.1338 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Consacrer à l'ennui le cours de mes beaux ans, v.1339 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Commencer mon hiver au fort de mon printemps, v.1340 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- M'enfoncer, m'abîmer au fond de mon ménage, v.1341 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Va donc voir ce qu'on veut. L'attente est un supplice. v.1344 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- "Mes résolutions sont prises. v.1347 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Je sens que mon devoir en murmure... qu'importe ? v.1352 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Mais l'on n'est plus à soi, lorsque l'on est à vous. " v.1353 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ah ! Pour moi quel bonheur, ou plutôt quelle gloire ! v.1354 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Ne perdons point de temps. v.1355 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Quelle est donc cette histoire ? v.1355 (Acte 4, scène 1, LA FLEUR)
- Les deux mille louis qui me sont nécessaires. v.1358 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- J'ai des ordres encore à te donner ensuite. v.1360 (Acte 4, scène 1, LE MARQUIS)
- Eh ! Pourquoi donc ? v.1363 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- C'est bien fait. Ce présent n'est il pas fort honnête ? v.1368 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Honnête ! Ah ! Pour le moins ; et j'en suis très content. v.1369 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Je brûle de le voir orner votre conquête. v.1370 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Qu'elle a sur mon époux un empire étonnant ; v.1375 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Peut-on savoir pourquoi ? v.1377 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- De votre confiance a droit d'être honorée. v.1379 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Non ; vous m'inquiétez. Plus vous voulez vous taire, v.1381 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Plus vous me donnez à penser ; v.1382 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- D'ailleurs, quoi qu'il en soit de cette confidence, v.1391 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Croyez que je n'en tire aucune conséquence. v.1392 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Le fait en question est assez singulier. v.1393 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Marianne, entre nous, vous est-elle connue ? v.1394 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui, lorsqu'avec mon père elle est ici venue, v.1395 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Saviez-vous, comme un fait bien sûr et bien constant, v.1396 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Mon mari le disait. v.1400 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Oui, je crois, dans mon jeune temps, v.1401 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- D'ailleurs, nous habitions des lieux trop différents v.1403 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je n'ai pas autrement connu votre famille. v.1405 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Ni moi non plus. Mais, entre nous, v.1408 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Marianne n'est point la nièce de mon père. v.1409 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Eh ! Vraiment non ; v.1410 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- D'où la sait-on ? Comment ? Quel en est le témoin ? v.1415 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il convient qu'effectivement v.1419 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Son maître eut une fille unique, v.1420 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Qu'on nommait Marianne. v.1421 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Qu'elle est morte avant lui, que rien n'est plus constant ; v.1422 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Tous deux sont morts depuis longtemps. v.1426 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Il est sûr de son fait. Ce ne peut pas être elle. v.1427 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Pour oser en conclure rien. v.1429 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Quoi ! Chez moi ! Sous mes yeux ! Feignons de n'en rien croire, v.1430 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et ne dégradons point le père aux yeux du fils. v.1431 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Non ; plus je pense à cette histoire, v.1432 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Plus je vois que ce sont autant de faux avis. v.1433 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Je connais mon mari. Vingt ans d'expérience v.1434 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Doivent, sur cet article, assurer mon repos. v.1435 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Pouvez-vous honorer de la moindre croyance v.1436 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- N'ayons point là-dessus de débats : v.1441 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mon mari comblera mes voeux. v.1444 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- L'honneur de s'allier à des gens d'importance, v.1445 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Un billet d'assez bon augure. v.1449 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Chez le Comte_d'Ausbourg on nous attend ce soir. v.1450 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Il est oncle de la future. v.1451 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- C'est chez lui qu'on s'assemble ; et l'on y soupera. v.1452 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Mes gens la chercheront. v.1454 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Arrivez de bonne heure. v.1454 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Et partout où l'on soupe, il faut arriver tard. v.1457 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Oui ; mais l'occasion mérite quelque égard, v.1458 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Faites donc pour le mieux. v.1461 (Acte 4, scène 2, MADAME ARGANT)
- Vous serez tous contents. v.1461 (Acte 4, scène 2, LE MARQUIS)
- Rien n'est plus ravissant que cette conjoncture. v.1462 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Ceci veut de l'ordre... Oui... Chacun aura son tour ; v.1464 (Acte 4, scène 3, LE MARQUIS)
- Où sont mes deux mille louis ? v.1466 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Bon ! Je m'en réjouis. v.1467 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Allons, preste, à cheval. v.1468 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Va-t-en faire arranger la petite maison ; v.1469 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Commande un souper propre, et suivant la saison ; v.1470 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Que tout soit à la glace, et qu'on fasse grand feu v.1472 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'on éclaire partout. v.1473 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Allons. v.1475 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Oui. Fais ce qu'on te dit. v.1480 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Mais, monsieur, tout ceci... franchement, à vrai dire, v.1484 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Un jour comme aujourd'hui, me donne du tintoin. v.1485 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Bon ! Le jour est bien loin. v.1487 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Qu'on mette les chevaux à la voiture grise. v.1488 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Eh ! Bien, va donc. v.1489 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Allons. Il a de l'argent frais ; v.1489 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Oui, risquons le paquet. v.1492 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Vous allez me gronder. v.1493 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Me le pardonnez-vous ? v.1502 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Mais d'honneur ? v.1502 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Mons de La Fleur, vous n'aurez plus la bourse. v.1504 (Acte 4, scène 4, LE MARQUIS)
- Droit au cabinet dirigeons notre course. v.1505 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Et vite et vite, allons nous payer par nos mains. v.1506 (Acte 4, scène 4, LA FLEUR)
- Il faut absolument quitter cette maison. v.1509 (Acte 4, scène 5, MARIANNE)
- Ce n'est pas sans raison. v.1510 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Tout ne réussit pas toujours selon nos voeux. v.1515 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Il arrive par fois des contre-temps fâcheux ; v.1516 (Acte 4, scène 5, LE MARQUIS)
- Quoi ! Tout le monde ici se trouve réuni v.1520 (Acte 4, scène 6, MARIANNE)
- Ma tante est contre moi d'une colère extrême. v.1524 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Dans le fond de mon coeur, hélas ! Je n'ai trouvé v.1527 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- La prend d'une façon si brusque et si cruelle ; v.1530 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- D'autant plus qu'une fois, d'abondance de coeur, v.1531 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Elle disait, j'oublie en quelle conjoncture : v.1532 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Je ne connais que lui pour jouer de ces tours. v.1537 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Qu'on me ramène où l'on m'a prise. v.1544 (Acte 4, scène 7, MARIANNE)
- Monsieur adresse ici ses pas. v.1545 (Acte 4, scène 7, ROSETTE)
- Hélas ! Mon oncle, au nom de la tendre amitié v.1549 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Dont par vous seul ici je me trouve honorée, v.1550 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- De grâce, dites-moi, par bonté, par pitié, v.1551 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'est-ce donc qui se passe à mon désavantage ? v.1552 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Tout inconnus qu'ils sont, ils m'arrachent des pleurs. v.1554 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Dont je ne puis venir à bout. v.1559 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne te connais point de nouvelle infortune. v.1560 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Non, je n'en sache aucune. v.1561 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Pourquoi donc, à présent, attiré-je les yeux v.1562 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- De tout ce qui nous environne ? v.1563 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'on attache en secret sur toute ma personne ? v.1565 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- C'est qu'ici tout le monde t'aime. v.1567 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Quoi donc ! Ai-je changé ? Ne suis-je plus la même ? v.1568 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Ils ont d'autres motifs que je ne puis savoir. v.1569 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- N'est-ce que d'aujourd'hui qu'on m'examine ainsi ; v.1571 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Et qu'en me regardant tout le monde d'ici v.1572 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Au milieu de mon trouble et du plus grand effroi, v.1585 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Qu'alors on est venu m'avertir que ma tante, v.1586 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Toujours de plus en plus en courroux contre moi, v.1587 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Quoi donc ? v.1591 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Mon secret est trahi. v.1592 (Acte 4, scène 8, MONSIEUR ARGANT)
- Quel est donc ce regret ? v.1592 (Acte 4, scène 8, MARIANNE)
- Eh ! Morbleu, l'on sait tout. v.1597 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Votre indiscrétion... v.1599 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Vous aviez mon secret ! v.1600 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Elle fait son métier. v.1601 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Contre elle et contre moi, qu'elle est dans le dessein, v.1604 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- De me l'arracher de mon sein, v.1606 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Eh ! Pourquoi donc ici m'avez-vous fait venir ? ... v.1615 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Ah ! Dieu ! Peut-on former un si cruel projet ? v.1619 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Elle ne sait donc pas sa véritable histoire ? v.1621 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Eh ! Non. Vous me jetez dans un autre embarras. v.1622 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- De cette horreur faites-moi donc sortir ; v.1629 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Crains d'apprendre ton sort. v.1631 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je ne crains que la honte v.1631 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- De nourrir plus longtemps l'opprobre où je me vois. v.1632 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Modère donc un peu les accents de ta voix. v.1633 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Non ; c'est au désespoir à rétablir ma gloire ; v.1634 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Sois instruite de ton état. v.1637 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Trouvera dans ton âme un retour éternel ; v.1639 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Qui ! Vous... Mon père ? v.1642 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Eh ! Pourquoi si longtemps me cacher mon bonheur ? v.1643 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- J'entrevois à présent le fond de ce mystère. v.1645 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Puisque j'ai le bonheur de vous appartenir, v.1646 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Le sort peut, à son gré, régler mon avenir. v.1647 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- Non ; j'ai pris mon parti, puisqu'on me pousse à bout v.1649 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Mais pour toi, laisse-moi le soin de te conduire. v.1650 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Que nous avons encor une fille à pourvoir. v.1653 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'un usage cruel, au gré de son pouvoir, v.1655 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- On te viendra chercher. v.1660 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Joignez à vos bontés la grâce que j'implore ; v.1664 (Acte 4, scène 9, MARIANNE)
- On m'attend ; obéis. Et vous, ami fidèle, v.1666 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Ne m'abandonnez pas ; daignez prendre soin d'elle. v.1667 (Acte 4, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- On est brave de loin... v.1671 (Acte 4, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- La bonne femme est folle, ou le diable s'en mêle. v.1673 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Comment donc ! Eh ! Pour qui madame me prend-elle ? v.1674 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Mais a-t-on jamais fait payer au serviteur v.1677 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Serviteur ; on me chasse : où diantre faire voile ? v.1681 (Acte 5, scène 1, LA FLEUR)
- Je maudis mon étoile. v.1682 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Ton étoile ! Comment ? Est ce qu'en bonne foi v.1683 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Que madame m'a fait agréer mon congé. v.1686 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Ton congé, mon enfant ? v.1687 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Mon crime est d'être un sot. v.1688 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- On m'impute un négoce v.1689 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Que mon maître a baclé, sans m'en dire un seul mot ; v.1690 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Et la prévention demeurant la plus forte, v.1691 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- On m'oblige, avec elle, à prendre mon parti : v.1693 (Acte 5, scène 2, LA FLEUR)
- Regrette moins ton maître ; il t'aurait perverti. v.1695 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- D'ailleurs, peut-on savoir d'où vient tout ce grabuge ? v.1696 (Acte 5, scène 2, ROSETTE)
- Fidèle confident d'un trop coupable maître... v.1698 (Acte 5, scène 3, MADAME ARGANT)
- D'où viennent donc ces pleurs qui coulent malgré vous ? v.1702 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- On ne reçut jamais de plus sensibles coups. v.1704 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- On vient d'empoisonner le bonheur de ma vie... v.1705 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Mon coeur est suffoqué... je ne puis respirer. v.1706 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- L'objet dont je n'étais que trop préoccupée, v.1709 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Mon fils... ce n'est qu'un fourbe. Il m'a toujours trompée. v.1711 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- J'aurais donné mon sang jusqu'à la moindre goutte v.1716 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Le chemin le plus sûr qui conduit à la gloire ; v.1720 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Ils vont être à jamais ses plus grands ennemis. v.1724 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Nous étions assemblés ; il était attendu. v.1727 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- D'étouffer un amour qu'il condamnait lui-même ; v.1733 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Pour l'excuser encor je faisais mon possible ; v.1738 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Enfin, l'on est venu m'en instruire en secret. v.1739 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Non, un coup de poignard m'eût été moins sensible. v.1740 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Juge de mon état, de la douleur amère, v.1742 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- De la confusion que j'ai dû ressentir. v.1743 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- On pourra le sauver. v.1746 (Acte 5, scène 4, ROSETTE)
- Ah ! La raison m'éclaire, v.1746 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Supposé que l'on puisse apaiser cette affaire, v.1748 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- Non, quand la confiance est une fois détruite, v.1757 (Acte 5, scène 4, MADAME ARGANT)
- En a-t-on ? L'aventure est-elle aussi cruelle v.1760 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Qu'on le dit ? v.1761 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Je vous en réponds. v.1761 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Avec son bel esprit qui vous avait séduite, v.1762 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Votre fils, comme un sot, a donné tout de suite v.1763 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Dans un piège grossier tendu par des fripons ; v.1764 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Est un enlèvement bien conditionné. v.1766 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Son illustre conquête ; il n'avait rien prévu ; v.1769 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- On est venu troubler sa joie. v.1771 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Au lieu d'abandonner sa proie, v.1773 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Les suites n'en seront funestes que pour moi. v.1783 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Idole de mon coeur ! Malheureuse chimère ! v.1784 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Est-ce au fond de mon sein qu'il a puisé ces vices ? v.1787 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- La moitié de mon sang y reste enseveli ; v.1789 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Ma honte est mon salaire ! Hélas ! Qui l'eût pu croire ? v.1792 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Pour détacher mon coeur, il faut le déchirer : v.1793 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Va, ma haine commence où mon erreur finit. v.1795 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Eh ! Ne séparez point mon intérêt du vôtre. v.1797 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Sans nous rien reprocher, gémissons l'un et l'autre v.1798 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que de cacher l'excès de son enchantement. v.1805 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Du faible qu'on a pour ses charmes. v.1809 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Plus les enfants sont chers, plus il est dangereux v.1810 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- De leur trop laisser voir tout ce qu'on sent pour eux. v.1811 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Où la raison n'est pas à sa maturité, v.1816 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Vous devez conserver un rayon d'espérance. v.1817 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je l'ai laissé confus, honteux, mortifié. v.1818 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je vois que son état est digne de pitié. v.1819 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Un malheur instruit mieux qu'aucune remontrance. v.1820 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Ce qu'il vient d'essuyer finira son ivresse. v.1822 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Que celle qu'on acquiert à ses propres dépens. v.1824 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Discourez un peu moins, et montrez-vous plus sage. v.1825 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Qui peut me procurer cet avis à mon âge ? v.1827 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Je n'en ai, je vous jure, aucune connaissance. v.1829 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Ce qu'ici personne n'ignore ? v.1832 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Voyons, que savez-vous encore ? v.1833 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Monsieur, vous lui traciez une route assez belle ! v.1835 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Sans doute il vous sied bien de prendre son parti, v.1836 (Acte 5, scène 5, MADAME ARGANT)
- Vous vous abandonnez à de fausses alarmes. v.1844 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Calmez-vous sur mon compte ; et jugez un peu mieux... v.1845 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Mais on vient ; suspendez vos larmes. v.1846 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR ARGANT)
- Vous n'aurez pu conclure avec ces coquins-là ; v.1848 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Leurs propositions sans doute vous effrayent ? v.1849 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- J'ai trouvé, par bonheur, de ces gens qui se payent v.1850 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- De raison et d'argent comptant. v.1851 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- À l'honneur de leur fille il n'en faut plus qu'autant. v.1852 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Dont ces honnêtes gens sont contents. v.1854 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Si vous le trouvez bon, sans perdre un seul moment, v.1855 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI PÈRE)
- Il faut aller signer et consommer l'affaire. v.1856 (Acte 5, scène 6, DOLIGNI P?RE)
- Courons-y promptement ; v.1858 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Supposé, cependant, que cela vous convienne. v.1859 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Partons. v.1860 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR ARGANT)
- Et nous, réglons aussi v.1860 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Voyons donc ce que c'est ; perçons l'obscurité, v.1863 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Dont le mystère ici couvre la vérité. v.1864 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Mon époux et mon fils !... J'adorais deux ingrats ! ... v.1867 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Ma rivale paraît... Ne la ménageons pas. v.1868 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Sachons qui de nous deux doit imposer la loi. v.1870 (Acte 5, scène 7, MADAME ARGANT)
- Que s'est-il donc passé ? Je vois, sur son visage, v.1871 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Ou faut-il vous céder ? Prononcez entre nous. v.1877 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Répondez donc ? v.1879 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Levez-vous. Les soupirs, les pleurs sont superflus. v.1881 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Ce ne sont pas toujours des preuves d'innocence. v.1882 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Disposez de mon sort. Que voulez-vous de plus ? v.1883 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Ordonnez ; et comptez sur une obéissance v.1885 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Accusez mon erreur et non pas mon audace. v.1892 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Madame, on m'a trompée en m'amenant ici : v.1893 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- D'aujourd'hui seulement mon sort est éclairci. v.1896 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Pour qu'on me laissât fuir. Je n'ai pu l'obtenir. v.1898 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- J'ai peine à résister à son air ingénu. v.1901 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Votre sort, dites-vous, vous était inconnu ? v.1903 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Quel est donc ce roman ? v.1904 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- On a dû vous l'apprendre. v.1904 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- On ne vous a point dit qui j'étais ? v.1906 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Cherchez donc à la dissiper. v.1909 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Je ne vois point mon père. v.1910 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Cet abandon me désespère. v.1912 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Quand vous me connaîtrez... v.1915 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Je menais hors du monde une vie inconnue. v.1918 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Continuez. v.1919 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Depuis que je suis née, on m'a toujours tenue. v.1920 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Fixez-y mon destin. Je suis prête à partir. v.1921 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- On peut l'avoir trompée... v.1924 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Je vous les offre volontiers. v.1925 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous pouvez le connaître. v.1927 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Où vous avait-on mise ? v.1927 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Vous l'avez donc vue ? v.1934 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Si vous la connaissez, v.1934 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Faites-moi son portrait... Quoi ! Vous ne l'osez pas ? v.1937 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Connaissez-la par d'autres traits v.1944 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- C'est sa soumission et son profond respect. v.1946 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Votre fille, à jamais, saura s'y conformer. v.1949 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- Vos projets lui sont tous aussi chers qu'à vous-même. v.1950 (Acte 5, scène 8, MARIANNE)
- De quoi donc ? Achevez. v.1952 (Acte 5, scène 8, MADAME ARGANT)
- Hélas ! Pardonnez-moi. v.1957 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Pardonnez-moi tous deux, et partagez ma joie. v.1966 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Vous me pardonnez donc cette ruse innocente ! v.1969 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Si je vous la pardonne ! Elle fait mon bonheur. v.1970 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Nous en voilà pourtant venus à notre honneur ! v.1971 (Acte 5, scène 9, DOLIGNI PÈRE)
- Ma femme, il faut aussi que mon fils s'en ressente. v.1972 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Je crois, pour l'avenir, qu'on peut tout s'en promettre. v.1974 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Oserais-je, en faveur de mon frère, v.1977 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Unir ma faible voix à celle de mon père ? v.1978 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Pour qui réservez-vous un généreux pardon ? v.1979 (Acte 5, scène 9, MARIANNE)
- Mérite un entier abandon. v.1982 (Acte 5, scène 9, MADAME ARGANT)
- Doit être passager et non pas éternel. v.1986 (Acte 5, scène 9, MONSIEUR ARGANT)
- Monsieur, voici ma fille et ma seule héritière. v.1987 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je déshérite Argant ; j'en prononce l'arrêt : v.1988 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- S'il en coûte si cher à mon malheureux frère, v.1994 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Si vous l'abandonnez, que faut-il qu'il devienne ? v.1998 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Et de son désespoir extrême. v.2001 (Acte 5, scène 10, MARIANNE)
- Mais avant qu'un pardon plus ample v.2005 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- Je veux d'un oeil sévère observer sa conduite. v.2007 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- C'est la condition que j'exige de vous. v.2011 (Acte 5, scène 10, MADAME ARGANT)
- C'est rendre encor plus chère une union si belle. v.2012 (Acte 5, scène 10, DOLIGNI-fils)
- En aimant ses enfants, c'est soi-même qu'on aime ; v.2014 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Comptez qu'on ne parvient à ce bonheur suprême, v.2017 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
- Qu'en partageant son âme également entre eux. v.2018 (Acte 5, scène 10, MONSIEUR ARGANT)
ÉCOLE DES AMIS (1749)
- Oui : mais, Monsieur, à peine est-elle refermée. v.5 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Blessé dans ce combat où mon oncle a péri, v.7 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Deux mois se sont passez : je dois être guéri. v.8 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Quelle raison ! v.9 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Mon oncle était chargé des biens de ta Maîtresse ; v.13 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Monsieur, vous vous verrez, sans doute, auparavant ? v.16 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- La révolution... v.20 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Est-on si prévoyant lorsque l'on aime bien ? v.24 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Monsieur, est-ce donc-là cette âme si charmée v.25 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Avez écrit vingt fois pour avoir son portrait, v.27 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Qu'on vous eut envoyé, s'il avait été fait ? v.28 (Acte 1, scène 1, CLORINE)
- Si j'avais son portrait, il faudrait le lui rendre ; v.30 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Il faudrait la revoir encore, et me plonger... v.31 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Il n'y faut plus songer. v.32 (Acte 1, scène 1, MONROSE)
- Oui, Monsieur, je saurai vous forcer à venir v.40 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Alors ils se verront. L'amour d'intelligence v.42 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Espérons que la Cour lui sera moins contraire. v.45 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Car... ses amis ont beau le servir de leur mieux ; v.47 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- L'un d'eux n'est qu'un bon homme, ardent, officieux, v.48 (Acte 1, scène 2, CLORINE)
- Eh bien ! où sont-ils donc fourrez ? Hola, quelqu'un ? v.51 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Bon ! voici justement notre vieil importun ! v.52 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Qu'il va bien signaler son zèle impitoyable ! v.53 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Quand le Maître est dehors, les Valets sont au diable. v.54 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Hortense s'en va donc ? v.57 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oui, Monsieur, sans remise. v.57 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Avant que de lui faire épouser son neveu. v.60 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Et nous faisons aujourd'hui nos adieux. v.64 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- À quoi servirait-elle ? On n'en a pas besoin. v.68 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Oui, Monsieur, je l'espère. v.69 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ah ! je vous en réponds. D'autant plus que son père v.70 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Qui, pour être partout Maître de son destin, v.72 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Chacun, suivant son goût, prend ses arrangements. v.75 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ainsi donc ta Maîtresse, outre ses diamants, v.76 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- à moins que le défunt, contre toute apparence, v.78 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- N'ait altéré des biens confiez à ses soins ; v.79 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Mais c'est ce que l'on doit appréhender le moins, v.80 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Ah ! point du tout, Monsieur... Oui... j'entends... excusez ; v.83 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On vient de m'appeler. v.84 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Non ; vous vous abusez : v.84 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et quand cela serait, qu'importe ? On peut attendre. v.85 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- En faveur de Monrose, il faudrait nous entendre. v.86 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tu vois comme au moment de faire son bonheur, v.87 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Son oncle un peu trop-tôt est mort au lit d'honneur : v.88 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tu sais, pour son neveu, quelle était sa tendresse ; v.89 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il lui cédait sa Charge et son Gouvernement : v.91 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Et l'on doit peu compter sur leurs successions. v.95 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Le défunt ne roulait que sur des pensions, v.96 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si l'on achèvera des projets commencés : v.100 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On exigera d'elle une autre obéissance. v.106 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On exigera d'elle une infidélité : v.107 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Si Monrose a son coeur... v.109 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Qu'il n'ose plus tenter d'achever sa conquête. v.113 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Tant de discrétion lui ferait trop de tort. v.115 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il faudrait donc autoriser mon zèle. v.117 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Sans contredit. v.119 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Suivante et confidente est bien la même chose. v.122 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Non pas auprès d'Hortense. v.123 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- On peut bien deviner. v.124 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On surprend un secret qu'on ne veut pas nous dire ; v.125 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On le lit dans les yeux, dans... v.126 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- De tout ce que l'on sait qu'elles savent très bien. v.128 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On ne saurait penser plus à notre avantage. v.129 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Monsieur, vous souvient-il d'un certain mariage v.130 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ces gens sont en procès afin qu'on les sépare ; v.134 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Et vous sollicitez leur séparation. v.135 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Je ne dispose pas de l'inclination. v.136 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Bon ! Et ces deux rivaux, Monsieur, que vous en semble ? v.137 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- D'où vient sont-ils partis aussi-tôt de la main v.139 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ils ont pris querelle en chemin. v.140 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il n'est pas question de faire mon histoire. v.142 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Fait perdre à notre ami son temps et son amour ? v.144 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Lorsque l'on ne veut pas se laisser enflammer ? v.147 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Eh mais, combien de temps faut-il donc pour lui plaire, v.150 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- L'amour de son amant n'a pas mieux réussi ? v.152 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Cette époque est bonne à remarquer. v.155 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Il vaut mieux ne donner son coeur qu'après sa main. v.160 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Quand on est sa maîtresse, alors c'est autre chose. v.161 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Hortense était soumise à l'oncle de Monrose ; v.162 (Acte 1, scène 3, CLORINE)
- Ainsi Monrose est libre ; et s'il est raisonnable, v.169 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- On pourra lui trouver un parti convenable. v.170 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Oui, l'on pourra tourner de tel autre côté, v.172 (Acte 1, scène 3, ARAMONT)
- Serviteur au Baron. J'aime à te rencontrer. v.179 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Qu'as-tu fait de Monrose ? v.180 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Que d'amis fugitifs se verront confondus ! v.183 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Ils ne sont qu'égarez ; ils ne sont pas perdus. v.184 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Le calme revient-il ? On peut compter sur eux. v.188 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Dans le monde, en un mot, c'est l'usage ordinaire, v.190 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- On n'aime à partager que le bonheur d'autrui. v.192 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Monrose n'aura point ce reproche à me faire : v.193 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Et que la Cour lui soit favorable, ou contraire, v.194 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Sans doute. Le malheur est-il contagieux ? v.196 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- On cesse d'être ami sitôt que l'on varie. v.197 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Mais ce n'est point assez ; j'agis en conséquence. v.202 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Depuis qu'il est malade, on n'imagine pas v.203 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- J'ai mis en action toutes nos connaissances. v.205 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Car il faut bien les voir, quand on en a besoin. v.207 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Qui subjugue, ou détruit toute autre concurrence. v.214 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Parmi les prétendants ; ils sont en désarroi. v.216 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Que Monrose avait tout obtenu de la Cour : v.219 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Tu t'y connais ! v.223 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Qui sont à ma portée ; et je risque un peu moins. v.224 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Comment donc ? v.227 (Acte 1, scène 5, DORNANE)
- Que la succession est en très bon état v.228 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- On verra dans les suites. v.230 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Mais au surplus, Marquis, n'es-tu pas étonné v.231 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Que Monrose aujourd'hui se trouve abandonné v.232 (Acte 1, scène 5, ARAMONT)
- Laisse ainsi son neveu, tandis qu'il aurait pu v.236 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Agir, et lui prêter son heureuse assistance ? v.237 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Son appui nous serait d'une grande importance ; v.238 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Car enfin son crédit est plus grand qu'on ne croit v.239 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Qui se donne à la Cour pour être détaché v.244 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Et dont l'ambition, quand il en sera temps, v.247 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Au destin de Monrose un intérêt si tendre : v.250 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Je l'ai cru son ami. v.251 (Acte 1, scène 6, ARAMONT)
- Lui ? Sur quel fondement ? v.251 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Quand on est tel, crois-moi, l'on s'annonce autrement. v.252 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- En effet, l'amitié donne un air moins austère. v.253 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Il prend nos Passions, nos vertus, et nos vices : v.258 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- C'est un caméléon qui reçoit tour-à-tour... v.259 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Ce portrait-là, Monsieur, est celui de l'amour. v.260 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Mon abord vous étonne ! v.261 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Ah ! Monsieur, qui pouvait vous croire-là ? v.262 (Acte 1, scène 6, DORNANE)
- Personne. Si j'ai bien entendu votre entretien... v.263 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Les amis de Monrose étaient sur le tapis. v.264 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Et Monrose vous doit sa confiance entière. v.266 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Oui, par provision vous nous excluez tous. v.267 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Cependant trouvez bon qu'au rang de ses amis v.271 (Acte 1, scène 6, ARISTE)
- Mon bonheur est prochain ; si j'en crois tous les bruits, v.276 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- On dit qu'en ma faveur la Cour est réunie. v.277 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Ah ! Monsieur. C'est me faire une grâce infinie. v.278 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- Ces Messieurs sont témoins si depuis mon retour v.279 (Acte 1, scène 7, MONROSE)
- C'est qu'il te rend justice. On l'obtient quelquefois, v.284 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Quand on a le secret de se la faire rendre. v.285 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Une affaire dépend du tour qu'on lui fait prendre. v.286 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- C'est la même façon pour traiter avec eux. v.288 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Un aussi bon effet ?... v.290 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Car avec toi, mon cher, à moins de se fâcher... v.292 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- On ne cherche que trop à nous humilier. v.299 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Nous devons exiger, et non pas supplier. v.300 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- N'est-il pas vrai, Monsieur ? v.301 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Qui ne sont pas plus sages. v.302 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- On n'y saurait donner trop de cours et d'éclat. v.308 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Tout le monde applaudit. Je vous laisse à penser v.311 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- D'un acte d'équité que l'on trouve à sa place. v.313 (Acte 1, scène 7, DORNANE)
- Vous en parlez, Monsieur, avec capacité. v.316 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Contre cet étourdi je ne saurais tenir. v.319 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Dans un instant, Monsieur, pourrais-je revenir ? v.320 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Je veux prendre mon temps. v.322 (Acte 1, scène 7, ARISTE)
- Je puis donc m'applaudir avec vous sans témoins, v.323 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Permettez ce transport à ma reconnaissance : v.325 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- D'autres effets seront peut-être en ma puissance. v.326 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Ma chute était horrible ; il faut en convenir. v.327 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Éloignons cette idée ; v.329 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- D'ailleurs, ton désespoir m'était injurieux. v.331 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Suis-je donc un ami si frivole à tes yeux ? v.332 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Que le sort te trahisse, ou soit qu'il te seconde, v.333 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Mets-toi bien dans l'esprit que je n'ai rien au monde v.334 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Bien souvent ce ne sont que des mots d'habitude v.337 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Va, j'en suis convaincu ; ce n'est pas d'aujourd'hui : v.339 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Jette dans mon esprit un doute qui m'attriste ? v.342 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Que nous n'ayons point eu recours à son crédit. v.344 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Leur fasse voir enfin qu'on peut se passer d'eux ? v.348 (Acte 1, scène 8, DORNANE)
- Oui, c'est bien mon dessein, dès que je serai quitte v.353 (Acte 1, scène 8, MONROSE)
- Pour rassembler ici ceux qui sont nécessaires. v.358 (Acte 1, scène 9, ARAMONT)
- Je puis donc vous parler ? v.362 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ma famille a toujours éprouvé vos bontés. v.364 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Votre oncle n'eut jamais un ami plus fidèle, v.366 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Daignez me le faire connaître. v.369 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous entrez dans le monde ; et vous allez paraître v.370 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous en ont écarté. La Cour est en tout temps v.375 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Une terre inconnue à tous ses habitants. v.376 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Après un long séjour, après un long usage, v.377 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On s'y retrouve encore à son apprentissage ; v.378 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On y marche toujours sur des pièges nouveaux ; v.379 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On y vit, entouré d'un peuple de rivaux, v.380 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On n'y peut s'élever que sur quelque ruine ; v.382 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On n'y peut profiter que des fautes d'autrui. v.383 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et l'on finit souvent par y faire naufrage. v.386 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais d'après ce portrait qu'on ne peut qu'ébaucher, v.387 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et du moins le succès vous prouve le contraire. v.390 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Votre sécurité me semble inconcevable. v.394 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- J'apprends de toutes parts le bonheur que j'attends : v.395 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- N'ai-je pas à la Cour des droits assez constants ? v.396 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Je dois tout espérer de sa reconnaissance. v.398 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Dites de ses bontés. v.399 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je réclame mon bien. v.399 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vous méritez beaucoup ; mais on ne vous doit rien. v.400 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Du moins on doit à ceux dont le Ciel m'a fait naître. v.401 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Vos aïeux ont chacun obtenu dans leur temps, v.403 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Le prix que méritaient leurs services constants. v.404 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ce sont leurs actions, plutôt que leurs Ancêtres, v.405 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Qui les ont fait combler des faveurs de leurs Maîtres, v.406 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et monter aux honneurs que vous sollicitez. v.407 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Les bienfaits sont à ceux qui les ont méritez. v.408 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Les grâces ne sont point des biens héréditaires : v.409 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais par la même voie on peut les obtenir. v.411 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vos pères ont laissé leur nom à soutenir, v.412 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Et dont vous vous devez mettre en possession. v.415 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Tout le reste n'est point de leur succession. v.416 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ma poursuite, Monsieur, n'est donc pas raisonnable ? v.417 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- La façon pouvait être un peu plus convenable. v.418 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Je ne dis pas, Monsieur, qu'il vous soit défendu v.420 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- D'employer les moyens qui sont à votre usage, v.421 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous y devez songer ; et je dois vous aider. v.423 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Non, non, Monsieur, perdez cette crainte importune. v.426 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Et l'on peut demander, sans être Suppliant. v.428 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- S'ils ont agi pour moi, c'est sans me compromettre. v.433 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Quelqu'un veillait pour vous. Son bonheur a permis v.435 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Quoi ? Vous osez, Monsieur, dans l'état où vous êtes, v.437 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Poursuivre des bienfaits comme on poursuit des dettes ? v.438 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est indirectement s'attaquer à son Maître, v.441 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est l'offenser lui-même, et c'est le méconnaître, v.442 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Quand on manque aux égards que l'on doit à son choix. v.443 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Vous m'effrayez, Monsieur. v.444 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Au caractère heureux qui vous est personnel. v.448 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ce sont-là les moyens qui rendent tout possible. v.450 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- On ne peut s'observer avec trop de scrupule, v.453 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Plus on est élevé, plus il est messéant. v.455 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est ainsi que le Peuple, au fond de son néant, v.456 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Toujours séditieux, quelque bien qu'on lui fasse, v.457 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Parle indiscrètement de ceux qui sont en place : v.458 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Que la décision n'est-elle en mon pouvoir ! v.463 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Mais c'est un dénouement que l'on ne peut prévoir. v.464 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Ou des Rivaux, ont fait courir cette nouvelle. v.470 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- C'est à moi d'implorer toujours vos bons offices. v.474 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- À vous être attaché, comme à mon seul appui. v.476 (Acte 2, scène 1, MONROSE)
- Allez : et moi, je vais prendre congé d'Hortense. v.478 (Acte 2, scène 1, ARISTE)
- Cherchons en même temps à servir son amour. v.479 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- Sachons si sa Maîtresse a pour lui du retour. v.480 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- Monsieur, j'ai su l'honneur que vous vouliez me faire. v.485 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- C'en est donc fait, Madame ! un départ nécessaire v.486 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Éloigne de la Cour son plus bel ornement ? v.487 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Ce sont les sentiments qui sont dans tous les coeurs. v.492 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pour qui ce contretemps doit être bien funeste. v.494 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Pourrez-vous conserver un tendre souvenir ? v.496 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Elle n'en aura point sur ma reconnaissance. v.498 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Que deviendront ces noeuds que l'amour avait faits ? v.499 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Votre coeur, votre main, sont les plus grands bienfaits, v.500 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- On cherchera sans doute à forcer votre choix. v.503 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Celui dont vous parlez mérite mon estime. v.505 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Monsieur ; vous m'étonnez ? v.507 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Quoi donc ? Que voulez-vous par-là me faire entendre ? v.509 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Que pour m'abandonner au penchant le plus tendre, v.510 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Quand l'amour vous aurait soumise à son pouvoir v.512 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Sur la foi d'un hymen prochain et convenable... v.513 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- À vos yeux, comme aux miens, j'eusse été condamnable. v.514 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Nous avons des devoirs qui ne sont que pour nous. v.515 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Quand nous prenons trop-tôt un légitime amour, v.519 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Il arrive souvent qu'on nous en fait un crime, v.521 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Qu'un trop injuste époux nous ôte son estime : v.522 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Vous ne m'honorez point de votre confiance, v.525 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Un intérêt plus tendre, et plus fort qu'on ne pense, v.529 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- J'espère par la suite obtenir mon pardon. v.531 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- À quelque chose enfin l'on peut vous être bon, v.532 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Et même auprès de ceux dont vous allez dépendre. v.533 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- De mon faible crédit je puis assez prétendre... v.534 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Donnez-moi les moyens d'agir en assurance ; v.537 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Par pitié pour vous-même, ordonnez ; et comptez... v.539 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Je ressens vivement de si grandes bontés : v.540 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Pour changer d'entretien... Que dit-on de Monrose ? v.542 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Que l'espoir d'être à vous faisait tout son bonheur. v.543 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Parlons de sa fortune, et non pas de son coeur. v.544 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Son coeur vous est assez connu pour n'en rien dire. v.546 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Est-ce-là m'éclaircir ?... Lui rendra-t-on justice ? v.549 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Eh bien, Monsieur, gardez aussi votre secret. v.552 (Acte 2, scène 3, HORTENSE)
- Ah ! je ne métais pas trompé dans mon attente. v.553 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Il faut vous deviner ; et vous serez contente. v.554 (Acte 2, scène 3, ARISTE)
- Monrose va rentrer ; attendons-en l'issue. v.558 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je ne puis revenir de mon émotion, v.559 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Je viens de soutenir la persécution, v.560 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- L'attaque la plus vive, et la plus continue... v.561 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Conçois-tu les efforts, peut-être superflus, v.563 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Contre qui ? Je ne sais rien de plus. v.564 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Pour pénétrer au fond de mon coeur trop sensible, v.565 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Il a fait son possible. v.566 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ce que depuis longtemps j'imagine moi-même. v.569 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Conçois-tu ses desseins ? D'où vient ce soin extrême, v.570 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- C'est pour contenter certains vouloirs malins, v.571 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Où naturellement les hommes sont enclins : v.572 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ils ont tous la fureur de savoir nos faiblesses. v.573 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Et que sait-on ? Peut-être il vous trouve à son goût. v.575 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Mon_Dieu ! Pourquoi non ? Il faut s'attendre à tout, v.576 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Quand on a, comme vous, tant d'attraits en partage. v.577 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Va, tu n'y songes pas : c'est un homme trop sage. v.578 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ne sont-ce que des fous qui peuvent nous aimer ? v.579 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- De quoi donc ? v.581 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Que je cherche au fond de ma mémoire ! v.581 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- C'est à l'occasion... tenez... voilà l'histoire. v.582 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ni moi, ni mon portrait, n'intéressent personne. v.589 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- On le rapportera. v.590 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Celui que je soupçonne... v.590 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Si Monrose l'avait !... Eh bien, vous m'entendez ? v.591 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce qu'on fait du portrait d'une femme qu'on aime ? v.593 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Hélas ! Son infortune, ou quelqu'autre sujet, v.595 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- M'ont ôté son amour : je n'en suis plus l'objet. v.596 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Nous sommes en exil dans la même maison. v.599 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Si vous ne l'aimiez pas, il peut avoir raison. v.600 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ne m'a-t-on pas livrée à toute ma faiblesse, v.602 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Apprends-moi donc comment j'aurais désobéi. v.604 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Qu'on s'en prenne au devoir : c'est lui qui m'a séduite. v.605 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Madame, j'en reviens au soupçon qui m'agite. v.606 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Monrose, si j'en crois ce que j'ai dans l'esprit, v.607 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- La restitution peut en être incertaine. v.609 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Madame, il vous convient de vous en mettre en peine. v.610 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Je vous conseillerais de le lui demander. v.612 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Ce serait trop risquer mon malheureux secret, v.615 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Mon amour vient de prendre un essor indiscret ; v.616 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Pour vous marquer mon zèle et ma discrétion. v.623 (Acte 2, scène 5, ARAMONT)
- Je n'ai jamais douté de votre attention. v.624 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Fussiez-vous dans le fond de votre Baronnie ! v.630 (Acte 2, scène 5, CLORINE)
- Monsieur, je suis sensible à votre procédé. v.631 (Acte 2, scène 5, HORTENSE)
- Ouais ! mon petit service est pris en déplaisance ! v.633 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Fallait-il le garder afin qu'on le cherchât, v.635 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Et ne pas vous le rendre avant qu'on l'affichât ? v.636 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- En cela mon bonheur a prévenu le vôtre. v.638 (Acte 2, scène 6, ARAMONT)
- Donnez, Monsieur, donnez, puisqu'il faut le reprendre. v.641 (Acte 2, scène 6, CLORINE)
- Remettre ce portrait dans les mains de Monrose : v.646 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Et je conclus de-là qu'Hortense a le coeur pris. v.647 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- Travaillons là-dessus ; il n'importe à quel prix. v.648 (Acte 2, scène 7, ARAMONT)
- A ton avis ? v.650 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Sans doute : je l'ai dit en faveur de Monrose. v.653 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Peut-on se maintenir à moins qu'on n'en impose ? v.654 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Par-là, ses créanciers, prêts à fondre sur lui, v.655 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Se sont tranquillisez. v.656 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Que ta finesse aura des suites bien contraires. v.657 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Tous ces coquins mettront le feu dans les affaires. v.658 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Ils savent qu'on les joue : ils vont saisir partout. v.659 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- J'ignore si Monrose en pourra voir le bout ; v.660 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Pourvu que son honneur n'en soit pas la victime. v.661 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- On est bien dangereux, quand on est trop ardent. v.664 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- J'ignorais que mon zèle eut si mal réussi. v.667 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- À Monrose, au contraire, on dit qu'il est nuisible. v.670 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- On dit, fut de tout temps la gazette des sots. v.671 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Ah ! Ah ! Quels sont donc ces propos ? v.672 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Que Monrose se perd, et que c'est par la faute v.673 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- De ceux qui lui font prendre une allure trop haute. v.674 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- La croyance où l'on est qu'il a tout obtenu. v.676 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- On conseille un ami, sans se mettre à sa place, v.678 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Ce qui fait qu'on le perd, c'est qu'ordinairement v.679 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Suggèrent la plupart des avis qu'on lui donne. v.681 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Il vaudrait cent fois mieux ne conseiller personne. v.682 (Acte 2, scène 8, ARAMONT)
- Nous verrons qui des deux aura le plus de tort. v.683 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Monrose qui survient va nous mettre d'accord. v.684 (Acte 2, scène 8, DORNANE)
- Le Baron me contait de plaisantes nouvelles. v.685 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Le Marquis m'en disait qui sont assez cruelles. v.686 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Je faisais un beau songe ; il faut se réveiller. v.687 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- La mort m'enlève un oncle, illustre, et secourable ; v.689 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mon bien ne suffira qu'à peine à m'acquitter. v.695 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Entendons-nous un peu. Quelle est cette aventure, v.697 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Quel conte ? v.699 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- On vient de me tirer de ma sécurité. v.700 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Le nomme-t-on ? v.704 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Non : mais le fait n'est plus douteux. v.704 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mon malheur est certain. v.706 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ceux que je viens de voir ne m'ont que trop instruit. v.707 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ma plus grande infortune en cette conjoncture v.709 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Messieurs tes créanciers feront comme les nôtres. v.714 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ils prendront patience. Ils sont faits pour cela. v.715 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- D'autant plus qu'ils ont fait avec vous leurs affaires. v.717 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Ils t'auront rançonné : ce sont tous des Corsaires. v.718 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- L'on ne me verra point réclamer contre moi. v.720 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mais cela ne conduit à rien ; tout au contraire. v.722 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Que mon oncle, après lui, ne laisse que sa gloire. v.726 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il ne fut jamais riche : et tout ce que l'on dit v.727 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ne sera qu'un faux bruit, qu'on répand à crédit. v.728 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Je crois que je pourrai conserver ce Domaine, v.729 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Que vous me connaissez au fond de la Touraine ; v.730 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Pour payer, je vendrai jusqu'à mon Régiment. v.736 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- À mille malheureux emprunter mon éclat ? v.740 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Mon fripon d'Intendant dit qu'il n'a pas un sou. v.748 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mais qu'il en ait, ou non, il faut bien qu'il m'en donne : v.749 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- J'ai promis une fête à certaine personne, v.750 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Il semble qu'on avait un présage infaillible, v.753 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- On m'a lié les mains : sans quoi... Mais après tout, v.755 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne précipitons rien. Il faut voir jusqu'au bout. v.756 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- La révolution me paraît un peu prompte. v.757 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- C'est encore un faux bruit que l'on aura semé. v.759 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ne conclus rien avant que j'en sois informé. v.760 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Tu parais pénétré de mon malheur extrême. v.761 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Il faut s'en consoler. v.763 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Nous vivons dans un siècle où rien n'est impossible ; v.765 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- J'entre dans tes raisons, je me mets à ta place. v.770 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ton honneur, en un mot, et la nécessité, v.772 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- À prendre le parti dont tu viens de m'instruire : v.774 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Ton régiment est à ma bienséance. v.777 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- De tout mon coeur. v.779 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Pour un si bon usage, on n'est point sans ressources. v.781 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Mes amis m'aideront... v.782 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- Je ne trouve pas tout, je ferai mon billet v.783 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- On peut s'ajuster. v.785 (Acte 2, scène 9, MONROSE)
- Ce serait à bon titre. v.786 (Acte 2, scène 9, ARAMONT)
- Puisque nous convenons, mon cher, en attendant, v.787 (Acte 2, scène 9, DORNANE)
- La proposition me paraît surprenante, v.789 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Mais quand il s'agira de faire son chemin, v.795 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Sa famille pour lors y donnera la main. v.796 (Acte 2, scène 10, MONROSE)
- Ce marché ridicule aura donc lieu ? v.797 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- On pourrait s'en passer. v.801 (Acte 2, scène 10, ARAMONT)
- Nous n'avons plus qu'Hortense en cette extrémité. v.803 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Allons hâter le coup que j'ai prémédité ; v.804 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Portons au coeur d'Hortense une atteinte fatale ; v.805 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Faisons-lui redouter une heureuse rivale ; v.806 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Et puisqu'il faut, contre elle, employer ce détour, v.807 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- Armons la jalousie en faveur de l'amour. v.808 (Acte 2, scène 11, ARAMONT)
- J'attendrai son retour. Surtout, qu'on l'avertisse, v.809 (Acte 3, scène 1, ARISTE)
- Lui dire mon secret ? Monrose est étonnant v.811 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Où son humeur facile expose sa fortune. v.813 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- La remontrance ici deviendrait importune ; v.814 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- À qui sa confiance est un peu trop livrée. v.817 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Monrose est dans ce temps difficile à passer. v.819 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Du moins j'ai réparé les fautes qu'ils ont faites. v.821 (Acte 3, scène 2, ARISTE)
- Nous nous cherchons tous deux. v.823 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ce qu'on dit, est-il vrai ? Vous quittez le service ? v.825 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- On vous prendrait au mot. v.827 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Je vends mon Régiment v.827 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Attendre.... Quoi, Monsieur ? Qu'ai-je encore à prétendre ? v.830 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- C'est d'un autre que moi dont la Cour a fait choix. v.831 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ou vous le supposez. Est-ce une conséquence ? v.833 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- On revient quelquefois de plus loin qu'on ne pense. v.834 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Empêchez cependant qu'on n'aille débiter v.835 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ce sont mes ennemis... v.839 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Non ; ce n'est point eux. v.839 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Il est bien d'autres gens qui sont plus dangereux. v.840 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ne croyez pas, Monsieur, que je taxe personne v.841 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Dans ces réflexions que je vous abandonne. v.842 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Que l'amitié se donne et se prend aisément ; v.844 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Une conformité frivole et passagère v.846 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Nous nous associons, comme on fait en voyage, v.849 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Et l'on devient ami comme on devient amant : v.851 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- De part et d'autre exige un long apprentissage ; v.854 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- On peut me reprocher quelques moments d'ivresse, v.857 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ma confiance a pu s'égarer quelquefois v.859 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Dans la prospérité peut-on faire un bon choix ? v.860 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Pouvais-je mieux choisir dans cette circonstance, v.865 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Que ceux qui sont venus m'offrir leur assistance ? v.866 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Je n'ai retrouvé qu'eux dans mon adversité. v.867 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- M'ont forcé d'accepter leurs secours salutaires ; v.869 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ils se sont partagé le poids de mes affaires ; v.870 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Ils s'en sont emparez. S'ils ne sont pas heureux, v.871 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Pardonnez ; je m'échappe ici mal-à-propos : v.875 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Qu'est-ce ? On soupçonne un peu votre constance. v.878 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Ma constance est du moins un secret ignoré. v.883 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Tous deux font qu'à ses yeux j'ai cessé de m'offrir. v.887 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Son repos m'est trop cher, pour oser le détruire, v.889 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- Il faut que son amant puisse être son époux. v.892 (Acte 3, scène 3, MONROSE)
- C'est assez. On me mande ; et je vais à la Cour. v.895 (Acte 3, scène 3, ARISTE)
- Il n'est plus temps ; ses soins ne me serviront guéres. v.897 (Acte 3, scène 4, MONROSE)
- On vous attend. Ce sont, je crois, des gens d'affaires ; v.898 (Acte 3, scène 5, CLORINE)
- Ils en ont bien la mine. v.899 (Acte 3, scène 5, CLORINE)
- Allons, je vais les voir. v.899 (Acte 3, scène 5, MONROSE)
- Mes gens se sont trompez. v.907 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Peut-on savoir en quoi ? v.907 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Madame, à qui donc, s'il vous plaît ? v.911 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Et peut-être ai-je lu mon arrêt. v.912 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- On finit ses malheurs, s'il veut être sensible : v.913 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Des offres qu'on lui fait il peut-être charmé. v.915 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- S'il n'est pas inconstant, du moins il est aimé. v.916 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- De pouvoir à son gré se montrer généreuse, v.918 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Cela sent la beauté qui touche à son déclin. v.920 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Va trouver Aramont... lui-même. Il faut lui dire v.921 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- D'un bout du monde à l'autre il irait de bon coeur. v.928 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Ils la liront ensemble ; et puis, gare la glose ! v.929 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Il fera ses efforts pour pervertir Monrose. v.930 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Plus il est son ami, mieux il me servira. v.932 (Acte 3, scène 7, HORTENSE)
- Monrose est son idole ; il l'aime ; il l'a vu naître ; v.933 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- Son zèle est sa folie ; il n'en est pas le maître. v.934 (Acte 3, scène 7, CLORINE)
- J'ai donc une rivale ? Il n'en faut point douter. v.936 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- En faveur de Monrose un projet généreux ! v.939 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Une autre s'intéresse à son sort malheureux... v.940 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Si nous nous rencontrons dans la même pensée, v.941 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- Mais on ne revient point... Ah ! que les Valets sont... v.943 (Acte 3, scène 8, HORTENSE)
- J'ai lassé le paquet chez Monsieur Aramont. v.944 (Acte 3, scène 9, LE VALET)
- Oui. Son Valet de chambre aura soin de le lui rendre. v.946 (Acte 3, scène 9, LE VALET)
- Pour être généreuse, a-t-on besoin d'espoir ? v.952 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Employons les moyens qui sont en ma puissance. v.953 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Et qu'il n'en ait jamais la moindre connaissance, v.954 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- Il est perdu pour moi. Sauvons le seulement : v.955 (Acte 3, scène 10, HORTENSE)
- On attend Aramont. v.957 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- A-t-on quelques nouvelles ? v.957 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Ils vous sont personnels. v.961 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Serais-je condamnée v.961 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Et l'on m'accorde aux voeux d'un amant importun ! v.964 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Cet Oncle de Monrose... v.969 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Cet homme qu'on croyait un sûr dépositaire, v.970 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- L'on ne retrouve rien ; v.972 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- À l'instant même on vient de lever le scellé. v.975 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Que dit Monrose ? v.978 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Les vôtres l'ont atteint des plus vives douleurs. v.980 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- On dirait que lui-même il s'en croit responsable : v.981 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Dans son accablement il est méconnaissable : v.982 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Quel bonheur ! j'ai sauvé ce qui m'est nécessaire. v.989 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Ce sera mon affaire. v.990 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Qui pourront... v.992 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Quels sont-ils ? v.992 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Ce sont vos diamants : v.992 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Vous en avez ; ils sont d'un prix considérable. v.993 (Acte 3, scène 11, CLORINE)
- Le Baron par hasard saurait-il mon état ? v.995 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Songe un peu que je pars dans deux heures d'ici. v.999 (Acte 3, scène 11, HORTENSE)
- Voyons donc si ma lettre aura bien réussi. v.1000 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Voici l'instant fatal ; tout mon coeur en frissonne. v.1001 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Monsieur, en arrivant, n'avez-vous vu personne ? v.1002 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- En entrant, on m'a dit que je devais vous voir ; v.1003 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je ferai l'impossible. En serez-vous contente ? v.1013 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Vous vous engagez donc à remplir mon attente ? v.1014 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je vous engage tout, mon honneur, et ma foi. v.1016 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Je vais donc vous donner les preuves les plus sûres v.1018 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Mon coeur va s'épancher avec sécurité. v.1020 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Monrose vous est cher ? v.1021 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Je vous crois trop sensible à son malheur extrême, v.1022 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Unissons... l'amour et l'amitié. v.1024 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- S'il vend son Régiment, sa perte est infaillible : v.1029 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Il est vrai ; son dessein est de quitter la Cour : v.1031 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Son malheur l'y contraint ; ce sera sans retour. v.1032 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Ma fortune, mes biens, seraient à son service ; v.1034 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Mais malheureusement mes pouvoirs sont bornez. v.1036 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Pour la première fois je murmure contre elle. v.1042 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Les malheurs d'un ami me font sentir les miens. v.1043 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Que l'on n'a point laissée à votre liberté : v.1051 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Quoique vous jouissiez d'un bien considérable, v.1053 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Un si, rend tout possible, et ne conduit à rien. v.1056 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- Eh non. Les lois, votre sexe, votre âge, v.1057 (Acte 3, scène 12, ARAMONT)
- J'ai quelque superflu dont je puis disposer. v.1060 (Acte 3, scène 12, HORTENSE)
- Ah ! Madame... Monsieur, excusez, s'il vous plaît. v.1063 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Quoi donc ? v.1065 (Acte 3, scène 13, HORTENSE)
- Ce sont vos pierreries... v.1065 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Qui sont évanouies : v.1066 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Eh, comment donc, Madame ? v.1069 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Ah ! vous me confondez. v.1071 (Acte 3, scène 13, CLORINE)
- Ce sont vos diamants qui vous ont été pris ? v.1076 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Leur donner sur ce vol les avis nécessaires : v.1078 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Épargnez-vous ce soin, Monsieur ; ils sont chez vous. v.1080 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Songez à satisfaire à vos engagements. v.1084 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Le salut de Monrose est en votre puissance. v.1085 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ah ! C'est trop exiger de mon obéissance. v.1086 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Son sort est dans vos mains, et vous en répondez : v.1087 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Vous nous sauvez tous trois, si vous me secondez. v.1088 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Eh ! Peut-on me blâmer ? v.1095 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- C'est un infortuné que l'on m'a fait aimer... v.1096 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- C'est l'ami le plus cher que vous ayez au monde ; v.1097 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- C'est sur vous à présent que notre espoir se fonde ; v.1098 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Par-là vous détournez son plus pressant malheur ; v.1099 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Hé bien, sauvez-le donc. v.1102 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Monrose, quelque jour, venait à le savoir, v.1104 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Je le connais, Madame ; il serait furieux. v.1107 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Son courroux est-il plus à craindre que sa perte ? v.1109 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Ainsi bannissez donc un ridicule effroi. v.1112 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- Comptez sur mon secret ; je compte sur le vôtre. v.1113 (Acte 3, scène 14, HORTENSE)
- L'action est si belle... v.1115 (Acte 3, scène 14, ARAMONT)
- Cachons-lui sa ruine, et l'état où je suis. v.1124 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- J'ai pris à vos malheurs la part qu'on y doit prendre. v.1125 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Continuez un soin qui m'est si précieux. v.1127 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Qu'après avoir donné quelque ordre à vos affaires. v.1129 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Je m'occupais des soins qui vous sont nécessaires. v.1130 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Monsieur, occupez-vous d'un objet plus pressant. v.1131 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Ce serait me flatter contre toute apparence. v.1137 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- J'ai reçu mon arrêt avec indifférence. v.1138 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Les maux dont on me plaint sont les moindres de tous. v.1140 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- Si de mon avenir vous daignez être instruite, v.1142 (Acte 3, scène 15, MONROSE)
- On voudrait détourner cet avenir funeste... v.1146 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Monsieur, vous n'êtes pas si fort abandonné... v.1147 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- À des voeux impuissants l'on ne s'est pas borné... v.1148 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- Vous verrez que l'amour ne vous est pas contraire. v.1150 (Acte 3, scène 15, HORTENSE)
- On se lasse de feindre ; v.1153 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- On vous aime. v.1154 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Bon ! v.1157 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Quel changement est-il arrivé dans son coeur ? v.1159 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Si je veux renoncer à tout autre vainqueur, v.1160 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Elle offre... Ah ! je succombe à son malheur extrême. v.1161 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ce billet-là t'étonne ? v.1163 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Tomber entre vos mains ; et j'en suis confondu. v.1164 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Eh, quand elle pourrait régler son hyménée, v.1165 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Tout de bon ? v.1168 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je ne reconnais guère Hortense à cet éclat. v.1171 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Pourquoi ne m'avoir pas instruit de son état ? v.1172 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Cher ami, le savais-je ? On vient de me confondre, v.1173 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Il faut cependant lui répondre. v.1174 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- En voici la réponse. Il n'y faut plus penser. v.1175 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il faut donc avouer ma sottise. v.1178 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- On peut vous en tirer. v.1180 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ne me refuse pas un aussi bon office. v.1182 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Pour faire une réponse à ce maudit écrit ; v.1184 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Non, vous dis-je ; et pour cause. v.1185 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Il n'est point d'elle ?... Eh ; mais elle me l'a donné. v.1187 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- J'en suis fort étonné. v.1188 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Les femmes vont toujours plus loin que l'on ne pense, v.1189 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Et que l'on ne voudrait. J'ai fait une imprudence... v.1190 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Non. v.1191 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Je voulais lui donner un peu de jalousie v.1194 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Pour tirer son secret. C'est un petit secours v.1195 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Quelle fureur as-tu de signaler ton zèle ? v.1197 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que sais-tu si je veux qu'on me serve auprès d'elle v.1198 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- T'ai-je employé pour être éclairci de mon sort ? v.1199 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Eh ! n'est-on pas assez puni quand on a tort ? v.1200 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Ce serait à présent contre toute apparence v.1201 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que je pourrais douter de son indifférence. v.1202 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Hortense vient de faire éclater son mépris. v.1203 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Si du moindre amour son coeur était épris, v.1204 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- C'est un malheur de moins. Mais laissons tout cela, v.1208 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Et songeons à l'état de cette infortunée, v.1209 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Que, je ne sais comment, mon oncle a ruinée. v.1210 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Jusqu'ici j'ai vécu sur son bien ; v.1212 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ce n'est pas votre faute : on n'a rien à vous dire. v.1222 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- L'honnête homme ne doit s'en rapporter qu'à lui : v.1223 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Sitôt qu'il se condamne, on ne saurait l'absoudre. v.1225 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ma procuration. v.1227 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Point d'obstination ; v.1228 (Acte 3, scène 16, MONROSE)
- Ma foi, non. v.1230 (Acte 3, scène 16, ARAMONT)
- Monrose, écoutez donc... Il est bien loin. v.1233 (Acte 3, scène 17, ARAMONT)
- Que faire ? C'est à vous, mon esprit, à me tirer d'affaire. v.1234 (Acte 3, scène 17, ARAMONT)
- Madame va venir ; donnez-vous patience. v.1238 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Vous, dont l'esprit actif, toujours à la torture, v.1246 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Mais, à proportion, vous êtes mieux qu'Hortense. v.1249 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Vous y mettez bon ordre. v.1250 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Écoute, mon enfant. Je vois qu'auprès d'Hortense v.1257 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Non, Monsieur, s'il vous plaît. v.1261 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Moi, je vais vous servir de la bonne façon. v.1263 (Acte 4, scène 1, CLORINE)
- Cette fille paroît avoir quelque soupçon. v.1264 (Acte 4, scène 1, ARAMONT)
- Mon coeur impatient volait au devant d'elle. v.1266 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous me donnez, Madame, un titre trop flatteur. v.1268 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Ils sont toujours chez moi : v.1271 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Et mon dessein n'est pas d'en faire aucun emploi. v.1272 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Que dites-vous, Monsieur ? Ô Ciel ! est-il croyable ? v.1273 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Est-ce donc-là cet homme utile et serviable ? v.1274 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Vous vous démentez donc pour moi seule aujourd'hui ? v.1276 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Monrose m'est bien cher : mais je suis incapable v.1277 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Ce n'est pas sans raison. Eh ! Madame en effet, v.1283 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- La gloire que mérite une action si belle, v.1285 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Toute ma récompense est au fond de mon coeur. v.1288 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- L'intention suffit. v.1290 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- En périra-t-il moins ? Nous connaissons ses biens. v.1291 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Il languit, s'il ne tient un état honorable ; v.1293 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Il la faut acheter ; il la faut conquérir. v.1296 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Songez à vous, Madame. v.1301 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Vous êtes ruinée. Il est bon de vous dire v.1302 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- S'il est vrai, mon désastre y met un nouveau prix. v.1304 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- En cette occasion vous révolte si fort ? v.1307 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Un peu plus, un peu moins, ne fait rien à mon sort. v.1308 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Pour qui conservez-vous un intérêt si tendre ? v.1309 (Acte 4, scène 2, ARAMONT)
- Que Monrose peut-être adresse ailleurs ses voeux. v.1311 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Je lui pardonne tout pourvu qu'il soit heureux : v.1315 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Son bonheur me suffit, c'est tout ce que je veux. v.1316 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Et j'y dois concourir autant qu'il m'est possible. v.1317 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Disposez-en, Monsieur, au gré de votre envie ; v.1322 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Si vous voulez me perdre, et vous déshonorer. v.1324 (Acte 4, scène 2, HORTENSE)
- Allons... v.1327 (Acte 4, scène 3, ARAMONT)
- Tu me vois furieux. On vient de te noircir v.1328 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- D'une accusation que je crois téméraire. v.1329 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Il me serait cruel de trouver le contraire. v.1330 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Vient de me confier v.1331 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Un mystère affreux. Songe à te justifier. v.1332 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Ce n'est pas là répondre. v.1333 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Ne récrimine point, si tu veux la confondre. v.1334 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Cette fille fait plus que de te soupçonner. v.1335 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Que dis-je ? Elle prétend que tu t'es fait donner, v.1336 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Les aurais-tu reçus ? Parle, je t'en conjure. v.1338 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Tu conviens de ta faute, en n'osant la nier. v.1339 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Il ne s'agit donc plus que d'y remédier. v.1340 (Acte 4, scène 4, MONROSE)
- Monsieur, un étranger m'a chargé de vous rendre v.1341 (Acte 4, scène 5, LE VALET)
- Sachons ce que l'on veut m'apprendre. v.1342 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Que vois-je ? Mes billets qui me sont renvoyez ! v.1343 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Oui, vraiment, ce sont eux ; ils se trouvent payez ! v.1344 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Ah, malheureux, c'est donc-là ton ouvrage ? v.1345 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- J'aurais donné mon sang pour cette infortunée, v.1349 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Tu connais sa ruine, et tu vas l'achever ! v.1351 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Est-ce ma faute, à moi, si l'on paye vos dettes ? v.1354 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- J'ignore à qui l'on doit imputer ce bienfait : v.1355 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Mais je n'ai point de part au tour que l'on vous fait. v.1356 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Puisqu'enfin l'on m'y force, il faut vous en instruire. v.1358 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ils y sont : venez-y ; vous verrez si je mens. v.1360 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Ils y sont ? Et pourquoi ? Ne pouviez-vous les rendre ? v.1361 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Enfin, j'ai tenu bon : voilà l'essentiel. v.1364 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- J'ai fait ce que j'ai pu contre cette obstinée, v.1365 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Nous étions convenus que tu n'en dirais rien, v.1367 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Alors, pour votre honneur, et par pitié pour elle, v.1370 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Non ; jamais je n'en eus le dessein. v.1375 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- C'est pour son bien. Ma foi, j'ai cru faire merveilles. v.1377 (Acte 4, scène 5, ARAMONT)
- Mais à qui dois-je donc imputer ce bienfait ? v.1379 (Acte 4, scène 5, MONROSE)
- Tu grondes le Baron ! C'est toujours fort bien fait. v.1380 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Pardonne, si je viens troubler la vespérie. v.1381 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je n'en puis revenir. C'est pour ton régiment. v.1383 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je me nomme ; on m'annonce ; et j'entre tout de suite. v.1386 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Je le tire à quartier ; je lui fais ma semonce : v.1389 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Mon homme alors se trouble ; et voici sa réponse. v.1390 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous aurions fait ensemble une assez bonne affaire ; v.1397 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Il est vrai ; l'aventure est presque inconcevable. v.1401 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Non : mes créanciers. v.1407 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Bon. v.1407 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Sans contredit. v.1411 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Non, parbleu, je te jure. v.1413 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Serait-ce le Baron ? v.1415 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Qu'on mette sur son compte une action pareille. v.1418 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tu l'en crois incapable ? Il n'est pas de ton goût. v.1419 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Apprends où t'a conduit une erreur trop durable. v.1421 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Toujours pur au milieu d'un air empoisonné, v.1423 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Qui paraissait avoir acquis et moissonné v.1424 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- De nouvelles vertus où l'on n'a que des vices ; v.1425 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Dont tout autre que lui se serait prévalu, v.1427 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Tu parais ironique ! v.1429 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ce grave personnage, Ariste n'est qu'un traître ; v.1430 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Lui-même, il a commis une action si basse. v.1433 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Le coupable et son crime ont des Adulateurs v.1436 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Que savons-nous ? Sans doute il n'a pu refuser. v.1440 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Rends-lui justice : va, c'est un monstre odieux. v.1448 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Voilà mon dernier mot. Je le lui dirais en face, v.1449 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous nous verrions de près. v.1451 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Son déshonneur nous verge, et le punit assez. v.1456 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Et sur ce faible espoir sa vengeance se fonde ? v.1457 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Se déshonore-t-on maintenant dans le monde ? v.1458 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Voit on que cette crainte alarme bien des gens ? v.1459 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- N'en soyons point surpris. Nous sommes indulgents. v.1460 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Nous laissons, parmi nous, habiter des proscrits : v.1463 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Et nous avons enfin la basse politesse v.1465 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Ariste y peut compter : et peut-être, à mon tour, v.1467 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Non pas moi, sûrement. v.1469 (Acte 4, scène 6, ARAMONT)
- Ce dénouement m'étonne ? Ariste... v.1469 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Ah ! c'en est fait... Puisque tout m'abandonne, v.1470 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Va, j'ai pris mon parti. v.1471 (Acte 4, scène 6, MONROSE)
- Et j'ose me flatter que nous serons contents. v.1472 (Acte 4, scène 6, DORNANE)
- Voilà donc mon Arrêt ! Espoir, Fortune, Amour, v.1475 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Le coup dont tu gémis est celui qui m'accable. v.1477 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Viens, cher ami ; fuyons un siècle trop coupable ; v.1478 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- Sous un Ciel étranger allons vivre pour nous ; v.1479 (Acte 4, scène 7, ARAMONT)
- À l'auteur inconnu d'un aussi grand service. v.1485 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Cherche à le découvrir ; rends-moi ce bon office. v.1486 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Le soin de m'acquitter est mon premier devoir. v.1487 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Ah ! Quand mon coeur serait insensible à ses charmes, v.1490 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Ôte-moi de l'horreur où son état me plonge. v.1493 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- C'est-là mon plus grand mal. Le reste n'est qu'un songe. v.1494 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Si tu crains de souiller ton honneur et ma gloire, v.1502 (Acte 4, scène 7, MONROSE)
- Je viens vous avertir, Monsieur, que le temps presse. v.1506 (Acte 4, scène 8, CLORINE)
- En êtes vous content ? Pour moi, j'en suis ravie. v.1509 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Vous êtes bon ami. v.1511 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Avec Monrose ; mais... v.1512 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- On ne voit autre chose ; c'est un pis-aller v.1516 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Permis, et toujours sûr. On ne s'en fait pas faute. v.1517 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Un ennemi, sur qui tout est de bonne prise : v.1521 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Ce sont-là des exploits que l'amour autorise. v.1522 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Mais sachez donc.... v.1523 (Acte 4, scène 9, ARAMONT)
- Vous ne traitez pas mieux nos biens que notre honneur. v.1524 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- On vient. J'ai fait, j'ai dit, et je vous quitte. v.1526 (Acte 4, scène 9, CLORINE)
- Qui ne devait jamais avouer mon secret. v.1528 (Acte 4, scène 10, HORTENSE)
- À quoi nous serviront les plus tendres adieux ? v.1532 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Il n'en est point pour moi qu'il n'ait empoisonnées. v.1537 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- L'amertume et le fiel les ont assaisonnées. v.1538 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Tout, jusqu'à votre amour... Quand m'est-il annoncé ? v.1539 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Ah, que pour mon malheur tout est bien compensé ! v.1540 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Eh ! N'examinons point quel est le plus à plaindre. v.1541 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Hortense, il est donc vrai, j'ai pu vous inspirer ?... v.1544 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Pourquoi se reprocher des maux qu'on n'a point faits ? v.1548 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Hortense, hélas ! pourquoi nous avez-vous connus ? v.1551 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Un bonheur assuré, des plaisirs continus, v.1552 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Quel contraste inouï ! funestes liaisons, v.1555 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Que le Ciel en courroux mit entre nos maisons ! v.1556 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- D'être un de vos Bourreaux ; jugez de mon supplice. v.1562 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Me consolerez-vous en vous désespérant ? v.1563 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Vous me plaignez ! Eh quoi ! Ne peut-on vivre heureuse, v.1565 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Si l'on ne la partage avec ce que l'on aime ? v.1570 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Je ne sens pas qu'on puisse en jouir autrement. v.1571 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ma liberté me reste, on l'aurait poursuivie. v.1574 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- L'autorité, contraire à nos voeux les plus doux, v.1575 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Peut-être auriez-vous fait son bonheur et le vôtre. v.1577 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Il dépendait de vous ; je n'en connais point d'autre. v.1578 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- J'ignore si l'on peut aimer plus d'une fois ; v.1579 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Mais quand on s'est livrée sans réserve à son choix, v.1580 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Que l'on s'apprête un jour de tourments et de peines ! v.1582 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Sait-on ce que l'on donne ? Est-on bien sûr d'un coeur, v.1583 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Qu'on arrache de force à son premier Vainqueur ? v.1584 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Et, puisque mon amour s'irritait, à mesure v.1585 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Non, vous n'avez jamais cessé de m'enflammer. v.1587 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Hélas ! vous ignorez comme on peut vous aimer. v.1588 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Il est vrai, mon amour craignait de se montrer. v.1591 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Mais vous l'avez dû voir, même avant mon naufrage ; v.1597 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je n'osais qu'en tremblant vous offrir mon hommage : v.1598 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Par ma discrétion et par ma retenue, v.1601 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- La moitié de mes feux ne vous est pas connue. v.1602 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Hélas ! que dites-vous ? Croyez que mon devoir v.1603 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- M'empêchait d'y répondre, et non pas de les voir. v.1604 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Quel aveu ! Permettez à mon âme ravie v.1605 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Je puis donc une fois tomber à vos genoux ! v.1607 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Ah ! Devrait-on survivre à des moments si doux ? v.1608 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- Remplissez mon idée ; elle est digne de vous ; v.1611 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Soyez tel qu'il fallait pour être mon époux ; v.1612 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Et de n'avoir que ceux qu'on a su mériter. v.1616 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Ce sont-là mes adieux, mes voeux, et mon présage... v.1617 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Va, l'on ne peut manquer quand on a du courage... v.1618 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Imitez mon exemple ; et sachez... v.1619 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Séparons-nous ; adieu. v.1620 (Acte 4, scène 11, HORTENSE)
- Non ; dussai-je expirer, en vous perdant de vue !... v.1622 (Acte 4, scène 11, MONROSE)
- À peine suis-je né, mes beaux jours sont passés. v.1624 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ah ! je sens que mon coeur s'ouvre de toutes parts. v.1628 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Allons traîner ailleurs mon infortune extrême. v.1629 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Dans l'état où je suis on n'a plus de Patrie : v.1633 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- J'abandonne la mienne, où, malgré mon envie, v.1634 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quelles raisons ? En quoi suis-je ici nécessaire ? v.1641 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Tu restes ; on n'a point de reproche à me faire. v.1642 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On m'en ferait d'affreux, si vous vous écartez. v.1643 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Vous me perdez d'honneur, si vous partez. v.1644 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Quel rapport mon départ a-t-il avec ta gloire ? v.1645 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On m'accuse... v.1647 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Ce nom convient au crime. Eh, quel est donc le mien ? v.1651 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Quel que soit mon destin, je saurai m'y soumettre : v.1653 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- "Je t'écris à la hâte. Ariste, non content v.1655 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Il l'a fait demander : le fait est très constant. v.1657 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- À propos ; on le croit riche ; et je te l'apprends. v.1659 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- On l'accuse d'avoir détourné... tu m'entends ? v.1661 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- On le dit. v.1663 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- L'on croit que je vous ai prêté mon assistance. v.1666 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- L'horreur qu'on m'attribue est-elle imaginable ? v.1669 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Ah ! Si j'en connaissais l'auteur abominable... v.1670 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Jusques à mon honneur, quoi, l'on ose attenter ! v.1671 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Qui peut avoir fondé cette imposture affreuse ? v.1673 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Mon amitié constante, et toujours malheureuse. v.1674 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Sans elle, notre honneur serait encore entier. v.1675 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Ces bruits avantageux m'ont paru nécessaires v.1677 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Pour vous donner le temps d'arranger vos affaires. v.1678 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- On m'a cru. Cependant il ne s'est trouvé rien. v.1680 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Et je suis soupçonné. Vous devinez le reste. v.1681 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- De mes jours malheureux elle est donc le fléau ? v.1683 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Soyez sûr que ces bruits ne seront pas durables. v.1685 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- C'est par des gens comme eux que leurs discours sont crus. v.1687 (Acte 5, scène 1, ARAMONT)
- Dans la rage où je suis, je ne me connais plus. v.1688 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Du courage ? En est-il contre l'ignominie ? v.1690 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- On la mérite alors qu'on peut la supporter. v.1691 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Non, tu n'entendras plus parler d'un misérable. v.1693 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Je comptais que mon nom me serait favorable : v.1694 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Il faut l'abandonner. Je ne dois plus songer v.1695 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Qu'à me cacher. Je vais me perdre, et me plonger v.1696 (Acte 5, scène 1, MONROSE)
- Oui, Monsieur. À regret je remplis un devoir... v.1703 (Acte 5, scène 2, LE-GARDE)
- On m'arrête ! Eh pourquoi ? v.1704 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Allons. Que faut-il faire ? v.1705 (Acte 5, scène 2, MONROSE)
- Et vous m'avez été consigné seulement. v.1707 (Acte 5, scène 2, LE-GARDE)
- On m'arrête ! Et déjà l'on me traite en coupable ! v.1709 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- On m'enchaîne au forfait dont on me croit capable ! v.1710 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Mes fers me font horreur. v.1711 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Et voilà ce qui fait qu'on s'assure de vous. v.1715 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Vous les confondrez tous. v.1716 (Acte 5, scène 3, ARAMONT)
- Eh ! Comment les confondre ? Est-il en ma puissance. v.1717 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- En croit-on les serments de ceux que l'on accuse ? v.1722 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Ah ! tout concourt encore à ma conviction. v.1723 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Ces bruits avantageux à la succession ; v.1724 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Le reste de ses biens, dont malheureusement v.1727 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Non : Il faut que ce soit un secret éternel. v.1731 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Je serai convaincu, sans être criminel. v.1732 (Acte 5, scène 3, MONROSE)
- Je me perds dans l'horreur de chaque circonstance. v.1733 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- On croit que dans ses biens j'ai pu souiller mes mains ; v.1739 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- On m'arrête, on me force à me purger d'un crime, v.1742 (Acte 5, scène 4, MONROSE)
- C'est une amante en pleurs. On empêche ma fuite ; v.1745 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- On m'a fait revenir. v.1747 (Acte 5, scène 4, HORTENSE)
- Eh ! ne nous quittons point dans l'état où nous sommes. v.1749 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Ces regards sont-ils faits pour le dernier des hommes ? v.1750 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Je ne suis donc plus rien pour vous dans l'Univers ? v.1752 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Dites, mon désespoir. v.1755 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Mon état, mon amour, ma présence, et mes larmes. v.1757 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- N'auront donc point assez de puissance et de charmes, v.1758 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qu'on ne nous vante plus le pouvoir de nos pleurs ! v.1760 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Vous ne songez qu'à vous. v.1761 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Laisse-moi donc mourir, si tu ne veux plus vivre. v.1766 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Ah ! Madame, vivez... répondez-moi de vous, v.1767 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Je conviens qu'on vous fait le plus sanglant outrage : v.1770 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Tombe-t-il sur vous seul ? M'est-il moins personnel ? v.1772 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Et cependant mon coeur n'en est point abattu. v.1775 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Ayons la fermeté qui sied à l'innocence : v.1778 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Rétablit-on sa gloire en se désespérant ? v.1780 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Et qui perd tout espoir mérite son malheur. v.1783 (Acte 5, scène 5, HORTENSE)
- Qui me condamne à vivre, accablé d'infamie ! v.1786 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Du bonheur d'un rival... Il en est un, Madame. v.1789 (Acte 5, scène 5, MONROSE)
- Qu'en vertu d'un propos que l'on vous a prêté. v.1796 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Son zèle et sa prudence éclatent. v.1797 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Il dit que votre idée est de tirer raison v.1799 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Du procédé d'Ariste, et de sa trahison : v.1800 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Et voilà ce qui fait que l'on vous garde à vue. v.1801 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Mais le voici qui vient ; contenons-nous un peu. v.1807 (Acte 5, scène 6, ARAMONT)
- Je viens rendre raison de toute ma conduite. v.1810 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- On n'en demande point à ceux qui sont heureux. v.1811 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Monsieur, vous voulez bien que je vous félicite ! v.1813 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Vous voyez quels transports votre bonheur excite. v.1814 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- On m'a tout accordé. v.1816 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ni moi non plus... Prenez toujours ; c'est votre affaire. v.1818 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Qu'il vous a plu, Monsieur, d'empêcher ma retraite. v.1821 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Quelle audace ! Est-ce à vous que je dois mon retour ? v.1823 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- On ne vous perdra point. L'amour et l'hyménée v.1825 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Y vont fixer vos jours, et votre destinée. v.1826 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- On m'a favorisé... v.1827 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- C'est dans la trahison être bien affermi ! v.1828 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Vous voulez que ma main couronne votre ouvrage ; v.1829 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Un espoir insultant fondé sur mes disgrâces : v.1833 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Mais je ne connais point de ressources si basses... v.1834 (Acte 5, scène 8, HORTENSE)
- Non, Madame, l'hymen vous garde un sort plus doux. v.1835 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Quel conte ! v.1838 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Chez un homme public ses biens sont en dépôt. v.1840 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- C'est la précaution que votre oncle avait prise. v.1842 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Oui, Monsieur, ce n'est plus un secret aujourd'hui. v.1843 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Mes voeux sont épuisés. Mon honneur m'est rendu. v.1847 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Madame, pardonnez à mon coeur éperdu v.1848 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Vos amis vous flattaient contre toute apparence. v.1853 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Mais j'avais mes raisons pour en faire un mystère. v.1857 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Après avoir longtemps pressé, sollicité, v.1860 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Jouissez-en, Monsieur : ses bienfaits sont à vous. v.1863 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Souffrez qu'en m'acquittant tout mon coeur se déploie. v.1866 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Monsieur, ce n'est pas-là tout ce que je vous dois. v.1867 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Laissons cet incident. v.1868 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Que c'est à vous, Monsieur, que j'en suis redevable. v.1869 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Le don de votre main : vous pourrez vous unir. v.1872 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Bon, bon ; point de rancune : v.1873 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Pour moi, je vous réponds que je n'en garde aucune. v.1874 (Acte 5, scène 8, ARAMONT)
- Venez ; partons ; l'hymen vous attend au retour. v.1876 (Acte 5, scène 8, ARISTE)
- Ah ! permettez du moins que ma reconnaissance. v.1877 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Ah ! Madame, souffrez que mon coeur se partage. v.1881 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Monsieur, je ne puis rien vous offrir davantage. v.1882 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
- Qu'un ami véritable est ton plus grand présent. v.1884 (Acte 5, scène 8, MONROSE)
LA GOUVERNANTE (1773)
- Il ne guérit de rien ; au contraire, il aigrit v.3 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous ne répondez rien ! Quel est donc votre but, v.7 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Après, continuez. v.9 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- On n'a que trop de quoi parler quand on soupire. v.10 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Où sont donc ces transports, cette vivacité ? v.11 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Doit-on, lorsque l'on perd le coeur d'un inconstant, v.15 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Perdre aussi la parole ? Allons, il faut d'autant v.16 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Soulager son dépit ; rien n'est plus salutaire. v.17 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Où parle la raison, le dépit doit se taire ? v.18 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et la raison vous parle, à vous, Angélique ? v.19 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Non, ce guide propice v.21 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- A porté la lumière au fond du précipice v.22 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Bon ! Bon ! L'amour bientôt le comblera de fleurs. v.24 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Non, je n'ai plus en lui la moindre confiance. v.25 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Où m'allait entraîner mon peu d'expérience ! v.26 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Comment pouvons-nous ne nous pas égarer ? v.27 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Comment fuir les dangers qu'on nous laisse ignorer ? v.28 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- À qui notre jeunesse est-elle confiée ? v.29 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'on croit qu'il ne vaut pas la peine d'être instruit. v.32 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- De s'impatroniser ; je n'y connais plus rien ; v.36 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- La Baronne elle-même en a fait son amie, v.37 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Nous étions, vous et moi, bien mieux auparavant. v.39 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- oui, Juliette, ce sont quatre ans que je regrette. v.41 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Cette femme n'entend qu'à donner des vapeurs. v.43 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Mais parlons de Sainville. Espérez que vos coeurs v.44 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Seront bientôt remis en bonne intelligence. v.45 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Tu nommes négligence un total abandon ! v.47 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- L'excuse n'a plus lieu non plus que le pardon. v.48 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Si Sainville a quitté sa retraite profonde v.49 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Pour aller se fourrer dans le tracas du monde, v.50 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Qu'il puisse encor longtemps s'y plaire et le goûter ; v.52 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Il n'a fait qu'obéir, et par force, à son père ; v.53 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Son esprit, son humeur, son goût, son caractère, v.54 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Feront qu'il y sera tout-à-fait étranger : v.55 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Ils l'auront fait changer. v.56 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Non, il est trop bien né ; c'est sur quoi je me fonde. v.57 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Quel triomphe pour vous ! Quand dégoûté du monde... v.58 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous voulez tout-à-fait renoncer à Sainville ? v.61 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Je voudrais être encor dans mon premier asile. v.62 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Dès vos plus jeunes ans vous ont abandonnée, v.66 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Vous songez à rentrer dans le sein de l'ennui ? v.67 (Acte 1, scène 1, JULIETTE)
- Le monde n'a plus rien qui me plaise. Aujourd'hui ; v.68 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Demeurez... les absents sont bientôt oubliés. v.71 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- La Baronne vous fait mille et mille amitiés ; v.72 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Qu'un autre ne parvienne à vous ôter son coeur, v.76 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Et qu'avec un époux elle ne s'en console. v.77 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Sortons. v.85 (Acte 1, scène 1, ANGELIQUE)
- Dont en quelque façon je suis presque coupable ? v.89 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Mais vous ne l'êtes point : est-ce qu'on est comptable v.90 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Des jugements qu'on croit rendre avec équité ? v.91 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Quoi ! Ne peut-on jamais cacher la vérité ? v.92 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Tant de gens sont payés pour conspirer contre elle, v.93 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Et voilà justement ce qui fit mon erreur, v.96 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Et l'arrêt dont je fus l'organe trop funeste : v.97 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Croyez-moi, monsieur, quand on est misérable, v.101 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- C'est un fardeau de plus qu'un nom considérable ; v.102 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Ils en ont pu changer. Peut-être que la mort v.103 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- J'ai bien quelques soupçons ; mais ils sont si légers, v.107 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Ils sont si dépourvus... v.108 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Qu'importe ? Ils me sont chers ; v.108 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Vous n'aurez jamais eu d'occasion plus belle v.110 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Depuis longtemps au rang de vos plus vrais amis. v.112 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Croyez que c'est à quoi mon zèle s'intéresse. v.113 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Que je serais content et de coeur et d'esprit, v.116 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Ce serait mon plus cher et mon plus grand bonheur. v.119 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- En tout cas, j'ai mon fils ; il est homme d'honneur, v.120 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- De faire une action qui le couvrant de gloire, v.122 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Éternise après moi le sang dont il est né, v.123 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Et me donne en mourant un repos fortuné. v.124 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Oui, j'en jouis d'avance, et mon âme est tranquille. v.125 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- D'un autre côté, c'est sur quoi je me fonde, v.129 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Sainville a grand besoin de l'école du monde. v.130 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Il s'abandonne trop à son zèle imprudent : v.132 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Ces égards mutuels dont la nécessité v.135 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Que sert une sagesse âpre et contrariante ? v.137 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- Dont les ris et les jeux accompagnent les pas ; v.139 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- La raison même a tort, quand elle ne plaît pas. v.140 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- La sienne se ressent des défauts de son âge, v.141 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Mais son obéissance a passé mon espoir : v.148 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Qu'il pourra rencontrer dans de riches familles v.154 (Acte 1, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Vous avez des soupçons, ne les méprisez pas. v.159 (Acte 1, scène 2, LE PR?SIDENT)
- J'approfondirai tout, et j'y vais de ce pas. v.160 (Acte 1, scène 2, LA BARONNE)
- Ce sont des compliments, et je vous en dispense. v.166 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Bien, vous voilà donc au milieu du torrent. v.167 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Que dites vous du monde ? Allons, daignez m'instruire. v.169 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Moi, mon père, j'en dis tout ce qu'on en peut dire ; v.170 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Il n'est qu'une façon de le bien définir. v.171 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Je ne crois pas qu'il soit aisé d'en convenir. v.172 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Avec sincérité, s'il faut que je réponde, v.173 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- J'ai vu que l'impudence est la reine du monde, v.174 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Et qu'il faut, quand on veut y faire son chemin, v.175 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Aller à la fortune avec un front d'airain ; v.176 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Est tout ce qu'on accorde à peine aux gens de bien. v.179 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- En exagérant tout, on ne définit rien : v.180 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Brisons là. Mais d'ailleurs, dites-moi, je vous prie, v.181 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Vous avez fréquenté la bonne compagnie ? v.182 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- La bonne compagnie ! Eh ! Croyez-vous aussi v.183 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- À cette rareté que l'on appelle ainsi ? v.184 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Dont le nom résonnait sans cesse à mon oreille ; v.186 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- De la fatuité, des airs et du jargon, v.195 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ce sont les moeurs qui font la bonne compagnie. v.198 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mais avec ces défauts le monde vous a plu, v.200 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Et j'en vois la raison : parlons avec franchise, v.201 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- L'amour... eh ! Comment donc, ce mot vous scandalise ! v.202 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Qui m'en aurait donné ? v.204 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- La beauté, j'en conviens, peut, quand elle est réelle, v.205 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Il est sans contredit, v.207 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Que l'on ne vit jamais tant de femmes d'esprit. v.208 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Mais c'est nous qui faisons nous-même le prestige. v.210 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mille perfections qu'elle aurait peut-être eues, v.214 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Si l'on ne l'accablait d'un encens trop flatteur : v.215 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Aux dépens du bon-sens, anime ses propos, v.219 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ah ! Vraiment non. v.224 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Quand tout le monde a tort, tout le monde a raison. v.224 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Lorsqu'on est comme un autre, on est comme on doit être ; v.226 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Qui donne de l'encens ne donne rien du sien. v.227 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Mais, pardonnez-moi, mon estime est mon bien. v.228 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Souffrez que je réponde. v.229 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Permettez. Quand j'entrai dans le monde, v.230 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Ne faisant point de grâce, on ne m'en fit aucune. v.233 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- On s'en passe. v.234 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- L'on prit ma franchise importune v.234 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Où l'on cueillait des fleurs, je cueillais des épines. v.238 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- J'en faisais son forfait, loin de m'en accuser. v.243 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Je rompis mon humeur, rompez aussi la vôtre. v.245 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Nos besoins nous ont faits esclaves l'un de l'autre. v.246 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Et devient l'artisan de son malheureux sort. v.248 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Sachez donc vous soumettre à cette dépendance : v.249 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Dans un juste milieu la raison l'a borné : v.251 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- D'ailleurs il faut toujours que leur front soit orné v.252 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Des grâces et des fleurs qui sont à leur usage. v.253 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Son éclat naturel doit être décoré ! v.256 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Mon père, croyez-moi, son attrait lui suffit. v.259 (Acte 1, scène 3, SAINVILLE)
- Ma fortune, mon fils, est moins considérable v.261 (Acte 1, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Qu'on ne le croit ; je suis dans un poste honorable, v.262 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Où l'on n'amasse point ; ainsi je vous préviens, v.263 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Vous serez étonné d'un si faible partage : v.265 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Par son nom, par son rang, et par son opulence ; v.269 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Allez, voyez le monde ; et mettez à profit v.271 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Ce que mon amitié vous dicte et vous prescrit. v.272 (Acte 1, scène 3, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Mon père, en effet, quelle erreur est la vôtre ! v.277 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Mon bonheur dépend-il d'être au-dessus d'un autre, v.278 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- De briller dans le monde un peu plus, un peu moins ? v.279 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, mon existence aura moins de témoins. v.280 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Est-ce un si grand malheur de n'éblouir personne, v.281 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- De n'avoir que l'éclat que la probité donne ? v.282 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Et c'est un être heureux qu'on ne connaîtra pas. v.284 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Puis-je encore espérer de régner dans son âme ? v.290 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- D'obtenir un pardon que je vais mériter. v.292 (Acte 1, scène 4, SAINVILLE)
- Monsieur, un mot, de grâce ; Angélique m'envoie. v.293 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Ô bonheur qui m'assure un éternel retour ! v.300 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Quand je semblais avoir abjuré son empire, v.301 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Ce sont tous ses billets. v.303 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Ni moi non plus. v.305 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Pour ne pas aujourd'hui récompenser ton zèle. v.306 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Monsieur, je n'ose. v.309 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Sois témoin des transports que mon bonheur me cause. v.310 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Mes lettres, mon portrait ! Il faudra que j'en meure ! v.313 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- L'espoir n'a donc servi qu'à mieux m'assassiner. v.315 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Parle donc, ton silence augmente mon supplice. v.317 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Que jusqu'à la rupture on pousse le dépit, v.320 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- On ne peut donc jamais former qu'un noeud fatal. v.323 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Il n'est donc que trop vrai que tout choix est égal. v.324 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Enfin, c'en est donc fait, ma perte est décidée : v.326 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Je n'ai donc plus ce coeur que j'avais enflammé. v.327 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Jugez-vous. Quand on a le bonheur d'être aimé, v.328 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- L'amour qu'on nous inspire exige bien du soin ; v.331 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Des yeux qui l'ont fait naître, il a toujours besoin ; v.332 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et parce que j'ai tort, m'abandonneras-tu ? v.335 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- La bonne volonté fait toute ma vertu : v.336 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Et l'on refusera constamment de vous lire ; v.342 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Puisqu'on me rend mon coeur, il faut bien le reprendre ; v.346 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Puisqu'on brise ma chaîne, il faut bien en sortir. v.347 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Non, je ne prétends pas perdre mon repentir. v.348 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- J'aime encor mieux mourir de rage que de honte : v.350 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Elle apprendra qu'on peut cesser de l'adorer. v.355 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Perdez-vous la raison ? Au lieu de réparer... v.356 (Acte 1, scène 5, JULIETTE)
- Un seul regret me tue, il faut que j'en convienne, v.357 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- C'est que son inconstance ait prévenu la mienne. v.358 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Tu la lui feras lire... allons, j'y compte. Adieu. v.360 (Acte 1, scène 5, SAINVILLE)
- Voilà comme ils sont tous, quand on leur rend le change ; v.361 (Acte 1, scène 6, JULIETTE)
- Qui devrait dès longtemps m'avoir été ravie ! v.366 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Grands dieux ! Lorsque j'y pense, était-ce là mon sort ? v.368 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Continuons les soins de la plus tendre mère ; v.370 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Où la main d'un parent a daigné par bonté v.372 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Assurer mon destin, consommons mon ouvrage. v.373 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Voyons ce que sur elle ont produit mes avis ; v.379 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et si, pour son bonheur, elle les a suivis. v.380 (Acte 2, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Ma bonne, embrassez-moi. Que je suis satisfaite ! v.381 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Quoi donc, ma chère enfant ? v.382 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'est-il donc arrivé ? v.383 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- J'ignorais qu'on aimât si fort ces bagatelles ; v.385 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je les regrette encor ; mais j'ai fait mon devoir. v.387 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Non ; il n'est pas homme à feindre, v.389 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Voudrait contre vous-même armer votre pitié. v.392 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De ces personnes-là craignez le caractère ; v.393 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On ne se perd jamais que par leur ministère ; v.394 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Me voilà donc réduite à ne voir plus personne ? v.397 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Car vous m'ordonnerez, du moins je le soupçonne, v.398 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- C'est pour vous conserver votre honneur, votre gloire. v.406 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- L'honneur est donc toujours l'ennemi de l'amour ? v.407 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Non vraiment ; au contraire, il l'approuve à son tour. v.408 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et pourquoi donc le mien vous semble-t-il un crime ? v.409 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que pour pouvoir aimer sans se déshonorer, v.412 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Il faut qu'un doux espoir mieux fondé que le vôtre, v.413 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Pour qui donc Sainville et moi sommes-nous faits ? v.415 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Sans nous trop avancer, ôtons-lui l'espérance v.417 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'elle ose concevoir contre toute apparence. v.418 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Il faut, à vous guérir, forcer votre raison. v.420 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Non, ce n'est point à vous que le ciel le destine : v.421 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Inconnue, et d'ailleurs réduite à ses attraits, v.423 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sur La Baronne en vain vous fondez votre attente. v.425 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et par quelle raison ? N'est-elle pas ma tante ? v.426 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais encor, pourquoi donc ? v.428 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais ce n'en est pas moins l'effet de sa bonté. v.432 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Où l'on était enfin las de votre infortune. v.434 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais d'où provenait donc cet abandon total ? v.435 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Vous vous attendrissez. Vous les avez connus ? v.439 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- S'il est vrai, dites-moi ce qu'ils sont devenus, v.440 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Saisit l'occasion d'une guerre étrangère : v.442 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Son courage lui fit espérer tout du sort ; v.443 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Peignez-vous son état et son adversité. v.447 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Enfin, après avoir longtemps sollicité, v.448 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- D'une pension faible, à peine suffisante v.449 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On crut payer assez les jours de son époux. v.451 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Sa santé succomba sous des maux si constants. v.455 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Dans les bras de la mort elle resta longtemps ; v.456 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Fut discontinué sans espoir de retour. v.459 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ne comptez plus sur elle, et revenons à vous. v.463 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- De La Baronne un jour y conduisit les pas : v.467 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- On lui parla de vous. Votre âge, vos appas, v.468 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Tout força La Baronne à vous rendre les armes ; v.470 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Enfin, son amitié s'augmentant tous les jours, v.472 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Daigna vous honorer du titre de sa nièce. v.474 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Non ; cessez de compter sur cet heureux lien. v.479 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- La Baronne pourra vous faire quelque bien ; v.480 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais ce n'est pas assez pour que l'on vous préfère v.481 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Au plus riche parti que lui cherche son père : v.482 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Qu'exigeront bientôt son rang et son état. v.484 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Et le plus tendre amour n'est donc rien dans la vie ? v.485 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Au gré de la fortune il faut qu'on se marie. v.486 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Pourvu qu'on soit bien riche, on est donc bien content ? v.487 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je n'imagine pas qu'il y puisse songer. v.491 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous découvrez l'abîme où j'allais me plonger. v.492 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que de combats vont être arrosés de mes larmes ! v.493 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je dois vous avouer que mon coeur révolté v.495 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Sur mes réflexions l'a toujours emporté ; v.496 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Où donc, ma bonne ? v.497 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Où l'honneur vous attend, aux pieds de La Baronne : v.498 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Venez lui confier votre état dangereux ; v.499 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Elle aime la vertu, son coeur est généreux : v.500 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Doutez-vous du succès ? La Baronne vous aime. v.505 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Je ne puis avouer ma honte qu'à moi-même. v.506 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais vous vous êtes bien confiée à ma foi ? v.507 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous n'êtes pas un tiers entre mon coeur et moi. v.508 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Ma bonne, sauvez-moi l'aveu de ma faiblesse. v.510 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Les remèdes tardifs sont toujours impuissants. v.512 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Disposez d'un aveu que je vous abandonne, v.513 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Chargez-vous-en vous-même auprès de La Baronne. v.514 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Non, je vous le promets. v.516 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- J'y vais donc. v.517 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Attendez... partez, volez, ma bonne : v.517 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je pourrais révoquer l'ordre que je vous donne. v.518 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Écoutez ; c'est à condition, v.519 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Si l'on daigne accepter ma proposition, v.520 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Que vous viendrez aussi, que nous vivrons ensemble ; v.521 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Je me soumets à tout, pourvu qu'on nous rassemble. v.522 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- N'y consentez-vous pas ? v.523 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, c'est bien mon dessein. v.523 (Acte 2, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Je pourrai du moins soupirer dans son sein ; v.524 (Acte 2, scène 2, ANGELIQUE)
- Comptez sur mon adresse. v.526 (Acte 2, scène 3, LE-LAQUAIS)
- Pourrait-on vous parler ? v.527 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Tu lui diras que non. v.527 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- C'est moi qui vous demande audience en mon nom. v.528 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Et par quelle raison ? v.530 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- On vous l'a défendu ? v.531 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Depuis assez longtemps, parlons de bonne foi, v.532 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Votre bonne, jalouse, envieuse, inquiète, v.533 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Votre humeur trop facile a comblé son désir. v.535 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- N'agissez, ne pensez que sous son bon plaisir, v.536 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Soyez comme un enfant qu'on mène à la baguette. v.538 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- De grâce, finissons ; je ne vois que trop bien v.539 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Ce serait volontiers, s'il m'en avait chargée ; v.546 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À demeurer constants lorsque l'on n'en veut plus, v.552 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- À revenir à nous, si-tôt qu'on les rappelle ? v.553 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Non ; l'art d'aimer a pris une forme nouvelle : v.554 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Encore arrive-t-il qu'on croit nous faire grâce. v.557 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Nos esclaves ont mis leurs vainqueurs à leur place ; v.558 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Ils se sont emparés de nos droits les plus doux ; v.559 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Plus tendre que jamais, vous rapporter son coeur, v.563 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Il fait donc bien de ne se pas commettre : v.565 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- Qu'as-tu donc ? v.571 (Acte 2, scène 4, ANGELIQUE)
- Est-il sourd ? Recommençons encor. v.571 (Acte 2, scène 4, JULIETTE)
- J'ai donc mal entendu. v.573 (Acte 2, scène 5, LE-LAQUAIS)
- Donne. v.573 (Acte 2, scène 5, JULIETTE)
- En quoi donc, s'il vous plaît ? v.575 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Ce billet qu'on t'apporte est... v.578 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Pour la pousser à bout, changeons un peu le texte, v.581 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Et lisons autrement. Pourquoi prendre un prétexte ? v.582 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Eh ! Bien, lisons tout bas. v.583 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- "Lorsque nous avons cru nous aimer l'un et l'autre, v.585 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Car mon erreur n'a pas duré plus que la vôtre. v.588 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- J'accepte la rupture, ainsi n'en parlons plus. " v.589 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Est-ce à moi qu'on écrit ?... Regardons le dessus. v.590 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- À qui, diantre, en veut-on ? Quelle est cette aventure ? v.591 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Pourriez-vous, par hasard, connaître l'écriture ? v.592 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Elle est de mon perfide. v.593 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Restons-en là. v.597 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Quelle était mon erreur ! v.597 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Vous l'aimiez donc encore ? v.599 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Donne-moi ce billet. v.602 (Acte 2, scène 6, ANGELIQUE)
- Tenez, contentez-vous. v.602 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Avertissons Sainville, il est temps qu'il arrive. v.603 (Acte 2, scène 6, JULIETTE)
- Cédons, l'impatience où je suis est trop vive. v.604 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Fuyons, sans doute il vient jouir de son forfait. v.605 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- C'est de mes sentiments l'expression fidèle. v.608 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- De peur que je n'en doute encore, il en convient. v.609 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Je viens vous assurer de tout ce qu'il contient. v.610 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Quel est donc mon forfait ? v.613 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- D'un éclaircissement pourriez-vous m'honorer ? v.614 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Perfide, on n'en doit point à ceux qui nous outragent. v.615 (Acte 2, scène 7, ANGELIQUE)
- Hélas ! Tout ce qui vient de ce qu'on n'aime plus v.618 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Je ne puis. Non, parjure ; v.620 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Vous me rendrez raison d'un procédé si noir. v.622 (Acte 2, scène 7, SAINVILLE)
- Tu dois la reconnaître, est-ce elle ? v.625 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Qui ne se conçoit pas ; sa fureur est extrême. v.627 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Puisqu'il convient de tout, c'est un soin superflu. v.630 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Et lorsque je reviens à mon premier vainqueur, v.633 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- C'est avec plus d'amour et plus de connaissance. " v.634 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- N'interrompez donc pas. v.635 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Je n'ai trouvé que vous, dont mon âme asservie v.637 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Pût faire son bonheur le reste de ma vie. " v.638 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Il a raison... Juliette. v.639 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Plus que jamais vos coeurs sont enflammés. v.640 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Quelle explication faut-il que je vous donne ? v.641 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Eh ! Trop heureuse encor l'amante qui pardonne. v.642 (Acte 2, scène 8, JULIETTE)
- Vous voulez donc ma mort ? v.645 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- J'ai donné ma parole, il faut que je la tienne. v.646 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Eh ! Que voulez-vous donc faire dans ce couvent ? v.648 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- On est allé, pour moi, le demander en grâce. v.649 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- J'en attends la réponse : et je vous dirai plus, v.651 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Et de quoi donc ? v.652 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Entendez mes raisons, sans vous mettre en colère. v.654 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Quand je mets mon bonheur, ma fortune, ma vie, v.657 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- À vous faire régner sur mon âme ravie, v.658 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Par le don éternel de ma main, de ma foi ? v.660 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- On l'a craint. v.662 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Justes dieux ! Quel soupçon est le vôtre ! v.662 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- L'horreur qu'on a voulu verser sur mon amour, v.664 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Et l'effroi qu'on a mis dans le fond de votre âme. v.665 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Oui, pendant mon absence on vous a peint ma flamme v.666 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Avez-vous pu souffrir qu'on me fît cette injure ? v.669 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- A-t-on vu dans mon coeur le germe du parjure v.670 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Angélique, est-ce ainsi que vous me connaissez ? v.672 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- On a jugé bien mal de l'amour de Sainville. v.673 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Vos beaux yeux sont baissés ! v.675 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quoi donc ! Qui fait couler vos larmes ? v.677 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quelles sont ces alarmes ? v.678 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Quels secrets devez-vous cacher à mon amour ? v.679 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- J'ignore qui sont ceux à qui je dois le jour. v.680 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Vous croyez que je suis nièce de La Baronne ? v.681 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Il n'en est rien, je ne tiens à personne. v.682 (Acte 2, scène 8, ANGELIQUE)
- Ah ! Grands dieux ! Quel sera mon bonheur de pouvoir v.683 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- vous tenir lieu de tout ! Couronnez mon espoir. v.684 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Assurez à la fois mon bonheur et le vôtre. v.686 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Nous verrons. Cependant, cachons bien notre amour ; v.691 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Dissimulons tous deux jusques à l'heureux jour. v.692 (Acte 2, scène 8, SAINVILLE)
- Que vois-je ! C'est ma bonne ! v.693 (Acte 2, scène 9, ANGELIQUE)
- Évitons cette femme, et fuyons La Baronne. v.694 (Acte 2, scène 9, SAINVILLE)
- Sont-ce là les adieux de ces pauvres enfants ? v.695 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Vos soins sont triomphants. v.696 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ils ont bien opéré ; je vous en félicite. v.698 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Ce que je viens de voir a déchiré mon coeur. v.700 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ne la consultez point en cette extrémité, v.703 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! Comment voulez-vous qu'une fille à son âge v.705 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Puisse de sa raison faire un heureux usage, v.706 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Quand la séduction, avec tous ses appas, v.707 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- L'environne, l'obsède, et la suit pas à pas ? v.708 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- que son propre penchant entraîne dans l'abîme. v.710 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Feignons. v.711 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Dans l'ivresse où son coeur est plongé sans retour, v.715 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ses yeux ne portent pas plus loin que son amour ; v.716 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et son bonheur présent, qui n'est qu'une chimère, v.717 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Fait que son avenir ne l'embarrasse guère : v.718 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et, malgré la raison, règne au fond de son âme, v.722 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Jusqu'où peut la conduire une semblable erreur ! v.724 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! L'amour et l'hymen ne sont pas faits pour elle. v.726 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- L'enterrer toute vive au fond d'une retraite, v.730 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Qui lui sauve l'honneur. v.731 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- J'y résoudrais mon coeur. v.735 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mais je veux lui parler ; et, si ma remontrance v.737 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Contre deux coeurs unis que sert la vigilance ? v.741 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Faisons-nous violence. v.742 (Acte 2, scène 10, LA BARONNE)
- Allons cacher mes pleurs. v.747 (Acte 2, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- A produit les effets dont je m'étais flattée. v.750 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- Achevons ; on a dû lui surprendre en secret v.751 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- Des papiers qui pourront m'instruire tout-à-fait. v.752 (Acte 2, scène 11, LA BARONNE)
- Allons, il faut un peu faire tête à l'orage. v.753 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Trop de confusion a glacé mon courage. v.754 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Non, quoi que je me dise, v.757 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- La Baronne, entre nous, n'est pas à redouter ; v.760 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Elle est femme du monde, et n'en fera que rire : v.761 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Vous contraindre à rester ainsi sous sa tutelle ? v.765 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Sa raison, sa vertu. v.766 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Qui véritablement ne soit que pour mon bien : v.768 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- C'est un fait ; mais j'ai beau m'en convaincre moi-même, v.769 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Quelle conviction tient contre ce qu'on aime ? v.770 (Acte 3, scène 1, ANGELIQUE)
- Arrangez-vous tous deux, tandis que La Baronne v.773 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Dans le fond du jardin est avec votre bonne, v.774 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Bon ! Bon ! Qu'importe ? Adieu, je vais faire le guet. v.776 (Acte 3, scène 1, JULIETTE)
- Nous nous étions promis qu'une ombre salutaire v.777 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Hélas ! Vous le pouvez ; je répondrai de même. v.781 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Mon désespoir extrême. v.782 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On pourrait me sauver ; mais vous n'en ferez rien. v.784 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous trahirez et son choix, et le vôtre. v.786 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les persécutions vous feront succomber v.787 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On travaille au malheur où nous allons tomber. v.788 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De quoi me grondez-vous ? Puis-je aimer davantage ? v.789 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Non, ce n'est pas assez. v.792 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On va vous accorder cette grâce funeste v.794 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On saura vous résoudre enfin à l'accepter. v.796 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que dis-je ! On obtiendra de votre obéissance v.797 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Mais sans nous désunir on peut nous séparer. v.800 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Jamais l'éloignement, le temps, les remontrances v.802 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne produiront sur vous leur infaillible effet, v.803 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Cruelle ! On vous aidait à vous l'imaginer ; v.807 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- mais au fond du désert où l'on va vous mener, v.808 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- On ne tardera guère à vous le faire croire, v.809 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que l'on aura grand soin de circonstancier ; v.811 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vos feux ne pourront pas se nourrir de leurs cendres. v.813 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Ne peuvent soutenir longtemps un faible coeur : v.815 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les unes en secret seront interceptées ; v.817 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Les autres à son gré seront interprétées. v.818 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Quel est donc ce papier ? v.830 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Le garant et le sceau de ce don solennel, v.832 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que vous font à jamais l'amour et l'hyménée, v.833 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- De ma main, de mon coeur, et de ma destinée... v.834 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Quoi donc ! Vous hésitez à recevoir ma foi, v.835 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Et votre main balance à se donner à moi ! v.836 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- L'impossibilité n'est qu'au fond de votre âme. v.838 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Dont je rends grâce au sort, vous met en liberté v.843 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Je n'ai point de parents, du moins que je connaisse. v.845 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Mais, quoi ! Puis-je, à mon âge, être assez ma maîtresse, v.846 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Pour que mon seul aveu dispose de ma main ? v.847 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Non : j'attendais de vous ce refus inhumain. v.848 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Une raison n'est pas un refus. v.849 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- L'inconstante ! v.849 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Mais si je consultais... v.850 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Et vous consulterez ensuite votre coeur ? v.851 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Eh ! Je crains ma raison autant que mon amour. v.856 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Croyez donc l'un et l'autre. Eh ! Comment, je vous prie, v.857 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Que le titre d'époux : consentez, ou je meurs... v.860 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Je règne, ou non, dans le fond de votre âme. v.861 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Mais vous en répondrez. v.865 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- On a bien de la peine v.865 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Est-ce ainsi qu'on se rend ? v.868 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Vous ne pardonnez rien. v.868 (Acte 3, scène 2, ANGELIQUE)
- Non, sans doute, à l'amour. v.869 (Acte 3, scène 2, SAINVILLE)
- Qui donc ? v.871 (Acte 3, scène 3, SAINVILLE)
- Toi, ne la quitte pas ; ton soin m'est nécessaire. v.873 (Acte 3, scène 4, SAINVILLE)
- Bon ; nous serons ici plus en particulier : v.875 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- On voudrait votre avis sur un cas singulier. v.876 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mon père, vous savez que jamais je ne flatte. v.877 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est par cette raison. L'affaire est délicate ; v.878 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Les conseils les plus vrais sont ici les meilleurs. v.879 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Un juge assez habile, honnête homme d'ailleurs... v.880 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Être si constamment l'épithète ordinaire v.882 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ainsi, vous ne croyez guère aux honnêtes gens. v.884 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ma foi, ceux que j'ai vus me font douter des autres. v.885 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Mon fils, quels préjugés étranges que les vôtres ! v.886 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Mon père, en vérité, ce reproche me pique. v.889 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Eh ! Prenez, ou laissez les hommes tels qu'ils sont, v.891 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Tout aussi-bien que vous, je les connais à fond : v.892 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Indulgent par lumière, et non pas par faiblesse. v.894 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Mais revenons enfin. Ce juge en question v.895 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Fut chargé d'un procès, dont la décision v.896 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Devait, à son rapport, régler la destinée v.897 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Laissons la noblesse du sang : v.899 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Aux yeux de l'équité tous ont le même rang. v.900 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pesons les droits réels : la plus haute naissance v.901 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Oui, mais tout l'embarras est de bien rencontrer ; v.903 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Souvent le meilleur droit ne sait pas se montrer : v.904 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ce monstre ingénieux à poursuivre sa proie, v.906 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Dont le métier cruel, et cependant permis, v.907 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ne saurait-on nous faire un infidèle extrait ? v.912 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Tout juge qui s'en sert a tort : c'est mon système ; v.913 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Jamais il n'est trop bon pour voir tout par lui-même : v.914 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Et s'il ne donne pas tous ses soins, tout son temps, v.915 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je vois d'ici ce juge, indigne de pardon, v.919 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Comme il le méritait, dupé par un fripon. v.920 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Le titre disparut ; le bon droit succomba ; v.923 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Sur des infortunés trop pleins de confiance, v.925 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Peut-il se consoler de leur désastre affreux, v.928 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Involontaire. v.929 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Qu'importe ? Il a laissé trahir son ministère ; v.930 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Le temps et le hasard firent enfin connaître, v.933 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- On sut la vérité : le titre n'était plus ; v.935 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Ensuite l'on apprit que l'une des victimes, v.938 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Unique rejeton d'une illustre famille, v.942 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- L'avait abandonnée aussi-bien que son nom. v.943 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Eh ! Bien, s'il est ainsi, que me demande-t-on ? v.944 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Tout homme qui consulte est peu sûr de lui-même ; v.946 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Il veut que je prononce : v.949 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qu'il tremble ? Mais à quoi servira ma réponse ? v.950 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- À ces infortunés tout ce qu'ils ont perdu. v.952 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est à quoi je condamne un juge qui s'abuse. v.953 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qu'il répare ses torts, s'il veut qu'on les excuse ; v.954 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- L'ignorance et l'erreur sont des crimes pour lui. v.955 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- On prononce aisément dans la cause d'autrui : v.956 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Celui dont je vous parle est peu riche. v.957 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- La restitution pourrait être si forte... v.958 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Ma façon de penser, contraire aux moeurs du temps, v.963 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Pardonnez-moi, mon fils. v.965 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Que dites-vous, mon père ? v.965 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Que vous y donnerez l'aveu le plus flatteur. v.967 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Pardonnez ces transports à mon coeur éperdu. v.971 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- La vénération, l'estime la plus haute. v.977 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Qui vous a procuré l'heureuse occasion v.979 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- De faire une si grande et si bonne action. v.980 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Sachez ce qui m'arrive en cette circonstance. v.982 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Je réponds de ses moeurs, et j'en suis enchanté : v.987 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Car c'est-là, selon moi, la première beauté. v.988 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- D'ailleurs, elle est charmante. Enfin, l'on vous préfère. v.989 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Je vous en parle ici de la part de son père. v.990 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Et c'est un mariage à conclure au plutôt. v.991 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Donnez, engagez tout, j'en serai plus content. v.996 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Mon père, pardonnez ma répugnance extrême. v.998 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Non, j'y vois mille appas : v.999 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Cette fille est trop riche, et ne me convient pas. v.1000 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Comment donc ? v.1001 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Et par reconnaissance il faut subir ses lois ; v.1004 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Dont on ne peut jamais s'acquitter avec elle. v.1006 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Quoi qu'il en soit, malgré ma situation, v.1007 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne veux pas avoir cette obligation. v.1008 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Bon ! Est-ce qu'un mari n'est pas toujours le maître ? v.1009 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Je ne pourrais prétendre à ce bonheur extrême. v.1014 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- C'est se vendre, en un mot, et non pas s'assortir. v.1016 (Acte 3, scène 5, SAINVILLE)
- Ah ! Vos réflexions détruiront ce scrupule ; v.1017 (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Car, entre nous, mon fils, il est trop ridicule. v.1018 (Acte 3, scène 5, LE PR?SIDENT)
- Que diantre un fils a-t-il tant à dire à son père ? v.1021 (Acte 3, scène 6, JULIETTE)
- Surtout lorsque l'on peut épouser son amant ! v.1032 (Acte 3, scène 7, JULIETTE)
- J'obéis à madame, elle peut ordonner ; v.1036 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Obéissez, quand madame l'ordonne. v.1037 (Acte 3, scène 8, LA BARONNE)
- Madame ! Ah ! Par ma foi, l'épithète m'étonne ! v.1038 (Acte 3, scène 8, JULIETTE)
- Ah ! C'est trop m'honorer. v.1039 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- A contrainte à subir un sort si misérable. v.1042 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Que voulez-vous de plus de ma reconnaissance ? v.1045 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- La faveur d'être admise en votre confidence : v.1046 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, écartez donc le charme qui vous suit. v.1056 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Eh ! Bien, pour vous convaincre, il faut que je m'accuse. v.1058 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- J'ai surpris des papiers qui sont dignes de foi. v.1060 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- D'un fait dont vous voulez soutenir le contraire ; v.1062 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Pardonnez : pour finir vos malheurs, v.1064 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Cette conviction m'était trop nécessaire. v.1065 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Fallait-il me trahir ? Jugez de mon regret, v.1067 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Et de quelle importance est pour moi mon secret, v.1068 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Non, madame, laissons à cette infortunée v.1077 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- L'esprit de son état, et de sa destinée. v.1078 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- On n'est point malheureux, quand on peut ignorer v.1079 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Tout ce que l'on pourrait avoir à déplorer. v.1080 (Acte 3, scène 9, LA GOUVERNANTE)
- Mes soins n'ont point blessé votre délicatesse ; v.1082 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Le président, qui veut être inconnu lui-même, v.1086 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Content de relever votre illustre famille, v.1089 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Madame, il ne connaît ni vous, ni votre fille ; v.1090 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Son bonheur lui suffit : en effet, il est tel v.1091 (Acte 3, scène 9, LA BARONNE)
- Je suis au désespoir, on m'a tout renvoyé ; v.1096 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Comment voulez-vous donc que je me justifie ? v.1101 (Acte 3, scène 10, LA BARONNE)
- C'est vous-même, monsieur, qui vous êtes trompé. v.1104 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Votre indiscrétion me paraît bien étrange ! v.1106 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Vous me pardonnerez ce que j'ose avancer. v.1107 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Ce renvoi vous étonne ! Avez-vous dû penser v.1108 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et de vous dépouiller en cette occasion ? v.1111 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- La générosité vous fait illusion. v.1112 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Mais n'avouez-vous pas que son juge est coupable v.1118 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- Mais de son ministère il s'est mal acquitté. v.1123 (Acte 3, scène 10, LE PRÉSIDENT)
- N'en parlons plus ; elle a subi son jugement, v.1127 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- En lui donnant la force et le courage v.1129 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- D'accepter, de braver constamment son naufrage, v.1130 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Et tout ce qu'elle fut, comme un songe effacé v.1132 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Que l'on ne devrait plus offrir à sa mémoire. v.1133 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Dans son abaissement laissez-lui cette gloire ; v.1134 (Acte 3, scène 10, LA GOUVERNANTE)
- Pardonnez ma surprise, elle est trop légitime ; v.1137 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- Je n'en saurais douter, voilà donc ma victime ! v.1138 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Dieux ! Qu'elle m'a rendu confus et malheureux ! v.1140 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Que son abaissement l'élève et m'humilie ! v.1141 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Et pour le réparer mes soins sont sans effet, v.1143 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Elle veut à jamais me laisser mon forfait. v.1144 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Eh ! C'est trop se venger : unissons-nous contre elle. v.1145 (Acte 3, scène 11, LE PR?SIDENT)
- Eh ! L'admiration ne la sauvera pas. v.1148 (Acte 3, scène 11, LE PRÉSIDENT)
- Aussi ne veux-je point y borner tout mon zèle. v.1149 (Acte 3, scène 11, LA BARONNE)
- Elle rêve... feignons de ne l'avoir pas vue, v.1153 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Lorsque tous deux ont eu leur dernière entrevue. v.1154 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Oui : mon empressement v.1155 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous donne, je le vois, du refroidissement ; v.1156 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Puis-je vous demander, sans indiscrétion, v.1159 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- S'il vous souvient encor d'une commission, v.1160 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Dont vous m'aviez chargée auprès de La Baronne ? v.1161 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous me la rappelez... mais à propos... ma bonne... v.1162 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Dissimulons. v.1165 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mettez-vous à ma place en cette circonstance ; v.1166 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Il s'agit de quitter, et d'abandonner tout. v.1167 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Le monde vous doit-il inspirer tant de goût ? v.1168 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On peut, ainsi que vous, se rendre fortunée, v.1173 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne doute de rien dans le cours des beaux jours, v.1175 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On croit que l'avenir y répondra toujours. v.1176 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- La Baronne vous aime, et j'en suis convaincue ; v.1181 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais vous n'y croirez pas, on ne croit que la sienne ; v.1194 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- À tout ce qu'il vous plaît, il faut se conformer ; v.1195 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne veut pas vous perdre. Eh ! Qui pourrait former v.1196 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un projet, un complot si cruel ? Non, vous dis-je, v.1197 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un sacrifice entier n'est point ce qu'on exige : v.1198 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Consentez seulement, pour un temps limité, v.1200 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Convient-il à vos yeux d'en être les témoins ? v.1203 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- En parle-t-on ? v.1204 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Son père y donne tous ses soins. v.1204 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- C'est de quoi l'on m'a fait la confidence entière. v.1206 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On vous trompe. v.1207 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Oui, mon coeur le lui jure à chaque instant du jour : v.1216 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Que par votre bonheur ? Je n'en puis avoir d'autre, v.1225 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Que vous ai-je donc fait pour l'avoir mérité ? v.1227 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vont vous ouvrir mon coeur. v.1230 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quels secrets vont éclore ? v.1230 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Cet hymen que l'on croit si prêt à se conclure, v.1233 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ciel ! Quel est mon effroi ! v.1235 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Un noeud qu'à tous les yeux nous rendrons invisible, v.1238 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- J'ai sa main et sa foi, mes destins sont les siens. v.1243 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mon aveu doit suffire, à ce que j'imagine : v.1245 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- S'il est vrai, j'ai donc pu, sans avoir aucun tort, v.1248 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Ne prendre auparavant les ordres de personne. v.1249 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Du moins vous auriez dû consulter La Baronne : v.1250 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Peut-être auriez-vous pu me faire cet honneur... v.1251 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Mais, non, je ne crois point ce prétendu bonheur. v.1252 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Vous ne le croyez pas ? Il faut donc vous confondre. v.1253 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Tenez, voyez, lisez. Qu'aurez-vous à répondre ? v.1254 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Dès que nous le pourrons, nous irons à l'autel, v.1256 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- confirmer, en secret, cette union parfaite... v.1257 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Aurait dû vous donner un remords salutaire. v.1262 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sont un piège couvert d'une fausse espérance, v.1265 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Eh ! N'est-on pas assez à plaindre quand on aime ? v.1269 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Dont on a vu l'amour abuser tant de fois. v.1272 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- C'est en vain qu'on se flatte, et qu'on croit être sûr v.1275 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Malgré soi-même, enfin, l'on manque à sa promesse, v.1277 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et l'on cède, par force, à sa propre faiblesse : v.1278 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- S'il rejette, pour vous, l'hymen qu'on lui propose, v.1289 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- N'en doutez pas, son fils sera déshérité, v.1292 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Et vous aurez causé son malheur et le vôtre ; v.1293 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- On ne l'a que trop vu s'envoler avec elle, v.1298 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il est vrai, je ne songe v.1301 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Mais ce n'est qu'un mensonge... v.1302 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Je n'ai donc plus qu'à voir si ces noeuds sont bien faits ; v.1304 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Il faut que je consulte. v.1307 (Acte 5, scène 1, LA GOUVERNANTE)
- Sainville, avec raison, pourrait m'en faire un crime. v.1310 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Je ne veux, contre lui, ni garants, ni témoins ; v.1311 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Eh ! Que m'importe, à moi ? Mes voeux sont satisfaits. v.1315 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Que tout ce qu'on pourrait vous dire : ainsi, ma bonne, v.1317 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Votre refus m'étonne ! v.1318 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Non, vraiment... mais on vient... v.1320 (Acte 5, scène 1, ANGELIQUE)
- Quel est donc ce papier v.1320 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Vous allez me gronder. v.1322 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Quel est donc ce langage ? v.1322 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- J'ai cru pouvoir m'y confier. v.1323 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- De quoi donc ? v.1325 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Que vos feux offensaient votre honneur et ma gloire, v.1326 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Que l'hymen ne pouvant jamais les couronner, v.1327 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Au plus fatal espoir j'osais m'abandonner. v.1328 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Tout ce qu'on peut penser d'un hymen clandestin. v.1331 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Pouvions-nous autrement fixer notre destin v.1332 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Mais enfin, je le sais, vous m'êtes trop contraire v.1334 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Dont elle vous a fait l'aveu trop indiscret. v.1336 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Vous fûtes, vous serez toujours mon ennemie ; v.1337 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Connaissez un amour qui doit être éternel ; v.1340 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- J'adore sa vertu, j'en fais mon bien suprême ; v.1342 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je n'ai rien qui me soit plus cher que son honneur : v.1343 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Pourrais-je l'en priver, sans perdre mon bonheur, v.1344 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Sans me déshonorer, sans m'avilir moi-même ? v.1345 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Ce n'est qu'à ses dépens qu'on corrompt ce qu'on aime. v.1346 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Connaissez mes désirs ; je borne tous mes droits v.1347 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je les sais comme vous ; mais je connais encore v.1350 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- C'est celui de l'honneur et de la probité. v.1352 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et les pères sont-ils toujours inexorables ? v.1354 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Et consentez. D'abord que je réponds de lui... v.1359 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Je vous offre un moyen : La Baronne vous flatte. v.1362 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- En cas que mon bonheur soit toujours impossible. v.1370 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Avec elle, en un mot, abandonnez ces lieux, v.1371 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- N'y consentez-vous pas jusqu'à des temps plus doux ? v.1375 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Fût-ce dans un désert, je serai trop contente ; v.1378 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Oui, ma bonne y consent... votre coeur s'y soumet. v.1380 (Acte 5, scène 2, ANGELIQUE)
- Voilà donc la vertu que vous me supposez ? v.1383 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Pouvez-vous concevoir cette affreuse chimère ? v.1385 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- À son sang révolté je servirais d'appui ? v.1387 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Mais songez qu'Angélique... v.1390 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je ne veux que du temps, pour amener mon père v.1393 (Acte 5, scène 2, SAINVILLE)
- Je me suis contenue autant que je l'ai pu ; v.1399 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Vous doutez qu'on en puisse avoir dans la misère ; v.1401 (Acte 5, scène 2, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Grands dieux, c'est mon père v.1402 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Je ferai mon devoir. v.1405 (Acte 5, scène 3, LA GOUVERNANTE)
- Qu'est-ce qu'elle m'annonce ? v.1405 (Acte 5, scène 3, SAINVILLE)
- Eh ! Bien, mon fils, je viens chercher votre réponse v.1406 (Acte 5, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Quoi donc ? v.1409 (Acte 5, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Mais en tout cas, monsieur, je vous laisse Angélique. v.1410 (Acte 5, scène 3, LA GOUVERNANTE)
- Dites-moi donc, Sainville, est-ce moi qui m'abuse ? v.1413 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Vous voyez ma faute et mon excuse. v.1414 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quel est donc cet écrit ? v.1415 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Quoi donc ? êtes-vous libre ? Avez-vous pu promettre ? v.1417 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Eh ! Regardez, mon père, un objet si charmant. v.1420 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- C'est donc avec mademoiselle ? v.1422 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Oui, voilà mon vainqueur. v.1423 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Ainsi donc vous croyez être au-dessus des lois ? v.1424 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Mon père, je sais tout ; mais je demande grâce : v.1426 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- La forme est contre moi ; mais, sans aller plus loin, v.1427 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Voulez-vous mon bonheur ? Laissez-m'en donc le soin. v.1428 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Ah ! Voulez-vous m'ôter l'usage de mon coeur, v.1432 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Les enfants sont-ils donc de malheureux esclaves ? v.1434 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Non, mon fils ; mais enfin nous en savons plus qu'eux ; v.1435 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Ce n'est donc que par nous qu'ils peuvent être heureux, v.1436 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- J'ai cherché dans le monde à perdre mon amour ; v.1440 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- J'ai moi-même frayé le chemin de mon âme ; v.1442 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Qu'en vain plus d'une fois les plaisirs m'ont offerts : v.1444 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Oui, le ciel a tout fait. Eh ! Quelle illusion ! v.1447 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Je ne vous parle point de la séduction v.1448 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Qu'on peut vous accuser d'avoir mis en usage ; v.1449 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Mon fils, j'aurais sur vous un trop grand avantage. v.1450 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Monsieur, arrêtez ; il a dû me charmer. v.1451 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Est-ce séduction que de se faire aimer ? v.1452 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Reprochez-moi plutôt l'ardeur dont je l'enflamme. v.1453 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Oui, monsieur, c'est sur moi que doit tomber le blâme ; v.1454 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- On séduit, quand on plaît sans l'avoir mérité. v.1455 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Qu'il use, contre lui, de sa sévérité. v.1456 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Se donner sur la foi d'un pareil mariage, v.1458 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Est un vol que l'on fait à ceux dont on dépend ? v.1459 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- L'amour rend, comme un autre, un sage inconséquent. v.1460 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Il ne m'a point ravie à ceux dont je suis née, v.1461 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Dès ma plus tendre enfance ils m'ont abandonnée ; v.1462 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Il savait que je puis disposer de mon sort ; v.1463 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Pourquoi non ? v.1466 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- La Baronne ? v.1468 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Oui, monsieur, elle me veut du bien ; v.1468 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quel soupçon ! v.1470 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Non, monsieur, je ne dois ce nom qu'à sa tendresse. v.1474 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Plus j'y songe... ah ! Grands dieux ! v.1477 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Un rapport enchanteur règne au fond de notre âme. v.1478 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Quels titres sont plus doux, quels biens ont plus d'appas ! v.1479 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Laissez-moi... serait-elle ?... Allons voir de ce pas v.1480 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- La Baronne. v.1481 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Ah ! Mon père, arrêtez, je vous prie ; v.1481 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Puisse le ciel, qui lit dans mon coeur éperdu, v.1487 (Acte 5, scène 4, SAINVILLE)
- Et vous, allez retrouver votre bonne. v.1493 (Acte 5, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Et nous, allons chez La Baronne v.1494 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- La forcer de céder à mon empressement ; v.1495 (Acte 5, scène 4, LE PR?SIDENT)
- Qu'avec tout votre amour, avec tout mon esprit... v.1500 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- La porte du jardin vient d'être condamnée ; v.1502 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Car on a bien pensé que vraisemblablement v.1503 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Enfin, on l'a prévue. v.1505 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Sans se voir, quand on s'aime, on peut se deviner. v.1508 (Acte 5, scène 1, JULIETTE)
- Ah ! Mon père, sans doute, achève la vengeance ! v.1509 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Et La Baronne est-elle aussi d'intelligence ? v.1510 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Ils me l'enlèveront... ma perte est résolue ; v.1513 (Acte 5, scène 1, SAINVILLE)
- Il est vrai : cependant, que faire de son coeur ? v.1520 (Acte 5, scène 2, JULIETTE)
- Allons, tout au plus vite, en avertir Sainville. v.1522 (Acte 5, scène 3, JULIETTE)
- Non, cruelle. v.1524 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Non, entre vous et moi, c'en est fait pour toujours. v.1528 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je supporterai tout, pourvu qu'on nous sépare. v.1529 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous prononcez bien vite un arrêt si barbare. v.1530 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- C'est qu'il est dans mon coeur. v.1531 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Non, ce faux désespoir vous avancera peu. v.1532 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Eh ! De quels sentiments suis-je donc animée ? v.1534 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- D'un zèle amer, toujours trop inconsidéré, v.1535 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Et qui vient de m'ôter le bonheur de ma vie. v.1537 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Dans toutes vos raisons je ne veux plus entrer. v.1539 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Quelle fatalité nous a fait rencontrer ! v.1540 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Connaît si je vous aime. Hélas ! Jusqu'à ce jour, v.1543 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Qu'ai-je fait qui ne serve à prouver mon amour, v.1544 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Pourquoi vous êtes-vous subordonné mon sort ? v.1548 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Eh ! Non, il ne l'est pas... Ah ! Ma chère Angélique ! v.1550 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Au fond de votre coeur, qui ne peut se trahir, v.1555 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je ne vous conçois pas. v.1557 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous êtes étonnée v.1557 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Je m'étais à jamais condamnée à me taire : v.1561 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Quel est donc ce secret ? v.1564 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Que vous connaissiez ceux à qui je dois le jour. v.1567 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Un généreux trépas m'avait ravi mon père, v.1569 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Vous a-t-elle en mourant laissé tout son pouvoir ? ... v.1572 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Achevez donc. v.1575 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ô bonheur inouï ! v.1576 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Je vous pardonne tout. Ah ! Ciel ! Quelle est ma joie ! v.1577 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ma bonne, absolument il faut que je la voie ? v.1578 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Lui pardonnerez-vous son état et le vôtre ? v.1581 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Couronne tous les biens que j'ai reçus de vous. v.1584 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ah ! Ciel ! Mais quel remords vient déchirer mon coeur ! v.1587 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- Ma fille, oublions tout. Je crains qu'on ne m'entende ; v.1589 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Cachons notre secret, je vous le recommande. v.1590 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- M'en croirez-vous ? Laissons régner ici la paix. v.1591 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Vous voyez notre état ; renoncez pour jamais v.1592 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Dans le sein de l'oubli, cherchons un sort plus doux ; v.1595 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Abandonnons le monde, il n'est pas fait pour nous. v.1596 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Qui pourra garantir mon âme trop séduite. v.1598 (Acte 5, scène 4, ANGELIQUE)
- De La Baronne, enfin, vous n'avez plus besoin. v.1600 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Un parent éloigné, dont j'étais héritière, v.1601 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Nous jouissons d'un bien qui sera suffisant v.1604 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Pour vivre, loin du monde, en une aisance honnête. v.1605 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Partons secrètement, que rien ne nous arrête ; v.1606 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Et, pour nous dérober, allons tout préparer. v.1607 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Nous ne saurions trop tôt quitter cette demeure. v.1609 (Acte 5, scène 4, LA GOUVERNANTE)
- Quel contre-temps funeste ! v.1614 (Acte 5, scène 5, LA GOUVERNANTE)
- Cruelle ! Il est donc vrai que vous lui pardonnez ! v.1615 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- À ses séductions vous vous abandonnez ! v.1616 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Madame... dites-vous... elle aurait ce bonheur ? v.1620 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Eh ! Madame, d'où vient cette opposition ? v.1623 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Je ne reconnais point de disproportion ; v.1624 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- La nature et l'amour ne l'ont jamais admise. v.1625 (Acte 5, scène 5, SAINVILLE)
- Nous ne nous verrons plus, recevez mes adieux. v.1631 (Acte 5, scène 5, ANGELIQUE)
- Ah ! Madame ! Ah ! Mon père ! v.1633 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Votre indiscrétion. v.1635 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Madame, c'est vous qui voulez mon trépas. v.1636 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Arrêtez donc leurs pas ; v.1639 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Mais un père cruel n'y consentira pas. v.1640 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
- Nos enfants n'ont jamais su nous rendre justice. v.1642 (Acte 5, scène 6, LE PRÉSIDENT)
- Madame, épargnons-nous des discours superflus. v.1643 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Nous nous connaissons tous, ne dissimulons plus ; v.1644 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- J'ai voulu réparer les maux dont je suis cause ; v.1646 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Vos refus m'ont porté le poignard dans le sein : v.1647 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- C'en est fait si mon sang ne s'associe au vôtre. v.1650 (Acte 5, scène 6, LE PR?SIDENT)
- Ma mère, il y consent. v.1652 (Acte 5, scène 6, ANGELIQUE)
- Si nous fuyons, ce n'est que par reconnaissance. v.1653 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Mais dois-je consentir qu'il perde sa fortune ? v.1657 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Ils auront tout mon bien, je l'assure à tous deux ; v.1660 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Ils seront mes enfants, ils sont dignes de l'être. v.1661 (Acte 5, scène 6, LA BARONNE)
- Monsieur, qu'ils soient heureux ; vous en êtes le maître. v.1662 (Acte 5, scène 6, LA GOUVERNANTE)
- Ah ! Quel bonheur ! La vie, au prix de ce bienfait, v.1663 (Acte 5, scène 6, SAINVILLE)
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 2: parser error : Start tag expected, '<' not found in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: LES AVENTURES DU ROI PAUSOLE in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: Entity: line 862: parser error : Extra content at the end of the document in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: </body> in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Warning: simplexml_load_string() [function.simplexml-load-string]: ^ in /htdocs/pages/programmes/rechercheAuteur.php on line 97
Dans les 1930 textes du corpus, il y a 6 textes (soit une présence dans 0,31 % des textes) dans lesquels il y a 4864 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 810,67 occurences par texte.
n° | Titres | Prologue | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | LA FAUSSE ANTIPATHIE | 188 | 181 | 206 | 107 | 0 | 0 | 682 |
2 | AMOUR POUR AMOUR | 135 | 226 | 158 | 109 | 0 | 0 | 628 |
3 | LE PRÉJUGÉ À LA MODE | 0 | 194 | 209 | 181 | 178 | 121 | 883 |
4 | L'ÉCOLE DES MÈRES | 0 | 213 | 218 | 182 | 167 | 153 | 933 |
5 | ÉCOLE DES AMIS | 0 | 164 | 239 | 205 | 179 | 122 | 909 |
6 | LA GOUVERNANTE | 0 | 181 | 216 | 193 | 0 | 239 | 829 |
Total | 323 | 1159 | 1246 | 977 | 524 | 635 | 4864 |