Occurences de l'expression
Temp
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SGANARELLE (1663)
- C'est là qu'en peu de temps on apprend à bien vivre, v.38 (Acte 1, scène 1, GORGIBUS)
- Pendant cet heureux temps, passé comme un éclair, v.83 (Acte 1, scène 2, LA SUIVANTE)
- Puisque si hors de temps son voyage l'arrête, v.94 (Acte 1, scène 2, LA SUIVANTE)
- Déjà depuis longtemps je tâche à le comprendre, v.573 (Acte 1, scène 22, LA SUIVANTE)
- Dès longtemps par moi-même est promise à Lélie, v.647 (Acte 1, scène 24, GORGIBUS)
PSYCHÉ (1673)
- Ce n'est plus le temps de la guerre ; v.1 (Prologue, scène 1, FLORE)
- Ai tenu de tout temps le souverain Empire ; v.108 (Prologue, scène 1, VÉNUS)
- Je vous regardai longtemps, v.245 (Acte 2, scène 1, CIDIPPE)
- C'est un air en tout temps désarmé de rigueurs, v.275 (Acte 2, scène 1, AGLAURE)
- Et l'on n'est plus au temps de ces nobles fiertés, v.281 (Acte 2, scène 1, AGLAURE)
- Suivons, suivons l'exemple, ajustons-nous au temps, v.298 (Acte 2, scène 1, CIDIPPE)
- Qu'autant de temps qu'il peut leur plaire. v.653 (Acte 3, scène 1, PSYCHÉ)
- Qu'il est ainsi qu'ailleurs des méchants dans les temples. v.866 (Acte 3, scène 4, AGENOR)
- Et l'on a reçu de tout temps v.882 (Acte 3, scène 4, PSYCHÉ)
- Il est temps de sortir de cette longue enfance v.964 (Acte 4, scène 1, L'AMOUR)
- Il est temps désormais que je devienne grand. v.966 (Acte 4, scène 1, L'AMOUR)
- Exhale des soupirs si longtemps retenus, v.1084 (Acte 4, scène 3, L'AMOUR)
- Vous le saurez quand il en sera temps : v.1144 (Acte 4, scène 3, L'AMOUR)
- J'ai vu mes temples désertés, v.1600 (Acte 5, scène 5, VÉNUS)
- Et m'en a-t-il donné ni le temps, ni le lieu, v.1643 (Acte 5, scène 5, PSYCHÉ)
- Mes temples violés, v.1900 (Acte 6, scène 5, VÉNUS)
LA PRINCESSE D'ÉLIDE (1665)
- Si de l'amour un temps j'ai bravé la puissance, v.96 (Acte 2, scène 1, EURYALE)
- Est le temps dont Moron, pour déclarer mon feu, v.198 (Acte 2, scène 1, EURYALE)
- C'est un sot passe-temps que je ne puis souffrir. v.235 (Acte 2, scène 2, MORON)
- Il fallait affecter ce contre-temps de chasse v.240 (Acte 2, scène 2, MORON)
- De temps pour lui parler qui fût selon mon gré : v.287 (Acte 2, scène 2, MORON)
- Ma mère, dans son temps, passait pour assez belle, v.304 (Acte 2, scène 2, MORON)
- Et que durant ce temps il avait l'avantage v.312 (Acte 2, scène 2, MORON)
- Certes avec le temps j'aurais bien profité v.342 (Acte 2, scène 3, LA PRINCESSE)
- Vos retraites ici me semblent hors de temps, v.404 (Acte 4, scène 1, AGLANTE)
- J'ai bravé ses armes assez longtemps, et fait de mon drôle comme un autre ; mais enfin ma fierté a baissé l'oreille, et vous avez une traîtresse qui m'a rendu plus doux qu'un agneau : après cela on ne doit plus faire aucun scrupule d'aimer, et puisque j'ai bien passé par là, il peut bien y en passer d'autres. (Acte 4, scène 2, MORON)
- Satyre mon ami, tu sais bien ce que tu m'as promis il y a longtemps, apprends-moi à chanter, je te prie ? (Acte 5, scène 2, MORON)
- Elle est adorable en tout temps, il est vrai : mais ce moment l'a emporté sur tous les autres, et des grâces nouvelles ont redoublé l'éclat de ses beautés. (Acte 6, scène 2, EURYALE)
- Madame il y a longtemps que nous nous connaissons. (Acte 6, scène 3, MORON)
- Seigneur, je vous donne avis que tout va bien : la Princesse souhaite que vous l'abordiez : mais songez bien à continuer votre rôle, et de peur de l'oublier ne soyez pas longtemps avec elle. (Acte 6, scène 4, MORON)
- Il y a longtemps que tes yeux me parlent ; mais je suis plus aise d'ouïr ta voix. (Acte 7, scène 1, PHILIS)
- Va, va, c'est déjà quelque chose que de toucher l'oreille, et le temps amène tout. (Acte 7, scène 1, PHILIS)
- Par le printemps vous est rendue : v.458 (Acte 7, scène 2, TIRCIS)
- Je le suis, à la vérité, et j'admire, Madame, comme le Ciel a pu former deux âmes aussi semblables en tout que les nôtres : deux âmes en qui l'on ait vu une plus grande conformité de sentiments, qui aient fait éclater, dans le même temps une résolution à braver les traits de l'Amour, et qui dans le même moment aient fait paraître une égale facilité à perdre le nom d'insensibles : car enfin, Madame, puisque votre exemple m'autorise, je ne feindrai point de vous dire que l'amour aujourd'hui s'est rendu maître de mon coeur, et qu'une des Princesses, vos cousines, l'aimable et belle Aglante, a renversé d'un coup d'oeil tous les projets de ma fierté. (Acte 8, scène 1, EURYALE)
- C'est un étourdi, et vous êtes un peu trop crédule, Prince, d'ajouter foi si promptement à ce qu'il vous a dit ; une pareille nouvelle mériterait bien, ce me semble, qu'on en doutât un peu de temps, et c'est tout ce que vous pourriez faire de la croire, si je vous l'avais dite moi-même. (Acte 8, scène 4, LA PRINCESSE)
- Donnez-moi le temps d'y songer, je vous prie, et m'épargnez un peu la confusion où je suis. (Acte 10, scène 2, LA PRINCESSE)
LE MÉDECIN MALGRÉ LUI (1668)
- Et que veux-tu pendant ce temps, que je fasse avec ma famille [?] (Acte 1, scène 1, MARTINE)
- Ce sont petites choses qui sont, de temps, en temps, nécessaires dans l'amitié : et cinq ou six coups de bâton, entre gens qui s'aiment, ne font que ragaillardir l'affection. (Acte 1, scène 2, SGANARELLE)
- La mort n'a pas toujours les oreilles ouvertes aux voeux et aux prières de Messieurs les héritiers : et l'on a le temps d'avoir les dents longues, lorsqu'on attend, pour vivre, le trépas de quelqu'un. (Acte 2, scène 1, GÉRONTE)
- Et le compère Biarre, a marié sa fille Simonette, au gros Thomas, pour un quarquié de vaigne qu'il avait davantage que le jeune Robin, où alle avait bouté son amiquié : et velà que la pauvre creiature en est devenue jaune comme un coing, et n'a point profité tout depuis ce temps-là. (Acte 2, scène 1, JACQUELINE)
- Monsieur, il y a longtemps que je vous attends : et je viens implorer votre assistance. (Acte 2, scène 5, LÉANDRE)
- D'autant que l'incongruité des humeurs opaques, qui se rencontrent au tempérament naturel des femmes, étant cause que la partie brutale veut toujours prendre empire sur la sensitive, on voit que l'inégalité de leurs opinions, dépend du mouvement oblique, du cercle de la Lune : et comme le soleil qui darde ses rayons sur la concavité de la terre, trouve... (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
- Vous perdez le temps. (Acte 3, scène 6, LUCINDE)
- Vous voyez que l'ardeur qu'elle a pour ce Léandre est tout à fait contraire aux volontés du père, qu'il n'y a point de temps à perdre, que les humeurs sont fort aigries, et qu'il est nécessaire de trouver promptement un remède à ce mal, qui pourrait empirer par le retardement. (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
- Allez-vous en lui faire faire un petit tour de jardin, afin de préparer les humeurs, tandis que j'entretiendrai ici son père : mais surtout, ne perdez point de temps. (Acte 3, scène 6, SGANARELLE)
- Mais il perdra son temps. (Acte 3, scène 7, GÉRONTE)
GEORGE DANDIN (1669)
- Quoi écouter impudemment l'amour d'un Damoiseau, et y promettre en même temps de la correspondance ! (Acte 1, scène 3, GEORGE DANDIN)
- Et j'ai eu un aïeul Bertrand de Sotenville, qui fut si considéré en son temps, que d'avoir permission de vendre tout son bien pour le voyage d'outre-mer. (Acte 1, scène 5, MONSIEUR DE SOTENVILLE)
- Essayez un peu par plaisir à m'envoyer des ambassades, à m'écrire secrètement de petits billets doux, à épier les moments que mon mari n'y sera pas, ou le temps que je sortirai pour me parler de votre amour. (Acte 1, scène 6, ANGÉLIQUE)
- Mais je vous connais il y a longtemps, et vous êtes une déssalée. (Acte 1, scène 6, GEORGE DANDIN)
- Oui, oui, il sera temps. (Acte 2, scène 1, CLAUDINE)
- Mon mari ronfle comme il faut, et j'ai pris ce temps pour nous entretenir ici. (Acte 3, scène 2, ANGÉLIQUE)
- Il est temps de se retirer. (Acte 3, scène 5, ANGÉLIQUE)
- Madame, puis-je assez vous entretenir, et trouver en si peu de temps toutes les paroles dont j'ai besoin ? (Acte 3, scène 5, CLITANDRE)
- Que j'ai pris le temps de sortir pendant que vous dormiez, et que cette sortie est un rendez-vous que j'avais donné à la personne que vous dites. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
- On ne s'avise plus de se tuer soi-même, et la mode en est passée il y a longtemps. (Acte 3, scène 6, GEORGE DANDIN)
L'ÉCOLE DES MARIS (1661)
- De venir du beau temps respirer la douceur : v.86 (Acte 1, scène 2, LÉONOR)
- Ce sont choses, pour moi, que je tiens de tout temps, v.189 (Acte 1, scène 2, ARISTE)
- Les sottises du temps ne blessent point mes yeux. v.278 (Acte 1, scène 3, SGANARELLE)
- Là, tous les passe-temps de nos filles se bornent... v.280 (Acte 1, scène 3, SGANARELLE)
- À quoi donc passez-vous le temps ? v.300 (Acte 1, scène 3, VALERE)
- Ne perdons point de temps, c'est ici, qui va là ? v.369 (Acte 2, scène 2, SGANARELLE)
- Il ne tiendra qu'à vous que je sois à vous bientôt, et j'attends seulement que vous m'ayez marqué les intentions de votre amour, pour vous faire savoir la résolution que j'ai prise ; mais surtout songez que le temps presse, et que deux coeurs qui s'aiment doivent s'entendre à demi-mot. (Acte 2, scène 5, VALERE)
- Et trop longtemps languir dans ces rudes tourments, v.750 (Acte 2, scène 9, ISABELLE)
- Tu ne languiras pas longtemps, je t'en réponds, v.770 (Acte 2, scène 9, SGANARELLE)
- Le temps presse, il fait nuit, allons, sans crainte aucune, v.807 (Acte 3, scène 1, ISABELLE)
- Bonsoir, car tout d'un temps, je vais me renfermer. v.882 (Acte 3, scène 2, ISABELLE)
LE DÉPIT AMOUREUX (1663)
- Montre depuis un temps trop de tranquillité ; v.28 (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
- Au temple, au cours, chez vous, ni dans la grande place. v.89 (Acte 1, scène 2, MARINETTE)
- Ne parlons point de mort, ce n'en est pas le temps. v.159 (Acte 1, scène 2, MARINETTE)
- Il est vrai, j'ai tardé trop longtemps v.168 (Acte 1, scène 2, ÉRASTE)
- Il n'est pas temps encore : et ce coeur qui soupire v.407 (Acte 2, scène 1, ASCAGNE)
- Qu'elle ne peut longtemps éviter d'être sue [?] v.468 (Acte 2, scène 1, FROSINE)
- Il n'est pas encore temps ; mais c'est une personne v.531 (Acte 2, scène 2, ASCAGNE)
- Il n'aura pas sujet d'en triompher longtemps ; v.618 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
- Et choisis mal ton temps pour de telles saillies ! v.628 (Acte 2, scène 4, LUCILE)
- Mon coeur depuis longtemps souffre bien le supplice, v.656 (Acte 2, scène 5, ALBERT)
- Depuis longtemps j'écoute, il est bien raisonnable v.747 (Acte 2, scène 6, MÉTAPHRASTE)
- Quelque tempête va renverser mes desseins, v.815 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- Se peut cacher longtemps avec difficulté ! v.820 (Acte 3, scène 3, ALBERT)
- Il faut qu'un peu de temps remette son esprit : v.904 (Acte 3, scène 5, POLYDORE)
- Toujours serez-vous lors à temps pour me tuer, v.971 (Acte 3, scène 7, MASCARILLE)
- On voit une tempête en forme de bourrasque, v.1282 (Acte 4, scène 2, GROS-RENÉ)
- Mon âme saignera longtemps de cette plaie, v.1310 (Acte 4, scène 3, ÉRASTE)
- Je n'ai pas eu le temps de vous pouvoir répondre ; v.1465 (Acte 5, scène 1, MASCARILLE)
- Vous savez de tout temps que je suis un bon frère. v.1541 (Acte 5, scène 3, LA RAPIERE)
- On ne meurt qu'une fois,;et c'est pour si longtemps ! v.1571 (Acte 5, scène 3, MASCARILLE)
- Ayant depuis longtemps concerté son dessein, v.1588 (Acte 5, scène 4, FROSINE)
- Et je vois qu'il est temps de te tirer d'erreur. v.1736 (Acte 5, scène 8, POLYDORE)
LE TARTUFFE (1669)
- Oui ; mais pourquoi sur tout, depuis un certain temps, v.79 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Ce sont là les retours des coquettes du temps. v.131 (Acte 1, scène 1, DORINE)
- Et qu'il fera beau temps quand j'y mettrai le pied. v.168 (Acte 1, scène 1, MADAME PERNELLE)
- Et depuis ce temps-là, tout semble y prospérer. v.300 (Acte 1, scène 5, ORGON)
- Reconnu, de tout temps, un esprit assez doux ; v.432 (Acte 2, scène 1, ORGON)
- Et de tout temps aussi vous m'avez été chère. v.433 (Acte 2, scène 1, ORGON)
- Par son trop peu de soin des choses temporelles, v.489 (Acte 2, scène 2, ORGON)
- En attrapant du temps, à tout on remédie. v.801 (Acte 2, scène 4, DORINE)
- N'étouffe pas en nous l'amour des temporelles. v.934 (Acte 3, scène 3, TARTUFFE)
- Que si vous contemplez d'une âme un peu bénigne, v.981 (Acte 3, scène 3, TARTUFFE)
- Le fourbe, trop longtemps, a gouverné mon père, v.1041 (Acte 3, scène 4, DAMIS)
- L'erreur trop longtemps dure, v.1349 (Acte 4, scène 3, ELMIRE)
- Et vous ne donnez pas le temps de respirer ? v.1472 (Acte 4, scène 5, ELMIRE)
- Rentrez sous le tapis, il n'est pas encor temps ; v.1532 (Acte 4, scène 6, ELMIRE)
- J'ai douté fort longtemps que ce fût tout de bon, v.1547 (Acte 4, scène 7, ORGON)
- Vous ne gardez en rien les doux tempéraments. v.1608 (Acte 5, scène 1, CLÉANTE)
- Nous vivons sous un règne, et sommes dans un temps, v.1640 (Acte 5, scène 2, CLÉANTE)
- Et dans le même temps, le perfide, l'infâme, v.1649 (Acte 5, scène 3, ORGON)
- On vous donne du temps, v.1780 (Acte 5, scène 4, LOYAL)
- Le fourbe, qui longtemps a pu vous imposer, v.1835 (Acte 5, scène 6, VALERE)
- Ne perdons point de temps, le trait est foudroyant, v.1851 (Acte 5, scène 6, VALERE)
- Pour vous en rendre grâce, il faut un autre temps ; v.1856 (Acte 5, scène 6, ORGON)
L'AMOUR MÉDECIN (1666)
- Pour moi, je ne ferais point tant de façon, et je la marierais fort bien, et le plus tôt que je pourrais, avec cette personne qui vous la fit, dit-on, demander il y a quelque temps. (Acte 2, scène 1, AMINTE)
- C'est pourquoi il s'agit de raisonner auparavant comme il faut, de peser mûrement les choses, de regarder le tempérament des gens, d'examiner les causes de la maladie, et de voir les remèdes qu'on y doit apporter. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR-BAHYS)
- Et comme ces humeurs ont été là engendrées par une longue succession de temps ; elles s'y sont recuites, et ont acquis cette malignité, qui fume vers la région du cerveau. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR-BAHYS)
LES FÂCHEUX (1662)
- Quittez pour quelque temps votre forme ordinaire, v.22 (Prologue, scène 1, NAÏADE)
- Et s'est, devers la fin, levé longtemps d'avance ; v.98 (Acte 1, scène 1, ÉRASTE)
- Et je trouve avec toi des passe-temps plus doux. v.128 (Acte 1, scène 1, ?RASTE)
- Non sans avoir longtemps gémi d'un tel martyre, v.142 (Acte 1, scène 1, ?RASTE)
- Il donne temps aux chiens d'aller loin : j'en enrage, v.605 (Acte 2, scène 6, DORANTE)
- Monsieur, le temps répugne à l'honneur de vous voir. v.655 (Acte 3, scène 2, CARITIDES)
- Eh bien ! Vous le pouvez, et prendre votre temps. v.695 (Acte 3, scène 2, ÉRASTE)
- J'aurais dans d'autres temps bien ri de sa sottise... v.721 (Acte 3, scène 2, ÉRASTE)
- Voyez quel contretemps prend ici leur visite ! v.778 (Acte 3, scène 3, ÉRASTE)
- Ma haine, trop longtemps, vous a fait injustice ; v.846 (Acte 3, scène 5, DAMIS)
LES FEMMES SAVANTES (1672)
- Qui le rend en tout temps si content de soi-même, v.256 (Acte 1, scène 3, CLITANDRE)
- Depuis assez longtemps vous connaissez Clitandre ? v.336 (Acte 2, scène 2, ARISTE)
- On en a pour huit jours d'effroyable tempête. v.672 (Acte 2, scène 9, CHRYSALE)
- C'est souffrir trop longtemps, v.709 (Acte 2, scène 9, CHRYSALE)
- Ces jouets éternels des sots de tous les temps ; v.947 (Acte 3, scène 2, PHILAMINTE)
- Ce n'en est plus la mode ; elle sent son vieux temps. v.1039 (Acte 3, scène 3, TRISSOTIN)
- Depuis assez longtemps mon âme s'inquiète? v.1082 (Acte 3, scène 4, PHILAMINTE)
- J'ai donc cherché longtemps un biais de vous donner v.1099 (Acte 3, scène 4, PHILAMINTE)
- S'est-il donné le temps d'en recevoir la loi, v.1156 (Acte 4, scène 1, ARMANDE)
- Il n'est plus temps, Madame, une autre a pris la place ; v.1273 (Acte 4, scène 2, CLITANDRE)
- Cette réflexion vous vient en peu de temps ! v.1746 (Acte 5, scène 4, PHILAMINTE)
- Qu'on s'en repent après tout le temps de sa vie. v.1808 (Acte 5, scène 4, BÉLISE)
L'AVARE (1669)
- Ne m'assassinez point, je vous prie, par les sensibles coups d'un soupçon outrageux ; et donnez-moi le temps de vous convaincre, par mille et mille preuves, de l'honnêteté de mes feux. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Je me représente à toute heure ce péril étonnant qui commença de nous offrir aux regards l'un de l'autre ; cette générosité surprenante, qui vous fit risquer votre vie, pour dérober la mienne à la fureur des ondes ; ces soins pleins de tendresse que vous me fîtes éclater après m'avoir tirée de l'eau ; et les hommages assidus de cet ardent amour, que ni le temps, ni les difficultés, n'ont rebuté, et qui, vous faisant négliger et parents et patrie, arrête vos pas en ces lieux, y tient en ma faveur votre fortune déguisée, et vous a réduit, pour me voir, à vous revêtir de l'emploi de domestique de mon père. (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
- Prenez ce temps pour lui parler ; et ne lui découvrez de notre affaire, que ce que vous jugerez à propos. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Et que nous servira d'avoir du bien, s'il ne nous vient que dans le temps que nous ne serons plus dans le bel âge d'en jouir ? (Acte 1, scène 2, CLÉANTE)
- Je fais chercher partout pour ce dessein de l'argent à emprunter ; et si vos affaires, ma soeur, sont semblables aux miennes, et qu'il faille que notre père s'oppose à nos désirs, nous le quitterons là tous deux et nous affranchirons de cette tyrannie où nous tient depuis si longtemps son avarice insupportable. (Acte 1, scène 2, CL?ANTE)
- Y a-t-il longtemps que vous êtes là ? (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
- Et je ne me plaindrais pas, comme je fais, que le temps est misérable. (Acte 1, scène 4, HARPAGON)
- Mais elle pourrait vous dire que c'est un peu précipiter les choses, et qu'il faudrait au moins quelque temps pour voir si son inclination pourra s'accommoder avec... (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
- Heurter de front ses sentiments est le moyen de tout gâter ; et il y a de certains esprits qu'il ne faut prendre qu'en biaisant ; des tempéraments ennemis de toute résistance ; des naturels rétifs, que la vérité fait cabrer, qui toujours se raidissent contre le droit chemin de la raison, et qu'on ne mène qu'en tournant où l'on veut les conduire. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
- Plus, un trou-madame, et un damier, avec un jeu de l'oie renouvelé des Grecs, fort propres à passer le temps lorsque l'on n'a que faire. (Acte 2, scène 1, LA FLÈCHE)
- Il n'est point de partis au monde, que je ne trouve en peu de temps le moyen d'accoupler ; et je crois, si je me l'étais mis en tête, que je marierais le Grand Turc avec la République de Venise. (Acte 2, scène 5, FROSINE)
- Il n'y a que ma fluxion, qui me prend de temps en temps. (Acte 2, scène 5, HARPAGON)
- L'un dit que vous faites imprimer des almanachs particuliers, où vous faites doubler les quatre-temps et les vigiles, afin de profiter des jeûnes où vous obligez votre monde. (Acte 3, scène 1, MAÎTRE JACQUES)
- L'autre, que vous avez toujours une querelle toute prête à faire à vos valets dans le temps des Étrennes, ou de leur sortie d'avec vous, pour vous trouver une raison de ne leur donner rien. (Acte 3, scène 1, MA?TRE JACQUES)
- Le temps le rendra plus sage, et vous verrez qu'il changera de sentiments. (Acte 3, scène 7, HARPAGON)
- Non, il vaut mieux que de ce pas nous allions à la Foire, afin d'en revenir plus tôt, et d'avoir tout le temps ensuite de vous entretenir. (Acte 3, scène 7, FROSINE)
- Pour ne vous point mettre en colère, je la garde maintenant ; et je prendrai un autre temps pour vous la rendre. (Acte 3, scène 7, MARIANE)
- Assez, pour le temps qu'il y a. (Acte 4, scène 3, CLÉANTE)
- Il faut, qui que ce soit qui ait fait le coup, qu'avec beaucoup de soin on ait épié l'heure ; et l'on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître de fils. (Acte 4, scène 7, HARPAGON)
- Ne vous laissez point entraîner aux premiers mouvements de votre passion, et donnez-vous le temps de considérer ce que vous voulez faire. (Acte 5, scène 4, ÉLISE)
- Prenez la peine de mieux voir celui dont vous vous offensez : il est tout autre que vos yeux ne le jugent ; et vous trouverez moins étrange que je me sois donnée à lui, lorsque vous saurez que sans lui vous ne m'auriez plus il y a longtemps. (Acte 5, scène 4, ?LISE)
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LE MISANTHROPE (1667)
- Puisque vous y donnez, dans ces vices du temps, v.59 (Acte 1, scène 1, ALCESTE)
- Et qu'un si grand courroux contre les moeurs du temps. v.107 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
- Mon_Dieu, des moeurs du temps, mettons-nous moins en peine, v.145 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
- Il faut fléchir au temps, sans obstination ; v.156 (Acte 1, scène 1, PHILINTE)
- De ces vices du temps pourra purger son âme. v.234 (Acte 1, scène 1, ALCESTE)
- Et que, depuis longtemps, cette estime m'a mis v.255 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Souffrons, donc, que le temps forme des noeuds si doux. v.287 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Voyons, Monsieur, le temps ne fait rien à l'affaire. v.314 (Acte 1, scène 2, ALCESTE)
- Je lui mettais aux yeux comme, dans notre temps, v.359 (Acte 1, scène 2, ALCESTE)
- Le beau temps et la pluie, et le froid, et le chaud, v.611 (Acte 2, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Et qu'en n'approuvant rien des ouvrages du temps, v.643 (Acte 2, scène 4, CÉLIMÈNE)
- Qu'on doit se regarder soi-même un fort long temps. v.951 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
- L'âge amènera tout, et ce n'est pas le temps, v.983 (Acte 3, scène 4, CÉLIMÈNE)
- De souffrir plus longtemps, le tort que l'on vous fait : v.1108 (Acte 3, scène 5, ARSINOÉ)
- Ah ! Ne plaisantez point, il n'est pas temps de rire, v.1286 (Acte 4, scène 3, ALCESTE)
- Mais vous perdez le temps, et tous vos beaux discours : v.1572 (Acte 5, scène 1, ALCESTE)
- Pour le petit Marquis, qui me tint hier, longtemps la main, je trouve qu'il n'y a rien de si mince que toute sa personne ; et ce sont de ces mérites qui n'ont que la cape et l'épée. (Acte 5, scène 4, ACASTE)
- Où le vice du temps porte votre jeunesse, v.1764 (Acte 5, scène 4, ALCESTE)
- De vous, depuis longtemps, je fais un cas extrême, v.1791 (Acte 5, scène 4, ALCESTE)
L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)
- De tout temps votre langue a daubé d'importance, v.68 (Acte 1, scène 1, CHRYSALDE)
- Héroïnes du temps, Mesdames les Savantes, v.244 (Acte 1, scène 3, ARNOLPHE)
- Afin que dans ce temps la bile se tempère, v.451 (Acte 2, scène 4, ARNOLPHE)
- Et dans tous vos attraits longtemps vous maintenir. v.506 (Acte 2, scène 5, AGNES)
- Contempler la bassesse où vous avez été, v.681 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
- Et dans le même temps admirer ma bonté, v.682 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
- Pour être libertine et prendre du bon temps. v.698 (Acte 3, scène 2, ARNOLPHE)
- Des promenades du temps, v.796 (Acte 3, scène 2, AGNES)
- Y perdent sottement les deux tiers de leur temps. v.851 (Acte 3, scène 4, ARNOLPHE)
- Poussant de temps en temps des soupirs pitoyables, v.1156 (Acte 4, scène 6, HORACE)
- Ne me donnera pas le temps de respirer, v.1183 (Acte 4, scène 7, ARNOLPHE)
- Contempler des maris les tristes destinées, v.1189 (Acte 4, scène 7, ARNOLPHE)
- Dont l'imprudent chagrin qui tempête et qui gronde, v.1264 (Acte 4, scène 8, CHRYSALDE)
- Car dans le temps qu'il faut j'ouvrirai la fenêtre, v.1336 (Acte 4, scène 9, ARNOLPHE)
- Que j'avais commandé qu'on fît choir la tempête. v.1357 (Acte 5, scène 1, ARNOLPHE)
- Mais nous prendrons le temps d'apaiser sa colère. v.1421 (Acte 5, scène 2, HORACE)
- La belle raisonneuse, est-ce qu'un si long temps v.1546 (Acte 5, scène 4, ARNOLPHE)
- Vois ce regard mourant, contemple ma personne, v.1588 (Acte 5, scène 4, ARNOLPHE)
- S'il pouvait m'arriver un contretemps plus rude ; v.1633 (Acte 5, scène 6, HORACE)
- Et d'abord sans vouloir plus longtemps les ouïr ; v.1639 (Acte 5, scène 6, HORACE)
- Et dans ce temps le sort lui déclarant la guerre, v.1744 (Acte 5, scène 9, CHRYSALDE)
LA JALOUSIE DU BARBOUILLÉ (1650)
- Il faut que tu sois bien mal appris, bien lourdaud, et bien mal morigéné, mon ami, puisque tu m'abordes sans ôter ton chapeau, sans observer rationem loci, temporis et personae. (Acte 1, scène 2, LE DOCTEUR)
- Le voilà venu : je m'étonnais bien si nous aurions longtemps du repos. (Acte 1, scène 4, CATHAU)
- Je ne crois pas que vous soyez homme à me tenir longtemps, puisque je vous en prie. (Acte 1, scène 6, LE DOCTEUR)
- Et d'où venez-vous, Madame la carogne, à l'heure qu'il est, et par le temps qu'il fait ? (Acte 1, scène 11, LE BARBOUILLÉ)
LE MÉDECIN VOLANT (1659)
- Sans perdre de temps, je la vais trouver de ce pas. (Acte 1, scène 10, VALERE)
LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS (1689)
- C'est trop longtemps, Iris, me mettre à la torture : v.1 (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- Oui, mais vous ne considérez pas que le jeu qui vous divertit tient mon coeur au supplice, et qu'on n'est point capable de se jouer longtemps, lorsqu'on a dans l'esprit une passion aussi sérieuse, que celle que je sens pour vous. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- Il est cruel, belle Julie, que cet amusement dérobe à mon amour un temps qu'il voudrait employer à vous expliquer son ardeur ; et cette nuit j'ai fait là-dessus quelques vers, que je ne puis m'empêcher de vous réciter, sans que vous me le demandiez, tant la démangeaison de dire ses ouvrages est un vice attaché à la qualité de poète. (Acte 1, scène 1, LE VICOMTE)
- Je veux dire que je ne trouve point étrange que vous vous rendiez au mérite de Monsieur le Vicomte : vous n'êtes pas la première femme qui joue dans le monde de ces sortes de caractères, et qui ait auprès d'elle un Monsieur le Receveur, dont on lui voit trahir et la passion, et la bourse pour le premier venu qui lui donnera dans la vue ; mais ne trouvez point étrange aussi que je ne sois point la dupe d'une infidélité si ordinaire aux coquettes du temps, et que je vienne vous assurer devant bonne compagnie que je romps commerce avec vous, et que Monsieur le Receveur ne sera plus pour vous Monsieur le Donneur. (Acte 1, scène 8, MONSIEUR HARPIN)
L'ÉTOURDI (1663)
- Et dans un autre temps, dès le moindre courroux, v.21 (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
- Dieu sait quelle tempête alors éclatera, v.45 (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
- Laissez-moi quelque temps rêver à cette affaire. v.75 (Acte 1, scène 2, MASCARILLE)
- Profitons mieux du temps, et sachons vite d'elle v.123 (Acte 1, scène 3, MASCARILLE)
- Vous êtes si fertile en pareils contre-temps, v.193 (Acte 1, scène 4, MASCARILLE)
- N'avoir pas seulement le temps d'être malade ! v.502 (Acte 2, scène 2, ANSELME)
- Las ! En si peu de temps ! Il vivait ce matin ! v.535 (Acte 2, scène 3, ANSELME)
- En peu de temps parfois on fait bien du chemin. v.536 (Acte 2, scène 3, MASCARILLE)
- Et contre eux de tout temps a de mauvais desseins. v.540 (Acte 2, scène 3, ANSELME)
- Tu m'as plu de tout temps, et je souhaitais fort v.742 (Acte 2, scène 7, LÉANDRE)
- Jusqu'au temple, en marchant je pourrai vous l'apprendre. v.783 (Acte 2, scène 8, HIPPOLITE)
- N'eut en si peu de temps plus triste événement. v.834 (Acte 2, scène 10, MASCARILLE)
- Monsieur, j'ai perdu temps, votre homme se dédit. v.937 (Acte 3, scène 2, MASCARILLE)
- Prendre les contre-temps et rompre les mesures. v.1112 (Acte 3, scène 4, MASCARILLE)
- Contre moi dès longtemps on a force décrets ; v.1142 (Acte 3, scène 4, MASCARILLE)
- Cessons pour quelque temps le cours de nos intrigues v.1148 (Acte 3, scène 4, MASCARILLE)
- Ayant su qu'en ce temps, assez souvent le soir, v.1161 (Acte 3, scène 5, ERGASTE)
- À quelque temps de là se trouvant trépassées, v.1316 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
- Si bien, que les jugeant morts après ce temps-là, v.1325 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
- Et puis, outre cela, le temps et l'esclavage, v.1355 (Acte 4, scène 1, MASCARILLE)
- Et si son précepteur même depuis ce temps, v.1402 (Acte 4, scène , TRUFALDIN)
- Et d'avoir en tout temps une langue indiscrète ; v.1596 (Acte 4, scène 6, MASCARILLE)
- Et me donner le temps qui sera nécessaire, v.1663 (Acte 4, scène 7, MASCARILLE)
- Ô ! Dieu, qu'en peu de temps on a vu d'aventures ! v.1707 (Acte 5, scène 1, MASCARILLE)
- Pour beaucoup plus de temps que je n'eusse auguré, v.1722 (Acte 5, scène 2, ANDRES)
- Je n'ai pour vous rejoindre épargné temps ni peine : v.1723 (Acte 5, scène 2, ANDRES)
- L'ayant de près, au nez, longtemps considérée; v.1936 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
- Cependant que chacune, après cette tempête, v.1951 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
- Ayant sur Trufaldin tenu longtemps la vue ; v.1956 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
- Andrès, ayant changé quelque temps de visage, v.1979 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
- Pourtant, après ce temps, une secrète envie v.1991 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
- Venise pour un temps borna mes courses vaines ; v.1996 (Acte 5, scène 9, MASCARILLE)
LE MARIAGE FORCÉ (1668)
- Quel temps avez-vous demeuré en Angleterre ? (Acte 1, scène 1, GERONIMO)
- Dieu merci, vous êtes venu heureusement pour cela, et je me prépare désormais à me donner du divertissement, et à réparer comme il faut le temps que j'ai perdu. (Acte 1, scène 2, DORIMENE)
- Vous n'en avez point aussi ; et vous savez que sans cela on passe mal le temps au monde ; qu'à quelque prix que ce soit, il faut tâcher d'en avoir. (Acte 1, scène 7, DORIMENE)
- Je vous le garantis défunt dans le temps que je dis ; et je n'aurai pas longuement à demander pour moi au Ciel l'heureux état de veuve. (Acte 1, scène 7, DORIMENE)
- Agréez, Monsieur, que je vous félicite de votre mariage, et vous présente en même temps mes très humbles services. (Acte 1, scène 7, LYCASTE)
- Mais allons, le temps me presse ; et nous aurons tout le loisir de nous entretenir ensemble. (Acte 1, scène 7, DORIMENE)
- Ma foi, quand j'y songe, j'ai fait fort sagement, de me tirer de cette affaire ; et j'allais faire un pas, dont je me serais peut-être longtemps repenti. (Acte 1, scène 8, SGANARELLE)
LE BOURGEOIS GENTILHOMME (1673)
- On m'en apprit un tout à fait joli il y a quelque temps. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
- Mais je ne sais quel temps je pourrai prendre ; car outre le maître d'armes qui me montre, j'ai arrêté encore un maître de philosophie, qui doit commencer ce matin. (Acte 1, scène 2, MONSIEUR JOURDAIN)
- Le chant a été de tout temps affecté aux bergers ; et il n'est guère naturel en dialogue, que des princes, ou des bourgeois, chantent leurs passions. (Acte 1, scène 2, LE MAÎTRE À DANSER)
- Et que j'ai, perdu de temps ! (Acte 2, scène 4, MONSIEUR JOURDAIN)
- J'ai chez moi un garçon, qui pour monter une rhingrave, est le plus grand génie du monde ; et un autre qui, pour assembler un pourpoint, est le héros de notre temps. (Acte 2, scène 5, LE MAÎTRE TAILLEUR)
- Vraiment on n'a pas attendu jusqu'à cette heure, et il y a longtemps que vos façons de faire donnent à rire à tout le monde. (Acte 3, scène 3, MADAME JOURDAIN)
- Ce sera tantôt que vous jouirez à votre aise du plaisir de sa vue, et vos yeux auront tout le temps de se satisfaire. (Acte 3, scène 6, DORANTE)
- J'aurai de la peine, sans doute, à vaincre l'amour que j'ai pour vous ; cela me causera des chagrins : je souffrirai un temps ; mais j'en viendrai à bout, et je me percerai plutôt le coeur, que d'avoir la faiblesse de retourner à vous. (Acte 3, scène 10, CLÉONTE)
- Mon mari vient, prenez vite votre temps pour lui demander Lucile en mariage. (Acte 3, scène 11, MADAME JOURDAIN)
- Monsieur, je n'ai voulu prendre personne pour vous faire une demande que je médite il y a longtemps. (Acte 3, scène 12, CLÉONTE)
- Je n'ai que faire de lunettes, Monsieur, et je vois assez clair ; il y a longtemps que je sens les choses, et je ne suis pas une bête. (Acte 4, scène 2, MADAME JOURDAIN)
- Est-ce un momon que vous allez porter ; et est-il temps d'aller en masque ? (Acte 5, scène 1, MADAME JOURDAIN)
- Il dit que la pluie des prospérités arrose en tout temps le jardin de votre famille ! (Acte 5, scène 4, COVIELLE)
- Bel tempo che vola v.266 (Acte 5, scène 10, LE MUSICIEN ITATIEN)
LE SICILIEN (1668)
- Il y a quelque temps que j'entends chanter à ma porte ; et, sans doute, cela ne se fait pas pour rien. (Acte 1, scène 4, DON PÈDRE)
- Voici une chanson nouvelle, qui est du temps. (Acte 1, scène 7, HALI)
- Allons, rentrons ici, j'ai changé de pensée, et puis le temps se couvre un peu. (Acte 1, scène 8, DON PÈDRE)
- Je me suis rencontré chez le peintre Damon, qui m'a dit, qu'aujourd'hui, il venait faire le portrait de cette adorable personne : et comme il est, depuis longtemps, de mes plus intimes amis, il a voulu servir mes feux, et m'envoie à sa place, avec un petit mot de lettre, pour me faire accepter. (Acte 1, scène 9, ADRASTE)
- Tu sais que, de tout temps, je me suis plu à la peinture, et que, parfois, je manie le pinceau, contre la coutume de France, qui ne veut pas qu'un gentilhomme sache rien faire : ainsi, j'aurai la liberté de voir cette belle à mon aise. (Acte 1, scène 9, ADRASTE)
- Je ne veux point perdre de temps. (Acte 1, scène 9, ADRASTE)
- Lorsqu'on est, une fois, résolu sur la chose, s'arrête-t-on sur le temps ? (Acte 1, scène 12, ISIDORE)
DON GARCIE DE NAVARRE (1682)
- Puisque nos yeux, Madame, ont pu longtemps douter v.17 (Acte 1, scène 1, ÉLISE)
- De rentrer dans ses droits voit le temps arrivé. v.166 (Acte 1, scène 2, DON ALVAR)
- Ce généreux vieillard a cru qu'il était temps v.177 (Acte 1, scène 2, DON ALVAR)
- Mais, Madame, admirez que malgré la tempête v.191 (Acte 1, scène 2, DON ALVAR)
- Prodigieux effet de son tempérament, v.329 (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
- Ces maximes un temps leur peuvent succéder ; v.430 (Acte 2, scène 1, ÉLISE)
- Et rends-toi pour un temps maîtresse du dehors. v.515 (Acte 2, scène 4, DON GARCIE)
- Puisque l'honneur du sexe en tout temps rigoureux, v.806 (Acte 3, scène 1, DONA ELVIRE)
- Il réveille un chagrin qui vient à contre-temps, v.1122 (Acte 4, scène 1, DONA ELVIRE)
- Mais nous avons du Ciel, ou du tempérament, v.1182 (Acte 4, scène 6, ÉLISE)
- Laissez un peu de temps à son ressentiment, v.1210 (Acte 4, scène 6, ÉLISE)
- Et j'admire avec tous, comme en si peu de temps, v.1694 (Acte 5, scène 5, DONA ELVIRE)
- Je ne l'exige pas, Madame, pour longtemps, v.1830 (Acte 5, scène 6, DON GARCIE)
- Mais ici le temps presse, et Léon nous appelle, v.1876 (Acte 5, scène 6, DON SYLVE)
LA CRITIQUE DE L'ÉCOLE DES FEMMES (1663)
- Je ne sais pas de quel tempérament nous sommes ma cousine et moi ; mais nous fûmes avant-hier à la même pièce, et nous en revînmes toutes deux saines et gaillardes. (Acte 1, scène 3, URANIE)
- Et pour la scène d'Alain et de Georgette dans le logis, que quelques-uns ont trouvée longue et froide, il est certain qu'elle n'est pas sans raison, et de même qu'Arnolphe se trouve attrapé pendant son voyage, par la pure innocence de sa maîtresse, il demeure au retour longtemps à sa porte par l'innocence de ses valets, afin qu'il soit partout puni par les choses qu'il a cru faire la sûreté de ses précautions. (Acte 1, scène 6, DORANTE)
LES AMANTS MAGNIFIQUES (1670)
- Et sérieusement parlant, si dans vos actions j'ai bien pu connaître, depuis un temps, la passion que vous voulez tenir secrète, pensez-vous que la princesse Ériphile puisse avoir manqué de lumière pour s'en apercevoir ? (Acte 2, scène 1, CLITIDAS)
- Laissez-moi faire, je suis de vos amis, les gens de mérite me touchent, et je veux prendre mon temps pour entretenir la Princesse de... (Acte 2, scène 1, CLITIDAS)
- Je crois que nous n'y verrons rien que de fort agréable, et certes il faut avouer que la campagne a lieu de nous paraître belle, et que nous n'avons pas le temps de nous ennuyer dans cet agréable séjour qu'ont célébré tous les poètes sous le nom de Tempé. (Acte 2, scène 2, ARISTIONE)
- Voici la Princesse ; prenons mon temps pour l'aborder. (Acte 2, scène 4, CLITIDAS)
- De laisser la Princesse votre mère qui s'en allait vers le temple d'Apollon, accompagnée de beaucoup de gens. (Acte 4, scène 2, CLITIDAS)
- Jusques ici je me suis défendue de m'expliquer, et la Princesse ma mère a eu la bonté de souffrir que j'aie reculé toujours ce choix qui me doit engager ; mais je serai bien aise de témoigner à tout le monde que je veux faire quelque chose pour l'amour de vous, et si vous m'en pressez je rendrai cet arrêt qu'on attend depuis si longtemps. (Acte 4, scène 3, ERIPHILE)
- De tous nos jours fait d'éternels printemps : v.235 (Acte 5, scène 6, BERGERS, BERGERES)
- Cependant vous les faites longtemps languir, sur ce qu'ils attendent de vous. (Acte 6, scène 1, ARISTIONE)
- Ce scrupule, ma Fille, ne doit point vous inquiéter, et ces Princes tous deux se sont soumis il y a longtemps à la préférence que pourra faire votre inclination. (Acte 6, scène 1, ARISTIONE)
- Allons dans le premier temple les assurer de notre obéissance, et leur rendre grâce de leurs bontés. (Acte 8, scène 2, ARISTIONE)
- Il y a longtemps, mon fils, que je prépare cette machine, et me voilà tantôt au but de mes prétentions. (Acte 8, scène 3, ANAXARQUE)
- Je vais prendre mon temps pour affermir dans son erreur l'esprit de la Princesse, pour la mieux prévenir encore par le rapport que je lui ferai voir adroitement des paroles de Vénus, avec les prédictions des figures célestes, que je lui dis que j'ai jetées. (Acte 8, scène 3, ANAXARQUE)
- Va-t'en tenir la main au reste de l'ouvrage, préparer nos six hommes à se bien cacher dans leur barque derrière le rocher ; à posément attendre le temps que la Princesse Aristione vient tous les soirs se promener seule sur le rivage, à se jeter bien à propos sur elle, ainsi que des corsaires, et donner lieu au Prince Iphicrate de lui apporter ce secours, qui sur les paroles du Ciel doit mettre entre ses mains la Princesse Ériphile. (Acte 8, scène 3, ANAXARQUE)
- Madame, je viens vous dire qu'Anaxarque a jusqu'ici abusé, l'un et l'autre Prince, par l'espérance de ce ch[oi]x qu'ils poursuivent depuis longtemps, et qu'au bruit qui s'est répandu de votre aventure, ils ont fait éclater tous deux leur ressentiment contre lui, jusque-là, que de paroles en paroles, les choses se sont échauffées, et il en a reçu quelques blessures dont on ne sait pas bien ce qui arrivera. (Acte 10, scène 3, CLÉONICE)
- Peut-être, Madame, qu'on ne goûtera pas longtemps la joie du mépris que l'on fait de nous. (Acte 10, scène 4, TIMOCLES)
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AMPHITRYON (1668)
- Vous êtes bien du bon temps ! v.125 (Prologue, scène 1, MERCURE)
- Il faut depuis le temps que je suis en chemin, v.272 (Acte 1, scène 2, SOSIE)
- Pour un temps, m'arrache de vous, v.617 (Acte 1, scène 3, JUPITER)
- Nous avons tant de temps ensemble à demeurer. v.637 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
- Et depuis un long temps, nous nous sommes tout dit. v.643 (Acte 1, scène 4, MERCURE)
- Et longtemps d'imposteur, j'ai traité ce moi-même, v.780 (Acte 2, scène 1, SOSIE)
- On mesure le temps en de pareils états, v.869 (Acte 2, scène 2, AMPHITRYON)
- Il n'est ni vin, ni temps qui puisse être fatal, v.1176 (Acte 2, scène 3, CLEANTHIS)
- Je viens prendre le temps de rapaiser Alcmène, v.1197 (Acte 2, scène 4, JUPITER)
- Ce sont des contre-temps, que de telles paroles. v.1329 (Acte 2, scène 6, ALCMÈNE)
- On vante de tout temps les merveilleux effets ; v.1476 (Acte 3, scène 1, AMPHITRYON)
- Que tu grossis pour toi d'effroyables tempêtes ! v.1528 (Acte 3, scène 2, AMPHITRYON)
- C'est donc un perroquet que le beau temps réveille. v.1799 (Acte 3, scène 6, SOSIE)
LE MALADE IMAGINAIRE (1682)
- LOUIS fait à nos temps, par ses faits inouïs, v.87 (Acte 1, scène 6, DORILAS)
- Plus du vingt-huitième, une prise de petit-lait clarifié, et dulcoré, pour adoucir, lénifier, tempérer, et rafraîchir le sang de Monsieur, vingt sols. (Acte 3, scène 1, ARGAN)
- Vous ne m'en donnez pas le temps, et vous avez des soins là-dessus, qu'il est difficile de prévenir. (Acte 3, scène 4, TOINETTE)
- Ma femme, votre belle-mère, avait envie que je vous fisse religieuse, et votre petite soeur Louison aussi ; et de tout temps elle a été aheurtée à cela. (Acte 3, scène 5, ARGAN)
- Voilà un temps fâcheux pour mettre un luth d'accord. (Acte 4, scène 1, POLICHINELLE)
- Les cordes ne tiennent point par ce temps-là. (Acte 4, scène 1, POLICHINELLE)
- On grave sur le marbre bien plus malaisément que sur le sable ; mais les choses y sont conservées bien plus longtemps, et cette lenteur à comprendre, cette pesanteur d'imagination, est la marque d'un bon jugement à venir. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DIAFOIRUS)
- Qu'il possède en un degré louable la vertu prolifique et qu'il est du tempérament qu'il faut pour engendrer et procréer des enfants bien conditionnés. (Acte 3, scène 5, MONSIEUR DIAFOIRUS)
- Il prend soin de les arrêter, ces larmes, qu'il trouve si belles ; et l'aimable Bergère prend soin en même temps de le remercier de son léger service, mais d'une manière si charmante, si tendre, et si passionnée, que le Berger n'y peut résister, et chaque mot, chaque regard, est un trait plein de flamme, dont son coeur se sent pénétré. (Acte 3, scène 5, CLÉANTE)
- Mais dans le même temps on l'avertit que le père de cette belle a conclu son mariage avec un autre, et que tout se dispose pour en célébrer la cérémonie. (Acte 3, scène 5, CL?ANTE)
- Donnez-nous au moins le temps de nous connaître, et de voir naître en nous l'un pour l'autre, cette inclination si nécessaire à composer une union parfaite. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
- Eh mon Père, donnez-moi du temps, je vous prie. (Acte 3, scène 6, ANGÉLIQUE)
- Ce qui marque une intempérie dans le parenchyme splénique, c'est-à-dire la rate. (Acte 3, scène 6, THOMAS DIAFOIRUS)
- Une grande marque que vous vous portez bien, et que vous avez un corps parfaitement bien composé ; c'est qu'avec tous les soins que vous avez pris, vous n'avez pu parvenir encore à gâter la bonté de votre tempérament, et que vous n'êtes point crevé de toutes les médecines qu'on vous a fait prendre. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
- Mon_Dieu, mon Frère, ce sont pures idées, dont nous aimons à nous repaître ; et, de tout temps, il s'est glissé parmi les hommes de belles imaginations, que nous venons à croire, parce qu'elles nous flattent et qu'il serait à souhaiter qu'elles fussent véritables. (Acte 6, scène 3, BÉRALDE)
- Lorsqu'un médecin vous parle d'aider, de secourir, de soulager la nature, de lui ôter ce qui lui nuit, et lui donner ce qui lui manque, de la rétablir, et de la remettre dans une pleine facilité de ses fonctions : lorsqu'il vous parle de rectifier le sang, de tempérer les entrailles, et le cerveau, de dégonfler la rate, de raccommoder la poitrine, de réparer le foie, de fortifier le coeur, de rétablir et conserver la chaleur naturelle, et d'avoir des secrets pour étendre la vie à de longues années ; il vous dit justement le Roman de la Médecine. (Acte 6, scène 3, B?RALDE)
- On ne doit point ainsi se jouer des remèdes, et me faire perdre mon temps. (Acte 6, scène 4, MONSIEUR FLEURANT)
- J'ai à vous dire que je vous abandonne à votre mauvaise constitution, à l'intempérie de vos entrailles, à la corruption de votre sang, à l'âcreté de votre bile, et à la féculence de vos humeurs. (Acte 6, scène 5, MONSIEUR PURGON)
- Mon Frère, il sait tout mon tempérament, et la manière dont il faut me gouverner. (Acte 6, scène 6, ARGAN)
- J'ai lu des choses surprenantes de ces sortes de ressemblances, et nous en avons vu de notre temps où tout le monde s'est trompé. (Acte 6, scène 9, BÉRALDE)
- Je sens de temps en temps des douleurs de tête. (Acte 6, scène 10, ARGAN)
- Je veux vous en envoyer un de ma main, et je viendrai vous voir de temps en temps, tandis que je serai en cette ville. (Acte 6, scène 10, TOINETTE)
- Oui, mais ne la laissez pas longtemps dans le désespoir, car elle en pourrait bien mourir. (Acte 6, scène 11, TOINETTE)
DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE (1682)
- Que ne me dites-vous que des affaires de la dernière conséquence vous ont obligé à partir sans m'en donner avis, qu'il faut que malgré vous vous demeuriez ici quelque temps, et que je n'ai qu'à m'en retourner d'où je viens, assurée que vous suivrez mes pas le plus tôt qu'il vous sera possible : qu'il est certain que vous brûlez de me rejoindre, et qu'éloigné de moi, vous souffrez ce que souffre un corps qui est séparé de son âme ? (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
- Scélérat, c'est maintenant que je te connais tout entier, et pour mon malheur, je te connais lorsqu'il n'en est plus temps, et qu'une telle connaissance ne peut plus me servir qu'à me désespérer ; mais sache que ton crime ne demeurera pas impuni, et que le même Ciel dont tu te joues, me saura venger de ta perfidie. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
- Il ne faut pas que ce coeur m'échappe, et j'y ai déjà jeté des dispositions à ne pas me souffrir longtemps de pousser des soupirs. (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
- Cependant vous voyez, depuis un temps, que le vin émétique fait bruire ses fuseaux. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
- Mais je vous donne avis que vous devez vous tenir sur vos gardes, et que depuis quelque temps il y a des voleurs ici autour. (Acte 3, scène 2, FRANCISQUE)
- On a cet avantage, qu'on fait courir le même risque, et passer mal aussi le temps à ceux qui prennent fantaisie de nous venir faire une offense de gaieté de coeur. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
- Non, vous dis-je, ne perdons point de temps en discours superflus, laissez-moi vite aller, ne faites aucune instance pour me conduire, et songez seulement à profiter de mon avis. (Acte 4, scène 6, DONA ELVIRE)
- J'en repasse dans mon esprit toutes les abominations, et m'étonne comme le Ciel les a pu souffrir si longtemps, et n'a pas vingt fois sur ma tête laissé tomber les coups de sa justice redoutable. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
- Il y a longtemps que j'attendais cela, et voilà, grâce au Ciel, tous mes souhaits accomplis. (Acte 5, scène 2, SGANARELLE)
- Hélas point du tout, c'est un dessein que votre soeur elle-même a pris, elle a résolu sa retraite, et nous avons été touchés tous deux en même temps. (Acte 5, scène 3, DON JUAN)
DON JUAN (1683)
- Que ne me dites vous que des affaires de la dernière conséquence vous ont obligé à partir sans m'en donner avis, qu'il faut que malgré vous vous demeuriez ici quelque temps, et que je n'ai qu'à m'en retourner d'où je viens, assurée que vous suivez mes pas le plus tôt qu'il vous sera possible : qu'il est très certain que vous brûlez de me rejoindre, et qu'éloigné de moi, vous souffrez ce que souffre un corps qui est séparé de son âme. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
- Scélérat, c'est maintenant que je te connais tout entier, et pour mon malheur, je te connais lors qu'il n'en est plus temps, et qu'une telle connaissance ne peut plus me servir qu'à me désespérer ; mais sache que ton crime ne demeurera pas impuni ; et que le même Ciel dont tu te joues, me saura venger de ta perfidie. (Acte 1, scène 3, DONA ELVIRE)
- Il ne faut pas que ce coeur m'échappe, et j'y ai déjà jeté des dispositions à ne me pas souffrir de pousser longtemps des soupirs. (Acte 2, scène 2, DON JUAN)
- Vous avez l'âme bien méchante, cependant vous voyez depuis un temps que le vin émétique fait bruire ses fuseaux. (Acte 3, scène 1, SGANARELLE)
- Vous n'avez qu'à suivre cette route, Messieurs, et tournez à main droite quand vous serez au bout de la forêt, mais je vous donne avis que vous devez vous tenir sur vos gardes, et que depuis quelque temps, il y a des voleurs ici autour. (Acte 3, scène 2, LE PAUVRE)
- On a cet avantage qu'on fait courir le même risque, et passer mal aussi le temps à ceux qui prennent fantaisie de nous venir faire une offense de gaieté de coeur. (Acte 3, scène 3, DON JUAN)
- Non vous dis-je, ne perdons point de temps en discours superflus, laissez-moi vite aller, ne faites aucune instance pour me conduire, et songez seulement à profiter de mon avis. (Acte 4, scène 6, DONA ELVIRE)
- J'en repasse dans mon esprit toutes les abominations, et m'étonne comme le Ciel les a pu souffrir si longtemps, et n'a pas vingt fois sur ma tête laissé tomber les coups de sa justice redoutable. (Acte 5, scène 1, DON JUAN)
- Il y a longtemps que j'attendais cela, et voilà, grâce au Ciel, tous mes souhaits accomplis. (Acte 5, scène 2, SGANARELLE)
- Hélas point du tout, c'est un dessein que votre soeur elle-même a pris, elle a résolu sa retraite, et nous avons été touchés tous deux en même temps. (Acte 5, scène 3, DON JUAN)
MONSIEUR DE POURCEAUGNAC (1670)
- Il n'y a pas un Pourceaugnac à Limoges que je ne connaisse depuis le plus grand jusques au plus petit ; je ne fréquentais qu'eux dans le temps que j'y étais, et j'avais l'honneur de vous voir presque tous les jours. (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
- Vous aviez pourtant en ce temps-là... (Acte 2, scène 4, ÉRASTE)
- À ce que je vois, vous avez demeuré longtemps dans notre ville ? (Acte 2, scène 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
- Je l'irai visiter dans deux ou trois jours ; mais s'il mourait avant ce temps-là, ne manquez pas de m'en donner avis, car il n'est pas de la civilité qu'un médecin visite un mort. (Acte 2, scène 6, PREMIER MÉDECIN)
- Qu'ainsi ne soit, pour diagnostique incontestable de ce que je dis, vous n'avez qu'à considérer ce grand sérieux que vous voyez ; cette tristesse accompagnée de crainte et de défiance, signes pathognomoniques et individuels de cette maladie, si bien marquée chez le Divin vieillard Hippocrate ; cette physionomie, ces yeux rouges et hagards, cette grande barbe, cette habitude du corps, menue, grêle, noire et velue, lesquels signes le dénotent très affecté de cette maladie, procédante du vice des hypocondres ; laquelle maladie par laps de temps naturalisée, envieillie, habituée, et ayant pris droit de bourgeoisie chez lui, pourrait bien dégénérer, ou en manie, ou en phtisie, ou en apoplexie, ou même en fine frénésie et fureur. (Acte 2, scène 8, PREMIER MÉDECIN)
- Premièrement, pour remédier à cette pléthore obturante, et à cette cacochymie luxuriante par tout le corps, je suis d'avis qu'il soit phlébotomisé libéralement ; c'est-à-dire que les saignées soient fréquentes et plantureuses : en premier lieu de la basilique, puis de la céphalique ; et même si le mal est opiniâtre, de lui ouvrir la veine du front, et que l'ouverture soit large, afin que le gros sang puisse sortir ; et en même temps, de le purger, désopiler, et évacuer par purgatifs propres et convenables, c'est-à-dire par cholagogues, mélanogogues, et caetera ; et comme la véritable source de tout le mal, est ou une humeur crasse et féculente, ou une vapeur noire et grossière qui obscurcit, infecte et salit les esprits animaux, il est à propos ensuite qu'il prenne un bain d'eau pure et nette, avec force petit-lait clair, pour purifier par l'eau la féculence de l'humeur crasse, et éclaircir par le lait clair la noirceur de cette vapeur ; mais avant toute chose, je trouve qu'il est bon de le réjouir par agréables conversations, chants et instruments de musique, à quoi il n'y a pas d'inconvénient de joindre des danseurs, afin que leurs mouvements, disposition et agilité puissent exciter et réveiller la paresse de ses esprits engourdis, qui occasionne l'épaisseur de son sang, d'où procède la maladie. (Acte 2, scène 8, PREMIER M?DECIN)
- Oui : mais quand il y aurait information, ajournement, décret, et jugement obtenu par surprise, défaut et contumace, j'ai la voie de conflit de juridiction, pour temporiser et venir aux moyens de nullité qui seront dans les procédures. (Acte 3, scène 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC)
- Eh, Monsieur, pour l'amour de moi ; vous savez que nous sommes amis il y a longtemps ; je vous conjure de ne le point mener en prison. (Acte 4, scène 5, SBRIGANI)
- Dépêchez-vous, vous dis-je, et ne perdez point de temps : vous auriez un grand plaisir, quand vous seriez pendu. (Acte 4, scène 5, SBRIGANI)
- Ne perdez point de temps ; je vous aime tant, que je voudrais que vous fussiez déjà bien loin. (Acte 4, scène 5, SBRIGANI)
L'IMPROMPTU DE VERSAILLES (1682)
- De grâce mettons-nous ici, et puisque nous voilà tous habillés, et que le Roi ne doit venir de deux heures, employons ce temps à répéter notre affaire, et voir la manière dont il faut jouer les choses. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Une respectueuse excuse fondée sur l'impossibilité de la chose dans le peu de temps qu'on vous donne ; et tout autre en votre place ménagerait mieux sa réputation, et se serait bien gardé de se commettre comme vous faites. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE BÉJART)
- En effet il fallait s'excuser avec respect envers le Roi, ou demander du temps davantage. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE DE BRIE)
- Les choses ne sont bonnes que dans le temps qu'ils les souhaitent ; et leur en vouloir reculer le divertissement, est en ôter pour eux toute la grâce. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Mais puisqu'on vous a commandé de travailler sur le sujet de la Critique qu'on a faite contre vous, que n'avez-vous fait cette comédie des comédiens dont vous nous avez parlé il y a longtemps, c'était une affaire toute trouvée, et qui venait fort bien à la chose, et d'autant mieux, qu'ayant entrepris de vous peindre, ils vous ouvraient l'occasion de les peindre aussi, et que cela aurait pu s'appeler leur portrait, à bien plus juste titre que tout ce qu'ils ont fait ne peut être appelé le vôtre ; car vouloir contrefaire un comédien dans un rôle comique, ce n'est pas le peindre lui-même, c'est peindre d'après lui les personnages qu'il représente, et se servir des mêmes traits et des mêmes couleurs, qu'il est obligé d'employer aux différents tableaux des caractères ridicules, qu'il imite d'après nature. (Acte 1, scène 1, MADEMOISELLE BÉJART)
- Il est vrai, mais j'ai mes raisons pour ne le pas faire, et je n'ai pas cru entre nous que la chose en valût la peine, et puis il fallait plus de temps pour exécuter cette idée. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Nous n'avons pas le temps maintenant. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Mon_Dieu, il n'y en a point qu'on ne pût attraper par quelque endroit si je les avais bien étudiés ; mais vous me faites perdre un temps qui nous est cher. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Et pour vous, vous êtes la soubrette de la précieuse, qui se mêle de temps en temps dans la conversation, et attrape, comme elle peut, tous les termes de sa maîtresse ; je vous dis tous vos caractères, afin que vous vous les imprimiez fortement dans l'esprit. (Acte 1, scène 1, MOLIÈRE)
- Mon_Dieu, j'entends du bruit, c'est le Roi qui arrive assurément, et je vois bien que nous n'aurons pas le temps de passer outre, voilà ce que c'est de s'amuser. (Acte 1, scène 5, MOLIÈRE)
- Monsieur, vous me redonnez la vie, le Roi nous fait la plus grande grâce du monde de nous donner du temps, pour ce qu'il avait souhaité ; et nous allons tous le remercier des extrêmes bontés qu'il nous fait paraître. (Acte 1, scène 11, MOLIÈRE)
MÉLICERTE (1682)
- Faisons en même temps, par un peu de couleurs, v.47 (Acte 1, scène 2, DAPHNÉ)
- Et puisqu'en même temps pour le même sujet, v.83 (Acte 1, scène 2, DAPHNÉ)
- Et jouir quelque temps de votre impatience. v.106 (Acte 1, scène 3, LYCARSIS)
- Le Roi vient d'honorer Tempé de sa présence : v.122 (Acte 1, scène 3, LYCARSIS)
- Ils surprennent la vue et nos prés au printemps, v.131 (Acte 1, scène 3, LYCARSIS)
- Il rompt l'ordre commun et devance le temps, v.192 (Acte 1, scène 4, EROXÈNE)
- En mourir tout d'un coup que traîner si longtemps. v.570 (Acte 2, scène 6, TYRÈNE)
- Dont tout Tempé croyait que Mopse était le frère : v.596 (Acte 2, scène 7, NICANDRE)
LES PRÉCIEUSES RIDICULES (1660)
- Premièrement, il doit voir au Temple, ou à la promenade, ou dans quelque cérémonie publique, la personne dont il devient amoureux ; ou bien être conduit fatalement chez elle, par un parent, ou un ami, et sortir de là tout rêveur, et mélancolique. (Acte 1, scène 4, MAGDELON)
- Il cache, un temps, sa passion à l'objet aimé, et cependant lui rend plusieurs visites, où l'on ne manque jamais de mettre sur le tapis une question galante, qui exerce les esprits de l'assemblée. (Acte 1, scène 4, MAGDELON)
- Le jour de la déclaration arrive, qui se doit faire ordinairement dans une allée de quelque jardin, tandis que la compagnie s'est un peu éloignée, et cette déclaration est suivie d'un prompt courroux, qui paraît à notre rougeur, et qui pour un temps bannit l'amant de notre présence. (Acte 1, scène 4, MAGDELON)
- Il est vrai que la chaise est un retranchement merveilleux contre les insultes de la boue, et du mauvais temps. (Acte 1, scène 9, MAGDELON)
- Je vous regarde, c'est-à-dire, je m'amuse à vous considérer, je vous observe, je vous contemple. (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
- À quoi donc passez-vous le temps ? (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
- Quoi toutes deux contre mon coeur, en même temps ? (Acte 1, scène 9, MASCARILLE)
- Il y a quelque temps que nous ne nous sommes vus, et je suis ravi de cette aventure. (Acte 1, scène 10, MASCARILLE)
- Vicomte dis-moi un peu, y a-t-il longtemps, que tu n'as vu la Comtesse ? (Acte 1, scène 11, MASCARILLE)
- Nous nous connaissons il y a longtemps, et entre amis on ne va pas se piquer, pour si peu de chose. (Acte 1, scène 14, MASCARILLE)
LES FOURBERIES DE SCAPIN (1671)
- Quelque temps après, Léandre fit rencontre d'une jeune égyptienne dont il devint amoureux. (Acte 1, scène 2, OCTAVE)
- J'ai ouï dire, Octave, que votre sexe aime moins longtemps que le nôtre, et que les ardeurs que les hommes font voir sont des feux qui s'éteignent aussi facilement qu'ils naissent. (Acte 1, scène 3, HYACINTHE)
- Je voudrais bien savoir si vous-même n'avez pas été jeune, et n'avez pas dans votre temps fait des fredaines comme les autres. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
- J'ai ouï dire, moi, que vous avez été autrefois un compagnon parmi les femmes, que vous faisiez de votre drôle avec les plus galantes de ce temps-là ; et que vous n'en approchiez point que vous ne poussassiez à bout. (Acte 1, scène 4, SCAPIN)
- Oui, sans doute, par le temps qu'il fait, nous aurons ici nos gens aujourd'hui ; et un matelot qui vient de Tarente, m'a assuré qu'il avait vu mon homme qui était près de s'embarquer. (Acte 2, scène 1, GÉRONTE)
- Je saurai me souvenir en temps et lieu de tout ce que je viens d'apprendre. (Acte 2, scène 3, LÉANDRE)
- Mais tu sais que le temps presse. (Acte 2, scène 4, LÉANDRE)
- Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé ; et j'ai ouï dire il y a longtemps une parole d'un ancien, que j'ai toujours retenue. (Acte 2, scène 5, SCAPIN)
- La compassion que m'a donnée tantôt votre chagrin m'a obligé à chercher dans ma tête quelque moyen pour vous tirer d'inquiétude : car je ne saurais voir d'honnêtes pères chagrinés par leurs enfants que cela ne m'émeuve ; et de tout temps je me suis senti pour votre personne une inclination particulière. (Acte 2, scène 5, SCAPIN)
- Nous voilà au temps, m'a-t-il dit, que je dois partir pour l'armée. (Acte 2, scène 5, SCAPIN)
- Je n'aurais pas cent francs de tout ce que vous dites ; et de plus, vous savez le peu de temps qu'on m'a donné. (Acte 2, scène 7, SCAPIN)
- Laissez là cette galère, et songez que le temps presse, et que vous courez risque de perdre votre fils. (Acte 2, scène 7, SCAPIN)
- Je ne risquerai pas grand'chose à vous la dire, et c'est une aventure qui n'est pas pour être longtemps secrète. (Acte 3, scène 3, ZERBINETTE)
- Enfin, après plusieurs détours, après avoir longtemps gémi et soupiré... (Acte 3, scène 3, ZERBINETTE)
- Je me réjouissais aujourd'hui de l'espérance d'avoir ma fille, dont je faisais toute ma consolation ; et je viens d'apprendre de mon homme qu'elle est partie il y a longtemps de Tarente, et qu'on y croit qu'elle a péri dans le vaisseau où elle s'embarqua. (Acte 3, scène 6, GÉRONTE)
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Dans les 1963 textes du corpus, il y a 33 textes (soit une présence dans 1,68 % des textes) dans lesquels il y a 412 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 12,48 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Prologue | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Acte 6 | Acte 7 | Acte 8 | Acte 9 | Acte 10 | Acte 11 | Total |
1 | SGANARELLE | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 5 |
2 | LA PRINCESSE D'?LIDE | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 1 | 3 | 2 | 2 | 0 | 1 | 0 | 10 |
3 | LE M?DECIN MALGR? LUI | 2 | 0 | 3 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
4 | GEORGE DANDIN | 4 | 0 | 1 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
5 | L'?COLE DES MARIS | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
6 | L'ÉCOLE DES MARIS | 5 | 0 | 3 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
7 | LE DÉPIT AMOUREUX | 4 | 0 | 7 | 4 | 2 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 22 |
8 | LE TARTUFFE | 4 | 0 | 4 | 3 | 4 | 7 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 22 |
9 | LES FÂCHEUX | 3 | 1 | 1 | 5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
10 | LES FEMMES SAVANTES | 1 | 0 | 3 | 4 | 2 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 12 |
11 | L'AVARE | 9 | 0 | 3 | 5 | 2 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 21 |
12 | LE MISANTHROPE | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
13 | LE MISANTHROPE | 9 | 0 | 2 | 3 | 1 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 18 |
14 | L'ÉCOLE DES FEMMES | 2 | 0 | 2 | 5 | 5 | 7 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 21 |
15 | LA JALOUSIE DU BARBOUILL? | 4 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 4 |
16 | LE M?DECIN VOLANT | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
17 | LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 |
18 | LA COMTESSE D'ESCARBAGNAS | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
19 | L'ÉTOURDI | 5 | 0 | 7 | 5 | 6 | 9 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 32 |
20 | LE MARIAGE FORC? | 7 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 7 |
21 | LE BOURGEOIS GENTILHOMME | 3 | 0 | 2 | 5 | 1 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 13 |
22 | LE SICILIEN | 7 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 7 |
23 | DON GARCIE DE NAVARRE | 5 | 0 | 2 | 1 | 3 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 14 |
24 | LA CRITIQUE DE L'?COLE DES FEMMES | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
25 | LES AMANTS MAGNIFIQUES | 0 | 0 | 4 | 0 | 2 | 0 | 2 | 0 | 4 | 0 | 2 | 0 | 14 |
26 | AMPHITRYON | 4 | 1 | 5 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 13 |
27 | LE MALADE IMAGINAIRE | 0 | 0 | 0 | 10 | 2 | 0 | 10 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 22 |
28 | LE MALADE IMAGINAIRE | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
29 | DON JUAN OU LE FESTIN DE PIERRE | 2 | 0 | 1 | 3 | 1 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
30 | DON JUAN | 2 | 0 | 1 | 3 | 1 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
31 | L'IMPROMPTU DE VERSAILLES | 11 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 11 |
32 | MÉLICERTE | 6 | 0 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 8 |
33 | LES PR?CIEUSES RIDICULES | 10 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
34 | LES FOURBERIES DE SCAPIN | 4 | 0 | 8 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 15 |
35 | PSYCHÉ | 0 | 2 | 4 | 3 | 4 | 2 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 16 |
36 | L'AMOUR M?DECIN | 0 | 0 | 1 | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 |
37 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC | 0 | 0 | 6 | 1 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
38 | LA PRINCESSE D'ÉLIDE | 0 | 0 | 8 | 0 | 1 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 10 |
39 | LE BOURGEOIS GENTILHOMME | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
40 | LES AMANTS MAGNIFIQUES | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
Total | 126 | 4 | 81 | 80 | 41 | 52 | 16 | 3 | 6 | 0 | 3 | 0 | 412 |