Occurences de l'expression

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pour LA CALPRENEDE, Gautier Costes de

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LE CLARIONTE (1637)

Pouvez-vous si longtemps souffrir des misérables : v.66 (Acte 1, scène 1, FIDAMANT)
Oui, s'il m'était permis de pleurer sur ta cendre v.114 (Acte 1, scène 2, ROSIMÈNE)
Et vous reconnaîtrez si ce bien m'est permis v.143 (Acte 1, scène 2, FIDAMANT)
Que ceux que vous fuyez ne sont pas ennemis : v.144 (Acte 1, scène 2, FIDAMANT)
En souffrant l'entretien d'une âme misérable, v.154 (Acte 1, scène 2, ROSIMÈNE)
Mais puisque j'ai promis à ma juste douleur v.199 (Acte 1, scène 2, ROSIMÈNE)
Je dois venir bientôt au point de ma misère, v.269 (Acte 1, scène 2, ROSIMÈNE)
Et mis sur un bûcher pour le réduire en cendre ; v.461 (Acte 1, scène 2, ROSIMÈNE)
Et ce ressouvenir me rend plus misérable ; v.546 (Acte 2, scène 1, CLARIONTE)
Et je veux que le Ciel me rende misérable v.566 (Acte 2, scène 1, MÉLIE)
Mais s'il vous est permis, jugez sans passion v.587 (Acte 2, scène 1, CLARIONTE)
Puisque c'est le sujet qui me rend misérable, v.890 (Acte 3, scène 1, ROSIMÈNE)
Comblèrent ce pays de misère et d'horreur. v.931 (Acte 3, scène 1, ARISTON)
Par un même malheur un autre misérable v.1113 (Acte 3, scène 2, FIDAMANT)
Hormis la liberté n'a rien de désirable, v.1138 (Acte 3, scène 2, FIDAMANT)
Et vous à qui les Dieux en ont commis l'office, v.1189 (Acte 3, scène 3, LE-ROI)
J'eusse été trop heureux s'il m'eût été permis v.1311 (Acte 4, scène 1, CLARIONTE)
De signaler ma fin entre mille ennemis, v.1312 (Acte 4, scène 1, CLARIONTE)
Misérable est-il vrai que cette folle amour v.1347 (Acte 4, scène 1, LE-ROI)
Si je laisse en mourant votre âme un peu remise, v.1421 (Acte 4, scène 1, CLARIONTE)
J'en juge comme vous, et puisque j'ai promis v.1475 (Acte 4, scène 2, LE-ROI)
Qu'on verrait Doriman en liberté remis, v.1476 (Acte 4, scène 2, LE ROI)
Et remis Doriman en son premier état. v.1528 (Acte 4, scène 2, CLARIONTE)
Et s'il m'était permis de la quitter sans crime, v.1542 (Acte 4, scène 2, CLARIONTE)
Quoiqu'à votre pouvoir le sort nous ait soumis v.1659 (Acte 4, scène 2, CLARIONTE)
Vous vous susciterez de puissants ennemis, v.1660 (Acte 4, scène 2, CLARIONTE)
Ils perdront avec vous ce misérable État. v.1664 (Acte 4, scène 2, CLARIONTE)
Mais dans l'extrémité cette feinte est permise. v.1670 (Acte 4, scène 2, LE-ROI)
Et remis lâchement un devoir commencé, v.1727 (Acte 5, scène 1, LE-ROI)
Que tout vous réussisse, et qu'il vous soit permis v.1851 (Acte 5, scène 5, CLARIONTE)
De triompher partout de tous vos ennemis ; v.1852 (Acte 5, scène 5, CLARIONTE)
Deux ont commis la faute et l'on n'en punit qu'une. v.1909 (Acte 5, scène 5, MÉLIE)
La fureur de ses ennemis, v.1943 (Acte 5, scène 5, LE-SACRIFICATEUR)
Les devoirs qu'on vous rend n'y seront plus permis v.1945 (Acte 5, scène 5, LE SACRIFICATEUR)
Le sort qui maintenant nous a soumis à vous, v.2073 (Acte 5, scène 7, MÉLIE)
Je n'aurais pas commis une faute si grande, v.2104 (Acte 5, scène 7, CLARIONTE)

LA BRADAMANTE (1637)

Hormis ce compliment, v.9 (Acte 1, scène 1, ROGER)
Ont permis de jurer sans crime. v.112 (Acte 1, scène 3, BRADAMANTE)
Et s'il m'était permis de tenir ma promesse, v.133 (Acte 1, scène 5, AYMON)
Et l'ont privé de tout, hormis de la vertu, v.172 (Acte 1, scène 5, RENAUD)
Mais puisque maintenant il ne m'est pas permis v.295 (Acte 1, scène 7, LÉON)
D'avoir d'autre destin, ni d'autres ennemis, v.296 (Acte 1, scène 7, L?ON)
S'il m'est encor permis de vous le demander, v.384 (Acte 2, scène 1, LÉON)
Si d'autres ennemis appelaient mon épée, v.389 (Acte 2, scène 1, L?ON)
Traiter mes ennemis plus doucement que moi. v.456 (Acte 2, scène 2, ROGER)
Il me sera permis de mourir mille fois. v.484 (Acte 2, scène 2, ROGER)
De même en peu de jours vous rendra misérable. v.494 (Acte 2, scène 3, AYMON)
Et que je vous ai mis cet amour dans le sein. v.532 (Acte 2, scène 3, RENAUD)
Pour toi tous mes amants seront mes ennemis, v.643 (Acte 2, scène 4, BRADAMANTE)
Et me servant du droit que le Roi m'a permis, v.644 (Acte 2, scène 4, BRADAMANTE)
Ne m'étant pas permis de tenir votre place ? v.662 (Acte 2, scène 5, MARPHISE)
Va finir dans l'horreur ta misérable vie. v.773 (Acte 2, scène 7, ROGER)
Quoi, par ma lâcheté je vivrais misérable ! v.781 (Acte 3, scène 1, BRADAMANTE)
Que le plus odieux de tous ses ennemis, v.826 (Acte 3, scène 1, BRADAMANTE)
Se vante des baisers qui lui seront permis ; v.827 (Acte 3, scène 1, BRADAMANTE)
Et ne témoigner pas à vos meilleurs amis, v.850 (Acte 3, scène 1, MARPHISE)
Qu'ayant paru plus qu'homme entre mille ennemis, v.851 (Acte 3, scène 1, MARPHISE)
Un dessein que le Ciel m'a mis dans la pensée, v.885 (Acte 3, scène 2, MARPHISE)
Me laisse un grand espoir qu'il nous sera permis v.886 (Acte 3, scène 2, MARPHISE)
De rompre encor un coup celui des ennemis. v.887 (Acte 3, scène 2, MARPHISE)
Et fais paraître aux Dieux qui sont tes ennemis, v.901 (Acte 3, scène 2, BRADAMANTE)
Que tu ne meurs pas misérable, v.902 (Acte 3, scène 2, BRADAMANTE)
Puisque pour t'affranchir le trépas t'est permis. v.903 (Acte 3, scène 2, BRADAMANTE)
Résous-toi, misérable, à mourir mille fouis, v.932 (Acte 3, scène 3, ROGER)
Étant le plus cruel de tous tes ennemis, v.936 (Acte 3, scène 3, ROGER)
Les pires traitements te seront bien permis. v.937 (Acte 3, scène 3, ROGER)
Et que sans te troubler il ne m'est pas permis v.996 (Acte 3, scène 3, ROGER)
De te voir triompher du mal que j'ai commis. v.997 (Acte 3, scène 3, ROGER)
Parlez un peu, Madame, et s'il vous est permis, v.1064 (Acte 3, scène 4, MARPHISE)
Purgez-vous d'un forfait devant vos ennemis, v.1065 (Acte 3, scène 4, MARPHISE)
Il est vrai que ma soeur est promise à Roger, v.1080 (Acte 3, scène 4, RENAUD)
Et ne conspirez pas avec mes ennemis, v.1092 (Acte 3, scène 4, LÉON)
Pour me voler un bien que le Ciel m'a promis. v.1093 (Acte 3, scène 4, L?ON)
Hélas ! Quel importun trouble ce misérable ! v.1333 (Acte 4, scène 3, ROGER)
Que j'y perdrai mes biens, mes amis, et ma vie. v.1368 (Acte 4, scène 3, LÉON)
M'ayant soudain remis en ma santé première, v.1405 (Acte 4, scène 3, ROGER)
Presque sans résistance a mis les armes bas. v.1587 (Acte 5, scène 1, AYMON)
Puisque par votre Édit Bradamante est promise v.1644 (Acte 5, scène 2, LÉON)
J'avais presque réduis nos ennemis à bas. v.1715 (Acte 5, scène 2, LÉON)
Tant amis qu'ennemis, pêle-mêle entassés. v.1727 (Acte 5, scène 2, L?ON)
Et qu'il me soit permis avec toute la Cour, v.1962 (Acte 5, scène 4, BRADAMANTE)

JEANNE (1638)

Bravait, en sûreté ses plus grands ennemis, v.11 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Consent-elle aux forfaits que vous avez commis ' v.12 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Ce que vous refusez de sa miséricorde. v.18 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
À peine mes amis me puis-je retenir, v.28 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Sur sa tête coupable il a mis la couronne, v.41 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Amis opposez-vous à des malheurs si grands, v.63 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Remplissent vos maisons de misère et d'horreur, v.68 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Votre soumission détournera ce mal, v.71 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Vous prendrez s'il vous plaît cette commission. v.91 (Acte 1, scène 1, LE COMTE DE CLOCESTRE)
Et quand les ennemis connaîtront son courage, v.169 (Acte 1, scène 2, GILFORT)
Je frémis. v.233 (Acte 1, scène 4, JEANNE)
Vous que j'ai toujours cru de nos meilleurs amis, v.311 (Acte 1, scène 7, LE DUC DE NORTHBELANT)
Vous nous avez trahis, et le Ciel l'a permis. v.312 (Acte 1, scène 7, LE DUC DE NORTHBELANT)
Que leur ambition a rendu misérables ' v.394 (Acte 2, scène 1, MARIE)
Ses plus grands ennemis dans de si grands malheurs, v.412 (Acte 2, scène 1, MARIE)
Et ne les traitez pas comme des ennemis v.423 (Acte 2, scène 1, ÉLISABETH)
Que le sort du combat à vos pieds eût soumis, v.424 (Acte 2, scène 1, ?LISABETH)
Contre vos ennemis il nous donna des armes, v.458 (Acte 2, scène 1, ?LISABETH)
Que parmi les grands coeurs il ne soit pas permis v.555 (Acte 2, scène 2, MARIE)
De fouler lâchement ses plus grands ennemis, v.556 (Acte 2, scène 2, MARIE)
Madame quel espoir nous peut être permis, v.787 (Acte 3, scène 2, GILFORT)
Puisque ses Conseillers sont tous nos ennemis ' v.788 (Acte 3, scène 2, GILFORT)
Que ma mort seulement commence mes misères, v.814 (Acte 3, scène 2, GILFORT)
Je vous protesterai que s'il m'était permis v.855 (Acte 3, scène 4, LE DUC DE NOLFOC)
Je me déporterais du soin qu'on m'a remis, v.856 (Acte 3, scène 4, LE DUC DE NOLFOC)
De voir le plus cruel de tous mes ennemis v.899 (Acte 3, scène 5, LE DUC DE NORTHBELANT)
Élevé sur un trône où ma chute l'a mis, v.900 (Acte 3, scène 5, LE DUC DE NORTHBELANT)
Qu'elle eut remis ma tête en des mains si cruelles, v.901 (Acte 3, scène 5, LE DUC DE NORTHBELANT)
Si commis à juger des intérêts plus grands, v.935 (Acte 3, scène 5, LE DUC DE NOLFOC)
Dans ma commission ne m'interrompez plus, v.939 (Acte 3, scène 5, LE DUC DE NOLFOC)
Oui, oui, j'ai tout commis : mais, ô souverains Juges ! v.969 (Acte 3, scène 5, LE DUC DE NORTHBELANT)
M'a commise (Madame) à porter cette lettre, v.1181 (Acte 4, scène 2, ÉLÉONOR)
Il m'est encor permis d'implorer la bonté v.1187 (Acte 4, scène 2, ?L?ONOR)
Et si mes sentiments m'étaient encor permis, v.1199 (Acte 4, scène 2, ?L?ONOR)
Et des lâches complots de tous ses ennemis. v.1202 (Acte 4, scène 2, ?L?ONOR)
Je ne m'en mêle plus, et je m'en suis démise v.1249 (Acte 4, scène 2, ?L?ONOR)
Que s'il m'était permis, comme je le voudrais, v.1251 (Acte 4, scène 2, ?L?ONOR)
M'eussent encor permis de te fermer les yeux, v.1411 (Acte 5, scène 1, JEANNE)
A permis aux couteaux de séparer nos trames, v.1418 (Acte 5, scène 1, JEANNE)
Fais que nos ennemis avancent mon supplice, v.1438 (Acte 5, scène 1, JEANNE)
Et si dans cet État ces mots me sont permis, v.1475 (Acte 5, scène 2, JEANNE)
De bon coeur je pardonne à tous mes ennemis. v.1476 (Acte 5, scène 2, JEANNE)
Je lis sur votre front votre commission. v.1522 (Acte 5, scène 3, JEANNE)
Elle déclare enfin d'un esprit tout remis v.1630 (Acte 5, scène 5, LE COMTE D'ERBY)
Comme elle pardonnait à tous ses ennemis, v.1631 (Acte 5, scène 5, LE COMTE D'ERBY)
Allez vous réjouir de ce que j'ai commis, v.1676 (Acte 5, scène 5, MARIE)
Et voyez s'il vous reste encor des ennemis. v.1677 (Acte 5, scène 5, MARIE)

PHALANTE (1642)

Mon audace a rendu ma faute irrémissible, v.11 (Acte 1, scène 1, PHILOXÈNE)
Mais hélas ! Que le Ciel a mis de différence v.63 (Acte 1, scène 1, PHILOXÈNE)
Vos faveurs m'ont fait tort, m'ayant mis en état, v.97 (Acte 1, scène 3, PHALANTE)
Vous m'avez mis plus haut que je ne fus jamais. v.110 (Acte 1, scène 3, PHALANTE)
Je la voudrais bénir et tous mes ennemis, v.113 (Acte 1, scène 3, PHALANTE)
De l'état glorieux où leur rage m'a mis. v.114 (Acte 1, scène 3, PHALANTE)
Ma vertu mille fois m'a mis devant les yeux, v.281 (Acte 1, scène 4, HÉLÈNE)
Et vous a si bien mis dans l'esprit de la Reine, v.356 (Acte 2, scène 1, TIMANDRE)
Vous donnant le secours qu'elle vous a promis, v.361 (Acte 2, scène 1, TIMANDRE)
Pour vous aller servir contre vos ennemis. v.362 (Acte 2, scène 1, TIMANDRE)
Ne dissimulez plus à des amis discrets, v.369 (Acte 2, scène 1, TIMANDRE)
Et toute l'amitié que vous m'avez promise, v.376 (Acte 2, scène 1, PHILOXÈNE)
Il fait de ta misère un autre misérable : v.424 (Acte 2, scène 1, PHILOXÈNE)
Dans l'état déplorable où mon destin m'a mis, v.497 (Acte 2, scène 3, PHALANTE)
Je suis le plus cruel de tous mes ennemis. v.498 (Acte 2, scène 3, PHALANTE)
L'amitié m'a réduit à ce point de misère, v.503 (Acte 2, scène 3, PHALANTE)
N'auront de tous leurs biens assisté ta misère, v.548 (Acte 2, scène 3, PHALANTE)
Sur l'espoir décevant d'une amitié promise, v.556 (Acte 2, scène 3, PHALANTE)
Évite son abord, fuis misérable fuis. v.585 (Acte 2, scène 3, PHALANTE)
Qu'ont fait contre le ciel deux fidèles amis : v.725 (Acte 3, scène 2, PHALANTE)
Et pourquoi maintenant ne m'est-il pas permis, v.726 (Acte 3, scène 2, PHALANTE)
Que fais-tu misérable ! Éloigne toi d'ici, v.862 (Acte 3, scène 2, PHALANTE)
A cent peuples soumis sous leur obéissance, v.888 (Acte 3, scène 3, HÉLÈNE)
Te rendant odieux à cet esprit remis v.905 (Acte 3, scène 3, H?L?NE)
Plus que le plus cruel de tous mes ennemis. v.906 (Acte 3, scène 3, H?L?NE)
De ceux que la naissance a mis sous votre loy, v.961 (Acte 3, scène 5, PHILOXÈNE)
Hélas ! Qu'ai-je commis dans un gouvernement, v.1093 (Acte 4, scène 2, TIMANDRE)
C'était donc l'amitié que tu m'avais promise, v.1203 (Acte 4, scène 4, PHILOXÈNE)
A ses meilleurs amis va causer de douleur ! v.1246 (Acte 4, scène 5, TIMANDRE)
Étant si bons amis, je croyais v.1260 (Acte 4, scène 5, ARBANTE)
Phalante, les Dieux seuls m'ont mis en cet état, v.1273 (Acte 4, scène 6, PHILOXÈNE)
Et lave de mon sang le mal que j'ai commis, v.1281 (Acte 4, scène 6, PHILOX?NE)
Souffre qu'à mon trépas nous demeurions amis, v.1282 (Acte 4, scène 6, PHILOX?NE)
Mais crois s'il m'est permis après ce que j'ai fait, v.1285 (Acte 4, scène 6, PHILOX?NE)
Écoute donc ami, si ce nom m'est permis, v.1301 (Acte 4, scène 6, PHALANTE)
Après l'assassinat que ma main a commis, v.1302 (Acte 4, scène 6, PHALANTE)
Si je n'ai fait pour toi dans ma commission v.1309 (Acte 4, scène 6, PHALANTE)
Faudrait-il quand le ciel n'aurait mis dans mon âme v.1419 (Acte 5, scène 1, PHALANTE)
C'est ce qu'à leurs souhaits vous aviez donc promis, v.1495 (Acte 5, scène 3, ARATE)
C'est le sanglant arrêt que vous aviez remis, v.1496 (Acte 5, scène 3, ARATE)
Je sens bien mes amis qu'il approche du coeur, v.1520 (Acte 5, scène 3, HÉLÈNE)
Ce n'est point mes amis une amour qui me porte v.1541 (Acte 5, scène 3, H?L?NE)
J'ai voulu mes amis vous voir tous en ce lieu, v.1551 (Acte 5, scène 3, H?L?NE)
Et que moi seul, Ô Dieux ! Ai mis dans le tombeau, v.1671 (Acte 5, scène 4, PHALANTE)
Adieu mes chers amis ne pleurez plus, Adieu. v.1716 (Acte 5, scène 4, HÉLÈNE)

LE COMTE D'ESSEX (1654)

Et ce degré superbe où ma faveur t'a mis v.3 (Acte 1, scène 1, ÉLISABETH)
Te rend le plus cruel de tous mes ennemis. v.4 (Acte 1, scène 1, ?LISABETH)
Et de quels ennemis ton bras fut-il vainqueur v.183 (Acte 1, scène 4, ÉLISABETH)
Dans un calme profond le repos m'est permis ? v.203 (Acte 1, scène 4, ?LISABETH)
Je suis en sûreté de tous mes ennemis, v.204 (Acte 1, scène 4, ?LISABETH)
Vous n'eussiez point commis une si grande faute, v.254 (Acte 1, scène 5, LE-COMTE-DE-SOUBTANTONNE)
Il a commis encor beaucoup d'autres excès ; v.383 (Acte 2, scène 1, ÉLISABETH)
Ces lâches ennemis d'un généreux courage, v.545 (Acte 2, scène 4, LE COMTE D'ESSEX)
Et que cette amitié que vous m'avez promise v.577 (Acte 2, scène 5, LE COMTE D'ESSEX)
Par vos soumissions, calmez ce grand courage, v.594 (Acte 2, scène 5, MADAME CÉCILE)
Dont les commissions te donnent tant de peine ; v.622 (Acte 2, scène 5, LE COMTE D'ESSEX)
Au moins témoignez-lui de la soumission ; v.640 (Acte 2, scène 5, MADAME CÉCILE)
Lui rendre des devoirs, et des soumissions, v.647 (Acte 2, scène 5, LE COMTE D'ESSEX)
Oui, oui, je les commis, mais qu'on n'espère pas v.659 (Acte 2, scène 5, LE COMTE D'ESSEX)
Que si la Reine attend avec mes ennemis, v.663 (Acte 2, scène 5, LE COMTE D'ESSEX)
Que j'avoue un forfait que je n'ai point commis ; v.664 (Acte 2, scène 5, LE COMTE D'ESSEX)
Que de mes ennemis la troupe sans courage, v.729 (Acte 3, scène 1, LE COMTE D'ESSEX)
Contre ses ennemis avec quelque bonheur, v.751 (Acte 3, scène 1, CÉCILE)
D'être d'intelligence avec ses ennemis, v.815 (Acte 3, scène 1, POPHAM)
Et de beaucoup d'excès que vous avez commis. v.816 (Acte 3, scène 1, POPHAM)
Tous ceux que la vertu rendait amis du Comte v.857 (Acte 3, scène 1, LE-COMTE-DE-SOUBTANTONNE)
N'ont cru, ni ne croiront qu'il ait jamais commis v.863 (Acte 3, scène 1, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Des crimes inventés parmi ses ennemis. v.864 (Acte 3, scène 1, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Quelle loi le défend. Quoi n'est-il pas permis v.875 (Acte 3, scène 1, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
De se tenir armé contre ses ennemis ? v.876 (Acte 3, scène 1, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Voyez nos ennemis ils sont assez habiles. v.897 (Acte 3, scène 1, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Nous ne fûmes jamais ennemis que du vice : v.902 (Acte 3, scène 1, RALEIG)
Et sont nos ennemis parce que nous le sommes. v.913 (Acte 3, scène 1, CÉCILE)
Incapable de tout hormis un attentat ? v.932 (Acte 3, scène 1, LE COMTE D'ESSEX)
Mais qu'on ne hâte rien, et qu'il lui soit permis v.1103 (Acte 4, scène 3, LE-COMTE-DE-SOUBTANTONNE)
De se justifier contre ses ennemis : v.1104 (Acte 4, scène 3, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Nous avons même crime également commis. v.1111 (Acte 4, scène 3, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Mais j'ai moins d'envieux, et lui plus d'ennemis, v.1112 (Acte 4, scène 3, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Qui les rend ennemis d'une si belle vie. v.1118 (Acte 4, scène 3, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Qu'à ma miséricorde il préfère un cercueil, v.1168 (Acte 4, scène 3, ÉLISABETH)
Oui, oui, tu dois périr, et le Ciel t'a permis v.1175 (Acte 4, scène 4, LE-COMTE-DE-SOUBTANTONNE)
De soûler de ton sang tes lâches ennemis, v.1176 (Acte 4, scène 4, LE COMTE DE SOUBTANTONNE)
Venge-toi maintenant, et puisqu'il t'est permis, v.1307 (Acte 4, scène 7, MADAME CÉCILE)
Perds, perds le plus cruel de tous tes ennemis, v.1308 (Acte 4, scène 7, MADAME C?CILE)
Si de mes ennemis le plus malicieux, v.1331 (Acte 5, scène 1, LE COMTE D'ESSEX)
Et porte à tes amis cette bonne nouvelle : v.1338 (Acte 5, scène 1, LE COMTE D'ESSEX)
Dis-leur que désormais tout leur sera permis, v.1339 (Acte 5, scène 1, LE COMTE D'ESSEX)
Qu'ils perdent le plus grand de tous leurs ennemis ; v.1340 (Acte 5, scène 1, LE COMTE D'ESSEX)
Nous l'avons relevée et mise sur un lit, v.1519 (Acte 5, scène 4, LÉONORE)

HERMÃ‰NÃ‰GILDE (1644)

Tu sais, père des hommes et protecteur de l'innocence opprimée, que c'est ici ta querelle, et que c'est moins la considération de mes intérêts et de mon amour, que la défense de ta cause, et de la Religion à laquelle tu m'as appelé qui m'a armé contre les persécutions de nos communs ennemis. (Acte 1, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Je les ai longtemps souffertes sans murmurer, et tu m'es témoin que si l'on m'eût seulement laissé la liberté de ma conscience et celle de ma chère Indegonde, je me serais soumis aux plus dures conditions qu'un Roi peut imposer au moindre de ses sujets avant que de prendre les armes contre mon père. (Acte 1, scène 1, HERM?N?GILDE)
C'est par son secours qu'avec une poignée d'hommes vous avez tenu tête jusqu'ici aux forces d'un puissant Royaume, et ce sera par lui-même, et par le zèle et la fidélité des vôtres que vous triompherez de la calomnie et de la malice de vois ennemis. (Acte 1, scène 1, GONTRAN)
Gontran, quelque succès que j'attende, et de l'appui du Ciel et de la persévérance de mes amis, mon âme est touchée de très sensibles déplaisirs : car enfin si je trébuche j'enveloppe dans mes ruines un bon nombre de généreux amis qui ont aveuglément épousé ma fortune, et qui ne m'ont point abandonné dans mes disgrâces, et si je triomphe, quelle satisfaction ou quelle gloire suivront mes avantages ? (Acte 1, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Voyez quels ennemis la fortune me donne à combattre, c'est mon père, c'est mon Roi. (Acte 1, scène 1, HERM?N?GILDE)
Ne considérez-vous point enfin la nature de vos ennemis : et ne rendez-vous point à votre père ce que vous seriez forcé de rendre à toute sorte d'ennemis dans l'extrémité où vous êtes ? (Acte 1, scène 2, INDEGONDE)
Je ne sais (ô chère moitié de ma vie !) à quoi je me dois résoudre, et la considération du sang et celle de mes amis, agissent très puissamment en mon âme ; mais le souvenir de vos injures étouffe tous ces bons mouvements, et renouvelle la guerre dans mon esprit avec des ressentiments qui doivent être funestes à ceux qui vous ont offensée. (Acte 1, scène 2, HERMÉNÉGILDE)
Celui qui vous a visiblement défendu contre des forces qui vraisemblablement vous devaient accabler, en vous recevant dans le giron de son Église, a voulu que vous étouffassiez le ressentiment de nos communes injures, et que vous lui donnassiez une âme soumise et désintéressée. (Acte 1, scène 2, INDEGONDE)
Vous ne sortirez point sur les vôtres qu'Indegonde ne marche avec vous, et je m'exposerai la première aux traits de nos ennemis et à la furie de Levigilde. (Acte 1, scène 2, INDEGONDE)
Si vous attendez jusqu'aux dernières extrémités, Levigilde ne nous recevra plus qu'à de rudes et fâcheuses conditions, et il vous recevra sans doute à bras ouvert si vous vous rendez à lui avant que nos misères lui soient connues. (Acte 1, scène 2, INDEGONDE)
Quand nos volontés et la considération de nos amis me feraient tomber les armes des mains, quelle sûreté pouvons-nous espérer auprès de Levigilde et de Goisinde, et quand le Roi pencherait à la miséricorde pour son fils, comment croyez-vous que cette impitoyable marâtre qui règne absolument sur ses volontés consentit à notre établissement et à notre repos, croyez-moi ma chère Princesse, notre plus grande sûreté consiste en notre défense. (Acte 1, scène 2, HERMÉNÉGILDE)
Il est vrai Seigneur, qu'il s'est toujours intéressé dans vos malheurs avec beaucoup d'affection, et que les considérations qui l'ont attaché auprès du Roi, ne l'ont jamais diverti du respect qu'il avait pour votre Altesse ; il a pris souvent votre parti de bonne grâce, et pour adoucir la colère du Roi il s'est mis souvent en danger de l'attirer sur soi-même. (Acte 1, scène 2, GONTRAN)
C'est dans les disgrâces et dans les changements de la fortune que les véritables amis se reconnaissent, j'ai cette consolation dans mon infortune d'en avoir trouvé un bon nombre que mes malheurs n'ont pu éloigner de moi. (Acte 1, scène 2, HERMÉNÉGILDE)
Je ne sais, Monsieur mon Frère, de quelle façon je dois traiter avec vous ; si je regarde ces murs bordés de soldats, et ces troupes armées pour la défaite de notre camp, je pense être parmi nos ennemis ; mais si je considère la douceur de cet accueil, et les caresses que vous me faites, je dois reconnaître les marques de cette première affection que vous aviez pour les vôtres, et croire que l'amitié que vous aviez pour moi n'est pas entièrement éteinte. (Acte 1, scène 3, RECAREDE)
Il ne tiendra qu'à vous que nous ne détournions cet orage qui nous menace, Levigilde est disposé à vous recevoir comme son fils, posez les armes, et rendez-lui ce que vous lui devez comme à votre père il oubliera tout le passé si vous rentrez dans votre devoir, et pat cette soumission vous rétablirez et vous, et la Princesse ma soeur, et tous les vôtres dans l'état où vous deviez être, et duquel les mauvais conseils et une colère trop prompte vous ont précipité. (Acte 1, scène 3, RECAREDE)
Le Roi me l'a promis de sa bouche, et je ne me suis point engagé dans cette charge sans en être assuré par sa parole, je m'offre pour otage dans ce traité, et ma tête sera garante du sauf-conduit que je vous apporte, ne résistez point mon frère à cette proposition, et ne dédaignez point les bonnes volontés du Roi dans une saison où elles ne sont pas méprisables, toutes les raisons du monde vous y obligent, vos amis vous le conseilleront s'ils sont véritablement vos amis, et Madame ma soeur ne s'opposera point à un traité qui la rétablit avec vous dans le calme que vous avez perdu, et la remet dans un état plus sortable à sa naissance, et plus digne du rang qu'elle doit tenir en Espagne. (Acte 1, scène 3, RECAREDE)
Que vous ai-je fait pour me livrer encore à des ennemis impitoyables ? (Acte 1, scène 3, HERMÉNÉGILDE)
N'importe, ô Indegonde, n'importe ô Recarede, puisque vous le voulez je me rends à Levigilde, et l'on ne me reprochera jamais ni que j'aie résisté à vos volontés, ni que j'aie fait périr des amis véritablement dignes d'une fortune meilleure que la mienne, votre considération, et la leur l'emportent sur mes intérêts, mais vous vous souviendrez ô Recarede, vous vous souviendrez ô Indegonde, que pour vous obéir je cours à ma ruine infaillible, que je porte ma tête à des ennemis impitoyables, et que je suis la seule victime qui peut satisfaire leur cruauté. (Acte 1, scène 3, HERM?N?GILDE)
Quel crime a-t-il fait en se retirant d'une Cour où il était indignement traité, et en la personne de sa femme et en la sienne, quelle félonie trouvez-vous dans la défense de sa vie, et quelle obéissance plus parfaite pouviez-vous désirer d'un sujet et d'un fils, que cette profonde soumission avec laquelle il s'est prosterné à vos pieds, et a posé des armes qui le pouvaient longtemps défendre des malheurs où cette obéissance l'a précipité. (Acte 2, scène 1, RECAREDE)
Mais Madame, ses ennemis sont ses juges, et vous leur avez inspiré vous-même la sentence qu'ils doivent prononcer contre lui. (Acte 2, scène 1, RECAREDE)
À quoi me réduisez-vous, faut-il que j'affermisse mon Trône par la perte de ce que j'ai le mieux aimé, et que je cimente de mon propre sang les fondements de ma monarchie ? (Acte 2, scène 2, LEVIGILDE)
Ôterai-je du monde ce que j'y ai mis moi-même, et ce qui devrait faire la meilleure partie de moi-même ? (Acte 2, scène 2, LEVIGILDE)
Seigneur, puisque vous avez cette pensée de moi, et que je vous suis suspecte dans les avis que je vous donne, je n'ouvrirai plus la bouche que pour vous protester que votre considération seule me les a toujours inspirés, et que le soin de votre salut m'a donné contre vos Ennemis des ressentiments que vous condamnez, je ne les conserverai plus, Seigneur, et je me retirerai, s'il vous plaît, d'un conseil où je n'oserais plus opiner. (Acte 2, scène 2, GOISINTE)
Sire, la Princesse Indegonde demande la permission de parler à votre Majesté. (Acte 2, scène 3, UN-HUISSIER)
Il est vrai que j'ai promis à cette Princesse que je la verrais, et quoiqu'elle soit cause d'une partie des malheurs de ma maison, elle m'est considérable comme fille du Roi de France, le plus puisant de nos voisins, et qui prendra sans doute dans ses intérêts la part qu'il est obligé d'y prendre, sans cette considération elle serait peut-être avec son mari, et se verrait enveloppée dans son malheur comme elle a eu part à son crime, qu'on la fasse entrer. (Acte 2, scène 3, LEVIGILDE)
Ah Seigneur, cette perte n'est pas encore bien résolue, et quoique les ennemis du Prince vous animent contre lui, il vous reste encore de bons mouvements qui vous ferons sans doute ouvrir les yeux sur son innocence, et les feront pénétrer au travers de la calomnie. (Acte 2, scène 4, INDEGONDE)
Le pauvre Herménégilde sans y être pressé par aucune nécessité que par celle de son devoir, ni par autre faiblesse que par celle qu'il a toujours eue contre les volontés de son père et de son Roi, vous a ouvert des portes qu'il pouvait encore défendre, et a embrassé vos genoux, et a porté lui-même à vos pieds cette tête que ses ennemis attaquent avec tant de violence, et contre laquelle ils n'ont de pouvoir que celui que par sa soumission il leur a volontairement donné. (Acte 2, scène 4, INDEGONDE)
Votre Majesté l'a reçu comme son fils, et lui a promis de sa bouche un pardon de tout le passé, mais à peine avez-vous été dans la ville, et votre fils hors de votre présence que des satellites impitoyables l'ont traîné dans des cachots, et l'ont chargé de fers comme le plus vil et le plus criminel de tous les hommes. (Acte 2, scène 4, INDEGONDE)
Sans doute s'il a failli, c'est d'avoir été trop sensible aux prières de son frère, et à celles de son épouse, et de s'être trop légèrement opposé à la rage de ses ennemis qui le perdent auprès de vous, il pouvait mourir plus généreusement ou sur la brèche ou dans la mêlée, mais quoi il était fils obéissant, il était sujet fidèle, sa faiblesse a été pleine de piété, et il n'a pas cru faillir en posant les armes sur la parole de son père et de son Roi. (Acte 2, scène 4, INDEGONDE)
Déployez donc sur moi seule tout ce que la rage de ses ennemis apprête contre lui, il sera plus justement employé sur un sang étranger que sur le vôtre, et en ne perdant que moi seule, vous ne priverez pas vos États de leur Prince légitime. (Acte 2, scène 4, INDEGONDE)
Je vous dirai maintenant avec vérité que vos malheurs me touchent très sensiblement, et quoique vous ayez attiré dans notre maison une partie des discordes, les infortunes d'Herménégilde me donnent moins de pitié que les vôtres, aussi me trouverez-vous plus disposé à vous soulager dans vos misères particulières, qu'à relâcher pour cet ingrat de la sévérité de ma Justice. (Acte 2, scène 4, LEVIGILDE)
Mon frère, ne balancez plus entre le ressentiment et la pitié, percez le coeur de ce malheureux qui vous a perdu, et n'épargnez plus un ennemi qui vous a précipité dans ces misères. (Acte 3, scène 1, RECAREDE)
Mon frère cessez de m'affliger par ce discours, votre innocence m'est parfaitement connue, et je sais trop que vous n'avez point assez d'empire sur l'âme de Levigilde pour exiger de lui l'exécution de ses promesses, son naturel m'était mieux connu qu'à vous, et une secrète prescience m'avait averti de mon malheur, mais quelque funeste qu'en soit le succès je ne puis me repentir d'avoir suivi vos conseils, vous m'avez persuadé ce que le devoir et la nature m'ordonnaient, et j'ai suivi le devoir et la nature quand je me suis laissé vaincre à vos persuasions, en posant les armes j'ai obéi à mon père, j'ai obéi à mon Roi, quelques prétextes que j'eusse dans ma rébellion, j'étais toujours criminel, vous m'avez tiré du crime, et vous m'avez remis dans un état où si je ne trouve un autre repos, je trouve au moins le repos de ma conscience, vous m'avez rappelé dans la voie que je devais tenir, et si les cruels ministres de la passion de Goisinte, ou de la colère de Levigilde m'ont destiné à la mort, je la trouve préférable dans un état d'innocence à la vie que je menais dans les remords de ma faute et la misère de mes amis. (Acte 3, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Je crois avoir rendu au Roi tout ce qu'il pouvait demander du plus humble et du plus soumis de ses sujets. (Acte 3, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Que plût à ce même Dieu pour la querelle duquel il va combattre qu'on en voulut à ma tête, et que la perte de tout mon sang peut affermir sa vie sans ébranler sa foi, avec quelle joie la donnerais-je cette frêle et malheureuse vie pour la conservation de la sienne, et avec quelle gloire abandonnerais-je cette tête à la rage de ses ennemis pour la détourner de sur la sienne. (Acte 3, scène 1, INDEGONDE)
Je vous ai traînée dans mon infortune, et je ne vous ai parfaitement aimée que pour vous envelopper dans mes misères, ô Dieu cette seule pensée me fait mourir. (Acte 3, scène 2, HERMÉNÉGILDE)
Ne vous affligez point pour moi mon cher Prince, je suis la seule cause de tous vos malheurs, j'ai porté seule le désordre et la guerre dans votre maison, et si pour le repos que je vous ai ôté sur la terre, je ne vous en avais procuré un éternel dans le Ciel, je ne serais pas consolable : n'ayez point de regret à notre séparation, elle ne sera pas de longue durée, et si la cruauté de nos ennemis nous sépare pour quelques moments je vous rejoindrai bientôt pour jamais, mon âme est inséparablement attachée à la vôtre, et celui qui me défend de me donner la mort de mes mains, donnera assez de force à mon amour pour lui faire entraîner mon esprit après le vôtre : mais ô Dieu quelles personnes nous viennent visiter ? (Acte 3, scène 2, INDEGONDE)
Je n'ignore pas, Atalaric, que vous êtes un des principaux ministres de la cruauté de Goisinde, que vous avez toujours été très mal affectionné à votre Prince, et que c'est en partie par vos déloyales pratiques qu'on a conspiré ma ruine, c'est ce qui me fait trouver étrange le procédé de Levigilde, puisque pour une commission de cette nature il députe le plus cruel et le plus intéressé de mes ennemis. (Acte 3, scène 3, HERMÉNÉGILDE)
Je vous interdis votre commission de la part du Roi, Atalaric, et je viens Seigneur pour vous amener devant sa Majesté, elle veut vous ouïr elle-même dans vos justifications, et n'est pas si fort prévenue des mauvaises impressions que ses conseillers lui donnent de vous qu'elle ne veuille s'en éclaircir elle-même. (Acte 3, scène 4, GODOMAR)
Ce n'est pas le désir Seigneur de prolonger ma misérable destinée qui m'amène aux pieds de votre Majesté, et qui m'a fait demander d'être ouï d'elle-même, avant que mes ennemis prononcent l'arrêt de ma mort, ma vie est trop malheureuse pour en souhaiter la continuation , et si l'ai désiré cette grâce et ce délai, ce n'est que pour faire ou une confession de mes fautes ou une protestation de mon innocence devant mon père et devant mon Roi, et pour justifier ma mémoire des crimes qu'on me suppose. (Acte 4, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Si la malice de mes ennemis a préoccupé votre esprit et banni les sentiments de la nature qui tenait encore mon parti, quelle espérance me peut-il rester, et où seront mes asiles contre la colère de mon Roi et la persécution de mes ennemis, les trouverai-je aux pieds de mon père, et croirai-je que celui qui m'a donné le jour prendra ma défense contre ceux qui me perdent auprès de mon Roi ? (Acte 4, scène 1, HERM?N?GILDE)
Je suis accusé d'avoir quitté la Cour sans congé, de m'être retiré dans Séville avec ma maison, d'avoir levé des troupes contre le service du Roi, d'avoir donné quelques combats contre les siens, et d'avoir soutenu le siège contre lui, ces accusations sont véritables, et je n'ai pas le front de nier ce qui a paru aux yeux de toute l'Espagne, mais je le viens d'assurer que ce fut un ressentiment très juste me fit abandonner la Cour, et la seuls conservation de nos vies qui me fit armer des troupes pour leur défendre, non pas contre mon père, et contre mon Roi, mais contre un nombre de lâches ennemis que l'envie nous a suscités, et qui ont toujours porté votre Majesté à la ruine de son sang. (Acte 4, scène 1, HERM?N?GILDE)
Votre Majesté m'avait véritablement donné toutes les preuves que je pouvais désirer d'une affection paternelle, et pour comble de grâces et de bienfaits, elle m'avait donné une épouse de l'illustre sang de France, et beaucoup moins illustre par sa naissance que par ses vertus, j'étais trop heureux de cette glorieuse possession, mais ce que le Ciel m'avait envoyé pour mon bonheur n'a servi qu'à ma ruine, et cette pauvre princesse que le sacré lien et mon inclination avaient rendu maîtresse absolue de mon âme, attira par sa vertu l'envie et la haine de Goisinte, et avec elles tous les malheurs, et tous les indignes traitements que la plus vile des femmes peut appréhender, elle la traîna par les cheveux, la foula aux pieds, et dans la rigueur de l'hiver la fit plusieurs fois plonger dans un étang pour lui faire renoncer à la religion de ses pères, et de laquelle on lui promis un libre exercice avant que la faire venir en Espagne. (Acte 4, scène 1, HERM?N?GILDE)
Je vous avoue qu'à cet étrange récit je m'emportai et que si j'eusse eu d'autres ennemis que la femme de mon père, j'aurais employer le fer et la flamme pour ma vengeance, mais le profond respect que j'avais pour lui me fit gémir de mon malheur sans le faire éclater, et sans témoigner autrement mon ressentiment qu'en m'éloignant d'un lieu où j'avais été si indignement traité en la personne de mon épouse. (Acte 4, scène 1, HERM?N?GILDE)
Je ne sais quels crimes j'ai commis dans les moments qui se sont passés depuis le pardon jusqu'à ma prise, le temps a été si court qu'à peine ai-je pu donner quelque mouvement à ma pensée, et mon intention est si innocente que je ne puis accuser de mon malheur que mon malheur même, que j'aie conspiré contre votre vie, comme votre Majesté vient de me le reprocher, je ne daignerais m'en justifier, et si je pouvais avoir du mépris pour les paroles de mon père et de mon Roi, ce serait pour celles de cette nature, mes plus aigres ennemis n'en donnent aucune preuve, et j'ose m'assurer que mon naturel vous est assez connu, pour ne vous en permettre pas le simple soupçon, si votre Majesté veut que je meure toutes mes justifications sont inutiles, je ne lui représenterai ni la considération du sang ni celle de ses premières affections, si je suis criminel l'une et l'autre sont éteintes dans mon crime, et n'ayant plus aucun recours à sa bonté, je n'attends ou ma grâce, ou ma mort que de la justice. (Acte 4, scène 1, HERM?N?GILDE)
Ouvrez donc les yeux ô Herménégilde, et ne portez point ma colère aux extrémités, les voies de votre salut et de votre établissement nous sont encore ouvertes, et si vous les fermez par votre obstination vous ne trouverez plus d'accès à ma miséricorde. (Acte 4, scène 1, LEVIGILDE)
Mes yeux sont ouverts à la vérité Seigneur, et plût au Ciel que les vôtres fussent ouverts à ces mêmes lumières, je voudrais par la perte de milles vies si le Ciel m'en avait donné autant avoir acheté ce bonheur à notre maison et à toute l'Espagne, ce ne sera jamais pour ce crime que j'implorerai votre miséricorde, et s'il faut mourir pour la querelle de mon_Dieu j'abandonnerai et le trône, et la vie sans regret, et je suivrai avec joie le chemin qu'il m'a lui-même tracé. (Acte 4, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Seigneur, si vous pouvez encore souffrir à vos pieds celui de vos enfants que vous nez vous point déclaré criminel, et une fille que vous avez chèrement aimée, donnez leur la vie de leur père, souvenez-vous Seigneur encore une fois que c'est par mon entremise qu'il est en votre pouvoir, et souffrez qu'avec le temps je le réduise à cette obéissance que vous désirez de lui, quelque résistance qu'il fasse je me promets de le vaincre, et je veux que ma tête paye pour la sienne, si je ne vous soumets toutes ses volontés. (Acte 4, scène 3, RECAREDE)
Pour moi j'abandonne cette Cour pour jamais, et si votre Majesté a des sceptres à donner après la mort d'Herménégilde, qu'elle en laisse la disposition à Goisinte et à Atalaric, je renonce à des grandeurs achetées par un sang si précieux, et je renonce à une vie que je ne conserverais plus qu'avecque honte puisque j'ai sacrifié moi-même celle de mon cher père à la rage de ses ennemis. (Acte 4, scène 3, RECAREDE)
Voici Atalaric avec une commission digne de l'affection qu'il a pour nous. (Acte 5, scène 1, HERMÉNÉGILDE)
Mais auparavant dites-moi ô Atalaric qu'est ce que le Roi a résolu d'Indegonde et quel ordre il a mis à son retour. (Acte 5, scène 2, HERMÉNÉGILDE)
Celui que tu m'avais donné pour époux, celui en qui tu avais borné toutes mes pensées rend l'âme sans moi, et tandis qu'il prend sa volée à toi je traîne dans les misères qu'il abandonne, je le vois dans la route que je lui ai enseignée moi-même, tandis que je demeure attaché à la terre par cette pesante masse qui dérobe à mon âme son agilité naturelle. (Acte 5, scène 4, INDEGONDE)

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LA MORT DE MITRIDATE (1637)

J'ai cherché ma retraite entre ses ennemis, v.55 (Acte 1, scène 1, PHARNACE)
Mais si mes sentiments me sont ici permis, v.56 (Acte 1, scène 1, PHARNACE)
Et la terre et le ciel me furent ennemis, v.119 (Acte 1, scène 2, MITHRIDATE)
Et leurs plus grands efforts ne m'ont jamais soumis, v.120 (Acte 1, scène 2, MITHRIDATE)
Mais ceux que la naissance et le droit m'ont soumis v.147 (Acte 1, scène 2, MITHRIDATE)
Se liguer lâchement avec mes ennemis, v.148 (Acte 1, scène 2, MITHRIDATE)
Par celui seulement que j'avais mis au monde, v.154 (Acte 1, scène 2, MITHRIDATE)
S'il est permis à ma fidélité v.159 (Acte 1, scène 2, HYPSICRATÉE)
Ah ! c'est cette amitié qui me rend misérable ! v.217 (Acte 1, scène 2, MITHRIDATE)
Du sang des ennemis je vengerais ma perte, v.366 (Acte 2, scène 2, NISE)
Ou bien nos ennemis nous traitent mieux que vous. v.384 (Acte 2, scène 2, MITHRIDATIE)
Puis que je l'ai promis c'est un point résolu. v.500 (Acte 2, scène 4, PHARNACE)
De tous mes ennemis il est le plus puissant. v.508 (Acte 2, scène 4, PHARNACE)
Est chez mes ennemis, et peut-être au tombeau. v.516 (Acte 2, scène 4, PHARNACE)
Et de leurs ennemis je n'aime que la haine. v.530 (Acte 2, scène 4, PHARNACE)
Ce sont leurs ennemis qui me l'ont retenue. v.558 (Acte 2, scène 4, PHARNACE)
Si je ne vous laissais en proie aux ennemis, v.675 (Acte 3, scène 1, MITHRIDATE)
Qui vengeraient sur vous ce qu'un autre a commis. v.676 (Acte 3, scène 1, MITHRIDATE)
Qui tient des ennemis des sceptres empruntés, v.823 (Acte 3, scène 3, BÉRÉNICE)
En quoi t'ai-je offensé, et quel crime commis v.827 (Acte 3, scène 3, PHARNACE)
T'oblige à me traiter comme les ennemis ? v.828 (Acte 3, scène 3, PHARNACE)
Aimer tous mes amis, haïr ceux que je hais, v.835 (Acte 3, scène 3, PHARNACE)
Des ennemis mortels l'alliance embrassée, v.861 (Acte 3, scène 3, PHARNACE)
Par cette sainte amour que tu m'avais promise, v.909 (Acte 3, scène 3, BÉRÉNICE)
Que si mes premiers droits me sont encor permis, v.943 (Acte 3, scène 3, BÉRÉNICE)
Si tu ne me tiens pas au rang des ennemis, v.944 (Acte 3, scène 3, B?R?NICE)
Et pour quels ennemis elle attend une grâce : v.950 (Acte 3, scène 3, B?R?NICE)
Quand ma soumission me rendrait la Couronne, v.1009 (Acte 4, scène 1, MITHRIDATE)
Elle vous fait faillir et contre vos amis, v.1067 (Acte 4, scène 2, ÉMILE)
Et contre ce devoir que vous avez promis. v.1068 (Acte 4, scène 2, ?MILE)
Que rien n'ébranlera la foi que j'ai promise, v.1093 (Acte 4, scène 2, PHARNACE)
Fouler sensiblement tous ceux qu'ils ont soumis, v.1143 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Et tenir tous les Rois pour mortels ennemis, v.1144 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Haïr les ennemis de toute ta maison. v.1160 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
M'ont fait juger en fin qu'il n'était pas permis, v.1179 (Acte 4, scène 3, PHARNACE)
D'avoir sans ce malheur les Romains ennemis, v.1180 (Acte 4, scène 3, PHARNACE)
Et ma soumission m'a bâti des asiles. v.1182 (Acte 4, scène 3, PHARNACE)
Sur sa tête abaissée a remis la couronne, v.1210 (Acte 4, scène 3, PHARNACE)
Ou s'ils avaient paru plus ennemis que moi ? v.1220 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Ah ! mon fils si ce nom m'est encore permis, v.1239 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
En quoi t'ai-je déplu, quel crime ai-je commis, v.1240 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Cette soumission fait honte à ma mémoire, v.1273 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Au lieu de ce repos que tu t'étais promis, v.1295 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Tu seras le plus grand de tous tes ennemis. v.1296 (Acte 4, scène 3, MITHRIDATE)
Que s'il m'était permis de quitter ces remparts, v.1320 (Acte 4, scène 4, HYPSICRATÉE)
Sans vous intéresser contre mes ennemis, v.1421 (Acte 5, scène 1, MITHRIDATE)
Avec de puissants Rois qui vous étaient promis, v.1422 (Acte 5, scène 1, MITHRIDATE)
Comment m'est-il permis de témoigner mon zèle ? v.1431 (Acte 5, scène 1, HYPSICRATÉE)
Quel crime ai-je commis pour être rejetée ? v.1492 (Acte 5, scène 2, BÉRÉNICE)
Pourquoi le même honneur ne me sera permis ? v.1493 (Acte 5, scène 2, B?R?NICE)
Suis-je d'intelligence avec vos ennemis ? v.1494 (Acte 5, scène 2, B?R?NICE)
Ô cruauté du sort, ô misérable père! v.1572 (Acte 5, scène 2, MITHRIDATE)
S'il m'est encor permis de toucher votre main, v.1621 (Acte 5, scène 2, BÉRÉNICE)
Misérable témoin de tant et tant de pertes. v.1623 (Acte 5, scène 2, MITHRIDATE)
Fais que ces ennemis et ce fils déloyal, v.1673 (Acte 5, scène 3, MITHRIDATE)
Ô vous reste sanglant d'un misérable père, v.1728 (Acte 5, scène 4, PHARNACE)

LA MORT DES ENFANTS D'HÉRODE (1639)

Et de vous protester quoi qu'Hérode ait commis v.47 (Acte 1, scène 1, GLAPHIRA)
Que cette invention vient de vos ennemis, v.48 (Acte 1, scène 1, GLAPHIRA)
Laissant entre vos mains ce misérable corps v.143 (Acte 1, scène 2, HÉRODE)
Mon fils qui vous a mis dedans la fantaisie v.249 (Acte 1, scène 3, HÉRODE)
Et de nos ennemis la venimeuse rage, v.354 (Acte 2, scène 1, ARISTOBULE)
Et rend nos ennemis étonnés et confus v.360 (Acte 2, scène 1, ARISTOBULE)
Qu'Hérode a mis au jour par des moyens infâmes, v.406 (Acte 2, scène 1, ARISTOBULE)
Il se faut donc sauver tandis qu'il est permis, v.467 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Fuir d'une terre ingrate, et de tant d'ennemis, v.468 (Acte 2, scène 2, ALEXANDRE)
Et m'as fait dissiper un monde d'ennemis, v.531 (Acte 2, scène 4, HÉRODE)
Qui par ton assistance à mes pieds sont soumis, v.532 (Acte 2, scène 4, H?RODE)
Et leur avaient promis de vous mettre en leurs mains, v.588 (Acte 2, scène 5, ANTIPATRE)
Contre nos ennemis vos bras sont nos refuges. v.645 (Acte 2, scène 6, ALEXANDRE)
Il vous sera permis de vous justifier, v.647 (Acte 2, scène 6, HÉRODE)
Et pour ma sûreté, je n'ai que trop permis v.807 (Acte 3, scène 2, SALOMÉ)
Celle de ces ingrats qui sont mes ennemis, v.808 (Acte 3, scène 2, SALOM?)
Mais si vos ennemis ressentent une joie v.857 (Acte 3, scène 3, MÉLAS)
De quel oeil vos amis vous verront-ils périr v.859 (Acte 3, scène 3, M?LAS)
À ce Roi le premier de vos meilleurs amis, v.872 (Acte 3, scène 3, M?LAS)
Et d'autres ennemis et de meilleurs exemples, v.946 (Acte 3, scène 4, MÉLAS)
Laissez mourir en paix vos misérables frères v.949 (Acte 3, scène 4, M?LAS)
Et ne redoublés point leurs dernières misères, v.950 (Acte 3, scène 4, M?LAS)
Vous voyez mes amis un Prince à qui le Ciel v.995 (Acte 4, scène 1, HÉRODE)
Que pour y ressentir des misères de même, v.998 (Acte 4, scène 1, H?RODE)
J'ai pour mes bons amis Auguste et le Sénat, v.1004 (Acte 4, scène 1, H?RODE)
À quoi tant d'étrangers à mon pouvoir soumis v.1011 (Acte 4, scène 1, H?RODE)
Si j'élève chez moi mes plus grands ennemis v.1012 (Acte 4, scène 1, H?RODE)
Du discours importun de misères pareilles, v.1018 (Acte 4, scène 1, H?RODE)
Ceux de qui tout le crime, est d'être misérables, v.1074 (Acte 4, scène 1, ALEXANDRE)
Et vous voyez Seigneur que le Ciel a permis v.1131 (Acte 4, scène 1, ALEXANDRE)
Que nous ayons encor les mêmes ennemis, v.1132 (Acte 4, scène 1, ALEXANDRE)
Nous sommes tous soumis le trépas nous est doux v.1155 (Acte 4, scène 1, ALEXANDRE)
Et ne contraignez point un misérable père v.1165 (Acte 4, scène 1, HÉRODE)
Doit être encor permis à ma race perfide v.1198 (Acte 4, scène 1, H?RODE)
Pourvu qu'elle nous perde et qu'il lui soit permis, v.1231 (Acte 4, scène 1, ARISTOBULE)
De verser tout le sang de nos meilleurs amis, v.1232 (Acte 4, scène 1, ARISTOBULE)
Pour l'avoir trop aimé vous rendra misérable, v.1306 (Acte 4, scène 2, ALEXANDRE)
De ceux qui vous ont mis en cet état funeste v.1373 (Acte 5, scène 1, ARISTOBULE)
Et des commissions qu'il vous donne aujourd'hui, v.1460 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
Que de nous voir encore exposés et soumis v.1463 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
Aux cruautés d'un père et de tant d'ennemis. v.1464 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
Bref toutes les vertus que tu mis avec elle, v.1494 (Acte 5, scène 2, ALEXANDRE)
D'un Père infortuné misérables enfants, v.1535 (Acte 5, scène 4, HÉRODE)
Où repassant l'horreur des maux que j'ai commis, v.1555 (Acte 5, scène 4, HÉRODE)
Du sang de mes enfants, femme frères amis, v.1556 (Acte 5, scène 4, H?RODE)
Le misérable corps dépouillé de son âme, v.1562 (Acte 5, scène 5, GLAPHIRA)

ÉDOUARD (1640)

Sur cette affection que vous m'avez promise, v.237 (Acte 1, scène 3, ÉDOUARD)
Et cette affection que vous m'avez promise, v.262 (Acte 1, scène 3, ÉDOUARD)
Que vous étiez du rang des vulgaires amis ; v.271 (Acte 1, scène 3, ÉDOUARD)
Que pour votre intérêt vous aviez tout promis : v.272 (Acte 1, scène 3, ?DOUARD)
Qu'en la commission que je reçois de vous : v.300 (Acte 1, scène 3, WARWICK)
Que votre Majesté jusqu'ici m'a permise, v.314 (Acte 1, scène 3, WARWICK)
Contre les ennemis de mon affection. v.384 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Je ne gouverne plus, et je le vois démise v.429 (Acte 2, scène 1, ISABELLE)
Et réduire son âme à vos prudents amis, v.516 (Acte 2, scène 2, ÉDOUARD)
Mais s'il m'était permis de douter là-dessus, v.599 (Acte 2, scène 3, ÉLIPS)
Oui ta tête en répond, mais sans miséricorde. v.718 (Acte 3, scène 1, ÉDOUARD)
Dans ces commissions le méconnais mon père, v.738 (Acte 3, scène 2, ÉLIPS)
Il laisse à vos soupçons ce misérable corps, v.964 (Acte 3, scène 3, ÉLIPS)
Vous à qui de son sort tout le soin est remis, v.1103 (Acte 4, scène 2, ÉDOUARD)
Votre commission vous rend mes ennemis, v.1104 (Acte 4, scène 2, ?DOUARD)
N'aient enlevé gloire, amis, fortune, et biens, v.1183 (Acte 4, scène 2, ?DOUARD)
Ont mis ma renommée au-dessus de l'envie, v.1242 (Acte 4, scène 3, WARWICK)
Puisque nos ennemis n'avèrent point nos crimes, v.1281 (Acte 4, scène 3, WARWICK)
Ne désespère point de ma miséricorde : v.1325 (Acte 4, scène 3, ÉDOUARD)
D'une commission que je pris malgré moi, v.1350 (Acte 5, scène 1, WARWICK)
De n'avoir rien commis indigne de sa race. v.1364 (Acte 5, scène 1, WARWICK)
Cette commission n'était pas nécessaire, v.1388 (Acte 5, scène 2, ISABELLE)
La voici, juste Dieu, je tremble, je frémis, v.1417 (Acte 5, scène 2, ÉDOUARD)
Et jamais à l'abord de cent mille ennemis v.1418 (Acte 5, scène 2, ?DOUARD)
Où ton ingratitude a porté ma misère, v.1444 (Acte 5, scène 3, ÉDOUARD)
Où ton crime a porté ce misérable Roi, v.1445 (Acte 5, scène 3, ?DOUARD)
Ceux que j'avais soumis au sceptre d'Angleterre, v.1467 (Acte 5, scène 3, ?DOUARD)
S'il m'est encor permis de m'approchez de vous, v.1489 (Acte 5, scène 3, ÉLIPS)
De ses ennemis mêmes est si considérée, v.1548 (Acte 5, scène 3, ?LIPS)
Et de mes ennemis tire mon innocence, v.1604 (Acte 5, scène 3, ÉLIPS)
Et n'espère de moi que ce que je promis. v.1706 (Acte 5, scène 4, ÉDOUARD)
Devant vous mes amis je confesse mes crimes, v.1743 (Acte 5, scène 4, ÉDOUARD)

Dans les 1895 textes du corpus, il y a 9 textes (soit une présence dans 0,47 % des textes) dans lesquels il y a 403 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 44,78 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LE CLARIONTE	8	3	5	12	8	36
2	LA BRADAMANTE	6	10	21	3	5	45
3	JEANNE	13	7	11	6	10	47
4	PHALANTE	7	12	7	11	8	45
5	LE COMTE D'ESSEX	6	10	13	10	5	44
6	HERM?N?GILDE	18	13	8	10	3	52
7	LA MORT DE MITRIDATE	9	7	11	18	11	56
8	LA MORT DES ENFANTS D'HÉRODE	4	10	8	15	9	46
9	ÉDOUARD	6	4	3	6	13	32
	Total	77	76	87	91	72	403