Occurences de l'expression

ose

pour DUFRESNY, Charles

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LA JOUEUSE (1699)

Effectivement la chose est problématique ; et quand Monsieur et Madame Orgon se sont fait séparer de corps et de biens, on devait régler en justice, si le salon serait pour la Musique de Monsieur, ou pour le jeu de Madame. (Acte 1, scène 2, TRIOLET)
Je crains bien, que quelque jeune étourdi ne lui ait inspiré autre chose. (Acte 1, scène 4, FROSINE)
N'ose penser ce qu'elle sent. v.4 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
N'ose penser ce qu'elle sent. v.8 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
N'ose... v.9 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
N'ose... (Acte 1, scène 5, TRIOLET)
Vous exprimez bien que vous n'osez ; mais il faut chanter comme si vous sentiez ce qu'elle sent. (Acte 1, scène 5, FROSINE)
Çà, Monsieur, nous voulons pourtant vous proposer un bon parti pour Jacinte, c'est ce vieux Chevalier que vous connaissez. (Acte 1, scène 6, FROSINE)
En attendant, Monsieur, je voudrais vous prier de protéger un homme que je veux proposer tantôt à Madame pour Jacinte : c'est un jeune homme aimable, qui est fils unique d'une mère très riche, et qui n'a plus de mari ; ce jeune homme-là s'appelle Dorante. (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Oui, mais je veux être obéie ; je suis une méchante mère, quoique la meilleure femme du monde : heureusement, mon fils a bon esprit, il regardera ce mariage-là du bon côté ; il n'y a que manière d'envisager les choses : le veuvage par exemple m'eût affligé le reste de mes jours, si je n'y eusse envisagé qu'un mari perdu ; j'y vois la liberté retrouvée, sujet de joie. (Acte 1, scène 9, LA-MARQUISE)
Je n'osai jamais te parler hier de quelque chose ; j'en avais bien envie pourtant. (Acte 2, scène 1, JACINTE)
La plaisante chose, Frosine, c'est justement ce que je voudrais savoir de toi. (Acte 2, scène 1, JACINTE)
Çà, en attendant ma femme, chantons quelque chose Frosine. (Acte 2, scène 2, ORGON)
Venez donc, j'ai autre chose à vous dire. (Acte 2, scène 6, LA-JOUEUSE)
Si c'est d'autre chose, parlez, Madame, qu'y a-t-il pour votre service. (Acte 2, scène 6, DORANTE)
J'y ai affaire pour autre chose. (Acte 2, scène 6, DORANTE)
Volontiers, raisonnons, et pesons bien toutes choses ; car hors ma passion du jeu, j'ai du jugement et de la tête, Lisette, et de la tête ; consultons donc la raison et ma tendresse maternelle. (Acte 2, scène 8, LA-JOUEUSE)
Non, c'est une charrette, je vous prie donc de faire attention à une chose... (Acte 2, scène 8, LISETTE)
Parlons d'autre chose, Madame : comme c'est moi qui ménage secrètement avec vous le mariage du riche Chevalier et de votre fille, il me presse de vous presser, vos délais, vos retardements l'alarment. (Acte 2, scène 9, TRIOLET)
Je n'ose le donner moi-même à la Marquise, elle est babillarde ; ni son fils, ni Jacinte ne me le pardonneraient jamais. (Acte 2, scène 11, FROSINE)
Oui, charmante Jacinte, je renonce au mariage que ma mère me propose, et rien ne pourra m'empêcher de me donner à vous. (Acte 3, scène 2, LA-MARQUISE)
Si la femme de Triolet est morte, j'aurai la survivance : mais à propos cette mort nous découvrira peut-être des choses qui changeront bien les affaires de Jacinte. (Acte 3, scène 5, LISETTE)
Elle me conseille de ne point parler à Dorante, de ne plus l'aimer ; y a-t-il rien de si ridicule que de conseiller une chose impossible ? (Acte 3, scène 6, JACINTE)
Tâchons donc de conclure cette affaire, avant que la mort de Madame Triolet fasse éclater certaines choses que je crains fort. (Acte 3, scène 6, LISETTE)
Je vais tâcher d'apaiser ma mère, et de la disposer à ce que je souhaite. (Acte 3, scène 10, DORANTE)
Oui, oui, mon héritier n'osera pas se venger de moi sue ma femme ; car il a intérêt que je meure sans enfants, et tant pis pour lui s'il était assez fou pour se déshériter lui-même. (Acte 3, scène 11, LE-CHEVALIER)
Tenez, tenez, voyez si ce n'est pas quelque chose que ces charmes-là ? (Acte 4, scène 2, ORGON)
C'est quelque chose pour mon fils, pour son amour ; mais l'amour de mon fils, ne me fait point perdre la raison : quand l'amour me fit faire une folie, c'était mon amour à moi, mon amour à moi. (Acte 4, scène 2, LA-MARQUISE)
Ha, ha, c'est quelque chose que cela, mais c'est bien peu pour mon fils. (Acte 4, scène 2, LA-MARQUISE)
Je reçois ce soupir-là pour quelque chose. (Acte 4, scène 2, LA-MARQUISE)
Je ne lui proposerai pas une telle extravagance. (Acte 4, scène 4, ORGON)
Mène-moi vite chez toi, pour vérifier certaines choses. (Acte 4, scène 5, LISETTE)
Voici la seule chose qui reste. (Acte 5, scène 3, TRIOLET)
Je ne m'opposerai point à des sentiments si beaux, si héroïques : tu croyais peut-être que j'allais crier, fulminer, tempêter, non, mon fils, non, tu me vois raisonnable, douce, tranquille. (Acte 5, scène 4, LA-MARQUISE)

LA NOCE INTERROMPUE (1699)

Allons Monsieur le Musicien, chantez-nous un air de chose là, quelque air en rond. (Acte 1, scène 1, LE-SOLDAT)
D'accord : et je dois quelque chose ; mais ma valeur, et ma gloire ne doive rien à personne. (Acte 1, scène 2, LE-SOLDAT)
Ah mon pauvre Adrien, qu'une fille souffre quand elle n'ose parler ; j'en meure d'envie depuis hier, j'en étouffe. (Acte 1, scène 3, NANETTE)
Monsieur, considérez, que je compose seul tout votre domestique ; je ne puis pas être en même temps à la chambre et à l'écurie, à la cuisine et au cabinet, faire les affaires de Monsieur, et le lit de Madame, et la jument par-dessus le marché ; je ne puis pas servir trois maîtres à la fois ; mais heureusement je me tirerai d'affaire aujourd'hui, en ne vous obéissant ni à l'un ni à l'autre. (Acte 1, scène 5, ADRIEN)
J'ai aussi quelque chose à vous dire, qu'il n'est pas bon que Monsieur_le_Comte entende. (Acte 1, scène 7, ADRIEN)
Quoi qu'il en soit, il est bon de prévenir les choses qu'on craint le moins, et ce mariage-ci me tranquillise l'esprit : car Lucas emmène Nanette bien loin. (Acte 1, scène 7, LA-COMTESSE)
Il en aura le démenti ; c'est moi qui dois disposer de Nanette, son père me l'a laissée en mourant, c'est ma filleule : n'ai-je pas raison, mon pauvre Adrien, n'ai-je pas raison ? (Acte 1, scène 7, LA-COMTESSE)
Je vais m'opposer ouvertement à ce mariage, et mettre ma filleule dans un couvent. (Acte 1, scène 7, LA-COMTESSE)
Je suppose même, pour abréger matière, qu'elle est aussi folle que vous ; mais les choses n'en sont pas plus avancées. (Acte 1, scène 9, ADRIEN)
Je vois là bien des impossibilités, sans compter celle de faire vouloir une même chose à deux époux, qui se contredisent depuis quarante ans. (Acte 1, scène 9, ADRIEN)
Dans les villages on ne peut manger que ce qu'on a ; mon garde-chasse n'a tué aujourd'hui que des lièvres, mettez-en trois sur la soupe, marinez-en, farcissez-en bref déguisez-les de génie pour composer un repas diversifié, un repas fin. (Acte 1, scène 10, LE-COMTE)
Puisque vous êtes si tenant, si dur, nous adoucirons les choses ; ne vous inquiétez de rien, ne pensez qu'à Nanette, c'est un trésor ; allez vite lui redonner votre foi, je vais réduire ma femme. (Acte 1, scène 11, LE-COMTE)
N'y a rien à gagner su ste farme-ci ; n'y aurait-il point queuque chose à pardre sue Nanette ? (Acte 1, scène 13, LUCAS)
Je suis au désespoir, mon pauvre Adrien, Monsieur_le_Comte veut que j'épouse Lucas ; Madame_la_Comtesse veut me mettre au couvent, et moi je veux toute autre chose. (Acte 1, scène 14, NANETTE)
Ha, ha, ha, Monsieur c'est la plus plaisante chose du monde. (Acte 1, scène 16, ADRIEN)
Je le sais bien, Monsieur ; mais vous ne laisseriez pas d'être fâché qu'un jaloux vînt vous interrompre, quand vous seriez en train de dire de jolies choses. (Acte 1, scène 16, ADRIEN)
À propos, Monseigneur, j'oubliais à vous avertir d'une chose ; c'est qu'il faudra que je fasse de petits voyages à mon pays de temps en temps. (Acte 1, scène 16, DORANTE)
Osez-vous me contredire ? (Acte 1, scène 17, LE-COMTE)
Osez-vous m'offenser ainsi ? (Acte 1, scène 17, LA-COMTESSE)
On peut aussi emprunter une montre, mais on ne peut point emprunter l'air noble et galant dont vous faites les choses. (Acte 1, scène 18, LA-COMTESSE)

LES MAL-ASSORTIS (1693)

Mais deux choses m'embarrassent en ceci. (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
À qui est-ce de vous deux que j'ai quelque chose à dire ? (Acte 1, scène 2, PIERROT)
Je n'en ai point encore vu dans les affiches : mais je m'imagine, que si on pouvait composer quelque pommade douce avec de la poudre à canon, s'en couvrir le visage, et y mettre le feu... mais je ne l'ai pas encore éprouvé. (Acte 1, scène 3, PIERROT)
Cela est bien aisé à dire, quand on a vu mille choses. (Acte 1, scène 5, LA-FILLE)
Il y a mille femmes scrupuleuses, qui prendraient mal les choses : mais pour moi qui ai l'intention bonne... (Acte 1, scène 5, LA-FILLE)
L'humeur de celle-ci me plairait assez : mais il y a quelque chose à refaire à cette taille-là. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
À propos, monsieur, j'oubliais à vous dire... mais je n'ose. (Acte 1, scène 6, ISABELLE)
Et disposer de moi v.87 (Acte 2, scène 1, LA-COQUETTE)
Mes roses et mes lys sont sans supercherie. v.161 (Acte 2, scène 1, LA-COQUETTE)
Je crois que vous prenez vos roses et vos lys v.162 (Acte 2, scène 1, LE-CABARETIER)
Oh, l'absence ou la présence ne fait rien à la chose, et le mariage va toujours son train. (Acte 2, scène 3, LA-JARDINIÈRE)
Ce serait manquer de politesse que de vous opposer à l'honneur que monsieur veut bien vous faire. (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
La chose est sans explique, v.234 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
Justement. La chose est avérée, v.278 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
À l'hymen que je vous propose : v.290 (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)
Allons, allons, de peur que ce mari, dont vous êtes lasse, et que cette femme qui vous aime si tendrement, ne viennent s'opposer au troc, il faut vous marier promptement. (Acte 2, scène 5, ARLEQUIN)

LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ (1715)

Et l'autre à moi, Girard. J'ose bien me promettre v.3 (Acte 1, scène 1, GIRARD)
Vous l'avez fait aimer, c'est déjà quelque chose : v.135 (Acte 1, scène 3, LA VEUVE)
Mais pour faire épouser il faut doubler la dose v.136 (Acte 1, scène 3, LA VEUVE)
Si quelque chose peut hâter cet heureux jour, v.169 (Acte 1, scène 3, LA VEUVE)
Il veut bien autre chose. v.268 (Acte 1, scène 6, LISETTE)
Mais je n'ose en dire davantage ; v.303 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
Pardonnez-moi si j'ose ici les refuser. v.509 (Acte 2, scène 5, LISETTE)
Il m'vient d'bel'chose en tête. v.755 (Acte 1, scène 3, LUCAS)
On m'va v'nir proposer v.761 (Acte 1, scène 3, LUCAS)

LE DÃ‰PART DES COMÃ‰DIENS (1694)

Je le veux bien, moi, à condition que vous composerez les règles, et moi je les exercerai ; quand les écolières en vaudront la peine, vous donnerez les premières leçons, et je donnerai les dernières. (Acte 1, scène 4, ARLEQUIN)
Je voudrais bien m'associer avec vous, j'ai du talent pour cela : mais il est défendu à un comédien italien de se reposer avant l'âge de six vingt ans ; et ce n'est que par tolérance que Scaramouche s'est retiré à quatre-vingt-quatorze. (Acte 1, scène 5, ARLEQUIN)
Et vous monsieur le mystérieux, méditez-vous quelque chose d'utile pour votre fortune ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
Plus la chose sera touchante. v.118 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
J'ai bien des choses à vous dire. v.120 (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)

LE CHEVALIER JOUEUR (1697)

C'est donc la même chose ? (Acte 1, scène 1, L'ÉTOURDI)
Hé bien, c'est donc la même chose ? (Acte 1, scène 1, L'ÉTOURDI)
Malheureusement pour toi celle-ci commence, aussi bien que l'autre, par le Valet et la Suivante, sitôt que tu les verras paraître, tu sortiras sans les écouter, en criant tout haut : c'est la même chose, c'est la même chose ; et il faut l'écouter pour voir si c'est la même chose. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Il y en a beaucoup, l'autre était en vers, celle-ci est en prose. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Des vers ou de la prose, est-ce que je prends garde à cela ? (Acte 1, scène 1, L'ÉTOURDI)
De la manière dont tu entends ordinairement la Comédie, en prose ou vers c'est tout un pour toi : tu causes tant que la pièce dure, tu ris seulement quand tu entends rire le parterre, sans se soucier si ces plaisanteries sont du sujet ou non. (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Oui, la Loi devrait défendre aux filles, de disposer de leur coeur avant l'âge de quarante ans. (Acte 2, scène 2, LA COMTESSE)
Vous disposerez du vôtre quand il vous plaira. (Acte 2, scène 2, ANGÉLIQUE)
Je n'oserai plus paraître devant ses yeux. (Acte 2, scène 5, DORANTE)
Elle a pris la chose parfaitement bien. (Acte 2, scène 5, NÉRINE)
À quoi me vais-je exposer ? (Acte 2, scène 5, DORANTE)
Exposez-vous, morbleu, exposez-vous... (Acte 2, scène 5, NÉRINE)
Plus 600 livres pour des ratafias, eaux-de-vie, pitrepite, et autres liqueurs soldatesques que vous n'oseriez payer de peur d'être soupçonnée d'avoir aidé à la consommation d'icelles. (Acte 2, scène 5, FRONTIN)
Il n'est Marquis que par habitude ; il y a si longtemps qu'il prend cette qualité, qu'on ose plus lui demander pourquoi : autrefois c'était un de ces aventuriers qui se font appeler Marquis dans les Auberges ; parce que leur nom propre y est décrié. (Acte 4, scène 2, NÉRINE)
À ce qui me paraît, on vous favorise, cependant vous n'êtes qu'ami, dites-vous, et vous faites profession de ne pas dire une chose pour l'autre. (Acte 4, scène 5, LE CHEVALIER)
Si je le souhaite, je n'en sais rien, Chevalier ; je vous ai dit que j'aime, je n'ose répondre de mes sentiments, mais au moins je vous réponds de ma conduite. (Acte 4, scène 5, DORANTE)
Je sais que vous voulez m'imposer une loi. (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Belle Angélique, éprouvez-moi dans des choses plus difficiles ; commandez-moi d'exposer ma fortune, ma gloire, ma vie. (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Je vais employer l'après-midi à disposer de mes affaires selon la résolution que j'ai prise. (Acte 4, scène 6, ANGÉLIQUE)
Ma résolution est prise, et pour ne pas m'exposer davantage à le voir, je vais passer trois mois à la campagne. (Acte 5, scène 1, ANGÉLIQUE)
C'est que vous n'osez le dire ; voyez jusqu'où va le mauvais usage du siècle ; les filles sont honteuses d'avouer qu'elles sont sages. (Acte 5, scène 2, LA COMTESSE)
Mon départ vous exposerait peut-être à certaine passion, dont vous seriez moins maîtresse que de votre colère ; vous avez vos vues pendant mon absence ; vous voulez que je parte, et moi je ne veux plus partir. (Acte 5, scène 2, ANGÉLIQUE)
Il faut convenir que le jeu est une charmante chose. (Acte 5, scène 9, LE CHEVALIER)
C'est quelque chose... (Acte 5, scène 9, FRONTIN)
Non, Madame, non, je ne veux point qu'un engagement précipité vous expose aux retours d'une passion mal éteinte ; et je serais au désespoir que vous manquassiez d'être heureuse avec lui, si vous pouvez l'être. (Acte 5, scène 5, DORANTE)
Ils ont machiné quelque chose contre mon maître, je voudrais bien voir comment il s'en tirera. (Acte 5, scène 6, FRONTIN)
Voici le fait ; Mademoiselle veut bien que vous disposiez de sa personne, mais elle ne veut pas que vous puissiez disposer de son bien. (Acte 5, scène 9, NÉRINE)
Par délicatesse d'amour, Monsieur veut ruiner sa maîtresse, et elle lui propose grossièrement une séparation de biens... (Acte 5, scène 10, NÉRINE)

LE NÃ‰GLIGENT (1692)

Au contraire, si tout le monde parlait en chantant, l'Opéra deviendrait une chose naturelle ; et cela n'en serait pas plus mal. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
Monsieur, je suis surpris que vous ayez fait une comédie en prose, puisque vous avez tant de facilité à faire des vers. (Acte 1, scène 3, ORONTE)
Cette facilité ne fait rien à la chose, v.11 (Acte 1, scène 3, LE-POÈTE)
Pour réussir quand je compose ; v.13 (Acte 1, scène 3, LE PO?TE)
D'abord pour ne me point gêner l'esprit, j'ébauche grossièrement mon sujet en vers alexandrins, et petit à petit en léchant mon ouvrage je corromps avec soin la cadence des Vers, et je par... viens enfin à réduire le tout en prose natu... relle. (Acte 1, scène 3, LE PO?TE)
Vous croyez donc qu'une comédie est plus parfaite en prose qu'en vers ? (Acte 1, scène 3, ORONTE)
Que faut-il davantage pour entretenir, des cavaliers qui pour la plupart ne savent parler d'autre chose que de la sève d'un vin de champagne, des trois dés ou du lansquenet, ou tout au plus du détail de leur Régiment. (Acte 1, scène 3, ORONTE)
Imaginez-vous un homme comme moi, qui a besoin d'une Comédie ; un Auteur comme vous vient lui en proposer une. (Acte 1, scène 5, ORONTE)
Si tous ces caractères étaient plaisants, on en pourrait faire quelque chose ; mais il n'y aurait dans cette Comédie ni union ni action. (Acte 1, scène 5, LE-POÈTE)
Il m'en a déjà donné trente pour la même chose. (Acte 1, scène 5, LE-POÈTE)
C'était une chose qu'il fallait faire. (Acte 2, scène 2, ORONTE)
Je l'ai présenté à Madame votre soeur ; il est avec elle dans la salle, où il examine parmi un assez bon nombre d'originaux qui composent la compagnie, ceux qu'il croit les plus propres pour votre comédie. (Acte 2, scène 2, FANCHON)
Il faut absolument que je vous parle aujourd'hui ; il se machine quelque chose contre vos intérêts ; votre rapporteur presse de produire, et le vent du bureau n'est pas bon pour vous. (Acte 2, scène 3, ORONTE)
L'incommode chose que des gens d'affaires ! (Acte 2, scène 3, ORONTE)
Et vous, passez dans cette chambre, où j'aurai soin de vous mener Bélise : disposez-vous à faire chacun une belle déclaration d'amour, (Acte 2, scène 5, FANCHON)
Et vous en prose. Pour vous, quand vous verrez Angélique seule, vous n'aurez qu'à l'aborder, au moins elle n'est pas avertie de tout ceci, prenez vos mesures là-dessus... (Acte 2, scène 5, FANCHON)
Et fi, fi, fi ; la plaisante chose qu'une passion qui dépend de l'arrangement d'un visage et du quantième de l'âge ! (Acte 2, scène 6, BÉLISE)
Enfin s'il n'est pas tout à fait fou, je crois qu'il ne s'en faut guères du moins, et je n'oserais dire ce que je soupçonne. (Acte 2, scène 7, FANCHON)
Vous avez fait de grands progrès sur son esprit : songez à continuer de manière que vous en puissiez disposer absolument ; c'est tout le service que nous voulons de vous. (Acte 2, scène 12, FANCHON)
Et ma protection, ma protection ; ce n'est pas peu de chose, Fanchon, que ma protection. (Acte 2, scène 13, LE-MARQUIS)
C'est-à-dire, que la tante vous ménage la chose ? (Acte 2, scène 14, L-INTENDANT)
Mais j'ai un secret infaillible pour le faire consentir ; il se repose sur mes soins de la conduite de son procès, je gouverne son Rapporteur, tous les Juges sont mes Intimes, j'achète les droits de sa Partie, et je fais juger l'affaire à mon avantage : jugez si la nièce me peut manquer ? (Acte 2, scène 14, LE-MARQUIS)
Mais enfin, il me semble que je fais bien les choses, et en homme d'honneur j'épouserai la nièce. (Acte 2, scène 14, LE-MARQUIS)
Entre nous je m'accommoderais bien de l'argent, sans me charger de la fille ; mais il y aurait quelque petite chose à dire à cela, et il faut empêcher de parler le petit monde, et puis, je crois que je suis amoureux. (Acte 2, scène 14, LE-MARQUIS)
Je ne vous recommande autre chose tous les jours, Monsieur, que de contenter les petits ouvriers. (Acte 2, scène 15, LE-MARQUIS)
Vous passez pourtant tous les Étés à Paris ; mais tout au moins qu'on me donne quelque chose, je prendrai tout ce qu'on voudra. (Acte 2, scène 15, LE-TAILLEUR)
Voilà parler cela. Vous devenez raisonnable. Hé bien, puisque vous prenez les choses du bon côté ; d'honneur vous aurez de l'argent, quand je devrais vous payer moi-même sur mes menus plaisirs. (Acte 2, scène 15, LE-MARQUIS)
Hé à propos, cela me fait souvenir d'une chose, Monsieur l'Intendant ; montez dans mon Carrosse, et allez chez la grosse Comtesse, savoir des nouvelles de l'affaire que je lui ai recommandée. (Acte 2, scène 16, LE-MARQUIS)
Je suis courtisan au moins, et nous ne valons pas grand chose nous autres. (Acte 2, scène 16, LE-MARQUIS)
Hé, à propos de sublime, Monsieur Licandre, quand verrons-nous quelque chose de votre façon ? (Acte 3, scène 3, LE-MARQUIS)
Pourvu que vous n'exigiez de moi, rien autre chose que de recevoir, je suis toute à votre service. (Acte 3, scène 8, FANCHON)
C'est une chose bien difficile à imaginer. (Acte 3, scène 10, FANCHON)
C'est sur lui que Monsieur Oronte se repose du soin de son procès. (Acte 3, scène 10, DORANTE)
Plus par hasard que par mes soins, j'ai découvert quelques-unes de ses menées, et j'ai mis Lolive aux trousses de son Intendant, qui apparemment est en mouvement dans cette affaire, afin de tâcher à m'éclaircir mieux de certaines choses que ne fais que soupçonner. (Acte 3, scène 10, DORANTE)
Il s'agit de bien autre chose. (Acte 3, scène 11, DORANTE)
C'est une belle chose que de la broderie, mais... (Acte 3, scène 11, DORANTE)
Rien du tout : je vais chercher dans mon cabinet quelque chose digne d'être troqué contre cette Urne. (Acte 3, scène 11, ORONTE)
Les roses de ce printemps-là ne sont pas mal fanées ! (Acte 3, scène 1, FANCHON)
Je n'exige point des choses... (Acte 3, scène 1, LE-POÈTE)
Il devrait être ici il y a une heure, je l'ai mis sur les voies de l'Intendant du Marquis, pour tâcher de découvrir quelque chose. (Acte 3, scène 3, DORANTE)
Si j'avais quelque chose à lui dire, Monsieur, je ne craindrais pas que vous en fussiez le témoin, mais je n'ai rien à négocier. (Acte 3, scène 6, DORANTE)
Vous prenez mal les choses. (Acte 3, scène 6, LE-MARQUIS)
Je serais bien fâchée d'avoir quelque chose à démêler avec lui. (Acte 3, scène 7, ANGÉLIQUE)

L'ESPRIT DE CONTRADICTION (1700)

Comment me souquinriais vous contre elle, qu'on ne pouvé pas vous y souteni vous-même, ne vous dis je pas toujou qu'ous ete trop docile, drès qu'à veut queuque chose, vous dite ouy , drès qua vois qu'ou dite oui, a dit on, et vous le dite itou , épi a redit oui par controvarse, et vous le voulez bian. (Acte 1, scène 1, LUCAS)
C'est une étrange chose que la prévention ; car il n'y a guère de femme qui contredise moins que moi. (Acte 1, scène 3, MADAME ORONTE)
Il m'en a dit queuque petite chose. (Acte 1, scène 3, LUCAS)
J'ai tous les sujets du monde de me plaindre de vous, car vous n'êtes qu'une dissimulée ; mais je suis bonne et raisonnable, et avant que de disposer de vous de manière ou d'autre, je veux bien encore consulter votre inclination ; parlez-moi donc sincèrement une fois en votre vie, voulez vous être mariée ou non ? (Acte 1, scène 4, MADAME ORONTE)
Cependant je n'ose me confier à personne, dans la situation où je vois les choses. (Acte 1, scène 5, ANGÉLIQUE)
C'est ce que vous n'osez me dire, qu'entends-je ? (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Non, cruelle, non, ne craignez rien, si vous pouvez être heureuse avec un autre, j'en mourrai de douceur, mais je ne m'y opposerai point. (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
Je l'emporterai, te dis-je, car elle vient de me proposer d'elle-même ce que je veux, et je n'ai pas fait mine de le souhaiter, de peur qu'elle ne change de dessein. (Acte 1, scène 7, ORONTE)
On trouve qu'il n'a point d'esprit, je trouve moi qu'il en aurait beaucoup, s'il pouvait seulement se désacoûtumer, de dire à tort et à travers des choses où il n'y a ni rime ni raison. (Acte 1, scène 7, ORONTE)
Cela presse, oui, attends, attends, je veux te voir encore, cela m'égaye, parlons de choses et d'autres, conte moi un peu. (Acte 1, scène 8, THIBAUDOIS)
Voilà les choses au point où je les souhaitais et les mesures que je prends, pourront réussir. (Acte 1, scène 15, ANGÉLIQUE)
Ce n'est ni la volonté de ma fille, ni la mienne, qui doit décider, c'est la vôtre, mon mari, et là-dessus, comme sur toute autre chose, vous êtes le maître. (Acte 1, scène 18, MADAME ORONTE)
Hon, fau que li ai la queuque chose, je me doute quasiment. (Acte 1, scène 20, LUCAS)
Est-ce que tu lui as promis quelque chose ? (Acte 1, scène 23, THIBAUDOIS)
Je vous l'avouerai, je n'avais nulle envie de vous proposer ma fille. (Acte 1, scène 26, MADAME ORONTE)
Vous me la proposeriez en vain. (Acte 1, scène 26, VALÈRE)
Taisez-vous, je sais toutes vos menées, le Notaire m'a tout dit ; vouloir me trahir, m'exposer à faire la volonté d'un mari ! (Acte 1, scène 26, MADAME ORONTE)

LA RÉCONCILIATION NORMANDE (1719)

À m'établir mon oncle écrit qu'il se dispose, v.35 (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Et ma tante, dit-on, a promis même chose. v.36 (Acte 1, scène 2, ANG?LIQUE)
Pourquoi dans ces moments, où j'ose me flatter, v.105 (Acte 1, scène 3, DORANTE)
Car je n'ose expliquer pour moi votre silence. v.107 (Acte 1, scène 3, DORANTE)
Un oncle t'abandonne ; embrasse-moi. Tu n'oses ? v.191 (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Non, non, dis franchement les choses. v.192 (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Convenir de nos faits, c'est la première chose. v.199 (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Je garde le secret, de peur qu'il ne s'oppose, v.200 (Acte 1, scène 4, LA MARQUISE)
Si ma figure impose à vos yeux étonnés ; v.286 (Acte 1, scène 8, FALAISE)
Çà, ma soeur, aujourd'hui j'ose vous demander v.507 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
La chose étant ainsi, v.547 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
Vous voulez même chose, et vous êtes d'accord. v.571 (Acte 2, scène 6, ANGÉLIQUE)
Cent choses. v.592 (Acte 2, scène 7, LA MARQUISE)
Il est vrai... je n'ose pas moi-même... v.641 (Acte 2, scène 8, LA MARQUISE)
Il n'ose le redire. v.729 (Acte 3, scène 4, NÉRINE)
Puisqu'à perdre la bonne en plaidant on s'expose. v.890 (Acte 3, scène 8, FALAISE)
Je n'ose la faire. v.1145 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
Impose trop. « Hon, hon... mais je crains votre soeur, v.1225 (Acte 4, scène 7, LE COMTE)
Je n'ose. v.1481 (Acte 5, scène 11, ANGÉLIQUE)

LE JALOUX HONTEUX (1708)

Je vous demande excuse, elle sera bonne à quelque chose. (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Elle n'ose m'avouer son amour, après m'avoir paru si prévenue, contre tous ces petits traîtres-là : elle est honteuse de se retrouver femme, après avoir été si raisonnable. (Acte 1, scène 3, LISETTE)
Parlons d'autre chose. (Acte 1, scène 4, LISETTE)
Damis voulut parler, mais mon mari tourna la chose en plaisanterie ; et galamment à son ordinaire, refusa d'entrer en explication. (Acte 1, scène 5, LA PRÉSIDENTE)
Tu me fais trembler, si c'était celui-ci dont mon Oncle parle dans sa lettre ; il n'en propose qu'un pour ce mariage. (Acte 1, scène 5, LUCIE)
Ils en parlent encore tout bas ; mais quand les valets parlent d'une chose tout bas, toute la Ville en parle bientôt tout haut. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
Promettez-moi deux choses ; premièrement, de ne dire à personne que vous m'aimez ; ensuite de rapporter à Monsieur le Président, tout ce que je vous dirai de lui dire. (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
Je vous dirai donc, ma nièce, que j'ai eu une forte dispute contre nos arbitres ; et je leur ai opposé mille raisons pour Damis, et je leur en opposerai encore : car enfin, Madame, à toute rigueur, j'aimerais encore mieux sacrifier un peu de nos intérêts, au plaisir d'avoir dans ma famille un mérite brillant, comme celui de Damis ; et d'ailleurs, un jeune homme dans notre société, égayerait un peu cette vie triste, que vous avez résolu de mener, Madame ; cela vous obligerait à voir du monde. (Acte 2, scène 7, LE PRÉSIDENT)
Mais plaisanterie à part, je prendrai fortement le parti de Damis : il faut cependant ménager Monsieur Argan pour nos intérêts ; disposez-vous je vous prie, à le bien recevoir ; nous devons au moins payer de politesse, l'empressement qu'il a de rechercher notre alliance. (Acte 2, scène 7, LE PRÉSIDENT)
Le nom ne fait rien à la chose. (Acte 2, scène 9, LE PRÉSIDENT)
Nous déciderons la chose, dans l'Assemblée qu'on tiendra demain. (Acte 3, scène 1, LE PRÉSIDENT)
Je vais toujours disposer mes amis à soutenir mes droits ; je laisse ici Frontin, afin que vous m'écriviez ce soir, la résolution de Mademoiselle. (Acte 3, scène 1, MONSIEUR ARGAN)
Faites-lui sentir qu'on devine ses vues, il n'osera peut-être les suivre plus loin. (Acte 3, scène 2, LISETTE)
C'est toi qui lui ordonnes de me venir toujours rompre la tête des choses dont je n'ai que faire. (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
Hier au matin, drès que Madame a été du haut en bas du lit, elle a pris ses pantoufles, et pis al a commencé par aller vouar à son miroir, comment a se portait ; après elle s'est mise à tourné, viré, ouvrir tous ses tiroirs, et pis les reframer, ravoindre trois fois la même chose, et pis la resserrer ; Hortence, me faut-ci ; Hortence me faut ça, va-t-en me quérir ci, et pis ne bouge : donne-moi ça ; et pi, je n'en veux pu : tantia que n'y a rien à vous dire là-dessus ; car c'est comme si al n'avait rien fait pendant tras heures. (Acte 3, scène 5, HORTENCE)
Je ne vous dirai donc pas queque chose. (Acte 3, scène 5, HORTENCE)
Mais je dirai à Monsieur le Président tantôt queuque chose, pour que Thibaut n'achève pas d'être marié avec moi. (Acte 3, scène 6, HORTENCE)
Oserai-je éclater ? (Acte 4, scène 5, LE PRÉSIDENT)
Je vais me disposer à partir pour Rennes. (Acte 4, scène 6, LE PRÉSIDENT)
Il prend mal la chose ; car examinons, s'il vous plaît... (Acte 4, scène 8, LE PRÉSIDENT)
Oh pour cela, non : plus je suis persuadé de la violence de votre passion, et moins je dois l'exposer à vous voir, avant que d'être sûr de votre mariage. (Acte 4, scène 8, LE PRÉSIDENT)
J'ai rompu quelque chose au carrosse ; et il ne pourra être raccommodé qu'après-midi. (Acte 4, scène 10, THIBAUT)
Monsieur le Président, ne vous en allez pas encore ; car il faut que je vous dise queuque chose avant qu'ou ni soyais pu. (Acte 5, scène 1, HORTENCE)
Attendez que je vous dise à st'heure queuque chose pour moi et Thibaut ? (Acte 5, scène 1, HORTENCE)
C'est que comme je n'oserais dire à Thibaut que je ne l'aime pu, je vous le dis à vous, Monsieur le Président, sans qu'il le sache ; afin qu'ou ly disiais de n'être pu du tout mon mari. (Acte 5, scène 1, HORTENCE)
Toutes mes mesures seraient rompues ; il faut éclaircir la chose. (Acte 5, scène 3, FRONTIN)
Il faut que vous ayez à me dire des choses que Lucie n'ose me dire elle-même. (Acte 5, scène 7, DAMIS)
Vous n'osez peut-être vous-même m'annoncer une nouvelle qui me mettrait au désespoir. (Acte 5, scène 7, DAMIS)

LES ADIEUX DES OFFICIERS (1693)

Il faut les laisser seuls : le jour du départ on a mille choses à se dire. (Acte 1, scène 1, LE TAMBOUR)
Il faut bien lui faire un peu d'amitié, pour le disposer à vous bien traiter en mon absence. (Acte 1, scène 2, MARS)
Qui dispose aujourd'hui v.73 (Acte 1, scène 3, VÉNUS)
Qui doivent au bonheur disposer le terrain : v.84 (Acte 1, scène 3, CUPIDON)
Comment, coquine, tu oses encore me parler de ce maraud de Mars ? (Acte 1, scène 6, VULCAIN)
J'ai prié Bacchus de composer un petit breuvage pour adoucir la colère de Vulcain. (Acte 1, scène 7, MERCURE)

LE MARIAGE FAIT ET ROMPU (1721)

Oui, mais explique-toi. Mets-nous la chose au net. v.138 (Acte 1, scène 3, LA-TANTE)
Mais j'ai beau leur vouloir tenir tête, je n'ose : v.183 (Acte 1, scène 5, LA-TANTE)
C'est un faible que j'ai, leur présence m'impose. v.184 (Acte 1, scène 5, LA TANTE)
Croirai-je qu'on propose un blâmable délai, v.210 (Acte 1, scène 6, LA PRÉSIDENTE)
Peu dé chose. v.277 (Acte 1, scène 9, GLACIGNAC)
Très peu dé chose. v.278 (Acte 1, scène 9, GLACIGNAC)
Moi-même je vais voir si la chose est réelle. v.320 (Acte 1, scène 9, LE NOTAIRE)
Je vous avais caché l'époux que je suppose. v.387 (Acte 2, scène 1, L'HÔTESSE)
Non, qu'à l'autre j'oppose. v.388 (Acte 2, scène 1, L'HÔTESSE)
Et laissez-moi du moins me reposer et boire. v.400 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
Ne t'expose donc plus à cette populace. v.472 (Acte 2, scène 2, L'HÔTESSE)
De vouloir disposer des biens de votre femme, v.636 (Acte 2, scène 7, VALÈRE)
N'oser répondre, c'est marquer sa défiance, v.756 (Acte 3, scène 2, LA PRÉSIDENTE)
Damis fut son amant pourtant, chose constante. v.820 (Acte 3, scène 3, L'HÔTESSE)
Que vos traits sont changés ! C'est une chose étrange, v.953 (Acte 3, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
Par un nouveau contrat disposer de ma nièce. v.1030 (Acte 3, scène 8, LA-TANTE)
Chose rare à présent ! L'on en trouve si peu, v.1035 (Acte 3, scène 8, DAMIS)

LE FAUX INSTINCT (1707)

Oui, Monsieur, nous allons tout disposer pour l'arrivée de mon oncle. (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
Ha ma mère nourrice, que je suis aise, ma mie Toinette va venir bientôt, mon autre mie viendra aussi bientôt, et elles me donneront toutes les deux trés bien de bonnes choses ; voyez si je ne suis pas bein aise bien aise bien aise. (Acte 1, scène 6, LA PETITE FILLE)
Oui vraiment et je donnerais toutes choses au monde pour qu'elle fut à la Veuve : car ma jeune Maîtresse aurait besoin pour se marier, d'hériter de son oncle, elle serait son héritière unique s'il n'avait point cette petite fille-ci. (Acte 1, scène 12, TOINETTE)
Vous faites bien de nous avertir, je vais disposer tout pour la gageure, entrez-dans la salle du Nourricier. (Acte 1, scène 14, TOINETTE)
C'est une chose triviale, que la sympathie, un de mes amis se maria à Paris, et moi étant aux Indes, au moment de son mariage, je sentis dans le coeur, un épanouissement, une joie ; mais une joie que je ne savais pas d'où cela me venait. (Acte 2, scène 3, LE VIEILLARD)
Rien n'est plus ordinaire ; mais ce qui est singulier, c'est qu'à Huilant qu'il meure une personne dans le monde, tous ceux qui sont nés sous la même planète, sentent quelque chose, on n'y fait pas d'attention, parce que cela est imperceptible, mais cela est pourtant vrai. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
Je ne puis supporter ma douleur, je vais me reposer ou plutôt m'évanouir là-dedans. (Acte 2, scène 4, LA VEUVE)
Quoique je n'ai point vu ma petite fille depuis le temps de sa naissance, je ne laisse pas d'être fâchée de sa mort, mais je ne veux pas exiger d'Angélique qu'elle paraisse triste d'une chose qui doit la réjouir. (Acte 2, scène 9, LA FEMME DU VIEILLARD)
Ah, je vous impose silence aussi bien qu'à elle, je n'aime point à entendre dire des choses qu'on ne pense point, et pour vous dire en un mot mes sentiments, je me console contre mes propres intérêts de n'avoir plus d'enfant, puisque cela peut faire le bonheur d'Angélique que j'aime. (Acte 2, scène 9, LA FEMME DU VIEILLARD)
Elle vient achever ce que tu as commencé, moi je vais disposer nos gens à partir sans approfondir l'affaire. (Acte 2, scène 11, TOINETTE)
Comment ferions nous pour ça, tenez, Madame, si vous pouviais ne dire mot et faire semblant de rien, je vous dirais queuque chose. (Acte 2, scène 12, LE NOURRICIER)
Queuque chose qui vous feraiT ben aise, mais soyez donc ben aise tout bas, car quand les femmes sont ben aise ou bien fâché, a glapissons. (Acte 2, scène 12, LE NOURRICIER)
Madame a raison, car nous ne devons point souhaiter l'enfant d'autrui, dites la chose comme vous la savez Nourricier. (Acte 2, scène 13, LA VEUVE)
Ce que je vois clairement, c'est que vous êtes un fripon, et que pour avoir double pension, vous avez caché la chose. (Acte 2, scène 13, LE VIEILLARD)
La nourice m'a conté la chose ainsi mot pour mot et l'affaire me paraît obscure. (Acte 2, scène 14, LA FEMME DU VIEILLARD)
Ce Valère a dans la physionomie quelque chose de funeste pour moi, et le rêve que j'ai fait... mais ne parlons à présent que de la petite filles ; j'en veux voir la vérité. (Acte 2, scène 15, LE VIEILLARD)
Écoutez-moi, l'aventure d'aujourd'hui vous donne occasion d'accorder ensemble la bagatelle et le solide, vous ignorez encore qui de vous deux sera le plus riche, votre sort dépend de ce qui sera décidé sur la petite fille, en attendant la décision vous jouez gros jeu, mais vous avez jeu égal, composez, et promettez-vous l'un à l'autre, que celui de vous deux qui aura une succession, la partagera avec ce qu'il aime, quelque chose qui arrive vous n'aurez lien à vous reprocher. (Acte 3, scène 1, TOINETTE)
Comment feras-tu donc pour gagner ces cent louis-là, est-ce que la chose est vraie, ou si tu le feras croire vraie quoi qu'elle soit fausse, parle-donc, pourquoi ne m'as-tu pas dit ce secret. (Acte 3, scène 9, TOINETTE)

LE FAUX SINCÈRE (1731)

Madame la Marquise ose vous demander v.201 (Acte 1, scène 4, LAURETTE)
Peut disposer ici de tout avec franchise. v.204 (Acte 1, scène 4, MADAME ARGANT)
Mettons en cas d'amant toujours la chose au pis : v.338 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
Je vous ai déjà dit ce que j'ose exiger ; v.484 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
De n'oser me blâmer en face. v.511 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
Sur quoi l'on glose un peu, c'est ma fille cadette. v.522 (Acte 2, scène 5, MADAME ARGANT)
Quelque chose... là... v.535 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
Farder ! C'est autre chose. v.573 (Acte 2, scène 5, MADAME ARGANT)
Non, ainsi que le fard trop de parure impose, v.574 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
En un mot se parer, c'est imposer aux yeux, v.576 (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
Tout autre chose, hélas ! À présent m'intéresse. v.594 (Acte 2, scène 7, LE-CHEVALIER)
Déclarez-vous donc mieux, la chose est ambiguë. v.677 (Acte 2, scène 10, MADAME ARGANT)
Je n'ose pas en dire davantage. v.682 (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
Vous vous moquez d'oser tenir un tel langage. v.867 (Acte 3, scène 3, LA MARQUISE)
Gascon, Picard, je vois là-dedans quelque chose. v.987 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR-FRANCHARD)
Sans aller et venir je veux qu'on se repose. v.988 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR FRANCHARD)
Se troubler tout d'abord sur des choses si claires, v.1043 (Acte 3, scène 8, LE-CHEVALIER)
C'est toujours quelque chose. v.1159 (Acte 4, scène 2, MONSIEUR-FRANCHARD)
Par cet aveu sans doute au refus je m'expose. v.1160 (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
Une bouche agréable, un son de voix impose, v.1259 (Acte 4, scène 6, LE-CHEVALIER)
M'a paru médiocre. Enfin je crains, je n'ose, v.1260 (Acte 4, scène 6, LE CHEVALIER)
Oui, je vous dirai la chose. v.1573 (Acte 5, scène 7, RAPIN)
Je tire ici parti de ma métamorphose ; v.1574 (Acte 5, scène 7, RAPIN)
Peut-être en expliquant la chose à sa manière, v.1658 (Acte 5, scène 9, LE-CHEVALIER)
Est médiocre au fond, un son de voix impose. v.1725 (Acte 5, scène 11, ANGÉLIQUE)
La jalouse Marquise a mal tourné la chose. v.1726 (Acte 5, scène 11, LE-CHEVALIER)

LE FAUX HONNÃŠTE HOMME (1703)

Cette répétition prouve quelque chose, car elle prouve que vous en êtes entêtée ; mais je voudrais que vous me racontassiez quelque belle action de lui qui me prouvât... (Acte 1, scène 1, FROSINE)
Comme cette nouvelle l'a étourdie : elle aime Valère, ou je suis bien trompée, faisons-lui avouer la chose. (Acte 1, scène 3, FROSINE)
Oserais-je vous demander entre les mains de qui on a mis le testament ? (Acte 1, scène 4, LA-VEUVE)
Par exemple : un mari est plus qu'un oncle, je me suis pourtant consolée d'être veuve ; il n'y a que manière d'envisager les choses. (Acte 1, scène 6, LA-MARQUISE)
Mais qui peut vous empêcher d'accepter le parti qu'elle vous propose ? (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Je n'ose l'avouer à ma mère ; car celle que j'aime ne peut plus espérer d'être riche, et ma mère ne connaît d'autre mérite que celui des richesses ; elle n'aurait nul égard au plus sincère amour, à l'ardeur la plus tendre, à la plus violente passion. (Acte 1, scène 8, VALÈRE)
Vous supposez donc que cette aimable personne, n'a pour moi que de l'indifférence et du mépris ? (Acte 1, scène 8, VALÈRE)
Je suppose, si vous voulez, qu'elle vous estime : c'est pour cela qu'elle doit craindre les soupçons et les froideurs qui suivent d'ordinaire un mariage inégal. (Acte 1, scène 8, ANGÉLIQUE)
Oh tout plein ; on le vient chercher pour cela de tous les côtés, c'est lui qui va partout dans les maisons, faire les plus belles choses qui se fassent. (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Oh dès que mon Maître le vit venir de loin, il courut jusques dans la rue pour l'embrasser : dame c'est là qu'il lui dit de belles choses de coeur... (Acte 1, scène 11, FLAMAND)
Je n'ai qu'une chose à vous dire là-dessus ; votre tante est entêtée d'Ariste, elle l'épousera, si on n'y met ordre : il faut la désentêter de cet homme-là, c'est le noeud de l'affaire, et ce noeud sera difficile à dénouer ; car l'entêtement de votre tante est un entêtement de coeur. (Acte 2, scène 1, FROSINE)
Je n'affecte point d'être modeste, j'avoue franchement que j'ai quelque chose de bon, c'est le coeur. (Acte 2, scène 2, ARISTE)
Il en a disposé en homme équitable ; il s'est souvenu que ceci m'appartenait par certaines raisons secrètes... mais il s'en est souvenu, je dois les oublier moi ; quand on a obligé un ami, c'est une espèce d'ingratitude de s'en souvenir, on doit oublier bien des choses dans la vie, le mal que nos ennemis nous ont fait, le bien que nous avons fait à nos amis. (Acte 2, scène 2, ARISTE)
Il y a peut-être dans cette lettre quelque chose de ce que nous cherchons ; décachetons-la. (Acte 2, scène 6, FROSINE)
Mon maître est bienheureux d'avoir un valet affectionné, c'est une belle chose que l'affection : hé, mon Maître me va demander la lettre. (Acte 2, scène 6, FLAMAND)
En nous mariant secrètement, nous pourrions cacher la chose, jusqu'à ce que votre fils fût pourvu. (Acte 2, scène 9, ARISTE)
Et ensuite je disposerai votre Mère à ce que vous souhaitez. (Acte 2, scène 11, ARISTE)
Votre parole vaut-elle quelque chose ? (Acte 2, scène 14, LE-CAPITAINE)
Il y a une heure que je vous fais chercher partout, j'ai mille choses à vous dire. (Acte 3, scène 2, FROSINE)
Je ne me chagrine point, te dis-je, au contraire : tu refuses un riche parti, cette Angélique n'a rien, je te laisserai peu, et peu de chose avec rien, cela fera un établissement ridicule qui me réjouira. (Acte 3, scène 3, LA-MARQUISE)
Je comprends qu'il est bon d'éclaircir la chose : ne nous dissimulons rien, mon fils, et pour l'intérêt commun raccommodons-nous ensemble ; nous nous rebrouillerons toujours bien après. (Acte 3, scène 4, LA-MARQUISE)
Sans vous exposer à un éclaircissement désagréable, vous pouvez conter qu'Ariste vous trahissait tous deux. (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
Elle prend la chose à merveille ; car dans le fond, ce qui me charme en elle, c'est la générosité ; si elle acceptait, elle cesserait d'être généreuse, et je cesserais peut-être d'être charmée. (Acte 3, scène 5, LA-MARQUISE)
Il m'en a touché quelque chose. (Acte 3, scène 9, ARISTE)
Monsieur, s'il vous propose quelque friponnerie contre nous, empêchez-la, je vous prie. (Acte 3, scène 9, FROSINE)
Gardez-vous en bien, je suis ravi que vous ne valiez rien, car je ne vaux pas grand-chose, et nous nous en accommoderons mieux tous deux ensemble. (Acte 3, scène 11, LE-CAPITAINE)
Monsieur, je ne viens plus vous proposer le mariage, vous êtes engagé de coeur, avec Madame la Marquise, je ne veux point vous contraindre ; comme elle est riche, et que je ne le suis pas, elle consent que vous me rendiez mon bien ; il y un Notaire là-dedans, cédez-moi toutes les prétentions que vous avez ; il n'y a rien à dire là-dessus, que oui ou non. (Acte 3, scène 12, LA-VEUVE)
Les choses ont changé, Madame, je ne suis plus dépositaire du bien ; et Monsieur qui est vraiment homme d'honneur, vient de me déclarer que le défunt m'engage à certaines restitutions secrètes... (Acte 3, scène 12, ARISTE)

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LE DÉDIT (1719)

Mes deux tantes feraient quelque chose pour nous, v.20 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
Je prends mon temps fort bien, et j'ose me vanter v.124 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
La chose est sérieuse, v.161 (Acte 1, scène 1, FRONTIN)
Qu'en moi vous avez fait une métamorphose. v.229 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Tous deux en même temps pensions donc même chose ? v.230 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Même chose, et toujours sympathie entre nous. v.231 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Composez, retirez vos billets de Valère. v.265 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
Depuis que je vous vois, je n'ose plus la voir. v.271 (Acte 1, scène 6, BÉLISE)
Je tremble... J'ai pourtant cent choses à vous dire, v.281 (Acte 1, scène 8, ARAMINTE)
Car en vivacité j'ose vous égaler. v.300 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
Composez avec lui, votre argent est-il prêt ? v.331 (Acte 1, scène 8, FRONTIN)
Ah ! Je vois qu'elle sait la chose ; il vaut autant v.344 (Acte 1, scène 10, BÉLISE)
Quand d'un argent commun toute seule on dispose... v.353 (Acte 1, scène 10, ARAMINTE)
On devrait avertir qu'on le prend, mais on n'ose. v.354 (Acte 1, scène 10, BÉLISE)
Car chacun à son gré peut disposer du sien. v.368 (Acte 1, scène 10, BÉLISE)

LA MALADE SANS MALADIE (1699)

J'allais à votre chambre, ma chère enfant ; j'allais vous donner avis de certaines choses qui se passent à votre préjudice ; car vos intérêts me sont chers... (Acte 1, scène 2, LUCINDE)
Est-ce qu'elle soupçonnerait quelque chose, Lisette ? (Acte 1, scène 3, LUCINDE)
Les inquiétudes de nuit sont dangereuses, je vais te faire prendre quelque chose pour cela, viens te recoucher. (Acte 1, scène 4, LUCINDE)
Je prends les choses mieux que toi ; Monsieur ne prétend pas que j'aie une santé robuste. (Acte 1, scène 5, LA-MALADE)
Je n'oserai plus parler, si Mademoiselle continue d'être mon interprète. (Acte 1, scène 5, VALÈRE)
Excusez, Monsieur, si je vous quitte, il n'y a que la régularité du régime, qui me fait subsister, et il faut que je prenne certaines choses à certaines périodes ; si vous voulez revenir dans une heure... (Acte 1, scène 5, LA-MALADE)
J'aurai après cela mille choses à vous communiquer, quand je vous aurai conté tous mes maux, il me semble que je serai à moitié guérie. (Acte 1, scène 5, LA MALADE)
Il n'y a que vous qui puissiez vous faire écouter, personne n'ose plus lui parler que Lucinde ; vous voyez comme elle est entêtée ; tâchez qu'elle s'entête de vous, car chez les femmes un entêtement ne se guérit que par un autre. (Acte 1, scène 6, LISETTE)
La déclaration est brusque : vous proposez un mariage, comme une partie de plaisir. (Acte 2, scène 2, LISETTE)
Elle est si gracieuse, si affable, et si bien disante qu'on n'oserait s'y fier. (Acte 2, scène 3, FAUSSINVILLLE)
Vous voyez que j'avais raison de différer votre entrevue ; je voulais avoir le temps de la disposer en votre faveur. (Acte 2, scène 6, LUCINDE)
Mon cher Monsieur, je ménagerai la chose en trois ou quatre jours. (Acte 2, scène 6, LUCINDE)
Je vais lui proposer son bonheur. (Acte 2, scène 7, FAUSSINVILLLE)
Je l'attends au faux-fuyant ; il va lui proposer quelque avantage pour elle, qui sera lucratif pour nous... (Acte 2, scène 7, LAVALÉE)
Il faut vouloir tout ou rien, je ne fais point les choses à demi. (Acte 2, scène 8, FAUSSINVILLLE)
Quelque chose de plus fort. (Acte 2, scène 8, FAUSSINVILLLE)
Ce tout-là, est peu de chose. (Acte 2, scène 9, LISETTE)
Vous, Monsieur, pour vous instruire à fond des choses, faites l'office d'ami de la famille, et tâchez de tirer quelque éclaircissement du Marquis, le voilà dans le jardin, abordez-le, faites-le parler ; moi je ferai parler Lucinde. (Acte 2, scène 9, LISETTE)
Vous confondez deux choses très opposées ; la justice n'a en vue que la paix, et l'union ; le procès au contraire est la source des inimitiés, et de la haine. (Acte 3, scène 1, VALÈRE)
Allez vite faire mettre sa bonne volonté sur un parchemin bien fort, afin que la postérité sache que c'est une belle chose que l'amitié. (Acte 3, scène 3, LISETTE)
C'est ce qui nous a déterminés à venir trouver ma tante ; pendant qu'elle est seule, nous allons lui proposer un accommodement. (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
Les choses en sont déjà là ? (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
Mais laissons cela pour le présent, j'ai à vous parler d'autre chose. (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
Pourrais-je vous refuser quelque chose ? (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
Remettons la chose à tantôt, car j'ai à vous entretenir de choses plus importantes. (Acte 3, scène 5, LA-MALADE)
Je ne t'ai pas encore dit, Lisette, que je suis d'accord avec le Marquis, je t'expliquerai la chose, mais il est question à présent d'agir tous de concert. (Acte 4, scène 8, LUCINDE)
Je conclus de là que les ressorts, qui composent le reste de la machine, ne tiennent ensemble que par des filaments, dont la contexture est si fine, si fine... (Acte 5, scène 4, LAVALÉE)
Il se va passer là quelque chose qui pourrait être contre les intérêts de mon Maître ; allons vite l'avertir. (Acte 5, scène 6, LAVALÉE)

LE DOUBLE VEUVAGE (1699)

Je vais aussi prendre le noir pour rendre la chose plus touchante. (Acte 2, scène 4, THÉRÈSE)
Toutes ces choses-là consistent en un mot : est-il mort ou ne l'est-il pas. (Acte 2, scène 7, LA COMTESSE)
Le voici, je crois qu'il compose, car il marche de mesure ; tenez, tenez, Madame, de la force dont il se tourmente, il est possédé du démon de la Musique. (Acte 2, scène 7, LA SUIVANTE)
J'admire la sagesse des Lois de notre Province, qui permet aux époux de s'entredonner leurs biens ; car l'espérance d'hériter l'un de l'autre, est la seule digue qu'on peut opposer aux torrents des querelles domestiques. (Acte 2, scène 10, GUSMAND)
Je ne lui veux pas assez de mal pour l'exposer au mariage. (Acte 2, scène 11, LA VEUVE)
Elle serait trop affligée de le perdre ; la marier, ce serait l'exposer à être veuve et malheureuse comme moi. (Acte 2, scène 11, LA VEUVE)
La plaisante chose. (Acte 3, scène 1, THÉRÈSE)
Mais je n'ose le croire. (Acte 3, scène 5, L'INTENDANT)
S'il vous questionne, ne répondez autre chose, que, elle est morte ; mais quand cela ? (Acte 3, scène 7, GUSMAND)
C'est une chose merveilleuse que la ressemblance dans les familles. (Acte 3, scène 14, LA VEUVE)
Je tourne la chose en raillerie, car j'ai une idée qu'il faut communiquer à Frosine. (Acte 3, scène 19, GUSMAND)
Notre Intendant est outré de n'être plus veuf : il peste contre Madame_la_Comtesse qui lui a donné cette fausse joie ; mais il n'ose rompre avec Gusmand, il craint qu'il n'apprenne à sa chère épouse son infidélité. (Acte 3, scène 1, FROSINE)
Cela pourrait peut-être... par hasard... supposé que... mais franchement, je crois que cela ne produira pas grand-chose ; ils viennent, retirez-vous : je vais voir en quel état est ma Maîtresse. (Acte 3, scène 1, FROSINE)
Je crois m'apercevoir qu'au lieu de vous réjouir, ceci vous attriste, il y a quelque chose là, que je ne comprends point ; quand je marie à mes dépens, un neveu qui vous déplaît, afin de l'éloigner de vous... (Acte 3, scène 6, LA COMTESSE)

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Dans les 1930 textes du corpus, il y a 18 textes (soit une présence dans 0,93 % des textes) dans lesquels il y a 371 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 20,61 occurences par texte.

n°	Titres	Acte 1	Acte 2	Acte 3	Acte 4	Acte 5	Total
1	LA JOUEUSE	7	10	6	6	2	31
2	LA JOUEUSE	3	0	0	0	0	3
3	LA NOCE INTERROMPUE	20	0	0	0	0	20
4	LES MAL-ASSORTIS	7	3	0	0	0	10
5	LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ	8	1	0	0	0	9
6	LE D?PART DES COM?DIENS	3	0	0	0	0	3
7	LE DÉPART DES COMÉDIENS	2	0	0	0	0	2
8	LE CHEVALIER JOUEUR	6	7	0	6	9	28
9	LE N?GLIGENT	8	19	14	0	0	41
10	LE NÉGLIGENT	2	0	0	0	0	2
11	L'ESPRIT DE CONTRADICTION	17	0	0	0	0	17
12	LA RÉCONCILIATION NORMANDE	9	5	2	2	1	19
13	LE JALOUX HONTEUX	6	4	7	5	6	28
14	LES ADIEUX DES OFFICIERS	4	0	0	0	0	4
15	LES ADIEUX DES OFFICIERS	2	0	0	0	0	2
16	LE MARIAGE FAIT ET ROMPU	7	5	5	0	0	17
17	LE FAUX INSTINCT	4	12	2	0	0	18
18	LE FAUX SINCÈRE	3	10	4	4	5	26
19	LE FAUX HONN?TE HOMME	10	8	10	0	0	28
20	LE DÉDIT	15	0	0	0	0	15
21	LA MALADE SANS MALADIE	8	10	7	1	2	28
22	LE DOUBLE VEUVAGE	0	6	8	0	0	14
23	LES MAL-ASSORTIS	0	6	0	0	0	6
	Total	151	106	65	24	25	371