Occurences de l'expression
Hi
pour DUFRESNY, Charles
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LA JOUEUSE (1699)
- C'est ce qui me fâche ; car depuis la trahison que vous m'avez faite, je n'ai pas un plus grand plaisir que de quereller avec vous. (Acte 1, scène 2, LISETTE)
- Je n'osai jamais te parler hier de quelque chose ; j'en avais bien envie pourtant. (Acte 2, scène 1, JACINTE)
- Oui, Frosine, mais hier, je ne pus jamais aller jusqu'au bout ; car en lisant je rêvai tant à Dorante, que j'avais les yeux sur le livre, et si je ne lisais rien... (Acte 2, scène 1, JACINTE)
- Hier encore je fus portée au flambeau ; ce maudit homme-là sait que sa présence m'est fatale, et il a la rage de se venir mettre sur le dos de ma chaise, c'est un écumeurs de jouissances, il a la face blême et longue d'une toise ; dès que je le vois, ma carte est en l'air. (Acte 2, scène 3, LA-JOUEUSE)
- Vous voyez qu'il me presse de me déclarer sue le mariage de ma fille ; mais comme je vous le dis hier, il m'est de dernière importance, qu'on ne sache point aujourd'hui les engagements que j'ai avec vous. (Acte 2, scène 5, LA-JOUEUSE)
- À propos, Monsieur, je ne me souviens plus combien vous me prêtâtes hier. (Acte 2, scène 6, LA-JOUEUSE)
- C'est que je l'ai quitté hier ; ce n'est rien que cela. (Acte 3, scène 5, LE-CHEVALIER)
- Elle est toujours malade, je ne l'ai point vue depuis huit jours ; j'arrivai hier fort tard de la campagne, Monsieur Orgon m'a donné ici un lit. (Acte 3, scène 5, TRIOLET)
- Vous en gagnâtes bien hier comme cela : on en mettait dix sur une carte, Monsieur le Chevalier. (Acte 3, scène 10, LA-JOUEUSE)
- De l'avoir trahi n'est-ce pas ? (Acte 4, scène 10, ORGON)
- Combien voilà que je regagne en beaux louis d'or : l'or me rafraîchit le sang, comme de l'eau de poulet ; je sens couler cet or-là dans mes veines : quelle volupté ! (Acte 4, scène 12, LA-JOUEUSE)
- Ce sont des bonnes fiches pourtant, il ne faut qu'un clin d'oeil pour l'enrichir, elle est aux prises contre un joueur respectable, et fort estimé dans Paris, c'est un gros boeuf, mais un gros boeuf riche, et bête à l'avenant, il joue tant qu'il a de l'argent, et il a de l'argent tant qu'il veut, il joue pour se faire des amis, par galanterie ; il oublie les cartes des femmes, et il paye les hommes deux fois pour éviter les querelles. (Acte 5, scène 5, LE-CHEVALIER)
LA NOCE INTERROMPUE (1699)
- Ah mon pauvre Adrien, qu'une fille souffre quand elle n'ose parler ; j'en meure d'envie depuis hier, j'en étouffe. (Acte 1, scène 3, NANETTE)
- Hier au soir, en rentrant dans le Château, j'aperçus l'homme du petit bois, qui courait après moi tout hors d'haleine, et ne pouvant parler, il gesticulait, et en gesticulant il me mit quelques louis d'or dans la main. (Acte 1, scène 3, ADRIEN)
- Est-ce que ma parole n'est pas bonne, double chien ? (Acte 1, scène 5, LE-COMTE)
- Hé cahin, caha. (Acte 1, scène 13, LUCAS)
- Du bel esprit à la chimère, v.78 (Acte 1, scène 24, LA-COMTESSE)
LES MAL-ASSORTIS (1693)
- Ah, quelle trahison, monsieur le gouverneur, quelle trahison ! (Acte 1, scène 5, UNE-DES-FILLES)
- Hippocrate dit que « summum gaudium mulieres dilatando occidit ». (Acte 1, scène 6, ARLEQUIN)
- Des chauves-souris, des hiboux, v.14 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- Qu'ils ne l'étaient hier. Ma bile s'évapore, v.25 (Acte 2, scène 1, ARLEQUIN)
- Et la bachique nation v.50 (Acte 2, scène 1, LE-CABARETIER)
- Et me prédit un très fâcheux hiver. v.56 (Acte 2, scène 1, LE CABARETIER)
- Hier au soir je voulais en toute liberté, v.102 (Acte 2, scène 1, LA-COQUETTE)
- Apprenez-moi le hic de cet aimable époux. v.227 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ (1715)
- Faut que c'quon dit soit bau, car vous m'ébahissez. v.149 (Acte 1, scène 3, LUCAS)
- Il aura réfléchi ; c'est son jour de raison, v.166 (Acte 1, scène 3, LA VEUVE)
- L'autre leçon qu'encor hier elle me fit ; v.225 (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Toujours sur la fortune il a quelque chimère. v.259 (Acte 1, scène 6, LE BARON)
- Je rêvais... que je viens d'avoir trop de franchise, v.296 (Acte 1, scène 8, LISETTE)
- Et moi je suis muet de honte... par franchise, v.328 (Acte 1, scène 10, ARGAN)
- Au fond j'ai tort pourtant de vous trahir ainsi v.334 (Acte 1, scène 10, ARGAN)
- Vous trahir, vous fâcher ! Je devais prudemment v.342 (Acte 1, scène 10, ARGAN)
- Profite, multiplie, et croit comme chiendent. v.369 (Acte 2, scène 1, LA VEUVE)
- Ô sort, injuste sort, d'enrichir des Lucas ? v.426 (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
- De ce que le hasard vient d'enrichir Lisette ? v.431 (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
- Mais son amour pour moi ne pourra se trahir. v.462 (Acte 2, scène 5, ARGAN)
- Oui, c'est la trahison. v.601 (Acte 2, scène 8, LUCAS)
- Oh, vla l'hic, j'y vois clair. v.606 (Acte 2, scène 8, LUCAS)
- Ça m'ébahit toujours : oui, quoiqu'a n'soit qu'ma fille, v.630 (Acte 2, scène 9, LUCAS)
LE DÉPART DES COMÉDIENS (1694)
- Et fait nicher les hirondelles v.18 (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Qui triomphiez jadis dans ce vaste parterre ? v.26 (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Qui rend en plein hiver nos moissons abondantes, v.30 (Acte 1, scène 1, ARLEQUIN)
- Que prétendez-vous faire pour vous enrichir ? (Acte 1, scène 7, ARLEQUIN)
- Si vous voulez vous associer à nous, tenez, voilà toutes nos machines. (Acte 1, scène 9, MEZZETIN)
- Bellérophon va prier le roi, le roi prie le sacrificateur, le sacrificateur prie la pythie, la pythie prie l'oracle, l'oracle prie Apollon, Apollon prie le tonnerre, le tonnerre... (Acte 1, scène 9, ARLEQUIN)
LE CHEVALIER JOUEUR (1697)
- Le personnage qui me réjouit le plus céans, c'est la vieille Comtesse, elle croit cacher sa fragilité à l'abri de l'air sévère dont sa philosophie est ombragée ; elle nomme affection fraternelle son amour pour mon maître : et toi, quel beau nom donnes-tu aux services que tu rends à l'amour masqué de cette héroïne de vertu ? (Acte 2, scène 1, FRONTIN)
- J'oubliai hier de prendre congé de la Comtesse. (Acte 2, scène 5, DORANTE)
- Avant-hier je perdis cinq cent louis, douze cent hier, aujourd'hui mille. (Acte 2, scène 3, LE CHEVALIER)
- Mais le philosophe indigent v.2 (Acte 2, scène 3, FRONTIN)
- C'en est trop, donnez-moi tout à l'heure ce mémoire que je le déchire en présence de Madame. (Acte 2, scène 5, LE CHEVALIER)
- Dorante feignit donc de partir hier ? (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- Si vous étiez d'humeur à vous enrichir. (Acte 4, scène 9, LE MARQUIS)
- S'est-il écrié, déchirant tendrement un jeu de cartes : va dire à l'adorable Angélique que je suis un misérable, un scélérat indigne. (Acte 5, scène 6, FRONTIN)
- Ils ont machiné quelque chose contre mon maître, je voudrais bien voir comment il s'en tirera. (Acte 5, scène 6, FRONTIN)
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LE NÉGLIGENT (1692)
- Le Philosophe, et le Physicien. v.34 (Acte 1, scène 3, LE-POÈTE)
- Il faut absolument que je vous parle aujourd'hui ; il se machine quelque chose contre vos intérêts ; votre rapporteur presse de produire, et le vent du bureau n'est pas bon pour vous. (Acte 2, scène 3, ORONTE)
- Oui, je suis un chien, un bourreau, vous avez raison ; mais si vous vouliez cependant... (Acte 2, scène 14, LE-MARQUIS)
- Et décide en maître, du sort et de la réputation d'un pauvre Auteur qui aura travaillé toute sa vie à franchir les épines et les ronces dont le Parnasse est environné. (Acte 3, scène 3, LE-POÈTE)
- Mais parbleu, le petit Apollon devrait bien faire défricher les avenues de ce Parnasse ; car avant qu'un Poète ait traversé toutes ses ronces et ses épines, son manteau doit être bien déchiré, hé, hé. (Acte 3, scène 3, LE-MARQUIS)
- Mon pauvre Marquis, je suis ruinée, je perdis hier tout ce que j'ai joué. (Acte 3, scène 5, LA-COMTESSE)
- Il le trahit et il est d'intelligence avec sa partie. (Acte 3, scène 10, DORANTE)
- Ah quelle trahison ! Quelle trahison ! v.73 (Acte 3, scène 1, LE-POÈTE)
- Vous verrez que vous me brouillez, car je ne possède pas trop bien l'histoire, mais tant va qu'enfin je lui ai attrapé une lettre que Monsieur l'Intendant écrivait à Monsieur_le_Marquis. (Acte 3, scène 4, LOLIVE)
- C'est une science admirable que la chimie ! (Acte 3, scène 11, ORONTE)
L'ESPRIT DE CONTRADICTION (1700)
- Al arrache ce que j'ai planté, a replante ce que j'ai arraché, quand je greffe du Bon-Crequin, a di que c'est de la Bargamote ; là où j'ai planté des Choux, a veut qu'il y vienne des Raves, n'y a rien dont a ne s'avise pour ale à rebours de moi ; hier a vlait pour avoir des preunes pu grosses, qu'on les semi su couche comme des melons , je crois, Gueu me pardonne , qu'a me fera bentos planter des citrouilles en espalier. (Acte 1, scène 1, LUCAS)
- Je conviens que tu as plus d'imagination que moi, et plus de bon sens que bien des Philosophes qui n'en ont point. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Tené, Monsieur, il a des paysans qui ont la Philosophie d'avoir de l'esprit en argent, ma Philosophie à moi, c'est de gouvarner la vie du monde par mon mequé de jardinier ; vous ulé marier vote fille, par parenthèse ; vous ne savez ce qui en sera ; mais moi j'ai vu tout ça dans mon jardinage,car j'ai dit, quand Madame vient dans mon jardin, et qu'al voit qu'eun abre est d'humeur à profiter au soleil, a le plante à l'ombre. (Acte 1, scène 1, LUCAS)
- Morgué nani, je sais bian que ce n'est pas par malice qu'ou faîte endever tout le monde , mais c'est que vote volonté est du naturel des hiboux, a ne va jamais de compagnée avec la volonté des autres. (Acte 1, scène 3, LUCAS)
- Point du tout, car cette femme vint hier affliger par ses plaintes la même assemblée qu elle avait fatiguée l'autre jour par l'éloge de son époux. (Acte 1, scène 4, ANGÉLIQUE)
- Oui, Mademoiselle, je vous marierai dès aujourd'hui, voilà deux partis qui se présentent, Valère d'un côté, Monsieur Thibaudois de l'autre, je ne vous ferai pas l'honneur non de vous donner le choix, vous épouserez celui des deux que je jugerai à propos. (Acte 1, scène 4, MADAME ORONTE)
- Je ne les ignore plus, ingrate, et puisqu'il faut vous le dire, je viens d'apprendre céans que vous épousez aujourd'hui Monsieur Thibaudois. (Acte 1, scène 6, VALÈRE)
- Oui, ma fille, les gros biens de Monsieur Thibaudois plaisent à ma femme comme à moi. (Acte 1, scène 7, ORONTE)
- À la vérité Monsieur Thibaudois est un peu rustique, un peu grossier, mais il est franc. (Acte 1, scène 7, ORONTE)
- Je pardonne la grossièreté en faveur de la franchise. (Acte 1, scène 7, ANGÉLIQUE)
- Tu étais là encore avec mon mari, il t'a dit apparemment lequel il veut choisir pour gendre, ou de Valère, ou de Monsieur Thibaudois que je lui ai proposé. (Acte 1, scène 11, MADAME ORONTE)
- Monsieur Thibaudois, dis-tu, n'est pas du goût de mon mari, et il aimerait mieux Valère. (Acte 1, scène 11, MADAME ORONTE)
- Quoi, tu me soutiendras qu'un établissement solide, que les gros biens de Monsieur Thibaudois ne sont pas préférables ? (Acte 1, scène 11, MADAME ORONTE)
- Me soutenir sans raison, sans jugement, que Monsieur Thibaudois ne convient pas à ma fille ? (Acte 1, scène 12, MADAME ORONTE)
- Dés demain, je donne ma fille à Monsieur Thibaudois. (Acte 1, scène 12, MADAME ORONTE)
- La raison est pour moi, et pour preuve que j'ai raison, c'est que cela fera comme je le veux, et dès aujourd'hui Monsieur Thibaudois est ici. (Acte 1, scène 12, MADAME ORONTE)
- Je vous donne avis que votre fille est d'intelligence avec Monsieur Thihaudois, quelle veut épouser ; et pour vous faire signer leur contrat, ils ont un Notaire en main, qui se doit trouver chez. (Acte 1, scène 17, MADAME ORONTE)
- En un mot votre mari doit feindre de ne vouloir point de Monsieur Thibaudois afin que vous vous déterminez pour lui. (Acte 1, scène 17, MADAME ORONTE)
- Monsieur Thibaudois est l'homme de mon mari... (Acte 1, scène 17, MADAME ORONTE)
- Je veux bien que vous sachiez que... (Acte 1, scène 18, ORONTE)
- Vous dites que vous voulez Monsieur Thibaudois pour gendre, n'est-ce pas ? (Acte 1, scène 18, ORONTE)
- En un mot, ma femme, vous m'avez proposé Monsieur Thibaudois, et moi je n'en veux point. (Acte 1, scène 18, ORONTE)
- Vous plaisantez, et je vous dis très sérieusement que Monsieur Thibaudois n'est point de mon goût. (Acte 1, scène 18, ORONTE)
- Votre goût détermine le mien, et je ne pense plus à Monsieur Thibaudois. (Acte 1, scène 18, MADAME ORONTE)
- Pour vous prouver ma sincérité, et ma soumission, je vais de ce pas défendre à Monsieur Thibaudois de mettre jamais le pied dans votre maison. (Acte 1, scène 18, MADAME ORONTE)
- Ce que je viens d'entendre, et ce que vous m'avez dit tantôt, votre affectation à me renvoyer, le Notaire que j'ai vu ; tout enfin me prouve assez votre trahison ; mais vous ne méritez pas que j'en fois assez touché pour vous la reprocher. (Acte 1, scène 23, VALÈRE)
- Rien du tout, Monsieur Thibaudois : je voudrais bien savoir, Monsieur, de quel droit vous venez m'injurier ? (Acte 1, scène 23, ANGÉLIQUE)
- Votre procédé me paraît si outré, que je pourrais vous soupçonner de feindre : je ne m'en flatte pas ; mais enfin , s'il était vrai que vous eussiez affecté de parler ainsi en présence de Monsieur Thibaudois... (Acte 1, scène 24, VALÈRE)
- Justifiez-vous donc, ou convenez que vous m'avez trahi ; parlez, nous sommes seuls. (Acte 1, scène 25, VALÈRE)
- Je vous parlerai à vous seul, comme je vous a parlé en la présence de Monsieur Thibaudois. (Acte 1, scène 25, ANGÉLIQUE)
- Je suis trahi, Madame, car enfin , il n'est plus temps de vous cacher mon amour pour une ingrate, vous voyez comme elle me traite. (Acte 1, scène 26, VALÈRE)
- Quand je vous parlais ainsi je ne parlais pas sincèrement, pourquoi voulez-vous empêcher un riche établissement que je trouve avec Mr Thibaudois ? (Acte 1, scène 26, ANGÉLIQUE)
- Taisez-vous, je sais toutes vos menées, le Notaire m'a tout dit ; vouloir me trahir, m'exposer à faire la volonté d'un mari ! (Acte 1, scène 26, MADAME ORONTE)
- Pour faire consentir ma mère à ce que je souhaitais, il a fallu laisser aussi mon père dans l'erreur, il a agi naturellement ; et quand j'ai vu qu'ils étaient tous pour Monsieur Thibaudois, j'en ai fait avertir ma mère, afin qu'elle fût contre ; un billet inconnu l'a instruite du complot, c'est ce billet qui a excité sa contradiction, voyant tout le monde contre vous, elle a pris votre parti, pour contredire tout le monde, et veut vous contraindre à m'épouser, pour vous contredire aussi. (Acte 1, scène 27, ANGÉLIQUE)
- Sera peut vous le malheur, car Madame va revouloir, ce qua vouloir, de van qua su, qu'ou vouliais li faire vouloir , tanquia que je li ai dit tout ça moi, car Monsieur Thibaudois me baille cent écus. (Acte 1, scène 28, LUCAS)
- Je suis trahie ? (Acte 1, scène 31, MADAME ORONTE)
LA RÉCONCILIATION NORMANDE (1719)
- Nature a mis en eux de ces antipathies v.68 (Acte 1, scène 2, NÉRINE)
- Elle me fit hier cent offres gracieuses v.95 (Acte 1, scène 3, DORANTE)
- Qu'étant nourri, stylé dans la basse chicane, v.299 (Acte 1, scène 8, FALAISE)
- Bataillé, chicané, brétaillé, ferraillé ; v.310 (Acte 1, scène 8, FALAISE)
- Des scrupules outrés franchissant la barrière, v.315 (Acte 1, scène 8, FALAISE)
- Et me bien rafraîchir, en buvant, la mémoire v.348 (Acte 1, scène 9, FALAISE)
- De la fraternité, c'est l'effet sympathique. v.521 (Acte 2, scène 6, LE COMTE)
- Vous voulûtes hier, Madame, qu'entre nous v.632 (Acte 2, scène 8, DORANTE)
- Votre enjouement d'hier le charma. v.749 (Acte 3, scène 4, NÉRINE)
- Reprenons la gaieté d'hier, car on hasarde ; v.750 (Acte 3, scène 4, LA MARQUISE)
- Cela m'excuse au fond changer n'est point trahir, v.863 (Acte 3, scène 7, LA MARQUISE)
- J'envahis, et le tout avec formalité v.883 (Acte 3, scène 8, FALAISE)
- Retentons souterrains, et chicanes secrètes... v.922 (Acte 3, scène 9, FALAISE)
- Se sentir l'un pour l'autre autant de sympathie. v.989 (Acte 3, scène 11, NÉRINE)
- Chimère, elle n'a vu nul homme à son couvent. v.1048 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
- Par franchise. v.1067 (Acte 4, scène 3, ANGÉLIQUE)
- Dès tantôt vos regards ont trahis vos secrets. v.1082 (Acte 4, scène 3, NÉRINE)
- Deux trahisons feront un double mariage. v.1120 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- Vous trahissait sous main en servant votre frère. v.1140 (Acte 4, scène 3, LE CHEVALIER)
- C'est comme un propre. Enfin on va vous chicaner. v.1186 (Acte 4, scène 5, FALAISE)
- On vous trahit. v.1239 (Acte 4, scène 7, FALAISE)
- Me trahir en affaire ! En intrigue, encore passe, v.1355 (Acte 5, scène 5, NÉRINE)
- Même en morale on farde à présent la franchise. v.1384 (Acte 5, scène 7, LE CHEVALIER)
- D'amour, soit possédé d'un amour de chicane ; v.1499 (Acte 5, scène 12, FALAISE)
LE JALOUX HONTEUX (1708)
- Monsieur le Président me dit hier de me rendre ici de grand matin, il croyait y coucher apparemment ; mais cette grande affaire où nous travaillâmes ensemble, l'aura obligé de coucher à Rennes. (Acte 1, scène 1, MONSIEUR ARGAN)
- Ne dites-vous point hier, en vous couchant, certaines paroles magiques, qui font voir en rêve, celui qu'on doit épouser ? (Acte 1, scène 4, LISETTE)
- Tu connais ma franchise. (Acte 1, scène 4, LUCIE)
- Il n'est plus temps, Lisette ; car la nouvelle d'hier fait que Damis aurait aujourd'hui intérêt de m'épouser pour sa fortune. (Acte 1, scène 5, LUCIE)
- Quand il ne vous aimerait pas, il feindrait à présent de vous aimer, pour les cent mille écus dont vous héritâtes hier, par cette mort qui m'a tant réjouie ; car il est permis de se réjouir de la mort de cette vieille Plaideuse, qui, à quatre-vingt-dix ans, menaçait d'en plaider encore trente, pour ruiner deux familles. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
- Oui, Madame ; de tous les Domestiques, il n'y a que notre concierge Thibaut, qui occupé de sa jalousie grossière, ne s'aperçoit point de la jalousie fine et délicate de son Maître. (Acte 1, scène 5, LISETTE)
- Je suis toute fâchée qu'on me marie à Thibaut : et pourquoi, puisque Monsieur Frontin ne m'a dit mot aujourd'hui. (Acte 1, scène 7, HORTENCE)
- Thibaut me dit qu'il y a des hommes, c'est comme des sorciers, qui ont de la maladie dans leurs paroles : faut que ça soit, car quand Frontin me parlait hier, j'étais tout je ne sais comment. (Acte 1, scène 7, HORTENCE)
- Et puis voilà Thibaut, qui me guette, et qui m'a défendu de parler à des hommes. (Acte 1, scène 8, HORTENCE)
- Dites-moi, je vous prie, Monsieur Thibaut ?... (Acte 1, scène 9, DAMIS)
- Hé dites-moi, Monsieur Thibaut, votre Maître est donc un bon Maître ? (Acte 1, scène 9, DAMIS)
- Çà Monsieur Thibaut, j'étais venu ici pour lui parler d'une affaire de conséquence, vous lui direz au moins que je suis ressorti dans le moment. (Acte 1, scène 9, DAMIS)
- Je m'en suis doutée drès hier : car vous me parliez, et vous mêliez, avec vos paroles, des yeux, du soupir, et de petits tremblements ; ça était si joli. (Acte 2, scène 4, HORTENCE)
- Je ne fais toujours que ce que Thibaut me dit de faire. (Acte 2, scène 4, HORTENCE)
- Vous me parlez pourtant ; et Thibaut ne vous a point dit de me parler. (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
- Il faut pourtant que vous me rendiez service ; car jusqu'à présent vous ne m'aimez pas mieux que Thibaut. (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
- Tenez, imaginez-vous, quand il est avec moi, et qu'il me prend la main, je n'y prends pas garde seulement : mais quand vous me l'avez prise hier, je l'ai retirée au plus vite ; car j'étais si troublée, que je ne savais pourquoi. (Acte 2, scène 4, HORTENCE)
- Si vous m'aimez mieux que Thibaut, vous m'aimez mieux aussi que Monsieur le Président ? (Acte 2, scène 4, FRONTIN)
- Je vous promets tout ça : mais comme Monsieur le Président n'a pas été ici pendant hier, drès qui sera tout seul, je m'en vas ly dire tou ce que Madame a fait : le voulez-vous bien ? (Acte 2, scène 4, HORTENCE)
- Je vais vous le mener à l'instant, j'ai quelques ordres à donner à Thibaut. (Acte 2, scène 7, LE PRÉSIDENT)
- Mais Thibaut va peut-être encore me donner quelques lumières. (Acte 2, scène 8, LE PRÉSIDENT)
- J'ai donc pris, comme vous me dîtes l'autre fois, la petite chienne de Madame, qui est accoutumée à aboyer ; quand elle sens quelqu'un de dehors, dans le Château ; et avec la petite chienne sous mon bras, j'ai fait la chasse partout, pour trouver le gîte, comme vous m'avez appris. (Acte 2, scène 9, THIBAUT)
- Et quand j'ai été à un petit coin où on ne voit goutte, la chienne a aboyé, Monsieur. (Acte 2, scène 9, THIBAUT)
- Et ensuite vous m'avouerez confidemment, que vous avez pour l'autre une antipathie, une aversion, une haine... (Acte 3, scène 3, LE PRÉSIDENT)
- Il se trouve donc que drès avant-hier au soir, Madame se coucha tourte seule, parce qu'ou n'y étiais pas. (Acte 3, scène 5, HORTENCE)
- Hier au matin, drès que Madame a été du haut en bas du lit, elle a pris ses pantoufles, et pis al a commencé par aller vouar à son miroir, comment a se portait ; après elle s'est mise à tourné, viré, ouvrir tous ses tiroirs, et pis les reframer, ravoindre trois fois la même chose, et pis la resserrer ; Hortence, me faut-ci ; Hortence me faut ça, va-t-en me quérir ci, et pis ne bouge : donne-moi ça ; et pi, je n'en veux pu : tantia que n'y a rien à vous dire là-dessus ; car c'est comme si al n'avait rien fait pendant tras heures. (Acte 3, scène 5, HORTENCE)
- Thibaut a bien envie de le savoir. (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Il faut suivre cela de près ; viens avec moi Thibaut. (Acte 3, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Mais je dirai à Monsieur le Président tantôt queuque chose, pour que Thibaut n'achève pas d'être marié avec moi. (Acte 3, scène 6, HORTENCE)
- Je lui ai dit, et il a fait une mine tout comme Thibaut. (Acte 3, scène 7, HORTENCE)
- Allez vite, et je vous promets que je serai votre mari à la place de Thibaut. (Acte 3, scène 7, FRONTIN)
- C'est comme quand Frontin m'a dit qu'il voulait me voir toute seule, sans que Thibaut y soit. (Acte 4, scène 1, HORTENCE)
- Tu as fait à merveilles, Lisette, de jouer ce tour-là à Thibaut. (Acte 4, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Mais Lucie sera fâchée que vous l'ayez déchiré. (Acte 4, scène 2, LE PRÉSIDENT)
- Tu es encore là, Thibaut ? (Acte 4, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Tu veux être sûr qu'Hortence te trahit. (Acte 4, scène 4, LE PRÉSIDENT)
- Non, j'aimerais encore mieux être trahi en secret par une femme, que convaincu publiquement d'être jaloux. (Acte 4, scène 5, LE PRÉSIDENT)
- Lisette vient de me dire qu'un billet déchiré... (Acte 4, scène 6, LA PRÉSIDENTE)
- Lisette m'a dit qu'elle l'a déchiré en cet endroit. (Acte 4, scène 6, LA PRÉSIDENTE)
- Écoute, Thibaut, j'ai une affaire importante à Rennes ; je veux partir, sans que ma femme ni Lucie s'en aperçoivent. (Acte 5, scène 1, LE PRÉSIDENT)
- Attendez que je vous dise à st'heure queuque chose pour moi et Thibaut ? (Acte 5, scène 1, HORTENCE)
- C'est que comme je n'oserais dire à Thibaut que je ne l'aime pu, je vous le dis à vous, Monsieur le Président, sans qu'il le sache ; afin qu'ou ly disiais de n'être pu du tout mon mari. (Acte 5, scène 1, HORTENCE)
- Hé pourquoi n'aimez-vous pas Thibaut ? (Acte 5, scène 1, THIBAUT)
- Vous dites ça, parce qu'ou soutenez Thibaut ; mais c'est Thibaut qui est un maussade, un bourru, un jaloux. (Acte 5, scène 1, HORTENCE)
- C'est peut-être là Thibaut. (Acte 5, scène 3, FRONTIN)
- Pour le faire avancer, en cas que ce soit Thibaut, je vais faire semblant de vous baiser la main. (Acte 5, scène 3, FRONTIN)
- Thibaut avance-t-il ? (Acte 5, scène 3, FRONTIN)
- Thibaut sous le manteau de son Maître, m'avoir donné le change. (Acte 5, scène 5, LISETTE)
- On me retient, on me trahit... (Acte 5, scène 9, LE PRÉSIDENT)
- Oui, je veux l'ôter à Thibaut, afin qu'il n'y ait plus chez moi de mari jaloux. (Acte 5, scène 9, LE PRÉSIDENT)
LES ADIEUX DES OFFICIERS (1693)
- Ma foi, monsieur Mars, un plumet comme vous décrie plus une femme en huit jours d'été, que tous ces messieurs-là en tout un hiver. (Acte 1, scène 2, VULCAIN)
- Vive, vive Paris, pour les amours bachiques : v.125 (Acte 1, scène 4, CUPIDON)
- C'est une trahison que d'attaquer la tête, v.134 (Acte 1, scène 4, VÉNUS)
- J'ai fait ces trahisons à des femmes d'honneur, v.136 (Acte 1, scène 4, CUPIDON)
- Qui ne m'ont point puni de les avoir trahies. v.137 (Acte 1, scène 4, CUPIDON)
- Et qu'on ne se lasse jamais de vous entendre parler : et j'ai appris d'un historien moderne, que vous écrivez des billets plus doux, plus persuasifs, et plus touchants que ceux de Voiture. (Acte 1, scène 5, VÉNUS)
- Te vend bien cher un chimérique honneur. v.187 (Acte 1, scène 8, MOMUS)
- Trahisse v.196 (Acte 1, scène 8, L-OCÉAN)
- Qui ne veut point trahir son honneur ? v.278 (Acte 1, scène 8, JUNON)
- Quoiqu'un gros chien garde toujours ma porte, v.296 (Acte 1, scène 8, PLUTON)
- On blanchirait l'épicière accusée, v.312 (Acte 1, scène 8, VULCAIN)
LE MARIAGE FAIT ET ROMPU (1721)
- Justement. Pour finir hier ce mariage, v.111 (Acte 1, scène 2, L'HÔTESSE)
- Tu dis une chimère. v.171 (Acte 1, scène 5, LA-TANTE)
- J'y voulais du galant, c'est votre antipathie, v.236 (Acte 1, scène 7, LIGOURNOIS)
- Mon histoire ne peut avoir été suivie. v.351 (Acte 1, scène 12, LA PRÉSIDENTE)
- Allez tous en buvant raconter mon histoire, v.399 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Sur leur crédulité je fonde mon histoire. v.424 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Qu'étant tous à présent auteurs de mon histoire, v.435 (Acte 2, scène 2, DAMIS)
- Ce mari qui m'avait trahie en cent façons v.561 (Acte 2, scène 5, LA-VEUVE)
- Je ferais son histoire à sa famille en face ; v.595 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
- Et l'histoire en défaut, le roman la remplace. v.596 (Acte 2, scène 5, DAMIS)
- Qu'on me fit, moi parti, mais par chicane pure. v.660 (Acte 2, scène 7, DAMIS)
- Enfin j'ai réfléchi de sang-froid, mûrement ; v.686 (Acte 2, scène 9, LA PRÉSIDENTE)
- De ce Protée en fille, autre histoire : en Provence, v.836 (Acte 3, scène 3, L'HÔTESSE)
- Et Tirsis et Silvie, et Damon et Philis... v.853 (Acte 3, scène 3, L'HÔTESSE)
- Le voilà déchiré. v.943 (Acte 3, scène 4, LA PRÉSIDENTE)
- Va donc se contenter : déchirons. v.1015 (Acte 3, scène 6, DAMIS)
- Il allait déchirer ce contrat brusquement v.1016 (Acte 3, scène 6, LA PRÉSIDENTE)
- Sans le voir. Il faut voir au moins ce qu'on déchire ; v.1017 (Acte 3, scène 6, LA PR?SIDENTE)
LE FAUX INSTINCT (1707)
- Je sais bien quoi, moi ; je me suis douté que ce lieu-ci vous inspirerait ce que tous les lieux et tous les objets vous inspirent également depuis quelques jours ; hier en regardant par vos fenêtres dans la rue la plus passante de Paris, le bruit des carrosses, et le tintamare de la ville vous inspiraient une douce et tendre rêverie, comme la solitude la plus tranquille : c'est que tout inspire l'amour quand on aime, vous vous imaginiez voir Valère dans tous les carrosses qui passaient, et vous croirez voir Valère au pied de tous les arbres que vous allez trouver dans ce bois. (Acte 1, scène 1, TOINETTE)
- Dés que ce vieillard me vit, il jetta un cri, fut saisi d'effroi, comme s'il eut vu un spectre, nous le questionâmes sur cette peur, lui n'osant s'expliquer, nous fit un récit obscur d'un songe qu'il avait eu, nous parla de pronostication, d'instinct, d'antipathies ; mais ce qui mérite attention, c'est que ce vieillard superstitieux crut avoir vu dans les astres, que j'étais passionnément amoureux ; il croyait vrai par hasard, Mademoiselle, il s'imaginait faussement que sa femme était l'objet de ma passion, et, que la connaissant avant son voyage, j'étais allé l'attendre à Lyon, moi fort embarrassé de lui voir faire une fausse application d'un amour véritable, je voulus jouer le rôle d'indifférent, mais une rêverie profonde, des distractions continuelles, quelques soupirs à demi étouffés, lui confirmant que j'aimais, ses règles d'astrologie lui prouvèrent que sa femme était l'objet de mon amour. (Acte 1, scène 2, VALÈRE)
- Par un mauvais marché, qu'en buvant il machine, v.13 (Acte 1, scène 5, LE NOURRICIER)
- Cette mort-là est pourtant une mort pour rire, car il m'écrivit hier, et dans sa lettre il ne me parle point de sa mort. (Acte 1, scène 10, TOINETTE)
- Cela ne se peut, car j'ai reçu hier une lettre écrite de sa propre main, de sa main tremblante, car depuis soixante-quinze ans il a épousé une jeune femme, la main lui tremble et la tête aussi. (Acte 1, scène 10, TOINETTE)
- Je vas vous dire l'histoire, mais avou queuque intérêt pour qual soit putôt à cetuI-ci qu'à cetui-là. (Acte 1, scène 12, LE NOURRICIER)
- Comme on ne sait de quoi s'entretenir dans ces voitures, après nous être raconté l'histoire de nos familles, nous avons reconnu, que nos deux petites filles avaient été nourries par cette même nourrice-ci ; mon mari, comme tu sais, est entêté de ses idées de sympathie, d'instinct, la veuve est entêtée des mêmes visions ; ils veulent par l'instinct seul distinguer chacun leur enfant, c'est une gageure enfin, ils veulent que sans les avertir, on leur fasse voir les deux petites filles toutes deux ensemble. (Acte 1, scène 14, LE-FEMME-DU-VIEILLARD)
- Vla l'histoire , Mademoiselle Toinette, vla l'histoire des deux petites filles, et cette histoire-là fait que ma femme ni moi ne savons pu à qui appartient celle-ci ; notre Bailli dit li-même qu'il ne pourrait baillé là-dessus qu'une sentence à croix ou pile, et qu'il faudrait tirer la petite fille, comme la fève au gâteau. (Acte 2, scène 1, LE NOURRICIER)
- Cela est tout naturel, et dès l'age de quatre ans, j'ai eu de l'antipathie pour le médecin qui devait faire mourir mon mari. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
- C'est une chose triviale, que la sympathie, un de mes amis se maria à Paris, et moi étant aux Indes, au moment de son mariage, je sentis dans le coeur, un épanouissement, une joie ; mais une joie que je ne savais pas d'où cela me venait. (Acte 2, scène 3, LE VIEILLARD)
- Hélas, il y a double sympathie entre ma petite fille et moi ; c'est mon mari que j'aime dans sa fille, je l'aimerai encore dans la fille de sa fille, et dans les enfants de leurs enfants, jusqu'à la dixième génération. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
- Ne les regardez pas, il faut deviner par la sympathie seule. (Acte 2, scène 3, LA VEUVE)
- Hélas, j'en eus hier un pressentiment ! (Acte 2, scène 4, LA VEUVE)
- Contez-nous donc enfin cette chimère. (Acte 3, scène 3, LA FEMME DU VIEILLARD)
- Il n'y a point de chimère ; car en dormant je vous vis comme je vous vois vous promenant avec un jeune homme dans un bois. (Acte 3, scène 3, LE VIEILLARD)
- Mais ce n'est pas tout ; car je vis dans ce même songe, un lion et un chat noir, et Nostradamus dit, que quand le lion et le chat, j'ai oublié la centurie, mais il est clair qu'elle a été faite pour moi, car un lion, c'était en arrivant à lion, et un chat, c'est une trahison de femme, il ne faut point ; hausser les épaules, car le lendemain, je fus tout étonné que Valère ressemblait à se jeune homme qui était avec vous dans ce bois. (Acte 3, scène 3, LE VIEILLARD)
LE FAUX SINCÈRE (1731)
- Il est très dangereux. Hier il me surprit, v.62 (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Profitant de l'amour qu'on a pour la franchise, v.75 (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Hypocrite en franchise est à peu près le mot ; v.85 (Acte 1, scène 1, DORANTE)
- Sans qu'il m'ait vue, hier je vis dans le jardin, v.145 (Acte 1, scène 2, ANGÉLIQUE)
- Je vis que de franchise il avait le sublime. v.163 (Acte 1, scène 3, MADAME ARGANT)
- Sublime en franchise ! v.164 (Acte 1, scène 3, MARIANE)
- En franchise l'excès ne fut jamais blâmable. v.167 (Acte 1, scène 3, ANGÉLIQUE)
- Peut disposer ici de tout avec franchise. v.204 (Acte 1, scène 4, MADAME ARGANT)
- Hé quoi ! Veux-tu douter aussi de sa franchise ? v.212 (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
- Sa franchise est charmante. v.223 (Acte 1, scène 5, LA MARQUISE)
- Si dans ce logis hier, où je le vis paraître, v.240 (Acte 1, scène 5, LAURETTE)
- Je l'observais hier chez nous dans un passage, v.275 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
- Ramener à Paris la franchise bannie : v.284 (Acte 1, scène 6, LE-CHEVALIER)
- De franchise, monsieur, me ferait appétit, v.294 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
- En cas d'amour, morbleu, raison c'est trahison. v.310 (Acte 1, scène 6, LAURETTE)
- Archinoble, si j'ai richement hérité : v.455 (Acte 2, scène 3, RAPIN)
- Et moi je parais vain à force de franchise. v.517 (Acte 2, scène 5, LE-CHEVALIER)
- J'admire ici l'effet que la franchise opère ; v.702 (Acte 2, scène 10, MADAME ARGANT)
- Tant mieux, c'est là la sympathie. v.706 (Acte 2, scène 10, MADAME ARGANT)
- Projets développés, franchise, coeur ouvert : v.724 (Acte 2, scène 10, LE-CHEVALIER)
- Qu'à la haine du moins la franchise soit jointe ; v.726 (Acte 2, scène 10, LE CHEVALIER)
- Bientôt cette franchise au fond si désirable, v.791 (Acte 3, scène 2, DORANTE)
- Qui cache sa pensée altère la franchise v.795 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Moi, moi qui me trahis par l'excès des paroles, v.827 (Acte 3, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Projets développés, franchise, coeur ouvert. v.834 (Acte 3, scène 2, MARIANE)
- Et non pas de franchise. v.895 (Acte 3, scène 3, LE-CHEVALIER)
- Sa franchise a paru plus brillante en ce jour. v.921 (Acte 3, scène 5, ANGÉLIQUE)
- Qu'un pareil commerçant ait le pas dans l'histoire v.955 (Acte 3, scène 7, RAPIN)
- Au contraire s'illustre en les enrichissant, v.958 (Acte 3, scène 7, RAPIN)
- Venez-vous à la noce ici, sans tant d'histoire ? v.964 (Acte 3, scène 7, MONSIEUR-FRANCHARD)
- Deux !... Dans ce chiffre là vous êtes malheureux ; v.1034 (Acte 3, scène 8, MONSIEUR-FRANCHARD)
- Et qui pousse toujours la franchise à l'extrême, v.1155 (Acte 4, scène 2, LE-CHEVALIER)
- Ah ! Je vais me trahir par trop de bonne foi. v.1334 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
- Mais non, car vous devez avoir par sympathie v.1343 (Acte 4, scène 8, LE-CHEVALIER)
- Parole sympathique ! v.1367 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
- Par les rapports du sang et de la sympathie. v.1371 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
- Par la force du sang je les trahirai tous. v.1386 (Acte 4, scène 8, RAPIN)
- Témoin de l'entretien, témoin de sa franchise, v.1434 (Acte 5, scène 2, RAPIN)
- Le voilà si piqué, que malgré sa franchise, v.1465 (Acte 5, scène 2, RAPIN)
- Le cousin m'enrichit, j'anoblis le cousin, v.1576 (Acte 5, scène 7, RAPIN)
- Elle a pris le dessus alors sur ma franchise, v.1701 (Acte 5, scène 10, LE-CHEVALIER)
- Pour tirer mieux parti de sa souple franchise, v.1737 (Acte 5, scène 11, MARIANE)
- Sa franchise devient morale avec Dorante, v.1741 (Acte 5, scène 11, MARIANE)
- Trouvons un juge sûr de ma franchise extrême. v.1757 (Acte 5, scène 12, LE-CHEVALIER)
- Sentiments naïfs, vrais, franchise respectable ! v.1769 (Acte 5, scène 13, DORANTE)
LE FAUX HONNÊTE HOMME (1703)
- J'ai toujours eu pour lui une antipathie, une aversion. (Acte 1, scène 1, LA-VEUVE)
- Être née avec une antipathie pour les engagements de coeur ; toutes les femmes de notre famille sont insensibles. (Acte 1, scène 2, LA-VEUVE)
- Je veux pourtant tâcher de travailler pour vous, et je vais m'éclaircir avec le Capitaine d'une pensée, qui me roule dans la tête depuis hier. (Acte 1, scène 5, FROSINE)
- Mais Madame ; vous ne m'avez averti qu'hier de ce mariage, vous voulez le terminer aujourd'hui ; cela est un peu précipité. (Acte 1, scène 7, VALÈRE)
- Cela vous échappe, c'est par franchise que vous vous donnez des louanges. (Acte 2, scène 2, LE-CAPITAINE)
- Cela est bien mal à vous de vous ruiner exprès, avec une veuve qui n'a rien : faire du bien à tout le monde, enrichir les malheureux, voilà de vos tours, Monsieur, voilà de vos tours ; il faut avoir bien la rage, de la probité. (Acte 2, scène 5, FLAMAND)
- Ma pauvre Frosine je suis ruiné ; adieu ma fortune, si mon maître épouse cette veuve qui n'a rien ; car il m'avait promis de m'enrichir. (Acte 2, scène 6, FLAMAND)
- Votre conseil est très prudent, je vais où vous me laissâtes hier. (Acte 2, scène 11, VALÈRE)
- Sans vous exposer à un éclaircissement désagréable, vous pouvez conter qu'Ariste vous trahissait tous deux. (Acte 3, scène 4, ANGÉLIQUE)
- Plus je pense à la trahison d'Ariste, et plus je suis saisi d'indignation. (Acte 3, scène 4, VALÈRE)
- Rendez-lui donc service en cette occasion ; vous, Monsieur commencez par entrer chez la veuve, car les moments sont chers, exagérez-lui bien la trahison... (Acte 3, scène 5, FROSINE)
- J'entends ; je lui dépeindrai la trahison d'Ariste, avec des couleurs si vives... (Acte 3, scène 5, LA-MARQUISE)
- Je sais de lui les actions les plus noires, les plus abominables : il médite quelque trahison pour nous ruiner. (Acte 3, scène 9, FROSINE)
- Que vous avez eu des trahisons avec elle ? (Acte 3, scène 10, FLAMAND)
- Justice, injustice, laissons-là le jeu de mots : je vous disais donc que tout le monde connaissant vos trahisons... (Acte 3, scène 11, LE-CAPITAINE)
- Il y a dans vos brusqueries un fonds de franchise aimable, j'aime la sincérité jusques dans les calomnies. (Acte 3, scène 11, ARISTE)
- Je suis trahi ! (Acte 3, scène 12, LE-CAPITAINE)
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LE DÉDIT (1719)
- Car elles vous ont fait hier cent amitiés. v.32 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Mais rien de si borné que son esprit gothique. v.50 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Voici le fait. Tu sais leurs chicanes cruelles. v.193 (Acte 1, scène 1, VALÈRE)
- Même chose, et toujours sympathie entre nous. v.231 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
- Dans l'histoire voulais, pour distinguer ma place, v.241 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
- Moi, le sénéchal Groux, caustique philosophe, v.245 (Acte 1, scène 6, FRONTIN)
- Ahi ! Soyez sûre aussi de ma condescendance: v.382 (Acte 1, scène 10, BÉLISE)
- Qu'avec un grand plaisir, dédit, je te déchire ! v.474 (Acte 1, scène 11, ARAMINTE)
LA MALADE SANS MALADIE (1699)
- Votre Tante veut vous déshériter pour enrichir Lucinde. (Acte 1, scène 1, LISETTE)
- Souffrez que je me mette l'esprit en repos ; votre tante eut hier un peu de fièvre, je voulais la veiller, elle s'y opposa, jugez quel tourment pour moi ! (Acte 1, scène 2, LUCINDE)
- Elle n'est pas bien depuis hier, je veux qu'elle se tienne au lit tout le jour. (Acte 1, scène 2, LUCINDE)
- Hier elle devait me forcer, disait-elle, d'accepter une donation. (Acte 1, scène 3, LUCINDE)
- Tu n'es pas si grasse qu'hier au soir, et c'est la rechute que je t'avais prédite. (Acte 1, scène 4, LUCINDE)
- Tu as deviné hier que je ferais des rêves cette nuit, et cela n'a pas manqué : j'ai songé que je voyais Valère de loin, que je voulais aller à lui, et que quelqu'un m'en empêchait ; cela me donnait des inquiétudes. (Acte 1, scène 4, LA-MALADE)
- Ascendant à part avoue que Valère a de bonnes qualités ; il me plaignait tant hier. (Acte 1, scène 4, LA-MALADE)
- Cette maison me paraît d'une architecture régulière ; voyons si l'architecte a bien placé la cuisine. (Acte 1, scène 8, LAVALÉE)
- L'Histoire Romaine en fait foi ; et l'Histoire Normande assure que Robert le Roux était brave soldat, grand Capitaine, et faisait ses écritures lui-même ; et moi qui ne suis que le maître clerc de Monsieur_le_Marquis, je plaide de naissance. (Acte 2, scène 2, LAVALÉE)
- Mais, Monsieur, voilà une amie qui réfléchira, qui pensera, qui parlera d'affaire pour moi ; vous pouvez terminer avec elle, je vous laisse ensemble. (Acte 2, scène 5, LA-MALADE)
- En déchirant le testament, la succession tomberait naturellement sur la nièce, je veux lui faire ce bien, et je vais le lui offrir généreusement. (Acte 2, scène 7, FAUSSINVILLLE)
- Il me paraît plus passionné qu'hier. (Acte 3, scène 3, LUCINDE)
- Votre coeur devrait être déjà bien loin, car vous oubliâtes hier le cordial sur votre toilette. (Acte 3, scène 6, VALÈRE)
- Quelle trahison ! (Acte 4, scène 1, LAVALÉE)
- Pour déterminer la Malade, il faut que vous la menaciez de chicanes, d'embarras, de persécutions. (Acte 4, scène 3, LUCINDE)
- Oui, Monsieur, vous êtes le plus grand chicaneur, le plus malhonnête homme... (Acte 4, scène 4, LUCINDE)
- Plaider une tante, un père, une mère, il n'y a rien là de dénaturé, c'est l'usage de franche nature ; ainsi elle vous fera assigner en plein hiver pour vous transporter sur les lieux. (Acte 4, scène 4, FAUSSINVILLLE)
- Me transporter dans les hivers ? (Acte 4, scène 4, LA-MALADE)
- Tu me fis hier des offres par amitié, je les refusai par délicatesse ; car enfin, recevoir d'une personne qu'on aime désintéressement, cela blesse, cela répugne. (Acte 4, scène 5, LUCINDE)
- Celui-ci est un esprit universel ; il a de l'étude et de l'ignorance, de la politesse et de l'effronterie ; il est babillard, historien, nouvelliste, médisant, il sait tout hors la médecine, et c'est ce qui met un Médecin en vogue parmi les Dames. (Acte 5, scène 1, LISETTE)
- Je conclus de là que les ressorts, qui composent le reste de la machine, ne tiennent ensemble que par des filaments, dont la contexture est si fine, si fine... (Acte 5, scène 4, LAVALÉE)
- Je suis bien aise de vous tenir là tous deux ensemble, pour me débarrasser au plus vite la tête d'une dernière résolution, que j'avais prise dès tantôt ; car je me doutais bien que j'étais confisquée : je vous dirai donc que ma tendresse pour Monsieur, est toute fondée sur l'estime ; je ne l'épousais que pour l'enrichir, et l'attacher à moi ; mais je puis vous enrichir tous deux, et vous attacher à moi, en vous mariant ensemble. (Acte 5, scène 3, LA-MALADE)
- On me trahit. (Acte 5, scène 8, FAUSSINVILLLE)
- Non, non Monsieur, je veux prouver à ma tante le mépris que j'ai pour vous, et la tendresse que j'ai pour elle ; et afin que vous ne puissiez jamais la chicaner en mon nom, je lui cède tous mes droits sur la succession nouvelle ; oui ma tante, je veux bien dépendre entièrement de vos bontés, puisque Lucinde n'en empêchera plus l'effet. (Acte 5, scène 9, ANGÉLIQUE)
LE DOUBLE VEUVAGE (1699)
- Je vous dis que pour faciliter votre mariage avec Thérèse, Madame_la_Comtesse qui vous protège tous deux, a fait jouer mille ressorts pour certifier à ma Maîtresse, que votre Oncle est mort ; elle est si sûre d'être veuve, qu'elle a pris le deuil dès hier... (Acte 2, scène 1, FROSINE)
- Oh il s'est enrichi à mes dépens, je veux rire aux dépens de sa Veuve, après tout, c'est une extravagante, elle veut déshériter sa Nièce, qui est ma filleule ; en un mot elle hait celle que vous aimez, pourquoi la ménager, serait-ce parce qu'elle a de l'amour pour vous ? (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
- Un ridicule moins excusable, c'est l'empressement qu'elle eût hier de prendre le deuil. (Acte 2, scène 4, LA COMTESSE)
- Je passimes hier par trente lieues d'ici, et tou contre-là son petit calèche romput, va t'en donc devant, me dit-il ; car j'ai envie d'être malade ici tant qui sera Dimanche, pour qu'on refasse mon calèche Lundi, et je m'en vas Mardi tout bellement. (Acte 2, scène 7, LE SUISSE)
- Madame_la_Comtesse pourrait bien vous chicaner, oui. (Acte 2, scène 10, FROSINE)
- Vous me direz, qu'elle ne peut faire que de mauvaises chicanes à la Veuve d'un honnête Intendant, qui s'est enrichi comme les autres, à embrouiller des affaires ; mais enfin, si elle allait vous faire rendre par injustice, ce que votre mari a gagné équitablement. (Acte 2, scène 10, FROSINE)
- Oh ne me chicanez point. (Acte 3, scène 1, THÉRÈSE)
- Voyez la sympathie quand on s'aime. (Acte 3, scène 5, GUSMAND)
- Me trahir ainsi ? (Acte 3, scène 19, L'INTENDANT)
- Me tromper, me trahir : il souhaite ma mort, le cruel, le traître ! (Acte 3, scène 4, LA VEUVE)
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Dans les 1963 textes du corpus, il y a 18 textes (soit une présence dans 0,92 % des textes) dans lesquels il y a 324 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 18,00 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Total |
1 | LA JOUEUSE | 1 | 5 | 3 | 2 | 1 | 12 |
2 | LA NOCE INTERROMPUE | 4 | 0 | 0 | 0 | 0 | 4 |
3 | LA NOCE INTERROMPUE | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
4 | LES MAL-ASSORTIS | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
5 | LA COQUETTE DE VILLAGE OU LE LOT SUPPOSÉ | 8 | 7 | 0 | 0 | 0 | 15 |
6 | LE D?PART DES COM?DIENS | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 |
7 | LE DÉPART DES COMÉDIENS | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 | 3 |
8 | LE CHEVALIER JOUEUR | 0 | 4 | 0 | 2 | 2 | 8 |
9 | LE N?GLIGENT | 0 | 2 | 6 | 0 | 0 | 8 |
10 | LE NÉGLIGENT | 1 | 0 | 1 | 0 | 0 | 2 |
11 | L'ESPRIT DE CONTRADICTION | 36 | 0 | 0 | 0 | 0 | 36 |
12 | LA RÉCONCILIATION NORMANDE | 6 | 2 | 6 | 7 | 3 | 24 |
13 | LE JALOUX HONTEUX | 12 | 11 | 8 | 8 | 11 | 50 |
14 | LES ADIEUX DES OFFICIERS | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
15 | LES ADIEUX DES OFFICIERS | 9 | 0 | 0 | 0 | 0 | 9 |
16 | LE MARIAGE FAIT ET ROMPU | 4 | 8 | 6 | 0 | 0 | 18 |
17 | LE FAUX INSTINCT | 6 | 6 | 3 | 0 | 0 | 15 |
18 | LE FAUX INSTINCT | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
19 | LE FAUX SINCÈRE | 15 | 6 | 10 | 6 | 8 | 45 |
20 | LE FAUX HONN?TE HOMME | 4 | 4 | 9 | 0 | 0 | 17 |
21 | LE DÉDIT | 8 | 0 | 0 | 0 | 0 | 8 |
22 | LA MALADE SANS MALADIE | 8 | 3 | 2 | 6 | 5 | 24 |
23 | LE DOUBLE VEUVAGE | 0 | 6 | 4 | 0 | 0 | 10 |
24 | LES MAL-ASSORTIS | 0 | 6 | 0 | 0 | 0 | 6 |
25 | LE CHEVALIER JOUEUR | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 1 |
Total | 134 | 71 | 58 | 31 | 30 | 324 |