Occurences de l'expression
il
pour BOURSAULT, Edme
Options de recherche : partie de mot et insensible à la casse
MARIE STUARD (1691)
- Pour me le confier il m'a mandé trois fois : v.5 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Il me rappelle encore avec empressement ; v.9 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- S'il me parle en ce lieu, quoiqu'il puisse m'apprendre v.11 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Seigneur, en ce moment il nous entend peut-être. v.16 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Je viens vous répéter les serments qu'il a faits, v.17 (Acte 1, scène 1, EURIC)
- Je me fie à sa loi. Qu'il se fie à mon zèle. v.23 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Se creuse un précipice où j'ai peur qu'il m'entraîne : v.32 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Quoique de ma fortune il ait été l'appui, v.33 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Quelqu'un vient : c'est le Duc. Soit qu'il aime ou qu'il conspire, v.39 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Allez prêter l'oreille à ce qu'il va me dire. v.40 (Acte 1, scène 1, NEWCASTLE)
- Il faut près de la reine être flatteur et traître : v.47 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Il faut l'être une fois pour ma justifier. v.50 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Et pour tout privilège, en un degré si haut, v.57 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Seigneur, me voilà prêt. Que faut-il entreprendre ? v.60 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Quelque soit le péril où je dois m'exposer v.61 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Dès qu'il l'eut affermie en son auguste rang v.81 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Si tôt que sur sa tête il l'eut posé lui-même. v.84 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Il en est des présents, et qu'il faut prévenir. v.86 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- La fière Elisabeth, princesse illégitime, v.91 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Il n'est point là d'ami qui n'ait plus d'un visage : v.104 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- D'une reine odieuse il veut finir l'empire. v.108 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- S'il faut que malgré nous il nous échappe un crime, v.112 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- S'il vous manque, Seigneur, un bras pour le commettre, v.115 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Enfin prescrivez-moi ce qu'il faut que je fasse. v.123 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Quoiqu'il porte en tous lieux les traits qui l'ont frappé, v.133 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- De l'illustre Stuard j'ai corrompu la garde. v.147 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- La grandeur du péril les doit autoriser. v.173 (Acte 1, scène 2, NEWCASTLE)
- Qu'il m'est doux v.176 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Suivez notre fortune en de meilleurs climats : v.189 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- A la sombre clarté qui tombe des étoiles v.194 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- De ce port cette nuit doivent sortir vingt voiles ; v.195 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Pendant l'obscurité, le calme et le silence, v.198 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Du Comte de Morray trompons la vigilance : v.199 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- À son ambition il immole sa soeur. v.201 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Le criminel amour dont il a reçu l'être, v.202 (Acte 1, scène 2, NORFOLK)
- Un sincère témoin de tout ce qu'il a dit, v.212 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et puisque le silence est encore à mon choix, v.216 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Au milieu du chemin que vous m'avez trace, v.220 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Quoique par vos conseils vous m'avez inspire, v.224 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Votre soeur immolée, il ne sera plus temps v.232 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Jugez en quel péril je me verrais alors. v.237 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Il faudrait que mon sang ? v.238 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Depuis qu'à mes desseins j'ai vu le crime utile, v.242 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- J'ai secoué le joug de la vertu stérile v.243 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Pour acquérir un trône il n'est point de forfaits, v.244 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Qui ne changent de nom quand ils ont du succès. v.245 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et le trône chancelle à moins qu'il n'ait son poids. v.257 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Il y manque, il est vrai, quelque cérémonie ; v.263 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Il suffit que je sois, et que je sois de lui. v.265 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- S'il épousa sa mère, il adorait la mienne ; v.267 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et par l'ordre du ciel il nous donna le jour, v.268 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Il est vrai. Mais, Seigneur, par une loi sévère, v.270 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Aucun de vos pareils ne succède à son père. v.271 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Et d'ailleurs, le feu roi, quoiqu'on ait entrepris, v.272 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- N'a jamais avoué que vous fussiez son fils. v.273 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Pour m'en convaincre mieux, s'il faut encore plus faire, v.278 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Vos fidèles conseils à qui je m'abandonne, v.290 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Elle le cimenta du sang le plus illustre : v.307 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Et si je perds la mère aurais-je soin du fils ? v.317 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Je lui laisse le jour tant qu'il m'est nécessaire ; v.318 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Que l'asile d'un crime est un crime nouveau. v.325 (Acte 1, scène 3, MORRAY)
- Quoique fasse le sang, il faudra peu d'effort v.328 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Que de ses jours sacrés il veut borner le cours v.333 (Acte 1, scène 3, NEWCASTLE)
- Venez par vos conseils dissiper vos alarmes, v.342 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Il l'a vu en secret, et même en ce moment v.352 (Acte 1, scène 4, LANCASTRE)
- Voilà mon sentiment que rien ne peut changer. v.356 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- De quelque part qu'il vienne écartons le danger. v.357 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- Qu'il faut exécuter l'arrêt qu'elle a fait rendre. v.359 (Acte 1, scène 4, MORRAY)
- De tant de conjures il eût suivi les traces ? v.363 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- En quelque rang qu'il soit je lui ferait connaître; v.366 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que plus à mes bontés il était redevable, v.370 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Il voulait, le perfide, attenter à vos jours, v.376 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- L'aime-t-il ? v.379 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Il l'adore. v.379 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il l'adore : Qu'entends-je ? v.380 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Quoi ! Pour mon ennemie il a l'âme obsédée ! v.382 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Eh faut-il que si tard j'en soit persuadée ! v.383 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Mais le mien trop facile à se laisser surprendre, v.386 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Si d'un coup si cruel il eût senti l'atteinte, v.390 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Il l'aurait recouvrée à sa première plainte. v.391 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- J'aurais plus de rigueur qu'il n'a d'ingratitude. v.402 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Par un crime si grand il viole à la fois, v.404 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il trahit son devoir, vos bienfaits, sa naissance ; v.406 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Il est sans foi, sans zèle et sans reconnaissance : v.407 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et les rois savant-ils quand on leur est fidèle ? v.411 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ils n'ont point de défauts qui ne soient encensés : v.413 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que de la pat du Duc il ne m'arrive rien. v.421 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Que pour sa trahison le Duc croit la meilleure. v.431 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Songez que le silence est nécessaire ici. v.441 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Des yeux qui l'ont séduit il obtiendra des larmes. v.443 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Lui seul de ce qu'il aime aura hâté la mort. v.449 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Ainsi ma cruauté, sans permettre qu'il meure, v.450 (Acte 2, scène 1, ELISABETH)
- Aux ravages d'Ostende a cent voiles qu'on arme : v.459 (Acte 2, scène 1, MORRAY)
- Et plus de mes bienfaits, il fut favorisé, v.476 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Plus il est criminel d'en avoir abuse. v.477 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je la lui rendrai mieux qu'il ne me l'a rendue, v.479 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et doublement coupable il me fera raison, v.480 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et pour peu qu'il en reste à vous parler de lui, v.484 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Il vous dois sa fortune, et vous devra ses jours. v.489 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- Il fait de ma tendresse un trop mauvais usage v.491 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Et ce qu'il tient de moi, lui sert à ma trahir. v.493 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Ont-ils passé tous deux à jouir de ma honte ? v.499 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Combien de fois le jour triomphaient-ils de moi ? v.501 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Il est jeune et sensible : et vos charmes ... v.526 (Acte 2, scène 2, LANCASTRE)
- S'il osait me tenir les discours que tu tiens, v.528 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je lui vendrais bien cher de pareils entretiens. v.529 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Il sait trop quel il est pour s'oser méconnaître v.531 (Acte 2, scène 2, ELISABETH)
- Je me dois toute à lui puisqu'il est tout à moi. v.541 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Quelque soin que je prenne, il est toujours des traîtres v.542 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Sans avoir mes raisons, vous veillez comme moi. v.545 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Avez-vous eu du ciel un plu grand privilège ? v.546 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- À qui depuis six mois mes jours sont-ils utiles ? v.550 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Je donne à l'État que des désirs stériles. v.551 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- S'il n'est point de repos dont je puisse jouir. v.557 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Plus à notre tendresse il en coûte d'alarmes. v.563 (Acte 2, scène 3, NORFOLK)
- Qu'on ne peut résister à ce qu'il entreprend. v.569 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Je viens de reconnaître à ce conseil sincère, v.570 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Reprenez aux Conseil la principale place. v.575 (Acte 2, scène 3, ELISABETH)
- Et que lui reste-t-il à m'offrir que son coeur ? v.581 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Pour prix de ses bienfaits faut-il être infidèle ?... v.582 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Aura fait pour le moins tout ce qu'il aura dû. v.589 (Acte 2, scène 4, NORFOLK)
- Il m'importe. v.622 (Acte 2, scène 9, KILLEGRE)
- Ils ont vu ton faux zèle, et combien ma présence v.630 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Il faut que de son sort ma vengeance décide. v.639 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Ayez soin d'assembler demain à mon réveil v.648 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Les Pairs accoutumés à tenir mon conseil. v.649 (Acte 2, scène 10, ELISABETH)
- Madame, ils vont entrer tous deux. v.656 (Acte 3, scène 1, LANCASTRE)
- Ils ont pour ce perfide une haine mortelle. v.658 (Acte 3, scène 1, ELISABETH)
- Il vient. Souvenez-vous que ce billet fatal v.664 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Et que traître une fois, il est de la justice v.666 (Acte 3, scène 2, ELISABETH)
- Qui prendrait son parti dans un pareil malheur, v.672 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- A vu trop de péril à souffrir votre fuite. v.675 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Il a mis un obstacle avec juste raison? v.676 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- En donnant cet arrêt n'ont-ils pas consulté ? v.704 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Qui préférant la gloire à de fragiles biens, v.728 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je ne présumais pas qu'une princesse illustre v.734 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ils feront contre vous ce qu'ils ont fait contre elle : v.747 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Jamais de perfidie ils n'ont été coupables. v.751 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Animés d'un pur zèle ils périraient pour moi v.752 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Est-il quelque grandeur que je t'ai interdite ? v.754 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Dans l'asile sacré que vous avez offert ! v.773 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Pour le malheur du monde en était exile, v.783 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Il faudrait qu'en tout temps par un glorieux choix v.784 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Quelque honteux qu'il soit il ne m'alarme guère. v.791 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Je jure que tranquille en son funeste sort v.796 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- N'a fait connaître au sien qu'il cherchait à lui plaire ! v.803 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Et de mon coeur tranquille avoir troublé la paix, v.808 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Deux fois digne de mort, que n'est-il à mon choix v.812 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Au moins ma volonté, qu'il faut qu'on accomplisse v.814 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Au milieu des tourments laissez durer ma vie. v.819 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Si par d'autres attraits il s'est laissé toucher, v.832 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- De nos meilleurs vaisseaux la mer sera couverte ; v.842 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Et s'il faut dans la suite un puissant secours, v.843 (Acte 3, scène 3, ELISABETH)
- Rien. Ce billet surpris rend ma mort légitime. v.851 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Que d'avoir essayer d'obtenir un asile, v.854 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Où la reine d'Écosse eut un abri tranquille. v.855 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Ils doivent s'assembler dans la sale prochaine. v.858 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- Il y va de vos jours à répondre des leurs. v.880 (Acte 3, scène 3, NORFOLK)
- J'attendrai le trépas l'âme ferme et tranquille, v.886 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si mon sang répandu vous devenait utile ; v.887 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Il est d'autres forfaits dont je ne le suis pas. v.901 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- Lorsqu'il faut y monter par une voie injuste. v.903 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- De répandre les dons qu'ils retiennent pour eux ? v.909 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Il serait condamné de votre propre bouche : v.915 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Heureux si le destin qu'il faut que je subisse, v.930 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Vous jugez qu'il m'eut été facile, v.934 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- De supprimer l'aveu d'une ardeur inutile, v.935 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- A fait aller mon coeur plus loin qu'il n'a voulu. v.941 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Il faudrait remonter au temps des faux dieux. v.949 (Acte 3, scène 4, MARIE-STUARD)
- A depuis deux mille ans donné des rois au monde, v.951 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Il ne me restait plus qu'à me plaindre de vous. v.957 (Acte 3, scène 4, MARIE STUARD)
- Était-il de mon choix de ne pas vous aimer ? v.977 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Enfin, Madame, enfin, s'il faut parler sans feindre, v.982 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Il ne fallait pas moins que toutes vos vertus. v.985 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- D'abord de leur éclat eut défile ma vue v.986 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- Si j'eusse osé prévoir qu'ils pouvaient me surprendre, v.994 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- En fuyant le péril j'aurais su m'en défendre ; v.995 (Acte 3, scène 4, NORFOLK)
- De cette illustre marque il faut qu'elle t'honore. v.1035 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Devait m'appartenir par le sang qu'il me coûte : v.1043 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Dans un lieu plus tranquille accompagnez mes pas. v.1056 (Acte 4, scène 1, NORFOLK)
- Quatre autres vieillards, consommez dans les lois, v.1064 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Il faut que malgré moi j'achève ma carrière. v.1071 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Après mille bienfaits honteusement déçus, v.1072 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Vous m'avez fait braver la honte qu'il imprime ; v.1075 (Acte 4, scène 2, NEWCASTLE)
- Assurons notre crime, et cueillons-en le fruit. v.1093 (Acte 4, scène 2, MORRAY)
- Et s'il pousse un soupir il obtiendra la grâce, v.1111 (Acte 4, scène 3, MORRAY)
- S'il l'obtient, vous saurez à quel prix, v.1112 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Rien n'a pu le contraindre à garder le silence. v.1123 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- De l'air tendre et touchant dont il s'est exprimé, v.1124 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Trouvait-il dans ses fers une fortune égale ? v.1127 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Si ce qu'il sent pour elle il l'eût senti pour moi. v.1129 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Je veux de ce perfide humilier l'audace : v.1131 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Et pour peu qu'il s'échappe à braver mon courroux, v.1132 (Acte 4, scène 3, ELISABETH)
- Souillent de leur aspect la majesté des rois. v.1137 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Maître de tout le monde, il n'ont que Dieu pour maître. v.1155 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- La reine qu'on opprime, et dont il est l'appui, v.1156 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- D'avoir dans mes états, où tout était tranquille, v.1162 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Attenté sur mes jours, violé son asile, v.1163 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Voilà quelle est ma plainte, et quels sont ses forfaits. v.1165 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Il en est un, Madame, où règne un autre juge v.1174 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et s'il n'a des vertus, rien n'y parle pour lui. v.1177 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Comme il est de son dieu la plus parfaite image, v.1178 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Dans ce degré sublime il lui doit avantage ; v.1179 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Et des crimes qu'il souffre, et de ceux qu'il a faits. v.1181 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Il voudrait avec lui vous avoir entraîné. v.1193 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Effrayé du péril qui son crime lui montre v.1194 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Il s'attache en coupable à tout ce qu'il rencontre, v.1195 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Il croit pas un mensonge être justifié. v.1197 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Du fond de leur cercueil ils empruntent ma voix v.1216 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Méprisez les conseils des ces petites âmes v.1218 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Si je prends leur conseil, j'en connais le justice, v.1222 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Ils m'animent tous deux à hâter ton supplice : v.1223 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Leur zèle impatient en presse d'appareil ; v.1224 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et je n'hésite point à suivre ce conseil. v.1225 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- C'est sur un échafaud qu'ils ont cessé de vivre ; v.1238 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Voilà les grands forfaits dont ils furent coupables. v.1254 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà les trahisons dont nous sommes capables. v.1255 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Voilà pour quel sujet le glaive d'un bourreau v.1256 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Par un effort pareil mérite mes bienfaits. v.1272 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Si vous me la laissez, il me sera bien doux v.1275 (Acte 4, scène 4, NORFOLK)
- Pour rendre à l'Angleterre un plus tranquille sort v.1286 (Acte 4, scène 4, ELISABETH)
- Et s'il rendre en faveur il nous perdra tous deux. v.1307 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et l'ayant condamné, s'il échappe au trépas v.1310 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Ne vaudrait-il pas mieux faire un plus noble effort, v.1314 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- S'il voyait votre soeur à couvert de sa haine : v.1317 (Acte 4, scène 6, NEWCASTLE)
- Il en reste une horreur qui jamais ne s'efface : v.1321 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Et laissez-moi le soin, dût-il m'être fatal, v.1326 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Il faut que de ma haine il devienne la proie ; v.1329 (Acte 4, scène 6, MORRAY)
- Quand il faudra partir je n'ai rien qui m'arrête. v.1332 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Et qu'à leur premier ordre ils seront obéis, v.1334 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Le Comte de Morray viendra-t-il ? v.1336 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Je meurs, vous le savez, femme, soeur, fille et mère v.1340 (Acte 5, scène 1, MARIE-STUARD)
- Et de ce rang suprême il ne m'est rien resté v.1342 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Après un sort si rude il m'eut été bien doux v.1346 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- En voyez la fin avec un oeil d'envie ? v.1349 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Faut-il verser des pleurs quand un port m'est offert ? v.1351 (Acte 5, scène 1, MARIE STUARD)
- Si ta religion l'acquiert le privilège v.1388 (Acte 5, scène 2, MARIE-STUARD)
- D'être envers une soeur perfide et sacrilège, v.1389 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- On vient avertir qu'il faut quitter le vie. v.1392 (Acte 5, scène 2, MARIE STUARD)
- Silence, indigne voix, qui me veux attendrir : v.1402 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Les utiles forfaits aux ingrates vertus. v.1407 (Acte 5, scène 3, MORRAY)
- Quelque effort que je fasse il me revient toujours. v.1411 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Quand j'impose silence à mon juste courroux v.1426 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Quels sacrilèges voeux puis-je faire pour elle ? v.1429 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- C'est ma soeur, il est vrai ; mais périsse ma soeur v.1430 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Quoiqu'il en soit, Madame, il est temps de résoudre v.1468 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- On voudrait la sauver qu'il ne serait plus temps. v.1471 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Tout coupable qu'il est, v.1478 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Il est assez puni de savoir mon arrêt : v.1479 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Et s'il faut m'expliquer, quoi qu'ait fait son audace, v.1480 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Plus fidèle que lui, s'il faut prendre les armes, v.1484 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Aimé comme il l'était, que j'eusse été fidèle ! v.1489 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- L'intervalle est plus grand, quoiqu'il manqué de foi, v.1494 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Madame, il est trop tard. v.1499 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Il est mort. v.1500 (Acte 5, scène 4, MORRAY)
- Il est mort ! Ah, perfide, qu'entends-je ! v.1500 (Acte 5, scène 4, ELISABETH)
- Dont il faut vous armer pour me réduire en poudre. v.1513 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Il faut que je périsse avec ignominie. v.1517 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Leur fils en son pouvoir doit trembler pour sa vie. v.1545 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Pour commencer sa peine ordonnez qu'il m'écoute. v.1549 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Tout barbare qu'il est, va lui percer le coeur. v.1551 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Au funeste appareil de son cruel supplice v.1560 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Un fils que de mes pleurs j'ai souvent arrosé, v.1570 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Dans un péril si grand devenez son appui. v.1574 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Avant que de régner faites qu'il en soit digne. v.1577 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et malgré le silence où s'obstinent les rois v.1590 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Ses filles, cependant, les yeux baignés de larmes, v.1592 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Quelques moments après elles voilent sa vue, v.1597 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Il faut qu'à leur fureur mon désespoir me livre ; v.1628 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et pour mieux me punir, s'ils épargnent mes jours, v.1629 (Acte 5, scène 5, NEWCASTLE)
- Et son fils, à son tour eut assouvi ma rage : v.1644 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Il vous élève au trône, et me livre à la mort. v.1654 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Mais s'il croit la choisir son attente est trompée. v.1655 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Voilà sans balancer le parti qu'on doit prendre. v.1660 (Acte 5, scène 6, MORRAY)
- Il est trop peu puni pour de si grands forfaits. v.1662 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
- Il mérite, le traître, une plus longue peine. v.1663 (Acte 5, scène 6, ELISABETH)
ÉSOPE À LA COUR (1701)
- Est-il à présumer que je vaille la peine v.3 (Prologue, scène 1, UN PETIT GÉNIE)
- Se faut-il étonner que je sois si petit ? v.8 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Les grecs et les romains ont épuisé les voiles v.13 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Des Racines et des Corneilles : v.14 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- "Pour qui nous croit-il prendre, en débitant cela ? " v.21 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Les plus judicieux conseils v.26 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Que les fautes de nos pareils. v.28 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Quoique depuis Ésope, il plaise aux destinées v.33 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Avoir fait écouler plus de deux mille années, v.34 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- S'y trouve si bien peint qu'il soit presque parlant, v.40 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Il ne tient qu'à lui de bien faire, v.41 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Il ne sera plus ressemblant. v.42 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- S'il mérite votre suffrage, v.44 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Sans vous le demander, il est sûr de l'avoir. v.45 (Prologue, scène 1, UN PETIT G?NIE)
- Non, je ne puis garder plus longtemps le silence, v.49 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Notre zèle est suspect, quelque pur qu'il puisse être ; v.53 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- De l'esprit de ce prince il s'est rendu le maître : v.54 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Pour l'obséder lui seul il l'éloigne de nous ; v.55 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Ce qu'avant son voyage il faisait d'ordinaire. v.62 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Ébloui d'un trésor qu'il ne pouvait trop voir, v.63 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Il l'allait visiter le matin et le soir. v.64 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Avec un bien immense il en est de retour ; v.68 (Acte 1, scène 1, TRASIBULE)
- Parlez bas ; il vient avec le roi. v.72 (Acte 1, scène 1, TIRRÈNE)
- Du retour de ce traître il a l'âme charmée. v.73 (Acte 1, scène 1, TIRR?NE)
- Trouvez-vous au conseil à l'heure accoutumée. v.74 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Eh ! Seigneur, se peut-il qu'après tant de v.76 (Acte 1, scène 2, IPHIS)
- Sortez. Je ne veux point d'inutile réponse. v.78 (Acte 1, scène 2, CRESUS)
- Pour toi, mon cher Ésope, il faut que je t'avoue v.81 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Il n'est grands ni petits des endroits d'où tu viens v.83 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Il ne te restait plus qu'à hâter ton retour v.87 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Il est beau qu'un monarque aussi grand que vous l'êtes, v.101 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qu'au gré de la justice il règle son pouvoir, v.103 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et qu'exempt de défauts il ait peur d'en avoir ; v.104 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et l'on étale aux rois d'un plus tranquille front v.111 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Les vertus qu'ils n'ont pas que les défauts qu'ils ont. v.112 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et c'est, mon cher Ésope, à quoi, s'il est possible, v.113 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Quel monarque a-t-on vu, pendant qu'il a régné, v.115 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qui de mille vertus ne fût accompagné ? v.116 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ont eu, quand ils régnaient, tous les noms qu'on me donne. v.118 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Les auront à leur tour pendant qu'ils régneront. v.120 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Mais que sert un long règne, à moins qu'il ne soit beau ! v.132 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Qui pour veiller, défendre et régir leurs états, v.135 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- En sont également l'oeil, l'esprit et le bras. v.136 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Pour aller à la gloire il suffit d'être juste. v.146 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Protéger votre peuple autant qu'il vous révère, v.149 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mais combien de chagrins y faut-il essuyer, v.167 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Tout rares qu'ils y sont, les amis s'embarrassent ; v.169 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Mille vont à leur but par un autre chemin : v.172 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand il sait que vos yeux en seront les témoins ; v.176 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Trouvent qu'ils ont vécu, sans qu'ils sachent v.184 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Un roi ne sait jamais s'il a de vrais amis. v.188 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Ayant su d'un vieux cerf, qu'il connaissait fidèle, v.206 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que souvent tels et tels, dont il était charmé, v.207 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il fait venir un tigre, un ours, une panthère, v.210 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Quand de quelque désordre ils pouvaient profiter, v.212 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- " mes amis, leur dit-il, à qui j'ai si souvent v.214 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il leur propose une injustice, v.220 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- " pesez bien, leur dit-il, ce que je vous propose, v.222 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et surtout que ma gloire aille avant toute chose : v.223 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il suffit que vous la vouliez. » v.236 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- « Dangereux conseillers, adulateurs infâmes ! v.237 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Qui des faibles agneaux et du chevreuil timide v.242 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- D'un exil éternel ayant puni l'audace v.246 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De leurs conseils pernicieux, v.247 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Il menaça de la même disgrâce v.248 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- S'ils ne la remplissaient pas mieux. v.250 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Que sur trois léopards il eut le même jour, v.252 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Pour expliquer l'énigme et dévoiler l'emblème, v.255 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- Et ceux qui sont admis dans le conseil des rois v.261 (Acte 1, scène 3, ESOPE)
- De l'orgueilleux Iphis je te donne la place. v.272 (Acte 1, scène 3, CRESUS)
- Mon sexe et ma naissance ont quelque privilège. v.300 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Le poste où je me vois n'est-il pas votre don ? v.305 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il a raison, madame, et je ne puis m'en taire. v.311 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Il ne donne jamais que d'utiles avis ; v.313 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Il me prenait peut-être en de méchantes heures, v.315 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Où mes raisons, Laïs, me semblaient les meilleures. v.316 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Qu'on aurait mis en oeuvre, au lieu qu'ils n'y sont pas. v.318 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Il me semble qu'ailleurs je serais transplantée. v.335 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Et de tous vos pareils le trône est la patrie. v.340 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Pour monter sur un trône il n'est rien qu'on ne quitte. v.343 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- C'est un prince accompli, si jamais il en fut, v.346 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Comme il est jeune et beau, vous êtes jeune et belle, v.351 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Lui, comblé de vertus, vous, brillante d'appas, v.357 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Qui pourrez-vous trouver, vous et lui, qui vous vaille ? v.359 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Je réponds du succès pour peu que j'y travaille, v.360 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Est-il un sort plus beau que d'asservir trois rois ? v.365 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- L'ordinaire destin des beautés difficiles v.367 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Est d'avoir des retours de chagrins inutiles : v.368 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui ne veut point d'un bien quand il le peut avoir, v.369 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Ne l'a pas quand il veut, comme vous allez voir. v.370 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il me semble avoir lu dans beaucoup de volumes v.371 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Les plus jolis brochets, les carpes les meilleures, v.381 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Mais ce n'est pas là ce qu'il cherche ; v.383 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il ne fit pas semblant d'avoir rien découvert. v.386 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Alors dans la rivière il fait divers plongeons ; v.388 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Et pour tout bien il ne découvre v.389 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Cependant le temps passe, et durant qu'il tournoie, v.393 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Qui le croirait ? Le héron difficile, v.395 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Sur le midi, fatigué, las, débile, v.397 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Une fille à seize ans souffre à peine les voeux ; v.402 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Son orgueil en rebute autant qu'il s'en présente, v.403 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il faut aller au but, et le but est l'hymen. v.406 (Acte 1, scène 4, ESOPE)
- Il est beau de donner des appuis aux couronnes ; v.413 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Une plante stérile est maudite des dieux. v.415 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Peut faire de meilleur qu'une fille comme elle, v.417 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Est-il une vertu qui soit plus nécessaire ? v.429 (Acte 1, scène 4, ARSINOE)
- Comme il s'en faut beaucoup que je ne sois si belle, v.440 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- Aussi ne suis-je pas si difficile qu'elle. v.441 (Acte 1, scène 4, LAIS)
- À quoi dans vos desseins puis-je vous être utile ? v.452 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que l'on est médisant dans cette grande ville ! v.453 (Acte 1, scène 5, PLEXIPE)
- Le bonheur de Crésus lui fait-il des jaloux ? v.458 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- De leur faire du mal quand ils me font du bien. v.467 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Qu'ils me rendent service, en croyant m'outrager, v.470 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Dites-moi sur quels points ils blâmaient ma conduite. v.472 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Apollon et Mercure, étant brouillés là-haut, v.482 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Ils n'avaient point d'argent, et c'est un grand défaut : v.484 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- "Que deviendrons-nous, dirent-ils, v.486 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Faire des tours de main, aussi prompts que subtils, v.488 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais il craignait les alguazils, v.490 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Et s'il se rencontrait sous leur patte cruelle, v.491 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- De mettre en oeuvre les outils v.492 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais comment ? Ils n'ont rien, argent, fonds, ni crédit. v.498 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Pendant cet embarras il arrive une foire. v.499 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais à peine Mercure a-t-il planté le sien v.506 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que de toute la foire il attire la foule : v.507 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Mais le marchand d'esprit à peine fut-il vu : v.511 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Il vendait une denrée v.512 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Il s'écrie, il s'emporte, il se rompt la cervelle : v.514 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- " messieurs, dit-il, messieurs, tournez ici vos pas ; v.515 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Il eut beau faire et beau dire, v.518 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Il n'est pas mal aisé de croire v.522 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Que de sa marchandise il n'eut point de débit ; v.523 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Si l'on tenait encore une pareille foire, v.526 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- S'ils sont vos ennemis, la passion vous guide : v.534 (Acte 1, scène 5, ESOPE)
- Fassent les médisants tout ce qu'ils pourront faire, v.546 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- Qu'ils auront de la peine à me reprocher rien. v.549 (Acte 1, scène 6, ESOPE)
- C'est dans ce lieu, vous dis-je, où le conseil s'assemble, v.554 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Il est juste à mon tour que je vous entretienne. v.558 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Qu'il y vienne : v.559 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Jusqu'à ce qu'il y soit, je ne vous quitte pas. v.560 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Vos yeux n'ont plus sur moi le pouvoir qu'ils ont eu ; v.564 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Par l'emploi qu'ils ont eu sont tous défigurés. v.581 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Et partout où je vais, les filles que je voi, v.588 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- C'est de vous que je tiens qu'une fille avisée v.590 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Et qu'il n'est presque rien dont on ne vienne à bout v.592 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Préviendrait vos raisons, s'il en était pour vous. v.601 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Qu'un orgueil ridicule attirait du mépris, v.605 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Mais il trouve au retour un contraire destin : v.618 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Pour se faire maudire il suffit qu'il se montre ; v.619 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- J'ai retenu de vous mille agréables choses v.634 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Il est vrai qu'on en parle, et que de vieilles dames, v.642 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Faciles à remplir les désirs d'un amant, v.644 (Acte 2, scène 1, RHODOPE)
- Que ne vous faisait-il aussi sage que belle ! v.655 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Il vous a dénié le plus grand bien de tous, v.656 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Tachez, s'il est possible, à me le faire croire ! v.659 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- Trop peu si j'ai raison et qu'ils ne le soient pas !... v.665 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- S'il en est temps encor, faites que votre époux v.668 (Acte 2, scène 1, ESOPE)
- S'ils me voyaient un fils, s'estimeraient heureux. v.677 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Me fait offrir sa fille et demander la paix. v.681 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Sa couronne, lui mort, appartient à sa fille ; v.682 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Mais en vain à mes yeux cette couronne brille. v.683 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Elle m'a d'un coup-d'oeil assujetti moi-même. v.687 (Acte 2, scène 2, CRESUS)
- Vous aimez ; il faudrait, pour vous faire ma cour, v.696 (Acte 2, scène 2, TIRRÈNE)
- Et qu'il doit à sa gloire immoler son ardeur. v.705 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Des attraits si touchants qu'ils émeuvent, désarment ; v.707 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Perdront bien de leur prix quand ils seront à vous. v.709 (Acte 2, scène 2, TIRR?NE)
- Avec impatience ils attendent la paix. v.721 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Tel embrasse son fils, qui regrette son frère ; v.727 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Qu'il est peu de lauriers qui ne coûtent des pleurs. v.729 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Et lorsque de l'hymen ils subissent les lois, v.732 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Voilà mon sentiment. v.737 (Acte 2, scène 2, TRASIBULE)
- Elle sentit pour lui ce qu'il sentait pour elle : v.745 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Du matin jusqu'au soir ils se voyaient sans cesse, v.749 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et qu'ils jurent si tendrement v.752 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En vain de sa rigueur il gémit et se plaint, v.757 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il faut qu'il obéisse ou qu'il fasse retraite. v.758 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'abord il va percher sur le toit le plus haut v.759 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Mais faute d'aliment, il lui fallut bientôt v.761 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Outre qu'ils négligeaient le soin v.767 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il croyait ouïr des injures. v.774 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il faut que pour bien vivre ensemble à nous deux, v.776 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Du matin jusqu'au soir ils se voyaient sans cesse, v.778 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Et qu'ils jurent si tendrement v.781 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- En vain de sa rigueur il gémit et se plaint, v.786 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il faut qu'il obéisse ou qu'il fasse retraite. v.787 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- D'abord il va percher sur le toit le plus haut v.788 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Mais faute d'aliment, il lui fallut bientôt v.790 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Outre qu'ils négligeaient le soin v.796 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il croyait ouïr des injures. v.803 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il faut que pour bien vivre ensemble v.805 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Il est sûr qu'on s'entend bien mieux. v.807 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Pourquoi chercher ailleurs ce que l'on a chez soi ? v.811 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Que le bonheur du coq, s'il eût eu sa poulette. v.821 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sans cesse de l'hymen il se serait loué, v.822 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Sa vertu vous répond d'un bonheur infaillible. v.824 (Acte 2, scène 2, ESOPE)
- Crésus à nos conseils préfère vos avis ; v.830 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Il ne saurait pour vous faire voir trop d'estime. v.832 (Acte 2, scène 3, TIRR?NE)
- Quel ministre a-t-il eu d'un esprit plus sublime ? v.833 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Quoi qu'il fasse pour vous, il fait encor trop peu. v.835 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Il en était indigne, et vous la méritez. v.838 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Et qui pour s'enrichir faisait mille injustices. v.841 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Il était violent, vindicatif, brutal, v.842 (Acte 2, scène 3, TIRRÈNE)
- Il n'est pas sur la terre un plus malhonnête homme. v.849 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Il est fourbe et méchant... v.851 (Acte 2, scène 3, TRASIBULE)
- Dites-moi, s'il vous plaît, v.851 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il se lavait les pieds dans l'onde. v.861 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Se donnaient rendez-vous sous son épais feuillage ; v.863 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ils y chantaient leur amour, v.865 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Mais, comme dans le monde il n'est rien de certain, v.867 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il survint tout_à_coup un furieux orage. v.870 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Il semblait que la pluie inonderait la terre : v.872 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dans le hameau prochain vont chercher un asile ; v.876 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Pour venir habiter son premier domicile. v.878 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Furent un milan, un autour, v.884 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dirent-ils aux oiseaux qu'ils crurent pitoyables. v.888 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Puisque j'ai partagé ce qu'il eut de bonheur. " v.894 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- " Il m'a tant fait de bien, reprit une colombe, v.895 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dans quelque disgrâce qu'il tombe. " v.898 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Ajouta tendrement un rossignol habile, v.900 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- À revenir un jour lui demander asile ! " v.902 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Vous êtes, vous et lui, le milan et l'autour, v.908 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Dès qu'il fut malheureux le trouvèrent coupable. v.910 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Puisqu'il s'est pu résoudre à vous faire du bien. v.920 (Acte 2, scène 3, ESOPE)
- Quel qu'il soit, vous l'avez mérité. v.924 (Acte 2, scène 4, TRASIBULE)
- Loin qu'à votre pouvoir je veuille rien prétendre, v.933 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Un destin plus cruel me fût-il préparé, v.947 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Quand, pour se divertir, il nous eut dit les nôtres, v.957 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Voulant être traité comme il traitait les autres, v.958 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- De les trouver plus grands qu'il n'avait fait les miens. v.960 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Et qu'avoir pour le vin plus d'amour qu'il ne faut, v.963 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- " pour vous montrer, dit-il d'un air fier, mais auguste, v.965 (Acte 2, scène 5, IPHIS)
- Il faut bien d'autres soins et bien d'autres mesures ; v.974 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il n'est dans l'univers aucun roi qu'on ne flatte ; v.978 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- S'il reprend leurs défauts, le doit faire avec art. v.980 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il faut, plein du respect que leur présence inspire, v.981 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Qu'ils ne connaissent pas que nous les connaissons. v.984 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il n'est rien près du roi que pour vous je ne fasse : v.985 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Comme souverain maître, à qui tout est facile, v.989 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il nous fait valoir un, ou nous fait valoir mille ; v.990 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Qu'il l'aimait à la folie : v.1001 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Elle lui demanda s'il aurait agréable v.1003 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- « Oui, dit-il, ce plaisir me semblera bien doux. » v.1005 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Il consentit sans peine à ce manège-là. v.1010 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Devenue orgueilleuse à le voir complaisant, v.1018 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- « Ah ! Perfide, dit-il, qui t'oses méconnaître, v.1022 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Chacun avec plaisir la vit humilier. v.1031 (Acte 2, scène 5, ESOPE)
- Quelque prix de ses soins qu'il exige aujourd'hui, v.1040 (Acte 3, scène 2, CRESUS)
- Il fait bien plus pour moi que je ne fais pour lui... v.1041 (Acte 3, scène 2, CRESUS)
- Mais, après les bienfaits dont il m'est redevable ? v.1046 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- L'injure qu'il m'a faite est-elle pardonnable ? v.1047 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Au lieu qu'il vogue à l'aise et ne craint nul assaut v.1064 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Quand il n'a justement que le poids qu'il lui faut. v.1065 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Peut-être à ce sujet cadre-t-il assez bien. v.1072 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Comme il en témoignait une surprise extrême : v.1078 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Voilà comme sont vos présents, v.1080 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Ils en sont si chargés qu'ils n'en savent que faire, v.1084 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Cet avis est utile, et je veux m'en servir. v.1089 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- En suivant des conseils aussi bons que les vôtres, v.1092 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Peut-être à sa manière a-t-il un zèle égal. v.1113 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Il n'est pas à la cour le premier qui s'oublie, v.1114 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Dans un âge plus mûr, dépouillés de tous vices, v.1118 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Il vous rendra service encor mieux qu'il n'a fait. v.1121 (Acte 3, scène 3, ESOPE)
- Un lion endormi, s'éveillant en sursaut, v.1128 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Comme un lion est fier et qu'il a le sang chaud, v.1130 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il fulmine, tonne, éclate. v.1131 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- « L'intervalle est si grand, dit-il, de vous à moi, v.1136 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il tâche à rompre sa chaîne ; v.1153 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais plus il y prend de peine, v.1154 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Plus il en serre les noeuds. v.1155 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- En vain dans ce péril il attend du secours : v.1157 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Nos meilleurs amis sont sourds. v.1159 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le rat seul, d'un pas agile, v.1160 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Vient voir à quel usage il lui peut être utile, v.1162 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il s'attache avec soin à ronger une corde, v.1164 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qui de tout l'attirail est le noeud gordien ; v.1165 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Que du lion captif il brise le lien, v.1168 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Tels que l'on croit d'inutiles amis, v.1172 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Eh bien ! Seigneur, mes voeux seront-ils exaucés ?... v.1174 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Le lion me prescrit ce qu'il faut que je fasse : v.1176 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Puisqu'il est ton ami, je veux être le sien. v.1179 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Mais apprends sa faiblesse ; il n'a jamais rien cru. v.1191 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Pour tout dire, accompli, s'il pouvait croire aux dieux. v.1195 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Il vient ; de son erreur fais-lui voir l'injustice. v.1196 (Acte 3, scène 3, CRESUS)
- Qu'ayant vu ce matin qu'il faisait un beau jour, v.1206 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- J'ai quitté pour vous voir mon tranquille séjour ; v.1207 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Le corps, quel qu'il puisse être, est l'ouvrage d'autrui ; v.1214 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Avec qui, s'il vous plaît, ai-je ici l'honneur d'être ? v.1224 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Briller moins par l'esprit que par la probité, v.1235 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Vous ne croyez donc pas qu'il soit des dieux ? v.1247 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il est vrai, mais qui marche à tâtons et dans l'ombre, v.1253 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Il en faut un premier d'où soient venus les autres. v.1261 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Voilà sur quel article il faut qu'on me réponde. v.1264 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Peut-il être éternel et sujet au trépas ? v.1266 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il commence et finit, vous ne l'ignorez pas. v.1267 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Le ciel, où jour et nuit brillent des feux si beaux, v.1271 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Vous, et tous vos pareils, qui semblez intrépides, v.1284 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mille de cris perçants importunent les dieux. v.1287 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- S'il vous fallait mourir, que croiriez-vous ? v.1288 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- J'ai vu la mort de près dans plus d'une bataille ; v.1304 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Je l'ai vue à l'assaut de plus d'une muraille, v.1305 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Sans que dans ce péril elle ait pu m'inspirer v.1306 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh ! Que ne fait-on point quand il faut que l'on meure ? v.1312 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Votre raison alors sera-t-elle meilleure ? v.1313 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- De la vie à la mort il s'agit d'un instant ; v.1318 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Qu'un espoir si tardif est un fragile espoir, v.1327 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Mon enfant, lui dit-elle en mère habile et sage, v.1338 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Tu disais qu'ils ne pouvaient rien : v.1340 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ils ne peuvent pas davantage. v.1341 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Pour en croire il attend qu'il soit malade ou vieux. v.1343 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Il les croit impuissants, voyant leur foudre oisive ; v.1345 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Quand ils sont fatigués et qu'il n'en est plus temps. v.1347 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Voilà ce que je crois. v.1356 (Acte 3, scène 4, ESOPE)
- Ce discours vous fatigue autant qu'il m'embarrasse. v.1357 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Si mes yeux sont fermés, qu'ils se défermeront. v.1371 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- On y voit d'un coup-d'oeil le printemps et l'automne, v.1380 (Acte 3, scène 4, IPHICRATE)
- Eh bien ! Ma bonne femme, à quoi vous suis-je utile ? v.1396 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Qui vous fait de si loin venir en cette ville ? v.1397 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Comme ils sont situés plus près de l'indigence, v.1400 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Leur besoin plus pressant veut plus de diligence. v.1401 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- N'attendait point du tout le coup qu'il a reçu, v.1411 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Rhodope ! Elle qui plaît, qui brille ? v.1412 (Acte 3, scène 6, ESOPE)
- Eh ! Bons dieux, quelle fille ! v.1413 (Acte 3, scène 6, LEONIDE)
- Cachez bien, s'il vous plaît, ce que je vous annonce, v.1421 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Rhodope est votre fille, et vous a méconnue ! v.1437 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Est-il bien vrai ? Vos yeux en sont-ils les témoins, v.1438 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Je suis pauvre, elle est riche ; en faut-il davantage ? v.1441 (Acte 3, scène 8, LEONIDE)
- Il n'est pas sous le ciel de gens plus malheureux v.1446 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Et qu'un riche marchand fasse un fils conseiller, v.1450 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Ce fils en le voyant craint de s'encanailler. v.1451 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Un mépris infaillible est le digne salaire v.1452 (Acte 3, scène 8, ESOPE)
- Que vous plaît-il ? v.1472 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Un fleuve, enflé d'orgueil de l'abondance d'eau v.1482 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Qui méconnut sa source, orgueilleux de son eau, v.1497 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Par orgueil comme lui, j'ai méconnu ma mère. v.1499 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Moi-même. Est-il rien de si bas ? v.1500 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Surprise d'un accueil qu'elle n'attendait pas : v.1501 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Puisqu'il est si contraire à mes plus doux souhaits, v.1508 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que vous m'avez dit, Rhodope, est-il croyable ? v.1519 (Acte 3, scène 10, ESOPE)
- Non, il n'est pas croyable, à vous parler sans fard, v.1520 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Quelque rudes qu'ils soient, en mérite encor plus. v.1537 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Pendant que nous parlons, ils augmentent toujours. v.1541 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- J'aime mieux devancer que voir ses funérailles... v.1546 (Acte 3, scène 10, RHODOPE)
- Ce que j'entends me perce les entrailles. v.1547 (Acte 3, scène 11, LEONIDE)
- Venez, ma chère fille ! v.1549 (Acte 3, scène 11, LEONIDE)
- Ayez pour votre fille une tendresse extrême... v.1559 (Acte 3, scène 11, ESOPE)
- Au plus riche des rois vous voilà presque unie ; v.1566 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Il n'y manque plus rien que la cérémonie, v.1567 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Et dans un beau fauteuil, assise à son côté, v.1568 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Le ciel à votre sang devait ce privilège. v.1570 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Eh ! Quel est-il ? v.1574 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Tu sais en quelle estime il est auprès du roi, v.1576 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Quel honneur n'a-t-il point de ne devoir qu'à lui v.1580 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Le poste glorieux qu'il occupe aujourd'hui ? v.1581 (Acte 4, scène 1, ARSINOE)
- Il ne faut pour le voir prendre aucun microscope. v.1587 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Hors l'esprit qu'il a droit, il a tout éclopé ; v.1589 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- L'esprit net, il est vrai, le corps indéchiffrable. v.1595 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- C'est d'une fort belle âme un fort vilain étui. v.1596 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Que ferait-il de moi ? Que ferais-je de lui ? v.1597 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Mais il faut pour s'aimer être faits l'un pour l'autre : v.1599 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- La vertu de la femme est facile à broncher. v.1601 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Je veux, s'il m'est possible, être femme de bien, v.1604 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Préservez ma pudeur, qu'il rendrait chancelante, v.1606 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- J'aime mieux mourir fille, et c'est dire beaucoup. v.1609 (Acte 4, scène 1, LAIS)
- Un bienfait tôt ou tard trouve un prix infaillible, v.1626 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Elle cueille un brin d'herbe, et l'ajuste si bien, v.1634 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Assuré de l'arc qu'il portait, v.1641 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il allait lui donner une atteinte mortelle ; v.1643 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il fait un si grand bruit que l'oiseau prend la fuite. v.1648 (Acte 4, scène 2, ESOPE)
- Il est vrai qu'un bienfait n'est jamais sans salaire, v.1653 (Acte 4, scène 3, ARSINOE)
- S'il vous faut, comme un autre, éprouver ce supplice, v.1673 (Acte 4, scène 4, LAIS)
- Quand il faut à quelqu'un refuser quelque chose, v.1689 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Chagrin contre Ariston, qui ne fait rien qui vaille, v.1697 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- À le couler à fond sourdement je travaille ; v.1698 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour mettre un habile homme en la place qu'il a. v.1704 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Fier, sans être orgueilleux ; doux sans être soumis ; v.1707 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- C'est le meilleur présent qu'on puisse faire au roi. v.1711 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Eh ! Quel est, s'il vous plaît, cet habile homme ? v.1712 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Eh ! Qui sait mieux que moi que je suis habile homme ? v.1714 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Du meilleur de mon coeur je voudrais vous servir. v.1720 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je n'ai point de pouvoir, quand il s'agit de nuire. v.1726 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il est permis, parbleu ! D'obliger ses amis, v.1728 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Pour en obliger un faut-il en perdre un autre ? v.1730 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il n'est rien de si beau que d'être généreux. v.1731 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il n'est point de moment où l'on ne soit au guet, v.1735 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- On l'applaudit toujours, quelque route qu'il suive. v.1738 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Il s'est fait un devoir d'apprendre celle-ci. v.1747 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Il va rendre visite au roi des animaux, v.1764 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et d'un ton assuré : vous voyez, dit-il, sire, v.1765 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Pendant qu'on vous faisait des compliments stériles, v.1768 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je cherchais des secrets utiles v.1770 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Elle est hors de péril, et l'état hors de crainte. v.1772 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je sais bien qu'à la cour, au milieu des caresses, v.1784 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous irez par leur route aux emplois qu'ils ont eus. v.1791 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Meilleur que vous ne le croyez. v.1794 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Et même, s'il le faut, contre mon intérêt. v.1803 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Vous seriez mal paré des dépouilles d'autrui. v.1806 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Plus habile que vous, quoique je sois moins vieux. v.1811 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Qu'un ministre inutile ait un vrai serviteur ? v.1823 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Lorsqu'à vous encenser tant de monde travaille, v.1824 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Est-ce pour vos beaux yeux ou votre belle taille ? v.1825 (Acte 4, scène 5, CLEON)
- Il faut vous les tirer plus à brûle pourpoint. v.1831 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Puis donc qu'à votre insulte il faut que je réponde, v.1832 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- Je n'ai pas en laideur mon pareil dans le monde : v.1833 (Acte 4, scène 5, ESOPE)
- S'il est vrai, ses enfants ne lui ressemblent guère ; v.1853 (Acte 4, scène 6, ESOPE)
- Vous voyez un vieillard d'une assez bonne pâte, v.1856 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Ah ! Pour le bien public il n'est rien qu'on ne v.1861 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Holà ! S'il vient quelqu'un, on ne me parle point... v.1862 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Allons d'abord au fait : point d'inutiles termes. v.1864 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il ne me manque rien qu'un patron obligeant. v.1870 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il ne fait point de cas des vertus inutiles, v.1872 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Des soins infructueux et des veilles stériles. v.1873 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Qu'il en veut tous les jours acquérir de nouvelles. v.1877 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Fait son principal soin, pour le bien du travail, v.1886 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- D'être sourd à sa voix, tant que dure le bail. v.1887 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quand il est expiré, tout le passé s'oublie : v.1888 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Avec sa conscience il se réconcilie, v.1889 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et libre de tous soins, il n'a plus que celui v.1890 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Je doute que la ferme ait un plus habile homme. v.1893 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Vous voulez m'avertir qu'elle est trop familière : v.1901 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour familière, non ; je vous en justifie. v.1904 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que l'on aille d'un grand implorer une grâce, v.1912 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Sans le tour du bâton je doute qu'il la fasse ; v.1913 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il n'est point de coupable un peu riche et puissant, v.1918 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Lorsque l'on offre au roi la somme qu'il lui faut, v.1934 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Cent millions, dit-on, plus_ou_moins, il n'importe. v.1936 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il n'est point d'intendant en de grandes maisons v.1942 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Quand on y fait un bail, de quoi que ce puisse être, v.1944 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Et voilà ce que c'est que le tour du bâton. v.1947 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- J'en connais quelques-uns assez habiles gens ; v.1951 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Mais qui ne feront point, tant ils sont débonnaires, v.1952 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Pour faire aller le peuple il faut être plus dur. v.1954 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Il est vrai : vous voulez le bien public, tout pur. v.1955 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Quel âge avez-vous bien pour travailler encore ? v.1957 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- J'ai trouvé de bien clair quinze cent mille livres, v.1965 (Acte 4, scène 7, GRIFFET)
- Un homme de bon sens travaille en sa jeunesse, v.1968 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Pour passer en repos une heureuse vieillesse ; v.1969 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- La mort toujours au guet avec son attirail, v.1982 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Est-elle caution que vous passiez le bail ? v.1983 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il faudra tout quitter quand elle arrivera ; v.1986 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il trouva là des gens de toutes les façons. v.2006 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Hommes, femmes, filles, garçons, v.2007 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il n'est profession, art, négoce, métier v.2009 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Combien trouva-t-il dans les fers v.2012 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Que pour flatter le luxe ils lui prêtent d'attraits v.2018 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Voulant compter le temps qu'ils seront encor là, v.2029 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui rendaient noir le blanc par leurs subtilités, v.2041 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Si je voulais nommer les fragiles notaires v.2044 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Les dangereux greffiers, les subtils procureurs, v.2045 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Qui font, comme il leur plaît, avoir raison ou tort, v.2051 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Entendirent hurler des vieillards langoureux. v.2062 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Est-il étonnant qu'on meure ? v.2075 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Une vétille, un rien occupait votre esprit ; v.2077 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Vous aviez l'oeil à tout, jusqu'à la moindre rente ; v.2078 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il ne raisonnait pas trop mal ? v.2085 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Le nombre, ou peu s'en faut, de trente mille jours ; v.2089 (Acte 4, scène 7, ESOPE)
- Il se peut qu'on ait tort de soupçonner son zèle ; v.2103 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- Peut-être de l'envie est-ce un subtil poison : v.2104 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Mais il se peut aussi, seigneur, qu'on ait raison, v.2105 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- De celui qu'on soupçonne il faut se rendre maître. v.2107 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- J'ignore le détail de ses supercheries, v.2122 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Quel argent il possède, ou quelles pierreries ; v.2123 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Je crois dans sa cassette au moins un million. v.2125 (Acte 5, scène 1, TRASIBULE)
- Un million ! Seigneur, il supprime le reste : v.2126 (Acte 5, scène 1, TIRRÈNE)
- C'est peu d'un million, il en a plus de trois : v.2129 (Acte 5, scène 1, TIRR?NE)
- Je vous donne à tous deux ce qu'il a de trésors ; v.2133 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Il faut que cette intrigue ici se développe. v.2142 (Acte 5, scène 1, CRESUS)
- Je ne vous ai point dit que je fusse infaillible. v.2147 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Eh ! Bons dieux ! Se peut-il que pour si peu de chose v.2158 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Le refus qu'il vous fait montre assez ce qu'il craint. v.2165 (Acte 5, scène 2, TIRRÈNE)
- Seigneur, de la parole il a perdu l'usage : v.2166 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Vous faut-il de son crime un plus grand témoignage ? v.2167 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- S'il était innocent, pour sortir d'embarras, v.2168 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Mais de sa trahison la preuve est si facile, v.2170 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Qu'un si faible secours lui paraît inutile. v.2171 (Acte 5, scène 2, TRASIBULE)
- Elle est de mon silence un mauvais interprète : v.2175 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Qu'il ne m'échappe rien qu'Écho ne le répète ? v.2179 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Et que, pendant l'été, quand il tonne bien fort, v.2180 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Loin de vouloir répondre, il semble qu'elle dort ? v.2181 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- À tort mon silence t'étonne. v.2186 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- Il faut que les petits se taisent. v.2193 (Acte 5, scène 2, ESOPE)
- En disant une fable il croit en être quitte. v.2197 (Acte 5, scène 3, TIRRÈNE)
- Par sa fausse morale il en a tant surpris. v.2199 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Pendant qu'à vos sujets il débite des fables, v.2200 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Il acquiert sourdement des trésors véritables. v.2201 (Acte 5, scène 3, TIRR?NE)
- Eh bien ! Seigneur, eh bien ! Il la faut faire ouvrir. v.2203 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- J'avoue ingénument qu'il m'eût été bien doux v.2206 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Vous le voulez savoir, il faut vous satisfaire. v.2208 (Acte 5, scène 3, ESOPE)
- Seigneur, s'il y va seul, il en va tout distraire, v.2209 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Et, peut-être, en bijoux sauver un million : v.2211 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Il peut en un moment faire tout disparaître. v.2212 (Acte 5, scène 3, TRASIBULE)
- Quand il en sera temps, je m'en souviendrai bien. v.2226 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Tu dois, s'ils m'ont dit vrai, par tes exactions, v.2230 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Avoir en ta puissance, au moins trois millions. v.2231 (Acte 5, scène 4, CRESUS)
- Et je verrai l'éclat dont sous vous j'ai brillé, v.2238 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Comme on voit un beau songe après être éveillé. v.2239 (Acte 5, scène 4, ESOPE)
- Et que ce qu'il renferme à mes yeux se découvre, v.2245 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Fais-m'en, je t'en conjure, un sincère détail. v.2246 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- C'est le prix de tes soins, le fruit de ton travail : v.2247 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Cette épreuve à l'envie imposera silence ; v.2249 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Eh bien ! Puisqu'on m'y force, il y faut consentir. v.2255 (Acte 5, scène 5, CRESUS)
- Il vous plut me choisir pour me rendre service. v.2261 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Habit vil, mais qu'on porte avec tranquillité, v.2262 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- C'est de mon crédit seul dont ils sont mécontents, v.2270 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Quelque soin qu'il se donne, et quelque bien qu'il fasse, v.2272 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Quel ministre est aimé pendant qu'il est en place ? v.2273 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand de sa carrière il a fini le cours, v.2274 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- L'orgueil suit de si près un extrême pouvoir, v.2283 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Et quand l'orgueil sur moi prenait trop de crédit, v.2290 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Voilà tout mon trésor. Quelque peu qu'il me coûte, v.2292 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Puisque, lorsqu'on travaille à me sacrifier, v.2294 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Il vient à mon secours pour me justifier. v.2295 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Combien de gens, seigneur, s'ils faisaient même chose, v.2297 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Sachant ce qu'ils étaient, et voyant ce qu'ils sont, v.2298 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Auraient à votre cour moins d'orgueil qu'ils n'en ont ! v.2299 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Ésope plus tranquille aura plus d'équité. v.2307 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Sûr qu'il est toujours juste en tout ce qu'il ordonne, v.2308 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Il ne peut, quoi qu'il fasse, après vos duretés, v.2310 (Acte 5, scène 5, ESOPE)
- Aucun de vos amis, le fût-il à l'excès, v.2326 (Acte 5, scène 6, TIRRÈNE)
- N'a travaillé pour vous avec tant de succès. v.2327 (Acte 5, scène 6, TIRR?NE)
- Il est vrai, j'oubliais à vous en rendre grâce : v.2329 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Au milieu des trésors vous avez les mains pures. v.2337 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Voilà le plus grand mal dont vous puissiez vous plaindre ; v.2340 (Acte 5, scène 6, TRASIBULE)
- Ta morsure, il est vrai, me semble un faible outrage, v.2352 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Est-il un mal plus grand que l'eût été le mien ? v.2357 (Acte 5, scène 6, ESOPE)
- Vous l'avez conviée à souper avec vous : il est tard. v.2364 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Que leur haine pour nous rejaillisse sur eux : v.2372 (Acte 5, scène 7, RHODOPE)
- Ils n'ont rien épargné pour me pousser à bout. v.2389 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- À tâcher de m'aimer autant qu'ils m'ont haï. v.2397 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Leurs enfants souffriraient d'un mal qu'ils n'ont pas fait. v.2401 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Quoiqu'avant le soleil tous les jours il se lève, v.2406 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Jusqu'à ce qu'il se couche il n'a ni paix, ni trêve ; v.2407 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Ils avaient de la joie à causer mon malheur, v.2412 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Que voulez-vous, seigneur, que sans biens ils deviennent ? v.2415 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Il suffit qu'à vos yeux je ne sois point coupable : v.2418 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- La vengeance facile est honteuse et blâmable. v.2419 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Leur crime n'est-il pas expié ? v.2439 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Et j'aime à profiter des exemples qu'il donne. v.2443 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Quel sujet fut jamais plus utile à son roi ?... v.2444 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Mais de tous ses conseils le plus charmant pour moi, v.2445 (Acte 5, scène 8, CRESUS)
- Quelle faveur pour moi qu'un pareil sacrifice ! v.2450 (Acte 5, scène 8, ARSINOE)
- Pour oser accepter une pareille grâce. v.2459 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
- Ce serait un orgueil inexcusable à moi v.2460 (Acte 5, scène 8, ESOPE)
LA SATIRE DES SATIRES (1669)
- Il emporte le prix sur les plus éventés, v.11 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Et ne dit que fadaise, et qu'inutilités. v.12 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Ce qu'il a d'assommant, quelque sot qu'il puisse être, v.13 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Aux ouvrages d'esprit il prétend se connaître ; v.14 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Ce qu'il loue est blâmable, et ce qu'il blâme est beau. v.16 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mal avec la raison, il n'est point de rencontre v.17 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Où, sitôt qu'on en parle, il ne se ligue contre. v.18 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il est si plein de soi, qu'il en crève. v.20 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il est vrai. v.20 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Qu'il soit seul à manger, d'une mine adoucie, v.21 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il boit à sa santé, puis il se remercie ; v.22 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et croit qu'on s'aperçoit quand il manque à la Cour, v.24 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Mais tout fat qu'il puisse être, une Dame galante v.25 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et qu'au Bal qui s'apprête il joint la Comédie, v.30 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Faut-il qu'un étourdi, qui n'a point de raison, v.31 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et morbleu ! (car enfin il m'a mise en furie, v.34 (Acte 1, scène 1, ÉMILIE)
- Et s'il faut librement vous en faire l'aveu. v.35 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Riez-en, dites-vous ? Faudrait-il me le dire ? v.37 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- À plusieurs méchants mots, qu'il garantissait bons, v.39 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Plein de son Despréaux, qu'en louant il déchire, v.41 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- (Car ce qui n'en vaut rien est ce qu'il en admire,) v.42 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il en parle sans cesse, et prétend fortement v.43 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Que de son Despréaux il me rompe la tête, v.46 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Et qu'à brûle-pourpoint il m'attaque vingt fois v.47 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Pour piller mon suffrage, et corrompre ma voix. v.48 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Grâce au babil fécond d'un Marquis ridicule, v.49 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Mais le traître qu'il est, n'en a rien voulu faire : v.54 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Qu'il le mettait en oeuvre, et l'enchâssait partout. v.56 (Acte 1, scène 1, ?MILIE)
- Il vous blesse la vue, et je cherche à vous plaire : v.58 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il n'est pas le seul fat que vous souffriez ici. v.60 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Est-il rien de si fade, et de plus dégoûtant, v.67 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Voulez-vous qu'au Marquis j'aille rompre en visière ? v.78 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Et du rang dont il est, (car dans tout cet état v.79 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- On trouverait à peine un plus illustre fat,) v.80 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Il fait encor au bout mettre un et cetera, v.88 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Qu'en théâtre public leurs pareils sont bernés ? v.92 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Sûr qu'à vos sentiments c'est à tort qu'il s'oppose, v.93 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- D'ailleurs, vous faire voir en l'état où vous êtes, v.101 (Acte 1, scène 1, LE CHEVALIER)
- Mon_Dieu, comme il est fait ! Il s'est battu ! v.107 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- Et quand il ne voit rien, pardi tout à l'instant v.111 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'en donne un coup bien fort dessus son dos qu'il tend. v.112 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- De son main qu'il fait poing, me casse tous les dents. v.115 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- J'aime encore plus que mieux qu'il déchire mon manche. v.117 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Voudrais bien maintenant un petite fil blanche v.118 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Et faquin, faut-il se battre ? v.119 (Acte 1, scène 2, ÉMILIE)
- S'il ne cline son nom, personne entre aujourd'hui. v.135 (Acte 1, scène 2, LA WALTOLINE)
- Me revoilà chagrine ; v.137 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Vous voilà l'un et l'autre à ma miséricorde : v.141 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour fausser compagnie, il faut avoir affaire, v.145 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Je m'en suis autrefois démêle comme il faut. v.148 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Pour souple, il est certain que je n'ai pas les gouttes ; v.153 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- À merveille. v.173 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Il se moque. v.180 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Il a raison. v.187 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Comme il dit, en l'air donc ? v.191 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Voyons comme il fera pour en venir à bout, v.192 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- Et comme il prouvera par des raisons fort nettes, v.193 (Acte 1, scène 3, ?MILIE)
- Il ne saurait. v.195 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Laissons-là Despréaux, et les vers qu'il compose ; v.197 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- C'est un mal qui le tient dont il faut le guérir, v.208 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- As-tu lu le repas qu'il décrit ? v.214 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Fort bien. Te souviens-tu des mets qu'il fait venir ? v.215 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- D'accord, mais c'est peut-être en hiver qu'il veut dire. v.222 (Acte 1, scène 3, ÉMILIE)
- "Par le chaud qu'il faisait l'on n'avait point de glace ; v.226 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Voilà l'endroit, lisez. v.229 (Acte 1, scène 3, LE MARQUIS)
- Tant pis pour Despréaux, s'il met une sottise. v.230 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Qu'il fait ce repas, qu'il rétend s'en moquer ; v.232 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Qu'en Mai, Juin, et Juillet, on n'en voit point du tout ; v.236 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Et que tout fat qu'il fut, le maître du logis v.239 (Acte 1, scène 3, LE CHEVALIER)
- Je vas apprendre à vous, qu'une personne il tape. v.245 (Acte 1, scène 4, LA WALTOLINE)
- S'il vous plaît. v.255 (Acte 1, scène 4, LE MARQUIS)
- Hé, mon_Dieu ! Point de subtilité, v.255 (Acte 1, scène 4, ÉMILIE)
- Défendez ce qu'il fait, je suis contre, et vous pour ; v.259 (Acte 1, scène 4, ?MILIE)
- Un pareil compliment lui doit sembler nouveau : v.267 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Je n'en puis souffrir un, s'il n'excelle. v.269 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il se moque. v.269 (Acte 1, scène 5, LE CHEVALIER)
- Moi ? Comment voulez-vous qu'il trouve mes vers beaux ? v.271 (Acte 1, scène 5, BOURSAULT)
- "Lorsque d'un froid rimeur il dépeint la manie, v.274 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Il rencontre à la fois Perrin, et Pelletier, v.276 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Plus son nom fait de bruit, plus il est décrié ; v.284 (Acte 1, scène 5, ÉMILIE)
- Moins pour voir ce qu'il fait, que les gens qu'il maltraite. v.286 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Aux dépens de sa gloire, il enrichit Barbin ; v.288 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- Pour un honneur frivole, il en quitte un solide, v.290 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- S'il avait des amis, il devrait le savoir. v.291 (Acte 1, scène 5, ?MILIE)
- C'est qu'il est franc. v.295 (Acte 1, scène 5, LE MARQUIS)
- Madame, avancez, s'il vous plaît ; v.295 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ne font-ils rien de plus ? Je sais comme on en use : v.298 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Les Amants de sa sorte ont un grand privilège. v.302 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et Monsieur l'accordé veut-il que je le baise ? v.309 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- S'il le veut ? De sa vie on ne l'a fait plus aise : v.310 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Bon Dieu ! qu'il s'en acquitte bien ! v.311 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Et Monsieur ; quel est-il ? v.313 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il se raille. v.313 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'accord, qui ne fait rien qui vaille. v.314 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais, si vous le savez, il faut qu'on vous l'ait dit. v.316 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Des sièges donc, Laquais ; faut-il dire cela, v.323 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Qu'il ravit tout le monde, et que c'est un prodige : v.338 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Quand je lis ce qu'il fait, j'ai l'esprit si content ! v.339 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il est vrai. Dieu me damne ! Elle approuve l'Astrate. v.346 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Bien des gens qu'il charma l'applaudirent tout haut. v.351 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Dites-moi, s'il vous plaît, qui l'a fait ? v.352 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Oui, vraiment ; voudrait-il vous le dire ? v.353 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Il me parut charmant, j'en admirai le tendre ; v.357 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il ne doit rien valoir ; car Despréaux le dit. v.359 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Monsieur raille, ou Madame le flatte. v.361 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- S'il avait de l'esprit, aurait-il fait l'Astrate ? v.362 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il a charmé Madame. v.364 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je l'aurais trouvé laid, tout galant qu'il puisse être, v.370 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Il me semble v.373 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Pompée est déjà vieux, il ne vaut donc plus rien ? v.384 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le Cid est de Corneille, où Diable as-tu l'esprit ? v.391 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il ne vaudrait plus rien, si Despréaux l'eut dit ; v.392 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il approuve le Cid, et : condamne l'Astrate. v.394 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Dès qu'ils sont attaqués par Monsieur Despréaux ? v.396 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Il ne faut pas avoir l'esprit fort délicat, v.399 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qu'a-t-il fait jusqu'ici, qu'exciter des murmures ? v.401 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- À quel homme d'honneur a-t-il vu sa manie ? v.405 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- À la Satire seule est-il beau qu'on s'amuse ? v.409 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Ce qu'il a de parents, en seront crus coupables : v.414 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qui de cette famille avait le coeur si bas : v.416 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Si l'Astrate qu'il blâme, est un monstre à ses yeux, v.419 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Comme il est du métier, il devrait faire mieux. v.420 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais je pense, ma foi, qu'il ne l'ose entreprendre. v.421 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- S'il voulait s'en mêler, que d'auteurs s'iraient pendre ! v.422 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Corneille le premier, quoiqu'auteur assez bon ; v.423 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je crois, s'il ne fait rien, que c'en est la raison ; v.424 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sûr qu'il est de ravir, et de faire merveille, v.425 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il veut bien faire grâce au bonhomme Corneille ; v.426 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est aisé de voir que vous me ressemblez ; v.432 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- D'où vient qu'il ne dit rien de cet auteur galant v.435 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Je le connais, la peste ! Il est bien agréable. v.438 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Boyer, quand il compose, est toujours tout en feu ; v.440 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Dans ses moindres discours on voit ce feu qui brille ; v.441 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et dans les vers qu'il fait, le salpêtre pétille. v.442 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Quand d'un crime parfois il exprime l'horreur, v.443 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- S'il faut peindre Bellone au milieu du carnage, v.445 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il sait camper, résoudre, assaillir, effrayer, v.447 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Mais s'il faut de vers doux embellir quelques scènes, v.449 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il serait mal aisé de pouvoir en mieux faire ; v.454 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il écrit nettement ; et pour dire encor plus, v.455 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- C'est Gilbert. v.471 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Que Madame en parle comme il faut ! v.471 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Quelque chaleur qu'il fasse, il n'a jamais eu chaud : v.472 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Apollon et Gilbert sont toujours mal ensemble, v.473 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Il trouva son Laquais qui lui chauffait Dimanche v.477 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- L'épingle qu'il lui faut pour attacher sa manche. v.478 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Est-il possible ? v.479 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- À l'autre ! Il la croit. v.479 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et d'ailleurs... v.482 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Regardez, que Gilbert s'il avait ce défaut, v.483 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand parfois à Gilbert le froid livre un assaut, v.487 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Pour chauffer une épingle, il n'en a pas plus chaud, v.488 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Le plaisant de l'affaire, est que Gilbert le croie : v.490 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et qu'il ait prétendu se morfondre le bras, v.491 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- S'il osait s'en servir, et ne la chauffer pas. v.492 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il faut bien qu'il conteste : v.493 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ma foi, je voudrais bien, pendant qu'il est ici, v.495 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'il censurât encore un endroit que voici, v.496 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Et je le maintiens fou, s'il y trouve à redire. v.498 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est juste ; v.505 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il me plairait, je pense, v.513 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- On ne sait s'il le loue, ou s'il le satirise, v.518 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- N'est-il pas vrai ? v.519 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- On ne sait s'il critique, ou bien s'il applaudit, v.520 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Il veut dire par là, j'en fais juge Madame, v.525 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'aux sermons de Cotin il n'y va pas une âme. v.526 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Voilà ce qu'il veut dire. v.527 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il le veut dire, bon ; mais il ne le dit pas : v.528 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Qu'au Tartuffe qu'on joue il n'y va pas une âme. v.534 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Comme... il aurait pu dire aux Sermons de "Cotin", v.540 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- S'il l'eût voulu ; mais là, sans faire l'habile homme, v.541 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- En la place de "plus", il fallait mettre "comme" ; v.542 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et si, je pense qu'il se moque ; v.545 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il n'y manque autre chose, et cet endroit le choque ! v.546 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Madame, qu'il est beau ! v.552 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il m'enlève. v.553 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il ne me souvient pas quel endroit ce peut être. v.554 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Mais à mon gré, Madame, il est beau ! Ris, mon cher. v.555 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il doit peu t'importer, s'il ne m'en souvient pas ; v.564 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- La Marquise Ortodoxe aurait dit des merveilles, v.569 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Sans ce perturbateur du repos des oreilles. v.570 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je n'ai rien vu de beau, qu'aisément il n'efface ; v.573 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'il le censure après, s'il le peut. v.574 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Qu'il le fasse, v.574 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- J'ai beau lire Corneille, et Racine, et Boyer, v.580 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quand donc il parle au Roi, voici comme il le loue. v.582 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Ils sont si beaux. "Tandis que ton bras..." Comment est-ce ? v.590 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Hé bien, il faut vous satisfaire. v.601 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il m'importe. v.605 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Mais, pourquoi, s'il te plaît, cette question-là ? v.608 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Despréaux le dit-il ? v.609 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il est vrai, l'on le dit ; il est même fort bon ; v.615 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Peut-être est-ce bien dit ; mais il eut pu mieux dire ; v.618 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- S'il eût mis la Personne en la place du Bras. v.620 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- "Qu'il va lancer la foudre au milieu des combats" ; v.624 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- "Que suivi de la foudre, il va punir l'audace" : v.626 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Mais dans cette occurrence, un meilleur écrivain, v.627 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Diminutif d'auteur, exilé du Parnasse, v.630 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ce qu'il a dit est juste, et n'a rien que je blâme ; v.633 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quand je bats des auteurs, vous gagnez, des batailles." v.645 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Voilà ce qui s'appelle être sensé. v.646 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Tu railles. v.646 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ont souffert qu'avec eux ils se soient comparés : v.656 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il fait bien. v.663 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Je gage que Boursault, tout Boursault qu'il puisse être, v.666 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Un tailleur Béarnais en fit un jour autant : v.668 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Il se nommait Barangue, et disait à quelqu'autre, v.669 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Que pour lui, grâce au Ciel, il avait le bonheur, v.671 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Quoique né Béarnais, d'être maître-tailleur : v.672 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Qu'ils étaient dans Paris, d'une ville commune, v.673 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Mais qu'en France jamais, quoiqu'ils eussent d'appui, v.675 (Acte 1, scène 6, BOURSAULT)
- Lorsqu'au grand Alexandre il compare le Roi ? v.691 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il me charme. v.692 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- On dirait qu'il s'entend avec moi. v.692 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Les endroits qu'il admire, ont tous eu mon suffrage. v.693 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- S'il lui plaît. v.699 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Quoi qu'en pense l'auteur, il a tort, selon moi. v.707 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Lorsqu'au grand Alexandre, il compare le Roi ? v.708 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il a tort ! v.709 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Est bien plus équitable, et n'est pas moins vaillant ; v.712 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il était quelquefois presque aussi fou que toi. v.723 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il ne fallait donc pas lui comparer le Roi ; v.724 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Et que pour faire voir ce qu'il aurait l'heur d'être, v.729 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Ma foi, si tu n'as point de meilleure raison, v.732 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- En vérité, Madame, il l'est : à toute outrance. v.734 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Despréaux d'encenseurs eût-il même des flots. v.739 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Il fait quelques beaux vers, mais le reste est sans suite ; v.742 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- C'est un jeune emporté, qui dans ce qu'il écrit, v.743 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et pour courre un bon mot, que par fois il attrape, v.745 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Du bon sens qu'il néglige, à tout moment s'échappe ; v.746 (Acte 1, scène 6, ?MILIE)
- Et les fruits de sa veine, il vous les sacrifie : v.750 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Il pouvait obscurcir Montauban, et Langlois ; v.752 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- N'était qu'il a changé, pour vous mieux faire rire, v.753 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À ce que dit Monsieur, il donne un tour d'esprit. v.755 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Tant à ceux qui font mal, qu'à ceux qui font merveille, v.761 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Comme depuis Boursault, jusqu'à l'aîné Corneille, v.762 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- À peine en viendraient-ils à bout. v.763 (Acte 1, scène 6, ÉMILIE)
- Il est vrai, pour cela, que c'est un plaisant âne. v.766 (Acte 1, scène 6, ORTODOXE)
- Tout-à-fait. Près de lui, s'il avoir dit un mot, v.767 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Je crois qu'en droite ligne il descend de sa race. v.769 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ou, comme dit Madame, il n'est rien de si bas. v.772 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Dit-il rien de passable, et n'eût-il pas mieux fait, v.775 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- D'être comme un autre âne, imbécile et muet ? v.776 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Il avilit sa plume, et salit son ouvrage : v.778 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Quoique pour s'expliquer, il emprunte un organe, v.781 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Ne soutient-il pas bien son caractère d'âne ? v.782 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Lui voit-on démentir ce qu'il est ? Va, parbleu, v.783 (Acte 1, scène 6, LE MARQUIS)
- Écoute, il n'est rien d'impossible. v.786 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Je te crois habile homme, et puis m'être mépris : v.787 (Acte 1, scène 6, LE CHEVALIER)
- Madame, ils vont bientôt commencer. v.789 (Acte 1, scène 7, LA FRANCE)
- Quand il aura plus d'âge, et les yeux mieux ouverts, v.795 (Acte 1, scène 7, ÉMILIE)
- Pour venger ceux qu'il choque, il relira ses vers : v.796 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
- Il fera son chagrin de ce qui fait sa joie ; v.798 (Acte 1, scène 7, ?MILIE)
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LE MÉDECIN VOLANT (1666)
- Une fille bien née a toujours de la crainte. v.5 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Pour chercher par la ville un expert médecin. v.12 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Il n'est pas de moyens que l'amour n'autorise. v.17 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Surtout. Mais du vieillard je crains une surprise : v.18 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Qu'il n'est rien d'impossible aux coeurs passionnés. v.20 (Acte 1, scène 1, LISE)
- Aux coeurs passionnés il n'est rien d'impossible. v.21 (Acte 1, scène 2, CLÉON)
- Je l'avoue ; et je trouve un moyen infaillible v.22 (Acte 1, scène 2, CL?ON)
- Il faut. Mais, ô Crispin, que tu viens à propos ! v.24 (Acte 1, scène 2, CL?ON)
- Il m'a dit que tantôt, sur le soir. v.27 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Je vous dis et redis qu'il m'a dit de vous dire. v.29 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Vous plaît-il que je parle, ô babillard maudit, v.31 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Il est vrai, mais ce n'est pas ma faute. v.38 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Mais tu connais son père... Il le faut abuser. v.40 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Il la tient enfermée, et je veux qu'elle sorte : v.42 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- À présent, il m'importe, ma foi ! v.44 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Ne me dites-vous pas qu'il la tient enfermée ? v.46 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Voilà ce que je pense. v.51 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Écoute : sans scrupule, il te faut déguiser. v.52 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Il faut être aujourd'hui médecin. v.56 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Sans perdre ici d'inutiles paroles, v.57 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Si le gain t'encourage, avise, les voilà ! v.59 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Mais il faut de l'esprit, et je suis une buse ; v.62 (Acte 1, scène 3, CRISPIN)
- Ce vieillard chassieux connaît peu ton visage. v.65 (Acte 1, scène 3, CLÉON)
- Et tu sais. Il avance, il me voit, j'en enrage ; v.66 (Acte 1, scène 3, CL?ON)
- Ma pauvre fille ! Elle va rendre l'âme, v.77 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Philipin ! v.78 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Un pucelage nuit, quand il est trop gardé. v.80 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Mais retourne au plus vite, et va voir, Philipin, v.83 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- S'il était de retour, il viendrait tout à l'heure. v.86 (Acte 1, scène 5, PHILIPIN)
- Il est vrai, mais apprends mon souci : v.87 (Acte 1, scène 5, FERNAND)
- Polyeucte, Virgile, Anaxandre, Luculle. v.98 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Jodelet, Mascarille, Aristote, Lucain, v.100 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Serait-ce un médecin ? Il en parle. v.103 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Une fille que j'ai, que chacun désespère. v.117 (Acte 1, scène 7, FERNAND)
- Vous avez une fille ? Et vous êtes son père, v.118 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Je lui veux conseiller qu'elle cesse de l'être. v.121 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Il corrompt la matière, il ravage le corps ; v.124 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- L'individu qui souffre, au moment qu'il s'épure, v.125 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Le vaillant zodiaque envisage Saturne v.130 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Et s'il faut qu'avec eux j'en demeure d'accord, v.131 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Votre fille, à propos, serait-elle défunte ? v.134 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Instruisez votre fille, et lui dites, du moins, v.147 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Pour mourir comme il faut, qu'elle attende mes soins. v.148 (Acte 1, scène 7, CRISPIN)
- Ah ! Monsieur, votre fille est fort mal ! v.152 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Se promène, se sied, veut dormir, veut veiller. v.155 (Acte 1, scène 8, LISE)
- Malgré moi, de ce pas, je la viens d'habiller. v.156 (Acte 1, scène 8, LISE)
- D'habiller ! v.157 (Acte 1, scène 8, FERNAND)
- D'habiller ; sa boutade m'étonne. v.157 (Acte 1, scène 8, LISE)
- De la fille ergotante apportez de l'urine. v.165 (Acte 1, scène 8, CRISPIN)
- En voilà. v.171 (Acte 1, scène 9, LISE)
- Ô bons dieux ! Il en boit. v.172 (Acte 1, scène 9, FERNAND)
- Et qu'un grand médecin, quand il fait ce qu'il doit, v.180 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- Il sent mieux une chose à la langue qu'au doigt. v.181 (Acte 1, scène 9, CRISPIN)
- À pisser comme il faut ma maîtresse s'applique, v.183 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Monsieur, et cependant je n'en ai qu'un filet. v.184 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Monsieur, votre fille n'a pu. v.192 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Au plus tard, dans une heure, il faudra qu'elle pisse. v.195 (Acte 1, scène 10, LISE)
- Ah ! Ma fille ! v.199 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Si pour vous il est vrai que la mort ait si hâte ; v.204 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Tudieu ! Comme il bat votre pouls ! v.205 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Rend la fille, le père, et le père, elle-même : v.212 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Il est vrai. v.219 (Acte 1, scène 11, FERNAND)
- Cependant, quoIque mon savoir brille, v.219 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Je veux bien me résoudre à tâter votre fille. v.220 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Le voilà. v.221 (Acte 1, scène 11, LUCRESSE)
- Il ne vous manque rien que beaucoup de santé ; v.222 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Allez, pour la guérir je sais bien ce qu'il faut. v.230 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- En voilà pour les yeux, pour le flux, pour les dents. v.234 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Mais, ignorant son mal, il lui faut, ce me semble, v.235 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Il faudra que le sien se rencontre parmi. v.237 (Acte 1, scène 11, CRISPIN)
- Philipin, aide à Lise... v.244 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Oui, mais qu'il a de mérite ! v.251 (Acte 1, scène 12, FERNAND)
- Je me tiens trop heureux qu'il ait pu m'échapper. v.258 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Sans cérémonie on vous doit le milieu. v.266 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Conservez, votre place, hé, Monsieur, la voilà ! v.270 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qui de la médecine est l'illustre ornement, v.273 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- « Médecine est, dit-il, une longue science, v.275 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'on n'a pas le loisir d'en juger comme il faut. v.278 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Experimentum periculosum,judicium difficile. » v.280 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Plus on l'approfondit, plus il semble profond. v.284 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Cette utile science en enferme tant d'autres, v.285 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Qu'il faudrait que mes yeux égalassent les vôtres, v.286 (Acte 1, scène 12, CANT?AS)
- Quand il est l'ennemi que la Parque redoute, v.293 (Acte 1, scène 12, CANTÉAS)
- Hé bien, ce médecin, vous voyez comme il cause ! v.307 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Il sait quelque petite chose. v.308 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Touchant la médecine est-il expert ? v.310 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Il n'a donc pas la science parfaite ? v.311 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Pour qui passerait-il près de vous ? v.312 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- Mais, durant qu'il parlait, vous ne disiez mot ? v.313 (Acte 1, scène 13, FERNAND)
- J'ai voulu me résoudre à garder le silence ; v.316 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Voir quel temps il fera dans un vieil almanach ; v.321 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Et, pour mieux vous montrer qu'il est vrai que j'excelle v.323 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Je verrai votre fille ou ce soir ou demain. v.333 (Acte 1, scène 13, CRISPIN)
- Que cet homme est habile, et qu'il est grand docteur ! v.338 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Il ne ressemble pas ces tueurs de personnes, v.340 (Acte 1, scène 14, FERNAND)
- Mais dedans cette ville as-tu point de parents ? v.350 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Il faut donc que sans doute il en ait du sujet. v.353 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Il est donc médecin ? v.355 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Il me semble v.355 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Il ne souffrira pas que jamais je le voie, v.359 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Si je m'en mêle, il aura de la joie. v.360 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Je le viens de quitter, il est fort mon ami. v.361 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- S'il est vrai, je ne sens ma douleur qu'à demi, v.362 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Vous aurez de la peine à souffrir qu'il m'assomme. v.364 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Mais il faut te montrer ? v.367 (Acte 1, scène 15, FERNAND)
- Je m'en vais, s'il vous plaît, vous attendre à l'écart. v.369 (Acte 1, scène 15, CRISPIN)
- Ah ! Monsieur, vous venez comme il faut : v.374 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Moi, Monsieur ! Il n'est rien que pour vous je ne fasse. v.376 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Votre frère, il a tant de douleur, v.377 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Il a tort, il l'avoue ; il se nomme coupable ; v.379 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Désormais, il en jure, il veut être meilleur, v.381 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- S'il vous en ressouvient, vous m'avez tout promis, v.386 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Il est vrai, ma parole, en effet, m'embarrasse. v.388 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- C'en est fait, je pardonne à ce traître : il vous plaît. v.389 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Il ne tiendra qu'à vous de le voir comme il est. v.390 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Hé ! Monsieur, il ne faut qu'un instant... v.393 (Acte 1, scène 17, FERNAND)
- Mais, touchant ce maraud, je consens qu'il revienne. v.395 (Acte 1, scène 17, CRISPIN)
- Que son frère est honnête ! Il s'en vient de l'absoudre, v.399 (Acte 1, scène 18, FERNAND)
- Hé bien, Monsieur, a-t-il pu s'y résoudre ? v.400 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Il a bien de la peine à pouvoir pardonner. v.405 (Acte 1, scène 19, CRISPIN)
- Je veux qu'il te pardonne en ma propre présence. v.407 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Mais il peut oublier ce qu'il vient de promettre ; v.412 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- En tout cas, il viendra sur le soir. v.418 (Acte 1, scène 19, FERNAND)
- Il faut battre le fer, ce pendant qu'il est chaud. v.421 (Acte 1, scène 20, FERNAND)
- Me voilà, grâce à Dieu, raisonnablement haut ! v.422 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Il le faut toutefois. Taupe à tout ! v.429 (Acte 1, scène 21, CRISPIN)
- Mais il sort de chez nous ; il n'a rien que je sache ; v.431 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Il faut, pour l'épier, qu'un moment je me cache. v.432 (Acte 1, scène 22, PHILIPIN)
- Il mériterait bien qu'on punît son audace, v.435 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- C'est là-haut qu'il attend votre grâce : v.436 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- En quel lieu dites-vous qu'il m'attend, v.438 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Il m'entend, le bourreau, mais il n'ose paraître ; v.440 (Acte 1, scène 23, CRISPIN)
- Avec vous faut-il pas que je monte ? v.443 (Acte 1, scène 23, FERNAND)
- Quoi ! Monsieur, vous craignez qu'il ne sorte ? v.448 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Malepeste ! Le drille ! Il sait bien d'autres tours, v.449 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Je le sais ; mais, chez vous, que peut-il aller faire ? v.455 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Répondez, s'il vous plaît ? v.456 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Il était en courroux, pour certains accidents. v.457 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Il le doit. v.466 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Qu'il parle ! v.467 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Si jamais. Paix ! Vous dis-je, et craignez mille coups. v.472 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Comment diable fait-il, le futé ? Je l'ignore. v.474 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Ils sont deux. v.475 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Il le semble ; il n'en est pourtant rien. v.475 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Dites que devant vous il embrasse son frère. v.477 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Il aurait tort de vous plus offenser ; v.479 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Mais, Monsieur, pour me plaire, il le faut embrasser, v.480 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- Il serait trop honteux, si ce bien peu commun... v.483 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Je vous jure ma foi, qu'ils ne sont, ma foi, qu'un. v.484 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Le madré ! Gardez-vous des finesses qu'il brasse ! v.485 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- À présent descendez, s'il vous plaît ? v.492 (Acte 1, scène 24, FERNAND)
- J'en aurais de la honte... Il viendra par après. v.495 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Est-il loin ? v.498 (Acte 1, scène 24, CRISPIN)
- Hé bien, sont-ils deux ? v.499 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Voilà l'un, voilà l'autre. v.500 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- Qu'à merveille il grimpe une fenêtre. v.501 (Acte 1, scène 24, PHILIPIN)
- C'est Cléon ! C'est ma fille. Ah ! rusé ! v.503 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
- Point de quartier : il sera ton époux, v.507 (Acte 1, scène 25, FERNAND)
LE MORT VIVANT (1662)
- Oui, la peste m'étouffe, il lui fait les doux yeux. v.1 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Railleur. v.2 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Je raille donc ? v.2 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Quoi, Gusman, Lazarille aimerait Stéphanie ? v.7 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- De l'objet qui vous charme, il faut faire diète ; v.12 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Souffrir que de vos feux Lazarille ait le fruit. v.14 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Point, Lazarille m'aime, il me l'a fait paraître, v.15 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Il n'a point de secret qui pour moi le doive être ; v.16 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Si quelque amour pour elle il avait ressenti, v.17 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Gusman, il est sincère. v.18 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Et que tous deux ensemble ils parlent de leur flamme : v.20 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- Si je puis vous montrer qu'ils s'entraiment tous deux, v.21 (Acte 1, scène 1, GUSMAN)
- De ce fâcheux Vieillard évitons la rencontre. v.28 (Acte 1, scène 1, FABRICE)
- Réponds. Ah ! te voilà. v.30 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Il faut que dans ce lieu ta personne descende, v.32 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Pour d'une âme tranquille écouter mon discours. v.33 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Sache encore qu'il n'est rien de cela, v.37 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et malgré ta vertu dont toujours l'éclat brille, v.39 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Que je ne voudrais pas que tu fusses ma fille. v.40 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Qu'il faut que j'aie aussi quelque chose à te dire. v.52 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et pour te dire aussi qu'il est temps de t'unir, v.54 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Avec quelque Gaillard dont la mine te plaise, v.55 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Ta haute humilité, v.61 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- De ton pressentiment c'est l'effet infaillible, v.64 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et qu'il est nécessaire à l'ardeur de mes feux, v.69 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Et si dans ce moment tu fourmilles de charmes, v.72 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Notre premier enfant, étant fille ou garçon, v.73 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Quoi qu'il puisse arriver apprends que tu m'auras : v.82 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Mais rentre promptement, car je vois Lazarille, v.83 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Il s'avance. v.84 (Acte 1, scène 2, FERDINAND)
- Oh malheur ! Que ne suis-je sa fille. v.84 (Acte 1, scène 2, STÉPHANIE)
- Fait des civilités par delà mes mérites. v.88 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Vous ne pouviez venir en meilleure saison. v.98 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Vous aimez votre fille ? Ah ! Si par quelque ruse... v.107 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Mais il faut toutefois m'assurer de se taire. v.111 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Il y peut bien avoir plus de cinq fois quatre ans, v.114 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Passa par cette ville, allant à Gadaloupe, v.116 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et s'il faut devant vous que sans fard je m'explique ; v.123 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- D'abord prêtant l'oreille à sa voix, j'en ouïs : v.129 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ton fruit qui voit le jour rend-il ta douleur moindre ? v.135 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et d'un gros Diamant le brillant gracieux, v.145 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Car dans sa maladie on craignait qu'il mourut ; v.153 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Et Dona Stéphanie est le nom qu'il reçut. v.154 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Ô Ciel ! Après ce coup que faut-il que j'espère ? v.155 (Acte 1, scène 3, LAZARILLE)
- Je vous laisse ma fille, et vous laisse avec elle v.164 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Cela dit, elle part, et sa fille demeure, v.171 (Acte 1, scène 3, FERDINAND)
- Faites que pour me plaire il ne paraisse pas. v.190 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- S'aiment-ils ? v.195 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Stéphanie être avec Lazarille ! v.195 (Acte 1, scène 5, FABRICE)
- Du vieillard, vous n'êtes plus la fille. v.196 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Cessant d'être mon père il devient mon amant. v.198 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Lorsqu'il a déclaré l'amour qu'il a pour vous, v.205 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Et suivant les conseils que de vous j'ai reçu, v.213 (Acte 1, scène 5, LAZARILLE)
- Quand je crus vous donner un conseil nécessaire, v.219 (Acte 1, scène 5, STÉPHANIE)
- Mais n'étant pas sa fille, et sachant son amour, v.221 (Acte 1, scène 5, ST?PHANIE)
- Ses discours sont pour moi des feuillets du Grimoire. v.224 (Acte 1, scène 5, GUSMAN)
- Profitons ; il sort tout en colère. v.231 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Lazarille aura pu vous déplaire, v.232 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il dit que c'est de vous que dépend son bonheur ; v.238 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- S'il est vrai que pour moi votre ardeur soit sincère, v.243 (Acte 1, scène 7, STÉPHANIE)
- Au reste, Lazarille eut toujours tant d'adresse, v.247 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Qu'au lieu de me déplaire, il aurait ma tendresse ; v.248 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Adieu, ce sentiment est selon qu'il doit être. v.251 (Acte 1, scène 7, ST?PHANIE)
- Qu'il possède un objet qui mon âme captive ! v.264 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Elle saura m'aimer quand il cessera d'être, v.272 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il soit fort aisé de faire une absence éternelle ? v.292 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il n'est rien de si doux que de vivre, et d'aimer. v.298 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- C'est, sans qu'il soit besoin de toujours discourir, v.301 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- De moments en moments Lazarille m'oblige, v.304 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Il m'aime, et toutefois je ne puis l'épargner, v.305 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Un si grand préambule était-il nécessaire ? v.307 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Si bien qu'à mon talent il n'est pas difficile v.311 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- De forcer Lazarille à sortir de Séville : v.312 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Il me souvient encore d'une autre invention, v.314 (Acte 1, scène 7, FABRICE)
- Qu'il s'y tienne. v.315 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Qu'en est-il ? v.318 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Et puis qu'à vous connaître il faut que l'on s'exerce, v.335 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Pour raison concluante il conclut de bon coeur, v.337 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Que toujours de l'Afrique il sera serviteur. v.338 (Acte 1, scène 7, GUSMAN)
- Juges par ce billet qui fait naître ma plainte, v.347 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il est mort ! v.358 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Un billet si fâcheux pourrait m'être suspect : v.360 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et pour, à son enfant ne pas être inutile, v.365 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Qu'il partait de Tolède, et venait à Séville. v.366 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il me l'avait mandé, cet espoir m'était doux, v.367 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il s'oppose sans cesse au cours de ma fortune, v.369 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Et que de son caprice il me fait le jouet, v.371 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Au tendre nom de Fils, joins le titre d'Amant ; v.376 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- J'aurais cru m'éloigner d'une fille infidèle ; v.386 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- A mon ardeur daigne donc être utile, v.389 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Puisqu'il faut qu'à regret j'abandonne Séville, v.390 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il aime Stéphanie ? v.396 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- Il en est amoureux ; v.396 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Comme il est courageux, comme il est magnanime, v.397 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il tient, et il sait garder le rang d'un Potentat, v.400 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- En vain à ce qu'il veut tu ferais résistance. v.401 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Il l'aime ! v.402 (Acte 2, scène 1, LAZARILLE)
- De sa flamme il m'a fait confidence ; v.402 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Et si je ne m'abuse il vient lui-même exprès, v.403 (Acte 2, scène 1, FABRICE)
- Où d'abord faites gille. Hé bien l'avez-vous vue ? v.405 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Il n'est rien que pour vous je n'osasse embrasser. v.431 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Pour être votre Maître il me faut abaisser, v.432 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Plaît-il ? v.433 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Il est donc nécessaire, v.433 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Est-il bon près des Grands ? v.436 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Il en est beaucoup digne. v.437 (Acte 2, scène 2, FABRICE)
- Il est vrai, mais enfin quelquefois on oublie. v.441 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et quoique la vertu cherche à s'humilier, v.443 (Acte 2, scène 2, LAZARILLE)
- Cette fille vient-elle ? v.449 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Et pour faire un portrait qui chatouille son âme, v.453 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Mais parlant de mes feux il se faut animer, v.455 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Si c'est une folie, il en est de plus fous. v.460 (Acte 2, scène 2, GUSMAN)
- Ce digne Ambassadeur qui n'a rien que d'illustre, v.477 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister à tant d'appas flatteurs, v.479 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister aux sensibles amorces v.481 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il n'a pu résister au pouvoir de vos yeux : v.483 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il vous adore, hélas ! v.484 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il vous doit être doux, v.487 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Pour vous représenter qu'il révère vos lois, v.492 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Et mon coeur devrait être et tranquille, et content, v.495 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Mais il faut soupirer de plus d'une façon. v.500 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Il est doux ! v.510 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Il est vrai, répondez donc. v.510 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Il ne faut qu'un moment regarder dans vos yeux, v.512 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Que d'un honteux amour vous souilliez votre gloire. v.518 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Il vous faut... v.520 (Acte 2, scène 3, ST?PHANIE)
- Je sais ce qu'il me faut, mais quoique je le sache, v.521 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Mais beauté printanière apprenez qu'il m'est doux, v.523 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Qu'il s'en faut peu souvent que la mort ne l'attrape, v.533 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Sur ce point il faut que je réponde. v.542 (Acte 2, scène 3, FERDINAND)
- Mais Seigneur comme père il faut... v.545 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Loin de vous accorder un plus grand privilège, v.546 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Nourrisson d'un vieillard qui semble une guenuche, v.554 (Acte 2, scène 3, GUSMAN)
- Il suffit, un grand coeur n'est jamais hypocrite ; v.569 (Acte 2, scène 3, STÉPHANIE)
- Et quoi, Seigneur, faut-il ?... v.579 (Acte 2, scène 3, LAZARILLE)
- Qu'avec toute sa pompe il n'a rien que de bas : v.592 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- J'ai cru qu'un rang suprême occupait un Illustre ; v.594 (Acte 2, scène 4, LAZARILLE)
- C'est à force d'aimer qu'il paraît ridicule, v.598 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- La violente ardeur dont il est obsédé. v.600 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Si tu pouvais l'entendre au moment qu'il s'explique, v.601 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Et qu'il parle au profit de la chose publique, v.602 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Ton oreille charmée, et tes sens interdits, v.603 (Acte 2, scène 4, FABRICE)
- Quel qu'il soit à son sort je veux être funeste, v.606 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Qu'il soit généreux, qu'il ait l'esprit sublime, v.609 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Il suffit qu'il m'outrage, et qu'il soit mon Rival. v.612 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Il verra ce que c'est qu'attaquer Lazarille. v.613 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- Diable, que j'ai bien fait de quitter la Roupille. v.614 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Et s'il était ici dans ce même moment, v.619 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- S'il me jette une oeillade, v.621 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Et qu'il remarque en moi quelques traits d'Ambassade. v.622 (Acte 2, scène 5, GUSMAN)
- Souviens-toi que d'Afrique il est Ambassadeur. v.624 (Acte 2, scène 5, FABRICE)
- Non, non quelques effets qu'il en puisse avenir, v.631 (Acte 2, scène 5, LAZARILLE)
- D'un autre stratagème il nous faut effrayer : v.639 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Car, suivant ma pensée, il vient de t'effrayer, v.640 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Que votre esprit est prête aux desseins qu'il se forge : v.645 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Qu'au couteau d'un meurtrier j'aille tendre la gorge, v.646 (Acte 2, scène 6, GUSMAN)
- Ma plus pressante envie est de voir Lazarille, v.669 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Quitter l'Andalousie et marcher en Castille, v.670 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Du meilleur. v.677 (Acte 2, scène 6, FABRICE)
- Monsieur, vous voyez bien qu'étant l'heure qu'il est, v.685 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Un jeune homme habillé repose dessus l'autre, v.692 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il est plein de tristesse, allez au petit pas, v.693 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Et faites s'il se peut qu'il ne s'éveille pas. v.694 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Puisque dans le lit vert il faut que je repose, v.695 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Et vous déshabiller ? v.698 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il n'importe, v.699 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Il suffit, son logis est du notre attenant, v.702 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il faut qu'un grand matin faire en sorte qu'il vienne, v.704 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Et que de Stéphanie il soit accompagné. v.705 (Acte 3, scène 1, HENRIQUEZ)
- Ce qu'il faut faire. v.707 (Acte 3, scène 1, LA SERVANTE)
- Il faut donc dans ce lieu que j'attende le jour, v.710 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Mais de peur qu'en marchant je n'éveille cet homme, v.712 (Acte 3, scène 2, HENRIQUEZ)
- Fallait-il faire Esprit une tête si lourde, v.720 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pourtant quoi que je fasse il faut tout entreprendre, v.723 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Voyons, mon fils, ton Père Henriquez de Galas, v.725 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Or comme il ne vis plus et qu'il est sous la tombe, v.727 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- De peur que chez le Diable en peu d'heure il ne tombe, v.728 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut sans balancer que tu partes demain, v.729 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour rendre mille écus dérobez de ma main ; v.730 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Où faudra-il qu'à présent je me niche, v.739 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je vais être assommé s'il me peut entrevoir. v.741 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- J'aurais volontiers mis les oreilles à bas ; v.750 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Déjà le nez m'en enfle, et le sourcil m'en fronce, v.768 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour la seconde fois faisons peur. Lazarille, v.771 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Quiconque fait un fils ne fait pas une fille, v.772 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Ne faisant point de fille, il fallut faire un fils. v.774 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Pour donc à mon repos être utile et prospère, v.775 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut restituer les larcins de ton Père, v.776 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Et partir de Séville à la pointe du jour, v.777 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Adoucissez l'ennui dont je suis travaillé, v.781 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Adieu le coeur, puisqu'il est éveillé. v.782 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Je ne suis point vaillant si ce n'est quand il dort. v.786 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Au moins permettez donc que mon oeil se défile, v.787 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Et cessez s'il se peut d'affliger Lazarille. v.788 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Lazarille, bons Dieux ! Où je suis insensé ; v.789 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Oui, j'y suis Lazarille. v.795 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Vous voyez Lazarille à vos pieds abattu, v.806 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je veux vous obéir, rien ne m'est difficile, v.807 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je sais que vous voulez que je quitte Séville, v.808 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je te tiens mon cher fils. v.813 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Il est vrai que je veux te revoir à Tolède : v.816 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Mais loin qu'en tes projets je te veuille trahir, v.817 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Enfilons la venelle. v.819 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Si j'ouvre ma lanterne ils me rompent le cou, v.822 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut donc se résoudre, ô trop sourde lanterne, v.823 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Touchant les mille écus autrefois mal acquis, v.833 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Puisque pour être heureux il faut être sans tâche, v.835 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Il a perdu le sens, quelle angoisse mortelle ! v.839 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Depuis quel temps, mon fils, n'as-tu plus de cervelle ? v.840 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- C'est depuis votre mort qu'il est donc égaré ? v.842 (Acte 3, scène 3, LAZARILLE)
- Je sais que dans mon âge il est temps que je meure, v.844 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- Pour si peu qu'il est mort ce n'en est pas la peine. v.848 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- Il faut le détromper, hola de la chandelle. v.852 (Acte 3, scène 3, HENRIQUEZ)
- J'ai si bien fait le mort qu'il le faut devenir. v.854 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- S'il faut faire l'Esprit, faisons le par raison, v.858 (Acte 3, scène 3, GUSMAN)
- D'où vient que du sommeil.... v.861 (Acte 3, scène 4, L'HÔTE)
- Mon fils. v.861 (Acte 3, scène 4, GUSMAN)
- Est-il vrai que je veille, ou si c'est que je dorme. v.880 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Il est temps de finir ma douleur, v.885 (Acte 3, scène 5, LAZARILLE)
- Puisqu'il trouve un Rival dans un autre soi-même. v.896 (Acte 3, scène 6, FABRICE)
- Point de serments, mon fils, vous Fabrice espérez. v.909 (Acte 3, scène 6, HENRIQUEZ)
- Approchez bon vieillard. v.913 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Ma fille. Lazarille amortis ton ardeur, v.921 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Il l'est ; De votre amant il devient votre frère, v.924 (Acte 3, scène 7, LAZARILLE)
- Ailleurs je t'en dirai les secrets importants, v.926 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Il est juste, espérez. v.929 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
- Il suffit ; vous verrez que je suis raisonnable. v.931 (Acte 3, scène 7, HENRIQUEZ)
GERMANICUS (1694)
- Fils du maître du Monde il n'était dû qu'à vous ; v.6 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- S'il m'est doux de l'aimer, il est beau qu'on le sache ; v.36 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Qu'il ne tient pas à moi, que je ne sois à lui. v.38 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Non qu'il ne soit grand homme, et qu'il n'ait des vertus : v.41 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoi que fils de Tibère, on estime Drusus : v.42 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Il sait d'où je descends, et de qui je suis veuve. v.60 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Et si l'autre eût vécu plus longtemps qu'il n'a fait, v.65 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Voila par quels motifs il me trouve importune. v.67 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Il me rend les mépris qu'il reçut autrefois. v.74 (Acte 1, scène 1, LIVIE)
- Madame, il va bientôt paraître : v.75 (Acte 1, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce bien semble usurpé s'il ne vient de vous-même ; v.92 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Et parmi les amants il n'est rien si cruel v.93 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Qu'ayant dit qu'il m'aimait je crus ce qu'il me dit. v.114 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Avec tant de mérite il ne fut pas haï ; v.117 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Quand il faut à la haine abandonner ses jours, v.129 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- De reprendre le coeur qu'il faut que je vous donne. v.136 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- Un mois est peu de chose, il me suffit. v.137 (Acte 1, scène 2, AGRIPPINE)
- S'ils ne sont à leur terme ils augmentent toujours : v.142 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- Ne vous souvenez pas qu'il eut l'heur de vous plaire, v.151 (Acte 1, scène 2, DRUSUS)
- À vos souhaits, Madame, il a daigné se rendre. v.155 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Il a fait plus pour moi que je n'osais attendre. v.156 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- L'Empereur le commande, il faut bien obéir. v.158 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Et si j'en sais juger, pour le voir sans péril, v.169 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Votre coeur est trop tendre, et l'amour trop subtil. v.170 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Il est au bord de l'Elbe où son emploi l'attache. v.172 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Là son bras redoutable aux plus vaillants Germains, v.173 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Par les Combats qu'il donne on compte les Victoires. v.176 (Acte 1, scène 3, FLAVIE)
- Pison est sage, ardent, civil, soumis, fidèle : v.183 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Par les soins qu'il me rend il m'instruit de son zèle : v.184 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Avec un coeur sincère il me dit ce qu'il croit : v.185 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Il veut ce que je veux ; craint ce que j'appréhende ; v.187 (Acte 1, scène 3, AGRIPPINE)
- Il n'a pu jusqu'ici se bien faire connaître. v.200 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ce zèle impétueux, s'il osait découvrir, v.201 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Disputer à Drusus ce qu'il vole à mes feux : v.218 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Il doit approuver mon retour ; v.224 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Il vient, Pison ! v.227 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- M'est un plaisir fatal par le prix qu'il me coûte. v.236 (Acte 1, scène 4, PISON)
- À l'espoir de vous plaire, il s'est tout immolé ; v.238 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Une illustre beauté m'a su rendre sensible v.251 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et s'il se peut, Madame, ignorez-les toujours. v.254 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je nommai bienveillance un désir de lui plaire : v.260 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et que ma bienveillance était lors pure estime : v.264 (Acte 1, scène 4, PISON)
- L'amitié rend tranquille, et je ne le suis pas. v.270 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mille appas différents paraissaient tour à tour ; v.273 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Cet amour violent, quelque pur qu'il puisse être, v.275 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mais sous tant de faux noms il déguisa le sien, v.277 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'il régnait dans mon âme, et je n'en savais rien. v.278 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si vous eussiez parlé rien n'était difficile : v.279 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Aux succès de vos feux je pouvais être utile : v.280 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Hé quoi ! Mes yeux, Madame, ont-ils été muets ? v.282 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ne vous ont-ils rien dit d'une ardeur si puissante ? v.283 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et pour être aimé d'elle, il faut l'être de vous. v.302 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et d'une âme tranquille, en ce malheureux jour, v.305 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Ou de l'oeil qui le donne, ou du coeur qui le prend ? v.314 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Avec le sang d'Auguste ils n'étaient pas d'accord ? v.318 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- En tout autre que vous il serait punissable, v.319 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Comme un coeur qui s'enflamme ose plus qu'il ne croit, v.325 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Par un crime, inutile à l'amour que j'ai pris. v.350 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je l'ai peint à vos yeux tel qu'il est dans mon âme ; v.352 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Il est vrai que mon coeur démentait mon langage, v.356 (Acte 1, scène 4, PISON)
- C'est un crime envers vous bien facile à commettre ; v.360 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Et pour tout dire, enfin, quand il serait plus noir, v.361 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Il fut moins criminel, qu'il ne fut malheureux. v.370 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Quand de votre main seule il serait possesseur, v.385 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je dirais en moi-même il m'en reste le coeur. v.386 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Si du coeur au contraire il était le seul maître, v.387 (Acte 1, scène 4, PISON)
- De sa main, me dirais-je, il ne peut jamais l'être ; v.388 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Je serais satisfait de ce qu'il n'aurait pas. v.390 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Mon tranquille destin n'aurait rien de funeste ; v.391 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Que le fils de César en dispose aujourd'hui ; v.397 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Qu'il serait tout à moi, s'il n'était tout à lui ; v.398 (Acte 1, scène 4, PISON)
- Les illustres rivaux, dont vous estes jaloux, v.405 (Acte 1, scène 4, AGRIPPINE)
- Hélas ! il suffit de le plaindre. v.415 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- D'une main qu'il adore il respecte les coups. v.418 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Dût-il n'être point vu, ma tendresse alarmée v.439 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Va rejoindre ce Prince, et dis lui qu'il m'oublie : v.443 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Avant que de m'aimer, il aimait Émilie, v.444 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Paul-Émile, et Pompée ont été ses aïeux ; v.446 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il aura peu de peine à rentrer dans son coeur. v.449 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce conseil, cher Albin, m'échappe avec douleur. v.450 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Quelques voeux que je pousse ils vont tous à ton maître : v.452 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais s'il m'aime toujours que son coeur s'en console ; v.460 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Et que de mon exemple il se fasse une loi : v.461 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je perds bien plus en lui qu'il ne peut perdre en moi. v.462 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Madame, il va paraître, il le verra lui-même. v.464 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Son amour vous l'amène , il marche sur mes pas. v.465 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Et que me dira-t-il que je ne sache pas ? v.466 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Pense-t-il qu'à ses yeux je captive mes larmes ? v.467 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il m'est trop cher, Albin, pour le voir sans alarmes : v.468 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Si j'entends qu'il se plaigne il me fera pitié ; v.470 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Qu'il me fuie. v.475 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Exiler sa douleur, c'est en être complice. v.476 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Il ne s'oubliera point à votre auguste aspect : v.477 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Il vous aime, et vous perd : Sa gloire est sans seconde v.479 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- S'il en coûte une larme aux plus beaux yeux du Monde : v.480 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Madame, encor un coup, permettez qu'il vous voie ; v.483 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Voyez-le donc : ce bien est le seul qu'il implore, v.487 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- Au nom d'un peu d'amour, s'il vous en reste encore ; v.488 (Acte 2, scène 1, ALBIN)
- De l'absence du Prince, il est bon qu'on profite. v.492 (Acte 2, scène 1, FLAVIE)
- Ou souffrez qu'il vous voit, ou donnez d'autres lois. v.493 (Acte 2, scène 1, FLAVIE)
- Qu'il vienne. Et si je lui fut chère, v.495 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Que pour prix de l'effort qu'il me contraint de faire, v.496 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Il ait soin de ma gloire, et ne l'expose pas. v.497 (Acte 2, scène 1, AGRIPPINE)
- Je ne le veux point voir ; c'est en vain qu'il m'en presse : v.507 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Je révoque mon ordre, et ne veux point qu'il vienne. v.511 (Acte 2, scène 2, AGRIPPINE)
- Si le Ciel m'eut fait naître en un rang plus illustre : v.520 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Pour aimer comme j'aime il suffit qu'on soit homme. v.524 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Qu'il serait mal-aisé de le pouvoir mieux être. v.532 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et, tandis qu'en ce lieu nous voila sans témoins, v.549 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Pour le voir sans alarme il a trop de mérite. v.560 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Vous savez qu'à le vaincre il est accoutumé. v.562 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- De l'espoir du triomphe il flatte mon devoir : v.566 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- À ce devoir crédule il fait sans cesse entendre, v.567 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'à ses lois, qu'il respecte, il est prêt de se rendre ; v.568 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais, s'il faut tout vous dire, il est si peu constant v.569 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Qu'à l'Amour aussitôt il en promet autant : v.570 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Il m'a fait prévenir, et je crois qu'on l'amène : v.576 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Madame, il me l'a dit aussi. v.578 (Acte 2, scène 3, PISON)
- C'est un homme discret, mais à quoi qu'il s'engage, v.579 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Votre gloire est d'un prix qu'il est bon qu'on ménage. v.580 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Vous voulez qu'il l'apprenne, et votre ordre est pressant : v.586 (Acte 2, scène 3, PISON)
- N'a-t-il point demandé si je le perds sans peine ? v.588 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Il s'est enquis à moi, si vous songiez à lui ? v.590 (Acte 2, scène 3, PISON)
- J'ai dit qu'il vous eût été doux v.593 (Acte 2, scène 3, PISON)
- De n'aimer que lui seul, comme il n'aime que vous : v.594 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et qu'a-t-il répondu ? v.597 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Mais, Madame, il viendra si vous m'arrêtez tant. v.598 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Ne vous exposez point à ce péril extrême : v.599 (Acte 2, scène 3, PISON)
- Et m'aimant, sans espoir, il vous doit être doux v.609 (Acte 2, scène 3, AGRIPPINE)
- Vos illustres exploits ont rempli notre attente : v.612 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Après trois ans d'absence il m'eût été bien doux v.637 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mais vous ne savez pas quelle peine il m'en coûte : v.648 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Quand par l'ordre d'un père il fallut vous aimer, v.653 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Aujourd'hui qu'à mes voeux on impose silence, v.655 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Et ces deux opposez sont d'illustres tyrans, v.661 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Si j'entends de l'amour les conseils absolus, v.665 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- L'inutile secours d'une pitié cruelle ? v.672 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand j'aurais votre coeur, il aura votre main ; v.678 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Vous ferez juste assez pour l'aimer, s'il vous aime ; v.680 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- De ce qui peut vous plaire il fera ses plaisirs ; v.681 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Il vous rendra des soins ; préviendra vos désirs ; v.682 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- C'est plaindre mon destin, sans le rendre meilleur. v.690 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Mais à votre vertu quelqu'effort qu'il en coûte, v.695 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Ces plaisirs souhaitez, valent-ils ceux qu'il goûte ? v.696 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Rend-il mon sort moins rude, et mon malheur moins grand ? v.698 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Croyez-vous qu'il revienne ? v.702 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Il échappe à ma gloire un désir criminel. v.714 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Veuillez m'aimer assez pour ne m'aimer jamais. v.722 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Au fils de l'Empereur votre coeur fait la cour ; v.729 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- La Princesse Émilie, indulgente à mon crime, v.743 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Quand il en coûte un crime à qui n'en fit jamais. v.750 (Acte 2, scène 4, GERMANICUS)
- Dont il faut que le Ciel ne me juge pas digne. v.760 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- La Princesse Émilie, exorable à vos soins, v.761 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- À des fers qu'il fuyait, ramenez un rebelle : v.763 (Acte 2, scène 4, AGRIPPINE)
- Que le Fils de César dans ce lieu se va rendre. v.772 (Acte 2, scène 5, FLAVIE)
- Il arrive de Rome, et s'avance à grands pas. v.773 (Acte 2, scène 5, FLAVIE)
- Si Drusus... Ah ! Pison, il y va de ma gloire, v.775 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Comme au meilleur ami que j'ai eu de ma vie, v.787 (Acte 2, scène 5, AGRIPPINE)
- Du secret qu'on lui cache il semble être éclairci ; v.793 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Dans un si grand péril ne l'abandonnez pas. v.798 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Quoi qu'au fils de César elle soit si fidèle, v.799 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Que le chemin de Rome est celui qu'il a pris. v.806 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Sûr de mettre un obstacle à l'hymen qu'il redoute, v.807 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Dût-il rendre à jamais ses jours infortunés... v.809 (Acte 3, scène 1, PISON)
- Une fille d'Auguste implorer votre appui. v.814 (Acte 3, scène 1, FLAVIE)
- Il soutient qu'à sa flamme il immole une Armée ; v.824 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- De la faire observer, s'il voit qu'on la néglige ; v.828 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et que pour une faute, utile à son pays, v.829 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Manlius autrefois sacrifia son fils. v.830 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Ce bruit qui vous alarme est-il su d'Agripine ? v.839 (Acte 3, scène 2, PISON)
- Qu'il ne tient pas à vous que je n'en sois aimé. v.846 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Il semblait que ses yeux en causaient dans votre âme : v.848 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Voila le grand secret que j'avais à vous dire. v.859 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Elle vient ; vos conseils ne sont plus de saison. v.890 (Acte 3, scène 2, DRUSUS)
- Et le Fils de César serait trop acheté, v.897 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- S'il rentrait dans mes fers par une lâcheté. v.898 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Soeur de Germanicus , veuve d'un fils d'Auguste, v.899 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- (Car il faut l'avouer, estimé de chacun, v.905 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il semblait qu'à l'État vous en promettiez un ;) v.906 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Ces Billets d'un Ingrat, dont le coeur m'étais cher : v.917 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- D'autant plus criminels qu'ils ont l'art de toucher ; v.918 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il suffira de vous pour m'en faire raison. v.930 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- En croirez-vous mon coeur, s'il dit que c'est vous-même ? v.932 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il n'est rien de si vrai que je n'aime que vous. v.938 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Goutait tranquillement la douceur d'être aimé : v.946 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Plus pesants mille fois que ne le sont les autres, v.948 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- S'il eut l'heur de vous plaire il vous doit plaire encore : v.960 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il est plus amoureux qu'il ne le fut jamais. v.962 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Épargnez-moi, Seigneur, la honte qu'il imprime ; v.971 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Il n'est point de remords qui ne précède un crime : v.972 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- S'il faut vous adorer pour mieux sentir vos coups ; v.989 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Me voila dans l'état où vous me souhaitez. v.994 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Mais s'il vous reste encor quelque ombre de tendresse, v.1019 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il en lit encore un autre. v.1034 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il est vrai, ma Princesse, v.1035 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il veut que j'aime ailleurs ; mais en vain il m'en presse ; v.1037 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il n'est point de tourment qui me semble assez rude v.1042 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Ces billets si chéris, tant qu'a duré ma foi, v.1047 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Plus ils marquent d'amour, plus j'ai l'âme confuse. v.1049 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je sais que pour mon crime il n'est guère d'excuse ; v.1050 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et quand il en serait, si j'en osais donner, v.1051 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- J'ai tantôt vu César. Agripine qu'il gêne, v.1069 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Avant qu'un mois s'écoule, et qu'il soit expiré, v.1079 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Sensible à mon amour il en sera l'appui : v.1083 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Il adore Agripine, et la veut adorer ; v.1087 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Je me défendrai mal pour peu qu'il vous appuie : v.1093 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Et de peur de me rendre il est temps que je fuie. v.1094 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Me sera-t-il permis de rentrer dans vos fers ? v.1100 (Acte 3, scène 3, DRUSUS)
- Et s'il vous en faut un... v.1103 (Acte 3, scène 3, LIVIE)
- Puisqu'il faut pour jamais oublier tant de charmes, v.1110 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Jusques-là, s'il se peut, souffrez que chaque jour v.1119 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Il m'a promis... v.1128 (Acte 3, scène 4, DRUSUS)
- Qu'il n'est plus à mon choix de pouvoir différer : v.1136 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- Demain aux yeux de Rome il faut qu'il s'accomplisse. v.1137 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- J'imposerai silence à ma juste douleur : v.1139 (Acte 3, scène 4, AGRIPPINE)
- À mes sens interdits reste-t-il quelque espoir ? v.1156 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Avec tranquillité lui donner votre main ; v.1160 (Acte 3, scène 5, FLAVIE)
- D'un Tyran odieux j'aie épousé le fils. v.1168 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Dés-qu'il aura ma main, dût ce fils de Tibère v.1169 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Il a tous mes désirs, et toute ma tendresse : v.1174 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Dans le coeur qu'on lui vole il a fait des progrès v.1175 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Qu'on ne détruira point tant qu'il en sera prés. v.1176 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Je ne veux point haïr ce qu'il faut que j'estime ; v.1186 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Il est de mon devoir de fuir Germanicus. v.1188 (Acte 3, scène 5, AGRIPPINE)
- Il trahirait son rang à vous en vouloir mal. v.1216 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Mais par votre respect méritez mon silence. v.1218 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Sûre qu'à votre orgueil, que je viens d'abaisser, v.1223 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Il n'échappera rien qui me puisse offenser. v.1224 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoi que de sa défaite il ait vengé Varus ; v.1235 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quoi qu'il ait des vertus dignes qu'on le révère ; v.1237 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et pour le Consulat il me fait designer, v.1239 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Ce qui peut y rester vaut-il ce que tu perds ? v.1248 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Le plus noir des forfaits t'est facile à commettre ! v.1254 (Acte 4, scène 1, AGRIPPINE)
- Ce que j'ai fait pour vous, vous permet-il de croire, v.1257 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Peut-être pour ce crime eût-il choisi mon frère : v.1266 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Pour complaire à Plancine il hait Germanicus. v.1268 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Appuyé de Tibère il le perdra sans doute, v.1269 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Si de la Germanie il ne reprend la route. v.1270 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Et pour mieux déguiser ce qu'il a résolu, v.1279 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Quelque espoir qui le flatte ordonnez qu'il s'absente : v.1281 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Voila ce qu'en secret je voulais vous apprendre. v.1285 (Acte 4, scène 1, PISON)
- De l'état de son âme il m'a fait confidence ; v.1301 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Empêchez que dans Rome il ne passe la nuit. v.1304 (Acte 4, scène 1, PISON)
- Je ne sais de quel oeil vous verrez un coupable, v.1305 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- M'a reçu comme un fils attendu de son père : v.1318 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il ne m'en a parlé que pour me faire grâce ; v.1322 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dans le Capitole il consent que demain v.1323 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Quand je vous aurai dit qu'il faut m'abandonner, v.1348 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vous l'ordonne même avec un coeur tranquille : v.1357 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il y va de vos jours, tout doit m'être facile ; v.1358 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et pour tromper le sort qu'il vous faut redouter, v.1359 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je n'examine point ce qu'il doit m'en coûter. v.1360 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Que pourra de Drusus l'inutile courroux ? v.1363 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- D'un péril trop certain cette nuit vous menace. v.1370 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur, il faut sur l'heure abandonner ce lieu : v.1371 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il m'est trop important que votre gloire éclate v.1373 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Pour voir d'un oeil jaloux l'honneur dont on vous flatte ; v.1374 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ceux qu'un autre cueillait ne le chagrinaient pas. v.1384 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Mais depuis que des Dieux il augmente le nombre, v.1385 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et que de mon retour il feint d'être charmé, v.1391 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Adopté pour son fils, il me tient lieu de père : v.1394 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Des volontés d'Auguste il se fait une loi ; v.1395 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et Drusus pour sa gloire, est moins son fils que moi. v.1396 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- De quelque oeil qu'il le voit, en cette conjoncture, v.1397 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Un fruit qu'il attendait du conjugal lien ; v.1399 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et dont pour s'agrandir il ne prétendait rien : v.1400 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Le don qu'il fit de moi fut suivi de l'Empire ; v.1402 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Des bontés qu'eût César de m'accepter pour fils. v.1404 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il est vrai que ce Prince, au moins en ma présence, v.1405 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- De mes faibles exploits il parle avec chaleur ; v.1407 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il m'aime, il m'en assure avec sincérité ; v.1411 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ah ! Seigneur, qu'un héros est facile à trahir ! v.1416 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Seigneur ; depuis qu'il règne il vous est inconnu. v.1420 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Aussitôt que d'Auguste il occupa la place, v.1422 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- L'un, malgré les périls dont il fut menacé, v.1427 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et qu'on retranche un an de son illustre vie, v.1429 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Tant que du monde entier il fut seul possesseur, v.1431 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et quand des plus méchants il résolut la perte, v.1433 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Loin d'affecter la fraude, il leur fit guerre ouverte. v.1434 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il ne m'est pas permis d'en dire davantage : v.1446 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si le fils de César vous arrache à ma flamme ; v.1450 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- S'il faut qu'à cet affront le Ciel m'ait réservé ; v.1451 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Ce que du sang d'Auguste il reste à l'Univers. v.1456 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Condamne votre amour, s'il veut que je vous quitte : v.1458 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Rome, quoiqu'on m'apprête, est mon plus sûr asile : v.1461 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Tout autre en vous quittant me serait inutile : v.1462 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Éloigné de vos yeux, sont-ils hors de danger ? v.1464 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et pour craindre le fils, je suis trop cher au père. v.1470 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il vous rend à mes feux, et je ne puis sans crime, v.1473 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il va m'en coûter un pour vous désabuser. v.1476 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et qui, s'il vous aimait, vous caresserait moins ; v.1484 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Ce Tyran, car, Seigneur, quoi qu'il ait votre estime, v.1485 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et s'il ne l'avait pas il faudrait lui donner, v.1487 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Puisqu'il veut cette nuit vous faire assassiner. v.1488 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Hé bien, cruel, souffrez qu'il vous corrompe : v.1490 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Il me rend malheureuse, et sera malheureux. v.1500 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Voila de ma tendresse une preuve assez ample. v.1505 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Et ne m'accablez point d'inutiles regrets. v.1508 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Je vais par mon exil écarter la tempête ; v.1522 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Il suffit de mes maux pour terminer mes jours : v.1528 (Acte 4, scène 2, GERMANICUS)
- Et quel_que_soit l'asile, où vous alliez vous rendre, v.1537 (Acte 4, scène 2, AGRIPPINE)
- Si du trouble où je suis il peut être averti, v.1547 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- S'il peut... Germanicus ne sera point party. v.1548 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Quoique d'une imposture il ne soit point capable, v.1549 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Dés hier j'aurais appris s'il s'éloigna de Rome ; v.1553 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Quand il me le promit il me trompait sans doute : v.1557 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Je l'ai quitté, je sais quels efforts il m'en coûte ; v.1558 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Et s'il est vrai qu'il m'aime autant qu'il est aimé, v.1559 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- "Si j'osai vous aimer, il m'en coûte la vie," v.1573 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- M'a-t-il dit ; j'en ai fait confiance à Flavie ; v.1574 (Acte 5, scène 1, AGRIPPINE)
- Pison vient-il ? Enfin éclaircis-moi de tout. v.1580 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Désespère mon coeur, ou le rends plus tranquille. v.1581 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- J'ai fait à Rome un voyage inutile, v.1582 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Et d'arracher des coeurs par un subtil détour, v.1591 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ne pas faire leur cour s'ils valaient mieux que lui. v.1596 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- L'as-tu vu ? Viendra-t-il ? A-t-il reçu ma Lettre ? v.1602 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- S'il savait ma douleur il serait arrivé. v.1603 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- On ne sait à la Cour ce qu'il est devenu. v.1607 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il ne peut quoiqu'il fasse en avoir des nouvelles. v.1610 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- En quelque lieu qu'il soit aucun n'en peut rien dire. v.1613 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il suffit, souffre que je respire. v.1614 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Suivi de son amour, que crois-tu qu'il devienne ? v.1622 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il en mourra. Qu'il vive, et qu'il s'engage ailleurs. v.1624 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Voila quels sont mes voeux : et pour être exaucez v.1627 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Dieux ! à qui je les faits ils me coûtent assez. v.1628 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Tout grand qu'est mon malheur, il n'est pas sans remède, v.1629 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Soit qu'il ait redouté la fureur de Tibère, v.1633 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- De ce Prince sans doute il a suivi les pas. v.1635 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je voudrais qu'il fût vrai, mais je ne le crois pas. v.1636 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Madame, il vous adore, et ne craint point la mort. v.1640 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- S'il vous eût obéie, il eût trahi sa flamme. v.1641 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Il s'en est peu fallu qu'il ne m'ait méconnue : v.1646 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- J'irai voir la Princesse, est tout ce qu'il m'a dit. v.1648 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Madame. Mais enfin s'il faut parler sans feindre, v.1657 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- À quelle illustre vie en a voulu Tibère ; v.1662 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Car à chaque forfait dont il s'ose flétrir, v.1663 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ce que Rome a de grand est ce qu'il fait périr. v.1664 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ils ne s'attaquent point à ceux qui les ressemblent ; v.1666 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Ce qu'il a de mérite en est la seule cause. v.1670 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- C'est me nier en vain ce qu'il faut que je sache : v.1673 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Jamais de ses pareils le trépas ne se cache : v.1674 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Ils attachent sur eux les yeux de tout le monde ; v.1678 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il ne s'est signalé que par des injustices. v.1686 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il aura... Quel soupçon dans mon coeur vient de naître ? v.1689 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Serait-il vrai, grands Dieux ! que Pison fût un traître ? v.1690 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il m'aime, il l'a fait voir ; n'importe c'en est un. v.1692 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il a fait ce grand crime, et se cache de honte : v.1694 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Je ne m'étonne plus s'il ne se montre point : v.1696 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il me craint. Va méchant ta crainte est inutile : v.1697 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- À qui veut l'imiter César offre un asile ; v.1698 (Acte 5, scène 2, AGRIPPINE)
- Il vient. v.1703 (Acte 5, scène 2, FLAVIE)
- Que ne le vengent-ils, s'ils n'ont pu l'empêcher ? v.1712 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Comment Germanicus a-t-il perdu la vie ? v.1714 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Le Perfide Pison osa-t-il l'attaquer ? v.1715 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- Qui vous fasse oublier l'affront qu'il vous a fait. v.1728 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ne pouvant l'éviter s'il quittait vos appas, v.1731 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il la voyait venir, et ne la fuyait pas. v.1732 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- En sortant d'avec vous il fut revoir Tibère ; v.1741 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- D'abord qu'il l'aperçoit lui présente la main : v.1743 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il le quitte : et soudain à force d'artifices v.1749 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Contre un fils si fameux anime ses complices. v.1750 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il fait place à la nuit, qu'une main criminelle v.1753 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il devait le mander sans escorte, et sans bruit. v.1760 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il se retire ensuite, et défend qu'on l'éclaire. v.1762 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À peine est-il sorti qu'un grand bruit nous surprend : v.1763 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il me permet de voir quel sujet le fait naître ; v.1766 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Cependant à ma voix il m'a connu d'abord. v.1772 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De son Appartement empêche qu'il ne sorte, v.1774 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- M'a-t-il dit. C'est à lui qu'en voulait l'assassin v.1775 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De la main de mon frère... À ce mot il soupire ; v.1777 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- À la fin, quoique faible, il élève sa voix ; v.1779 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Mon frère, poursuit-il, à la gloire insensible, v.1781 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Reconnais, m'a-t-il dit, la main qui t'assassine : v.1785 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Que d'un sang plus illustre il voulait voir trempée, v.1794 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Qu'il semble que le sort en souffrant ma ruine, v.1797 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Apprends-lui, cher Albin, qu'il m'eût été facile v.1801 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- De prolonger le cours d'une vie inutile, v.1802 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Ils sont nez l'un pour l'autre, et mes sincères voeux... v.1811 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Il prépare avec joie un passage à son âme ; v.1814 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Et sûr qu'en vous servant il va perdre le jour, v.1815 (Acte 5, scène 3, ALBIN)
- Pardonne à mon orgueil ce qu'il t'a fait d'injure ; v.1818 (Acte 5, scène 3, AGRIPPINE)
- César, Seigneur ! Albin vous a-t-il tout appris ? v.1828 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Vous a-t-il dit ?... César est surpris de ce crime ! v.1829 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Prince, il est votre père, et je perds le respect : v.1832 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- L'assassin de Pison, puisqu'il s'est fait connaître, v.1837 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Il me rend ma Princesse, et vous donne à mon frère : v.1842 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Pour vous en assurer il nous envoie ici. v.1843 (Acte 5, scène 4, DRUSUS)
- Il nous veut perdre tous, puisqu'il en use ainsi. v.1844 (Acte 5, scène 4, AGRIPPINE)
- Il allait s'échapper à quelque violence, v.1849 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- S'il ne l'eût apaisé par sa seule présence. v.1850 (Acte 5, scène 4, LIVIE)
- Madame, il est au Capitole ; v.1861 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- C'est dans ce lieu si saint qu'il veut tenir parole : v.1862 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
- Parlez lui de son fils, et faites un effort, v.1871 (Acte 5, scène 4, GERMANICUS)
LA FÊTE DE LA SEINE (1690)
- Dont les fertiles eaux v.3 (Acte 1, scène 1, L'OCÉAN)
- Sur ses fertiles bords on voit le Laboureur v.13 (Acte 1, scène 1, THÉTIS)
- Le Danube, le Nil, le Pactole, et le Gange, v.35 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- Et que mille plaisirs nouveaux v.41 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- À son exemple ils chantent leur amour v.53 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Ce sont les meilleurs secrets. v.65 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Les Ruisseaux qui font mille tours v.66 (Acte 1, scène 2, DEUX NEREIDES)
- Mais il ne dure pas assez : v.72 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Il est bon qu'on en profite. v.78 (Acte 1, scène 2, UNE JEUNE FONTAINE ET UN RUISSEAU)
- Il faut aimer lorsque l'âge y convie : v.82 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- N'aiment-ils pas les charmes d'un beau jour ? v.92 (Acte 1, scène 2, DEUX JEUNES RUISSEAUX)
- Vous goûtez de la Paix la tranquille douceur ; v.97 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Et le Ciel nous expose à mille affreux ravages. v.98 (Acte 1, scène 2, LE GANGE)
- Le Soleil brûle nos champs : v.103 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Qu'ils réservent pour vous les airs les plus touchants. v.108 (Acte 1, scène 2, LE NIL)
- Rend mes tranquilles Eaux éclatantes de Gloire v.132 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- À l'ombre des Lauriers que son Bras a cueillis. v.133 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- On dirait que du Monde il gouverne le sort: v.135 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN)
- Il a purgé la mer de ces monstres avides v.138 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN)
- Il n'est pas moins connu qu'en ses propres États. v.148 (Acte 1, scène 2, THÉTIS)
- On n'a point encor vu de pareil conquérant ; v.150 (Acte 1, scène 2, LA SEINE)
- Ah ! Qu'il est doux de reconnaître v.175 (Acte 1, scène 2, L'OCÉAN, THÉTIS)
- Ah ! Qu'il est doux de couler sous ses lois v.177 (Acte 1, scène 2, L'OC?AN, TH?TIS)
- Ah ! qu'il est doux de reconnaître v.179 (Acte 1, scène 2, TOUS ENSEMBLE)
- Ah ! qu'il est doux de couler sous ses lois v.181 (Acte 1, scène 2, TOUS ENSEMBLE)
LES MOTS À LA MODE (1694)
- Quoiqu'il puisse arriver, j'en veux avoir raison. v.2 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et pour la condamner il suffit de le lire. v.4 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Oui, Monsieur, il est d'elle. Avez-vous bien ouï ? v.9 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà cinq ou six fois que je vous dis que oui. v.10 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Avec subtilité je mis la main dessus. v.14 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Mais un sot par arrêt est difficile à faire. v.20 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Il faudrait leur créer un Tribunal exprès ; v.22 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Encore est-il certain, à bien peser les choses, v.23 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Qu'il ne pourrait suffire à juger tant de causes. v.24 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR GRIFFET)
- Qu'il fait tout ce qu'il peut pour s'empêcher de l'être ? v.36 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Qui par un mercenaire et coupable silence v.39 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- On ne la connaît plus que par son attirail ; v.45 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et qui l'achète en gros, la revend en détail. v.46 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- N'importe ce qu'il coûte à venger cet outrage. v.47 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Il est vrai que le cas serait assez fortuit. v.50 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Et quant au choix des mots, il m'est indifférent, v.69 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Le cas dont il s'agit, est un cas plus énorme. v.71 (Acte 1, scène 1, MONSIEUR JOSSE)
- Je viens vous avertir qu'il ne tiendra qu'à vous v.82 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- De donner dès ce soir des époux à vos filles. v.83 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Connaissez-vous leurs biens, leurs emplois, leurs familles ? v.84 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Leurs familles ? Eh si ! Perdez-vous la raison ? v.85 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Les voudrais-je souffrir s'ils n'étaient de maison ? v.86 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Famille est bourgeoisie, et Maison est noblesse. v.88 (Acte 1, scène 3, MADAME JOSSE)
- Ma femme, en un mot comme en mille, v.107 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Le nombre croit si fort qu'on dirait qu'il en pleuve : v.112 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Il n'est point de manant, pourvu qu'il ait de quoi, v.113 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Trêve donc, s'il vous plaît, Mademoiselle Josse, v.115 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Du ridicule orgueil qui vous rend si féroce. v.116 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Est-il charge ni rang qui puisse me cacher v.117 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà pour faire un jour de célèbres familles ! v.119 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Je veux à leurs égaux associer vos filles. v.120 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Est-il si malaisé de se souvenir d'eux ? v.125 (Acte 1, scène 3, MONSIEUR JOSSE)
- Devenu gentilhomme aussi bien que vous l'êtes, v.140 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- N'a pas un de ses fils qui n'ait un nom nouveau, v.141 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Sûr qu'il n'est bon à rien il en fait un abbé. v.146 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- S'il avait comme vous une fille bien faite v.147 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Lui ferait-il l'affront de l'appeler Nannette ? v.148 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Vos ordres en tout temps me sont doux et faciles. v.171 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Puisqu'à mes volontés vous êtes si dociles, v.172 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Vous, Monsieur Poussineau, vous, Monsieur Rodillard. v.174 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qui n'avait pour tout bien que mille écus d'avance ; v.180 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Je le veux. Il le faut. v.186 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Il nous faut des partis bien d'une autre « tournure ». v.192 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Il ne soit noble, riche, et d'un « gros relief » ? v.194 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- S'il me fait « dérouter » du chemin de la gloire. v.196 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Peut jamais, quoi qu'il fasse, être à notre « niveau » ? v.198 (Acte 1, scène 4, NANNETTE)
- Et Monsieur Rodillard avec qui l'on m'assemble ; v.199 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Ne fera-t-il pas beau nous « faufiler » ensemble ? v.200 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Il vous reste toujours des « vestiges » bourgeois. v.206 (Acte 1, scène 4, BABET)
- Hé bien ? N'est-il pas beau de voir trois grimacières, v.208 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Qu'il sera malaisé que nous puissions nous mordre. v.216 (Acte 1, scène 4, MONSIEUR JOSSE)
- Moquez-vous des menaces qu'il fait : v.217 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Il ne s'est jamais vu d'égalité plus grande : v.219 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Il est fou. v.220 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Il radote. v.221 (Acte 1, scène 5, MADAME JOSSE)
- Se serait-il permis cette « grosse » sottise. v.228 (Acte 1, scène 6, MADAME JOSSE)
- Hors chez quelques Laquais qu'il est en étalage, v.231 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- En aucun lieu du monde il n'est plus en usage. v.232 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- A moins qu'un « gros » Seigneur n'ait la taille fort grosse, v.235 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Est-il expression plus bizarre et plus fausse ? v.236 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Qu'il ne fait plus d'honneur à celles qui le font. v.246 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Jadis un conseiller défendit à sa femme v.251 (Acte 1, scène 6, MONSIEUR BRICE)
- Il nous vient ce matin à chacune un amant : v.262 (Acte 1, scène 6, NANNETTE)
- Deux gentilshommes ; v.264 (Acte 1, scène 7, CHAMPAGNE)
- Il semble que le ciel nous les envoie exprès, v.266 (Acte 1, scène 7, BABET)
- Les fils d'un parfumeur Gentilshommes ? Prodige ! v.267 (Acte 1, scène 7, MONSIEUR BRICE)
- Oui, mon frère, ils le sont. v.268 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Ils ne sortiront pas comme ils seront entrés. v.270 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Et qu'il ne vous échappe aucun mot qui la blesse. v.272 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Qu'ils entrent. v.273 (Acte 1, scène 7, MADAME JOSSE)
- Hé « quelqu'un » ! Des fauteuils. v.273 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Qui font à tout venant mettre pavillon bas, v.274 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Sûrs de tout conquérir aussitôt qu'ils se montrent, v.275 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Font autant de captifs que de cours qu'ils rencontrent. v.276 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Mais à voir tant d'appas pour peu qu'il persévère, v.279 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- J'appréhende bien fort qu'il ne le soit plus guère. v.280 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- « Isolés » ! Ah, Messieurs, le joli mot ! Il charme. v.284 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Qui jamais avant elle, à l'âge où la voilà, v.285 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Il m'a fait oublier que vous êtes debout. v.294 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Ces fauteuils sont ici pour nous mettre à notre aise. v.295 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Hé « quelqu'un » ! Pour mon frère il ne faut qu'une chaise ; v.296 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Il n'est pas noble. v.297 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Ouais ! Contre la noblesse il semble avoir du fiel. v.298 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Il n'est dans un état rien de plus nécessaire : v.300 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- À le rendre tranquille elle applique son soin ; v.301 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Mais je l'aime un peu vieille, et marquée au bon coin. v.302 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Fi ! Peut-on avouer qu'on aime la vieillesse ? v.303 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Rien n'est plus décrépit que la vieille noblesse. v.304 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Est-il un financier noble depuis un mois, v.305 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Quand le gibier s'envole, ou que leur fusil manque ? v.308 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Contre celui de « gros » il jette feux et flammes, v.311 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Tant pis : il se fera lapider par les Dames. v.312 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DE L'ORME)
- Est-il rien de mieux dit que de « grosses » vertus ? v.314 (Acte 1, scène 8, MADAME JOSSE)
- Il est certains endroits où ce mot charme, enchante. v.319 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR DU RUS)
- Celle que je vous dis travaille plus que toutes. v.327 (Acte 1, scène 8, MONSIEUR BRICE)
- Que de souffrir ici la fille d'un marchand. v.338 (Acte 1, scène 9, MADAME JOSSE)
- Bonjour Nannette ; à la fin te voilà ! v.342 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Comment ? Il semble ici qu'on me voie à regret. v.353 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Car je ne pense pas que votre orgueil vous porte v.355 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Il faut selon les rangs de la distinction ; v.357 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Je veux un fauteuil, moi, s'il faut que je le dise ; v.359 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Vous imaginez-vous qu'ici, non plus qu'ailleurs, v.365 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Vous ayez un fauteuil où seront ces messieurs, v.366 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Il faut de la raison et de l'ordre partout. v.369 (Acte 1, scène 10, NANNETTE)
- Vous vous êtes, ma fille, exposée à cela, v.373 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- En vous encanaillant de cette guenon-là. v.374 (Acte 1, scène 10, MADAME JOSSE)
- Cet orgueil avec moi ne lui sied-il pas bien ? v.377 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- S'il n'eût eu le bonheur d'avoir notre pratique ? v.380 (Acte 1, scène 10, MAROTE)
- Il faut, pour son honneur, qu'elle soit occupée. v.387 (Acte 1, scène 11, MADAME JOSSE)
- Quand ils ont à leur tête un « joli » général : v.397 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Il n'est pour les « grivois » point de plaisir égal : v.398 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DU RUS)
- Est-il dans l'Univers encore un Capitaine v.411 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Pour traiter de « jolis » Hector, Achille, Hercule ? v.416 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Il faut quand on en parle en parler à genoux ; v.418 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Et ceux qu'en pareil cas ces jolis termes tentent v.419 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- « Jolis » ne convient point à de vaillants guerriers : v.422 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- Il faut que l'épithète exprime ce qu'on nomme : v.423 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR BRICE)
- « Joli » ne lui plaît pas, parce qu'il ne l'est guère. v.428 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- Voilà ce qui l'oblige à s'expliquer ainsi. v.429 (Acte 1, scène 11, MONSIEUR DE L'ORME)
- Sa fille... v.435 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Mêlez-vous, s'il vous plaît, de ce qui vous regarde. v.439 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Il vous appartient bien de dire vos raisons, v.441 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Ciel ! Que les vieilles gens ont un esprit revêche ! v.451 (Acte 1, scène 12, BABET)
- Voyez : Ne faut-il pas qu'elle s'en mêle aussi ? v.453 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Les vieilles gens ! La masque, oser parler ainsi ! v.454 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Vieille ! v.456 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Madame Brice, il faut lui faire grâce. v.456 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR DE L'ORME)
- Suffit d'être enrôlé dans la Gentilhommaille v.463 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Pour être convaincu de n'avoir pas la maille : v.464 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- D'un noble parfumeur, d'un gentilhomme orfèvre, v.468 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Ma mère, il vaut mieux qu'on se taise... v.471 (Acte 1, scène 12, MONSIEUR BRICE)
- C'est à vous à vous taire, imbécile Orateur. v.473 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Ils sont sortis. . v.480 (Acte 1, scène 12, MADAME JOSSE)
- Tant mieux : Qu'ils s'en aillent au Diable. v.480 (Acte 1, scène 12, MADAME BRICE)
- Votre fille m'aimait ; je ne l'aimais pas moins : v.490 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- J'ai vieilli : c'est le Diable ; v.492 (Acte 1, scène 13, MONSIEUR JOSSE)
- Comme il est fort et raide, et qu'il sait battre et mordre, v.499 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Il leur donne à tretous bien du fil à retordre : v.500 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- Il en viendrait à bout s'il avait de l'appui. v.501 (Acte 1, scène 14, NICOLE)
- J'avons été cinq ans à de vrais gentilshommes: v.508 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- À telle enseigne, ardé, qu'ils n'avions pas un sou, v.509 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et qu'ils me tapotiont tout leur diantre de faou ; v.510 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Il ne s'est jamais vu de noblesse meilleure. v.511 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Hé, que se passe-t-il qui ne soit à ma gloire ? v.515 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Il s'agit maintenant d'en faire la lecture. v.524 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Prêtez l'oreille : et vous, Monsieur, lisez. v.526 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Monsieur, de pareils coups laissent des cicatrices... v.536 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Que signifierait-il que ce qu'on entend bien ? v.541 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Il est bien malaisé qu'il ait l'esprit serein v.545 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Quand il sait qu'à sa femme il faut un « Boute-en-train ». v.546 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Dont mes filles et moi nous fumes bien contentes ; v.548 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Voilà ce qui m'outre le plus. v.549 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Plus qu'il ne nous en faut pour notre suffisance. v.564 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Tu ne t'amuses pas à voler des vétilles. v.567 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- « Plus » pour des « papillons », des « guêpes », des « chenilles », v.568 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Te voilà si confus que tu ne dis plus rien ! v.570 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Vendre des « papillons » une somme si grosse ! v.572 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Ou qu'il soit dans trois jours bien et dûment pendu. v.574 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR GRIFFET)
- Voilà neuf cens écus marqués en deux articles. v.579 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Si je ne vous agrée, il faut dire va-t-en. v.582 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Il me brisi, mordié, quasiment une côte, v.587 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Parce que, disi-t-il par ma chienne de faute, v.588 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Notre âne avec sa bouche un soir avait failli v.589 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- À démettre la gueule à Monsieur le Bailli. v.590 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- A reçu trois cens francs. Toi pour des « papillons », v.597 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Et je ne sais combien de pareils guenillons, v.598 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Que tous les « papillons » qu'elle vous boute-là : v.605 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Des « gourgandines » ! Ciel ! Quelle Peste voilà ! v.622 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Il n'est pas sur la terre une plus méchante âme. v.623 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Le dangereux bétail qu'une pareille femme ! v.624 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Que mes filles, Monsieur, ont dur elles les pièces, v.631 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Je crois qu'il est bien loin. v.634 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Voilà la « culbute », et là le « Mousquetaire ». v.644 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Un beau noeud de brillants dont le sein est saisi, v.645 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Et les habiles gens en étymologie, v.647 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Ce qu'on nomme aujourd'hui « guêpes » et « papillons », v.653 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Qui remuant toujours, et jetant mille flammes, v.655 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Pour laisser de l'oreille entrevoir les attraits, v.662 (Acte 1, scène 15, BABET)
- Et comme il rend la taille et moins belle et moins fine, v.667 (Acte 1, scène 15, NANNETTE)
- Le moins qu'il puisse faire est amende honorable, v.676 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Je ne prétends pas, moi, qu'il soit quitte pour rien, v.681 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Et ce qu'il m'en a pris je veux qu'il me le rende. v.684 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Il ne sera point dit que je souffre cela. v.689 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- Voilà de vilains noms pour de si beaux atours. v.694 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Il a raison. v.695 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Donnez, puisqu'il vous plaît d'avoir ces ornements, v.697 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Sait plus d'obscénités qu'il n'est beau d'en savoir : v.702 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- On ne souffrirait point tous ces vilains mots-là, v.717 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Et l'on condamnerait à mille écus d'amende v.719 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Satisfaites Monsieur, et qu'il s'en aille. v.726 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Je crois, comme tu dis, que c'est tout ce qu'il vaut. v.738 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Pour des mots de travers faut-il bouder sans cesse ? v.740 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Et l'affront qu'il m'a fait se peut-il oublier ? v.742 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Tant de gens que je vois qui savent qu'ils le sont, v.746 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Mais c'est un don du ciel, qu'il ne m'accorde pas. v.750 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- S'il est vrai ce qu'on me fait connaître v.755 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Puisqu'il faut se soumettre à ce que veut la mode, v.759 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
- Il faut qu'à son époux, de peur d'avoir du bruit. v.765 (Acte 1, scène 15, MADAME BRICE)
- À tout ce qu'il lui plaît le mien me trouve prête. v.768 (Acte 1, scène 15, ADRIENNE)
- Que lorsqu'il faut m'aider à de certains ouvrages v.771 (Acte 1, scène 15, NICODEME)
- Surtout, qu'il ne vous sorte aucun mot de la bouche v.779 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Dont l'oreille s'indigne, et l'honneur s'effarouche. v.780 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR BRICE)
- Je voudrais bien savoir quels vilains mots je dis. v.786 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Hé bien, mon frère, il ne faut plus les dire ; v.788 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- S'ils rendent ma conduite ou douteuse, ou suspecte, v.791 (Acte 1, scène 15, MADAME JOSSE)
- Fort bien. Nous voilà tous les plus contents du monde. v.796 (Acte 1, scène 15, MONSIEUR JOSSE)
LA COMÉDIE SANS TITRE (1694)
- Cécile est arrivée ? v.1 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Quoique tu puisses faire il serait impossible, v.5 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Ils s'expliquaient pour vous intelligiblement. v.16 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Encor suis-je trompé, car il n'est pas de poids. v.24 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Il suffit qu'il soit de ce que j'aime, v.29 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Il m'est cher. Juste ciel ! Ma surprise est extrême ! v.30 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Cécile avoir sa vue en te jetant cela. v.32 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Avec autant d'esprit que j'en trouve à Cécile, v.33 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Un objet si charmant ne fait rien d'inutile ; v.34 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Je ne me trompe point, il est creux ; oui, sans doute : v.37 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et je crois qu'il enferme un Billet. Tiens, écoute. v.38 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- D'accord ; mais il est bien malin. v.40 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Justement. J'aperçois son billet ; le voilà. v.48 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Il en use sans doute en parent généreux. v.52 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- De son logis entier il me laisse le maître : v.54 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Et selon l'apparence il me sera facile, v.57 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- De plaire sous ce nom au père de Cécile. v.58 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Il ne trouve point de mérite égal au sien. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Si vous avez fait ce que je vous ai mandé par ma dernière Lettre, nos affaires font dans le meilleur état du monde. (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- À son propre intérêt il préfère le mien ; v.75 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Licidas est le seul, délicat comme il est, v.79 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Croit que hors du Mercure il n'est point de salut. v.84 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- A fait un petit vol de deux cens mille francs. v.96 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Aurait pour droit d'avis, mille louis pour boire. v.98 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Mille louis ? C'est un homme perdu. v.99 (Acte 1, scène 1, ORONTE)
- Plût à Dieu les avoir, et qu'il fût bien pendu ! v.100 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Il n'est point de repas qui pour elle ait des charmes. v.105 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Qui lui porte un bouillon trop doux ou trop salé, v.107 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- D'auprès de sa personne est sur d'être exilé ; v.108 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- De prendre un lavement lorsqu'il sent la fumée. v.110 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Mais, chut. Un Gentilhomme entre ici. v.111 (Acte 1, scène 1, MERLIN)
- Je suis ravi, Monsieur, qu'il ait l'heur de vous plaire. v.118 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- De noms si biscornus, s'il faut dire cela, v.139 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et rappeler de loin une famille illustre : v.146 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Aucun de vos aïeux ne s'est-il signalé ? v.151 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Et de tous mes aïeux, puisqu'il ne faut rien taire, v.153 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Qu'était-il ? Avait-il quelque grade ? v.155 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Dépend-il de nous d'être de qualité ? v.159 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Sans savoir ce qu'il fait le hasard nous fait naître, v.161 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Il se fit Médecin ; gagna beaucoup de bien ; v.164 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Me laissa par sa mort cinq mille écus de rente. v.166 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Faites-moi Gentilhomme, il n'est rien plus aisé. v.171 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Pour remplir vos désirs il faut faire un prodige ; v.177 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Greffez-moi sur quelque vieille tige. v.178 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Un homme comme vous doit-il être en défaut ? v.183 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Et comment, s'il vous plaît, vous nommez-vous ? v.184 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- Michaut ? Un Gentilhomme avoir nom de la sorte, v.186 (Acte 1, scène 2, ORONTE)
- De tant de grands Seigneurs dont le mérite brille, v.189 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Combien ont abjuré le nom de leur famille ? v.190 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Les pères et les fils ne se connaîtraient pas. v.192 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Ce nom de père en fils se perpétue à tort ; v.195 (Acte 1, scène 2, MONSIEUR MICHAUT)
- Quelque rude qu'il soit il est encor trop doux. v.212 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Regardez mon habit, il vous en dit assez. v.216 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Puisqu'il faut avec vous ne rien dissimuler, v.219 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- À force d'être large, il était incommode ; v.225 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Voilà la vérité comme elle est dans sa source, v.229 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Quand je fis cet article, il le faut avouer. v.235 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- On sait que mon habit est dame vieille housse. v.246 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Qui me nomme en raillant la housse cramoisie ; v.250 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et par tout mon quartier la canaille le plaint, v.251 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Il est vrai, le gros rouge est une couleur, sombre, v.253 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Et voilà la raison qui l'a tant mis en vogue. v.258 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- À mon sens il a beaucoup de grâce : v.261 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Il charme. v.263 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Il m'est venu sans affectation. v.263 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Votre esprit est fertile en belle invention. v.264 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- Monsieur, Madame a nom Madame Guillemot. v.268 (Acte 1, scène 3, JASMIN)
- Madame Guillemot, Auditrice des Comptes. v.274 (Acte 1, scène 3, ORONTE)
- J'avais quelques parents qu'il est allé descendre. v.286 (Acte 1, scène 3, MADAME GUILLEMOT)
- Je voudrais qu'en heurtant il se rompît les bras. v.303 (Acte 2, scène 1, MERLIN)
- Cécile est revenue en parfaite santé ? v.312 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- S'il peut l'avoir pour gendre, il sera trop content. v.319 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Le fils d'un Duc et Pair ne lui plairait pas tant. v.320 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Il ne voit qu'en lui seul un mérite qui brille ; v.321 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et tout autre lui semble indigne de sa fille. v.322 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Il va dans un moment vous l'amener ici. v.323 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Cécile de frayeur en a le coeur transi. v.324 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Avec civilité m'en a donné l'adresse : v.333 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Tout va comme Cécile à peu près l'a voulu. v.339 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- À point nommé, Monsieur, il falloir un faussaire, v.346 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- J'en vois par-ci, par-là ; mais ils ont tous l'air mince : v.357 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Rapporte tous les ans plus de dix mille livres. v.362 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Encore une parole et puis adieu. Cécile, v.365 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Comme je vous ai dit, n'a pas l'esprit tranquille : v.366 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et pour chagrin nouveau, ce matin d'un Billet v.367 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle a craint qu'en chemin il ne prêtât l'oreille, v.369 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- À qui le convierait d'aller boire bouteille : v.370 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Et qu'après le repas il ne fût assez sot, v.371 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Celui qu'il croit avoir, et dont l'appas le touche, v.373 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Elle enferme un Billet, à l'aide d'un ressort. v.375 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Mais je l'ai mal payé, quelque prix qu'il m'en coûte. v.378 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- De la paît de Cécile un Billet m'est si doux... v.379 (Acte 2, scène 2, ORONTE)
- Il suffit que le sien soit venu jusqu'à vous. v.380 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Je vais diligemment reporter l'allégresse ; v.382 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Gardez qu'il ne paraisse en la voyant paraître : v.386 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- A toujours l'oeil au guet, et n'a pas l'esprit dur. v.388 (Acte 2, scène 2, LISETTE)
- Tu m'as fait un affront dont il te souviendra. v.391 (Acte 2, scène 2, MERLIN)
- Qui n'est pas plutôt vieux qu'il redevient nouveau ? v.403 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Je n'ose avouer qu'il soit beau, v.404 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mais tel qu'il soit, Monsieur, oui c'est moi. v.405 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- À Tours, il faut savoir quelle estime on en fait. v.407 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Passons. Que vous plaît-il ? v.408 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Pour vivre en honnête homme il faut avoir du bien. v.416 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Dans des pelles meilleurs je prenais davantage ; v.426 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De deux cens mille francs j'ai fraudé la Gabelle : v.430 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Quel grand mal ? Trouvez-vous qu'il soit petit ? v.445 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et comptez-vous pour rien l'affront du Pilori ? v.448 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- L'affront du Pilori me paraît quelque chose ; v.449 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vivre du revenu des crimes qu'ils ont faits ? v.452 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'un homme ait de bien clair jusqu'à cent mille écus, v.455 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- On lui prête sans peine un million, et plus : v.456 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et pour cent mille écus un million lui reste. v.462 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et pour un million immoler son devoir, v.467 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- C'est vendre son honneur tout ce qu'il peut valoir. v.468 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'est-ce de bonne foi que deux cens mille francs ? v.472 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Gros Seigneurs comme ils sont, ont-ils lieu de se plaindre ? v.473 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- De vos meilleurs amis vous craignez la présence. v.481 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- De deux extrémités j'ai choisi le milieu : v.488 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Des deux cens mille francs je rendrai la moitié. v.492 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Ce sont cent mille francs que je perds ; mais qu'y faire ? v.493 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Me pourront confier quelque meilleur emploi. v.496 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Il faut insinuer dans le premier Mercure. v.498 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Vous offrez cent louis pour vous faire un asile, v.505 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Et qui vous fera prendre est sur d'en gagner mille ; v.506 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- On les donne ; on vous cherche, il n'est rien plus certain : v.507 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Mais il faut vous hâter. Si vous vous laissiez prendre, v.517 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Il ne serait plus temps de s'offrir à tout rendre : v.518 (Acte 2, scène 4, ORONTE)
- Comme il vient sans travail peut se perdre sans peine : v.522 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Qu'à mes yeux éblouis il n'étalait de charmes ; v.526 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Et suis de vos conseils très humble serviteur. v.532 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- S'il faut être pendu, ce n'est pas une affaire. v.533 (Acte 2, scène 4, LONGUEMAIN)
- Monsieur, voici Cécile, et tout ce qui s'ensuit, v.536 (Acte 2, scène 5, MERLIN)
- Père, fille, soubrette et laquais vont paraître. v.537 (Acte 2, scène 5, MERLIN)
- Ah, ma Fille ! v.553 (Acte 2, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Est-ce là Madame votre fille, v.553 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- En qui tant de beauté, tant de sagesse brille ? v.554 (Acte 2, scène 6, ORONTE)
- Que je répondrais mal à cet accueil si doux, v.563 (Acte 2, scène 6, CÉCILE)
- Qui de vous, s'il vous plaît, est l'Auteur du Mercure ? v.569 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mais d'une utilité si grande, si féconde, v.581 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ne perdons point de temps, Monsieur. Que faut-il faire ? v.585 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Il ne m'en a rien dit. v.588 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Qu'il doit être content d'avoir votre pratique ! v.589 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Du matin jusqu'au soir il ne voit qu'acheteurs. v.591 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous savez qu'il faut que chacun meure ; v.597 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- D'infaillible moyen pour jamais ne mourir. v.600 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mais, Monsieur, jusqu'ici les billets nécessaires, v.605 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Aux billets destinés pour les enterrements. v.612 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Ils feront plus d'honneur à la personne morte ; v.614 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- À l'égard des vivants, dont l'orgueil est si vaste, v.617 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'en escortant la mort ils demandent du faste, v.618 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Tout le long d'une rue ils seront trop heureux, v.619 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Mais, surtout, fort utile ? v.621 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Je vendrai ces billets trois louis d'or le mille ; v.622 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et si l'année est bonne et fertile en trépas, v.623 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Pour être dans le monde illustre à juste titre, v.629 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il faut dans le Mercure occuper un chapitre. v.630 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vouloir de mes billets montrer l'utilité, v.632 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il vaudrait mieux, Monsieur, dans le premier Mercure, v.633 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- De ne plus se servir de Billets si communs : v.636 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Leur bien représenter qu'il y va de leur gloire ; v.637 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Qu'ils auront du plaisir à se faire enterrer. v.640 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous voyez bien, Monsieur, que rien n'est plus facile. v.641 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Je vous l'ai déjà dit, cet avis est utile. v.642 (Acte 2, scène 7, ORONTE)
- Et je tiens ma boutique auprès de saint Hilaire. v.646 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il peut hâter l'effet de ma reconnaissance. v.654 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Vous voyez bien qu'il ne peut aller loin : v.655 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Il va de mes Billets avoir bientôt besoin : v.656 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- À tel prix qu'il voudrait il aurait les meilleurs ; v.659 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Et s'il perdait la vie, il gagnerait d'ailleurs. v.660 (Acte 2, scène 7, BONIFACE)
- Merlin, voilà ma bourse, et je connais ton zèle ; v.673 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- De ce qu'ils ont de bon fais emplir deux bassins. v.676 (Acte 2, scène 8, ORONTE)
- Puisqu'il me met en oeuvre à m'en faire payer. v.680 (Acte 2, scène 8, MERLIN)
- Il n'est rien de plus propre et de plus magnifique. v.682 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Que Tableaux mis au jour par des peintres illustres ; v.686 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Et ma fille, en un met, n'est plus si près de nous. v.696 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Peut-être que contraint par l'aspect de Cécile, v.697 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Un refus à ses yeux vous semblait difficile. v.698 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Il est dans un état à ne pouvoir plus croître. v.706 (Acte 3, scène 1, ORONTE)
- Vous pouvez librement entretenir Cécile, v.709 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Pendant une heure ou deux que je vais par la Ville. v.710 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Qu'en un Hôtel garni, rempli de mille gens. v.712 (Acte 3, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Monsieur de Boisluisant est-il dehors ? v.716 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Il est sorti, Madame. Avancez. v.717 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Mon aimable Cécile ! v.721 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Prévenu, comme il est, pour l'Auteur du Mercure, v.725 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Nous pardonnera-t-il cette douce imposture ? v.726 (Acte 3, scène 2, C?CILE)
- N'êtes-vous pas soumise à tout ce qu'il désire ? v.730 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- À Monsieur qu'il y trouve il prétend vous donner ; v.732 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Et vous taupez à tout en fille obéissante. v.734 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Vous soupçonnera-t-il d'être d'intelligence ? v.737 (Acte 3, scène 2, LISETTE)
- Oronte, là-dessus, ne dit point ce qu'il pense ? v.738 (Acte 3, scène 2, CÉCILE)
- Fallait-il renoncer à vos divins appas, v.747 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Parce qu'il me croyait ce que je ne suis pas ? v.748 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Et lorsqu'il fera temps que je le désabuse, v.749 (Acte 3, scène 2, ORONTE)
- Il est à Saint Germain, pour quelques jours peut-être. v.761 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Et de tout son logis il m'a laisse le maître. v.762 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Il en est de moins fous que je crois qu'on garrotte. v.770 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Dénué de cervelle, il fait l'esprit profond ; v.771 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Ne s'habille jamais comme les autres font ; v.772 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Et pour tout dire enfin, il semble qu'il se pique v.773 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Mais comme il est fort riche, et que j'ai peu de bien. v.775 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Et ce sur de son mieux qu'il nous y régala. v.780 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Mais quand il en revint je le trouvai rêveur. v.784 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Le soir, en confidence, il me dit que son âge v.785 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Qu'il avoir cinquante ans ; et qu'avec un vieillard, v.787 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Il revint brusquement me parler de rupture ; v.790 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Et pour le mépriser comme il me méprisait, v.791 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- J'acceptai sur le champ ce qu'il me proposait. v.792 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Voilà ce que je sais, sans en savoir la cause. v.793 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Perdre un pareil amant, c'est perdre peu de chose. v.794 (Acte 3, scène 3, CÉCILE)
- Un homme à cinquante ans n'est pas ce qu'il vous faut. v.796 (Acte 3, scène 3, LISETTE)
- Il m'a fait un présent qu'il faut que je lui rende. v.798 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Puisqu'il rompt sans sujet je n'en suis pas d'avis. v.799 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Et de combien est-il ? v.800 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- De deux mille louis. v.800 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Ils sont à vous. v.803 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Il va, je crois, monter ; je l'ai laisse là-bas. v.804 (Acte 3, scène 3, CLAIRE)
- Croyez-vous qu'il en aime quelqu'autre ? v.805 (Acte 3, scène 3, ORONTE)
- Bon ! la paille est rompue, et tout est à vau-l'eau. v.812 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais tout dût-il crever, que tout crève n'importe, v.821 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Il plaît à mon destin que je vous plante-là. v.836 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Mais je vais l'offenser, si je romps le silence. v.842 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Rendez-moi seulement mes deux mille louis, v.844 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Je saurai de Monsieur quel affront il redoute : v.850 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Il ne sortira point qu'il ne m'ait convaincu... v.851 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Puisqu'il faut m'expliquer, je crains d'être cocu. v.852 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Déchaîna contre moi tout ce qu'il crut capable, v.869 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Ce jour-là, que depuis j'ai maudit mille fois, v.871 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Plus ils prirent de peine à me les mieux montrer ; v.880 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Enragé contre lui, mon fusil sur l'épaule, v.889 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Pensez-vous que par elle il puisse être vaincu ? v.916 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- S'il faut être cocu, c'est par un autre choix v.923 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- La rupture qu'il cherche est une preuve insigne, v.929 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Que de remplir son sort il ne vous croit pas digne. v.930 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Les deux mille louis que je vous ai donnés. v.936 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Me les ayant donnés, ils ne sont plus à vous. v.939 (Acte 3, scène 4, CLAIRE)
- Quand je serai cocu, qu'il sera bien plus gras ! v.956 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Que malgré mon étoile et malgré vos leçons, v.959 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- N'est-il pas ici ? v.964 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Non ; il est à Saint Germain. v.964 (Acte 3, scène 4, ORONTE)
- Attendons qu'il revienne : v.965 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Il entendra plaider votre cause et la mienne. v.966 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Tant ils sont assurés de trouver au logis, v.971 (Acte 3, scène 4, MONSIEUR DE LA MOTTE)
- Consolez-vous, Cousine ; il en viendra quelqu'autre. v.977 (Acte 3, scène 5, ORONTE)
- Vous est-il arrivé quelque accident fâcheux ? v.987 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Il n'est point sous le ciel d'homme plus malheureux. v.988 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Et sans autre secours ils subsistent enfin. v.1000 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Que depuis quelque temps ils ne vont plus qu'en chaise : v.1002 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pendant le premier mois il ne me vint personne. v.1009 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- L'un est infructueux, et l'autre fort utile. v.1029 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Comme on a vers l'espoir une pente facile, v.1030 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Tant il est vrai qu'en France on fait peu de bons choix ! v.1040 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Il est vrai ; je vois bien que vous avez raison. v.1052 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Je vous conseillerais de tenter autre chose. v.1054 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Il est bon qu'avec elle on ne s'obstine pas. v.1056 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Quarante quelquefois sont d'un pareil métier ; v.1060 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Bienfaisant comme il est par inclination, v.1067 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Comme de mes pareils la nature est avare, v.1069 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Pour rare, il est certain : on ne peut l'être plus. v.1071 (Acte 3, scène 6, ORONTE)
- Que de voir mon visage il prenne envie au Roi. v.1076 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Du Mesnil, Professeur de la langue Normande. v.1078 (Acte 3, scène 6, DU MESNIL)
- Son teint, son air, sa taille, en un mot tout m'enchante ; v.1089 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- Jamais d'un pareil choix on ne peut vous blâmer. v.1091 (Acte 4, scène 1, CLAIRE)
- À ce que vous voulez il faut que je consente. v.1097 (Acte 4, scène 1, ORONTE)
- Il verra si pour lui mes feux étaient constants. v.1119 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- De tous les maux du monde il n'en est point d'égal. v.1128 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Il faut pour en parler en avoir fait l'épreuve, v.1129 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Je sais bien au surplus ce qu'il faut que je fasse : v.1133 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Fendant qu'il se mourait, fidèle à mon devoir, v.1135 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Il faut négligemment savoir pencher la tête ; v.1138 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Éviter les hauts cris que la canaille jette ; v.1141 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Regarder son malheur avec tranquillité. v.1143 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Voila comme l'on pleure en gens de qualité ; v.1144 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Le Comte de Calville. v.1149 (Acte 4, scène 2, MADAME DE CALVILLE)
- Mais pendant qu'en ce lieu je me trouve tranquille, v.1157 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Mon coeur impatient de rejoindre Cécile... v.1158 (Acte 4, scène 2, ORONTE)
- Vous louez avec grâce, il le faut avouer. v.1167 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- La louange affectée est une raillerie. v.1170 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Qui me fait tous les jours brouiller avec ma soeur, v.1172 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Et depuis qu'il paraît, ce qui m'en a déplu, v.1175 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- C'est qu'il est trop petit, et qu'on la trop tôt lu. v.1176 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Art qui pour notre sexe est plein d'utilité, v.1179 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- De ne parler jamais que lorsqu'il le faudra. v.1184 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- N'est-il pas juste aussi que des femmes se taisent ? v.1185 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Qu'un silence modeste est plus beau mille fois. v.1188 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- S'il n'était des rubans, des jupes, des dentelles, v.1189 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- N'était qu'il est honteux de vouloir se louer, v.1196 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Et trouver du plaisir à garder le silence.) v.1198 (Acte 4, scène 3, ?LISE)
- Ma soeur, me voilà prête à vous faire un aveu, v.1207 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Que vous avez sur vous un merveilleux empire ; v.1209 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Eh ! Quelle gloire encor ? Être fille et se taire ! v.1218 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Et par mon droit d'aînesse il me semble devoir... v.1235 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Vous croyez que partout votre mérite brille. v.1245 (Acte 4, scène 3, ORIANE)
- Ah ! Que par le babil vous êtes encor fille, v.1246 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Monsieur en est le juge, il n'a qu'à prononcer. v.1259 (Acte 4, scène 3, ÉLISE)
- Ma foi, voilà deux soeurs bien folles ! v.1291 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Quel rapide torrent d'inutiles paroles, v.1292 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Qu'être fille et se taire est chose incompatible ? v.1296 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- À force de babil elles m'ont enivré. v.1297 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Mais enfin par bonheur m'en voilà délivré. v.1298 (Acte 4, scène 4, ORONTE)
- Ma Cécile m'appelle auprès de ses appas. v.1301 (Acte 4, scène 5, ORONTE)
- Je me passerais bien d'une pareille aubade ; v.1303 (Acte 4, scène 5, MERLIN)
- Qu'il fait jeter en moule un Livre tous les mois. v.1310 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Dites-moi, s'il vous plaît, voulez-vous quelque chose ? v.1312 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Est-il là ? v.1313 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Me voilà, v.1314 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Il fait bien ; donnez-vous patience... v.1327 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Il est vrai, le pauvre homme ! il fait compassion. v.1329 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Il faut dire des maux, Vice-Amiraux. C'est l'ordre. v.1339 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Il faut dire fatals, et navals. C'est la règle. v.1343 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Ayant connu qu'en nombre ils étaient inégals, v.1345 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Il faut dire inégaux, principaux. C'est le terme. v.1347 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Il faut dire régals et Carnavals. v.1351 (Acte 4, scène 6, MERLIN)
- Lorsqu'on veut me railler je donne sur la face. v.1375 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Mordié ! je me bas l'oeil du Mercure et de toi. v.1378 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Plus de mille Soldats en auraient acheté, v.1381 (Acte 4, scène 6, LA RISSOLE)
- Je viens te relayer ; Cécile me l'ordonne. v.1387 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- N'as-tu rien à m'apprendre ? Est-il venu personne ? v.1388 (Acte 5, scène 1, ORONTE)
- Mon cher Monsieur. Hé bien ! vous sera-t-il facile v.1391 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- De faire des progrès sur le coeur de Cécile ? v.1392 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Si c'est moi qu'elle en croit, qu'on appelle ma fille. v.1395 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- J'ai l'esprit éclairci touchant votre famille : v.1396 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Si douze mille francs d'un revenu certain, v.1401 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Qui doivent de ma fille accompagner la main, v.1402 (Acte 5, scène 1, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Ma fille, vos désirs seront-ils satisfaits, v.1406 (Acte 5, scène 3, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Dites-moi, s'il vous plaît : que deviendra Lisette, v.1412 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Madame ? Il me souvient qu'autrefois vous disiez v.1413 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Tant qu'on demeure fille on n'est point en repos ; v.1421 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Un tronc semble maudit s'il n'en sort quelque branche. v.1423 (Acte 5, scène 3, LISETTE)
- Est-il là ? v.1438 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Non, Monsieur ; mais il n'importe pas : v.1438 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- S'il a ce grand débit dont chacun s'aperçoit, v.1441 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- À parler entre nous c'est à moi qu'il le doit. v.1442 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Je crois vos Airs fort beaux, mais il faut autre chose : v.1444 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- D'ailleurs ce que je dis ne s'est point encor dit : v.1450 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il serait mal aisé qu'elle n'eût l'âme émue. v.1456 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Je vous demande à tous une équitable oreille. v.1459 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Les paroles et l'Air n'ont coûté qu'une veille. v.1460 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Qu'il semble qu'on ait fait, sans préceptes frivoles, v.1475 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il est beau, je vous jure. v.1491 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Il faut le faire entrer dans le premier Mercure, v.1492 (Acte 5, scène 4, LE MARQUIS)
- Il est vrai. L'avez-vous tout noté, v.1493 (Acte 5, scène 4, ORONTE)
- Nous chanterions ici sur de meilleures notes v.1499 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Avec des Conseillers surnommés Gardenotes. v.1500 (Acte 5, scène 5, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- C'est ainsi qu'ils sont mis d'ordinaire, v.1503 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- Quand ils vont d'un défunt mendier l'Inventaire. v.1504 (Acte 5, scène 5, MERLIN)
- Nous vous croyons Notaire, il en faut un ici. v.1505 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- Qu'il ne prétend parler que de ceux de la Cour ; v.1518 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Pour piller le plaideur lui seul en vaut un cent. v.1525 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Qu'il n'entend point toucher à ceux du Parlement ; v.1538 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Entrons dans le détail de la friponnerie. v.1552 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- À la sourdine encor il occupe pour elle. v.1556 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- On grappille chez nous, et l'on pille chez toi. v.1578 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Est-ce de grappiller, ou de ton patrimoine ? v.1580 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Il n'entre aucune pierre en leur construction, v.1585 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR BRIGANDEAU)
- Encore dirent-ils que dans cette occurrence, v.1595 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Ils te passaient cent fois contre leur conscience. v.1596 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR SANGSUE)
- Eh, Messieurs ! Il sied mal, lorsque vous disputez, v.1601 (Acte 5, scène 6, ORONTE)
- On se plaint de leurs tours, mais ils m'ont réjoui. v.1614 (Acte 5, scène 6, MONSIEUR DE BOISLUISANT)
- Serviteur à l'illustre et belle Compagnie. v.1616 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Je vois au sombre accueil que je reçois de tous, v.1617 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Puis-je vous être utile, et vous rendre service, v.1619 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Qu'il n'a point eu d'égal, et n'en aura jamais. v.1626 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Est-il rien de plus juste et de mieux rencontre ? v.1665 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Jamais dans son sujet homme est-il mieux entré ? v.1666 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Il semble que ce Vent ait de la connaissance, v.1667 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Et qu'il n'ose avouer son nom ni sa naissance. v.1668 (Acte 5, scène 8, BEAUG?NIE)
- Il faut avoir bon nez pour deviner cela. v.1670 (Acte 5, scène 8, LISETTE)
- Il n'est rien plus galant que votre énigme. v.1671 (Acte 5, scène 8, ORONTE)
- Qu'est-il de plus coulant et de plus naturel ? v.1678 (Acte 5, scène 8, BEAUGÉNIE)
- Puisqu'il nous laisse en paix, nous ne pouvons mieux faire, v.1699 (Acte 5, scène 9, ORONTE)
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LE PORTRAIT DU PEINTRE (1663)
- Ma Cousine s'habille, et je viens vous apprendre v.1 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Il ne sort de sa bouche aucun mot affligeant. v.8 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Plût au Ciel qu'en revanche une fille si belle v.9 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Il n'est soins ni devoirs que ne dût éprouver... v.11 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Patience ; Il n'est rien qui ne puisse arriver, v.12 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Et s'il était d'humeur à languir sous ma loi v.15 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Qu'on oblige une fille en louant ce qu'elle aime, v.22 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Il ne veut rien devoir au secours d'un peut-être, v.30 (Acte 1, scène 1, DAMIS)
- Vous n'auriez qu'à nous faire un pareil déplaisir, v.44 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Si Damis l'appréhende il ne la connaît pas : v.48 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Mais alors qu'on la raille elle croit qu'on la loue, v.58 (Acte 1, scène 1, CLITIE)
- Oh quelqu'un, fait-il jour chez la belle Amarante ? v.70 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Parbleu de ton voyage il faut dire la cause ; v.73 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On habille Amarante, et je viens de savoir v.75 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Te voilà Dieu me damne, assez bien équipé, v.80 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Qu'il ne plût sur ton nez plus de mille nasardes. v.86 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Et s'il arrivait donc que par une surprise... v.90 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- J'ai parbleu dépensé dix mille écus en point. v.92 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Quand la mode commence elle est vieille pour moi. v.96 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il me serait beau voir les dentelles de Flandres ! v.97 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il est bon. v.111 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il vous dépeint, Morbleu, mais je dis traits pour traits ; v.119 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Il est vrai, quelques sots ne s'en doutent jamais ; v.120 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Plus ils sont ressemblants, moins ils les reconnaissent ; v.122 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- En est-il d'assez sots pour ne pas s'abstenir... v.127 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- S'il est des sots, ma foi tu m'en fais souvenir v.128 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mais il faut, notre Cher, me promettre ce point v.131 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Pour juger d'un ouvrage il faut lire... v.147 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- On appelle cela réciter comme il faut. v.152 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Verra-t-on en lisant, fût-on grand philosophe, v.153 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Par ma foi, cher Baron, il faut voir tout cela, v.156 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Viens-y tantôt, mon fils, tu verras si j'impose. v.157 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- On habille Amarante, et tu peux en deux mots... v.159 (Acte 1, scène 2, LE COMTE)
- Mille écrits de sa main ont flatté mon amour. v.164 (Acte 1, scène 2, DAMIS)
- Comment Diable, il vous aime, et vous n'en disiez rien, v.167 (Acte 1, scène 3, LE COMTE)
- Il n'appartient qu'à lui d'aimer à la sourdine ; v.170 (Acte 1, scène 3, CLITIE)
- Voilà qui c'est Madame, entrera-t-elle ? v.180 (Acte 1, scène 4, PETIT-JEAN)
- Puisque voilà Madame, il est temps de servir. v.183 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Quel est ce gentilhomme, il est fait à ravir ? v.184 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Et qu'il faut pour le dire avoir bien de l'esprit ! v.192 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Des beautés à la mode il faut être saisi ; v.196 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Pour être en galant homme il faut donc de ce point. v.203 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Il en faut pour paraître, et de plus notre singe v.205 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- S'il te voit sur mon âme il te mettra dedans. v.208 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Il n'est point de gros dos que sa langue ne pique : v.210 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- À jouer tout le monde il a tant de penchant... v.211 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Il m'a fait souvenir que je me porte mal. v.216 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Hier dans une visite il se trouva des Dames v.217 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Il m'a pris « Le »... ce « Le » fait qu'on ouvre les yeux. v.231 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Oui, ce « Le » Dieu me damne est un « Le » merveilleux : v.232 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Et ce « Le », pour Madame eût-il beaucoup d'appâts ? v.236 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Il est vrai que ce « Le » contente bien du monde ; v.246 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Il est vrai, ma Cousine, il me semble effroyable, v.250 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Que je meurs de regret qu'il nous ait ennuyé, v.252 (Acte 1, scène 4, CLITIE)
- Quoi me railler chez vous, Madame, ah je vois bien... v.259 (Acte 1, scène 4, ORIANE)
- Des Marquis ! Il aspire si haut... v.263 (Acte 1, scène 4, DAMIS)
- Je t'en vais montrer trois chapitres comme il faut ; v.264 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- À ma Muse peut-être il donne un coup de plume ; v.274 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- « Et femme qui compose en sait plus qu'il ne faut », v.276 (Acte 1, scène 4, LE COMTE)
- Ce n'est pas qu'il m'importe, v.277 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Il me doit du respect, il a dû le savoir. v.279 (Acte 1, scène 4, AMARANTE)
- Quel est-il, ce Monsieur ? v.281 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Et ne t'a-t-il pas dit comme c'est qu'on le nomme ? v.282 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Qu'il entre. v.284 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Il vous connaît ? v.284 (Acte 1, scène 5, AMARANTE)
- Comment te portes-tu, vieil ami ? touche-là. v.287 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu viens incognito voir l'objet que voilà ? v.288 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il est vrai. v.289 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Dieu me damne il est beau comme un ange. v.289 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Fait assez de plaisir quand il ne médit point. v.292 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il est vrai, je critique, et je m'en trouve bien, v.295 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et pour plaire à présent il ne faut en ce cas... v.299 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Avec le médisant le meilleur du Royaume : v.314 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il les pique ! v.317 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- À la fin craint-il point qu'on s'en choque ? v.317 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- J'en sais un enragé dont souvent il se moque ; v.318 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- À son meilleur ami je veux bien l'avouer. v.319 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Aussi doux que du lait il faut boire la chose ; v.326 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Contre qui que ce soit ils prendront sa défense. v.329 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et ces sortes de gens vous imposent silence ? v.330 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Sait-il ce que c'est que cela ? v.339 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Tais-toi donc, s'il te plaît. v.343 (Acte 1, scène 7, LE COMTE)
- Admirabilissime. v.348 (Acte 1, scène 7, ORIANE)
- Quand on loue une Pièce il faut dire pourquoi, v.352 (Acte 1, scène 7, DAMIS)
- Il s'en faut rapporter à Monsieur que voici, v.360 (Acte 1, scène 7, DORANTE)
- J'en croirai bonnement ce qu'il en voudra dire. v.369 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ils ont beau l'abhorrer je la trouve admirable. v.373 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il vous vient de payer de votre raillerie. v.378 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Mais Monsieur Lisidor doit prouver ce qu'il dit. v.380 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- S'il l'a fait trouver bonne il sera fort habile. v.381 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- En vérité, Madame, il n'est rien si facile. v.382 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quand pour ouvrir la porte il appelle Georgette ? v.386 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Il entend son métier. v.387 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- À merveille. v.388 (Acte 1, scène 6, CLITIE)
- Il faut... v.388 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Ensuite, Est-il rien qui ne plaise v.389 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Dans ce que dit Arnolphe à la fille niaise ? v.390 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Rien de plus innocent se peut-il faire voir ? v.391 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Il arrive des champs, et désire savoir v.392 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Comme il sait finement réveiller l'auditeur. v.396 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- De peur que le sommeil ne s'en rendît le maître v.397 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et ne dormait-on pas qu'il n'en eût fait venir ? v.400 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Le Grès, n'est-il pas étonnant ? v.403 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Aucun des auditeurs osait-il se promettre v.405 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Faut-il pas que l'auteur ait rêvé plus d'un jour ? v.408 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Quoi qu'Arnolphe l'éclaire avec un oeil perçant ; v.411 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Un pareil procédé n'est-il pas innocent ? v.412 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Mais Dorante il pouvait s'affranchir... v.415 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Est-il rien de si beau que l'endroit du Notaire ? v.418 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Avec tout l'Art possible est-il pas digéré ? v.420 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Car ce que dit Arnolphe il le dit en lui-même, v.422 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- L'un ne veut pas répondre à ce qu'il doit entendre ; v.426 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- L'autre répond sans peine à ce qu'il n'entend pas. v.428 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Il extasie. v.429 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Le Seigneur Lisidor comme il se mortifie. v.430 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Dieu me damne, Madame, il en sait plus que vous, v.432 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Des raisons qu'il vous dit nulle n'est contestable. v.433 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Enfin le dénouement n'est-il pas admirable ! v.434 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Le voyage d'Oronte est-il pas assuré ? v.435 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Et le retour d'Enrique est-il pas préparé ? v.436 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- On ne s'aperçoit point qu'il soit père d'Agnès ; v.440 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Mais il n'est point d'auteurs dont la plume m'apprenne v.441 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Que dans ce qu'on attend il n'est rien qui surprenne ; v.442 (Acte 1, scène 6, LISIDOR)
- Elle ! Il est insurmontable. v.446 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il oublie un endroit effroyablement bon v.447 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Où l'on parle d'Agnès qui joue au Corbillon ; v.448 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Il faut répondre, et je voudrais du moins v.455 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Quoi qu'il en pense il nous doit être égal, v.459 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il aime trop l'auteur pour en dire du mal. v.460 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Qu'est-ce qu'il représente ? v.465 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Vous blâmez justement ce qu'il faut qu'on admire, v.469 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il est vrai. v.475 (Acte 1, scène 6, ORIANE)
- Il est vrai que l'auteur n'entend pas le théâtre. v.490 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il me semble pourtant qu'on n'est pas malhabile ; v.493 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- L'Auteur prend l'agréable, et le joint à l'utile ; v.494 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- À ce que veut le peuple il se rend complaisant ; v.495 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Tu n'as rien dit qui vaille. v.497 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Pourquoi ? Retournons la médaille. v.498 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Oui, mais satiriser c'est railler ; mépriser ; v.508 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Il ne peut rien répondre à ce que nous disons ; v.516 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Car il faut de ceci faire une Comédie ; v.522 (Acte 1, scène 6, AMARANTE)
- Pour Damis, à merveille il ferait le bouffon, v.528 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Vous savez composer, travaillez-y. v.530 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Et qui donc, la fera comme il faut ? v.531 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Il est bien chez la Muse. v.533 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Il s'amuse à la Muse, et la Muse l'amuse. v.534 (Acte 1, scène 6, LE COMTE)
- Le Critique est à craindre, on a peur qu'il n'éclate, v.541 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- S'ils étaient avisés de vouloir le bourrer, v.543 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Où les pauvres acteurs pourraient-ils se fourrer ? v.544 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Ils ne le feront pas, je te le dis encor, v.547 (Acte 1, scène 6, DORANTE)
- Et je vous l'enverrai s'il vous est nécessaire. v.550 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Un petit dénouement est utile à cela, v.551 (Acte 1, scène 6, DAMIS)
- Le voilà, v.552 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
- Quand après du comique ils auront un repas. v.556 (Acte 1, scène 8, AMARANTE)
LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX (1665)
- Et tu dis qu'il viendra tout à l'heure ? v.3 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Il me suit. v.3 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- D'une fille en aimant le mal-heur est extrême v.5 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Et que lui direz-vous, car il vient sur mes pas ? v.15 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Affecter le silence est parler clairement. v.20 (Acte 1, scène 1, HIPOLITE)
- Il avance. v.23 (Acte 1, scène 1, JACINTE)
- Madame, il doit m'être bien doux v.23 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Et votre honneur, Monsieur, il est fort en danger, v.35 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Quand on n'en a plus guère il le faut ménager. v.36 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Qu'il est âpre ! v.39 (Acte 1, scène 3, RAGOTIN)
- Je me sens interdite, et le charme qui brille... v.41 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Quand on est inquiète, et qu'on est une fille... v.42 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Jacinte, il ne veut pas m'entendre. v.45 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Aussi ; car le moyen jusqu'ici qu'il ait pu ? v.47 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Dites-moi, s'il vous plaît, Monsieur, m'entendez-vous ? v.56 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Il n'est plus temps de vous rien déguiser. v.60 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Il m'échappe à regret, mais il est véritable, v.62 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Est-il vrai, m'aimez-vous ? v.63 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'en est-il ? v.76 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Pour nos moeurs il en est tout de même. v.77 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ce qu'il aime est aussi ce que j'aime. v.78 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que pour voir tous les deux il ne faut en voir qu'un. v.80 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Ne l'interromps plus qu'au plus vite il achève. v.81 (Acte 1, scène 3, HIPOLITE)
- Il se pâme de joie à présent qu'il sait tout, v.83 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Voyez vous du depuis comme il tient son bon bout, v.84 (Acte 1, scène 3, JACINTE)
- Depuis plus de six ans je voyage, il voyage, v.94 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Je le cherche, il me cherche, et ne nous trouvons point61 ; v.100 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Qu'il fallait que mon coeur qu'Hipolite asservit v.103 (Acte 1, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Le serment qu'il a fait de jamais... v.106 (Acte 1, scène 4, HIPOLITE)
- Il se raille, Madame. v.107 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Est-il vrai ? v.107 (Acte 1, scène 4, HIPOLITE)
- Mais il m'aime, tu vois. v.108 (Acte 1, scène 4, HIPOLITE)
- Je m'en suis aperçue, il biaise, il bricole, v.109 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Quand il parle de frère il vous fiche la colle ; v.110 (Acte 1, scène 4, JACINTE)
- Peut-être, il vous plaît, il vous touche, v.117 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Il déplaît, c'est tant pis, et s'il plaît, c'est tant mieux. v.119 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Il vous aime ? v.121 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Il l'adore, le traître. v.121 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Sera-t-il son époux ? v.123 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Elle est fille, elle même elle s'est éclaircie ; v.129 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Qu'il est drôle ! v.131 (Acte 1, scène 5, JACINTE)
- Elle est fille ! v.131 (Acte 1, scène 5, HIPOLITE)
- Il est vrai, je la suis v.131 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Je lui plus, il me plut, et dans un même jour v.135 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Il me voit, me demande, et m'obtient de mon père, v.137 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Me soutient qu'il m'adore, ardemment me conjure v.141 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- De ne pas endurer qu'il devienne parjure, v.142 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Pour rejoindre ce frère il exige huit jours ; v.144 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il me quitte, le traître, et j'en sens mille peines, v.145 (Acte 1, scène 5, ISM?NE)
- Il vous peut à son aise adresser tous ses voeux ; v.152 (Acte 1, scène 5, ISMÈNE)
- Il vous aime ? v.157 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Il me hait, l'infidèle. v.157 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Madame, il a pour vous une grande amitié ; v.159 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Haïssez désormais, aussi bien cette fille... v.165 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Elle est belle, bien faite, et paraît de famille, v.166 (Acte 1, scène 6, HIPOLITE)
- Madame, il revient dans ce lieu. v.171 (Acte 1, scène 6, JACINTE)
- Il vous est tout semblable. v.173 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Il est vrai que tous deux nous avons mêmes traits, v.176 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- J'ai la voix, le visage, et la taille de même, v.177 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Comme il fait l'innocent quatrième ! v.178 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Il vous voit ? v.181 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Avec cette finesse il prétend qu'on s'embourbe. v.185 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Il demande huit jours, et demeure deux mois. v.192 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il enrage tout vif de se voir découvert, v.196 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Il ne se doutait pas qu'on eut pu tout apprendre. v.197 (Acte 1, scène 7, JACINTE)
- Puis qu'il ne répond rien, d'accord des qualités. v.200 (Acte 1, scène 7, ROBIN)
- Il est vrai qu'à l'amour je n'ai pu satisfaire, v.201 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- J'ai des civilités et non pas de l'amour. v.208 (Acte 1, scène 7, LE SECOND NICANDRE)
- Vous verrez qu'à l'outrage une fille est sensible, v.213 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Qu'à ses voeux méprisés il n'est rien d'impossible ; v.214 (Acte 1, scène 7, HIPOLITE)
- Les gaillardes. v.221 (Acte 1, scène 8, ROBIN)
- À la première vue elle est bien familière. v.230 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- De la nuit noire en Diable il était plus d'une heure. v.233 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Les Pousse-culs sont de vilaines gens, v.235 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Je ne sais par ma foi ce qu'il faut que je pense ; v.246 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Il faut bien vous aimer pour attendre toujours, v.247 (Acte 1, scène 9, ROBIN)
- Dis qu'il n'est pas besoin qu'aujourd'hui l'on m'attende. v.265 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Attendant qu'il revienne allons voir Clidimace, v.274 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Comme dans cette ville il a bien du crédit v.275 (Acte 1, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Il ne vous souvient pas que je viens vous reprendre ? v.282 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Le secret de la Dame à la fin est-il su ? v.283 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Il le fait tout exprès ; v.287 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Il n'est donc pas vrai que vous êtes vous-même v.290 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- En gambades je pense il prétend me payer. v.292 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Vous devez, il est vrai, mais vous ne payez pas. v.300 (Acte 1, scène 10, RAGOTIN)
- Si tu railles encore, et que tu goguenardes, v.302 (Acte 1, scène 10, LE SECOND NICANDRE)
- Il ne faut que cela pour m'achever de peindre. v.310 (Acte 1, scène 11, RAGOTIN)
- Il est indubitable, v.329 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais quoi qu'il en soit vous rêviez à l'amour ? v.332 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Vois Ismène, vois traître, et que l'oeil te dessille. v.341 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Quoi dessous cet habit j'aperçois une fille ! v.342 (Acte 2, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais ton crime visible a-t-il rien de douteux v.348 (Acte 2, scène 2, ISMÈNE)
- Il dit mon nom ! Qui vous l'a fait savoir ? v.364 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- S'il ne faut d'Hipolite applaudir les attraits. v.384 (Acte 2, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Allez ailleurs chercher une menteuse, v.390 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mentir justement comme il faut. v.392 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Mais il peut la quitter, il ne faut qu'un instant... v.403 (Acte 2, scène 4, JACINTE)
- Comme il fait le gausseur, d'où je viens, me dit-il, v.423 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Il a crû tout d'abord que j'étais alguazil, v.424 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Il a pu se méprendre. v.433 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Tout comme il me suffit de celui de Nicandre. v.438 (Acte 2, scène 6, ROBIN)
- Il t'en faut une preuve impudent, la voilà. v.451 (Acte 2, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Il a parbleu raison, il le prouve par là. v.452 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Et souffrir sans souffler qu'il me donne un soufflet, v.455 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Quelle peste de preuve il me force de prendre ! v.457 (Acte 2, scène 7, ROBIN)
- Dans sa propre maison il me donne un logis, v.472 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- À tous mes intérêts tout entier il se voue, v.473 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Et je veux ce qu'il veut, pour lui plaire. v.474 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- C'est peut être une dent qu'il te faut arracher, v.476 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Je puis facilement te le faire connaître, v.486 (Acte 2, scène 8, LE SECOND NICANDRE)
- Il vous attend Madame, et c'est lui que voila, v.500 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- De vos mépris vous voila de retour, v.508 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Il se moque, Madame, il n'adore que vous v.512 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Il me l'a dit. v.513 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Rien ! Madame il offense bien Dieu v.516 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- À ton rapport sans doute il n'a pas consenti. v.523 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- Je n'ai pas grâce à Dieu, la mémoire débile, v.525 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Il fallait que pour lors son valet fut en ville v.526 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Lui seul en cette place il faisait l'idiot. v.527 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Il ressouvient toujours à Robin de ses flûtes. v.534 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Ils s'entendent, Madame, un indice trop grand... v.535 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Madame, laissez-moi lui bailler sur la crête. v.537 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Ne prends point de conseil que celui de ta tête ; v.538 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Enfin, il m'est honteux v.539 (Acte 2, scène 9, HIPOLITE)
- En vérité, Madame, il ne m'en souvient point. v.544 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Faut-il tant de façons ? J'en enrage d'envie, v.549 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- Oses-tu ?... Voyez-vous, il fait signe des yeux... v.555 (Acte 2, scène 9, JACINTE)
- La belle, il faut moins s'émouvoir v.559 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Et de peur qu'il n'arrive un semblable malheur v.564 (Acte 2, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Loin d'avoir des appas, et des charmes qui brillent, v.573 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Je souhaite à ton sein des tétons qui brandillent ; v.574 (Acte 2, scène 9, ROBIN)
- Il s'exhibe où le cri prend son être v.585 (Acte 2, scène 11, ISIDORE)
- Comme un éclair il vient de disparaître ; v.586 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Il faut qu'assurément il vous ait entendu. v.587 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Il est venu... Monsieur, demandez à Jacinte. v.594 (Acte 2, scène 11, HIPOLITE)
- Il est venu... Monsieur, demandez à Madame. v.598 (Acte 2, scène 11, JACINTE)
- Mais tout ingrat qu'il est, comme il a du courage v.609 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Il peut vous outrager, et je crains qu'on l'outrage ; v.610 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Car enfin, à la haine il a beau m'animer, v.611 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- En m'ôtant son amour, il retient ma tendresse ; v.613 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Ainsi pour s'en saisir il faut user d'adresse, v.614 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Soit qu'ils viennent de lui, soit qu'ils viennent de vous. v.616 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Vous craignez vainement qu'il se puisse défendre, v.617 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- L'ingrat m'est toujours cher, tout cruel qu'il puisse être ; v.621 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Et quoi qu'il soit éteint, son amour peut renaître : v.622 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Je lui mande qu'au Cours il en saura la cause ; v.626 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Que je suis gentilhomme aussi noble que lui ; v.627 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et qu'au lieu que je marque il peut même aujourd'hui... v.628 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Et sur votre parole il aura l'assurance... v.629 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Il a tant de courage et si peu de prudence, v.630 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Dans le Cours de la Reine il sera le premier. v.632 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Vous pourrez le saisir avec facilité. v.636 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Mais enfin d'une femme il verra l'écriture, v.638 (Acte 3, scène 1, LE COMMISAIRE)
- Mieux vêtu mille fois que mille autres valets v.644 (Acte 3, scène 1, ISMÈNE)
- Voila ce que de vous j'ai voulu me promettre, v.649 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Il revient, il me cherche, allez tout dépêcher, v.651 (Acte 3, scène 1, ISM?NE)
- Pour me cautionner s'ils me sont nécessaires ? v.657 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Il est grand, mais écoute, as-tu bien du courage ? v.662 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- C'est un point chatouilleux que l'honneur d'un laquais, v.668 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Querelle ! Est-il vrai ? v.673 (Acte 3, scène 2, RAGOTIN)
- Voila le cartel, prends le soin de le rendre, v.681 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Tu liras le dessus, il s'adresse à Nicandre. v.682 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- À Nicandre, il demeure ici près ; v.683 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- S'il demande le nom de celui qui t'envoie, v.685 (Acte 3, scène 2, ISMÈNE)
- Il pourra le savoir, puis qu'il faut qu'il me voie ; v.686 (Acte 3, scène 2, ISM?NE)
- Tu t'en vas étrenner mon épée. Il avance, v.693 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Mais il ne songe pas à ceci que je pense ; v.694 (Acte 3, scène 3, RAGOTIN)
- Il m'a trop retenu cet ami, j'en déteste. v.697 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Nicandre vous saurez que je suis Gentilhomme, v.714 (Acte 3, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais Jacinte, il me semble... v.737 (Acte 3, scène 6, LE PREMIER NICANDRE)
- Il me semble v.737 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Il me semble cela. v.743 (Acte 3, scène 6, JACINTE)
- Qu'as-tu fait de ma fille ? v.753 (Acte 3, scène 7, EUTROPE)
- Tenez ferme, tenez ; car il faut qu'on le gifle. v.754 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Son filou de caquet m'a su rendre éblouie. v.757 (Acte 3, scène 7, JACINTE)
- Vénérable vieillard, tenez ferme toujours, v.760 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- D'une fille de bien, de famille assez grande v.761 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Ayant pris tout l'honneur, il faut qu'il me le rende v.762 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Ou qu'il crève. v.763 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- De rage, il m'en voit tout en feu v.763 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- Il est vrai, mais confus... v.767 (Acte 3, scène 8, LE PREMIER NICANDRE)
- D'une Philomella contamines la gloire ; v.770 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Tandis qu'il est ici permettez qu'on le coffre, v.778 (Acte 3, scène 8, JACINTE)
- Une fille effleurée est un grand vitupère. v.785 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Si vous êtes fertile en tendresses pour moi, v.795 (Acte 3, scène 8, ISIDORE)
- Une fille abusée... v.799 (Acte 3, scène 8, EUTROPE)
- J'ai les muscles froissés, et le corps mutilé. v.807 (Acte 3, scène 9, ISIDORE)
- Ce coquin... Dieux Eutrope ! Il paraît désolé : v.808 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Quoi le père d'Ismene est dedans cette ville ! v.809 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- À la première porte attrapons un asile, v.810 (Acte 3, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Pour rire. C'est Eutrope, il faudra qu'on achève... v.813 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ho, Nicandre ! Il fait gille, et je suis retenu ; v.815 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Dites-moi, s'il vous plaît ce qu'il est devenu v.816 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Il nous a fait tomber pour faire fuir son maître : v.818 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Dans la prison prochaine il le faut colloquer, v.820 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- Moi, Messieurs, en prison ? Vous raillez que je pense. v.822 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Le malheur d'une fille émeut l'âme d'un père ; v.826 (Acte 3, scène 10, EUTROPE)
- Ma foi grosse ou menue il n'y va rien du mien. v.828 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- De ce qu'à cette fille on peut dire les causes, v.829 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- De quoi que mon étoile aujourd'hui me menace v.833 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Themis veut qu'on le tolle, et s'il ratiocine... v.837 (Acte 3, scène 10, ISIDORE)
- En son chien de patois qu'est-ce qu'il baragouine ? v.838 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Ma mort est résolue, il le dit en Hébreu. v.839 (Acte 3, scène 10, ROBIN)
- Et Nicandre... Le traître où s'est-il retiré ? v.851 (Acte 3, scène 11, JACINTE)
- Imperceptiblement il s'est évaporé ; v.852 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Mais voila qui le pleige, il faut qu'on l'appréhende ; v.853 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Qu'il serve d'holocauste à mon sang putrefait. v.856 (Acte 3, scène 11, ISIDORE)
- Votre fille à ce compte a perdu son honneur ? v.859 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Car si tu ne l'as plus il faut bien que je l'aie ; v.862 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Signe au bas de la feuille, et te mets à la marge. v.866 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Ce qu'il fait tu le fais, et pour cette raison v.871 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Si de mon ministère il vous plaît quelque chose, v.874 (Acte 3, scène 11, LE SERGENT)
- C'est ce pendard qu'il faut prendre. v.875 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Il me va mener pendre, il n'est rien si constant ; v.879 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Vous petits membrillons dont je crains la présence, v.881 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Que de pierre de taille on me fasse un pourpoint. v.884 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Et l'honneur d'une fille a rendu désolé... v.887 (Acte 3, scène 11, EUTROPE)
- Eh Monsieur qu'on me fouille on verra si je l'ai. v.888 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- L'honneur est nécessaire en de bonnes familles, v.889 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Et j'en voudrais avoir pour donner à vos filles. v.890 (Acte 3, scène 11, ROBIN)
- Il raisonne, on dirait qu'il méprise... v.909 (Acte 3, scène 12, LE SERGENT)
- Je sais qu'il est honteux que mon sexe soupire, v.917 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Et le feu qu'en son âme une fille ressent v.919 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Il est doux d'être aimé, c'est avoir de la gloire ; v.929 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais s'il est doux de l'être, il est doux de le croire ; v.930 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Mais il m'en ressouvient, et d'un coeur amoureux v.947 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- S'il est vrai, tu le peux faire voir, v.952 (Acte 4, scène 1, HIPOLITE)
- Vous m'aimez, je vous aime, il me suffit, Madame, v.957 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Donc à ma flamme il n'est rien de contraire... v.961 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Il est vrai qu'assez faible est le bras qui seconde... v.969 (Acte 4, scène 1, LE PREMIER NICANDRE)
- Ces maudits houspilleurs comme ils m'ont fait driller. v.971 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Autre chasse-coquin qui m'entend babiller ; v.972 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il me lorgne. Ah c'est vous, ô Messire Nicandre, v.973 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il m'importe. v.980 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il t'importe ! As-tu quelque sujet v.980 (Acte 4, scène 2, LE PREMIER NICANDRE)
- Faudra-t-il point que je vous rende grâce v.981 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Nenni, c'est pour le mien ; je suborne des filles ; v.985 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Et je suis en amour grand abatteur de quilles. v.986 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Ne vous souvient-il pas des deux chiens de grisons v.988 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Qu'à la fin, grâce aux Dieux ils m'ont mis dans le gîte. v.998 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Avaient mis à la porte un niais à merveille ; v.1005 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Moi trouvant sur un banc cette chère bouteille v.1006 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Puis plus vite qu'un Basque enfilant la venelle v.1013 (Acte 4, scène 2, ROBIN)
- Il n'a pas dit le mot concernant sa valise, v.1026 (Acte 4, scène 3, ROBIN)
- (Ou du moins s'il n'est vrai, fille soi-disant telle ; v.1030 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Le perfide, il est hors de prison ! v.1032 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Ta carogne de main m'a baillé sur la gueule, v.1034 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Et si plus en raillant tu me nommes pucelle v.1045 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Que du Cours de la Reine il est tôt revenu ! v.1056 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- J'ai pris soin, il est vrai, d'éviter sa présence ; v.1066 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- Mais il n'était pas seul, et je n'ai pas osé... v.1067 (Acte 4, scène 4, LE SECOND NICANDRE)
- En aurez-vous assez pour deux filles friandes ? v.1074 (Acte 4, scène 4, ROBIN)
- Mais pour votre malheur la voila qui parait. v.1084 (Acte 4, scène 4, JACINTE)
- Venez vite, Madame, autrement il m'échappe, v.1085 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Il faut faire si bien que Mendoce l'attrape ; v.1086 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Je le viens de quitter qu'il attend le retour... v.1087 (Acte 4, scène 6, JACINTE)
- Ce qu'il avait dans l'âme il l'a su mettre au jour. v.1088 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- C'est cela qu'il faut faire, et j'attends de Nicandre... v.1105 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Et que fait-on ? Pour faire une fille bien aise, v.1110 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Pauvre fille ! v.1117 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Car il ne tient qu'à vous de comprendre. v.1123 (Acte 4, scène 6, ROBIN)
- Il est vrai que j'en sors, mais au moins... v.1132 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- De ce qu'un infidèle en a fait son asile. v.1133 (Acte 4, scène 6, HIPOLITE)
- Il m'a donné, Madame, une retraite utile ; v.1134 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Quoi qu'il en soit j'en prends peu de souci, v.1147 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Et pour peu que je reste il faudra vous aimer, v.1152 (Acte 4, scène 6, LE SECOND NICANDRE)
- Il s'en va du côté que Mendoce l'attend. v.1159 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Vole s'il est possible, et fais qu'on le saisisse. v.1161 (Acte 4, scène 7, HIPOLITE)
- Il vous aime Nicandre, et me fait un affront v.1163 (Acte 4, scène 8, ISMÈNE)
- S'il m'aime, il fait ce que bien d'autres font. v.1164 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Donc assez faiblement il était attaché. v.1168 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- S'ils vous ont fait trembler ils ont assez de forces. v.1170 (Acte 4, scène 8, HIPOLITE)
- Il est enseveli dans le grand Châtelet. v.1183 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Je l'ai vu dans la Morgue, où je crois qu'il enrage. v.1185 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Il ne présumait pas qu'on lui fit cet affront. v.1187 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Il ne se doutait pas d'un orage si prompt. v.1188 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Il vous nomme perfide. v.1189 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Il vous nomme cruelle. v.1189 (Acte 4, scène 9, JACINTE)
- Que dit-il ? v.1190 (Acte 4, scène 9, ISMÈNE)
- Aiguillon de vipère. v.1201 (Acte 4, scène 9, RAGOTIN)
- Pour te punir toi-même il te faut prévenir. v.1212 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Ce vieillard est mon père, et c'est tout mon bon heur, v.1215 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Vous êtes donc une fille, Monsieur ? v.1216 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Quoi ! Ma fille... v.1217 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Il était si peureux que j'étais son appui ; v.1219 (Acte 4, scène 10, RAGOTIN)
- Il est pris. v.1225 (Acte 4, scène 10, ISMENE)
- Il est vrai que je l'aime, et c'est à faire à moi ; v.1228 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Mais il faut que mon père en secret m'interroge, v.1229 (Acte 4, scène 10, ISM?NE)
- Je veux que de ma fille il devienne l'époux : v.1236 (Acte 4, scène 10, EUTROPE)
- Vous le verrez aussi sans qu'il puisse être à vous. v.1244 (Acte 4, scène 10, ISMÈNE)
- Adieu donc fille garçonnisée. v.1246 (Acte 4, scène 10, JACINTE)
- D'une vieille muraille on ramasse la bave, v.1258 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Et tous mes compagnons, les filous de céans, v.1263 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- (Qu'au filoutage prés je trouve braves gens ; v.1264 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Car ils sont si bénins que de peur de rancune v.1265 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ils ont pris mon bagage au défaut de pécune.) v.1266 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- S'ils m'avaient pu manger ils l'auraient fait aussi : v.1268 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ils ont tout avalé sans rien mettre à l'écart ? v.1271 (Acte 5, scène 1, LE SECOND NICANDRE)
- Mais ce qui me contente ils ont l'âme assez franche, v.1273 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Outre qu'ils m'ont promis que j'aurais ma revanche, v.1274 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Ils souffrent bonnement que je rie avec eux, v.1275 (Acte 5, scène 1, ROBIN)
- Il a le Diable au corps de vouloir s'en aller. v.1288 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Il mourrait de regret si je faisais fortune, v.1290 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Qu'à cause qu'à présent il me voit dans le gain. v.1292 (Acte 5, scène 2, ROBIN)
- Receveur (Il est vrai qu'à ne vous celer rien v.1299 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Mais faut-il de regret que je m'en aille pendre ?) v.1301 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Il me semble que si. v.1304 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Mon maître ? Il est fort délicat. v.1308 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- J'ai peur dans la prison qu'il n'amasse du rhume. v.1309 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Mais voila deux Louis, reçois-les de ma main, v.1311 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- N'a-t-il point de regret de ce qu'il m'a perdue ? v.1313 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Ne veut-il pas me rendre une foi qui m'est due ? v.1314 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- D'un amour réciproque il dédaigne le prix ; v.1320 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Croyant à son départ qu'il m'adorait dans l'âme v.1321 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Que veux-tu ? Je l'aimais ; il me semblait sincère, v.1325 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- Plaît-il ? Quoi ? Qu'est-ce ? et que me dites-vous ? v.1328 (Acte 5, scène 3, ROBIN)
- Qui que ce soit n'importe, il suffit qu'on m'appelle. v.1334 (Acte 5, scène 3, LE PREMIER NICANDRE)
- Que dis-tu, de la peine qu'il a ? v.1335 (Acte 5, scène 3, ISMÈNE)
- N'as-tu pas aperçu... Mais l'ingrat le voilà. v.1336 (Acte 5, scène 3, ISM?NE)
- Et par quel privilège ai-je dû vous aimer ? v.1340 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Et ne fallait-il pas pour le bien de mes jours v.1343 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Mais écoute, il est temps que tu m'ouvres ton âme, v.1345 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Il fait un désaveu qu'un valet désavoue. v.1358 (Acte 5, scène 4, ISMÈNE)
- Poursuis, Robin, poursuis, et d'un maître pareil... v.1359 (Acte 5, scène 4, ISM?NE)
- Il a suivi, Madame un si rare conseil. v.1360 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- C'est donc quand il vous plaît que vous êtes mon maître ? v.1365 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Il appelle cela des chansons v.1375 (Acte 5, scène 4, ROBIN)
- Il me dira son maître, et je n'en croirai rien ; v.1384 (Acte 5, scène 4, LE PREMIER NICANDRE)
- Vous voila justement, comme il plaît au bon Dieu. v.1396 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Qu'au milieu de la grève on vous décapitât. v.1400 (Acte 5, scène 5, ROBIN)
- Il n'est pas temps encore v.1417 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Et qui pour t'avoir vue un peu plus qu'il ne faut, v.1419 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- N'est vêtu que de toile, et s'il brûle de chaud. v.1420 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Toi faire ? Hé bien fille mauvaise, v.1425 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Il ne tiendra qu'à toi de me faire bien aise ; v.1426 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- C'est pour amour. Ton maître en a-t-il l'âme atteinte. v.1433 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Tu te railles, peut-être, et te moques de nous, v.1435 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Il avait le dessein de lui rompre le cou. v.1439 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Aime-t-il Hipolite ? v.1440 (Acte 5, scène 7, JACINTE)
- Il en est parbleu fou. v.1440 (Acte 5, scène 7, ROBIN)
- Et Robin que voila qui soupire pour moi v.1451 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- C'est vous seule qu'il aime, et qu'il trouve d'aimable. v.1453 (Acte 5, scène 8, JACINTE)
- En est-il bien certain ? v.1454 (Acte 5, scène 8, HIPOLITE)
- En ma propre présence il la vient de sevrer. v.1456 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Jacinte, il va mourir de joie ; v.1458 (Acte 5, scène 8, ROBIN)
- Que disais-je ? De joie il est si prévenu v.1464 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Qu'il a changé de note au moment qu'il a vue. v.1465 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il le dit d'un assez vilain ton. v.1468 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Je veux dans une fille une vertu plus grande ; v.1470 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Votre extrême faiblesse avilit vos appas. v.1472 (Acte 5, scène 9, LE SECOND NICANDRE)
- Il est fou, ne le vois-tu pas bien, v.1480 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il fait bon se fier à de semblables drilles ? v.1481 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Est-ce comme cela que l'on traite des filles ? v.1482 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Il est fou, je te l'ai déjà dit. v.1483 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Un habile fauteur pour le craindre si fort v.1496 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- Qu'il est traître ! Et qu'il a de malice ! v.1501 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- S'ils se fussent connus celui-ci l'eut forcé v.1503 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il a fait tout son cours à l'école traîtresse, v.1505 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- D'autres nomment trahir ce qu'il appelle adresse ; v.1506 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Et si de ce qu'il sait je savais les trois quarts v.1507 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il est savant. v.1509 (Acte 5, scène 9, ROBIN)
- Il prévient mon voyage, et le voila qu'il entre. v.1517 (Acte 5, scène 9, JACINTE)
- À toute ma tendresse il est indifférent, v.1520 (Acte 5, scène 10, HIPOLITE)
- Infidèle, il est temps de parler. v.1523 (Acte 5, scène 11, ISMÈNE)
- Volage, il n'est plus temps de rien dissimuler. v.1524 (Acte 5, scène 11, HIPOLITE)
- S'il s'en peut démêler il n'est pas malhabile. v.1525 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Tu cherches, traître, une ruse inutile ; v.1526 (Acte 5, scène 11, ISMÈNE)
- C'est un fin merle, il sait bien d'autres tours. v.1531 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Parlez ; souffrirez-vous qu'il lui parle toujours ? v.1532 (Acte 5, scène 11, HIPOLITE)
- Tu vois bien que ma fille est passablement pulcre ; v.1534 (Acte 5, scène 11, ISIDORE)
- Mais ma fille a sa foi. v.1535 (Acte 5, scène 11, EUTROPE)
- Comme il répond. Nicandre ! Est-ce pas assez fort ? v.1548 (Acte 5, scène 11, ROBIN)
- Dites-moi s'il vous plaît qui des deux est mon maître. v.1554 (Acte 5, scène 12, ROBIN)
- Puis qu'il est si sincère, il a droit de prétendre v.1573 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Et le nom de mon fils, et le nom de mon gendre ; v.1574 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Et si touchant sa fille Isidore m'en croit v.1575 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Envers l'autre Nicandre il fera ce qu'il doit. v.1576 (Acte 5, scène 12, EUTROPE)
- Que Nicandre la Sponde, et foi de Philosophe, v.1577 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
- C'est le coeur qui le dit, et s'il est trop obscur v.1579 (Acte 5, scène 12, ISIDORE)
LE JALOUX ENDORMI (1662)
- Mentais-je ? Et le repos vous est-il assuré, v.5 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Puisqu'il m'a fait tomber dans les mains d'un jaloux, v.14 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Que sans en murmurer il faut suivre ma loi, v.25 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- C'est qu'il croit votre honneur n'être pas assez ferme, v.28 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- D'un prétexte inutile on se fait des leçons : v.34 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Et ne prétendons pas devenir ce qu'ils sont. v.42 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Faut-il point pour vous plaire à l'exemple d'un autre, v.43 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Faut-il point, dis-je encore, que moi-même je brigue ? v.47 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Quand on vient pour vous voir, faut-il point que je sorte ? v.51 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Voilà ce qu'aujourd'hui tous ces autres observent, v.55 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Ils se font des Amis dont leurs femmes se servent, v.56 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Ah ! qu'il vaudrait bien mieux que du nombre assez ample, v.59 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et de tous les malheurs en est-il un plus rude v.67 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il me le semble, ô Madame la prude ! v.68 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et loin qu'à l'outrager il puisse être contraint, v.73 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il s'en veut faire aimer, et n'en pas être craint. v.74 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il vous plaisait beaucoup ce Cléandre ? v.79 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il avait votre estime ? v.80 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Encore même, il l'a toute. v.80 (Acte 1, scène 1, OLIMPIE)
- Il vous faut un Mari de nouvelle fabrique, v.88 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il vous faut un Mari qui crut faire un grand crime, v.91 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- S'il ne donnait de quoi pour jouer à la Prime, v.92 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et qui ne laisse pas de paraître gaillard, v.93 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Si l'on quitte la Prime, et qu'on joue au Billard. v.94 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Il vous faut un Mari qui confonde sa rente, v.95 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Et maisons de la ville, et revenus des champs. v.98 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Rentrez ; car aussi bien je vois un Gentillâtre, v.107 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- De vos yeux bien fendus il serait idolâtre, v.108 (Acte 1, scène 1, SPADARILLE)
- Mais il vous souvient que je fus amoureux ? v.113 (Acte 1, scène 2, CLÉANDRE)
- Près de mon Serrurier il est temps de me rendre ; v.123 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- Pour pouvoir me parler il ne faut que m'attendre, v.124 (Acte 1, scène 2, SPADARILLE)
- De ce qu'il fait j'aurai tort de me plaindre, v.127 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Avec moins de faiblesse il serait plus à craindre, v.128 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Si de quelque lumière il était éclairé, v.129 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Je veux à SPADARILLE arracher Olimpie, v.131 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Mais comme Spadarille est sujet à l'ombrage v.135 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Quoique des cadenas il observe l'usage, v.136 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Si pour votre malheur il advient que ce fou, v.137 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- De ce trou favorable il occupe l'entrée, v.140 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- De coups drus comme grêle il nous brise les os ? v.142 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Plaît-il ? v.143 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Non, Spadarille a la tête trop sèche, v.143 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Je n'appréhende pas qu'il découvre ma brèche, v.144 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- D'ailleurs notre vaisseau sur la fin de ce jour, v.149 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Doit partir pour Marseille et quitter ce séjour, v.150 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Je sais que Spadarille est puant comme un Diable, v.156 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Et que de son haleine il infecte tous ceux v.157 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- Mais il est Gouverneur, et c'est dont je frissonne, v.159 (Acte 1, scène 3, CASCARET)
- À sa suite il n'a nulle personne, v.160 (Acte 1, scène 3, CLÉANDRE)
- Dans la crainte qu'il a que l'on eut supposé, v.165 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Sous l'habit d'une fille un garçon déguisé. v.166 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Si bien. mais il écoute, évitons ses reproches. v.167 (Acte 1, scène 3, CL?ANDRE)
- Qu'ils s'y viennent frotter, ces mignons, ces poudrés. v.169 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Bon, il semble à ce fat, v.177 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Quoi mais ? A-t-il peur de mes yeux ? v.185 (Acte 1, scène 4, SPADARILLE)
- Je ne sais s'il se peut qu'Olimpie. v.191 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Avant qu'il ait ouvert cinq ou six cadenas, v.205 (Acte 1, scène 4, CASCARET)
- Puisqu'il vous plaît, Monsieur, d'admirer ma Maîtresse, v.207 (Acte 1, scène 4, CLÉANDRE)
- Quoi, se peut-il, Monsieur, que mon malheur vous touche ? v.219 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Je viens de voir Cléandre, il vous baise les mains. v.222 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- La belle, et dans mon âge, il vous sied assez mal v.241 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Finissez ces discours, ils sont extravagants. v.249 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Ils sont bas. v.256 (Acte 1, scène 6, OLIMPIE)
- Puis après de rentrer il faut prendre la peine, v.260 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Aussi bien un vieillard adresse ici ses pas. v.261 (Acte 1, scène 6, SPADARILLE)
- Et souffrez, s'il vous plaît, qu'à mon tour je prétende. v.271 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- L'heur dont votre alliance a comblé ma famille, v.275 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Fait que je viens ici m'informer de ma fille, v.276 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- C'est l'amour chaud sans doute, et plus chaud qu'il ne faut : v.286 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Lors que vous la voyez, quel est son accueil ? v.289 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Si par droit réciproque il faisait le mari. v.294 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Cléandre, oserait-il suborner. v.295 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Il aime, à ce qu'il dit, seulement la copie ; v.296 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Il doit en ce lieu même amener sa Maîtresse, v.308 (Acte 1, scène 7, SPADARILLE)
- Il amène Olimpie. v.310 (Acte 1, scène 7, ALCIDOR)
- Il s'échauffe la bile. v.315 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- Vous me parliez tantôt de m'envoyer en Ville v.316 (Acte 1, scène 8, CASCARET)
- Sa cheminée est close, et de grilles de fer, v.322 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- S'il est vrai, ce ne peut donc pas l'être. v.324 (Acte 1, scène 8, ALCIDOR)
- Il faut. v.331 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Il ne faut autre chose. v.331 (Acte 1, scène 8, SPADARILLE)
- S'il m'offrait un moyen de vous rendre service ; v.336 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Je lui dis qu'il m'attende. v.348 (Acte 1, scène 8, OLIMPIE)
- Et s'il faut que mon âme à vos yeux se découvre, v.359 (Acte 1, scène 9, CLÉANDRE)
- Pour paraître Olimpie il ne faut que le nom. v.362 (Acte 1, scène 9, CL?ANDRE)
- Réveiller les ressorts de mes six cadenas. v.366 (Acte 1, scène 9, SPADARILLE)
- Ma fille en peu de temps en vos bras se va rendre : v.368 (Acte 1, scène 10, ALCIDOR)
- Du sommeil, les pavots gracieux v.381 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Assoupissent mon âme, et me sillent les yeux ; v.382 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Vraiment ! ça la dormeuse au sommeil un peu dur, v.385 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Ma fille ! v.388 (Acte 1, scène 11, ALCIDOR)
- Il veut sans doute égayer nos esprits, v.394 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Est-ce là tout l'accueil que j'ai droit de prétendre ? v.396 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Quand les gens sont si sots, ils le sont pour longtemps, v.398 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Veuillez donc m'excuser si pour m'être mépris. v.405 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Mais si mon coeur soupire, apprenez qu'il m'est doux v.409 (Acte 1, scène 11, CLÉANDRE)
- Il est fou. v.416 (Acte 1, scène 11, ALCIDOR)
- Il suffit, v.422 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Il est penaud comme un fondeur de cloches. v.432 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- C'est qu'il aime. v.433 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Il importe fort peu ; v.433 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Qu'exiger de mon âme un respect qu'il n'a pas. v.442 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Ma fille, est-il juste. v.447 (Acte 1, scène 11, ALCIDOR)
- Dans ce lieu de me voir il a peu de plaisir : v.450 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Je vous le dis encore, Aspasie ou Cléandre, à Spadarille v.455 (Acte 1, scène 11, OLIMPIE)
- Pauvre Galant te voilà bien chanceux ! v.458 (Acte 1, scène 11, SPADARILLE)
- Vous voilà ce me semble assez bien attrapée. v.471 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Il pourra vous l'apprendre. v.476 (Acte 1, scène 13, SPADARILLE)
- Puisqu'il vous plaît, nous voilà donc partis, v.482 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- Le pauvre Diable ! Il n'a plus de femelle, v.488 (Acte 1, scène 13, CASCARET)
- Mais mon Père, il fait signe des yeux, v.490 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- S'il n'est hors de ses mains, mon souci n'est pas moindre. v.491 (Acte 1, scène 13, OLIMPIE)
- N'es soyez point en peine, il saura nous rejoindre, v.492 (Acte 1, scène 13, CLÉANDRE)
- J'ai hors du pied, Beau-père, une vilaine épine ; v.495 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il faisait tout exprès le petit complaisant ; v.497 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Dieu sait si votre fille est joyeuse à présent. v.498 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il n'est plus ici ce Cléandre, Ma Mie, v.503 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Je ne la vis jamais si souvent sommeiller ; v.505 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Mais entrons l'un et l'autre, et l'allons réveiller, v.506 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- S'il en fait rien qu'on me brise les os. v.514 (Acte 1, scène 14, SPADARILLE)
- Il est pris. v.525 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais sans tenir ici d'inutiles propos, v.529 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Mais de quelques désirs dont il soit combattu, v.533 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Il est trop généreux pour fouiller sa vertu. v.534 (Acte 1, scène 14, ALCIDOR)
- Il court comme un beau Diable, et je suis attrapé. v.546 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Se vit-il enfermé de semblable manière ? v.548 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Qui m'enlève sa fille, et me met en prison ? v.550 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
- Si la meilleure femme en malice est féconde, v.551 (Acte 1, scène 15, SPADARILLE)
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Dans les 1953 textes du corpus, il y a 12 textes (soit une présence dans 0,61 % des textes) dans lesquels il y a 3112 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 259,33 occurences par texte.
n° | Titres | Acte 1 | Acte 2 | Acte 3 | Acte 4 | Acte 5 | Prologue | Total |
1 | MARIE STUARD | 68 | 58 | 51 | 51 | 48 | 0 | 276 |
2 | ÉSOPE À LA COUR | 122 | 110 | 99 | 110 | 87 | 14 | 542 |
3 | LA SATIRE DES SATIRES | 253 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 253 |
4 | LE MÉDECIN VOLANT | 158 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 158 |
5 | LE MORT VIVANT | 79 | 80 | 68 | 0 | 0 | 0 | 227 |
6 | GERMANICUS | 72 | 86 | 66 | 77 | 92 | 0 | 393 |
7 | LA FÊTE DE LA SEINE | 25 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 25 |
8 | LES MOTS À LA MODE | 206 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 206 |
9 | LA COM?DIE SANS TITRE | 2 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 2 |
10 | LA COMÉDIE SANS TITRE | 67 | 103 | 89 | 55 | 55 | 0 | 369 |
11 | LE PORTRAIT DU PEINTRE | 154 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 154 |
12 | LES DEUX FRÈRES GÉMEAUX | 87 | 49 | 85 | 70 | 88 | 0 | 379 |
13 | LE JALOUX ENDORMI | 128 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 128 |
Total | 1421 | 486 | 458 | 363 | 370 | 14 | 3112 |