n |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | AMINTOR |
Pensez-vous qu'une fille qui ne doit savoir distinguer les sexes que par les habits, puisse juger si sous un manteau couvert d'or et de soie, un homme ne porte point cach?e l'image de la pauvret? ? |
Acte 1, sc. 2, AMINTOR, phrase 4 |
2 | DORICE |
Car enfin, sage vieillard, d'o? pensez-vous que soient produits tant de bossus, tant de contrefaits, et en un mot tant de Monstres ? |
Acte 1, sc. 2, DORICE, phrase 2 |
3 | PHILINDRE |
Outre cela, d'o? me direz-vous que soient produits tant de transports, tant de d?sirs d?r?gl?s, tant de mouvements incertains, tant de discours qui meurent presque aussit?t dans la bouche, qu'ils sont form?s dans le penser ; et enfin, cet effroyable Monstre de Jalousie, si ce n'est de l'amour ? |
Acte 2, sc. 1, PHILINDRE, phrase |
4 | CÉLINDE |
Reviens et m'attends, il n'est pas juste que ceux qui ne furent qu'une m?me chose en la vie soient s?par?s en la mort, donne-moi un peu d'audience, et ne te contente pas d'?couter seulement ce que je te veux dire, mais r?sous-toi de l'observer inviolablement. |
Acte 2, sc. 2, CÉLINDE, phrase 1 |
5 | CÉLINDE |
Ne vous ?tonnez donc pas si quelque fois un bruit commun vous dit que je l'aime, ou si vous ?tes vous-m?me t?moin des actions que je pr?pare pour le tromper, cet artifice est absolument n?cessaire ? notre repos ; mais il semble que je l'aper?ois avecque Lucidor il faut qu'ils se soient rencontr?s bien pr?s d'ici. |
Acte 2, sc. 3, CÉLINDE, phrase 2 |
6 |
MOAB |
Emp?chez qu'ils ne soient assist?s par dehors, |
Acte V1, sc. 3, v. 133 |
7 | DORICE |
Je ne doute pas qu'en l'?tat o? est Floridan, mes larmes ne soient le moindre rem?de que je puisse apporter ? son mal, mais si c'est une l?chet? de ne les pouvoir retenir, qu'on l'impute ? la violence de mon ressentiment, qui veut que je meure ou que je me venge. |
Acte 4, sc. 2, DORICE, phrase 1 |
8 | FLEURIMON |
Puis s'?lan?ant sur le lit o? Floridan gisait ?tendu de son long, et adressant sa parole ? Dorice, Madame, a-t-elle ajout?, votre tyrannie m'a autrefois ravi la possession de Floridan, mais aujourd'hui mon courage me la redonne : n'enviez, je vous supplie, ni son bonheur ni le mien, mais si la piti? trouve quelque place en votre ?me, agr?ez que ceux que vous verrez morts sur un m?me lit, soient enferm?s dans un m?me tombeau. |
Acte 4, sc. 6, FLEURIMON, phrase 4 |
9 | LUCIDOR |
Cependant, Madame, ne doutez plus que les M?nes de Floridan et de Parth?nice ne soient d?sormais apais?es, puisqu'il n'est point de crime si grand qui ne fut effac? par une seule de vos larmes. |
Acte 5, sc. 3, LUCIDOR, phrase 2 |