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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | LISETTE |
Non, je ne crois pas qu'il y ait de plus grand malheur pour une femme, que celui de n'?tre plus aim?e d'un mari qu'on aime encore. |
Acte 1, sc. 1, LISETTE, phrase 1 |
2 | ANGÉLIQUE |
Non, il n'a pas de plus grand malheur pour une femme, que celui d'?tre trop aim?e d'un mari trop brutal pour ?tre aim?. |
Acte 1, sc. 1, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
3 | LISETTE |
Je ne vois plus que des figures d'hommes. |
Acte 1, sc. 1, LISETTE, phrase 4 |
4 | LISETTE |
Votre p?re est plus raisonnable que vous. |
Acte 1, sc. 2, LISETTE, phrase 1 |
5 | LUCILE |
Les femmes ne commencent ? se plaindre des hommes, que lorsqu'elles ne peuvent plus en quitter l'un pour prendre l'autre. |
Acte 1, sc. 2, LUCILE, phrase 2 |
6 | LISETTE |
Ils contractent une certaine s?v?rit?, qu'ils ne quittent pas m?me au milieu des plus tendres caresses de leurs ?pouses. |
Acte 1, sc. 3, LISETTE, phrase 3 |
7 | LISETTE |
Les autres, et ceux-l? sont en bien plus grand nombre, se font un honneur de m?priser ce qui les distingue le plus avantageusement. |
Acte 1, sc. 3, LISETTE, phrase 1 |
8 | ORONTE |
Trouverais-tu plus ? propos que je la donnasse ? ce capitaine_de_cavalerie qui lui faisait les doux yeux cet hiver ? |
Acte 1, sc. 3, ORONTE, phrase 2 |
9 | LISETTE |
Qui pousse le ridicule des modes plus loin qu'un ma?tre ? danser : qui ne parle jamais que de ses prouesses amoureuses : qui ne compte ses campagnes que par le nombre de dupes qu'il a attrap?es : ce fat qui est l'adonis de sa garnison, et la terreur des maris ? dix lieues ? la ronde : cet indiscret qui va publiant ses bonnes fortunes, vraies ou imaginaires ; qui en d?bite mille circonstances ridicules ; qui affecte de m?priser les femmes, et qui en conte assid?ment ? la servante du cabaret o? il va s'enivrer tous les jours ? |
Acte 1, sc. 3, LISETTE, phrase 2 |
10 | ARLEQUIN |
Oh, que vous ne m'y tenez plus ! |
Acte 1, sc. 4, ARLEQUIN, phrase 1 |
11 | ARLEQUIN |
De tous ces morceaux, il en r?sulte un corps entier, il n'y a plus qu'? ajouter le titre, et voil? un Op?ra tout fait... |
Acte 1, sc. 4, ARLEQUIN, phrase 3 |
12 | LISETTE |
On ne peut plus disputer ? cette pi?ce le nom de trag?die. |
Acte 1, sc. 4, LISETTE, phrase 1 |
13 | LISETTE |
Voil? une trag?die des plus tragiques. |
Acte 1, sc. 4, LISETTE, phrase 1 |
14 | LISETTE |
On ouvre les yeux : on voit les choses telles qu'elles sont en elles-m?mes : on n'est plus tromp? par de vaines apparences et de fausses lueurs. |
Acte 1, sc. 5, LISETTE, phrase 2 |
15 | LISETTE |
Les gens d'esprit ne sauraient le go?ter : ils sont trop ?clair?s : ils esp?rent, ou ils craignent : mais les sots qui ne voient pas plus loin que leurs nez, s'abandonnent au repos, et en jouissent ? gogo. |
Acte 1, sc. 5, LISETTE, phrase 2 |
16 | ARLEQUIN |
La plupart des gens ont bien plus d'empressement de brouiller leur raison que de s'?claircir. |
Acte 1, sc. 6, ARLEQUIN, phrase 2 |
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17 | LUCILE |
Laissez-l? le blanc, le rouge, et les mouches pour les coquettes ; occupez-vous ? quelque chose de plus s?rieux. |
Acte 1, sc. 7, LUCILE, phrase 7 |
18 |
ARLEQUIN |
Paris ? mes regards ne se d?robe plus. |
Acte 1, sc. 7, v. 30 |
19 | ARLEQUIN |
Le voil? qui met la plume ? la main, il va faire un livre, qui prouvera constamment que les anciens sont plus vieux que les modernes. |
Acte 1, sc. 7, ARLEQUIN, phrase 7 |
20 | ARLEQUIN |
Un mari d'une nuit c?de sa femme, et tous les droits matrimoniaux, ? un plus riche que lui, qui non seulement se charge de la belle, mais s'oblige encore par contrat, de payer ? l'?poux mille ?cus tous les trois mois. |
Acte 1, sc. 7, ARLEQUIN, phrase 2 |
21 | LUCILE |
Je vois que je ne connais plus ce que je croyais le mieux conna?tre. |
Acte 1, sc. 7, LUCILE, phrase 2 |
22 | ARLEQUIN |
Les expositions du sujet sont bien ? la mode, les noeuds sont bien fr?quents ; mais les d?nouements y sont bien plus r?guliers que sur le th??tre. |
Acte 1, sc. 7, ARLEQUIN, phrase 3 |
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