| n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
| 1 | TOINETTE |
La voici qui vient d'elle-même : elle a deviné votre pensée. |
Acte 3, sc. 2, TOINETTE, phrase 1 |
| 2 | TOINETTE |
Voilà votre père qui revient. |
Acte 3, sc. 4, TOINETTE, phrase 1 |
| 3 | ARGAN |
On vient de me mettre en colère. |
Acte 3, sc. 6, ARGAN, phrase 1 |
| 4 | BÉLINE |
S'il vient faute de vous, mon fils, je ne veux plus rester au monde. |
Acte 3, sc. 7, BÉLINE, phrase 2 |
| 5 | POLICHINELLE |
Il n'y a rien parfois qui soit si touchant qu'un amant qui vient chanter ses doléances aux gonds et aux verrous de la porte de sa maîtresse. |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 12 |
| 6 | POLICHINELLE |
Quelle impertinente harmonie vient interrompre ici ma voix ? |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 1 |
| 7 | ARGAN |
D'où vient cette surprise ? |
Acte 3, sc. 3, ARGAN, phrase 2 |
| 8 | THOMAS DIAFOIRUS |
N'est-ce pas par le père qu'il convient commencer ? |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 1 |
| 9 | CLÉANTE |
D'abord il prend les intérêts d'un sexe à qui tous les hommes doivent hommage ; et après avoir donné au brutal le châtiment de son insolence, il vient à la Bergère, et voit une jeune personne qui, des deux plus beaux yeux qu'il eût jamais vus, versait des larmes, qu'il trouva les plus belles du monde. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 4 |
| 10 |
CLÉANTE |
Vient troubler ce doux transport, |
Acte 3, sc. 5, v. 258 |
| 11 | BÉRALDE |
D'où vient, mon frère, qu'ayant le bien que vous avez, et n'ayant d'enfants qu'une fille ; car je ne compte pas la petite : d'où vient, dis-je, que vous parlez de la mettre dans un couvent ? |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
| 12 | ARGAN |
D'où vient, mon frère, que je suis maître dans ma famille pour faire ce que bon me semble ? |
Acte 6, sc. 3, ARGAN, phrase 1 |
| 13 | TOINETTE |
Il vient de passer entre mes bras. |
Acte 6, sc. 12, TOINETTE, phrase 3 |
| 14 | TOINETTE |
Il vient de mourir tout à l'heure d'une faiblesse qui lui a pris. |
Acte 6, sc. 13, TOINETTE, phrase 2 |
| 15 | BÉRALDE |
Mais, mon Frère, il me vient une pensée. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 1 |
| 16 | BÉRALDE |
L'on n'a qu'à parler, avec une robe, et un bonnet, tout galimatias devient savant, et toute sottise devient raison. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 2 |
Lexique d'un texte