n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | NANETTE |
N'est-ce point que tu aurais quelque amoureux, dont tu serais amoureuse de ton côté, à qui tu crois que ton père ne voudra pas te donner depuis qu'il a fait fortune, lui ? |
Acte 1, sc. 1, NANETTE, phrase 1 |
2 | NANETTE |
Je te fais un conte qui se trouve quelquefois une vérité : ces amours-là, vois-tu, sont dangereux quand ils augmentent. |
Acte 1, sc. 1, NANETTE, phrase 2 |
3 | NANETTE |
Ce n'est pas tout à fait comme la fortune de ton père. |
Acte 1, sc. 1, NANETTE, phrase 3 |
4 | NANETTE |
Et que tu es malheureuse, toi, d'avoir des chagrins, et d'en faire mystère à une personne qui est plus capable que qui que ce soit de te donner du soulagement ! |
Acte 1, sc. 1, NANETTE, phrase 1 |
5 | NANETTE |
Ta jeunesse, ta beauté, ton mérite, et l'amour que je vois bien que tu sens même. |
Acte 1, sc. 1, NANETTE, phrase 1 |
6 | NANETTE |
Sa fortune ne le décanaille point. |
Acte 1, sc. 1, NANETTE, phrase 2 |
7 | MONSIEUR MARTIN |
Point du tout, il était Secrétaire du Secrétaire d'un Intendant d'une certaine Province? |
Acte 1, sc. 3, MONSIEUR MARTIN, phrase 2 |
8 | NICOLAS |
Je sis tout comme ça, le bian de mon prochain ne me tente point ; et n'an ne me reprochera jamais d'avoir une obole à qui que ce soit. |
Acte 1, sc. 3, NICOLAS, phrase 1 |
9 | NICOLAS |
J'avons tout arrangé pour ça, tatigué, il y aura une belle ordonnance. |
Acte 1, sc. 3, NICOLAS, phrase 1 |
10 | GROS JEAN |
Comme c'est une façon de loterie que staffaire-ci, faut que ça se tire de même, avec de la conscience et de la règle, ça est respectable, voyez-vous, il ne faut point de friponnerie là-dedans, je n'y trampe en rian, je m'en lave les mains. |
Acte 1, sc. 3, GROS JEAN, phrase 1 |
11 | GROS JEAN |
Comme sti qui aura le prix doit épouser une fille du lieu, je n'avons enrôlé que des garçons et des hommes veufs, voyez-vous ? |
Acte 1, sc. 3, GROS JEAN, phrase 1 |
12 | NICOLAS |
J'ai une fille, moi ? |
Acte 1, sc. 3, NICOLAS, phrase 1 |
13 | GROS JEAN |
Et moi une nièce, Monsieur le Prévôt. |
Acte 1, sc. 3, GROS JEAN, phrase 1 |
14 | NICOLAS |
Si je pouvions adroitement faire tomber ça sus quelqu'une d'elles. |
Acte 1, sc. 3, NICOLAS, phrase 1 |
15 | MONSIEUR MARTIN |
Oui, mais j'ai une nièce et une fille aussi, moi. |
Acte 1, sc. 3, MONSIEUR MARTIN, phrase 1 |
16 | MONSIEUR MARTIN |
Et une soeur encore pardessus le marché, qui est très folle, et dont je voudrais bien être débarrassé. |
Acte 1, sc. 3, MONSIEUR MARTIN, phrase 1 |
17 | MONSIEUR MARTIN |
Pour moi dix mille francs de plus ou de moins ne sont pas une affaire ; mais ce sont dix mille francs d'argent comptant, et dix mille francs d'argent comptant au temps qui court, ne dérangent rien dans un coffre-fort. |
Acte 1, sc. 4, MONSIEUR MARTIN, phrase 2 |
18 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Oui, c'est une chose résolue, une chose réglée, une chose conclue, une chose faite. |
Acte 1, sc. 5, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
19 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Je n'envie point votre fortune ; laissez-moi la mienne, je suis à la veille d'en jouir, et d'user de mes droits. |
Acte 1, sc. 5, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 3 |
20 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Il a tiré de son carquois une flèche dorée, qu'il m'a lancée tout droit au coeur ; et comme si ç'eût été le signal, ou plutôt un avis aux Chevaliers de l'objet où leurs traits devaient s'adresser ; je les ai tous vus me coucher en joue, le feu prendre, leurs coups partir, et je m'en suis trouvée toute criblée. |
Acte 1, sc. 5, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 2 |
21 | MONSIEUR MARTIN |
La malepeste, ma soeur, vous avez essuyé là une furieuse Escopetterie. |
Acte 1, sc. 5, MONSIEUR MARTIN, phrase 1 |
22 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Il me regarde comme une visionnaire, qui me repais d'idées chimériques, et je le regarde moi, comme un fou malin, qui est jaloux de mon bonheur, et qui voudrait ensevelir mes charmes dans l'obscurité du célibat ? |
Acte 1, sc. 6, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
23 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Que voilà un jeune Chevalier bien fait, et de bonne mine. |
Acte 1, sc. 7, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 2 |
24 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Le prix est pour lui ; c'est lui qui m'aura, mon coeur me le dit, l'amour m'en assure, et je regarde cela comme une chose déjà faite. |
Acte 1, sc. 7, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 5 |
25 | MONSIEUR PRUNEAU |
Si je pouvais donner dans la vue de quelqu'une, cela vaudrait morbleu mieux que le prix de l'Arquebuse ; et ma mère et mon oncle le Chanoine me l'ont bien dit, que c'était là qu'il fallait viser. |
Acte 1, sc. 7, MONSIEUR PRUNEAU, phrase 2 |
26 | MONSIEUR PRUNEAU |
En voici une qui n'est pas trop sotte. |
Acte 1, sc. 7, MONSIEUR PRUNEAU, phrase 3 |
27 | MONSIEUR PRUNEAU |
Mon visage n'est pas nouveau ; il n'y a pourtant pas longtemps qu'il est fait, je suis tout jeune. |
Acte 1, sc. 7, MONSIEUR PRUNEAU, phrase 1 |
28 | MONSIEUR PRUNEAU |
Je suis de Tours, Mademoiselle : je m'appelle Grégoire Pruneau. |
Acte 1, sc. 7, MONSIEUR PRUNEAU, phrase 1 |
29 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Vous êtes Monsieur Pruneau, de Tours, Monsieur ? |
Acte 1, sc. 7, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
30 | MADEMOISELLE GIRAUT |
C'est mon Chevalier, ma nièce ; Monsieur Pruneau ne veut tirer le prix que pour viser à moi. |
Acte 1, sc. 8, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
31 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Cela vaut mille fois mieux que Grégoire Pruneau. |
Acte 1, sc. 9, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 3 |
32 | MONSIEUR PRUNEAU |
Cette jeune fille est encore plus jolie que l'autre, c'est à celle-là qu'il faut viser : je suis toujours, moi pour les plus jolies. |
Acte 1, sc. 9, MONSIEUR PRUNEAU, phrase 1 |
33 | SOPHIE |
Voilà une belle occasion, une fête tumultueuse, il ne faut pas qu'elle finisse sans que nous nous mations l'une et l'autre. |
Acte 1, sc. 9, SOPHIE, phrase 2 |
34 | NANETTE |
Cela se rencontre le plus heureusement du monde, un oncle de plus, un cousin de même : nous pouvons faire entre nous autres une petite assemblée de parents, et nous n'avons que faire de mon oncle le Prévôt pour achever mon mariage ? |
Acte 1, sc. 10, NANETTE, phrase 3 |
35 | DORANTE |
Vous avez une tante toute spirituelle, une cousine toute charmante ; et c'est un avantage bien flatteur de pouvoir entrer dans une famille où l'esprit et la beauté paraissent être héréditaires. |
Acte 1, sc. 10, DORANTE, phrase 1 |
36 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Vous serez plus hardies, vous êtes plus jeunes. |
Acte 1, sc. 10, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
37 | MONSIEUR MARTIN |
Tout le monde s'assemble sous les avenues, le Peuple, les Magistrats, les Premiers de la Ville, la Noblesse des environs, la Jeunesse, les Dames, l'élite des Provinces, toutes les Brigades sont sous les armes ; c'est un beau coup d'oeil, cela est beau à voir. |
Acte 1, sc. 11, MONSIEUR MARTIN, phrase 2 |
38 | MONSIEUR MARTIN |
On me regarde, morbleu, comme un Général ; et dans le fonds, j'aime mieux commander là, qu'à une armée ; ça n'est guères moins glorieux, et il y a bien moins de risque. |
Acte 1, sc. 11, MONSIEUR MARTIN, phrase 4 |
39 | MONSIEUR MARTIN |
Ce jeu de l'Arquebuse ne laisse pas au bout du compte d'attirer ici un tas de godelureaux, de fainéants, de chercheurs de bonnes fortunes, hom, hom, hom, hom. |
Acte 1, sc. 11, MONSIEUR MARTIN, phrase 8 |
40 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Ne vous effarouchez point, et demeurez ici, Monsieur Pruneau. |
Acte 1, sc. 12, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
41 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Soyez-moi fidèle, Monsieur Pruneau, nous voyagerons ; je veux aller à Tours. |
Acte 1, sc. 12, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 3 |
42 | BRACASSAK |
Cadédis, le voyage est bon, Monsieur le Prévôt en payera les frais ; il n'aura pas impunément conté sornettes à ma soeur, et dans la famille des Bracassaks, où nous faisons ordinairement bouquer la Noblesse, il ne sera pas dit que nous nous laissions insolenter par la Roture ; et que Pézenas soit en droit de se moquer d'une Demoiselle de Bracassak. |
Acte 1, sc. 14, BRACASSAK, phrase 2 |
43 | DORANTE |
La mort d'un oncle a fort heureusement réparé les premiers égarements de ma jeunesse. |
Acte 1, sc. 14, DORANTE, phrase 1 |
44 | DORANTE |
Je suis à la poursuite d'une jeune personne que j'aime, et que je veux épouser. |
Acte 1, sc. 14, DORANTE, phrase 1 |
45 | BRACASSAK |
Établissement qui ruine les pauvres nigauds de Paris, ils naissent tous avec ces principes, aucune vivacité ne les en dégage ; et les préjugés de l'enfance leur font faire autant de sottises à l'âge de raison, que la force du tempérament et de l'air natal leur en inspire en sortant des classes. |
Acte 1, sc. 14, BRACASSAK, phrase 1 |
46 | BRACASSAK |
Je plaide mes collatéraux, pour réunir leurs Fiefs à mon domaine, et tu me vois à la poursuite d'un certain Prévôt à qui je veux faire épouser une soeur unique, dont il a eu l'insolence de devenir amoureux, en venant recueillir la succession d'un certain sien frère, qui méritait d'être du Pays, car il faisait bien ses affaires. |
Acte 1, sc. 14, BRACASSAK, phrase 2 |
47 | DORANTE |
Et tu songes à donner ta soeur, une demoiselle de la maison des Bracassaks ? |
Acte 1, sc. 14, DORANTE, phrase 1 |
48 | DORANTE |
À un homme de fortune, à un Prévôt de petite ville ? |
Acte 1, sc. 14, DORANTE, phrase 2 |
49 | BRACASSAK |
Le Prévôt n'a qu'à choisir, le mariage, ou l'anéantissement de sa personne ; je ne lui ai donné qu'une heure, et je me promène pendant qu'il rêve. |
Acte 1, sc. 14, BRACASSAK, phrase 2 |
50 | MADEMOISELLE BRACASSAK |
On me réassigne dans l'honneur, mon frère, on m'outrecuide, on me fait une insulte nouvelle. |
Acte 1, sc. 15, MADEMOISELLE BRACASSAK, phrase 1 |
51 | MADEMOISELLE BRACASSAK |
En peut-on trop avoir dans une occasion si intéressante ? |
Acte 1, sc. 15, MADEMOISELLE BRACASSAK, phrase 1 |
52 | MADEMOISELLE BRACASSAK |
N'ai-je pas des lettres de toi, une promesse de mariage dans les formes ? |
Acte 1, sc. 15, MADEMOISELLE BRACASSAK, phrase 2 |
53 | DORANTE |
Voilà une conduite bien criminelle, un procédé bien condamnable. |
Acte 1, sc. 15, DORANTE, phrase 1 |
54 | MONSIEUR MARTIN |
Une fonction de ma charge que je ne saurais remettre. |
Acte 1, sc. 16, MONSIEUR MARTIN, phrase 1 |
55 | GROS JEAN |
Sti qui visera le mieux gagnera mille pistoles, et une fille à choisir dans le Bourg, telle qu'il lui plaira, pour en faire sa femme. |
Acte 1, sc. 16, GROS JEAN, phrase 3 |
56 | GROS JEAN |
Pour avoir dix mille francs et une fille, c'est bailler les choses pour rian. |
Acte 1, sc. 16, GROS JEAN, phrase 1 |
57 | GROS JEAN |
C'est fort bian dit ; il vous faut une arme. |
Acte 1, sc. 17, GROS JEAN, phrase 1 |
58 | GROS JEAN |
En avez-vous une bonne ? |
Acte 1, sc. 17, GROS JEAN, phrase 2 |
59 | GROS JEAN |
Pargué vous n'êtes pas mal avisé, vous n'échayez pas mal, c'est une des meilleures, afin que vous le sachiais. |
Acte 1, sc. 17, GROS JEAN, phrase 1 |
60 | MADEMOISELLE BRACASSAK |
En aucune façon, ma belle enfant, et j'ai des secrets à vous dire, dont je me flatte que vous ferez un bon usage. |
Acte 1, sc. 18, MADEMOISELLE BRACASSAK, phrase 1 |
61 | MADEMOISELLE BRACASSAK |
Mais ce sont mes intérêts et les vôtres qui me font agir, et je ne veux devenir votre belle-mère, qu'afin de l'empêcher de vous en donner une, dont vous ne seriez peut-être pas si contente que je me dispose à vous la rendre. |
Acte 1, sc. 18, MADEMOISELLE BRACASSAK, phrase 2 |
62 | SOPHIE |
Mais ce n'est point mon père qui vous a écrit, et qui vous a fait une promesse de mariage. |
Acte 1, sc. 18, SOPHIE, phrase 1 |
63 | MADEMOISELLE BRACASSAK |
Non, j'en conviens, nous le savons ; mais j'ai une donation du défunt, dont je ferai valoir les droits contre lui, s'il refuse de me faire les mêmes avantages. |
Acte 1, sc. 18, MADEMOISELLE BRACASSAK, phrase 1 |
64 | DORANTE |
Il faut éviter le procès, charmante Sophie, une belle-mère comme Madame, ne saurait que vous faire honneur ; je connais les Bracassaks, c'est une des meilleurs familles de la Garonne. |
Acte 1, sc. 18, DORANTE, phrase 1 |
65 | BARBALOU |
Parbleu, c'est un plaisant visage de ne pas rendre ce qu'il doit à de certaine gens, d'une certaine considération, d'un certain pays. |
Acte 1, sc. 19, BARBALOU, phrase 3 |
66 | BARBALOU |
J'ai du respect pour le sexe, j'aime les filles, mais pour les pères, je m'en goberge, je veux une fois en ma vie apprendre à vivre à un Prévôt. |
Acte 1, sc. 19, BARBALOU, phrase 2 |
67 | BARBALOU |
Vous m'avouerez qu'il est bien désagréable à un honnête Gentilhomme, Neveu d'un Procureur du Roi, fils d'un Maire de Ville, de donner son argent, soixante bonnes livres pour tirer un prix considérable, mille pistoles et une fille, et de n'être averti de rien, d'être regardé comme un zéro, et de se voir passer la plume par le bec. |
Acte 1, sc. 19, BARBALOU, phrase 3 |
68 | BARBALOU |
Ne vous en moquez point, le prix est en fille, et en argent, je m'en suis déjà assuré une bonne moitié. |
Acte 1, sc. 19, BARBALOU, phrase 1 |
69 | BARBALOU |
Il y a une certaine petite Mademoiselle Nanette? Hé ! |
Acte 1, sc. 19, BARBALOU, phrase 3 |
70 | NICOLAS |
Une partie des brigades avons mis bas les armes par admiration, les autres se donnent au Diable qu'il faut que ce soit le Diable en parsonne, qui a tiré ce coup-là, il a morgué si bien mis dans le milieu, qu'il ne s'en faut pas tout autour l'épaisseur d'un cheveu, que ça ne l'ait emporté tout brandi : Hé, où tireront les autres, ils ne sauriont plus mettre qu'à côté, quand ils viserions aussi bian que stilà, l'saurions bien mettre dans le milieu, le trou est tout fait, il n'y paraîtrait morgué pas : ah ! |
Acte 1, sc. 21, NICOLAS, phrase 2 |
71 | BRACASSAK |
Examinons à présent mes droits, et nous en servons ; le prix est de dix mille francs, et d'une fille, n'est-ce pas ? |
Acte 1, sc. 22, BRACASSAK, phrase 2 |
72 | MADEMOISELLE GIRAUT |
Voilà Monsieur Pruneau qui est fort riche aussi, mon frère. |
Acte 1, sc. 22, MADEMOISELLE GIRAUT, phrase 1 |
73 | MONSIEUR MARTIN |
À la bonne heure, je serai défait de tout ce qui m'embarrasse, et j'épouse aussi votre soeur, Monsieur de Bracassak, pour me refaire une nouvelle famille, et pour me conformer à l'exemple. |
Acte 1, sc. 22, MONSIEUR MARTIN, phrase 1 |
74 | BARBALOU |
Voilà une famille bien exemplaire. |
Acte 1, sc. 22, BARBALOU, phrase 2 |
75 |
BRACASSAK |
Et jeunes garçons, |
Acte 1, sc. 22, v. 29 |
76 |
BRACASSAK |
Enfants de la fortune, |
Acte 1, sc. 22, v. 69 |
77 |
BRACASSAK |
Et n'en manquons aucune |
Acte 1, sc. 22, v. 71 |