n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
LA FÉE |
De sa jeune postérité. |
Acte 1, sc. 1, v. 28 |
2 |
LA FÉE |
Que celui d'une paix profonde, |
Acte 1, sc. 1, v. 30 |
3 |
LA FÉE |
Qu'ils viennent amuser cette auguste Jeunesse, |
Acte 1, sc. 1, v. 55 |
4 |
LA FÉE DES PLAISIRS |
Ils n'inspirent jamais une indigne faiblesse. |
Acte 1, sc. 3, v. 91 |
5 |
LE SUIVANT DE LA FÉE |
Sous ses lois une heureuse vie, |
Acte 1, sc. 3, v. 116 |
6 | BLANDONIE |
Vous prêchez sans cesse une régularité que vous n'avez point ; et si vous vouliez m'obliger à quelques égards pour vous, il fallait commencer à n'en pas manquer pour moi. |
Acte 2, sc. 1, BLANDONIE, phrase 2 |
7 | MELISENDE |
Vous me poussez furieusement ; et s'il était de la dignité d'une Fée de laisser éclater tout son ressentiment... |
Acte 2, sc. 1, MELISENDE, phrase 1 |
8 | DARINEL |
Pardonnez-moi, je me connais, cela n'est pas possible ; il faut que l'une de vous deux ait tort, assurément, et vous l'avez toutes deux, peut-être ? |
Acte 2, sc. 2, DARINEL, phrase 1 |
9 | DARINEL |
J'en suis bien fâchée, par parenthèse : c'était une bonne pâte de Fée que celle-là, elle n'était point tracassière comme les autres, et son mari y a plus perdu que personne. |
Acte 2, sc. 2, DARINEL, phrase 1 |
10 | MELISENDE |
Et cependant vous avez trouver le secret d'introduire à son service une personne dont la jeunesse, les conseils, l'esprit et la vivacité, ne s'accordent point du tout avec les vues que j'ai pour elle. |
Acte 2, sc. 2, MELISENDE, phrase 1 |
11 | DARINEL |
Je reconnais Zerbine, c'est elle-même : mais si c'est là tout ce qui vous brouille, il n'y a qu'à les chasser l'une et l'autre, et vous voilà d'accord. |
Acte 2, sc. 2, DARINEL, phrase 1 |
12 | MELISENDE |
Si le destin permettait à l'une de nous de détruire ce que fait l'autre, Finette ne demeurerait pas un moment avec Inégilde. |
Acte 2, sc. 2, MELISENDE, phrase 1 |
13 | FINETTE |
Hé, bonjour, Seigneur Darinel, vous me paraissez de bonne humeur, vous serait-il arrivé quelque fortune dont on dût vous féliciter ? |
Acte 2, sc. 4, FINETTE, phrase 1 |
14 | FINETTE |
Cette Fée nous désole ; l'autorité d'un mari détruira la sienne : c'est une espèce de liberté que le changement d'esclavage ; et il me semble qu'il vaut mieux dépendre d'un joli mari que d'une Fée maussade. |
Acte 2, sc. 4, FINETTE, phrase 2 |
15 | FINETTE |
Il faut vous en tirer, Madame, et si le Seigneur Darinel et moi nous nous mêlons une fois de vos affaires, toute la Féerie du monde ne nous empêchera pas de vous rendre heureuse ; j'ai, de bons pressentiments, et le coeur me dit que nous ne tarderons pas à voir quelque révolution dans votre destinée. |
Acte 2, sc. 5, FINETTE, phrase 1 |
16 | INEGILDE |
Je vais t'ouvrir mon coeur, Finette, n'abuse pas de ma confiance, et regarde comme une faiblesse pardonnable l'attention que je donne à des chimères, pour qui je n'en aurais peut-être pas, si j'avais plus d'usage du monde et de liberté. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 1 |
17 | FINETTE |
C'est une des sérieuses affaires des femmes du monde que ces chimères-là ; et après le jeu, l'amour, la bonne chère et l'ajustement, elles n'ont rien qui les occupe davantage que les Devineresses et les songes. |
Acte 2, sc. 5, FINETTE, phrase 2 |
18 | INEGILDE |
Mes oreilles ont été frappées de l'harmonie la plus douce ; le Palais de mon père m'a paru brillant d'une lumière aussi vive que celle du Soleil ; mille nations différentes disputaient entre elles l'avantage d'y arriver les premières : un jeune Prince, suivi d'une superbe Cour que formait la jeunesse la plus magnifique et la plus enjouée, s'avançait avec empressement du côté de la Princesse ma soeur : elle l'attendait pour le recevoir, mais d'un air sérieux et rebutant, tel que notre fâcheuse Fée voudrait m'obliger à l'avoir. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 3 |
19 | INEGILDE |
Le Prince, en la voyant, m'a paru demeurer immobile, moins d'étonnement que de chagrins : il hésitait à l'aborder, ou à me venir rendre ses hommages, lorsqu'un enfant, d'une beauté surprenante et d'un éclat merveilleux, est venu le déterminer ; de petites ailes mollement agitées le soutenaient en l'air ; il tenait un arc d'une main, et de l'autre une flèche d'or ; son épaule gauche était ornée d'un carquois : Suivez moi, Prince, lui a-t-il dit, en volant auprès de moi, voilà la Princesse que je vous destine ; ne résistez point à la volonté d'un Dieu qui fait son plaisir de vous rendre heureux. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 4 |
20 | INEGILDE |
Il finissait à peine, j'ai vu ce Prince à mes genoux ; la cruelle Fée s'efforçait de m'éloigner, et je demeurais malgré elle, parce que l'enfant me retenait avec une force surnaturelle, et que je l'aidais moi-même à me retenir. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 5 |
21 | INEGILDE |
Enfin, Finette, il m'a semblé que ce jeune Prince me demandait en mariage à mon père. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 1 |
22 | INEGILDE |
Hélas oui, ma chère Finette : mais la Fée était contre nous dans une colère épouvantable ; sa fureur, ses menaces, le bruit qu'elle faisait m'ont éveillée, et mon bonheur s'est évanoui. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 1 |
23 | ASTUR |
Comme j'ai à vous parler d'affaires réjouissantes, mes enfants, je suis bien aise de ne voir auprès de vous que des visages qui me réjouissent, et devant qui je ne sois pas obligé de garder une incommode gravité, qui m'a terriblement gêné depuis que la Fée votre mère s'avisa de me faire Souverain. |
Acte 2, sc. 9, ASTUR, phrase 2 |
24 | ASTUR |
Celui qu'on te destine, à toi, par exemple, est un garçon mûr, de soixante dix ou quatre-vingts ans tout au plus ; mais pourtant fort jeune, avec cela ; car il est d'un pays où on ne meurt presque point. |
Acte 2, sc. 9, ASTUR, phrase 2 |
25 | FINETTE |
La belle ressource pour une femme ! |
Acte 2, sc. 9, FINETTE, phrase 2 |
26 | ASTUR |
Pour toi, on t'en a choisi un d'une humeur toute contraire ; il faut un peu de variété dans les familles. |
Acte 2, sc. 9, ASTUR, phrase 2 |
27 | ASTUR |
C'est un jeune égrillard, beau, bien fait, de bonne mine, un peu étourdi, beaucoup libertin : mais de fort bonne humeur en revanche, et qu'on dit qui nous réjouira. |
Acte 2, sc. 9, ASTUR, phrase 3 |
28 | ASTUR |
Tu ne t'ennuieras pas avec lui, c'est un Prince qui vit presque aussi heureusement qu'un homme d'affaires ; l'Amour est son premier Ministre, et c'est la Fortune qui a la Surintendance de ses Finances. |
Acte 2, sc. 9, ASTUR, phrase 1 |
29 | CLEONIDE |
Si le choix de la Fée se trouve contraire à mes désirs, votre volonté suffira pour me déterminer à les vaincre, et je sacrifierai le bonheur de ma vie, à celui de vous marquer une parfaite soumission. |
Acte 2, sc. 9, CLEONIDE, phrase 2 |
30 | DARINEL |
On ne le peut trop paraître, Seigneur... quand on a le bonheur... d'être le premier à apporter une bonne nouvelle. |
Acte 2, sc. 10, DARINEL, phrase 1 |
31 | ASTUR |
Voilà une fort jolie manière de les annoncer. |
Acte 2, sc. 10, ASTUR, phrase 1 |
32 | ZIZIME |
Seigneur, une troupe d'Étrangers, qui sont sous la protection de la Fée des plaisirs, demandent qu'on les introduise auprès de vous. |
Acte 2, sc. 11, ZIZIME, phrase 1 |
33 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Et la Fortune qui nous suit ; |
Acte 2, sc. 10, v. 125 |
34 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Et la Fortune qui nous suit. |
Acte 2, sc. 10, v. 129 |
35 |
LE PETIT CHoeUR |
Et la Fortune qui nous suit. |
Acte 2, sc. 10, v. 131 |
36 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Par nos soins d'une inhumaine, |
Acte 2, sc. 10, v. 132 |
37 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Et la Fortune qui nous suit. |
Acte 2, sc. 10, v. 135 |
38 |
LE PETIT CHoeUR |
Et la Fortune qui nous suit. |
Acte 2, sc. 10, v. 137 |
39 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
La Fortune et l'Amour seront ici le gage |
Acte 2, sc. 10, v. 140 |
40 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
La Fortune épuise |
Acte 2, sc. 10, v. 150 |
41 |
UN HABITANT DE L'ÎLE |
Un tendre amant quelquefois importune, |
Acte 2, sc. 10, v. 166 |
42 |
UN HABITANT DE L'ÎLE |
S'il faisait parler la Fortune. |
Acte 2, sc. 10, v. 169 |
43 |
UN HABITANT DE L'ÎLE |
Jeunes beautés, cédez sans violence, |
Acte 2, sc. 10, v. 170 |
44 |
UN HABITANT DE L'ÎLE |
Dès que la Fortune et l'Amour |
Acte 2, sc. 10, v. 173 |
45 | FINETTE |
Par ma foi, voilà une jolie manière de demander les filles en mariage, et je voudrais que quelqu'un s'avisât d'en faire autant pour moi. |
Acte 2, sc. 1, FINETTE, phrase 1 |
46 | BLANDONIE |
Approchez, Prince, et venez faire les délices d'une Cour où le comble du bonheur vous est préparé. |
Acte 2, sc. 1, BLANDONIE, phrase 1 |
47 | ASTUR |
Le rang où vous me voyez ne me fais pas oublier où je me suis vu ; et comme je suis un Prince de fortune de la façon de feue ma femme, vous me faites beaucoup d'honneur de vouloir devenir mon gendre. |
Acte 2, sc. 1, ASTUR, phrase 2 |
48 | CLEONIDE |
Tant de respects, Seigneur, ne marquent pas une ardeur bien vive : la délicatesse d'une amante aurait de quoi s'en offenser. |
Acte 2, sc. 1, CLEONIDE, phrase 1 |
49 | FINETTE |
Oh çà, que te semble de ce jeune Prince que nous venons de voir ? |
Acte 2, sc. 3, FINETTE, phrase 2 |
50 | DARINEL |
Oui : mais je ne regarde pas encore cette union-là comme une chose bien assurée. |
Acte 2, sc. 3, DARINEL, phrase 1 |
51 | INEGILDE |
C'est aussi ce que j'ai remarqué, et vous avez fort bien fait, Madame, il ne faut pas qu'une personne comme vous prenne garde à ces choses-là. |
Acte 2, sc. 3, INEGILDE, phrase 1 |
52 | INEGILDE |
Mais, tout cela, Darinel, d'une manière qui ne lui donne aucune pensée... |
Acte 2, sc. 3, INEGILDE, phrase 1 |
53 | MELISENDE |
Vous avez-là ma nièce, auprès de vous, une aussi dangereuse petite personne... |
Acte 2, sc. 6, MELISENDE, phrase 1 |
54 | DARINEL |
Ce n'est pas un endroit commode, que la Cour, pour traiter secrètement une affaire, et je voudrais bien trouver moyen de parler en particulier au Prince de l'Île Fortunée. |
Acte 2, sc. 8, DARINEL, phrase 1 |
55 | ZIRPHILIN |
Engagement funeste ! |
Acte 2, sc. 9, ZIRPHILIN, phrase 1 |
56 | DARINEL |
Que voilà bien une physionomie qui marque que je m'en vais devenir votre confident. |
Acte 2, sc. 9, DARINEL, phrase 4 |
57 | FINETTE |
Éloignez-vous de quelques pas, et faites semblant de vous promener en rêvant dans quelqu'une de ces galeries, vous nous aborderez quand je vous ferez signe. |
Acte 2, sc. 10, FINETTE, phrase 1 |
58 | FINETTE |
Il y avait une fois un Roi et une Reine... |
Acte 2, sc. 11, FINETTE, phrase 2 |
59 | FINETTE |
Elles avaient chacune un amant, qui faute d'occasion ne s'étaient pas encore déclarés, et qu'elles aimaient en secret pourtant. |
Acte 2, sc. 11, FINETTE, phrase 2 |
60 | FINETTE |
On aimait dans ce temps-là comme on n'aime à cette heure ; une beauté fière est souvent la dupe de l'aventure. |
Acte 2, sc. 11, FINETTE, phrase 1 |
61 | FINETTE |
Allons, Madame, la situation où vous êtes veut une prompte résolution ; il n'y a point à hésiter, il faut finir le songe. |
Acte 2, sc. 12, FINETTE, phrase 2 |
62 | ASTUR |
Je n'étais qu'un berger, d'accord ; mais jeune, beau, bien fait, je le suis encore : et votre soeur, qui était la Fée de la Raison, n'a pas fait ma fortune sans savoir pourquoi. |
Acte 2, sc. 14, ASTUR, phrase 2 |
63 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Une aimable tranquillité, |
Acte 2, sc. 16, v. 183 |
64 |
UN HABITANT DE L'ÎLE |
Jeunes coeurs, que le plaisir touche, |
Acte 2, sc. 16, v. 204 |
65 | INEGILDE |
J'aime à suivre, comme ce Prince, les douces lois de la nature : elle ne m'inspire que de l'estime pour son mérite, et point d'amour pour sa personne ; et il est trop sage et trop raisonnable, pour exiger une chose qui ne peut dépendre de moi. |
Acte 4, sc. 1, INEGILDE, phrase 2 |
66 | ASTUR |
Moi, Madame, je ne prétends point faire de violence à votre coeur : on m'a mandé, je suis venu, je ne vous plais pas, je m'en retourne ; et une de nos meilleures maximes, à nous autres Sages, est de nous engager à aimer, qu'autant que nous sommes sûrs de ne pas déplaire. |
Acte 4, sc. 1, ASTUR, phrase 1 |
67 | INEGILDE |
Il est borné, Madame, une puissance au-dessus de la vôtre, me dérobe à cette contrainte. |
Acte 4, sc. 1, INEGILDE, phrase 1 |
68 | ASTUR |
Voilà une fille égarée ; et quelque Fée qui en fait qui en fait plus que vous, se mêle apparemment de nos affaires ? |
Acte 4, sc. 3, ASTUR, phrase 2 |
69 | ASTIBEL |
Je vous demande pardon, Madame, il ne serait pas du caractère d'un Sage de courir après une femme. |
Acte 4, sc. 3, ASTIBEL, phrase 1 |
70 | CLEONIDE |
C'est apparemment quelque Fée de vos amies qui vient de l'enlever à votre rival : courez la trouver, et ne craignez point d'être rebutée ; elle ne doit pas se faire une affaire de s'enrichir de mes refus. |
Acte 4, sc. 5, CLEONIDE, phrase 3 |
71 | ZIRPHILIN |
Je finirai votre embarras, Seigneur, et je vais tâcher de vous rendre une tranquillité parfaite, si elle peut dépendre de moi. |
Acte 4, sc. 5, ZIRPHILIN, phrase 1 |
72 | ASTUR |
Un enlèvement de plus ou de moins ne fait jamais tort à une fille. |
Acte 4, sc. 6, ASTUR, phrase 4 |
73 | ASTUR |
Vous êtes assez capable d'une pareille malice, et ce Prince que vous avez fait venir est un peu mêlé là-dedans, à ce qu'on m'a dit. |
Acte 4, sc. 7, ASTUR, phrase 2 |
74 | CLEONIDE |
Il n'en est qu'un où je suis sensible, et c'est celui d'avoir la force de renoncer à tous les autres, pour goûter les douceurs d'une vie tranquille. |
Acte 4, sc. 9, CLEONIDE, phrase 1 |
75 | CLEONIDE |
Ma soeur m'enlève mon Amant, serait-ce une perfidie de me saisir du sien ? |
Acte 4, sc. 10, CLEONIDE, phrase 1 |
76 | ASTIBEL |
Le trouble règne dans tous les coeurs, une fausse tranquillité masque les visages ; et peu soigneux de corriger les vices, on se contente de les savoir cacher. |
Acte 4, sc. 10, ASTIBEL, phrase 1 |
77 | CLEONIDE |
Oui, Seigneur : élevée par la Fée des Plaisirs, ennuyée d'en avoir fait un trop long usage, outrée d'un moment de chagrin que je viens d'avoir, je forme le projet d'une vie heureuse, où l'on tienne un milieu si juste entre les plaisirs et les peines, qu'en ne s'attachant jamais trop aux uns, on soit toujours exempt des autres. |
Acte 4, sc. 10, CLEONIDE, phrase 1 |
78 | ASTIBEL |
Est-ce une simple mortelle qui me parle ? |
Acte 4, sc. 10, ASTIBEL, phrase 1 |
79 | MELISENDE |
Une Princesse élevée par la Fée des Plaisirs ? |
Acte 4, sc. 11, MELISENDE, phrase 3 |
80 | BLANDONIE |
Quelle vaine erreur occupe vos esprits, Seigneur, et vous fait appréhender de revoir une Fée que vous avez si tendrement chérie ? |
Acte 4, sc. 13, BLANDONIE, phrase 1 |
81 | MELISENDE |
Vous autorisez une union que je déteste ? |
Acte 4, sc. 14, MELISENDE, phrase 2 |
82 | DARINEL |
Elle est un peu folle, je suis fort sage ; ne croyez-vous pas que l'assortiment de nos deux humeurs pourrait faire une union parfaite ? |
Acte 4, sc. 14, DARINEL, phrase 2 |
83 | LOGISTILLE |
Ne vous inquiétez point, j'en fais mon affaire, et je prendrai soin désormais de les entretenir l'une et l'autre dans une parfaite intelligence. |
Acte 4, sc. 14, LOGISTILLE, phrase 1 |
84 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
De la Fortune et de l'Amour, |
Acte 4, sc. 15, v. 222 |