n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | CLITIDAS |
Les belles, croyez-moi, sont toujours les plus clairvoyantes à découvrir les ardeurs qu'elles causent, et le langage des yeux et des soupirs se fait entendre mieux qu'à tout autre à celles à qui il s'adresse. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 2 |
2 | TIMOCLES |
Madame, je ne suis point pour me flatter, j'ai fait ce que j'ai pu pour toucher le coeur de la princesse Ériphile, et je m'y suis pris, que je crois, de toutes les tendres manières dont un amant se peut servir. |
Acte 2, sc. 2, TIMOCLES, phrase 1 |
3 | CLITIDAS |
Il m'a voulu entretenir, mais vous m'avez défendu si expressément de me charger d'aucune affaire auprès de vous, que je n'ai point voulu lui prêter l'oreille, et je lui ai dit nettement que je n'avais pas le loisir de l'entendre. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 2 |
4 | CLITIDAS |
Je lui ai dit d'abord que je n'avais pas le loisir de l'entendre, mais après je lui ai donné audience. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 1 |
5 | SOSTRATE |
Tous les princes du monde seront trop peu de chose pour aspirer à vous ; les Dieux seuls y pourront prétendre, et vous ne souffrirez des hommes que l'encens et les sacrifices. |
Acte 4, sc. 3, SOSTRATE, phrase 2 |
6 |
TIRCIS |
Et de vos tendres ramages |
Acte 5, sc. 1, v. 60 |
7 |
LYCASTE, MÉNANDRE |
Il sied bien d'être tendre ; |
Acte 5, sc. 4, v. 150 |
8 |
LYCASTE, MÉNANDRE |
Il sied bien d'être tendre. |
Acte 5, sc. 4, v. 155 |
9 |
CLIMÈNE |
Bien qu'avec pleine tendresse |
Acte 5, sc. 6, v. 211 |
10 | ARISTIONE |
Je n'ai point renfermé votre inclination dans le choix de deux princes : vous pouvez l'étendre où vous voudrez, et le mérite auprès de moi tient un rang si considérable, que je l'égale à tout ; et, si vous m'avouez franchement les choses, vous me verrez souscrire sans répugnance au choix qu'aura fait votre coeur. |
Acte 8, sc. 1, ARISTIONE, phrase 2 |
11 | ARISTIONE |
Après cela, nous n'avons plus rien à faire, qu'à recevoir ce qu'ils s'apprêtent à nous donner, et vous venez d'entendre distinctement leur volonté. |
Acte 8, sc. 2, ARISTIONE, phrase 2 |
12 | ANAXARQUE |
Va-t'en tenir la main au reste de l'ouvrage, préparer nos six hommes à se bien cacher dans leur barque derrière le rocher ; à posément attendre le temps que la Princesse Aristione vient tous les soirs se promener seule sur le rivage, à se jeter bien à propos sur elle, ainsi que des corsaires, et donner lieu au Prince Iphicrate de lui apporter ce secours, qui sur les paroles du Ciel doit mettre entre ses mains la Princesse Ériphile. |
Acte 8, sc. 3, ANAXARQUE, phrase 4 |
13 | ERIPHILE |
Voilà, Sostrate, ce que j'avais à vous dire, voilà ce que j'ai cru devoir à votre mérite, et la consolation que toute ma tendresse peut donner à votre flamme. |
Acte 8, sc. 4, ERIPHILE, phrase 10 |
14 | SOSTRATE |
Oui, Madame, dès que j'ai osé vous aimer, c'est vous, Madame, qui voulez bien que je me serve de ce mot téméraire, dès que j'ai, dis-je, osé vous aimer, j'ai condamné d'abord l'orgueil de mes désirs, je me suis fait moi-même la destinée que je devais attendre. |
Acte 8, sc. 4, SOSTRATE, phrase 4 |