Occurences de l'expression

tait

dans LES FÉES OU LES CONTES DE MA MÈRE L'OYE. de BARANTE et DUFESNY (1694)

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 Personnage  Vers ou phrase Localisation
ARLEQUIN Oh ! Ma Maîtresse était une fille prudente ! Acte 1, sc. 3, v. 4
ARLEQUIN Il était un Prince d'une coudée et demie de haut, qu'on surnommait Croquignolet, à cause de quantité de Batailles qu'il avait gagnées à coup de Croquignoles. Acte 1, sc. 3, ARLEQUIN, phrase 2
ARLEQUIN L'Infante Bichette était héritière présomptive d'un Royaume que son Père avait envie de conquérir. Acte 1, sc. 3, ARLEQUIN, phrase 4
ARLEQUIN Croquignolet eut de l'Infante une fille belle comme le jour, et dont il était si raffolé, qu'il passait les jours et les nuits à la bercer, en chantant ; Do do, l'enfant dort. Acte 1, sc. 3, ARLEQUIN, phrase 5
ARLEQUIN Car c'était le Premier Prince du monde, et qui avait les plus beaux talents pour endormir les petits enfants. Acte 1, sc. 3, ARLEQUIN, phrase 6
ARLEQUIN Croquignolet épouvanté de la prédiction de la Fée, fit enfermer sa fille dans une grande Tour de fer ; mais un Ogre qui en était éperdument amoureux, sachant cela se fit faire d'abord une bague d'une pierre d'aimant, avec laquelle il attirait la Tour, et la faisait suivre après lui comme un petit chien barbet, et prit des bottes de sept lieues pour ne point être rattrapé. Acte 1, sc. 3, ARLEQUIN, phrase 2
LA NOURRICE Il était une fois un Prince nommé Brutalin, il avait une fille qui s'appelait Pétille : or Pétille voulait se marier, parce qu'elle en avait envie, et elle disait toujours tout ci tout ça, par ci par là, je suis déjà grande, ma mère le fut, je voudrais bien l'être. Acte 1, sc. 5, LA NOURRICE, phrase 2
LA NOURRICE Et Brutalin son père qui était à la fenêtre, disait de son côté : Acte 1, sc. 5, LA NOURRICE, phrase 1
LA DAME C'est une Fée de mes voisines qui me changea en Pendule, parce que ma conduite était trop bien réglée. Acte 1, sc. 7, LA DAME, phrase 1
10 LA DAME Oh, Monsieur, c'est une chose avérée, toutes mes voisines se réglaient sur moi, et on m'appelait la Pendule du quartier, parce que tout était si bien ordonné chez moi, qu'on n'y perdait pas un moment, et que le jeu, la conversation galante, et les autres occupations des femmes se succédaient régulièrement. Acte 1, sc. 7, LA DAME, phrase 1
11 LA DAME Tout était si bien distribué, qu'on ne s'ennuyait jamais. Acte 1, sc. 7, LA DAME, phrase 1

 

Nombre d'occurences de l'expression : tait
par acte et par personnage

LES FÉES OU LES CONTES DE MA MÈRE L'OYE. (1694)
BARANTE et DUFESNY
 Acte 1 Total
PIERROT00
OCTAVE00
ISMÉNIE00
L'OGRE00
ARLEQUIN66
LA FÉE00
LA NOURRICE11
LA NOURRICE11
LE GRAND OGRE00
CROQUIGNOLET00
LA NYMPHE00
LE BERGER00
LE VIEILLARD00
LA DAME03
 Total1111

Graphique

 Locuteurs10 
 PIERROT 
 OCTAVE 
 ISMÉNIE 
 L'OGRE 
 ARLEQUIN6 
 LA-FÉE 
 LA-NOURRICE1 
 LA NOURRICE1 
 LE-GRAND-OGRE 
 CROQUIGNOLET 
 LA NYMPHE 
 LE BERGER 
 LE-VIEILLARD 
 LA-DAME3 

Légende

 Acte 1 

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