n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | SGANARELLE |
Et que je puis bien dire avec ce grand philosophe de l'Antiquité, que qui terre a guerre a, et qu'un malheur ne vient jamais sans l'autre ! |
Acte 2, sc. 1, SGANARELLE, phrase 3 |
2 | SGANARELLE |
Elle est morte, Monsieur mon ami, cette perte m'est très sensible, et je ne puis m'en ressouvenir sans pleurer. |
Acte 2, sc. 1, SGANARELLE, phrase 1 |
3 | SGANARELLE |
Mais, dis-moi, me veux-tu faire mourir de déplaisir, et ne puis-je savoir d'où vient cette grande langueur. |
Acte 2, sc. 2, SGANARELLE, phrase 19 |
4 | SGANARELLE |
Il n'est pas nécessaire ; et puisqu'elle veut être de cette humeur, je suis d'avis qu'on l'y laisse. |
Acte 2, sc. 3, SGANARELLE, phrase 1 |
5 | LUCINDE |
Mon père, puisque vous voulez que je vous dise la chose... |
Acte 2, sc. 3, LUCINDE, phrase 1 |
6 | LISETTE |
Non, a-t-elle dit, il m'est impossible de vivre avec le courroux de mon père : et puisqu'il me renonce pour sa fille, je veux mourir. |
Acte 2, sc. 6, LISETTE, phrase 2 |
7 | LISETTE |
Monsieur, notre chat est réchappé depuis peu d'un saut qu'il fit du haut de la maison dans la rue, et il fut trois jours sans manger, et sans pouvoir remuer ni pied ni patte ; mais il est bien heureux de ce qu'il n'y a point de chats médecins : car ses affaires étaient faites, et il n'auraient pas manqué de le purger, et de le saigner. |
Acte 3, sc. 1, LISETTE, phrase 2 |
8 | MONSIEUR DES FONANDRÈS |
Il faut toujours garder les formalités, quoi qu'il puisse arriver. |
Acte 3, sc. 3, MONSIEUR DES FONANDRÈS, phrase 2 |
9 | MONSIEUR MACROTON |
Ce n'est pas qu'a-vec tout ce-la vo-tre fil-le ne puis-se mou-rir mais au moins vous au-rez fait quel-que cho-se et vous au-rez la con-so-la-tion, qu'el-le se-ra mor-te dans les for-mes. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR MACROTON, phrase 1 |
10 |
L'OPÉRATEUR |
Ô ! Grande puissance de l'orviétan ! |
Acte 3, sc. 7, v. 28 |
11 |
L'OPÉRATEUR |
Ô ! Grande puissance de l'orviétan ! |
Acte 3, sc. 7, v. 42 |
12 | MONSIEUR FILERIN |
Et il faut confesser, que toutes ces contestations nous ont décriés, depuis peu, d'une étrange manière, et que, si nous n'y prenons garde, nous allons nous ruiner nous-mêmes. |
Acte 4, sc. 1, MONSIEUR FILERIN, phrase 5 |
13 | MONSIEUR FILERIN |
Puisque le Ciel nous fait la grâce que depuis tant de siècles, on demeure infatué de nous : ne désabusons point les hommes avec nos cabales extravagantes, et profitons de leur sottise le plus doucement que nous pourrons. |
Acte 4, sc. 1, MONSIEUR FILERIN, phrase 8 |
14 | LISETTE |
Enfin le Ciel m'a faite d'un naturel le plus humain du monde, et je ne puis voir deux amants soupirer l'un pour l'autre, qu'il ne me prenne une tendresse charitable, et un désir ardent de soulager les maux qu'ils souffrent. |
Acte 4, sc. 3, LISETTE, phrase 2 |
15 | SGANARELLE |
Dis-moi donc ce que c'est, et puis je me réjouirai peut-être. |
Acte 4, sc. 4, SGANARELLE, phrase 1 |
16 | LUCINDE |
Je puis vous dire la même chose, et je sens comme vous des mouvements de joie qui m'empêchent de pouvoir parler. |
Acte 4, sc. 6, LUCINDE, phrase 1 |
17 | CLITANDRE |
Mais, Madame, puis-je au moins croire que ce soit à vous à qui je doive la pensée de cet heureux stratagème, qui me fait jouir de votre présence ? |
Acte 4, sc. 6, CLITANDRE, phrase 3 |
18 | LUCINDE |
C'est me donner des marques d'un amour bien tendre, et j'y suis sensible autant que je puis. |
Acte 4, sc. 6, LUCINDE, phrase 1 |