n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | CIDALISE |
Dorante, vous me voyez outrée contre lui ; et je crains bien qu'il n'ait part au changement dont nous cherchons la cause ! |
Acte 1, sc. 1, CIDALISE, phrase 2 |
2 | CIDALISE |
Mais je la vois qui vient vers nous. |
Acte 1, sc. 1, CIDALISE, phrase 1 |
3 | JULIE |
Ma tante et moi nous nous servons de la même langue, et la plupart du temps je ne l'entends pas. |
Acte 1, sc. 2, JULIE, phrase 8 |
4 | CIDALISE |
Mais c'est toujours un autre coeur qui nous fait sentir le nôtre... |
Acte 1, sc. 2, CIDALISE, phrase 2 |
5 | JULIE |
Vous nous écoutiez, Dorante ?... |
Acte 1, sc. 3, JULIE, phrase 2 |
6 | DORANTE |
Apprenez, vous-même, Monsieur, qu'on ne doit point appeler usage ce que pratiquent peut-être une douzaine de folles et autant de prétendus agréables, dont Molière, s'il revenait au monde, nous donnerait de bons portraits. |
Acte 1, sc. 6, DORANTE, phrase 1 |
7 | LE MARQUIS |
Mon petit cousin, j'aime à te voir arriver du fond de ta triste baronnie pour nous montrer à vivre ! |
Acte 1, sc. 6, LE MARQUIS, phrase 2 |
8 | DORANTE |
Laissons ce persiflage, et revenons à quelque chose de plus intéressant, dont nous nous sommes écartés ; car avec vous autres gens légers et brillants, qui vous en piquez, du moins, on ne peut rien suivre. |
Acte 1, sc. 6, DORANTE, phrase 1 |
9 | LE MARQUIS |
Je ne vous en fais pas, moi ; et je crois, cependant, que de nous deux celui qui a le plus droit de me ruiner, ce n'est pas vous, Monsieur Dumont ? |
Acte 1, sc. 8, LE MARQUIS, phrase 3 |
10 | LA COMTESSE |
Enfin, cet éternel Baron, en sommes-nous défaits ? |
Acte 1, sc. 9, LA COMTESSE, phrase 1 |
11 | LA COMTESSE |
À propos, elle nous quitte, la divine Cidalise. |
Acte 1, sc. 9, LA COMTESSE, phrase 6 |
12 | LA COMTESSE |
Tenez, nous parlions de vous, le Marquis et moi, et nous en disions bien du mal ! |
Acte 1, sc. 10, LA COMTESSE, phrase 2 |
13 | LA COMTESSE |
Nous quitter si vite... |
Acte 1, sc. 10, LA COMTESSE, phrase 3 |
14 | CIDALISE |
Allons vite nous habiller pour le bal. |
Acte 1, sc. 10, CIDALISE, phrase 2 |
15 | LA COMTESSE |
La petite Bélise, par exemple ; chez qui nous soupâmes dernièrement. |
Acte 1, sc. 12, LA COMTESSE, phrase 2 |
16 | GÉRONTE |
Votre marquis n'a rien, et croit encore nous honorer beaucoup. |
Acte 1, sc. 12, GÉRONTE, phrase 1 |
17 | GÉRONTE |
Parce que nous sommes des sots. |
Acte 1, sc. 12, GÉRONTE, phrase 1 |
18 | GÉRONTE |
Cela est plus fort que nous, il est vrai. |
Acte 1, sc. 12, GÉRONTE, phrase 2 |
19 | GÉRONTE |
C'est une chose singulière que les femmes, et cet ascendant qu'elles prennent sur nous ! |
Acte 1, sc. 18, GÉRONTE, phrase 3 |
20 | GÉRONTE |
N'ont-elles rien de bon à nous répondre ? |
Acte 1, sc. 18, GÉRONTE, phrase 4 |
21 | GÉRONTE |
Mettons-nous dans un coin, et dormons, de notre mieux, sur ce sofa. |
Acte 1, sc. 18, GÉRONTE, phrase 16 |
22 | LE MARQUIS |
D'ordinaire, nos intendants nous ruinent ; et je compte bien que ce sera moi qui ruinerai celui-ci... |
Acte 1, sc. 20, LE MARQUIS, phrase 1 |
23 | LE MARQUIS |
Vous avez donc oublié ce que nous en avons dit tantôt ; et combien vous et moi l'avons chamarrée de ridicules ? |
Acte 1, sc. 20, LE MARQUIS, phrase 5 |
24 | CIDALISE |
Contraignons-nous encore. |
Acte 1, sc. 20, CIDALISE, phrase 2 |
25 | LE MARQUIS |
Tâchons de nous retourner. |
Acte 1, sc. 20, LE MARQUIS, phrase 2 |
26 | JULIE |
Souffrez, mon père, que Dorante et moi nous embrassions vos genoux ! |
Acte 1, sc. 22, JULIE, phrase 1 |
27 |
TOUS |
Ce temps, dont nous peignons les moeurs, |
Acte 1, sc. 24, v. 42 |
28 |
TOUS |
Ce temps, dont nous peignons les moeurs, |
Acte 1, sc. 24, v. 48 |