n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | NERINE |
Non, non, non, ne bougez, je m'étais trompée. |
Acte 2, sc. 1, NERINE, phrase 1 |
2 | ÉRASTE |
Oui, belle Julie, nous avons dressé pour cela quantités de machines, et nous ne feignons point de mettre tout en usage, sur la permission que vous m'avez donnée. |
Acte 2, sc. 1, ÉRASTE, phrase 1 |
3 | NERINE |
Non, Pourceaugnac est une chose que je ne saurais supporter, et nous lui jouerons tant de pièces, nous lui ferons tant de niches sur niches, que nous renverrons à Limoges Monsieur de Pourceaugnac. |
Acte 2, sc. 1, NERINE, phrase 11 |
4 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Non, j'allais en chercher un. |
Acte 2, sc. 3, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
5 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Non, rien qu'une tante. |
Acte 2, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
6 | ÉRASTE |
Non, mais de taille bien prise. |
Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1 |
7 | ÉRASTE |
Non, le diable m'emporte, vous logerez chez moi. |
Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1 |
8 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Non, je lui ai défendu de bouger, à moins que j'y fusse moi-même, de peur de quelque fourberie. |
Acte 2, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
9 | L APOTHICAIRE |
Non, Monsieur, ce n'est pas moi qui suis le médecin ; à moi n'appartient pas cet honneur, et je ne suis qu'apothicaire, apothicaire indigne, pour vous servir. |
Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 1 |
10 | ÉRASTE |
Non, ne bougez, j'attendrai qu'il ait fait ; c'est pour lui mettre entre les mains certain parent que nous avons, dont on lui a parlé, et qui se trouve attaqué de quelque folie, que nous serions bien aises qu'il pût guérir avant que de le marier. |
Acte 2, sc. 5, ÉRASTE, phrase 1 |
11 | LA PAYSANNE |
Non, Monsieur. |
Acte 2, sc. 6, LA PAYSANNE, phrase 1 |
12 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Non, s'il vous plaît, je n'entends pas que vous fassiez de dépense, et que vous envoyiez rien acheter pour moi. |
Acte 2, sc. 7, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
13 | PREMIER MÉDECIN |
Je l'appelle mélancolie hypocondriaque, pour la distinguer des deux autres ; car le célèbre Galien établit doctement à son ordinaire trois espèces de cette maladie que nous nommons mélancolie, ainsi appelée non seulement par les Latins, mais encore par les Grecs ; ce qui est bien à remarquer pour notre affaire : la première, qui vient du propre vice du cerveau ; la seconde, qui vient de tout le sang, fait et rendu atrabilaire ; la troisième, appelée hypocondriaque, qui est la nôtre, laquelle procède du vice de quelque partie du bas-ventre et de la région inférieure, mais particulièrement de la rate, dont la chaleur et l'inflammation porte au cerveau de notre malade beaucoup de fuligines épaisses et crasses, dont la vapeur noire et maligne, cause dépravation aux fonctions de la faculté princesse, et fait la maladie dont par notre raisonnement il est manifestement atteint et convaincu. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 3 |
14 | SECOND MEDECIN |
À Dieu ne plaise, Monsieur, qu'il me tombe en pensée d'ajouter rien à ce que vous venez de dire : vous avez si bien discouru sur tous les signes, les symptômes et les causes de la maladie de Monsieur ; le raisonnement que vous en avez fait est si docte et si beau, qu'il est impossible qu'il ne soit pas fou, et mélancolique hypocondriaque ; et quand il ne le serait pas, il faudrait qu'il le devînt, pour la beauté des choses que vous avez dites, et la justesse du raisonnement que vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez fait. Oui, Monsieur, vous avez dépeint fort graphiquement, graphice depinxisti, tout ce qui appartient à cette maladie ; il ne se peut rien de plus doctement, sagement, ingénieusement conçu, pensé, imaginé, que ce que vous avez prononcé au sujet de ce mal, soit pour la diagnose, ou la prognose, ou la thérapie ; et il ne me reste rien ici, que de féliciter Monsieur, d'être tombé entre vos mains, et de lui dire qu'il est trop heureux d'être fou, pour éprouver l'efficace et la douceur des remèdes que vous avez si judicieusement proposés: je les approuve tous, manibus et pedibus descendo in tuam sententiam. |
Acte 2, sc. 8, SECOND MEDECIN, phrase 1 |
15 | PREMIER MÉDECIN |
Non, Monsieur, nous ne jouons point. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
16 |
DEUX MUSICIENS |
Non vi lasciate uccidere |
Acte 2, sc. 10, v. 28 |
17 |
PREMIER MUSICIEN |
Altro non é la pazzia |
Acte 2, sc. 10, v. 35 |
18 |
PREMIER MUSICIEN |
Non é disperato, |
Acte 2, sc. 10, v. 38 |
19 |
PREMIER MUSICIEN |
Altro non é la pazzia |
Acte 2, sc. 10, v. 40 |
20 |
DEUX MUSICIENS |
Che non ti farà male, |
Acte 2, sc. 11, v. 51 |
21 | SBRIGANI |
Non vraiment, qu'est-ce que c'est ? |
Acte 3, sc. 4, SBRIGANI, phrase 1 |
22 | SBRIGANI |
Non, cela n'est pas nécessaire. |
Acte 3, sc. 4, SBRIGANI, phrase 1 |
23 | ORONTE |
Non : rentrez là dedans. |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
24 | ORONTE |
Je sais ce que j'en dois croire, et vous ne m'abuserez pas là-dessus, non plus que sur les dettes que vous avez assignées sur le mariage de ma fille. |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
25 | SBRIGANI |
Il me semble que le sens commun d'un gentilhomme peut bien aller à concevoir ce qui est du droit et de l'ordre de la justice ; mais non pas à savoir les vrais termes de la chicane. |
Acte 3, sc. 10, SBRIGANI, phrase 1 |
26 | L'EXEMPT |
Non, non, à votre mine, et à vos discours, il faut que vous soyez ce Monsieur de Pourceaugnac que nous cherchons, qui se soit déguisé de la sorte ; et vous viendrez en prison tout à l'heure. |
Acte 4, sc. 4, L'EXEMPT, phrase 1 |
27 | L'EXEMPT |
Non, il m'est impossible. |
Acte 4, sc. 5, L'EXEMPT, phrase 1 |
28 | L'EXEMPT |
Non, mon ordre est trop exprès. |
Acte 4, sc. 5, L'EXEMPT, phrase 1 |
29 | ÉRASTE |
Tenez, Monsieur, voilà votre fille que j'ai tirée de force d'entre les mains de l'homme avec qui elle s'enfuyait ; non pas pour l'amour d'elle, mais pour votre seule considération : car après l'action qu'elle a faite, je dois la mépriser, et me guérir absolument de l'amour que j'avais pour elle. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 2 |
30 | ÉRASTE |
Non, non, ne vous imaginez pas que j'aie aucune envie de détourner ce mariage, et que ce soit ma passion qui m'ait forcé à courir après vous. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
31 | JULIE |
Non, je n'en ferai rien. |
Acte 4, sc. 7, JULIE, phrase 1 |
32 | ÉRASTE |
Non, non, Monsieur, ne lui faites point de violence, je vous en prie. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
33 |
L'EGYPTIENNE |
Votre ardeur est non commune, |
Acte 4, sc. 8, v. 92 |