Occurences de l'expression

l

dans L'OMBRE DE MOLIÈRE de BARBIER P.J. (1847)

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 Personnage  Vers ou phrase Localisation
MERCURE Holà ! ? Ho ! ? Molière !... Eh ! ? Ne répondras-tu pas, Acte 1, sc. 1, v. 1
MERCURE Maraud ? Je cherche en vain la trace de ses pas. Acte 1, sc. 1, v. 2
MERCURE On t'échappe. ? Devant que la nuit soit obscure, Acte 1, sc. 1, v. 4
MERCURE Je veux tenir mon drôle. Acte 1, sc. 1, v. 5
MERCURE Ouf ! Cela me déplaît, Acte 1, sc. 1, v. 5
MERCURE Faire courir un dieu comme on fait un valet ! Acte 1, sc. 1, v. 6
MERCURE Car enfin je suis dieu, fût-ce de vieille date. Acte 1, sc. 1, v. 7
MERCURE Çà, voyons ! ? En quels lieux sommes-nous ? ? Tête ingrate, Acte 1, sc. 1, v. 8
MERCURE Ne te souvient-il pas que Mercure autrefois Acte 1, sc. 1, v. 9
10  MERCURE Commit quelque fredaine à l'ombre de ces bois ? Acte 1, sc. 1, v. 10
11  MERCURE Vois-je point le bocage où Vénus me fut tendre ? Acte 1, sc. 1, v. 11
12  MERCURE Sont-ce les bords du Xanthe, ? ou les bords du Scamandre ? Acte 1, sc. 1, v. 12
13  MERCURE N'est-ce pas l'Eurotas, où jadis s'attarda Acte 1, sc. 1, v. 13
14  MERCURE Le seigneur Jupiter dans les bras de Léda ? Acte 1, sc. 1, v. 14
15  MERCURE Ou... Ma foi, je ne sais ! ? Mais quel sommeil me presse ? Acte 1, sc. 1, v. 15
16  MERCURE Je dors debout... Bonsoir !... Parbleu ! C'est le Permesse ! Acte 1, sc. 1, v. 16
17  MERCURE Oui, voilà Castalie aux rivages fleuris, Acte 1, sc. 1, v. 17
18  MERCURE Hyppocrène aux flots purs.... s'ils n'étaient point taris ! Acte 1, sc. 1, v. 18
19  MERCURE Je ne m'étonne plus qu'on y dorme à cette heure. Acte 1, sc. 1, v. 19
20  MERCURE Il faudra que Molière un instant y demeure, Acte 1, sc. 1, v. 20
21  MERCURE Et peut-être verrais-je, au seul bruit de sa voix, Acte 1, sc. 1, v. 21
22  MERCURE Courir les flots pressés et reverdir les bois ! Acte 1, sc. 1, v. 22
23  MERCURE Oui, mais en attendant je fais le pied de grue, Acte 1, sc. 1, v. 23
24  MERCURE Qu'on me reprenne encore à quereller Caron Acte 1, sc. 1, v. 25
25  MERCURE Pour faire à ces humains repasser l'Achéron. Acte 1, sc. 1, v. 26
26  MERCURE Ce matin , égaré dans les demeures sombres , Acte 1, sc. 1, v. 27
27  MERCURE Je rencontre Molière errant parmi les ombres : Acte 1, sc. 1, v. 28
28  MERCURE Je l'appelle, il m'aborde, et me serrant la main : Acte 1, sc. 1, v. 29
29  MERCURE Mercure, me dit-il, que fait le genre humain ? ? Acte 1, sc. 1, v. 30
30  MERCURE La plaisante demande ! Ai-je dit. Par Hercule ! Acte 1, sc. 1, v. 31
31  MERCURE Le genre humain, Molière, est toujours ridicule. Acte 1, sc. 1, v. 32
32  MERCURE Il trahit la raison qui le veut conseiller. ? Acte 1, sc. 1, v. 33
33  MERCURE Le fait-on rire au moins ? ? Non, on le fait bâiller ; Acte 1, sc. 1, v. 34
34  MERCURE Réveille en son tombeau la vieille comédie , Acte 1, sc. 1, v. 36
35  MERCURE Enseigne la jeunesse aux muses de vingt ans. Acte 1, sc. 1, v. 38
36  MERCURE Le théâtre a perdu son mâle caractère. ? Acte 1, sc. 1, v. 39
37  MERCURE Alors il m'a pressé de l'amener sur terre : Acte 1, sc. 1, v. 40
38  MERCURE Et nous sommes sortis de l'empire des morts, Acte 1, sc. 1, v. 42
39  MERCURE Cette immortalité de la sottise humaine. ? Acte 1, sc. 1, v. 44
40  MERCURE Peste ! Où vais-je chercher ce merveilleux discours ? Acte 1, sc. 1, v. 45
41  MERCURE Si Molière n'en vient interrompre le cours, Acte 1, sc. 1, v. 46
42  MERCURE Je suis bientôt à bout de verve et de logique. Acte 1, sc. 1, v. 47
43  MERCURE Pourquoi m'a-t-on donné le droit mythologique Acte 1, sc. 1, v. 48
44  MERCURE De tirer à mon gré les âmes des enfers ? Acte 1, sc. 1, v. 49
45  MERCURE Il en faut accuser quelque faiseur de vers, Acte 1, sc. 1, v. 50
46  MERCURE Un fou Grec ou Latin ! ? Car tout dieux que nous sommes, Acte 1, sc. 1, v. 51
47  MERCURE Qu'est-ce que nous ferions sans le cerveau des hommes ? Acte 1, sc. 1, v. 52
48  MERCURE Enfin je l'aperçois. Acte 1, sc. 1, v. 53
49  MERCURE Je te fais compliment ! Acte 1, sc. 2, v. 53
50  MERCURE Fi ! ? Te sauver de moi, Molière ? Acte 1, sc. 2, v. 54
51  MOLIÈRE Je voulais plus tranquille errer à l'aventure. Acte 1, sc. 2, v. 55
52  MOLIÈRE Sais-tu que les humains font des progrès, Mercure ? Acte 1, sc. 2, v. 56
53  MOLIÈRE J'ai vu de bons côtés au monde où nous voilà. Acte 1, sc. 2, v. 57
54  MERCURE Je m'embarrasse bien de ces animaux-là ! Acte 1, sc. 2, v. 58
55  MERCURE Tout au plus à moi-même. Acte 1, sc. 2, v. 59
56  MOLIÈRE En ce point-là pourtant, je ne suis pas extrême. Acte 1, sc. 2, v. 60
57  MOLIÈRE Je ne les donne pas tous pour de braves gens ; Acte 1, sc. 2, v. 61
58  MOLIÈRE Mais , si d'un faux semblant mon esprit ne se leurre , Acte 1, sc. 2, v. 63
59  MOLIÈRE Chacun d'entre eux est pire et la masse est meilleure, Acte 1, sc. 2, v. 64
60  MOLIÈRE Les vices, je le sais , ont pouvoir sur chacun ; Acte 1, sc. 2, v. 65
61  MOLIÈRE La route sous les pas semble s'être aplanie, Acte 1, sc. 2, v. 67
62  MOLIÈRE Les rangs ont disparu dans cette foule unie, Acte 1, sc. 2, v. 68
63  MOLIÈRE Et cela m'a touché de voir en mon chemin Acte 1, sc. 2, v. 69
64  MOLIÈRE Des rois et des sujets qui se donnaient la main. Acte 1, sc. 2, v. 70
65  MERCURE Ma foi, qu'ils soient d'accord ou se fassent la guerre, Acte 1, sc. 2, v. 71
66  MERCURE À te parler tout franc, il ne m'importe guère. Acte 1, sc. 2, v. 72
67  MERCURE Tu perds le bon vieux rire à si bien raisonner, Acte 1, sc. 2, v. 73
68  MERCURE Et voilà ta gaîté prête à t'abandonner. Acte 1, sc. 2, v. 74
69  MOLIÈRE Et la France d'abord ne parle plus français ! Acte 1, sc. 2, v. 78
70  MOLIÈRE Il semble qu'on pouvait se contenter du nôtre. Acte 1, sc. 2, v. 80
71  MOLIÈRE Beaucoup de leurs défauts sont par l'âge effacés, Acte 1, sc. 2, v. 81
72  MOLIÈRE Mais par d'autres défauts ont été remplacés . Acte 1, sc. 2, v. 82
73  MOLIÈRE Le ridicule humain est une hydre fertile ; Acte 1, sc. 2, v. 83
74  MOLIÈRE Une sottise morte en fait renaître mille! Acte 1, sc. 2, v. 84
75  MOLIÈRE Leur peindre encor les traits qui m'ont frappé les yeux ! ? Acte 1, sc. 2, v. 86
76  MERCURE C'est assez discourir, il faut rentrer au gîte ; Acte 1, sc. 2, v. 88
77  MERCURE Viens-t'en, Molière. Acte 1, sc. 2, v. 89
78  MOLIÈRE Et qu'il garde longtemps trace de ma venue. Acte 1, sc. 2, v. 92
79  MOLIÈRE Cherche-moi dans la foule un poète nouveau, Acte 1, sc. 2, v. 93
80  MOLIÈRE Échauffé pour son art d'une amoureuse flamme Acte 1, sc. 2, v. 95
81  MOLIÈRE Qu'il n'ait point de génie et qu'il ait un peu d'âme : Acte 1, sc. 2, v. 96
82  MOLIÈRE C'est le point principal. ? Je le veux conseiller. Acte 1, sc. 2, v. 97
83  MERCURE Certes un pareil trésor ne se peut trop payer ! Acte 1, sc. 2, v. 98
84  MERCURE Bien que de nos rimeurs l'espèce soit commune. Acte 1, sc. 2, v. 100
85  MERCURE Si tu veux que le ciel te le puisse accorder, Acte 1, sc. 2, v. 101
86  MERCURE Sur un autre modèle il le faut demander. Acte 1, sc. 2, v. 102
87  MERCURE La plupart n'ont plus foi dans cette poésie Acte 1, sc. 2, v. 103
88  MERCURE Ils y dirigent mal leur essor impuissant, Acte 1, sc. 2, v. 105
89  MERCURE Et de leurs plus beaux vers le coeur demeure absent. Acte 1, sc. 2, v. 106
90  MOLIÈRE Je prends donc le premier qui s'offre sur ma route ; Acte 1, sc. 2, v. 107
91  MOLIÈRE Et tu peux t'assurer, malgré ton air railleur, Acte 1, sc. 2, v. 109
92  MOLIÈRE Que sortant d'avec nous il sortira meilleur. Acte 1, sc. 2, v. 110
93  MERCURE Nous sommes à souhait servis par la fortune. Acte 1, sc. 2, v. 111
94  MERCURE Voici d'un jeune fou la rencontre opportune, Acte 1, sc. 2, v. 112
95  MERCURE On devine aisément que l'homme fait des vers. Acte 1, sc. 2, v. 114
96  MOLIÈRE Demeurons un instant à l'écart, je te prie. Acte 1, sc. 2, v. 115
97  LE POÈTE Oui, l'inspiration est pour jamais tarie ; Acte 1, sc. 3, v. 116
98  LE POÈTE Adieu la comédie et sa joyeuse humeur ! Acte 1, sc. 3, v. 117
99  LE POÈTE L'homme est sans probité, sans vertu, sans honneur ! Acte 1, sc. 3, v. 118
100  LE POÈTE À peine il fournirait des vers à la satire, Acte 1, sc. 3, v. 119
101  LE POÈTE Et ce n'est plus le lieu de chanter et de rire ! Acte 1, sc. 3, v. 120
102  LE POÈTE La voix est impuissante à le bien outrager : Acte 1, sc. 3, v. 121
103  LE POÈTE C'est d'un bâton noueux qu'on le doit fustiger. Acte 1, sc. 3, v. 122
104  LE POÈTE Et lui souffler d'un coup l'incendie et la peste !!! Acte 1, sc. 3, v. 124
105  LE POÈTE Morbleu ! Acte 1, sc. 3, v. 125
106  MOLIÈRE Mon fils, écoute-moi. Acte 1, sc. 3, v. 125
107  LE POÈTE Qui me parle ? Acte 1, sc. 3, v. 126
108  MOLIÈRE Molière. Acte 1, sc. 3, v. 126
109  MERCURE Eh ! Sans doute ! C'est lui, sans phrase et sans figure. Acte 1, sc. 3, v. 127
110  LE POÈTE Bien, ne l'interromps pas, puisque tu n'es qu'un dieu ! Acte 1, sc. 3, v. 130
111  MERCURE Impertinent mortel ! Acte 1, sc. 3, v. 131
112  MOLIÈRE Prêt à quitter la place, Acte 1, sc. 3, v. 131
113  MOLIÈRE La bouillante jeunesse est prompte à s'emporter : Acte 1, sc. 3, v. 134
114  MOLIÈRE Il semble tous les jours à ces bruyants courages Acte 1, sc. 3, v. 135
115  MOLIÈRE Qu'ils ne sauraient au monde épargner les outrages : Acte 1, sc. 3, v. 136
116  MOLIÈRE Mais pour tout condamner comme ils font, connais-tu Acte 1, sc. 3, v. 137
117  MOLIÈRE S'ils sont bien assurés de leur propre vertu ? Acte 1, sc. 3, v. 138
118  MOLIÈRE Ne prononce jamais un semblable anathème, Acte 1, sc. 3, v. 139
119  MOLIÈRE Avant que tu te sois replié sur toi-même, Acte 1, sc. 3, v. 140
120  MOLIÈRE Et juge d'un esprit au calme ramené Acte 1, sc. 3, v. 141
121  MOLIÈRE Eh ! mon_Dieu! je le sais, dans la fougue de l'âge Acte 1, sc. 3, v. 143
122  MOLIÈRE On se plaît à frapper des vices qu'on partage, Acte 1, sc. 3, v. 144
123  MOLIÈRE Et contre leur attrait n'étant pas assez fort, Acte 1, sc. 3, v. 145
124  MOLIÈRE On veut à les blâmer faire un dernier effort. Acte 1, sc. 3, v. 146
125  MOLIÈRE Mais sans tremper tes vers au fiel de la satire, Acte 1, sc. 3, v. 147
126  MOLIÈRE Dans ses plus grands excès tourne le vice au rire : Acte 1, sc. 3, v. 148
127  MOLIÈRE J'ai fait rire mon temps sur ses propres douleurs, Acte 1, sc. 3, v. 149
128  MOLIÈRE Et ma gaîté souvent fut voisine des pleurs. - Acte 1, sc. 3, v. 150
129  MOLIÈRE D'ailleurs qu'espères-tu de ta rude colère ? Acte 1, sc. 3, v. 151
130  MOLIÈRE Pour convaincre les coeurs tu dois d'abord leur plaire; Acte 1, sc. 3, v. 152
131  MOLIÈRE Sous le fouet rigoureux d'un maître on se défend, Acte 1, sc. 3, v. 153
132  MOLIÈRE Mais sous la main d'un père on redevient enfant. Acte 1, sc. 3, v. 154
133  MOLIÈRE La faiblesse est commune à tous tant que nous sommes, Acte 1, sc. 3, v. 155
134  MOLIÈRE Et pour les corriger il faut aimer les hommes. Acte 1, sc. 3, v. 156
135  MERCURE Il n'aimait point Sosie et l'a fort bien battu. Acte 1, sc. 3, v. 158
136  LE POÈTE J'écoute avec respect tes austères paroles, Acte 1, sc. 3, v. 159
137  LE POÈTE Et déjà tu me rends l'espoir et me consoles, Acte 1, sc. 3, v. 160
138  LE POÈTE Les champs sont épuisés où nous pouvons glaner ; Acte 1, sc. 3, v. 162
139  LE POÈTE Et ta muse immortelle a, d'une main sacrée, Acte 1, sc. 3, v. 163
140  LE POÈTE Serré tous les épis de leur moisson dorée. Acte 1, sc. 3, v. 164
141  LE POÈTE Quelle est la chose humaine où tu n'as point touché ? Acte 1, sc. 3, v. 166
142  LE POÈTE Il n'est plus en notre âge une mine féconde, Acte 1, sc. 3, v. 167
143  LE POÈTE Et l'inspiration a disparu du monde. Acte 1, sc. 3, v. 168
144  MOLIÈRE C'est en toi qu'elle manque et non dans l'univers. ? Acte 1, sc. 3, v. 169
145  MOLIÈRE Regarde mieux, mon fils; l'homme est toujours divers, Acte 1, sc. 3, v. 170
146  MOLIÈRE Bien qu'il soit toujours homme ; et, pour qui voit les choses, Acte 1, sc. 3, v. 171
147  MOLIÈRE Le nombre est infini de ses métamorphoses. Acte 1, sc. 3, v. 172
148  MOLIÈRE Ainsi change la mer sous un vent incertain, Acte 1, sc. 3, v. 173
149  MOLIÈRE Furieuse le soir et calme le matin ; Acte 1, sc. 3, v. 174
150  MOLIÈRE Tantôt resplendissante et tantôt effroyable, Acte 1, sc. 3, v. 175
151  MOLIÈRE Et jamais un seul jour à soi-même semblable. Acte 1, sc. 3, v. 176
152  MOLIÈRE Pourtant ce sont les flots au même sein conçus, Acte 1, sc. 3, v. 177
153  MERCURE Belle comparaison ! Les flots ! Les vents ! L'aurore ! Acte 1, sc. 3, v. 179
154  MERCURE La figure me plaît et la phrase est sonore. Acte 1, sc. 3, v. 180
155  MERCURE Sur l'une et l'autre mer on peut bien s'engager, Acte 1, sc. 3, v. 181
156  MERCURE Mais la première affaire est d'apprendre à nager. Acte 1, sc. 3, v. 182
157  LE POÈTE Aide-moi donc, Molière, à chercher une voie Acte 1, sc. 3, v. 183
158  LE POÈTE Passons les médecins : ils sont savants. Acte 1, sc. 3, v. 185
159  MOLIÈRE Il est vrai qu'ils en sont parfois plus ennuyeux. Acte 1, sc. 3, v. 186
160  MOLIÈRE Mais si leur grand savoir les a faits vénérables, Acte 1, sc. 3, v. 187
161  MOLIÈRE Par beaucoup de côtés ils restent vulnérables : Acte 1, sc. 3, v. 188
162  MOLIÈRE Plus d'un mériterait le nom de charlatan, Acte 1, sc. 3, v. 189
163  MERCURE N'auras-tu point pitié de leur gent assassine ? Acte 1, sc. 3, v. 191
164  MERCURE Quoi ! Même après ta mort railler la médecine ! Acte 1, sc. 3, v. 192
165  MOLIÈRE Bon ! C'est une raison pour la railler plus fort. Acte 1, sc. 3, v. 193
166  MOLIÈRE Veux-tu pas qu'elle coure après moi qui suis mort ? Acte 1, sc. 3, v. 194
167  LE POÈTE Les marquis du vieux temps, au pied fin, à l'oeil tendre, Acte 1, sc. 3, v. 196
168  LE POÈTE Tout fiers de leurs rubans et de leur qualité, Acte 1, sc. 3, v. 197
169  LE POÈTE Caressant leur sottise avec leur vanité, Acte 1, sc. 3, v. 198
170  LE POÈTE Selon leur mauvais goût faisant la loi suprême, Acte 1, sc. 3, v. 199
171  LE POÈTE Et jugeant une pièce avec : Tarte à la crème ! Acte 1, sc. 3, v. 200
172  MOLIÈRE Ma foi, vous en avez qui ne leur cèdent pas, Acte 1, sc. 3, v. 201
173  MOLIÈRE Et sur beaucoup de points les vôtres ont le pas. Acte 1, sc. 3, v. 202
174  MOLIÈRE Si nos marquis vivaient en des loisirs futiles, Acte 1, sc. 3, v. 203
175  MOLIÈRE Peut-être ils n'avaient pas le pouvoir d'être utiles ; Acte 1, sc. 3, v. 204
176  MOLIÈRE Mais la France aujourd'hui réclame tous ses fils, Acte 1, sc. 3, v. 205
177  MOLIÈRE Et qui perd sa jeunesse a volé son pays. ? Acte 1, sc. 3, v. 206
178  MOLIÈRE Veux-tu d'autres sujets ? La suite en est nombreuse, Acte 1, sc. 3, v. 207
179  MOLIÈRE Tu peux y promener ta plume aventureuse, Acte 1, sc. 3, v. 208
180  MOLIÈRE Vers la place publique ou bien vers la maison. Acte 1, sc. 3, v. 210
181  MOLIÈRE Là, c'est monsieur Jourdain dont la tête fêlée, Acte 1, sc. 3, v. 211
182  MOLIÈRE Du désir de régner est tout ensorcelée. Acte 1, sc. 3, v. 212
183  MOLIÈRE La noblesse à ses yeux a perdu de son prix, Acte 1, sc. 3, v. 213
184  MOLIÈRE Mais le pouvoir sourit à ses petits esprits. Acte 1, sc. 3, v. 214
185  MOLIÈRE Enflé de sa roture et de sa bourgeoisie, Acte 1, sc. 3, v. 215
186  MOLIÈRE Il prétend régenter l'Europe avec l'Asie, Acte 1, sc. 3, v. 216
187  MOLIÈRE Dans leurs plus beaux efforts empêche les grands coeurs, Acte 1, sc. 3, v. 217
188  MOLIÈRE Et raille le génie avec des airs moqueurs. Acte 1, sc. 3, v. 218
189  MOLIÈRE Cependant quand il a bien servi la patrie, Acte 1, sc. 3, v. 219
190  MOLIÈRE Quand une noble idée à son front s'est meurtrie, Acte 1, sc. 3, v. 220
191  MOLIÈRE Il rapporte chez lui ses lauriers triomphants, Acte 1, sc. 3, v. 221
192  MOLIÈRE Ici c'est Philaminte et son humeur savante, Acte 1, sc. 3, v. 223
193  MOLIÈRE Mais non plus seulement pour Vaugelas fervente ; Acte 1, sc. 3, v. 224
194  MOLIÈRE D'un plus digne sujet son cerveau s'est épris : Acte 1, sc. 3, v. 225
195  MOLIÈRE Il est temps de passer la quenouille aux maris, Acte 1, sc. 3, v. 226
196  MOLIÈRE De prendre comme il faut son rang dans la famille, Acte 1, sc. 3, v. 227
197  MOLIÈRE D'enseigner l'impudeur et le code à sa fille, Acte 1, sc. 3, v. 228
198  MOLIÈRE D'expliquer librement l'évangile et la loi, Acte 1, sc. 3, v. 229
199  MOLIÈRE Et de nous faire enfin cocus de bon aloi ! Acte 1, sc. 3, v. 230
200  MOLIÈRE Pour Trissotin, la race en est si fort accrue Acte 1, sc. 3, v. 231
201  MOLIÈRE Qu'on trouve ce gredin à tous les coins de rue ; Acte 1, sc. 3, v. 232
202  MOLIÈRE L'un, l'effroi du papier et la honte de l'art , Acte 1, sc. 3, v. 233
203  MOLIÈRE S'environne à plaisir d'un éternel brouillard, Acte 1, sc. 3, v. 234
204  MOLIÈRE Va chercher dans les cieux le vague et le mystère , Acte 1, sc. 3, v. 235
205  MOLIÈRE Et se croirait perdu s'il restait sur la terre. Acte 1, sc. 3, v. 236
206  MOLIÈRE L'autre est à qui le paie, et fait en même temps Acte 1, sc. 3, v. 237
207  MOLIÈRE Des chansons pour les bleus et des vers pour les blancs, Acte 1, sc. 3, v. 238
208  MOLIÈRE Souille la probité dont l'éclat l'importune, Acte 1, sc. 3, v. 239
209  MOLIÈRE Et sur son déshonneur établit sa fortune. Acte 1, sc. 3, v. 240
210  MOLIÈRE L'autre enfin, oubliant d'apprendre le français, Acte 1, sc. 3, v. 241
211  MOLIÈRE Le prétend inutile et lui fait son procès , Acte 1, sc. 3, v. 242
212  MOLIÈRE Voilà de vos rimeurs, et monsieur Trissotin Acte 1, sc. 3, v. 245
213  MOLIÈRE Avait meilleure grâce à nous parler latin ! Acte 1, sc. 3, v. 246
214  MOLIÈRE À ce seul souvenir ma voix encor s'irrite. Acte 1, sc. 3, v. 248
215  MOLIÈRE Tartufe ! Il est partout, dans le temple, au Sénat, Acte 1, sc. 3, v. 249
216  MOLIÈRE Sous l'habit du tribun, sous le dais du prélat ! Acte 1, sc. 3, v. 250
217  MOLIÈRE Bien différent du gueux qu'au parvis d'une église Acte 1, sc. 3, v. 251
218  MOLIÈRE Monsieur Orgon recueillit sans souliers ni chemise, Acte 1, sc. 3, v. 252
219  MOLIÈRE Il porte haut la tête, et d'un encens banal Acte 1, sc. 3, v. 253
220  MOLIÈRE Enfume des coquins dans un dévot journal. Acte 1, sc. 3, v. 254
221  MOLIÈRE Habile à raconter de pieuses histoires, Acte 1, sc. 3, v. 255
222  MOLIÈRE Des moines et des saints il écrit les mémoires ; Acte 1, sc. 3, v. 256
223  MOLIÈRE Il parle au nom du peuple et de la liberté ! Acte 1, sc. 3, v. 257
224  MOLIÈRE C'est lui qui prône en chaire un bal de charité, Acte 1, sc. 3, v. 258
225  MOLIÈRE Et du gain qu'il en tire amasse des retraites Acte 1, sc. 3, v. 259
226  MOLIÈRE Pour les filles de joie et les voleurs honnêtes. Acte 1, sc. 3, v. 260
227  MOLIÈRE De leurs deniers pourtant il vit avec éclat, Acte 1, sc. 3, v. 261
228  MOLIÈRE Criant fort, mangeant bien, jusqu'à ce que l'État, Acte 1, sc. 3, v. 262
229  MOLIÈRE Le hausse à quelque emploi digne de son mérite ! Acte 1, sc. 3, v. 264
230  MOLIÈRE Si tout ce que j'ai dit te semble un peu gaulois, Acte 1, sc. 3, v. 265
231  MOLIÈRE Il en faut accuser le vieux parler français. Acte 1, sc. 3, v. 266
232  MOLIÈRE Je hais la muse frêle et timide ; et la mienne Acte 1, sc. 3, v. 267
233  MOLIÈRE Trahit dans ses instincts la race plébéienne ; Acte 1, sc. 3, v. 268
234  MOLIÈRE Elle aime la rudesse, et sans chercher le mot, Acte 1, sc. 3, v. 269
235  MOLIÈRE Quand elle trouve un sot, elle l'appelle un sot. Acte 1, sc. 3, v. 270
236  MERCURE Quel malheur qu'il soit mort ! ? Eh bien, poète imberbe ? Acte 1, sc. 3, v. 271
237  LE POÈTE Eh bien ! Mon coeur s'emplit d'une flamme superbe ! Acte 1, sc. 3, v. 272
238  LE POÈTE C'est peu de t'admirer, Molière, il faut t'aimer ! Acte 1, sc. 3, v. 273
239  LE POÈTE Tous les nobles désirs me viennent animer. Acte 1, sc. 3, v. 274
240  LE POÈTE Merci ! ? Je vais m'enfuir dans quelque solitude, Acte 1, sc. 3, v. 275
241  LE POÈTE Et là, tout au silence, aux veilles, à l'étude, Acte 1, sc. 3, v. 276
242  MOLIÈRE Le travail te serait quelque chose de vain, Acte 1, sc. 3, v. 278
243  MOLIÈRE Si tu n'avais d'abord étudié le monde. Acte 1, sc. 3, v. 279
244  MOLIÈRE Laisse aux savants poudreux leur retraite profonde : Acte 1, sc. 3, v. 280
245  MOLIÈRE Comme en un livre ouvert sachent lire en nos coeurs. Acte 1, sc. 3, v. 282
246  MOLIÈRE Attentif et muet c'est dans la multitude Acte 1, sc. 3, v. 283
247  MOLIÈRE Que tu dois chaque jour faire ta solitude. Acte 1, sc. 3, v. 284
248  MOLIÈRE Dans sa naïveté surprends l'homme : à ce prix, Acte 1, sc. 3, v. 285
249  MOLIÈRE Tu feras circuler la vie en tes écrits. Acte 1, sc. 3, v. 286
250  MOLIÈRE * Il faut qu'au premier coup l'image en soit tracée. ? Acte 1, sc. 3, v. 287
251  MOLIÈRE * Je louais son pinceau de produire à nos yeux Acte 1, sc. 3, v. 289
252  MOLIÈRE * Cette belle peinture inconnue en ces lieux, Acte 1, sc. 3, v. 290
253  MOLIÈRE * La fresque, dont la grâce à l'autre préférée, Acte 1, sc. 3, v. 291
254  MOLIÈRE * Se conserve un éclat d'éternelle durée ; Acte 1, sc. 3, v. 292
255  MOLIÈRE * Mais dont la promptitude et les brusques fiertés Acte 1, sc. 3, v. 293
256  MOLIÈRE * Veulent un grand génie à toucher ses beautés . Acte 1, sc. 3, v. 294
257  MERCURE Pardieu ! Je me veux mettre aussi de la partie ! Acte 1, sc. 3, v. 295
258  MERCURE Mon fils, j'aurai du moins ta jeunesse avertie Acte 1, sc. 3, v. 296
259  MERCURE De tous les mauvais pas où tu rompras ton cou, Acte 1, sc. 3, v. 297
260  MERCURE Si tu suis les conseils de cet honnête fou. Acte 1, sc. 3, v. 298
261  MERCURE On lâchera sur toi l'outrage et l'imposture, Acte 1, sc. 3, v. 300
262  MERCURE On en viendra peut-être à te casser les reins. Acte 1, sc. 3, v. 302
263  MERCURE Sommeillant sur la dure et faisant maigre chère, Acte 1, sc. 3, v. 304
264  MERCURE Des coquins attablés qui seront gros et gras, Acte 1, sc. 3, v. 306
265  MERCURE Et qui feront, au bruit de leur joie insolente, Acte 1, sc. 3, v. 307
266  MERCURE Rougir la nudité de ta vertu tremblante !... Acte 1, sc. 3, v. 308
267  MERCURE Est-ce là le destin d'un homme de bon sens ?? Acte 1, sc. 3, v. 309
268  MERCURE Laisse à d'autres que toi ces rêves languissants. Acte 1, sc. 3, v. 310
269  MERCURE Prends-moi sur toute chose une plume facile, Acte 1, sc. 3, v. 311
270  MERCURE Écris mal et beaucoup !... Sois à l'argent docile, Acte 1, sc. 3, v. 312
271  MERCURE Pille tout, vole tout, partout cherche ton bien ; Acte 1, sc. 3, v. 313
272  MERCURE Langue, vertu, parents, ne considère rien ; Acte 1, sc. 3, v. 314
273  MERCURE Promène sur le monde une parole amère, Acte 1, sc. 3, v. 315
274  MERCURE Raconte s'il le faut les amours de ta mère, Acte 1, sc. 3, v. 316
275  MERCURE Et, toujours étonné de ta propre valeur, Acte 1, sc. 3, v. 317
276  MERCURE Sois ensemble écrivain, commerçant et voleur ! ? Acte 1, sc. 3, v. 318
277  MERCURE Alors les gens de goût te salueront poète. Acte 1, sc. 3, v. 319
278  MOLIÈRE Non, ne l'écoute pas ; c'est un dieu malhonnête. ? Acte 1, sc. 3, v. 320
279  MOLIÈRE Beaucoup ont comme lui des discours obligeants Acte 1, sc. 3, v. 321
280  MOLIÈRE Pour inviter à mal le coeur des jeunes gens. Acte 1, sc. 3, v. 322
281  MOLIÈRE Mais que chez toi, mon fils, le courage renaisse. Acte 1, sc. 3, v. 323
282  MOLIÈRE C'est un crime toujours d'affaiblir la jeunesse. Acte 1, sc. 3, v. 324
283  MOLIÈRE Peut-être à mille ennuis tes vingt ans vont s'offrir ; Acte 1, sc. 3, v. 325
284  MOLIÈRE Mais je puis t'enseigner comme il les faut souffrir. Acte 1, sc. 3, v. 326
285  MOLIÈRE Il convient que ton âme aux dégoûts se résigne, Acte 1, sc. 3, v. 327
286  MOLIÈRE Et quand un sot marquis, m'ayant vu chez le Roi, Acte 1, sc. 3, v. 330
287  MOLIÈRE En ai-je moins de gloire, et restai-je outragé ? Acte 1, sc. 3, v. 333
288  LE POÈTE Non, mais un siècle après ton pays t'a vengé. Acte 1, sc. 3, v. 334
289  LE POÈTE Leurs fils ont chèrement expié ta blessure, Acte 1, sc. 3, v. 335
290  LE POÈTE Et sur leur propre font a rejailli l'injure. Acte 1, sc. 3, v. 336
291  MOLIÈRE Tu dis vrai : l'avenir tient compte du passé ; Acte 1, sc. 3, v. 337
292  MOLIÈRE L'homme est de ses douleurs bientôt récompensé ; Acte 1, sc. 3, v. 338
293  MOLIÈRE Et qui n'a souhaité que l'immortelle gloire Acte 1, sc. 3, v. 339
294  MOLIÈRE Voit par delà les ans s'agrandir sa mémoire. Acte 1, sc. 3, v. 340
295  MOLIÈRE Travaille, et tu verras ta pensée et tes vers Acte 1, sc. 3, v. 341
296  MOLIÈRE Dans un temps éloigné réjouir l'univers. Acte 1, sc. 3, v. 342
297  MOLIÈRE L'art se ressent toujours des bonnes moeurs d'un homme; Acte 1, sc. 3, v. 344
298  MOLIÈRE Et reflétant ta vie en de sages écrits Acte 1, sc. 3, v. 345
299  MOLIÈRE Tu gagneras à toi les coeurs et les esprits. Acte 1, sc. 3, v. 346
300  MOLIÈRE Écoute ces clameurs de la France nouvelle ! Acte 1, sc. 3, v. 347
301  MOLIÈRE C'est moi qu'on applaudit et c'est moi qu'on appelle. Acte 1, sc. 3, v. 348
302  MOLIÈRE Viens, et connais le but où je veux t'entraîner. Acte 1, sc. 3, v. 349
303  MOLIÈRE C'est un peuple assemblé qui me va couronner ! Acte 1, sc. 3, v. 350
304  MOLIÈRE C'est la scène, témoin de mes premières armes ! Acte 1, sc. 3, v. 351
305  MOLIÈRE Viens ! Ce sont mes enfants, et je verse des larmes ! Acte 1, sc. 3, v. 352
306  MERCURE Eh ! Molière !... Pourquoi te sauves-tu si fort ? Acte 1, sc. 3, v. 353
307  MERCURE Cela n'est point décent de courir, pour un mort ! Acte 1, sc. 3, v. 354
308  LA COMÉDIE LÉGÈRE Je suis la Comédie aux légères allures ; Acte 1, sc. 4, v. 355
309  LA COMÉDIE LÉGÈRE Ma bouche est pleine de chansons ; Acte 1, sc. 4, v. 356
310  LA COMÉDIE LÉGÈRE Je conduis après moi les rieuses figures Acte 1, sc. 4, v. 357
311  LA COMÉDIE LÉGÈRE Des plus fous de mes nourrissons. Acte 1, sc. 4, v. 358
312  LA COMÉDIE LÉGÈRE * Voici venir à toi le bonhomme Géronte, Acte 1, sc. 4, v. 359
313  LA COMÉDIE LÉGÈRE * Marscarille en marquis, Jodelet en vicomte; Acte 1, sc. 4, v. 362
314  LA COMÉDIE LÉGÈRE * Sganarelle, et Georges Dandin, Acte 1, sc. 4, v. 363
315  LA COMÉDIE LÉGÈRE * Et la race des Sottenville, Acte 1, sc. 4, v. 364
316  LA COMÉDIE LÉGÈRE * Monsieur de Pourceaugnac qui pour voir la grand'ville Acte 1, sc. 4, v. 365
317  LA COMÉDIE LÉGÈRE * S'en est venu du pays Limousin, Acte 1, sc. 4, v. 366
318  LA COMÉDIE LÉGÈRE * Et la tête en ruses fertile Acte 1, sc. 4, v. 367
319  LA COMÉDIE LÉGÈRE Que d'autres pleurent ta gloire ! Acte 1, sc. 4, v. 369
320  LA COMÉDIE LÉGÈRE Pleurer ne sied pas à mes yeux, Acte 1, sc. 4, v. 370
321  LA COMÉDIE LÉGÈRE De mon rire le plus joyeux. Acte 1, sc. 4, v. 373
322  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Je suis la Comédie aux grâces plus austères ; Acte 1, sc. 4, v. 374
323  LA COMÉDIE SÉRIEUSE C'est moi qui t'inspirai tes mâles caractères, Acte 1, sc. 4, v. 375
324  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Et, promenant tes yeux parmi le genre humain, Acte 1, sc. 4, v. 376
325  LA COMÉDIE SÉRIEUSE En toi d'un même coup, aux rives de la France, Acte 1, sc. 4, v. 378
326  LA COMÉDIE SÉRIEUSE J'ai ressuscité Plaute, et Ménandre, et Térence , Acte 1, sc. 4, v. 379
327  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Une palme à la main, tes fidèles enfants ; Acte 1, sc. 4, v. 381
328  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * M'ont fait en maint endroit toucher à Melpomène ; Acte 1, sc. 4, v. 383
329  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Dorine avec Chrysale, et le bon sens bourgeois Acte 1, sc. 4, v. 384
330  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * S'exprimant par leur bouche en un discours gaulois ; Acte 1, sc. 4, v. 385
331  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Alceste dont le coeur aime encor Célimène, Acte 1, sc. 4, v. 386
332  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Et Philinte indulgent à la faiblesse humaine ; Acte 1, sc. 4, v. 387
333  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Où l'emporte l'ardeur de ses sens irrités, - Acte 1, sc. 4, v. 389
334  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Et que le temps moderne, amant des rêves sombres, Acte 1, sc. 4, v. 390
335  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * A fait pâle, fantasque et perdu dans les ombres : Acte 1, sc. 4, v. 391
336  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Arnolphe suit Agnès au parler ingénu, Acte 1, sc. 4, v. 392
337  LA COMÉDIE SÉRIEUSE * Et le vieil Harpagon est lui-même venu : Acte 1, sc. 4, v. 393
338  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Tous veulent rendre hommage à l'immortel génie Acte 1, sc. 4, v. 394
339  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Dont la grave parole a touché leur manie, Acte 1, sc. 4, v. 395
340  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Et tu vois l'univers à tes pieds prosterné : Acte 1, sc. 4, v. 396
341  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Tartuffe est seul absent et n'a point pardonné. Acte 1, sc. 4, v. 397
342  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Que ma soeur, tout entière à son humeur folâtre, Acte 1, sc. 4, v. 398
343  LA COMÉDIE SÉRIEUSE De ses éclats joyeux emplisse le théâtre, Acte 1, sc. 4, v. 399
344  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Je ne puis l'imiter et je baisse la voix; Acte 1, sc. 4, v. 400
345  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Ta mort m'a fait pleurer pour la première fois. Acte 1, sc. 4, v. 401
346  LA COMÉDIE LÉGÈRE Pourquoi pleurer, si tu nous as fait rire ? Acte 1, sc. 4, v. 402
347  LA COMÉDIE LÉGÈRE Rions encore après les ans nombreux ; Acte 1, sc. 4, v. 403
348  LA COMÉDIE LÉGÈRE Les poètes sont malheureux Acte 1, sc. 4, v. 404
349  LA COMÉDIE LÉGÈRE Et n'ont laissé que des pleurs après eux. Acte 1, sc. 4, v. 406
350  LA COMÉDIE LÉGÈRE Je veux, comme la folie, Acte 1, sc. 4, v. 407
351  LA COMÉDIE LÉGÈRE Faire sonner mes grelots, Acte 1, sc. 4, v. 408
352  LA COMÉDIE LÉGÈRE Et mêler en mes bons mots Acte 1, sc. 4, v. 409
353  LA COMÉDIE LÉGÈRE La France avec l'Italie. Acte 1, sc. 4, v. 410
354  LA COMÉDIE LÉGÈRE Ne redoute pas que j'oublie Acte 1, sc. 4, v. 411
355  LA COMÉDIE LÉGÈRE Les jours heureux où, courant le pays, Acte 1, sc. 4, v. 412
356  LA COMÉDIE LÉGÈRE À la cour du roi Louis. Acte 1, sc. 4, v. 415
357  LA COMÉDIE LÉGÈRE Et des splendeurs de son palais ? Acte 1, sc. 4, v. 417
358  LA COMÉDIE LÉGÈRE Comme il dansait en nos ballets Acte 1, sc. 4, v. 418
359  LA COMÉDIE LÉGÈRE Avant la morose vieillesse ! Acte 1, sc. 4, v. 419
360  LA COMÉDIE LÉGÈRE Il jouait le Soleil et jouait Apollon : Acte 1, sc. 4, v. 420
361  LA COMÉDIE LÉGÈRE Aujourd'hui, sous la froide pierre , Acte 1, sc. 4, v. 421
362  LA COMÉDIE LÉGÈRE Comme toi, mon pauvre Molière, Acte 1, sc. 4, v. 422
363  LA COMÉDIE LÉGÈRE Il est étendu tout du long. Acte 1, sc. 4, v. 423
364  LA COMÉDIE LÉGÈRE Mais sont-ce là des pensées Acte 1, sc. 4, v. 424
365  LA COMÉDIE LÉGÈRE Que bien plutôt ma bouche qui sourit Acte 1, sc. 4, v. 426
366  LA COMÉDIE LÉGÈRE Ceux de la ville et de la cour ; Acte 1, sc. 4, v. 429
367  LA COMÉDIE LÉGÈRE Sans les vouloir outrager, Acte 1, sc. 4, v. 431
368  LA COMÉDIE LÉGÈRE J'ai rendu la foule heureuse Acte 1, sc. 4, v. 432
369  LA COMÉDIE LÉGÈRE Souffle aujourd'hui ta vive poésie Acte 1, sc. 4, v. 434
370  LA COMÉDIE LÉGÈRE A des esprits calmes et résolus ! Acte 1, sc. 4, v. 435
371  LA COMÉDIE LÉGÈRE Ramène la splendeur de mes ans révolus , Acte 1, sc. 4, v. 436
372  LA COMÉDIE LÉGÈRE J'ai foi dans la suite des jours Acte 1, sc. 4, v. 438
373  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Ô Molière ! Le temps sur sa pente fatale Acte 1, sc. 4, v. 441
374  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Emporte les grandeurs , l'amour et la beauté ; Acte 1, sc. 4, v. 442
375  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Mais ta gloire à jamais parcourt d'une aile égale Acte 1, sc. 4, v. 443
376  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Les hautes régions de l'immortalité. Acte 1, sc. 4, v. 444
377  LA COMÉDIE SÉRIEUSE En vain autour de lui s'amassent les ruines ; Acte 1, sc. 4, v. 445
378  LA COMÉDIE SÉRIEUSE En vain il entraîne en son cours Acte 1, sc. 4, v. 446
379  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Des flots qui grossissent toujours; Acte 1, sc. 4, v. 447
380  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Par de là le temps tu domines, Acte 1, sc. 4, v. 448
381  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Et les choses qui sont divines Acte 1, sc. 4, v. 449
382  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Ton monument parfait demeure impérissable ; Acte 1, sc. 4, v. 451
383  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Le seul bruit de ton nom émeut tout l'univers ; Acte 1, sc. 4, v. 452
384  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Tes mains n'ont point bâti sur l'incertain du sable, Acte 1, sc. 4, v. 453
385  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Mais moi, je ne viens pas comme la multitude Acte 1, sc. 4, v. 455
386  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Vers ta gloire qui me sourit ; Acte 1, sc. 4, v. 456
387  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Une plus tendre inquiétude, Acte 1, sc. 4, v. 458
388  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Quelque chaleur nouvelle et quelque trait hardi ; Acte 1, sc. 4, v. 462
389  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Ô mon père, je viens réchauffer à ta flamme Acte 1, sc. 4, v. 463
390  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Si tu ne peux renaître, au moins dans leur poussière Acte 1, sc. 4, v. 465
391  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Sois favorable à mes efforts, Acte 1, sc. 4, v. 467
392  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Et me tends la main, ô Molière ! Acte 1, sc. 4, v. 468
393  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Les vivants n'ont plus la lumière, Acte 1, sc. 4, v. 469
394  LA COMÉDIE SÉRIEUSE Je vais la demander aux morts. Acte 1, sc. 4, v. 470

 

Nombre d'occurences de l'expression : l
par acte et par personnage

L'OMBRE DE MOLIÈRE (1847)
BARBIER P.J.
 Acte 1 Total
MERCURE101101
MOLIÈRE0172
LE POÈTE034
LA COMÉDIE LÉGÈRE041
LA COMÉDIE SÉRIEUSE046
 Total394394

Graphique

 Locuteurs20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 
 MERCURE101 
 MOLIÈRE172 
 LE POÈTE34 
 LA COMÉDIE LÉGÈRE41 
 LA COMÉDIE SÉRIEUSE46 

Légende

 Acte 1 

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