n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
PREMIERE VOIX |
Répands, charmante nuit, répands sur tous les yeux, |
Prologue, sc. 1, v. 1 |
2 | NERINE |
Reposez-vous sur moi, et dites hardiment ce que vous avez à vous dire. |
Acte 2, sc. 1, NERINE, phrase 1 |
3 | ÉRASTE |
Où sont vos hardes ? |
Acte 2, sc. 4, ÉRASTE, phrase 1 |
4 | PREMIER MÉDECIN |
Le devoir de ma profession m'y oblige, et c'est assez que vous me chargiez de ce soin. |
Acte 2, sc. 7, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
5 | PREMIER MÉDECIN |
Je dis donc, Monsieur, avec votre permission, que notre malade ici présent est malheureusement attaqué, affecté, possédé, travaillé de cette sorte de folie que nous nommons fort bien mélancolie hypocondriaque, espèce de folie très fâcheuse, et qui ne demande pas moins qu'un Esculape comme vous, consommé dans notre art, vous, dis-je, qui avez blanchi, comme on dit, sous le harnois, et auquel il en a tant passé par les mains de toutes les façons. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 2 |
6 | PREMIER MÉDECIN |
Allons, procédons à la curation, et par la douceur exhilarante de l'harmonie, adoucissons, lénifions, et accoisons l'aigreur de ses esprits, que je vois prêts à s'enflammer. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 2 |
7 |
DEUX MUSICIENS |
Col nostro canto harmonico, |
Acte 2, sc. 10, v. 31 |
8 | ORONTE |
Je voudrais bien, dis-je, savoir par quelle raison, s'il vous plaît, vous avez la hardiesse de... |
Acte 3, sc. 6, ORONTE, phrase 1 |
9 | LUCETTE |
He tu sabes be, per ma penno, que n'es que trop bertat ; et plaguesso al Cel qu'aco nou fougesso pas, et que m'auquessos layssado dins l'estat d'innoussenço, et dins la tranquillitat oun moun amo bibio daban que tous charmes et tas trounpariés nou m'en benguesson malhurousomen fayre sourty ; yeu nou serio pas reduito à fayré lou tristé perssounatgé qu'yeu fave presentomen, à beyre un marit cruel mespresa touto l'ardou que yeu ay per el, et me laissa sensse cap de pietat abandounado à las mourtéles doulous que yeu ressenty de sas perfidos acciûs. |
Acte 3, sc. 7, LUCETTE, phrase 2 |