n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | ARGAN |
Ma femme m'a dit, Monsieur, que vous étiez fort honnête homme, et tout à fait de ses amis ; et je l'ai chargée de vous parler pour un testament que je veux faire. |
Acte 3, sc. 7, ARGAN, phrase 3 |
2 | POLICHINELLE |
Quelle impertinente harmonie vient interrompre ici ma voix ? |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 1 |
3 | POLICHINELLE |
Par charité. |
Acte 4, sc. 3, POLICHINELLE, phrase 1 |
4 |
ARCHERS |
Soit, puisque le bâton est pour vous plus charmant, |
Acte 4, sc. 4, v. 226 |
5 | TOINETTE |
Il n'a dit que deux mots, qui m'ont ravie, et votre fille va être charmée de lui. |
Acte 3, sc. 4, TOINETTE, phrase 5 |
6 | THOMAS DIAFOIRUS |
Mademoiselle, ne plus, ne moins que la statue de Memnon, rendait un son harmonieux, lorsqu'elle venait à être éclairée des rayons du soleil : tout de même me sens-je animé d'un doux transport à l'apparition du soleil de vos beautés. |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 1 |
7 | THOMAS DIAFOIRUS |
Souffrez donc, Mademoiselle, que j'appende aujourd'hui à l'autel de vos charmes l'offrande de ce coeur, qui ne respire et n'ambitionne autre gloire, que d'être toute sa vie, Mademoiselle, votre très humble, très obéissant, et très fidèle serviteur, et mari. |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 3 |
8 | ARGAN |
N'est-ce pas votre intention, Monsieur, de le pousser à la Cour, et d'y ménager pour lui une charge de médecin ? |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
9 | CLÉANTE |
Il prend soin de les arrêter, ces larmes, qu'il trouve si belles ; et l'aimable Bergère prend soin en même temps de le remercier de son léger service, mais d'une manière si charmante, si tendre, et si passionnée, que le Berger n'y peut résister, et chaque mot, chaque regard, est un trait plein de flamme, dont son coeur se sent pénétré. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 8 |
10 | BÉRALDE |
Votre femme ne manque pas de vous conseiller de vous défaire ainsi de vos deux filles, et je ne doute point que, par un esprit de charité elle ne fût ravie de les voir toutes deux bonnes religieuses. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
11 | MONSIEUR FLEURANT |
De quoi vous mêlez-vous de vous opposer aux ordonnances de la Médecine, et d'empêcher Monsieur de prendre mon clystère ; vous êtes bien plaisant d'avoir cette hardiesse-là ? |
Acte 6, sc. 4, MONSIEUR FLEURANT, phrase 1 |
12 | MONSIEUR PURGON |
Voilà une hardiesse bien grande, une étrange rébellion d'un malade contre son médecin. |
Acte 6, sc. 5, MONSIEUR PURGON, phrase 1 |