n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | SOSTRATE |
Laissons-la, Clitidas, laissons-la voir si elle peut dans mes soupirs et mes regards l'amour que ses charmes m'inspirent, mais gardons bien que par nulle autre voie, elle en apprenne jamais rien. |
Acte 2, sc. 1, SOSTRATE, phrase 1 |
2 | SOSTRATE |
Clitidas, je tremble avec raison, et tous les Gaulois du monde ensemble sont bien moins redoutables, que deux beaux yeux pleins de charmes. |
Acte 2, sc. 1, SOSTRATE, phrase 2 |
3 | CLITIDAS |
Je ne suis pas de cet avis, et je sais bien pour moi qu'un seul Gaulois l'épée à la main, me ferait beaucoup plus trembler que cinquante beaux yeux ensemble les plus charmants du monde. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 1 |
4 | CLITIDAS |
Allez, allez, vous vous moquez, un peu de hardiesse réussit toujours aux amants ; il n'y a en amour que les honteux qui perdent, et je dirais ma passion à une Déesse moi, si j'en devenais amoureux. |
Acte 2, sc. 1, CLITIDAS, phrase 2 |
5 | SOSTRATE |
J'aimerais mieux mourir que de pouvoir être accusé par elle de la moindre témérité, et ce profond respect où ses charmes divins... |
Acte 2, sc. 1, SOSTRATE, phrase 3 |
6 | ARISTIONE |
Car enfin, sans parler des plaisirs de la chasse que nous y prenons à toute heure, et de la solennité des jeux Pythiens que l'on y célèbre tantôt, vous prenez soin l'un et l'autre de nous y combler de tous les divertissements qui peuvent charmer les chagrins des plus mélancoliques. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 2 |
7 | IPHICRATE |
Je ne recherche la princesse Ériphile, que parce qu'elle est votre sang ; je la trouve charmante par tout ce qu'elle tient de vous, et c'est vous que j'adore en elle. |
Acte 2, sc. 2, IPHICRATE, phrase 2 |
8 | IPHICRATE |
Oui, Madame, toute la terre voit en vous des attraits et des charmes que je... |
Acte 2, sc. 2, IPHICRATE, phrase 1 |
9 | ARISTIONE |
De grâce, Prince, ôtons ces charmes et ces attraits : vous savez que ce sont des mots que je retranche des compliments qu'on veut me faire. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 1 |
10 | ARISTIONE |
Je souffre qu'on me loue de ma sincérité, qu'on dise que je suis une bonne princesse, que j'ai de la parole pour tout le monde, de la chaleur pour mes amis, et de l'estime pour le mérite et la vertu, je puis tâter de tout cela ; mais pour les douceurs de charmes et d'attraits, je suis bien aise qu'on ne m'en serve point, et quelque vérité qui s'y pût rencontrer, on doit faire quelque scrupule d'en goûter la louange, quand on est mère d'une fille comme la mienne. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 2 |
11 | ARISTIONE |
C'est trop de modestie, et vous vous acquitterez toujours bien de toutes les choses dont on vous chargera. |
Acte 2, sc. 2, ARISTIONE, phrase 1 |
12 | ERIPHILE |
Ne trouves-tu pas ces lieux les plus charmants du monde ? |
Acte 4, sc. 2, ERIPHILE, phrase 1 |
13 | CLITIDAS |
Il m'a voulu entretenir, mais vous m'avez défendu si expressément de me charger d'aucune affaire auprès de vous, que je n'ai point voulu lui prêter l'oreille, et je lui ai dit nettement que je n'avais pas le loisir de l'entendre. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 2 |
14 | CLITIDAS |
Il a été au désespoir du vol subtil que je lui en ai fait, et bien loin de me charger de vous le découvrir, il m'a conjuré, avec toutes les instantes prières qu'on saurait faire, de ne vous en rien révéler, et c'est trahison contre lui que ce que je viens de vous dire. |
Acte 4, sc. 2, CLITIDAS, phrase 3 |
15 | ERIPHILE |
Tant mieux, c'est par son seul respect qu'il peut me plaire ; et s'il était si hardi que de me déclarer son amour, il perdrait pour jamais, et ma présence, et mon estime. |
Acte 4, sc. 2, ERIPHILE, phrase 1 |
16 | SOSTRATE |
J'ai une excuse, Madame, pour oser interrompre votre solitude, et j'ai reçu de la Princesse votre mère une commission qui autorise la hardiesse que je prends maintenant. |
Acte 4, sc. 3, SOSTRATE, phrase 1 |
17 |
PREMIER SATYRE |
Et la bouteille a des charmes |
Acte 5, sc. 5, v. 174 |
18 |
BERGERS, BERGERES |
Dont les feux de l'amour savent charmer nos sens, |
Acte 5, sc. 6, v. 226 |
19 |
BERGERS, BERGERES |
Dont les feux de l'amour savent charmer nos sens. |
Acte 5, sc. 6, v. 231 |
20 |
BERGERS, BERGERES |
Dont les feux de l'amour savent charmer nos sens. |
Acte 5, sc. 6, v. 237 |
21 | ARISTIONE |
J'ai chargé Sostrate d'apprendre doucement de vous les sentiments de votre coeur, et je ne sais pas s'il a commencé à s'acquitter de cette commission. |
Acte 6, sc. 1, ARISTIONE, phrase 3 |
22 | SOSTRATE |
Peut-être ai-je un ami qui brûle sans oser le dire, d'une flamme respectueuse pour les charmes divins dont vous êtes épris. |
Acte 6, sc. 1, SOSTRATE, phrase 3 |
23 | SOSTRATE |
Tout cela est charmant, sans doute, et il y a des gens qui n'ont aucune peine à en comprendre la possibilité, cela leur est le plus aisé du monde à concevoir ; mais pour moi, je vous avoue que mon esprit grossier a quelque peine à le comprendre, et à le croire, et j'ai toujours trouvé cela trop beau pour être véritable. |
Acte 6, sc. 1, SOSTRATE, phrase 4 |
24 | SOSTRATE |
Si je puis encore souhaiter quelque chose, ce sont deux grâces, Madame, que je prends la hardiesse de vous demander à genoux ; de vouloir souffrir ma présence jusqu'à cet heureux hyménée, qui doit mettre fin à ma vie ; et parmi cette grande gloire, et ces longues prospérités que le Ciel promet à votre union, de vous souvenir quelquefois de l'amoureux Sostrate. |
Acte 8, sc. 4, SOSTRATE, phrase 6 |