Occurences de l'expression

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dans CÉLINDE de BARO, Balthazar (1629)

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 Personnage  Vers ou phrase Localisation
PARTHÉNICE Ne crois pas toutefois que ces plaintes que je donne à la rigueur de ton changement, naissent en moi du dessein de m'opposer au contentement de Célinde, ni du regret de perdre un captif qui a fait des efforts pour sortir de sa prison ; fais si tu veux que cette Aurore qui semble rougir de mon déguisement, ou plutôt de ton inconstance, compte sur la bouche de Céphale, les baisers que tu as cueillis sur les leurres de celle qui te possède maintenant, oblige la renommée à reprendre pour l'amour d'elle le premier usage de ses ailes et de sa voix, afin qu'elle apprenne à tout le monde, qu'il n'est point d'homme plus heureux que Floridan, ni de beauté plus aimée que Célinde, tout cela ne sera pas une matière à nourrir le feu de ma fureur ; mais veux-tu connaître ce qui rend ma douleur incapable de remède, hélas ! Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 2
FLORIDAN Il y a vraiment une Divinité Madame, qui me commande de faire ce que je fais, et celle-là même qui soumet les enfants à l'obéissance des pères, est celle qui porte à Célinde les voeux que Parthénice reçut autrefois de moi. Acte 1, sc. 1, FLORIDAN, phrase 1
FLORIDAN Floridan, me dit-elle, j'aime Parthénice et l'estime l'une des plus vertueuses filles qui furent jamais, d'autant mieux qu'étant restée Orpheline en l'âge de six ou sept ans, ses actions toutefois ont donné depuis de si grandes preuves de sagesse et de vertu, que la médisance même n'a jamais osé s'y attacher : mais en cela Célinde ne lui cède pas, et bien qu'entre leur âge, leur extraction et leur beauté il se trouve un rapport admirable, je veux que tu saches qu'entre leurs biens, il n'y a nulle sorte de proportion. Acte 1, sc. 1, FLORIDAN, phrase 2
FLORIDAN Or mon fils, ajouta-t-elle, tu n'ignores pas ce que peut aujourd'hui ce métal, cet Or que les hommes ont été cherché jusques dans les entrailles de la terre ; tu sais qu'en ce Siècle perverti on ne fait état que de ceux qui se vantent d'un nombre de trésors amassés, et que le plus honnête homme du monde paraîtrait sot sous le visage de la pauvreté : l'Or ouvre des portes qui résisteraient à la foudre des canons, et enfin il a le pouvoir, tant notre imagination en est blessée, de faire quelquefois asseoir des bêtes dans le trône même des Dieux : c'est pour cela que je te conseille de suivre la maladie du temps, et de prendre plutôt Célinde riche, que Parthénice, avecque peu de biens. Acte 1, sc. 1, FLORIDAN, phrase 3
PARTHÉNICE Donc perfide, il faudra que je voie sous la puissance d'une autre celui qui eut autrefois refusé des empires pour avoir la gloire de me servir ? Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 1
PARTHÉNICE Toi-même, qui ne pourras éviter de jeter quelquefois les yeux sur celles que ta méfiance a exigées de mon affection, comment ne t'étonneras-tu point de voir éteints dans ton âme tous les feux qu'elles y avaient allumés ? Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 7
PARTHÉNICE Et bien ; puisque le souvenir des larmes dont tes yeux ont mouillé tant de fois mon sein, ni celles que je verse maintenant ne sont capables d'amollir la dureté de ton coeur, change hardiment, et triomphe en même temps de mon amour et de ma vie : tu éprouveras jusqu'à quel point de fureur se peut convertir une patience outragée ; tu sauras que sous le corps d'une fille, je porte un esprit capable de me faire imiter les plus grandes actions que le désespoir ait inspirées à ceux que l'Amour et la fortune n'ont pas mieux traités que moi. Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 1
PARTHÉNICE Mais perfide, mais trompeur, si tu veux d'un seul coup arrêter mon bras et ma résolution, ou quitte le funeste dessein qui te fait consentir à ce changement, ou toi-même exécute ce que ta trahison me va forcer d'entreprendre, plonge dans mon sein ce fer qui n'est pas plus dur ni plus insensible que toi, aussi bien ma seule mort te peut dispenser de tes promesses ; que si autrefois une seule goutte de mon sang a pu te rappeler du trépas à la vie, qui t'oblige à le mépriser maintenant que prodigue de ce bien je ne m'en veux pas réserver une seule goutte ? Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 2
PARTHÉNICE N'est-ce point que me l'ayant tant de fois ouï nommer insensible, tu as désespéré de le pouvoir toucher ? Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 2
10 PARTHÉNICE C'est trop retarder un légitime dessein, allons mourir Parthénice ; toutefois l'inconstance de Floridan qui s'appuie sur la tyrannie de sa mère, n'aura peut-être pas la fin qu'il s'est proposée. Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 10
11 AMINTOR Page, des sièges ; Madame, mettez-vous à votre aise : désormais notre âge nous prescrit cette nécessité : et je pense que pour nous montrer que nous devrions quelquefois nous lasser de vivre, nos jambes sont les premières qui se lassent de nous soutenir. Acte 1, sc. 2, AMINTOR, phrase 2
12 DORICE De vous dire maintenant les considérations qui m'ont portée à cette recherche, je l'estime en quelque façon hors de propos, puisque cela ne se peut sans que j'y mêle un récit de vos louanges, dont je craindrais que le discours (quoique véritable et mérité) vous mît quelque rougeur au front, et en l'esprit quelque petit soupçon de flatterie : toutefois il me sera bien permis de dire, que l'illustre nom que vous portez, et que vos Ancêtres ont rendu fameux depuis plusieurs siècles ; que la noblesse de votre sang, dont l'origine se tire d'aussi loin que la naissance de cette Monarchie : que vos vertus particulières, dont l'éclat se va rendre le plus bel exemple qu'on puisse laisser à la postérité ; et qu'enfin les perfections qui se remarquent au corps et en l'âme de Célinde font une partie des charmes qui m'ont vaincue en faveur de Floridan. Acte 1, sc. 2, DORICE, phrase 2
13 AMINTOR Je n'ai donc qu'un mot à répondre, pour vous remercier de l'honneur que vous me faites : et pour satisfaire en même temps au désir que vous m'avez témoigné ; c'est que je consens que Célinde, indigne pourtant de ce bien, tombe sous la puissance de Floridan, et laisse entre ses bras ce fruit qui ne peut qu'une fois être cueilli. Acte 1, sc. 2, AMINTOR, phrase 2
14 DORICE Ô consentement qui m'oblige ; ô promesse en faveur de laquelle je vous embrasse mille fois : votre parole que je tiens plus inviolable qu'un voeu qui serait fait à quelque Divinité, approche si fort mes espérances de leur effet, qu'à peine que je ne les prenne pour une chose même : toutefois certain scrupule mêle encore quelque amertume parmi les douceurs de ce bien, qui est que Célinde, peut-être engagée ailleurs d'affection, ne rendra pas ses désirs conformes aux nôtres. Acte 1, sc. 2, DORICE, phrase 1
15 DORICE Nuit funeste quelquefois, et qui ne donne son obscurité que pour un présage d'horreur et d'infortune. Acte 1, sc. 2, DORICE, phrase 1
16 AMINTOR Parthénopé n'eut pas plutôt la liberté de respirer, qu'elle désira cent fois de mourir pour ne survivre pas la perte de son honneur : et bien que Cléandre s'efforçât de lui représenter l'excès de la passion qui l'avait fait recourir à cette violence, il ne sût jamais empêcher qu'elle ne jurât de perdre plutôt la vie que le ressentiment d'un si remarquable affront. Acte 1, sc. 2, AMINTOR, phrase 5
17 CÉLINDE Si jamais j'ai commis le crime que tu me reproches, et si mon âme a quelquefois consenti à te trahir, je veux que le regard de toutes les créatures me soit désormais aussi funeste que celui d'un Basilic. Acte 2, sc. 2, CÉLINDE, phrase 1
18 LUCIDOR Cette invention me contente, et l'assurance que vous me donnez de votre fidélité, est à mon âme un sujet de ravissement ; mais, Madame, qu'une seule fois. Acte 2, sc. 2, LUCIDOR, phrase 1
19 PARTHÉNICE Je le veux bien, à condition toutefois, que vous me direz auparavant de quelle façon vous recevez ce mari. Acte 2, sc. 3, PARTHÉNICE, phrase 1
20 CÉLINDE Ne vous étonnez donc pas si quelque fois un bruit commun vous dit que je l'aime, ou si vous êtes vous-même témoin des actions que je prépare pour le tromper, cet artifice est absolument nécessaire à notre repos ; mais il semble que je l'aperçois avecque Lucidor il faut qu'ils se soient rencontrés bien près d'ici. Acte 2, sc. 3, CÉLINDE, phrase 2
21 AMINTOR Ah quand mon sang bouillonnais jadis échauffé des jeunes ardeurs de votre âge, j'eusse été bien marri qu'un seul jour se fût écoulé, sans me voir employé dans quelque nouveau passe-temps ; tantôt dans les Joutes et les Tournois, tantôt dans les bals et les assemblées ; quelquefois en des festins, d'autrefois en des Comédies. Acte 2, sc. 5, AMINTOR, phrase 2
22 AMINTOR Autrefois elles ont été le divertissement des grands Monarques, et les Républiques mêmes en ont usé pour donner quelque horreur du vice et de l'amour pour la vertu ; que si j'en avais le temps, je ferais connaître qu'il n'est rien de plus honnête, de plus plaisant, ni de plus utile, mais je crois qu'ils vont sortir. Acte 3, sc. 1, AMINTOR, phrase 1
23  ABRA Je mourrai mille fois que d'en dire un seul mot. Acte V2, sc. 1, v. 182
24  OSIAS Toutefois ce grand Dieu d'où naît ton espérance, Acte V2, sc. 1, v. 196
25 PARTHÉNICE Oui, Célinde, j'en ai importuné votre affection ; mais qui eût cru que pour me guérir d'une douleur, vous eussiez voulu vous servir d'un remède pire mille fois que le mal ? Acte 4, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 12
26 PARTHÉNICE Courage, Parthénice, ta fureur n'a point ici de témoins : toutefois me voici déjà proche de son logis, différons pour un peu l'exécution de ce dessein, je saurai toujours bien prendre le temps de me mettre au même état où sa blessure l'aura réduit. Acte 4, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 19
27 FLEURIMON Célinde a trahi votre espérance, et je croirais être aussi coupable qu'elle, si je cherchais des excuses à son attentat : mais vous m'avouerez qu'elles ne doivent pas être éternelles, puisque même l'expérience vous enseigne que les Parques ne peuvent être touchées de nos pleurs, et qu'elles ne renouent jamais le fil qu'elles ont une fois tranché par l'arrêt de nos Destinées. Acte 4, sc. 2, FLEURIMON, phrase
28 FLORIDAN Vous savez combien ils ont de haine pour les perfides, et si j'ai mérité ce titre envers Parthénice (puisque je vous en ai quelquefois ouvert mon âme) je n'en veux point d'autre Juge que vous. Acte 4, sc. 2, FLORIDAN, phrase 2
29 DORICE C'est plutôt une marque de votre bonté, et j'ai bien du regret de quoi vous n'aurez point ici d'entretien qui vous plaise : Floridan est fort mal, toutefois s'il est vrai qu'une grande beauté puisse faire des miracles, après qu'il vous aura vue j'espérerai quelque chose ce sa guérison. Acte 4, sc. 2, DORICE, phrase 1
30 FLORIDAN Courage donc, belle Parthénice, achevez ce que Célinde a commencé, je lui pardonne sa trahison, si elle vous fait consentir à vous venger de la mienne : vous avez déjà fait ce dessein une fois, qui vous empêche à cette heure de l'exécuter ? Acte 4, sc. 2, FLORIDAN, phrase 4
31 FLORIDAN Si mon offense était médiocre, je pourrais oser ce que vous dites, mais il est de mon péché, comme de certains crimes qui ne pouvant jamais avoir de grâce, limitent en quelque sorte la puissance de nos Rois : j'ai trop failli, Madame ; toutefois, si mon repentir, qui est pas moindre que ma faute, est une satisfaction assez grande pour expier ma trahison, recevez-le, chère Parthénice, et accordez-lui, devant que j'expire, le pardon qui me peut faire mourir content. Acte 4, sc. 2, FLORIDAN, phrase 1
32 LUCIDOR Et toutefois quelque funeste que soit la pensée qui me parle des malheurs où je me vois plongé, je vous prends à témoins si elle a su dérober à mon âme un faible soupir seulement. Acte 4, sc. 3, LUCIDOR, phrase 2
33 LUCIDOR Pourquoi ne peuvent mes désirs obtenir au moins cet avantage, que je pusse baiser une fois ce qui me blesse, afin que je trouvasse quelque remède au lieu même d'où j'ai reçu tant de mal : Belle Célinde, je m'imagine que mon sort a quelque chose de semblable à celui qui pour avoir vu son visage dans l'eau, devint amoureux d'une image, qui lui fit perdre la vie faute d'en pouvoir jamais jouir. Acte 4, sc. 4, LUCIDOR, phrase 4
34 CÉLINDE En effet, cher Lucidor, ce que tu vois dans ce miroir c'est toi-même ; car si l'Amant se change en la personne aimée, et si l'âme vit mieux où elle aime qu'où elle anime, il faut de nécessité que ce que tu vois dans cette glace soit Lucidor, et ce que j'y vois soit Célinde : ne t'étonne pas de me voir si savante, tu m'as autrefois appris cette Philosophie d'Amour ; et qui sait si par un privilège de ce Dieu, ce miroir n'a point la même vertu de représenter les âmes, qu'avaient autrefois cette fontaine, qui du temps des Druides fut enchantée dans le Forez ? Acte 4, sc. 4, CÉLINDE, phrase 1
35 LUCIDOR Oui, mais c'est toujours avecque l'image de notre commune prison, toutefois ce bien ne durera guères, je vois que Philindre a été surpris. Acte 4, sc. 4, LUCIDOR, phrase 1
36 FLEURIMON Cela me fait souvenir d'une remarque que j'ai faite quelquefois en l'homme, et où je n'ai pas trouvé un petit sujet d'étonnement, c'est qu'il se voit si souvent, et a toutefois tant de peine à se connaître : de là procèdent presque tous les maux dont nous sommes affligés ; et sans que j'en déduise une quantité d'exemples, la mort récente de Floridan en est une remarquable preuve. Acte 4, sc. 5, FLEURIMON, phrase 1
37 FLEURIMON Il faut que vous sachiez, Philindre ; mais je vois tourner à ce coin de rue Amintor tout éploré, il vient à notre rencontre, attendons qu'il soit ici, cela m'épargnera la peine de le dire deux fois. Acte 4, sc. 5, FLEURIMON, phrase 1
38 FLEURIMON Puis s'élançant sur le lit où Floridan gisait étendu de son long, et adressant sa parole à Dorice, Madame, a-t-elle ajouté, votre tyrannie m'a autrefois ravi la possession de Floridan, mais aujourd'hui mon courage me la redonne : n'enviez, je vous supplie, ni son bonheur ni le mien, mais si la pitié trouve quelque place en votre âme, agréez que ceux que vous verrez morts sur un même lit, soient enfermés dans un même tombeau. Acte 4, sc. 6, FLEURIMON, phrase 4
39 CÉLINDE Quelle apparence y a-t-il que son courage, d'où autrefois a dépendu le gain des batailles, eût pu se relâcher jusqu'au point de conseiller le crime dont je suis convaincue ? Acte 5, sc. 1, CÉLINDE, phrase 3
40 CÉLINDE Non non, tant s'en faut qu'il ait contribué quelque chose à mon offense ; que même il n'en a pas su le dessein : ma fureur a été si prompte qu'elle a prévenu ses soupçons, et je dirais qu'elle m'a prévenue moi-même, si je n'avais fait une résolution inviolable de n'alléguer pas une seule excuse en ma faveur : et quant à ce qu'il dit qu'il est raisonnable qu'un homme meure pour un homme, souvenez-vous qu'autre victime que moi ne peut contenter les Mânes de Floridan, comme autrefois Achille ne put être apaisé que par le sacrifice de Polyxène. Acte 5, sc. 1, CÉLINDE, phrase 6
41 FLEURIMON Je meure si je n'ai bien eu de la peine à me contenir, car j'ai cru deux fois ou trois fois qu'il était sur le point de rendre l'âme. Acte 5, sc. 2, FLEURIMON, phrase 2

 

Nombre d'occurences de l'expression : fois
par acte et par personnage

CÉLINDE (1629)
BARO, Balthazar
 Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte V1 Acte V2 Acte V3 Acte 4 Acte 5 Total
CHOEUR DE MUSIQUE000000000
PARTHÉNICE0000000010
FLORIDAN300000306
AMINTOR311000005
DORICE300000104
CÉLINDE000000005
LE PAGE000000000
LUCIDOR010000304
PHILINDRE000000000
CHOEUR000000000
AKIOR000000000
CHARMY000000000
GOTHOMEL000000000
HOLOFERNE000000000
MOAB000000000
JUDITH000000000
ABRA000010001
OSIAS000010001
L'EUNUQUE000000000
PRÉVOT000000000
FLEURIMON000000415
ALCANDRE000000000
 Total165102014341

Graphique

 Locuteurs10 
 CHOEUR DE MUSIQUE 
 PARTHÉNICE712 
 FLORIDAN33 
 AMINTOR311 
 DORICE31 
 CÉLINDE212 
 LE PAGE 
 LUCIDOR13 
 PHILINDRE 
 CHOEUR 
 AKIOR 
 CHARMY 
 GOTHOMEL 
 HOLOFERNE 
 MOAB 
 JUDITH 
 ABRA1 
 OSIAS1 
 L'EUNUQUE 
 PRÉVOT 
 FLEURIMON41 
 ALCANDRE 

Légende

 Acte 1  Acte 2  Acte 3  Acte V1  Acte V2  Acte V3  Acte 4  Acte 5 

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