n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
THÉANE |
Eh bien, fâcheuse soeur, tes voeux sont satisfaits, |
Acte 1, sc. 2, v. 23 |
2 |
CÉPHISE |
Je rirais bien plutôt de ma simplicité. |
Acte 1, sc. 2, v. 28 |
3 |
THÉANE |
Combien on est timide en ces premiers accès. |
Acte 1, sc. 2, v. 36 |
4 |
CÉPHISE |
Et pour bien exprimer il faut bien ressentir. |
Acte 1, sc. 2, v. 72 |
5 |
CÉPHISE |
Mais qu'il ait tous les biens que le ciel lui destine, |
Acte 1, sc. 2, v. 85 |
6 |
CÉPHISE |
Eh bien ? |
Acte 1, sc. 3, v. 145 |
7 |
CÉPHISE |
Que puis-je pour ton bien, et quelle invention |
Acte 1, sc. 3, v. 155 |
8 |
CÉPHISE |
Fais que ma soeur le voie : elle est bien près, approche ; |
Acte 1, sc. 3, v. 186 |
9 |
THÉANE |
Ô dieux ! Combien je hais cet amant importun ! |
Acte 1, sc. 4, v. 203 |
10 |
CÉPHISE |
Que Thimante est bien vain s'il m'approche jamais. |
Acte 1, sc. 4, v. 256 |
11 |
CÉPHISE |
Peux-tu prétendre encor le bien qu'elle te nie, |
Acte 1, sc. 5, v. 281 |
12 |
FILANDRE |
Connais-tu bien Nérée ? |
Acte 2, sc. 1, v. 353 |
13 |
FILANDRE |
Et leur amour est tel qu'il est bien malaisé |
Acte 2, sc. 1, v. 367 |
14 |
NÉRÉE |
Cet avis est encore un bien que je lui fais. |
Acte 2, sc. 2, v. 464 |
15 |
FILANDRE |
Avec combien d'ardeur j'ai servi ton amour. |
Acte 2, sc. 5, v. 568 |
16 |
FILANDRE |
« Bien, ingrat ! me dit-elle, un moyen nécessaire |
Acte 2, sc. 6, v. 649 |
17 |
CÉPHISE |
Eh bien ! Lâche sujet de ma longue infortune, |
Acte 2, sc. 7, v. 701 |
18 |
NÉRÉE |
Il laissera bientôt le dessein de mourir |
Acte 3, sc. 4, v. 891 |
19 |
CÉPHISE |
Eh bien, tu le verras. Connais-tu ces liens ? |
Acte 3, sc. 5, v. 912 |
20 |
NÉRÉE |
Il vient de Célidor, ce tyran de mon bien. |
Acte 3, sc. 5, v. 920 |
21 |
THIMANTE |
Vous le saurez bientôt. Je tarde trop ; adieu. |
Acte 4, sc. 2, v. 1068 |
22 |
FILANDRE |
D'étouffer, pour son bien, sa passion naissante ; |
Acte 4, sc. 5, v. 1150 |
23 |
FILANDRE |
Combien la jalousie |
Acte 4, sc. 6, v. 1208 |
24 |
NÉRÉE |
Avec combien d'adresse et combien d'artifice |
Acte 4, sc. 6, v. 1276 |
25 |
CÉPHISE |
Et, si je connais bien ton débile courage, |
Acte 5, sc. 1, v. 1352 |
26 |
DORILAS |
Adieu ; mon bien dépend de ce dessein funeste. » |
Acte 5, sc. 2, v. 1456 |
27 |
CÉPHISE |
Mais j'ai contre ton bien tenu de vains propos : |
Acte 5, sc. 6, v. 1686 |
28 |
CÉPHISE |
Si je m'y connais bien, je sens quelque étincelle |
Acte 5, sc. 8, v. 1824 |