n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | FANCHON |
Son mari, mon beau-frère, est un soi-disant grand seigneur, fort vain, très fat, et rempli de chimères. |
Acte 1, sc. 2, FANCHON, phrase 5 |
2 | LE PRÉSIDENT |
Malheureux beau-père ! |
Acte 1, sc. 3, LE PRÉSIDENT, phrase 6 |
3 | LE PRÉSIDENT |
J'ai beau guigner, je ne vois rien. |
Acte 1, sc. 4, LE PRÉSIDENT, phrase 1 |
4 | LE PRÉSIDENT |
J'ai beau observer, je me donne le torticolis, et je ne découvre rien. |
Acte 1, sc. 4, LE PRÉSIDENT, phrase 1 |
5 | LE COMTE |
Croyez-moi, le président et la présidente ont beau faire, je ne veux pas vivre sitôt en bourgeois ; et puisque vous êtes madame la comtesse des Apprêts, je veux que vous souteniez votre dignité, et que vous n'ayez rien de commun avec votre mari que le nom, les armes, et les livrées. |
Acte 2, sc. 3, LE COMTE, phrase 1 |
6 | LE PRÉSIDENT |
Dans quelles éphémérides a-t-on jamais lu qu'un gendre traite de haut en bas son beau-père le président et sa belle-mère la présidente, ne dîne jamais en famille, ne revienne au point du jour que pour coucher seul ? |
Acte 2, sc. 4, LE PRÉSIDENT, phrase 10 |
7 | LA PRÉSIDENTE |
Le président pour beau-père, ni mon... ni mon... |
Acte 2, sc. 4, LA PRÉSIDENTE, phrase 6 |
8 | MONSIEUR DE L'ÉTRIER |
Vous avez un page qui n'a point de chemises, des laquais sans gages, des terres en décret : ma foi, j'oserais vous conseiller d'accepter quelque bonne somme du beau-père, et de lui faire un petit comte des Apprêts. |
Acte 2, sc. 5, MONSIEUR DE L'ÉTRIER, phrase 3 |
9 | LE COMTE |
Si elle était la femme d'un autre, j'en serais amoureux comme un fou ; je donnerais tout ce que je dois (et c'est beaucoup) pour la posséder, pour en être aimé : mais elle est ma femme ; il n'y a pas moyen de la souffrir ; j'ai trop l'honneur en recommandation ; il faut un peu soutenir son caractère dans le monde. |
Acte 2, sc. 5, LE COMTE, phrase 2 |
10 | LE COMTE |
Est-ce qu'on parle à son beau-père ou à sa belle-mère ? |
Acte 2, sc. 6, LE COMTE, phrase 1 |
11 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Tout ce que j'ai est pour ma femme : vous avez épousé l'aînée Catau, et je viens exprès pour épouser la cadette Fanchon, et être votre beau-frère. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 2 |
12 | LE COMTE |
Mon beau-frère ! |
Acte 2, sc. 8, LE COMTE, phrase 2 |
13 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Oui, votre beau-frère, puisque j'épouse votre belle-soeur. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 2 |
14 | LE COMTE |
Vous pouvez épouser Fanchon tant qu'il vous plaira ; mais vous ne serez point mon beau-frère : je vous avertis que je ne signe point au contrat de mariage. |
Acte 2, sc. 8, LE COMTE, phrase 1 |
15 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Que dites-vous là de la mer, beau garçon ? |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 1 |
16 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Beau-père, votre raison va à la bouline : parbleu ! |
Acte 2, sc. 9, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 1 |
17 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Je viens de voir un jeune fat, mon beau-frère, qui a perdu la raison ; le beau-père a perdu la mémoire. |
Acte 2, sc. 9, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 3 |
18 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Allez, beau-père et belle-mère. |
Acte 2, sc. 9, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 1 |
19 | LE CHEVALIER |
Voilà qui est fait ; il ne sera plus question de vous dans les gazettes ; vous n'aurez plus le plaisir de l'abordage ; vous allez languir dans les douces chaînes d'un hymen plein de charmes ; une beauté tendre, touchante, voluptueuse, va vous enchanter dans ses bras. |
Acte 2, sc. 10, LE CHEVALIER, phrase 1 |
20 | MONSIEUR DU CAP VERT |
Mais je suis bien bon, moi, de parler ici de balivernes avec des enfants, lorsqu'il faut que j'aille signer les articles avec le beau-père. |
Acte 2, sc. 11, MONSIEUR DU CAP VERT, phrase 1 |
21 | FANCHON |
C'est-à-dire, notre beau-frère, que vous avez perdu l'argent que je vous avais donné tantôt. |
Acte 3, sc. 2, FANCHON, phrase 1 |
22 | LE COMTE |
Quand voulez-vous me faire voir cette généreuse inconnue, cette beauté, cette divinité qui se transforme en pluie d'or pour m'obtenir ? |
Acte 3, sc. 2, LE COMTE, phrase 2 |
23 | LE COMTE |
Souffrez que le page qui vous a introduite apporte enfin des flambeaux : je ne puis demeurer plus longtemps sans vous voir. |
Acte 3, sc. 9, LE COMTE, phrase 2 |
24 | LA COMTESSE |
C'est déjà beaucoup qu'il m'appelle de ce nom : c'est pour la première fois de sa vie. |
Acte 3, sc. 9, LA COMTESSE, phrase 1 |
25 | LA COMTESSE |
Contentez-vous d'être fils de votre père, gendre de votre beau-père, et mari de votre femme. |
Acte 3, sc. 12, LA COMTESSE, phrase 3 |
26 | LE CHEVALIER |
Par un dessein beaucoup plus raisonnable que le vôtre, mon père, avec le respect que je vous dois : je voulais épouser mademoiselle, dont je suis amoureux, et qui me convient un peu mieux qu'à vous. |
Acte 3, sc. 12, LE CHEVALIER, phrase 1 |
27 |
UNE TURQUE |
Obéir cent beautés. |
Acte 6, sc. 1, v. 4 |