n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | JULIE |
Avez-vous imaginé pour notre affaire quelque chose de favorable ? |
Acte 2, sc. 1, JULIE, phrase 1 |
2 | ÉRASTE |
Ne nous demandez point tous les ressorts que nous ferons jouer, vous en aurez le divertissement ; et comme aux comédies, il est bon de vous laisser le plaisir de la surprise, et de ne vous avertir point de tout ce qu'on vous fera voir, c'est assez de vous dire que nous avons en main divers stratagèmes tous prêts à produire dans l'occasion, et que l'ingénieuse Nérine et l'adroit Sbrigani entreprennent l'affaire. |
Acte 2, sc. 1, ÉRASTE, phrase 2 |
3 | SBRIGANI |
Pour sa figure, je ne veux point vous en parler, vous verrez de quel air la Nature l'a dessinée, et si l'ajustement qui l'accompagne y répond comme il faut : mais pour son esprit, je vous avertis par avance qu'il est des plus épais qui se fassent ; que nous trouvons en lui une matière tout à fait disposée pour ce que nous voulons, et qu'il est homme enfin à donner dans tous les panneaux qu'on lui présentera. |
Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 2 |
4 | NERINE |
Madame, voilà un illustre, votre affaire ne pouvait être mise en de meilleures mains, et c'est le héros de notre siècle pour les exploits dont il s'agit : un homme qui vingt fois en sa vie, pour servir ses amis, a généreusement affronté les galères ; qui au péril de ses bras et de ses épaules, sait mettre noblement à fin les aventures les plus difficiles ; et qui, tel que vous le voyez, est exilé de son pays pour je ne sais combien d'actions honorables qu'il a généreusement entreprises. |
Acte 2, sc. 2, NERINE, phrase 1 |
5 | SBRIGANI |
Je suis confus des louanges dont vous m'honorez, et je pourrais vous en donner, avec plus de justice, sur les merveilles de votre vie ; et principalement sur la gloire que vous acquîtes, lorsqu'avec tant d'honnêteté vous pipâtes au jeu, pour douze mille écus, ce jeune Seigneur étranger que l'on mena chez vous ; lorsque vous fîtes galamment ce faux contrat qui ruina toute une famille ; lorsqu'avec tant de grandeur d'âme, vous sûtes nier le dépôt qu'on vous avait confié ; et que si généreusement on vous vit prêter votre témoignage à faire pendre ces deux personnages qui ne l'avaient pas mérité. |
Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1 |
6 | SBRIGANI |
Je veux bien épargner votre modestie ; laissons cela ; et pour commencer notre affaire, allons vite joindre notre provincial, tandis que de votre côté vous nous tiendrez prêts au besoin les autres acteurs de la comédie. |
Acte 2, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1 |
7 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Au diantre soit la sotte ville, et les sottes gens qui y sont : Ne pouvoir faire un pas sans trouver des nigauds qui vous regardent et se mettent à rire ! |
Acte 2, sc. 3, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 4 |
8 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Messieurs les badauds, faites vos affaires, et laissez passer les personnes sans leur rire au nez. |
Acte 2, sc. 3, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 6 |
9 | SBRIGANI |
Monsieur n'est point une personne à faire rire. |
Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
10 | SBRIGANI |
Et quiconque rira de lui, aura affaire à moi. |
Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
11 | SBRIGANI |
Vous regardez mon habit qui n'est pas fait comme les autres ; mais je suis originaire de Naples, à votre service, et j'ai voulu conserver un peu et la manière de s'habiller, et la sincérité de mon pays. |
Acte 2, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
12 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Il faudra bien aller faire ma Cour. |
Acte 2, sc. 3, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
13 | L APOTHICAIRE |
Non, Monsieur, ce n'est pas moi qui suis le médecin ; à moi n'appartient pas cet honneur, et je ne suis qu'apothicaire, apothicaire indigne, pour vous servir. |
Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 1 |
14 | L APOTHICAIRE |
Je sais ce que c'est, je sais ce que c'est, et j'étais avec lui quand on lui a parlé de cette affaire. |
Acte 2, sc. 5, L APOTHICAIRE, phrase 1 |
15 | ÉRASTE |
En effet, il n'est rien tel que de sortir promptement d'affaire. |
Acte 2, sc. 5, ÉRASTE, phrase 1 |
16 | PREMIER MÉDECIN |
Le malade est un sot, d'autant plus que, dans la maladie dont il est attaqué, ce n'est pas la tête, selon Galien, mais la rate, qui lui doit faire mal. |
Acte 2, sc. 6, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
17 | ÉRASTE |
Une petite affaire m'est survenue, qui m'oblige à vous quitter : mais voilà une personne entre les mains de qui je vous laisse, qui aura soin pour moi de vous traiter du mieux qu'il lui sera possible. |
Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
18 | ÉRASTE |
Mon_Dieu, laissez faire, ce n'est pas pour ce que vous pensez. |
Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
19 | ÉRASTE |
C'est ce que je veux faire. |
Acte 2, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
20 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Il ne faut point tant de façons, vous dis-je, et je suis homme à me contenter de l'ordinaire. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
21 | PREMIER MÉDECIN |
Un peu de patience, nous allons raisonner sur votre affaire devant vous, et nous le ferons en français, pour être plus intelligibles. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
22 | PREMIER MÉDECIN |
Comme ainsi soit qu'on ne puisse guérir une maladie qu'on ne la connaisse parfaitement, et qu'on ne la puisse parfaitement connaître, sans en bien établir l'idée particulière et la véritable espèce, par ses signes diagnostiques et prognostiques, vous me permettrez, Monsieur notre ancien, d'entrer en considération de la maladie dont il s'agit, avant que de toucher à la thérapeutique et aux remèdes qu'il nous conviendra faire pour la parfaite curation d'icelle. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
23 | PREMIER MÉDECIN |
Je l'appelle mélancolie hypocondriaque, pour la distinguer des deux autres ; car le célèbre Galien établit doctement à son ordinaire trois espèces de cette maladie que nous nommons mélancolie, ainsi appelée non seulement par les Latins, mais encore par les Grecs ; ce qui est bien à remarquer pour notre affaire : la première, qui vient du propre vice du cerveau ; la seconde, qui vient de tout le sang, fait et rendu atrabilaire ; la troisième, appelée hypocondriaque, qui est la nôtre, laquelle procède du vice de quelque partie du bas-ventre et de la région inférieure, mais particulièrement de la rate, dont la chaleur et l'inflammation porte au cerveau de notre malade beaucoup de fuligines épaisses et crasses, dont la vapeur noire et maligne, cause dépravation aux fonctions de la faculté princesse, et fait la maladie dont par notre raisonnement il est manifestement atteint et convaincu. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 3 |
24 | PREMIER MÉDECIN |
Tout ceci supposé, puisqu'une maladie bien connue est à demi guérie, car ignoti nulla est curatio morbi, il ne vous sera pas difficile de convenir des remèdes que nous devons faire à Monsieur. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 5 |
25 | PREMIER MÉDECIN |
Premièrement, pour remédier à cette pléthore obturante, et à cette cacochymie luxuriante par tout le corps, je suis d'avis qu'il soit phlébotomisé libéralement ; c'est-à-dire que les saignées soient fréquentes et plantureuses : en premier lieu de la basilique, puis de la céphalique ; et même si le mal est opiniâtre, de lui ouvrir la veine du front, et que l'ouverture soit large, afin que le gros sang puisse sortir ; et en même temps, de le purger, désopiler, et évacuer par purgatifs propres et convenables, c'est-à-dire par cholagogues, mélanogogues, et caetera ; et comme la véritable source de tout le mal, est ou une humeur crasse et féculente, ou une vapeur noire et grossière qui obscurcit, infecte et salit les esprits animaux, il est à propos ensuite qu'il prenne un bain d'eau pure et nette, avec force petit-lait clair, pour purifier par l'eau la féculence de l'humeur crasse, et éclaircir par le lait clair la noirceur de cette vapeur ; mais avant toute chose, je trouve qu'il est bon de le réjouir par agréables conversations, chants et instruments de musique, à quoi il n'y a pas d'inconvénient de joindre des danseurs, afin que leurs mouvements, disposition et agilité puissent exciter et réveiller la paresse de ses esprits engourdis, qui occasionne l'épaisseur de son sang, d'où procède la maladie. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 6 |
26 | SECOND MEDECIN |
Tout ce que j'y voudrais, c'est de faire les saignées et les purgations en nombre impair, Numero deus impari gaudet : de prendre le lait clair avant le bain ; de lui composer un fronteau où il entre du sel ; le sel est symbole de la sagesse : de faire blanchir les murailles de sa chambre, pour dissiper les ténèbres de ses esprits, Album est disgregativum visus, et de lui donner tout à l'heure un petit lavement, pour servir de prélude et d'introduction à ces judicieux remèdes, dont, s'il a à guérir, il doit recevoir du soulagement. |
Acte 2, sc. 8, SECOND MEDECIN, phrase 3 |
27 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Qu'est-ce donc que toute cette affaire ? |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
28 | PREMIER MÉDECIN |
Nous savons mieux que vous comment vous vous portez, et nous sommes médecins, qui voyons clair dans votre constitution. |
Acte 2, sc. 8, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
29 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Si vous êtes médecins, je n'ai que faire de vous ; et je me moque de la médecine. |
Acte 2, sc. 8, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
30 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Je n'ai que faire de cela. |
Acte 2, sc. 11, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 2 |
31 | PREMIER MÉDECIN |
Il a forcé tous les obstacles que j'avais mis ; et s'est dérobé aux remèdes que je commençais de lui faire. |
Acte 3, sc. 1, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
32 | SBRIGANI |
C'est être bien ennemi de soi-même, que de fuir des remèdes aussi salutaires que les vôtres. |
Acte 3, sc. 1, SBRIGANI, phrase 1 |
33 | PREMIER MÉDECIN |
Il est lié et engagé à mes remèdes, et je veux le faire saisir où je le trouverai, comme déserteur de la médecine, et infracteur de mes ordonnances. |
Acte 3, sc. 1, PREMIER MÉDECIN, phrase 3 |
34 | PREMIER MÉDECIN |
Laissez-moi faire. |
Acte 3, sc. 1, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
35 | PREMIER MÉDECIN |
Les médecins sont obligés au secret : il suffit que je vous ordonne, à vous, et à votre fille, de ne point célébrer, sans mon consentement, vos noces avec lui, sur peine d'encourir la disgrâce de la Faculté, et d'être accablés de toutes les maladies qu'il nous plaira. |
Acte 3, sc. 2, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
36 | ORONTE |
Je n'ai garde, si cela est, de faire le mariage. |
Acte 3, sc. 2, ORONTE, phrase 1 |
37 | PREMIER MÉDECIN |
Il a beau fuir, je le ferai condamner par arrêt à se faire guérir par moi. |
Acte 3, sc. 2, PREMIER MÉDECIN, phrase 1 |
38 | SBRIGANI |
Montsir, avec le vostre permissione, je suisse un trancher marchand Flamane, qui voudroit bienne vous temantair un petit nouvel. |
Acte 3, sc. 3, SBRIGANI, phrase 1 |
39 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Apothicaire. |
Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 13 |
40 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Cela veut dire que cet homme-là, avec ses grandes embrassades, est un fourbe qui m'a mis dans une maison pour se moquer de moi, et me faire une pièce. |
Acte 3, sc. 4, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
41 | SBRIGANI |
Non, cela n'est pas nécessaire. |
Acte 3, sc. 4, SBRIGANI, phrase 1 |
42 | SBRIGANI |
Laissez-moi consulter un peu si je le puis faire en conscience. |
Acte 3, sc. 4, SBRIGANI, phrase 1 |
43 | JULIE |
Qu'il a bon air : et que je suis contente d'avoir un tel époux ! |
Acte 3, sc. 6, JULIE, phrase 5 |
44 | JULIE |
Vous avez beau faire, nous serons mariés ensemble en dépit de tout le monde. |
Acte 3, sc. 6, JULIE, phrase 1 |
45 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
3t qu'il n'ait pas là dedans quelque morceau de judiciaire pour se conduire, pour se faire informer de l'histoire du monde, et voir en se mariant, si son honneur a bien toutes ses sûretés ? |
Acte 3, sc. 6, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 2 |
46 | NERINE |
Chés mon mery, Monsieur, et je veux faire pindre che bon pindar là. |
Acte 3, sc. 8, NERINE, phrase 5 |
47 | NERINE |
J'ay des gairents de tout ce que je dy. |
Acte 3, sc. 8, NERINE, phrase 1 |
48 | NERINE |
Venez, Madelaine, me n'ainfain, venez-ves-en ichy faire honte à vo père de l'impudainche qu'il a. |
Acte 3, sc. 8, NERINE, phrase 1 |
49 | NERINE |
Ne rougis-tu mie de dire ches mots-là, et d'estre insainsible aux cairesses de chette pauvre ainfain ? |
Acte 3, sc. 8, NERINE, phrase 1 |
50 | ORONTE |
Allez, vous ferez bien de le faire punir, et il mérite d'être pendu. |
Acte 3, sc. 8, ORONTE, phrase 1 |
51 | SBRIGANI |
Voilà une méchante affaire, et la justice en ce pays-ci est rigoureuse en diable contre cette sorte de crime. |
Acte 3, sc. 10, SBRIGANI, phrase 1 |
52 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Pour vous montrer que je n'entends rien du tout à la chicane, je vous prie de me mener chez quelque avocat pour consulter mon affaire. |
Acte 3, sc. 10, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
53 |
L'AVOCAT bredouilleur |
Est clair et net ; |
Acte 3, sc. 11, v. 59 |
54 |
L'AVOCAT bredouilleur |
Et l'affaire est sans embarras ; |
Acte 3, sc. 11, v. 80 |
55 | SBRIGANI |
Oui, je vous l'ai déjà dit, ils commencent ici par faire pendre un homme, et puis ils lui font son procès. |
Acte 4, sc. 2, SBRIGANI, phrase 1 |
56 | MONSIEUR DE POURCEAUGNAC |
Laissez-moi faire, j'ai vu les personnes du bel air ; tout ce qu'il y a, c'est que j'ai un peu de barbe. |
Acte 4, sc. 2, MONSIEUR DE POURCEAUGNAC, phrase 1 |
57 | PREMIER SUISSE |
Allons, dépeschons, camerade, ly faut allair tous deux nous à la Crève pour regarter un peu chousticier sti Monsiu de Porcegnac qui l'a esté contané par ortonnance à l'estre pendu par son cou. |
Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 1 |
58 | PREMIER SUISSE |
Que faire fous là tout seul ? |
Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 1 |
59 | PREMIER SUISSE |
Nous faire foir à fous un petit pendement pien choly. |
Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 2 |
60 | PREMIER SUISSE |
Mon foi, moi couchair pien avec fous. |
Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 1 |
61 | SECOND SUISSE |
Laisse-toi, l'est moi qui le veut couchair avec elle. |
Acte 4, sc. 3, SECOND SUISSE, phrase 1 |
62 | PREMIER SUISSE |
Moy ne faire rien. |
Acte 4, sc. 3, PREMIER SUISSE, phrase 1 |
63 | L'EXEMPT |
Et que voulez-vous faire à Madame ? |
Acte 4, sc. 4, L'EXEMPT, phrase 3 |
64 | SBRIGANI |
Oui : elle en est devenue si folle, qu'elle vous quitte pour le suivre ; et l'on dit qu'il a un caractère pour se faire aimer de toutes les femmes. |
Acte 4, sc. 6, SBRIGANI, phrase 1 |
65 | ÉRASTE |
On lui a fait croire que cet autre est plus riche que moi de quatre ou cinq mille écus ; et quatre ou cinq mille écus est un denier considérable, et qui vaut bien la peine qu'un homme manque à sa parole : mais oublier en un moment toute l'ardeur que je vous ai montrée, vous laisser d'abord enflammer d'amour pour un nouveau venu, et le suivre honteusement sans le consentement de Monsieur votre père, après les crimes qu'on lui impute, c'est une chose condamnée de tout le monde, et dont mon coeur ne peut vous faire d'assez sanglants reproches. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 5 |
66 | ORONTE |
Allons, qu'on fasse venir le notaire pour dresser le contrat. |
Acte 4, sc. 7, ORONTE, phrase 2 |
67 | ÉRASTE |
En attendant qu'il vienne, nous pouvons jouir du divertissement de la saison, et faire entrer les masques que le bruit des noces de Monsieur de Pourceaugnac a attirés ici de tous les endroits de la ville. |
Acte 4, sc. 7, ÉRASTE, phrase 1 |
68 |
L'EGYPTIENNE |
La grande affaire est le plaisir. |
Acte 4, sc. 8, v. 88 |
69 |
CHOEUR DES MUSICIENS |
La grande affaire est le plaisir. |
Acte 4, sc. 8, v. 90 |
70 |
TOUS ENSEMBLE |
La grande affaire est le plaisir. |
Acte 4, sc. 8, v. 118 |