n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | MADEMOISELLE MOUSSET |
De belles robes de chambres, Messieurs ? |
Acte 1, sc. 1, MADEMOISELLE MOUSSET, phrase 1 |
2 | LE CHEVALIER |
Non, mon enfant, ta boutique est plus incommode que ce carrefour ; elle est toujours pleine de cent personnes à qui tu crois vendre des robes de chambre, et qui n'ont pas de quoi payer un bonnet. |
Acte 1, sc. 3, LE CHEVALIER, phrase 1 |
3 | LE CHEVALIER |
Oui, mon enfant, la Comtesse de Méripillerious, notre parente, tient toute la robe dans sa manche ; je vais accompagner ma soeur chez elle pour son affaire, et je reviens dans l'instant ici pour la nôtre. |
Acte 1, sc. 3, LE CHEVALIER, phrase 1 |
4 | LORANGE |
Quelquefois un peu par-ci, par-là ; mais cependant, je vous l'avoue, j'ai eu toutes les peines du monde à vous remettre, parce que je ne pouvais me figurer que Madame la Marquise de la Papelardière du Marais, fût devenue Marchande de robes de chambre à la Foire. |
Acte 1, sc. 5, LORANGE, phrase 1 |
5 | MONSIEUR FARFADEL |
La manière de se distinguer à la guerre est dangereuse ; celle de la robe est trop sérieuse, et trop pénible ; il n'est rien tel que de briller dans la Finance. |
Acte 1, sc. 16, MONSIEUR FARFADEL, phrase 2 |
6 | LORANGE |
De robe, d'épée, ou de finance ? |
Acte 1, sc. 18, LORANGE, phrase 1 |