n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | GABRILLON |
Ah, vous voilà donc à la fin ! |
Acte 1, sc. 2, GABRILLON, phrase 1 |
2 | LA BRIE |
Il se fait ici les plus belles affaires de Paris : voulez-vous des Charges, des Offices, des Emplois ? |
Acte 1, sc. 2, LA BRIE, phrase 3 |
3 | GABRILLON |
Comme on lui donne à vendre des nippes de toutes parts, la magnificence des meubles, la richesse des pierreries, et l'abondance de vaisselle d'argent que le Capitaine voit dans ce logis, lui font paraître ma maîtresse un des meilleurs partis de la Robe. |
Acte 1, sc. 2, GABRILLON, phrase 4 |
4 | LA BRIE |
La fine mouche ! |
Acte 1, sc. 2, LA BRIE, phrase 1 |
5 | LA BRIE |
De quoi diantre s'avise-t-elle de confier ces choses au papier ? |
Acte 1, sc. 2, LA BRIE, phrase 2 |
6 | MADAME THIBAUT |
Monsieur l'abbé Castoret vous aurait-il, par quelque petit bénéfice, mise dans ses intérêts ? |
Acte 1, sc. 3, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
7 | MADAME THIBAUT |
Hé bien, dites-lui qu'il n'y a rien à faire pour des Commissions qu'à l'autre bail, à moins qu'il n'épouse cette fille dont je lui ai parlé : encore faut-il que dès le lendemain des noces, il la laisse à Paris, pendant qu'il ira faire sa Commission au fond du Périgord. |
Acte 1, sc. 3, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
8 | GABRILLON |
Vraiment il n'y saurait suffire à l'heure que je vous parle. |
Acte 1, sc. 3, GABRILLON, phrase 1 |
9 | GABRILLON |
Il a sept ou huit douzaines de visage à rendre avant qu'il soit la fin de la semaine. |
Acte 1, sc. 3, GABRILLON, phrase 2 |
10 | MADAME THIBAUT |
À propos de la rue saint Martin, vous êtes-vous souvenue d'aller à ce Messager de Rouen, savoir si ce quartier de veau de rivière, ce muid de cidre, ces pots de noix confites, et ces deux témoins sont arrivés. |
Acte 1, sc. 3, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
11 | MADAME THIBAUT |
Notre Financier attend la réponse avec impatience. |
Acte 1, sc. 4, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
12 | MADAME THIBAUT |
Vous n'avez donc pas dit à la mère que c'était vous qui montriez à cette Marquise de leur voisinage, qui à cinquante ans, danse le menuet aussi proprement qu'une fille de quinze ? |
Acte 1, sc. 4, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
13 | LE MAÎTRE À CHANTER |
Oui, si je trouvais d'ailleurs quelque profit plus considérable. |
Acte 1, sc. 5, LE MAÎTRE À CHANTER, phrase 1 |
14 | LE MAÎTRE À CHANTER |
Je vous baise les mains : je fais de la musique, c'est mon métier ; et tous les Commandeurs du monde ne me feraient pas montrer à de petites filles qui ne veulent point apprendre de mes airs, et les trouver plus beaux que ceux de l'Opéra même. |
Acte 1, sc. 5, LE MAÎTRE À CHANTER, phrase 1 |
15 | LE MAÎTRE À CHANTER |
Et moi, je verrais crever tous les Financiers du Royaume, plutôt que d'apprendre à danser à leurs Maîtresses pour une pistole. |
Acte 1, sc. 5, LE MAÎTRE À CHANTER, phrase 1 |
16 | MADAME THIBAUT |
Diantre soit des impertinents ; mais, finissons. |
Acte 1, sc. 5, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
17 | DORISE |
C'est que pour m'exprimer à vous, Madame, d'une manière plus élégante, je me suis servi du figuré ; mais, à parler au propre, cela veut dire que je postule une place à l'Académie. |
Acte 1, sc. 7, DORISE, phrase 1 |
18 | MADAME THIBAUT |
Oh, je crois que vous dites cela au figuré. |
Acte 1, sc. 7, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
19 | JOLICOEUR |
Tu sors d'un carrosse magnifique, et tu es vêtu comme un Colonel. |
Acte 2, sc. 1, JOLICOEUR, phrase 2 |
20 | JOLICOEUR |
Mais enfin, que fais-tu à Paris, aurais-tu déserté ? |
Acte 2, sc. 1, JOLICOEUR, phrase 2 |
21 | JOLICOEUR |
Voilà une chambre magnifique. |
Acte 2, sc. 1, JOLICOEUR, phrase 2 |
22 | LA RAMEE |
Je veux par ma magnificence immortaliser à jamais cette humeur sobre et laborieuse, dont il était doué. |
Acte 2, sc. 1, LA RAMEE, phrase |
23 | JOLICOEUR |
Il y a là-dessus plus de la moitié de profit. |
Acte 2, sc. 1, JOLICOEUR, phrase 2 |
24 | LA RAMEE |
Mon adresse et mon savoir-faire m'avaient mis dans le monde dans une assez belle situation : mais mon bonheur m'y fit des jaloux, on me suscita des affaires, je m'enrôlai pour me garantir des brutalités de la Justice. |
Acte 2, sc. 1, LA RAMEE, phrase 3 |
25 | LA BRIE |
Autrefois qu'ils ne donnaient qu'une pièce en tout un an, je ne l'aurais pas conseiller : et fi ! |
Acte 2, sc. 3, LA BRIE, phrase 2 |
26 | GABRILLON |
Mais ce jeune Officier qui a déjà les chevaux, et qui n'attend plus qu'après l'argent du carrosse pour achever son équipage, s'accommodera-t-il de cela ? |
Acte 2, sc. 5, GABRILLON, phrase 2 |
27 | ANGÉLIQUE |
Et à moi bien du profit. |
Acte 2, sc. 6, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
28 | ANGÉLIQUE |
Lorsqu'on est né l'épée au côté, je crois que partout ailleurs un homme de mon âge fait une sotte figure. |
Acte 2, sc. 6, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
29 | MADAME THIBAUT |
Où trouverez-vous encore un métier dont le travail de six semaines suffise pour vous défrayer de toute l'année ? |
Acte 2, sc. 6, MADAME THIBAUT, phrase 6 |
30 | ANGÉLIQUE |
Je ne l'ai pris que pour m'introduire dans une maison où mon perfide de Chevalier donne des rendez-vous à ma rivale. |
Acte 2, sc. 6, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
31 | ANGÉLIQUE |
La rupture est certaine de manière ou d'autre ; et il me semble qu'un finissant une intrigue, c'est une espèce de consolation, que de gourmer un infidèle. |
Acte 2, sc. 6, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
32 | ANGÉLIQUE |
À moins que de jouer dans la maison de rendez-vous, on y fait mauvaise figure, et je prétends la faire bonne. |
Acte 2, sc. 6, ANGÉLIQUE, phrase 2 |
33 | MADAME THIBAUT |
Ce fou d'Éraste, qui pour se raccommoder avec sa famille, a quitté l'épée pour la robe, et d'Officier, s'est fait apprentif Magistrat ? |
Acte 3, sc. 1, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
34 | LA RAMEE |
Je passe à Paris des demi Étés incognito Je joins l'armée le jour d'une action ; cela fini, je reviens triomphant mettre à vos pieds toute ma gloire, et vous sacrifier ma fortune. |
Acte 3, sc. 2, LA RAMEE, phrase 3 |
35 | LA RAMEE |
Mon Fils, je ne saurais vous donner de plus fortes preuves de mon amitié, qu'en vous donnant Ismène pour épouse. |
Acte 3, sc. 3, LA RAMEE, phrase 1 |
36 | LE MARQUIS |
Voilà une fille qui me parle bien cavalièrement. |
Acte 3, sc. 9, LE MARQUIS, phrase 1 |
37 | LE COCHER |
Je vais m'y rendre, afin qu'on m'y trouve. |
Acte 3, sc. 11, LE COCHER, phrase 1 |
38 | MADAME THIBAUT |
Elle est magnifique, vraiment. |
Acte 3, sc. 12, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
39 | LE MARQUIS |
Comme j'ai grands fonds de crédit, moi, il faudrait pour diversifier les choses, que la Dame eût grands fonds de terre. |
Acte 3, sc. 12, LE MARQUIS, phrase 2 |
40 | LE MAÎTRE À CHANTER |
Ils se sont mis à la raison, enfin. |
Acte 4, sc. 1, LE MAÎTRE À CHANTER, phrase 1 |
41 | GABRILLON |
C'est ce jeune Officier pour cette vaisselle d'argent. |
Acte 4, sc. 3, GABRILLON, phrase 1 |
42 | LÉANDRE |
À la fin, je t'amène mon père. |
Acte 4, sc. 1, LÉANDRE, phrase 1 |
43 | MADAME THIBAUT |
Hé vite, vite, finissons, je sais tout cela. |
Acte 4, sc. 1, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
44 | MADAME THIBAUT |
Que vous avez-là un honnête Gentilhomme de fils, mon cher Monsieur ! |
Acte 4, sc. 5, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
45 | LE PETIT DRAGON |
Elle vous a déjà fait accroire que c'est moi qui ai dit à Monsieur, que Madame se faisait descendre tous les jours de carrosse dans la cour neuve du Palais, et puis qu'elle allait trouver Monsieur le Chevalier, qui l'attendait vis-à-vis saint Barthélemy dans un Fiacre. |
Acte 4, sc. 7, LE PETIT DRAGON, phrase 2 |
46 | MÉLINDE |
Votre fils, Monsieur... votre fils. |
Acte 4, sc. 9, MÉLINDE, phrase 1 |
47 | DORANTE |
Hé bien, mon fils, Madame, qu'a-t-il fait ? |
Acte 4, sc. 9, DORANTE, phrase 1 |
48 | DORANTE |
Oui, Madame, j'ai la vôtre neuve, et vous m'avez pris ma vieille ; et mon coquin de fils a mon argent sans doute, car je ne le vois plus. |
Acte 4, sc. 9, DORANTE, phrase 1 |
49 | DORANTE |
Où est mon fils ? |
Acte 4, sc. 9, DORANTE, phrase 1 |
50 | MÉLINDE |
Votre fils m'a volée, et vous vous prenez encore à moi de son dérèglement. |
Acte 4, sc. 9, MÉLINDE, phrase 2 |
51 | MADAME THIBAUT |
Est-il bien vrai que vous me sacrifiez ainsi votre fortune ? |
Acte 4, sc. 11, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
52 | MADAME THIBAUT |
Hé, fi donc, vous n'y songez pas. |
Acte 4, sc. 13, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
53 | MONSIEUR DUBOIS |
Je suis ruiné, Madame Thibaut ; ma petite fille vient de mourir entre mes bras, d'une convulsion qui lui a pris tout d'un coup sans apparence même de maladie. |
Acte 4, sc. 13, MONSIEUR DUBOIS, phrase 2 |
54 | MADAME THIBAUT |
Et quel âge avait la petite fille ? |
Acte 4, sc. 13, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
55 | MADAME THIBAUT |
Je songe à vous rendre un bon office. |
Acte 4, sc. 13, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
56 | MADAME THIBAUT |
Elle a une petite fille à peu près comme était la vôtre. |
Acte 4, sc. 13, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
57 | GABRILLON |
En supposant cette petite fille au lieu de la mienne, je pourrais acheter la Charge. |
Acte 4, sc. 13, GABRILLON, phrase 2 |
58 | GABRILLON |
Voyez, parlez, Madame Thibaut, je sacrifierai volontiers mille écus pour cette affaire. |
Acte 4, sc. 13, GABRILLON, phrase 3 |
59 | GABRILLON |
La Justice lui a volé plus de la moitié de ses profits en amendes, en frais de Procureurs, droits de clercs, présents forcés, petites pensions involontaires à d'honnêtes personnes dans le besoin. |
Acte 4, sc. 14, GABRILLON, phrase 1 |
60 | GABRILLON |
Nous avons outre cela près de trois douzaines de filles de chambre, une trentaine de cochers, et plus de cent laquais. |
Acte 4, sc. 14, GABRILLON, phrase 3 |
61 | GABRILLON |
C'est une femme qui aime sa petite fille au-delà de l'imagination. |
Acte 4, sc. 15, GABRILLON, phrase 1 |
62 | MADAME THIBAUT |
Si Monsieur Dubois n'a cet enfant pour remplir le vide que la petite fille défunte laisse dans sa famille, il sera obligé de rendre tout le bien de sa femme. |
Acte 4, sc. 15, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
63 | LISETTE |
Enfin, tous deux ensemble vont venir ici dans la meilleure intelligence du monde. |
Acte 5, sc. 1, LISETTE, phrase 3 |
64 | GABRILLON |
Et fi, à le bien prendre, il vous en devrait coûter moins qu'à qui que ce soit ; car, votre taille ne peut passer tout au plus que pour un In-douze. |
Acte 5, sc. 2, GABRILLON, phrase 1 |
65 | GABRILLON |
Voilà pour elle un profit tout clair. |
Acte 5, sc. 2, GABRILLON, phrase 1 |
66 | MONSIEUR DE LA PROTASE |
Les auteurs modernes en dramatique, tant en vers qu'en prose, de votre bonne ville et faubourgs de Paris, remontrent très humblement à votre Majesté, qu'après avoir sacrifié leurs soins et leurs veilles aux plaisirs du public, leur zèle serait tous les jours mal reconnu par certains quidams indiscrets, qui, de dessein prémédité, se transportant journellement ès lieux où lesdits auteurs font représenter leurs ouvrages, avec des appeaux à perdrix, des sifflets de chaudronniers, et autres armes offensives, desquelles ils chargent sans miséricorde tout ce qui ose paraître d'Acteurs sur le Théâtre, avec tant de fureur, que le comédien le plus intrépide est souvent contraint de lâcher pied, et de se retirer le coeur meurtri et tout percé de coups de sifflets. |
Acte 5, sc. 2, MONSIEUR DE LA PROTASE, phrase 1 |
67 | MONSIEUR DE LA PROTASE |
Adieu, ma fille, adieu. |
Acte 5, sc. 2, MONSIEUR DE LA PROTASE, phrase 1 |
68 | MADAME THIBAUT |
Quoi, c'est vous, Monsieur le Conseiller, vous voilà redevenu Officier. |
Acte 5, sc. 4, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
69 | MADAME THIBAUT |
Entrez là-dedans, faites un mémoire de votre bien, et de vos dettes surtout ; mais qu'il soit fidèle ; je me fais fort de trouver moyen de vous tirer de l'embarras où vous êtes. |
Acte 5, sc. 4, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
70 | MADAME THIBAUT |
Entrez là-dedans, vous dis-je, voilà des gens qui ont affaire à moi ; quand j'aurai fini avec eux, je vous en dirai davantage. |
Acte 5, sc. 4, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
71 | MADAME THIBAUT |
Fi, Monsieur, vous êtes pour cela une trop bonne pâte d'homme. |
Acte 5, sc. 5, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
72 | ARDALISE |
Quand il me fâche, je le mets à l'amende, et tu profites toujours de cet argent-là, toi. |
Acte 5, sc. 5, ARDALISE, phrase 1 |
73 | ORGON |
Ah : fi, voilà un dessein bien brouillé. |
Acte 5, sc. 5, ORGON, phrase 1 |
74 | ARDALISE |
Mon fils, vous n'y songez pas, il n'y a point du tout de confusion dans cet ouvrage. |
Acte 5, sc. 5, ARDALISE, phrase 2 |
75 | ORGON |
Repliez, repliez cela, Madame Thibaut : crois-moi, mignonne, rien n'use tant la vue que de regarder fixement des dentelles. |
Acte 5, sc. 5, ORGON, phrase 1 |
76 | ARDALISE |
Mon fils, pour peu qu'une femme aime son époux, peut-elle entendre parler de la mort d'un mari, sans mourir elle-même de douleur ? |
Acte 5, sc. 5, ARDALISE, phrase 2 |
77 | ARDALISE |
Au moins, mon fils, c'est sans préjudice de l'amende. |
Acte 5, sc. 5, ARDALISE, phrase 1 |
78 | MADAME THIBAUT |
Car enfin, quelle protection pourriez-vous attendre d'un homme de soixante ans, par exemple ? |
Acte 5, sc. 7, MADAME THIBAUT, phrase 2 |
79 | MADAME TORQUETTE |
Soixante ans, fi. |
Acte 5, sc. 7, MADAME TORQUETTE, phrase 2 |
80 | MADAME THIBAUT |
Vous avez du fiel, Madame Torquette, vous aimez les vengeances qui durent. |
Acte 5, sc. 7, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
81 | ÉRASTE |
Tiens, ma chère Madame Thibaut, voilà le mémoire de mes dettes aussi fidèle que tu me l'as demandé. |
Acte 5, sc. 8, ÉRASTE, phrase 1 |
82 | MADAME THIBAUT |
Hé, fi donc, vous n'y songez pas. |
Acte 5, sc. 10, MADAME THIBAUT, phrase 1 |
83 | ÉRASTE |
Vous avez vu mon mémoire, je profiterai de la méprise. |
Acte 5, sc. 10, ÉRASTE, phrase 2 |
84 | ÉRASTE |
Oh, je ne croyais pas que les Apothicaires fissent payer leurs spéculations. |
Acte 5, sc. 10, ÉRASTE, phrase 3 |
85 | ÉRASTE |
Pour avoir trois fois la semaine, pendant un an, remonté de filasse neuve les pompes avec quoi Madame prend ses remèdes. |
Acte 5, sc. 10, ÉRASTE, phrase 2 |
86 | DORANTE |
Oui, Monsieur, c'est une coquine qui a recelé de la vaisselle que mon fils a volée à sa mère. |
Acte 5, sc. 14, DORANTE, phrase 1 |
87 | DORANTE |
Point, Monsieur, mon fils m'a tout dit. |
Acte 5, sc. 14, DORANTE, phrase 1 |
88 | LA RAMEE |
À fourbe, fourbe et demi ; Madame, finissez avec ces Messieurs, je vous le conseille. |
Acte 5, sc. 15, LA RAMEE, phrase 2 |