n° |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | LUCAS |
Je te charche morguoi tout depuis hier que je sis arrivé ; et si par cas fortuit je ne t'avais pas rencontrée, je crois, Dieu me pardonne, que je te chercherais encore, et je me chercherais peut-être itou moi-même, car j'ai pensé me perdre. |
Acte 1, sc. 1, LUCAS, phrase 3 |
2 | LUCAS |
Pargué, ni toi non plus, je sommes aussi savant l'un que l'autre ; et si on fait la tienne, il m'est avis que la mienne ne sera pas plus malaisiée. |
Acte 1, sc. 1, LUCAS, phrase 1 |
3 | CLAUDINE |
Un bien habile homme, et si ça est tout jeune, c'est à qui l'aura. |
Acte 1, sc. 1, CLAUDINE, phrase 1 |
4 | CLAUDINE |
Il y a une vieille Madame Sara qui le veut pour elle ; et sa nièce qui est ma Maîtresse, à moi, le veux avoir itou, et si je crois pourtant qu'elle s'est déjà un peu emparé de quelque autre. |
Acte 1, sc. 1, CLAUDINE, phrase 2 |
5 | MADAME SARA |
Il est si froid et si rétif, c'est l'intérêt seul qui le domine, et l'amour a si peu de part à tout ce qu'il fait. |
Acte 1, sc. 3, MADAME SARA, phrase 4 |
6 | ZACHARIE |
J'ai fait cette semaine, à moi tout seul, pour plus de quarante mille francs de conversions, et si nous ne sommes encore qu'au Jeudi. |
Acte 1, sc. 7, ZACHARIE, phrase 1 |
7 | TRAPOLIN |
Sur une promesse de mariage pure et simple, payable à vue dans quatre mois. |
Acte 2, sc. 1, TRAPOLIN, phrase 1 |
8 | LE LAQUAIS |
Monsieur Durillon vient de venir là-bas avec un jeune Monsieur, qui est allé l'attendre quelque part ; il demande s'il peut monter, et si vous n'avez point d'affaires. |
Acte 2, sc. 2, LE LAQUAIS, phrase 1 |
9 | LA BARONNE |
Je suis bien changée, je vous en réponds, je n'ai pas toujours aimé le jeu comme je fais, mes premières passions étaient tout autre chose ; mais je les ai toujours vives et onéreuses, et si mon bien n'était pas substitué, je serais tout è fait ruinée à l'heure que je vous parle. |
Acte 2, sc. 13, LA BARONNE, phrase 3 |
10 | DAUDINET |
Voici une drôle de maison, on ne trouve personne à qui parler : oh dame, je suis un drôle de corps aussi, moi ; je vais toujours en avant quand rien ne m'arrête ; et si je trouvais la Caisse ouverte.... |
Acte 3, sc. 9, DAUDINET, phrase 2 |
11 | TRAPOLIN |
Et si vous vous sentiez du goût pour la guerre ? |
Acte 3, sc. 9, TRAPOLIN, phrase 1 |
12 | DAUDINET |
Mais il n'a pas de fonds, je lui dois déjà plus de deux mille écus, dont je n'ai touché que deux cents pistoles, et si il a à moi pour plus de dix mille francs de bagues et de tabatières, que j'avais prises à crédit : il ne me donne que cent francs à cent francs ; il me fait languir, cela ne me fait, ni profit, ni honneur : je suis las de tout cela, et Monsieur Durillon m'a dit que nous ferions ensemble tout d'un coup quelque bonne affaire, que je n'aurai à songer qu'à me divertir pendant deux ou trois mois ; tant que l'argent durera, je ne vous importunerai point. |
Acte 3, sc. 9, DAUDINET, phrase 2 |
13 | DURILLON |
Je suis votre ami, et votre serviteur, et si Monsieur Trapolin veut se contenter de l'hypothèque que vous lui donnerez sur ma maison, que je vous prête, et que je prétends même que vous déclariez être à vous dans l'obligation... |
Acte 3, sc. 9, DURILLON, phrase 2 |
14 | DUBOIS |
Il n'y a point de fortune à faire avec ces Messieurs de la Gascogne ; et si jamais je travaille pour mon compte, je n'aurai point d'affaire avec ces gens-là. |
Acte 3, sc. 18, DUBOIS, phrase 1 |
15 | LUCAS |
Hé bian, votre papier ne vaut rian, Monsieu Trapolin ; on ne trouve dessus que des coups de bâton et des injures, et si, on appelle ça des billets doux encore. |
Acte 3, sc. 25, LUCAS, phrase 1 |