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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | CHASTEAUFORT |
Cela lui donna bien jusques ? la hardiesse de s'imaginer qu'elle me pouvait produire. Pour cet effet elle empoigna les ?mes de Samson, d'Hector, d'Achille, d'Ajax, de Cyrus, d'Epaminondas, d'Alexandre, de Romule, de Scipion, d'Annibal, de Sylla, de Pomp?e, de Pyrrhus, de Caton, de Caesar, et d'Antoine ; puis les ayant pulv?ris?es, calcin?es, rectifi?es, elle r?duisit toute cette confection en un spirituel sublim? qui n'attendait plus qu'un fourreau pour s'y fourrer. Nature, glorieuse de son r?ussit, ne p?t go?ter mod?r?ment sa joie, elle clabauda son chef-d'oeuvre partout; l'Art en devint jaloux, et f?ch?, disait-il, qu'une teigneuse emport?t toute seule la gloire de m'avoir engendr?, la traita d'ingrate, de superbe, lui d?chira sa coiffe ; Nature, de son c?t?, prit son ennemi aux cheveux ; enfin l'un et l'autre battit, et fut battu. Le tintamarre des d?mentis, des soufflets, des bastonnades, m'?veilla ; je les vis, et jugeant que leurs d?m?l?s ne portaient pas la mine de prendre sit?t fin, pour les mettre d'accord, je me cr?? moi-m?me. Depuis ce temps-l? leur querelle dure encore ; partout vous voyez ces irr?conciliables ennemis se pr?ter le collet, et les descriptions de nos ?crivains d'aujourd'hui ne sont lard?es d'autre chose que des faits d'armes de ces deux gladiateurs, ? cause que, prenant ? bon augure d'?tre n? dans la guerre, je leur commandai, en m?moire de ma naissance, de se battre sans se reposer jusques ? la fin du Monde. |
Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 3 |
2 | CHASTEAUFORT |
Nature pour gagner mes bonnes gr?ces me pr?senta cette bisque de h?ros, je n'en fis par Dieu que deux gorg?es ; donc afin de ne pas demeurer ingrat, je la voulus d?p?trer de ces Dieutelets, dont l'insolence la mettait en cervelle. Je les mandai, ils ob?irent ; enfin je pronon?ai cet immuable Arr?t : ? Gaillarde troupe, quand je vous ai convoqu?s, la plus mis?ricordieuse intention que j'eusse pour vous ?tait de vous annihiler ; mais craignant que votre impuissance ne reproch?t ? mes mains l'indignit? de cette victoire, voici ce que j'ordonne de votre sort : Vous autres Dieux qui savez si bien courir comme Saturne, p?re du temps, qui mangeant et d?vorant tout, court ? l'h?pital ; Jupiter qui, comme ayant la t?te f?l?e depuis le coup de hache qu'il re?ut de Vulcain, doit courir les rues ; Mars qui comme soldat court aux armes ; Phoebus qui comme Dieu des Vers court la bouche des Po?tes ; V?nus qui comme putain court l'aiguillette ; Mercure qui comme Messager court la Poste ; et Diane qui comme Chasseresse court les b?tes ; vous prendrez la peine, s'il vous pla?t, de monter tous sept ? califourchon sur une ?toile. |
Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 4 |
3 | GRANGER |
C'est pourquoi je vous conseille de ne plus approcher ma fille en Roi d'Egypte, c'est-?-dire qu'on ne vous voie point aupr?s d'elle dresser la Pyramide ? son intention. |
Acte 1, sc. 1, GRANGER, phrase 13 |
4 | CHASTEAUFORT |
Mais quoi, c'est mon faible de n'avoir jamais pu regarder de femme sans la blesser. |
Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 2 |
5 | CHASTEAUFORT |
La petite gueuse toutefois a si bien su friponner mon coeur ; ses yeux ont si bien su paillarder ma pens?e, que je lui pardonne quasi la hardiesse qu'elle a prise de me donner de l'amour. |
Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 3 |
6 | CHARLOT |
Mais non, mon P?re, si vos tendresses sont assez grandes pour sacrifier votre joie ? mon avancement, mon affection est si forte, qu'elle m'emp?chera de vous ob?ir. |
Acte 1, sc. 5, CHARLOT, phrase 2 |
7 | CHARLOT |
Aussi quoique vous puissiez all?guer, je demeurerai sans cesse aupr?s de vous et serai votre b?ton de vieillesse. |
Acte 1, sc. 5, CHARLOT, phrase 3 |
8 | CHARLOT |
Apr?s toute ma feinte, il faut encore ou abandonner ma Ma?tresse, c'est-?-dire mourir, ou me r?soudre ? v?tir un pourpoint de pierre, cela s'appelle Saint-Victor ou Saint-Martin. |
Acte 1, sc. 8, CHARLOT, phrase 2 |
9 | GAREAU |
C'est de la noblesse ? Maquieu Furon, va te couch?, tu souperas demain. |
Acte 2, sc. 2, GAREAU, phrase 15 |
10 | CHASTEAUFORT |
Je ne ris pas de la vertu de tes essences. |
Acte 2, sc. 2, CHASTEAUFORT, phrase 1 |
11 | CHASTEAUFORT |
Mais que cet avertissement ne t'effraye point ; je suis tout coeur et il n'y a point, par cons?quent, de place sur mon corps o? tu puisses adresser tes coups sans me tuer. |
Acte 2, sc. 2, CHASTEAUFORT, phrase 5 |
12 | CHASTEAUFORT |
Foi de Cavalier, cette gentillesse me charme. |
Acte 2, sc. 2, CHASTEAUFORT, phrase 1 |
13 | CHASTEAUFORT |
Je jure donc aujourd'hui par cette main, cette main dispensatrice des Couronnes et des Houlettes, de ne plus dor?navant recevoir personne au combat, qu'il n'ait lu devant moi sur le pr? ses Lettres de Noblesse ; et pour une plus grande pr?voyance, je m'en vais faire promptement avertir Messieurs les Mar?chaux qu'ils m'envoient des Gardes pour m'emp?cher de me battre ; car je sens ma col?re qui cro?t, mon coeur qui s'enfle, mon sang qui s'allume, et les doigts qui me d?mangent de faire un homicide. |
Acte 2, sc. 2, CHASTEAUFORT, phrase 4 |
14 | PAQUIER |
En effet, Monsieur, les Topinambours qui demeurent quatre ou cinq cent lieues au del? du monde, vinrent bien autrefois ? Paris, et l'autre jour encore les Polonois eurent bien l'impudence d'enlever la Princesse Marie, en plein jour, ? l'H?tel de Nevers, sans que personne os?t branler. |
Acte 2, sc. 4, PAQUIER, phrase 1 |
15 | CORBINELI |
Ses larmes aussit?t, suffoquant sa parole, m'ont bien mieux expliqu? qu'il n'e?t su faire, les tendresses qu'il a pour vous... |
Acte 2, sc. 4, CORBINELI, phrase 2 |
16 | PAQUIER |
Qui n'a peut-?tre pas ?t? ? confesse depuis dix ans. |
Acte 2, sc. 4, PAQUIER, phrase 1 |
17 | GRANGER |
Qu'au reste ils doivent excuser la jeunesse qui est sujette ? beaucoup de fautes ; et que s'il lui arrive une autre fois de se laisser prendre, je leur promets, foi de Docteur, de ne leur en plus obtondre la facult? auditive. |
Acte 2, sc. 4, GRANGER, phrase 2 |
18 | GRANGER |
( Aller sans dessein dans une Gal?re ! )... |
Acte 2, sc. 4, GRANGER, phrase 3 |
19 | GENEVOTE |
As-tu fait dessein de continuer tes extravagances jusques au bout du Jugement ? |
Acte 2, sc. 9, GENEVOTE, phrase 1 |
20 | PAQUIER |
Mais vous-m?me, avez-vous fait dessein de me faire enrager jusques ? la fin du Monde ? |
Acte 2, sc. 9, PAQUIER, phrase 1 |
21 | PAQUIER |
Pour cette particularit?, Mademoiselle, vous avez tort de vous mettre en peine ; car il proteste tout haut de se ressentir des Traits que vous lui jouez ; de r?verb?rer sur vous les traits dont vous le navrez ; et de peur que par Trait de temps, les Traits de votre visage ne soient offens?s des Traits de la Mort ou m?tamorphosez en Traits d'?crivain, il vous peint avec mille beaux Traits d'esprit dans un livre intitul? : ? La tr?s belle, tr?s parfaite, et tr?s accomplie Genevote, par son tr?s humble, tr?s ob?issant et tr?s affectionn? serviteur, Granger. ? |
Acte 2, sc. 9, PAQUIER, phrase 1 |
22 | CHASTEAUFORT |
Que dira la Noblesse de moi, quand elle saura que je n'ai pas eu le soin de bien garder mon Garde ? |
Acte 2, sc. 10, CHASTEAUFORT, phrase 13 |
23 | GRANGER |
Mais viens, chez ma Ma?tresse, me voir entrer dans la Place dont tu m'as ouvert la br?che. |
Acte 3, sc. 1, GRANGER, phrase 4 |
24 | PAQUIER |
D?esse Paphienne, sois-moi en aide et confort en cette pr?sente cette mienne tribulation. |
Acte 3, sc. 1, PAQUIER, phrase 3 |
25 | PAQUIER |
Non, non, tes traits sont si doux qu'ils ne blessent personne. |
Acte 3, sc. 1, PAQUIER, phrase 2 |
26 | PAQUIER |
Peut-?tre, ? belle Tigresse, que mon chef neigeux vous fait peur ! |
Acte 3, sc. 1, PAQUIER, phrase 10 |
27 | GENEVOTE |
Vous y verrez amasser cent curieux et tout en extase disputer de son origine : l'un soutenir que l'imprimerie ni le papier n'?tant pas encore trouv?s, les Doctes y avaient trac? l'Histoire universelle ; et sur cela remontant de Pharamond ? C?sar, de Romule ? Priam, de Lycurgue ? Deucalion, de Prom?th?e au premier homme, il ne laissera pas ?chapper un filet qui ne soit au moins le Symbole de la d?cadence d'une Monarchie ; un autre voudra que ce soit le tableau du Chaos; un autre la m?tempsycose de Pythagore ; un autre, divisant ses guenilles par chapitres, y trouvera l'Alcoran divis? par azoares ; un autre le syst?me de Copernic ; un autre le Livre de Salomon ; un autre enfin jurera que c'est le manteau du proph?te Elie, et que sa s?cheresse est une marque qu'il a pass? par le feu. |
Acte 3, sc. 2, GENEVOTE, phrase 9 |
28 | GRANGER |
Mademoiselle, passez ces ?pith?tes ; il ne faut pas croire tous les mauvais rapports, outre que la vieillesse doit ?tre respect?e. |
Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 4 |
29 | GRANGER |
Ou ? si ? ces aveugles clairvoyants (je veux dire vos yeux, belle Tigresse, ces innocents coupables, mais plut?t encore le si?ge et la lice, le repos et l'action, le tout et la partie de l'unit? de nos deux ?mes) se publiant, sans dire mot, amis ennemis de l'esclave libert? des hommes, n'avaient contraint volontairement mon g?nie dans la libre prison de votre sorci?re beaut?, lui qui faisait gloire auparavant d'une fermet? constante en son inconstance; ? Si?, dis-je, tout cela n'avait fait faire et d?faire ? mes pens?es beaucoup de chemin en peu d'espace ; ? Si ? bref vous ne m'aviez apport? des t?n?bres par vos rayons, ? Je ? n'aurais pas appel? de mon juge ? mon juge, pour demander ce que je ne veux pas obtenir ; c'est, pitoyable inhumaine, la sant? mortelle d'une aigre douce maladie qu'on rendrait incurable si on la gu?rissait. |
Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 7 |
30 | GRANGER |
Ainsi mes esp?rances ne pouvant plus tenir contre l'imp?tuosit? de mon d?plaisir, l'huissier de ma tristesse, tenant en main la baguette de mes soupirs, a fait faire place ? la grandeur de mes douleurs ; j'ai d?barricad? mes clameurs, l?ch? la bride ? mes sanglots, donn? de l'?peron ? mes larmes, et fouett? mes cris devant moi. |
Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 2 |
31 | GRANGER |
Voyons si mes arguments trouveront forme ? votre pied ; car si ce contingent M?taphysique avait couru du ? Possibile ad factum ?, je jure par toutes les eaux infernales, par les Palus trois fois saints du Cocyte et du Styx, par la Couronne de fer de l'Enfum? Pluton, par l'?ternel cadenas du Silence, par la b?quille de Vulcain, bref par l'enthousiasme proph?tique du tripied Sibyllin, de vous rendre en beaut?, non point la D?esse Paphienne, mais celle qui fera honte ? celle-l?. |
Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 2 |
32 | GRANGER |
Or soyez ma Pucelle aux yeux vairs comme un Faucon, quant ? moi je serai votre coint Damoisel, qui, par r?mun?ration d'une si grande merci, se aucune chose avez ? besogner de son avoir, ? tout son tranchant glaive il redressera vos torts, et d?fera vos griefs ; il d?confira des Chevaliers f?lons ; il hachera des Andriaques ; il fera des Chapelis in?narrables, il martellera des Paladins ores ? dextre, ores ? senestre ; bref tant et si beau joutera, qu'il n'y aura pi?ce de fiers, orgueilleux, outrecuid?s, et d?mesur?s G?ants, lesquels en d?pit des armes F?es, et du Haubert de fine trempe, il ne pourfende jus les ar?ons. |
Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 8 |
33 | GRANGER |
Auriez-vous donc agr?able, Mademoiselle, lorsque la nuit au visage de More, aura, de ses haillons noirs, emb?guin? le minois souffreteux de notre Z?nith ; que je transporte mon individu aux Lares domestiques de votre toit, pour humer ? longs traits votre ?loquence melliflu?, et faire sur votre couche un sacrifice ? la D?esse tut?laire de Paphos ? |
Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 1 |
34 | CORBINELI |
Ils lui ?t?rent tout, jusques ? ne lui laisser pas m?me la hardiesse de les poursuivre. |
Acte 4, sc. 4, CORBINELI, phrase 3 |
35 | GRANGER |
Penses-tu que ma ma?tresse revoie mon fils, sans rallumer des flammes qui ne sont pas encore ?teintes ? |
Acte 4, sc. 4, GRANGER, phrase 5 |
36 | GRANGER |
Fais donc, je te supplie, toi qui es l'astre et la constellation de mes f?licit?s, que mon fils ne soit plus r?trograde ? ma volont?, mais si tu veux que l'embrion de tes esp?rances, devenant le plastron de mes lib?ralit?s, fasse m?tamorphoser ta bourse en un microcosme de richesses, et ta poche en corne d'abondance ; fais, dis-je, que mon coquin de fils prenne un verre au collet de si bonne sorte, qu'ils en tombent tous deux sur le cul. |
Acte 4, sc. 4, GRANGER, phrase 9 |
37 | CORBINELI |
J'ai moi-m?me re?u les ordres et les instruments de vous enivrer ; mais si j'en suis cru, vous blesserez votre ennemi de sa propre ?p?e. |
Acte 4, sc. 5, CORBINELI, phrase 5 |
38 | CORBINELI |
Il pr?tend, le pauvre homme, faire tant?t les noces de votre soeur avec Monsieur de La Tremblaye, et le contrat des siennes avec mademoiselle Genevote : craignant donc que votre pr?sence n'apport?t beaucoup d'obstacles ? la perfection de ses desseins, il m'a donn? charge de vous saouler au cabaret, et je trouve moi, que c'est un acheminement, le meilleur du monde, pour l'ex?cution de ce que je vous ai tant?t mand? par celui que vous ai envoy?. |
Acte 4, sc. 5, CORBINELI, phrase 6 |
39 | PAQUIER |
Avouez, Monsieur, que Dieu est bon : voil? sans doute la r?compense de la Messe que vous lui f?tes dire il n'y a que huit jours. |
Acte 4, sc. 6, PAQUIER, phrase 1 |
40 | GRANGER le jeune |
L'H?tesse, je ne vous dois rien, je vous ai tout rendu. |
Acte 4, sc. 8, GRANGER le jeune, phrase 1 |
41 | GRANGER le jeune |
Elle, qui nous a donn? ? chacun deux bras, deux pieds, deux mains, deux oreilles, deux yeux, deux naseaux, deux rognons et deux fesses, ne nous a donn? qu'une bouche ? |
Acte 4, sc. 8, GRANGER le jeune, phrase 21 |
42 | PAQUIER |
Corbineli l?-dessus vous conseillera de lui faire ?pouser le cadavre (au moins de faire toutes les c?r?monies qu'on observe dans l'action des ?pousailles) afin qu'?tant ainsi libre de sa promesse, elle vous la puisse engager. |
Acte 5, sc. 1, PAQUIER, phrase 4 |
43 | CORBINELI |
Au sortir d'ici, ?tant comme vous savez un peu plus gai que de raison, il a choqu? d'une esse un cavalier qui passait. |
Acte 5, sc. 2, CORBINELI, phrase 3 |
44 | GRANGER |
Il avait l'assurance d'?tre un jour votre mari, vif ou mort, il faut, pour vous rendre quitte de votre promesse, que vous l'?pousiez mort. |
Acte 5, sc. 3, GRANGER, phrase 2 |
45 | GRANGER |
Ma langue est une vip?re qui porte le venin et la th?riaque tout ensemble, c'est la pique d'Achille qui seule peut gu?rir les blessures qu'elle a faites ; et, bien loin de ressembler aux bourreaux de la Facult? de M?decine, qui d'une ?gratignure font une grande plaie, d'une grande plaie je fais moins qu'une ?gratignure. |
Acte 5, sc. 5, GRANGER, phrase 4 |
46 | CORBINELI |
En v?rit?, je vous jure que lorsque vous verrez tant?t la p?rip?tie d'un intrigue si bien d?m?l?, vous confesserez vous-m?me que nous aurions ?t? des idiots, si nous vous l'avions d?couvert. |
Acte 5, sc. 5, CORBINELI, phrase 2 |
47 | CORBINELI |
Vous verrez un homme du Tiers-Etat, riche de deux enfants, et de force quarts d'?cus : Le fils restait ? pourvoir ; il s'affectionne d'une Damoiselle de qualit? fort proche parente de son beau-fr?re ; il aime, il est aim?, mais son p?re s'oppose ? l'ach?vement mutuel de leurs desseins. |
Acte 5, sc. 5, CORBINELI, phrase 5 |
48 | CORBINELI |
Il entre en d?sespoir, sa Ma?tresse de m?me. |
Acte 5, sc. 5, CORBINELI, phrase 6 |
49 | GAREAU |
Ol feset la guieblesse. |
Acte 5, sc. 9, GAREAU, phrase 4 |
50 | GAREAU |
Je sais bien, comme dit l'autre, que je ne sis pas digne d'?tre capabe ; mais stampandant oui n'y a rian qui ressembe si bien ? eun chat qu'eune chate. |
Acte 5, sc. 9, GAREAU, phrase 2 |
51 | GRANGER |
? v?n?rable confr?re de Pan, des Faunes, des Sylvains, des Satyres et des Dryades, cesse enfin par un exc?s de bonne volont?, de diffamer mes ornements, et je te permets, par r?mun?ration, de rester spectateur d'une invention th??trale, la plus hilarieuse du monde. |
Acte 5, sc. 9, GRANGER, phrase 1 |
52 | GRANGER le père |
Encore si c'?tait avec moi, ma barbe jure de ma sagesse, mais avec un petit cajoleur ! |
Acte 5, sc. 10, GRANGER le père, phrase 2 |
53 | GENEVOTE |
Les Rois, pour ?tre Rois, ne cessent point d'?tre hommes, pensez-vous que... |
Acte 5, sc. 10, GENEVOTE, phrase 1 |
54 | GRANGER |
Sir?nique laronnesse des coeurs ! |
Acte 5, sc. 10, GRANGER, phrase 2 |
55 | GRANGER le jeune |
Prenez ce poignard, p?re d?natur?, faites deux homicides par un meurtre, ?crivez le destin de ma ma?tresse avec mon sang, et ne permettez pas que la moiti? d'un si beau couple expire de douleur sur le tombeau de son autre moiti?. |
Acte 5, sc. 10, GRANGER le jeune, phrase 1 |
56 | LA TREMBLAYE |
Je n'oserais quasi prendre la hardiesse de vous consoler. |
Acte 5, sc. 10, LA TREMBLAYE, phrase 1 |