Notices biographiques d'auteurs, musiciens, comédiens

DICTIONNAIRE DES THÉÂTRES.

PREMIÈRE PARTIE, Contenant les Pièces dramatiques.

Notices biographiques des auteurs de théâtre tirées de l'ouvrage de M. de LERIS .- Dictionnaire portatif historique et littéraire des théâtres, concernant l'origine des différents théâtre de Paris.- Paris : Chez C.A. Jombert, M DCC. LXIII [1763]. (862 entrées)

A

ABAILARD ET ELOÏSE , pièce dramatique en vers libres et en cinq actes, par M. Guis [Jean-Baptiste], imprimée en 1752 chez Duchesne, à Paris, sous le titre de Londres.

Les ABDERITES , comédie de M. de Moncrif, en un acte en vers libres, avec un prologue et des Divertissements donnée chez Madame la Duchesse, le 26 juillet 1732 et au mois de Novembre suivant à Fontainebleau. La seconde entrée de l'opéra des Stratagèmes de l'Amour, porte aussi le titre des Abderites.

ABDILLY, Roi de Grenade tragi-comédie en trois actes et en prose, par Madame Riccoboni, et Monsieur Delisle donnée au Théâtre Italien le 19 Décembre 1729 et qui n'eue que cette représentation. Elle n'est point imprimée.

ABDOLONIME, comédie en cinq actes en prose, par Fontenelle. Cette pièce n'a pas été représentée et se trouve dans le septième volume des oeuvres de cet auteur, imprimé en 1751.

ABEL. Voyez le MEURTRE d'ABEL.

ABENSAÏD Empereur des Mogols , tragédie par M. l'Abbé Le Blanc [Jean-Bernard], représentée avec succès au Théâtre Français le 6 Juin 1735, c'est la première pièce de cet auteur. Elle fut parodiée à l'Opéra Comique sous le titre du DROIT DU SEIGNEUR.

L'ABJURATION DU MARQUISAT, comédie en prose de Boulanger de Challussay donnée en 1670, et non imprimée.

L'ABONDANCE, opéra comique en un acte, par M. Valois et L'Affichard, représenté pour la première fois le 21 Mars 1737. Il n'est pas imprimé.

ABRAHAM ET AGAR, comédie de Du Vivier, donnée vers l'année 1577 et qui n'est pas imprimée.

ABRAHAM SACRIFIANT , tragédie séparée en trois pauses avec des Choeurs un prologue et un épilogue, par Théodore de Beze, en 1552 Voyez le Sacrifice d'Abraham.

ABSALON, tragédie tirée de l'écriture sainte  par Duché elle fut jouée à, Versailles à l'Hôtel de Conti, pendant le carnaval de l'année 1702. Madame la Duchesse de Bourgogne y parut dans le rôle de Thamar, fille d'ABSALON le Duc d'Océans représenta celui de DAVID ; des Seigneurs et des Dames de la Cour y jouèrent les autres rôles. Cette pièce mérita à l'auteur une pension du Roi, de 1000 livres. Elle parut pour la première fois au Théâtre Français le 7 Avril 1712, et fur représentée seize fois de suite. On la trouve imprimée dans le quatrième volume du Théâtre Français.

Il y a une autre tragédie d'ABSALON par le Père Marion, qui fut représentée à Marseille, en 1740.

L'ABSENCE, opéra comique, en un acte, de M. Panard ; donné le 26 Juin 1734. Il n'est pas imprimé.

L'ABSENT CHEZ SOI, comédie de Douville, représentée en et imprimée. Elle est en cinq actes, en vers.

Les ABUSÉS, comédie de Charles Etienne, imprimée en 1556 : on ignore si elle fut représentée ; c'est une traduction de l'italien.

Les ACADÉMICIENS, comédie en trois actes en vers, par Saint-Evremond. Cette pièce, après avoir couru longtemps manuscrite sous le nom de Descavenets, fut imprimée en 1650, mais pleine de fautes, sous le titre de LA COMÉDIE DES ACADÉMISTES, POUR LA RÉFORMATION DE LA LANGUE FRANÇAISE, avec le rôle des présentations faites aux grand jours de la dite Académie, l'an de la réforme de 1643. Les personnages de cette Comédie sont MM. le Chancelier Seguier, Serisay, Desmarêts, Godeau, Colletet, Chapelain, Gombauld, Habert, l'Etoile, Boisrobert, Silhon, Gomberville, Baudoin, Mlle de Gournai, etc. Cette pièce satyrique ne fut point jouée. Elle se trouve dans le premier volume des OEuvres de Saint-Evremond, édition de 1753.

L'ACADÉMIE BOURGEOISE, opéra comique d'un acte par M. Panard, joué pour la première fois le 3 Février 1735. Il n'est pas imprimé.

L'ACADÉMIE BURLESQUE, comédie attribuée à Raymond Poisson, mais qui n'est pas imprimée dans ses oeuvres.

L'ACADÉMDIE DES FEMMES, comédie en trois actes en vers, de Samuel Chapuzeau, représentée sur le Théâtre Français au Marais dans le mois d'Octobre 1661.

ACAJOU, opéra comique en un acte. Cette pièce dont M. Favart est l'auteur, est tirée du conte d'Acajou de M. Duclos ; elle fut d'abord représentée en prose avec couplets à Paris, le 18 Mars 1744, sur le Théâtre de la Foire Saint Germain après la défense faite à l'Opéra Comique de parler, on la joua toute en Vaudevilles à la Foire Saint Laurent suivante, et sur le Théâtre de l'Opéra au mois d'Octobre de la même année. Elle fut précédée la première fois d'un prologue qui n'a pas été imprimé.

ACANTE ET CEPHISE, ou la Sympathie pastorale héroïque en trois actes dont les paroles sont de M. Marmontel et la musique de M. Rameau elle fut donnée par l'Académie Royale de Musique, le 19 Novembre 1751, au sujet de la naissance du Duc de Bourgogne, et se trouve gravée partition in-4°. C'est le 164ème de nos opéras et il n'y a pas de Prologue. L'ouverture en tient presque lieu, en peignant les clameurs et les réjouissances publiques.

L'ACCOMODEMENT IMPRÉVU, comédie en un acte en vers libres, par M. de La Grange jouée au Théâtre Français le 12 Novembre 1737, et qui n'eut que deux représentations.

ACHAB, tragédie sans distinction de scènes, par Roland de Marcé, elle fut donnée ou du moins imprimée en 1601. Le sujet de cette pièce est tiré de l'écriture sainte qui rapporte la méchanceté de ce Roi d'Israël, époux de Jesabel, aussi méchante que lui.

ACHILLE. Ce sujet a été traité en tragédie par cinq de nos auteurs Nicolas Filleul donnée au Collège d'Harcourt ; le 21 Décembre 1563 ; Hardy, à l'Hôtel de Bourgogne en 1607 ; Borée en 1616 ; Bensérade, en 1636 et Thomas Corneille, au Théâtre de Guénégaud, le 19 Décembre 1673. La pièce de Bensérade est intitulée La MORT D'ACHILLE ET LA DISPUTE DE SES ARMES ; elle fut imprimée à Paris en 1636, in 4° chez Sommaville. Celle de Hardy se trouve dans le tome second de son théâtre.

ACHILLE À SCIROS, tragi-comédie en trois actes en vers, de Guyot de Merville. Par le compliment prononcé avant la première représentation de cette pièce sur le Théâtre Français le 10 octobre 1737, et imprimé à la tête de l'ouvrage, l'auteur annonce que ce n'est qu'une traduction d'une pièce jouée à la Cour Impériale, lors du mariage de la Reine de Hongrie elle fut bien reçue. Le fond en est semblable à celui de l'Opéra d'ACHILLE ET DEIDAMIE.

ACHILLE ET DEÏDAMIE, 120ème de nos opéras Français. C'est une tragédie en cinq actes, qui fut représentée par l'Académie Royale de Musique pour la première fois, le 14 Février 1735 ; les paroles sont de Danchet, et la musique de Campra. Le sujet du Prologue est une fête que Melpomene et l'Amour ont consacrée à Quinault et à Lully. Cet ouvrage n'a eu que huit représentations, quoiqu'il renferme une grande quantité de beaux morceaux, et n'a point été remis au théâtre, il est imprimé en musique, partition in-4°.

ACHILLE ET DEÏDAMIE, parodie de cet opéra par les sieurs Romagnesi et Riccoboni fils : c'est un acte en prose et en vaudevilles, joué au Théâtre Italien le 14 mars 1735, et fort suivi. Voyez aussi le RACOLEUR.

ACHILLE ET POLIXENE, 21ème opéra donné par l'Académie Royale de Musique le 7 Novembre 1S87. C'est le premier opéra représenté depuis la mort de Lully arrivée au mois de Mars de cette même année. Le poème est de Campistron, la musique de l'ouverture, et du premier acte était encore de Lully, le reste fut achevé par Colasse, son élève. Cet opéra est imprimé partition in-fol. Voici une épigramme que l'on fit à son sujet :

Entre Campistron et Colasse

Grand débat s'émut au Parnasse,

Sur ce que l'Opéra n'a pas un sort heureux.

De son mauvais succès nul ne se croit coupable

L'un dit que la Musique est plate et misérable

L'autre que la conduite et les vers sont affreux

Et le grand Apollon toujours juge équitable

Trouve qu'ils ont raison tous deux.

Le Prologue est formé par Jupiter Mercure Melpomène, Terpsicore et Thalie. Dans une seule reprise qu'on a faite de cette Tragédie, le 11 Octobre 1712, on y mit un autre prologue qui se passe entre la Félicité et Encelade. Après la mort de Lully le privilège de l'Opéra passa à M. de Francine son gendre Maître d'Hôtel du Roi.

ACHMET ET ALMANZINE, opéra comique en trois actes de MM. le Sage et d'Orneval, donné le 30 Juin 1728 avec beaucoup de succès, les couplets des divertissement étaient de Fuzelier.

ACIS ET GALATÉE, 20ème opéra. C'est une pastorale héroïque en trois actes imprimée en musique, partition in-fol. et représentée pour la première fois le 19 Août 1686 au Château d'Anet, et dans une fête galante que M. le Duc de Vendôme y donnait à Monfeigneur le Dauphin et le mois suivant à Paris. C'est le dernier opéra de Lully les vers sont de Campistron : le sujet est tiré du 13ème livre des Métamorphoses d'Ovide. Le Prologue était formé par Apollon, Comus, Diane, l'Abondance, et le Théâtre représentait le Château d'Anet, bâti par Diane de Poitiers. ll a été remis sept fois, en 1702, 1704, 1718, 1725, 1734, 1744 et en 1752, et les Italiens le parodièrent cette dernière fois sous le titre de TIRCIS et DORISTEE.

La Fontaine avait commencé un opéra sous le titre des AMOURS d'ACIS et GALETEE, dont il n'y a que deux actes d'achevés.

ACONCE ET CYDIPE, tragédie de Gombauld représentée à ce que l'on prétend, en 1625 ; elle n'est pas imprimée.

ACOUBAR ou la Loyauté trahie, tragédie par Duhamel représentée ou du moins imprimée en 1586. Cette pièce est tirée du Roman intitulé les Amours de Pistion.

L'ACTE DE STRASBOURG, opéra comique représenté en juillet 1731.

LES ACTEURS DEPLACÉS ou l'Amant Comédien, comédie en un acte en prose avec un prologue, par L'Affichard jouée au Théâtre Français le 14 Octobre 1735. Cette pièce a ceci de particulier, que tous les rôles sont remplis par des acteurs fort opposés aux caractères. Dans le Prologue la Folie déguisée en auteur, propose aux Comédiens Français de jouer une pièce de sa composition sans la répéter, et après que la Folie s'est fait connaître, l'ouvrage est reçu d'une commune voix ; mais personne n'étant content de son rôle, la Folie pour finir le débat, les tire au sort, qui en fait une si particulière distribution, que les rôles de père et de mère sont joués par deux enfants de huit ans, celui d'Amoureuse par Madame Dangeville la Tante, l'Amant par le sieur Poisson, le paysan par le sieur Dangeville etc. et dans une petite tragédie intitulée Ménélas et qui est amenée dans la pièce, ce qui remplit le titre d'Amant Comédien, le rôle de Menélas fut déclamé par Poisson celui de Doris, confidente d'Hélène ; par Fleury ; et celui de Léda, mère d'Hélène par Montmeny. Le même de la comédie se sentit du déplacement, un pas de deux ayant été dansé très gravement sur l'air d'une Sarabande, par un Arlequin et un Polichinelle tandis qu'un Italien et un espagnol dansèrent sur des rigaudons et des gigues. Cette pièce fit beaucoup de plaisir, par la singularité de l'idée et par le piquant de l'exécution elle n'eut cependant que sept représentations.

Les ACTEURS ÉCLOPÉS, opéra comique en un acte, donné le 10 février 1740 par M. Panard.

Les ACTEURS JUGES, opéra comique d'un acte en vaudevilles, par Fagan représenté pour la première fois le 1 Août 1742.

L'ACTRICE NOUVELLE, comédie en un acte en vers qui fut imprimée en 1722, in-8°, sans avoir été représentée ; la Dlle Le Couvreur, qui s'imagina qu'elle était faite sur elle, l'ayant empêché par un ordre supérieur. On attribue cette pièce à Poisson le fils, elle n'est cependant point dans ses oeuvres et quel qu'en soit l'Auteur, il ne paraît pas que son but ait été que d'y satyriser la fameuse actrice qui s'en plaignit.

ADAM ET EVE ou la CHUTE DE l'HOMME, tragédie imitée du Paradis perdu de Milton, par M. Tanevot. Cette pièce, qui fut imprimée en 1742, est dédiée à l'Académie Française et offre des morceaux dignes des plus grands auteurs. I1 en parut une nouvelle édition en 1752 avec des changements.

On imprima encore au mois d'Avril 1752 une tragédie lyrique en cinq actes sous le titre d'Adam et Eve. C'est une pièce assez médiocre et qui paraît avoir été destinée pour des couvents.

ADAMANTINE OU LE DÉSESPOIR, tragi-comédie par Despanay, représentée en 1600, et imprimée à Rouen en 1608.

ADELAÏDE, tragédie de M. de Voltaire, donnée au Théâtre Français pour la première fois le 18 Janvier 1734, retirée à la douzième représentation et remise le 31 Décembre de la même année, avec autant d'applaudissement. Adélaïde du Guesclin nièce du Connétable de ce nom est l'héroïne de ce poème, qui a reparu avec beaucoup de changements, sous le titre du Duc de Foix ou Amélie le 17 août 1752.

ADELLE DE PONTHIEU, tragédie par M. de La Place donnée pour la première fois au Théâtre Français le 18 Avril 1717.

Les ADELPHES, comédie en cinq actes en vers, donnée au Théâtre Français le 3 janvier 1705 et qui n'eut que sept représentations. C'est une traduction des Adelphes de Térence : cette pièce parut dans les affiches et à l'impression sous le nom de Baron, cependant on l'attribuait à un savant (le P. La Rue) dont le caractère semblait incompatibles avec ces sortes d'ouvrages, celui-ci néanmoins ne pouvait faire honte ni à son esprit ni à sa vertu. On la trouve imprimée dans des éditions des OEuvres de Baron, sous le titre de L'Ecole des pères.

ADHERBAL, ROI DE NUMIDIE, tragédie de La Grange-Chancel. Il n'avait que 16 ans lorsqu'il donna cette pièce, le 8 Janv. 1694. Elle se trouve imprimée dans le premier volume des dernièrs éditions de ces oeuvres sous le titre de Jugurtha.

ADIATOR, Roi des Galates, tragédie d'un anonyme, jouée en 16.. sous le regnede Louis XIII, et non imprimée.

L'ADIEU DU TRONE ou Dioclétien et Maximien, tragédie de Montandré imprimée à Bruxelles en 1654, in-4°.

Les ADIEUX DE MARS, comédie de M. le Franc en un acte en vers libres, jouée aux Italiens le 30 Juin 1735, et reçue favorablement, on y critique l'Opéra des GRÂCES. Cette pièce fut remise au théâtre en Août 1741 avec une scène nouvelle composée par Romagnesi, dans laquelle on critique aussi SILVIE, et la BELLE ORGUEILLEUSE.

Les ADIEUX DES OFFICIERS, ou VÉNUS JUSTIFIÉE, comédie en un acte avec des divertissement par Dufrény, représentée sur l'ancien Théâtre Italien, le 25 Avril 1693.

Les ADIEUX DU GOUT, comédie en vers et en un acte de scènes épisodiques, par MM. Patu et Portelance donnée pour la première fois au Théâtre Français le 13 Février 1754.

ADMETTE, tragédie par l'auteur de la VIE EST UN SONGE, elle est en trois actes en vers, et fut jouée au Collège des Quatre Nations le 20 Août 1739. Voyez ALCESTE.

ADOLPHE, ou le BIGAME GÉNÉREUX, tragi-comédie par Le Bigre représentée en 1650. Hardy avait déjà traité le sujet de cette pièce sous le titre d'ELMIRE.

ADONIS, tragédie de Le Breton, imprimée chez Abel Langelier en 1579 et qui, à ce que l'on prétend, avoir été représentée devant Charles IX en 1569. Il est du moins certain qu'on la joua à Paris en 1674.

On a annoncé une autre tragédie d'ADONIS par un anonyme qui fut représentée le 23 Septembre 1685, et n'est pas imprimée.

ADRASTE, tragédie de Ferrier jouée à l'Hôtel de Bourgogne au mois de Février 1680 elle est imprimée dans le neuvième volume du Théâtre Français.

ADRIEN, tragédie de Campistron, représentée au Théâtre Français le 11 Janvier 1690, et imprimée dans le second volume de ses oeuvres. Ce sujet est tiré de l'Histoire ecclésiastique.

L'ADULTÈRE. Voyez CLITEMNESTRE, DAVID, la FEMME FIDÈLE et LUCRECE.

AEGLÉ, Pastorale en un acte qui faisait partie des Nouveaux fragments donnés à l'Opéra le 18 février 1751. Les paroles de cette pastorale font de M. Laujon, et la musique de M. de La Garde. Cette pièce avait déjà été représentée à Versailles aux petits appartements en 1748 et 1750, et est gravée partition in-fol.

AETIUS, tragédie de Campistron et qui n'est pas imprimée.

À FOURBE, FOURBE ET DEMI, OU LE TROMPEUR TROMPÉ, parodie en trois actes de l'Opéra d'ISIS par un anonyme représentée aux Marionnettes à la Foire Saint-Germain, en 1733. Elle n'a point été imprimée.

AGAMEMNON. Nous avons cinq tragédies sous ce titre. La 1ère de Charles Toustain, en vers de seize syllabes, représentée à Paris en 1556. La 2ème de François Duchat, jouée en 1561. La 3ème de Brisset, donnée au théâtre en 1584 ou 1589, suivant d'autres auteurs. La 4ème de Claude Boyer qui dans la crainte de voir tomber cette pièce, dont il avait bonne opinion, ainsi qu'il lui était arrivé à presque toutes les autres, la fit représenter pour la première fois sur le Théâtre de Guénégaud, le 12 Mars 1680 sous le nom de Pader d'Assezan* jeune Gascon nouveau débarqué ; ce stratagème réussit, et elle fut généralement applaudie. On ajoute cependant que Boyer ne pouvant alors contenir sa joie, s'écria en plein parterre : "Elle est pourtant de Boyer", et que ce mot lui coûta cher, sa pièce ayant été sifflée deux jours après. Cependant elle a été remise plusieurs fois ; elle se trouve dans le quatrième volume du Théâtre Français. La 5ème tragédie d'AGAMEMNON, enfin est du P. Linage, Jésuite, et fut imprimée en 1651 : c'est une traduction en prose de la pièce de Sénèque. Quelques auteurs ont prétendu qu'Assezan était véritablement l'auteur de cette pièce et qu'on l'attribue à tort à Boyer.

AGAPIT, tragédie latine du P. Porée, Jésuite, traduite en vers français par M. de La Cour.

AGARITHE, tragi-comédie de Durval, donnée au Théâtre en 1635, c'est une espèce de pastorale en 5 actes en vers sans aucune observation des règles ; elle eut cependant quelque succès.

AGATHE, ou la CHASTE PRINCESSE , tragédie burlesque, du sieur Nicolas Granval avec des divertissements représentée en 1749 chez la Delle Dumesnil et imprimée in-8° en 1750.

AGATINE. Voyez les MUSES.

AGATOCLE, tragédie par Aubry, représentée au Théâtre Français le 10 Mai 1690 et qui ne fut donnée que deux fois elle n'est pas imprimée et ressemble par le fond du sujet à INÉS de CASTRO à LAURE PERSÉCUTÉE, et à THÉODORE.

Les ÂGES. Voyez le BALLET DES ÂGES.

AGESILAN DE COLCHOS, tragi-comédie, de Rotrou représentée en 1635 cette pièce est tirée du Roman d'Amadis de Gaule.

AGESILAS , tragédie de Pierre Corneille, donnée sur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, au mois d'Avril 1666. Cette pièce qui est en vers libres et qui n'a pas été reprise depuis, commença à se sentir de la vieillese du grand Corneille, ce qui fit dire à Despréaux :

J'ai vu Agésilas,

Hélas !

AGIMÉE, ou l'AMOUR EXTRAVAGANT comédie par S. B. représentée en 1628.

Les AGIOTEURS , comédie en trois actes en prose par Dancourt, donnée au Théâtre Français, le 28 janvier 1710. L'Auteur y ajouta de nouvelles scènes au mois d'octobre suivant, au sujet de certains tours joués à des agioteurs. Elle se trouve dans le huitième volume de ses oeuvres [mais aussi dans une édition de 1710 Cote BnF [Yth291], cette édition indique le 26 septembre comme première représentation. [PF].]

AGIS, tragédie par Guerin du Bouscal, jouée en 1641. Voyez la MORT d'AGIS.

AGNÈS DE CHAILLOT. Voyez INÈS DE CASTRO.

AGRIPPA, tragédie du P. Follard. Le sujet de cette pièce est Agrippa, que Tacite appelle Posthume et que Tibère sacrifia à sa sureté et à son ambition ; elle n'enrichit pas la scène française. L'auteur ayant pris la précaution de faire défendre dans le privilège, à tous Comédiens de la représenter ; elle parut seulement par l'impression en 1720. Voyez TIBÈRE ET LA MORT D'AUGUSTE.

AGRIPPA ou le FAUX TIBERINIUS, tragédie de Quinault, représentée sur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, en 1661, et imprimée dans le troisième volume de ses oeuvres. Cette pièce fut reprise au mois de février 1732 et fit beaucoup de plaisir, par l'art admirable avec lequel elle est conduite, et par la beauté du quatrième acte. Cet Agrippa, était Roi d'Albe.

AGRIPPINE , tragédie de Cyrano de Bergerac, représentée en 1653.

AJAX, tragédie par de La Chapelle, jouée au Théâtre de Guénégaud, le 27 Décembre 1684 et qui n'a point été imprimée. Quoique médiocre, cette pièce eut 19 représentations.

AJAX, 88ème de nos opéras français. Le poème est de Menesson, et la musique de Bertin. Il fut représenté pour la première fois le 20 Avril 1716 et est imprimé en musique, partition in-4°. Le prologue est entre Diane et Palès Déesse des Bergers : les amours d'Ajax pour Cassandre fille de Priam ; traversées par Corebe, Prince de Thrace, font le sujet de la tragédie qui est en cinq actes, et eut d'abord peu de succès ; mais la réussite qu'elle eut dans les Provinces ayant engagé M. de Francine à la remettre au théâtre au mois de juin 1726 elle fut reçue très favorablement, et il en parut une parodie à l'Opéra-Comique sous le titre de l'AMANT BRUTAL. On l'a encore remise en 1742.

AIMER SANS SAVOIR QUI, comédie de D'Ouville représentée avec beaucoup de succès en 1645, et imprimée en 1647.

ALAIGRE, comédie donnée par la Gambe, dit de Chateauvieux, sous le règne de Henri III.

ALBOIN, tragédie de Billard de Courgenay, représentée en 1609.

ALBOIN, ou la VENGEANCE TRAHIE, tragédie de Nicolas Chrétien sieur Des Croix, représentée en 1608. Cette pièce dans laquelle il y des choeurs, est tirée de l'Histoire des Lombards.

ALCÉE, ou L'INFIDÉLITÉ, pastorale avec des choeurs, de Hardy, représentée en 1610, sur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne.

ALCESTE, ou LA FIDÉLITÉ, pastorale de Hardy, en 5 actes en vers, représentée en 1606 et imprimée dans le tome second de ses oeuvres. Euripide a traité ce sujet d'Alceste qui voulut se sacrifier pour sauver la vie à son mari Admette. Nous avons deux tragédies modernes sur le même sujet ; la première de La Grange-Chancel, représentée sans grand succès le 19 décembre 1703 et qui se trouve dans le second vol. de ses oeuvres. La 2nde par Boissy, donnée le 25 janvier 1727. Après la seconde représentation de cette dernière, 'il vint ordre de cesser de la jouer : l'Auteur y fit des changements considérables, surtout dans les rôles d'Admette et d'Alceste il y substitua plus de 600 vers nouveaux avec ces corrections il changea l'ancien titre d'Admete pour lui donner celui, de LA MORT D'ALCESTE, elle fut ainsi remise au Théâtre en novembre 1727 et il la retira encore, après deux représentations. Elle se trouve dans le tome premier de ses oeuvres. Voyez aussi ADMETE.

ALCESTE, ou LE TRIOMPHE D'ALCIDE, 5ème opéra. C'est une tragédie en cinq Actes, dont les vers sont de Quinault et la musique de Lully. La première représentation s'en donna le 2 Janvier 1674 ; cet Opéra est gravé partition in-fol. et imprimé partition in-4°. C'est le troisième de ces auteurs et le premier qui ait été joué sur le Théâtre du Palais Royal que le Roi, après la mort de Molière, accorda à l'Académie de musique. La Nymphe de la Seine, qui avec le retour du Roi attend celui des plaisirs, forme le Prologue.

Il y a trois parodies de cet Opéra : la première sous le même titre, en un acte en vaudevilles, par Dominique et Romagnesi ; elle fut jouée d'abord aux Italiens le 21 Décembre 1728, et remise ensuite le 9 février 1739, avec quelques traits de critique sur MÉDUS ET LE SOMNANBULE la seconde parut la même année, sur le Théâtre des Marionettes, à la Foire Saint Germain ; elle était d'un anonyme, et en trois petits actes ; la troisième enfin a été donnée au Théâtre italien en 1758 sous le titre de la NOCE INERROMPUE. Alceste a été remis déjà sept fois, et toujours avec succès, savoir en 1678, 1682, 1706, 1716, 1718, 1739 et 1757.

ALCESTE, Divertissement allégorique, à l'occasion de la convalescence de Monseigneur le Dauphin par M. de Saint-Foix, donné au Théâtre Italien le 12 Septembre 1752.

ALCIBIADE. Ce sujet, tiré de l'histoire Athénienne, a fourni deux tragédies la première de Quinault, intitulée LE FEINT ALCIBIADE, donnée au mois de février 1658 et imprimée tome second de des oeuvres ; la seconde de Campistron, représentée pour la première fois le 28 décembre 1685 et qui le fut 29 fois de suite. Cette dernière est une copie bien ressemblante de la tragédie de THEMISTOCLE de Du Ryer, non seulement pour la conduite totale, mais même pour quantité de vers copiés tout de suite. Elle se trouve dans le premier volume des oeuvres de Campistron.

ALCIBIADE, comédie en trois actes en vers, de Philippe Poisson, représentée au Théâtre Français le 23 février 1731 ; cette pièce qui eut du succès, est tirée des Amours des grands hommes, de Madame de Villedieu.

ALCIDALIE, tragédie attribuée à Madame de Villedieu.

ALCIDE, 19ème opéra Français. Le poème est de Campistron, la musique de Lully, fils aîné, et de Marais. Il fut représenté pour la première fois le 3 février 1693 et n'est pas imprimé en musique. La Victoire accompagnée de plusieurs peuples, forme le prologue on sait qu'Alcide est un surnom qu'on donna à Hercule pour exprimer sa force. Dans les reprises qu'on a faites de cet opéra en 1705 et en 1716, il a été donné sous le titre de LA MORT D'HERCULE et de la MORT D'ALCIDE en 1744 il reparut sous le nom simple d'Alcide il eut peu de succès aux deux dernières reprises.

ALCIDIANE, Ballet divisé en trois parties. Les vers étaient de Bensérade et la musique de Lully : il fut dansé par Louis XIV le 14 janvier 1658.

ALCIDIANE, ou LES QUATRE RIVAUX, tragi-comédie tirée du Manzini, par Desfontaines, et représentée en 1642.

ALCIMÉDON, tragédie de Du Ryer, représentée en 1634 ; et imprimée en 1643, in-4°. C'est une pièce fort médiocre cependant on la jouait encore en 1660.

ALCIMENE, Pastorale, par Bonpart de Saint-Victor représentée en 1667 Cette pièce est rare elle était dans la Bibliothèque de Mme de Verue.

ALCINE, 63ème opéra. C'est une tragédie en cinq actes, représentée pour la première fois le 15 janvier 1705 ; donc les vers sont de Danchet, la musique de Campra et qui est imprimée partition in-fol. mais très rare. La Gloire et le Temps forment le Prologue. Le sujet de la pièce est qu'Alcine, fameuse Enchanteresse, est amoureuse d'Astolphe, Paladin, fils d'Othon Roi d'Angleterre, et qui aime Mélanie, etc. Cet opéra n'a point été repris encore.

ALCIONE, 66 ème opéra. C'est une tragédie de La Motte, mise en musique par Marais, et représentée pour la première fois le 18 février 1706 : elle est gravée en musique in-4°. Le prologue est formé par Apollon, Pan, les Mutes et le Dieu du mont Tmolle. Le sujet de la pièce est tiré de la fable X. du livre XI. des Métamorphoses. La tempête de cet opéra est un excellent morceau de musique, qui a fait beaucoup d'honneur à son Auteur.

Pendant une des trois reprises de cet opéra, faites en 1719, 1730 et 1741, le Roi, par Arrêt du Conseil du premier Juin 1730, accorda au sieur Gruer le privilège de l'Académie Royale de Musique pour en jouir pendant le cours de 32 années; et Destouches, Surintendant de la Musique du Roi, qui avait la direction de cette Académie depuis le mois de Février 1728 se retira avec une pension de quatre mille livres. Le sieur Gruer n'a joui de ce privilège que jusqu'au mois de Septembre 1731 et il est passé ensuite successivement aux sieurs le Comte ; Thuret en 1733 ; Berger en 1744 ; Tréfontaine et Saint-Germain en 1747 ; au mois d'août 1749 à la Ville, qui en a joui jusqu'en 1757, et à qui cette régle semblait convenir d'autant mieux, qu'elle était une imitation de l'usage des Romains, qui chargeaient les Ediles du foin des spectacles et des fêtes publiques. Enfin au mois d'Avril 1757 à MM Rebel et Francoeur.

ALCIONE, parodie de cet opéra, en un acte en vaudevilles, par Romagnesi, jouée aux Italiens le 16 Octobre 1741 pendant une nouvelle reprise qu'on en avait faite. Elle eut peu de succès et n'est pas imprimée.

ALCIONÉE, ou COMBAT DE L'HONNEUR ET DE L'AMOUR, tragédie de Pierre Du Ryer, représentée en 1639. Quoique le sujet en soit fort mince, cette pièce néanmoins eut un grand succès par la force des sentiments et du dialogue et s'est conservée au Théâtre pendant plus de cinquante ans elle se trouve imprimée dans le troisième volume du Recueil des meilleures pièces de Théâtre des anciens Auteurs.

ALCMÈNE, ou LA VENGEANCE FÉMININE, tragédie de Hardy annoncée sous l'année 161... Elle est peu connue.

ALCMÉON. C'est le premier titre de deux tragédies l'une, d'Etienne Bellone représentée en 1610 : l'autre de Hardy, donnée à l'Hôtel de Bourgogne quelques années après, c'est-à-dire, en 1618 et imprimée dans le tome cinquième de son théâtre.

ALECTRIOMACHIE, poème dramatique, de Gabriel Bounin, représenté en 1586 et non imprimé.

ALEXANDRE. Ce grand sujet a été diversement traité en huit tragédies. La première par Jacques de La Taille de Bondaroy, représentée vers 1562 et imprimée in-8° en 1573. La deuxième par Gilbert Giboin, non représentée, mais imprimée en 1618, et qui a pour second titre, les AMOURS DU SEIGNEUR. La troisième par Hardy, destinée à l'Hôtel de Bourgogne vers l'an 1626, et imprimée dans le quatrième volume de les OEuvres. La quatrième attribuée à Du Ryer, mais qui n'est pas imprimée. La cinquième par l'Abbé Boyer jouée et imprimée en 1666. La sixième par Racine, représentée vers le 15 Décembre 1665. On prétend que Racine l'ayant donnée à la Troupe de Molière, elle tomba, mais que ses amis lui ayant fait observer qu'il avait eu tort de faire représenter sa pièce par des Comédiens qui n'entendaient que le comique, il la retira et la fit jouer à l'Hôtel de Bourgogne, où elle eut beaucoup de succès. On a dit aussi que Racine avait fort défiguré le génie et l'humeur d'Alexandre et que Porus, Roi des Indes, soutenait un plus noble caractère que ce héros. Il est à remarquer encore qu'il n'y a point de confidents dans cette pièce, non plus que dans Athalie. On la trouve dans le premier volume des oeuvres de Racine. La septième tragédie d'ALEXANDRE est du sieur Goiseau, et n'a pas été représentée, mais elle fut imprimée in-12. à Paris en 1713 chez la veuve Guillaume, avec une longue préface. Enfin on représenta à Tours en 1735, sur un théâtre particulier, une huitième tragédie d'ALEXANDRE par M. de Fénelon. Elle fut imprimée à Paris en Septembre 1754, jouée sur plusieurs théâtres de province, et présentée aux Comédiens Français qui ne l'ont cependant pas encore jouée, malgré les corrections considérables qu'a faites l'auteur, lequel la fit réimprimée en 1761. Voyez THIMOCLÉE et la MORT d'ALEXANDRE.

L'ALGÉRIEN, ou LES MUSES COMÉDIENNES, comédie-ballet, en trois actes et en vers libres, faite par Cahusac, sur le rétablissement de la santé du Roi, et représentée au Théâtre Français le 15 Septembre 1744.

ALINDE, tragédie par la Mesnardière représentée en 1641 et imprimée in-4°. l'année suivante. Cette pièce n'eut point de succès, quoique selon l'Abbé d'Aubignac elle soit composée suivant toute la rigueur des règles ; ce que l'on doit sans doute attribuer à la mauvaise construction du plan, et au peu de liaison qu'il y a entre les scènes.

ALIZON, comédie en cinq actes en vers, par Discret, dédiée aux jeunes veuves et aux vieilles filles. Cette pièce n'a pas été représentée suivant des auteurs, et selon d'autres elle le fut à l'Hôtel de Bourgogne en 1635, et imprimée cette même année : il en parut une seconde édition en 1641 sous le titre d'ALIZON FLEURIE Comédie dédiée aux Beurrières de Paris et une troisième en 1644. Ces trois éditions sont in-12.

L'ALLURE, opéra comique en un acte, par Carolet, donné le 17 Septembre 1731.

LES ALMANACHS, petite comédie en prose et en vers, par Fagan donnée au Théâtre Italien le 7 janvier 1753. On la trouve dans le troisième volume des OEuvres de cet auteur.

ALMASIS, ballet. Voyez les FRAGMENTS****.

ALPHÈDRE, comédie attribuée à l'Abbé Boisrobert. Voyez ALPHREDRE.

ALPHÉE ou LA JUSTICE D'AMOUR , Pastorale de Hardy représentée en 1606, sur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, et imprimée tome premier de ses oeuvres.

ALPHONSE, ou le TRIOMPHE DE LA FOI, tragédie de Poujade, représentée en 1687. Il y a une traduction en un acte intitulée Alphonse dit l'Impuissant qui a été imprimée en 1740 : elle est d'un anonyme, qu'on prétend être M. Collé. C'est un morceau très libre, et qui n'était point de destiné pour le théâtre.

ALPHREDE, comédie de Rotrou, en cinq actes en vers, représentée en 1634. De Beauchamps l'attribue à Boisrobert il paraît qu'il l'a confondue avec ALPHEDRE, ou que ces deux pièces ne sont réellement qu'une même chose.

ALY ET ZEMIRE, opéra comique en un acte, par Largillière donné en 1733.

ALZAÏDE, tragédie par Linant, représentée pour la première fois par les Comédiens Français le 13 Décembre 1745, avec peu de succès. C'est le premier ouvrage dramatique de cet auteur.

ALZATE, ou LE PRÉJUGÉ DÉTRUIT, comédie en un acte en vers, par M. Gazon Dourzigné, imprimée à Berlin en 1752.

ALZIRE, ou les AMÉRICAINS, tragédie de M. de Voltaire, jouée pour la première fois le vendredi 27 Janvier 1736 et généralement applaudie : elle eut 20 représentations de suite, très nombreuses, et qui produisirent 53640 livres. C'est une pièce toute d'invention. On la parodia à l'Opéra-Comique sus le titre d'ALZIRETTE ; aux Italiens sous celui des SAUVAGES ; et aux Marionettes ; et sous celui de la FILLE OBÉISSANTE.

ALZIRETTE, parodie d'ALZIRE, par MM Pontau et Parmentier. Elle est en un acte en prose et vaudevilles, et fut donnée à l'Opéra-Comique le 18 Février 1736.

AMADIS DE GAULE, 16ème de nos opéra. Les vers de cette tragédie sont de Quinault, à qui le Roi en avait donné le sujet, et la musique de Lully. Elle devait être représentée à Versailles pendant le Carnaval de 1684 ; mais la Reine étant morte en ce temps le Roi qui ne voulut assister à aucun spectacle pendant l'année de son deuil, consentit que cet opéra fût donné au Public, qui le vit pour la première fois le 15 janvier 1684. Les décorations et les vols furent inventés par Berrin, et exécutés sur ces dessins, ainsi que les habits. Le Prologue est entre Alquif, Enchanteur, et Urgande son épouse et de la même profession.

Amadis, fils de Perion Roi des Gaules, aime Oriane, fille d'un Roi de la Grande-Bretagne ; Florestan frère naturel d'Amadis, aime Corisande Souveraine de Gravesande ; ces amours principales et épisodiques, traversées par des jalousies et des enchantements, font le sujet du poème. Il a été imprimé, et ensuite gravé en musique partition in-fol. On l'a déjà remis sept fois au Théâtre,

La Parodie de cet Opéra sous le titre de la Naissance d'Amadis, en un acte, par Regnard fut jouée pour la première fois sur l'ancien Théâtre Italien le 10 février 1694 : une féconde, sous le, titre d'ARLEQUIN AMADIS, en un acte en prose et vaudevilles par Dominique et Romagnesi, fut représentée le 27 novembre 1731, et n'est pas imprimée : une troisième intitulée POLICHINELLE AMADIS et en trois actes, en vaudevilles par un anonyme, décora le Théâtre des Marionettes de Bienfait, en Mars 1732, et ne fut pas non plus imprimée : une quatrième, des sieurs Romagnesi et Riccoboni, parue le 19 décembre 1740, et fut goûtée ; une cinquième enfin par Monsieur De Morambert, fut données en 1759.

On imprima aussi en 1741 une Comédie Allégorique, sous le titre d'AMADIS GAULÉ.

AMADIS DE GRECE, 47ème opéra, représenté le 26 Mars 1699. Le poème est de La Motte, et la musique de Destouches, elle fut imprimée partition in-4°. Un Enchanteur et une Enchanteresse font le Prologue. Les cinq actes de la tragédie roulent sur les amours d'Amadis de Grèce et de Niquée, fille du Soudan de Thèbes, qui font traversées par le Prince de Thrace, amant de Niquée, et les enchantements de Melisse amante d'Amadis ; le tout mis à fin heureuse par une autre Enchanteresse, tante de Niquée.

Cet Opéra a été remis en 1711, 1724 et 1745 ; lors de la reprise faite en 1724, il en parut une parodie par Fuzelier, en un acte en vaudevilles. Elle fut représentée au Théâtre Italien le 14 Mars, sous le titre d'AMADIS LE CADET.

AMALARIC, Tragédie tirée de l'histoire de Clovis par M. B. V. J. Elle parut par la voie de l'impression en 1743.

AMALAZONTE, Il y a deux tragédies de ce titre l'une de Quinault représentée en Novembre 1657, avec peu de succès, et imprimée une second de ses oeuvres. L'autre de Monsieur le Marquis de Chimènes , donnée pour la première fois le jeudi 30 mai 1754, et interrompue après le sixième représentation par l'indisposition de la Du Clairon. Cette pièce avait été affichée pour le vendredi 3 Mai ; mais l'auteur jugea à propos de mettre en défaut la cabale, en la faisant représenter la veille, au moment qu'on ne s'y attendait pas. Elle est toute d'invention et n'a rien avec l'AMALAZONTE de Quinault, que le nom de cette Reine des Goths. [Il existe une L'Illustre Amalazonte  en deux parties de René de Cerisiers et qui est un roman édité en 1645]

AMAN, favori du Roi Assureus et ennemi de Mardochée. Ce sujet, tiré du livre d'Esther, a été traité en trois tragédies. La première d'André du Rivaudeau, jouée et imprimée à Poitiers en 1567: la seconde de Pierre Matthieu, allégorique à l'histoire de ce temps-là, non représentée suivant des auteurs, et selon d'autres jouée en 1587, imprimée à Lyon en 1589, in-12. et la troisième de Montchrétien, représentée en 1605. Voyez ESTHER, et VASTHY.

Les AMANTS-ASSORTIS SANS LE SAVOIR, comédie en vers et en trois actes, par Guyot de Merville jouée aux Italiens le 3 décembre 1736, et retirée à la seconde représentation. Elle n'est point imprimée, en voici le sujet en peu de mois. Deux amis, dont l'un est père d'un garçon, et l'autre d'une fille, forment la résolution de marier ces jeunes gens ensemble, lorsqu'ils auront atteint l'âge convenable à ce lien. Différents accidents font perdre ces enfants, ils se retrouvent par hasard dans le même lieu, et deviennent amoureux l'un de l'autre, et enfin ils sont reconnus de leurs pères, qui accomplirent ce qu'ils avaient projeté à leur sujet.

Les AMANTS BROUILLÉS ou la MÈRE COQUETTE. Il y a deux Comédie de ce titre, l'une en trois actes en vers, par Donneau de Visé, donnée avec un grand succès sur le Théâtre du Palais-Royal en Octobre 1665, et qui se trouve dans le tome huitième du Théâtre Français. L'autre en cinq actes en vers, par Philippe Quinault, jouée à l'Hôtel de Bourgogne la même année, et presqu'en même temps ayant paru vers le 15 Octobre. Au dire de plusieurs connaisseurs, il n'y a pas quatre pièces de Molière qu'on puisse préférer à celle-ci. Raymond Poisson y jouait le rôle de Marquis, qui est le premier Marquis ridicule qui ait été mis sur le Théâtre on la revoit toujours avec plaisir. De Visé prétendait que Quinault lui avait pris l'idée de sa pièce.

Les AMANTS DÉGUISÉS, comédie en trois actes et en prose par l'Abbé Aunillon qui la fit donner et imprimer sous le nom du Chevalier de Doué. Cette pièce fut jouée pour la première fois avec applaudissement au Théâtre Français le 7 Février 1728 elle n'eut cependant alors que quatre représentations ; mais on la reprit le 5 Juillet 1738. Le 19 Novembre 1754, l'on représenta au Château de Berni, un Opêra Comique du même titre, pour l'amusement de Monseigneur le Comte de Clermont : il est de M. Collé et en un acte.

Les AMANTS DISCRETS, Tragi-comédie de Magnon, indiquée sous l'année 1645. Il y a apparence qu'on a confondu cette pièce avec elle intitulée Orondate et que ce n'est qu'une même chose.

Les AMANS EMBARRASSÉS Opéra comique d'un acte, donné le 14 Février 1739 par Carolet. Il n'est pas imprimé.

Les AMANTS JALOUX Comédie en trois actes et en prose, d'un anonyme, que l'on dit être Le Sage jouée sans grand succès par les Comédies Italiens le 21 Novembre 1735.

Les AMANTS IGNORANTS, Comédie en trois actes et en prose avec des divertissments par Autreau, jouée au Théâtre Italien, le 14 Avril 1720. Le mérite de cette pièce, tirée du Roman de Daphnis et Cloé, soutenu par la naïveté du jeu du petit Arlequin, fils aîné de Thomassin, âgé de près de sept ans, et la délicatesse de la Demoiselle Silvia, lui attira des applaudissements bien mérités, et on la revoit toujours avec plaisir.

Les AMANTS INFORTUNÉS ET CONTENTS, Comédie en 4 Actes et en vers, formée des 4 derniers actes du COMÉDIEN POÈTE. Elle n'a pas été représentée, et parut seulement par l'impression en 1700, à Caen, chez Jacques Godes.

Les AMANTS INQUIETS, Parodie en petits actes et en vaudevilles de l'Opéra de Thétis et Pelée donnée au Théâtre Italien pour la première fois le 17 Mars 1751 lors d'une reprise de cet Opéra. Elle parut assez ingénieuse, et est de M. Favart.

Les AMANTS MAGNIFIQUES, Comédie héroïque en 5 Actes et en prose de Molière. Elle fut représentée pour la première fois à Saint-Germain en Laye au mois de Fév. 1670 avec des intermèdes en vers dont la musique était de Lully, et des entrées de Ballet : elle fit beaucoup de plaisir à la Cour. Dancourt a fait en 1704, un Prologue et de nouveaux intermèdes à cette comédie, qui n'a cependant jamais eu un grand succès. Elle en dans le huitième volume des Oeuvres de Molière.

Les AMANTS RÉUNIS, Comédie en prose et en trois actes par de Beauchamps, donnée au Théâtre Italien le 17 Nov. 1727, et imprimée dans le Recueil des pièces de ce Théâtre. Voyez aussi SYLVANIRE.

Les AMANTS RIDICULES, Comédie en 5 Actes et en vers, par Le Grand, donnée au Théâtre Français le 1er Juin 1711. L'Auteur n'ayant pas fait imprimer cette pièce, s'en servie dans la suite pour en composer le premier acte du TRIOMPHE DU TEMPS.

Les AMANTS TROMPÉS, Opéra comique en un acte, mêlé d'Ariettes italiennes par MM. Anseaume et Marcouville, donnée au Théâtre de la Foire Saint-Laurent le ... Juillet 1736.

L'AMANT À LA MODE, Comédie en un acte et en vers, avec un divertissement par les sieurs Dominique, Lelio fils et Romagnesi. Elle n'est pas imprimée, et fut jouée au Théâtre Italien le premier Mars 1718 conjointement avec ARLEQUIN HULLA, la REVUE DES THÉÂTRES et un prologue intitulé, La SUITE DES COMÉDIENS ESCLAVES.

L'AMANT AUTEUR ET VALET, jolie Comédie en un acte et en prose, par M. Cérou, lors étudiant en Droit, jouée aux Italiens le 8 Février 1740 avec succès.

L'AMANT BRUTAL, Parodie en un acte de l'Opéra d'AJAX donnée par Fuzelier à l'Opéra-Comique le 3 juillet 1736.

L'AMANT COMÉDIEN. Voyez Les DÉPLACÉS.

L'AMANT CORSAIRE, Comédie en deux actes mêlée d'ariettes, dont la musique est de M. le Marquis de La Salle. Elle fut donnée au Théâtre Italien le 3 Juin 1761, et n'eut que deux représentations.

L'AMANT DEGUISÉ, Parodie de l'acte de Vertumne, du Ballet des Éléments par M. Bidot (l'Evêque de Grarelle), donnée au Théâtre Italien le cinq Juin 1754, et qui n'a point eu de succès elle est cependant imprimée.

L'AMANT DÉGUISÉ, Comédie en deux actes en prose, par M. le Chevalier de la Morlière, tombée à la première représentation sans être achevée, le 26 Juin 1758 : elle n'est pas imprimée.

L'AMANT DE LUI-MÊME, Comédie en un acte et en prose, donnée au Théâtre Français le 18 Décembre 1752, et retirée après la seconde représentation. Cette pièce, qui est de M. J. J. ROUSSEAU de Genève, a été imprimée avec une longue préface, qui y a peu de rapport.

L'AMANT DE SA FEMME, Comédie en un acte et en vers, par Dorimond, représentée en 1661 par les Comédiens de Mademoiselle de Montpensier, sur leur Théâtre de la rue des Quatre-Vents. Voyez la RIVALE D'ELLE-MÊME.

L'AMANT DOUILLET Comédie en trois actes et en vers, par un anonyme, imprimée en 1666. On ne croit pas qu'elle ait été représentée.

L'AMANT DUPÉ, Comédie d'Urbain Chevreau, en 1677. Voyez l'Avocat Dupé. Il y a toute apparence que ces deux pièces ne sont qu'une même chose.

L'AMANT JARDINIER, ou L'AMUSEMENT DE CAMPAGNE, Comédie en un acte en vers, par M*** donnée pour la première fois au Théâtre Italien le 7 Juin 1756. Elle n'est pas imprimée.

L'AMANT INDISCRET, Comédie de Quinault en cinq actes et en vers, représentée en 1674 à l'Hôtel de Bourgogne. Cette pièce a quelque rapport à L'Étourdi de Molière. Elle est dans le premier tome des OEuvres de Quinault.

L'AMANT LIBÉRAL. Ce sujet tiré de Miguel de Cervantes, a fourni deux comédies la première en cinq actes en vers, de Guérin de Bouscal et où Beys a eu part, représentée au Marais en 1636, et imprimée en 1637 ; et la seconde de Scudery donnée à l'Hôtel de Bourgogne la même année et qui n'eut point de succès. Elle est aussi en cinq actes et en vers.

L'AMANT MASQUÉ, Comédie en un acte en prose avec un divertissement dont la musique est de Gilliers, donnée au Théâtre Français le 8 Août 1709 et attribuée à Dufresny. Cette pièce n'eut que trois représentations et n'est pas imprimée.

L'AMANT MUSICIEN, Opéra Comédie en un acte, donné au mois de Septembre 1733, et qui n'est pas imprimé. MM. Panard et Thierry avaient déjà traité ce sujet sans succès, sous le titre de La TANTE RIVALE. Panard, ayant supprimé quelques scènes, le fit reparaître sous ce nouveau nom et il fut reçu assez favorablement. Enfin le 4 Octobre 1736, on vit encore jouer le même Opéra Comique sous un troisième titre, L'AMANT MAÎTRE DE MUSIQUE. Malgré toutes ces métamorphoses et cette espèce de succès, cette pièce est regardée comme une des plus faibles de l'auteur.

L'AMANT MYSTÉRIEUX, Comédie en vers et en trois actes de M. Piron, jouée une seule fois par les Comédiens Français le 30 Août 1734. Elle n'est point imprimée. Voyez les COURSES DE TEMPÉ.

L'AMANT PRÉCEPTEUR. Voyez le FAUX SAVANT.

L'AMANT PRÊTÉ, Comédie en un acte en prose, avec des scènes italiennes et un divertissement par un anonyme, représentée une seule fois aux Italiens le 19 Septembre 1720. Elle n'est point imprimée.

L'AMANT PROTHÉE. Nous avons deux pièces de ce nom, toutes les deux en 3 Actes avec des Divertissements et représentées aux Italiens. La première en prose est de La Croix : elle fut donnée en 1728 eut peu de succès et n'est pas imprimée. La seconde est de Romagnesi, et en vers libres : on la joua le 5 Mars 1739, elle fut goûté et elle est imprimée. Ces deux pièces ne se ressemblent point.

L'AMANT QUI NE FLATTE POINT, Comédie de Hauteroche, en cinq actes en vers, représentée au commencement du mois de Juillet 1668. C'est la première pièce de cet auteur, et quoique médiocre, elle annonçait des talents.

L'AMANT RIDICULE, Comédie de Boisrobert, en un acte en vers, représentée par les Comédiens de l'Hôtel de Bourgogne, le 4 Février 1665, dans le Ballet des PLAISIRS, où le Roi dansa. C'est un ouvrage très médiocre.

L'AMANT STATUE, Opéra Comique, en un acte, par M. Guichard, et dont les ariettes sont de M. Lusse. Il fut donné le 18 Août 1759. Cette pièce avait été destinée pour la Comédie Française, mais la mort de la Demoiselle Guéant empêcha qu'on ne l'y jouât.

L'AMANT SUPPOSÉ, Comédie en un acte et en prose, par M. B***, donnée au Théatre Italien le 25 Novembre 1760. Voyez aussi le Miroir.

L'AMANT VENGÉ, Opéra Comique en un acte, par M. B* représenté à Lille en Flandres et imprimé chez Cuissart à Paris en 1759.

L'AMANTE AMANT, Comédie en cinq actes et en prose par Campistron. Elle est imprimée dans le 2 volume in-12. du Recueil de ses pièces, et fut représentée au Théâtre Français le 12 août 1684 avec succès, quoique faible.

L'AMANTE CAPRICIEUSE. Deux pièces sous ce titre ont été jouées au Théâtre Italien la première, en 5 actes en prose avec des divertissements est d'Autreau et la musique de Mouret : elle fut représentée le 27 Décembre 1718, et comme on l'avait trouvée trop longue, on la redonna le surlendemain réduite en trois actes avec un prologue, mais avec peu de succès ; on l'a imprimée sans le Prologue. La seconde, en trois actes en vers, par Joly fut donnée le 11 Mai 1726. Autreau avait refait totalement sa pièce, dont le fonds est très bon, et devait la remettre au théatre ; cependant elle n'y a pas reparu mais on la trouve dans la dernière édition, de ses Oeuvres, sous, le titre de L'AMANTE-ROMANESQUE, ou la CAPRICIEUSE.

L'AMANTE DIFFICILE, Comédie en cinq actes et en prose par La Motte représentée au Théâtre Italien le 23 Août 1731. Cette pièce avait été jouée en italien au mois d'octobre 1716, sous le même titre : ce n'était alors qu'un canevas que La Motte avait dirigé sur les idées de M. Rémond de Sainte-Albine et donné aux Comédiens Italiens qui l'exécutèrent avec beaucoup de succès, sans en avoir fait de répétition mais seulement après en avoir écouté le sujet bien détaillé par Lelio. Les trois nouveaux divertissements furent mis en musique par Mouret. Voyez le tome premier du Nouveau Théâtre Italien.

L'AMANTE ENNEMIE, Tragi-Comédie de Sallebray, en cinq actes et en vers, donnée en 1642.

L'AMANTE EN TUTELLE, Comédie en 3 actes et en vers, par M. La Valette, donnée par les Comédiens Français le 17 Août 1735, et retirée par l'Auteur après la cinquième représentation, quoiqu'elle eût été bien reçue. Cette pièce n'est pas imprimée.

L'AMANTE INGÉNIEUSE ou la DOUBLE CONFIDENCE, Comédie en un acte et en prose avec un divertissement par M. Disson représentée à Lille pendant le carnaval de l'année 1748 et imprimée à Dijon en 1752.

L'AMANTE INVISIBLE, Comédie en 5 actes et en vers, par Nanteuil. Cette pièce fut jouée en 1673 à Hanovre, où l'auteur était alors comédien.

L'AMANTE RETROUVÉE, Opéra-Comique en un acte, par Largilière donné le 6 Août 1727.

L'AMANTE TRAVESTIE, Comédie en un acte et en vers libres, jouée sur le Théâtre Italien le 13 mai 1745. Elle est de Fagan et n'a point été imprimée.

L'AMANTE VINDICATIVE, Tragi-comédie de Balthazar Baro, imprimée en 1652, in-4°. On n'est point certain que cette pièce ait été représentée, cependant quelques auteurs annoncent qu'elle le fut en 1649.

Les AMANTES, ou la GRANDE PASTORALE avec cinq intermèdes héroïques ; par Nicolas Chrétien sieur des Croix, jouée et imprimée en 1615. La Pastorale est en vers de dix syllabes, et les intermèdes en vers alexandrins. Voici le titre de ces intermèdes. Premier, La Conversion du roi Clovis, 2° La prise de Compostelle par Charlemagne, 3° La Prise de Jérusalem par Godefroi de Bouillon, 4° Les victoires de Saint-Louis sur Saladin, 5° La Pucelle d'Orléans.

AMARANTE, Pastorale deGombauld, en cinq actes et en vers avec un prologue et des chants représentée en 1625 et imprimée à Paris en 1631 in-8°.

AMARILLE, ou Bergerie funèbre sur la mort d'André de Brancas, Amiral de France, par Jean Hays, imprimée en 1598.

AMARILLIS, Deux pastorales en cinq Actes et en vers portent, ce titre ; la première fut représentée et imprimée en 1650, et est attribuée à Du Ryer. La seconde est de la composition de Rotrou, elle fut accommodée au Théâtre et augmentée de l'épisode des Satyres, par Tristan, et on la représenta à la fin de l'année 1652 à l'Hôtel de Bourgogne. Voyez CÉLIMENE et LES MUSES. On attribue aussi une Pastorale d'Amariilis à Passerat.

AMASIS, tragédie par de La Grange Chancel donnée pour la première fois le 13 Décembre 1701. Cette tragédie est touchante, et conduite avec un art infini cependant quoique jouée dans sa nouveauté parce que le Théâtre avoir de meilleur en acteurs et en actrices, elle n'eut pas le succès qu'elle méritait, n'ayant été représentée qu'onze fois. La bonté de cette pièce a été mieux reconnue à la reprise qui en fut faite le 19 Janvier 1731, ayant eu alors seize représentations pendant lesquelles elle attira de nombreuses assemblées, et reçut de grands applaudissements.

Les AMAZONES, tragédie de Mme du Boccage, donnée au Théâtre Français le 24 Juillet 1749. Elle eut un médiocre succès.

Les AMAZONES MODERNES, Comédie en trois actes en prose avec des divertissements par Fuzelier et Le Grand, jouée au Théâtre Français le 29 octobre 1727 sans grand succès. La musique était de Quinault, Comédien. Cette pièce est imprimée dans le quatrième volume des Oeuvres de Le Grand, et fut affichée à la quatrième représentation sous le titre du TRIOMPHE DES DAMES.

Les AMAZONES RÉVOLTÉES Roman moderne, Comédie en cinq actes en prose sur l'Histoire universelle et la Fable, avec des notes politiques, etc. imprimée in-12. à Rotterdam en 1738.

L'AMBASSADEUR D'AFRIQUE , Comédie de Duperche, donnée vers 1640. Cette pièce est fort rare.

L'AMBIGU COMIQUE ou les AMOURS DE DIDON ET D'ÉNÉE,  Tragédie de Montfleury, en 3 actes mêlés d'intermèdes comiques aussi en vers, dont chacun renferme un sujet séparé ; ces sujets sont le NOUVEAU MARIÉ, DOM PASQUIN D'AVALOS et le SEMBLABALE À SOI-MÊME. Comme ce mélange est d'usage chez les Espagnols, les représentations que Montfleury en vie dit-on lorsqu'il fut en Espagne lui persuadèrent que cette pratique pourrait avoir quelques agréments sur notre scène il n'y fut point trompé, et trente représentations consécutives de sa nouveauté, données sur le Théâtre du Marais en 1673 durent l'en convaincre parfaitement. Cependant Quinault avait déjà exposé cette variété au Théâtre. Voyez sa COMÉDIE SANS COMÉDIE.

L'AMBIGU COMIQUE, Opéra-comique en un acte de Fuzelier, représenté le 19 Février 1726. C'est une critique de L'IMPROMPTU DE LA FOLIE, Il n'est pas imprimé.

L'AMBIGU DELA FOLIE, ou le Ballet DES DINDONS, Parodie des INDES GALANTES en quatre actes en vaudevilles, avec un prologue, donnée à l'Opéra Comique le 2 Septembre 1743 par M. Favart : elle n'est pas imprimée.

L'AMBITIEUX et L'INDISCRÈTE Tragi-Comédie en 5 actes et en vers, de Néricault-Destouches, jouée par les Comédiens Français sans être affichée le 14 Juin 1737 et qui a eu du succès. Cette pièce était comparée six ans avant la première représentation, et avait été retardée sous le prétexte de quelques allusions.

AMÉLIE, Tragi-Comédie, de Rotrou, représentée en 1636. Voyez le Duc de Foix.

AMENOPHIS , tragédie de M. Saurin. Elle fut donnée pour la première fois le Jeudi 12 Novembre 1750, et retirée à la seconde représentation. Elle a été imprimée en 1758, avec des corrections.

Les ÂMES RÉUNIES ou la METEMPSYCOSE, Ballet héroïque en quatre actes, imprimé dans le troisième volume des Oeuv. de M. de Moncrif Auteur de ce Ballet. Voyez les FÊTES D'EUTERPE.

AMESTRIS tragédie de M. Mauger, jouée sur le Théâtre Français le 3 Juillet 1747, et remise le 18 Décembre suivant. C'est la première pièce de cet auteur. Il en parut le 15 Juillet, une Parodie pantomime à l'Opéra Comique sous le titre du POLIGAME.

L'AMI DE TOUT LE MONDE. Il y a eu sous ce titre une Comédie en un acte et en prose, qui ne parut qu'une seule fois sur le Théâtre du Palais Royal, le 24 Janvier 1673. Comme elle est d'un anonyme, et n'a pas été imprimée, on pense que ce pourrait être la même chose que le PHILANTROPE, Voyez ce mot.

L'AMINTE DU TASSE. Cette Pastorale a été accommodée à notre Théâtre par plusieurs auteurs : 1°. par Pierre de Brack jouée en 184 à Bordeaux : 2°. par La Brosse imprimée en 1591 : 3°. par Beliard, en 1596 : 4° par Raissiguier, en 5 Actes et en vers, jouée en 1631 : par Pichou, en 1632 : 6°. par Dalibray la même année : 7°. par un anonyme en 1638 : 8°. enfin par De Torches en 1666. L'Aminte du Tassea toujours été regardée comme un chef-d'oeuvre : c'est le premier ouvrage où l'on ait introduit des Bergers sur le Théâtre ; le goût pour cette Pastorale a été si universel qu'on l'a traduite de l'Italien en presque toutes les langues de l'Europe.

L'AMITIÉ RIVALE , Comédie en vers et en cinq actes par Fagan, jouée aux Français le 16 novembre 1735. La première représentation de cette pièce fut si tumultueuse, qu'à peine l'entendit-on : elle fut cependant applaudie à la seconde et en eut dix de suite. Le principal défaut de cette pièce est sa longueur.

AMMON ET THAMAR , Tragédie avec des choeurs, tirée de l'Écriture sainte, par Nicolas Chrétien sieur des Croix représentée en 1608. Les Enfants sans souci avaient joué déjà une pièce sous ce titre, et en deux journées, qui était de Norry ; mais on n'en sait rien de plus positif.

L'AMOUR À LA MODE Comédie en cinq actes en vers, donnée en 1651 par Thomas Corneille, qui devait le sujet de cette pièce à Dom Ant. de Solis, Auteur espagnol, qui l'a traité en sa langue sous le même titre. Corneille ne refusant pas de rendre à son original toute la gloire du bon de sa Comédie, dit qu'il ne serait pas juste aussi de lui en attribuer le défectueux, l'ayant suivi également en tout.

M. du Tens a donné une Comédie, en trois actes, sous le titre de L'AMOUR À LA MODE.

L'AMOUR AU VILLAGE, Opéra comique en un acte, de M. Favart, donné le 3 Février 1745. le fonds de cette pièce est le même que celui de l'AMOUR PAYSAN.

L'AMOUR AU VILLAGE, Opéra comique, en un acte et en prose imprimée dans le Mercure du mois de Janvier 1749. Elle est de M. Rémond de Sainte-Albine.

L'AMOUR BERGER , Pastorale en cinq actes et en vers libres avec un prologue, par J[sic]. Cette pièce n'a pas été représentée elle parut par l'impression en 1687.

L'AMOUR CACHÉ PAR L'AMOUR, Tragi-comédie Pastorale en trois actes en vers, précédée de la Comédie des Comédiens , pièce en deux actes, par Scudery représentée avec succès au mois de novembre 1634, et imprimées in-8°. en 1635.

L'AMOUR CASTILLAN , Comédie en trois actes et en vers libres, avec un Divertissement intitulé Les Nations, par La Chaussée donnée au Théâtre Italien le 11 Avril 1747. Cette pièce est tirée de l'Espagnol.

L'AMOUR CENSEUR DES THÉATRES  Comédie en un acte et de prose mêlée de vers, et suivie d'un Divertissement par Romagnesi et L'Affichard donnée aux Italiens pour la première fois le 2 Avril 1737. Elle n'est pas imprimée, et renfermait la critique des DEUX NIÈCES de L'ENFANT PRODIGUEde La FAMILLE, des FÉES de La FILLE ARBITRE et de LUCAS ET PERETTE.

L'AMOUR CHARLATAN. Voyez la COMÉDIE DES COMÉDIENS.

L'AMOUR CONSTANT. Voyez CLARICE.

L'AMOUR DE LA PATRIE. Voyez Le GÉNIE DE LA FRANCE.

L'AMOUR DÉPLUMÉ, ou la VICTIME DE L'AMOUR DIVIN , Pastorale Comique en cinq actes avec des Choeurs. C'est une mauvaise pièce satyrique, qui fut imprimée en 1612. Elle est de J. Mouqué.

L'AMOUR DIABLE , Comédie de Le Grand, en un acte et en vers, avec un divertissement imprimée dans le tome premier de ses OEuvres et jouée au Théâtre Français le 30 Juin 1708. Un Lutin amoureux qui fit en ce temps du bruit à Paris, fournit l'idée de cette petite pièce, qui est très comique et divertissante. On attribue une Comédie de ce même titre, et en un acte en prose, à M. de Moulon.

L'AMOUR DIVIN, Tragi-comédie, sur la Rédemption, par J. Gaulché imprimée à Troyes en 1601.

L'AMOUR D'UN SERVITEUR ENVERS SA MAITRESSE et ce qu'il en advint , Tragédie française à huit personnages, par Jean Bretog imprimée en 1561. Un mari surprend son valet avec sa femme ; il le conduit au Prévôt, et meurt pendant qu'on fait l'interrogatoire de son domestique, lequel est pendu ensuite sur le théâtre. Voilà le sujet de cette pièce qui peut donner une idée de celles de ce temps-là.

L'AMOUR ET LA FOLIE , Comédie en un acte en vers libres, par M. Yon, donnée au Théâtre Français le 2 octobre 1754, et qui n'eut que cette représentation. Cette pièce est tirée de la Fable quatorze du 15ème Livre de la Fontaine, et elle a du mérite.

L'AMOUR ET LA VÉRITÉ, Comédie en 3 actes en prose de M. Marivaux, jouée au Théâtre Italien, le 3 Mars 1720. On prétend que Saint-Jory a eu part à cette pièce. Elle n'est point imprimée.

L'AMOUR ET LES FÉES, Comédie en un acte en vers libres avec un divertissement jouée par les Comédiens Français pour la première fois le premier octobre 1746. Cette pièce, quoiqu'écrite avec esprit, n'a pas eu un succès heureux, n'ayant été représentée que trois fois. L'Auteur en garda l'anonyme ; on la croit cependant de M. de Saint-Foix. Elle n'est pas encore imprimée [en 1763].

L'AMOUR ET L'INNOCENCE , Ballet mêlé de vaudevilles et de scènes, par MM. Verrière et Favart, donné à l'Opéra-Comique le 4 octobre 1736 et repris le 18 Août 1738.

L'AMOUR ET PSYCHÉ , petit Opéra en un acte, dont les paroles sont de M. l'Abbé de Voisenon et la musique de M. Mondonville: il fut donné en 1760. [l'édition indique le 21 cotobre 1762]

L'AMOUR FANTASQUE , Comédie que de Beauchamps a annoncé sous le nom de D. C. en 1637. Voyez aussi LE JUGE DE SOI-MÊME. [La signature de la dédicace indique que l'auteur est A.H. Fiot. et date de 1632]

L'AMOUR FLÉCHI PAR LA CONSTANCE, Pastorale en neuf scènes, chantée devant le Roi à Fontainebleau en 1697. Les Paroles font d'un anonyme, et la musique de La Lande.

L'AMOUR GUÉRI PAR LE TEMPS , Tragédie ballet de Jean Renaud de Segrais. Elle n'a pas été mise en musique et se trouve imprimée à la suite de Segresiana en 1701.

L'AMOUR IMPROMPTU, Parodie de l'acte d'Églé, des TALENTS LYRIQUES donnée à l'Opéra comique le 10 juillet 1756. Elle est de M. Favart.

L'AMOUR IMPRÉVU , Opéra Comique d'un acte tout en vaudevilles, par L'Affichard représenté à la Foire Saint-Laurent le 18 Septembre 1744 et qui n'eut point de succès.

L'AMOUR LIBÉRATEUR, Opéra Comique en un acte par MM. Mentelle et Des Essarts représenté sur le Théâtre de Bordeaux en 1757.

L'AMOUR MAÎTRE DE LANGUE , Comédie en trois Actes mêlés de quelques scènes italiennes, et précédés d'un Prologue intitulé la Mode par Fuzelier. Elle fut jouée au Théâtre Italien le 18 Septembre 1718, et n'est pas imprimée. Le fond du sujet est tiré des amours de Gonzalve, du Roman de Zaïde.

L'AMOUR MALADE , Ballet de Bensérade, dansé par le Roi le 17 Janvier 1659. Lully en composa la musique ; Jean Doucet et son frère y formèrent une entrée avec quatre Bohémiennes. Il était composé de dix entrées et d'un prologue.

L'AMOUR MARIAGE, Pastorale en 5 actes et en vers, attribuée à Isaac Du Ryer en 1631.

L'AMOUR MARIN, Opéra comique d'un acte, donné le 5 Septembre 1730, par Le Sage, D'Orneval et Fuzelier.

L'AMOUR MÉDECIN, il y a deux Comédies sous ce simple titre, l'une de Pierre de Sainte-Marché, imprimée en 1618, et l'autre de Le Vert en 1638.

L'AMOUR MÉDECIN ou les QUATRE MÉDECINS, Comédie de Molière, en trois actes en prose, représentée à Versailles le 15 Septembre 1665 et sur le Théâtre du Palais Royal le 11 du même mois, par la Troupe de Molière, qui commença alors à prendre la qualité de Troupe du Roi, ne prenant auparavant que celle de troupe de Monsieur, frère unique du Roi. Cet impromptu, quoique d'un meilleur. comique que le MARIAGE FORCÉ, et cependant un des plus précipités de tous ceux que le Roi eût commandés à Molière, puisqu'il fut proposé, fait, appris et représenté en cinq jours ; il fut accompagné d'un prologue en musique qui est l'une des premières compositions de Lully. On dit que Molière fit cette pièce pour se venger de la femme d'un Médecin qui lui avait donné congé d'une maison qu'il tenait d'elle : quoiqu'il en soit, il est certain que c'est le premier ouvrage où il ait joué les Médecins. On le trouve dans le troisième volum de ses OEuvres.

L'AMOUR MUSICIEN , Comédie en un acte et en vers, de Poisson le fils, imprimée dans ses OEuvres en 1743 et qui n'a pas été représentée, un homme de robe qui prétendait que Poisson l'avait voulu jouer dans cette pièce, l'ayant empêché.

L'AMOUR PAYSAN, Opéra Comique en un Acte, de Carolet, donné le 28 Juin 1737. Voyez L'AMOUR AU VILLAGE.

L'AMOUR PEINTRE. Voyez le SICILIEN.

AMOUR POUR AMOUR Comédie en trois Actes en vers libres, avec un Prologue et un Divertissement par Nivelle de la Chaussée donnée pour la première fois au Théâtre Français le 16 Février 1741, et continuée avec succès [la page de garde de l'édition 1753 indique une première en janvier 1742]. Cette pièce est dédiée à Melle Gaussin, qui en représenta le premier rôle. Elle fut parodiée aux Marionettes sous le titre de L'UN POUR L'AUTRE.

*** JUSQU'ICI pour Gallica

L'AMOUR PRÉCEPTEUR Comédie, de M. Gueulette, en trois Actes de prose avec un Divertissement jouée au Théâtre Italien le 25 Juillet 1716. Les chansons sont de M. d'Y... sieur du M... Voyez Le FAUX SAVANT.

L'AMOUR REFUGIÉ Comédie, en un acte en prose, par M. Desormes, représentée à Manheim en 1758 pour l'anniversaire de la Naissance de l'Électrice Palatine, et allégorique à cette Princesse.

L'AMOUR SANGUINAIRE Tragi-Comédie, indiquée par Monsieur de Beauchamps, comme ayant été imprimée en 1633.

L'AMOUR SECOND Comédie, en un Acte en vers libres donnée par les Italiens le 2 Août 1745. Elle est de M. Daucour, et fut précédée d'un Prologue en prose elle n'est pas imprimée.

L'AMOUR SECRET, Comédie, en un Acte en vers de Poisson l'aîné, jouée par les Français le 5 Octobre 1740, sans grand succès. C'est la dernière pièce de cet auteur qui ait été représentée. Elle est médiocre et peu intéressante.

L'AMOUR SENTINELLE, ou le CADENAT FORCÉ, Comédie de Nanteuil, Comédien de la Reine, imprimée en 1672, et non représentée ; c'est une pièce très libre.

L'AMOUR TRIOMPHANT, Comédie en 5 Actes en prose, où sous les noms du Berger Pirandre, et de la belle Oréade, sont décrites les aventures de quelques-grands Princes, par Pierre Troterel, sieur Daves, imprimée en 1616.

L'AMOUR TYRANNIQUE Tragi-Comédie, en 5 Actes en vers de Scudery, représentée en 1638. Elle se trouve imprimée dans le septième volume du Théâtre Français et est très médiocre. L'Auteur publia cependant des remarques pour faire observer les beaux endroits de sa pièce qu'il trouvait si parfaite et si achevée qu'il crut qu'Aristote aurait réglé sa Poétique sur cet excellent poème et qu'il en aurait tiré d'aussi beaux exemples que de l'OEdipe de Sophocle. Sarrazin, sous le nom de Sillac d'Arbois adressa à l'Académie Française en 1638, un discours pour prouver que cette pièce de l'Amour tyrannique était le chef-d'oeuvre de la scène Française. Quel jugement !

L'AMOUR VENGÉ, jolie Comédie en un Acte en vers, par La Font, représentée au Théâtre Français avec succès le 14 Octobre 1712. Voyez aussi DIANE ET ENDIMION.

L'AMOUR VICTORIEUX Comédie, Pastorale en cinq Actes en vers de dix syllabes par Alexandre Hardy, représentée en 1618.

L'AMOUR USÉ, Comédie, en 5 Actes en prose, par Néricault-Detouches jouée une seule fois au Théâtre Français le 20 Décembre 1741 et imprimée dans le quatrième volume des OEuvres de cet auteur. Voyez LE VINDICATIF GÉNÉREUX.

L'AMOUREUX SANS LE SAVOIR, Comédie en prose en trois Actes et trois divertissements par de Gaillac, donnée au Théâtre Italien le 14 Juin 1730. Elle n'est pas imprimée, et n'eut point de succès.

LES AMOUREUX BRANDONS, de Franciarque et Calixene, Histoire morale, non encore vue ni récitée en cinq Actes en prose et dédiée à tous et à nul par A. B. imprimée en 1606. C'est une pièce très longue et très-libre.

LES AMOURS À LA CHASSE, Comédie en un Acte de Charles [Antoine] Coypel, jouée au Théâtre Italien le 10 juillet 1718. M. de Verton du Roi, et nommé à l'Ambassade de Moscovie, ayant à son service deux allemands d'une habileté extraordinaire à donner du corps, voulut bien en procurer le plaisir au Public ; et pour amener cette nouveauté cette petite pièce Italienne fut composée avec des scènes Françaises et un Divertissement. Voyez-en l'argument dans le premier volume du nouveau Théâtre Italien.

LES AMOURS ANONYMES Comédie par de Boissy en trois actes en vers, avec des Divertissements jouée par les Comédiens Italiens pour la première fois le 5 Décembre 1735, et reçue avec applaudissements.

LES AMOURS AQUATIQUES, Comédie en un acte en prose ; avec un divertissement donnée au Théâtre Italien à la Foire, le 5 Septembre 1721 par Le Grand. Elle n'est point imprimée. L'amour d'Alphée pour Arethufe, traverse par le Dieu du fleuve Ladon, amoureux d'Aréthuse et par la Nymphe de la rivière Erimanthe, qui aime Alphée, forme l'intrigue de cette Comédie qui est terminée par le mariage d'Alphée et d'Aréthuse et celui du Ladon avec Erimanthe.

LES AMOURS CHAMPÊTRES, Pastorale en vaudevilles, par M. Favart, donnée au Théâtre Italien le 2 Septembre 1751, et qui eut beaucoup de succès ; c'est une Parodie de l'Acte des Sauvages, du Ballet des INDES GALANTES.

LES AMOURS CONTRAIRES, Pastorale en 3 Actes en vers, par Isaac Du Ryer, donnée en 1610.

LES AMOURS D'ALCMÉON ET DE FLORE, tragédie par Etienne Bellone, jouée et imprimée à Paris en 1600 et réimprimée à Rouen en 1621.

LES AMOURS D'ANGÉLIQUE ET DE MÉDOR. Nous avons trois Tragédies sous ce titre. La première d'un anonyme imprimée à Troyes en 1619 : la seconde de Gabriel Gilbert, donnée à l'Hôtel de Bourgogne en 1664, et qui est une très mauvaise pièce. La troisième de Desroches jouée à Poitiers en 1648. Voyez aussi Angélique.

LES AMOURS D'APOLLON ET DE DAPHNÉ, Tragi-Comédie par Dassoucy imprimée en 1650, in-8°. Elle est en trois actes en vers, avec un Prologue et fut mise en musique.

LES AMOURS D'ASTRÉE ET DE CÉLADON, Tragi-Comédie Pastorale de Raissiguier, donnée en 1630. Elle est en cinq Actes en vers.

LES AMOURS DE BASTIEN ET BASTIENE, Parodie du Devin du Village en un acte par Mme Favart et M. Harny, donnée au Théâtre Italien le 4 Août 1753 et qui eut plus de cinquante représentations.

LES AMOURS DE CALOTIN, Comédie, en 3 actes en vers, avec un Ballet, par Chevalier, représentée sur le Théâtre du Marais en 1664.

LES AMOURS DE CAMPAGNE, Comédie par un anonyme représentée le 22 Août 1689, Et qui n'est pas imprimée.

Les AMOURS DE DIANE ET D'ENDIMION, tragédie de Gilbert, donnée à l'Hôtel de Bourgogne, et imprimée en 1657. Voyez Diane et Endimion.

LES AMOURS DÉGUISÉS Ballet composé d'un Prologue en vers, et de quatorze entrées mêlées de récits et de danses des Auteurs l'attribuent à Bensérade et d'autres au Président de Perigny ; la musique était de Lully. Il fut dansé par le feu Roi [Louis XIV] le 13 Février 1664.

LES AMOURS DÉGUISÉS, 81ème de nos Opéras Français. C'est un Ballet de trois entrées, dont les vers sont de Fuzelier, et la musique de Bourgeois. Le Prologue est formé par Vénus, Minerve et Bacchus. La première entrée est l'Amour déguisé sous l'apparence de la haine ; la seconde, l'Amour sous le titre d'Amitié et la troisième sous celui de l'Estime. Cet Opéra fut représenté le 12 Août 1713, et est le premier de Fuzelier : il est imprimé en musique, partition in-4°. On le remit l'année suivante avec une nouvelle entrée intitulée la Reconnaissance. Les trois premières entrées reparurent seules en 1726, et la troisième fit partie des FRAGMENTS, donnés en 1748.

LES AMOURS DÉGUISÉS, Opéra Comique en un acte, de MM. Le Sage, Fuzelier et D'Orneval, donné le 10 Septembre 1726. Cette pièce n'a aucun rapport à l'Opéra ci-dessus.

LES AMOURS D'EROSTRATE, fils de Philogone de Cacanie, de Polymnefle, fille de Damon, Bourgeois d'Avignon, Comédie, traduite de l'Italien, en vers de huit syllabes, par J. Bourgeois, et donné en 1545.

LES AMOURS DE JUPITER ET DE SEMELÉ, Tragédie avec des machines, de l'Abbé Boyer, représentée sur le Théâtre du Marais au mois de Janvier 1666.

LES AMOURS DE LA RAVAUDEUSE. Voyez LE PORTEUR d'IAU.

LES AMOURS DE LYSIS ET D'HESPÉRIE, Pastorale allégorique à la Paix des Pyrénnées et au mariage de Louis XIV par Quinault représentée sur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne le 16 Novembre 1660 et au Louvre le 9 décembre suivant. Cette pièce n'a pas été imprimée/ On prétend que le Cardinal Mazarin en donna le sujet, et que M. de Lyonne y travailla, avec l'auteur, et on ajoutait que l'original apostillé de la main de M. de Lyonne, était dans la Bibliothèque de M. Colbert ; il ne s'est cependant pas trouvé, lorsque le Roi a acheté les Manuscrits de ce Ministre.

LES AMOURS DE MARS ET DE VÉNUS, 78ème Opéra. C'est un Ballet composê de trois entrées, avec un Prologue, qui seul a été imprimé en musique, in-4°. Il est formé par Hébé, Déesse de la Jeunesse, et par la Victoire, qui la rassure en lui annonçant le retour de la Paix et des Plaisirs. Les vers de cet Opéra sont de Danchet et la musique de Campra. Il fut représenté pour la première fois le 7 Septembre 1712 et eut peu de succès. Le Prologue a été remis avec différentes pièces.

LES AMOURS DE MATHURINE, Parodie en deux actes mêlés d'Ariettes, de la Pastorale de DAPHNIS et ALCIMADURE, donnée au Théâtre Italien le 10 Juin 1756 et qui n'est pas imprimée : elle est de M. Lacombe.

LES AMOURS DE MERLIN, Comédie en un acte en vers, par Rosidor, jouée et imprimée à Rouen en 1671.

LES AMOURS DE MOMUS  35ème Opéra. C'est un Ballet de trois actes, représenté le 25 Mai 1695 et imprimé en musique, partition in-4°. Les vers en sont de Duché, et la musique de Desmarets. Le Prologue se passe entre Melpomène, Thalie, la Gloire, et leur suite.

Les AMOURS DE NANTERRE, Opéra Comique en un acte par Le Sage, D'Orneval et Autreau, donné à la Foire de Saint-Laurent 1718, et ensuite sur le Théâtre du Palais-Royal.

LES AMOURS D'OVIDE  Pastorale de Gilbert, en cinq actes, avec un prologue donnée sur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, le premier Juin 1663 : elle eut un grand succès à cause des machines.

LES AMOURS DE PHILANDRE ET DE MARISÉE , Tragi-Comédie en 5 actes en vers, donnée en 1619 par Giboin.

LES AMOURS DE PROTHÉE , 98ème Opéra. C'est un Ballet en trois actes avec un prologue entre Vénus, l'Amour confiant et l'Amour volage : les vers sont de La Font et la musique de Gervais ; Cet Opéra, représenté 16 Mai 1720 pour la première fois, fut goûté, et a été repris en Septembre 1718 : il est imprimé en musique partition in-4°. Il en parut une Parodie en un acte en vaudevilles, sous le même titre, à l'Opéra Comique le 24 Septembre 1718. Elle est de Le Sage et D'Orneval.

LES AMOURS DE PSYCHÉ, Parodie de l'acte de Psyché des FÊTES DE PAPHOS, donnée au Théâtre Italien le 15 Juillet I758 ; elle était en quatre petits actes qui furent réduits à deux, lors de la seconde représentation elle n'eut cependant point de succès n'ayant été jouée en tout que cinq fois, et n'est pas imprimée.

LES AMOURS DE RAGONDE , Comédie burlesque de Nericault Destouches, donnée sur le Théâtre de l'Opéra le 31 Janvier 1741 avec quelques changements que l'auteur désavoua. Ce Divertissement est comparé de trois Intermèdes, et fut fait en 1714 pour être représenté à Sceaux sous le titre de Mariage de Ragonde et de Colin, ou la Veillée de Village. La musique est du gracieux Mouret. On compte ce Divertissement pour le 37ème de nos Opéras il est gravé partition in-4°, et a été remis en 1743 et 1753.

LES AMOURS DES DÉESSES, 111ème Opéra. C'est un ballet dont les paroles sont de Fuzelier, et la musique de Quinault. Il fut représenté pour la première fois le 9 Août 1729 et cessa de l'être le 29 suivant. Le Prologue est entre l'Amour et l'Indifférence. La première entrée représente les Amours de Vénus et d'Adonis ; la deuxième celles de Diane d'Endimion ; la troisième celles de Melpomène de Linus, inventeur de l'Élégie. Il est imprimé partition in-4°. Le if Août les Auteurs ajoutèrent une quatrième entrée à cet Opéra, intitulée l'Aurore etCéphale. Il n'a point été encore remis. Boissy fit une Parodie de cet Opéra pour le Théâtre Italien sous le titre de MELPOMÈNE VENGÉE qui n'eut qu'une représentation, le 3 Septembre 1719. Elle était en un acte en prose mêlée de vaudevilles et ne fut pas imprimée.

Les AMOURS DES DIEUX , 107e Opéra. C'est un Ballet composé de quatre entrées et d'un Proloque dont les vers sont de Fuzelier, et la musique de Mouret. Le Prologue représente les Jeux funèbres célébrés par les Sarmates de Tomes en l'honneur d'Ovide, en reconnaissance de l'Art d'aimer que ce fameux poète avait apporté fur les bords glacés du Danube. La première entrée représente les amours de Neptune et de la Nymphe Amimone ; la seconde celles de Jupiter de Niobé ; la troisième celles d'Apollon et de Coronis ; et la quatrième celles de Bacchus et d'Ariane. Mademoiselle Sallé parut avec éclat dans cet Opéra qui est gravé en musique partition in-4° et fut représenté poru la première fois le 14 Septembre 1727. Dans deux reprises qu'on en a faites, en 1757 et en 1747 on a retranché l'entrée de Jupiter et, les autres furent mise dans un ordre différent. En 1758, on le donna dans sa première entrée.

Les AMOURS DES GRANDS HOMMES, Opéra par Morand, imprime en 1751, dans le troisième tome de ses OEuvres et qui n'a point été mise en musique à ce que nous apprend l'auteur, parce que M. Rameau ne voulut pas autrefois le noter, par une raison particulière. Le premier Acte est intitulé Le Sage amoureux, ou Solon le second, le Guerrier amoureux ou Cyrus ; le troisième, le Savant amoureux ou Pétrarque.

LES AMOURS DES INDES, Opéra-Comique en un acte donné le 17 Septembre 1735. Ce fut une Parodie des deux premiers Actes des Indes Galantes. Elle est de M. Carolet et, n'a point été imprimée. L'entrée du Turc généreux était P arodiée sous le titre du Bon Turc et celle des Incas sous celui du JALOUX POLTRON.

Les AMOURS DE TEMPÉ , 165ème opéra Ballet héroïque, dont on attribue les parole à feu Fuzelier et dont la musique est de Monsieur Dauvergne. Il fut représenté pour le première fois sur le Théâtre de l'Académie Royale e Musique le 9 novembre 1752 ; il est composé de quatre entrées sans prologue : la première est le Bal, ou l'Amour timide ; la troisième l'Enchantement, ou l'amour généreux ; et la seconde entrée de cet opéra fur parodiée aux Italiens sous le titre des COURONNES.

Les AMOURS DE TRAPOLIN , Comédie en un Acte en vers par Dorimond, représentée sans succès par la Troupe de Mademoiselle, en 1661 elle est précédée d'une autre petite pièce en vers, intitulée la Comédie de la Comédie et qui lui sert de Prologue.

Les AMOURS DE VÉNUS ET D'ADONIS, Tragédie par de Visé précédée d'un prologue en vers libres. Elle eut un grand succès sur le Théâtre du Marais, où elle parut le 2 Mars 1670, à cause des machines, quoiqu'elles ne fussent accompagnées ni de danses ni de voix. À la reprise qui en fut faite en 1685, on y mit des Intermèdes dont la musique était de Charpentier ; mais malgré cela elle n'eut que six représentations.

Les AMOURS DE VINCENNES, Parodie en un acte en prose et en vaudevilles, de l'Opéra d'Issé, avec des Divertissements par Dominique, jouée aux Italiens le 12 Octobre 1719. Elle n'est pas imprimée, et n'eut que deux représentations. Voyez Issé.

Les AMOURS DE ZERBIN ET D'ISABELLE, PRINCESSE FUGITIVE  ; où il est remarqué les périls et grandes fortunes passées par ledit Zerbin, recherchant son Isabelle par le monde, et comme il est délivré de la mort par Roland. C'est le titre en entier d'une pièce dramatique composée par un anonyme, et imprimée à Troyes en 1620. [la BnF identifie Nicolas Oudot comme auteur, Selon, la document numérique de Gallica, l'impression est de 1621.]

Les AMOURS DU PRINTEMPS , Ballet en un acte, disposé pour le Roi étant à Fontainebleau en Novembre 1737 dont les paroles sont de Monsieur de Bonneval et la musique de Collin de Blamont, donné à l'Opéra le premier Janvier 1739 : il est compté pour le 131ème des Opéra, et n'a point été remis au Théâtre.

les AMOURS DU SOLEIL , Tragi-Comédie, en 5 Actes en vers, entremêlée de musique et de beaucoup de machines, avec un Prologue jouée sur le Théâtre du Marais le 6 Février 1671 avec beaucoup de succès, à cause de la magnificence du spectacle. On l'attribue à de Visé.

Les AMOURS GRENADIERS, ou la Gageure Anglaise , pièce en un acte mêlée de vaudevilles, donnée la Foire Saint Laurent, par la Grande Troupe étrangère des Danseurs de Corde, au sujet de la prise de Port-Mahon, le 9 Septembre 1756. Elle est de Monsieur Quétant.

Les AMOURS GRIVOIS.  Voyez ( L'École des )

**** LU JUSQUE Là ***************

Les AMOURS INFORTUNÉ'ESDELÉANDREETD'HÉRON, Tragi-Com.tirée duPoèmeépiqueàe Mufée, parde La Selve donnéeen 1tf.331Cettepieceelt enversalexandrins, à l'exceptiondesfcenesde Léandreetà'Héronqui fonten versde quatrepieds.

L'AMPHIGOURI, Opéra-Comédie en un acte, par M.PaAMI'[Pièces.] AMXJ et

Ciii;nard, donne le 3o Juin 1739, et non impritné. Voyelles

TROIS PROLOGUES.

AMPHION ET PARTHENOPÉE, Opéra de Pechantré, dont il ne retloit plus que le Prologue à faire, lorfqu'ilmourut en 1708.

L'AMPHITHÉATRE, Pastoral Poème bocager, en r Attesen vers, par Du Pefchier, en 1619. PôyeçleTHÉATRR

RENVERSÉ.

AMPHITRIOM ou ¡'HERCULEfdr'ieux Tra.de L'Héritier

Nouvelon cette pièce fut donnée en 1 68 et eut un grandsuccès, quoique médiocre et froide. Voyc^ Hercule.

AMPHITRION TrapiCom. de Molière en trois Ac. avecun Prolog. et fa première pièce, en vers libres; elle'fucrepréfentee pour la première fois fur le Théâtre du Palais

Royal le 1 Janvier 166$ et se trouve tome quatrièmede Ces(OEuv. On fait qu'Euripide et Arcfrippus parmi les

Grecs ont traité le sujet d'AMPHJTRioN et que c'est Unedes pièces de Plaute qui a eu le plus de fucccs; 5 Moliërfea pris beaucoup de chofes de Plaute mais il leur a donnéun autre tour et d'autres finefies qui furpaflent de beaucouples railleries de YAmphitrion latin. On dit cependant que

Mme Dacier, qui a fait tant d'honneur à Confexe par for»érudition, fit une diilertation pour prouver que l'Amphitrionde Plaute étoitfort au-deifus du moderne et qu'ellene la fupprima qu'après avoir oui dire que Molière vouloicfaire uneComédie des Femme/ayantes. Quoi qu'il en (bit, cette pièce rcuflït pleinement, fans contradiction, eton larevoit même toujours avec plaifir. Le Cujeçdu Prologueentre Mercure et la Nuit, a été fourni à Moliere par Lucien, mais il ne lui a pris aucune des penfées brillantes.dont il l'a enrichi.

Il parut une Paro. de cette pièce à la Foire elle est en trois

Actes en vaudevilles, et fut imprimée quoique très-médiocreet fort libre. Elle est de Raguener.

AMPHITRITE efpece de Tragi-Corn, par Momléon, jouéçet imprimée en 16; o.

AMSTERDAM HYDROPIQUE, Com. burlefque par P..V.

C. H. imprimée en 1^7

AMURAT Tra. par de La Cletiere; on n'en connoît que lé'40 AMU [Pièces.] 'ANA

Les AMUSEMENSA LA MODE Corn, en troisActes, avecun Prolog. le couten vers libres, par les fieursRomagnefiet Riccoboni donnée au , Théâtre Ital. le z Avril 173zavec succès.Le troisième Actede cette pièce a pour titre, les Catajlropheslyri-tragi-comiques c'est une espècede

Parodie de l'Opéra de Jephtb, et de la Tragédie d'Eu-

PHILE.

Les AMUSEMENSDE L'AUTOMNE, Com:en trois Ac.avec un Prolog. et des Intermèdes, par Fuzelier, jouée an

Théâtre Fran. le 17 Oftob. 17*f elle ne fut pas goûtée, quoique repréfentéeonze fois, etn'ef1 pasimprimée c'étaitune efpecede Divertilfenient compote de deuxComédiesen profe, intitulées le Temple DetDELPHEs, et le

TEMPLE deGnide, -les AMUSEMENS LYRIQUES, Opé. en trois Actes, représentéà Puteaux, chez M. le Duc de Gramont, dansle mois de Fév. I7fo. C'est un Bail, compofcde 3 entrées.

La première intitulée A^or et Thémire est de M. Laujon, et a été mife en mufique par M. Le Vallèur. La deuxieme, intitulée Apollon et Cllmcne est d'un anonyme et a été.rnifè en mufique par Le Clair. La troisième intitulée le

Bal militaire, est de M. Roy et a été mife enpar M. Martin.'ANACRÉON Com.Ball. en un Ac. en pro. mêlée de vers, imprimée au mois de Janvier 17 5 4, a la fin d'un recueilintitulé Imitation des Odes d'Anacréon en vers FrançoisparM.deS*

An acre on Ballet héroïque en un Ade dont les vers fontde Cahufàc et la mufique de M. Rameau; il fut donnépour la Cour à Fontainebleau le z; Octobre 1754. Lesujet en est: différent de l'Acte du même titre qui parutdans les Surprises de l'Amour fur le Thé. de l'Opé. en17 j7 On trouve l'extrait du premier dans le fecond vol. du

Mercure du mois de Déc. 17^4; et celui du deuxieme, dans le volume du mois d'Août I7 f7. (Voye^ encore la

PETITE MAISON

ANACRÉoN Corn, en vaudevilles, par M. Sedaine, donnéeau Thé. Ital. le 1 Décemb. 17 ;8 làns succès.

AN AX ANDRE Tragi-Com. de Du Ryer, et fa dernière pièceelle fuc jouée en 165 4 ou l'année fuivance.

AND [Pièces.] AND 41

L'ANDRIENNE. II y a deux Corn, de ce nom, 1 une attribuéeà Bonaventure DeCperiers en i f }7 l'autre en f Ac.en vers, donnée fous le nom'de Baron père, la 16 Nov.1 703 elle eut un grand succès, et se trouve dans le tomefecond de fes OEuv. C'est lapremiere traduction des piècesde Terence qui ait paru fur le Théâtre Français car I'Eunuç oeque Baïf traduifit tous le regne de Charles IX. ne fut pointreprcfenté, parce qu'il n'y avait pas encore de Comédiensétablis Paris. Baron se plaint dans la Préface de l'injufticequ'on lui faifoit d'attribuer fa pièce à un autre, ( le P. de

La Rue ) et le confole, par l'exemple de Terence méme, qu'on accufa.de prêter (on nom aux Ouvrages des autres.

Une remarque à faire fur cette pièce est que la Dlle Dancourtla mère, qui repréfentoic l'Andrienne imagina uneforte de robe abattue, qui convenoit à ce rôle, dont lamode s'établit, et ces robes retinrent le nom à'Andritnnes.

L'ANDROGINE. Voyez I'Hypocondre.

ANDROMAQUE, tragédie de Racine, donnée à l'Hôtel de Bourgogne avec un grand succès le io Novemb. 1667, et imprimée tome scond de (es (Euv. Le Comédien Montfleury fit, a ce que l'on prétend, de fi grands efforts pourreprésenter les fureurs d'Oreste dans cette pièce, qu'il tomba malade et en mourut la Mariamne de Triftan avait pareillement caufé la mort à Mondory, ce qui fait dire à Montflcury dans le Parnaffe rifolmé, que déformais il n'y aura plus de Poëcé oui ne veuille avoir l'honneur de crever un Comédien en fa vie. Il parut une critique d'Andromaque, intitulée la Folle querelle c'était une Com. entrois Ac. en pro. qui fut représentée le 1 8 Mai 166 1 fur le Théâtre du Palais Royal, avec un grand succès, et que Racine attribuait à Molière ce qui mit la méfintelligence entr'eux cependant le véritable Auteur de 'cette critiqueétait Subligny. Les autres cenfeurs, que la jaloufie etlemérite de cette excellente pièce attirerent à fon Auteur, t'obligèrent à se perfeâionner de plus en plus, ce qui fitdire à Defpreaux dans fa 7" Epître adreflee à Racine

Ec peuc-être ta plume auxeenfeuts de Pyrrbus,

Doit les plus nobles traits dont tu peignis Burrhus.

Cette Tra. a été mife Pn vers Ital, non rimes par plufieurs4i AND [Pièces.] ANE

Académiciedn'Iscalet. futjouéefurleThéâtrdeesComédiensIcal.

Paris, le1yMars171^.Onprétendqu'ilyaauflîuneTrag.d'ANDROMApQarUSaEl, lebrayd, onnéevers164.'ANDROMEDTEr, a.dePierreCorneillCe.ette, piecefdiutbruitparlesmachineetslesdécoratiomnsagnifiqudeosntellefutaccompagnéceeschangemednesThé.donnèrentlieuàCorneillde'ufedr 'unpeuplusdelibertqéuelesréglesordinairens'enpermettenft;apiecefutjouéeparla

TroupeRoyalea, upetitBourbona, ucommencemednetl'annéei6jo, 6c eut 4f représentatiolnessmachinésétoiendt el'inventiodneTorelliI, talienL. esComédiensduThéâtredeGuénégauladremirenetn1681 etCorneilleyfitalorsquelqueasugmentatiodnasnslesversquedesComédieetnsdesComédienncehsantoienett, oùilsfontnommésE.llefetrouvdeansle4evol.deCeOEs uy.

NousavondseuxautresancienneTsragd. 1 AndromèudneedeBoilfin deGallardonimprimée en1618 fousletitredelaPerséenneetune-autqreuiretrouvdeanslerecueilduThéâtreFrani.mprimeén16zs etquifutreDréfènréé en163; cettedernièreeftentroisActesenvers, onn'enconnoîptasl'AuteurV. oyeatuffPi ersée.

ANDROMIRER, EINDEESICILET, ragi-Com.deScudery, donnéen1S41.

ANDRONICT, ra.deCampiflxornepréfentpéeourlapremierefoisle8Févrieritf8f.C'eftl'Hiftoirefunefdteu

PrinceDonCarlosf, ilsdePhilippIel.Roid'Efpagneq, uel'Auteur a traitéfouslenomà'Àndronicfilsdel'Empe->renrPaléologuIe. dontl'Hiftoirie quelquerapporatcelleduPrinceDonC;irlosC. etteTragq. uitiradeslarmesdesplusinfenfîbleesutunfuccèfsiprodigieuxq, ue lesComédienasp, rèsavoirfaitpayelredoublaeuxvingtpremiereresprésentationl'asyanmt ifeaufimplefurentobligépsarlamultituddeesfpeftateurs, dlae remettraeudoubldeenouveaup, rincipalemeanfitndefeménagedrela placfeurleThéâtrepourlesAfteursE.lleeftimpriméedanslepremievrol.desQEùdve.Campidron.

L'ANED'OR, Op.éra-Coemnid.euxAc.donnéen1714.

L'ANEDUDAGGIAL, eàfp.'ecOepéra-Comi.u\cnnAâe, par D'Ornevaldonnéà la FoireSaintGermain, , en

ANG [Pièces.] ANN 451710 par laTroupede Francifque etnon imprimé.

ANGELIQUE, Com.en profe, de Fabricede Fournaris, ditle CapitaineCocodrille, comique confident, traduite del'Ital. etde l'ECpagnol, par L. C. imprimée

Parisen 1599 in-11. Voye\AMOURDS'ANGELIQUE.

ANGELIQUEET MEDOR, Com.en un Adeeten proieattribuéeà Dancourt, repréféntéele premierAoûti68jetimpriméei/7-11.enHollandeen 170/. Ceft uneefpecede Parodiede ROLAND.

LesANIMAUXRAISONNABLES, Opéra-Comdi.'un Ac.par LcGrand etFuzelier donnéà la FoireS. Germainàla findu moisde Fév.1718. Cettepieceeut unfuccèsprodigieux;le fond dufujcteneftà peuprèsfemblableà celuidesBÊTESRAISONNABLES.

ANNE DE BRETAGNE Reine DB Trance Tra. de Ferrier, jouée à l'Hôtel de Bourgogne en Novembre 1678.

Dans la peinture qui est faite dans cette pièce de Charles

VIII. il y a des endroits très-finement tournés à la gloiredu feu Roi; c'est d'ailleurs un ouvrage médiocre, et quieut peu de réulfite. Elle est imprimée dans le neuvièmevol. du Théâtre Francois.

L'ANNÉE GALANTÉ, ipmc Opéra. C'elt un Ball. de M.

Roy, formé de quatre entrées et d'un Prolo il fut compoféà l'occafion du fecond mariage de Monfeigneur le Dauphin, et représenté à Verfailles pour la première fois, le1 Fév. 1747 et à Paris le 1 Avril fuivanr. La mufiqueest de M. Mion, et se trouve gravée partition in-fol. Le

Prol. fè paffe entré Janus, Agenorie, Déelie du travailet Murcie, Déefle de l'oifiveté.

Le sujet du premier îAfte est l'Hiver, ou Comus; celui dufecond, lePrintems ou Zephyre etFlore; celui du troisième, lEté, ou Triptolême; celui du quatrième, l'Automneou la Minëde.

L'ANNÉE MERVEILLEUSE, Com. en un Afte en vers libres, -par M. Roufleau, donnée aux ltal. le 1 Juillec 174S.

Voye^ la GRANDE MÉTAMORPHOSE.

ANNETTE ET LUBIN, Com. en un Acte en vers, mêléed'Ariettes et de Vaudevilles, par M. Favarr, donnée pourla première fois au Théâtre Ital. le I Fév. iy6t et aveç.beaucoup de fucccs. C'est le joli conte de M. Marmonteldu même titre, mis en action.4+ ANN [Pièces.] ANT

ANNIBAL. L'Hiftoire de ce Général des Carthaginois a ététraitée en huit tragédie La première de Montreux, en t f84, etqui n'est pas imprimée; la i* de Scudery, en 163 1la 3 non achevée, de Defmarets la 4r de De Prades, donnée en 1649 j la le de Thomas Corneille, jouée àl'Hôtel de Bourgogne au mois de Novembre \66$ quitomba à la troisième représentation etqui se trouve dansle quatrième vol. de fon Théâtre; la 6e de Riouperour, donnée le Novemb. 1688 etqui n'est pasimpriméela 7e du P. Colonia, en 1697 la 8e et dernière, de M.

Marivaux donnée le 16 Oftob.^iOjavecpeudefuccès, mais remise le 17 Oélobre:i747

Les ANONYMES, Com.en un Aère en profe, avecun Div.et un Prol. auffi en profe, intitulé les Dieux en Egypte,

Cette pièce est de M. Roy, etfut donnée aux Ital. le 14

Mars 1714: elle n'eut que cette repréfehtation, , et n'elipas imprimée.

L'ANTICLAPERMAN, oule SomnifèreDESMaris, pièceen un aéte de Carolet donnée à la Foire en 17x3, parles Marionettes de Bienfait, etqui n'a pas été impriméec'etoit fort peu de chose. Voye^le Clapbrman.

ANTIGONE. L'Histoire de cette Princese est assez connue

Sophocleet Scnequeen ont chacun fait le sujet d'une de leurs pièces, intitulées la ThébaÏde Jean-Ant. Baïfcompofa une tragédie sous le nom d'ANTIGONBen i ftf 7 Robert Garnier en fit auflîune, qui est une imitation de la Thebaïde du Stace, on la donna en i j8o. Rotrou en composa une troisième qui fut reprefentée en 1638 et qui est une de ses bonnes tragédies cependant il y fait mourir les deux frères d'Antigone Eteocle et Polinice enfants de Jocaste, dès le troisième acte le reste est en quelque forte le commencement d'une autre tragédie ayant réuni deux actionsdont l'une fert de matiere aux Phéniciennesd'Euripide, etl'autre à YAntigonede Sophocle; cette pièce est d'ailleursremplie de beaux endroits. Enfin Pader d'Aflezan, fit repréfenterune dernière tragédie d'ANTiGoNB, le 14 Mars1686 c'est une pièce paffable; elle ne fut cependant jouéeque Rxfois. On la trouveimprimée dans le neuvième vol.du Théâtre Franfois.

L'ANTIM pINE :PURIFIÉ SUR LA SELLETTE, Com^ea en trois Actes en vers, sans nom d'Auteur, imprimée en 1 66 8 et non représentée.

ANTIOCHUS tragédie de Thomas Corneille donnée le i y Mai 1666 et imprimée dans le tome troiûeme de fès (Euv. cet Antiochus est le fils de Séleucus, G connu par fon amour pour Stratonice. Ce sujet a été traité dans d'autres tragédies les unes intitulées SÉLEUCUS les autres STRAtonicb ou le MALADE D'AMOUR et dans le troisième acte du TRIOMPHE DESCINQ PASSIONS; le fécond Acte des Fêtes DE PoLYMNiE la quatrieme entrée du Bailet des Muses les JEUX OLYMPIQUES 6'C. Corneille n'a pas jugé à propos de fuivre l'Hiftoire en faifant Stratonice épousè de Séleucus afin, dit-il, « que ceux qui n'ont qu'une médiocre ferveur pour le Sacrement, n'euflènt point à lui opposer que la résolution de se défaire de fa femme 3, n'est pas la matiere d'un grand facrifice Voye^ MACHABÉES.

ANTIOCHUS ET CLÉOPATRE, Tra. de M. DeGhamps représentée le 16 Décembre 1717' C'est une pièce fort médiocre qui ne fut donnée que cinq fois. Cet Antiochus est celui qui fut furnommé Grypus.

ANTIPATER Tra. de M. Portelance, donnée une feule foisau Théâtre Fran. le xNovemb. 17 Si cecte pièce a étéimprimée en 1 7 1 avec fa critique par l'Auteur mêmeet c'est fon premier Ouvrage dramatique.

L'ANTIQUAIRE Op. Comï. en un Ac. en vaudevilles donnéle 7 Juillet, 1741 par MM. L'Affichard et Valois. Iln'est pas imprimé, et n'eut pas de succès. On pourra voirpar le précis que voici, s'il en méritoit. Médaillon, entêté'de Médailles et d'Antiques refufe fa RlleàLéandre qu'elleaime, pour la donner à un Médaillifle comme lm appellé

Le Bufie qui doit arriver le jour même de Bruxelles.

Léandre, par le confeil de Stras, Valet de Médaillon, se dégùife en Vieillard et se préfente à l'antiquaire, fous le nom de fon Rival. Médaillon conclut au plutôt cemariage et n'apprend le tour qu'on lui a joué que lorfqu'iln'est plus tems de se dédire.

L'ANTIQUAIRB, Corn, en trois Actes en vers, avec un Prolog.représentée dans un College à Paris en 17 jo. Cette oiecedans laquelle il n'y. a point de tôle de femme, est d'un4S ANT [Pièces.] APOanonyme( M.l'AbbédeLaPorte), etfetrouveimprimée.

ANTOINEETCLEOPATRE, Trag.de M.Boiftel furle jouje Théâtrede laCom.Fran.pourlapremierefoisle6

Novemb1. 741.C'efll:apremièrepiecedecetAuteurqui la retiraaprèsla (ixiemerepréfentatioaI.l ya plufieurseTîrla^iiitsfousle nomdeCléopatre, oùlemêmfeujer traité.Voye^aufriMARC-ANTOINE.

L'ANTREDELAVERNAOp.Comei.nun ActeparMM.

FuzelieretD'Orneval donnélez8 Août1718 etnonimprimé.Il n'eutmêmequ'unefeulerepréfentation.

L'ANTREDETROPHONIUSO, pé.Comei.nunAfte, pat

M.Piron, jouéen1711, etquin'eftpas.imprimé.

ANYTIS, Tr.zgd.eM..LeMiere, qui n'a pasencoreétérenduepubliqueC. 'eftunfujetd'invencion.

APHOSCom. enunAfteenvers, par BaragucrepréfentéeparlesComédiens

Fran.le 1j Septem6. 1747, avecunmédiocrefuccès..

L'APOCALYPDSESAINTJEANZEBEDËET;ra.tiréedel'Ecriture-fain^aevecunfensm. yftiquéparChoquec, impriméeenif4i.'APOLLONBERGERD'ADMETEBaILenunActe, dontlesparolesfontdeM.LeF.deP.etlamurqudeeGrenec. Il fut donnéà l'Opéradansles FRAGmENlesz, oJuillet17jf9, etn'eutpasdefuccès..

APOLLONETCLIMENEV. oye^AmosemeLnYs RIQUES.

APOLLONETDAPHNÉ, Divert.chantédevantSaMajefteà

Fontainebleaauu, moisd'Octobre1 698.Lesversenfont.deDanchet, et-lamufiquedeLully, .filscadet, etilefbcompoféd'unPrologueetd'unAfte.

L'APOLOGIDEUSIECLEo, u Momucsorrigé Coind.e

BoiflyenunAfteenverslibres, donnéep.arlesComéd.

Ical.lepremierAvril7 34, etremifele 18Septem.1737, fousletitrede Momuscorrigé, avecune fcenenouvelleetplufieursautres, tiréesde la piècedu mêmeAuteur, intituléela CRITIQUE.

L'APOLOGIEEDUTHÉATRDEU.MONDERENVERSÉ, oules Comédiaebsattuesdu tetns-préfentC. otad, eJ. C.

D. L.impriméen 1649.

L'APOTICAIRDEÉVALISÉC, omb.urlefqued, eVilliers, enunActeenvers, représentée à l'Hôtelde Bourgogne

APP [Pièces.] ARC 47en 1660. La réuflire de fon Festin DEPierre l'engagea à.donner cette féconde pièce.

L'APPARENCE TROMPEUSE, Com. d'un Acte en profe, par Guyot de Merville, jouée pour la première fois par les

Comédiens Ical. le i Mars 1744 et fort applaudie.

Les APPARENCESTROMPEUSES, ou César Ursin Com.de fAbbé Boifrobert, donnée en itfs elle est en Adesen vers, et se trouve dans le fîxieme vol. du Théâtre Fran.

I, es APPARENCES TROMPEUSES, ou les MARIS infidèles

Corn, en trois Actes en vers, par Hauteroche Jouéele 14 Janv. 1 Cy3 et imprimée dans le romc deuxieme defes (OEuvres.

I, 'APRÈS DINER DES DAMES DE LA JUIVERIE, Corn.en trois Actes en profe, imprimée en ijxz et composefur une aventure du^tems par Nonantes,

L'APRÈS SOUPER DES AUBERGES, Com. de Raymond

PoilTon , et; un Acte en vers, repréfencée à l'Hôtel ce Bourgogneen 166 f. Ce n'est qu'une converfation dénuée detoute aftion, on l'a reprife cependant de teins en tems.

Les APPRÊTS DE NOCE, Opéra-Comi. en un Adte, par

M. Guichard, repré(ènté à la Rochelle en 1757.

L'ARBITRE DES DIFFÉRENDS, Com. en Aftes en pro;avec un Prolo. intitulé ARLEQUINPrologue. Cette piècequi eftde Le Sage, fut représentée en S Actes au Théâtre

Iran. en Fév. 1701, fous le titre du POINT d'honneur.

L'Auteur j après quelques correftions la fit jouer par lés

Iral. le 10 Avril 171;, fous le titre ci-deflus; elle n'eueque deux représentations à chacun de ces Théatres. Le

Prologue n'est: pas imprime.

L'ARBRE DE CRACOVIE, Op. Comi. d'un Ac. en vaudevilles, -par M. Panard, donné le i z Mars 1741, et peuapplatHi.

L'ARBRE V£RD. Voye^ la PROMBNADHDEStrasbourg.

L'ARCADIE MODERNE, ou les Bergeries savantes;

Paflo. héroïque, en trois Actes en profe, par l'Abbé de La

Baune, imprimée in- 1 1. à Paris, chez Vincent, en 17 7s 7

Cette pièce nfa .poinc été faite pour être jouée c'est untableau littéraire qui apprend et fait connoître dans quel, état étaient alors les Sciences et les Arts en Europe.ÀRCAGAMBIS, Voyelles Comédiens esclaves.48 ARE [Pièces.] ] ARI

ARETAPH1LE, Tri. de Pierre Dû Ryer, donnéeen ifij S.

Cette tragédie n'a pas été imprimée; elle était manuscritedans la Bibliothèquede M. le Maréchal d'Eflrées. C'est lapremière pièce de DuRyer, à ce que l'on prétend.'ARETHUSE finie Opé;C'est un Sali, compoféde trois entréesetd'un Prol. Lesversfontde Danchet etla mufiq. de

Campra il fut représenté pour la première fois le 14 uil.17

Jela Nymphe de la Seine, dans les Jardins de Marly, forment leProloLafable d'Arethufe en:tirée du VeLiv.des

Màamorphofesd' Ovide. Cet Opéra n'a jamais été remis.'ARGELIE, REINEDETHESSALIX7, V».de l'Abbé Abeille;représentée à l'Hôtel de Bourgogne en 1573. Quelques

Auteursprétendent que c'est à cette piècequ'arriva l'aventureque nous avons racontée au lùjet du Corîolan dumême Auteur.'ARGENIE, Op. Comi.en trois Adtes, donné en Fév. 1719.

Il est de MM.Marigniër PanardetPontau.

ARGENIEpieee Tragi-Comique, en trois Actes, donnée àl'Opera-Comique le 13 Février 1737.

ARGENISET POLIARQUE, ouTHEOCRINET, ra.en deuxparties ou deux journées, par Du Ryer. Lapremièrepartiefut donnéeen i 6; o, etla fécondeen 1 631 Ce Cujeteft tiré>- de l'-irf/gf/iH- de J ean Barclay.

ARIANE. Cet Opéra, qui pallôicpour un chef d'oeuvre, nefut cependant pas repréfentéen France, à caufede la mortdu Cardinal Mazarin il en fut fait feulement plufîeursrépétitionsles vers allez mauvais étoient del'Ab. Perrin, et la mufïquede la compofitionde Cambert, qui le fit en*fuitejouer à Londres en 1673.

Ariane, Tra. de Thomas Corncille repréfentéefur^leThé.du Marais le 4 Mars 1671j etimprimée tome quatre defes OEuv.Cette Tra. qui est très-couchante, pairepour fonchef-d'oeuvre etce qui doit furprendre, c'est qu'il la fîten quarante jours de féjour à la campagne elle fut fort

Suivie, quoique jouée en concurrence avec le Bajazet de

Racine. Lefùjet de cette tragédie est Ariane et Thefée.Voyc{les DEUXSOEURS.•'ARIANE ET BACCHUS 3 8meOpéra. C'est une Tra. en f

Ac. dont les paroles font de S. Jean, Se lamufi. de Marais.

AU [Pièces.] ARt 49

D

EUefut reprétentée lei 8 Mars1 696 eteft impriméepartitionin-40. Le Prol. se paîlèentre Pan Terpficore, la

Nymphede la Seineetla Gloire etla décorationrepréfentoitla

Villede Paris dansun de fesplusbeaux pointsde vue.

ARIANEETTHESÉE 9i«e Opéra.Tra.en f Ac.dontlesparolesfontde LaGrange-ChanceletRoy, etla mufiquede Mouret, impriméepartitionin-40.Ellefut représentéepourla premièrefoisle 6 Avril1717 etn'a pointété reprife.

Le Prol. fepafle entre Venus, uneNympheetun

Druyde.

ARIANERAVIE, Tragi-Com. de Hardy, donnée en 1606à l'Hôtel dé Bourgogne.

ARIARATHE Tra.par Saint-Gilles repréfentéele o Octobre1699 etqui n'est pasimprimée.

ARICIDIE, oule Mariage dbTite, TrapCom.de LeVert, 'donnéeen 164.6, C'eftunepiècetrès-médiocre.

ARICIE, 44°»=Opéra. C'eftun Ball. en cinq entrées, dontlesvers font de Pic, etla mufiquede LaCode. II fut repréfencépourlaprémierefoisle 9 Juin 1697, etimprimépartitionw-40.Apollon, MarfiasetlesMufesfont le sujetdu ProloCetteAricieeft unePrince/Tedel'Ifle inconnue, quiaimeFernand, Princed'Eipagne.

ARIEETPETUS.On fait THiftoired'Ariequi Renfonçaunpoignarddansle fein pourdonnerl'exempleà fonmari, hommeconsulairequi s'étoitengagé dans le partide Camille, fousl'empirede Claude. Nousavonsdeux2'ra.furce sujet; la première, auffiintituléelesAMOURS de NERON, compoféepar Gilbert, etdonnéeà l'Hôtel deBourgognele ix Septemb.16f 9 la fecondede MUeBarbier, lepréfèntéeavecfuccèsle Juin 1701 c'eftfonpremierouvragedeThé. que quelques-unsattribuoientà l'Abbé

Pellegrin ce qui fait criercetteDUcà l'injufticedans fa

Préface, oùelletémoignefondépit, devoir qu'onvoulûtlui ravir le fruit leplusprécieuxde fontravail: en quoiqu'il (bit c'étoitlouer fa.piecequedela trouver au-delfusde la portéed'unefemme.rARIMENE Paflo. enr Ac.en versde dix fyllabes, avecun'

Prologueetdes Intermedes par Montreux représentéle i Fév.1 s 96.C'est un mauvaisouvrage, commeprêt- tousceuxde cetems-lâ.

ÂRION, 8;me Opé. Le Poëme est de Fuzelier, et la muliq: de Machau il fut donné pour la première fois le ia Avril 1714, et Ce trouve imprimé partition i/j-40. Le Prologue est entre Venus, la Victoire et un Guerrier; le sujet de la tragédie qui est en f Ac. est l'amour d'Arion pour la fille de Periandre, Roi de Corinthe. Elle n'a point reparu au Thé. le Brun avait auflî compofé une tragédie d'ARioN en f Ac. avec un Prologue, pour être mife en mufiq. ce qui n'a pas été exécuté elle est imprimée dans le recueil de fes (Euv.

ARISBE ET MARIUS, tragédie qui a paru en 17 f.

ARISTENE, Paflo. en vers de dix iy llabes, parTroterel, fieur d'Aves, imprimée en ifiitf.

ARISTOBULE tragédie représentée au Théâtre Français le 30 Nov. 1 68 On ignore l'Auteur de cette pièce', et elle n'est pas imprimée.

ARISTOCLÉE, ou le MARIAGE INFORTUNÉ, tragi-comédie de Hardy, représentée en 1 611 l'Hôtel de Bourgogne. Cette pièce est tirée de Plutarque, et se trouve dans le quatrièmevolume du Théâtre de Hardy.

ARISTODEME, tragédie de CI. Boyer, représentée en 1647.

ÀRISTOMENE Tra. de M. Marmontel représentée par les

Comédiens Fran. pour la première fois le 30 Avr. 1749interrompue à la feptieme reprefentation par l'indifpo/itiond'un Aéleur, et remife le premier Décemb. fuivant.

Cette pièce a beaucoup de beautés .de détail.'ARISTOTIME, tragédie de Le Vert, en \6 4z.

ARLEQUIN. C'est un perfonnage mafqué de la Corn. ItaZ.

Les derniers Aâeurs qui ont rempli ce râle fur l'ancien

Théâtre Ital. font Dominique et Gherardi; et fur le nouveau,

ThomaJJin et le fieur Carlin, qui le foutient encoreà prêtent avec beaucoup de fucecs, Comme le cacalogueimprimé chez Briaflbn et qui se trouve dans le premiervolume du Nouveau Théâtre Ital. contient les Comédies

Ital. qui ont pour titre Arlequin on Cecontentera derapporter toutes les pièces Françoifes connues fous cemême titre.

ARLEQUIN A LA GUINGUETTE, efpece i'Opêra-ComL], en trois Ac. par écriteaux, de l'Abbé Pellegrin joué en17 1 1 à la Foire S. Laurent, et qui n'a pas etc imprimé,

ARLEQUIN AMADIS. Voyei AMADIS DE GAULE.

ARL [Pièces.] ARL jrt

Dij

ARLEQUIN AMOUREUX PAR ENCHANTEMENT,

Corn, en Ac. en pro. avec des Div. par lleauchamps. Ellefut jouée le t6 Décembre 17U, et n'en:pas imprimée.

ARLEQUIN APPRENTIF PHILOSOPHE, Corn, en verslibreset en Ac. fuivie d'un Div. par Davefiies, donnéepar les Italiens le 1f Avril 173 3.

ARLEQUIN ARBITRE, Coni.en un Ac. en profe par unanonyme, donnée aux Italiens le J7 Juillet 1718. C'est:une mauvaife copie, ou plutôt une Paro. du Procureur, arbitre, et elle n'a pas été imprimée.

ARLEQUIN ASTROLOGUE, Com, en Ac. en profe, par

Delifle représentée pour la premièrefois le t; 3 Mai1717au Théâtre Ital. Elle n'est point imprimée.

ARLEQUIN ATYS. VoyezArvs Opéra.

ARLEQUIN AU BANQUET DES SEPT SAGES. Voyt^

BANQUETDESSEPTSAGES.

ARLEQUIN AU PARNASSE, Paro: de ZaïRE, en un Ac.en pro. mêlée de vers, avec un Div. donnée au Thé. Irai, le 4 Décembre 1731 par l'Abbé Nadal.

ARLEQUIN AU SABAT, efpece d'Opéra-Comique en trois

Aftes par Romagnefi donné à la Foire en Fév, 171 j etqui n'est pas imprime, Voye^ les Thessaliennes.

ARLEQUIN AU SERAIL, Com. en un Ac. en pro. avec un

Div. donnée au Théâtre Ital. le z$ Mai 1747, par M. de

Saint-Foix.

ARLEQUIN AUX CHAMPS ÉLISÉES, Corn. représentéefur l'ancien Théâtre Italien.

On donna auflî à la Foire, le 2 S Juillet 3 7 10, une pièce entrois Ac. avec écriteaux, intitulée Arlequin aux champs

Elifèes elle était très-médiocre.

ARLEQUIN BALOURD, Corn. en cinq Ac. en pro. compoféepar Procope Couteaux, Cttrun ancien ca'nnevas ital.reprélentéeet imprimée in-n. à Londres en 17 19. Onpeut voir dans l'avertiflement qui se trouve à la tête decette pièce, ce qui donna lieu à fa compofîtion.

ARLEQUIN BARBET, PAGODE ET MEDECIN, pièceen deux Actes en monologues, avec un Prologue, de Le

Sage et D'Orneval donnce à la Foire par la Troupe de

Reftier, au mois de Fév. 1713 et non imprimée.

ARLEQUIN BARON. ALLEMANDyca.le TRIOMPHE dbtL ARL LA [Pieczs.] ARL FotiB efpeced'Oi. Comi.en-troisAc.en vaudevillepar écriceauz, donnéele 1z Fév.1711 aujeu de la Dame

Baron, à la Foire, précédéed'un Prol. intitulé le Retourd'Arlequin 4laFoire.On attribue cette pieceà Le Sage, FuzelieretD'Orneval.'ARLEQUINBELLEROPHON.Voye^Bellbrophon, Opé.

ARLEQUINCAMARADEDUDIABLE, Com.entroisAc.en profe, avecun Div.parde Saint-Jory repréfentéepour4a premièrefois fur le ThéâtreItal. le Mars 1721.

ARLEQUINCHEVALIERDUSOLEIL, Corn.en troisAc.avecdesfcenesital. parFatouville, jouée le 26Tiv. 168j»

ARLEQUINCOLOMBINE.Voye{ColombineARLEQUIN.

ARLEQUIN COMÉDIEN AUX CHAMPS ÉLISÉES,

Com.en 3 Ac.de profe, avecune lettre de Cardan, im-.priméeen 1691 Cettepièceen:de Bordelon.

ARLEQUINCOURIER, pièce en un Ac. en vaudevilles;représentéeauxMarionettesde le Vaflèur à la FoireSaint

Germain1749.'ARLEQUINDEFENSEURD'HOMERE, Op.Comi.d'un

Ac.mêlé de pro. et de vaudevilles, par Fuzelier, reprcfentéàla FoireS. Laurentle :!orJuillet 171/.

ARLEQUIN DÉFENSEURDUBEAUSEXE, Com.en

Ac.en pro. dufieurde Barante jouée pour la premièrefois le z8 Mai 1^94 furl'ancienThéatre Italien.

ARLEQUINDRAGONDE MOSCOVIE, piecedel'ancienThé.

Irai. jouéefurle nouveau, fous le titred'ARLEQU1NPERSÉCUPTAÉRLEBASILIC.

ARLEQUIN ECOLIERIGNORANT etScaramouchk

Pédant SCRUPULEUCoXm, .en trois Actes, donnéeà la

Foireen 1707, etnonimprimée.

ARLEQUINEMPEREURDANSLALUNE, Com.entrois

Ac. en pro. avec.des(cènesital. par Fatouville donnéele J Mars1684.Cette piecefit un grandfracas:tout Parisy courut, età chaquerepréfentacion, la Sallede l'Hôtelde Bourgognefetrouvatrop petite IfabelleetColom>bine Actricesnouvellementreçues, y jouèrentdesCcenestoutesfrançoifès.Elle'a été remife au nouveauThé. hal:le Mars 17 19 etdepuis reprife avec des changemensfaits par M.Favart, le 44.Fév.17yi mais fansfùcccs.

MM.RemyetChaillot mirent en ijit ceccepieceen cogARL[Pièces.] XRL' jï

D.iijplets y ajouterentplusieursCcénes, y firent leschangemensconvenablesau

Thé.de la Foire, etla firentreprésenteraujeud'Oftave, à la FoireS. Germain, oùelleeutbeaucoupde succès.Elle n'a pointété imprimée danscetétat.'ARLEQUINEN DEUILDELUI-MÊME, Com.en un Ac.en profe, par deSaint-Jory jouéele 10 Mars17*1.'ARLEQUINENDIMION, Opéra-Cornuen un Ac.avecun

Prologuede LeSage, Fuzelieret D'Orneval représentéen 1711 à la Foire Saint Germain, par la Troupe de

Francifque.

ARLEQUINESOPE.Voyn Esope par le Noble.

ARLEQUINET MEZZETIN MORTS PAR AMOUR

Com.enun Afte par un anonyme, donnéeà la Foirele19Septemb.1711 etqui n'a pasété imprimée.

ARLEQUINETPANTALONCOCUSSANSFEMMES,

Opera-Comei.n trois Actes donné en 1711, et qui n'*pasétt imprimé.'ARLEQUINET PIERROTFAVORISDESDIEUX pièceen un Ac. par Dupuy, donnéeà la Foire S. Laurent en17*1 ellen'elt point imptim.etnefut jouéeque 1 fois'.'ARLEQUINFILLEMALGRÉLUI, pièce en 3 Actesenvaudevillesavecun Prol. par un anonyme, donnéeà la

Foire, au jeu du fieur Saint-Edme, le 22 Juillet 1713.

Ellen'a pointété imprimée.'ARLEQUINGENTILHOMMEM'ALGRÉLUI, Op. Çom.en Aft. repréfentéà la Foirelé Fév. 1719. Il est de

M. D'Orneval, etn'a pasétéimprimé. C'est:àpeuprèslamême idée que ïodélet Maître et Valet.' L'Auteurayant fait quelques changemensau troifiemeAc.de cqt

Opéra-Comique, le donnafeulen 172a fousle titre des

ARRÊTS DE^'Amcwjr.

ARLEQUIN GENTILHOMME PAR HAZARD, Corn, en3 Ac. en vers, par Dominique donnée à Lyon en 1711, et à la Foire en 17 it et qui est imprimée.'ARLEQUIN GOURÉ, Com. en un Afte en profe, par M..

Far in de Hautemer, donnée aux-Danfeurs de Corde, à la

Foire, en 17 fo.

ARLEQUIN GRAND MOGOLyCom. en.} Aa en pro. avécdes Divertiflemens, par Delifle, donnée aux Italiens le 14,

Janv 17 54. Elle n'eu pas imprimée.. D.iij/4 ARL [Pièces.] ARL

ARLEQUIN GRAND-VISIR Com.en Ac. par Fuzelier, donnée à ta FoireS. Germain en 1713 et non imprimée.

Elle fut jouée par la Troupe du fieur Saint-Edme.

ARLEQUIN GRAPIGNAN. Voyei la MATRONEd'Ephese.

ARLEQUIN HOMME A BONNEFORTUNE, Comédiede

Regnard, en 3 Ac.enpro. reprétèlitéele

Cette pièce fut faite pour l'oppofer à celle de I'Homme Abonne FORTUNEd, e Baron. Regnard fit la critique de fapièce en une petite Comédie d'un Acte, qui fut jouée aumois de Mars 1690.

ARLEQUIN HULLA, Corn, en un Ac. en pro. de DominiqueetRomagnefi, jouée à leur Théâtre le premier Mars1718 , et qu'on a redonnée fouvent.

ARLEQUIN HULLA, ou la Femmerépudiée Op. Corn.d'un Aile en vaudevilles, mclé de profe, par Le Sage et

D'Orneval', donné à la Foire de S. Laurent le 14 Juillet17l 6 avec un grand succès.

ARLEQUIN JASON ou la TOISOND'ORCOMIQUECom.en 3 Ac.en pro. eten vers avec des fcenes italien. de Fatouville, donnée pour la première fois le 9Septemb. 1684.

ARLEQUIN INVISIBLE, Op. Comiq.par Le Sage, en un

Ac. tout en vaudevilles, donné à la Foire au mois de Juil.171} C'est une de ces piècespantomimes dont les fpeâateurschantoient eux-mêmes les couplets qui étoient écritsfur des cartons. v

ARLEQUIN JOUET DE LA FORTUNE, Op. Comi.en 4

Ac. en vaudevilles, par Du Vivier de Saint-Bon, donnéàla Foire au jeu d'Odtave le Février 171 3. Il n'a pointété imprimé. On l'a annoncé aufli fousle titre d'ARLEQUINFAVORI

DELAFORTUNE.

ARLEQUIN LINGERE DU PALAIS, Com. de Fatouville, en 3 Ac. en pro.avec des fcenes italiennes, jouée pour la• première fois le 4 Octobre 16 8 1..

ARLEQUIN MAHOMET Opéra-Comi. d'un Acte en vaudevilles, -par Le Sage, représenté à la Foire S. Laurent le•ij Juillet 1714, avec le TOMBEAUDE NOSTRADAMUS, etla FOIRE DE Guibrav. Ces pièces eurent beaucoup desuccès..ARLEQUIN MERCURE GALANT. Voye^ le MERCURE

ARL [Pièces.] ARL s

Riiij.

ARLEQUINMISANTKOPE, Corn, de fcenesépifodiques, par Brugicrede Barante, jouéeà l'ancienThéâtreIrai, lezi Dccemb.1696, compoféed'un Prol. etde Ac. enprofe, avecdesagrémens de chant etde danic. Quoiquecette piècetoitallezbonne, ellen'eut pasgrand succès.

ARLEQUINORPHÉELECADET Opé.Comi.deLeSage, en Ac.en écriteaux, donné à la Foire S. Germainen1718 etnon imprimé.

ARLEQUINPERSÉE.Voyet^ Perséb Opéra.

ARLEQUINPHAÉTON. Voy^Phaéton Opéra.

ARLEQUINPLUTON, Coin.en 3 Ac.en pro. avecquelquesScènesitaliennes, parM.Gueulette jouéele 19Janv.1719.Ellen'est pasimprimée.LefilsaînédeThomaflin", âgé decinqans, y parutfousl'habit d'Arlequin.L'Auteura depuismiscettepiecetout en françois.ÂRLEQUIN POLI PAR L'AMOUR Com.en un Ac.enprofe, parM. deMarivaux donnéepour la première, foisle 17Oftobre 1710, etrevuefouventavécplaifir.

ARLEQUINPRINCE ET PAYSAN, pièceen Ac. touteenvaudevilles, par un anonyme, donnéeà la FoireS. G..anjeu'dudeurS. Edme en 1713. Ellen'est:pasimprimée.

ARLEQUINPROLOGUE.Voye^l'Arbitre DESDIFFÉ-

RENDS.'ARLEQUIN PROTHÉE, Com. en trois Ac. en pro. avec des.fcenes italiennes, par Fatouville jouée le i 1 Oft. I68jfur l'ancien Thé. Ital. etfur le nouveau le f Janvier 1719.,

Elle renferme une parodie de la Bérénice de Racine, -etc'est une des premieres Parodies qui ayent paru.

ARLEQUIN RAMPONEAU. Voyt^ la MARIÉE DE LA

COURTILLE.

ARLEQUIN REVISEUR ET MÉDIATEUR, owI'Edrqpe

PACIFIÉEPOUR.NEROMPREJAMAIS, Com. ou.plutôt difcours.politique etcritique, en deux Actes en profe, par un anonyme, imprime fous le titre de Londres en 1749 et relatifà la paix qui venoit de se faire alors.'ARLEQUIN RIVAL DE BACCHUS, Com. ou Op. Comi. en

Ac. donné à la Foire, par la Troupe de Lalaufè, le

Ft"v. 1711 I1 est de I' Ab.Pellegrin et n'a pas été imprimé.'ARLEQUIN RIVAL DU DOCTEUR, pièce en, deux Aftes.avec un Prologue, par un anonyme, donnée. au Jeu du;

ARL [Pièces.] AR£rieur Saint-Edme, à là Foire S. Laurent 1711. Hllen'estpoint imprimée c'écoit une des piecespar écriteaux.

ARLEQUIN ROLAND. VoyerRoland Opéra.

ARLEQUIN ROMULUS. VoyerRoMULUS.

ARLEQUIN ROI DESERENDIB Opéra-Com.en 3 Ac.envaudevilles, par Le Sage, représenté à la Foire de S. Germain1713. C'est une de ces pièces dont les coupletsétoient écrits fur des écriteaux, et que les Spectateurschantoient eux-mêmes, pendant que dura la défenfefaiteaux Adeurs Forains de parler.

ARLEQUIN ROI DES OGRES. Voye{les Bottes DESEPT

LIEUES.'ARLEQUIN SAUVAGE, Com. en 3 Ac. en pro. par Delifle, jouée pour la première fjis le 17 Juin 17x1 au Théâtre

Ital. et remife le 18 Juin 171 j augmentée de deux fcenes.

C'ëft le contrafte de nos moeurs oppofees à celles des

Sauvages. Cette pièce a été Couvent donnée au Public 8tc'est la première de cet Auteur.

ARLEQUIN SOLDAT AU CAMP DE PORCHÉ-FONTAINE,

Com. en un Ac. en profe avec un Div. par Dominiquedonnée aux Irai, le 18 Oftobre 173.1. Voyer le

CAMPnE Porche'-Fontainè'ARLEQUIN SULTANE FAVORITE Op. Comi. de M.Le

Tellier, en 3 Ac. en vaudevilles préfenté à la Foire de

S. Germain le Fév. 171 9. L'Auteur en retrancha depuisquelques couplets des plus libres, et certains endroits unpeu trop longs, et c'est de cette manière qu'elle est impriméedans le tome premier du Thédtre dé la Foire.'ARLEQUIN TANCREDE. Voye^ Tancrede Opéra.

ARLEQUIN THÉSÉE.

ARLEQUIN THETIS, Paro, en un Ac. en vaudevilles, par

Le Sage, représentée à l'Opéra-Comi. de la Foire S. Laurenten 171 3.C'est une des pièces dont les couplets étoientécrits fur des cartons.'ARLEQUIN TOUJOURS ARLEQUIN, Com. en un Acteen profe, par Dominique, Romagnefi et Lelio fils, donnéepour la première fois le 10 Août 17x6. Elle n'est pasimprimée. C'est à peu près le même (Ujet que les Incommodités

DE LAGRANDEUR.

ARLEQUIN TRAITANT Opé. Comi. en Ac. en pro. et

ARL [PrECES.] ARM S7en vaudevillespar D'Orncval repréfentcà laFoireSaine

Laurentau mois de Mars'1616, etcompoféà l'occafionde la déroute des Traltans caufée par la Chambrede

Jufticequifut établiedansce tems-là.

ARLEQUINVALETDEMERLIN, Op.Corni.deLeSage;en un Acte, donné en 1718 à laFoire S. Germain, etnon imprimé c'etoitunedespiecespar écriteaux etelleétait précédéed'un Prelog.intitulé les FILLEShnkdy^bs.'ARLEQUINVENDANGEUR, Com.en Ac. en profe, donnéefurl'ancienThé. Ical. en Décemb.\6 81.

ARLETTE Pafto. ou Fableboccagere en cinqAc.en vers, ;donnéeparBafire en iéiy.'ARMETZAR/oulesAmisennemis Tragi-Comp.arChapufeau.

On ignorele temsprécisoùparutcette pièce.Il y ena uneéditionin-z6. faiteàLeydeen 16j8.'ARMIDE et Renaud, Chevalierdu Camp de Godefroide Bouillon, rçmeOpéra. C'est:une Trag.dont les vers^nt de Quinault, etla mufîq.de Lully ellefut repréfentéepourlapremierefoisle I Fév\r686, imprimée, , puisgravée en mufiduepartitionin-fol. La Gloireic la

Sagelfefont le Prologue.Lesmachinesetdécorationsturentordonnéespar Berain.CetOpéraaecéreprishuit fois, eni688, 1703, i7i3, 17i4, 1714, 1746, 1747et176I, etfouventavecle plusgrand succès, fur-toutla dernierec'est un des pluseftimes de ceuxde Lully etle dernierfoni de laplumedeQuinault.

On a trois Paio. de cette tragédie fous le même titre lapremière par M. Bailly, enun Ac.en vaudevilles, avecun, Divertiuement, jouéeau Thé. Ital. le i^-Janv. 171^.

La fécondeen cinqpetitsAc.auflî envaudeÇflles impriméeen17+7;La rroiflemeen 4 Ac.donnéele Il1 Janv.1761. Pbye{encore la ComédieSANSComédie.

ARMINIUS, Tm.de Campiftron repréfentéeavec fucecsau Théâtre'Fran.le 19 Fév. 1684, etimprimée dans letome premierde fes OEuvres:Cet Armïnïus étoir ChefdesHerufques, peuplede la baflèAllemagne.

ARMINIUS, ou les FREREESNNEMITS, ra. repréfentéeen1 64t. C'eftle dernierOuvragedeThéâtredeScudery.La

Préfacedecette pièce est unchef-d'ocuvrede fanfaronadespoétiques5l'Auteuyrfait la récapitulationdeCespoë-.

ARM [Pièces.] ARTmes dramatiques, et nous aaiue que tous curent un succèsextraordinaire, à l'exception de fàDinoN et de fort

Amant libéral, u: les accLmaiions dit-il, furent vupeu plus, fiol 's toutefois, ajoute-t-il, Vimprcjfionlitaprès ce quej .f< 1rfrcrêdit Théâtre.Au refte cette Trlf.d'ARMiNins, parmi des traits réjouillàns, en a quelquesautres d'une beauté remarquable.

L'ARMOIRE, on Ia Pièce Adeux Acteurs, Oper.t-Cotal.en un Acte par M. Panard, donné le 6 Fév. 17}8 etquin's pas été imprime. Cette pièce qui était précédée d'un

Prologue intitulé la Déroute des Acteurs, n'était récilementjouée que par deux Acteurs, quoiqu'il y eût fit perfonnagesà reprélenter trois hommes ettrois femmes.les ARRESTSDE L'AMOUR Op. Comi.d'un Ac.prefquetout en vaudevilles par D'Orneval, représenté à la Foire

S. Germainle 17 Juillet 171^. Voyer ARLEQUINGsrltilhomme

MALGRÉLUI.ÀRSACE , ;Rôi des Parthes', Tra. par De Prades, donnée en1666 Car le Thcairedu Palais Royal c'est la derniere et lameilleure pièce de cet Auteur, quoiqu'elle foie médiocre.

Les du indiquent une feconde d'ARsacpar Nie. Le Digne imprimée en 1 r84«

ARSACOME ou 1| AmitiéDESScithes, Tragi-Corn.deHar*dy, donnée à l'Hôtel de Bourgogne vers 1 609 et impriméeen i6i f dans le tome fecond de fes OEuvres.

ARSINOÉ, Tra. de Pafc.Robin, jouée au Collège d'Anjou, à -Angers en i.J7* et non imprimée.

ARTAXARE tragédie par La Serre, donnée au Théâtre Fran.le 3 Mai 1718, et qui n'eut que fept représentations. Cettepièce ne fut imprimée qu'en 1734 et le cinquième Ac.enest prefque pareil à celui d' Adélaïde. On l'attribue auffil'Abbé Pellegrin.

ARTAXHRCE.Ce Roi des Perfes a fourni le sujet de trois

tragédie La première de Magnon, jouée et imprimée eni<î4f. La fécondede 'l'Abbé Boyer, représentée au moisde Novem. i62î}Sc qui mérite d'ëtre lue ainfi que fipréface, à caufe des traits finguliers qui's'y trouvent; ellea été impritnée avec fa critique. Latroifieme eit de Defchamps5.ellefut lue à 'l'alïemblce des Comédiens Fran.au mois d'Oft. 1710 etreçue avec applaudillement pour

ART/ [Pièces.] ASP fyêtre reprcfenrce; mais elle ne le fut qu'une feule fois, le 1 décembre 173y.

L'ART DE RÉGNER, ou le SAGEGOUVERNEUTRr, agi-Corn.en cinq Ac. fur cinq fujets différais donnée en 164; par

Gillet. Le premier Afle est intitulé, MinerveetVitalele fecond, Camilleet Lucippe;.le troisième, la. Mort de

Pompée; le quatrième, Alexandre et Statira; le cinquieme,

Perfèc Roi de Macedoine.

ARTEMIRE Tra. de M. de Voltaire, représentée le i j- Fcv.1710. Comme cette -pièce n'eut pas de succès, l'Auteurn'a pas jugé à propos de la faire imprimer cependant Dominiqueen fit une Para, fousle même nom, et en un Ac.en vers, qui fut joute au Théâtre Ital. le 10 Mars de lamême année. On prétend retrouver des traces d'ARrsmiREdansla MARIAMNE du même Auteur.

L'ART ET LA NATURE, Bail, en un A

L'ARTet LAnature Com.de M. Chollet, en un Ac. en verslibres, donnée pour la première fois au Théâtre Ital. le'

Mai 1758, etapplaudie.

Les ARTS, Baller de Benferade, danfc en 1663

ARUERIS, Ac. de Ball. dont les paroles font deCahufac, etla mufiq. de M. Rameau il fut repréfente pour la Courà Fontainebleaule r Novembre 17 3.

ASBA, Tra. de l'Abbé de Brueys, non encore jouée, quoiqueprcfèntéeaux Comédiens dès le mois de Juil. 1721.

Elle est:imprimée dans le tome premier de les OEuvres. Le

Cujeten est d'invention.'ASPAR Tra. par Fontenelle, représentée trois fois en 168o.

Elle n'est pas imprimée, et on prétend rqême qu'il enbrûla le manufcrir. On dit aulïï que Racine fit cette jolie

Epigramme au sujet de cette pièce.

Ces jours pafles chez un vieil Hiflrion

Un Chroniqueur émut la quefiion

Quand dans Paris commença la méthode

De ces fifRets qui font tant 3 la mode.

Ce fur, dit l'un, aux Pièces de Boycr;

Gens pour Pradon voulurent parier.io ASP [Pièces.] \AST

Non dit 1* Aâeuc je fais toute l'Hiftuitc

Que par degrés le vais vous débrouillet:

Boyer apprit au Parterre à Bàiller;

Quanr à Praion li j'ai bonne mémoire,

Pommes fur lui volcrent largement.

Mais quand llfflcis prirent commencement;

C'ea, (i'y jouois j'en fuis témoin fidelle )

C'est à X'sifpar du rieur de FintcnelU.ÀSPASIE Corn, en c Ac. en vers par Defmarets il la compoCaà la follicitation du Cardinal de Richelieu, et elle fut:xepré/èntce à l'Hôtel de Bourgogne, avec magnificenceen préfence du Duc de Parme, en 1 63 6. C'est. la premièrepièce de cet Auteur elle se trouve dans le feptieme vol.du Théâtre François.

L'ASSEMBLÉE DES ACTEURS, Prolog. donné à l'Opéra-

Comi. le xi Mars 1737 par MM. Panard et Carolet iln est- pasimprimé.

L'ASSEMBLÉE DES COMÉDIENS, petite Com. de Procoppe, donné en façon de Prologue avant pluGeurs piècesau Théâtre Français le z7 Septemb. 1714, et qui eut douze reprefencations.

Il y a auflî un Op. Comi. en un Ac. fous cetitre, qui fut donné le d'Oft. 1714. Il est de Fuzelier, etn'a pas été imp. non plus que la pièce de Procoppe.

L'ASSEMBLÉE DES POISSARDES ou Polichinelle .MAÎrRH 1)'HÔTEL petite pièce en un Acte, de M. Carolet, reprefentée par les Marionettes, à la Foire S. Germain en 1737. Elle n'est: pas imprimée.

ASTARBÉ, tragadie par M. Colardo donnée pour la première fois au Théâtre Français le 17 Fév. 17 y 8 et airez bien reçue. C'est la première pièce de cet auteur et la versification en est excellente.

ASTIAGES, tragédie donnée par Mainfray en 1618.

ASTIANAX Tra. par un anonyme, représentée devant le Roi le 7 Janv. itf ;? et qu'on ne croit pas imprimée. On trouve une autre tragédie d'ASTiANAX, annoncée dans les Recherches des Théâtres fous l'année 1 696 et imprimée in-4°. Ce pourrait bien être la même pièce.

ASTIANAX, tragédie par M. de Chateaubrun, donnée au Théâtre Français le Jany. 17/$. L'Auteur retira cette pièce après la

AST [Pièces.] AST 6xpremierereprésentationpour y fairedescliangemens, furtoutdans les deux derniersActes, qui avoientparu lesplusfoibles.Ellen'a cependantpasencorereparu, etn'estmême pasimprimée.

ASTRATE Roi de Tyr Tra. de Quinault elle fut repréfentéeàl'Hôtel de Bourgogneau commencementde l'année1 66} ou aumois de Décemb.1664, felon d'autres

Auteurs eteut un fuccèsextraordinaire, ayant étéjouéetroismois de fuiteau double. M. Salo, dansfonJournaldesSavans, du 13Mars 1 66 fait un grand élogedececteTrag.au contraire, Defpreattilui donnauneterribleatteinte par cette ironie, dansfatroifiemeSatyre

Avez-vovuusVs4Jltatc?

C'est-làcequ'onappelleunOuvrageachevé, .

Sur-toul'tAnueaRuoyaml efcmbfbcientrouvé

Sonfujeteftconduitd'unebellemanière

EtchaqueA£teenfa PièceeftunePieceentière.

Malgrécettecritique, il y a trente-cinqansquecetteTra;faifoitencoreun beleffetau Théâtre, et qu'on auroit ététentéde prendrelesversde Boileaudansun fensnaturel, en étantl'ironique..ElleCetrouve dans le troiliemevol, desOEuvresde Quinault.

ASTRÉE, 17'ne uneTra. enS lesparolesfontde LaFontaine, et la mufïq.de Colaflè.Ellefut reprcfèntéepourlapremierefoisle 18Nov. 169r n'eftpas.impriméeen mufiq.et n'a jamaisétéreprife; CePoëmelyriquea fait dire queLaFontainefaifoitmieuxdesFablesquedesOpéra, et qu'on ne réuffiflbitjamais, quandonforçoitfongénie.Apollon la Nymphe de la Seine Zéphyreet

Flore, fontlesperfonnagesduPrologue.La pièceexpofelesamoursd'Afiréeet de Céladon, traverses par des rivalités la fceneelt fur le borddu Lignon.

L'ASTREFAVORABLE, Corn, en un Acte en verslibre?faite à l'occafionde la naiffancede M. le Duc de Br:;rgogne, par Fagan, etquin'a pointétérepréfentée.Or 1%trouvedansle fecondvol.de lesOEuvres.

L'ASTROLOGUEDE VILLAGE Paro. du premier AétedesCaractères DELAFolie entréeajoutéeà l'AMBIGU

Comique, OpA-^Co/nijac, le r Oftobre1745.EUeeft de

M.Favart, etn'a point été imprimée.6x ATA [Pièces.] ATR

ATALANTE, Tra. de l'Abbé Boyer donnéeà l'Hôtel de

Bourgognele z Mai 1671 etquin'est pasimprimée.

ATHALIE, Tra. de Racine.Cefuje:est tiré du4eLivredes

Rois. La pièce fut faite pour les Demoifèllesde Saint-

Cyr, lefquellesen donnèrent diverfesreprésentationsen1691 en préfencedu feu Roi avectous les ornemensSeles choeurs, qui furent mis en mufiquepar Moreau, quiavait pareillementfait ceux d'EsTHER.Elle fuc depuisjouée à Verfaillesen 1701 Madamede Bourgogney repréfêntalerole de Jêçabcl, etc. CetteTra, quequolquesunsprétendentêtrele chef-d'oeuvrede l'Auteur, n'a a parufur le ThéâtreFran.quele 3 Mars1716. LesComédiensen ontretranchétout le chantetla plusgrandiepartiedeschoeurs le refteayant étémisen action.

En i7f<> les Demoifelles de Saint Cyr repréfenterentcette pièce, aveclesIntermèdes, dont la mufiquefut refaiteà neuf, parClerambault Organiftede cettemaifon.

Elle fètrouvedansle fécondvol. desQEiivd.e Racine.

ATHAMASFOUDROYÉ, Interm.en Ac. en vers. C'estune desfix piecescontenuesdansi'ancienRecueildu Théâtre Français impriméen i6zj. On croitqu'elle fut repréfemécen 1 6x3à l'Hôtel de Bourgogne, eton n'enconnaîtpasl'Auteur.

ATHAMANT, Tra. deJacquesde LaTaille, en 1y 3.

ATHÉNAÏS Tragi-Comd;eJ. Mairet, repré(èntceen163^*etimpriméeen 1641.CetteAthènaïsétaitfilledu PhilofopheLéontius, laquelleétant devenueépoufede l'Empereur

Théodofele Jeune prit le nom â'Eudoxe.

De LaGrange-Chancela auflîdonné au Publicune Tragéd.d* Athènaïs qui fut repréfentéepourla premierefois le3.3Novemb. 1699 et dont le fujateft.tiré en partie du

Romande Pharamondde La Calprenede ellea été «yprifeavecfucecsen luil. 17j<» etfe trouvedansle pre-- mier vol. de fesOuvres.

ATLETTE PaJlourelUen Ac, en vers, par Montreux, donnée en15-8 j-,

ATRÉE ET THIESTE, Jragidk, par Crebillon, représentéepourla premierefois le 14 Mars 1707. Cecrueliûjet, traité parSeneque, n'a pasétéadouciparM.deCrébillon)fapieceeut cependantbeaucoupde succès, eta été

ATR. [Tizces.] ATY 6jreprit plulieurs fois. On en donna uneParu. fouslemêmetitre en 1709, à la Foire S. Laurent, l'Auteur en gardal'anonyme 8: elle ne fut pas imprimée, .

A TROMPEUR TROMPEUSES ET DEMIES, Com, en

Ac. en vers libres, par M. Portelance, reprefentee et impriméeà Manheim. C'est une imitation médiocre d'unepiecede Shakefpear, intitulée les Femmesdebonnehumeur, et traduite dans le quatrieme vol. du Théâtre Anglais.

ATTENDEZ -MOI SOUS L'ORME. Nos deux Thé. ontchacun une petite Corn, en profe fous ce titre elles y furentrepréfentées vers la fin du fiecle palle. Le Théâtre

Fran. joue celle de Regnard, depuis le 19 Mai 1694, etl'Italien cette de Dufreny, depuis le 30 Janvier 169f.

Une Perfonue connue m'a allure avoir oui-dire fouvent à

Dufreny, que ces deux pièces étaient de lui, et qu'rayantbefbin d'argent, il vendit à Regnard YAttendez-moifousl'Orn:e des François , -pour 3oo liv.

ATT'ILA, Tra. de Pierre Çorncille, représentée fur le Thé.du Palais Royal, vers le mois de Mars 1667, et'imprîméedans le tome cinquieme de CesOEuv. Si cette Tra. du

Roi des Huns, appelle le fléaude Dieu, le relient du déciinde fon Auteur, on peut cependant dire qu'elle a encoredes marques d'une bellevieillellé, et Dcfpreauxfemblereprocher au Public fon ingratitude larcqu'il luiadiré/leces vers dans fa neuvième Satyre

Et fi le Roi des Huns ne lui charme l'orcine,

Traice de Vifîgocs tous les vers de Corneille.

Ce même Defpreau:c cependant dans un autre endroit dit

J'ai vu Vutgifdes, lilas!

Dfais aprezVsJtiita,

Holx.

ATTILIE, Tra. Chrétienne imprimée en Décembre 17 foelle eut de M. Le Gouvé 'et c'elt fôncoup d'cirai. Quelquesjours après que cette pierefut imprimée, le Parterre demandaplufîeurs fois qu'elle fût reprefentee.

ATYS, Pdcme-Paftoral en 4 chants par Segrais imprimé«4 ATY [Pièces.] AVA

Atys 8ra= Opéra C'ek une Tra. en s Ac. dont les i'ont paroles de Quinaulc, et la mufiq. de Lully: elle fut repré- fêntée pour la première fois le 10 Janv. 1 676 imprimée, puis gravée partition in-fol. Le Tems, les Heures, Flore,

Melpomene, un Zephyr, etc. forment le Prologue. Lebeau Berger Atys est célebre dans la Fable par l'amour de

Cybele. Pour la compofition des Ball. de cet Opé. Dolivet, grand Pantomime, Cejoignit à Beauchamps, avec lequel il avait déja compofé les Bail, de Thesee j et dans l'exécutionl'Etang le cadet parut pour la première fois. On a ditqu'Arrs était l'Opéra du Roi, ARMIDBl'Opéra des Dames,

Phaéton l'Opéra du peuple, et Isis l'Opéra des

Cet Opéra d'Atys a été repris neuf fois ( en 1678, i«8î, 1689, 1699, 1708, 1709, 1725-, 1738 et 1740}, et pa- rodié fept. Premièrement par Ponteau en une petite piècejouée au Thé. Ital. fous le nom d'ARLEQUIN Atvs le az

Janv. 1716 :.en fécond lieu par le fieur Sticotti, fous letitre-de Çybele AMOUREUSE, en Janv. 1738; troîfiemementpar les fieurs Romagnefi et Riccoboni, en Fév. dela même année, leur pièce n'est pas imprimée. La Foires'est mfilée aufli de la Parodie, dans quatre pièces, deuxfous le même titre d'ATYs l'une en trois Mes de Dominique, donnée en 1710; l'autre en un Acte, de Fuzelier, en Fcv. 17x6 la troisième intitulée !a GRANDEMEre

AMOUREUSjE par Fuzelier et D'Orneval; 5laquatrième en trois Aftes par Carolet, fous le titre de Polichinelle

Atys, donnée par les Marionettes de Bienfait à la Foire

S. Germain 1736, et non imprimée.

Les AVANTURES COMIQUES D'ARLEQUIN ou le

TRIOMPHE de BAccHus ET Dj VENUF, pièce en trois Ac.par écriteaux, par Raguenet donnée à la Foire, au Jeu de

Dolet etLa Place, le F'év. 1711.

Les AVANTURES DE CYTHERE Com. en quatre Adtesen vaudevüles, par Charpentier, représentée auleud'Oclaverala Foire S. Laurent 171 r. Cette pièce n'a pas étéimprimée, c'était un ailèmbjage de fcenes découfues etépifodiques, dans le goût des anciennes Coméd. Italien.

Les AVANTURES DE LA FOIRE S. LAURENT, pièce enun Acte, par un anonyme, représentée au Théarre des

Marionettes,

AVA Ï?««*.J 'AVA 6f

E

Marionettes le 13 Juin 17}*, et qui n'a pas été imprimée.

Les AVANTURES DE LA RUE QUINQUEMPOIX Corn;en un Ac. en pro. avec des Div. par Carolet, une feule fois au représentée Thé. Irai, le il Nov. 1719. Non imprimée.

Les AVANTURES DE NUIT, Com. en 5 Ac. en vers, par

Chevalier, donnée en 1 666. Cette pièce n'en: pas dans le

Recueil de celles de cet Auteur, imprimé in-iz.les AVANTURES DE PANURGE, Com. en cinq Acles envers, par Montauban, repréfentce fur le Théâtre de GuéLtesnCA?V, fiA'rNIeTr?UR3ESAoûDt El674 et qui n'a pas été imprimée. POLIANDRE, Tragi-Com. par unanonyme. On ne nous apprend rien de plus au ftiet decette pièce, qu'on, fans doute confondue avec la fuiv. Les AVANTURES DE POLICANDRE ET DE BAZOLIE, Tra. de Vieugef, en1 is 3 z.lesAVANTURES DE ROSILEON, Pajto. en cinq Ac. envers, par Pichou, donnée en rtfij. Cette pièce est tirée de YAftrie. On n'èft pas certain qu'elle foit imprimée. Les AVANTURES DES CHAMPS ELIZÉES Com. en'3'

Ac. en pro. avec des vers et de la mufî. parL.C.D.Vreprésentée fur l'ancien Thé. Ical. le 18 Nov. 1*9, Les AVANTURES.DE TIRCIS, Com, par un anonyme imprimée en 16 j6,

L'AVANTURIER Corn, en cinq Ac. par un anonyme. Elle eil fort chargée d'intrigues, et fut représentée au Théâtre Fran. en Oftob. 169 1.

On cite une autre Com. fous le même titre et en cinq Ac. enpro. par de Vite, donnée une feule fois au Théâtre Fran. le Janvier 1696, et qui n'en: pas imprimée. Ne feroicpasla même chose ?fi^R^-CT" de Moliere, en f Ac. en pro. représentée fur le Thé. du Palais Royal le 9 Septemb. 16 68 et impri- mée dans le quatrième vol. de fes OEuvres. Mite excellente pièce avoir été donnée au Public en 1667 mais le même préjugé qui fit tomber le Festin de FIER-!tE, parce qu'il émit en profe, avait fait tomber I'Avare.

Mouere en homme qui connoît le monde, donna le tems au Public de revenir, et ne rejoua I'Avare qu'en46

AVA [Pièces.] AVBvironnn an après?etfélon funattente, on fut voir"alorsavecempreflêmentceque l'on avoitméprifépeuauparavant;parce que la réflexion fit comprendrealors qu'ilpeut y avoirde fort bonnesComédiesen profe.Il y a dans, Î'Àvarb quelquesidéesprifesde Plante maisinfinimentembelliesparMoliere;auflïfapiecea-t-elleété traduiteen.plufieurslangues, et jouée fur plusd'un Théâtre d'Italieet d'Anglecerrela traduction (ùr-toutdeM.Fildeng, qufeut à Londresen 1755 plus de trente représentations, pafrepour unedesmeilleures.

L'AVAREAMOUREUX.Voyt^lesTRotsSpectacles.

L'AVARE CORNU, Com.en Ac. et en versde dix fyllabespar.Chappuis imprimée en i f 80.

L'AVAREDUPE, ou TtioMMEde Pailih, Com.attribuéeà Dorimond, donnéeen 1663.Voyt\X Avocatdupé, Sile Riche VILAIN. •

L'AUDIENCE DU TEMS, Prolo. par Fuzelier, donné àla Foire le ti Février 17.15; etiqui n'a pas été imprimé.

Les AUDIENCES DETHALIE, Opê. Comi. d'un Ac. donnele premier Avril 17 5 4 il efb de M. Carolet.-L'AVEUGLE CLAIRVOYANT- Deux Corn.portent ce nom;la première, par De Brofle en f Ac. en vers, donnée en1 649 5 et la feconde, en un Acte en vers, de Le Grand, laquelle fut jouée au Théâtre Fran. avec: fuccèa-, le i8

Septembre 171 6.

L'AVEUGLE DE SMIRNE^Tragi-Corn, en S Actes en vers;de l'invention du Cardinal de Richelieu, exécutée par lescinq Auteurs ( Voye^lesTHOitERiES ) et reprefentee avecune magnificence extraordinaire en 16 8. Elle fut impriméein-40. à Paris la même année.

Les AVEUGLES, Tragi-Corn. d'Epicure Napolitain, , tiraduitede l'Italien, par Desjardins, en if 91.

Les AVEUX IN DISCRETS -Opéra-Comi. en un Acte, dontles paroles font de M. de La Ribadiere, et la mulique de

M. Monfigny. Il fut donne pour la première fois à la Foire

S. Germain le 7 Février 17/9 et réuffit très-bien. Quelquesjours après on repréfenta fur le Théâtre des Camé..diens de Versailles, un autre Opéra-Comi. en un Acte, fous le même titre, qui fut aufC imprimé il est; de MI

Taconer.

ATJG [Pièces.] AVO s7

Eijij

Les AUGUSTALES, 14.3 meOpéra. Cefl un Acte donné enforme de Prologue avant Acis Er Galathéé par l'Acad.

Royale de Mufiq. le i f Novemb. 1, 74+ à caufe de la convalefcencede

Sa Majore. Les paroles en font de M. Roy, Cela mufiq. des lieurs Rebel et Frâncoeur. Voici' le sujet decet Ouvrage, tel qu'on le trouve dans l'Avertiflèmenr.« Auguke joui/1'oit de toute fa gloire, de l'amour du peus>pie qui veuoic de lui dreller un trophée dans » les Alpes, ( circonftance heureufement appliquée, pu!(que nous» avions pris plufieurs places dans ce pays j de la vénérationdu Sénat, lorfqu une maladie fubite menaça fes» jours. Sa convalefcence fut confacrée par l'inftitution.« des Fêtes Auguftales etc. w Cet Ouvrage est gravé enmufique partition w-4.0.

AUGUSTE. Voyez la MORT D'AUGUSTE.

L'AVOCAT DUPÉ. Il y a deux Comédies sous ce titre ; la première de Chevreau, en y'Àceii vers, représentée à l'Hôtel de Bourgogne en 1637. La seconde, qui a aussi pour titre L'HOMME DE PAILLE, donnée en 1C65 par un anonyme.

On attribue cette dernière à Doriniond fous letitre de I'Ayare DUPÉ. Voye[ ce mot.

L'AVOCAT PATELIN Corn, en 3 Ac.enpro. par l'Abbé Brueys, représentée au Théâtre Fran. le 4 Juin i7otf.

Pajquier, en Ces Recherches, dit avoir lu^.jelu avecgrand contentement, l'ancienne Farce Tromperies, finefes et fubtilifis de Maitre Pierre) Pathelin Avocat qu'il oppafe a toutes les Comédies Grecqueset Latines quoique cela ne paroifle pas fondé par l'extrait quil en fait. Les perfonnages de cette ancienne

Farce imprimée, étoienc Pathdin, Guillemette fa femmequi le feconde.dans fes tromperies un Guillaume, Marchand

Drapier, qui est dupé par Pathclin, de fix aulnes dedrap valant neuffrancs, qui compofoient alors fix écus detrente fols pièce on y introduifoit auflî un Berger. Cette

Farce. qui fut jouée à Paris fur l'echafraud en 1470 était de François Corbueil dit Villon, et a fourni toute laconduite et les perfonnages de la Comédie moderne de

Ellea étéimpriméeen 1715 ¡\. Paris.chez Coutelier in-11.et ony a joint la finle TeJlamentde Pathclin à quatreperfonnagcs maisqui a eftpasdu même Auteur.

S 8- AVG [Pièces.] AZO

PATEtIN qui ne réunit pas d'abord mais qui Le redonnacnfuite avec beaucoup de succès et qu'on verra toujoursavec plaifir. Voyt^ la préface qui est imprimée à la têtede cette pièce dans le troisième volume des OEuvres de

Brueys.1.' AVOCATSANS ETUDE Com.de Rofîmond. Elle èft enun Ac. en vers; et fut représentée en 16 6f. L'Auteur y fiedes changemens à la féconde édition. On la nomme auflil'AVOCATSANSPRATIQUE.

L'AVOCAT SANS SAC, Com. en un Afte en profe, paxun anonyme, donnée en itf $6 et imprimée à Leyde.

L'AVOCAT SAVETIER Com. en un Ac. par Scipion, impriméeen 1670. Cette pièce, qui.a beaucoup de reflem»blance avec l'AvocAT sans ÉTUDE se joue dans les

Provinces.

L'AUTEUR FORTUNÉ, Com. en un Acte en vers, par

Mme L. imprimée en rjq:o et non représentée.

L'AUTEUR PERRUQUIER. les Muses artisanes;

L'AUTEUR SUPERSTITIEUX. Yoyel la CRITIQUE.'AXIANE, Tragi-Com. en Ac. en pro. de G. de Scuderydonnée au Thé. en 1643. Elle est tirée du premier vol. du

Roman de Yllluftre Bajfa.} Les AYEUX CHIMÉRIQUES, Corn, en vers et en s Actes, du fameux Rouf!eau, imprimée dans fes Ouvres dès173 f niaîs qui n'a pas été- représentée. C'est un des plusfoibles Ouvrages de cet Auteur.

AZOR ET THEMIRE. Foyei Amusemens Lyriques.

B

Le BABILLARD Comédie par Boissy en un acte et en vers, elle fut donnée au Théâtre Français avec beaucoup de succès le 16 Juin i7ij, et eut if repréfentations. On la rejoua souvent, et elle se trouve imprimée dans le tome premier de son Théâtre.

Le BACHA D'ALGER, Opéra-Comique en un Acte donné le iî août 1741 par M. Favart.

Le BACHA DE SMIRNE Com, en un Aae en profe avec3AD [Pièces.] BAG e$

JEiij, un Div. jouée par les Irai. pour la première fois le 9 Seplembre17+7 elle est de M. Petit. On l'a aufliattribuée à

M. Colé.te BADAUD, Corn, en un Ac. par un anonyme donnée au

Théâtre Fran. le 10 Mai 1687' Ellen' est pasimprimée, etn'eut que f repréfèntations.

LeBADINAGE, Corn, enun Aéte en vers libres, parBoiflyreprésentéepour la première fois fur le Thé. de la Com.

Fran. le z; Nov. 173 5 et imprimée dans le fécond vol.de Cesiffiuv.C'est une critique de l'Opéra d'HyprotiTS

ETARICIE:elle ne fut jouée que cinq fois. MM. Panard,

PontauetFagan avoieut donnc, dès le 3 Mars17j i à la

Foire un Prolog, fous le titre du Baduuge il n'a pointété imprimé.la BAGATELLE.Voye[les Etrennes.

La BAGATELLE, ou Sancho PANÇAGOUVERNEUOR, péra-

Comi.en deux Ac. avec un Prologue, par M. Thierry, ' donné le 18 Août ïfz-j etqui n'a pas été imprimé.

La BAGUEDEL'QUBLI, Corn.de Rotrou, en 5 Ac.en vers, repréfentéeen 161.Z à l'Hôtel de. Bourgogne. La BAGUEMAGIQUE, Com.en un Ac en pro. avec des

Div. par Fuzelier, donnée fans fuccèsau Thé. Ital. le if Mars 1716, et non imprimée, . Le fûjet de cette pièce etE

VOraïfondeS. Julien, conte de la Fontaine. Elle fut faiteà Toccafionde la Comédie intitulée le TALISMANpar de

La Motte, qae les François annoncèrent dans le mêmestems.

La BAGUETTE, petite Com.en pro. par Bordelon, impri- mée à la fuite d'ARLEQUINComédien AUXCHAMPSEli*2b.es en 1.694. On attribue une pièce en un Ac. fous cemême titre à Dancourt. Elle fut, dit-on, représentée le 4 Avril 1693 et n'eu: pas imprimée. Ne feroit-cepas lamême chose? Il parut une 3n>eCorn.de la BAGUETTEe, ntrois Ac. en pro. au Thé. Ital. le 18 Juin 1713 mais ellen'eut que trois représentations.» Se iieft pas imprimée. L'Auteur en garda l'anonyme..ta BAGUETTEDEVULCAIN Com.en un Ac.en profe eten vers, de Regnard et Dufrény, représentée fur l'ancien

Thé. Ital. le 10 Janv. KÎ93 et qui eut un grand succès.

Innomme Jacques Aymar qui faitbit alors du bruità>, *jo BAI [Pièces.] BAL

Paris par fa Baguette, avec laquelle il prétendoit découvrirbien des chofes, donna lieu à plufieursdilfertationsphyliques, etfournit l'idée de cette petite Comédie, 6: de cellede Bordelon.

BAJAZET Tra. de Racine représentée fur le Thé. de l'Hatelde Bourgogne le $ Janv. 1671, et imprimée dans letome fécondde fesOEuv. Cette Tra. eut le succès méritéet ordinaire aux piècesde l'Aureur; c'était pourtant unenouveautéau Thé. que d'y voir repréfenter une hiftoire firécente; car Bajaçet était oncle de l'Empereur des Turcsrégnant alors, etil l'était auffid'Achmet fan fucceilèurqui n'cft mort qù'en 165J. On croit Triftan auffi Auteurd'une Tra. de Bajazet. Voyt^en outre Tamerian.

BAJAZET I. Trag.du Chevalier Pacaroni, donnée pour lapremière fois fur le Théâtre de la Comédie Fran. le t

Août 173 9, et qui fut retirée par l'Auteur après la cinquiemereprcTentation.

Le BAILLI ARBITREj Ccm.en un Ac. en pro. fuivie d'un

Div. jouée;au Thé. Ital. le 15 Juillet 1737, et retirée parl'Auteur. Cette pièce avoic été accribuée-à M.LaLande, qui l'avait en effetprésentée mais on Vaimprimée fouslenom de Romagne/i.

Le BAILLI MARQUIS, Corn.en un Ac. en pro. de Dufrcny, jouée fins fuccèsle même jour que le FAUXhonnête

HOMME, c'est-à-dire le 14 Fév. 1703 etnon imprimée.

Les BAINS DE CHARENTON Opéra-Comi.en un Ac..par

Fuzelier, représenté le ti Septemb.I7i4, etquin'est pasimprimé. On y critiquoit l'Opera de THEris ETPelée.

Les BAINS DE LAPORTE SAINT BERNARD Com.entrois Ac. en pro. avec des Div. par Boisfranc, représentéeau Thé. Ital. le 11 juillet ifiçtf. On ajouta à cette piecelafeene d'un Procureur, qui traitant d'une Charge de Greffieren Chef du Parlement, ne faire d'avance (on portraiten robe rouge; mais cette acquifition ayant manqué, ilrefufa de payer le Peintre, fousle prétexte qu'il l'avaitpeint en roberouge, lorsqu'il n'était que Procureur.

Le BAL, ou le BOURGEODISEFalaise Com.en un Acte envers avec un Div. par Regnàrd représentée au The. Fran.lé 14 Juin 1696. Elle est dans le fécond vol. de CesOEuv.

Le BALBOURGEOIS, Opï Comi.en un Ac. de M. Favart

BAL [P.lECES.1 BaL 7Il'£iiijdonnéle 15 Mars1738, etremis en Mars1774. Il n'estpas imprime.le BALD'AUTEUIL, Corn, enj 3 Ac.en pro.avecunProlo.par Boindin, donnéele 11 Août 1701. Le Roi fît faire, parM. le MarquisdeGênes, uneréprimandeauxComédiéns, dece qu'ils'avoientjoué cettepiecetrop libre, quifut interrompueà la dixièmereprefentation.C'eftdepuisce.tems, dit-on, quelespiecesdeThé. ont étéfoumifesau

Cenfeur, avantque d'être jouées.le BALDE L'ARCHEMARION DivertifT.en un Aéte, à l'occaliondela naiflàncedeMonfeigneurle Comted'Artois, par M.Coppier, repréfencépourla première foisparles Comédiensde Verfaillesle 1j Octobre1757.

LeBALDEPASSY, Corn. en un Afteen pro. avec unDiv.donnéeau Théâtre Françaisle 17Août1741 par.M. Parmentier, etqui n'eut quecette représentation. Ellé n'est pas

LeBALDESTRASBOURG, Op.Comi.en unAc.parMM.

Favart, La GardeetLaujeon, donnéen Septemb. 1744»

LeBALDUPARNASSE, Op.Comi.en un Acte, de MM.

PanardetFuzelier, repréfentéà la FoireS. Laurent17i, fansaucunfuccès, . Cettepiecen'a pasétéimprimée. On ycritiquoitCatilina le PRINCEmalade HESIONE, TElemaque3 Thésée, Abdili, Brutos.•

Le BAL IMPROMPTU Op. Comi. donné le 10 Juil. 176q.

Les paroles en font de M. Harni et la mudq. de M Desbrollescette pièce fut trouvée trop férieufe.

Le BAL MILITAIRE. Voyez Amusemens Lyriques.la BALANCE D'ÉTAT, Tragi-Com. par N.M. D.M.A.imprimée en i6;t:c'était uns allégorie fur l'emprifônnementet la liberté des Princes, et lui l'éloignement du

Cardinal Mazarin. Voyel le XI» vol. des Affaires du terns, dites Malarinades.

BALDE, REINE des Sarmates Tra. de Jobert, impriméeen 16p.

BALLET. Les anciens Ballets qui avant l'établiflèment des

Opéra, étoient prefque le feul divertiiïement de la Courde nos Rois, font en G grand nombre, qu'on se difpenferade les rapporter dans ce Dictionnaire, d'autant plus que le

R. P. Mcnêtricr Jéfuite en a fait un Traité, et qu'on enft BAL [Pièces.] BAta donne en 17^0 un catalogue exact, chez Bauche, Lfbraireà Paris, compofé par M. le Duc de La Valliere.Onle contentera feulement d'en citer quelques-uns la plupartdanfcs par le feu Roi, qui dans les premières années defon Regne, en faifoit repréfer.:»r un tous les hyvers. Lesprincipaux de ces Ballets qui font déterminés par un nomappellatif, comme l'AMOUR MALADE, Hercule amou-

REUX, etc. se trouveront fous la première lettre de leurtitre à l'égard des autres ou va les voir à leur rang.le BALLETCOMIQUEDELAROYNE, fait aux nocesdu Ducde Joyeufeet de Mademoifellede Vaudemonten 1 81 par Beaujoyeulximpriméin-4-°.eni 8 1 avecla mufique.le BALLETD'ALCIDEETD'HEBÉ, parPafferat, en 169*.

Le BALLETDEFLORE, deBenferade, danfépar leRoien1669.

Le BALLETDELAIEUNESSE, danféen Fév. i6Z6. Lesairsétoientde La Lande etlesentréesde Beauchamps.

LeBALLETDELAPAIX, 1jomeOpéra. Les parolesenfontdeM.Roy la mufiq.deMM.RébeletFrancoeur. Ilfut repréfeutépour la premierefoisle z? Mai 1738 teétoitcompoféde trois entréesetd'un Prol. mais les Auteursy ajoutèrentdeuxnouvellesentrées, l'unele 27Juin, etl'autrele 21 Juillet fuivant.Le fujetdu Prol.est la tourdu Palaisde Minos, dans laquelleApollonenferma fa

Lyre, recouvrantau regardde la Paixlavoix fonorequecet infiniment lui avoitcommuniqué, felon Ovide, etqu'elleavoitperdue.LapremièreentréeeftintituléePhilis-etDimophon, etpeintl'amourhéroïque la zmeeft intituléeIphiset

Yante danslaquellel'Auteurfeint qu'Iphisest un garçondéguiseenfille; la 3mea pour titre BaucisetPMlem;o'mnais d'Epouxquelesfait la Fable, l'Auteurles transformeen jeunesAmans, dont la fidélitéeft couronnéeparles

Dieux la 4

Voyagesde l'Amour la jme, etderniereajoutée, a pourtitré Nirée. CetOpéraaeu entout 3 1 reprétentationseteff gravéenmufiquepartitionin-40. ^nnel'a pas encorerepris.

BALLET DE LA PROSPÉRITÉ DES ARMES DE LA FRANCE, en cinq Ac. qui composent trente-fix entrées, leprélentc devant leurs Majeftésau Palais Cardinal, le 7 Février 164 1, etimprimé in-4°.

Le BALLET DES AGES, y4.meOpéra. Les paroles font de Fuzelier, et la mufique de Campra il fut représenté pour la première fois le 9 Oftobre 1718 et il n'y en a eu qu'un extrait impcimé en mutique, etqui est même rare. L'Auteur du Poëme dit dans un avertissement qu'il a voulu prouver par cet Opé. que le génie comique n'est pas incompatible avec les beautés de l'harmonie et montrer aux mîtes voluptueux que les mufes de l'Ope, peuvent fa permettre les grâces du deshabillé. Le Prol. repréfentéeles jardins d'Hébc; cette Déeffe invite l'aimable jeûner à profiter des douceurs d'un asile agréable le Tems Venus, Bacchusetleur fuite font les autres interlocuteurs de ce Prolo. Les trois entrées du Ballet font autant de petites comédie dont la première est intitulée la Jtoneffcou l'Amour ingénu; la fécondel'Age viril ou l'Amourcoquet la troiiiemela VuilUffitou {'Amourjoui; dans cette derniere, la DllejAntier.paroiflbiten Seigneur Polonois la dernièrefcene était le triomphe de la Folie fur tous les âges. On aremis cet Opé. en 17*4.

La Motte alaillï à fa mort un Ballet DESAGES, qui dévoieêtre joué fur le Théâtre de l'Opéra, mais il n'y a pas encoreparu; etlez8 Juillet 173 3 on exécutaun Ballet pantomimedu même titre fur le Théâtre de l'Opéra-Comi.il ctbit del'invention de'M. Pontau eteut du fucecs.

Le BALLETDES BALLETS, Divertir. donné par l'Académie

Royalede Mufiqué, le 29 Avril 17 16. Il était compoléde hCcenednProfiJfcur de folie, c\véedu CARNAYALET

LAFOLIE; du quatrième Afte de I'Euîiopb GArantede la Cantate de ZephyreetFlore, mile en rnufiquepar Bourgeois, et chantée par MlleAntier de l'Ac.du Maitre chanter, etdu Maure a danferdes Fêtes Vénitiennesj des Caraéleresde la danfe exécutés par Mademoifelle

Prevoft;enfîndela/w«Ka/i, Ackedes Fêtes

DEThalie. Louis XIV.'avoic danfé un Ballet du mêmetitre au mois de Décembre 1 671.ve BALLETDES FÉES, Opéra, en trois entrées, pat L¡BAL

Motte, imprimé en 1 75-4 dans le tome ièptieme des (Envresde cet Auteur.

Le BALLET DES MUSES danfé le z Décembre 1666, au

Château de Saint-Germain-en-Laye. Il est de Benferade:

MELICFRTE et la Pastorale ComiQuE de Moliere, feurentplacées dans la quatrième entrée de ce Ballet, ain/îque les Poètes dans la fixieme et le Sicilien après laquatorzième et derniere.

Le BALLET DES SENS, 1 1 f m=Opé. Il-est compocé de cinq

Actes ou enrrées dont les paroles font de Roy et la mufiquede Mouret fut représenté pour la première fois le f

Juin 17 i, et est gravé partition in-4°. Le Prolo. Cepaflèentre Jupiter, Venus et Mercure. On a repris cet Opéraen 17+0 et 17 fi. Lefujet de la première entrée est Leucotoéchangée, par le Soleil fon Amant, en l'arbre quiproduit l'encens, ce qui caraétérife I'Odorat. Le Tou-

CHER, féconde entrée , est caraftérifë par la tendreffe que

Lcodamii concerva pour Protéfilas, Roi de Mégare, périau riege de Trôye qui l'engagea à ne point quitter Ca

Siatue et à l'embraflèr continuellement, ce qui toucha fifort les Dieux que Proferpine ramena des Enfers un

Epoux fi regretté. La fable de la troisième entrée, ou la

Vue est Ifis qui caraftérife les couleurs et l'Amour quidépouillé de fon bandeau lui donne fes premiers regards.

L'ouïe est peint par les Syrenes, qui attirent UlWle et

Orphée, La cinquieme entrée enfin est remplie par Bacchusqui prend. la forme d'une grape de raifin pour pofféder Erigone, ce qui caraftérifele Goût. Voici la critiquequ'on fit de ce Ballet à l'Opéra-Comique dans le Prologuedes Défefpérés.

Air: du Vaudeville du Nouveau Monde.

Comment donc à ce que le vois,

Il est bien mal dans Con Harnois

Il cetJburd comme une Statuele goit le touther l'odorat.

Chez lui font en mauvais état

Il nia rien de bon que la vue.

Le BALLET DES THUILLERIES, ou de la Jeunesse en

BAL [Pièces.] BAL 7r«juatreentrées 3 repréfentcdans une des Sallesde ce Palais, les r et 17 Fév. 1718, pour l'anniversaire de la Naiflkncede Sa Majeké. Les paroles cto;encdeBeauchamps, la mufquevocale de Mathau, l'inftrumentale d'Alarius, et ladanCede Balon.le BALLETDETRIANON, danfé en Décembre 168Cpour le retour de Monfèigneur le Dauphin de l'arméed'Allemagne; la mufique ctoit de- LaLande, à qui le Roidonna en ce tems la Surintendance de là muiî. qu'avait lejeune Lully, mort fur la fin de Décembre de cette mêmeannée r688.le BALLET DES VINGT-QUATRE HEURES, Ambigu.

Comi. en Ac. en pro. avec un Prolog. en mufiq. et des

Divertiflemens, par Le Grand; Iamufiq.cneftd'Auberr.

Cette pièce fut représentée au Château de Chantilly parordre de M.le Duc, devant !e Roi, le Novembre 17x1, par les ComédiensFran. les Irai. et lesAâeurs de l'Opéra.

Elle contient quatre petites Com. la Nuit, I'Audience, les PANIERSet le Rendez- vous nocturne, •et le trouvedans le troisième vol. du- Théâtrede Le Grand.le BALLET DE VILLENEUVE SAINT-GEORGE, ainfînommé parce qu'il fut représenté à VilleneuveS. George, le premier Septembre 16ji en prcfence de Monfeigneurle Dauphin, par lesActeurs de l'Acad. de Mufi. Ce Balletcft forme de trois petites entrées liées enfembte par le sujetil fut enfuite joué fur le Thé. de l'Opé. etn'est pointimprimé en mulique les paroles font de Banzy et lamufi. dé Colaffe; il eftcompté pour le xSmede nos Ope.le BALLETDU PARNASSE exécuté fur un Théâtre drefledans la Cour de marbre du Château dé Verfailles, le r Octobre1719 pour la Naiflance de Monfeigneur le Dauphin.

CeBalletcompofé de fragmens tant des anciens quedes modernes, est diviféen cinq entrées', qui font le Pàrnaffela Mufe lyrique, la Mufepaftoralejla. Muft héroïqueetle Génie de '.t France.

Le BALLETEN LANGAGETORESIEN, de trois Bergerset trois Bergeres Cegaufrantdes Amoureux qui nommentleurs Maîtreffesleur doux fouvénir, teur belle penfée, leurlys, leur oeillet etc.par Marcellin Allard iirtprimcin-i".en ifor..

BAL [Pièces.] BAR

Le BALLETEXTRAVAGANT Com.en un Aifteen profe, de Palaprat, jouée au Théâtre Fran. le 11 Juin i 65.0.

Le BALLETSANS TITRE formé de trois Div.etd'un Prologue, etdonné par l'Académie Royalede Mufique, le 16

Mai 1716. Le Prologue était celui de MELEAGREle; premier

Div. était la Fuie premier Acre des FÎTESDETHaiiBle fecond Div. la Comédie, quatrieme Afte des Mâ~ses le troineme, le troisième Aftede la Vénitienne. Onignore les Auteurs qui a voientfait la liaifon du tout.

BALTHAZAR, Roi DBBabyionb, Tra. par Chareneon;donnée en ifitfi. Cette pièce, tirée de l'Ecriture-(àinte, reprefente ainlî que la fuivante la mort de Bdthaçar.

Talthazar tragédie en cinq Actes par M. Petit, impriméeau mois de Novembre 17; L'Auteur se flate, dans lapréface qu'il a mife à la tête de cette pièce, que malgré lacritique qu'en ont fait les perfonnes qui en ont entendula lecture, elle est de beaucoup fupérieure à fon premierouvrage dramatique (DAVIDETBbthsabé'e), que fèmblableà Corneille et à Racine, fan vol devient de plus enplus hardi etheureux, et que par la fuite il pourra égalerces grands génies. Cette préfomption ridicule etmai placéedoit faire juger du caractère et des talens de l'Auteur, et on peut'dire avec toute vérité que fa Tragédie est desplus médiocres, et que la vérification en est furannéedes plus foibles etmême ridicule.

Le BANQUEROUTIER, Corn, en; Ac. en pro. avecdes (ce--nesical. par Fatouville, jouée auThé. ItaLieiç Avr. 1687.

Le BANQUET DESSEPT SAGES, CoM.en 3 Ac. en pro.par Dejifle, jouée au Théâtre liât. le 1 j îanv. 17x3. Cettepièce fut relevée par un Prol. et trois Div. et n'eut pas cependantplus de succès; elle n'est pas imprimée, non plusque la critique que l'Auteur fît lui-mcmede fa pièce enune petite Com.de quatre fcenes en profe et vaudevilles, intitulée le Banquet ridicule et qui fuc représentéele

Fév. de la même année..BAPTISTE.;., ihauvaife Tra. traduite du latin de Buthanan;, .Par Roi. Briflèt etdonnée en .184. Brinon a auflitraduitla même pièce fous le titre "de Baptisteou la CALOMNIE, et.la fit, paroîtreenx 6 1 3

EARBACOLE', bu le Manuscrit TOLÉ, Cent, en un Ailé en

BAR [Pièces.] BAS rfirers, mêlée d'Ariettes, donnée au Théâtre Irai, le i j- Septeni.17 60, et qui eut peu de succès. Elle est de MM. Demorambert)et La Grange, et M. Papavoine en avaitfait la mufique.

Les BARBONS AMOUREUX ET Rivaux DE LEURSFILS,

Corn, de Chevalier, en y Actes en vers donnée en \66%fur le Théâtre du Marais. Cette pièce a été réimprimée en1703 fous le titre des VIEILLARDSAMOUREUX.le BARON D'ALBIKRAC, Corn, de Thomas Corneille, eny Ac. en vers, donnée au mois de Décembre 1668 par la

Troupe de l'Hôtel de Bourgogne. Le comique de cettepièce roule fur une vieille folle d'amour et un valet quiremplit le rôle du Baron d'fllbikrac, etc. Elle eut beau^-coup de succès, et.s'est toujours foutenue. On la trouvedans le tome quatrieme de fes OEuvres.

Le BARON D'ASNON Corn, en profe par Varennes, don.née en i6$o et non imprimée.le BARON DE LA CRASSE, Com. en un Acte en versdans laquelle la petite pièce du Zigzac en vers de huicfrllabes se trouve elle est de Ray. Poiflbn et fut représfentéeà l'Hôtel de Bourgogne au mois de Juin i6Sz.

Le BARON DES FONDRIERES, Com. en y Ac. en profe;attribuée à Thomas Corneille. Cette pièce, qui n'a jamaisétéimprimée, fut donnée au Théâtre Fran. le 14 Janvier16I6 et n'eut que cette représentation.

Lea BARONS, vu les Copieux Flbchois, Corn, en un ASëen profe, 'par Cherier, imprimée en I66ç.

LA BARRIERE DU PARNASSE. Paro. en un Aâe, de plu.reurs pièces ( lors nouvelles ) donnée à l'Op. Comi. le 1

Avril 1740 par M. Favarc. Il n'est pas imprimé.

BASILE ET QUITTERIE, Tragi-Com. en 3 Actes en vers, avec un Prol. en profe, donnée au Théâtre Fran. par M.

Gaultier, le 13 Janv. 1713 elle se trouve dans le dou^zieme vol. du Théâtre François. Ce sujet est tiré du Romande Dom Quichotte. •

BASILIDE, Tra. en f Actes en vers par le P. Geoffroielle fut représentée au' College dés Jéfuites à Paris, en17 f;. Cette pièce, tirée d'un trait de fHifloire du lapon,

Voicile titre de cespieces Darianus Sefa Parodie; le Marié fans, le[avoir; Edouard /• LeVain Awtwles Dehtrt trompeurs etlo7 'BAS [Pièces.] BELe(1 très iincrertànteon en peut voir l'extrait dans le

Mercure du moisda Mai 1755.

La BASSETTE.Il y a deuxCorn.de ce titre; l'une en Ac.attribuéeà un Gentilhommede Bourges, et qu'on foupçonneêtrede LaChapelle jouéeau Théâtre de Guénégaud, te 1Mai i(î 80 etl'autre, en un Aete de Hauteroche, jouée à l'Hôtel de Bourgognele 4 Juin de lamême année aucunedesdeuxn'eftimprimée.

LaBATAILLEDEHOOGSTET 3 Tragédie-Opéerna, trois

Aftes, ornéed'entrées de Ballet, et de changemensde

Théâtre, par Quefnotde La Chenée impriméew-40;en1707 fansnom de villeni d'Imprimeur.

Le BATEAUDEBOUILLE, Com.en un Ac.en vers, pas

Jobé.C'eftunepiecetrès-médiocre, qui a étéimpriméeà

Rouen, làns date.

LesBATELIERSDESAINT-CLOUD, Op.Com't.snunAc.par M. Favart, donnéle loSeprem. 1744. II avoitdéjaparuen 17-1, fousle titre de

LaBAZOCHEDUPARNASSE, Op. Comi.en un Ac.donnéle6 Sept.1738, parLe Sage.C'est la mêmechofequeles COUPLETESNprocès donnésfousce nouveautitre.

BÉATITUDE oulesINIMITADLAEMS OURDSETHEOYeSt

DE CHARIrEen dixPoëmesde cinq Ac. chacun, par de

Grouchy impriméen 1631, fn-8°. T/uoysveut dire le

Filsde Dieu, etCharite, la Grâce. •

Le BEAUPASTEUR, par JacquesdeFonteni, donnéeent; 87.' •'• .••

BEAUTÉET.AMOUR, Paflo.allégorique, encinq Ac.envers, par Du Souhait, imprimée en I59

Le BELESPRIT, Com.en 3 Ac.enprp. mêléede vers, par

L. A. P. jouéeavecpeude fuccèsfurle Thé. Irai;le i;

Mars1694..•>•

BELINDE, Tragi-Come, n cinqAc.en vers, par Rampalédonnéeen 1630.

BELISAIRE.CeGénérald'armée de l'EmpereurJuftinien• célèbreparfès infortunes a fournile fujetdecinq.:Tragédies.

La premièredonnéepar DesFontaines en 16, 37o, u1*41 ;la deuxième, deRotrou, en 1643; la troisième'par

La Çalprenede, , au moisde Juillet i(î;9, etqui n'est pasimprimée enfin la quatrièmeet la cinquièmepar des

BEL [Pièces.]^ BEL 7?

Auteurs anonymes ces deux dernières furent reprefentees, à ce que l'on prétend, à ['Hôtel de Bourgogne l'une cri1678 , et l'autre en 1681..

La BELLE CABARETIERE 011 le PROCUREaURia Mode

Com.de M. en un Ac. en proie, donnée en itfjfi.

La BELLE DARÀCHE, Com. ancienne et mauvaite. On laconnoît très-peu.

La BELLE EGYPTIENNE. Il y a deux Tragi-Corn, fous cetitre.: la première de Hardy donnée à l'Hôrel de Bourgogncen 161 la deuxième de Sallebray représentéeet imprimée en 1 6+i toutes les deux font tirées des Nouvellesde Cervantes.

La BELLE ESCLAVE Tragl-Com. en cinq Ac. en vers, par

L'Etoile, donnée en 1643 et imprimée in-+10.

La BELLE INVISIBLE, ou la CONSTANCE éprouvée, Corn.de l'Abbé Boifrobert, en f Ac. en vers., donnée eii I6f6.

C'est le même sujet que celui de la pièce intitulée, Aimer

SANSSAVOIRQUI.

La BELLE MERE, Com. en cinq Ac. en vers, parDancourt, représentée pour la première fois le 2T.Avril 172.1. Quoiquecette pièce n'ait pas eu grand succès, on peut dire quec'est une.de celles deDancourc qui doit lui faire plus d'honneur, par la maniere vive et légère dont elle est dialoguéeet verfifiée elle n'est pasimprimée dansfon Thé. Voyc^la.FoRCEDUSANGj-ople Sor roejouRssor, c'eftàpeuprès le même fujeti

La BELLE ORGUEILLEUSE, ou l'ENFANT Gaté3 Corn. en vers et en un Ac. de Nericault Deftouches, jouée au Thé. Fran. le 17 Août 1741 avec la petite Tragédie de Silvie et le BALDE Passy elle n', eut que fit représentations, et se trouve dans le quatrième vol. de Ces(Euvres.-

La BELLEPLAIDEUSE^ Coin.de l'Abbé Boifrobert, en cinq actes en vers donnée en 16f4.

BELLEROPHON. Ce héros est connu dànsl'Hiftoire poëtique, par fon infenfibilité pour les avances amoureufesde Stenôbée, Reine d'Argos, etpar ta défaite de la Chimère, dont il triompha; monte fur le cheval Pégafè,

Cette Fable a fourni le'sujet d'une tragédie compofée par

Quinanlt, représentée à l'Hôtel de Bourgogne en 1670et qui eut plus de réu/fite que ne fonçait quelques Auteurs;go BEL (Pièces.] BERetcelui d'un Ope.dont lesparolesont toujoursété attrihuéesàThomasCorneille, etcependantqueFomenellearevendiquéesetprétendavoir faitesà très peu de choseprès, etla mufiq.eftde Lully 5 ilfutreprcfentpcourla pre.miere foisle zb'Janvier 1 679 etcontinue pendant neufmois de fuite. Corneille rebuté par le peu de fuccèsde

Psiché avoirrenoncéau Théâtrelyriquepour s'attacheruniquementau dramatique;maisle Roilui ayanttémoignéqu'il eût fouhaitc qu'il travaillâtpour l'Opéra, il Cerembarqua, dit-on, fur cette mer orageufe, par cettepièce, dontle Prolo.est entre Apollon, lesMules, Bacchuset

Pan. Ona dit aufliqueDefpreauxprétendoitavoirune grande part à. ce Poëme lyrique; mais Fontenelle, dansunelettreadreffeeauxAuteursduJournaldes Savons, a allurebienpofïtivementqu'à Perceptiondu Prolo. d'unmorceauqui ouvrelequatrièmeAâe etdu Cannevas, ilne pouvoity avoirrien de DefpreauxdansBellerophon;SequeThomasCorneille qui ne fefoucioitpastrop décetteforte de travail lui avoirenvoyéà lui-mômele plan decet Opé.pour l'exécuter, ce qu'il avoirfait, etque fesversne fbuftrirentque de légerschangemens.On la imprimédansle tome dixiemede la dernière édition des

OEuvresdeFontenelle.

Cet Opé.est le i ¡me; il a été impriméenmuG.puisgravéjilaétéremis en 1680, 1707 1718 et1718, et il enparut uneParo. auThé. Ital. le 7 Maii7s8, en unAc.devaudevilles, fousle titre d'ARLKQuiNBellerophon quiest de Dominiqueetde Romagnefi.

BELLISSANTE, oula FIDELITREECONNUTEr, ag. de Des

Fontaines, donnéeen 1647.

BELPHEGOR, Corn, en 3 Ac.en pro.avecdes Dir. par Le

Grand, jouéeauThé. Ital. le 24Août1711.

BENJAMIN ou la RECONNOISSAsNe CJoBseph, Tra. en3 Ac.par lé.P.Arthus, Jefuite, impriméeà ParisenMars1749, etpropreà être jouéedanslesColleges.

La BEQUILLE, Op.Com'i.d'un Ac.donnéle si Septembre17 7. On fattribueà MM.l'AffichardetValois.

BERALVICTORIEUX. Voye[Bbralde.

LeBERCEAU, Com.en unAc.en profe, impriméeen 17Y8, dansletome 1 3«ne du ChoixdesMercuresetautresJour--Vitaux, BERENICE.

BER [Pièces.] BER 8i

F

BERENICE. Ce traie d'Hiftoire est tiré de ces paroles de

Suctone) Titus ab arbe dimifit Berenicen invitus invitam.

Outre la Tra. de TITE ET Bérénice de Pierre Corneillece sujet en a fourni deux autres fous le titre fimplc de

BERENICE l'une de Du Ryer donnée en i«4r et quielt en profe et l'autre de l'illullre Racine. Cette dernierefut jouée fur le Thé. de l'Hôtel de Bourgogne en z671et le fentimenc y est fupérieurement écrit. On raconte quele grand Prince de Condé s'étant trouvé à une représentationde cette pièce, un Seigneur lui en demanda fonfentimenr, à quoi il ne répondit que par ce refrein d'uneancienne chanfon

Marion pleure, Marion crie,

Marion veut qu'on la marie.

D'autres prétendent qu'il répondit au contraire par cesdeux vers pris de la Tragédie même

Depuis deux ans entiers, chaque jour je la vois,

Et crois toujours la voir pour la première fois.et que la première critique fut faite par Chapelle. Cette

Tragédie le trouve dans le (ècond vol. des (Euv. de Racine.

Bérénice, Tra, de Thomas Corneille. Le sujet de cette pièceest différent de celui des précédentes, et est tiré des Aventuresde SefoJIrisSc de Timarete, du Roman de Cyruselle fut donnée en 16 J7 fur le Théâtre du Marais et estimprimée dans le fecond tome de fon Théâtre.

Les BERENICES, ou Tite ETTitus Corn, en Ac. en pro.par un anonyme c'est une critique des deux Bérénices.

Elle fut imprimée à Utrecht en 1670, ou en 1 67 j felon

M. de Beauchamps.

Le BEKGER D'AMPHRISE Com. en trois Ac. en pro. avecdes Div. par Delifle. Elle fur jouée au Thé. IraI. fans êtreannoncée, le ao Fév. 1747: une magnifique décoration£aite par le fieur Clarici, Peintre de l'Opéra de Londres, n'en rendit pas le succès plus heureux. Voye^ l'argumentde cette pièce dans le premier vol. du nouveau Thé. Irai.

Elle n'a pas été imprimée.

LeBERGER EXTRAVAGANT Paftorale burlefque de Tho.

Corneille, en r Ac. en vers. Cette pièce, qui est la cinBERquiemede cet Auteur fut donnéeen 16j 3 elle est tiréed'un Romanqui porte le mêmetitre, où dit un Ecrivainmoderne, parmi des fantaifiesamoureulès, on voielesimpertinencesdes Romans celui-cieftde CllarlesSorelfousle nomde Jean de La Lande, etfurimprimé à Parisen 1617.

LeBERGERFIDELE.NousavonsfixPafto.fouscetitre; lapremièreen r Ac.en pro.etenvers par un anonyme, impriméeà Rouenen 1 609 la fécondeen profe publiéedans la mêmeVilleen 1 6 1+la troifiemeen profe, donnéeen 1637 la quatriemeen Italieneten profeFran.par

DeMarans, impriméeen 1 64.Seten 1676 la cinquièmeen profeeten i Ac.par Maraudé imprimée en 1657 lalixiemeenfinen f Ac.en vers, par De Torches donnéeen 1664, etl'annéefuivanteréduiteen Actes. Ellesfonttoutestraduitesde l'italiendu Guarini. Voye^le Pasteur

FtDELBet, le PASTOFRI.DO.

La BERGERE, Pajlo. de Muntchrétien, imprimée en 16 17.

Elle est en y Ac. en vers.

BERGERIE: On connoît quatre Pafforafes ou Eglogues, fousce nom; la première par Guerfans, jouée et imprimée à

Poitiers en 1 j 83 la feconde par Courtin donnée l'annéefuivante, et qui n'est pas imprimée; les deux autres pac

Bernier de La BroulTe imprimées en 1619, l'une ett envers et en proie l'autre est en quatrains.:BERGERIE SPIRITUELLE, à quatre perfonnages; la Vérité, l'Erreur la Religion et la Providence divine par Mazieres, donnée en 1 f66.

LesBERGERIESde RacAN ouArtenicb Pajlo. de 5000vers, diviféeen f Ac.etunPrologue, donnéeà l'Hôteldo

Bourgogneen 1616. Autrefoislesgensde lettresnetrayailloientpointpourle Thé. etquandRacanfit (esBERGEitIBSc, e fut plutôt pour se divertir que pourlesfairejouer; il est auflià remarqueurque les PaftoralesontenquelqueforteprécédélesComédies, et quependant pr2sde quarantearis, onatiréprefque tousles fujetsdespiecesdeThéatredel'Aflrée, lesPoètesCecontentantordinairementde mettre en versla profede D'Urfé.

Les BERGERSDEMARLY, Pafto. en ? Ac.etun Prolog.reprélèntéedevantLouisXIV. à Marly, au mois deSep.

BER [Pièces.] BIL 8j

Fijtembre 16 S7.Lesparoles fontd'unanonyme etla mufiquede

Moreau.

LesBERGERSDEQUALITE. Voyt^Daphnis ETCHLOI.

BERTHOLDEALAVILLE, Op.Comi.en unAc.parMM.]'Abbéde Lattaignan, Anfeaume, etle M.de S. pourles

Ariettes; il fut donné pour la première fois le 8 Marsi7f+. AMOUREUX.

Les BÊTES RAISONNABLES, Corn, de Jaeob, en J661.

On prétend que cette pièce est de Montfleury qui CenommoirJacobelle est en un Ac. en vers, 8c fut reprélêntéefur le Thé. de l'Hôtel de Bourgogne. Fuzelier etLe Grandont fait un fort joli Opéra-Comi. intitule Les Animauxraifonnables:

BÉVALDE VICTORIEUX, fur les Genevois, Tra. de Borée, donnée en 1616 on ta:trouve indiquée par quelques Auteurs, fous le titre de BERAL.

BIJ3LIS Tra. 1 I"tne Opéra. Le Poëme est de Fleury et laniuliq. de La Cofte il fut représenté pour la première foisle 6 Nov. 1 7 5 1 et on ne le donna que fix fois il est cependantimprimé en mufique partition /n-40. Le Prol.-sepaflè entre J unon, Neptune et Amphitrire.

Le BIENFAIT ANONYME, Com. en un Ac. en vers libres, par un anonyme qu'on prétend Être M. Moulier de Moifn, donnée au Théâtre Ital. le.io Décembre 1744. Lapremière représentation s'en fit fous le titre du Faux

GÉNÉREUX.

Le BIEN PERDU RECOUVRÉ, Com.en un Aôe en vers, par Lambert, jouée à fHôtel de Bourgogne en 16 68 etnon imprimée.

Les BIEN -VENUS, Ball. de Benferade, danfé àCompiegnele joMai 16f aux noces de la Duchefle de Modeneniece du Cardinal Mazarin.

La BIGAMIE, Curn. attribuée à Hardy. Quoique toutes lespièces de cet Auteur ayent la fcene fort varlée, il n'y en apas une, dit l'Auteur de la Bibliothèque des Théatrcs, oùce défaut fbir Gremarquable, jamais il ne s'en- vu une filongue pérégrination.

Le BILLET PERDU Com. en un Afte en vers libres, par

DesMahis, donnée pour la première fois au Théâtre Françaisle; Août 17 ço et avec succès. Cette pièce fut annoncéet+ BIL [Pièces.] BOIa la quatrieme représentation fous le titre de I'Imperti-

KENT, qui lui convenoit mieux. C'est le premier Ouvragedramatique de cet Auteur.

Les BILLETS DOUX Corn.en vers libres et en un Actepar Boiify reçue avec applaudiflemcnt au Thé. Ital. où.elle parut pour la première fois le iy Septembre 1734.

BLAISE LE SAVETIER, Opé. Comi.dont les paroles fontde M. Sedaine, et la mufique de M. Philidor. Il fut donnépour la première fois le 9 Mars 17;• 9 eta eu un succèsprodigieux aufli peut-on dire que peu de pièces fur ce

Théâtre avoient été auffi généralement bien faites et bienjouées.

BLANCHE DEBOURBON, Reine d'Espagne, Tragi-Cont.de Renaud, donnée en 1636 ou 1641. Elle fut impriméerô-4°. en 1642.

Le BOCAGED'AMOUR, Com.de J. d'Eftival impriméeen 1608.les BOCAGES, Pape. en cinq Actesen vers, par Charriais, 'donnée en 1631.

La BOËTE DE PANDORE, Corn.en un Aéte en vers, avecun Prol. de Poiflbn fils; elle n'eut que trois reprcfentations,

Hontla première fedonna au Théâtre Françaisle 10 Mars1719. Il y avait déja un excellent Opé. Comi. en un Actefous ce titre; il est de Le Sage, Fuzelieret D'Orneval, etfut reprefenté pour la première fois le 3Juillet 1711.

La BOETÊ DE PANDORE, ou la Curiosité punie, Corn.en Ac. en ver!;libres, par le P. Brumdy elle se trouvadans le quatrieme vol. de fesOEuvres.la BOHEMIENNE, Paro. en un Ac. de la Zingara ( Intermedeitalien donné fur le Thé. de l'Ope, le 19 Juin 17 f3 »et dont la mufique est:de Rinaldo de Capoue), représentéepour la première fois à l'Opera-Comi. le 14 Juillet175f. Elle eu de M. Mouftou, eteut peu de succès.On l'aattribuée mal-à-proposà M. Farin de Hautemer.

Les Comédiens Italiens donnerentaufü le z8 Juillet fuivantune Parodie, ou plutôt une traduction du même Intermède.

Elle est en deux Ac. en vers, et M. Favart en estl'Auteur le Publicla reçut très-favorablement.

Le BOIS DE BOULOGNE, Com.en un Ac. en profe, avecun Div. par Dominique; elle n'ent point de fucecsauThé.

BOL [ Pièces. 1 BON if

Fiijsdes ltal. à la Foire au mois de Juillet 1723 et n'a pas étéimprimée. Il y a un Op. Comi. en un Ac. fous ce titre, xcpicfcntc le 8 Oâobre 1716. Il est de Fuzelier, et ne futpas non plus imprimé.

BOLAN, ou le MÉDECINAMOUREUX, Paro. en un Ac. del'Opéra de Roland, donnée au Thé. Ital. le 27 Décembre17 S S pendant une reprife que l'on avoir fait de cet Opéra.

Elle est de M. Bailly, et ne fut jouée que peu de fois.

BOLUS Paro. en vers alexandrins et en un Ac. de la Tragédiede Bxurus de M. de Voltaire, par les fleurs Dominiqueet Romagnefi. Elle fut jouée pour la première foisau Théâtre Ital. le 24 Janv. 1 7 51 et reçue très-favorablement.

La haine des Romains et du Sénat contre les Tarquins, y est parodiée fous l'idée du différend qui régnoicen ce tems entre la Faculté de Médecine et les Chirurgiensenforte que ce n'etoit pas feulement une Parodie de cette, pièce, mais encore une critique contre ces Meffieurs.

Le BONHEUR INATTENDU, Op. Comi. en trois petit*

Ac. mâles de profe et de vaudevilles, imprimE en 1741à la fuite d'une brochure intitulée Anecdotes de l'Ambâf-.fade Turgue en France.

BONIFACE, ou le PÈDANT, Corn, en pro. et en y Ac. avecdeux Prol. imitée de l'Italien de Bruno Nolano 3 donnéeen i<33 par un anonyme.

Il y avoir aufli au Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, un Acteurqui remplifloir le perfonnage du Docteur Bonifacbet qu'on ne nommoit que de ce nom.

Le BON MARI, Corn, par Vaumoriere, annoncée dans le

Mercure de 1678, tome $me, page 84.

La BONNE FEMME, Paro.en.un Ac. en vaudevilles, de la

Tragédie d'HYPERMNESTRE par Dominique et Roma-.gnefi donnée au Thé. Ital- le 18 Juin 1718.le BON SOLDAT Com. en un Ac. en vers, tirée des Forix

Divbrtissans de Poiflôn, donnée feparcment pour lapremière fois lé 10 Octobre 1691, et corrigée par Dancourt.

Cette pièce est une de celles qui (ont fur le catalogue, pour être reprife de tenu à autre au Thé. François,

Voye^ le SOLDAr MAGICIEN.

Les BONS AMIS Op. Comi. donne le Mars 1 76 1 et

Les BOSSUSRIVAUX, Cum.bouffonne en deux Ac. mêléed'Ariettes donnéeau Thé. Ital. le premier Fév. 17Ci1..etqui n'eut que cette reprélêntnrion.

Les BOTTES DE SEPT LIEUES, ou le Roi DESOgres,

Op. Corn, en un Ac. par D'Orneval; il fut représenté à la

Foire S. Germain en 1710, par la Troupe de Franciiquc.

On prétend que Le Sageet Fuzeliery ont eu part.

Le BOULEVARD, Op. Com.en un Ac.donné le 14 Août17 3. Ileft du rieur Farin de Hautenier, et la feene fapairea ParisfurU promenadedu Boulevard, fort en voguedepuisquelquesannées.

Le BOUQUET, Crm.en un Ade et en vers libres, par Romagneiiet Riccoboni, donnée au Théâtre Ital. le 11

Août 17 }j.

LeBOUQUET DE LOUISON ou la SÉRÉNADE DEVilla-

GE, Op. Com.en un Ac. en pro. mêléede morceaux de mufique( prifede différensOpé. Cooei.) par M.Tacorinet, repréfeiné fur le Thé. de la Foire S. Laurent le 1; Août1761 etquin'eut pas grand succès.

Le BOUQUET DU ROI, Op: Corn.d'un Ac. en vaudevilles, auquel l'on fit quelques augmentations à l'occafîonde la• nailfancdee Monfeigneur le Duc d'Anjou. Cette piecequiest de M. Panard et la mufiqucde Gilliers fut repréféntéeau mois d'Août 1 730 etn'est:pas imprimée.

VadéetMM* donnèrent fansfucecs le 14 Août 17fi unnouvelOpé. Comi.en un At. prefque tout en vaudevilles, fous le même titre.

Le BOURGEOIS DEFALAISE. Voye^le BAL.

LeBOURGEOISGENTILHOMME, Com.Bail, de Molière, en f Ac. en pro. melée d'entrées, de chants etde danfes, dontlamuri. étoifde Lully, faire et repréfentee à Chambortpour un Div. du Roi, lei4d'Oet. 1670, et enfuirefur leThé. du Palais Royal, le i} Nov. de la même année.

Ce fpeEac!e, quoiqu'outre et hors du vraifemblable', furtoutdans lâ cérémonie Turque du fme Ac. mais parfaitementexécute attira la foule des Spectateurs qui laiffetentgronder les critiques, et chaque bourgeois qui ycroyoit trouveurfon vciiïn peint au naturel ne Celafîbitpoint d'aller voir fon portrait. On difoit que le Philofophede cette Comédie était copié d'après Rohaut, quoiBOU[Pièces.] BOU il.

Piiijqu'ami de l'Auteur, quifit emprunterfonchapeaupourle donnerà Du Croifly on prétendaufli, maisfanstropd'apparence, que Moliereavoitprisl'idéedeConBourgeois

Gentilhommed, ansla personned'unnomméG. Chapelier, qui avoitdépenféroooo écusavecune femme, àqui il donna unebellemaifonqu'il avoira Meudon.Lesfolies dece bourgeoiseurent une fin funefte; car il futenferméà Charenton pouravoirdonnéun coupde couteauà fonneveuqui était Procureur.lors de la premiererepréfentationdu BourgeoisGtntilhomme, le Roin'en ayantrien dit touslesconrtifansen parlèrentaveclederniermépris, etle déchaînementéroit figrandqueMolièren'ol'oitfe montrer; au bout decinq onth joursla piecefut jouée pourla fécondefois etleRoidit à Moliere; je ne vousai pointparléde votrepieceà lapremierereprésentation, parcequej'ai appréhendéd'êtreféduitparla manièredont ellea étéjouée; maisen vérité,

Moliere, vousn'avezencorerien fait qui m'ait mieuxdiverti, etvotrepièce est excellente.Auffi-rôtl'Auteurfutaccabléde louangespar les courtifans.On trouvecette

Comédiedans le cinquiemevol. des (Euv.de Moliere.

LaBOURGEOISEo, ulaPROMENADDEESaint-Cloud, Tragi-

Com. par Raiflîguierdonnéeen 1 635.la BOURGEOISEDE GRENOBLE, Cdm.de J. Millet, donnéeen 166f. Cettepiècecft fort rare.les BOURGEOISESALAMODE, Com.en r Ac.en pro.

Cette pièce, qui fut reprt (entéepourla premierefoislei s Novem.1 6yt, 8c qui eut un grandfuccès, ayant étédonnée16foisde fuite, a toujours paru fousle nom de

Dancourt eteft impriméedans lestomespremieretre-1 conddurecueil de fespièces cependanton veut qu'ellefoit véritablementde Saintyon, auffibienquele CHEVALIERALAMODE.

Les BOURGEOISES DE QUALITÉ, Com. de Hauterocheen r Ac. en vers représentée pour la première fois le ig

Juillet 16go, avec, un succès médiocre. Voye{ aufli la FêtenE VILLAGE qui porte à présent le titre des Bourgeoises

DE QUALITÉ.

Le BOURGET, Com. en.un Ac. en pro. avec un Div. donnéeau Théâtre François fans grand succès, le 16 Mai 1697»

S8 BOtl [Pièces.] BRA'

Cettepiece est d'un anonyme etn'a pas été imprime*

LeBOURRU Com.en un Ac.en pro. parunanonyme;ellefut jouéeet impriméeà la Haye en 1706. C'est unerapfodieduGRONDEUR.

Les BOUTADESDU CAPITAN MATAMORE.Voyez

Capitan.

Les BOUTS-RIMÉS Com. en un Ac. en pro. par Saint-Uffans, fous le nom de Saint-Glas, représentée le 1 Mai1681, on fait la vogue qu'avoient les.Bouts-rimés en cetems-là, cette pièce en était la critique.

La BRABANÇONNE GÉNÉREUSE, Com. en un Ac.en pro:par un anonyme Tepréfentée à l'armée en 1646, aprèsla prife du Château d'Anvers.

Le BRACELET Com. en un Ac. en pro. par de Beauchamps.

Le succès qu'eut fa pièce du Portrait lui fit donner lamême année cet autre bijou des Dames, qui eut un fortmoins heureux. On le repréfenta au Thé. Irai. le 10 Décembre1727 et il ne fur joué que deux fois. Cette piècen'a pas été imprimée.

BRADAAïANTEniece de l'Empereur Charlemagne.Cesujet, tiré de ÏAriojle, a fervi de matièreà fixpiecesde

Thé. et à un Opé.et n'a cependantjamaisréuflî.La premièrepièce, qui efttoute imicéede l'Ariofle, eftde Rob.

Garnier, c'est le premier Ouvrage dramatiquequi aitporté le titre de Tragi-Comédieel, le fut donnéeen 1f J82.

La fécondeeft d'un anonyme, et paruten 162.x fousletitre de laMORTdb BRADAMANLTaEc.roiGemeftdeLa

Calprenede, etfut repréfentéeen i6;6. Laquatrièmeet!:la Bradamante ridicule du Ducde Saint-Agnan, repréfentéeauThéâtrede

Guénégaud, devantla Cour, en167 ou, felond'autresAuteurs, le n Janvier1664, aut

PalaisRoyal, etqui n'en:pasimprimée.Lacinquiemeeftune Tra. de ThomasCorneille, qui auroiteu plus de succès, s'il n'avoitpas voulu fuivrefi fidelementl'Ariofteles combatsdesfemmescontredeshommes., n'étantguetesde notregoût, elle fut donnéele 1S Novembre\6?$

Sefetrouvedansletomehuitièmede fes(Euv.La (mêmeenfinfut impriméeen t 6zf dans le recueilduThéâtreïrançois cepourroitbienêtre la mêmeque celledonnéeeniôzi.

BRA [Pièces.) BRU %9

L'OpérdaeBxadamantecftle69111Cc'e, ftuneTra.encinq

Aciosdontlesparoles(ontde M.Roy Silamuliqucda

LaCode eHefut représentépeourlapremièrefoisle i

Mai1707, eteft imprim' partitionin-40.LeProloguese patteentreun Enchanteuru, neEnchanrerefetleune

Fée.Onn'apointremiscetOpéra.

LesBRAVACHERIDEUS, .CAPITASNPAVENTEC, om.deN. donnéeen itfoS.

Le BRAVE, vu le TAILLE bras Com. en cinq Ac. en vers, de Jean-Anr. Baïf, jouée le 18 Janvier 1/67 devant la

Roi, en l'hôtel de Guife.

BRIOCHÉ. Voyt\ l'ORIGINE DES Marionettes.

BRISEÏS, Trâg. par M. Poinfinet de Sivry, donnée au Thé.

Fran, le z 5 Juin1 7^9, etfort bien accueillie. C'eftle premier

Ouvrage dramatique de cet Auteur, et il y fit plufieurschangemens.

BRITANNICUS. Nous avons deux Tra. de ce nom, l'unedont on ne fait rien que le titre, de Charles Du Laurens, et l'autre de Racine cette dernière quoiqu'excellente, tomba à la huitième représentation qui en fut faitc en Décembre1669, parce que, dit-on, le rôle de Néron y étaitjoué par FLORIDOR; et comme cet Acteur était fort aimcdu Public'Ttout le monde fouffroit de lui voir repréfenter

Neron, et d'être obligé de lui vouloir du mal; ce quiprouve combien la vraifèmblance doit être obfervc'e dansles pièces puisque les Acteurs nous parement les perforïnagesmêmes qu'ils reprefentent mais le rôle ayant etcdonné à un autre elle le releva fi heureuferiient de fachute qu'elle charme encore aujourd'hui tout le monde.

On prétend auffi qu'une partie du cinquième Acte a étérefait. On la trouve dans le premier vol. des (Euvrcsde

Racine.

LesBROUILLERIEoSu, le RENDEZ-TONUOSCTURNE. Coine.nun Acteen profe, faifantpartieduBALLEDTESvingt-quatre HEORBdSe, LeGrand.Onl'a donnéeau

Thé.Ital.avecpeudechangemensl, e 30Juin17c5.

LesBROUILERIENSOCTURNESCoin.de Nanteuil,

Comédien delaReine, donnéeen 1669.

BRUSQUETI.etBRUSQUIIE. CTornp, laifantdeeCharles

Feau.EllefutjouéeauCollegedel'Oratoireà Marlêilleen 1ÉJ4.go BRU [Pièces.] BRU

Lc BRUTALDESANGFROID Corn.en un ou en Ac.par un anonyme, donnée au Théâtre Français le j Mai I686, etqui n'est pas imprimée.

BRUTUS. Ce premier Conful de la République Romaine, a fourni le sujet de trois Tr, t. La première est intitulée la

MORTDESEnmns DEBrute Voyt^à la Lettre M. Ladeuxième de MlleBernard, fur jouée pour la premièrefois le 18 Décembre 1690, au Théâtre Français où elle attirade nombrcufes aflèmblées, et ne fuc pas moins coûtée àl'imprefnon elle se trouve dans le cinquieme volume du

TliéatreFrançois et l'on a prétendu que M. de Fontenelley avait la meilleure part. La troisième est de M. de Voltaire, elle fut représentéepour la première fois le i r Décembre17jo etreçut de prodigieux applaudidemens ilsdiminuèrent aux repréfentationsfuivantes qui furent cependantjufqu'au nombre de quinze: lesItal. en donnèrentune Paro. fnus le titre du BOLUS.M. de Voltaire a faitimprimer fa pièce avec un Difcours préliminaire fur Ia

Tragédie; elle a été traduite en plufieursLangues.

C

CAB CAD

C' én un Aâe en profeavec un Div.'reprcfêntce au Thé. Ital. le 11 Janv. 1749eJleeft de M. de Saim-Foix et n'a été imprimée qu'en1761, quoique très-digne de l'être, les CADENATS, ou le Jaloux endormi Corn, en un Ac.envers repréfentéeen 1 66j au Thé. de Guénégaud:.ellee(t de Bourfàult.

LE CADET DE GASCOGNE. Il y a eu deux Comédies de ce titre, par des anonymes ta première en cinq Ac. donnée le 11

Août 1690 la féconde en un Acte en profe jouée le r1

Octobre 171f elles n'eurent l'une et l'autre qu'une feulereprefentation au Théâtre Français etne font pas imprimées.

CADICHON ET BABET Paro. de PIRAMEetThisbé, p.ir M. Taconet, donnée à la Foire S. Laurent 17 19.

Le CADI DUPÉ, joli Opé.Comi.en un Ac. dont les parolesfont de M.Le Monnier et la mufique de M. Monfîgny

CAD [Pièces.] CAL 9rdonnépourla première lois le 4 Fcv.1 7ô1 etqui a eubeaucoupde fucccS.

CADMUSET HERMIONE, 4111Oepé. C'eftune Tra. encinqAc.de Quinaultetde Lully. La Fablede Cadmuscftallez connue.Le Prolo. efkla défaitedu SerpentPithon.

Cet Opé.qui a eu huit reprîtes(en 1C74, 1678, 1679, 1690, i69i, i7O3ji7iiet 1737), fut repréfêntépourla premierefois le premierFcv.1673 eteft impriméenmufiq.partition in-fol. Le Bafque hommetrès-légeretlesfieursFaute$zLaîné, yy parurentdansla nouveautéjetl'Op.Comi. en donnaune Paro. en 1737 fousle titrede PIERROT Cadmus.

Le CAFFÉ, Côm. en un Ac. en pro. par Roufieau roprc'êntée(ans grand fucecs au The. Fran. le 2.Août 16^4.. Onfit cette Epigramme fur cette pièce, qui cft la premièrede l'Auteur par allufîon au Cafl'c.

Il reflufeitetoie un mort;

Et fut fon sujet fans effort,

Roulïcau pouvoir charmer l'oreille;

Au lieu qu'à fa pièce on fommcillc

Ce n'est que chez lui qu'il endort.

Voyci l'ECOSSOISE.

Le CAFFETIER, Com. attribuée à Le Grand, et représentée, dit-on fur le Thé. de Lyon.

CAHIN CAHA. Voye^ le TouR DECARNAVAL.

Le CAHOS, Paro. du Ball. des Élemeîjs par Le Grand et

Dominique. Elle est en 4 Ac. en pro. avec un Pr ol. et des

Div. etfut repréfentee pour la première fois auThé.hal.le 13 Juillet iyis-

CAJAN ou l'IDOLATRE CONYERTI, Tra. de M. F. G. B. eniôj-6.

Le CALENDRIER DES VIEILLARDS, Com. en un Ac.'enprore, par.La Motte, imprimée en dans le tomecinquième de les (Euv. et qui paroît deftinée pour le Théâtre

Italien.

Le Calendrier, DESVIEILLARDS, Op. Comi. en un Acte, donné fans succès, le 7 Avril 1753. On l'attribue à MM.

Bret et de La Chaflaigne le Languedocien.

CALISTE, ou la BELLEPÉNITENTE, Tiag. craduite de l'Anji

CAL [Pièces.] m. CAM1-;loisp, ar M. l'AbbéSeran de La Tour, repréfentéepourla première fois au Théâtre Français le x7 Avril 17/0. Elle nafut jouée que cinq fois

Cette même pièce fut mire au Thé. par M. Colardo, etdonnéepour la première fois par les ComédiensFran. le n

Novembre 1760.

CALLIRHOÉ, 79meOpé. C'est une tragédie en cinq Ac. dontles paroles font de M. Roy, et la mufi. de Déboucheselle fut reprcfentce le i7 Decem. 1711, eteft impriméepartition in-40. Le iujet est tiré des Achaiquesde Par.fanias,

Sea été traité auffifous le titre de Coresus. Le Prologueest formé par la Victoire, qui déclare renoncer àfon inconftance etfe fixer au parti de la France; Aftrcefurvient qui ramene les plaifirset annonce le retour de la

Paix. Cet Opéra fut goûté, et on en fit une reprife avecdes changemens, fur-tout dans le cinquieme Ac. le 16

Mars 1713 etenfuitê deux autres en 1731z eten 17435fa moufetteeft un fort joli morceau de mufique.

Caixirhoé Trtig. Voyt%_ Coresus.

CALLISTHENE. C'ctoit un Philofophe Lacédédomien attachéà Alexandre, pour lequel ce Prince avait beaucoupde confédération etqu'il condamna cependant à la mort

M. Piron en a fait une Tra. qui fut donnée pour la premièrefois au Théâtre Français le iÇ Février 1730. Quoique lesconnoillèurs y trouvaflènt de grandes beautés, cependant

Faction peu intéreflante fit qu'elle n'eut que neuf représentations.

CAMILLE, REINEdes Volsques, ji«ne Opéra. C'est une

Tra. en cinq Ac. dont les paroles font de Danchet, et lamufique de Campra: elle fut représentée pour la premièrefois le 9 Novemb. 171 7, eteft imprimée en mufique parritionin.40. Le Prol. se pafle entre Mars, Zéphyre, Flore, et la Nymphe de la Seine. On ne l'a point encore repris.\CAMMA Tra. de Montreux donnée, à ce que l'on prétend, en i 81, et qu'on ne croit pas imprimée.

CAMMA, REINEDE Gaiatie, Tra. de Thomas Corneilleimprimée dans le tome troisième de fes QEuv.et représentéele 2.8 Janv.- 1661 à l'Hôtel de Bourgogne, où la

Cour et la Ville se trouvèrent en fi grand nombre, qu'il nerelcoit plus de place pour la jouer) c'elt pourquoi les CoCAN93médiens Fran. qui julqu'alors n'avoicnt joué fur ce Thé.que les Dimanches Mardis et Vendredis commencerent, à caufe de la foule que leur attiroitcette pièce, àjouer les Jeudis, ce qu'il continuèrent dans la fuite, forfque leurs pièces étoient fuivies, et cela augmentafort leur recette. Ce sujet fut donné à ce que l'on prétend, à Corneille par M. Fouquet, Surinteudant des Finances.

CAMMANE, Tra. qu'on croit être de La Caze, et qui futdonnée vers le tems de la mort, en 640.

CAMMATE, tragédie en fept Actes et des Choeurs par Jean

Hays c est une pièce finguliere imprimée in- 1 1. a Rouenen i 19 8 dans un Recueil intitulé les Premières Peirfées de'

Jean Hays.

Le CAMP DE PORCHÉ-FONï'AINE. Un Fort de terre quifut fait près de Montreuil et un Camp du Régiment du

Roi près de Porche-Fontaine à l'entrée des avenues de

Verfailles, pour le divertifTement et l'inftruâion du Roidans l'art militaire, fournirent le sujet de deux petitespicces reprciêntées tontes deux au mois d'Octobre 1 71 1 jl'une au Théâtre Français de la compofition de Nie. Grandvalet de quelques autres perfonnes, quoiqu'attribuée à Lé

Grand; et l'autre au Théâtre Ital. Cette derniere, déjarapportée fous le nom d' Arlequin SOLDAT etc. était unaflèmblage fait par Dominique, de plusieurs fcencs del'ancien Théâtre Italien.

Le CAMP DES AMOURS, efpece A' Op. Comi. de Fuzelier;en un Ac. en profe, donné en x 7 i o A la Foire S. Germain, -et non imprimé.

Le CAMPAGNARD, Corn, en y Ac. en vers, par Gillet;donnée en 1 6 f 7 l'Hôtel de Bourgogne.le CAMPAGNARD DUPÉ, Corn. attribuée à Nantueil, etdont on ne nous apprend rien de plus.la CAMPAGNE, Corn, en un Ac. en vers libres, par M.de Chevrier, donnée pour la première fois au Thé. Ital.le t4 Août i7f4, etqui fut avantageufement étayée parla Servante MAÎTRESSE.

La CANADIENNE, Com. en un Ac. en vers alexandrins, par Vadé, imprimée en 17 y 8 après là mort.

CANDACE, 7>4, de Petalpzz.i, imprimée en 16S1.o+ CAN [Pièces.] CAP

CANENTE soine Opé. C'est uue Tra. de La Motre, mifeen muliq. par Colalle elle fut représentée pour la premièrefois le 4 Nov. 1700, etn'est pas imprimée en mufique.

Selon les Méiamorphofês Canente fut ainti nomméepar la douceur de fa voix, et mourut de défèfpoir devoir Ion mari Picas changé en Pivert. La fcene du Prologuerepréfente le château de Fontainebleau du côté du

Partere du Tibre; le Dieu de ce Fleuve, l'Aurore et Vertumne.cn fonr les interlocuteurs. Cet Opéra n'avoir pas étérepris, mais il reparut le ri Novembre 17(10, remis enmufique par M Dauvergne, et retouché par M. Curi.

Le CAPITAINE BOUDOUFLE, Com. de Côme La Gambe, dit Chateauvieux, donnée vers la fin du feiziemefiscle.

Le CAPITAN MATAMORE, ou le FANFARON, Corn. encinq Ac. en vers, donnée en 1*37 par Maréchal.

Ce sujet du Capitan, qui est tiré du Mileigloriofus de Plaute, a été traité encore dans trois autres pièces: l'une en cinq

Ac. en vers, attribuée par des Auteurs à un Comédien dela Troupe Jaloufe, et par d'autres à D'Etnanville donnéeen i6j9 la féconde intitulée le Véritable CAPITAN

Matamore dont quelques Auteurs ne font qu'une mêmechose avec celle de Maréchal et la troisième, fous le titredes BOUTADESDU Capitan MATAMORE, par Scarron, donnée en 1 6+6.Cette derniere est en vers, et il s'y trouveà la fin une petite pièce en vers de huit fyllabes, donttoutes les rimes tont en ment.

Le CAPRICE, Opera-Comi. en un Ac. par M. Piron, donnéeo. 1714.

Le CAPRICE, ou I'Epreove DANGEREUSE, Corn. en Adesen protè, par M. Rçnout repri'fentce pour la premièrefois fur le Théâtre Français ie x8 Juin ij6ù

Le CAPRICE AMOUREUX, ou Ninette ALACOUR, Conr.en Ac. en vers libres mêlée d'Ariettes italiennes, imitéede Bertholde à la italienà l'Opéra en 1 7f et dont la mufi que est de Ciampi. ) par

M. Favart, donnée pour la première fois au Thé. Irai, leii Féir. 17; Cette pièce fut remife le 8 Mars 17 j6, avecdes changemens, et réduite en deux Actes.

Le CAPRICE D'ERATO., Biytnifltmtnt de Fuzelier, mis

CAP [Pièces. ] CAP gjen mufique par M. De Blamont, donné par l'Académie

Royale de Mulîque, à la fin d Alcioke, le S Oetobre1730 aufujet dela naillàncede Monfeigneur le Dauphin.

LeCAPRICE DE L'AMOUR. Il y a eu deux Corn, fouscetitre: l'une indiquée par de Beauchamps, tous l'année

J6C9 5l'autreimprimée en 17 31, dansle Roman intitulé,

La Veuveenpuijfancedemari, par Mme.de Richebourgelle cft en un Atte en proce.

LesCAPRICES DU COEUR ET DE L'ESPRIT, Com. ci, , proie en 3 Ac.avec de jolis Div. par Delille, reprefentéepour la première fois au Thé. Ital.le if J uin1733 , etapplaudieelle n'a ependant pas été imprimée.

La CAPRICIEUSE, Paro. de Celimb, en un Ac. en vers, mêlée d'Ariettes, par M. Mailhol, donnée au Thé. Ital.le 1+Mai 1757. La musqué en est de Mllede Riancourcet de Milord T. Voyc[ 1' Amantecapricieuse et1' AmanteROMANESQUE.

La CAPRICIEUSE RAISONNABLE, Opéra-Comi. en un

Ac. par M. Rouflèlet., donné le 6 Septembre 174t. Il n'estpas imprimé.

Le CAPRICIEUX, Com. de Rouflèau, représentée au Théâtre Français le 17 Décemb. 1700. Cette pièce est en cinq Ac. envers c'est elle qui attira les premiers coupiets qui ont faittant de bruit, et dont la fuite a été fi funelie à l'Auteur decette Comédie.

Les CAPTIFS. Plaute a fait une Com. des Captifs , et troisde nos Auteurs Fran. ont enfuite traité ce fujets favoir,

Rotrou en une Com. en r Ac. en vers donnée avec beaucoupde succès, en 16 8 Du Ryer, en une autre Comédie'en s Ac. en vers, mais peu connue, quoiqu'annoncéefousl'année 16 r; , et M. Roy. La Com. de ce dernierest en Ac. en vers libres, avec un Prolo. et dés Dm. dontla mufiq. étoic de Quinault, elle fut représentée au Théâtre Français le 18 Sepcem. 1714 eteut un grand succès. Quelquesperfonnes ont prétendu que La Font avoir travaillé àcette pièce, et que le Prologue était de lui: quoi qu'il enfoit, elle n'est pas imprimée.

Le 11 Août 1738 il parut encore une nouvelle Comédie des

CAPTIFS, en trois Ac. qui fut représentée au College des

Quatre-Nations, avec LA Yie ESTun sonef., 6 CAP [Pièces.] CAR

Les CAPTIFS D'ALGER, petite pièce d'un Acle, par la

Sage et D'Orneval, >repréfenrée en 1714, à la Foire Saint

Laurent, et non imprimée. Cette pièce fèrvoicde Prologueà deux autres des mêmes Auteurs intitulées la Toi-60Nd'or et l'ORACLEMUETelles furent données à l'ouverturede la Foire, par la Troupe de Dolet etde la Place.

La première écoitune critique de la conduite du fieurHonoré,

Maître Chandelier i Paris, qui étant alors nouvellementpolleflèurdu Privilege de l'Opéra-Comique avaitpréféré les pièces de MM. Fu^tlierjc Piran, à cellesde.

Le Sage et de D'Orneval.

Les CAQUETS, Com.en 3 Ac.en pro. par M. Riccoboni;donnée au Thé. halo le 4 Fév. 1761.

Les CARACTERESDEL'AMOUR, i29meOpc.reprcfentcpar l'Acad. Royale de Mufiq.le i f Avril 1758, mais jouéau Concert de la Reinedès le mois de Décembre 173^.

On en attribuales paroles à l'Abbé Pellegrin quoiqu'unavertiflèment, mis à la tête de cette pieté, annonçât queplulîeurs perfonnes d'eCprity avoient eu part. La mufîquecft de Blamont, qui l'a dédié à Monfeigneurle Dauphin;et l'Epître dédicatoire en vers est:de M. Tannevot à quil'on est redevable au(li d'une partie de ce Ball, qui estformé de trois entrées etd'un Prol. dans lequel Venusévoque les ombres des plusfameux Poètes qui ont célébrél'amour, Seleur ordonne de le chanter encore. La premièreentrée est l'Amour confiant la féconde l'Amourjaloux, et la troisième, l'Amour volage celle-ci étoicplacéela première dans les premieres reprérenrations.

On ajouta à cet Opé. le 6 Janv. 1739 une nouvelle entréeintitulée lesAmours du Printems, dont la mufique étaitdu même Auteur, et les paroles de M. mais elle ne furjouée que deux fois, et n'a pas reparu non plus dans lareprise qu'on a faite de ce Ballet le 1Juillet 1749.110(1gravé en mufique partition in-folio.

Les CARACTERESDE LAFOLIE, 1 4i«i«Opéra. C'éll un

Ballet compoféde entrées etd'un Prol. dont les parolesfont de M. Duclos, etla mufi. de M. Buryfils il fut repré-(enté pour la premierefois le 10Août 17+5. On rapportedans cette pièce les caractèresde la Folie à trois efpeces, lesManies, les PaJJîons, les Caprices.On achoifi fil/:

CAR [PIECES.] CAR 97

Gftologieparmi les maniespourla premiereentrée, etony fuppofeunejeune Bergere fuperftitieufecombattantlepenchantde foncoeur., que l'on parvient en détournerenprofitantde Tonerreur cetteentréea été parodiéeà l'Opéra-Comiquefousle titre de l'ASTROLOGDUEEVulage.

L'Ambitiona été choifieparmi lesPallions etformeletùjetde la fécondeentrée. Les CapriccsdesAmansfont celuide la troisième etce fut cellequi plut davantage.

Le Prol.fepallèà Cythere entreVenus, l'Amour, la Folie Jupiteretleurfuite. CetOpéraeut allezde fucceseteft gravépartitionin-folio.On le remit enJuillet1761 avecun nouvel Acte, qui fut placéle troisièmeintitulé etqui eftd'unMilitairequigardal'anonyme.

Le.CARACTERESDETHALIE, compofésd'un Prologueetde troispiecesen unAc.jouésauThéâtre Françaisle I Juillet1737.LestroisdifférensgenresqueFagan, qui en estl'Auteur, y a traités, font 1 la Comédiede caractère*dansunepiece envers intitulée l'INQUIET:t". la Comédied'intrigue, dans une fecondeen profe intitulée

I'Etocrderie j et30. la Comédieà fcenesépifodiques;dansuneauffien profefousle nomdesORIGINAUxD. ecestroispiecesla fecondeeut feuledela réuffîte etonlajoueencorequelquefois;on remitcependantauffila troifiemeen

I7f9.

CARDENIO.yàyc{lesFOLIESDECardenio.

LeCARDINALDERICHELIEU, Tragi-Come.n Aétes.

C'eftun Libelleallégorique, ainfiquedeuxautresComédies, aunomdece grandhomme, quia étéimpriméfansdace, i/2-40.

CARISELLIDivert.Voye{lesFRAGMHDNESLully.

CARISTE, oulesCHARMEDSELABeauté Poëmedramatiqueen s Ac.de fiait.Baro, donnéen 164-9, etimpriméen1 6j 1 in-40.

CARLINE, Com.Pafto.de Gaillard, donnéeen 1656 c'estunepiecefinguliere.

CARMANTÈtragédie attribuéeà Mmede Villedieu, etinconnue.

LeCARNAVAL, Mascaradb 7-e Opéra il est en neufentrées, dontlesvers font-de différensAuteurs, fur-touc.2 CAR [Pièces.] CARde Moliereetde Benfèrade, Selâ muuquede Lully iI futjouéle 17Octobre167s eteft impriméen manquepartitionin-folio.LorfquecetteMafcaradea été donnéefurle Théâtre de l'Opéra, elle a étéaccompagnéedequelqueautre Div.leplusCouvendt e l'EGLOGUDEEVERSAILLES, et quelquefoisduBALLEDTEVILLENEUSVAEINT-GEORGE.

Benferadeavoitdonné un Balletauffiintituléle CARNAvALqui fut danfépar le Roien 1668 et dontplusieursentréesont été employéesdanscette Mafcarade, qui a étéreprffeen i6ji 1700 etc.

M. Panarddonna, à la Foireen 1718 un Prologuefousletitre du Carnaval il n'a pasété imprimé.

Le CARNAVAL DELYON, Corn.en un Ac.en pro. de Le

Grand, repréfentéeà Lyonen 1699 onl'a attribuéeauffiau Chevalierde La Ferté.

XeCARNAVALD'ETÉ, Paro.duCARNAVDAULParnasse, par MM. De MorambertetSticotti donnéeau Théâtre

Ital. pour la premierefois le 11Août17 S9, ettrès-bienreçue; on critiqueauffidanscette pièce plufieursTragédies,

SeAftricesdu Théâtre Français il y a plufieursAriettesfort jolies, dontla mufiqueeft deM. Gibert, et elle furftivie d'un beauBalletcompofepar le fieurPitro, ettrèsbienamenédanslapièce.le CARNAVALDEVENISE, Corn, en Ac. attribuéeà

Dancourt, etjouéele z9 Décembre1690 ellen'est pasimprimée.

LeCARNAVADLEVENISE^«neOpéra, lesparolesen fontdeRegnard, et la mufiquede Campra il fut représentépour la premierefois le z8 Fév. 1699 eteftimprimépartition in-4.0.LefujetduPrologueeft Minerveavecun

Ordonnateur, quifait décorerune(allépourunfpeftacle:la pièce, qui n'a jamaisétéreprife eftune Co:n.ouBail, én 4 Ac. offrant le contrafte desamours d'un Cavalier

Françoisetd'unNobleVénitien.Le quatrièmeAc.est unpetit OpéraItal. intituléOrrhéeaux Enfin..LeCARNAVALDUPARNASSE, ij7»= Opéra. C'est un

Bail, dont lesparolesfontde Fuzelier, et la mufiquede

M. Mondonvilleil est compofede Ac. etd'un Prolog.et fut donnépour la premierefoisle zj Septembre174?»

C'est le premierOpéra quela Ville (àquileRoiyenoic

CAR [Pièces.) CAR. 99.

Gijijde donner la direâion de l'Acad. de Mufq.) ait fait :eprefenter.

Le Prpl. se paire entre des Bergers et des Ber- vgeres qui célebrent le printems. Le Ballet offre un fpeotacle dans lequelThalie EuterpeetTerpficore prcfèntencce qu'elles ont de plus gracieux. Cet Ouvrage a eu trentercinq représentations, eteft grave partition in-folio.On l'arepris trois fois, en 1710, 17Sf eti7fj, etif a étéparodiéfousletitre du CARNAVAL d'Etb'.

Le CARNAVAL ET LA FOLIE, tome Opéra. C'est une

Com.Ball. dont les paroles font de La Motte, etla mufi.de Débouches il fucrepréfençé pour la première fois le3 Janv. 1704^ et est gravé partition in-4'. Le Prol. est le

FeflïndesDieux le Ballet , en quatre Actes, reprefente lesamourset le mariage du Carnavalavec la Folie perfonnifiés.

Cette idéeeft tirée de l'Eloge de la Folie, par Erafme.

Cet Opéraa été remis au Théâtre en 1719, 1750, 1738, 1748et 17f f. Lors de la reprife, faite en 1755, il enparutune parodie fous le titre de Foibttb ou l'ENFÀNT

GATÉ.

Les CARROSSES D'ORLÉANS, Corn, de La Chapelle, enun Ac. en pro. donnée avec succès au Thc. de Guénégaudle 1 Août i<8o, et repriCe en dernier lieu le 3 1 Janvier17 r 1 5c'eftla première pièce de cet Auteur elle se trouvedans CesCEuv. etdans le dixième vol. du Théâtre François.

M. Forquart l'a traduite en Anglois fous le titre de la Ren?contre des Coches, et elle a été jouée et imprimée

Londres.

Le CARTEL, ou le DÉn entre Gaillard ET BRAQUEMARD,

Corn, en f Ac..en vers, imprimée dans les OEuvresde Gaillard, en 1654» c>est une pièce originale.

Le CARTEL DE GUILLÔT, ou te COMBAT'RIDICULB,

Corn, en un Ac. en vers de huit Cyllabes, donnée par Chevalier, en r 6.60 au Théâtre du Marais.

La CARTHAGINOISE, ou la Liberté tragédie de Montchrétiendonnée en 159S c'est te même fpjet que Sophonisbbdu même Auteur, corrigée.

CARTOUCHE, , Com. en j Ac. en pro. par le Grand, impriméedans le fécond vol. de l'es OEuv.C'est une de cespièces qu'on doit , iegarder .comme uu vaudeville Car unévénement .npaveap etfipjju jier à.la prqmiere reprefenSoo

CAS [PIECES.J CAStation, le n Octobre1711 l'impatiencefut fi grande;que lesActeursne purentacheverla premièrefcenedela

Comédied'EsoFEAla COURqu'on devoitjouerd'abord;il fallut l'interrompre, et ceder aux cris tumultueuxdu

Parterre qui demjndoicCartouche.CetteComédieavoitété compolceavantla prifede Cartouche, fousle titre des

Voleurs ou deL' HOMMIMEPRENABLmEaiselle nefutpas jouéealorsetdanscetétat celle-cieut treizerepréfen.cations dontla derniereCefit le i 1 Novem.etcefameuxvoleurfut exécutéle 10 fuivanc.Dans le même temsonjouaau Théâtre liât. une mauvaifepiece fousle mêmetitre et il parut un PoëmeintituléLe vice puniou Cartouche, par Grandval qui fut goûté.

La CASAQUE.C'eftunede cespetitesFarcesque Molièredonnoiteu Province, etqu'ilfaifoit jouerenfuiteà Parisaprèslesgrandespièces celle-cifut repréferçtce le t Mai1 664 etn'est pointimprimée.

CASSANDRE, '7me Opé. C'efi:une Tra.en f.Actes, dontle Pocmeeft de La Grange-Chancel et la mufiquede

MM.BouvardetBénin ellefut repréfentéepourla premierefoisle22.Juin 1706 eteft impriméepartitioninfolio.

L'amourde CaffandrefilledePriam pourOrejlc, filsd'Agamemnon, dont Cajfandreétoitcaptive, etl'cpifodede

Clitemneftqreui eftaiméed'EgiJle, font le fujetdela Tragédie.Apollon etlesDieuxdes FleuvesScamandre,

Xante etSi mois forment le Prologue.On n'a pasencoreremiscet Opéra.

CASSANDRE, COMTESSEDEBarcelone Tragi-comédie del'Abbé Boifrobert repréfencée fur le Théâtre de Hôtel de

Bourgogne le 3 Oftobre ou le i; Décembre 16 s } avec, {accès. Elle est tirée de l'Efpagnol, et se trouve impriméedans le rizieme vol. du Théâtre François.la CASSETTE, Corn, en r Ac, par un anonyme, jouée troisfois dans le mois de Juin 168} elle n'est pas imprimée.

CASSIUS ET VICTORINUS, Tra. de La Grange-Chancel, représentée le 6 Oftbb. 173 x et imprimée dans le tomefecond de CesOEuv. Ces deux Martyrs font fort honorés à

Clermont en Auvergne, au 1j- Mai.

CASTOR ET POLLUX, ii8me Opé. G'eftiUnes Tra. dontles vers font de M, Bernard et la mMqrçdè AL Rameau

CAT [Pièces.] CEI lot

G iijelle fut reprcfentce pour la première fois le 14.Octobre17 ;7. Le iujet du Prol. est les Am rétablis au retour dela Paix;il le pafle entre Venus, l'Amour, Minerve et

Mars. Cet Opéraeft gravé en mufique partition in-

Théâtre Ital. fousle titre des Jumeaux et on enimprima une féconde fous celui de CASTORE.TPollbxmais elle ne fut pas représentée.

CATILINA., 11 y a deux tragédie fousce feul nom l'une del'AbbéPellegrin, non représentée, imprimée en 174* } etl'autre de Crebillon, , attendue depuis long-teins etenfinvueetreçue avec appb.udifl'ementle 2.1 Décembre 1748elle a étéjouée zo fois de fuite fur lé Théâtre Fran. On apublié que l'Auteur avait eu intention de la faire en fùc

Acte!, Voye\ROM8sauvée.

CATON D'UTIQUE, Tra. de Defchamps, représentée avecfucccsle s Janv. 17 1y et dont on avait déjà épuifé plufleurésditionsea1716 elle a été recueillie auffi dans leonzième vol. du T'héatre Franfoia. Dans le Mercure dttmois de Mars 1, 71 on trouve le pârallele de cette Trag.avec celleAngloifede M. Adilfon, doncle sujet est égalementla mort de Caton, et/qui fut représentée Londresprefque dans le même tems. M. Ozells a traduit la nôtreen vers Anglois et l'afait repréfenter aufli.àLondres.

Le CAVALIERPAR AMOUR, Com:en y Ac. donnée cinqf fois dansle mois de Décemb. 1678 au Théâtre de GuénEgaud, etqui n'est pas imprimée. On en ignore l'Auteur.

La CAUSEDES FEMMES, Com.en Ac.eo pro. avec desfcenesitaliennes par De Lofme de Môntchenay repré-itentée au Thé. L'Auteurmême la critique de fa pièce dans une petite Com.en un

Afte, qui fut jouée le 1 Février fuivant.

La CECILIADE, ou le Martyre SANGLANTDE Saint»

CECILE Tragi-Corn, avec des Choeurs elle fut donnée par Nicolas Soret, en 1606.

La

CEINoeSjfrÇE VENUS, Op. Comi. en s Ac. en vaude•loi CEI [Pièces.) CELvillës; par Le Sage, rèprcfentc à la Foire Saint Germainen 171 f.

La CEINTURE MAGIQUE, petite Corn, en pro. comportepar J. Rouflèati pour la Cour elle £k jouée à l'Hôtel de

Conti à Ver(ailles; devant le Roi, pendant le Carnaval del'année 1701 , et n'a pas parti à Paris.

La CELESTINE, ou Caux-ts ET Mèlïbéé Tragi-Comédiecompofêc en reprihehjîon des faux Amoureux traduited'Une Com. Efpagnole de par Jacq.

Lavardin, eh 1778. Il y a une féconde pièce fous le titret de la Celestinb dbiinée par Un anonyme en 1 (41.

CELIANE, Tragi-Corn, de Rbfcrou, en Ac. en vers donnéeen iC}4 à l'Hôtel de Bourgogne, et imprimée in-40.en iS?7..

CELIDÉEj sovi le NOM DE Calirib, ou la générositéu'AHbbR de Raiitîgùièr donnéeen K3 f.rCELIDORE Et CLÉNtpÊ, Pàfio. de Cormeil, donnée en

CELlE, ou le Viceroi DENAtïis, faajgi-Com. de Rotrou, • "donnëëën 1645-.•CELIMEjda lès Frères rivaux, Tragi-Corn. de Charles

CEL1ME; oit /r.TEli'pLÉ de l'IJjdwférbncb détruit parl'AMôur, un A âë, dont les paroles font de

Mi et la mùficjûë dé M. le Chevalierd'Herbàin. Il fat r'èpréfenté pouf la première fois fur le

Théâtre de l'Opéra 16 i 8 Septembre 17 f^, à la fuite de

ZAIns; i cju'ôh àvbit remis dans ce rems, et parodié (ois

GELIMÈNE oit AmarilIis Rotrou en Aâes> en vers joiicé en 1 C35 ïHufieurs années après c'est-àdireà là fin deftrt eutun merveilleux'fiiccès-. Il y à auïfi une Celi'mbnb ( ia jeune ) en Aftes envers, imprimée fous. lenomdeBôyer, en 1670, 8c quipourrait bien être la même choïë que la Lisimine dumême Auteur..• GELINDE Poème héroïque de Balt. Baro il est en Ac.divifés par fcenes, le tout en p'rô. hors 300 .vers qui fontpartie d'une tràg. intitulée iûoiTH st'HôzofsrnBjS:

CEN [Pièces.] CÉS- le;

Gâiiqui font amènes dans le troisième Acte. Ce Ouvrage futimprimé Paris en 1619 in-8°.

La CENDRE CHAUDE, erpece d'Op. Comi. en un Ac. par

Carolec, donné en 1 7 1 7 à la Foire Saint Germain parles Marionecres de Bienfait, il n'est pas imprimé.

CENDRILLON Opera-Comi. en un Ac en vaudevilles, par

M. Anfèaume, donné pour la première fois le z Février17 f 9. C'est exactement le sujet du conte de Perrault, misen Ccenes avec beaucoup de goût et de légereté. La muGq.des Ariettes eO: de M. La Ruerte.

CENIE Com. en Ac. en pro. par Mme De Grafigny don-, née avec beaucoup defuccès au Théâtre Fran.le tr Juin17 ro. Cette pièce a été mife en vers par M..De Longchamps, en 17 j i On l'a déja vaprife plufieurs fois.

CEPHALE ET PROCRIS, ji™ Opé. C'est une Tra. eti

S Ac. dont le Poème est de Duché et la mufiq. de Mlle de

La Guerre elle fut reprécentée pour la, première fois leif Mars 1694, et.est imprimée partition in-fol. Le fujecde cette pièce est tiré des Métamoryhofcs d'Ovide. Flore

Pan et Nerée forment le Prologue. Elle n'a point été reprife.

CepHAtK et Procris , .Com. en crois Ac. en vers libres, par

Dancourt représentée en Octobre 1711 avec un médiocresuccès. Cette pièce était précédée d'un Prologue entre

Momus et Thalie, et ornée de Div. dont la mufîq. étoirde Gilliers.

Le CERCLE, Com. en un Ac. en pro. par M. Palilfor repréfenréeà Nancy, et imprimée en 175^ C'est une piècecritique.

Le CERCLE DES FEMMES Com. de Chapufean. Voye^l'ACADÉMIE DES FEMMES.le CERDEAU DES THÉÂTRES. Voyt[ SERDEAU.

CÉSAR, ou la Liberté VENGÉS, Tra. de Jac. Grevin, don.-née au College de Beauvais le 16 Février 1 f 60. Voyc^ la

MORTDECésar.

CÉSAR URSIN. Ce sujet, tiré de l'Efpagnol, a été traitédans deux Corn, fune de fAbbé Boifrobert Voye[ les Ar-

PARENCEStrompeuses l'autre de Le Sage, enJ.Aftes enpro. et qui eut peu de succès au Thé, Tran. en Mats 1707, n' ayant été jouée que ex fois.104 CHA [Pièces.] CHÂ

Le CHAMP DE MARTEL, ou les PROGRÈS DE CHARLES

MARTEL, Tra. fur la guerre que fit Charles Martel aux

Sarrazins et fur la gloire que les François acquirent dansla bataille qu'il leur livra; par Cardin, imprimée entfS7, in-u.

CHAMPAGNE COEFFEUR, Com.en un Ac. en vers de huirfyllabes, par Boucher, donnée en 1 66 i. Les bonnes fortunesdu beau Champagne, Laquais, firent tant d'éclat, que

Louis XIV. fuc curieux de se faire montrer ce garçonet donnèrent occafion à cette pièce ce beau Cftampagncéft mort Secrétaire du Roi.les CHAMPS ELIZÉES, Com. jouée fur l'ancien Thé. Irai.

Voye^ les PROMENADES.

CHAPELAIN DÉCOIFFÉ, ou Parodie de quelques fcenesdu CID. Cette critique fut faite en 1 6 64 elle tombe principalementfur Chapelain, Cajfaigneéi. la Serre, dont lesdeux premiers venoient d'obtenir des pensons. EUceft de

Furetiere; et Racine et Boileau y avoient fourni quelquestraits, ce qui fait qu'on la trouve dans différences éditionsdes

Le CHARIOT DE TRIOMPHÉ, Tra. avec des Choeurs.

PÔyftJ.SAINTEREINB.le CHARIVARI, Com. de Dancourt, en un Ac. en ptx>.avecun Div. représentée pour la première fois le 19 Septemb.1 697. JEHeeft dans le quatrieme vol. de fes OEuvres.

Le CHARLATAN Com.en deux Ac. mêlée d'Ariettes, paxodiéedu Médecin ignorant, Intermede italien donnéen I7 3. Elleaété jouet pour la première fois au Théâtre

Iial. le 17 Novembre 17^6 et est de MM. La Combe et;

Sodi.

CHARLES DE BOURGOGNE, Tra. par Dopleix impriméeen i«>4r.le CHARMEDE LA VOIX Com.en Ac. en vers, donnéeà l'Hôtel de Bourgogne en 16 j avec peu de succès, par

Thomas Corneille qui dans fon Epîtré n'appelle point dujugement du Public, quoique peu favorable à La pièce, mais efpere que ce même Public voudra bien ne lui pasfaire répondre des fautes d'autrui, et avouer qu'il n'aéchoué que pour s'être trop attaché à la conduite de la

CovatiiedeV. dvguJiinMoreto, quia traité ce mémo

CHA • [Pièces.] CHE io;

Tujetenfa JangueCousle titredeLa quepuedela apprehenfion, etqui tuivantle goûtdesEfpaguols, fait entretenirdesvaletsetdesbouffonsavecdes Princeset desSouverains.

Elleeft impriméedansletomepremierdeles(Euv.

LesCHARMESDEFELICIE, Paflo.en y Ac.en vers, par

Montauban, donnéeen \6j i impriméeen r6y+ etciréede la DianedeMonte-Mayor.

LeCHARMEURCHARMÉ, Com.non achevée, de Desmaretsde

Saint-Sorlin.

LeGHARTIERDUDIABLE, Corn, en un Acte, de Fuzelier, donnéeà la Foireen 171e etnon imprimée.

LaCHASSEDUCERF, Corn, en Ac. en pro.avecun Div.par LeGrand, repréfentéeavecun médiocrefuccès(ûr le

Thé.Fran.le 14 Oâob. 1716.Ellefutcependantparodiéeà l'Op.Comi. fous le titre duRETOURse LAChasse DU

CERF. Elle est imprimée dans le tomequatrièmede fes

OEuvres.

LaCHASSERIDICULE, Com.enun Acte, parun anonyme, donnéefansgrandfuccèsau Thé. Iran, le 1; Juillet1£91 etqui n'est pasimprimé.

LaCHASSEROYALE, Corn.en 4'Ac.en vers, contenantla..fubtilitèdontufauneChajfcrcfieversunSatyrequila pourfuivoitd'amour:donnéepar Mainfray, en 1615.

La CHASTEBERGERE.Nous avonsdeux piècesfous cetitre l'une de Jacques Fonteni, donnée en ij87, .etimpriméeen 16ij et l'autrede La Roque, donnée en1609 cettederniereeft en cinq Actes en vers de huitfyllabes.

LesCHASTESMARTYRS, Tra. de MlleCofnard, donnéeen i6 fo elleeft tirée du Livreintitulé La Agatomphile. CHASTETÉINVINCIBLE, ou Tircis ETUranie,

Bergerieeh fAc. en pro. avec des Choeurs«n vers par.

Croifilles, en isj j. LaCHASTETÉREPENTIE, Pajlo.en Ac. en vers alelandrins, par LaValetrie, donnéeen iéc>i.

LeCHATEAU-DESLUTINS, Op. Comi.de LeSage, enunAete, donné en 1718 la Foire S. Germain etnonimprimé;C'était unedespiecesà la muetteetpar écriteaux.(.•

LeCHEMIN DE LA FORTUNE, Corn, enpro, de M. deio6 CHE [Pièces.] CHI

Marivaux. C'elt une espècede Dialogue infère dans le

Cabinetdu Philofovhe imprimeen 17 14.

La CHERCHEUSE D'ESPRIT, Op. Comi.d'un Ac. par M.

Favart, donné le 10 Fév. 1741 très-fuivi, etrejoué fouvent.

Cefl unefort jolie pièce.

La CHERCHEUSE D'OISEAUX, Op Comi.d'un Ac. touten vaudevilles, par le Sieur Desrozée joué en Provinceet imprimé à Mons en 1748.

Le CHEVALIER A LAMODE, Corn, en f Ac. en pro. re.préfentée pour la première fois le z8 Oclob. 16S7. Cettepièce a toujours paru fousle nom de Dancourt quoiqu'ellefait véritablement de Saintyon, auffi Auteur, à ce qu'onallure des Bourgeoises LA mode c'est une des pluscomiques pièces du Théâtre Français Dans fa nouveauté De

Piltiers, excellentComédien, y jonoit le rôledu Chevalier;ceux de Madame Patin etde, la Baronne étoient remplispar les DUe*de La Grange et Durieux, qui avoient ungrand talent pour ces forte*de rôles charges. Cette Comédiefut donnéed'abord 17 fois de fuite. Unmois aprèselleeut encore cinq représentations, et à la vingt-troisième, qui n'eut lieu qu'après un mois d'interV, alle, Dancourt déclaraqu'il ne vouloit plus de part d'Auteur. Il ne fit pas ungrand facrifice, dit M. Freron, dans fon AnnéeLittéraire, car on ne la joua plusque quatre foisdans l'efpacede onze.mois. On la trouve dans le premier vol. de lesOEuvres.

Le CHEVALIERBAYARD Com.héroïque, par Autreau, en

Ac. en vers, repréfentceau Théâtre Français le z; Nov. 1751.

Cette pièce, quoiqu'un peu froide et longue, est bienécrite;les caractères en font nobles et bien Soutenus, etlesfèntimens très-convenables au Héros et aux principauxperfonnages. L'Auteur la retira après fix représentation!pour la corriger elle ne fut cependant pas, redonnée.

Le CHEVALIER ERRANT, Para. de l'OEdipe de La Motte, jouée fans grand fucccs au Thé. Ital. le 30Avril 172.(1.

Elle est en vers, etde Le Grand.

Le CHEVALIER JOUEUR. Vàyt^ le JOUEUR.

Le CHEVEU, Paro. en un Ac. de l'Opéra de SCYLLA, par

M.Caroîet donnée à l'Opéra-Comi. en 1731..

CHILDERIC, 77vi.de Morand, donnée pour la premièrefois le 19 Décembre 175s cette pièce fut interrompue

CHI [Pièces.] CHI 107après la fixieme reprélentation, par l'indifpofitiôn de Dufrefneet elle penfa tomber à la première par une cabaledécidée et une plaifanterie d'un (pecTateur qu'on prétendêtre un jeune Moine déguifé, et qui fut anc'réen fortantvoici le fait. Dans une des plus belles fcenes de la pièceappercevant un Afteur qui venoic avec une lettre à lamain et qui tâchoit de Cefaire jour à travers la foule quiremplilfoit le Théâtre, il se mit à crier place au Fafleur.

L'éclat de rire qu'il excita, coupa tout l'intérêt de cettefcene, et interrompit même prefque le fpeâacle. Dansl'édition des OEuv. de Morand, donnée en 17 ji il a fupprimécette lettre, et a d'ailleurs changé avantageufementle dénouement de-fa Tragédie*

CHILPHRIC j Roi Du France Tra. par Louis Léger impriméeen i J"?o. L'Auteur fut mis en prifon par Arrêt du

Parlement, le 44 Août 1/94 la veille du jour qu'on devoitjouer fa pièce. •;.••

Les CHIMERES; ouïeBonheuivde l'illusion Opé. CoMi.de M. Piron J en deux Ac. avec un Prologue représenté le3 Fév. i7tj et non imprimé.

Le CHINOIS POLI EN FRANCE, Opêra-Comi. en un Ac.de M. Anfeàume, annoncé 'pour l'ouverture de l'Opfra-

Comique, à la Foire Saint Laurent 17 h et qui fut retardépar Tindifpûfîtion d'un Adeur jusqu'au 10 Juillet.

CetOpérd-Comiq. est'uneP

Les CHINOIS, Com. en 4 At. avec un Prol. et des fcenesitaliennes, par Regnard et Dufreny représentée pour lapremière fois (ûr l'ancien Thé. Ital. le z;3 Dccemb. -régz.

On apprend dans le dénouement de cette pièce que les

Comédiens Italiens ne prenoient encore quequinze folspour entrer, au Parterre, dans le tems qu'ils la repréfenterent, et que l'utâge de donner la Comédie gratis enréjouiffancè de quelque favorable, était déjaétabli.io8 CHR [Pièces.] CID

Le i8 Mars175-6lesComédiensItaliensdonnèrentencore;fousletitredesChinois une ComédieenunActe, mêléed'Ariettes irai. et fuivied'un très-brillantBallet, intituléles Noces Chinoifcsde la compofitiondeM. DeHeltë.

Cette pieceeft au/fi une imitation du Chinois, Intermedeitalien

M. Naigeonen est:l'Auteur.

CHRISANTÉ, Tra.de Rotrou, donnéeen 1^40 c'est unepièce(ansintérêt.

CHRISEÏDEETARIMAND TragirComd.eMairet, donnéeàl'HôteldeBourgogneen 1610. C'est la premièrepièce de cetAuteur;elle est tirée du troifiemevolumede YAftrce:

La CHUTEDEPHAÉTON Tra. de L'Hermitede Vozelle, donnésen 163j. Onindiqueaufllune Coméd.de

Le Grand, fous ce titre, qui a été jouée, à ce quel'onprétend à Lyon. ••, •-•

LeCID Trag.de PierreCorneille., qui convenoitde bonnefoi qu'il devoicGuillinde Caflro unepartie desbeautésde pièce, laquelle fut .jouée'en 1636 fousle titrede

Tragi-ComédMie...Pclillbn rapportequ'il n'est pasaifédes'imaginer avecquelle approbationle Cidfui reçu de la

Cour et dela Ville on ne pouvoit, dit-il se lallèrdelevoir; on n'entendoicparlerd'autrechofedanslescompagnieschacunen Cavoitquelquepartie par coeur, et onefaifoiatpprendre-auxënfans. Perfonnen'ignorela jaloufiequelemérite de cettepièce attira à Corneille etl'inutilitédeseffortsqu'on fitcontreelle quoiqu'appuicsde l'autoritéd'un grand Miniftrequi avoitvouluen palferpour l'Auteur, etqui lui donnapour juges des perfonnesqui Cefontcruesdepuisfort honoréesd'être les confreresde Corneille.Ceuxqui voudronten être mieux inftruits, n'ont qu'àlire lesfentimensde l'AcadémieFrançoifefurle Cid etlesJugementdesSavans, deM.Baillet.Cefontces examenscritiques qui ont fait dire à BoileaudansfaneuviemeSatyre:

En vain contre le Cid un Minière Ce ligue.

Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue..

L'Académie en corps a beau le cenfurer

Le Public rbvolcé s'obftinc à L'admirer.

CID [Pièces.] CIN io*

En effet toutes les critiques qu'on a faites du Cid ont aboutià dire que toutes les regles du Théâtre y étaient violées.

Les partisans de Corneille en conviennent mais de-làmême ils tirent un argument invinciblecontre lesAdverfàires.

Cette pièce, malgréfes énormes défauts regne furnos Théâtres depuisplus d'un fiecle il faut donc qu'il yait des beautés uipérieuts à tout ce qui a jamais paru.

Corneille avait, dit-on, dans fon cabinet cette Tragédietraduite en routes les langues de l'Europe, hors l'EfclavonneSe.la Turque. LeThéâtre en la confervanc, y a retranchéle rôlede l'Infante etRouflèauy ajoura, en 1718, quatre vers pour lèrvir de liaifon. On la trouve impriméedans le tomeifeconddes OEuvresde Corneille.

CID ( la MORT DU ) ou L'OMBRE DU COMTE DE GORMAS,

Tra. par Chillac, imprimée en 1*39.

CID, ( LAvraie SUITEET LEMARIAGEDU) Tragi-Com. par

Urb. Chevreau, imprimée in-40. en I6; 8. Desfontainesfit auffi imprimer la même année une pièce intitulée lasuite DUCID, et elle avait été représentée par la Troupe

Royale l'année d'auparavant.

CIDIPPE. Voyti ACONCE et Cydipe..

CINNA, Tra. de Pi. Corneille, donnée à l'Hôtel de BoOHgagne en 1639, avec ce fecond titre, ou la Clémenced'Auguste. Elle est imprimée tome fecond de fes (OEuvres.

C'est à cette admirable pièce que d'une commune voix ona adjugé le prix fur toutes les autres de cet illuftre Auteur;qui cependant lui préféroit fa chere Rodogune. L'Abbé

D'Olivec, de l'Académie Françoife, ne met pas le différententre ces deux tragédie et fait palfer Polieucte avant la plusbelle des deux. Cinna paroît afléz fréquemment au Théâtrej mais on en a retranché depuis quelque tems le rôle del'Impératrice Livie. On dit que Corneille avait delfinéla Dédicace de cette pièce au Cardinal Mazarin maisqu'ayant fu que le Ministre ne lui feroit point de préfent,

Aprit le parti de Padreflèr à M. de Montoron, Préfidentau Parlement de Touloufe qui lui donna mille piftoles.

On a depuis appellé les 'Epures dédicatoires qui font lucrativesdes la Montoron.

La tragédie de Cinna a fait fur le Coeur de Louis XIV. une impreûîonbien honorable à ce beau Poëme. Tout le mondeno CLAfait que leChevalier de Rohan avait conspiré contre l'Etat, et que le Roi refufa conftamment fa grace. Ce grand Princevit représenter Cinna la veille du jour où l'on devoir exécuterle Chevalier, et il en fut fi frappé, qu'il a avoué depuis, que fi on eût fai(i cet inflan: pour lui parler en faveurdu criminel, il auroit accordé tout ce qu'on auraitvoulu.

CI RCÉ Tragi-Com. de Thomas Corneille, donnée pour lapremière fois le 17 Mars 167 f Se dont le fucecs fut trèsgrand, ayant eu 41 repréièntations il ne faut pas s'enétonner, puifqu'on n'avoir rien vu jufqu'aiors de iî beau, ni de Ii furprenant que les machines qui firent le principalornement de cette pièce allez médiocre d'ailleurs. Onprétend que de Vite y avait travaillé. La mufique écoit de

Charpentier. On la trouve dans le cinquième vol. des OEuv.de Thomas Corneille, .

Dancourc a fait ca 1705 un nouveau Prol. et de nouveaux

Div. pour cette pièce, qui fur alors reprife fans machines.

Circb ) 3 me Opé. Les paroles de la Tra. font de Mme Sain.tonge, et la mufique de Defmarets: elle fut représentéepour la première fois le premier Oâ. 1694, et impriméepartition in fol. La Nymphe de la Seine forme le Prolog.avec des Nayades et des Dryades. On ne l'a jamais remifeau Théâtre.

CIRUS. Voyt^ CYRUS.

Le CLAPERMAN Op. Comi. en deux Ac. et un Prolog.de M. Piron, donné le Février 1 7 z 4 et qui n'a pas étéimprimé.

CLARICE Orl L'AMOUR CONSTANT, Tragi-Com. en Aâesen vers par Rotrou, donnée en 1 641. Elle.est imitée del'Ital. de Sforia d'Oddi.ÇLARIENTE, ou le Sacrifice SANGLANT Tragi-Corn, de

On appelle Clapennan dans quelques endroits de la Hollande ua

Officier fubalterne de Police dont l'«mploi est de veiller pendant la nuità la sûteté publique, et de fonner les heures. Il porte i cet effee un iafttu.ment nommé Clap et c'est du nom de cet .inhument, êc.du mot man, qui lignifie en hollandais un homme qu'il reçoit fa dénomination.

L'Auteur a jugé a propos de changer l'emploi du CUfcrman et le faitcharger du foin de réveiller le matin les gens mariés.

CL A [Pièces.] CLE irt

La Calprenede donnée en 16 G;7.Elle etc nommé par des

Auteurs Clarionte.

CLARIGENE, Tragi-Com. de Du Ryer, donnée en 1 63 8et imprimée en 1 6 3 9 in-4". Elle est affez bonne pour letems.

CLARIMONDE, Tra. de Balthaz. Baro, donnée en 1639 ou1 £40 et imprimée i/j-40. en 1 6 41.

CLÉAGENOR. Toy^ Doristeb.

CLÉARQUE, TYRANd'Hbr agi.ee, Ira. de Mme de Gomez, donnée pour la première fois le 16 Novem. 17 17 et quin'eut que quatre représentations.

CLÉOMEDON Tragi-Corn, de Pierre Du Ryer donnée eniSjy, le rôle principal en est fingulier.

CLÉOMENE, Tra. de Guerin de Boufcal, donnée en 163 9.

Cette pièce est tirée de Plutarque.

CLÉONICE ou l'AMOUR téméraire Pajlo. en Ac. envers, par P. B. imprimée en 1 6 o. Le sujet est totalementd'invention. Voye^ auflî la COMÉDIEs ArtsCOMÉDIE.

CLÉONIDE Paflo. par de La Birre imprimée en 1 63+.

CLÉOPATRE. Nos anciens Auteurs qui ont fait desPoëme9'dramatiques de ce titre, font, en premier liea, Jodelleû pièce est une Tra. avec un Prol. et des Choeurs intitulée

Ciéopatre cAprtvE; elleefl: adrelfée au Roi Henri II.et eut un grand succès en i y 1. Beliard, qui fit imprimeren 1^78, les DÉLICIEUSESAMOURSDE MaRC-ANTOINBETDECleopatre.3°. Nicolas Montreux, fous lenom d'Olcnix de Montfacré; }fàTra. fut jouée et impriméeà Lyon en 1594. Benferade fit repréfenter une.r«^. de

Cleopatre de fa façon, en 163j ou au commencementde l'année 1636 car elle fut achevée d'imprimer pour lapremière fois le 19 Mars 16^6. Enfuite La Tqorilliere ena donne une autre, fous le titre de Marc-Antoine ce ( Voyt^ plot ). La Chapelle a fair après la Tra. de'la Mort DE

Clhopatre représentée pour la première fois:le u Décembre 16 Si qui le fut vingt:une fois de fuite fur lé Thé. de Guénégaud et reprife avec succès au commencement de 1713 elle Cetrouve imprimée dans les (Euv. de cet Auteur et dans le dixieme vol. du Théâtre François,

Enfin les Comédiens Fran. en représentèrent une lèptiéme 8c dernière le 10 Mai 17 ;o qui est de M. Marmontel, et lia eut affez de succès. Voyt{ au(li Antiochus et Antoins,

CLÉOPHON ET LEUCIPE Tra. de Du Ryer. On ne croit pas cette pièce impriméé, et elle est peu connue. Il y a apparence qu'on l'a confondue avec Clitophon ET LEUCiPE.

CLIMENE Trsgi-Com. par de La Croix, donnée en 1618.

CLIMENE, ou le TRIOMPHE DBLAVER-ru Tragi-Comédie, en profe donnée par de La Serre en 164)»

CLIMENE, Cum. en un Ac. en vers, imprimée en 1 744 dans un recueil de La Fontaine, à qui on l'attribue et de qui elle est réellement. La vérification et le tour des penfées en décide. C'est plutôt un Dialogue des neufMufes pout louer

Climene qu'une Comédie. Elle avait déja été imprimée avec d'autres (Euv. de La Fontaine, dans l'édition in-4'. de 1717.

CLITANDRE, Tragi- Com. donnée en r6;o ou 163.1, à l'Hôtel de Bourgogne, avec le fecond titre de l'Innocence délivrée. C'est la feconde pièce de Pierre Corneille. Pour répondre en quelque forte au goût du Public qui avait trouvé fa Meute trop fimple il fit cette Tragi-Com. où il fema les incidens et les avantures avec une très-vicieufe profufion; mais il -revint. bientôt à Connaturel dans fer pièces fuivantes. Celle-ci est la première dans la règle des vingt-quatre heures, mais elle peche contre l'unité d'action;' il y avait quelques endroits un peu trop libres qui ont été fupprimés dans les fuites. On la trouve dans le premier vol. de (es (Euv.

CLITEMNESTRE, Tra. par M. le Comte de Laur imprimée en 1761 et non représentée.

CLITEMNESTRE, ou l'ADULTERE, Tra. de Pierre Matthieu, donnée en imprimée in-iz. à Lyon en ry89. 4

CLIÏOPHON ET LEUCIPE, Tra. non imprimée, de Dav Ryer, donnée en irfn le manufcric en etoic dans la Bibliothèquede M. le Maréchal D'Eftrées.

CLÔRESTE, ou les COMIDIENS RIVAUX, Tra. de Balthaz.-Baro. Elle fut jouée devant la Reine et tonte la Cour eni 6; 6, par les Troupes de Belle- Rofeet de Mondory, quis'efforcèrent à l'envi de l'emporter l'une fur l'autre.. Voyt\

CLORtSE.

CLÔRINDE. On indique quatre pièces de ce nom. La preCLO[Pièces COC iij

Hmiere aulfi intitulée le Sort DESAMANs, est une Tragi-

Cum.en {•Actes, par Pierre Poulet, donnée en i $<)%; lafécondeeft une Tra. par de Veins, i.nprimée enj 99 etoffrant l'abrégé de J'Hiftoire de Tancredeet de Clorindela troisième est une Corn.en s Aftes en vers, par Rotroujouée en 16}6 et la quatrième enfin attribuée à un anonymeetqui est peu connue.

CLORISE, Pajla. attribuée tans beaucoupde certitude à Borée, en 1614. Il y a une autre Clorise-, de Baltha.B.irodonnée à l'HÔrel de Bourgogne en 1(3 1 et imprimée à Paris, in-80. en i 6; z c'est une Pajlo. en profe tirée de

YAflrte;on la redonna en 16^6 ou 1637, et l'on pretendque la Gazettede France l'ayant annoncée fousle titrede Cloreste c'est ce qui a donné lieu aux Auteurs d'indiquerune pièce fous ce dernier titre, quoiqu'elle n'aitjamais exifté.

CLOTILDE REINEde FRANCE. Il y a deux Tra. deSainte

Clotilde; l'une par Prevoft donnée en 1 61 4etqui, quoiquetrès-foible, mérite d'être remarquée l'autre de l'Abrbc Boyer jouée au mois d'Avril 16$$ à l'Hôtel deBourgogne, etpeu fuivie.

CLOVISLEGRAND, premier Roi Chrbtibn, Tra. de

L'Héritier Nouvelon, représentée dic-on, avec fuccèsàl'Hôtel de Bourgogne, en 1638.le COCHERSUPPOSÉ, Com.en un Ac.en pro. par Hauteroche, donnée au Théâtre Français le 8 Avril 1 680, et impriméeen 1684. Le sujet de cette pièce est tiré d'une Comédie

Espagnole intitulée losRieJ'gosquetient un Coche, de

Don Antonio de Mendoca; on la revoit encore quelquefoisavecplaifir, etelle ettrouve dans le tome fecond desÛ£uv.de fonAuteur.

LeCOCQ DE VILLAGE, Op. Comi.en un Acte, par M.

Favart, donné le Mars 1743 etfort goûté.

LeCOCU BATTU ET CONTENT, Com.de Rai. Poiflbnrepréfentéeà l'Hôtel de Bourgogneau mois d'Août 1671, etqui n'a pas été Le imprimée. COCU IMAGINAIRE Com.de Moliere, en un Acte envers, représentée pour la première fois, fur le Théâtre du

Petit Bourbon, le z8 Mai t66oi par la Troupede Monfieur.

Un Bourgeoisqui Cecrut joué dans cette pièce en

H4 COC T Pièces.] COLportalesplaintes, quitournèrenàtCahonte.Cettepetite

Comédiefttiréed'uneItalienne, intituléeil Cornutpoercpinioncellefutreprésentéqeuarantefoisdefuite, quoi.qaumepoenntrdearnlt'abfencdeelaCouretenEté, etcommença queMoliereperfeftionnodite beaucoupfonftyleparfonféjourà Paris.Cettepièceeft impriméeentroisActesdansl'éditionde i £74 in-4-°et. fetrouvedansle premiervol.desautreséditionsin-11.

LaCOCUEIMAGINAIREo, ulesAMOUdR' SAicivsETde

Céphisb Com. enunActeenvers, parFranc.Donneau, jouée, àcequ'onrapporte, auThé.de l'H'uteldeBourgogne, à lahnde 1661etimpriméle'année(ili vantlee:

PAruivteiluèrgs«eftcependandtatédup Juillet1660.Quelques penfentquecettepiecen'a pasétéreprésentée.la COEFFEUSAELAMODE, Come.nAites en vers, parDouville, donnéeen 1646.

LesCOFFRESO, p.Comei.nunAe.parM.Gallet, donnéle Septemb. 17 6.Hn'eftpasimprimé, etreparuten174; fousle titredesTÉMOINcoSntre Eux-mîmEs.les COLIFICHETSCom. enunAc.enverslibres, avecun

Div.parM.Baret.C'eftunepiecemétaphyfiquete, fatytiquefur les ridiculesdutems:l'Auteurl'avoirdeftinc»pourleThé.liât.maiscommeonfitquelquedifficuldtéerepréfènter, il l'afit imprimeren 1771, avecunç

Préfaceportantcetitre, Pré-Coliftchetqsu, ieftfur-toutunecritiqueoutréedesprincipauxActeursdesThéatresdeParis.

LesPerfonnagedsecetteComédf.ontlaFolie, laModel, a

Bagatelle, fillede laMode, fousle nomde Nugatine,

Colifichetf, ilsde laFolie, unNouvelliflel'Efpritaitmode, la Raifon, l'Ennuietla Renommée.

COLIGNYV. oyeGz ASPARDDB.

CÔLINETTE. Voye^lesTrois Sphctacies.

COLINMAILLARDCorne, nunAc.en versdehuitfyllabes, donnéeparChapufeauà, l'H6te1deBourgogneenï66i. Dancourthabillacettepièceà lamoderne, etlafitrepréfentefrousle mêmetitre, eten unAc. enpro.avecunDiv^le 18Oftob.1701. Elleeut, beaucoudpesuccès.e:lleavoircependanptenfétomberà la premièrereprcTentatiomrijaisunvaudevillaedrefféauParterrlea

COL [Pièces.] COM irf

Hijfoutint.On la trouvedans le cinq ic Gxiemecomedes(Suv.de Dancourt.

LeCOLLOQUE, ou le Char TRIOMPHANdbTM. lb

Dauphin Poèmedramatiqueentretroisfuppôts des Seigneursdela

Coquille, avecfigures, emblèmeset énigmes, parunanonyme donnéen 1610.

COLOMBINEARLEQUIN ou ARLEQUINColombinb

Op. Comi.d'un Ac. en vaudevilles, avec très-peu depro.parLeSage, repréfèntéà la FoiredeS. Laureru171f.

COLOMBINEAVOCATPOURETCONTRE, Comédie

Fran.etItal, en; Ac, en profe, parFatouville, repréfèntéeaumoisde

Juin %6if, furl'ancienThé. Ital. et donnéefurlenouveaule 10 Février1718.

COLOMBINEFEMMEVENGÉE, Corn, en Ac.en pro.par Fatouville, repréfentéefurleThé. Ital. le 15Janvier1689. Il n'y avoir point d'Arlequindans cette piècepar la mort du célebreDominique, arrivéel'annéeprécédente.

COLOMBINENITETIS, Par'o.en 3 Ac.de la tragédie de

Nitetis parM.Piron donnéele 7 mars1715 au jeudesMarionettesde Bienfait.Cettepiècen'a pasétéimprimée,

Separut(busle nomde Maifonneuve.

LaCOLONIE, Com.en 3 Ac.en pro. précédéed'un Prolo.donnéeau Thé.Fran.le 1; Octobre1749, avecleRIVAL.Surrosi toutesdeuxdeM.deSaint.Foix, etqui n'eurentalorsquecettereprésentation.On les remit avec succèsen 176t.

M.DeMarivauxa fait auffiuneCom.én-unAc.en pro. fousle titredelaNOUVELCLoElonie ( Voycc{e nom).

LeCOMBATDEFORTUNE ET DEPAUVRETÉ, Corn.deJean LaTaillede Bondaroy impriméeen 1/78.les COMBATSDEL'AMOURET DEL'AMITIÉ, Com.en 3 Ac.en pro.avecunDiv. repréfentéeau Théâtre Ital..le2.3 Avril1744. Cettepièceèft de M.BlondeldeBrizE;etc'est(on premier Ouvragedramatique.Elle n'est pas¡imprimée.¡la COMÉDIE, Corn, en s Ac.en vers, par Gaillard don-

LaCOMÉDIEA DEUXACTEURS, Op. Comi.en un Ac.par M.Panard, donnéle6 Février1738.n6 COM [Pièces.} COM la COMÉDIE BALLET, Div. par un anonyme, donné pourla première fois au Théâtre Français le 17 Fév. 1664.s il n'est pasimprimé.

La COMÉDIE DE DANTE, DE L'ENFER ET DU PARADIStraduite enrimesd·rancoifesetcommentées, par Grangier, imprimée en if$6.

La COMÉDIE DE LA COMÉDIE, Com.en f Ac. enpro.donnée par Du Pefchier, fous le nom de Barry, en \6 19c'est une Satyre contre Balzac. Voye{auffi les AmouRs

DHTrapolin.

La COMÉDIE DES CHANSONS Com. en r Ac. en vers, par un anonyme, qu'on croit être Beys, imprimée en1640. Elle est compofée de couplets de chanfons, joints etconfus les uns aux autres il y a une Pastorale imprimée à Paris en 1661 intitulée Nouvelle Comédiedu Chanfons dece tems; ces Comédies auroient bien pu donner l'idée despièces en vaudevilles et des Opéra-Comiques.

La COMÉDIE DES COMÉDIENS. Nous avons trois piècesfous ce titre. La première, de Gougénot représentée en1633a l'Hôtel de Bourgogne. Les Comédiens qui font introduitsdans cette pièce, font Bellerofe, Gauthier, les

DUesBeaupré, Beauchâteau, Za Fleur et Bellerofe; et lebut de l'Àflèmblée est de délibérer', pour recevoir deuxnouveaux Acteurs. La feconde, de Scudery représentéeau mois de Novembre 16341 par la Troupe du Marais.

Elle est en y Ac. dont les deux premiers font en profe, etles trois fuivans en vers, compofent une petite pièce intituléel'AMOURCACHBPARL'AMOUR.La troisième enfin estcelle de Dancourt, intitulée la Comédie DESComédiensou L'Amour Charlatan Com. en 3 Ac. en pro. avec desairs dont la mufi. est de Gilliers. Elle fut représentée le f

Août 17 10, dans un tems oû les fpectacles de la Foireavoient tellement pris le delfus, et avoient rendu le Thé.fi ddfèrt que les Comédiens Fran. se trouverent dans lanéceffité de fermer le leur Dancourt crut ramener le Public par un Div. qui fit paroître un Arlequin, un ScaramoQcheet d'autres acteurs Italiens. On propofa à La Thorilliere de jouer le rôle d'Arlequin; mais foit, dit-on, ne l'ombre de Dominique Con beau-père l'intimidât foie qu'il ne voulût pas se défaire d'un jeu où il s'était fait beaucoup de réputation pour en prendre un autre, où il ne croyait pas pouvoir réusir il rciifta à la prière, mêmedesPuillànces etoffritfeulementde jouerle rôle de Mezetin. Dancourtle déterminafurcelaà travaillerà ce Div.etprit le fujetdansla difpoficionprefencedesaffairesde la

Comédie, et c'eftee qui produifitla première partie decette Comédiedes ComédiensD. 'ailleursl'émulationquirègneentrelesThé.de Paris, donnalieuà la fécondepartie, intituléel'Amourcharlatan, dont l'idée fut tirée del'Amourfaltinbanque, qui est une des entrées du BalletdesFins Vénitiennes le tout ne formoitd'aborddu'un feulAâe, que Dancourtétenditdepuisen trois, en appro- chantdeschofesdétachées.On trouvecette piecedans lefeptiemevol.de fes

LaCOMÉDIE DES PROVERBES, de M. D. en u9 8.

Il ya uneautre ancienr-eCom.des Provsrbss, en Ac.en pro. avec un Pro[. par André de Monduc, Comte de

Cramai!.Elle fut donnéeà1"HôteldeBourgogne en 16 1 6, etcomme il y en a euplufieurs éditions, on pourroit bienl'avoirconfondue avec celle ci-delfus.

LaCOMÉDIE DESSUPPOSÉS du fieur N. Commeon ne nous apprendrien de plus fur cette pièce, il y, a apparencequ'onl'a confondueavec lesSupposas.

LaCOMÉDIEDE VILLAGE, Corn, en un Afte en profe, par Dominique et Riccobonifils, jouée au Théacre Ical.le i} Octobre 1718, etnon imprimée.C'était une efpece de Prolog. à la Méchante FEMME.

La COMÉDIE DU PARADIS, traduite du Dante, par

LaGrangier, eniy9tf. COMÉDIE DU PURGATOIRE, par Grangier traduite du Dante, en r f96.la^COMÉDIE ET RÉJOUISSANCE DE' PARIS, Poëmedramatique, compofé l'occafion des Mariages du Roid'Efpagne g. du Prince 'de Piémont, . avec, Elifabeth et

Marguerite de France, duquel ces chan-

Une des Epithalames du même Auteur, par Jacques Du

Boys, en i^9.

La COMÉDIE SANS COMÉDIE par Quinaulc, donnée en1 (îf4 ou 1r, s au Théâtre du Marais. Cette pièce est ens Ac, en vers, et contient une efpece de Prol. une Pafia.ii* COM [Pièces.] COMintitulée Clbonice une Com. du Docteur se VERRE;une tragédie qui a pour titre Clorinde et un Opé. cI'Ar-

MIDE ET RENAUD.

La COMÉDIE SANS HOMMES, ou l'INFIDELITÉ PUNIE,

Opéra-Comi. d'un Acte, avec un Prolog. par M. Panard, repréfemé en Fév. 17 $z etremis le 3 Fév. 173 f avecun nouveau Prologue. Cette pièce n'a pas été imprimée.

La COMÉDIE SANS TITRE, Com. en f Ac. en vers; elleparut en 1679, fous le nom de Raim. Poiflbn, et e(lmême inférée dans le recueil de fes pièces cependant elleest de Bourfault. Sqn premier titre fut le MERCUREGa-'sANr; mais de Viré, Auteur de ce Mercure, s'étant plaintde ce titre, on y fubilitua celui de la Comédie fans titre;elle eut un succès furprenant ayant été jouée au doubleplus de quatre-vingt fois de fuite. Dans une reprife qu'onfit de cette pièce au mois d'Octobre 17 3 elle fut redonnéefous le titre de MERCUREGALANT, et réduite à quatre

Ac. en ayant fupprime plufîeuts fcenes qui avoient toujoursparu languiflàntes lavoir, la troisième du 1er Acte} lesz et jnie du fecond; la Gmedu troilîeme et la une duquatrieme, et on l'a toujours redonnée dans cet état depuis..Le reur Préville y repréfente fût rôles diflerens avec unégal succès.

Le COMÉDIEN POETE, Cam. jouée au Théâtre de Gucnégaud, le 10 Novemb. 1 673. Elle en: compoCée d'un Prof.en pro. d'un premier Ac. en vers qui fait une pièce particuliere, laquelle a paru imprimée Rparement fous le titredu GARÇONSANSCONDUITE enfuite eli: une fcene de pro.qui est la fuite du Prol. puis fuivent 4 Ac. en vers, quifont une nouvelle pièce comique laquelle n'a nul rapportau titre du Poëte Comédien. Voye^ la Soeur RIDICLILE.Cette

Coméd. a toujours été connue fous le nom de Montfleury;on pourroit cependant croire que Thom. Corneille y avaiteu parc, car on trouve dans un ancien regiftre des Comédiensde ce cems-là, « donné à MM. Corneille et Montileurychacun 660 liv. de l'argent qu'on a retiré de lapièce du Comédien Poëte, le zy Décembre 167} ».

La COMÉDIENNE, Corn, en un Acte en profe, jouée unefeule fois parles Ital. le Septem. 1740: elle est de M. De

Neuville Montador, et n'a pas été imprimée.

COM [ Pizc-rs. 1 COM Il,

Hiù'i

Les COMÉDIENS CORSAIPES, Op. Comi. de Le Sage,

Fuzelier et D'Orneval j c'est une efpece de Prol. de deuxpièces intitulées l' Obftade favorable et les Amours dc'guifiselle fut donnée le 10 Septembre 17 16 et fut compoféepour critiquer les Comédiens Fran. qui depuis uncertain tems ne donnoient que des pièces à Ballet et Divertifrement.

Les COMÉDIENS DE CAMPAGNE, Com. de Le Grand, jouée en Province vers la fin du fiecle dernier; on l'attribuefans fondement au Chevalier de La Ferté.

Les COMÉDIENS ESCLAVES, Corn, de Dominique, Romagnefiet Lclio Sis représentée au Thé. Ital. le 10 Août17 16. Cette pièce, qui fit honneur à fès Auteurs, est comparéed'un Prol. en pro. et non imprimé, à qui appartientle titre des Comédiens Efclaves, et de trois Ac. contenantchacun une pièce d'un genre différent. La première est une

Com. intitulée ARLEQUIN TOUJOURS ARLEQUIN, dont lesujet, tiré de l'Hiftoire des Ducs. de Bourgogne, a déjàété traité par le P. Du Cerceau dans fpn Grégoire la facondeest une Tragédie burlefque intitulée Aetcagaubis^dont le plan est de Lelio pere et la troisième est un Opé.

Comi. fous le titre de TOccasion et qui n'a pas été imprimé.

Cette diverfitc avait déja été mife au Thé. comméil a été remarqué, à L'article de ['AMBIGU Comiqubet fit copié depuis au Théâtre Fran. dans les Tkois

SPECTACLES.

Les COMÉDIENS PAR HAZARD, Com. en 3 Ac. en pro.mêlée de fcenes italiennes, par M. Gueulette représentéeau Thé. Ital. le r f Mars171 S. Cette pièce, qui. est la premièrede M. Gueulette, parut d'abord avec un petit Acteintitulé l' Anneau DE Brbnel qui, ayant été fupprimb, fut remplacé par un autre de Lelio père, nommé les

DEUXArlequines.

La COMETE. Celle qui parut en itf 80fournit te sujet d'uneÇom.en un Ac. en pro. donnée le t? Janvier 1681, attribuéeà de Yi/5, et qui est de Fontenelle. Elle était forerare mais on fa réimprimée dans le tome dixièmede la dernière édition des oeuvres de l'Auteur. On en peucvoir d'ailleurs un court extrait dans le Mercure de Juilleç1717 >?<£*«.ïio COM [Pièces.] COM

La Combtb Corn. en un Ac. en vers libres, par Boiffy avecun Div. représentée une feule fois au The. Ical. le i Juin17+9 le sujet de cette pièce était le jeu du même nom, alors fore en vogue elle n'est pas imprimée.

COMODE, tragédie de Th. Corneille, donnée fur le Thé. du

Marais en 1 6r 8 l'action principale est la mort de cet Empereur.

Sur le bruit des applaudillèmens que recevoit cettepièce, le Roi et toute fa.Cour l'allerent voir repréfenter;et quelque teins après elle fut jouée fur le Thé. du Louvre, où l'on en donna plufieurs répréfencations. On la trouvedans le fécond vol. des (Êuv. de Thomas Corneille.

Le COMPLAISANT Cam. en f Ac. en pro. attribuée à De

Launay et ensuite à l'Auteur du FAT l'uNI et à plufieursautres, reprefentée fur le Théâtre Français le 19 Décemb. 1731, remife le x Mars 1734, et le 24 Septembre 171-4, avecautant de fucces. Çjuinault qui s'etoit retiré à la campagne, reparut au Thé. dans le principal rôle de cette pièce lorsde fa première reprifè.

Le COMPLIMENT Prolo. par Pontau, donné à la Foire en17 8 et qui n'est pas imprimé.le COMPLIMENT SANS COMPLIMENT, Prolo. par

M.Taconnet donné à l'Opéra-Comi. pour l'ouverture dela Foire S. Laurent, le a7 Juin 1761 et qui réuffit beaucoup, auffi est-il de la plus grande gaieté.les COMPLIMENS, pièce en une fcene, répréfèntéê pourla première fois au Thé. Ital. le i Avril il 36, lors de larentrée d'après Pâques elle est de Romagnefi et Riccoboni, et contient des complimens en tous les genres de

Poérie, et même de la mufique.

Le COMTE DE BELFLOR, Op. Comi. en trois Ac. par M.

Panard, donné le 30 Juillet I74ôj Se non imprime. 11..n'eut qu'un médiocre succès.

Le COMTE D'ESSEX. Le malheur de cet infortuné Seigneur, qui eut la tête tranchée à Londres le if Février1601 a fourni le sujet de trois Tra. La première, par La

Calprenede, laquelie eut un grand succès, à l'Hôtel de

Bourgogneen 1638 La deuxième, de Claude Boyer, donnée fur le Thé. de Guénégaud en 1674, ou, félond'autres Auteurs, le 1jr Fév. 1 Cy8 un mois environ aprèsle COMTEb'Eïsex de Corncille; et la troisième.de ThoCOM

COM 111mas Corneille, qui elt celle qui est reftee en poflTeflîondu

Thé. Elle fut repréCencée à l'Hôtel de Bourgogne au commencementde Janvier 1678 et fut d'abord critiquée:on difoit que ce Comte feroit plus promptement condamnéen France qu'il ne l'avait été en Angleterre cependantles grandes afremblées continuèrent à y venir etcette pièce étant très-touchante il fut aifé à la célèbre

Chammllé de faire couler des pleurs. On vouloir imputerà Corneille d'avoir faltifié l'Hiftoire parce qu'il ne s'étaitpas fervi de l'incident d'une bague qu'on pretendoit avoirété donnée par la Reine Elizabeth, au Comte à'EJfexpour gage d'un pardon certain, quelque crime qu'il pûtjamais commettre mais Corneille répondit que cettebague était de l'invention de La Calprenede, et qu'il nes'en trouvoit rien dans aucun Hiftorien. Sa Tragédie setrouve dans le cinquième vol. de fes OEuvres.

Le COMTE DE GABALIS; Com. en un Ac. attribuée à Fontenelle, et non imprimée. Le livre /îngulier de l'Abbé de

VillarSj qui porte ce titre de Comte de Gabalis, et quitraite des habitans des quatre élémens, a fourni le sujet decette pièce, qui fut donnéeen i68j.

Le COMTE DE HOLLANDE, tragédie allégorique fur lesaffaires de ce tems-là, par de Montauban donnée en

J6S4-

Le COMTE DE NEUILLI, Coin, héroïque en vers., en cinq

Ac. par Boiny, donnée au Thé. Ital. le 18 Janvier 1756-.

Voye\ le Duc DESURREI.

Le COMTE DE ROQUEFEUILLE, ou le DOCTEUREXTRAVAGANT,

Com. par Nanteuil, donnée en î 664.

Le COMTE DE WARVÏCK, Tra. de Cahufac retiréeaprcs la première représentation qui en fut donnée au Théâtre Français le z8 Nov. 1741 elle n'est pas imprimée.

La COMTESSE D'ESCARBAGNAS, Com. de Moliere, enun Ac. en pro. représentée devant le Roi à Saint-Germainen-

Laye, au mois de Fév. 1671 et donnée au Public furle Thé. du Palais Royal; lé 8 Juillet fuivant. C'est une

Farce mais toute de caradereSj qui est une peinture naïve, peut-être en quelques endroits trop fimple des ridiculesde la Province. Bien des gens de goût te récrièrent concr'elle;mais le peuple pour qui Moliere l'avoic faite, lam COM [Pièces.] CONritenfouleetavecplaifïr.Onlatrouvedanslehuitièmevol.defesOEuvresL.erôledelaCentrad' Efcarbagnas doit rempliparHobert Acteufri excellenptourcesfortesdecarafteredsefemmesq, uelesrôlesdeMmPeernelle, deMmJeourdandeMmdeeSotenviletlecelui-ci, furentfaitsexprèspourluiparMoliereà, cequel'on

LapCréOteMndT.ESSDEEFOLLENVILLCEo, me.nunActeenpro.parl'AbbCéarcavijouéeauThéâtreFrançoaisvecpeudefuccès, le n d'Oftobre1710, etquin'eftpas

Laimprimée. COMTESSDE'ORGUEILC, omd.eThomaCs orneille, enp Ac.envers.Leridiculeetlesfatuités d'unMarquisdeLorgnacm, isencontraftaeveclesbonneqsualitédsefonfrèrele Chevalieret, la fuppofitiodn'unefauflê

Comtefldè'Orgueilp, ourempêchelermariagdeuMardqeucise, etttefacilitecreludi uChevaliefro, nttoutle comique fentéeenpièceetConintrigueprincipalEe.llefut repre- 1670, etCetrouvetome4 desOEuv.defon

Auteur.

LaCOMTESDSEEPEMBROVC.oytl^aFOLLGEageure.

LeCONCERTC, ome.nunAce. npro.parM.Bret, donnéepmairèleresFranl.e16Nov.1747etretiréeaprèscettepre- Le ieprérentatioEnl.len'eftpasimprimée. CONCERRTIDICULEC, omd.ePalâpraetnunAce. npro.donnéaeuThé.Franl.ei4Septemb1.689, etquifutjouéei fois defuite.

LesCONFIDENCREESCIPROQUECSo, me.nunAce. nvers, avecunDiv.parM.Simonjouéeunefeulefoisau

Thé.Fran. lej Août1747.Ellen'eu;pasimprimée.

LeCONFIDENHTEUREUXO, p.Comei.nunActe, par

Vade, donneàlaFoireS.Laurent, pourlapremière foislei 1Juillie7tff. La CONFIDENTDE'ELLE-MEMEV.oye^les Deux

NlHCBS.

LaCONFIDENTSAENSLESAVOIRO, p.Comdi.onnéà laFoireSL. aurenltela JuilleIt7f8.Il futretiréaprèsla cinquieme représentationà caufede la maladied'uneActriceet, n'apasreparu.

LaCONQUETDEUPAYSDECOCAGNÉECHOUÉE,

CON [Pièces.] CON izj

Com. d'un anonyme, imprimée à Valenciennes en 1711*la CONQUÊTE DU SANGLIER DE CALIDON Trag.attribuée à Boiflîn, mais dont on ne nous apprend point ladate on l'a fans doute confondue avec là Meleaoke.le CONSENTEMENT FORCÉ, Com. en un Ac. en profe, avec un Div. par Guyot de Merville reprefentée pour lapremière fois fur le Thé. de la Comédie Fran. le 1 Août17 j 8 cette pièce, qui eut du succès, est tirée de la Payfanneparvenue, à ce que l'on a prétendu.la CONSPIRATION MANQUÉE, Paro. très-goûtée, eten un Ac.en vers, de la tragédie de Maximien, donnée aux

Ital. le r Mai 1738) par Romagnefi et Riccoboni. La premièrerepréfentàtion de cette pièce fut précédée de cellede L'ART ar LA Natcre et fuivie de celle des Filets de

Vulcain., BâU; Pantomi. par M. Riccoboni, dont la compofitionctoit des plus ingénieuse ^qu'on reçut bien, et quis'est vu plufieurs fois depuis avec plaifir.

INCONSTANCE, ou les Lacbnes, Tra. avec des Choeurs, tirée de Plutarque, par Montchrétien donnée en 1 J99.

Douze ans après, Pierre La Rivey fit une Com. en f Ac. en, , profe, fous ce même titre de la CONSTANCE. Elle parut en

La CONSTANCE DE PHÏLIN ET MARGOTON Paflo.en Ac. en vers. Cette pièce, dont une partie est en bon

François, et l'autre en Dauphinois, fut jouée à Grenobleen 16 3 j elle est de Jacques Millet.

CONSTANTIN Tra. attribuée à Gillet en 1 ^44.

Le CONTE DE FÉE, Com. en un Ac. en vers libres, ornéede chants et de danfes, par Romagnefi et Riccoboni, repréfentééaux Ical. le z6 Mai 173 $ et reçue favorablementelle n'a cependant pas été imprimée. Le rôle d'un

Géant, qu'on avait mis exprès dans la pièce fut représentepar un Finlandois âgé de t9 ans, haut de fix pieds, huit pouces huit lignes, mefure de France, exactementprife fans fouliers, et très-bien proportionné d'ailleurs quifefaicoit voir alors à Paris: Il était le feptieme de onze enfans, et pefoit 450 liv. cette nouveauté attira tout Paris au

Thé. Ital. Voye[ L'ISLE DES Fées.

Les CONTENS, Coin. en y Ac. en profe, avec un Prol. par

Odet Turnebe donnée en 1j Se, et imprimée in- 8°. à Parisen ixfc».

H4 CON [PIECES.] COQ

Le CONTRASTE DE L'AMOUR ET DE L'HYMEN,

Com. en Actes en profe, avec un Div. de M. de Sainc-

Foix jouée au Thé. Ital. le 7 Mars 1717. Cette pièce n'estpas imprimée: on peut en voir l'argument dans le premièrevol. du Nouveau Thiatre Italien.

Les CONTRETEMS Com. en Ac. en vers libres, de M. de

La Grange, donnée pour la première fois au Théâtre Ital.le i6 Février 17 36 elle est copiée d'une ancienne picce

Italienne jouée en Juin 1716 intitulée la Maifon i deuxportes.

La CONVENTION TÉMÉRAIRE, Com. en un Acte enpro. compofée par M. Rémond de Sainte-Albine, à l'âgede 19 ans, et imprimée dans le premier vol. du mois de

Juin 1749, du Mercure.

La CONVERSION DE S. PAUL, ou la Grâce triomPHANTS, Tra. par Villemot, imprimée en 1 6 y y.

Le COQUET TROMPÉ. Voye^ le RENDEZ-YOUS DES Thuilleries.

La COQUETTE, ou l'Académie DESDAMES, Comédie, en trois Actes en prose par Regnard, jouée sur l'ancien Théâtre Italien le 17 Janv. 1691.

La COQUETTE ET LA FAUSSE PRUDE, Com. en Aclesen pro. par Baron. On croyoic qu'il n'en était que le pereadoptif, et que le véritable était l'Auteur de la vie d'Henriette

Silvie de Moliere. Cette pièce fut donnée le 18 8 Dé·cembre 16SC, et eut if représentations.

La COQUETTE DE VILLAGE. Voyt[ le Lor suppose.

La COQUETTE FIXÉE, Corn, en Ac. et en vers, avec un

Div. jouée pour la première fois fur le Thé. Ital. le to

Mars I746 , et bien reçue. Cette pièce, qui est bien écrite, est de M. l'Abbé de Voifenon elle fuc préfentée par M.de La Serre.

La COQUETTE CORRIGÉE, Corn. en Ac. en vers, par La

Noue, donnée au Théâtre Français le 13 interrompueà la iome représentation, par la maladie de" Mlle Gauflin, et remife le 19 Novemb. fuivant. Cette pièce est écrireavec beaucoup d'efprit, mais il n'y règne peut-être pasallez d'intérêt fur-tout dans les premiers Ac. L'Auteurjoua lui-même le principal rôle dans fa Comédie, et il fitau Public lors de la première reprcfeiuation au Cujet de

COQ [Pièces.] COR njcette(ttuatiocnritiquete extraordinairuen, ecourteharanguequifutfortapplaudie.

LaCOQUETTSEANSLESAVOIRO, p.Cornei.nunAc.mêlédeprofe, donnélesz Février 1744.Il eftde MM.

Favarett Roulleauetfutreprisle i9 Aoûftuivantt, outenvaudeville5sc'efatinfqî u'ileftimprimé.la COQUETTTEROMPÉEp, etitOpée.n unActe, dontlesparolesfontdeM.Favart, etlamufîquedc M.DauvergneI.lfutrepréfenptéourlaCourà Fontaineblealeu,

I Novenib1.7j 5.

CORESUESTCALLIRHOÉT, ra.deLaFofie, reprérentéeauThc.

Fran.-7leDécem1.703C. etinfortunPérêtredeBacchunsefutguèreplusheureufxurleThéatrqeu'en

Achayec;araprèsquatrerepréfentatioilnfsut contraintdedifparoîtrFe.oy^Cï allirhoe.

CORINoEuleSilence Paffod.'AlH. ardyelleeftencinq Ac.envers, etfutdonnéeen1(14.

CORIOLAONn. connoîltetraitd'hiftoirdeeceRomainqui, révoltécontrefapatrie, mitbaslesarmes, attendriparleslarmesdefamèreetdeCafemme, fuivies desDamesRomaineqsu, ivinrenltetrouvedransioncampdevantRomedontil, venoitformerle (îegeàlatètedes

Vogues.Cefaitafournliefujedt ehuitTragédL.apremièredeHardyd, onnéeen1607etimpriméeen161gelleeftavecdeschoeurLs.afécondeintituléleeVéritédieCORIOLdAeNChapotonrepréfentpéaerla

Troupe

Royalen1638.Latroifiemed, eChevreaud, onnéela;mêmeannéeet, impriméi/e1-4L0.a4mdeel'Ab.Abeillelepréfentélee1.4Fév1. 676, auThéd. eGuénégauLd.acaufdeelachutedecelle-ceiflfingulierdeansle commencemednetlapièceuneActricaeyantpompeufementfaitronfler cevers

Voufsouyicmm-ilafaut, dufeuRoni ôtrpeete.etlafécondAectric^euidevoiltuirépondreayanéttéunfpuerudetemsfanslefaire, unrieurduparterrleuirépliqua lechampetfurlemêmeton, cetautreversdelaCom.defodelePtrince

Mafois'ilm'efnouvieniltnem'enfouviegtuoew.itS COR [Pièces.] CORcettercponSfêortuitoeùméditéee, xcitdaefigrandésclats derire, etcaufatantde.troubateupauvrCe oriolaqnu, 'il tomba, ditunAuteur, d'unemanièreà nes'enpouvoirjamaisreleverI.l paroîtcependanptarlesregiftredsela

ComédiFeran.quecettepièceeutdix-fêprepréfentationsdefuite, etd'ailleurds'autreEs crivainpsrétendeqnut ecefutaufujedt 'AnGEiiqBuecetteaventuraerriva.LacinquiemTera.deCorioianeftd'unauonymee;llefutrepLraéffiexnietémleeee1ft8dNeovemb1.688etn'apasétéimprimée. ChaligndyesPlaineset, futrepréfentée unefeulefoisle18Fcv.1711L.afepciemefetdeM.Mauger, .futdonnéele 10lanv.1748etn'eutquecinqre*préfentauoneslleeftimpriméaevecbeaucoudpecorrections.

Lahuitième enfineftdeRicher, onl'imprima danslemêmetemsquelaprécédenftuetjouée, maisellen'apasétérepréfentée.

LaCORNEILLDEEMADEMOISELDLEESCAYC, om.parCorneilldeeBlefleboeisn, unActeenvers, donnéeen1678.

CORNELIEC.etitreeft commuànquatrepieces, dontquelques-unfoesntdifférentpeosurlefujecR. obG. arnieravait, en1f 68compofuéneTra.deCORNEaLvleEcdeschoeurHs.ardyfitrepréfenteenrr 6oyuneTragi-Cofmou.scenomt, iréedesNouvelldeseCervanteets, impriméeeniffij. MlleBarbieardonnéCorneliemèredesGracqdesquifutrepréfenteéneAvri1l 703etquireçudt esapplaudiifemeqnus', onvouloiftairerejaillirfurl'Abbé

Pellegrihenlui attribuanlta pièce, ainfiqu'ona faittoutecsellecsontenudeasnsleThé.deMllBe arbieEr.nfin

M.lePréfidenHt. adonnéconjointemeanvtecFuzelier, laTra.deCornblibVestale quifutjouéeleif

Janvier 1713fansgrandfuccès, n'ayanteu quecinqreprésentatioenlslen'eftpasimprimée.

CÔRON1Si6meOpé.C'eftunePajlo.héroïqueen Ac.avecunProlf.orméparlesMufesL.esversfontdeBauge, etlamufiqd.eTheobalEd.llefutrepréfentpéoeurlapremierefoisle1 Mars1691, etn'eftpasimpriméeenmufiqL. efujedt ecettepieceeftlafabledeCoronistu, éed'uncoupdeflechpearApollonenvengeancdee l'infidélitéqu'elleluiavoitfaite, pourunjeunehommede

Theûalie. Ellen'ajamaisétéremife.

COR. [PIECES.]' COU ti7

Les CORRIVAUX, Com. en pro. et en Ac. avec un Prolo.par Jean de LaTaille. Le sujet est tiré de VArioJle Secettepièce est crès-paflable pour le tems elle fut donnée en

Troterel donna aufli en r 6 1 x une pièce en cinq Ac. en versfous ce même titre.

LeCORSAIRE DE SALÉ, Op. Comi. en un Ac. reprélèntcpour la première fois le xo Août 1719. Il est de Le Sageet D'Orneval.

COSROBS Roi dis Pbrsbs , 'tragédie de lean Rotrou, repré-(entée en 1648, à l'Hôtel de Bourgogne. Cette Tragédiea été corrigée et remife au Théâtre le 19 Noyemb. 1704, par M. d'Uffé' De Valentiné, Contrôleur Général de la

Maifon du Roi, et fut imprimée dans le même tems avecl'ancienne de Rotrou à côté. On la trouve dans le premiervol. du Théâtre François. Les Stances qui ouvrent la premièrefcene du quatrieme Acte, font de Valentiné.11parut encore une Tragédie de Cosroes au Théâtre Français lej o Avril 17 rt ac qui n'eut qu'une représentation. Elle estde M. Mauger, et n'a pas été imprimée.

Les COTEAUX, ou les MARQUISFRIANDS, Com. en un Ac.en vers, par Villiers, représentée à l'Hôtel de Bourgognele la Janv. 166$. En ce rems les Gourmets de la Courformèrent une efpece de Chevalerie fous le nom des Citeaux, dont les Profès éroient diftingues dans la connoiffancedes vins et des coteaux oû croiflent les meilleurs;

Boileau fait mention de cet Ordre dans fon Feftin.

La COUPE ENCHANTÉE, Corn, en un Ac. en pro. par La

Fontaine, donnée avec fuccàs le 16 Juillet 1688 fous lenom de Chammélé, dans les OEuvres duquel elle elt mêmeimprimée. L'éducation que M. G. Architecte, voulutdonner à fa fille en la tenant enfermée et privée de laconnoiffance des hommes, fournit le sujet de cette petite, pièce.il y a audi un Op. Comi. en un Ac. fous le titre de fa Cours

BNCHANTHBil est de M. Rochon, de La Vallette, et de M.

Rochon de Chabannes fon frere, et fut donnée le 199 Juilleti7f;.

LesCOUPLETS EN PROCLS, gp. Comi. en un Acte enforme de Prolo, donné le 18 Féy. 1730, par Le Sage etliS COU [Pièces.]- COU

D'Orneval. Foye^li Bazoche DU PARNASSE, et le Procêj

DES ARIETTES.

Les COUPS D'AMOUR. ET DE FORTUNE. Nous avonstrois pièces de Thé. fous ce titre, et dont le sujet est à peuprès le même. L'une, de l'Abbé BoiCrobert, donnée fur le

Thé. du Marais en 1 6 f C. L'autre, de Hendeline etqu'onne connoît que de nom et la troisième, de Quinault, donnée auflî en ï6 f 6 mais par les Comédiens de l'Hôtelde Bourgogne. Selon quelques-uns ce sujet est pris d'une

Comédie Èfpagnole intitulce Il crédita mattoj mais de La

Monnoye le prétend tiré d'une pièce de Dom Antoine de

Solîs, qui a pour titre, Le Triomphe d'amour et de fortune.

Scarrondit, dans l'édition de fes OEuvres de 16 $6, quec'est à tort qu'on attribue les Coups DEl'Amour ET DEla

Fortune à Quinault: que le fiijet en a été fait par MU«du

Château que les quatre premiers Ac. ont été mis en verspar Trillai, et que lui Scarron, a fait le dernier à lapriere des Comédiens, parce que Triftan se mouroit.

Les COUPS DU HAZARD, Com. de N. en un Afte envers, représentée par les Comédiens de Monfeigneur, en1(91.la COUR BERGERE, ou l'ARcADIB DESidney, Tragi-Com.par Maréchal, donnée en 1640, et imprimée la mêmeannée i/1-40. On connoît aulli cette pièce fous le titre de

LIZIDOR.

Le COURONNEMENT DE DARIE, autrement Darius, • Trap-Com. de l'Abbé Boifrobert, donnée en 1 641 et imprimée«n-40. en 1641.

Le COURONNEMENT DU JEUNE DAVID, Pajto. du

P. Brnmoy. Elle est en vers libres eten 4. Ac. dont le derniern'a qu'une fcene.les COURONNES, Pajîo. en 3 Ac. par M. Gondot, impriméeen 1 760 et qui n'a pas été repréCentée.

Les COURONNES, ou l'AMANTtimide Paro. en un Ac.de la feconde Entrée de l'Ope, des Amours de Tempe, donnée avec fucces pour la première fois: auThé. Ital. lei j Décemb. 17 s *• Elle e(t de M. Rénout.

La COURSE GALANTE, ou l'OUVRAGB d'ohb- minute,

Paro. en un Ac. par Carolet, de la Comédi da GALANT

COUREUR,

COU [Pièces.] CVet Il§1coureur donnée auï Marionettes de la Foire S. Laurenten I7zz. Elle n'a pas été imprimée.

Les COURSES DE TEMPE Paflo. en un Ac. en vers, etavec des Div. par M. Piron, jouée au Théâtre Fran. le 0

Août I7;4, avec l'AMANTMYSTÉRIEUX, du même Auteur.

Cette Paftorale fut feule approuvéé; on la trouva cependantd'un ftyle un peu trop pompeux pour une Bergerie.;

Les airs et la fymphonie des Diveniflemens font de M.

Rameau.

Le COURTISAN Com. par un anonyme, en 1 6 1 8.

Le COURTISAN PARFAIT > Tragi-Corn, en Ac. en vers;par D. G. L. B. T. donnée en ï 66%.On fait que cette pièceest de M. Gilbert quoiqu'elle ne foit pas imprimée dansfes OEuvres. Elle renferme deux pièces, dont la fecondecommence au troisième Àfte.

LeCOURTISAN RETIRÉ, Com. de Jean de La Taille, doncon ne fait que le titre.

La COURTISANE ATTRAPÉE. Voyt\ Le MATOIS MARI.

CREDIT EST MORT Opera-Comi. de M. Piron en ont

Acte, donné ea t716 à la Foire S. Germain, et non'imprimé.

La CRÉOLE Com. en un Ac. en pro. mêlée de Divertiflè-.mens, par M. le Chevalier de La Morliere, donnée an

Théâtre Français le 1 1 Août17 f 4 etqui n'eut que cette reprétentation.

Elle n'est pas imprimée.

CRESPHONTE, ou le RETouR. DES HÉRActiîms Tra. de

Gilbert, représentée en 16/7 à fHôtel de Bourgogne, .

Voye^ les HBRACLIDES.

CREÜSE, y-jvx Opé. C'est une Tra. qui fut représentée pourla première fois le s Avril 17 ï 1. Le Poëme est de M. Roy, etla mufiq. de La Coite: elle est imprimée partition in-^°.

Le Prol. est une difpute entre l'Hiftoire et la Fable, terminéepar Apollon qui les réunit pour le fpeftacle de

Creiife l'Athénienne. dont autrefois fon- coeur porta leschaînes. Euripiée a traité ce sujet fous le titre d'lo. On n'ajamais remis cet Opéra.

Le CRIME PUNI Opé. qui se trouve dans le quatrieme vol.de la derniere édition des de La Grange-Chancelet qui n'a pas été joué, c'est une imitation du Festin »Il

Pierre.ijo CRI [Pièces.] CRI

CRISPE. Voyei la MoRT DECrispe.

CRISPIN BEL ESPRIT, Corn. en un Ac. en vers par l'Ab.

Abeille, donnée fous le nom de La Thuillerie le 1 1Juif.1'81. Crifpin y paraît d'abord fous l'habit d'un Savant, enfuite fous celui d'un homme de guerre il fait un récitfort divertiflant du fiege de Puicerda. Cette pièce est rejouéequelquefois.

CRISPIN CHEVALIER. Voyelles GRISETTES.

CRISPIN GENTILHOMME, Corn, en Actes en vers, de

Montfleury, repréfcntée en 1677 et imprimée dans lanouvelleédition du Théâtre de cet Auteur, en 1739.

CRISPIN MÉDECIN, Corn, en Aftes en pro. de Hauteroche, représentée en 167;, et jouée allez fouvent fur le

Théâtre Français Le fujec en est fort comique.

CRISPIN MUSICIEN Com. en $ Ac. en vers, de Hauterocheelle fut donnée pour la première fois à l'Hôtel de

Bourgogne, au mois de Juillet 1 674 et eut quarante représentationdes fuite, quoique dans la plus mauvaife fai-

Conde l'année pour le Théâtre.

CRISPIN PRÉCEPTEUR, Com. en un Ac. en vers, de ta

Thuillerie, reprcfentce à l'Hôtel de Bourgogne en 1679.

L'Auteur content de la réuflite de fa pièce avoue cepêndantdans fa Préface, qu'une perfonne qu'il avoir priéd'aller dans le Parterre pour favoir ce que l'on diroit defa Coméd. vint lui rapporter avec fincérité, que plufieursgens en avoient parlé de différentes manieres, mais quenul n'avait dic qu'elle fût bonne en effet elle est très-médiocreet d'un bas comique.

CRISPIN RIVAL.DE SON MAITRE, Com. d'un Afte enpro. par le Sage, repréfentee au mois de Mars 1707 elleest fouvent reprife au Théâtre et on la trouve impriméedans les oeuy. de Le Sage et dans le onzieme volume du• ^théâtre François. Voye^ RIVALde son Maître.

La CRITIQUÉ , Com. en un Ac. en vers libres, avec un Div.jjarBpifly, représentée farle Thé. Irai, avec succès, le 9

Fév. 17 j 3z. Elle était précédée d'un Prol. ou petite Comédieen un Ac. en vers, qui avait pour titre, I'Auteur su;perjtitieijx et fuivie d'un Div. auffi ingénieux que fin-'• gulier. Les Acteurs de la pièce font Apollon, Thalie, la Critique, un Auteur fatyrique, la Médifance, le

CRI [Pièces.1}CYR ï)r

Iij

Vaudeville, Corcfus, la Contredanfe, le Menuet, etc.

Les CRITIQUES CRITIQUÉS, ou VÉRITÉSSURLEScaractères

A LAMODE, Corn, d'un Ac. en vers, imprimée enle CRUEL ASSIEGEMENT DE LA VILLE DE GAIS,

Com. en vers, avec la joycufe Falce de Toannon d'untrcu , envcrs François de quatre pieds, donnée par un anonyme, en 159+-

Le CURIEUX IMPERTINENT. Il y a deux Com. en Ac.en vers, fous ce titre la première par Brode le jeune, donnée en 1C45 la feconde, de Nericault Deftouchesreprésentée le, 17 Novemb. 17 10. Cette pièce, qui est lapremière de cet illuftre Auteur, cft tirée du Roman de

DomQuichottc, ainli que la précédence, et eut plus deruccès dans la nouveauté que dans les différentes reprises.

Les CURIEUX DE COMPIEGNE, Com. de Dancourt, 'enun Ac. en pro. avec un Div. représentée pour la premièrefois le 4 Octobre 1698. Le Camp fait a Compiegne aitmois de Septemb. de la même année, pour l'inftruftion, de Monfeigneur le Duc de Bourgogne^ attira bien -des.-curieux, et donna l'idée de cette pièce.

CYAXARE, Roi DESMEDES, Tra. par M. Barbier, reçuepar les Comédiens Fran. en 17 49 et qui n'a pas été encorereprésentée.

CYBELLE AMOURÈUSE, Paro. de l'Ope. d'Arys, par lefieur

Sticotti, jouée au Thé. Ital. le 11 Janv. 1758.

CYDÏPEjP^o.en j Ac. avec des Choeurs etun Prol. donnéeen 163 par De Bauflais.

CYDIPPE, Op. Comi. en un Ac. avec un Prolo. donné le la

Février 1731 par M. Marignier. Il n'est pas imprimé etn'eut pas de succès.

CYMINDE, ou les DEUXVICTIMES, Tragi-Com. de Guin.,

Colleter, donnée en 164.1. L'Ab. D'Aubignac avait faitdit-on cette pièce eri pro. et Colletet la mit en vers.

CYKUS. Six Tragédies font connues fous ce nom. La première, par Montreux jouée à Poiriers en 1 8 1 fous letitre de Cyrps le JEUNE( il était frère d'Artaxerce, Roide Perte ), et qui n'est pas imprimée. La feconde, de Pier.

Mainfray, intitulée CYRUSTRIOMPHANT, OUla FUREURd'Astiagis en cinq Actes envers, représentée en 161 8.'iji CYT [Pièces.] CYT

La troisième, de Nondon, donnée en 1641, 8c imprimée'•in- 8°. elle est très-rare. La quatrieme, de Philippe Qui-'nault, représentée en iSyS et dont l'attion principale, ainfi que le titre, etl la MORT DE Cyrus. Dans cettepièce la Reine Thomiris entrant fur le Théâtre, ditces deux vers:

Que l'on cherche par-tout mes Tablettes peirfucs

Et que fans les ouvrir, elles me foient rendues.

Il est à croire dit un Auteur que ces tablettes étaientautant d'ufage chez les Reines Perfanes, que les chapeaux, dont les mains de nos Acteurs font fouvent embarraffées

Tctoient chez les Héros de la Grèce et de Rome.

La cinquieme tragédie de Cyrus est du Comédien Rofidor;elle fut donnée en 1661, Se fon titre est la MORT DU GRAND CYB.OS, OUla "VENGEANCE DE THOMIRIS. Enfinla fixieme est de Danchet, donnée' pour la première foisle z3 Tév. 1706, et qui fut jouée dix-fept fois. Plufieursannées auparavant le P. de La Rue avait fait repréfenterâa College des léfuites une tragédie latine de CYRas, defa compotitcon. Le deffein de Danchet est différent decelui de cet illuftre Auteur; mais il avoue qu'il lui doitlé caractère d'Harpagc, l'un de fes principaux Perfonnages, et qu'il a tâche de lui donner les mêmes fentimensde vertu.

CYTHERE ASSIEGÉE, Opéra-Comi. d'un Afte. Cette pièce'r fut d'abord faite en profe Se couplets, par M. Favarr, en fociété avec r agan et représentée à Paris, à l'ouverturede la Foire S. Laurent 1744, mais depuis entièrementrefondue, et mife tout en chant par le fieur Favartfeul, pour la Troupe des Comédiens de Bruxelles, qui laïepréfèriterent dans cette ville pour la première fois le 7

Juillet 1748. Elle a été donnée dans ce dernier état à lafoire S. Laurent 17H.»îiliii

D

DARE et DARIE. Voyez Darius.

La DAME A LA MODE, ou Suite DELACoquette Com:en y Ac. en profe, attribuée à Dancourt, représentée le janvier 16X9, avec succès, et qui n'en: cependant pasimprimée.

La DAME D'INTRIGUE, ou I'Homme de PAILLE, Com. en3 Ac. en pro. donnée en i 66z; par Chapufeau, et qu'onattribue à Dorimond.

La DAME INVISIBLE ou l'ESPRIT FOLLET.Ce rujec, quiest pris de la Dame Duene pièce Efpagnole, une des plusbeltes du Cddcrort nous a fourni deux Çom. la première, en f Ac. par Douvilie, donnée à l'Hôtel de Bourgogneen 16 41, qui est fans vraisemblance, et plutôt en proferimée qu'en vers et dont cependant les incidens parurentli divertillans qu'elle eut un grand fucecs elle Cetrouvédans le feptieme vol. du Théâtre François. La fécondeauflî en y Ac. en vers, représentée le u. Fév. 1684., parutfous le nom de Hauteroche cependant on l'attribue com.munément à Thomas Corneille. Le Théâtre Ital. n'a pasmanqué de faifir auffi ce sujet comique, avant pareillementra Dame invifible, et Coraline efprit follet, en Italien.la DAME MÉDECIN Com. de Montfleury en f Ac. eavers, représentée au Thé^deGuénégaudle i4Janv. 167 8et qui fut donnée quinze fois.

LA DAME SUIVANTE, Comédie de D'Ouville, en 5 actes en vers donnée avec un grand succès en 1 64;.

Les DAMES VENGÉES, ou la DUPEDEsoi-même Com.en r Ac. en profe par Donneau de Vifé 4 représentée aù

Théâtre Français le xz Fév. 169 f. C'est la défenfe du beau ferecontre la Satyre de Boileau, laquelle parut en ce tems.

On prétend que Thomas Corneille a eu part à cette Comédieelle Cetrouve dans le huitième vol. du Théâtre

Francois.les DAMES VERTUEUSES, Cm. attribuée à de Vitc, par

M. de Beauchamps et inconnue.ÏÎ4 T>AM [Pièces.] DAP

DAMOCLEou, lePHILOSORPHoiHCorne, n3 Aâoesnpro.Cettepièceétoitoriginairemeenntverslatinsle

P. Buffielr'a traduitepourfervird'exempled, ansfa

Grammaireo, ùellefut imprimeéne1718L. 'AbbPéoney deNeuvillfeitrepréfentielry a unevingtainde'années, auCollegdeeMâconu, neComin. tituléDeAMOCLÉS.

DANAÉCume.n3Ace. nversavecunProloe.nprofeet, des agrémensC.'eftla premièrpeiècequiait étéreprétentéeàl'ouvertudreuThé.desComédieIntsal.àlaFoire

S. Laurentle if Juillet171t.ElleavoitétécompofeepourlesancienCs omédieIntsal.parSaintyonR.iccobonile pèreetDominiquyeretouchèrepnltufieurfsceneset, leProl.étoitd'euxE. llen'apasétéimprimée.

DANAÉo, uJupiter CRISPINCo, me.nunAc.enverslibres, avecunProl.parLaFont, repréfentféuerleThéatre

Fran.le4Juillet1707,

LesDANAÏDETS, ragd. eGombauldd, onnéeeni6\6 etimpriméeen16f8.VoyeH\ YPBRMNECSeTttRepEiè.cfeetrouvedansLefixieme volduThéatre Francois.

DANAUS, Tra.en Ac.envers, parDelifleavecdesIntermedceosmiqueasuffeinvers, d'uneidéenouvellete, liresdelapiece;enfortequechaqueActetragiqueenproduiutncomiqueL.amuCqudee cestroisIntermèdesétaitdela comptoiof ndeMoureEt.llefutrepréfenptéoeurlapremière foisauThé. Ital.le1 Janv.17j t etn'apasétéimpriméeonpeutenvoirl'extrait dansleMercuredeFrance, dumoisdeMars1731.le DANGEDRESRICHESSECSome.npro.enActes, donnéaeuCollegdeesQuatre-Natiolnes2, .0Aoû1t739-

DAPHNÉOpée.nf Ac.etunProl.compofpéarLaFontaine, en1684.Onnecroitpasqu'ilait jamaisétémisenmufiqueet, Cetrouvedansletroifiemveol.deles(Euvresmêlées.iDAPHNEISTALCIMADURiEfi, g»»OpéraC. 'eftune

Pafio.Languedocieennn3eAca. vecunProl.Lesparolesetlamufiqe.nfoutdeM.MondonvillLe.apremièrteepréfentatiodnecetO;vrâfutdonnépeourlaCourà FontainebleauÎe, 29Octobre17^4.Il parutenfuitefurle

Théâtredel'AcadémRieoyaledeMufîql.e i^Dccernb.eteutdufuccèsL.eProi.euet nversFrançojils'inflitution

DAP [Pièces.] DAR I)r

I üijdes Jeux Floraux en forme le lujet, et Clémence Ifaure, leur fondatrice, est le feul perfonnage chantant de ce Prologue.

Il en parut une Parodie à l'Opéra-Comiquc fous letitro de I BROME ET Fanchonnette une par la voie del'impreflicn en Mai 17*6, fous le titre de DAPHNIS ET

Aiximadure et une troilieme enfin aux Irai. fous cetdes AMOURS DE Mathuîune. i

DAPHNIS ET AMATHÉF Pafto. béroïque, par M. $onlangerde Riveri imprimée en 175 $ et non représentée.

DAPHNIS ET CHLOÉ, inmc Opéra. C'est un Ball. entrois Entrées, dont les paroles font de M. Laujcon et lamufiq. de M. Boifmortier: il fut représenté pour la premièrefois le/¡8 Septembre 1747 et est gravé partitionin-folio. Le Prolog, est lié au sujet de la pièce et se palTeentre Dryas, cru pere de Chloé, et l'Amour. Lors d'unereprife qu'on fit de cet Opé. avec des corrections, en 17 y i, les Italiens en donnerent le f Juin une Parodie, fous le citredes BERGERSDu qualité elle est de. M.Gondot.

DAPHNIS ET ÉGLÉ, Pnfio. héroïque en uit Ac. dont lesiparoles font de M. Collé et la mufique du fleur Rameauelle fut donnée pour la première fois à Fontainebleau le19 Octobre 17 r 3»

DARDAN US, 13 4'ne Opé. C'est une Tra. en r Ac. dont les;paroles font de La Bruere et la murque de M. Rameau.

Elle fut représentée le 19 Nov. 1759 jouée vingt-fîx fois.de fuite, et remife en Avril 1 744 avec de grands changemens, qui en firent un ouvrage prefque nouveau. Cet Ope.qui a été auffi remis en 1 7 fio est gravé en mufique partitioni/2-40. Venus , l'Amour et la Jaloufie forment le Prologue.

Lefujet du poëme est pris du8me livre de l'Enéide;le voici. ce Dardanus, fils de Jupiter et d'Electre, vient«s'établir en Phrygie, et y bâtit la » Ville de'Troye, de concert avec Teucer, dont il épousa lâ flle sa.ies Italiens dontierent une Paro. de cet Ope. en un Ac. etivaudevilles, fous lé même nom, le 14 Janvier 1740 telleen: de MM..Panard, Favart et, à ce que l'on prétend,

Parmentier. On ne l'a pas imprimée.

DARIUS. Trois Auteurs ont compote des pièces de ce nom;

Jac. de La Taille et Hardy, ont fait les Tra. de la Mortse Darib avec des Choeurs j le premier en ijéi le Cet-t3* DAV [Pièces.] DEBcond, en 1619; Thomas Corneille en a donné en iffjune intitulée DARIUS ( Amedochus ) Roi de Perse. Le jeune Darius, dont on croyoit avoir facrifié la vie, parait fous un nom déguifé, et redemande le Trône qu'Ochus fon oncle lui avoic ufurpé. Oôvla trouve dans le tome lecond des OEuv. de Corneille. Voyez aussi le COURONNEMENT DB DARIE.

DAVID, ou l'ADULTERE, tragédie de Montchrétien, avec des choeurs, donnée en 1600, et imprimée en 1617.

DAVID-COMBATTANT, DAVID fugitif, et DAVID TRIOMPHANT, trois tragédie en vers de plusieurs mefiires, avec un Prolo. et des Choeurs, données par Louis Def mazures, vers le milieu du 16 meCecle, et qui se trouvent imprimées à Paris en i j6j in-i t.

On croit un nommé Scaurus Auteur d'une Tragédie intitulée DAVID COMBATTANT GOLIATH qui fut donnée en 1584, et n'a pas été été imprimée.

DAVID ET BETHSABÉE, Tra. imprimée en 1774. Cette piecé, qui n'a pas été faite pour êtrerepréfentée est:de M. Petit, Curé en Normandie, et foible la Préface en renferme des chofes aflèz particulieres.

Le DÉBAT DE FOLIE ET D'HONNEUR, pièce dramatique ; ou dialogue en profe, par Louife Labé, imprimée à Lyon en if jj-.

Le DÉBAUCHE Com. en Ac. en pro. par Baron, représentée fans grand succès au mois de Décemb. 1

DEBORA ou la Délivrance Tra. de Pierre Nancel, imprimée en 1606. Il se livre une bàtaille fur le Théâtre au quatrieme Ade. Ce même sujet, qui est tiré de l'Ecriturefainte a été traité par Duché, en une autre tragédie intituléc feulement Dïbora donnée en I7oi», et qu'on prétend avoir été représentée à Saint-Cyr. Elle se trouve dans le quatrième vol. du Théâtre François.

Les DEBRIS DE LA FOIRE SAINT-GERMAIN, Prolog. par Le Sage, Fuzelier et D'Orneval, donné par la Troupe derOpcra-Comi. le 30 Mars 1717, et qui n'est pas imprimé.

Il fut représenté fur le Théâtre de l'Académie Royale de Mufique.. )

JLe DEBRIS DES SATURNALES, Cam.en un Ac. en profc,

DEB [Pièces.] DEG 157-mêlée de vaudevilles, par Fuzelier, donnée une feule foisau Thé. Ital. à la Foire, le i j Sepremb. 1723 et qui n'estpas imprimée. Voye^_ les SATURNALES, donc cette pièceétait la réduction.

Les DÉBUTS. Voyc^ les PAYSANS DE qualité.

La DECADENCE DE L'OPERA-COMIQUE L'AINÉ, prologue par La Font, donné à l'Opéra-Comi. le 16 Septembre1711 fans fucccs. Il n'a pas été imprimé.

la DECEVANTE Com. de Nicolas Montrcur, et dont on ne connoît que le titre.

LADECOLATION DES. JEAN BAPTISTE, Tra. attribuée à Pedault, et'dont en ignore la date. Voyc^ S. ï ean.

le DEDAIN AFFECTÉ, Com. de Monicaulc, en Ac. en pro. représentée pour la première fois au Thé. Ital. le i

le DEDAIN AMOUREUX, Paflo. d'Ifaac de La Grange, imprimée en t 60;. C'est une traduction en vers de l'Itatien de Bracciolini.

le DEDIT, Com. en un Ac. en vers, par Dufrény, représentée au Théâtre Français le ti Mai 1 71 9. Le même Théâtre avair déja donné une Coin, du Dédit en Ac. par un anonyme, le J8 Fév. 1694, et qui n'eut que cette représencation. Cette derniere pièce n'est pas imprimée, et les Comédiens comptoient si peu sur fa réussite que l'on prétend qu'ils la donnèrent au fîmplc et que la part de l'Auteur ne monta qu'à 74 liv.

le DEDIT INUTILE, com. en un Acte et en vers, par Guyotde Merville, donnée au Thé. Itâl. le i 1 Juin 1741. Voyez les Vieillards intéressés.

La DEFAITE DE LA PIAFFE ET DE LA PIQpORÉE et le Banni.(%ment de Mars Vin.iroduB.ion de Paix 6» defainte Juftice, tragédie par Gabriel Bounin, imprimée à Paris

Le DEGUISEMENT, Com.en un Ac. en vers libres, donnée au Thé. Ital. le 1 j Décemb. 17 54 par M. de La Grange. C'est la première pièce de cet Auteur.

le DEGUISEMENT DE L'AMOUR, Divertifement en un acte, par M. le Marquis Du Terrail, imprimé en 17 f6 à la fin du Roman du même Auteur, intitulé la Princtse de Gon^tçuc.

Le DEGUISEMENT PÀSTORAL, Op. Cumi. en un Adletout en vaudevilles, donné le 27 Juillet 1744. Il est dé

M. Brer.

Le DEGUISEMENT POSTICHE, Paro. en un Ac. de latroisième entrée des INDES GALANTES, représentée àl'Op,

Comiq. le z4 Septemb. 173;. Elle est de M. Carolet.

Les DEGUISÉS, Cam. de Jean Godard, en 5 Ac, en vers dehuit fyllabes avec un Prol. donnée en 1594-

Les DEGUISES, Com. avec l'explication des Proverbes, par

Charles Maupas, imprimée à Blois en 1616.

Les DEHORS TROMPEURS, ou l'HoMME du JOUR Com.en vers en s Ac. par de BoiLfy, donnée pour la premièrefois fur le Thé. de la Comédie Fran. le 19 Fév. 1740, ettrès-favorablemenc reçue. Cette pièce est bien compofeebien écrite, et paire pour une des meilleures de fon Auteur.

On l'a remife en 17 y£ et on la joue de tems entems, Dans fa nouveauté, elle eut vingt représentations.

DELIE, Pajlo. en r Ac. en vers, attribuée à Chammclc, dansle Théâtre duquel elle elt imprimée, et qu'on prétend ce.pendant être de Vife, donnée le xf Octobre 1667. Elleeut peu de fuccè6. On doit remarquer que les Paflorales, en général n'ont pas été heureufes fur le Théâtre. Voyc^auai Lisis et Délie.

Le DELUGE UNIVERSEL, tragédie par Hugues Picou, impriméeen 1S43.

DEMARATE, Trdg. de Boyer, représentée à l'Hôtel de

Bourgogne au mois de Novemb. i 673 et qui n'a pas étéimprimce. Voye^ MARATE.

Les DEMENAGEMENS DU THÉATRE des Comédiens

ITALIBNSA LAFOIRE S. Laurent efpece d'Opéra.Comi.donné le 2. 1 Juillet 1724, par Fuzelier, etqui -n'a pointété imprimé.

DEMETR1US, tragédie d'Aubry, donnée le ro Juin 1689, et qui n'est pas imprimée. Voyer la Mort DE DEMEDEMOCRITE

Amoureux Com.en cinq Actes en vers, de

Regnard, représentée au Théâtre Français le n Janvier 1700.

L'unité de lieu n'y est pas obfervcè la fcene change aufécond Aâe..On trouve' dans.cette Comédie une des plusdivertiflântes reconnoiflànces qu'on ait dans le genre caDEM[ Pièces.] DEP i j, miqueE. lleeftimprimédeansletometroisièmdeesOEuv.deReçnard.

DEMOCRIPTREETENDFUOU, Cornd.eAutreauIl.l'avoird'aborpdréfentéaeuxComédienFsran.maisl'ayantrefuféeil, laportaauThé.Ical.oùellefutdonnépeourlapremière foislez4Avril1730 eteutvingt-deuxreprétentationàsfonprofitC.ettepiècecuieUen Acteesnverslibresp, afl~peourunedesmeilleuredsecetAuteur.leDENIAISEC, omd.eGillet, en5Acteesnvers, donnéeen16+7.

DENILSETYRANT, ragp. arM.Marrriontedlonnéeau

Thé.Fran.leFév. 1748, avecfuccès: c'eftlepremier

OuvragderanfatiqudeecetAuteur.

LeDENOUEMEINMTPREVUCome.nunAc.enprofe, DeMarivauxqui n'eutpasgrandfuccès auThé.Fran.oùelleparutpourlapremière faislezDécembre1714.

OnprétenqdueM.Parraiflt'aînéaeupartàcettepièce. LeDEPARDTEL'OPERCAOMIQUEO, p.Comie.nun

Ade, deM.Panard, donnele18Juillet1733 etquin'a

Mp.asétéimprimé. Favardtonnale8etle9Oftob1. 7f 9 un Compliment, ouplutôtunpetitOpéra-Codrnuumêmetitre, etquifitleplusgrandplaifiril doitmêlédecbancd, efympho- niesetdedanfesp, ourfatisfairlesPoèteslesActeurs, lesMuficienl'sOrchedrete lesDanfeudrsel'Opéra-Cominuqeuiledifputoiednetzelepouramufeetr remercierlePublic.

LeDEPARDTESCOMEDIENITSALIENSD.euxpiècesporrenctetitre5l'uneenunAc.enpro.parDufrény, jdoeuéefurl'ancieTnhé.Ital.le1+Aoû1t 694}etl'autre, LeGrandetDominiqudeo, nnépearlanouvelleTroupe Iral.le14Oetob1.71}C. ettederniereq, uieftasiffeinun

Ac.avecunDivf.utcompoféaeufujetd'unvoyageque lesComédieIntasliendsevoienfat ireenAngleterrpeourqmueantrtemois, ellen'eflp: asimprimceV. oyer.enl'argu- dansle premiervol.duNouveaTuhéâtrIetaticfr.

LeDEPARDTUGUERRIEARMANTP, afloe.nunActe, parBompa.rdte Saint-Victomr, ifeenmuliqueparM.

TorlezMaîtrdeemufîqd.eCtermoenntAuvergneet, représentée'dlaanmsêmeville, enFv. 174».14° DEP [Pièces.] DES

LeDEPITAMOUREUXCorne, n5Ac.enversp, arMoliere, repréfentéàeParis, aumoisdeDécemb1re6jX..UneComédie Ital.duScrchi, fournità Molierel'idéeetlecanevasde cettepiècequieftlaféconde qu'ilaitfaitrepréfentaeurThé.dupetitBourbonE.lleavoiét téjouéeauparavanatuxEtatsdeLanguedotce, nusàBeziersO. nlatrouvedansletomepremierdefesOEuvres.

LeDEPITGENEREUXCo, me.ndeuxAc.envers, mêléed'Ariettesp, arM.AnteaumeteQuêtantdonnéaeuThé,

Ital.le16Juille1t 7*1L. amuficj.eftdeMLa.Ruette.

LaDEROUTDEESACTEURSP, rologd.eM.Panard;donnéàl'Op.Comiqa.vantl' Armoirele6Fév.1738. Il n'enp: asimprimé. LaDEROUTDEESPAMELAC, ome.n verslibres, enun

Ac.avecunDivr.epréfentpéearlesItal.pourlapremière foisle13Décemb1.74$avecquelqufeuccèsE.lleeftde

M.Daucour.

LaDEROUTDEUPHARAONCome.nunAc.enprofe, avecunDiv.C'eftladerniereduThé.deDancourtles

ComédienCsecsamaradensejugerenpt asàpropodselarepréfenteqru, oiqu'ill'senflenrét pétéetemêmeannoncéedansleursaffichesm; aismalgrélemépriqsu'ilsavoientfaitdefapiece, l'AuteulreflacedansfaPréfacequ'elle auroiéttéreçuefavorablemeCnt'e. ftàpeuprèslamêmechofqeuelaDESOLATDIBOJSNoueuses.

LeDERVICHECom.cn unAc.enprofe, parM.deSaint-

Foixd, onnéaeuThéI.calp. ourlapremièrfeoisle1 6Sep- tembre17j j etquiaeuaffezdefuccès.

LeDERVISC, omd.ePalapratn, onimpriménei repréfen- tée.LefujetdecettepieceétoittirédesAnnalegsalantes deMmedeVilledieu.

La DESCENDTEMEZZETIANUXENFERSC, ome.nj Ac.enpro.avecdesCceneitsil.parRegnardr, epréfen- téefurl'ancienThéatreIcal.le Mars1689.Lamortde

Dominiqufeitqu'iln'yeutpoindt erôled'ArlequidnanscettepiececequiéroiiunegrandegênepourunAuteurdeceThéâtre.le DESENCHANTEMIENNETSPÉRÉCome.nunAéleenpro.parM.deLaBaftideimpriméeen17jo etnon

DES [Pièces.] DEU 141

LesDESESPERES parLeSageetD'Ornevadl, onnéàl'Opéra-

Comlieq7. Juillet17j1.

LeDESESPOEIRXTRAVAGANCTo, mp. arSubligny, repréfentféuerleThé.duPalaiRs oyall, e16Août1670etquin'eftpasimprimée.

LaDESOLATIODNESDEUXCOMEDIESC, m.enun

Ace. npro.etvaudevilleasv, ecunDiv.parLeliopère, et

Dominique jouéeauThé.Irai, le9Oftob.1718.Lafolitudqeuirégnoidtepuislong-temdsanslesThé.fournitlefujedtecettepetitepiecequin'apasétéimprimée. La DESOLATIDOENSFILOUXC, orne, nunAc.enversdehuitfyllabesparChevalier jouéeen1660ou1661 àl'occafiodnelabonnePolicéetablipearM.delaReynie, danslavilledeParis.

LaDESOLATIODNESJOUEUSESCm.enunAc.enpàroa. vecunDiv.deDancourdto, nnéleez; Août1687, l'occafiodneladéfenfdeuLansquenVeto.yclîaDEROUTE

DUPHARAON.

LaDESTRUCTIODNETROYET, ra.parJeanClopinerimpriméeenif44- Dès148;, on avoicimpriméchez

GuillaumleeRoy, àLyonunepiecefouscemêmetitre.

DEUCALIOeNfp, eced'Op.Comei.n 3 Ac.enmonologuesp, arM.Piron, représenatueJeudeFrancifquàel, a

Foirel, eif Fév.î-yiz, etquin'eftpasimprimé.

DEUCALIOENTPIRRHAC, ome.nunAc.enprofe, pat M.deSaint-Foidzo, nnéaeuThé.delaComF. ranl.e20

Fév.174TL. 'Auteurertiracettepieceaprèsla troisièmerepréfentatioetnl, afitprécédedransl'impreffiond'un

Prolog. quin'avaitpasétéjoué, n'ayantétécompotefquurc'aeprèsp, ourrépondraeuxcritiqueqsu'onavoirfaites, qu'iln'yavoiqcuedeuxActeurdsanscetteComéd.quid'ailleuersfttrès-bieéncrite.

M.deSaint-Foaimx iscettepieceenverslyriquesa, vecquelqueschangemenett l'AcadémiReoyaledeMufiqueendonnalapremiererepréfentatiloeny Octobr1e7yj lamufiqe.ftdeMM.GiraudetleBretonE. lleeftcomptéepourle 7 ornedesOpfra. CedcaiionETPIRRHAOp.Compi.arM.Baillerej, ouéà

Roueenn17^1, etquin'eftpasimprimé. LeDEUILC; ome.nunAc.envers, attribuéaeffirmativementà

ThomaCsorneilleq, uoiqureepréfentéeteimprii4t

DEU [Pièces.] DEUmec fous le nom de Hauteroche. Cette divertiflànte petitepièce eR tirée des Contes d'Eutrapel, et fut donnée pourla première fois en Sept. 1 671. On la joue aflbz fouvent.

Le DEUIL ANGLOIS, Com. en deux Ac. en vers, par M.

Rochon de Cliabanne, donnée au Thé. Irai.- le i Mars17 S7- Cette pièce est tirée de l'Anglois.

Le DEVIN DU VILLAGE Inter. en un Ac. représenté pourla Cour à Fontainebleau, au mois d'Oûo. 17 j-i et donnéenfuite avec beaucoup de succès fur le Thé. de l'Opéra lepremier Mars t7 f;. Les paroles et la mufique de ce joliet naturel morceau, font de M. Roufleau, de Geneve; ilest gravé partition in-folio et peut être compté pour lei 67me de nos Opéra. On en donna une Paro. auThé.Ital.en 17/3 fous le titre des AMOURS DE Bastien ET de

Bastienne.

La DEVINERESSE, ou MADAMEJodin, Com. en f Ac. enpro. par Thomas Corneille et de Viré, donnée pour la premièrefois le 19 Nov. 1679 fur le Thé. de Guénégaud.

Cette Comédie'eut un succès extraordinaire, ayant étéjouée pendant cinq mois, ce qui n'était pas encore arrivéà aucune pièce fans machines. Elle fut représentée quarante-fept fois de fuite, fans intermiflïon d'aucune autrepièce, et les dix-huit premieres furent au double. On faitque c'est la Yoifin qui est défîgnée fout le nom de Mme

Tobin, et que toutes les fcenes développent les tours d'adrefse, dont les prétendues Devinereffes s'étoient fervi depuisquelques années pour tromper et épouvanter bien desgens à Paris. Cette Comédie se trouve imprimée dans letome huitieme du Théâtre. François.

Les DEUX ALCANDRES, ou les Deux SBMBLABLES, Com, , de l'Abbé Boifrobert représentée en 1640, fur le Théâtre« de l'Hôtel de Bourgogne c'est une mauvaise copie des

Menechmes de Plaute.

Les DEUX AMIS, Corn, en Ac. en pro. par M. Dancourt, donnéeau Théâtre Fran. le 11 Août 17 6z et qui n'eutque cette représentation.

Les DEUX AMIS. Voyer le Vieux coquet.

Les DEUX AMIS, ou Gesipe et TITI!, Tragi-Com. d'Urb.

Chevreau, donnée en 1 63 8 et imprimée w-40. la mênw

DEU [Pièces.] DEU i4y

Les DEUX ARLEQUINS, Com. en 3 Actes en vers, par ic

Noble, représentée le %6 Septembre 169 1. Gkerardi, quijouoit le rôle à' Arlequin l'aîné y contrefaifoic à merveille

Baron qui quitta le Thé. cette même année. On prétendque fa retraite fit extrêmement groflir la recette des Comédiens

Italiens, parce que le Public ne jo ailTant plus duplaifir de voir Baron en original fur lcThéâtre Français alloit enfoule en admirer la copie au Thé. Iral. lorfque, commedans cette pièce ou dans quelques autres, l'Arlequin devoitl'imiter. On a remis cetteCom. au NouveauThé. Ital.le tt Mai 1714, et elle yefl demeurée fort long-tems.

Les DEUX BASILE Voye{ le Roman.

Les DEUX BISCUITS, Tra. en un Ac. en vers, traduite dela Langue que l'on parloit jadis au Royaume d'Aftracanetmifc depuis en v, ers François par le fieur Grandval lefils, imprimée en 1771. Les lettres initiales etfinales dunom des Auteurs de cette pièce, forment une double acrottiche qui indiquent le nom de fAuteur.

Les DEUX COURTISANNES, Cam. traduite de l'Italiendu Seigneur Louis Dominichi. On attribue cette pièce à'

Davoft, mort en 1^84, mais on n'en connoit que letitre.

LesDEUX COUSINES, Com. en un Ac. en profe, par un'anonyme. Cette pièce n'a jamais paru au Théâtre: ellefurimprimée en r 646.

LesDEUX ELEVES, Op. Comi. en un Ac. de M. Panard, donné en 1734.•

LesDEUX FRERES, Op. Coini. d'un Ac. par Le Sage, donnéle n Septembre 1734-

LesDEUX NIECES ou la Confidente d'ellb-m2mb Com.de JJoifly., envers eten 5 Ac.'rep'réfèntée pour la premièrefois, fans être annoncée, fur le Théâtre Français le V4Janvier*7 57- Voye^le PLAGIAIRE.

Les DEUX PIERROTS, efpece d'Op. Comi. en 3 Aâes, par

Dominique, donné à la Foire en 1 714 et qui n'a pas étéimprimé.les DEUX PUCELLES, Tragi-Corn, de J. Rotrou, représentéeen 16)6. Cette pièce a été imitée et prefque copiée.par Quinault dans fes Soeors rivales.

Les DEUX RIVAUX, Divercomique, orné de çouplets;14+ DEU [Pièces.] DIApar M. Dufour, donné aux Marionettes de la Foire Saint

Laurent en 17 57 et à celles de la Foire S. Germain eni7y8.

Les DEUX S(£URS Paro. critique de la Tragé. d'AniANEde Thomas Corneille par Charville. Elle en en un Ac.en vers, et fut jouée et imprimée à Toulotife en 1719.les DEUX SOEURS, ou la MERE jalouse Com. en 3 Actesen vers libres, par M. Yon donnée pour la première foisfur le Thé. liât. le 17 Avril 1 7 j j elle n'eut que trois représentations, et n'est pas imprimée.

Les DEUX SUIVANTES, Op. Comi. en 3 Ac. représenté le10 Juillet 1730 il est de MM. Pontau et Panard* et n'apas été imprimé.

Le DIABLE A QUATRE, ou la Double métamorphosé

Op. Comi. en 3 Aûes, mêlés d'Ariettes, par M. Sedaine, donné pour la première fois à la Foire S. Laurent le i9

Août 17 s 6 et remis avec des changemens le la Février

I7J7 c'est l'imitation d'une Farce angloife du mêmetitre, déja traduite en françois par M. Paru. Elle eut beaucoupde faccès.

Le DIABLE BOITEUX, en deux Com. ou Chapitres, enprofe, de Dancourt, repréfèntées avec des Div. pour lapremière fois les 8 et zo Oftob. 1707. Le Diable Boîteuxne parloic que dans les Prol. fans prendre aucune part dansles pièces les airs étoienc de Grandval le pere. Le Romandu Diable Boiteux de Le Sage qui en ce tems eut unevogue (urprenante fit paraître des Diables Boiteux detoute espèce, et produifit ces deux Com. qui furent repréfènfées3 j fois. La première est en un Ac. et la fécondeen deux.

Le DIABLE D'ARGENT, Op. Comi. ou Prolog. en un Ac.par D'Orneval, -joué en 17Z0 à la Foire S. Germain.

DIALOGUE DE SAINT-GERMAIN-EN-LAYE, en firmede Tra. par B. D B P C D. S M. imprimé en 1 649

DIALOGUE SUR LE RETOUR DE LA PAIX, entre un

Soldat, un Payfan, Polichinelle et Pantalon, avec les^remerciemens au Roi et à la Reine, par un anonyme, donnéen Ce Dialogue est en profe.

DIANE, ou la FABLEde Diane, Pafto. en S Ac. envers;;>• par. Olenix de Montfacr' .imprimée en. im.

DIA DIE 14;

K

DIANE, CoM, en s Ac. en vers; attribuéeà Rotrou, et:impriméeen 163r.

DIANE, Divertijfementen mufique, pour le Roi, impriméedans!etroifiemevol.des(OEuv.de Danchet.

DIANEET ENDIMION Pajh. héroïqueen Ac, dontlesparolesfont d'un anonyme, et la mufiguede l'hilidor lefils cettepiecea été imprimée i/1-4 en 1698, chez

Batlard;maisonignorefi ellea été représentée.

DIANEETENDIMION, ou 1' AmouVrENGÉ, Com.en,

Ac.avecdesfcenesiral.par Leliopere, repréfèntcedevantle Roiau palaisdesThuilleries, les 1 et 17 Janv.ijttetfurleThé.Ital. le 6 Fév.fuivanr.T'oyc^Endymion.

LeDICTATEURROMAIN, ou Papirb, Tragi-Com.de

Maréchal, donnéeen t^4f

DIDON.Ce sujet a fournihuit Tra. Lapremière, avecdes

Choeurs, intitulée DIAONse sacrifiant, donnée pat• EtienneJodelle, en ifyi. La deuxième de Breton, etpeu connue.La troisième, de Guillaumede La Grange, jouéeen1576 et impriméeà Lyonen '1581V La quatrie-, me, deHardy, donnéeen 1605 à l'Hôtel déBourgogne.

Lacinquième, deScudery en ifijff. La fixieme, intitulée

DIDOLNAchaste, ou lesAMOURdS'HIARBASp, ac

Boifrobert, en164t. La feptieme, deMontfleury, dansfonAMBIGUCOMIQUE;etla huitième enfin de M.Le

Franc.Cettedernierefut jouéepour la premièrefois', 8cavecfuccès, le 2I Juin 17^4 :On la remit le 19 Juin174; «aprèspluficorschangemensfaitspar l'Auteur, furtourdanslecinquièmeAc. qu'il avoic prefquerefondu;c'eftfapremierepièceelle le trouve impriméedans lesdeuxétats. L'Opéra-Comi.en a donnéune Paro. fous letitre dela RAMÉEet Dondon. <

Didon, jome Opé. C'est uneTra.en.p Ac.de Mw Sain-.tonge mifeen mufiq.par Defmarecsellefut représentéepour la premièrefois le Juin i etremife en 1704.

Lesairsetlesrécits font imprimés en unepartitioni«-4. etla fymphonie en uneautre. Mars, Venusetla Renomméeenibncle Prologue.ta DIEROMENEoule Repentir d'Amour Papa. en fen pro.traduite'de Louis Groto attribuéeà Briflèt tetimpriméeen j;9;, in-8°. à Rouen.i+« DIE [Pièces.) PISles DIEUX, ou les Noces DBVENUS, pièce en un Ac. pat

L'A Richard, représentée par tes Marionettes, à la Foire

S. Germain le Février 1743. Elle n'a pas été imprimée, et on y critiquait le Comte de Warvick les Diebx

TRAVESTIS, la RIDICULESUPPOSEE, le Valet embarrasse, et les -Vieillards intéressés.tes DIEUX A LA FOIRE, Prol. de Fuzelier, donné à i'Op.

Comi. le ix Septemb. 1714 etqui n'est pas imprimé.

Les DIEUX TRAVESTIS, ou l'EXIL d'Apollon Com.enun Ac. en vers libres, donnée au Thé. Ital. le z Août 1741, par Guyot de Merville, et applaudie elle n'a cependantpas été imprimée, .1 DÎNA, ou le Ravissement, Poëmc dramatique, de Pierre

Nancel, donné en 1606.

DINAMIS, REINE DE CARIE, Tra. de Du Ryer, reprcfentéeenitf/o.

DIOCLETIAN ou le Mystère de SAINT SEBASTIEN, Tra, de Daigaliers, don., je en 1 f 9 6.

DIOCLETIEN ET MAXIMIEN, Empereurs ROMAINS'

Tra. de Sainville deflinée pour être mife en mufique, etnon représentée. Voyer auffi ADiEu.Du Trône.

DIOGENE A LA CAMPAGNE x Com. en profe, de 3 Ad.es, par M. Marcet de Mezieres, imprimée à Geneve, chez

Gofle, en 17; 8 et qui a été jouée furie Thé. de Karougeen Savoie».

DIOMEDE, 7 jn>e Opé. C'est une tragédie en f Ac. dont lesparoles font de La Serre, et la mufiq. de Bénin; elle futdonnée pour la première fois lè 18 Avril 17 1 o et est impriméepartition ùi-40. Ce font les Amours de Diomedc et

A'Iphife qui elt crue fa foeur Venus, que Diomede avoircombattue au Gege de Troies protège Aupus, Roi d'Ita-

Jie rival de Diomede j.mais Mmerve fait le dénouemenc, 'en déclarant àDiomede qu'Ipfùfe n'est pas fa foeur maisfille de Stenelus. Le Prolo est formé par Venus, Zcphyreet une Grâce. Cet Opéra n'a pas été remis au Théâtre.

DIPNE INFANTEd'Irlande avec la cenfure chrétienne du

Théâtre moderne Tra. par Daure imprimée en 166S.la DISGRACE DES DOMESTIQUES, Com. en un Ac. envers de huit (y Habes par Chevalier, représentée fur le

Thé. du Marais en \6$x.

DIS [Pièces;] DlV 147

KijtesDISGRACDE'SARLEQUIONp, .Comi.e3nAc.parunanonymer, epréfenatéuThe.deRellier, à laFoireSaine

Germain1711.Il n'a pasétéimprimé, etne meritoieguèredel'être.

LaDISPUTEC, ome.npro.etenunAc.parMideMarivaux, donnéaeuThéF. ran.le 19Oftob1.744, etretiréeaprèslapremière représentation.

LaDISPUTDEEMELPOMENETEDETHALIEP, rolo:gueenpro.etenvers, parDominiqude, onnéaaThéâtre

Ital.à la FoireS.Laurent le13Août17x5etnonimLeprimé.

DISSIPATEUobRI', HonnêteFriponne, Come.ncinq Afteets envers, parNericauDlteftoucheism, priméeen1736jouéedès1737enProvinceet, repréfentépeourlapremièrfeoisauThéF. ranl, e11Mar1s75-3avecfucces, maisaprèdsesrecranchemeNnso.usavonasuffui neCom.duDissipateurparle P.Durivet, J, éfuiteE. lleefl envers, etfutjouéeauCollegedéLouisleGrand, en174r.

LeDISTRITA Comd.eRegnarden$Ace.nversrepré- fentéfeeulemeqnut atrefoisaumoisdeDécerrib1.6 97maisreprifeavecbeaucoup de fuccèsaumois'deJuillet1731C. ecaractèreeftcopiéd'aprèsceluiqui fétrouvedanlsesCaraderedse laBruyèreq, u'onvouloiêctreleportraditeM.leComteDeBr. Il yaaufïui neCom.

Ital.fousletitreduDistrait. Cellede:Regnardfetrouvedans.le de

LeDIVERTISSEMECNoTme.nunAc.enpro.parM.de

Saint-Foidxo, nnéaeuThéI.tal.le9Fév.1747ai lùjet duMariagdeeMonfeigneluerDauphietndelaPrincetredeSaxe..

Divertissemen, ctompodfé'nnProl.etdedëuxAâesyàlàlamuetteetparécriteauxparunanonymer, epréfentée auJeudeLaPlacete Beitrandà, laFoireenAoût1711j iln'apasétéimprimé. t •leDIVERTISSEMEDNET deDan-..couredontlamufié.toitdeGillier, syetquifutrepréferi* téeleSept. 170;.Il yaunrecueidlesDivàrtljfem'ednes, , donné auPublicparMàlefièiix;-le DIVORjCÇEome.n Ace. npro.avecûri^Prolopgar.t Regnarjdo, uéefurl'ancienThél*àJ.ilii^Mats 168*8, le DIV [Pièces.] DOC

Une obfervation a faire fur cette pièce, est que n'ayant patrcuffi entre les mains du célèbre Dominique, elle avait étérayée du Catalogue des pièces qu'on reprenoit de teins enteins cependant Gherardi la choifit pour fon coup d'effaien Oftobre 1689 et elle eut tant de bonheur entre Cesmains, qu'elle plut généralement, et fut extraordinairementfuivie.franc.

Davefhe a fait une Com. morale en Ac. en vers, impriméedans fHifloire du tems, en i 6jo fous le titre fuivantle Combat d'une ame avec laquelle un époux est en

DIVORCE.le DIVORCE DE L'AMOUR ET DE LA RAISON, Com;de l'Auteur du Nouveau MONDE( l'Abbé Pellegrin ) maisbien inférieure: elle est en 3 Ac.en vers libres, avec un

Prol.et des Div. dont la mufi. était de Quinault et le Bail, de Dangeville. On la repréfenta au The. Fran. le premier

Septembre 1713 et -elle est imprimée avec une Préfaceapologétique qui paroît d'un Auteur différent. On la trouveauffi dans le douzième vol. du Théâtre Franfois.

Le DIVORCE, ou les Epoux mécontens Com. par Aviflë;qui garda cependant l'incognito elle fur représentée au

Théâtre Français le 19 Avril 173°, pendant un voyage de Fon*tainebleau, et ne parut que trois fois. Cette pièce est en

Ac. en vers, et n'est pas imprimée on en peut voir l'extraitdans le Mercure du mois de Mai 17 ;o.

Le DOCTEUR AMOUREUX, Com.en Ac. et en vers, par,

Le Vert donnée en 16 8 à l'Hôtel de Bourgogne.

Nous avons une autre pièce fons le même titre, et en un M.en pro. par Molière; mais elle n'est pas imprimée. Cette

Comédie, après avoir cependant paru en province, futjouée à la fuite le x4 jour dudébut de Moliere et de fa Troupe, devant leurs Majeftés, fur. un Théâtre élevé dans la falle des Gardes du vieux

Louvre. Elle fit renaître la mode de repréfenter de petitespièces d'un Afte pu de trois, après celles de cinq, ufagequi était perdu depuis long-iems, et qui a toujours fubfiftédepuis.

Le DOCTEUR D'AMOUR, Com. en un Ac. en vers, reptèfentéepour -la première fois à Bruges le 6 Mars 1748J• 'Cette pièce, qui est l'eflai de M. ïarinde Hautemer,

DQC [Pièces.] DOM 149

Kiij

Comédiedn'uneTroupedeProvincea, étécorrigéeS, eimprimée àParisen 1749.

LeDOCTEUERXTRAVAGANDTeu. xCornp, ortenctetitre;l'une enunAc.envers parNanteuilComédiendelaReinejouéeetimprimée en1 671 etl'autrepar

Beauregardre, préfentéfeeulemenqtuatrefoisdanslemoisdeJanvier1<>84etquin'eftpasimprimée.

LeDOCTEURPEDANTpetiteFarcedeMolièrerepréfentéleer;}Avri1l6)9etquin'eftpasimprimée.

LeDOCTEUSRANGRADOOp.Comei.nunAi, parM.

Anfèaumedonnépourlapremiere foislei; Fév.1778àlaFoireS.Germain, etquiaeudufuccès.LefujeteneftprisduRomandeGilblas.

DOML. esComédiefosuscenomfontprefquteoutestiréesdesAuteurEsfpagnolesn:voicliestitres.

DOMALVARDEELUNE, Tragi-CodrneR, otroud, onnéeeni647.

DOMBERNARDDECABRERDEe.uxCornp, ortenct enom:l'une, attribuéeà l'AbbédeBoifrobertet, peu connuel':autre, enrAc.envers, parRotroud, onnéea1(47.Cettedernièrefetrouvedansle premiervol.du

RecuedilesmeilleurepsiècedsesancienAsuteurs.

DOMBERTRANDDECIGARRACLe.tteCom.queiftlatroifiempeiecedeThomaCs orneilleeftenf Ac.envers;ellefutdonnéàel'Hôtedl eBourgogneenifiro etfort'fuivieI.l eftà remarqueqruependanlta minoritéde

Louis XIV.ellefutjouéeplusdevingtfoisà laCour.Ce

Dramreepréfenlteecaractèrde'unextravaganati, rezplai fantauThéatre, etefttiréed'uneComédie deD.FrancifcodeRoxas, intituléeEntrebobos L'unitédefcenen'yeftpointobcervéne, onplusquedanslaplupardtespiececsopiéedse l'EspagnoOl.n la trouvedansletomepremierdes(Euv.deThomasCorneille.

DOMCARLOST, ra.deM.léMarquidseCbimenejouée furunThéatreparticulieetr, imprimée. DOMCÉSARD'AVALOCSo, me.nf Ac.envers, deThomasCorneilled, onnéefurleThéatredeGuénégauedn1674.L'intriguedecettepieceeftefpagnole, ettoutefondéfeurdesdéguifemenUsn.fourbjeovialaumoyen da vold'unevalife, se donnepourCéfar d' Avdosetïjo DOM [!CE$.]. DOM

Ccfar à caufe d'un combat, prend le nom dufrère d'Ifabelle fa MaîtrelVe, qui était abfcut depuis ticslong-tems, ce qui en rend le sujet à peu près fèmblable àcelui des Mbnechmes. On la trouve dans le tome cinquièmedes QEuv. de Corneille.

DOM FELIX DE MENDOCE Corn, en Ac. en pro. par

Le Sage. Cette pièce se trouve dans Ces OEuvres et n'a jamaisété représentée fur notre Théâtre. C'est la traductiond'une Coméd. Efpagnole de Lope de Vega- intitulée Guardary piariar Ce Garder et se garder.

DOM.GARCIE DE NAVARRE, ou le PRiNcE jaloux,

Com. héroïque de Moliere en vers et en 5 Ac. repréfèntéepour la première fois le 4 Fév. 1 6 6 1 fur le Thé. du Palais

Royal. Moliere, qui joua le rôle de D. Garcie, apprit parcette pièce, qu'il n'avait point de talent pour le fcrieuï, comme- Adeur fa Comédie et fon jeu furent très-maireçus. Cette pièce Imitée de l'Espagnol n'a jamais étérejouée depuis fa chute, et Molière ne la fit même pasimprimer: elle ne l'a été qu'après fa mort, etfè trouvedans le feptieme vol. de Ces OEuvres.7JPOM JAPHET D'ARMENIE, Com. de Scarron, en Ac.en vers, représentée en 16 6f }. Cette pièce, réduite à Ac.avec des Interm. de chant et de danfe, fut représentée le 1o

Mai 17 Il devant le Roi fur le Thé. de la grande Calle des

Machines. des Thuilleries Mehemet Effendi ^Ambdiffadém

Turc y aflifta avec fa fuite.

D.OM JUAN. Voye^ le Fbstin rm PIERRE..DOM LOPE DE CARDONNE, Tragi-Com. de Jean Rotrou, donnée en .1650.

DOM MICCO ET LESBINE, Intermède Ital. en 3 Ac. re.préfenté à l'OpéraJe 14 Juin 1719 par les deux mêmes.Acteurs qui avoient donné le Joueurvet la Bigotte. La

Paro. de cette petite pièce Pantomime fut jouée fous lemême titre, au Thé. Ital. le 17 Août de la même année:c'était un Acte en vaudevilles de Dominique et Romagnefidont la mufique étpit de Mouret.

DOM PASQUIN D'AVALOS, Com.de Montflenry elle est.ûne des trois petites pièces en vers de I'Ammgu comique,

DOM QUICHOTTE. Trois. Com. portent ce nom la preinieteen cinq Ac. en vers, pat Guerin de BouCcal, donDOM[Pièces.] DOR ist

Kiiijnéeen16 58 lafecondequieftla Cuite delaprécédenteetdumêmeAuteurmaistrouvéemoinsbonne, futdonnéeen1639 etlatroifiemejo, u'e à ce quel'onprétend(carelleeft fort peuconnue)parlaTroupede

MoliereaprèsleretourdeBaron, quiavoitquittécette

Troupe, pourfe mettredanscelledecampagnedela

RaifinM. olierec, ontrefonordinairej, ouaallezmalleprinciparlôle etonaremarquqéuelesDomQuidatteetles Sanchon'ontjamaisfaitgrandefortuneau

Théâtre.

DOMQUICHOTTCEHEZLADUCHES, S-1E3?mOepé.

C'efut nBalleComiqeune3Ac.dontlesparolefsontde

M.Favartet, lamuad. eM.Boifinortierf.iultrepréfentéepourlapremièrefoislemFév.1743eteftgravéin-40.

M.Panardavoitdonnédos1734, àl'Op.Corni. unBallet

Pantomimfeo, uslemêmetitre.

DOMRAMRI EETZAÏDETra.repréfentuéneefeulefois, le14Janvier1718.Commel'Auteur decettepièceavoicgardél'anonymele, Publivcoulult'attribueàrdeBoiflyquijuftifiaqu'ellen'étoitpasde lui, maisdeM.dela

Chazettee:llen'ellpasimpriméeL.eP.PoréeavoitrraitélemêmefujetdansunebelleTragédieLatine, quifutreprefentéqeuelqueasnnéeasuparavaanutCollegdeeLouisleGrand.

DOMSANCHED'ARRAGONC, omh.éroïqudee, Pierre

Corneille, donnéeà l'HôteldeBourgogne en 1Ci0ouiSfi. Cettepieceefttiréede deuxComédE.lpagnoles. Elleeutd'abordungrandéclat;maislerefusqueet, diton,

M.lePrincdeeluiaccordefronfuffraged, iffipàlesapplaudidèmeetnsanéantiftibienlesjugemenqsuela

CouretlaVilleavoienpt rononcéesnfafaveur, qu'au boutdequelque temsellefetrouvareléguée danslespro.vincese;lleacependaénttéreprifedecemsentems.OnlatrouvetomequatredesOEuv.dé Corneille.

LesDOMINOCSorn, deDufrénye, nunAce. npro.don-, néeen1711E. llen'apasétéimprimée. DONAELVIRDEEGUSMANCome.ntroisAc.envers,

LaparJally, quin'apoinét téreprésentnéieimprimée. DORIMENTrEagiCorn, par LeComte, donnéeen16j 1.Elleeftdel'itwéritiodreil'Auteu-r.irt DOR [Pièces. DRA

La DORINDE, Tragi-Com. de Je. Auvrai, donnée en rffjr, et tirée de l' Afirée. C'est la dernière pièce de cet Auteurelle elt en cinq Aftes en vers.

DORIS, Paflo. compofée pour être mife en mufique, par

J. B. Auge, imprimée à Dijon en 17'7', fn-it.

La DORISE, ou Sidbre Tragi-Corn. d'Ale. Hardy, donnégen 61 j et imprimée en 1616. Cette pièce est tirée des

Amans volages, de

DORISTÉE ET CLEAGENOR, Tragi-Com. de Rotrou, donnée en 16;o.• DOROTHÉE, Tra. de Le Breton, imprimée en i S79, in-n, vDOROTHÉE ou la Victorieuse Martyre DE l'Amour) Tra. de Kampale, jouée et imprimée à Lyon en 16 r8.

Le DOUBLE DÉDIT, Op. Comi. en un Ac. donné le 10

Juillet 1758, par M. Thierry. 11 n'est pas imprimé.

Le DOUBLE DEGUISEMENT Coin. d'un Ac. en pro. donnéeau Théâtre Irai, le s9 Mai 1747. Elle est de M. de

Saint-Foix.

La DOUBLE ETOURDERIE, Corn. en 3 Ac. par M. Tâconet, imprimée., en 1760, et qui n'a pas été repréfentee.la DOUBLE EXTRAVAGANCE, Cam. en vers et en Ac.donnée avec fiicçcs au Théâtre Français le 17 Juillet 17 jo. Elleeftde-M.Bret.

La DOUBLE INCONSTANCE, Com. en Ac. en pro. par

M. de Marivaux, représentée pour la première fois au

Thé. Irai, le 6 Avril 1713. Cette pièce, qui a toujours ctébien jouée fait un effet charmant au Théâtre et se fou*tient également à la leâure.li DOUBLE MÉTAMORPHOSE. Voyet le Dïajiié A

QUATRE.te DOUBLE TOUR ou le Prête rbndu Op. Comi. en Un

Ac. donné le z6 Fév. 17 H par Gallet. Il n'eli: pas imprimé,

Voyt^ la Vengeance COMIQUE.

Le DOUBLE VEUVAGE, Com.cn 3 Ac. en pro. avec un

ProJ. etqn Div. pat Dufrény repréfentee pour la premièrefois le 9 Mars i 70% et qu'on rejoue Couvent. On chantedans cette pièce une. efpece de Pot-pourri, en forme de

Parodie des Opéra, qui fait beaucoup de plailir et dont lamu/îque Vam^que cette du piy.:eft»auflide Dufrény.ta DRAGONE, Op, en deux A

DRI [Pièces.] DUC ifjreptéfenté le if Août 17 3 6 etnon imprimé. Pôyrç MERUN

DRAGON.

La DRIADE AMOUREUSE, P aflo. attribuée à Troterel;par M. de Beauchamps.

Le DROIT DU SEIGNEUR, Paro. en un Ac. en vaudevilles, de la Tra. d'ABBNSAÏD.Elle fut donnée à l'Opéra-

Comi. le Il Juin 1 73 y, et est de Boifly qui ne la fit pasimprimer.

Le DUC DE FOIX. Paye\: Adélaïde.

Le DUC DE LUXEMBOURG AU LIT DE MORT, Tragi-

Com.imprimée en 1695- Elle est en cinq Ac. en pro. etc'est une mauvaise allégorie fatyrique contre les ennemisde la France, ainfî que 'APPARITION DUDuc DELuxsMbourgautre pièce en 1. Ac. en pro. imprimée la mêmeannée.

Le DUC D'OSSONE, Com. en f Ac. en vers, par Mairecreprésentée en 1617 ou 163 3. Elle est un peu trop librepour le Théâtre.le DUC DE SURREI Com. en vers et en f Ac. par Boiflyjouée fur le Théâtre Français le 18 Mai 1746. C'est une Mafca--rade d'une autre pièce. du même Auteur, intitulée le

COMTEde Neùillî , repréfentéele.i Janv. 1731; par les

Ital. et fort mal accueillie par le parterre. La deuxièmereprésentation, de ce Duc de Surrei, fut précédée d'undifeours oratoire apologétique, qui excita beaucoup de rumeurles Acteurs Frin. s'y exeufoient de donner comme!-neuve une pièce déja représentée. Les Italiens et leurs par.tifans crierent beaucoup contre BoilTy, et revendiquèrentl'ouvrage les perfonnes neutres répondirent, qu'ils avaienttort de se plaindre fi l'on redonnoit fur un Théâtre ce quin'avait pu paffer fur un autre; peut-être faute d'y êtrerendu comme il falloit, ainfi qu'on le pouvoit augurer.dela différence de reception et.de succès, malgré le peu dechangement qu'on avait fait à la pièce outre celui du titre.

Quoi qu'il en foit, Boifly offrit aux Italiens de leurrendre deux mille livres qu'il avait reçues d'eux pour fon

Comte de Neuilli, ou de leur abandonner lesdroits du

Duc de Surrei, ou bien encore de leur donner une autrepièce inais ces derniers non 'appairés par ces offres sevengèrent en faifant une critique ingénieuCe du Duc de

Surrd. Voye{ le Prince de SorÊnb, jj-4 DUE [Pièces.) DUP

Le DUEL FANTASQUE, ou les VALETS rivaux Corn. enur; Ac. en vers de huit fyllabes par Rofimond, donnée eni6(,

Le DUELISTE MAXHEUREUX, Com. donnée par Guil.laume de La Gaye, en 1636.

La DUPE AMOUREUSE, Corn, en un Ac. en vers, par Rofimond, reprîfencéè.en 1670.

La DUPE DE LUI-MÊME ou le MÉFIANT TROMPE, Cam.en un Ac. et en vers, par J.JRouflèaujc'est la derniere, pièce de cet Auteur fameux. Elle n'a pas été repréfcntéesmais on la trouva à la fin de l'édition de Ces (Euv. donnéeaprès fa mort par M. Segui. On l'a auffi imprimée à Amfterdam, dans le Recueil intitulé, Portefeuille de J.B.

RoufTeau mais elle y est fous le titre de la DUPE DE SOIMÊME,

OU le DÉFIANT CONFONDU.

La DUPE DE SOI-MÊME. Nous avons deux Com. de cetitre la première en un Acte en profe, par Madame L. G.

D. R. qu'on croit être Mme de Richebourg, imprimée en1731 dans le Roman qui a pour titre, La Veuve en puiffancede mari. La fécondé, en r Ac. en vers, par Mont-, fleury imprimée dans le troisième vol. de la derniereédition de les OEuvres en 1739»

E

EAUun Div. de Dancoùrt, jouée au Théâtre Français pour la premièrefois le 4 Octobre 1 6<)6 elle Ce trouve dans le fecondvol. de Ce, OE«yres.

Les'EAUX D'EAUPLÈT, Corn, en un Ac. en pro. par ananonyme imprimée fans date, à Rouen on peut cependantpenfer qu'elle a été mife'au jour en 17 17 car il en-parue une critique cette année-là auffi à Rouen.

Les EAUX DE FORGES; Corn, en r Ac. en vers, de Jean

Claveret, imprimée en t6;7. On dit que les Comédiensne voulurent pas jouer cette pièce de craintequ'on' n'eu fit des applications} mais, félon Pierre

EAU [PiEcrs.] ECO ïj;

Corneille c'était parce qu'elle ne valait rien.

Les EAUX DE MERLIN Op. Comi. en un Ac. prévue touten vaudevilles avec un Prol. reprclènté à la Foire S. Laurentle i r Juillet 17 1 y il est de Le Sage, et fut repris le

Il Septembre 173 S'

Les EAUX DE MILLE FLEURS, Com. en Actes en pro.avec un Div. par Barbier, de Lyon. Elle fut jouée dans la

Salle du Gouvernement de cette ville par les Acteurs del'Opéra, le 9 Fév. 1707.

Les EAUX DE PASSY, efpece d'Op. Comi. en un Ac. par

Carolet, donné en 1714, à la Foire S. Germain, par les

Marionettes de Bienfait, et non imprimé.

Les EAUX DE PIRMONT Cour. en trois Ac. en vers, avecun Prol.' par Chapufeau, représentée à Pirmont au moisde Juin 1669.

Les EBAHIS. Voyer les ËsBaïs.

L'ECHO DU PUBLIC, Com. en un Acte en vers libres, parles fieurs Romagnefi et Riccoboni, donnée au Thé. Ital.pour la première fois le 7 Mars 1741 et remife le 7 Juinfuivanc, augmentée de deux nouvelles fcenes, dont l'uneest fur MELANIDE.

L'ECLIPSE, Com. en un Ac. en pro. par Dancourt, jouéefans fucecs le i i Juin 17 14 au Théâtre Français Elle n'est pasimprimée.

L'Ecupse, Op. Comi. d'un Ac. par Fuzelier, donné le premier

Mars 17 $7 «: qui n'a pas été imprimé.

L'ECOLE AMOUREUSE, Com. en un Ac. en vers libres, donnée au Théâtre Français le i 1 Septerii. 1747. Cette pièce estla première de M. Brec, et c'est une imitation d'un desplus jolis endroits du Paflorfido.

L'ECOLE D'ASNIERË, Ôp. Comi. d'un Ac. par M. Panard, joué pour la première fois le 19 Mars 1740. Il n'est pas'•tiprim. le sujet en est tiré d'une Epigramme de Rouflèaa.

L'ECOLE DE LA JEUNESSE, Com. en cinq Ac. en vers, de La ChauflTée jouée au Théâtre Français le 1 1 Fév. 1749 avecpeude succès. Cette pièce n'est pas encore imprimée fortpremiër.titre.était le Retour sur soi-même.

L'ECOLE DE.LA RAISON, Com. en un Ac. en vers libres;de Vtide La FofTe, jouée pour la première fois fur le Thé.taltie 10 Mai 1739 avec applaudiffemens. Cette pièce,

ECO [Pièces.] ECOquicftlapremièrdeecetAuteuerftimpriméaevecquel;quesfceneqsuin'onpt isétérepréfentées.

L'ECOLDEEL'HYMENou, l'AMANDTEESONMars, Com.enverseten3Acp. récédéds'unProlet. fuivisd'unDiv.jao.cefurLeThéâtre Françaislez8Sept.1757.Cettepremièrereprçfencatifountforttumultueufete, l'AuteurretirafapieceHprlcasquatrièmeq, uoiqu'elelûetétéplusapplaudieil jnel'a pasfaitimprimeron l'attribueàl'Abbé

Pellegrinq, uoiquperéfentéfeouslenomdulieurMoreau,

L'ECOLDEESAMANSC, ome.n5Ace.nvers, parJolly, repréfentaéueThé.Franl.e18 Octobr1e718.UncontedeFées, intituléle PalaidselaVengeancfeer, vidt eplanpourunepièceenunActe, mêléede vaudevilledse, Le

SageetFuzelierjouéeauThéatredel'Opéra-Comique, pendant laFoireSaintGermain, en 1716, fousle titrede1' EcolDeEASMANlaSq, uellaedonnélieuàcetteComédiequicontienutncomiquneobleu, neverfificarionaifée, desexprefliopnusres;auQeiu:-ellequinzreepre- fentations.

L'EcotEDEASMANi^Si, nieOpéC. 'eftunBaIld. ontlespa.rolesfontdeFuzelieret, lamafiqd.u{leuNr iel.Il futdonnépourlapremiere foisle il Juin174+, compoféd'unProl.dialoguéentrel'Amour, lajaloufieetl'Elpérance, etdetroisentréesd, ontlapremièraepourtitrela

Confianccoeuronnélea;fécondel, aGrandeufarcrifiieetlatroifiemeV, Abfenfcuermontêmeaisayanét téremisaprèsPâque1s74? lesAuteurysajoutèrenutnenouvelleentrée, intituléleesSujetsindocilesp, lacerenlcesautresdifféremmenett, yfirentquelquecshangemenisl.estgravépartition in--folio.

L'ECOLEDESAMIS;Come.nversetenyAc.pardeLahautiée, repréfentpéoeurlapremièrfeoisfurleThéatre

Fran.le2; Févrie1r737.Cettepieceattiraungrandcon-'cours.

L'ECOLE/DAESMOURGSRIVOISO, p.Comdi.'unAftetoutenvaudevilleosr, nédeplufieuDrsiv.Flamandsd, e.chantetsdedanfegsrotesquepsa, rMMF. avartL, aGardeetle Sueurl, amufiqe.fi:auffdieM.FavartL. eprincipal'_Acteudrecettepièceeft Jolicoeutra;mbourquifutrepréfèntcrpalrefieudreL'Eclufetr, ès-connupocuesrfortes

ECO [Pièces] ] ECO 1/7de rôles. On la joua pour la. première fois le 16 Juillet1744, et elle fut continuée pendant plus de deux mois, avec beaucoup de succès.

L'ECOLE DES BOURGEOIS Com. par D'Allainvat en

Ac. et en pro. avec un Prol. jouée au Théâtre Français le zo Septembre1718. Elle ne fut point goûtée, et n'eut que fepcreprésentations.

L'ECOLE DES COCUS, ou la PRÉCAUTION INUTILE, Corn.en un Ac. en'vers, par Dorimond, représentée en 1661par les Comédiens de Mademoifelle.

L'ECOLE DES FEMMES, Corn, de Moliere, en vers et en

Ac. représentée pour la première fois fur le Thé. du Palais

Royal, le 16 Décembre 166z. Elle fut tres-fuivie et trèscritiquée, comme le dit la Gazette deLoret, en ces termes

Pièce qu'en plulicurs lieux on fronde

Mais où pourtant va tant de monde

Que jamais sujet important

Pour le voir n'en attira tant.

Une bonne partie de cette Comédie est tirée de Dom Lopeçde Vega. On le révolta contre quelques expreflîons qui paroiflbientindignes de Moliere; mais aufli les ConnoiCfeursadmirèrent avec quelle adrellè il avoir fu fournicinq Actes par des feuls récits. On trouve cette pièce dansle fecond vol. de les OEuvres.

La Critique DE l'Ecole des FEMMES Com. auffi de MoIiele, en un. Acte en pro. fut représentée fur le même Thé.le premier Juin 166?. Moliere y fait plus la fatyre de fes

Cenfeurs, qu'il ne défend.les endroits foibles de fa pièce.'

Elle fit pourtant beaucoup de plaifir au Public. L'Ecole des

Femmes attira encore deux pièces critiques plus réellesmais auffi très-outrées qui font ZELINDE et le Portrait

Su PEINTRE. Voye^ auffi PANÉGYRIQUE DE l'Ecole de*'FEMMES.

L'ECOLE DES FILLES, Com. en s Ac. en vers, par Mont-;fleury représentée à l'Hôtel de Bourgogne en 1666,

L'ECOLE DES JALOUX, ou le COCUVOLONTAIRE, Cam.eit Ac. en vers, de Montfleury, représentée en 1 664., àl'Hôtel de Bourgogne; elle a été donnée dans les repaiesqu'on en a faices, fous le titre de la Faosss Turquie.ug 8 ECO [Pièces.] ECO

LyECOLE DES JALOUX pièce en trois Ac. par écriteauxreprésentée à la Foire S. Laurent 1711 les amours de

Mars et de Venus, et la jaloufie de Vulcain en font Jefujer.

L'ECOLE DES JEUNES MILITAIRES, pièce dramatiqueen r Ac. en vers par le P. Durivet, représentée au Collegedes Jéfuites de Paris, le 1 f Mai 1748.

L'ECOLE DES MARIS, Com. en vers eten Ac. représentéele 14 Juin 1661. Cette pièce affermit pour jamais la réputationde Moliere elle est dans le tome fécond de lés

Troupe de Monjicur, fut un devoir pour lui de la dédier àce Prince.

L'ECOLE DES MERES. Nous avons deux Com. fous ce titre;le première, de M. de Marivaux, en un Ac. en pro. fuivied'un Div. jouée auThé.Ital. le z6 Juillet I7ji5et la Cecondeen f Ac. en vers libres, par Nivelle de La Chauffée, représentée pour la première fois à la Comédie Fran. te17 Avril 1744, et continuée avec beaucoup de succès.

L'ECOLE DES PERES, Com. en f Ac. en vers, trouvée dansles papiers de Baron après fa morc, et imprimée dans fes

OE|uy. c'est la même chose que les Adeiphes. Le P. Du

Cerceau a fait aufli une pièce de ce titre. Voyt\ encorel'EroURDI CORRIGÉ, , et les FUS INGRATS.

L'ECOLE DES PETITS MAITRES Com. réprcfentée au

Collège des Quatre-Nations le 11Août 17 40.

L'ECOLE DES PRUDES, Corn, en 3 Ac. en pro. donnéepar les Comédiens Ital. le 10 Décemb. 17 yo. Cette piècen'eut que trois reprécentations, et est de M. Jourdan. Onne l'a pas imprimée.

L'ECOLE DES TUTEURS, Op. Comi. en un Ac. donnépour la première fois le 4 ïcv. 1754. Il est de M. Rochonde La Valette', et eut peu de fucces.

L'ECOLE DES VEUVES un Ac. de'lois donné le 18 Juin 17 3 8. Il n'est pas imprimé.

L'ECOLE DU MONDE 4 Cm. en un Ac^en.vers libres,

ECO [Pièces.] ECO i;, fort bien dialoguée, mais trop métaphyfîque, ce qui l'aempêchée d'avoir tout le fucccs qu'elle méritoit. On larepréfenta au Théâtre Fran. le 14. Octobre 1739, avec le

Médecin DE l'Esprit, et ESOPEAUParnasse. Ces troispièces furent précédées d'un Prologue intitulé I'Ombkb

DE MOLIERE qui vaut bien encore une pièce il était del'Auteur de celle.ci, lequel a gardé l'anonyme et a faitimprimer cette Ecole du Monde, fous le titre de Dialogueen vers. Duchefiie à imprimé cette pièce avec celles de M.l'Ab. de Voifenon, mais il n'y a pas apparence qu'elle foiede lui, l'Auteur l'ayant dédiée à fa femme, ce qui ne peutconvenir à un Abbe, à moins cependant que cette dédicacene roit une feinte.

L'ECOLE DU TEMS, Com. épifodique en un Ac. en verslibres, avec un Div. par M. PefTelier donnée au Thé. Ital.le 111 Sëptemb. 1758, avec succès.

L'ECOLE GALANTE', ou l'ART D'AIMERpar ARLEQUIN,

Com.en Àc. en vers, avec des Div. par Dominiquejouée le 16 Septembre 1710 dans la Salle de l'Opéra de

Lyon, à Bellecour.

L'ECOLIER DE SALAMANQUE, Tragi-Com. de Scarronen s Ac. en vers, jouée fur IeThé. du Marais en ig j 4.( Voyer les GÉNÉREUXEnnemis) c'est la première pièceoû le rôle dé, Crifpin ait été introduit.les ECOLIERS.Il y a deux Com. de ce titre la première;en f Ac. en pro. de Je. de La Rivey imprimée en 1 57^la feconde en y Ac. en vers de 8 fyllabes donnée par

François Perrin, en 1 789.

L'ECOSSAISE, Com. en Ac. en pro. par M. de Voltaireimprimée au commencement de l'année 176o, et donnéeau Théâtre Français le 17 Juillet fuivant, avec le plus grandconcours. On (ait combien cette pièce a fait fle bruit etoecafionné d'écrits. M. de La Grange la mit en vers libres, et les Comédiens Ital. la repréfenterent en cet état le xo

Septemb. avec an succès médiocre. Il en parut une Paro.a l'Op. Comique fous' le titre de I'Ecosseusb et une autrefous celui de la Petite Ecossedse..

L'ECOSSEUSE, Çaro. de l'Ecossoiss donnée l'Op. Co-'inique le 4 Septembre i^so par M. Poinfinet le jeune.

LECOSSOISE, (»».leDisASXRB, Tra, de Montchràien, "iffo ECU [ PIECES.] ÊFFdonnéeeni<îof.Cettepiècerenferme l'Hiftoireentièrede MarieStuar.f.

L'ECUEIDLUSAGEC, ome.n5Ac.enversdedixfyilabes, parM.deVoltairedonnéeauThé.Fran.lei8Janvieriy6zavecunfuccèosrdinaire.

L'ECUYERou, lesFAUNXOBLMESISAUbilion Comd.utems dédiéeaux vraisNoblesdeFranceparClaveret, impriméàeParisen1C66C, equidonnaoccarioàncettepièce, quieflencinqAc.envers, futunerecherchdeesfauxNoblesf, aiteen ce'tems.BulfyRabutainfait une

Chanfonfurle mémefujet.

EDOUARDT, ra.deLaGambed, itdeChâreanvietfiaxitefouslerègnedeHenriIII. Ily a encorefousce ': -eunemTréaegein-CodmeL. aCalpreneddeo, nnéeen1637 i:rtpri- 1640.

EDOUARIDII. Tra.deM.Grefl'ertepréfentépeourlapremière fois(urlé Thé.de laCom.Fran.lezzJanvier2740j etquin'apaseuun succès auflibrillantqu'elleleméritoitC. 'eftlepremieOr uvragderamatiqudeecetAuteur, etauffilepremieroùl'onaithazardé enFrance defairetuerundesPerfonnageenspréfencdeesSpectateurs,

L'EFFEDTELAPRÉVENTIONCome.nunAc.enpro, avecunDiv.parunanonymed, onnéeanThé.Franle.10Eév.1731.Ellen'eutquecetterepréfentatioetnd, apasétéimprimée.

LesEFFETDSEL'AMOUERTDUJEU, Ace.npro.parM.Sabllsr, donnéefurleThé.lcal. le 11Mars1719.Ellen'eftpasimprimée.

LesEFFETDSEL'ECLIPSCEomd.ulieurRiccobofniils, enunAc.en pro.avecunDiv.donnéeauThéatreItaLle14Juin1744.Cettepiece, quin'eutpasdefuccès, est'la première decetAuteur, quin'avoitalorsque17ans.

Elle n'eftpasimprimée.

LesEFFETS DELAPRÉVENTIONCom. enunAâèenprofe, parM.Croquetimpriméedans(esSaturnales

Françoïfeesn1736.LesComédienFsrand. onnèrelent

IoFéy1. 731 unerepréfentatido'unneComd. ecemême-titre, etauflîenpro.etenunAc.cepourroibtienêcrléamême..

LesEFFETSDUCARACTERCEo:me.n'1:Acteesnvers, donnée

EFF [Pizcss.'] ELE têt

J.donnée au Théâtre Français le Fév. 7 $ 1 etretirée après, troisreprésentations; le premier Ac. de cette pièce, qui est d'unanonyme ( M. le Marquis Du Rollet ) fut trouvé bienécrit. Elle n'est pas imprimée, et avoir été d'abord annoncéefous le titre de la Méchante.

Les EFFETS DU DÉPIT Com. en un Ac. en profe, par de

Beauchamps, jouée par les Irai. le n Avril 1717.

Les EFFETS DU HAZARD, Op. Comi. en un Ac. de L'Afficharddonné le 19 Mars 17) j etfavorablement reçu.

EGERIE, Com. en pro. et en un Adte avec un Div. par M.

Saint-Foix donnée au Théâtre Français le 9 Septemb. 1747 , 8cqui fut retirée par l'Auteur après cette première repréfen-.talion elle a, cté imprimée avec des changemens, furrouedans le dénouement.

EGISTE, Trag, de MM. Pralard et Seguineau, représentéele i8Nov. 1711, fur le Théâtre Français etqui n'est pas impriméeelle n'eut que cinq représentations on en donna cependantune Parodie fur le Thé. des Marionettes dans, laquelle les Auteurs étaient defignés fous les, noms de

Braillard et de Sagouineau.

L'EGLOGUE DE VERSAILLES, Divertifem. de Quinaulemis en muCque par Lully représenté à Vérfâilles devanele Roi, en 166%, et depuis plufieurs fois à Paris fur le

Thé. de l'Opéra.

EGYPTUS, Tra. de" M.Marmontel, donnée au Théâtre Françaisle lundi' Février. 17 et qui n'eut que cette représentation, quoiqu'elle eût été annoncée et affichée pour lemercredi fuivant, l'Auteur l'ayant retirée. Elle n'est pasimprimée.

L'ELECTION DIVINE DE SAINT NICOLAS A t'Ait-.cHEvêcHé de Myrb Tra. en Ac. en vers avec un Prof, par Nicol. Sbret, représentée dans l'Eglife de Saint Antoinede Rheims, par des Ecoliers, le 9 Mai 1614..

ELECTRE. Nous -ayons (îx tragédie fous le nom de cette filleàîAgamtmnon. Là première, de Lazare Baïf, impriméeen 1 37 ( a ). La deuxième de Pradon donnée fur le Thé.

Voicile titre en eiitier de cette plece. £ibct*.b, Trag.tontt'de Mydne. la grandefaita par fa, femmeClitemncJIreetfon adultert.

Egypitis, traiuitcduGrcç deSophoclelignepvurligne vers pourvert, ni L16dZe £LE Guénégaulde, 17Décembi6.fi etquin'a pasétéfainmspriméeL. a troifiemdeeLongepierrqeu, 'ilcompofa aucudnelfeihdeladonnearuPublic, etqui, quelques années aprèsc, 'est-à-diraeumoisdeJanvieorudeFévrier1701futrepréfentdéeansl'HôteldeConti, àVerfailles.

Baron quiavoitquittéleThé.depuisonzeans, etRofelyqui s'enétoitretirédepuispeude tems, y jouèrent, lepremierl, erôled'OreJleetlefécondc, eludi 'Egifteejllereçutdegrandaspplaudiffemeetnse, lleenavoitauifireeu, dit-on, d'extraordinairedsa, nslesrépétitionqsuienavoientétéfaitesà Paris, oùtoutle beaumondeavoitcouruenfoule aufliLongepierar-et-ilajoutédenouvellesbeautésàcefujet, quiavoitététraitéparSophocleetparEuripidec;ependanfat pièceayanét tédonnéfeurleThé.Fran.le zzFcv.1719 n'eutquefir rêptéfentations, etperdiitnfinimendtel'idéequ'ons'enétoitforméeellefe trouveimpriméedansle dixièmevol.du

ThéatrFerançoisL.aquatriemTeragédieâ'EUiïreeftcelledeGrëbillonelleauroitpuporter letitred' Orestefansyrienperdre, cetitreluiconvenanétgalemenqtueceluià'EUSreE.llefuirepréfentaéveecappTaudi/îemensle14Décemb1.768, etnefutinterrompuaeprèslaquatorzieinreepréfencatioqnu, 'àcaufedugrandfroidquiobligea'dfeermerleThéatreeti lesComédienmsême, en faveudrequelquepserfonnedsémarque, quela rigueurdelafaifonn'avoiptuempêchedreveniràlaCo-'médie, la.jouerend'atnslefoyerO. nlui reprochocitependantrtopdereconnoiflanetcedsédefcriptionLsa.cinqquiemTeragédd.'.E/«flrea étéimpriméeen 1731, à3la' Haye, dansle troifiemveol.des(Sur.diverfedsuBarondeFalefL. afixiemeenfineftdeM.Larchere:llefutim-'priméeà Parisen17^0, chezCailleaaet, est enprofe;

C'eftunetraductiodneVEleSdlr'Ee uripide.

LesELEMENS, -Bdaolln. tlesversfontdeM.Roy, lamu-;fiquedeLaLandeetdeDe(loucheets, la danfdeeBalon.

C'eftlerroifiemBeall.danféparleRoietlesjeuneSseigneursdefaCourauPalaisdesThuilleriesaumoisde

Décemb1re7zr il futdepuidsonnaéuPublicf, urleThé.del'AcadémRieoyaldeeMufiqulee, z Mai 171;.Le

Cahosd, ontlesElémenfturenttirés, faitlefujetnaturel

EU [Pièces.] EMB i6f

L ijdu Prologue; l'Air elt caractcnlc par l'événement tragiqued'Ixion, et Con amour pour Junon qui préfide à cet Elément5 l'Eau est repréfentce par le naufrage A'Arion le

Feu est^défigné par ceiui des et le péril d'Emiliè;lojnw des Opé. II est imprimé partition Il a étédéja remis quatre fois au Théâtre, en 17 1 5 avec beaucoupde changemens, en' 172.7' «734, 1742 et 17^4 , et parodiéaux Ital. Mous les titres de MOMUS exiljLet du

Cahos. Lors de la cinquieme reprife qu'on ennt il ertparut encore deux nouvelles Parodies t'AMANT déguiseet IL iroir tems.

ELIPS, COMTESSEDE Salbery Tra, de René Flacé, jouéeet imprimée au Mans en 1 579. •

ELMIRE, ou l'EIEUREUSEBIGAMIE, Tragi-Corn, de Hardy, donnée en 16t c. Vvye^ A colphe.

ELOMIRE HYPOCONDRE, ou les Médecins venge's

Com.en cinq Ac. en vers, par Boulanger de Challiffaÿ, imprimée in-ix. à Paris en 1670. Il est aifé de voir que'cette pièce est une Critique de Molière dont Elomire éftl'anagrame. Voyc^le' Portrait DU Pbintre.

L'EMBARRAS DE GODARD, ou I'Accoochïe Corti.attribuéeà de Vite, donnée à Fontainebleau au mois de Nov.1 667 et à Paris fur le Thé. dû Palais Royal, le mois fuivant.

Elle est en un Afte en vers.

L'EMBARRAS DES RICHESSES, Com..en Ac.en pro.avecun Prol. et un Div. par D'Allainval donnée pour lapremière fois au Thé. Ital. le 9 Juillet 1 71^5, et revue• fiuyent avec plaifir.

L'EMBARRAS DU CHOIX, Com. en vers et en Ac. par

Boifly, donnée au Théâtre Fran. le I Décembre 1741interrompue la cinquième représentation par l'indi(poútiond'une Actrice, et peu fuivie. On en trouva le titremal rempli.

L'Opéra-Comique donna le ij Mars I7f8 une pièce en un

Acte, fous te même titre; 5c'eftune Paro. de l'Opéra.d'ENÉE et Lavinib et elle fut retirée tout de fuite.parut auflï à la Comédie Ital. en 17/9 l'EMBARRASDuchoiXjOU I'Ennoy^, Com. en profe en Ac.par M. de

Moiffy, i«4tes EMBARRAS DU DERRIERE DUTHEATRE, Com, enun Acte en profe, de l'Abbé de Brueys imprimée dans fes

OEuvres et non reprcfentée.

L'EMBRION ROMAIN, Tragi-Comédie, de Bernier de la

BroufTe représentée en i6iz et imprimée en 1617.

EMILIE Corn, traduite de l'Ital. de Loys Groto, par un ano^nyme. Elle fut imprimée en 1609, avec l'italien à côté.

EMILIE, ou le Triomphe DU MBRITE, Com. en Actes enpro. par M. le Baron de Bielfeld, imprimée en 17;

L'EMPEREUR DANS LA LUNE. Voyei ARLEQUIN Empereur.

L'EMPIRE DE L'AMOUR, 1 I7we Opé. C'est un Ballet M*roi5rue, dont les paroles font de M. de Moncrif, et la.mufiqoede M. le Chevalier de Braflac. Il fut représenté poucla première fois le 14 Avril 17 3 j et est compofé de troisentrées 8: d'un Prolog., dont le fiijet est le rajeuniflèmencdes Nymphes qui avaient élevé Bacchus. La premièreentrée est intitulée l'Empire de l'Amour fur les Mortelsles amours de Phedre et de Thcfée en font le sujet la fécondeentrée a pour titre l'Empire de l'Amour fur les

Dieux, les amours de. Pfyché et l'Amour, avec cellesde Venus et Adonis, la rempliflènt la troisième estl'Empire de l'Amour fur les Génies ( cette entrée fournitaux yeux des Spectateurs une fuperbe décoration dulieur Servandoni, repréfentant le Palais du Génie du Feu, qui fut généralement applaudie, et admirée de tout lemonde ). Lors d'une reprife de cet Opéra, faite le if

Mai 1741 les Auteurs y ajoutèrent une nouvelle et quà-itrieme entrée fous le titre de l'Empire de l'Amour furies

Demi-Dieux , et qui a reparu feule avec des augmenta-'lions et des corrections, le z88 Aoîtc 17 jo, fous celui de-JLiNtJS.Il est imprimé en mufiq. partition w-40.

Les EMPIRIQUES, Com. en 3 Ac, et en pro. par l'Abbé de

Brueys, représentée avec succès, en J uin 16 9 7.

L'ENCHANTEUR MIRLITON Prolog. en vaudevilles;avec un Div. par Le Sage, Fuzelier et D'Orneval repréfentcle xi Juillét 171; avant les Enragés et le Tem-

PU DE mémoire. Ce Prolog. est rempli de traits extrâmementfacyriques tant fur les pièces du tems, que furles. Spectacles mêmes.

END [Pièces.] ENF ïét

Liij

ENDIMION Tra. par Françoife Pafcal, en 1657..

ENDIMION, ou le Ravissement, Tragi-Com. Paflo. par La

Morelle donnée vers r6;o. Voye^ les AMOURS DE Dianbet D'ENDIMION.

ENDIMION tragédie d'un anonyme, représentée le n Juillet1681 j et qui n'a pas été imprimée.

ENDIMION 3 ii3me Opé. C'est une Pajlo. héroïque dont le

Poème, compofé long-tems auparavant parFontenelle, etpar lui corrige a été mis en mufique par Colin de Blamont, et fut représenté pour la première fois le 17 Mai17 i. Cet Opé: qui est fans Prol. n'eut qu'un petit nombrede représentations malgré deux belles décorations dufieur MaurV, Peintre Italien, nouvellement arrivé en

France. Il est imprimé en mufiq. partition in-40. et n'apoint été repris au Théâtre; On le trouve dans vol. lie quatrième de la derniere édit. des OEuvres de Fontenelle.

L'ENDRIAGUE, pièce en trois Ac. en monologues, mêlésde pro. et de vers, avec des Div. par M. Piron, représentéeau Jeu de Dolet et La Place, à la Foire S. Germain, le 3 Fév. i7ij'. Elle n'a pas été imprimée»

ENÉE ET DIDON. Voye^ Didon.

ENÉE ET LAVINIË xS™ Opé. C'est uneTra. en rÀâtf, dont les'vers font de Fontenelle et la mufiq. de Colafle, imprimée partition iro-folio; etrepréfentée pour la premièrefois le t6 Décemb. 1690. Les Titans et la Félicicéfont le sujet du Prol: La mufique de cet Opé. étant aflèzfoible, M. Dauvergne l'a refaite en entier et il y a quelquesannées, on en fit une répétition chez M. D'Oignies,

Fermier Général ( Voyezle fécond vol. du Mercure d'Avril17 S7). Onla donnaenluitefurle Théâtre de l'Académie

Royale de Mufique le i + Fév.175Il avec enparut une Parodie fous le titre de l'EMBARRA'SDUCHOIX.

L'ENFANT GATE, Coin, en un Ac. en vers, par un anonyme, donnée une feule fois au Théâtre Français le t$ Août1*97 et qui n'est pas imprimée. Voye^ aufllla Beub

ORGUEILLEUSEet Folette.l'ENFANT- GATÉ, ou le D£bauchb DB-tA Haye-, Cm:détaillant les principales fourberies de notre tems, par unanonyme, imprimée à Delft en 16 81.¡'ENFANT JESUS, Trag.par CI. Macey, imprimée en.ÎS6 ENF [Pièces.] ENF1719, etpropreà êtrereprésentédeansdesCouvendse

L'ERNelFigAiNeuTlès. INGRATC, omp.arunanonymee, n1560.

L'ENFANPTRODIGUEQ.uatrepiècesportenctenom.

Lapremièredonnéeparl'Auteur deI'EntantINGRAT, etlamêmeannéei f6o.Laféconded, 'AntoinTeyronfélondeBeauchampims, priméàe AnveresnIJ64.Latroifiemec, ompofceen LatinparleP.DuCerceauet, qu'ila enfuitemifeen Ac.envers elleaétéfouventjouéedanslesCollegeset, -Cetrouveimprimédeans(es

Janviefruivaiiretellefutencorreepréfênrféîexfois.

Pendant le coursdecettepièce leRoi, quidonnoit déjadepuiqsuarante-cinanqs, .unepenfiodne11000liv.aux

ComédieFnrsanl.'augmenetancordee3 00l0iv.enfaveurdelaD«eQuinaultdeDufrefne fonfrèreetdeDuchemin, à raironde1000liv.chacun.

L'ENFANRTETROUVOÉp, .Comdio.nnlée2.6Fcv1. 744.

Cettepie'eavoirétéjouéedèsle16Mars1743 fousletitredeMAROTcT'EeftuneParodideeMérope.

LesENFANSC, orne.ntroisAc.parM.Tiphaigneim, pri- méeeni7ftf.

LesENFANDSANSLAFOURNAISTEr, agi-Copranr.de LaCroix, tiréeducroitieme chap.deDaniel, etquieftfansdiftinetiodn'AftesnideScènesellefut imprimée cn if 61 in-8°.

LesENFANDSELAJOYE, Come.nunAc.enpro.avecunDiv.parM.Piron, jouéeauThé.Ital."fànfsuccèsle, »8Nov.I7ZJ1C. 'eftlapremièrpeiècedeM.Piron;ellen'eftpasimpriméem, aisonpeutenvoirl'argumendtanslepremier tomeduNouveauThfatre Italien'

LesENFANDSEPARISC, ome, nf Ace.nversirréguliers, avecfuccèsattribuaéu.jeudesAfteursC. etteComédaievoitétédonnéedèsleiSDccembi-6, $<)fousletitredelaFamilu

ENF [Pièces.] ENL zc7-

Liii;i a LA mode et après quelques reprcfentations fous celuide FINETTE. Quoique ce f6it la vingt-feptieme pièce de

Dancourt, c'est la première qu'il ait faite en vers. Elle cftdans le tome (même de Ces oeuvres.les ENFANS DE TURLUPIN MALHEUREUX DE NATURE,

Tragi-Com. en 4 Ac. en vers de dix fyllabes oùl'on voit les furtunes dudit Turlupin cette pièce a été irnpriméeà Rouen, in-g°. mais fans date ni nom d'Auteur.les ENFANS TROUVÉS, ou le SULTAN POLI PAR 1' Amour,

Paro. en un Ac. en vers, de la tragédie de ZAÏRE de M. de

Voltaire, par Dominique, Roniagnefî et Riccoboni fils, donnée au Thé. Ital. le 9 Décembre 17 3i.

L'ENFER DIVERTISSANT, Com. par Sallebray, impriméeen 1639.

Les ENGAGEMENS DU HAZARD, Corn, de Thomas Corneille, imprimée dans le tome premier de fes OEuv. C'estla première pièce de cet Auteur, qui n'ofa avouer ce coupd'eflai quand il le fit paroitre fur le Théâtre de l'Hôtelde Bourgogne, en 1647 ou en itfjro. Cette Comédie esten Actes en vers, et tirée de deux pièces du Calderon, .

Poëte Efpagnol l'une portant le même titre, etl'autrecelui de fa Maijbn -deux portes difficile garder. Voye%l'INCONNUE.les ENGAGEMENS IN DISCRETS, en un Acte enpro. donnée auThéâtre Français le z6 Octobre I7j-i, etqu£n'eut que peu de reprérçntations. Elle ell de M. De Vaux, 'qui l'avait d'abord comparée en Ac. On lui trouva quelquerefTemblanceavec.AGÂTiNE.

L'ENGOUEMENT Com. en pro. en Actes, par Mme de

Staal imprimée au mois de Septembre 17 f.

L'ENLEVEMENT D'ADONIS. Voye^ les SURPRISES de

L'AMOUR.

L'ENLEVEMENT D'EUROPE, Opéra. C'est-une Tra doncles paroles et la mufique font de M. Betizy. Elle fut jouéeau Concert de la Reine à Verfailles au commencement damois de Juin 1739.

L'ENLEVEMENT DE LA CHASSE DE S. FLORENT,

Patron de la ville de Roye, fait par ordre de Louis XI..l'an 147 Tra. en vers en f Ac. par M. Leflèquin Chanoinede Roye, imprimée etjouée à Roye en 1708. ComiV8

ENL [Pièces.] ENTme cettepiece'étoitrare, on l'a réimpriméedansle Cor.-fervatcur, moi?de Décembre1757.

L'ENLEVEMENTIMPRÉVU, Corn, en unAc.eten pro.

Cettepiece qui est de Morand, n'a pointétérepréfentée, etfetrouveimpriméedansleCecondvol. de fesOEuvres, donnéesen 17ji.

L'ENLEVEMENTPRÉCIPITE Op. Comi.en un Ac.par

M.Favart, donnéle Z9Juillet17j f etnonimprimé.

Les ENLEVEMENS Com.enun Ac.enprofe donnéepar

Baron, le 6 Juillet i68j-.h les ENNEMISRECONCILIÉS, Op. Comi.enun Ac.par

M. Panard, repré(entéle x7Juin 173 6, et nonimprimé.

Foyeçl'HisroiREbbl'Opïra-Comiqub, dont cette pièceformoirle quatrièmeAde.

L'ENNUYÉ.Voyeil'EMBARRDAUSchoix.les ENNUIS DETHALIE, Com.enun Ac.en verslibres, avecunDiv.de MM. Panardet Sticotti repréfentéeau

Thé. Ital.le 19Juillet 1747 etapplaudie.C'eftunepieceépifodiqueellen'a pasétéimprimée.les ENNUIS DUCARNAVAL, Com.en verslibresenun

Aûc, avecun Div. de RomagneGetRiccobonirepré*fentéepour la premièrefois par les ComédiensItal.lei/Fév. I7?y.les ENRAGÉS.Voyerla RAGFD'AMOUR.

L'ENROLEMENTD'ARLEQUIN, Opéra Comi.en un.1: Acte, parM.Piron, donnéaumoisde Février 1716, etnon imprimé.

LesENSORCELÉSo, ulaNOUVELSLUERPRIDSEEl'Amodr,

Paro. en un Ac.mêléd'Ariettes, parMmeFavartetMM.

GuerinetHarni, donnéeauThé. Ital. avecbeaucoupdefucecs le premierSeptembre17f 7. On reconnoîtai(émentdanscettepiecequeleRomandeDaphnïsetChiot, ena fournil'idée etqu'ellea étéfàifieheureucement.

L'ENTÊTÉ Com.en unAc.parunanonyme, donnéedeuxfoisauThé. de la ComédieFran.aumois de Juin i 694etqui n'est pasimprimée.

L'Entêté, Cvm.en un Aâe en vers, par M. Bret, reprcfentéeau

ThéâtreItal. le s Juin 17^8.Ellen'eftpasimprimée.

L'ENTÊTEMENTDESSPECTACLES, Op. Ccmi.enUn

Aci natCarolec, donnéen i7ti.

EPR 169

L'ENTETEMENT RIDICULE, CÕm.en un Afte, par unanonyme repréfentéehuit fois de fuiteau Théâtre Français dansle mois d'Octobre 16^9. Elle n'a pas été imprimée.

L'ENVIEUX, ou la CRITIQUE DUPHILOSOPHEmarié, Com.en un Ac. en pro. de Nericault Débouches, donnée le

Mai 1717. Cette pièce n'est pas imprimée telle qu'on.lareprefenta l'Auteur l'ayant presque toute refondue.

L'EPHESIENNE; ou la MATRONE Tragi-Com.avec des choeurs, par Brinon, donnée en 1614.

EPICARIS ou la MORT DENéron Tra. par M.le Marquisde Chimène, retirée après la première représentation quien fut donnée au Théâtre Français le 2 Janvier 1713. Elle n'estpas imprimée, .

L'EPOUSE A LA MODE, Corn, en 3 Ac. en vers par M. de

La Pace, donnée au Théâtre Français le :or S Octobre 1760, et quifut retirée par l'Auteur. Elle n'est pas imprimée.

L'EPOUSE SUIVANTE Cum. en un Ac. en pro. par Chevrier, donnée pour la première fois au Thé. Ital. le i o Novembrei 7 f f et qui a eu quelque succès.

L'EPOUX MAGICIEN. la PRÉTENDUEVeuve.

L'EPOUX PAR SUPERCHERIE, Com.en deux Ac. en vers, parBoifly, jouée au Théâtre Français le 9 Mars 1744. Les re-'prclèntations de cette pièce ne furent pas nombreufes, mais brillantes et l'Auteur la retira à caufe de la laiton.

Les EPOUX, Opera-Comi. en un Aile, avec un div. par M.

Favart, donné le premier Juillet 1740 et non imprimé.

Les EPOUX PAR CHICANNE, Paro. d'HYPïRMNBSTREen deux Ac. et^en vers libres, mêlés d'Ariettes, par M.

Taconet, représentée à S. Germain-en-Laye en 1759 etimprimée la même année. v

Les EPOUX RÉUNIS, Com. en vers et en 3 Ac. de Guyotde Merville, représentée pour la première fois au Théâtre

Fran. le i Octobre 1758. Voyt\ la Réonion DES Epoux.

L'EPREUVE. II y a eu deux Com. de ce titre. La premièreen 3 Ac. non entierement finie, trouvée dans les papiersde Dufrény, et brûlée à fa mort. La féconde en un Acteet en profe, de M. de Marivaux, donnée aux Ital. le 19 Nov. 17 40, reçue avec applaudifTement et jouée fouventdepuis.

L'EPREUVE AMOUREUSE, Opêra-Comi. en un Ac. donné le s; Juillet 1737 par L'Affichard et M. Valois. Il n'estpas imprimé.

L'EPREUVE DANGEREUSE, Com. en f Ac. par un ancnyme, donnée auThéâtre Français fans succès le 4 Août 1 688 elle n'est point imprimée. Vbye^saCCile CAPRICE.

L'EPREUVE DANGEREUSE, ou le POT AUnoir, Opéra comi. en un acte représenté pour la première fois le 3 Mars 1740 il est de M. Fromager.

L'EPREUVE DE LA PROBITÉ, .Com. en f Ac. en profe, par M. de Baftids.- Cette pièce avoir été deltinée pour le

Théâtre Français mais n'ayant pas été jouée par des raifons par.ticulières l'Auteur la fit imprimer, et elle parut par cènevoie le 17 Mai 1761.

L'EPREUVE DES FÉES, Op. Cornu en un Ac. donné le 18

Juillet 173 1. Il est d'un Auteur anonyme, et n'a pas éréimprimé.

L'EPREUVE IMPRUDENTE Com.en 3 Ac. en vers libres, par M. Mauger, donnée au Théâtre Français le 4 Décem. 17/8, et non imprimée; elle eut peu de succès.

L'EPREUVE RÉCIPROQUE, Com. attribuée à de La Font, etrepréfentée, à ce que l'on prétend, au Théâtre Français en octobre 171 1 elle eut, dit-on, de la réuflite mais on ne la croit pas imprimée.

Il y a une autre pièce fous le même titre, par Le Grand, Alain et Thierri, en un acte en prose qui a été jouée aussi en 1711. Ne feroit-ce pas le même ouvrage attribué à des auteurs différens ? Quoi qu'il en foit, l'Epreuve réciprogue Cerevoit fouvent et avec plaifîr, etl'on raconte que comme cette pièce est courre au fortir de la première représentation, La Motte qui trouva Alain dans les foyers, lui dit M. Alain vous n'ave^pas offe^ allongé la courroieallufibn à la profeflîon de Sellier qu'exerçoit Alain.

Les EPREUVES Bail, héroïque de Mme de Gomez, imprimé dans Ces(Euv. en 1714.

Les EPREUVES DE L'AMOUR Op. Comi. en un Ac. dontles paroles font de M. Anfeaumè il fut donné le premier

Octobre t7 f9. La mufique en est la même que celle faitepour la Parade de GILLES GARÇONPEINTRE que tout lemonde avait defiré être fous des paroles plus ftrpportables, et qu'on peut entendre décemment.

L'ÉQUIVOQUE, comédie cnj Ac. en prose par Charville, jouéeet imprimée à Touloufe en 1719.

ERCOLEAMANTE. L'Opéra d'ORPHÉEqui avoicété jouéen 1647, et la Pastorale de l'Abbé Perrin, donnèrentla penféede renouveller ce Spectacle dans le tems des nocesde Louis XIV. et on fit représenter cet ERc o t. E

Amante qui est une Com.Italienne car on croit encoredansla prévention que notre langue n'était absolumentpaspropre pour la mufiq.dramatique mais pour la commoditédeceuxqui n'entendoient pas l'Italien Camillelatraduisît en vers François, ainfi qu'on l'obferve de nosjoursau sujet des Inter. italiens que l'Académie Royale de

Mufiquefait représenter. Les entr'Ades étoient des Ball.tirésde la pièce et dont les vers étoient de Benferade.Le

Roiet la Reine y danferent avec les principaux Seigneursde la Cour. Le Cardinal Mazarin fit venir d'Italie tous les

Acteursncceflàirespour exécuter cet Opéra, et le célebre

AbbéMêlant y chanta un rôle il n'y eut d'Actrices Françoifesqueles DUesHilaire et de Labarre. Les paroleséroientde l'Abbé Perrin, et la muGquefut compofée par

Camberr. Cet Opéra était précédé d'un Prol., ufage quiété fuividans prefque tous ceux qui ont été faits depuis.

LesMachinesen étoient fi grandes etfi furprenantes, qu'ily enavoit qui enlevoient jufqu'à cent perfbnnes. Cettepiecefut représentée le 7 Janv. 1661 dans la grande falledesMachines du Château des Thuilleries, qui fut bâtiepour le mariage de Louis le Grand, fur les delteins de

Vigarini, Gentilhomme Modénois.

ERIGONE.C'est le titre d'une Tragi-Coin, en y Ac. en versetenpro. de Defmarets donnée en 1639 et d'une Tra.de La Grange-Chancel, représentée pour la première foisparles ComédiensFran. le 17 Dccem. 1731. Le fujec dela première de ces pieceseft d'invention celui de la fecondeaété puifé dans l'Hiftoire Grecque. Nous avonsauffiun Acte d'Opéra fousle titre d'EtuGoNE les parolesen fontde La Bruere, et la mufique de Mondonvitle ilfut repréfénté pour la première fois devant le Roi à Verfailles, fur la Théâtre des petits Appartemens, le zi Mars1748. Voye^les FÊTESDEPaphos Opéra où cet Ac.a étéenfuiteinfère avecdes changemens.i7i ERI

ERIXENE Tragédie attribuée, l'Abbé D'Aubignac, et jouée au Théâtre du Marais, sans réussite, en 1661. Elle n'est pas imprimée.

EROMENE, Pastorale en Ac. en vers, de Pierre Marcaflus, donnée en 16;

EROSTRATE. Voyez les Amours d'ERosTRATê.

EROTOPEGNIE, ou LE PASSE-TEMPS D'AMOUR, Drame, par Le Loyer, imprimé en 1f76 in-8°.

ERYPHILE, Tragédie de Monsieur de Voltaire, représentée pour la première fois le 7 Mars 1731. Le sujet est presque tout de l'invention de l'Auteur, qui n'a pris de la Fable autre chose, fut la cause de la mortrus fon mari, et fut tuée par Alcmon son fils. Cette Tragédie a quelque ressemblance avec Oreste, et Clytemnestre.

La verfification en était pleine d'harmonie, les penfeesnobles, et les maximes neuvesethardies;cependant ellen'est pas-encoreimprimée.

Quatre jours avant la première représentation de cettepièce, c'est-à-dire le Mars, des Députés des Corné..diens François âllerent offrir à Meffieursde l'Académie

Françoife l'entrée de leurs fpeaac1es ce qui, de l'a.grément du Roi leur protecteurj fut accepté par ces

Meffieurs.

ESAU ou le Chasseur Tragi-Com.en 5 Ac.en vers, avecdes choeurs par Behourt, jouée au College des Bons-En»fans, à Rouen, le t Août IJ98. Ce sujet cfttirc dela

Genefe.

Les ESBAÏS Coin.de Jac. Grevin en f Ac.en versde huitfyllabes donnée avec un grand fuccèsau College deBeauvais, le r6 Fév. iftfo.

L'ESCLAVAGEDE PSICHÉ, Opira-Comi.en 3 Ac. par

M. Panard et Fagan donné le Fév. 17 p.

L'ESCLAVECOURONNÉ, Tragi-Com.de Bourzac, donnéeen KÎ38.

L'ESCROC, Com.en 3 Ac.en vers, imprimée dans le tometroisième des MémoiresdeBraçey; cette pièce avoir étéf deftince pour le Théâtre Ital. avant fa clôture, et ne vautrien.

ÉSOPE ou ARLEQUIN Ésope Corn.de Le Noble, en f Ac.en vers, jouée au Thé. Iral. pour la première fois leM

ESO [Pièces.] ESP .17$ïcv. 1691. Le bruit que fit Ésopb A LAVILLB, de Bourfault, excita Le Noble à compofer une pareille Comédiepour le Thé. Ital. La morale en est fine et les Fables légèrementécrites auffi eut-elle un grand Cuccès.On la remitfur le nouveau Théâtre le zi Juin 1711-ÉSOPE A LA'COUR, Com. en r Actes en vers, par Bourfaultreprésentée le 166 Décemb. 1701-, après la mort del'Auteur, ce qui l'empêcha de repaflèr jui-même fon ouvrage, et d'y mettre la derniere main. D'ailleurs cettepièce fut fort altérée à la repréfentarion où l'on retranchaquantité des plus beaux vers, par la crainte des applications.

Par exemple, dans la belle Ccene du premier Ac'où Crifus Ce plaint du peu de fincéricé des Courtifansl'Auteur lui faifoit dire ces quatre vers:

Par-il je m'apperçois au du moinsje foupçonne

Qu'on éneenfela placeautant que la pecfonnej

Quec'ettau diadèmeun tribut que l'on cend,

Et quele Roiqui règnectt toujours le plusgrand.

Il y avait quantité d'autres endroits de la même force;qui furent fupprimés ou gâtés. ( Oh peut en voir quelques-uns dans l'Avertinement mis à la tête des OEuvresdeBouriàulcJ.Latroifierne fcéne du troisième Ac. quoiqu'impriméedans cette pièce, n'est pas pareillementjouée fur le Théâtre. C'est un difcours entre Efope et Iphicratejvieux Courtifan, Efprit fort, qui ne peut croire aux

Dieux.ÉSOPE A LA VILLE. Voyer Fables d'Ésope.ÉSOPE AMOUREUX, Op. Comi. par M. Taconet repréfcntéàTroyes en Champagne en 17 17, et imprimé à Paris en 17 y 9 chez Cuiilàrt.

KOPE AU COLLEGE, Coin. du P. Du Cerceau , 'représentéedans les Colleges et non imprimée.ËSOPE AU PARNASSE, Corn. en un Ac. et en vers, avecun Div. de M. Pelletier donnée pour la première fois au

Thé. Iran, le 14 Octobre 1739, et très-bien reçue.

ESOPE AU VILLA CE, Op. en vaudevilles, par M.

Nau imprimé a la Haye en 17/0 et qui n'a pas été représenté.

Les ESPACES IMAGINAIRES, Opéra- Comi. d'un Atfe, 17+ ESP [Pièces.] ESPpar M. Piron, représenté pour la première fois le i Août1734-

L'ESPERANCE, Op. Comi. en un Ac. donné le y Septemb.1 730 par Le Sage, Fuzelieret D'Orneval.

L'ESPERANCE GLORIEUSE, ou AMOURn JUSTICE.

Tragi- Comédiepar Richemont Banchereau, donnée en1651.

L'ESPIEGLERIE AMOUREUSE, ou l'AmouR matois,

Opéra-fioujfon-Tragi-Comico-Poiffard en un Ac. mêlé de

Chantons grivoifes fur des airs communs, imprimé ent7<ît chez Cailleau, Libraire à Paris.

L'ESPRIT DE CONTRADICTION, Corn, en un Ac. et enpro. de Dufrény représentée pour la première fois je n7

Août 1700. C'est une des meilleures petites pièces quifoient au Théâtre Français 8;. on l'y donne fouvent.

L'ESPRIT DE DIVORCE, Corn, en. un Ac.et en pro. donnéeau Thé. Itàl. le 27 Février 17j 8. Morand Auteurdecette pièce la compofapour se venger, de fa belle-mère, contre laquelle il était brouillé, etqui lui avait inteméun'procès injufte voyant qu'on s'était révolté contre quel»cjues endroits de fa Comédie, il crut qu'elle ne plaifoitpoint, etla retira après la première représentation maisle Public l'ayant redemandéeplusieurs fois, on la remitle s Mars fuivant, et elle eut atfez de succès. Ceux quivoudront être inftruks plus particulierement.de quelquesanecdotes fur cetté.pièce, pourront confulter le tomecinquièmedes Lettres fur quelquesEcrits de ce tems, du

Septembre 17JT.

L'ESPRIT DU JOUR, Com.en un Acteen vers libres, par

M. Pierre Roufleau, donnéepour la première fois au Thé.

Ital. le 1 Septem. 174; et qui a eu peu de succès. C'estnne pièceépifbdique,

L'ESPRIT FOLLET. Voyer la DAMEinvisible et l'INCONNOE.

L'ESPRIT FORT, ou I'Argelie Corn, en f Ac.en vers, par

Claveret, donnée en 1619, à l'Hôtel de Bourgogne, etimprimée en 1637, w-8°.

Les ESPRITS, Com.en. f Ac. en pro. par Jean de La Rivey, /repréfentee au mois de Janvier i;7?.

ESS [Pièces.]

ETO i7f

L'ESSAI DES FILLES; Corn. en Ac. en pro. imprimée en 1699.

ESTHER. Pierre Matthieu donna à Vercel en 1:83, avec un grand succès une tragédie sous le titre de l'Histoire Tragique d'Esther, qui fut imprimée à Lyon en i y 8/, et qu'il refondit quelques années après, pour en faire deux pièces, fous les noms d'AMAN et de VASTHY mais outre ces deux tragédie nous en avons eu quatre autres sous le titre propre d'EsTHER. La première, d'Atoine Le Devin, versi f7o. La feconde, de Ville-Touftain, imprimée à Rouenvers l'année 1611. La troisième, de Du Ryer, donnée àl'Hôtel de Bourgogne en 164? ou 1 644 et qui Ce trouvedans le troisième vol. du Théâtre François. Là quatrièmeenfin du célebre Racine. Cette derniere fut faite pour les

Demoifelles de Saint-Cyr, qui la repréfenterent plufieursfois devant Louis XIV. et les Grands de fa Cour, pendantle Carnaval de l'année 1689. Elle était alors en f Ac. avecdes choeurs et des chants liés avec l'action principale lamufique ctoit de Moreau. Depuis les Comédiens l'ont réduiteen 3 Actes, ont Cupprimé tout le chant, et n'ont confervéque bien peu des choeurs en cet état ils la donnerentau Public pour la première fois le 8 Mai 1711, mais ellene réu(rt pas autant qu'on l'àvoit efperé n'ayant été reprcfentéeque huit fois. On la trouve dans le fecond vol.des OEuv. de Racine.

L'ETÉ DES COQUETTES Com. en un Ac. de z f fcenes, "en pro, par Dancourt, reprcfèntée fur le Théâtre Français le 1;

Mai 1690. Dans fon Epître dédicatoire, à Mme la Princeflède

Conti, première Douairière, Dancourt dit qu'illui confacre celle de Ces Comédies qui a reçu le plus d'applaudiflemenselle ne fut cependant jouée que douze fois.

On la trouve dans le premier tome de (es OEuvres.

L'ETHIOPIQUE ou les CHASTESAMOURSdeThbagbne£r DEChariclée 7>Ji»7-C0/7j.parGenetay en 16og. Ellecontient la conclufion du Roman de Théagene.1 ETOURDERIE. Voyer les .Caractères DEThaue.

L ÉTOURDI, Corn.de Moliere, auflï intitulée, les Contre-

T*Ms titre qu'elle devrait porter feul, au dire des connoiflèurs.

Cette pièce est en Ac. en vers 4 Si la premièreque Moliere ait donnée au Public elle fut jouée d'abord176 ETQ [PU, CES.} EVEà Lyonen xc jj: età Parisle Décembre i6y8, à I'ouverturedu

Thé. du petit Bourbon:elle est compoCée deplusieurspetitesintriguesallhzindépendantesles unesdesautres; c'émit le goût duThéatre Italien et Efpagnolquis'étoitintroduità Paris.Onla trouvedansle premiervol.des(Eu'v.de Moliere.

L'ÉTOURDICORRIGÉ, ou fECOLEDESPERES, Com. en3 Ac.envers, par M. PierreRoufleau donnéeune feu!efoisauThé. Ital. le 8 Août17J0.On racontequedansunendroitde la pièce, un Acteur ayantdéclame emphati-'quementce vers

Lemenfougeeftenl'air etje levoispartir.

Quelqu'undu Parterre s'écria ouvre^IesLoges, cequioccafionnade grandséclatsde rire. Cette pièce n'éft pasimprimée. L'Auteurl'avoitdeftinéeoriginairementpourle ThéâtreFrançois.

L'ETRANGER.Il y a deux piecesen un Ac. de ce nom;l'une, de LeBrun, impriméeen 1710dansle RomanintitulélesAventuresde

Calliope et qui n'a pasétéreprefeniéel'autre en un Ac.envers, attribuéeà l'AbbéBonnet, etdonnéele 9 AoûtI74f auThéâtre Françaisfansfucecsn'ayantété jouéeque deuxfois. Cette dernière quin'eltpas imprimée ctoitfaiteà la louangedu-Roi etc'eftlepremieretfeulouvragede cetAuteur.

LesÉTRENNES Corn, en un Ac.en pro. avecun Div.par

Dominiquere, présentéeau Thé.Ital. le 10 Jànvier1711, fansfucecs.Elle n'a pas été imprimée.

LesÉTRENNES ou laBAGATELLCEo, rne, n verslibreseten unAc. avec un, Div. par Boifly, repréfentéeauTiiéi

Ital. le 1 Janvier 1753.C'est unecritiquedesnouveauté*.dramatiques de ce tems-Ià, pat desprédictionscontenuesdans un AlmanachdesThéâtres. Les repréfehtationsenfurentdesplusbrillanteset des plusnombreufes lesComédiensayantà peinela placepourla jouer. On enfitdeuxéditionspendantle tems de fes représentations.

EUDOXE, Traçi-Comd.eScudery donnéeen 1639.Voyt{}AthénaÏs.

Les ÉVEILLÉS DE POISSI Op. Comï. en un Ac. par Fagandonné le 27 Août 17 } 1 et qui n'a pas été imprime.

EUG [Pièces.] ETIR '17^.

M

EUGENE, ou la Rencontre Connde. Jddelle, en Ac. en-

P.tbl.jouée/devant le Roi

Henri 111.au Collée de Rheims en r r rt puis, en celuide Boncoûrt. Ellejcte été impriméequ'en1774.

EUGENIE.Deux piecesportent ce titre, ; l'une de Corneille

Curéde Ville.en-1678-. .• :•'

EULOGE au le Danger, DESRichesses Tragi-Cqm. en3 Ac.'eten.vers, ;du P/.D11Cerceau, repréfentce par lespetits PenfiQnnairesdu College de Louis leGrand, a Paris, lez Juin 171 j. Un Dramecomique intitulé lèsCousins, fervitd'Intermède à cette pièce

L'EUNUQUE^ Coin, en vers eten y Ac par La Fontaineen i*j43 elle est imprimée dans fes OEuvresdiverfès. Je.'

Anr.Baïf avoir déja traduit 1'Edndqcb de Terencc fous leregne de CharlesIX. en i ;6i mais fa pièce ne fut poincde Çomfdiensà Paris. Voyt{auûî le Muet.

L'EUNUQUEVobla Fideile iNFiDBLiTi Tiag. burlefque.

C'est une efpece d'Opera-Comi. en pro. eten vert, , plaiûnt côtnpofé par le fîeur • Grandval Comédienetjoué cher la DUe-Dumenil, en 1749. •

EURIMÉDONjjoa:l'IiLosTRB PIRATE)Tragi-Corn, de

Desfontaines, donnée.enKj7.

EUROPE, Tragï-Com, en s Ac. envers, avec un P'rol. attrï-v.• buéeau Cardinalde Richelieuj Defmarets y avait auflitra-“>vaille:elle fuWepréfentéefur le-Thé. de l'Hôtel de Bourgogne, avec iine, magnificence.digne dece grand Çardinal, etfut imprimée en 1643 /«-40.quoiqu'elle n'eût pas

LeBruna auflicomppfé'ùne Tra. d'EnROPB en r Ac.avecun Prol. deftinée pour ôtrè'mîfe en mufiqueiée qu'aucun

MuÇciénn'a encore entrepris defaire elle se trouve im-'priméedansfon, TAeat«lyrique.l'ËUROPE -Corn, par an anonyme, impriméeen

Tous les.Etats de cette belle partie du monde font introduitsfur la de chaque Nation y.fontcaractérises. Cènepiècefut faite pour répondreauxlibellesqui fediftribuoient; en Allemagne.Ce pourroit bien êtreh pièce du. Cardinal de Richefieu qu'on auroit réimpri\jt EUR JPiecjss.] ;EURmée cetce année, car le sujet en efc le même.

L'EUROPE ET LAPAIX, Prolog, par M. Panard, donnéle24Septembre 17 36, au Château Qe Meudon, devantla

Reine 3c le. Koide Pologne/etènfuite â la Foire il n'est

L'EUROPE GALANTE, 43 meOpéra. C'èft un Bail, compoféde cinq Entrées, dont la première entre VenusetIa

Difcorde ferc de Prol. Il fut reprcfehté^our la premièrefois le 14 Oftobte 1(697 et est imprimépartition in-etin-fol. La Motte e(l l'Auteur des paroles, et Campiac celui de la mufkjue.Ç'est le premier Opéra de ce dernier, et l'un des meilleurs qui eût paru 'depuis Lully. Il a étérepris déjà fir fois', (avoireh 170CtH-fi f, 1714, 173*117*7 et i7i;- r •r\

F

FAB • i'Ïàcvers eten cinqAâes de Bourfault donnéeauThé.Fran.de 18 Janvier1690, 8t jouéequarante-troisfois defuite.

Cette pièce; dont on connoîtle- mérite fur cependantfiffleeauxpremiers représentations)ce qui' obligeal'AuteutàfaireuneFablepour lesturtralénsdu Parterre, dontle iùjet était, le Doguequi vouloirempêcherle Btcufdebrouter en voiciks.quatre derniersvers

Atant d'honnêtegsensquifontdevanvtoiyeux, ,

EtnerefleroblpcaztEt Dogutneyiiui

Quineveunt imangern, ifouffirqiruel\>umange.

Cette excellenteComédievalût à TonAuteur4000livres, outre lesprofitsde l'impreflîon.Elle à été traduireenplu-

Gearslangues, etjouéefur. tousles• l'Europe. Les Anglois fur-tout i'èftiment beaucoup, et

Le FACHEUX VEUVAGEi:OpC.orn, en Ac.parM.Pizondonnéle 16 Août 1715. Il n'est pasimprunc.if

FAC f Pièces.] FAM x?$

Mijsujet en est pris des Mille et une nuit et il avait déja étéemployé dans la POMPE funèbre DECRISPIN.

Les FACHEUX Cora. de Moliere en vers et en Ac. avecdes Inter. liés à la pièce. Elle fut représentée à Vaux, devantle Roi, le 16 Août 1661 à Fontainebleau le 17 dumême mois; et à Paris fur le Thé. du Palais Royal le 4

Novembre fuivant. M. Fouquet engagea Moliere à compofercette pièce pour la fameuse tête qu'il donna au Roi.et à la Reine Mère dans fa maifon de Vaux, aujourd'hui• appellée Villars. Elle fut faite, apprife et représentée enmoins de quinze jours, et fit au Roi un extrême plaifir.

Elle fut précédé d'un Prol. compofi par Peliflôn. On prétendque le Chafleur importun qu'on fait paroître dans lapièce, était le Marquis de Soyecourt, et que Moliere s'adreflaà lui même pour apprendre les termes dànt il devoitse fervir. Cette pièce se trouve dans le tome fécond des

OEuv. de Moliere.

Les FAÇONS DU TEMS, Corn. en Ac. envers, donnéeau Théâtre Français le 13 Décemb. i68f, etrepréfëntée neuffois.

L'Auteur ( Saintyon 1, -qui ne voulut pas se nommer, écoit un homme du monde, qui en favoit les manières 8cde qui même des perfonnes de.naiflàiice vbuloiënt bien enrecevoir des préceptes. Cette pièce fut reprise lé zg Nov.itfj4, et elle n'eut qu'une représentation.. Cf^ l'imprima fjà la Haye en 1696, fous le titre des Moeurs* £'ù tems, et*fous le nom dé Palaprat.la FACULTÉ VENGÉE, Corn, en trois Actesen profe par

LaMettrie imprimée in- 8°.; enHollande, fous le tiré de

Paris, en r747. C'est une Satyre au sujet du procès des

Médecinscontre les Chirurgiens, et fur-tout contre lespremiers..

LeFAGOTEUX, petite pièce donnée par Molière, leto

Avril1S63 etqui ne tïoiis a pas été confèrvée. C'étaitfansdoute le canevasdu MEDECIMNALGRicfi;

LaFAMILLE, :Com.en un Acteeten pro' par L'Affichardrepréfentéefur le Thé. Ital; pour la première fois, le 1• Septernb.17 ]6. On' prétend qt;e M. Pàrmehtjér a euauffipart àcette pièce. I: '•ï.aFAMILLEA LA MODE. Voye^les Enhans deParis.la FAMILLEEXTRAVAGANTE, Corn:en un Ac.etfvets"iSo FAM [Pièces.] FARpar Le Grand, donnée-auThéâtre Françaisle 7 Juin 1709, Elleest dansle premiervol. de fesOEuvres.

La FAMINE, oulesGabaonites Tra. avec des choeurs, par Jeande LaTaille, donnéeen 1f 71. Ce fujeteft tiréde l'Ecriture-feinteetdufeptiemeLivrede Jofephe.le FANATISME.Voyc[MAHOMET."

FANFALE, Paro. en vaudevilleseten f petitsAc.delaTragédielyriqued'OMPHALEdo, nnéeauThé. Irai, ave fucces, le 1 8 Mars77y parMM.FavartetMarcouville.

Le FANTOME, Corn, de Nicole, en 16;6. C'est unepiecefinguliereetplaifantepourle tems.le FANTOMEAMOUREUX, Tragi-CÙmen. cinqAc.envers, par Quinault, donnée à l'Hôtel de Bourgogneen16 f6, ettirée de lEfpagnol.

FARCES.On n'entreprendrapas de rapporterdansceDictionnairelesFarcesanciennes, dontlenombreeftprefqueinfini car, felonDu Verdier, « au temspartechacunfes>mêloitd'enfaire, etencoredefontemslesEnfansfans» fouci en jonoientetrécitoient.Or, ajoute-t-il, la Farces>n'étoitqued'un Aâe, etla pluscourteétoit eftiméelameilleure». Ces Farcesétoient de petitesfacétiesqueles Enfansfansfouci, lesCharlatans, puis les Comédiensdonnaientfur l'cchaffàu:en placepublique, et enfuitcenl'HôteldeBourgogne.Ellesétoientrempliesdepointesetde jeuxgroûlers.LesancienseftimaientbeaucouplaFarcede Patelin. Cellesde Tabarin, de Turlupin, de Gautier'

Garguilled, eGros-Guillaumeet, deGuillot-Gorju fontles plusconnues.( Vuye^kla lettre du nomde chacundecesFarceurs, dànsla fécondepartiede cet ouvrage Gauticr-

GdrguitU Gros-GuillaumeScTurlupin, dicl'Autencd'un Mémoire étoientGarçonsBoulangersdufauxbourg

S. Laurentà Paris (ans étude, mais avecde l'elprit Usétoient amis, et s'étant misen tête de fairela Comédie, ils compoferentdes piecesou des fragmens comique%qu'on a nommées depuis Turlupinades ils prirent deshabitsconvenablesauxcaractèresoùils s'étoientdeftincs.

Ils louèrent un petit Jeude Pauline qui exifteencoreàlaporteS.Jacquesils avoientunThéatre portatif, etdes. toitespour leur fervir dedécorations.Ils jouoientdepuisune heure jatju'àdeux, fur-tout pour lesEcoliers, etle

FAR [Pièces.] FAR m

Miij

Jeurecommenleçfooiitr;leprixdufpeétacélmeidt edeuxfoifsixdenieprsartête.LeCs omédideenl'sHôteldeBourgosg'néteapnltainatusCardindaeRl ichelqieuue. troiBs ateleeunrstreprenofuierlneut rdsroitsS, .E.voulutjugedrecedifférepnadrfesyeuxIl.sfurenmtandaéus

PalaRisoyaol, ùilsreçureonrtdrdeejouedranusnealcovIel.sfefurpaflèdreanntlsa(cèndeeGros-Guillaumeenfemmefo, ndanetnelarmepsouarppaifleacroleredàeTurlupfoinnmariq, ui, lefabràela-maimn enaçoit chaqiunefandteluicoupelartêtefanvsouloli'ércouttearn(tcôètnde'unheeureentierdea, nlsaqueclleettfeemme, deboutat, ntôàtgenoulxuidifomit illcehofteosuchanteetst, entotiotulsesmoyednesl'attendAriruc. ontrairleeMarriedoublCanemstenacveso, uêsteusneMafiqlfuaeul, utidifok-ijlen'api oindtecompàtveoursendre, jevouqesuncejeovnojuutrsueeE. hmonchemr arir;eprit-elle, fishier parcettefoupaeuxchouqxuejevous mangeetr, quevoutsrouvâtfeibsonneA.cesmaholtasle, MarfierendetleCablrueitombadnetsmains, la carogrliueidit-ilellem'apripsarmonfoible graifmlé'enfigeencofruerlecoeuetr, c.

Cefpeétactelelqu'opneuftelefigureprlutauCardinal.

IlfitvenilresComédieetnles, urreprochqaun'tofnortoittoujoutrrisftdeelareprésentadteiloenurpsiecesilleurordondneas'alfoccieestrroiAs cteuCrsomiques. Voicuineautre(cènGe.autier-Garvgoumilliertbmitilleimprécaticoonnstrleesfervanteasjoutanqtu'iléioittoabilllitégdoé'uelnsecuhrasngteorulseshuitjsoursetaprèasvoidré- défauitlsf, inillopiatrceludielamalpro- fperetée, nrépétavnitngftoiqsu'ilavoittrouvleésbennes trpoeuivgdenerasfcnuhtrleavmedauarxmnfsaitfeteoquup'eOinl.'hétboipietlnud, fsuitTrpurrdilseupinc, ellqeuejevouasipromiefeftlephénidxesfervante}svonuestrouverpelzudsecheveuexll, eCecoëffe

Cteoujouàrlsacaveet, c. lq'cutale'bolnvifileèndmdteelearnaFtpaprocferutferunrfofispraoufrixelretemdse donnuenr eidédeeasnciennFeasrcgersa, ndTshéatreets àceque.nous quriefTembloient appelioan6stuellement-PF

FARINETTE, Paro. de'FnosERPiNE, en un Aéte, donnéepar M. Favart à l'Op. Comi. le 9 Mars17+1- Ellen'estpas imprimée..

Le FAT, coin, en verset en f Ac.donnée au Théâtre Françaisle f

Mars 175-1 par M. de Lâtcaignan.Elle n'eut qu'une reprétentation, etn'est point impnmée.

Le FATPUNI, Com. en un Ac.et en pro. par M. de Feriolde Pont-de-Vefle, , donnée avec fuccèsau Théâtre Fran.pour la première fois, le 14 Avril 1738, etCouventrejouéedepuis. Cette jolie pièce est tirée du Gafcon puni, conte de La Fontaine.

Le FAUCON. Nous avons deux Corn, fous ce Gmpletitre

Japremière en un Ac.en pro. de MlleBarbier, attribuéeà l'AbbéPellegrin repréfëntéeau Théâtre Français le premier

Septembre 1719; la feconde, aufli en un Ac. en pro. par

Fuzeher, jouce au Thé. Ital. le 16 Août 1719 etqui n'a-pas été imprimée. Palaprat avait fait aufli pour l'ancien

Thé. Irai. une Corn, du FAUCON, mais elle n'a pasétéjouée ni imprimée.te FAUCON, ou la Constance Com.en un Aâe en vers, par Dauvilliers repréfenteeau mois de Janvier 171S, a Munich; devant l'Eleâeur de Baviere, dont l'Auteurétait Comédien.

Le FAUCON, etles Oyes DEBoccacb C'jm.de Delifle, enj Ac. en profe avec un Prolog.et des Div. elle fut repré-

Tentéepour la première fois au Théâtre Ital. le 6 Février

U FAVORI Tragi-Com.de Mmede Villedieu repréféntt'eà Verfaillesdevant le Roi, le 1 Janvier 1 66f et à Paris, au commencement du mois de Juin (ùivant.

La FAUSSEAGNÈS, ou le POETEcampagnard, Com.en

Ac.eten pro. précédée d'un Prolo en vers. Cette pièceest de Nericault Deltouches elle parut par la voie del'impreflîon en 17 6 etnefut représentéeque le 10Mars1759 au Thé. François.la FAUSSEANTIPATHIE, Com.de Nivelle de La Chaaffée en Ac.et en vers, précédéed'un Prol. EUefutdonnéeau Théâtre Français le t Oétob^17}•} et jouée peu de fois;mais reprife le 7 Février 17 j4, avec succès.C'est la premièrepiecede cet Auteur qui en a fait lui-même la criY

AU [Pièces.] FAU ilj

Miiijtique dans une petite Com.en vers libres, qu'on a impri^-mée à la fuite et qui fut jouée le 11 Mars1734.la FAUSSEAPPARENCE, Com.de Scarron, en r Ac. envers, imprimée en 1 661.la FAUSSEAVANTURIERE, Op. Comi.en deux Ac. avecdes Ariettes, par MM. Anfcaurne etMarcouville, donnéà t'Opéra-Comique le n Mars 17^-7.

LaFAUSSEBELLE-MERE, Com.en 3 Ac.de Dominique, jouée enProvince en 171t.

LaFAUSSECLELIE, ou l'INCONNUEC, om.de M. N.

Uneaventure finguliere donna, dit-on, foccafion etle sujetde cetteComéd. qui est peu connue. Voici comme on racontelefait. Un Préfident duParlement deGrenobleétantdevenu amoureux de le Moliere, s'adreffa à une femmenommée la Le Doux, donc le métier était de procurer duplairirà Cesconnoiflances. Cette bonne Dame crut quepour l'épargne elle pourroit fubfiitueret mettre en làplacede la Moliereune nommée LaTourette qui relfembloitfiparfaitement à cette Actrice, qu'il était mal-aiféde ne s'y pas méprendre. En effet, elle en foutint fi bien'le perfonnage que le, Préfident y fut trompé; mais malgréla dcfenfeque cette faufleMoliere lui fit de lui parler

Iur le théâtre un joùr ayant parlé à la véritable dans raloge, toute la fourbe fut découverte. La Le Douxet La

Tourette furent condamnées au fouet ce qui fut exécutédevantl'Hôtelde Guénégaud, où logeoit Moliere. Voyer dans la Comédie de l'INCONNU, l'allufion qui est faite acette hi(toire, dans les vers que la Buhemiennedit à la

Comteffequi était représentée par la Moliere.

LaFAUSSECOMTESSE, Corn.en un Ac. en pro. par l'Abbé

D'Allainval, donnéeau Théâtre Français le 17 'Juillet 171$, avecpeu de fucecs et qui n'est pas imprimée. LaFAUSSECOQUETTE Com.en Ac. en pro. mêlée diversde diverfes inéfures, .avec un Div. par deBarante, repréfentéeau Thé. Ital. pour la première fois le 1 8 Décembre1694.

Onattribue auflî cette pièce au Chevalier

Biancolleli.

LaFAUSSEDUEGNE) Op. Comi.en deux Ac.donné le 28

A«ûc 1741 par MM. Favart et.Parmentier il n'est pasimprimé.i«4 FÀU [Pièces.] FAU

La FAUSSÉ EGYPTIENNE, Op. Comi. en un Ac. de M

Panard, donné le 30 Juin 1733. Il n'a pas été imprimé.

La FAUSSEFOIRE, Prolog. en pro. dé Le Sage, Fuzelieret D'Orneval représenté par la Troupe de Francisque, le31Juillet 1 7 x i }c'étoitune critique uityrique de la Trouped'Alard, et des Auteurs qui travailloient pour elle.

La FAUSSEINCONSTANCE, Corn, en Ac. en pro. parde Beauchamps, donnée au Thé. Ital. le 1 Février 1731.

Voyeile PEREintéresse.

La FAUSSEinconstance Com. en trois Ac. en vers, par unanonyme, donnée par les Comédiens Fran. le i i Septem.173 1. Cette pièce fut attribuée à l'Abbé Pellegrin ellen'eut que cette représentation, et n'est pas imprimée.

La FAUSSE MAGIE, Com.en 3 Ac. en pro. avec des rcenesitaliennes, par M. de'Moncrif, repréfentéefur le Thé. Ital.le 4 Mai 1719. Elle n'est pas imprimée.

LaFAUSSE MÉPRISE. Voye^ la FÊTE d'Aotecil.

La FAUSSE PRÉVENTION, Com. de Mi Dieudé, donnéefans être annoncée au Thé. Ital. le 19 Décembre 1745.

Cette pièce, qui est en trois Ad. en vers libres a eu allezde succès.

La FAUSSE PRUDE. Deux Com. portent ce titre. La première, aufli intitulée la COQUETTE, est en i Actes, et de

Baron elle fut donnée en 16 %6.La feconde était deftinéepour le Thé. Ital. c'est cette derniere pièce qui pour desj. raifons qu'on n'a pas publiées, fut caufe de la clôture de< l'ancien Thé. des Ital. le Lieutenant de Police, par ordrev .du Roi, leur ayant fait défenfe de donner à l'avenir aucune!représentations, mit le fceau fur les portes du tbéatre'etdes loges, au mois de Mai 1 697.

La FAUSSE RIDICULE, Op. Comi. d'un Ac. donné le n'fév. 1 7) 1 par MM. Panard et Fagan.

La FAUSSE RUPTURE, Op. Comi. en deux Aétes avec unt Prol. par M. Panard, représenté pour la première fdis le*8 Juillet 1739. Il n'est pas imprimé.

La'FAUSSE SUIVANTE, ouleFooRBE ponj , Com. en trois

Adzs en, pro. avec des Div. par M. de Marivaux, donnée•" fur le Thé. Ital. le 8 Juillet 17*4, ettrès-bien reçue duÇablic. On prétend que M. Parfait l'aîné a eu part à cette

F AU [Pièces.] FAU I8s

LaFAUSSETURQUE, Op. Cornudonné le Juillet 1761, qui n'eut que cette représentation etn'a pas tté imprimé»la FAUSSETURQUIE. Voyt[ l'EcoLEDESJALOUX.

LaFAUSSEVEUVE, ou le JALOUXSANSaloosi b, Corn.en un Ac. en pro. par Nericault Deflouches, donnée fansgrand fucccs le 10 Juillet 171$•Elle ne fetrouve pasdansles (OEuvres et n'a point été imprimée. A la premièrereprésentation cette pièce fut précédéede la Tra. d'ANDRONICetcomme les rôles de cette Tragéd. étoient fortmal remplis, le Parterre ne celfe pas d'y rire. Le Granddit à ce sujet, après avoir annonce pour le lendemain

Meilleurs Je fouhaiteque la petite pièce que nous allonsvousdonner, vousfajfe rire autant quevous avet ri à lagranit.

LesFAUSSES APPARENCES, Cern. en un Ac. en pro. par

M. Bellecour, donnée au Théâtre Français le 17 Août 1761.

LesFAUSSES CONFIDENCES, Com. de M. de Marivaux, en $ Acteset en profe, donnée au Thé. Ital. le 16 Mars1756 avec un médiocre succès mais remife en Juillet, 17; 8, avec applaudiflêmens.

Les FAUSSES INCONSTANCES, Com. en un Ac. en pro.de M. de Moifly donnée au Thé. Iral. le 11 Septembre

Les FAUSSES VÉRITÉS, Com. en un Acte en vers, par

D'Ouville, donnée en 1641, fur le Théâtre de l'Hôterde

Bourgogne. Cette pièce est tirée du Calderon Poète

Espagnol. Voici fon fecond ticre: Croire ce qu'on ni voltpas, et ne pas eroire ce qu'on voit.

LeFAUX ALEXANDRE, Tragi-Com. de Scarron, qui l'alailfée imparfaite.

Le FAUX DAMIS. Voyt^ le Mariage FAITet ROMPU.

Le FAUX DER VIS, Op. Corn, en un Ac. par M. Poinfinetdonné le i Septembre 17 ;7»

LesFAUX DEVINS, Corn, en vers et en Acftes avec des

Div. par MM. Sticotti et Brunet, donnée au Thé. Ital. le29 Octobre I7f 9.

Le FAUX GASCON Corn, en un Ac. par Raifin l'aîné, donnée le 1 Mai i<(8g et qui n'est pas imprimée.

LeTAUX .GÉNÉREUX Coati en cinq Ac. en vers, par M.

Bref, donnée au Thé. Fran, le 18 Janvier 17/8 et qui fuci%6 FAU [Pièces.] retirée FÉE après la cinquièmerepréfentation.Ellen'eftpasimprimée. Voyezle Bienfait ANONYME.

Le FAUXHONNETEHOMME Com.en.; Ac.etenpro.de Dufrény, donnéeau Théâtre Françaisle x4Fév. 1703 fanssuccès..

Le FAUXINDIFFERENT, ou I'Art de plairb Corn, parun anonyme impriméeen 1750.

Le FAUXINSTINCT, Corn.en Ac.enpro. de DufrénydonnéeauThéâtre Françaisle 1 Août1707.

Le FAUXMARQUIS, ouClorindb CONFONDUCBorne, nua Acteen vers, par M.Desbiez, etqui n'a pas étéreprefenté•e.

LesFAUXNI AIS, Op.Comi.en deuxActes deM.Panard, donnéà la FoireS. Germainen 17+1 il n'eftpasimprime.

LeFAUXSAVANT.Il a parudeuxCorn, foirsce titre, chacuneenpro. La première, en cinq Actes, précédéed'un

Prol. par de N. ne fut jouéeauThéâtre Françaisquequatre.fois, au moisde Juin 1718.Lafeconde, en trois Ac.fut.repréJêntéepour la premierele 13Août 1749 au même

Thé. fousle titre de l'AMODR Précepteur. Ellecontientde fore jolies cliofes a euallezas fnecès, etellla premierepiecedeM.

DuVaure.On a prétenduque cesdeur

Coméd.n'étoicntque lamême, fous un autretitre. etréduiteen troisActes.

LeFAUXSINCERE. Corn. en fAfteset en vers, ouvragepofthume de Dufrény, et jouée avecfucecs le z6 Juin17î t pendantun voyagedeFontainebleau, en l'abfencedesprincipauxComédiensFrançois.Cen'est prefquequele FAUX honnrte HOMME refondu.

LesFAUXAMIS, Com.en cinqAc.en vers, par Autreau, deflinéepour être repréfentéefur le Théâtre Fran.maisqui ne l'a pas été. Elle Cetrouve dansfesOEuvres editionde1749.

LesFAUXMOSCOVITES, Com.enunAc.en vers, deRai.

Poiflbn donnéeau moisd'Oftob. 166%.

FÉDERIC, Tragi-Com. de ClaudeBoyer, donnéel'Hôtelde Bourgognele 14 Nov.iCf9.

LaFÉEBIENFAISANTE Prolog.par M.Panard, donnéa

Topera-Comique le 11 Août 173^, et qui n'a pasécé

FÉE [Pièces.'] TEI 187

La FÉE BROCHURE, Up. Comi. d'un Ac. par Garolet, donnéle z 8 Juin 1757. Il n'est pas imprimé; c'était une pièceà Ccenes cpifodiqucs.

La FÉE MAROTTE, Op. Comi. en un Ac. représentée pourla première fois le 18 Août 1754; il est de D'Allainval, et n'a pas été imprimé; c'est une pièce épifodique.

LesFÉES.Trois pièces portent ce (impietitre. La première, de Dancourt en 3 Ac.en pro. avec autant d'Intermed. etun Prol. en vers, représentée à Fontainebleau le z4 Septembre1699 an Théâtre Français le 19 Octobre fuivant et quifut redonnéeà Fontainebleau le 1 3 octobre177y3 avec un

Proloen mufiq./relatif a la naillance de Monfeigneur Ie

Duc d'Aquitaine. ( Ellefe trouve dans le quatrième vol.des OEuv.de Dancourt ). La féconde, attribuée a De Launay, et peu connue; et la derniere, en Ac. en pro. avecun Div.de RomagneGetProcope, jouée pour la premièrefoisau Thé. Ical. le 1 +Juillet 17 6. Le fùjct de cette derniere, qui fut applaudie, et qu'on rejoue de tems entems, est l'Ejprit préférableà la beauté.

LesFÉES, ou les CONTESDEMAmbrb l'Oïb Com.en un

Ac.en pro. avec un Div, par DufrényetDominique, donnéeau

Thé. Irai, le Mars 1697.

LeFEINT ALCIBIADE. Voyi^ Aicibiade.

LeFEINT ASTROLOGUE, Com.enj Ac. en vers, deThomasCorneillec'eil la feconde pièce elle se trouve dansle tome premier de fes OEuvres etles représentations enrcuflîrentau Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne en K48.l'original de cette Coméd. est celle du Calderon; fouslemêmetitre, el Le AfiroUepfingido. FEINTCAMPAGNARD, Com.de Paflèrat impriméeen 1 69j, à Bruxelles.

LeFEINT LOURDAUT petite Com.en un Adlet repréfentéeunefeule fois, fur le Théâtre de Guénégaud, le 1

Mai r 67g.Elle est d'un anonyme, etne fût pasimprimée. LeFEINT POLONOIS, ou la VEuvr IMPERTINENTCEo, m.de Hauteroche, jouée en Province etimprimée en 16 86. Elleen en 3 Acteseten profe.

LaFEINTE INUTILE, Com.en vers libres, en f Ac. par Romagnefi donnée au Théâtre Irai, le zi Août i75J« C'est k mêmefùjct et prefque.une traduction desMïN188 tedrs embarrassés pièce Italienne qui a paru en Mil1710

1 LaFEINTEMORTDEJODELET Com.en un Afle en vers, par Brécourt repréfenrceen 1660, fur le Thé. du Petit Bourbon.

La FEINTE MORT DE PANCRACE, Com. en un Ac. en vers de huit fyllabes, par Chateaûneuf représentée par les Coméd. de M. le Prince en 166;.

La FEINTE SUPPOSÉE, Com. en un Ac. en pro. donnée au Théâtre Irai. le 10 Juin 1750, par M. Chicanneau de NeuvilEe.

FELICIE petite Corn, en un Ac. en pro. par M. de Marivaux, imprimée dans le Mercure de France da mois de Mars I7f7- C'est un sujet de féerie, allégorique.

La FÉLICITÉ 144™ Opé. C'est un Ball. dont les paroles font de M. Roy, etla mufiq. des Cours Rebel et Francoeur.

Il fut représenté à Verfailles les 16 et x.i Mars i74f et enfuite à Paris. « L'Abondance fource du Bonheur, la « Jeune/Te tems d'en jouir, le lieu où l'on voit ce que 1 » l'on aime, hors duquel il est fi peu de beaux jours, voilà » ce qui fait le tableau de la FélicitE ». L'Auteur a trouve le fecret d'y afrortir trois fujets de la Fable. Dans l'édition faite de cet Opéra, pour la représentation du s4 Mars on y trouve quelques changemens.

La Feucit» Com. en vers libres et en un Ac. de fcenes épifbdiquesavec un Div. donnée aux liât. le 10 Avril 1746, etfaite par M. principalement fur l'ordre de la Féliciti, alors en vogue. Elle n'est pas imprimée.

FELISMENE Tragi-Com. de Hardy, donnée en 161 3 , et tirée dè la Diane de Monte Màyor.

La FEMME D'INTRIGUES, comédie de Dancourt, en Ac. en prose donnée au Théâtre Français le 30 Janv. i69i. Elle cil dans le tome troisième de CesOEuvres.

LaFEMME DOCTEUR, ou laTHÉoLOGÏB tombée EN çot- , NOUILLE, Com. en f Ac. en profe par B. J. imprimée en Flandres en 1730, et allégorique et critique. On prétend qu'il se fit dans le Royaume, pendant le cours de l'année • 1751', plus de 1jéditions de cette pièce dont il parut une critique, imprimée à Lyon, fous le titre de Londres.

La FEMME FIDELLE, Com. en un Ac. en pro. par M. de Marivaux, donnée au Château de Berny, pour le divertiflëment de M. le.Comte de Clermont, les 24et1 jAoût 17j j. Ellen'eftpoint imprimée.

LaFEMMEFIDELLE, ou les Apparences trompeuses, comédie, en Actes en vers, de Dominique, jouée à Lyon pour la première fois le 17 Août 17 10.Cette pièce est une traductionde la Comédie Ital. intitulée l'Adultère innocent, tirée de Boccace, etdonnée à Paris en 1716.

La FEMME FILLE ET VEUVE, Corn, de Le Grand, en un acte en vers, jouée aux Fran. au mois de Mai 1707. Elle se trouvedans le premier vol. de CesOEuvres.

La FEMME JALOUSE, Comédie de Jolly en Aélesenvers, jouée aux Italiens le 11 Décemb. 171*. C'est une traduction, d'une pièce Italienne fousle même cicre, etqui est la première comédie que Lelio ait faite en France on l'avait représenté een Juin 1716. Il paruc encore une Coméd. de la Femmejalouse par M. Thibault, imprimée et jouée à Nancyen 1734 : elle est en cinq actes en vers.

La FEMME INDUSTRIEUSE, comédie de Dorimond. Elle est en un acte en vers, et fut donnée en 1661.

LaFEMME JUGE ET PARTIE, Com.en s Ac.et en vers ; deMontfleury.Cette pièce fut jouée pour la première fois le 2. Mars1 1669 fur le Thé. de l'Hôtel de Bourgogne ce elle fut fàivie et applaudie, malgré la diverfionque faifoir alors le TARTUFFB dont elle balança le succès. On aurait de la peine à le croire à présent mais la curiputé publique était excitée, parce'que l'intrigue de cette pièce rou- Joiefur ce. que le Marquis de Frefne paubit pour avoir vendufafemme à un Corfaire.

La FEMMEORGUEILLEUSE, Paro. de la Dorpfupcrbai Intermède Ital. elle elt en.deux Aâes et fut donnéeait, Thé. ItaUe 8 Octobre 17 ;9..

La FEMME POUSSÉE À BOUT, Com. en y-Ac.en.profe, traduite d'une pièce anglaise, dont le titre eU:, The Provoçk'dJPïfe. Cette pièceeft attribuée à Saint-Evremond, et, fui imprimée en 1700 'elle, Cetrouve dans le feptiemef vol.de la derniere édition de (esOEuvres.

La FEMME QUI A RAISON, comédie en prose pat M. de Voltaire imprimée en 1760.

la FEMME TÊTUE, ou le MÉDECINHollandois , 'Cwb. en uu Ac. en vers, par un anonyme, jouée et imprimée en Hollande en i68tf.

La FEMME VENGÉE, comédie jouée sur l'ancien Théâtre Italien en

Les FEMMES > Corn.Bail, en un Ac. en pro. par M. Mailhol, donnée au Théâtre Ital. pour la première fois le x Août

I7fî.

Les FEMMESCOQUETTES Com. de Rai. Poiflin^cncinq

Ac. eten vers, représentée en 1670 à l'Hôtel de Bourgogne.

Cette pièce futreprife le premier Octobre iCjz, fous le titre de Fructvs RELU.

Les FEMMES CORSAIRES, Corn, en vers et en un Me, avec un Div. représentée une feule fois au Théâtre Ical.le19 Février, 17 f. Elle est de M. de La Grange, et n pasété imprimé.'Les.FEMMES.FILLES; ou les Maris BATTUS, Pare, de la

Tragédie d'HvPERMNEsTRB donnée avec peu de fucecsau Théâtre Ical. le 13 Septemb. 17/8. Elle n'est pas im-

Les FEMMES SALÉES Farce en un Ac. en vers, à cinqperfbnnages par un anonyme jouée par les Enfans fansfouci.. Elle a été imprimée "en. caractères gothiques à

Rouen, en 1 y j 8 in- 1 1. fous ce titre Difcours facétieuxdes hommes qui font falcr leurs femmes, àcaiifc qu'elles_ font 'trop douces.ïçs FEMMES;SAVANTES y.Conu en vers et en y Ac.jouéeà la Cour au .commencement de l'année 1671. Le filencedu Roi fur cette Coinéd.cauâ à Molière le même chagrinqu'à fan Bourgeois GENTILHOMME car ce ne fut qu lala;feconde reprcfèntacion qui fut donnée à SaintCloua quey: Sa.Majelté dit à Molière que fa pièce éçoit très-bonne, etqu'elle lui avait fait beaucoup de plaifir aufll les connoiffeurs:la metcenwls au rahç duT'T\ARTorFE etdu Mis'an-

TKÔpeï Il la donna donc avec 'confiance au Public, fur

Thé. du Palais Royal , le n-Mars delamême annceï«7i'de cette pièce acheva ce queidéjà"commencé au fujec de l'Abbé Cotin. Cette charmante-'icene de TrttJbtlnSc de Vodïus (c'étoic Ménage fous cedernief; n, om) est d'après nature j car le fonnet 4, 'AètTER[Pièces.] TES 19rantefetrouvedansla fécondepartiedesOEuvresdel'Abbé

Cotin.Etantallé le montrer à Mademoifelle, comme il.achevoitde lelire, Ménageentra.Mademoifellele fit lireà Ménage, fans lui en dire l'Auteur Ménagele trouvadcteftable etlà-deflus nos deuxPoètesfe dirent l'un àl'autrelesdouceursque Molierea fiagréablementmitesfurta CceneO. n trouvecette piecedans le tome fixicmede (esOEuvres.

LaFERMIERE, Corn, en vers libres:eten 3 Ac.avec des

Div. etunPrologueen prolé, repréfentéeune feulefôisle8 Janv 1748^fur le Thé. Ital. ElleeftdeFagaü.C'efiunepiecetrès-foible. •

FIÎRNANOCORTEZV.oye^ Montezumh.

LaFESTATHEATRALEDELLAFINTAPAZZA, Paflo.en f Ac.en Italien. Lesparolesfontde Jacques Torèllietla mufiq.déGiuloStro^i.C'etk le premierOpé.qui aitctérepréfentéenFrance il fut exécutele ij Fév. 164'jau petit BourbonL;eCardinalM' azarinfitvenirexprèsdes

Mufîciends'Italie cen'étôitencorequ'une ébauche, qui s'est bien perfectionnéedans la fuite par l'habiletédes

PoètesetdesMtificiens.

Le FESTIND'ATRÉE, Tra: Opd.en j Ac.etunProl. impriméaColognechezPierreMarteau, en 1697., I, eFESTINDEPIERRE.Tousles Thé. de Paris ont jouéchacunune.Gom.Kbcuestitre leThé'dù Maraisen àv^oitmême deux; fune, de Dorimond, en vers, repréfemléepour la'-

TroupedetMademoifeljleet' l'autre, de Rofimond5, dphnéetoutd'abordau·Thé.duMarais-'au moisde-NoVerh.1669.L'Hôtelde Bourgogneavoirle FestinDEPierre fc de Villiers-err f t-Ace.n; vers i et qui'eutquelqufeù' çccs en ifij9;;Le.Thé/;duPalais, Royaal voitceluidé Molieïe dontnoueallonsparler. L'ancién'ThéVItaeln. avoiturientout en Italien, yenAc.repréfèhtépourla premièrefoisle '7 Janvier17-171;-etremis.au' Thé. avecdes change-, mensetfpectadé'i1«'4Mai 1745.^L'originalde toutesces'piècestà\tl>CombiJa;d-ioé 'p'udrdj' le Conviddepierre( carc'èft uneftatuede marbréquetfçh invicei/buper )»i9i FES [Pièces.] PET

Moliereeut enviedetraiter aufli ce bizarrefujet;et l'emprellêmentdevouloirenleverles(perceurs, .que la pièce1 de Villiers attiroità l'Hôtel de Bourgogne, lorfqu'onlarepréfentoitde temsentems fit qu'il Cecontentadedonneren pro. là Comédiedu FESTINDEPIERRE, ou Don

Juan. Ellefutrepréfentéele i f Fév. 166r; mais commec'était unenouveautéprefqueinouiealorsqu'unepiècedecinq Actesen profe, etque les Françoisne croyoientpasqu'onpût Apporterune. longueComédie:qui ne fûtpasrimée; on donnala préférenceà cellede Villiers d'ailleurs

Molierene ta voulutpasfaire imprimer craignantd'augmenter le nombredes critiques; car les jugemensen furent différera et

Aftes, oùCorneillefait parlerdesfemmes, , qui fontdes

Scènesajoutée!à l'Original, il a fuivila proiecrcs-ci.nflement.

C'est fa piècequel'on repréfente.àpréfenfféaleaa

I Théâtre Fran.Elleeft impriméedans le tomequatrième

Le Festin de Piirrb, Op.Comi.en j Ac.en vaudevilles, l, paf LeTellier donnéala FoireS. Germain171j auJeud'Ôâave.Il y eut beaucoup: defuccès etn'est cependantpas imprime. : '.-'ta FÊTED'AMOU.RijOB Lpcas BrGotiNBTTB, Corn. enun.Aifteen vers-libres, avecdesairsetuniDiv, donnéepourj la premièrefois avecunProl. auffi envers auThé. ltal.sle s, Décemb.17*4 elle eftde MadameFavart, etaitc'y fitd'airezgrandsretranchemensetdescorrectionsapr^s.lapremière représentation.

LaFÊTED'AUTEUli, ou la Fausse MipwsE, Com.pu

Boi(Ty, en3 Ac.ften.yérs libres, avec un Div.reprefentéeauThé.Fran, le 1 Août1 74t..

La FfiTEDEÇYTHERE Ope. en un Afte, dont lesvertfonc

FET [Pièces.] FET r*j

N(ontde M. le Chevalierde Laurés et la muhque de M»

Blavet.Il fut donnéchez Monseigneurle Comtede Clermont, à Berni, le 19Novembre173 etn'est pasimprimé.

LaFÊTEDELAHALLE, ou la Halle galante Opéra-

Comi.en un Ac.par MM.PanardetFavarc donnéle 1j

Mars1758.Il n'a pasété imprimé.

LaFÊTEDELANYMPHEDELUTECE, Div. enunAc.parNericaulrDeftouches, compofépourMmelaDuchelle.duMaine.

LaFÊTEDELA SEINE Div. cotnpoféen vers lyriques, par Bourfault, et mis en mufiquepourune:Fête donnéeà Mmela Ducheflede Brunfwick, en fa maifon d'Afnieres.

LaETE DE L'AMOURETDE L'HYMEN Puflo. en un

Ac.avecun Prolopar Alleau et impriméeen 1718 dansfesOEuv.mêlées.

LaFETEDEMINERVE ouleTemple DBl'amitié pièceenunAc.en vers, méléed'Ariettes parM. Lieudé, re->prérentéefurunThéatre bourgeoisen 17fO, et non itn-'primée.

LaFÊTEDESAINT-CLOUD, Op.Cornuen un Ac.donn6le10Septemb.1741 parM.Favarc.VoyellesBateliers

DESaint-Clood.

LaFÊTE DE VENUS Pajlo. de l'Abbé Boyer, » reprefentéôlei;Février itffiç.furleThé. du Marais: elle eftencinq,

Ac, en vers, avec un Proi. en vers libresè

La FÊTE DE VILLAGE, Cem. de Dancourt, én Ac. et eupro. avec un Div. représentée pour la première fois le r;

Juillet 1700, et qui eut du (ûcecs. Dans une reprife qui futfaite de cette pieceau mois de Mars 1714, fon ancien titre»9 été changé en celui des Bourgeoises DE qualité", etc'est fous ce nom qu'on la repréfente de tems en tems elle.se trouve dans le cinquième vol. des OEuv. de Danconrt.la FÊTEINFERNALE, Op. Comi. en un Ac. par L'Affichardet M. Valois j donné le 4 Août 17 J7 et non imprimé.

Lî FÊTE INTERROMPUE. Vayc[ le RIVAL DE io'iles

FÈTÇS DE CORINTHE Bail, en trois Ac. de Autreau, i>4 FET [Pièces.] FET •deftiné à mettre en mufiq. et imprimé dans CesÛTuvrei.

Les FÊTESDEGRENADE, Bail, héroïqueen un Ac. parM.

Dillon avec un Prol. fur la naiflkncede Montèigneur le

Duc de Bourgogne; il a été mis en mufique par M. De[-mazures, et exécuté au Concert de Dijon, le n Janvier

Les FÊTES D'HEBE ou les Talens lyriques i 3 imcOpé.

C'elt un Bail, dont les paroles font de M. Mondorgeetdedifférens Auteurs, etla mufiq. de M. Rameau. Ileft gravéin-40. fut donné pour la première fois le 11 Mai 1759, parodié fous le titre des TALENsCOMIQVES, et remis letf Juillet 1747et en Juillet 17f6. Le fujetdu Prolog. est

Hebé, qui voyant l'inconftance des Dieux, abandonnel'Olympe, etcherche fur la terre un acyle plus heureuxil se palle entre cette Dceflè Momus, l'Amour les Graces,

Zéphyre etc.L'Amour, après être venurendre hommageà Hebc, annonce le sujet du Ballec, en l'engageantà venir voir fur les bords de la Seine triompher les talentlyriques. Lapremière entrée, intitulée estplie principalement par Sapho dans fa jeunellè, et Alcé, fameux Poète Grec. La feconde, intitulée la Mufique, esttirée de Platon etde Plutarque, et le -Cujeten eftTirtce, qui par la beauté de fon chant anime tellement les Lacédémoniensqu'ils remportent la victoire fur les Meflèniens.

Aprèslespremières représentations on fit quelqueschanVemensà cette entrée* qui la rendirent meilleurequ'elle n'était auparavant. La croifieme entrée enfin, estintitulée la DanJe, et se. paire entre Mercure amoureuxd'une Bergere, qui par Cestalens s'est-rendue digne d'êtreadmife à fa Cour de Terpficore. C'est .la meilleure destrois et cellequi fut la plus applaudie: on en donna deuxparodiesen it<6: l'une fousle titre de I'Amour. impromp-

TU. etl'aurre'fous celui du Pri* de l'Amour.

Les FÊTES DE L'AMOUR ET DÊBACCHUS, 3me Opé.

C'èft une P-àJlo. en trois Actes, ajuftée par.Quinaulr desfragmens de diflfcTehsBallers dont Lully et Desbrortêsavoient fait la mufique pour le Roi Vigarmi Gentilhom-• VnèModénois eut la conduite des Machinés. C'est le pre*mier Opéra de Lully, auquel, après la celrion à lui faitepar l'Abbé le Roi accorda de nm

FET [Pièces.] FET x9r

NijvellesLettres patentes en 1671 et pour n'avoir riendcmcler avec les alfociésde l'Abbé Perrin, Lully ne voulutpas CeCervirde leur Théâtre de la rue Guénégaud, eten fit conftruire un nouveaudans le jeu de Paume de Be-]air, rue de Vaiigirard, près le Luxembourg, où cet Opé.fut représenté depuis le t f Novemb. 167t jurqu'en Juil.de l'année ibivante. Dans une des représentations, que le

Roi honora de fa préfence, M. Le Grand, les Ducs de

Monrmouth de Vilteroi et le Marquis de Ra(fen, danferentuneentrée aveclesfieursBeauchamps j'aint-André,

Favierl'aîné etLa Pierre. Cet Opé. est imprimé en mufi.partition in-fol. Il a été repris en 1689 1696, 1706, 1716, eton en donna des fragmens en 1738.

LesFÊTESDE L'AMOUR ET DE L'HYMEN Com.Ball.par M. de Saint-Lambert.

LesFÊTES DEL'ÉTÉ, 89mc Opé. C'est un Bail. de troisentrées, dont les paroles font de MlleBarbier, et la mufiquede

Montedair il fut représenté pour la première foisle 1 x Juin 17 16 est imprimé partition in-fol.et a.cté remisen Septemb. 1716 avec une nouvelleetquatrieme entrée, eten 171y. Le Prologue Cepafreentre le PrintemsfEté, Venus les Graces et des Amans.

LaParodiede cet Opé. en trois Actesen pro. mÊIéede vaudevilles, par Dominique, fut jouée au Thé. Ital.-le 14

Septembre 17 19, tous le titre du Pblbrinagb de LA.

Foire et des Plaisirs de LACampagne. Elle n'est pasimprimée.

LesFÊTES DE L'HYMEN. Voyt[ les JAADINSde l'Hy-

MïN.

LesFÊTESDE L'HYMEN ET DE L'AMOUR, ijzmeOpc..C'eftun Bail, héroïque dont les paroles (ont de Cabnfac, etla mufiquede M. Rameau. Il eG:compose de trois entréesqui avaient été deftinées à paroître fous le titre des

Dieux d'Egypte mais qui furent données avec un Prbl.qui fepalfe'entre l'Amour etl'Hymen, pour les Fêtes de

Verfailles, au (iijet du fécond mariage de Monfeignear le

Dauphin: il y fut repréfencé le 1f Mars 1747, et parutcnfuJtefurleThe.de l'Ope, pour la première fois, le y

Novemb. 1748. La première entrée est intitulée Ofirisyou les Amazones la fécondé }Canopc et la troifîetne, 196 FET [Fieces.] !ET

Arueris ou les Ifies. Il est gravé partition w-+0. Lorsd'une reprife qu'on en fit en 17 yj 4 il en parut deux Paro.l'une fous le titre des Franche-maçonnes l'autre, fouscelui du PRIX DES TALENS.

Les FÊTES DE L'INCONNU Div. de Nericault Deflouches, en un Ac. mis en mufiq et représenté à Sceaux le 1

Novemb. 1714.

Les FÊTES DE PAPHOS, Sali, héroïque. en trois Ac. précédésd'un Prol. donné pour la première fois par l'Académie

Royale de Muriq. le 9 Mai 1758. C'est le i7jmedenos Opéra; les paroles en font de différens Auteurs, et lamulîquede M. Mondonville. Le Prolo ( qui fut fùpprimêaprès quelques tepréfentations à caufe que le fpeétacle devenoittrop long pour l'Eté ) offre l'exposition du sujet etjuftifîe le lieu de la fcene Venus Bacchus et l'Amour, que l'ennui gagne jufque dans Paphos, Cepropofent d'ycélébrer leurs premiers feux. En conféquence les Amoursde VENUSET d'Adonis dont les paroles font de Collet, xempliffent le premier Acte du Ballet; celles de Bacchusit d'Erigone ( Voyer Erigone ) le fecond et Pfychipourfuivie par une Furie, et rendue enfin à l'Amour, estle sujet du troifteme qui a été parodié au Thé. liai. foutle titre des AMOURSDEPsyché.les FÊTES DE POLYMMIE, 14701e Opé. C'ell un Ball.compote d'un Prol. et de trois entrées, dont les parolesfont de Cahufac et la mufique de M. Rameau. Le sujetdu Prolog. est le Temple de Mémoire etCe paîfe entre

Mnémofme, la Viftoire, les Arts et les Mufes. La premièreentrée, intitulée la Fable, offre le Mariage d'Alcidt6* d'Hebi la feconde est YHiftoire à' Aritiochus qui cedefa Maîtreffe à fon fils Seleucus et la troisième est rempliepar un sujet de Féerie. Il fut représenté avec succès pourla première fois le 1z Oftobre 1745 et n'eil pas impriméen mufique. On l'a remis en 17 j 3

Les FÊTES DE SAINT-CLOUD, Opéra-Comi. donné le x7

Septembre 1760 etqui fit rire quoiqu'il n'y eût rien deneuf.

Les FÊTES DES ENVIRONS DE PARIS, Paro. en trois

Actes en vaudevilles, du Ballet des Fêtes Grecques et

Romaines, donnée au Théâtre Ital, pour la première

FET 197

Niijfois le 4 Juillet 17fj. Elle est de M. Gondot.

LesFÊTESDETHÉTIS Sali. Opé.en deuxAc.etunPro.logue, repréfencédevant le Roià Verfailles, fur leThé.despetitsappartemens, le 14Janvier17fO. Les parolesfont deM.Roy. Le sujet du Prol. est la Seine qui viencprésenterà Thêtisle rameaud'olivier.Il a été misen mu.tiqueparM.de Blamont, ainfiquele premierAâe, doncle fujeteftEgine.Al'égard du fecond, intitulé Titon eti'Aurorb, il reparut avec deschangemensen 1751 etvousle trouverezà ce mot.

LesFÊTESDETHALIE, 84™ Opé. C'est un Ball. dontle Poëmeeft de LaFont, etla mufiq.de Mouret. Il futrepréfentépour la premièrefoisle 14Août17 14, fousletitreduTriomphe DETHALIE, et eftainfiimprimépartitionin-4°. La fcene du Prol. est leThéatre même del'Opéra, etlesPerfonnagesfontApollon, Melpomeneet

Thalie.Le Ballecétait divifeen trois entrées, compoféeschacuned'une petiteComédie. Lapremière., intituléela

Fille; la feconde, la Yeuve;la troisième la Femme.C'estle premierOpé. ou l'on ait va desfemmeshabilléesà la

FrançoifeetdesConfidentesduton desSoubrettesde la

Comédie.LePublicen fut d'abordallarmé; cependantily vinten foule, maisprefqueà contre-coeur.La Font ditqu'ilfefitconfciencededivertirainfilesgensmalgréeuxc'eftpourquoiil se dépêchade faire lui-mêmela critiquedefonouvrage, dansunequatrièmeentréequi fut jouéeie.9Oftobre etoù il donnale méritedu fuccèsà la mufiqueetà la danfe.Elleeft auffiimpriméei/1-40.Cet Opé.eutquatre-vingtrepréfentations.Le n Mars 171/, onfubftituaà la placede l'Acte dela Veuve, qui avait ététrouvémédiocre, une autre entréeintituléela VeuveCoquette.

Lorsd'unereprifequ'onenfit en17 z z ony ajoutaunenouvelleentréeintituléelaProvencale, qui a étédonnéefeuleplufieursfoisdepuiset parodiéeen 17f 8 fousle titre de la Fillemal gardée.On le .remit enfuite en173S et dansunetroifiemereprifefaiteen 1745 il fucparodiéauThé. Ital. fousle titre de la Fille la et Femme la Vbove.

LesFÊTESD'EUTERPEB, all. en troisAc.dontkmufique eftdeM. Dauvergne.Il est comptépour le i74tnede nos Optra etfu: donné pour la première fois le 8 Août1 7 r ? j les paroles du premier Aéte intitulé la Sibyle ( Voyt\cemot) font prifes dans les OEuv. de M. de Mancrif cellesdu fecond, intitule Arithufe font de Danchet avec quelqueschangemens etcelles du troisième, dont le sujet estcomique, font de M.Favarc. On fubftitua à l'une de cesentrées, celle intitulée le Rival favorable, dont lesparolesfont de M. Brunet.

les FÊTES DU COURS, Com.de Dancourt, en un ACteenpro. précédéed'un Prol. en mufique mêlée d'airs, et fuivied'un Div. de Gilliers. Elle fut représentée le Septcm.3714, avec un grand succès. Les Balsqui Cedonnaient ence tems-dans les Champs Elizéesaux flambeaux, etqu'onappelloit les Nuits blanches, occasionnèrent cette petitepièce, qui se.trouve dans le dernier vol. des OEuvresde

Dancourt.

Les FÊTES GALANTES, -+frocOpe". C'est un Ball. compoféde trois entrées, dont les vers font de Duché, etlamufique de Defmarets il est imprimé partitipn in-4°.futreprcfentcpour la première fois le io Mai 1698 etn'ajamaisété remis au Théâtre. Le Prôl. est formé par Thalie,

BacchusScCornus. L'Auteur des paroles avoir eu intentionde donnera ce Ballet le titre de l'EoROpsGALANTEd, euxans avant que le hazard eût fait tomber les mêmes caractèresdansl'efprit de deux peribnnes qui pour lors ne leconnoifibient pas.

Les Fîtes Galantes Ball. en trois Intermèdes, par MM.

Panard etPohtau, donnéà l'Op.Cotni. le 30 Juillet 17)6..Cette piecein'a pas été imprimée, à l'exception du dénouemenr.

L'idée en est la même que celle de l'Opéraprécédent.les FETES-GRECQUES ET ROMAINES, ioime Ope.

Ceft un Bail, dont les paroles font de Fuzelier et la mufîquede Colin de Blamont il fut repréfente pour la premièrefois le 1:3Juillet 1723 et était pour lors compotede trois entrées, et d'qn Prol. représentant le Temple de

Mémoire, dans lequel Clio, Mufëdel'Hiftoire, invitoitfes Elevéstravailler fur les fujets qu'elle leur fournifloitj«înfi les fujéts:des entrées font-pris de l'Hiftoire ? ce quin'avapitaseu encored'exemple fur ec Théâtre les °pcw

FET [Piecss.] FEI 199

Niiijjusqu'alorsn'ayantété tirésque de la chroniquedesAmadis, de duTaffe, des d'Ovide, lie. Dansla premiereentrée(ontcélébréslesJeux Olympiques;

Alcibiadeen est le Héros; La féconde, est l'entrevuede

Marc-Antoineetde Cliopatre; les Bacchanalesen font le divertiflement.Dansla troifiemelesSaturnalesfontfêtées, etle fujetrepréfentelesamoursde Tibulleetde Délie, niece de Mécene. CeBallet avoitétécompofépourêtre repréfentéfurte Thé. desThuilleries. L'Auteuranimé de t'honneurd'amufer le Roi, dansun tems où ilvouloitbienembellirlesSpectacles, en daignants'ymêléelui-même, avait imaginéde l'amener dansun Divertiflèmentdigned'unaufligrand Monarque, qui danslesSaturnalesauroitparufouslenomd Augufte, qui Mécèneauroitdonnéunefête.

CetOpé. a été remisen 17}}, i734>1741 I7neti7**«

Danscellefaite le9 Février 1734, les Auteursy ajouterentunequatrièmeentrée, fousle nom de la FêtedeDiane.

Lefujeten est prisde l'hiftoirede Periandre, Roi de

Corinthe quela Grececompteparmi fesSages, et repréfentel'averfîondece Roicontrel'amour ( fondéefurfinceReinnocentqu'ilavoitcommisavecfa merej vaincueparMelilfe filledu Roid'Epidaure.Cet Opéraeftimpriméenmufique, partition1/1-4°et. a étéparodiéenJ7 3fousletitre desTêtes DESENVIRONdiSPARISet l'avoirétédès17x3 fousceluidesSATURNALES.les FÊTESNOUVELLES i 9'ne Opé. C'eftunBall.compofédetroisentréesetd'un Prolodont lesversfontde M.

Maffip, etla mufiquedu lieurDupleffisle cadet. Il futdonnépourla premièrefois le n J uillec1734, etinterrompuàla troifiemerepréfentation.Il n'èft pasimpriméenmuGqueetn'a pointreparuauThéatre. Le Prolog.CepaueentreMelpomeneetThalie: la premièreentréeoffrelesamoursde Circéavec Ulyffe la fécondeeft intituléele.BalchampêtreSela troisième, le Triomphedel'Amourfur Bacchus, qui eftéprisA' Ariane.

LesFÊTESPARISIENNES, Paro. en quatre Actes, parécriteau, du Prol.etdestroisprincipalesentréesdesF£-

TssVénitiennes ellefut donnée par la grandeTroupe desDanfeursdexorde le } Fcv.171x. L'Auteurn'en estpasconnu, Niiii*oo FET [Pièces.] FET

Les Fêtes PARISIENNES Corn. en vers en un A<3e, mêlée dede chants et de danlés, donnée au sujet de la naiflbnce de

Monfeigneur le Comte de Provence, pour la première foisau Thé. Irai. le 19 Novemb. 17j-y. Les fcenes en font de

Chevrier, et le Ballet de M. Deshaies.

Les FÊTES SINCERES, Corn.en un Ac. et en vers par lesfleurs Panard et Sticorti, donnée au Thé. Ital. le 17 Sepr.1744. C'est la (eule pièce fur la convalefcence du Roi, quiait eu l'honneur d'être représentée devant ce Monarque:il jrefl: nommé Louis le Bien-Aimé, pour la premièrefois. Elle fut imprimée, et dédiée à la Reine qui la reçutfavorablement.

Les FETES VÉNITIENNES, 74me Opéra. C'est un Ball.dont les paroles font de Danchet, et la mufique de Campra.

Il fut donné pour la première fois le 17 Juin 1710, et représenté foixante-fix fois fans interruption. Le Prol. apour sujet et pour titre, Le Triomphe de la Folie fur la

Raifon, pendant le Carnaval les Interlocuteurs en font,

Je Carnaval, la Folie, la Raifon, Héraclite et Dcmocrite.

La première entrée est la Fête des Barqueroles, qui se faita Veni(ê par les Gondoliers, qui luttent les uns contreles autres, pour un prix propofé. La feconde est les Si.rinades et les Joueurs dans la Ridote, où ils s'aflemWencla nuit. La troisième est l'Amour Saltinbanque, dans la

Place Saint-Marc.

Les Auteurs excités par les applaudiflemens ajoutèrent à cet

Opéra quelques nouvelles entrées favoir,

La Fête Marine, qui fut fubftituée le 8 Juillet 1710 à celledesBarquemlles, ou le autre nouvelle entrée, qui futdonnée la 8 Août de la même année à la place du Prol. et'placée après la première entrée.les Devins de la Place'S. Marc, fubftitués à l'entrée des Si-• tinades, le jSeptemb. 1710.'L'Opéra, ou le. Maître 4- chanter, quacrieme nouvelle entrée, donnée lo 1 Octobre fuivant, au lieu de la Fête Marine,

Cette entrée est çpmpofée d'une efpece de Prol. avec unejoljo fçenç entre un Maître de chant et-une Aftrice au'ilfeit'rép^tfr; enfu.ite'est le petit Ballet de Zéphyre et Flore,

Ba.n.ç tQmémo wms on arrangea ce Ballet dans un nouvel

FEU [Pièces.] FIE *oierdre on en remit le Prol.avecdeschangemens etpourpremièreentrée, lesDevins pourféconde l'AmourSalrir.banque;pour troisième, l'Opéra pourquatrième le

Bal. Aumoisde Décembreon y ajoutaencorelaComédieduTriomphedel'Amousetdela Folie.Toutes lesentréesfontimpriméesenmufîq.partitionin-4*.

CetOpéraa été reprisplufieursfois, favoiren.17*1, 1731, 1740 etI7fo;

Danscelle de ces reprifesfaiteen 174^ l'OpéraComiqueendonnaJe 30 Août, une Parodiefousle titre des Fêtes

VILLAGEOISCE'eSf.tunAmbiguComiqueendeuxActes, deM.Favart.Il avoircependantdéjaété parodiéenpartieen 1711 fousle titre desFkthsParisiennes.

Le FEUD'ARTIFICE, ou la Pièce SANSdénouement

Corn, enun Afteen profe avecdes Div. par DominiqueetRomagnefi.Ellefutjouéeavecquelquefuccèsau Théâtre

Ital. le 18 Septembre1719, et n'a pas ccé imprimée.

LeFEUD'ARTIFICE, ou le Nouveau Paris, Com.entrois Ac. en pro. par un anonyme repréfentéepar une-

Troupede Comédiensà Calais, en Fév.17*4.la FIAMETTEAMOUREUSE, Paflo.traduitedeBoccace, parunanonyme, etimprimée, avecl'Italien à côté, en1609..

La FIDELE, Com.en f Ac.avecun Prol. le touten profe, dePierrede La Rivey, donnéeen 1597, et impriméeen i<>ii.

LaFIDELEBERGERE, Com.en SAc. en vers, avec deschoeursetun Prol. par Frenicle, en itfi8. Elle CetrouvedanslesEntretiensdesüluftresBergers.

LeFIDELEESCLAVE, Com.en Ac. en vers, par Vallée, donnéeen 16f$.

La FIDELE TROMPERIE, Tragi-Cm. en Ac. envers;de Gougenot représentée et imprimée à Paris en ifijj

La FIDÉLITÉ NUPTIALE, Com. en f Ac. en pro. par Du

Vivier, jouée à Anvers en 1f 77.

La FIEVRE DE PALMERIN Pafto. comique en un Ac. parle Chevalier de Saint-Gilles, imprimée dans le vol. intiioi

FIL [Pièces.] FILtulé la Mufe Moufquctairc. Ou ignore fi elle a été mireen mufîquc.

FILANDRE. Voyc^ Philandre.

Les FILETS DE VULCAIN Op. Comi. de M. Farin de•H uitemer donné à la Foire en 17 fo.

La FILEUSE, Paro. (I'Omphale en un Ac. en vaudevilles, par Vadé, donnée pour la première fois à l'Op. Comi. dela Foire S. Germain, le 8 Mars 17/4.

FILIS. J'oyti Philis.

La FILLE A LA MODE;Com. en Ac. en pro. par Barbier, jouée à Lyon en 1707.

La FILLE ARBITRE, Corn, de Romagnefî et L'Affichard en3 Ac. et en pro. avec un Div. donnée au Thé. Irai, le 14

Janv. 1738. Le sujet de cette pièce qui est une aventurearrivée -a Londres, et pris dans le Ceptieme vol. du Pouret Contre de M. l'Abbé Prévôt, forme une intrigue vraieet théatrale, qui mérite d'être lue.

La FILLE CAPITAINE. Com. en vers et en f Ac. de Montiîeurjrelle eut une grande rcuflïre à l'Hôtel de Bourgogneen 1 669 et fut imprimée en 1 67%.

La FI LLED'ARISTIDE, Com: en pro.etcn f Ac. par Mmede Graffigny donnée au Thé: Fran. le s9 Avril 17j8 kretirée après la troidetne représentation elle n'est pasimprimée.

La FILLE DE BON SENS, Com. en Ac. et etrpro. par Palaprat, représentée avec un succès médiocre fur l'ancien

Thé. Ital. le z Novemb. 1691.là FILLE INQUIETE, ou le Besoin d'aimer, Com.enj• Ac.en pro. avec des Div par Autreau. Quoique cette piècen'ait eu qu'une feule repréfcntation au Thé. Ital. le i Décembre171) cependant l'Auteur jugea à propos de lafaire imprimer, pour Cejufli6er contre un Parterre tumultueurqui avait empêché que fa pièce n'eût été entendue, et peut-être applaudie' II eU:vrai que l'édition fut vendueen peu de tems.

La FILLE MAL GARDÉE, Paro. de l'Aéte de la Provençale, des Fêtes de THALIE; donnée au Théâtre Ital, le 4 Mars17f 8. Elle n'est pas imprimée.la FILLE MÉDECIN Conc.en un Ac. en pro. par un anoFIL'[PIECES.] FIL 1O$nyme, donnéequatre fois en Mars 1697, au Thé. Iran.etquin'eftpasimprimée.

LaFILLE, la FEMME, etla VEUVE, Para. ingénieufeentroisAc.envaudevilles, desTêtes de Thalie repréfentéeFourlapremierefois par les halo le ti Août I74f.

C'est lecoup d'égal de MM.LaujonetParvis, et il furtrès-applaudi.

LaFILLEOBÉISSANTE, Paro. en troisAc.de-laTragéd.d'AiziRBpar un anonyme, repréfentéepar lesMarionnettesde

Bienfait, au mois de Mars 1736 et non imprimée.

LaFILLEPRÉCEPTEUR, Com.de LeGrand, jouéeà LyonetenProvince, maisqui n'a pasété imprimée.

LaFILLERAISONNABLE Op. Corn, en un Ac.donnéleio Juillet1738 par M.Thierry.

LaFILLERETROUVÉE, ou I'Heroïnb DEROMANCom.repréfentéefansfuccèsauThéâtre FrançaisaumoisdeMai 1715.

L'Auteurde cette pièce, qui n'est pas imprimée, gardal'anonyme on l'attribua, dansletems, au Ducde la For*ce.Voyc^laFILLEsupposes.la FILLESAVANTE, Com.en Ac.en pro.avecdesfeenesitaliennes, par Fatouville représentéefur l'ancien Thé.

Ital. le 1 Novem1b.690.•

Ondonnaauflià la Foireen 1707 unepièceen un Ac.fousle titre ds la FILLESAVANTeEl;le ne fur pasimprimée.

LaFILLESUPPOSÉE, ouI'HéroÏnb DERoman Com.en"f Ac.en vers, attribuéeà de La Grange-Chancel, donnéeavecpeudefucecsau Théâtre Françaisle Il Mai1713 Sequin'apasété imprimée.Il y a toute apparencequecettepieceeftla même que la FILLERETROUVÉiEnd)iquéepardeuxAuteursfousdéstitres dirrerens..

LaFILLE VALET, Com.en Ac.en vers jouéefansfuccèsau Thé.Fran.le f Septembrenu , et quin'est pasimpri--mée. Ondonnecettepieceà un neveude l'Abbé Abeille.*-«sFILLES., Op.CornuBull.de M.Rochonde Chabannesdonnéavec fuccèsà la FoireSaint Laurent le Aoûtles FILLES ENNUYÉESP, rolog, par LeSage, donné àl'idee en est prife d'une des Comédiesen proverbes»

X04 FIL [ Pièces.] FILde Madame Durand, intitulée O'tfivctèejl mere de toutvice.les FILLES ERRANTES, Corn. Fran. et Ital. en trois Actes, par Regnard, jouée fur l'ancien Théâtre Ital. pour la premièrefois le i+ Août z69o, et fur le nouveau, le 15

Mars 17f9.

FILLIS. Voyez PHILIS.

Le FILS DÉSAVOUÉ, ou le Jugement DE Thbodoric,

Roi d'Italie Tragi-Com. de Guerin de Boufcal, donnéeen 1641.

Le FILS DÉSINTÉRESSÉ, Com. en cinq AcJ par Sainvillc.

Cette pièce n'a pas écc jouée.

Le FILS EXILÉ, ou le Martyre DES. Clair Tragi-Com.tirée de la Vie des Saints, par Moufle, et donnée eni?47.

Le FILS iNDOCILE, Com. par le P. de la Sante, représentéeau College des Jéfuites à Paris, au mois de Février1717- •

Le FILS MALHEUREUX Tragi-Com. par Le Bigre, impriméeen itfro.

LeFILS NATUREL, ou les Epreuves DBLAvertu, Com.en f Ac.en pro. par M. Diderot, imprimée dans le moisde Février 17f 7. Cette pièce, dont le fond paroî être prisd'une Comédie Ital. du Dofteur Goldoni intitulée le VIritableami est très-intérefrante. Avec fon hiftoire fonexamen, et de fort bonnes remarques fur le genre Dramatiqueen général, elle forme un vol. in- 8°.de 300pag.qui Cévendà Paris , .chezPrault.

Le FILS SUPPOSÉ. Il y a trois piecesfous ce titre. Lapremiereest une Com.en Ac.envers, par Scudery donnéeen r 6j j à fH6tel de Bourgogne. La fecondeeft une Tra.de 'Ci. Boyér, donnée fur le:même Thé. en Août 1S71etqu'il avait fait repréfenter vingt-quatre ans auparavant, fousle titre de Tiridate 5etlatroifieme est une Com.enun Afte en vers, par unanonyme, imprimée en 17^0avec peu de succès.

Les FILS INGRATS Com.en verseten f Ac. par M.Piron, donnée;au Théâtre Français avec beaucoup de succès, le 11Octobre1718. L'Auteur avait intention de faire paroître("apièce fous le titre de I'Eçole »bs Perss; mais ce titre deFIN[Pièces.] FLO tojplutauxComédiensacaufede quelquespiecespeu goûtées, donnéesen cetemsfous le titre d'Ecole.M.Piron adepuiscorrigéquelquesendroitsde faComéd.quiavoientétécenfurés etfa fait imprimer dansla dernièreéditionde fes(Euv.fousle nomde l'ECOLEDESPERES.le FINANCIER, Corn, en un Ac.en pro. par M.de Saint-

Fois donnéeau Théâtre Français le to Juillet 1761.

FINETTEV.oyerles ENfANDs EPARis.

FINFINETLIRETTE, Paflo.parM.Delautel, repréfeméeà la FoireS. Laurentle 14Septembre1761.

LeFLATEUR, Com.de J. Rouifeau donnéeau Théâtre Françaisle x Novemb.1696 en f Ac.enpro.Le'peud'actiondecettepiece etl'odieuxdeConprincipalcaractère, l'empêcherentd'avoirdu

Succèselle ne réuffitpasmieuxà unereprifequ'on enfit en 17 17. L'Auteurl'a mifedepuisenvers, etc'est âinfiqu'on la trouve dans les dernièresédirionsdefes(OEuvres.

LesFLATEURSTROMPÉS.Foy^THiMON.le FLEUVED'OUBLI, Com.deLeGrand, enun Ac.en pro.avecunDiv.repréfentéepar lesComédiensItal.le 1Septembre17zi avecafTezde succès, etremifequelquefoisdepuis.

LeFLEUVESCAMANDRE, Opéra-Comie.n un Aete, de

L'Afficharddonnéle6 Septemb.1734.VoyellesSatur-

NALHS.

LeFLORENTIN Corn, en un Ac. en vers, attribuée à La

Fontaine, et dans les (OEuvres diverfes duquel elle est imprimée.

Cette pièce est fur le catalogue de celles que les

Comédiens Fran. donnent au Public de tems en tems ellefut jouée pour la première fois le %oJuillet 16 8 y.

FLORE, Bail, dontles versfontde Benferade il fut danféen166)..

FLORIANE, ou la Grotte desSPECTACLES, enunAc.enpro.avecdesairs dontla mufî.est

Cettepiècefutjouéeau Châteaude Bernien 17 onenattribueles parolesà une perfonnedu premier ètng. Ellen'est pasimprimée.la FLORIMONDE Tragi-Cornd, e Rotrou ellefut rèpréfentéeen1^4?â ¡'Hôtel de Bourgogne et ne paruegajfzo6 FLO [Pièces.] FOIl'imptelfion qu'après la moit de l'Auteur c'est-à-dire en

Ilîfj.

FLORISE. Voyer la Rivale SUIVANTE.

FLORISE RAVIE; Tragi-Com. par Cormeil donnée en1(31. Voyer le Ravissement deFlorise.

La FOIRE D'AUSBOURG ou la France MISHAL'ENCAN,

Corn. Ball. allégorique, en vers, par le P. Colonia, Jéfuite, repréfentee dans les Collèges et imprimée à Lyonenifij;

La FOIRE DEBEZONS, Com.de Dancourt., en un Ac.enpro. avec un Div. représentée fur le Théâtre Français le 1Août169y. Cette pièce fut très-courue et applaudie. Elle setrouve dans le troisième vol. des (Euv. de Dancourt. )7oytile Retour DELAFOIREDEBEZONS.

La FOIREDBBEzoNS, Ball. pantomime, avec des Ccenesepifodiques, par MM. Panard, et Favart, donné a l'Op. Coin.le I Septqmb. 173f et non imprimé. On y critiquoitfur-tout le Ballet des INDES GALANTES.

La FOIRE DE BOULOGNE, Op. Comi. par M. Panard, donné en 173.8.

La FOIRE DE CYTHERE., Op. Comi.en un Ac. reprtfentéle io Septembre 174z- Il est de MM. Panardetfagan.la FOIRE DE GUIBRAI, Op. Comi. d'un Aeteen vaudevilles, par Le Sage, représenté à la Foire S. Laurent 17i 4etfervant de Prol. à Arlequin MAHOMET, etau Tom-

BHAUDEN.OSTRADAMUS.

La FOIRE DES FÉES. Voyt\ la Force de l'Amour.

La FOIRE DES POETES Com. en un Ac. en pro. avec un

Div. de Dominique et Romagnefi jouée aux Italiens leir Septembre 1730 avec I'Islb DUdivorce, et la SILphide.

Ces trois pièces furent précédées d'un Prolo aufllen profe.

La. FOIREGALANTEoù le Mariage d'Arlequin Opé.

Comi., en trois Acles avecun Prolog. ;par Dominique, imprimé à la fin du. troisième wolume des Mémoiresde

La'FOIRE RENAISSANTE Com.en un Ac. mêlée de pro._etde vaudevilles, par Lelio père, etDominique jouéefur, le Thé.Ital. le 19 Janvier 1719.

La MIRE SAINT GERMAIN. Nos deux Théâtres ont chaFOI[Pièces.] POL 207cunune Corn.de ce titre. CeliedesItaliens, qui est de

Regnardetde Dufrény, eten 3 Ac.en profe mêlée deverslibres fut, jouéepourla premièrefoisle 16Décemb.

H$j on y ajoutaenfuitela fcenedesdeuxCarroffes.Cequiy donnalieu fut l'aventurede deuxDames, qui, chacunedansuncarrollè s'étantrencontréesdansuneruede

Paristrop étroite pourque deux voituresy puflentpalTerde front, ne voulurent reculer ni l'une ni l'autre, etnecelferent detenir la rue, jufqùl'arrivée duCommiiraire, qui, pour les mettre d'accord, les fit reculer en mêmetemschacunede foncôté.LaComédiede la Foins Saint

Germain, du Théâtre Françaiseftde Dancourt, eten un Ac.detrentefcenesen pro. avec un Div.elle fut jouée pourlapremièrefois le 19 Janvier1696 eteut moinsde succèsquecelledu Thé. Ital. On la trouvedans letome troifiemedesGEuv.de Dancourt.

LaFOIRESAINT LAURENT, Coin.de LeGrand enun

Ac.etenvers, avec, unDiv.dontla muliq.est de Grandvallepere, jouéeau Thé.Fran.le to Septemb.r7u9. Onycontrefaifoilte nommé LeRat, montreurde Curiofircsja laFoire, qui s'enrevenchaà famanière en parlantdespluscélebresAetricesde ce tems-là, à l'occaiionde Ces

Tableauxchangeans.Cettepieceeftdansle fecond tomeduThéâtrede LeGrand.

FOLETTE, ou l'ENFANTgat£, Para, du Carnaval ir la

FOLIE, donnée à l'Opéra-Comiq. par Vadé le 6 Septembre17 rr.

La FOLIEDU J OUR, Com. par Boifly en un Afce en verslibres, donnéeau Théâtre Françaisle 10 Juillet 174.x. La Folie, du jour, dont il est queftiondans cette pièce, est celle derepréfenter des Comédies dans des Sociétés Bourgeoises, alors fi en vogue depuis quelques années.

LaFOLIE DU SAGE. de Triftan, donnée àl'Hôtel de Bourgogne en if 44, et imprimée en 164;w-40. etin-iz..

LaFOLIE DUSILENCE, Corn, imprimée en itfij peuconnue il y aapparence qu'on confondu cette pièce aveccelle -.intitulée Silène Scqae quelques Auteurs rapportentfousle titre de la Folie de. Silène.l* ÎOUE PRÉCEPTEUR » efpece.deCorn, en fcenes épifoxo8'FOL [Pièces.] J FOLdiques eten un Afte en verslibres, impriméeen 1 jfjfousce titre La FoliePrécepteur, oul'art dene paspenfer,

Bagatelle la mode, ornéede vaudevilles.Les feeuesy fontannoncéesfousle nomde Dialogue.

LesFOLIESAMOUREUSES, Com.deRegnard, donnéeau

Théâtre Françaisle i f Janv. 1704 elleeften Ac. eten vers, avecun Div.en formed'une fecondeCom.etun Prol.Onretranchele Prol.etle Div.danslesreprifesfréquentesquifontfaitesde cetteamufanteet joliepièce qui fetrouvedans le tomequatrièmedesCEuv.de Regnard.

LesFOLIESDECARDENIO.Pichouavoit, pourfoncoupd'eaai, traitéen i6i9 ce sujet qui est tiré de DomQuichotte.

Pendantla minoritéduRoi, Chat!.Coypela donnéune autreCorn, deCARDENIeOn, Ac.en profè, avecun

Prolet. desIntermedes, dont la muftq.étoicde LaLande, etlesBail, de Balon ellefut repréfentéefur leThé. dela

SalledesThuilleries, le 50 Décemb.171». Lefpeâacleenétait desplusbeauretdes plusmagnifiques leRoiydanfafeulplufieursentrées etlesjeunes Seigneursdelà

Coury figurerent.

Les FOLIESD'OCTAVE Com.repréfentéefurl'ancienThe,

Ical.au moisde Nov. 1688.

Otfave ComédienItal. etfrere de Me^etin, commençaàparaîtreavecfuccèsdanscettepiècej il ychantoitd, anlbit, etjouoitde huit fortesd'inftrumens.

La FOLLEENCHERE, Com.en un Ac.enprofe, jouéeau

Théâtre Françaisle 50Mai 1690. Quoique cette pieceparoitrefousle nomde Dancourt, et qu'elle foit impriméetomepremier de fesOEuvres on a prétenducependantqu'ilne'avait queretouchée etont'attribueà M.M.V.

La FOLLEGAGEURE, oulesDivertissbmbns DEla Com-'TUSSdEePSMRROCCo, m.en Ac. en vers, del'AbbéBoi^xoberdt, onnéeen i Sf1 Elle'fetrouvedansle fixiemevol.duRecueildes meilleures piecesditThéatre des anciens

Auteurs, eteft tiréede Zope£de Vega.

La FOLLEQUERELLE.Yoye;Andromaquk.

LaFOLLERAISONNABLE, Com.en un Ac.envers, avec1 un Div. par Dominique, jouéeauThé. Irai. le 9Janvierijxf etnon imprimée. C'est le. mêmefujet à peuprès-desTouBSAMOUREUSES.le?

FOL [Piecss.] tOR. 18»0

Les FOLLES AMOURS petite Corn, par un anon/me, 'etdont on ne connoît que le titre.

Les FOLS VOLONTAIRES, Op. Comi. en deux Aéles envaudevilles, donne le Fév. 1740 par M. Panard il n'estpas imprimé.

LesFONDS PERDUS, Com. en 3 Ac.et en profe, de Dancourt, jouée au Théâtre Français le 1 Juin i6Î6. C'efk la premièrepièce de ConThéâtre, que quelques critiques nommoientfon échalfaud. Elle avait été représentée dès le S

Juin de l'année précédente, fous le titre du Notair*

OBLIGEANT, avec un Prolo et des Intermed. et se trouve:ainfî imprimée dans un Recueil de plufidurs pièces fait en

Hollande fous le nom de Palaprat.

La FONTAINE DE JOUVENCE, Op. Comi. en trois Ac.de fcenes épifodiques par Carolet et Dupuy donné le id

Juillet 1711 j il n'eut pas de fucecs, et n'e(t point imprimé.

On donna à l'Opcra-Comique, le 16 6 Sèptemb.17/4, un Ball. Pantomime de la compofition du fleur Novèrreintitulé la Fontaine de Jouvence avec des airs dont lesparoles font de Vadé. Il eut du fucecs. Enfin M. de la

Grangefit paroître fur le Thé. liai. le 18 Mai 17^0 une

Comédie à Ccenesdétachées fous le même titre, qui ne furjouée que deux fois.

La FONTAINE DE SAPIENCE, Com. en un Ac. en proiepar de Barente, repréfentéé au Théâtre Ital. le 8 Juillet13 Août 174}. Il est de L'Afficbardet'M. de Valois, etn'apas été imprimé.

La FONTANGE ou leg FAçôNNBftiss Com., par tin anonyme, imprimée en Hollande en 1694.

Les FONTANGES MALTRAITÉES, ou les Vapeurs Com, en un Afte en profe, attribuée à Baron, et donnée avec succès au Théâtre Fran. le Il Mai 16I9. Elle n'en: point imprimée'

LA FORCE DE LA MAGIE, Coth. par un anonyme donnée en 1678 et dont on fait peu dé chose.

La FORCE DE L'AMOUR, et la Îoirb des Fb'es. Ce fonC deux .Conj.diatune en un Ac. en pro. avec un Div. Se un

Piol. intitulé le Dibo dû HXzard. Elles font de Le Sage, Fuzelier et D'Omeval se trouvent dans le cinquième volume du Théâtre de la Foire, et furent représentées pour la première fois le 8 Août 1711 fur le Théâtre des Comédiens Italiens, à la Foire Saint-Laurent.

la FORCE DU NATUREL, Comédie en vers en cinq actes, représentée pour la première fois par les Fran. le i Fcv. ijfo. Cette pièce est de Débouches, et ne reçut pas d'abord tous les applaudissements qu'elle méritait mais depuis en lui rendit justice, te elle est regardée comme très digne de son auteur.

La FORCEDUSANG Tragi-Cornd, e Hardy représentéeà l'Hôtel dé Bourgogneen 1ci z etimpriméeenm, •elle efttiréed'uneNoüvetlede Cervantes, qui a le mêmetitre.

Hr FORCEDUSANG aitle Sor toujours Sor, Corne.ntrois Aft'ésen prao. avecdes Div.repréfentéeau Thé.Ital.

Te il Avril172f. Cettepièceéfi de l'AbbéBrueys.Il l'âvoitenvoyéeà Palapratton ami, pourla patenter celuiciayantnéglige de le faire julqu'àCamort, Caveuveladonna aur ComédiensFràn. Uneperfonnequi en avoir"Unecopie, qui venoitauflidél'AbbéBrueys la remitaux

Ital. dansle nie me:ems. Dancourt, aprèsavoirun peu-retouchéla première, lui donna le titre deBelle-Mers.

A^resquelquesdébats, pourfavoirlequel desdeuxThéâtrèsla joiieroit il fût régléquelesdeuxTroupesendon-.neroientunereprcfentationlemême jour, etquelësper--formesqui âyoiéritôiifèàié cette pièce, jouiraientdés.f Mtsd'ÀutelifrV'rhiismàlliëiirëùfèrnélr'iutnetiefut jouée"TSéàïr'eïtkl. les (S«-qui tous'Ces

Fcv. 1711, pula Troupe de Francique..

M<™Kvart, et M. Ber.idonn:éé âû. Itàl.'te 8 Octobre 17^0»

Lamuliqùeen est

LeFÇSSÉ DU SCRUPULE, Op. Cqmi. en ùn.Xc. avec outiôl.:ùn Epilogue et'Un Div. rëpréférité poûi ;Iâ prénuto

FOU [Pièces.] ÏOtî t

Oij(ois le i6 Juillet 1758 il est de M.Panard etn'a pas étéimprimé. On le redonna le t6 Juillet 1741 fousle titredu SAUTDufosse.le FOU DEQUALITÉ Com.en un Ac.en vers de Raiinj

PoilTon donnée en 1664, etqui a été auffi indiquée tousle titre de Fou RAISONNABLE.

LeFOURBE, Corn, en ) Ac. en pro. par un anonyme, don*-née au Théâtre Français le i Février 1695 et que le Parterrereçutfi mal que les Ccuncdiensne purent la jouer touteentière etfurent obligés d'y iubftituer le Médecinmalgrélui, pour remplir le tems du fpeftacle. Elle n'a pas étéimprimée, et l'on prétend qu'elle est de le Noble.

LeFOURBEPUNI. Voyp{la FAUSSESoivantb.le FOURBE.SINCERE pièce en deux Aâes par Defgrangesdonnéeàla Foire S. Laurent en 1718, au J eu, dtt

Chevalier les Pellegrin. FOURBERIESD'ARLEQUIN efpece d'Op. Comi., enun Ac.donné le 3 Fév.1711 par la Troupe de FranciCque, etnon imprimé.

LesFOURBERIESDE SCAPIN Corn, de Molière, en pro.eten trois Ades représentée pour la premièrefois fur le

Tké. du PalaisRpyal., le £4Mai 1^71. Defpreauz dopnaatteinteà cette pièce., par ces deux vers de etn Arf Poëtique

DanscefaeridiculeoùScapins'enveloppele nereconnaipsliii l'AuteudruMifantropei

En, effelte, s gens de bon. goûtrfe recrierent contre cette

Comédie; mais le peuple, a qui.Moliere avoiteuintention/2e plaire, la vit etla voitencore avecplaifir.;I1étoit me--me-aiféde répondre auxcritiques, que Molierea bien falui-mêmedistinguer.fesrbonnes piecesd'avec ces efpeces .de Farces, qu'il étoitobligé-deifaire pour. déférer au, goût de la plus grande partie des Spectateurs, et foutenir Con' Théâtre^D'ailleurs on trouve dans les .Fodrbrries Dit

ScArihî de très-bonnes fcenes, at dignes de Plaute etde

Terence;Cette pièce 'ëft dans le tome fixieme des.OEuv.dcMoliere.'.•( • ••apprife etaii FOU [Pièces.] FRArépétée pourêtre reprcfenrceau Thé.Fran. maisqui nele fut pas.les FOURBESPUNIS. Vayt\ les Originaux.

Les FOUXDESBOULEVARDS, Op. Comi.par M. Ta.coner, repréfentéaux Danfeursde cordedela FoireSaint

Laurent en 1760.les FOUXDIVERTISSANTSC, ome. n; Aôes eten vers, avec un Div.de Rai. Poillbn donnéeauThéâtre Françaisle1+

Mai 1 680.C'eftfadernierepiece.Lafceneeft auxPetites-

Maifons.Foyt{leBoNSOLDAT.les FOUXILLUSTRES, Com.en f Ac. en vers, deChari.

Beys donnéeen 16f 1 à l'Hôtel de Bourgogne.

Les FRAGMENS, ificmeOpé.compofédesentréesde Li-

Mus d'ALMAstsetdlsMiNE fans Prol. Les parolesdecestroisentrées(ontdeM.de Moncrif.Lesdeuxdernieresont étecompoféespourlespetitsAppartemensàVerfailles, ety fui'entreprésentésen, 1747 eten 1748. Lamufiqued'Almafiseft de Royèr etcelled'JJmenedeMM.Rebelet

Francoeur. Linusavoitétéajoutéau Ball. de l'EMPIRDEax'Amoor, en 1741 etla mufiqueen est deM. le Cheva.lier de Braffac.L'AcadémieRoyalede Mufi.donnalapremiererepréfentationdutout enfemblele 18 Août 17;», • etil a été gravépartitionin-folio.

De nouveauxFRAGMBNcSo, mpotesduTempleDEGnidi, «lela Fête DEDIANB, etdesAmoorsDBRagonde parnrencle

Janvier 1741.DestroiGemesformésdesAc.d'IsMSNB de Titon bt.l'Aurore et d'jEdLE' ( Voyt{ces trois pièces à leur titre), furent donnés par l'Académie

Royale de Muliq. le 18 Fév. 17 il et formèrent le1 6 i"nede nos Opéra. Enfin Phaïtvse Zemids et Ap'o:-• r on Berger d'Admetb en compoferènt de nouveau, que l'on donna le 10 Juillet 17 5^9.tes Fragmbns Pantomime lyri-comique par M. DufoUrdonnée à là Foire en 17 y* et imprimée.:Les FRAGMENSDE LULLY, f6mc Opéra. Il fut misan

Thé.par DanchetetCarhpraile loSeptemb. 1701, ettftimprimé partition in-4°. G'est l'extrait de plufieurs muiiquesde Lully. Le Prol. se palie entre Polymnie, .Mufe del'Eloquence} Euteijpe Mulede la Mufique j et Melp*

FRA [Pièces.] FRX iti

Oiijmené Mutede la Tragédie.LeBail, est formédequatre

Encrées la première est uneFêteMarine; la deuxième, lesGuerriers;la troisième, la Bergerie la quatrième, les

Bohemicns. Ces entrées funt fuiviesdu Div.comiquede

Carîfclliqui avoirparuanciennementà la Cour, etqu'ona revuplufieursfoisdepuis.CommeceBalletfut continuépendanthuit mois, il s'y fit plusieurschangemens, par¡:additionde trois nouvellesentrées, de la compoutiondesmêmesAuteurs qui furentjouéesfucceflîvementlapremièrefut le Triomphede Venus, tiréed'unefête donnéeà

MonfeigneurparMadamela DuchelTede la Feité", en fonHôtel de Paris en 1698 la (èconde, la Sérénadeou le Jaloux trompé, la troisième, ltterrompu.

LesFRAGMENSDEMOLIERE, ouI'Ombrbde Molière;tom.en deuxActesen profe, par Chammclé donnée le6 Mai1682., avecatiezdefuccès.Voye^i'OMBREde Mo-

I1ERB.

LesFRAGMENSDESMODERNES.VoyeiTiiiMAO.0B.

LeFRANCBOURGEOIS, Com.en cinq Actesenvers, par

Valentin, jouéeà Munichdevantl'Electeurde Bavière, en 1706.

LaFRANCEGALANTE, et la GoINGOETTABngiome, 1

Op.Comi.en Ad^es parBoilly donnéle 28 Juin 17)1.

Le premier Adîeeft intituléParis; le fecondMontpellier;etle troisième Strasbourg.On prétendque M.Panardaeu part à ce dernier. Cet Opéra- Comiq.n'est pasimprimé.Il fut compoféà l'imitation de VItalie Ga-

LesFRANCHESMAÇONNES, Paro. en un Ac.de l'entréedesAmazones, des. Fbtes ns l'Hymen ETde i'Amourdonnéepour la premierefois à l'Op. Comi.le x6

Août1714 etqui n'a .pointeu de succès..Elleeft deM.

Poinfînet..LaFRANCIADETra. par Groflepierredont en ignoreladate.Il ya unefecondepiècefousce titre, par Jean Godard, qui est encinq Actes, avecdesChoeursdesPari.fes, des Danfeset arriere-Danfeset qui fut donnéeenif94. Neferoit-ce pas le mêtneouvrageattribuéa deux

Auteursdifférens}ÎT4 FRÂ r Pièces.] FRAÏRANCrON, Com.encinq Actes • en vers, pp.rGillet, en 1641 ettirée duRomande Francion, que ChartesSorela donné fous le nom de Nicolas du Moulinet, fieurdu Parc.

LesFRANC-MAÇONS Corn, en un Ac.enpro. impriméeeH1740. Cette piècedevaitÊtrejouéeau Théâtre Françaisen1737 mais certains contretemset la Franc-Maçonntricqui était alors fort à ia mode, en ont empêchelarepré.tentation.On l'attriboeà M. Clement.

LeFRANÇOISAL'ELECTION Coin. enun Acte parunanonyme. C'est:une pieceallégoriqueetfatyriquc, impriméeen1744 à Génère.

LeFRANÇOISA FRANCFORT Com.en un Ac.enpro.impriméein-i z.fousle nomde Londres, en 1741.L'Auteurn'en est pasconnu, maisil paraît qu'il était animécontre quelqueavantarierGafcon.

Lb FRANÇOISÀLONDRES, Corn, en un Ac.etenpro, par Boilly donnée.four la premièrefois au Thé. Fran, le 3 Juillet 17x7 très-goûtce, et jouée1 foisdefuite.

Lecontraftedescaractèresdes Françoisetdes Anglois, 1 e'Itnatûr1elettouchéavecvivacitédans cette pièce, quel'on donne Couventau Publié. Ona jouéà Londreseniif'i une Comédieintitulée, I'Anglois AParis: onenpeut voir l'extrait dans le premier volumedu Journal

Etranger.

FRANÇOISII. Tra.enAc.en pro. par M.le P. H. im.priméeen 1747, M-8°. C'est une piecedans ungenreneuf, etqui n'a pasétécompoféepour être représentée.

LesFRANÇOISAUPORTMAHON, Corn.en unActenvers libres parMM.LaÇhaflaigneetStieotti donnéeau

Thé. Ital le Août 1756 interrompueaprès cettepreijfiierefeprefentationpar l'indifpofitiond'anAfteur.Oatrouva cette pièce fansintérêtettrop pleine delonangeJoutrées. Elle n'est point imprimée.

Les FRANÇOISAUSERAIL, Op. Cpmi.en} Ac.envaudevilles, par Carolét, donnéle 7 Juillet 1736;II n'eftpasimprimé lefûjet eneftprisdu Romanintitula l'ffturtus

RRE [Pièces.] IUK

Oiii}ïREDEGONDE, ou le CHASTE A^ojjr Truù-Com, dp

Hardÿ, en 5 Ac. en vers donnée l'Hôtel de Bourgogneen 16 1 J et imprimée en i$i6.

FRÉDÉRIC, Roi DE SICILE, Tra. en trois Aâes de te

Brun, deftinée pour être mife en mufiq. ce qui n'a pas étéexécuté.

Les FREMAÇQNS. Voye^ Franc-Maçons.'le FRERE INGRAT, ou lé Prodigob puni Corn, en Ac.en vers, du Geur Dav'efnes et de Romagnefi, reprtfentée ajj

Thé. I.tal. le 10 Janv. 173 f et non imprimée.les FRERES ENNEMIS. YOyt; Arminjus m la Th*.-la FRIVOLITÉ Cpm. en un Ac. en vers de fcenes épjfi^-diques, avec un Div. par Boilly donnée au Thé. Irai. pourla première fois le 1. Janyier 175-3, et

GUEN, Com. en un Ac. d'un anonyme, représentée le Il

Odlcb. 1703 et qui n'a pas été imprimce.

Les FUNERAILLES DE LA FOIRE, Op. Cornu d'un Ac.^par Le Sage etD Orneval répréfenté fur le Théâtre de1 OpEra par ordre de S. A. R.Madaue le 6 Octobre171 8, eta la Foire le premier Septembre 1711. Cettepièce fut redonnée le Avril 17)4, avec des cnangeiriensfaits par Pitcene'c, fils de Le Sage, fous le titre duTssTAliENt

DEtA FOIRE.

G

GAB GAG

LesVjr ABAONITES. Voyt[ la Faminb.

GABINIE, Trâ. Chrétienne de l'Abbé firaeys représentée;pour la première (bis avec succès l'è'i Avril 1.699, etremife en 1717 Lefujec decette pièceeft tiré d'une Tragédie

Latineintitulée faite par le P. Jourdainle G '.GE TOUCHÉ, Op. Comi.d'un Ac. représente le i

Mars 17 6, avec peu de fuçccsj.il, eil de M. Panard Çcn'àpasécé iniprimé. ••:-ii s GAG [Pièces."].. GAL'La GAGEURE, Corn.en vers, en trois Ac.de ProcoppeCou.[eaux, donnée au Thé. Ital. le 9 Fév. 1741 etfort bienreçue. Cette pièce était fuivied'un Div. c'est la premièrede cet Auteur; etcomme lors de fa repréfencation, il nes'en étoic pas déclaré l'Auteur, on l'avait attribuée à M.de La Grange, Elle n'a été imprimée qu'en 17j 1

La GAGEURBOp. Comi.d'un Ac. avecun Prolog. par Il.

Panard donné le 4 Mars 174; il n'est pas imprimé.-la GAGEUREANGLOISE. Voyerles Amours Grenadiers.

La GAGEUREDE PIERROT, Op.Comi.de Fuzelier, enun

Ac. représenté le Février 1718 et non imprimé.la GAGEUREDE VILLAGE Com.en un Afte en profe, ornée de chants et de danfes, par Seillans, donnéeau

Théâtre Françaisle 16 Mai n$6 , et qui n'eut que cinq repré-

Tentations elle n'est pas encore imprimée.

Le GALANT CORSAIRE, Bail, d'un Afte par Autreau, deftiné àêtre misen mufîque il est imprimé dans Ces

OEuvres.

Le GALANT 'COUREUR, ou POuvrage d'on moment,

Com.de Le Grand, en un Ac. en pro. avéc un Div. dontla mufiq, est de Quinault. Cette pièce se trouve dans letome troisième du Théâtre de Le Grand. Elle fut jouéepour la première fois au Théâtre Français le Il Août 1711 eteut zx représentationsde fuite. Il en parut uneParod. fous

Le GALANT DOUBLÉ, Com.en verseten Ac. de ThomasCorneille, imprimée dans le troiGeme tome de fes(Éuv. Cette pièce éft tirée d'une Com. E^Jagnole^et futjouée en i(î6q. L'intrigue roule fur unDom Fernànd, c\\ùfait l'amourà deuxbelles, fous deux noms différens.^LeGALANT, JARDINIER, Co«.- de- Dancourt, en unAc.en prç. avec quelquesairs deGillièrs elle fut repréfenréepouffa première fois le 18 Octobre 1704, avec allez defucçès eton la revoit (bavent avecplaifirau Théâtre Praii.

Elle en: imprimée dans le fîxiemevolume des OEuvresde

Dancourr.;Le$ GALANTERIES DU DUC q'OSSONE. Foyei le Ducles GALANS RIDICULES, oà. les Amodrs 1 de Gomor• iT oa Ràgotin Com. en un Afte en vers'de'huit Cjlhbat

GAL [Pièces.] GAZ 117par Chevalier représentéefurle Thé. du Maraisen 1 661.

LesGALANTESVERTUEUSES, Tragi-Com. fur unehiftoirevéritablearrivéependantleJîegedeTurin donnéeparDesfontaines, en 1641.Elleeft en f Acen vers.

GÀLATHÉEDIVINEMENTDÉLIVRÉE Paflo.en f Ac.par Fonteni, impriméeen 1787.

LaGALERIEDU PALAIS, ou I'Amir rivale, Com.en

SAc.en vers, de Pierre Corneille, donnéeen 1694.C'estfa quatrièmepiece. Elleeft dans le mêmeordreetde lamémeduréede'cinqjours, quecellede laVEUVEL.etitredecetteComédien'appartientproprementqu'au premier

Acte.Nousavonsl'obligationau grandCorneillc d'avoir •fubftituédans cettepièce le rôle de Suivanteà celui de

Nourrice, qui était dansla vieille Comédie, et quedeshommeshabillésen femmes, et fousle manque, repré-(entaientordinairement.

LeGALIMATIAS, Tragi-Com. en f Ac.en vers, par De

Roziers-Beaulieu impriméein-4.0.à Paris au mois de

Janvier16)9. Letitre decettepieceeft très-bienrempli:c'eftun recueilde fcenesetdepenfées fansliaifanetfansfuite.

GALLIE, ou le SOLEILbrûlant LAVEILLE de l'Eclipsé,

Opéra fatyrique, en 3 Ac. et un Prol. en vers, par un anonyme, en itfji. Il a été imprimé i/z-ii. à Amfterdam, chez Lucas, en i6gi.

Le GADIEN DE SOI-MÊME Com. en f Ac. en vers, par

Scarron- donnée en 16 ;r. Elle n'et'1 pas imprimée dansfes QEùv.-Voyer le Geôlier DE SOI-MEME.

GASPARD DE COLIGNY, Tra. en Ac. en vers, par M.

Darnaud: Cette pièce n'a pas été faite pour être représentéeelle fut imprimée en 17+0.

GASTONDEFOIX, Tra. de Billardde Courgenay, donnéeeu1607 etimpriméedansle recueildepiecesde cet

Auteur.-

LesGAULOIS Paro. dela Trag.dePHARAMOND donnéeau Thé.Irai. le 17Sepiemb.1756, parlesGeurs Romagnefiet

Riccoboni elleeft en un Acteen vers.

LaGAZETTE', Com.de Dancourt, en un Acteeten profelepréfentéepourla premièrefois le z4 Avril1'691 etimpriméedansletomeféconddefesSuv. Cefontdesfcenest!8 GEN [Pièces.] GENdétachées de personnes ridicules, qui s'adreHênt au Librairecorrefpondant du Gazetier de Hollande pourfaire mettre leurs extravagances dans la Gazette mêléesavec une intrigue.

La GEN EREUSE ALLEMANDE, ou le Temple d'Amour

Tragi-Corn, de Maréchal, divifèes en deux Journées de cinq

AEles chacune où fous des noms empruntés ejl reprifenttel'hifloire defeu Monfleur et Madame de Circy, imprimée à Paris en itfjr , in-8°.

La GENEREUSE INGRATITUDE, Tragi-Com. en r Acteen vers, de Philippe Quinautt, donnée en 16/4 à l'Hôtelde Bourgogne. Elle se trouve dans le premier vol. de

TesOEuvres.

Les GENEREUX ENNEMIS, Com. en cinq Ac. en.pr, o. del'Abbé Boifrobert, représentée à l'Hôtel de Bourgogne enrfif 4. Le sujet de cette pièce est de Scarron, qui en avait-foi: (on Ecolier DE Salamanque t'ayant lu à Boifrobertce dernier en fie ufage avec peu de changemens, etfèprefla même de donner (a pièce avant celle de Scarron.

GENEVIEVE DE BRABANT, pal'lNNoçENCB reconnue,

Tra. en cinq Aétes en vers, avec des choeurs par Ceriziers, donnée en 1 669. Il y a encore une pièce de ce titrepar Daure jouée et imprimée à Montargis en 1 £70..

GENEVK.E, fra. en cinq Aétes en vers, de Çl. Billard de

Courgenay, imprimée en 1610. Elle est tirée de Rolandle Furieux..Le GENIE DE LA FRANCE, ou I'Amocr DE LAPATRIE,

Cam. en un Ac. en vers libres, de M. Minet fils, donnéeavec applaudirteinent par les Ital. le u Novemb. 1744-

Elle n'est pas imprimée. Il n'y a point d'intrigue nouéedans cette pièce ce font des pivertilTemens variés etcou-.fus légèrement .enfèiuble ;• l'AmourFrançois occupe lethéâtre p. eique pendant toute la Comédie:(dans une feene, qui est vraiment théitrale un Poète ( qui était représentépar teneur Deshayes), vient lui réciter des .vers qu'il afraîchement compotes à la louange du Roi un Muficienpréfent.à cette leâ ire , et entraîné par^l'ep/boufiafaie, vers en mu.îque à meftre que lePpete les rcçiçf.

J.- Mercuredt France Novembre-îy 44 fécond, volume.de M. FaGEN

Pjscss.] GEN ti9vàrt, donné a la Foirele 2g Juin173 j , etqui n'a pas étéimprimé.

Le GENIE TUTELAIRE, Drame héroique, en trois Ac.envers, mêlé de chantset de danfes, par le P. de Beaumanoir, compoféà l'occafîonde la naillancede Monfeigneurle Comte de Provence, et repréfentéau College des Jcfuitesd'Air, les et Janvier 17; i.

LesGENIES, 1 i6meOpé. compote d'un Prol. et de quatreentrées.Le Poëme cft de Fleur)-, etla mufi.de MlleDuval.

Cette jeune personne accompagna elle-même tout fou

Opéra fur le clavecinde l'Orqueltre où le Public la vitavec plaifiretétonnement. Le Prologue se pailè entre Zoroaftrel'Amour, et les Génies élémentaires.La premièrefiltréepour titre les Nymphes, ou l'Amour indifcret; lafeconde, les Gnomes, ou i' 'Amouarmbitieux; la troisième, lesSalamandres, ou 1' 'Amouvriolent; et la quatrième les

Sylphes, on l'Amour vengé.On ne donna que neuf repréfentationsdecet Opéra, dont la première te fit le 18 Octobre1736 etil n'a pas écérepris. Il est gravé in 40.eu

Les GENIESTUTELA1RESDivertifement en un Ac. compoféà l'occafionde la naiffancede Monseigneurle Duc de

Bourgogne, et.dont lesparoles font de M. de Moncrif, et• la mu6q. de MM. Rebclet Francoeur. Il fut représente• part'Acadëmie Royale de Mufiq. le z Septemb. 17Y1 etest compté pour le je^tae de nos Opé. On le trouve grevé.-partition /«-40,

Le GENOIS, Corn, eriun Ac. donnée au Théâtre Français le 6 Juin1695 par unanonyme. Elle n'eut que cette repréfèntationj-et n'afas été imprimée.

GENSERIG Roi dbs VANDALBS, Tra. de MmeDeshoulie..res; joiiée en Janvier 1 680 par la Troupe de l'Hôtel de

Bourgogne. Ellee(t imprimée dans le tome deuxième<îela dernière édition de Ces(Euv.et eut peu de succès.

LeGENTILHOMME DE BEAUCE, Corn, de 'Montfleurjr, en, en vers repréfentee à l'Hôtel de Bourgognean commencement du mois d'Août 1670.'le GENTILHOMMEGUESPIN, Cpm.en unAc.-en vers, *io GEN [Pièces.] GEO, pféfentationdecettepièce il y avoirfur le théâtrebeau»coupde gensdecondition, amisde de Vifé, qui rioientàchaqueendroit le Parterrenefut pasde leuravis, etfifüade toute faforce.Un des rieurs s'avançafur lebordduthéâtre etdit Si vousn'êtespascontens on vous rendravotreargent à la porte; mais ne nousempêchezpatd'entendre des chofesqui nous font plaifir un plaifantlui répondit

Prince, n'ivci-voutiseni nousdirede plusun autre ajouta

Non d'enavoirtantdit, il ejlmêmeconflit.

Cependant, commecesdeuxversretrouventdansla neouvieme (cènedu quatrièmeAc. delatragédie d'ANDRomc, qui ne fut donnéequ'en i«8j il y a apparencequecetteanecdote est fauflé ou bienque c'étoità quelquereprifedu GentilhommeGuefpin, que celaarriva, et nonàlapremière représentation à moins.cependantqu'on neveuille dire que Campiftrona fait ufage de cesdeuxvers dtja connus.

Le GENTI LHOMMEMEUNIER, Com.-enun Ac.parunanonyme, donnéeauThé.deGuénégaud.le? Mai167t.

Ellen'est pasimprimée. le GEOLIERDESOI-MÊME, ou Jodblbt PRINCE, Cm.:.i deT.homCaosrneille, en Ac. en vers, donnéeà l'Hôtelde Bourgogneen i6r r etimprimte dansle'tomeCecondde Ces(OEuv.Le comiquede cettepièceeft tiré desplaifanteriesde Jodelct, qui paliepourle PrincedeSicile, que diversintérêtsohligencde cacherfa nailTance. C'est:àpeuprès lemêmefujetduGARDIEN DBsoi-mSme..GEORGESDANDINou le Mari CONFONDCUo, m.deMoliereen 3Ac. enpro. repréfentéeà Verfaillesdevantle

Roi, le i r Juillet 1668 avecdes Interm. dontla mufiq.r était de Lully età Parisle 9 de Novemb. fuivant, fans••' IntermC.ettepiece dQntle Cujeteft prisd'uncontede

Boceace fut égalementbienreçueà la Couretà la Ville:on ne reprocharien à fa conduiteni à.fonftyle maisonfè.(ôu}euvnapeucontrele fujetmêmep, aroilTantpeuchâciéldfeaire.paroîtrefurle théâtreunefemmemariée, qui

GEO [Pïeces.] GIG zitdonnuenrendez-vofuosn amantE. llefetrouvedanslequatriemveol.des

GEORGETGEORGETTOEp, .Comei.nunAc.enpro.mêléd'Ariettesp, arM.Harnyetdonclamusquéeftde

M.Alexandreil, futdonnépourlapremierfeoisle18

Juillet1761.LefujeteneftprisdeLaFontaine.

GEORGIBDUASNSLESAC, petiteFarcedeMoliere, donnée le 17Avril1663etdontnousn'avons quecetteconnoiffanMceo.lierpeourroibtienavoirtransplancteétte

FarcedanslesFourberiesDESCAPIN.

GERMANICUTSra, g.deBourfauletlleavoitétérefuféefousletitredelaPRINCEdSeSCEUVElS'A; uteuyrfitbiendeschangemenosutreceludi utitre etfapieceainficorrigéefutrepréfentaéveecungrandfuccèesn1671.

Pierre

Corneillaeyantdit enpleineAcadémieq, u'ilnemanquoicàcetteTrag.quele nomdeRacine, pourêtrerépetutéaechevéeonprétenqduecetraitoffènfcaedernier, brouillnaosdeuxilluftreAs uteurtsragiques. Ilya deuxautresTrag.deGermanicos1uneduP.*Colonia,

Jéfuitedonnéeen169 l'autredePradonrepré- fentélee si Décemb1, 6940et, quin'eftpasimprimée.'

Racinfeituneépigrammceontrceettedernière.

GÉSIPEoulesDEUAXmisTraçi-CodrenH. ardy, donnéeenifizz furleThé.del'HôteldeBourgogne.

GETAT, rog..dePéchancrrée, présentaéveecbeaucoudpefuccèsl, e»9Janvieir<>87P.eus'enfallut, à cequel'onrapporte, quecetAuteur ne perdît lagloirede fônourragec;arl'ayanmt ontréàBaronc, eComédiennemanquapasdeluiendireleplusdemalqu'ilputetlaconcluGodnetouscesmépris£, utvingpt iftoleqsu'iluioffrit enéchangdeefamauvaiTferagédieP.échantréhommefimpléet; d'ailleurpseuaifc, acceptla'offrem; aisCham-• mêlaéyant cetteconventioetna, yanltucetteTragédieila jugeadigndeelàréullirqeu'ellaeeueet, prêtaàPEchantrélesvingpt iftolensécéllairpeosurretirerfapieceE. lle CetrouviemprimédeanslecinquiemveolumdeuThéatrelaGIGANTOMACHPIoEëmedramatiquetecomique, deHardy, donnéen i«n, i l'HôteldeBourgognei1tii GlL [Puces.] GOtt

GILLE GARÇON PEINTRE, amoureux ETrival Pàro, en forme de Parade, du PEINTREAMOUREUDXESONmo-

DUE, donnée à l'Opcra-Comiq. le Mars 17f 8. Ellee/lde M. Poinfinet, etla mufique en fut extrêmement goûtée.

GILLETTE, Com.facécieufe, en cinq Ac. en vers de quatrepieds, parTroterel, donnée en 1^19. Ce font lesamoursd'un Gentillâtre avec Gillette fafervante, traverses parlajaloufiede fafemme etla rivalité de fon valet. Un desperfônnàges est le Curé qui vient au château prêcher lacontinence à Gillette. L'Auteur dédie fa pieceà Montantfonintime, par une Epître datée du i Août ifii>etqui nous apprend qu'il a compofé cette Comédie en huitjours.

GILOTIN PRÉCEPTEUR DES MUSES, Com, en un Afteen vers, par de Saint-Gilles repréfentéedevant Madamela Duchefledu Maine et le Prince de Conti, le. 6 Mars1706. Cette pièce se trouve dans la Mufe Moufqueiairt, du même Auteur.'

GLAUCUS. Voye[ ScvtLA et Glaucws.

Le GLORIEUX, Coa. en verset en s Actes, par Nericault

Débouches, représentée au Thé.. Fran. avec grand fucecsle 18 Janvier 175t. Ily a une Diflertation critique furcette excellenteComédie et on en donna une Parodieaux Marionettes, fous le titre de POLICHINELLEC, OUTSî>b Pafibr.

GOLIATH, , 2/u. par-JoachimCoignac en 1ro..

Les GORDIANSETMAXIMIr^S, ou I'Amuition, Tra.:par:Ant.Favre, peredeM. Vàugelasj elle fut imprimée

La GOUTE, Coin.de Blanbeanetult, donnéeen i

On prétend que le fuiec en est tiré d'une aventure véritable, arrivée à M. de la Faluere; Premier Préfidencau Parlement de Bretagne. Voyer la SERVANTE DE SA

HUE.le GOUVERNEUR, Com. en profe et en; Ac. par M. le

Chevalier de la Morliere, donnée au Thé. Itai. le %6Déc.17 j 1 etqui n'eut que fix représentations.

Le GOUVERT D'HUMANITÉ, Tragi-Com. par Dabun"dance, en 1 f 44.

Les GRACES, turne Opé. C'est un Ball. conipofé de troisentrées et d'un Prôl. il fut donné pour la première fois ILf

Mai I7; S. Les vers de cet Opéra font de M. Roy, et lamufique de Mouret; il n'eut que douze repréfenrations.et fut critiqué aux Ital. dans la Comédie des ADIEUXait

MARS.On le trouve gravé en mufique partition in-4*. Le

Prolog. se paire entre la Prêtrelle du Temple d'Hélène, deux Egyptiennes et l'Amour. La première entrée étaitintitulée l'Ingénue la feconde, la Mélancolique; la trotfieme,

Enjouée.

On reprit ce Ballet le 7 Juillet 1744 avec des changemens;'et une nouvelle entrée, à la place de la première roui letitre de l'Innocence; le titre des deux autres fut mêmechangé, quoique le même sujet fubfiftâc toujours; la fecondese nomma la Dilicatejfe et la troisième, l'Enjouement.

Les GRACES, Corn, en un Ac. en profe, par M. de Sainr-Foir, représentée pour la première fois fur le Théâtre Français le ij-

Juif. 1744. Le ftrle de cette pièce est: vif etléger, ïem'plide traits et de détails agréables, l'idée en est ingénieufe etriante l'Amour au pied d'un arbre, -au milieu des trois• Grâces, qui l'ont lié avec des guirlandes de fleurs, formaun des tabteaur des plus gracieux qu'on eût encore vu authéâtre.

Le GRANDBENÊT DE FILS, petite Com. de donnée Molière^ le '10 Janvier 1664, et qui ne nous est paspaf»venue.le GRAND ET NOBLE JEU DU CERCLE, Com. traduitede l'Arabe en Francois mife en vingt circulations où lefou fait le rage' fr oh lc fage fait le; fou pour dimuifer laii4 GRA [Pièces.]- GRIjeuneffè. Cetce pièce est d'un anonyme elle fut impriméeen 17 1 à Copenhague.

Le GRAND MAGNUS, Tragi-Cvm. par La Motte, jouéeetimprimée à Orange, en 1 6 31

La GRAND MERE AMOUREUSE, Paro. de l'Opérad'ArYS, par Fuzelier et D'Orneval, représentée par les

Marionettes de Bienfait, le 18 Mars 1716 et impriméedans le huitieme vol. du Théâtre de la foire.le GRAND SELIM, ôu le Couronnement Tragique,

tragédie de Le Vayer de Boutigny, donnée en 1 643.

Le GRAND SOPHI DE PERSE, Com. en Ac. en pro. avecdes fcenes iral. par De Lofme de Montchenay donnée àl'ancien Thé. Ical. le 10 Juillet 1689.

Le GRAND TIMOLÉON DE CORINiHE, Tragi-Corn, par

Saint-Germain, en 164.1.

Le GRAND TAMERLAN. Voyez Tamerl an.

Le GRAND VAURIEN. Voyez MAXIMIEN..

La GRANDE MÉTAMORPHOSE DES Cômïdiens IrALIENS,

COIN-en un Ac. en vers libres, par un anonyme, imprimée en 17 SI ia-8°. Par un avertiflement qui e1tila fin de cette pièce, il parpît qu'elle avait été préfentceaux Comédiens liai. pour être jouée fous le titre de I'An»nie MERVHILLEUSE, ce qui ne put être exécuté, parceque M. Roullèau leur avait déja donné fa pièce du mêmetitre.

Les GRANDS ET LES PETITS Corn, d'un Ac. en pro. irnpriméeen 1708.

GRÉGOIRE. Voyez les Incommodités DE LAGrandsbr.

La GRENOUILLERE GALANTE, Paro. en trois Ac. enr.' vaudevilles, des INDESGalantes, par Carolet> rêpréfentéepar les Mariouettes à la Foire S. Laurent 175;, et non imprimée. Le premier Afle est intitulé le Batelier'généreux; le fécond, l'Eté tardif (et c'est la Parodie des

Incas) et le troisième la Fête des Bouquetieres.la GRISELDE ou la Princesse DESalocbs Corn, en cinq.Actesen vers, par Mme Saintonge, jouée'et imprimée a..Dijon en- 1714. C'est auflâ le titre d'une- Tragi-Corn ital.'donnée le 13 Août 1717. Pbyrç Griselidis. •

GRISEUDIS, ou la Maroukb db Saxvcbs fiijloirc rnife

GRI [Pièces.) J GUI xtf

Ppar perfonnageetsrimes, l'an 139J par J. Bonfons.Voye^

GRISELDE.les GRISETTESouCRISPINChevalier, Com.de Charrimélcrepréfentéeen 1671. Elleétoitalorsen 3 Aftes, envers, maisl'Auteurla réduifiten un Acte quelquetemsaprès, pourla rendreplus vive, et y fit de légerschangemens.le GRONDEUR, Com.en Ac.en pro. repréfentéepourla premierefois au Thé.Fran. le Février 1691. Cettepieceavoicété originairementconftruitepar l'Ab. BrueysencinqAc.mais pendantfon abfence Palaprat à qui ill'avoitlaiflée l'ayantpréfentéeauxComéd.etceux-cinevoulantpasla repréfènteren qualitéde grande pièce, ré–duifitlescinqAc.entrois. EncetétatlefortdecetteCom.fut très-bizarre:onlafifflaàla premiererepréfentation, les Gffletsfeturent à la feconde, on commençaenCuiteàla goûter, et le fuccèsalla toujoursen augmentant demanièrequ'aujourd'huielleeft regardéecommeune dés, meilleurespiecesde carafterequi ait étédonnéedepuis

Moliere.Railin, Guerinet Ducheminont fucceflîvemenefoutenuetparfaitementbienrendule caractèredu Groti"dtur.Voyt{le Booro.

LaGRONDEUSECam.enUnAâe eten profe de Fagarf'»donnéeauThéâtre Françaisle n Fév.17)4»avecpeudefuccès, quoiquerempliedetraitsingénieur

LeGROSLOTDE MARSEILLE, Com.enun Acte, pàrdhanonyme, repréfentéeavecluccèsau Thé.Fran.te13Sept.

GROSRENÉPETITENFANT, Farce, deMoliere, donnéele z7Avril1664, etdontnousne connoîflbris riendeplus.

VoyeiDu Parc auxAuteurs.

LaGUERRECOMIQUE, on UiDetknsbDEl'Ecols Dfifi

FEMMESCom.en 5 Aftesen profe, par de la Croix, impriméeent664.

GUILLAUMED'AQUITAINE ( lavieetconverlionde ),

Trag.écriteenversetdifpoféeparACles, pour repréfènter.furie Tkéatre-ptar Trotérel impriméeen 16 t. LaGUINGUETTEDELAFINANCE Com.en un Ac.enprofe avec.unProlog.etun Divertiflèment dontla mafiqueétoitde

Mouret, donnéeparun anohyme, avecpeuil* GUI [Pièces.] GUSde succès, au Thé. Fràn. le 19 Mai 17 1€. Elle n'est pasimprimée.la GUIRLANDE, Op. Comi.en un Acte, par M. Balliere, représenté fur le Thé. de Rouen le x4 Mars l7S7, etfurcelui de l'Opéra-Comi. à la foire S. Laurent à Paris leti Juin fuivanc.

La GUIRLANDE, ou les FLEURSenchantées ïS ime ôpé.

C'est une Entrée ou Aâe de Balt. ajoure aux INDESGa*iantes et dont les paroles font de M. Marmontel etlamufîque de M. Rameau. Elle fut donnée à l'Opéra le 14

Septemb. 175 1 reprife en 17 Ci, et est gravée partition-La GUISADE, tragédie avec des choeurs, de Pierre Matthieu, imprimée en 1589. Il avoir déjà paru l'année d'auparavant, par un anonyme, une pièce intitulée la boims

Tragédie Du DOC ET DU CARDINALDEGuise Poème

Dramatique y jouéà Blois le ij et le 14 Décemb. tf 88.iaGUITARRE ENCHANTÉE, Op. Comï. d'un A

Carolet et Dupuy donné le 2.s Juin i^it et non imprimé.

Il n'eut aucun succès.-6USTAPHE, ou I'Heuriusb Ambition Tragi-Corn, par

Benferade représentée en iS}7.

GUSTAVE WAZA, tragédie de Monsieur Piron représentée au Théâtre Français pour la première fois le < de îcv. 1733 et reçue très favorablement. On la redonne souvent.

H

HAB HAR-^JtX-ABIS, la pre-

Thé. en Mai17)1. Celt le premieret le meilleur ouvragede cette\j liépnéfènté17foisde fuite.

HALIET ZEMIRE., liére, donnéle 50Jui

HAZ [Pièces.] HER xvj

Pif

Comi. le premier Oeto. 1739 elle eu en un Ac. «n vaudevilles, et de M. Favart..

Le HAZARD, Op. Comi. d'un Ac. en (cènes epifodiquespar Ponteau donné le Fcv. 1739.

Les HAZARDS DU J EU DEL'OMBRE, Corn, de M. R.

Auteur de la Coméd. de la Rapière, en 1677.

HECTOR. Il y a quatre tragédie de ce nom. La première, de

Momchrérien, donnée en 1605. La feconde, de Montleon, en ta 30. La troisième d'A. Sconin, imprimée à

Soiffons en 1 67f in- 8°. et la quatrième de M. Clair-

Fontaine imprimée en 17/1, et qui n'a pas été représentée.

HECUBA. Nous avons deux anciennes pièces fous ce titreune par Laz. Baïf, imprimée en 1 n7 l'autre par Boucherel^en ij-fo.

HENRIETTE, Com. en f Ac. en pro. par Fontenelle, impriméeen 17/ 1. Elle se trouve dans la huitième vol. defes OEuvres.

Les HERACLIDES. Ce nom, qui lignifie tes dercendansd'Hercule a fourni le titre de 3 tragédie L'une par De Brie, donnée le 9 Fév. ie$ f qui n'eutque peu deTepréfentations, et n'est pas imprimée. L'autre par Danchet, représentéele 19 Décembre 17 91 avec on médiocre succèset qui n'a été imprimée qu'en t7 f 1. Lq dernière enfin de

M. Màrmontd, 'doifticè au Thé. Tran. lei4ÏHai i7fi, 4cretirée après huit repréfentarrûris. Elle en eut cependantencore trnis au «sois de Novembre fwivant*

HERACLIUS, tragédie de Pierre Corneille donnée à l'Hôtelimprimée dans le tome trot..'entede fes OEuw. On avait prétendu que Corneille avoirpris la principale fîdidn et la plus belle frtuâtion de fa^iéced'uneCom.du^CflWpro/ï, intituléetH min/onçeetyititi mais le RÏ P. Tournemine ayantÉcrit en Efpagne; à verifié par les dates que la pièce du

CaWerone(lvràirei«bl^ilementpoftcrieu'eicel|pde Corneille, n'ayant été imprimée qu'après 1647. Cette Ttag.tfHeiiAcinjs '-est de pare invention fous 'les nom1;vérin-

We>et fi chargce.d'incidehs qu'elle demandeune grandeattention enfpTiequ'une premie-e rep/cfêntation pfVplut6c, a-t-on dit, un travail pour l'Auditeur qniindiverwf;sE HF.R [Pièces.] HIERfement. En effetCorneilleavoue lui-même qu'il faut voirfa pièce plus d'une fois pour la bien comprendre, etDefpreaux l'appelloit un Logogryphe. Cette Tragédie estcependant très belle et une reprife que les Comédiens

François en firent en Novembre 1761 elle futtrès-fuivie.

HERCULE. Ce grand sujet a été mis en tragédie par plufieurs-de nos Auceurs; favoir, BrilTeten ij89;Pievoften ifioj;

Mainfray en 16z 6;Rotrou en 1 6 )6 j Lheritier Nonvellonen 1S585et La Thuillerie, donnée le 7 Novemb.1681 Ce dernier n'était, dit-on, qu'un prête-nom, etlevéritable Auteur de cette tragédie était l'Abbé Abeille; c'eQpourquoi les Comédiens jaloux de la' failliegloire de La

Thuillerie leur camarade, interrompirent les repréfentaticmsdecette pièce dans le plus fort de fon cours, et nemanquèrent pas d'en démafquer l'Auteur. Cependant La

Thuillerie, dans la préface de cette tragédie la foutient £enne, avouant feulement qu'il confultoir un ami qui, dit-il, est peut-être auflî honteux de voir qu'on lui attribuefetouvrages, qu'il est glorieux à lui, La Thuillerie, de voirqu'on leseftime alfez pour les attribuer à ce (avantami.

Enfin la fixiemeTragédie d'HERciUBeft de M. Renomelle parut au Théâtre Français le 18 Février 1777 et n'eut quecette représentation.le nouveauThé. Ital. a auillune tragédie Itaî. à' Htucvts;lel'Opéra a Ercolb Amante.

HERCULE AMOUREUX, Ball. deBenferade, donnéeni66i.

HERCULE FILANT Para, de l'Opéra d'OMPHAts enun

Aûe en profeetvaudevilles, précédéed'un Prol. par Fille--lier, donnée au Thé. liai. le 1 Mai 1711,

HERCULE MOURANT., 1 77msOpéra. C'est une Trag.en

Ac. avecun Prolog. dont les paroles font de M. Marmontel, et la mufique de M. Dauvergne. Il fut donnépour la première fois le 3 Avril17^1 etn'eut pas beaucoupde succès.

HERCULE (ETUS tragédie attribuée par de Beauchamps1

Nicolas le Digne fousl'année i f 84.e Cette pièce est imprimée dans le premier vol. du Thlatrt Fra{>fous le titre d'HsiLCVU mouetant.

HER [Pièces.] HER h>

Piij

L'HERITIDEERVILLAGCEo, me.nunAc.enprop. ar M.deMarivaudxonnépeoulrapremièfroeis, fanêstreannoncéaeuT, hé.1tall.e19Aoûit7if..

L'HERITIGEÉRNÉREUCXomen.unAce. nverslibres, parM.DillbnjouéàeDijoanumoidseDécem1.749Seimprimdéaenslamêmveillen17fs.

L'HERITIER RIDICULE, ou laDAMBintsresséb, Corn.deScarron, en f Ac.en vers, donnée en 1649. Cette pièceplut tant au feu Roi, qu'il la fit, dit-on jouer trois foisde fuite fans interruption dans le même jour. Voyet le

MARQUISridicule.

HERMÈNÉGILDE tragédie en pro. par La Calprenede donnéeen 1645. Cet Herménégilde étoitun Prince d'Efpagneque fon pere, Roi des Gotbs, fit mourir parce qu'il réfutade faire la profeflion de foi des Ariens. Voyet SAINT Hîrme'ne'gildeet Indegonde.

HERMOGENE, T'ragi-Com. par Desfontaines donnée en16j 8 et imprimée en 1 6 3 9 i/z-40. Elle est en cinq Aélesen vers.

HERODE, rM.del'Ab.Nadal, repréfentéelei; f Fév. 1709.

On vouloit faire, dit-on une application maligne des caractèresde cette pièce, dans laquelle on croyoit trouverdes rapports entre la Cour à' Hérode et celle d'un grand

Rof quoique l'Auteur eût fuivi exactement l'Hiftoire

Voyc{auffi les articles de Marumne.

L'HEROÏNE Com. en un M. par un anonyme. Elle fut repréfentéequatrefois au mois de Sept, 168/ auThéâtre Françaisetn'est pasimprimée.

LeHÉROSTRES-CHRÉTIEN tragédie par Olry de Loriande, donnée en 1669.

Iln'yeutquedeuxversdontl'applicationfutfaite.CesdeuxvctlquçTyrronditi Hindc enparlantdeSalami font

Efclave d'unefemmeindignede rafoi,

Jamais la vériré ne parvint jufju'd toi.lots de la première reptf fentatidn une perfonne du Théâtre ayantdit qu'il y avait trop de hardieiTe dans ces deux vers, M. le Duc d'Aumont,

Pcotcâcur de l'Abbé Nadal, qui entendit ce difeoun réponditque ce n'était pas dans les vers qu'il filloit trouver de la hardiefle mail«as l'application qui venoit d'en eue faite.ato H ES [Pièces.] H EU

HÉSIONE, jime Opé. C'est une Trag de Danchet, mifeen mufique par Campra, repréfentéepour la première foisle x 1 Dec. jyoo , etimprimée en mulique partition in-^°.

Cet Opé. eut un fuccèsextraordinaire, etil a été reprisen1709, I7ZJ et 17+j lesjeux féculairesforment le Prol.

Le sujet du Poëme est l'amour d'Héfoae pour Anchife

Prince Troyen, traverfé par Venuset par Tdamon.

La Paro. d'HÉstoNE en un Ac. en pro. et vaudevilles, par

Domini ue et Romagnefî «fut repréfentéeauThé. Izal.leti O£tob. 172.9.

L'HEURE DU BERGER. Il a paru deux piècesde ce titre:la première est une Pafio. en f Ac.en vers de Chammélé, représentée à l'Hôrel de Bourgogneen Juillet 1671 la fcconde, une Com.en un Ac.en vers de M. BoizarddePontault, donnée auThé.îran. le 1Nov. 17^7 etqui eftlepremier ouvrage de cet Auteur.

HEUREUSE CONST ANCE Tragi-Com. de Rotron, don.née en i«3 1 , et imprimée en 163e.

L'HEUREUSE EPREUVE. Voye^Julie.

Les HEUREUSESAVANTURES, Tragi-Com.en r Ac.en-vers par Le Hayer du Perron, donnéeen 1613.

Les HBUREUSKSFOURBERIES, Com.enf Ac.en pro.par

Riccobonifils donnée une feule fois au Thé. Ital. le17

Sept. 17 j4.C*e(lune traduction d'une ancienne pièceInliennedont le fujer éft tiré de l'Epidicusde Plaute, etRotroul'a traitée fousle nom de*laSdOR.

L'HEUREUX Corn, philofophiqué en pro. eten Àc. par

M. S.>verien imprimée à Paris au mois de Juin 17f 4i etqui Il, pâsiié faite peur êtw^prëfentée. L'idée de cetouvrage sft extrêmement finguliere'j-on peut en voirl'analyfcdansle Mercuredu moisdeSeptemb.17 ;4, etdanst'HEUREUX ACCIDENT, dit la MaisondeCAMPAGNE,

Com, en cinq Actesen vers, par Paflèrat, imprimée en

L'HEUREUX DÉGUISEMENT, o# PHILEMONetApoI'/ut donnée en 1*7 f, etne nouseft parvenue que manuetrite.. «

L'HEUREUX DÉGUISEMENT Op.ComL d'un Acteen

HEU [PiECÇï.y HEU xjt-

Piiijvau, devi!lesdonnéle 17 Fév.17j ;4, parM.deLaGrange.

C'eftuneParod.d'Issu. Ellen'a pasété imprimée.

L'HEUREUXDÉGUISEMENT, Op. Comi. en deux ACtes mêlésd'Ariettes par M. Marcouville, donné le 7 Août 1778.

L'HEUREUX DÉSESPERÉ, Tragi.Çom. Paflo. en 5 Ac.enpro. par C. A. Seigneur de C. donnée en 16 i;.

L'HEUREUX ÉCHANGE, Com. en vers et en cinq Adtes, par un anonyme, donnée au Théâtre Fran. le 11 1 Oftobre1740 et qui n'eue que deux représentations. Elle n'est pasimprimée.

L'HEUREUX ÉVÉNEMENT, en un par

M. de B. représenté fur le Thé. de Douai, au mois de

Décemb. 17 SI, et imprimé dans cette même ville.

L'HEUREUX INFORTUNÉ, Iragid;, par Bernier de. la

Broullè, imprimée en 1^17.

L'HEUREUX NAUFRAGE, Tra^lrConi. de Rotrou, en f

Ac. en vers, repréfencée en 163}. et imprimée in- 40. en1 637. Il y a une Coméd.(pus ce titre en3 Ac. en pro. eten vers, avec DivertilFemens, qui est de Barbier, Avocatà Lyon elle Cetrouve dans Ces CSuvres et fut jouée à

Lyon en Août 171 o avec quelque succès mais elle ne fuspoint goûtée- au. Théâtre Ital. Lorsqu'elle y parut le Juin1710.

L'HEJJREUX RETQHR, .Com, en un Ac. eavers., avecdes

Diverrilfemens donnée an Théâtre Français par M. Panard- etïagan, le 6 Novembre 1744. Voici le fujec de cette pièce, qui eut i 5; repréfèntafions. Ui. Armante bon Bourgeois.,

TCutfignale.r fpnzeleau retouxdu Roi après fa maladiepar, une fête un Qiîicier et un: Avocat font amoureux deft fille; il promet; de la donner à celui. des. deuxqui imaginera-la plus.jolie, fôte* Celle de l'Officier à qm la filledonnela palme, est terminée pat' le' Vaudevillequi finiefait

Quand je voisnoue bon Roi

Celle de l'Avocat-, par celui dont les_dérn.;eres paroles font:

Que te $®aet »cc Cette pièce contj*

HEU 1 -/• [P•isc!•ss.•] 1 HIP ïientdailleursplufïeur»joliestirades, entre autresuneenfaveurdesMédecins qui finieparcesmots

Mais qu'en fait détrompe putfque cet Art enfin

A fervi notre Roi dans fon péril extrême

Il ne rtfte plus de problême,

A jamais on dira. Ç'en un Art tout divin.

La fille de M. Argante fait un choix difté par l'amour dela patrie, et fa détermine en faveur de l'Officier, parceque ne pouvant fuivre le Roi à l'armée, je vcux, dit-elleque la moitié domoi-même

Soitoccupée le fervir.

Lucas, Jardinier, ajoute encore ces quatre jolis vers enfaveur de cette préférence.

Oui vive un Officier ça fait bien plus « d'éclat

C'est plusvif, ' plus léger. Tambour battant il mené.i

Ztpis c'eftqu'ona tantdepeine.

Adevenivreuved'unAvocat, t'HEUREUX STRATAGÈME, Com. de. M. de Marivaur, en Ac. en pro. donnée au Thé. Irai. pour la première foisle 6 Juin 17J3.

HILAS ET ZELIS. Voyt^ les CARACTERESDELAFOUI.

HIPPOLYTE., Outre les tragédie fur le mêmefiijet qui ont étédonnées fous le nom de-PHEDRE, celles fous celui d'Hippolytefont au nombre de cinq. La première, avec deschoeurs, par Robert Garnier, représentée en i r 6 8 etim-.^primée en if7-j. La feconde, par 'de LaPineliere, eni ^jf. La troiiîcme auflî intitulée le Garçon' insensible, ;.par Gilbert- représentée à l'Hôtel de Bourgogne en 1646.ïi, a.quatrieme, .pardeSegrais, donn'éèdans ia jeunêflèen16 ji jc'était une tragédie Ball. qui ne fut point mife enmufïcjuç. La cinquième enfin, par Bidard, représentée à

Lille en 167 y.ÏÎÏ.P. POLYTETARIÇIE ï » Jjmi! Opé. C'est une Tra. dontles vers font de l'Ab, Pellegrin, etla mulî. de M. Rameauielle fut donnée pour" ta première fois le 1 Oftob. 17 H , etremife le ifSept. 1741, avec dés changemens confîde-.«Wçs.C'çft le.preriaierOpéra

HIS [Pièces.'] HOM 13jgravé in-fol. Le Prologue se palle entre Jupiter, Diane etl'Amour.

Nousavonsdeux Paro. de cet Opéra, qui portent le mêmenom, données toutes deux au Thé. Italien la première, -enun Ac. en pro. et vaudevilles du fieur Riccoboni, le3o Nov. 1733 etqui n'est pas imprimée. La féconde, enun Afte envaudevilles, par M.Favart, le nOdlo. 174zellefut très-applaudie, et l'on a prétendu mal-à-proposque M. Parmentier y avoir eu part.

HISTOIRE DE LA DESTRUCTION DE TROYE, lagrant, mifepar Perfonaiges, par Jac. Milet, imprimé à Paris en 1498 in-ç°. avec figures. Il en avait déja paruune fous le même titre, à Lyon en 148;.

L'HISTOIRE DE L'OPERA-COMIQUE, on les Méta-

MORPHOSdEeSLAFoiré, Opé. Comi.en 4 Ac. avec un

Prol. par Le Sage et M. Panard, reprélènté pour la premièrefois le 17 Juin 17 36. Il n'est pasimprimé. Le premier

Acte contient une Parade intitulée, Arlequin ChirurgiendeBarbarieet une Farce fous le titre du Menfongevéritable.Le fecondAfte offre Pierrot valet deMagicienpièceen monolog. etArlequin Orphée, pièce à la muette.

LetroisièmeAfte est formé par ArianeetThefée, pièce enécriteaux.Le quatrieme enfin est rempli par les Ennemis

Rixonciliïs cette derniere pièce est dans le goût des

Op. Comiq. M. Panard en est feull'Auteur, et n'avaitpoint part aux autres Actes.

HISTOIREPASTORALE SUR LA NAISSANCE DE N.

S. J. C.en 3 Ac.en vers, par Saint-André, imprimée ent6H.

LaHOLLANDEMALADE, Com. en un Aéte envers de

R. Poiilpn représentéeen Août 1 671à l'Hôtel de Bourgogne, etallégorique à la guerre que nous avions alorsavecla Hollande.

HOLOPHERNE.Nous avons trois tragédie de ce titre la premièrepar Catherine de Panhenai, Dame de Soubifèrepréfentéeen Publicà la Rochelle en 1 774 la fecondepar Adrien DamboiSè, en ij8os etla troifîeme, par

Dom Denisde Sainte-Marthe en 16(6. Voyezauflî CEL'HOMME-

A- BONNE FORTUNE, Cvm.en cinq Aç.en'tj4 HOM [Pièces.] HOMpr.o. représentée au Théâtre Français le jo Janv. 1686, ou aucommencement du mois de Février. Cette pièce a toujoursparu fous le nom de Baron et se trouve dans le premiervol. de fon Théâtre cependant on la croyoit aufG-bienque la COQUETTE, de Subligny, Auteur de la, Vie d'Henriette

Sylvie de Modère (d'autres difent M. d'Alegre), auquel on difoit que -Baron avait donné cinq cens écuspour la mettre fous (on nom.. Il ne tenoit pas de plus à ce

Comédien qu'on ne le crût l'original de l'Homme à bonnefortune; il est du moins certain qu'on prétend qu'il avaiteu des aventures galantes: dont fa vanité avait lieu d'êtrefatisfaite.

L'ancien Théâtre Ital. avait au£li fa Corn, de l'HoMMEA

BONNEtoRTUNB, en trois Aétes, avec des (cènes italiennes., représentée le lodelany. 1690. Cette pièce est-de

Regnard, qui en fit Lui-mêmela Critique, dans une Com.en un Acte en profe jouée le premier Mars de la mêmeannée.

L'HOMME AFFLIGÉ, ou Extrait DE L'HOMME, Trag.» Latine de Coufin traduite en profeFranfoife par le même

Auteur jouéeet imprimée à Lyon en r f6r.

L'HO.MME DE FORTUNE, f Ac.envers par de

La Chauffée, faite pour Tamufement du Roi, etreprérentéedeux fois au château de Bellevue, au mois de Janvier17f i par les.DamesetSeigneurs de la Cour.Cènepiècen'est pas imprimée.

HOMME DE GUERRE, Comédie en Ac." donnée au Théâtre Français en Décembre 168fi par un auonyme, etqui n'el1 pas imprimée.

L'HOMME INDÉPENDANT c'èft fouace nom qu'on indique une Corn:en f Ac. en vers, par de Boifly qui futjouée fans.titre aaThé.ïran. le Mars 1741 et n'eutpoint de furcès. Ellen'est pas imprimée. ~Voye[La **•

L'HOMME JUSTIFIÉ PAR LA FOH, Tragi*Com.en f Ac.tavers, à avec unProl. 6»une Conclu-pa, r de Barçin en t yî4.

L'HOMME MARIN', Corn, en vers libres et en un Ac. avecuu Div; par MM.d1 A *• P. H* et M* fous lenom de M. Davaux, fiflée au Thé. Ital. le zx Mai 171*

HOM [Pièces, ] HYP ijf

L'HOMME PEÊCHEURpiècedramatiquep, arunanony-xme, donnée en1519etpeuconnue.

L'HOMMSEINGULIERC, ome.nverseten1Ac.deNericaulDtéboucheCse. ttepieceavoiét ;creçueparlesComédienFsranq.uidévoienlat donnepreudetemsaprès;maisl'indifpolitido'nuneAftricena. yantretardéla repréfentatioln'A, uteucrhangeda'avisetlaretira.Elleeftimprimédeanslecinquièmveol.defes<£uv.lesHOMMESC, omB.ali.enunAdtenprofeparM.de

SainFc.oix, donnéaeuThé.Franl.ex7Juin1 Y3.

L'HOPITADLESPOUX, Comd.eCh.Beys, imitéedela;

ComédIt.al.Hofpitaldee'Ptugi.Elleeften Actesenvers"etparuten163ylesHORACEOS.nattribuueneTramd, e. cetitre, impriméeen1y96àPierredeLaudunDaigaliersC.orneillel'aînédonnala fiennàel'Hôtedl eBourgognea, ucommencemednetl'année1*59troisansaprèsle Cmj et

M.Pelillônnousapprendquefurlebruitquicourutqu'onferoiutnec.ritiquete unnouveajuu, gemenfturcetteTragédie, commeon avoitfaitfurleCid, Corneillen'enparutpastouché;Horace, dit-il, futcondamné parle»

Duumvlrms, aisilfiuabfoupsarlePeupleE.llefetrouvedansletomefécondefesOEuvres.

L'HOROSCOPE ACCOMPLCI, omd.eM.Gueulettee, nunAce. npro.avecunDivj.ouéefansfuccèasuTKeI.tal.le6Juillet17*7. LesHUITMARI AMNESParo.enunAc.envers*parM.

Piron, donnéeauThé.Ital.lez7Avril17a}1etnonimpriméefo.ye^MARiAMNE.

L'HUITREETLESPLAIDEURoSu;leTribunaidei.AchicanBOj péra-Coemniu.ri.Ac..dolnestparolefsontde

M.Sedàineet, la mufiqudeeM.Philidord, onnéàlafoireS^Laurenlet 1 Septembt.7f 9 etremisen 1761avecdesaugmentatioLnsef.ujeetnefttirédelafablede

LaFontained, umêmetitre.

HYDASPTEr, ag.parChevreaud, onnéeeni$4f. OnignoreCi, cetpteiecea étéimprimée. HYPERMESNTREL.afableeufansde ayant chacunquante énfans, lepremier étantperedecinquante fils, et'x\6 HYP [Pièces.] HYPl'autre comptantautant de filles Egyptuspropofaà Danaüsdene faire qu'une famillepar le mariage de leursenfans Danaüss'y oppofa parcequel'Oracle lui avaitannoncéqu'il mourroitde la main d'un des fils de foufrère maiss'y trouvantforcépar Egyptus, plus puilfantque lui il ordonnaà resfillesde poignarderleurs marisla premièrenuitde leursnoces.LafeuleHypermneflrreefutantd'obéirà desordresficruels, épargnaLyncic quiaccomplitl'Oracle en donnantla mort a Danaüsmeurtrier, de Cesfrères. Cette fable, outre les Danaïdes, et

Iync^b a fourniencore le fujetde deux Trag.et d'un

Opé.La premièretragédie qui est de Riouperoux futjouéele premierAvril1 704 eteut un grandfuccès;autliétoitceune des meilleurespiecesqui eût été donnéedepuiscellesde Racine.Elle est impriméedansleonzième vol.du ThéatreFrançois.La fecondeparut pour la premièrefois le Jeudi 5 Aoûti7f 8 etfuttrès-bienreçue, M. le

Miereen eftl'Auteur.'Il en parutuneParod.fous le titredesFEMMEFSiLLESet; une lècondefousceluidesEpoux

PAR CHICANE.

L'Opcrad'HvPBRMNESTefRtEle joins lePoëme est deL3

Font>et'lamufiquedeGervais.Il fut repréfentépourlapremierefoisle3 Novem.171e, 8ceftimprimépartitioni/2-40.LeProi.est forméparle Nil, Ifisetdes Egyptiens.

Après la treizièmerepréfentation, on en interrompitlecourspoury faireun cinquièmeAc. parce queceluiquiavait étédonnéd'abordne fut pasgoûté; ce nouvelActefut.donnéanmoisd'Avrilde l'annéefiiivante etfutjouétrès-long-tems.Lorsd'unefecondereprifedecet Opéra, faiteen 17*8 il en parutunePan. aux Ital. fousle titrede laBoNNeFEMMEIl. a étéencoreremisen 1746.

L'HYPOCONDRE, ou. la FEMME Qui NE PARLE point, 6om. en vers et en f Ac. attribuée à Rouflèau et impriméeà Amfierdam en 17 fi dans le tome premier du

Recueil intitulé Porte feuille de 7. B. Roujfeau. Il paraîtpar une lettre qui accompagne cette pièce, que l'idée enest puifée de l'Anglois, et que Rouffeau l'avait dêftinée a.paraître fur le Thé. de Paris, où elle ne fut pas agréée.

L'HYPOCONDRE;ou leMort AMOUREUTXra, gi-Com.it

HYP [Pièces.] HYV 1;7

Rotrou, imprimée en 1631 c'elt une de les premierespièces. Voyc^Androgine.

HYPPOCRATEAMOUREUX, Paflo. Comiquede LeBrun, en Ac. avec un Prol. deftinée à être mire en inufïq.etnon repréfenrée.

HYPPODAMIE, 7otneOpe. C'est une Trag.en Ac. de M.

Roy mife en mufique par Campra, représentée pour lapremière fois le 6 Mars 1708, etimprimée partition i/1-40,

Le Prologue est entre Venus, fa fuite, un Sauvage, et des

Bergers. Le (iijet de la Tragédie est tiré du Dialogue dela Beauté de Lucien. Elle n'a jamais reparu au Théâtre.

HYPSICRATÉE, ou la Magnanimité tragédie tirée de laviede Lùcullus par Plutarque; cette pièce fut reprefentéeau College de Rouen en 1 597 eteft de J.Tîehourr.

L'HYVER, Com.par D'Allainval, en un Ac.en vers libres, avecun DivertilFement, reprefentée fans succès au Thé.

Ital. le 19 Février 1731.

J

LaJ ALOUSED'ELLE-MÊME, Corn, en SAc.en vers, del'Abbéde Boifroberr, donnéeà l'Hôtel de Bourgogneen 1 649 ettiréedeLope^de Vega,

LaJALOUSIEDEBARBOUILLE, Com.de Moliere, enpro.conrervéemanuferiteparquelquesCurieux.C'eftunedefespiecesjouéesen Province on y trouve uncanevasinformedu troifiemeAc.deGeorge DANDIN.

LaJALOUSIEDUGROSRENÉ, petitepiecede Moliere, donnéele i yAv.ifi6î etqui nenouseft pas parvenue.

La JALOUSIEIMPRÉVUE, Com.en un Ac.en profe, de

Fagan donnéepourla premierefoispar lesComéd.Ital.le 1 Juil. 1740 et'très-applaudie. Laconduiteen est ingénieufeSefertileenfituationsplaifantes.

LaJALOUSIESANS AMOUR, ou la RUPTURE BMBARRassantb

Corn, en 3 Ac.en pro; par M. Sablier, jouéeauThé.Ital. le 17 Sept. 1718et retirée à la fecondere.préfentation.Ellen'eil pasimprimée..et;8 JAL 1 PIECES.1 lAt

Le JALOUX. Trois Corn, portent (impfemencce titre runede Baron, en r Ac. en vers, jouée en Décembre 1687avec succès et qui, ne put cependant se foutenir qu'unefeule fois en 17 10, malgré des correetions qu'on y avoirfaites. L'autre par de Beauchamps en Ac. en pro. avecun Prol. autr en pro. et des Div. jouée au Thé. Ital. le i;

Décemb. 1713. La troisième de M.Bret, en r Actesenvers, donnéeau Théâtre Français -le15 Mai 17 s f , qui n'a euque quatre représentations, et qui n'èft pas imprimée.

L'idée de cette derniere est prifedu Roman dé.Zaïde, etil y avait des beautésde détails et des fcenesbien faites.

Le JALOUX CORRIGÉ Opé.bouffon, en un Ac.parodiéfur plufieursariettes de la Scrva Padrona, dont la, mufiq.est de Telethan etde Pergolefe; du Joueur, dont la mufi.est de Pergoiefe, d'Orlandini etde Dolletti etdu Maitrede mufique dont la mufiq.est du même Pergolefe avecun récitatif dans le goût Ital. dont la mufi. ainri quecelledu Divertie et du Vaudev. est de M. Blavet. Les parolesde cet Opéra, qui est compté pour lé iS8me(ôntde M.

Collé. Il fut donné d'abord au château de Berni chez

M. le Comte de Clermônt le 18 8 Novemb1.7y1 etenfuitefur lé Thé.de l'Ope, pour la premierefois le i Mars17f 3 et n'eut que fîxrepréfentations. Il est gravé partitionmr^ Le fieur Manelli etla DlleToneTli Acteursbouffons Italiens chantèrent en François, dans cettepièce, pour la première fois de leur vie. Ces Aâéurs quictoient venus à Parisen-t7 jt jouèrent •facceflîvenîênrfur le Théâtre de l'Opé. plufieursIntermèdes et DivenilT.

Italiens {avoir, la Serva Padrona;\t Joueur; le Maitrede mufiquela Faujfe fuivante la Femmeofgiïeilleufcla

Gouvernanterufée; le Médecinignorant le Chinois la

Bohémienne;les Artifans de qualfté; la Pipée; .Tracollo

Bertholdeà la Cour; etles Voyageurs.Tout le mondefaitquels

Le JALOUX DE RIEN, Op.Coml d'un Ac. donné le i;

Fév. 1.79 par Fuzelier. Il n'est pasimprimé.

Le JALOUX DÉSABUSÉ, Corn, de Campiftroii en r Ac.

JAL [Pièces.] JAR tj9en vers, donnée auTlié. Fran. le-i 3Déc.1709 et longtemsjouée feule etau double. C'est la dernière pièce repréfentéedecet Auteur.

Le JALOUX ENDORMI. Voyt^les Cadenats.

LeJALOUX HONTEUX, de t'être, Com.de Dufrény, enf Ac.en pro. jouée une feule fois le 6 Mars 1708. Lemauvais succès de cette pièce, qu'elle ne meritoie pas, n'empêcha pasl'Auteur de la faire imprimer.

LeJALOUX INVISIBLF Com.en Ac. en vers, par Brecourt, jouéefur leThéatre de fHôtel de Bourgogne, aumois d'Août \666. Elle cft tirée de l'EfpagnoJ et Cetrouve imprimée dans le huitieme volume du Théâtre

Fiançais.

LeJALOUX MASQUÉ, -Cm».en 5 Ac. par un anonyme, repréfentéeau Thé. Fian. le 16 Avril i4?j. Ellen'en pxsimprimée.

LeJALOUX SANS SU ET, Com.de Ch. Beys, donnée eni<5 j , et impriméeen-i 6 37.

LeALOUX TROMPÉ, Com.enun Acen pro. par Dubois, reprélentceà Marfeille en 1714.

LesJALOUX, Com.en un Ac. en pro. avecun Prol. tirée del'Eunuqueetde l'Andrienne, par Pierre de LaRivèy, donnéeen 1578.

JANIN ou la HAUDA, Tragi-Com..Paflo. en y-Ac:et nn

Prologue en vers, par Millet jouées Grenobleen 1Û3S.

Une partie 'de cette pièce est eh François, et l'autre en

Dauphinois.

LeJARDINIER ET SON SEIGNEUR, joli Op. Comi. enunAc. en pro. mêlé de morceaux de tnufique repréfëntcpourla première fois à la 'FoireS. Germainle 1 8 Févrieri?St fie quieu beaucoup de fucecs. Lesparolesen fontde M. Sedaine, etla mufiquede M.Philidor. Le sujet estprisdesfables de La Fontaine.

LesJARDINS D'HEBÉ, Op. Comi. en un Ac. par -M.Panard, représenté le 17Sept. 1 740 etnonlmprimé.

Les JARDINSDE L'HYMEN, ou '1a:RoSE, etjf.Comi. de

M.Pirqn, en un Ac. avec un Prol.-donné 1er Mars 1744.

Cettejolie pièce était çompofée dès 1716, etdevoir, paroîtreà la FoireS. Laurent de cette 'année mais on nevoulutpas en donner-'la fërmiffiqn. Elle fut remife en't40 VAS [Pièces.] JEA'7 J (avec des changemens, par MM. Favarc la Gardeetle Sueur), fous le titre des Fêtes DE l'Hymen Se on l'arevue Couvent depuis avec beaucoup deplaifîr.

JASON, ou la TOISOND'OR, }7me Ope. C'est une Tra.dont les paroles font de Roufleau et la mufi. deColaflêelle fut représentée pour la première fois le 17 Janvier1696 n'est point imprimée en mufiq. et' n'a jamais étéreprife. Le Proi. est entre Pan, etla Paix. La Fable de laconquête de la Toifond'Or, sujet dela pièce, en:fuffifammentconnue.

JAVOTTE, Paro. en un Acte de la tragédie de MsnopE, par

M. LeValois représentée par les Marionettes de Bienfait, à la Foire S. Germain 1743 et non imprimée.

IBRAHIM. Vioyc{I'Illustre BASSA.

IDALIE, Tra. en 5 Ac. en pro. par Fontenelle, impriméeen.17y1 elle se trouve dans le feptieme vol. de fes OEuvres.

IDYLLE. VoyerYdulb.

IDOMENÉE. Cette hiftoire Troyenne a fourni le fujetd'une

T/yst.et d'un Opéra. La Tragédie est de Crebillon et fatreprésentée pour la première, fois le 19 Déc. 170;. C'estron premier ouvrage dramatique, et il fut joué treizefoist de fuite. Comme le cinquième Afte n'avait pas été trouvébien, l'Auteur en refit un nouveauqui fut compofé, apprisetjoué en cinq jours

L'OpErad'IooMEim est le ytfme.Le Poëmeeft de Danchet, et la mufi. de Campra: il fut représenté pour la premièrefois le xi Janvier 171 1, eteft imprimé en mufi. partitioni/1-40.On l'a repris en 17 i. Le Prol. est formé parVeüus, qui vient prier Eole de foulever les flots, pour écarterla Boted'Idomtncedesrives de Crète.

JEANNE D'ARC, Pucellb d'Orljîans Tra. en f Ac, envers, par unanonyme, imprimée en 161 Voyt{aufl! Po-

CELLEd'Origans.

JEA.NNE, Rbinb D'ANCtBTKRRB Tra. par La Calprenede, donnée en 1637. Nous avons une autre tragédie de Je annbc d'Angleterrb traduite de l'Anglois par M. de LaPlace, représentée une feule fois le 8 Mai 174! et qui n'elt puimprimée. '<

JEANNE, REINEDaNaplbs., Tra. par Magnon, représentéeen1 6 / 4, etimprimée en 1 6j6.

JE [Pièces.] JES 14.it

Q

LeTNEESÇAQIUOCIo, emnu.nAce.nvelrisbrepsa, t B10Soiefrpl1eytp7.1r5cafvpèeunocngtulcarrpearnfeudmcfciLoeèriesasea.suTirdhsuDIéc.ialvlee. rt. dei:etptieeécteoiedneMcouLrepeto. rtdraeliatD"Seilvmiaeg, nrcaevpdméaepCrsesrnaedtrms'aiépedLrrièeatssinodcneCcrseetertt, CoteuoavmucNeo.omu-s aevfltoefunindxsiifedcmoefdesu\irefsJeeonqueJurçaisauqituroepCifaopeGrirsoonmo, qbnuaçuïalident JEtoPuHltIeelTfsseÉm.aàiln'AescadFérmanieçoife. dulatdinyeBacuicnThqaredannv.eacenetFri, strraeLn.apçproaeFirmsl, oitèrreraend, tuite.tineénve, iemrifsp8rj?ieetmnq1éu*nei6'Le7pffa.taeiscmopndrdeiFmeLr, P.éatereor.ridifnioe, nrh- e deteChrédtieeCsnrooixud, eBriniomnpriemn1é16ey., pqarueTifeetmnfeeppnA1lce6fyt7eLet6lsqaa}.cuinatqruiedidemeVeml'eAee, n, bpBebulo, ébyleiére, rAeEperlénevfsaeervnaseftr, uécedecceccsèh1soe6$en1ucet:refstud, tcteeormneipefporleo-etfnruéloeersis Dvoedlm.uTohdiéfeâFSetlC.rrlaeeynserflolfieestr.oudvaenlesquatrième Jidpohlnta1mté1, u4eOf1fid.1tpeeCéM.'eoufntntTeeecrlaldlaf.eeuilr'rtAepbPrbéeéflpeleongutérrien. lvapulerSemacfioreéilrseei8'Fé1v7.5L1'.onn'avpoaietsncore qu'nit'ryeppaarroopîilfttuurrLscaer.eeTPhroéelaf.flteto:reri'lm, ypaaéaArpppoarlleonnc'e, LIo'odrlelsyaqmuTanetirreipdefemifsceVehproeetnpreteurlidasfVeecéseOrtitpéfé.a.itenst1e7uc3r1hs37a, 3n14g7»èpÎrlJ1eun7fit3e(»7cu»èr7nsd}1ea18snt7esc4et1i0n7q.4ujAe4iès»cAmt, uer Cine-Ttftoerlaigoé.edfgtieraveénme ufipqauretitgioénnérale

IEROSME ET FANCHONNETTE Pafio. de la Grenouillereen un Afte en vaudevilles par Vadé donnée à l'Op,

Comiq. pour la première fois le 1 8 Février r 7; r et qui aeu beaucoup de succès. C'est une Parodie de l'Opéra Lan^-guedocien de Daphnis et Alcimadore et elle est toutedans le ftyle poiflafd.. • •ÏESUS NAISSANT, ABORiPARlks Bergers Pafto. parl'Abbé Bonvalet des Broffes, mife en mufiq. par l'Abbé

M» JEU [Pièces.] JEU

Marier. reprélêntéeàParis parlesDUcsdel'EnfantJefui, en J744, etimpriméein- 40.chezThibouft.

Le JEU DE L'AMOURETDU HAZARD Corn, en Ac.en pro.par M.deMarivaux reçuefavorablementauThé.

Ital. le 23 Janv. 1730.

Le JEU DUPRINCEDESSOTSETMERESOTTE, Com.par P. Gringoire en i j-11

La JEUNEGRECQUE, Com.en Ac. en vers libres, par

M. l'Abbéde V donnée pourla premièrefoisauThe.

Ital. le 16Dec. 17f6, etqui a eu du succès.On laremitle Juillet 1761 etelle ne furimpriméequ'alors.

LeJEUNE HOMME, Com.enun Ac.parun anonyme:elleeut deuxrepréfentationsauThéâtre FrançaisenOâob. i 694etn'est pas imprimée..

Le JEUNEHOMMEA L'ÉPREUVE, Corn, en pro.etencinqAftes, parNericault De1;louchese:lle parut parlavoiede l'impreflïpndansle moisde Janv.17j 1 etn'apasété jouée.

LeJEUNE VIEILLARD, Corn, de LeSageetD'Orneval, en Ac. en pro. avecdesDivert.repréfentéele z Juillet1711 à l'ouvertureduThéâtredesComéd. Ical. à laFoire

S. Laurent. Cette pièce, qui se trouve imprimée danslecinquiemevolumeduThéatrede la Foire, est tiréedes

Contes Perpfns.

Les JEUNES MARIÉS, Op..Comi. d'un Ac. donné le premier

Juil. 17.40 Sj^emis le 3 9 Juil. 1743 avec deschangemens:jl est de M. Favarc, et a reparu plufieurs foisdepuis,

JE VOUS PRENPS SANS y ERD Corn, en.un Ac. en vers, ornée de.chantset.de.danfes:£lleoutiui.grand fuccesdansfa nouveauté, le premier Mai 1693 , et fut donnée fousle.nom de ÇhammiS.lé .quoiqu'elle foit véritablementdë La Fontaine, vdaijs les .OEuvres duquel eile est aulliun Ac. dont les versipnt du Çomte.de. Swneterje , .et la rnuli, de M. Blavet.Iltut représenté au château de Berni , "pour la Fête de Monfeigneurle Comte deClerxuont les 24et 2 j Août 17;!)

JEU [Pièces.] ILL x+j

Qüles JEUX OLYMPIQUES, ou le Prince malade Corn, héroïque ci, Ac. en vers, de La Grange-Chancel. C'estle fiijet û'Antiochuset de Stratonicb, que l'Auteur amis tousd'autres noms, pour y pouvoir introduire lesJeux

Olympiques, qui forment le principal Divertilièment dela pièce, laquelle fut représentée pour la première fois au

Thé. Ital. le x Novem. 17x9 et relevée par de bellesdécorations.

IL ÉTOIT TEMS Parod. de l'Aâe d'Ixion, du Ballet des

Elemens donnée pour l'ouverture de l'Op. Comi. à la

Foire S. Laurent, le 18 luin 17*4, par Vadé, elle esttoute en vaudevilles.

L'ILIADE, Tragi-Com.en 3 Ac. par Saint-Didier, impriméeen1716 , .i.Roiterdam, à la fin du Voyage du Parnaffe.

C'est une critique contre l'Iliade de La Motte, etelle est compoféede pluneurs fragmens tant de cet ouvrageque des Poèmes de la Pucelle et de Clovis, et des

tragédie de Racine.

L'ILLUMINATIONCorn, en un Ac.en pro. attribuée à M.

Martel, donnée au Thé. Ital. le 17 Septem. 1744, avecles FÊTESSINCERES, et la NocE DEVillage. Elle n'estpas imprimée.

L'ILLUSION Corn, en f Ac. en vers, par Pierre Corneille, donnéeà l'H ôtel de Bourgogne en 163 6. Après l'effortque Corneille avait fait dans fa Meoïb il retourna à fonpremier génie pour la Com. irréel iere etlibre. Il avouélui-même, dans l'examen de cette pièce. que c'est unegalanterieextravagante, qui ne vaut pas la peine d'êtreconfidéreecependant la nouveautéen rendit le fuccèsfâvorable.

On la trouve dans lé fecond vol. de fesOEuv.

L'ILLUSIONO, p. Comi.d'un Ac. donné le 19Juil. 17 jtf , parl'Affichwetd M. Vàlbis.

L'ILLUSIONGROTESQUE ou le Feint Nécromancien,

Cum.env Ac.en vers, par Néel représentée ou du moinsimprimée en 1678;

L'ILLUSTRE AVANTURÏER. Toy^le Pr-ince travesti.

L'ILLUSTREBASSA, ou IBRAHIM tragédie par S^uderyrepréfentéeen 164* et imprimée-en Ù4} in- 40. Elleeut-beaucoupde ihecès, et c'fcft la conduCon du Romande ce nom.144 IMP

L'ILLUSTRE COMÉDIENNE, Comi.d'un Ac. en vandevilles, représenté le 4 Août 1737 il est de M. Valois, et n'a pas été imprimé.

L'ILLUSTRE CORSAIRE, Tragi-Corn, en vers, par Mairet, donnée en r6;7.

Les ILLUSTRES ENNEMIS, Ac. envers, de

Thomas Corneille représentée à l'Hôtel de Bourgogne en16 f 4, et imprimée dans le tome fecond de fes QEuv.C'estune intrigue Efpagnole.

L'IMAGINATION, Com. en un Ac. en profe, mêlée dechants et de danfes par M. Du Vaure donnée au Thé,

Ital. le 11 OiSob. 17 f 6, et qui fut mal accueillie. Elle n'estpoint imprimée.

L'IMPATIENCE, Ball. deBenfèrade, divifé en deux parties, et danfé par, Louis XIV. en \66i.

L'IMPATIENT Com. par Boily en r Ac. en vers, avec un

Prol. représentée avec un médiocre succès au Thé. Pran.iet.6 Janvier 1714. Les mêmes Comédiens reçurent enÏ7JT4 une pièce de M. Poinfinec en un Ac. en vers, .intitulcel'IMPATIENT. et la donnèrent le Juillet 17f 7 maiselle n'eut que cette représentation, et n'est pas-imprimée.

Il y a autli une Com. Ital. du même titre qui fut reprcfèntéeenNov;1717.:L'IMPERTINENT. Voyt^ le Bulet Ardu..L'IMPERTINENT MALGRÉ LUI, Com. en f Ac. en vers;de Boifly donnée au Théâtre Français le 14 Mai 1719 retiréepar l'Auteur après la première représentation, pour y fairedes corrections etremifèle ;o du même mois.-L'IMPORTANT Com. de l'Abbé Brners en Ac en pro.représentée au Thé. Frari. le 16 Décemb. 1693 avec unsuccès aflez. favorable.•'•

Les-IMPORTUNS, iom. par Malczièù , jouée au château Je

Sceaux pendant le Carnaval de l'année 1 y 66.

L'IMPROMPTU Op. Comi. ou Prolog. d'un Ac. en fcenes.î-cpùodiques- par M. Panard, donné à la Foire le 51Sept.7. 17ÎÏYet non imprimé.st'IMPROMPTU DE CAMPAGNE, Com. de PoifTon fibtr-: en un Aâe-en vers, donnée au Thcati'e Fran. le 11 De', cembre 1733.

IMP [fiBCES.) IMP i+f*

Q"i

L'IMPROMPDTUEGARNISONCom.eunnAcenpro.repréfentléeet.6Juillet\6^x.Cettepiècefutenvoyédee

NamuaruxComcdF.ranm. aiscommellen'étoipcasenétatdeparoîtreauThéatreDancoulrat rerouchaetlarendit tellequ'elleeft imprimée dansle tomefecondelèsOEuvres.

L'IMPROMPTU DE LAFOLIE Com.de Le Grand, jouéeauThéâtre Français le f Nov. 17ij et imprimée dans le quatrièmevol. de les OEuv. C'est un ambigu comique compoféd'un

Prof. et de deuxCom. d'un Ac. en pro. l'une intituléeles NouvEAux Débarqués etl'autre, la FRANÇOISE

ITALIENNE. Dans celle-ci la fille de Le Grand jouafousl'habit d'Arlequin etcopia avec beaucoupd'art Thomajfin.

Armand y joua le rôle de Pantalon, Seimita fi parfaitementleton etle gefle dece Comédien Italien d'alors, qu'il était difficilede faire la différencede l'original etdela copie. Cette pièce fut entremêlée de trois Divertiedont le premier éteit la Revue du Régimentde la Calotte.faitepar la Folie. Les airs étoient de Quinault, etle Bail.de Dangeville.

L'IMPROMPTUDE L'AMOUR Com.en un Ac.en pro.par M.de Moifly donnéeau Théâtre -Irai, le 13 Novembre

I7J9-

L'IMPROMPTUDE L'HOTEL DE CONDÉ, Com.en un

Ac.en vers, de Montfleury, donnée en Janv. 1664.Ce-.toit une réponfe à la critique que Moliere avait faite des

Comédiensde l'Hôtel de Bourgogne, dans fon Impromptu

DEVersailles. Beauchatcau et de ViUiersy jouoiencdesrôles fousleurs noms propres.

L'IMPROMPTUDE LIYRY Com.Ball.en unAc.envers, deDancourt, représentée le rn Août 170 j, devant Monièigneurau château de Livry. La Comédie n'est pas impriméemais feulement le iujet. Les Afteurs'du Divert.étoient Guerin Poijfon pere, Sallé, Lavoy Ponteuil, .

DuBoccage Fomprè, et Poiffon fils lesAârkes étoient, lesDemoifellesDancourt >Desbroffe;s Godefroy+Fompri

Sallé, etMimi Dancourt. tatoiuiîque fuz faite par• Gilliers..l'IMPROMPTU DE NAMUR Com.en uri Ac.en pro. par un anonyme. Cette pièce'aetoit allégorique à la prifêde•*4< IMP [Pièces.) IMP

Namur, et fut représentée dans le tamp des Ennemis en1696.

L'IMPROMPTUDENISMES, Pa/Zo.en un A<3e, jouéecliei M. le Marquisde Maillebois, le 9 Décemb.1714:les parolesfontde Mandajors, la mufiquede Mallet.Ellefut impriméein-4°.au(Iia Nifinesla même année.

L'IMPROMPTUDEPOLICHINELLE, pièceenunAc.envaudevilles, par M.le Valois, repréfentéepar les MarionettesdeBienfait, à la FoireS. Laurent173r.

L'IMPROMPTUDESACTEURS, Com.en un Ac. enverslibres avecun Div. donnéeauThé.ttal. le z6 Av.174;par MM.Panard.8:Scicotti.Cettepiecefur bienreçue, etest rempliede'morceauxbrillans.

L'IMPROMPTUDESHARAtiGERES, Op. Comi.en un

Acte, par M.Fado de Hautemer repréfentéà la Foire

S. Laurentle y Septemb.17y4 au sujet de la naiflancedûDucdeBerry.

L'IMPROMPTUDESURÊNE, Com.Ball. de Dancourt, • compofeed'un'Prof.eh vers;etd'un Ac:9i pro. avecun

Div. Ellefut jouéeau villagede Surcnele ti Mai • 171; dansuneFêtedonnéepar f fledleurdeBavière etenfuit!!aiParis, furlè'Théâtréde la Com.Frah.le-24 du mêmemois.On la trouvedansle tomehuitiemedésOEuvresdei 'Dancourt.

L'IMPROMPTUDETHALIE , oula LUNETTE DEVÉRITÉ, Çdtn.en un*Acteenverslibres, parM.Sedàinè, impriméeen 17f z à la fin d'un Recueildefespiècesfugitives.

L'IMPROMPTUDEVERSAILLES, Com.én un Acteenpro. par Moliere, .repréfentéeà VéffaïllësrfévaritleRoileÏ4Oftôbre\66\ età Paris lé 4 I^pvèrnb're'dléamêmearin'éé.Lés Aâèiifsetles Actricesde cetImpromptuTousleurs propresnoms', éto'ient Mo/w* y Bfecàùrt LaGrane;

Dit Cràîfy Là Thorillière Béjàr't Selès Dl'«Du

Parc > Molière, BêjartjDe Brie, Dit Croifyi etHavi.

Cette piècecjviiS trouvedansletome fèptiémedes(Euv.de Molière, n'est prefqûéqu'uneconverfationfâtyrique, -:d•ans laquelleMolièreCedonnecarrièrecontrelesComédiensdel'Hôtel de BourgogneetBourfàult qui avoirfaitcontre luila Cornéedis" Portrait DUPeintre. Foyt{Il

IMP [Pièces.] INC 147-

Qliii'IMPROMPTU DU COEUR Op. Cotni.en un Acte par

Vadé donné pour le première fois à la Foire S. Germainle 8Février 1757 au sujet de la convalefcencede Sa

Majeflé.

L'IMPROMPTUDU JOUR DEL'AN, Op. de M.

Taconet, représenté par les Comédiens de Verfailles lepremier Janvier 1761.

L'IMPROMPTUDU PONT-NEUF, Op. CWii.d'un Acte, donné le 9 Septemb. 1719 au sujet de la naiflaricède

Monfeigneur le Dauphin, par M. Panard la premièrereprésentations'en lit gratis.

LesIMPROMPTUS DE L'AMOUR, Corn, en vers et en un

Ac.de Guyot de Merville donnée pour la première foisauThé. Ical. le lév. 1737.

L'IMPUISSANCE, Tragi-Com.en f Ac. envers, pàr Veronneau, imprimée à Paris en 166 34}in-i".

L'INCESTESUPPOSÉ Tragi-Corn, par LaCaze imprimée¡n-4-°. à Paris en 16j 9.

Les INCOMMODITÉSDE LAGRANDEUR, Dramehéroique, du P. Du Cerceau, en cinq Afles en vers, repi7éfentele8 Mai1711 dans le Collège des Jcfuites à Paris, par les petits Penfionnaires. Ces jeunes Afteurs, dunombredefquelsétoient M. le Ducde laTremoillë M. de

Mortemart et M-.de Charofï repréfchtdrent deux joursaprès cette même pièce devant le Roi fur unthéâtredreflé dans la Galerie des Ambailàdéurs au Palais des

Thuilleries.

L'INCONNU Corn, héroïqueen cinq Actesen vers, avecun Prol. etDiv. mêlée de dàhféset de muiîque par Tho--.masCorneilleetde Vite elle fut jouée pour la premièrefoisle, k7 Novemb. i ^7j fur le Théltfe, deGuénégaud, oùelle eut un grand nombre de représentations dont yconfixutivfesfurent au doublé. Les Fêtes galantes qu'ungrand Prince donnoit.àM«ne.la Comteffe de. four-> .nirent l'i'déede cette pièce. Cornçille trouva ces fêtes fi in1*génièjifementimaginées, qu'en y mêlant une intrigue, ilen compofa cette Corn, avec fon àfTb'cié.Dancourt fit en1703.un nouveau Prolo. et de nouveaux Div. pour cettepièce qui fut alors remife au Théâtre etGilliersen compofalamusqué. Aumois de ïév. i^t+j elle fut repré*48 INC. [Pièces.] IND

Tentéeau Palais des Thuilleries., avecun Ballet pour Intermede, dans lequel le Roi et les jeunes Seigneurs de fi

Cour danferent. Elle fut encore-représentée à la Cour, avectous fes agrémens, en 17 18, et Ce trouve dans le tomecinquieme des GEuv.de Thomas Corneille.

L'INCONNUE, vuI'EspRiTFOLLET, Com.encinq Ac.envers, donnéepar l'AbbéBoifrobert, en 1646 etimpriméeen itfff. Cettepièce, demêmequecelledesENGAgemensDuHAZARDd, eThomasCorneille, étoittiréedu

Caidcron PoëteEfpagnol.Cotte reflemblanccd'intriguesfaiîôit appréhenderà Corneillequ'on ne le foupçonnâtd'avoirportéenvieàla gloire de Boifrobert: pour s'endifculper il nousa/fureque, quoiquefa piecen'aitparuqu'aprèscelledeBoifrobert, cependantil l'avoitcomposebienauparavanc;etqu'uneforte raifonl'avoitobligéà luifaire garder quelquetemsle cabinet.

L'INCONSTANCED'HILAS, Pafto.en yAc.envers, par

Maréchal, donnée en 1650. Cette pièce est tirée del'Aflrée.

L'INCONSTANCE PUNIE. Deux Com. portent ce titre, l'une par de La Croix, donriée en 1 6 3 o ou 1 6 4 1 etPautreen un Ac. en vers, de Dorimond représentée par la-Troupe de Mademoifelle, en \C6i.

L'INCONSTANT, ou les TROis Épreuves Com.de l'Abbé, Pellegrin, en Ac. en vers, jouée au Théâtre liai. le jo

LJuillet 1717. Elle n'eu-point imprimée; on peut en voirl'argument dans le premier volume du Nouveau Théâtre

L'INCONSTANT RAMENÉ, Corn, en trois Actes en pro.donnée au Théâtre Ital. par M* le 14 Janvier 1747 etretirée après cette première représentation. Elle n'est pasimprimée.

L'INCONSTANT VAINCU Pafto.toute en charifons parun anonyme, imprimée en 1661.

L'INDECIS r Corn, en' Ao, en vers, par M. Dufaut, donneau Théâtre Français le t Août 17/9 et que le Parterre ne laiflàpresque pas achever. Elle n'est pas imprimée.

INDEGONDE, Tra. par Montauban, donnée en i<;joai£j4. C'est le même fujetqu'HERMÉNÏGiiDB.

L'ÏNDÉPE^DANT. Voye^ le SAGEEioorw.

IND [Pièces.] IND 145»les INDESCHANTANTES, Paro. des Indes GALANTES, par Romagneliet le lieur Riccoboni, donnéeau Thé. Irai, le 17 Septemb. 17}s- Elle est en deux A

LesINDES DANSANTES, Paro. du même Opé. par M.

Favart donnée le 16 uillet 17j 1 au Thé. Ital. Elle esten trois Aftes aafli en vaudevilles.les INDES GALANTES, ww Opé. C'est un Ball. héroïque, compoCéde trois Entréeset d'un Prol. dont les versfont de Fuzelier, et la mufique de M. Rameau.. Il fut roprefentépour la premieresfois le 13 Août 173j et estgravé in-4°. La troisième entrée ayant une intrigue tropcompliquée, fut changée; etles Auteursy en ajoutèrenten 1736 une quatrieme, fousle titre des Sauvages. Le

Prologue se palle entre Hebé Bellone et leurs fuivans.

La première entrée est intitulée le Turc généreux la Ceconde, les Incas du Pérou; et la troisième; les Fleurs, fête Perfane. Cet Opéra a déja été repris cinq fois deuxen 173e, etenfuite en 1743 17*1 et 17. Outre les

Indes chantantes les 'INDESDANSANTEetS, la GRENOUILLERE

GALANTEil en a paru quatre Parodiés. Voyt^le BONTURC, les AMOURSDESINDES, le Déguisement

POSTICHE, et 1' AmbiguDu tA Eolie j Opéra- Comiques;

L'INDIENNE AMOUREUSE; ou I'Heureux Nauîkage

Tragi-Com. en 5 Ac. en vers par Du Rocher donnée etimpriméeà Paris en 16 31 Elle est tirée de YÂrioJle.

L'INDIFFERENCE, Prolog.par.Le Sage, Fuzelier etD'Orneval, représenté à l'Op. Comi. le f Septembre 1730, etqui çft' imprimédans le tome huitième du Théâtre de

L'INDISCRET Com.en un Ac.en vers, par M. de Voltaire, repréftntéeavec peu de succès au Théâtre Français le 88 Aoûc^«•f. PÔy^auffil'AMANTINDISCRET.

L'INDQLENTE Com. en:vers libres et en trois Aftes, par

M. de.La Bedoyere donnée au Théâtre liai, le zo Février

L INDUSTRIE, efpece d'Op. Comi.et de Bail. Pantomime, en un Ac. représenté dans le mois d'Avril 1737. 11 est dezro INE [Pièces.] INN

M. Panard et Carolet, et n'a pat été imprime. Le Sage,

Fuzelier et D'Orneval avoient déjadonné à la Foire, le 11

Juin 1750, un Prol. fousce titre.

L'INÉGAL, Com.en un Ac.en pro. de M. Croquet, impriméedans fes Saturnales Françoifes en 17} 6.

INÈS DE CASTRO. Ce sujet, tiré de fHiftoire de Portugal, a été mis en Tra. par La Motte fa piècefut repréfentéele6 Avril 1713 et eut un fuccèsextraordinaire qui s'estfoutenu dans les différentes reprifes qui en ont été faites.

Cette tragédie donna lieu à une iufinité d'écrits pour ou contre, dont .on peut voir une efpece de catalogue dansle

Mercure du mois d'Octob. 1713.

Le Grand et Dominique donnèrent une excellenteParo. decette pièce, fous le titre d'AGNÉSDECHAILLOT: elle furreprésentée fur le Thé. des Itah à la Foire, le 14Juillet1713 eteft enun Ac.en vers.

INÈS ET MARIAMNE AUX CHAMPS ETIZÉES, efpeced'Op. Comi.Parodie, en un Ac. par Carolet, reprclènrcpar les Marionettes de Bienfait, à la Foire Saint Laurentr7z4, et non imprimé.

L'INFANTE SALICOQUE ou le HÉROSde Roman Coin.en un Ac.attribuée à Brécourt et représentée fur leThé.de l'Hôtel de Bourgogne au mois d'Août 1667. Elle n'est..pu imprimée.

L'INFIDELE CONFIDENTE, Tragi:-Com. en Ac. envers, de Pjçho.u, donnée avec un grand fuccèsen iïjo. Elleefttirée de l'Efpaqnbl.

Les INFIDELES FIDELES, Tragt-Com.Paflo. ou Fableboccagere, en S Ac. en vers:, .parle Pafteur Catianche, ouF.

Q.D..B; donnée en 1603.

L'INGRAT, Com.de Nericault Deftouchés, en Ac. envers, représentée le 18 Janv. 17« r avec succès, quoiquele caractère enparût bien odieux.

L'INJUSTICE PUNIE, tragédie par Du Theil, donnéeeni

L'INNOCENCE DÉCOUVERTE Tragi-Com.en cinqAc.en vers:, fans diftinftibn de.fcenes. Cette pièce, fingulierepar le sujet, est de Jean Auvrayelle fut donnéeen

INN [Pièces.) INT ifiles INNOCENS Trag.de Maiguéritede Valois, Reinede

Navarre.On n'enconnoî: que le titre.

LesINNOCENSCOUPABLES, Com.encinq Ac.envers, parBroll'el'aine donnéea l'HôteldeBourgogneen «6+j

Le(ujetde cettepieceeft tiré de l'Efpagnol, et le trouveencoreemployédanslesAPPARENCtrEoSmpeuses, etdans

CFSARURSIN.

L'INNOCENTE INFIDÉLITÉ, Tragi-Com. de 1. Rotrou, en f Ac. en vers, imprimée en i6jy et qui avait été'ouée deux ans auparavant.

L'INNOCENTESUPERCHERIE, Coin;en 3 Ac.enpro.mêléed'Ariettes, donnéeau Thé.Ital. lé 16 Fév. 1760jetqui n'eut qu'une foiblereuffite.Elleeft de M.Laval.

L'INNOCENTEXILÉ, Tragi-Com.cnr Ac.envers, 4 impriméefous lé-nomde Prouvais en i 646 on fatcribuecependantà Chevreau.

L'INNOCENT MALHEUREUX.Voyc^la MORT Dit

CRISPE,

INO, Tra. par Vigneau, et dont on ne connoit que lé titre.

INO ET MELICERTE. La Tra. d'Ino fut une de celles quifirent remporter des prix à Euripide il ne nous en reftecependant pas le moindre fragment, et l'on en ignoreroitmême le sujet, fi Bypn, affranchi d'Augufte ri'avait prisfoin de nous le conferver dans fa quatrième Fable. Gel!:d'après lui que La Grange-Chancel a mis ce sujet en Trag.qui fut représentée pour la première fois le 1 Mars 1 7 1 }avec succès, et qui a été rep'rife en 1719 et en 1741. Onla trouve dans le tome fecond de les OEuvres.

L'INQUIET: Voyer les Caractères r-è Thaiib.

L'INSTABILITÉ DES FÉLICITÉS AMOUREUSES, ou.la Tragi-Paflo. de Philamas par Blanbèaufault, représentéeen 160;. On*a aufli annoncé cette pièce fous le titredeI'Instabiiitb DESCHOSESHUMAINES, et on est incertainfi elle, a été imprimée. L'INSTINCTET-LrtNATURE ou la Réconciliation

DE¡sENSP', rolog.donnéà l'Op.Comiq.le 18Juil, 1731, etquin'à pointété imprimé. Il contient une critique d«

Ball.desSENS¿.l;edu Procès DESsfns. L'Auteurn'eneftpasconnu.

L'INTÉRESSÉ, ouLARapinibrb Corn, de JacquesRobbç, xst INT [Pièces.] INTfous le nom tuppofé de Barquebois représentée le 4 Décembre1Si elle est en cinq Aftes en vers, et a de forrbeaux endroits mais auffi elle en a de bien foibles, etcontient un jeu plus propre pour le Théâtre ltal. que pourcelui des François.Certaines gens qui se crurent intérellcsdans cette pièce, employèrent ce qu'ils pouvoient avoirde crédit pour la faire défendre, ou du moins pour en empêcherla rcullîte} mais malgré leur cabale, l'on a vu peude Com. de cette efpece, qui aient attiré une plus grandeafHueuced'auditeurs. On en a retranché plufieursvers, quicependant Cetrouvent dans quelques éditions.

Les INTERETS DE VILLAGE, Op. Comi.en unAfle, donné le 1 J uillet173z Il n'a pas été imprimé, etl'Auteurengarda l'anonyme.

L'INTRIGUE, Op. Comi.d'un Ac. représenté pour la premièrefois le 10 Sept. 174.1.Il est deM. Panard, etnefutpas imprimé.

L'INTRIGUE DES CARÔSSESA CINQSOLS, Com.en.3Ac.en vers, par Chevalier, en 16j-3 LesCarotfêsà cinqfols par place furent établis à Paris en 1 6 ;o et durèrentjusqu'en ifij7 que commença l'ctablillement des Caroflèsloués par heure.

L'INTRIGUE DES CONCERTS, Com.en un Ac. en vers, avec -un Div.parMmeSaintonge, jouée et *iprimce à

Dijon en 1714.

L'INTRIGUE DES FILOUX, Com.en cinq Ac. envers, parl;Etoile;donnée en , '16+7' On a unelettre de M. Bnllef*dens, de l'Académie ïrançoife, fur cette Com. Il y â aulfiune Hifioirt des Filoux>entrois vol. i/1-12.

L'INTRIGUE INUTILE, Op. Comi.en un, Ac. par Carolet, donne le zo Sept. 1736. Il n'est pas imprimé.

Les INTRIGUES'AMOUREUSES, Com.en Ac. envers, pat Gilberc représentée à l'Hôrel de Bourgogneen r 666, et imprimée à Amflerdam en 1667. C'est à peu près le..même fuje: d'AIMERSANSsavoir, qoi etde la Beiu

Les INTRIGUESDE LALOTERIE > Com.enAc. envers, :'par, de, Vi(é, donnée fur le Thé.du Marais en 1*70 elleest imprimée dans le neuvieme vol. du Théâtre François.

Leç INTRIGUES DE-LA VIEILLE TOU^DE ROUEN,

JOC [ PlECES.] JOS irj

Cem. de Duperche, donnée en 1*40. Elle efc forerare.

JOCONDE, Com.de Fagan en un Ac. en pro. etfort bienécrite, donnée au Théâtre Français le Die. 1740. Elle est tiréed'un Contede La Fontaine.

JODELET ASTROLOGUE, Com.de Douville; en Adlcien vers, donnée en 1646 fur le Théâtre de l'Hôtel de

Bourgogne.

JODELET DUELISTE, Com.en cinq Ac.en vers de Scar.ron, donnéeà L'Hôtelde Bourgogne en \6 4? tous le ticrédesTROISDorothe'es. Elle ne fut imprimée fous celui-ciqu'en \6 ji.

JODELET oule Maître VAUT, Com.de Scarron, en j- Ac.en vers repréfentéeen 164?. Le sujet en est tiré d'unepieceEspagnoleintitulée, Dom Juan Alvaredo.ÎODELETPRINCE. Voyt{ leGEOLIERDEsoi-même, ÏONATHAS. Ce sujet, tiré de l'Ecricure-fainte, a été traitédans deux tragédie La première, en 3 Ac.avec des choeurs, fut compoféepar Duché, pour être représentée à la Couretà Sainc-Cyr Madame de Bourgogne s'y fit admiréedansun rôle qu'elle voulut bien y repréfenter. Cette piècefut imprimée à Paris en t7oo et enfuite donnée fans leschoeursau Théâtre Français avec peu de Cuccès, le 16Fcv. 1714:ellea été imprimée dans le quatrieme volume du Théâtre

François. La féconde tragédie de Jonathas est du P. Brumoy, etfe trouveimprimée dans le quatrièmevolume defts.OEuv.elle a pour fécond titre le TRIOMPHEde l'ami-

Tri, eteft allai en trois Adtes.ÎOSAPHAT Roi de Joda. Ce sujet a été traité à ce quel'on prétend, dans deux tragédie en 1646 l'une par Magnonte l'autre, par D. L.T. On dit que la pièce de

Magnonétoit- allégorique au Duc d'Epernonjàqui elleen:dédiée, -i"

JOSEPH Tra. (àinte de l'Ab. Geneft. Elle fut représentéecinqfoisen 170S au château de Clagny près Verfailles.

Mmel^Duchelfedu Maine y repréfehta lerôlefemrha àe'Jofeph, qui est.lé (êul rôle de femme qui foïclezieulepere, repréfentoit Juda; fon fils aîné> Ruben;foncadet le Marquis de Roquelaure, x«+ JÔS [Pièces.] JOUle Marquis de Gondrin Pharaon. EnCuite la première re-.préCentation de cette pièce fut donnée au Public, fur le

Théâtre Fran. le 19 Décem. 17105 mais elle ne fut jouéeque onze fois.

On avait déja deux anciennes tragédie de Joseph l'une d'Antoine

Tyron, en f Ac. en pro. traduite du Latin de Macro-'pcdius Se jouée à Anvers en ir$+;et l'autre, intitulée

Joseph LECHASTE, en Ac. en vers, par Montreux, fousle nom d'Olenix de Montfacré, imprimée en 1601

JOSEPHVENDUPARSESFRERES, Tra.par Pechantré, jouéeau Colleged'Harcourt.

JOSIAS. On prétendqu'il y a deuxTra. de ce titre l'une, par Defmazures, impriméeen tr f*;et l'autre, parPhilone, donnéela mêmeannée; maiscesdeuxpiecespourroientbienn'être qu'unemême chose.

JOSUÉ ouleSACde Jéricho Tra.de Pi Nancel, donnée•; en1606 etpallàblèpour le tems.]LeJOUEUR, Com.en f Ac.en vers, par Regnard, donnéepour la premièrefoisle 1 9Dect. 696.On peut direquec'est, à la verfificationprès, ceque cet Auteur a fait demeilleucr, ettepiecepouvantaller de pairave: quelquesunesde

Molière.ElleCetrouve dans le tomeféconddetes• OEuvres.

Dufrényrevendiquaitle fonddecetteCom.qu'il prétendoitque Regnard lui avait pris, et l' avoitmis .envers Regnardau contraire, feplaintdansfaPréfaced'unecabale1 -fiifcitéecontrefonOuvrage par lesinjuftésplaintesd'un

Plagiaire, qui produisit une autre pieceen pro.fousfeméme titre. Quoiqu'il en Coicl, eCHEVALIïEoRUFOR, de

Dufrény, en s Ac. en'pro. avecun Prol. fut jouéle 17ïév. 1697fur le même Théâtre Françaisoùcellede Regnwlavait paruprèsdequatremoisauparavant;maisleurfuccèsfutfort différent car la, piecede Regnardeftreliéeen

Regnird abufa efféûivement de la confiance que Dufrény lui temoia.

Et pour accélérer fa. pièce il se fervit de (;acon à qui il en fit faire

Ja pliis.gtande partie. Ce fur à Grillon od Regnard avoic unc miifon«'campagne qu'il aimoir beaucoup.

Il enfermoit Gacon daus un!; chambre, tfoi ce dernier n'avoir faitde vers de fbrtir qu'après avoir averti par la feJOU[Pièces.] JOY ifspofleflîonde ta Ccene, où elle paroît encorecelle de Dufrény n'eut que cette représentation. Voici une

Epigramme que Gacon fit à ce fujer.

Un jour Regnard et de Rivitre

En cherchant un sujet que l'on n'eût point traité,

Trouvèrent qu'un Joueur, ferait un caraftere

Qui plairoit par la nouveauté.

Regnard le fit en vêts et de Rivière en ptofe

AinG, pour dire au vrai la chose

Chacun vola fon compagnon.

Mais quiconque aujourd'hui voit l'un et l'autre ouvrage

Dit que Regnard l'avantage

D'avoir été le bon Larron.

Riccoboni le. père 4 donna aufli au Thé. Itaî. en 171 8 unefort bonne pièce Irai, en 3 Actes fous le titre du JOUEUR.

Enfin en Juillei 17 6 z on imprima à Paris une Tragédie

Bourgeoife, en cinq Actes en profe, traduits de I'Angloiset intitulée le JOUEUR..

Les JOUEURS, Com. en cinq Actes, par un anonyme, reprcfèntc'ehuit fois au mois' de Février 1 68 j et qui n'estpas imprimée.

La JOUEUSE Co/n. de Dufrcny» en y Ac.en pro.avec un

Div. de Gilliers. Elle n'eut que cinq reprcfentations, doncla première se donna au Théâtre Français le tx. Octobre 1709.

Dnfrény avait mis depuis cette pièce en vers mais le manùfcriten fdt brûle à fa mort, ainti elle n'est impriméequ'en profe.la JOUEUSE DUPÉE, ou I'Intrigue des ACADÉMIES,

Coin. en un Ac. en, par de La Forge, en

Les JOUEUSES j Com.pzt un anonyme. On ne nous apprendconfondue avec cette des JOUEURS, indiquée çi-deilùsî

JOVIEN Trqg. à\x P. Côitfn!ari>n }6^6.

La JOURNÉE GALANTE , Salï. héroïq. de trois Encrées, représenté devantle Roi" fur ieThe. des petits Appartemensà Verûîllés'i paroles font de

M. Laujon et la mufique de M. de La Garde. Le sujet daiS6 JOY [Pièces.] IPHpremier Acte est la Toilette de Venus, ou le M.ztin celuidu fecond, les Amufrmcns du foir, ou SgU il avait déjaparu en-17 48 fous ce titre; et celui du troueme Le, rndreet Hero ou la Nuit.

La JOYE, Op. Comi. en un Ac. de fcenes épifodiquesdonné le Février 1741 par M. Favarr. Il n'est pas imprimé.

La JOYE IMPRÉVUE, Com. en un Ac. en pro. avec un Divertissement par M. de Marivaux, donnée pour la première fois fur le The. Ital. le 7 Juillet 1738.

La JOYEUSE COMÉDIE, Com. en cinq Actes en vers, de Nicolas Montreur reprétènrée à Poitiers en i 81, après la Tragéd. de CYRUS, du même Auteur; elle n'est pas imprimée.

IPHIGENIE, tragédie par Sy bilet, imprimée en îffo. On attribue encore une pièce de ce titre à La Cleriere.

IpHiGENrB fille d'Agamemnon. Ce sujet traité par Èfchile,

Sophocle et Euripide, il aufll fourni matière à plusieurs tragédies françaises. La première', de Gaumin, compose à..ce qu'on croit, vers 1640, et qui n'a pas éré imprimée.

La feconde, de Rotrou, donnée à l'Hôtel de Bourgogneen 1 640 , 8c imprimée en 1641. La troisième, de Racine, jouée avec le plus grand succès à Verfailles le 18 Aoûr1 674 et à Paris le )3Décemb. fuivant c'est l'une de fesplus belles pièces, et celle qui a le plus fait verfer de pleurs.

Enfin la quatrieme est celle de Le Clerc et de Coras, donnée, pour (on malheur, environ fix mois après celle de Racine, c'est-à-dire, le 14 Mai 167; on la trouve impriméé dans le neuvieme vol. du Théâtre François. Racine a fait cette Epigramme au sujet de cesAuteurs

Entre le Clercet fonami Coras,

Tous deux Auteurstimans de compagnie,

T N'a pas loog-temss'ourdirent, grandsÉbats

Sur, le propos de leur fphiginie

Coras lui dit la pièce est de mon cru

le Clerc répond, elle est mienne et non vôtre

Maltaulfi-tôt quel'ouvrage a t 11,

Plusn'ont voulu favoir fait l'un ni l'autre.

En 1718, les Coméd. firent alïicher VIphigcniede Racinepour le 9 Septem. etannoncèrent qu'on y verroit quelquechore d'extraordinaire qu'on n'avait point encore vu flèqu'on ne verroic peut-être jamais c'était le rôle d'Agamcmnonquiétait rempli par La Thorilliere etcelui d'Achillepar

Poiffon en effet fuivant le pronoftic de l'affiche, cette mafcaradS ne fui point répérée, car après avoirfait beaucouprire d'abord la pièce fit bâiller bientôt, etles huées alloient fuccéder aux applaudilremens, lorfquelesComédiens prévinrent l'orage etempêchèrent de jouerle cinquieme Acte.

IPH1GENIE EN TAURIDÈ, fiime Opéra. Cette tragédie fuccommencée huit ans avant d'être représentée. Duché enfaifoit lesvers; et Defmarets la mufique, et il refbit encorele cinquieme Acteà finir et le Prolog. à compoferquand ce Mufîcienayant été obligé de quitter la Francepour une affairede galanterie dort!:les fuites furent faneflespour lui, l'ouvrage demeura imparfait. QuelquetemsaprèsDarichetet Campra Cechargerent de l'achever^etil fut représenté pour la première fois le 6 Mai 170+, etimprimiéen mufiq. par extraits, partition in-40. depuison l'a imprimé en entier in-4°i L'ordonnateur des jeuxd'Apollonà Delos, et de Diane, forme le Prolog. aveccette Déefle. Cet Opéra a été remis en 1711 171^ .et

On a imprimée, en 17^1, une Ttag. fous le même titred'IpHiGENiEen TAoride. LesComédiens François donnerentlapremière représentation. d'uneféconde le 4 luin

I7f7, quieftde M. de La Touche, etConcoupd'eflài ellefut très-bienreçue, etparodiée au Thé. ItaT.fous leurré dela Petite Iphigenie. Dans le même tems il enparut encoreUnetroifiemepar la voie de l'imprefEon M. Vailbettranden est l'Auteur. Voye{aufliOreste Et Filade.

IPHIS ou la Fille croe garçon Opirà-Cofrà.d'un Actetouten vaudevilles, ;pat M. Nau, repréfetité fur le Thé,

Ditde Nanteseh 17; 6. trouveaulfidans le tome quatrième de!(Bav. de Fagan ''uripParade fousce fimple titre.ÏPHlS ET IANtE Com.en f Ac.en vers, par Behferàdexjl IRE [Pièces.] ÎSBdonnée en i6;6. Elle èft tirée du neuvieme livre des Afetamorphofesd' Ovide.

IRENNE, Tragcd. par M. Boiftet, donnée pour la premièrefois au Théâtre Fran. le 6 Novembre 17*2.

IRIS, Tragi-Com. attribuée à Quinaulr, et peu connue. Ilyaauflî une Paflorale d'IRis par Coignée de Bouron, en cinq Actes en vers, qui fut imprimée i/z-ti. à Rouenen 1610.

L'IRRÉSOLU Com. en vers et en y Ac. par Nericâult De[-touches, représentée fans grand succès au Théâtre Français le

S Janvier» 1713. L'Auteur y fit de grandes correctionsavant quede la donner à imprimer.

ISAAC, tragédie du P. donnée au College de Louisle Grand, le premier Juin 1740. C'est une bonne pièce.

ISAC, Traô. Opè. en Ac. avec un Prol. mife en muGq. par

La Chapelle, et représentée au College de Louis le Grand, à Paris le 17 Mars 17 34. elle fervoit d'Intermède, et setrouve imprimée avec la'Tragédie Latine intitulée Titrant, ¡ISABELLE, Outre plutieurs Com. Ital. qui portent le titred'IsABELLE il y a deux anciennes pièces Françoifes fouscette fimple dénomination. La première est une Trop-'•" Com.imitée de YArioJle, ett donnée en 1576 par de Laval.

La féconde une tragédie de hiontreuz, imprimée en 1 595, in- it.

ISABELLE ARLEQUIN Op. Comi. en un Acte, de MM;, Panard, Ponteau et Fagan donne le 3 Mars 17 31 etquin'est imprimé que dans les (OEuvrer de Fagan, tome quatrième.

ISABELLE MÉDECIN, Com. Fran. etIral. én Ac, en pro.par Fatouville, jouée fur l'ancien Thé. Iral. le i Septembrei68y.

ISBÉ, 1 3 8meOpé. C'est une Paflo. hcrol. en y Ac précédéed'un Prol. qui se patiè entre la Volupté et la Mode, pecfonnificesl'Amour et leur fuite. Les paroles fonc de M. te

Riviere et la mufîqué de M. Mondonville. La premièrereprésentation de cette Paftorale fut donnée le 10 Avril..1741 et elle eut quelque fnccès, malgré toutes les contradictionsqu'elle efluya, tant fur les vers vue fur la mufiij»elle n'a cependant pas été xemife au Théâtre. La fceneÎSÏ [Pièces.] ÏSL iff

Rijen est fur les bords du Lignon. Cette Paftorale est gravéepartition in-folio.

ISIDORE, ou laPoDictTÉ vengée Tra. par Abel de Sainte-

Marthe, imprimée en i6+j. Cette pièce est très-rare onignore ri elle a été jouée.

ISIS, 9me Opé. C'est une Tra. de Quinault, mife en musique par Lully. Cet Ope. furnommé l'Opéra des Maficiens fur représenté d'abord à Saint-Germain, puis à Paris le f Janvier 1677. Le Roi en fut fi content, qu'il Et rendre l'Arrêt du Confeil qui permet à un Gentilhomme de chanter à l'Opéra, et d'en retirer des gages, fans déroger. Il est imprimé en mufiq.en dix parties féparées w-40. et en partition générale in-folio. La Renommée, Neptune, Apollon, etc. font les Interlocuteurs du Prologue les tlmours de Jupiter et de la Nymphe lo, font le sujet du Poc'me qui a été repris déja trois fois, en 1704, 1717 8i\yizt et parodié fous le titre de la VACHEIo >8c, sous celui de A FOURBE FOURBE ET DEMI.

L'ISLE D'ANTICIRE, ou la FOLIHMiDEciN i>fel'Esprit

Op. Comi. en un Ac. donné le Fév. 174 y.l'ISLE DE LA FOLIE, Com. de Dominique, Romagnefi et

Riccoboni fils en un Ac. en pro. avec des Div. Gulliver, voyageur imaginaire, était le principal personnage decette pièce, qui contenoit une critique des nouveautés, tant Littéraires que Théâtrales fur-tout de la Coméd. deÏIslb DE LARAISON.Ellefut donnée pour la première foisau Thé. Ital. le z4 Septemb. 1717.l'ISLE DE LA RAISON ou les PeTits Hommes ComMs

M.'de Marivaux, en 3 Ac. en profe, avec un Prol. et un

Divertiflèmenr. Cet:e pièce, qui est tirée des voyages de

Gulliver, ne fut reprefentée que quatre fois au Théâtre Françaisen Sept. 1717 cependant elle a été imprimce l'Aùcéucconvient, avec beaucoup de modeftie, dans la préface, que le Public a eu raifon de condamner fa pièce l'aâîonn'en étant pas aflèz théâtrale. On la lit pourtant avecplaifir.t'ISLE DES AMAZONES, Op. Comi. en un Aéte, par Le

Sage et D'Orneval cette pièce devoit être reprclèntée àla Foire Saint Laurent 1718, mais elle ne le fut pas parcequ'on n'en eut pas befoin, et que la fuppreflîon de Op.jtfo ISL [Pièces.] ISL

Comiquel'empêchad'être jouée depuis. LaTroupede

Francique la.donna cependantà la Foire SaintLaurent1710 aprèsquelqtiésrètranchemens.

L'ISLEDÉSERTE, Com.en unAc.en vers, imitée de Mètaflafcpar M.Collet, donnéeau Théâtre Françaisle 13 Août17j 8 etrepréfentéeonzefois.

L'ISLE DESESCLAVES, Com.de M.de Marivaux, enun

Acteen profe, avecun Div.reprclèntéeauThé. Irai, le 8

Mars 17*

L'ISLEDESFÉES, oule GEANTAUXMarionettes pièced'un Acteen vaudevilles, par un anonyme représentéeaux Marionettesde Bienfait le 1Juillet 1731.C'eftUneefpecede ParodieduCONTEDEFEB ellefutfaiteau Cujetd'un homme d'une taille extraordinaire, qu'on voyoitalors à Paris. Voyc[leCONTEDEFée.

L'ISLÉDES FEMMES, Com.en un Acte en vérs libres;avecunProl.etun Div.-par M.du Berry, imprimée en

Hollande en 1736-

L'ISLEDESFOUX Com;en deuxAc. mêlée d Ariettes, parM. etAnfeaume donnéeauThé.Ital. avecfuccès, le 49 Décemb.1760.La mu/igueeftde M.Duny.;C'ellune Parodiede YAlcïfanfanode Goldoni.

L'ISLEDESSONGES, Op.Comi.en unAc.parFuzelier, représenté en 1716..

L'ISLE DESTALENS i Corn. de Fagan, enunAc.enverslibres, donnéepourla première fois au Thé. Ital. le19

Mars 174} etgoûtée. Voici l'idée du sujet. L'ijle dés

Païens en: habitéepar une Fée qui fait périr tousceuiqui n'ont point quelque talent etchaque perfonnequiyabordeeft obligéede faire preuvede fa fcience.Lorsde la premièrerepréfentatiônde cette pièce on y avaitajouté unefceneintitulée les trois Méropes Parodiede

Mbrope, maiselle ne fut pas rejouée, et n'est pasdumême Auteur.

L'ÏSLEDU DIVORCE Coin.eh. unAc.en pro. de Dominiqueet

Romaçnefi jouée au Thé. Ital. pour la premierefoisles 11 Sept.1736, aveclâSitPHiDEetlatoiRB

DES PORTES.

DU pièce en deux A6tes engués par D'Omeval représentée au jeu de franche,

ISL [Pièces.] ITA afr

Rii'ile Fév. 1710 précédéed'un Prolog, intitulé I'Ombîu db

LAFOIRE.

L'ISLE DU MARIAGE, Opé. Comi. en un Ac. par Caroler, donné le 10 Juil:ct 1733.

L'ISLE SAUVAGE, Com.en Ac. en profe avec un Div.par M, de Saint-Foix, donnée fur le Théâtre Français Ic ]uill.1743. La première représentation de cette Comé. fut forttumulmeufe mais par la fuite on l'écouta mieux elle eutcependant peu de succès.

ISMENE, Pajlo. hcroï. en un Ac. de M. de Moncrif, mifeen mufiq. par MM. Rebel et Francoeur. Elle fait partie defOré. des FRAGMENS.

ISRAËL AFFLIGÉE, Tragi-Corn, de Jean Vallin jouéeà

Neufchâtel en Suiflè en 16 37. Cetce pièce est allégoriqueà la Religion prétendu réformée.

ISSÉ 44ms Opéra. Cette Pajlo. heroï. est tirée de ce versd'Ovide,

UtPajler macareidalufer'u /Jiti. Met. lib. S.

Comme Apollon déguifé en Berger trompa IJfé.

Elle fut d'abord représentée le 17 Décem. i6$y en Actes, enfuite en Z708, le 14 d'Octobre: elle reparut divine en5 Actes, et c'est dans ce dernier état qu'on l'a donnée depuis, dansles fixreprifes qu'on en a faites (en 1719, 1711, 1733 > 1741.»17 f 6 etI7J7)• L'Auteur des paroles est La

Motre, et celui de la mufîq. Débouches cet Opéra est imprimépartition in-4 en Ac. et partition générale infolioen f. Le Prol. est le Jgrdin des Hefpérides, renduacceffiblepar Hercule allcgorie de Louis XIV.. rendantl'abondance à fes Le peuples* Thé. Ital, a donnè deux Paro.^e cette Paftorale l'une de

Dominique le n Ofto. ?7 19. fous le titre des AMOURs

DE l'autre, (bus celui des par ROmagnefi, le zi Décem. 1741.lors d'une reprife qu'on fit de cet Opéra, à la rentrée délaques 1777 la direction de l'Académie Royale de Mu-(¡quefut accordée à MM.Rebelet Francoeur.1 ITALIEGALANTE, og les Contes Corn, par La Motte, reprefentéeau Théâtre FrançaisIe 1 1 Mai1731. Ce font trois• PeùrçsCom^, en pro. réparées» dans.lefquellescet Auteur

X6l ITÀ [PZECES.] JTJDa accommodé au Théâtre, etramené aux bonnesmoenriet aux bienféances, trois Contesde La Fontaine; favoir,

YOraifonde S. Julien qu'il avait déja donnée au Publicen i-jt.6 fousle titre du TALISMANle; Richard MiNutoloetleMAGNIFIQUEC.es Com. font mêlées d'Intermedesetde Divertiflemens.La première eut un médiocrefucccs, la feconde ne réuffit point; mais le Magnifique, qui est en deux Ades, plut infiniment, et a depuisétéjoué (ïparément avec quelquesadditions et un Divert.

Chinois. C'est la première pieceen deux Aftes qui ait étédonnée, on la revoit de tems en tems, et elle se trouveimprimée depuis 175-1.

L'ITALIEN MARIÉ A PARIS, Com.Cette pièce fut compaféeoriginairement en Italien, en 3 Ac. parLelio, etrepréfencceen 1716. Le même Auteur fa traduite enfuieen f Ac.en pro. Françoifè avecun Divertifrement, etellereparut en cet état fur le Thé. Ital. le 19N0V. 1718, maisavecmoins de succès. Enfin M. de La Grange la mit en

Ac. en vers libres etelle fut jouée fur le même Thé. ler

Juin 1737.

L'ITALIENNE FRANÇOISE, Com.de Dominique, Romagnefiet F en' Ac.en pro. avec un Proi. auiîienpro.etdesDiv. repréfencée'avecpeu de fuccèsau Thé. Ital.le 1Décem. 171;. C'était une ripofte à la petite Comédiede la FrançoifeItalienne, inférée dans f Impromptu

DE LA FOLIE.

JTIBA tragédie compofée par lé P. Colonia, en itfjy.

JUDITH Tra. fainte. Outre une ancienne pièce de ce titre, attribuée à Le Devin, vers 1J70 nous en avons deux autresl'une, de l'Ab. Boyer, qui attira un grand concoursd'Auditeurs dans fa nouveauté, le 4 Mars 169? et futjouée dix-fept fois de fuite l'autre par l'Abbé Poney de

Neuville représentée plufieursfois à Saint-Cyr, en 171*1et qui n'est point imprimée.

On prétend qu'à une reprife que l'on fit à la rentrée d'après

Pâques, de la Judith de l'Abbé Boyer, cette pièce, quiavait été imprimée dans rinteryalle, fut fi mal reçue que, .la DU? Chammélc qui y avait été tant applaudie duranttout je carême, ne put s'empêcher d'en marquer (on éton-/nçinçntau Parterre, et qu'une voix lui répondit Usjljjlttt

IUD i Pièces.] JUG atfY Riiiiétoicnt Ycrjàilles aux Sermons de l'Abbé Boileau. Cette Comédie se trouve dans le quatrième volume du Théâtre François.

JUDITH, ou l'AMOUR DE LA PATRIE, Tragédie dé diéerine, bien aimée du Parnasse, par Bouvot, en 1649.

Le JUGE D'ASNIERES, ou le Procès SANSCAUSE, Com.en un Aete en vers libres, par M. Taconet, représentée futle Théâtre des Boulevards, en 1760.

Le JUGE DE SOI-MÊME ou l'Amour fantasque, Comédie par Fayot, donnée en 16** une aventure arrivée à Rouen donna l'idée de cette pièce.

Le JUGEMENT D'AMOUR, Comédie attribuée à Hardy, Sepeu connue le JUGEMENT D'APOLLON ET DE PAN, rAR MiDAS,

Op. Comi. en un Ac. par La Font, donné le 16 Septembre1721 fans fucccs et qui n'a pas été imprimé.

Le JUGEMENT D'APOLLON SUR LES ANCIENS ET LES

Modernes Poème dramatique en vers, représenté au Collegede l'Oratoire à Marfeille, le 18 Août 1 7 j 8.Les Interlocuteursfurent, pour les Anciens, Defpréaux et Da-i.cier; et pour les Modernes, Perrault et de La Motte. Toucle monde connoît cette fameufe Tdifpute les paroles decette pièce font de M. Coriot, de l'Oratoire.

Le JUGEMENT DE CAPRICE, Com. en Actes én vers;imprimée mi-ii. en 1761, fans nom de Libraire nçd'Auteur.

Le JUGEMENT DE JOB ET D'URANIE, Com. en un AcJen vers, composée fur les deux Sonnets de Voiture et de

Benferade, par Bertaud. Cette pièce est imprimée dans le

Recueil de Sercy en 1 6 4.le JUGEMENT DE NOTRE-SEIGNEUR, EN FAVEURbb

LA MAGDELBINB, CONTREMarthe SASOEUR, tragédie par

Sainte-Colombe imprimée en 1 Le 6 t. JUGEMENT DE PARIS ET LE RAVISSEMENT,

D'HELENE, Tra^i-Com. en j- Ac. en vers, de Sallebray, donnée en 1 6 39 a l'Hôtel de Bourgogne, et qui eut un!grand succès à caufe des machines.

LeiUGEMENT DE- PARIS, ?Jme Opè. C'est une Paflq. héroï. en 3 Ac. qui fut représentée pour la première fois léai Juin 17 1 8. Les paroles font de MUeBarbier quoiquetU JUS [Pièces.] JUPl'Anecdote des Théâtres les attribuât à l'Abbé Pellegrjnet la rouf!, de Bertin elle est imprimée partition in.41. Le

Prolog. fc palTe entre Jupiter, l'Amour, l'Hymen et la

Difcordc. On a remis cet Opéra en 1717.le JUGEMENTDE PARIS, Paro. en un Ac. en vaudevilles, del'Ope, du même titre, donnée par D'Orneval, à l'Op.

Comi. à l'ouverture de la Foire S. Laurent 17 1S..Le JUGEMENT ÉQUITABLE DE CHARLES LE HARDi, dernier DOC DEBOURGOGNE, Tragi-Corn, par Maréchal, imprimée en i$^f.

JUGURTHA j Roi de Numidie, Tra. de Pechantrc donnéele X7DCC. 1692, , etqui n'est pas imprimée. Salujle afait un livre de la guerre de Jugurtha contre les Romains.

Voyc{ Adhbrbal.les J UIVES Tr¢. attribuée à Rob. Garnier vers l'an 1 fil.

On fa fans doute confondue avec Sbue'cias.

JULIE, ou I'Heursuse épreuve, Com. en un Ac. enpro.par M. de Saint- Poix donnée fur le Théâtre Français avec allezde fucçès, le ;o Oéfab. 1746..Les JUMEAUX Para, en 3 Ac. del'Op.deCASïoR etPoi-

Lux, donnée aq The. Irai. le 9 Mars 1 7 j 4 fans être anijonçée.

Elle est de M» Guerin etd'un anonyme.

Les JUMEAUX MARTYRS, ou MARC ET Marcelin 7m.de Aîn»ede Saint-Balmonc en 16f o. L'gvis au Leâeur, imprimé la tête de cette pièce, nous apprend cju'êl|eaété faite en quinze jours, et imprimée à l'infçu de l'Auteur.

Les JUMELLES, Qp. Comi. en un Ac. dqnnc le n Mars•• ;7; 4 par M. Favart. Il n'est pas imprimé.

JUPITER AMOUREUX D'IO. Voyti la VACHEIo.

JUPITER CURIEUX IMPERTINENT, Divtrùff. enavec un Prologue, par anonyme, donné à la

Foire, au Jeq d'Alard et Lalauze, le 3 Février 1711 Ce*toit une efpece de Farce fans liaifon et peu intérefl'ante.

JUPITER ET EUROPE, Divertir. en un Ac. dont les parolesfont de Fuzelier, et la mufique de M etde M.

I)ugué, ordinaire de la mu|îq. du Roi; représenté devant

Sa Majefté fur le Thé. des petits Appartemens à Verdles, au commencement de l'année 1749..

EPITER VAINQUZUR DES TITANS 1491™Ppé. C «t[ une Tra, en et un PrpJ. dont les vers font d'un W"

IVR [Pièces.] JUS l

L'IVROGNECORRIGÉ, ou le MARIAGEDUDIABLS, Op. Comi.en deux Aftes par MM. et Anféaume et dontla mufiqueeft de M. La Ruette donné à la Foire S. Laurentle t+ Juillet 17/9. L'idée en feftpiife d'une fable de

La Fontaine.

LesIVROGNES, Com.par un anonyme, imprimée à AmCterdamen1687.

LaJUSTE VENGEANCE, Tragi-Com.en vers, donnéepar un anonyme, en 1641 elle est tirée de l'exil de Pohxandre.

LA JUSTICE D'AMOUR, Paflo. en 5 Acles en vers, par Borée 3c'eftla derniere pièce de cet Auceur elle fur imprimée à Lyon en 16x7.

L

.LA* Cant. en vers et en AcparBohfy, avec un Div.Chinois donnée pour la première fois au Thé. Ital.le 17Août 1737. Cette pièce fut jouée dix-fept fois de luneavec applaudiflèment eton la revoit encore de tems en tems avec le même plailir; l'Auteur ne voulut point luihazarderun titre, parce qu'elle est fufccpçiblede plu- lieurs; le Publicfembla pourtant pencher à la nommer les AmansSoubrettes. On prétend que l'intrigue en est prife au. trmfîeme vol. du Roman demueSe Gondemar, jeunes Princesdeguifes en femmes, entrenten qualité defilles d'honneur au fervicede la Prin- cette Marcomire fousle nom à'Ericlèe etGon-«eiaar fouscelui de Thiodpre. le LABYRINTED'AMOUR, Op. Comi.en un Ac. par M. laçpnet, jpnéfur le Théâtre de Rouen, au mois de Juin«mprimeeen17f 7 in-x 2.lesen vLeArsCÉPEMONIENNESo, u Lvpurgve Corn, en jAc, libres donnée pour la premièrefois an Thé. lvdKt66 LAC [Pièces.] LEA(ans être annoncée ni affichée, le 13 Juillet 1754, avecun Ballet intitulé Athalante et Hippomene. Elle est de M.

Mailhol, et n'eut que cinq rcpréfentations.les LACENES. Voyer la Constance.

LAGUS Roi d'Egypte Trug. par M. le Marquis du Terrail, imprimée in-i x. vers la fin de l'année 17/4. Cettepièce, fous ce nom étranger, est tirée de l'Hift. de Fran»ce, regne de Louis le Débonnaire; l'Auteur Ceplaint dansfa préface de ce que les Comédiens n'ont pas voulu entendrela lecture de fa Tragédiee. Elle est écrite foiblement, mais les caractères en font foutenus et réfléchis.

La LANTERNE VÉRIDIQUE, Op. Comi. en un Acte, par

Carolet, donné en 1 73

LAODAMIE, REINE n'ErIRe, tragédie de Mlle Bernard: cettepièce, qui est fort tendre, fut repré (entée pour la premièrefois le r Fév. i688, etquoiqu'aflèzfoible, elleeutbeaucoup de fu'ecès on la trouve imprimée dans le cinqttiemevol. du Théâtre François.

LAODICE, Reine DE Cappadoce, tragédie de Thomas Corneille, donnée à l'Hôtel de Bourgogne en Fév. 1668. Lesujet en est tiré du trente-feptieme hv. de Juftin. Ceuz quiauront la curiofité de l'y chercher, dit Corneile, verrontce que jrai ajouté à l'hiftoire pour l'accommoder au Thé.

Cette pièce est intriguée par le déguifèment d'Ariarate, fils de Laodice, fous le nom d'Oronte elle (e trouve dansle tome quatrieme des (Euv. de Corneille.

Le LAQUAIS, Co/n. en f Ac. en profe, par La Rivey donnée en if 78,

Le LAQUAIS FILLE, Com. en un Acte, d'un anonyme, donnée trois fois, au commencement du mois de Mai 1681 par les Comédiens François. Elle n'a pas été imprimée.

LAURENT. Voyez SAINT LAURENT.

LAURE ET PÉTRARQUE, Pastorale héroïque en un acte, imprimée en 1738 dans le tome premier des Nouveaux Amusements du coeur et de l'esprit.

LAURE PERSÉCUTÉE tragi-comédie, en cinq actes en vers, par Rotrou représentée en 1637 et imprimée en i«j>: elle le trouve dans le premier vol. du Théâtre Français.

LEANDRE ET ERO, tragédie de Gabriel Gilbert, donnée au Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne au mois d'Août itf 67 et qui n'est pas imprimée PôyeçauflïlesAmouetsINFORTUNÉES.

LEANDRE ET HERO, i y9me Opé. Ceft une Tra. en cinq

Acles dont les paroles font de M. Le Franc, qui les coinpofadans fa jeuneflè et la mufique de M. de Braflàc ellefut reprérentée pour la première fois le r Mai 1750, etest gravée partition in-folio. Le Prologue offre pour la fuiec clôture du Temple de Janus. Les Auteurs de cet Opéraen abandonnèrent le profit aux fieurs Rebel et Francoeur.

Morand avait comparé, il y a environ ij- ans, un Ballet, furle même fujec et fous le même titre de cet Opé. dont lareprésentation a été éloignée par des circonflances particulieres, et qui n'a paru que dans une partie de fes OEuvresimprimée en 17 rr.

LEANDRE NANETTE, ou le Double qhi-i>ro-quo Paradeen un AS. en vers et en vaudevilles, achevée en 17 7 j-r.

A Charlotte de Montmartre. J'ajouterai au titre que jeviens de donner de cette pièce qu'elle est du fieur Grandval, qu'elle fut imprimée in-S*. au commencement del'année 17s 6 et qu'elle est fort libre.

LE LEGATAIRE UNIVERSEL, Com. en y Ac. envers, par Regnard ; elle fut représentée au Théâtre Français le Janvier 1708, et parut vingt fois de fuite. On prétend qu'un fait véritable donna l'idée de cette pièce qui est très divertissante, les deux derniers Actes surtout font un plaisir infini. L'Auteur fit lui-même la Critique de sa pièce, en une Comédie d'un acte et en prose qui fut jouée pour la première fois le i 9 Février, à la fuite de la précédente, mais avec peu de fucces. Elles le trouvent dans le tome quatrième de ses Oeuvres.

Le LEGS, Com. en un Ac. en pro. par M. de Marivaux, donnéeauThéâtre Français le Il Juin 1736 avec peu de succès, etqui est cependant reprife Couvent, et vue avec plaifir. le LENDEMAIN DE NOCES, Op. Comi. en un Ac. par

Fuzelier, donné à la Foire S. Germain 1 7 1 6 et non imprimé.

Cette pièce a été retouchée par l'Auteur, et redonnéetous le titre du Ravisseur DE SAFBMME.

LICORIS, vul'HEUREUBSEergère Tragi-Comà.neufperîonnagesen versde dixfyllabes, donnée par G.Bafirei<*8 LID [Pièces.] LIS

L1DERE, Comédie attribuée à Hardy, et peu connue.

La LIDIE, Pajlo. donnée par Pumas, en i £09. On attribueune Tragi-Corn, fous le titre de Lidie à l'Ab. Pellegrinmais elle n'est pas connue.

LIGDAMON ET LIDIAS, ou la RESSEMBLANCE, Trali-

Cum. en f Ac. en vers, tirée de VAdret donnée, ce quel'on prétend , en 1619 et imprimée in-'8°. en 1 £3t. C'estla première pièce de Thé. de Scudery, qui, dans là préface, en demandant grace pour ce coup d'ertâi se donnepour ce qu'on appelle un homme au poil et la plume.

J'ai palTé dit-il plus d'années parmi les armes que33 d'heures dans mon cabinet, et beaucoup plus ufc de me-» ches en arquebufe qu'en chandelle, de forte que je fai» mieux ranger les Soldats que les paroles, et mieux quar-33 reries Bataillons que les périodes M. Sans cette préfaceauroit-on cru, ajoute un Auteur, que Scudery eût été unfi brave Capitaine dès fa jeunellê ?

LINUS. Voyt{ les Fragmkns nouveaux, et I'Empire DEl'Amour.

LISANPRE ET CALISTE Tragi-Cont. par Du Ryer, impriméein-Zu. et représentée en ifiji.1ÏSIMACHUS. Il y a deux tragédie de ce nom, quoique lesujet en foit différent fune de fAbbé Brueys, non représentée, mais imprimée dans le premier volume de (a

OEuvres de Théâtre et l'autre j ouvrage polthume de M.

De Caux, achevée et donnée au Théâtre par fon fils, repréfèntéepour la première fois le i.; Décem. 17 37 avecpeude [accès.

On prétend que le P. de La Rue avait cqmpofc auflï une Tragédiede Lisimachus en vers François, différente decellequi est imprimée de lui en Latin, et qui a été reprefenteeau College des Jéfuites, mais il ne l'a point faite imprimer..la LISIMENE, ou I'Heoreose TROMPERIE, Tragi-Corn.del'Abbé Boifroberc, en i 6 3 3 Onattribue une Corn.Vtp;de Lisimkne en f Ac. en vers, à De Coftes, qui fut, dit*on, donnée en 1631 ce pourrait bien n'être que lamêmepièce. Voyt[ Pirandre.

LISIMENE ou la JEUNE Bergère Pajlo. de CI. Boyer, eii.r Âc. en vers, donnée en 167*. Foye^ Celimenê.

LIS' [Pièces.] LUC z69

IISIS ETDELIE, Pafio. en un Ac. repréfentcedevantla

Roià Fontainebleauen 17; 3. Les parolesen font de M.

Matmontd, et la mufiquede M.Rameau.

LIZI DOR. Voyc{ la COUR bergère.

Les LOIX D'AMOUR, Pafto. par Du Souhait, en i r 99.

LeLOT SUPPOSÉ ou la COQUETTEDEVILLAGE Com. dé

Dufrény en Ac. en vers, représentée pour la premièrefois au Théâtre Français le 17 Mai 171j et qu'on y revoit detems en tems avec plaiiir.

La LOTERIE, Corn, de Dancourt en un Ac. en pro. jouéeau Théâtre Français le 10 juillet 1697, avec un grand succès.

Elle se trouve dans le tome troiûeme de fes OEuvres. Cequi donna occaiion à cette petite pièce, fut la Loterie dulieur b'agnani, Marchand brocanteur, laquelle, quoiquetoute compoféc de lots ou billets noirs fut cependant luivantl'ufage plus lucrative pour celui qui la fit que pourceurquiy y mirenr.la LOTERIE DE SCAPIN Com. en pro. et en 3 Ac. trèslongs, par Bordelon. Cette pièce fè trouve dans une nouvelleallégorique, intitulée Moliere eux champs Elif ces timprimée à Lyon en 1694, avec une lettre de Cardanécrite des champs Elifées. Voyc^ Arlequin aux champs

Le LOURDAUT Com. en un Ac. par De Brie, dohriée troisfois au Théâtre Français dans le mois de Mai 1697. Elle n'estpas imprimée.le LOURDAUT D'INCA, Op. Comi. en un Ac. en pro. icen monologues, par Fuzelier donne fans succès le 3 Fév.«7io et qui n pas été imprimé.

LUBIN, ou le SOT vengé, Cdm. en un Ac. par Rai. Poiflon, donnée à l'Hôtel de Bourgogne au mois de Février 1661elle est en vers'de huit fyllabêSj et c'est la première piècede Poiflbn.

LUCAS ET PERRETTE ou le Rival utile Corn, par Fa^gan donnéeau-Thé. Fran» lé 17 Nov. 1734. Elle est enun Ac. en pro. avec ûh Div. ne fut reprefentée que deuïfois, et n'a pas été imprimée;

LUCELLE Tragi-Com. en r Aç.- en pro. par Loys Le Jarsrepre/èntée et Imprimée à Paris en 1576. Duhamel mitenfuice cette pièce en vers, et la, dbnna en 1 «94.t7o LUC [Pièces.] LYS

LUCIANE, ou la Crédulité blâmable, Tragi-Com. Pujlt, donnée en 1 6 3 4 par Benezin, et qui est très-rare.

LUCIDAN ou le HÉRAUTd'armes pièce attribuée à Scu.dery, fousl'année 1639 mais dont on ne connoît que letitre.

LUCRECE, Tragi-Com.avec des choeurs, fans diftincliondefcenes, par Nicolas Filleul, représentée au château de•. Rouenle 19 Septem. t f f6 etimprimée en i 66. Il y aencore trois Tra. de LUCRECE; la première, de Chevreau, imprimée in-40.en 1687 fous le titre de la LUCRECEmo-

DERNE.La feconde, de Du Ryer, en 1638 et la troifie^me, intitulée la MORTDeLucrèce donnée par un anonyme, et peu connue.

LUCRECE, ou I'Adultere PUNI tragédie de Hardy, impriméeen 1618, et qui avait été donnée, dit-on, dès1616.

Les LUNETTES MAGIQUES, Coin. en un Ac. en pro. par

Meunier, donnée une feule fois au Thé. Ital. le 1 8 ïtv.171 9 elle n'est pas imprimée.

Le LUTIN AMOUREUX, Com. en Ac. jouée au Thé. Ital.en Noveni, 17*1. Cette même pièce, qui n'est qu'un cannevasliât. mêlé de fcenes Fran. avait déja été jouée furl'ancien Thé. en 16 97 fous le titre de Spinettê Lûtih

AMOUREUX.

Le LUXURIEUX, Com. en un Acte en vers, par LeGrand, imprimée en 17 3 1 et trop libre pour être repréfenteé.

LYDIPPE Op. Conti. en un Ac. par M. Marignier, donneen 17? 1.

LYNCEE, tragédie de l'Abbé Abeille, représentée en 1*78, fur le Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne. Voyc{ Hyper*

MNESTRE.

LYONMARCHAND Com.par Barth. Aneau, en 1/41.

La LYREENCHANTÉE. Voye^les SURPRISES DEi'AaoSit.

LYSIANASSE, Com.en 5 Ac. en pro. par Fontendle, impriméeen i7 Si dans le huitieme vol. de les OEuvres,

LYSIMACHUS. Voyez LISIMACHUS.

M

M ACATE Com.en cinq Actes, en pro. par Fonrenelle;imprimée en 17f t. »•

LaMACHABÉE. Ce sujet, tiré de l'Ecriture-fiiinte, a ététraité dans deux tragédie par Jean Virey; l'une en 15j 6 tousle titre de la Machabbe ou Martyre des frpt Frères 6», deSolomoneleur mere; et l'autre, fouscelui de la DivineheureufePiSoire des Machabées/w le Roi Antiochus, en 1 600. Ellesétoient fansdiftinftion d'Ac. ni de fèenes.

La première avait été formée d'une traduction en vers.quel'Auteur avait faite du Livre des Machabées; et la feconden'étaitqu'une correftion de celle-ci.

LES MACHABÉES, tragédie par de La Motte, donnée pour la première fois le 6 Mars 1711. L'Auteur n'ayant pas jng6 à propos de le découvrir dans les premières représentations, le mérite de cette pièce mit en cervelle les critiques et plusieurs connaisseurs s'imaginèrent, qu'au moins les trois premiers actes ne pouvaient être que de feu Racine. Une chose extraordinaire qu'on vit dans l'exécution de cette tragédie fut le rôle du jeune Maclmbic, rempli et bien exé. curé par Baron, en toquet et en manches pendantes, quoique ce Comédien eut soixante-dix ans. le 16Décembre de l'année suivante il fut donné une autre Tragédie des MACHABEES ou, Antiochds de la composition de l'Abbé Nadal ; mais elle ne fut représentée que sept fois.

MADAMEARTUS, Corn, en f Ac.en vers, par Dancourt c'est la feconde pièce qu'il ait compose en vers alexandrins.

Plufîeurs perfonnes connues étoient caraftérifeeadanscetceCom. dont les représentations se firent au moisde Mai 1708 3fansgrand succès. On y trouve bien deschofesimitée des Paçons DUtems et du Tartuffe.

MADAMEENGUEULE ou les Accords poissards Com.parade en un Aéle en pro. avec un Prol. envers, ùnpùt«ntein-î°.en 1774.

MADAMEJOBIN. f^fi la P«Y«lSRB«s, 17L MAD t PIECES.] MAG

MADEMOISELLE DE SAINT-TRON, Com. faryriqae, par un anonyme, jouée et imprimée à-la Haye en t 696.

MADEMOISELLE DE SÇAI AU BORD. Com. fityriqueen un Adte en vers par Corneille de Blefl'ebois en 1 676imprimée à Calais en 1654.

MADONTE. Ce sujet, pris de YAftrèe nous a procuré deuxpièces la première est une Tra. de Pierre Cottignon, im.primée en 1615 la féconde est une Tragi-Cort. de J. Auvray, donnée en 1650.

Le MAGASIN DES CHOSES PERDUES, Op. Comi. en un

Ac. de fcenes épilbdiques donné le 1 1 Seprem. 1 73 8 par

MM. Fromager et Ponteau. II n'est pas imprimé.

Le MAGASIN'DES MODERNES, Op. Comi. en un Acte, par M. Panard, représenté le Fév. 1756 et repris p!u

Heurs fois depuis.

La MAGICIENNE ÉTRANGÈRE, Tra. en quatre Ac. envers, en laquelle on voit les tyranniques comportemehs origine, entreprifes defftins , fbrtUegts, Arrêt;plice tant du Marquis d'Ancre que de Lcdnorc Gallipyfa femme, avec l'avantiireilfé tencoiittt de leurs funefusombres, par un ton François* neveu de Rolfiorhàgus. Cettepièce Cetrouve difficilement. Elle est de Pierre de Sainte*

Marthe qui la donna en 16 18.

La MAGIE DE L'AMOUR, Pafio. en un Ac. en vers libres, par Autreau donnée au Théâtre Français le 9 Mai 1755-. Cettepièce ne fut pas bien accueillie à la première repréfenta^tion mais l'Auteur l'ayant raccourcie, et en ayant changele dénouement, elle reprit et fut jouée quinze fois.

La MAGIE INUTILE, Op. Comi. en un, Ac. eh pro. etenvaudevilles, par M. Diflbn repréfènté à Dijon le i Jnill.17y r et imprimé dans la même ville l'année fuivante.

La MAGIE NATURELLE ou la Magie sans magie Com.'en ) 3 Ac. en pro. par un anonyme, donnée fur l'ancien The.

Ital. au mois de Décemb. 1 «7 8..La MAGIE SANS MAGIE , Com. en Actes en vers, pu

Lambert jouée à l'Hôtel dé Bourgogne en 1660.

Le MAGNIFIQUE. Foyrç I'Italiê GALANTE.

MAGOTIN Op. CoTHi;en un Ac. par lé Sage et D'Ornéval, donné à la Foire S. Germain1 7 1 1 et non imprime.les

MAG [Puces.] MAI t7f

S

LesMAGOTS Para, en un Ac. en vers de la Tragédie de• I'Orphelin , rilh.A Chine, par un anonyme (qu'on prétendêtre l'Auteur de la RANCUNE), donnéeau Thé. Ital.le 19 Mars 17f6 etqui a eu allez de fucccs.

MAGUELONE, Tra. attribuée à Sylvius fousl'année 167j.

MAHOMET, ou le FANATISMET, rag. de M. de Voltairequila compofaen 1736 lie la fit jouer plufieurs fois à.

Lilleen 1741. Elle furdonnée pour la première foisà Parisle 9Août 1 741 retirée ou felond'autres défendue aprèsla troisième reprcfentation et redonnée le 3o Septembre17f 1.Ellenefut cependantjouée que huit fois, à caufeduvoyagede Fontainebleau, mais elle aéré remife en 17f 1, couventdepuis. Ce Prophète des Mu-

MASEHCOOMNEDT, Empereur desTurcs. Nous avonsdeux27.2.de ce titre la première, de M. de Chateaubrun, jouéele 13 Nov. i7i4, etqui se trouve imprimée dansle onzièmevol..du ThéâtreFrcnfois; la féconde par La.

Noue, représentéepour la première fois fur le Thé. Fraa.le 13 Fév. 1733 avec beaucoupde (accès. il parut"diffé"-•-rentesPare. de cette derniere. Voye^_ Moulinet Second, et.laQoERiHB DUTRAGIQUEETDUComique.la MAHONOISE, Com. en un Ac. en profe, par M. Bacoimprimera Paris, fous le titre de Citadella, au mois de

Juillet 17r<î.. C'est une allégorie plaifante à la prife de

Port-Mahon faite par les François fur les Anglois dans cetems-ia.

LeMAI Com.en un Ac. en pro. avec un Div. parFuzelier, -donnée au Thé. Ital. len Mai 17 19. Elle n'est- pas imprimée..

La MAISONA DEUX PORTES Op. Comi. en un Ac. par

M. Farin de. Hautemer donné en Juillet 175f-. Le titre Sele fonds de cette pièce est pris de l'ancien Théâtre de la

Foire elle n'est pas imprimée. Il y en a aufli une du mômetitre an Théâtre Italien.

Il MAISON DE CAMPAGNE, Corn, de Dancourt.enun

Ac.en pro. représentée pour la première fois le 17 Janv.(ouAout) i688, etquirutjouéevingtfoisdefuite.Ellefetrouvedans le premier vol. de fes OEuvres.

Le MAITRE D'ECOLE, Comédie de Molière, jouée ena.74 MAI Pièces. MAL

Province, et dont il ne nous rafle que le titre.

Le MAÎTRED'ECOLB, Paro. du Maître mDroit donnéeà l'Opéra-Comi. le 4 Mai 176o. Les parolesen font deM.

Marcouville, et la mufique de M. de Lifinore.le MAITRE DE MUSIQUE, Paro. ou traduction en deux

Aftes en vers tibres jde l'Inrermede italiendu mêmetitredonné à l'Opéra en 17ji. Elle fut représentée pour lapremière fois au Thé. Ital. le 51 Mai 17f; et eut allezde fucecs.On la remit le 7 Mars 17^7 avec des changemens.

M. Borans en est l'Auteur.

Re MAITRE EN DROIT, Op. Corni.en deuxAft. en vers, dont lesparoles font de M. Le Monnier, et la mufiquede

M. Monfîgni il fut donné pour la première fois le 14février 1760 eteut beaucoupde succès. On le remitaumois de Juin fuivantavec deux Ariettes nouvelles.

Dès 1749 il avait paru imprimé, chez Cuillart un autre

OpéraComj. fous le même titre, et qui est indiquécommeayant été îepréfentéà Troyes en Champagne il eftde

M, ' Quêtant.le MALADEIMAGINAIRE, Com.de Moliere, en 3 Acteen pro. avecun Prot. etdes Intermèdes dont la 'mu6queétait de Charpentier, représentée pour la première fois.fur le Théâtre du Palais Royal, le 10 Fév, 1673. C'eftladernière pièce de Moliere et une de ces Farcesdanslaquelleontrouve beaucoupde (cènesdignes dela hauteComédie.

On prétend que le troilïeme Intermède, qui eftlacérémonie burletijue d'un Médecin, en latinMacaronique, était d'un Médecin, ami de Moliere, nommé Mauvillai;etd'autres ajoutent que Boilèau donna l'idée de ce latin.

Cette Comédie fut interrompue après la quatrièmereprétentation, par la mort de Ion célèbre Auteur; maison lareprit le 4.Mai Cuivant, etelle en eut encore-trente-huit.

Rofimond remplaça Moliere dans le rôle du Malade ¡filaginaire.

Elle est imprimée dans le tome Huit de fes (Sur,

Le MALADEPARCOMPLAISANCE, Op.' Comi.en 3Ac.donné le 3 Fév.170, par Fuzelieret M. Panard.Il n'estpas imprimée.

La MALADE SANS MALADIE, Corn.de Dufrény/.en j

Ac. en pro. jouée une feule fois le 17 Nov. 1699. Elleeftimprimée dans les (Burres de cet Auteur) etoneneft

MAL PiEC£Sc MAN 17

Sijredevableaux, ComédiensFrançois; qui en poflcdoient1?manufcritdans leur dépôt. Ce fut avères meilleuresfcenesde cette Coméd. que Dufrény compofa enfuite celladesVapsurs qui a été brûlée à fa mort.

LesMAL ASSORTIS, Com.de Dufrény en deux Ac.ènpro. eten vers libres avecun Div. jouée au Thé. Ital. le

Mai 16 9 fans succès. l.

LaMANDRAGORE, Com.de Roufleau en s Ac.en profe, imprimée dans les éditions de CesOEuv.faites en Hollande,

Cettepieceeft tirée dé l'Italien de Machiavel, Se.fore libre.

MANLIUS, Tra. par LeYayer dèBourigny, donnéeen1 64/.

On n'est pascertain que cette pièce loir imprimée.

MANLIUSCAPITOLINUS, Tra. par La Folle d'Aubignydonnéele i 8 Janv. 1 69t. C'est la meilleure Tragédie desquatrede cet Auteur;On a dit de cette pièceque Corneillel'auroit pu avouer, fans faire préjudice à fa réputation;cependantla critique ué L'épargnapas , et l'Auteur dansfaPréfacedonne pour toute réponfe à Cescentèurs, l'approbationdontle Public honorE (onouvrage. Cette Tra.fevoit de tems en tcms1et, ellë fucrémife avecfuccès ea

J7 fI. Le sujet en éft.pTOMla Conjurationde Ficnifejdtl'Abbéde Saint- Real.

MANLIUSTORQUATUS. Nous avons deux Tra. de ce tfttre la première, par Faure non représentée mais impriméeen1661 et dans laquelle il y a -quelquesfcenesentremêléesde (tances.La féconde parMmedeYilledieu, ¡::donnée, à fHettel de Bourgogne au mois déMai de làmime année i66z , et dont on prétend que le sujet étaitde l'Abbé D'Aubignac. Voyt\ le Txiomphb des ciNq

MANTO, LAFÏB, 7faeOpé. C'est une Trd.eh f Ac.dontlesversfontde MèneiTon Etla mu/iq. de Batiftin elle fut!epréfentée pour la première fois le x$ Janv. 171 1 et estimprimée en mnfiq. partition in-40. Le Prolo.est la fin dèl'enchantement de Merlin, qui s'était enfermé à pour plaire faMaîtrelTe. La piete est intrigués comme la plûpart des autres Opéra: hfanto aime le Prince Licoris, qui h'àj.».liantPdreirnectoefnlrè pourellé, àçaufe de l'amour qu'il a pour côté aime Jphis, eten est aimée: cet Iphis est fils de Manto mais inconnu, tji MAR' Pièces. MARparcequeMerlinl'a enlevéà fa mèrele jour de fa naîffance, par le moyendel'anneauquile rend invi6blec'estcetanneauqui fau le dénouement, c'est-i-dire lareconnoiilànced'Iphis.

CetOpéran'a pointété remis.

MARATE, Tra. attribuéea l'AbbéBoifrobert donnéeunefeule foisen 167$. etqui n'est pasimprimée.Cepourroitbienêtrela mfme chofequeDEMARATE.

MARCA-NTOINER.obert Garnier avoittraitécefujetdansune Tra.avecdeschoeurs dèsl'innée 1$78. Mairetenfi:uneautreen 16}o. Il y enfin une piecede Marc-An-

TOINEOtlCtÉoPATRBdonnçe-par-fcs-ThorilliereayealdeceluiqùfcrbitctTcfcrmelireufurnotre Théatreaumoisde Décemb.i667 , etqui n'eftpasimprimée.le MARCHANDCONVERTI, Corne, nj Ac. envers, pat'.•>, Jac.Creflîn imprimeéne1^84. C'eftunmauvaislibelle1 contrlaeReligionRomaine.le MARCHANDDELONDRES, ouTHistoirb DEGeokcesBarnweix

Trag.bourgeoifee, n f Ac.en pro.traduire.< del'AngloisdeM.Lello, parM.Clément, impriméein-11.en17r 1 » cherDucliefneil en avoirdéja paruquelques•j.fçenesdans:le tome troifiemedu Pouretcontre.de M.

TAbbé Prevoft. -•-•leMARCHAND DUPÉ, Cém.en Aci'enpro. parfa---touville, jouéefur l'ancienThé.Ital. le premierSepremb..1688.Il n'y a point derôled'Arlequindanscettepièce, caufedela moctde Dominique, arrivéeverscetems.

LeMARCHANDRIDIGULE, petite FarceouParad.enun

Afteen'profe r'epréfenteepar lesMarionettesdeGilloti

LeMARÉCHALFERRANT Op. Comi.en unA8eenpro.-.parMvQuêtant, et dontlà muHquefet deM.Philidor, donné pourla premièrefoisle zz Août1761, etquiaenbeaucoupdé succès..

Le MARÉCHALMÉDECIN ou-lesHodssards, Cmm: UnAc.en pro. donnéeau Thé.Fran. le iz Mai i6f6^Sun anonyme, etnonimprimée.

Mà'RGEONET KATIFÉ, ou le MUETPARamoor.O;.1

Comi.d'unA«5ted, , onnéle premier Septembre1 7Il pu

Boiuy, il n'est pasimprimé.Lefujecen est prisdufécond

MAR [Pièces.] MAR tji

Siijvol. des SulranesdeGuçaratc, ContesMogols, par M.

Gueullette.Voyeçle PRIXDUSILENCE.

MARGUERITE DE FRANCE Tragi-Cum. par Gilbert impriméeen i«4t Elle est en cinq Actes et en vers.

MARGUERITED'ANJOU, REINEd'Angleterre, EffaideTragéd. en f Ac.en pro. parun anonyme, imprimé à

Patis, chezPrault, en 1777.le MARICURIEUX, Com.en un Ac. en pro. avecDiv;parD'AllainvaldonnéeauThéâtre Françaisle 1 Juillet ( ouleif Août)173t avecpeude succès.

LeMARIÉMANCIPÉ Corn, en Ac.enpro. Cette pièceparutimpriméeen I7f8, à la fin d'unepetite BrochureinrituléeContePhrygien ânedeSylcne.le MARIGARÇON Corn, de Boitte, en ) Ac.en vers;donnéeau'Thé.Ital. pour la premièrefois le 10Février, 1741 avecfuccès.

LeMARIJOUEURET LA FEMMEBIGOTTE, fcenes

Italiennesenmufique repréfentéesfurle Thé. de l'Ope, le7 Juin 1719.Malgréle peudeconvenancedecesCcenesavecnos Opéra, elles ne taillèrentpas que d'être fortapplaudiesle fieur Florentin, le

Joueur, fousle nomde Baïoco, etla DUeUngarelli, de

Bologne, repréfentoitSerpilla, femme de Baïoco, et

Digotte.Ce Div.fut parodiéauxItaliens, dansla Coin.desDébuts eta été redonnéen 1751.Foye{le JALOUXcorrigé.

Le MARI PREFERÉ, Op. Comî. en un Ac. précédé d'un

Prolog, intitulé la Fbk bienfaisante donné le 11 Août1736 par Le Sage..

LeMARI RETROUVÉ, Com. d'un Ac. en pro. avec un

Div. par Dancourt, reprcfèntce avec un grand succès au

Thé. François, où on la revoit Couvent, le ij: Octobre1698. Le procès du fieur de la Pivardiere, rapporté dansle troisième volume des Caufes célèbres et qui faifoitalors l'entretien de tout Paris, fournit ce sujet à Danconrt, .gui Cavoit(àifir les hiftoires courantes, pour les mettreau Théâtre. Elle est imprimée dans le tome quatrième defes OEuvres.

Le MARI SANS FEMME, Com. de Montffeu^. Cette pièce, qui est en Ac. en vers, avec des Intermedes, est un peuvil MAK TPiEces.l MAIlibre, de mêmeqne prefquetouteslesautresde cet Auteur:elle fut repréfentéefur le Théâtre de l'Hôtelde

Bourgogneen 166j eta été reprifeplufiearsfois.

Le MARIAGE, Corn, en unAc. en pro.par M.leBaronde

BièlfeldvCettepièce, qui est imitéed'uneCom.Hollandoife, quiportele mêmetitre, a étéimpriméeen 17;$, aveclesaucresOuvragesdramatiquesde cetAuteur.

LeMARIAGED'AMOUR, Pafto.d'If. DuRyer, en t Ac.en vers: on n'est pas certain que cette pieceait étére.préfentée elle parut impriméeen itfzi etenfuiteen

Le MARIAGE D'ARLEQUIN ET DE SILVIA. Voyt(lHitis

ETPelée.

Le MARIAGE DE BACCHUS, C>m. hirotq. par de Vile, en Ac. avec un Prol. le tout en vers libres, et mêlée demachines etde mufique, jouée fur le Thé. du, Maraisle7•"Janvier 1 6 7 1. On y trouve, comme dans Amphitrion, du comique mêlé au grand férieux. La mufique croitde

Lully mais à la reprife qui en fut faite le 4 Sept. i«Sfpour Cereftreindre au nombre de voix prefcrites par l'Arrêtdu Confeil du 30 Avril 167 5 on fit faire de nouveauxairs par La Louette. Avant l'Arrêt dont on vient de parler, les Comédiens pouvoient avoir fix voix et douze violonsmais alors les voix furent diminuées à deux , et les violonsà fix.

Le MARIAGE DE CAMBYSE, Tragi-Coa:. de Qainaolt, donnée en itff7, au Thé. de l'Hôtel de Bourgogne, imprimée dans le tome fécond de CesOEuvres.

Le MARIAGE DE LA RAISON AVEC L'ESPRIT, Cmen un Acte en vers par M. Du Jardin, imprimée à lafinde l'année 17 f 4.

Le MARIAGE D'ORONDATE ET DE STATIRA, oula'Conclusion DE Cassandrb, Tragi-Com. de Magnon, donnée en 1648.lie MARIAGE D'ORPHÉE, Voyti Orphbb.

Le MARIAGE DE RIEN Com. de Montfleury, ennnAc.en vers de huit fyllabes, jouée en i$6q, à l'Hôtelde

Bourgogne, et imprimée dans le premier vol. de fon

Théâtre.

Le MARIAGE DU CAPRICE ET'DE LA POLIE ty

MAR. [Pièces.] MAR vj?

S iiij

Comeni.unAcp. arM.Pirond, onnleeifiAoû1t714»etremàislaFoirSe.Laure1n7jtj. Il eutbeaucoduepfocecs.

LeMARIADGUDEIABLVEo.yIt'\IvrognCbORRIGf.

LeMAARGI EENL'AIRP, arod.ePersjjedonnàéle'Op.

Compia.Cr arolelet1 Mar1s7j'y.Ellen'efpt asimLpeMriAmRéeI.

AFAGIEETTROMPoUul, eFauxDamiCs orn.en Ace.nversd, eDufrény, rcpréafeuTnthééeF. ran.poularpremifèoreilse14Févri1e7rÎHCettpeièceentdelaréuflîetteeftladerniedreDufrénjyouédeefouvivant.

LeMARIAFAGIETPARCRAINTCEo, men.unAce. nprop.aMr M. oraindeo, nnuéenefeulfeoiasuThéI.rai.le18Juin1750etquin'efpt aismprimée. LeMARIAFOGRECCÉo, idne.Moliereen, unAce.npro. Onremarqduaencsettpeiecpeludsebouffonneqruiees d'arettd'agrémelan(tcèneeneftirrégulieetrelesperfônnaygveisennepnretfqtuoeuasuhazardE.llefutreprcfeiliatpéreemièforeiasuLouvlreex9Janvr.É648cédmaniaftEcac.lloempdag'unnBéeaild, umêmetoitùreL, ouXiIsV. paruetnfaiftaenDs ivefrut.rleThéd.uPalais

Royalle, 1f Févf.uivanCt.ettpeiecteetrouvdeanlsetroifievtonled.es(Euvd.eMolieroenaprétendqu'il enavopitriVs iddéeufameuCxomdteeGrammoqnut, i fupt refqfuoercdé'épouMferUHeamiltoEnll.aeétémife enverpsarunanonymeen1, 674. LeMARIAMGAEALSSORTCIomen. Acp.arSallebmreanydoc, aunplseafrSieacilnevilClee.ttpeiècpearuvtraifemblable- LeMARIAPAGREderniecra, relleftindiquféaendsate. ESCALAODpEC. , opein.unActea, uf1ujed: elaprifdeePort-MaphaorMn .Favardto, nnleé LeMr SAeRptIeAPm1AGb7$REr7e'LetEquTiaTDeRuEbEeaucoduefpuccès. CHANGCEo, mde.M.

D'AiençeonunnAce.nprod.onnaéueThéI.tall.ezg

Juillet1710. Le sujet de cette pièceeft tiré d'une hiftoriercedu

Mercuredu mois de Fev.171 $. Ellen'eftpasimprimée.

LeMARIAGEPARLETTRES DE CHANGE, Corn, en un

Afteenvers, avecun Div. dontla mufi. était de Grandvali$o MAR [Pièces.] MAR'père donnée par PoiflEôn fils, au Théâtre Français le i Juillet173 f avec fucecs.

Le MARIAGE PRÉCIPITÉ, Corn, en 3 Ac. en pro. reprefentéele zo Mars 171 3, à Utrecht, pendant le Congrès.

C'ctoic Mme Du Noyer qu'on avait eu intention de jouerdans cette pièce; ceux qui lèronc curieux des avantures decette Dame pourront s'en inftruire par fes Mémoires et

Lettres, imprimes en (îx et en neuf volumes in- 11. dansl'avant-dernier delqnels est cette Comédie.

Le MARIAGE ROMPU. Voyelle PARVENU.le MARIAGE SANS MARIAGE, Com. en Ac. en vers, par Marcel donnée fur le Théâtre du Marais en 1671.

Les MARIAGES ASSORTIS Com. en 3 Ac. très-bien ver-(¡fiés, donnée pour la première fois au Thé. Irai. le 10

Pcv. 1744. On l'attribua dans le tems à M. le Comte de

Senneterre; mais elle est de M. l'Abbé de V oifenon.

Les MARIAGES DE CANADA, Op. Comi. de Le Sage, enun Acte, donné en Juillet 1734, et non imprimé.

Les MARIAGES PAR CHICANE, Para, de latragédie d'Hvpermnestrbpar M. Taconet, imprimée à Paris chez

CuilTard, en 17r8.

MARIAMNE. Ce sujet a été traité fousce titre, etfouscelaid'HERODE. Les Tra. intituléesMariamnb font au nombrede fix. La première, de Hardy, donnée à ce que l'onprétend, en 1610 à l'Hôtel de Bourgogne, et impriméeen

La feconde, de Triftan reprcfèntce avec un grand succès sur le Thé. du Marais en 166. De toutes les tragédies de cet auteur, celle-ci, qui est la première ell cellequi méritéde plusgrands applandillemens les effortsque leComédien

Mondoryfit dans la reprérentation du perfonnaged'Herode, où il y a de grandes fureurs, le firenttomberdâns une efpeced'apoplexie qui lui coûtalavie. Cettepièceis'eftconfervéeprès de cent ans au Théâtre. On la trouveimprimé dans le fecondvol. du ThéatreFrançois.Rooffèau en a donné une édition corrigée en 1731*

La troisième aufli intitulée la MORT DES ENFANS d'Herodh, eu ta SUITE DE Mariamne est de La Calprenede, et futreprésentée en 1639, avecquelque succès, etbeaucoupdecritiques.

MÀR [PIECES.] MAR 181la quatrièmeeft fans nom d'Auteur, et n'a pas été repré-

Lacinquièmeeft celle de M. de Voltaire, qui ne fut repréfencéequ'unefeule fois fous le titre de MARJAMNBle 6

Mars1714, parce qu'aine que nous l'apprend lui- mêmel'Au:eur, au moment que l'Actrice qui repréfentoit lerôlede Mariamne portoit la coupe à fa bouche, une perlbnnedu

Parterre s'écria la Rrinr boit (toyeç'au lujetde cetrait Mithridate ) cequi occafionnaun grand tumultemais M. de Voltaire ayant corrigé fa pièce, ladonnaau mois d'Avril de l'année fuivaiue, fousle titred'H^RODEETMariamnb le fucecscu'elle eut après cescorrections, dut confoler M. de Voltaire de la premièredi/gracede (a Trlgéd. puisqu'on n'en a gueres vu de fi généralcmencapplaudieau(!!ne manqua-t-elle pas d'Êtreparodiée fous le titre duMAUVAIS Minage aux Italiens.

Lafixiemeetderniere Tragéd. de Mariamne est de l'Abbé

Nadal elle n'eut que quatre représentations dont la premièrele Rt le 1 Fév. 171j, etfuc imprimée avecune

Préfacedéclamatoire et très-fatyrique contre ceuxqui, audiredel'Auteur , avaient fait tomber fa pièce. Lestraitslespluspiquansde cette Préface ont été retranchésdans lafecondeédition.le grandnombrede tragédie de MARIAMNEdonna lieu à un

Opéra-Comi.de la compositionde Fuzelier intitulé les

QUATRE et cet Op. Comi. océafionnaà fontour une petite Com.de M. Pifon en un Afte en vers, donnéeau Thé. Ital. en 171y et qu'il intitula les Huit

Mariamnes entendant parler de celles de Triftan Voltaire,

Nadal et de l'anonyme ety ajoutant lesquatre del'Op.Comi.ci-detiùs lequel était la'critique deces quatre

Mariamnrs comme un double emploi, le Publicne trouvapasbon que ces quatre prétenduesMariamnesenvinffentgrotfirle nombre. SiM. Piron eût été bien instruit, dit un Auteur, il auroit pu faire entrer en danfeau moinsune demi-douzainede Mariamnes et il n'auroit pas multipliélesêtresfans néceflîté..

Lorsdu débutde la en Murancourtelleeflûyaunepatcï}lchuée jouantle r8lcdeCUopatredansRopocuke. r-iJi MAR [Pièces.] MAR

MartAmne0/>. Corn/ en un Ac. donnéle Fcv, 1737, par

MM. Favarcet Panard. Il n'efkpas imprimé. Le fujetenest pris du Roman que M. de Marivaut a donné fousmême titre.

Le MARIÉ ÉGARÉ, Com.en un Ac. en pro. par NI. Audiernequi n'eut qu'une reprétêntatioti au Théâtre Françaisle1 4 Novemb. 1739. Elle n'est pas imprimée.

Le MARIÉ SANS LESÇAVOIR, Com.en un Ac. en pro.par Fagan représentée pour la première fois le zi Oftob.17j S à Fontainebleau. Seà Paris fur le TJ»é.de laCom.

Fran. le 8 Janv. fuivant fans succès.

La MARIÉE DE LA COURTILLE, ou Arlequin RAMpomeau

Op. Comi.par M.Taconet, représenté auxDanfenrsdecorde de la Foire S. Germain en 1760.

MARIESTUART, RUNEd'Ecosse. Nous avonstroisTrag.fousce titre. La première par Renaud, repréfenréeetimpriméeen 1639. La (èconde de Bourfault donnée le 7

Dccemb. 1683. Le malheur de cette Reine femblas'étendrefur ces pieees, ainfi que fur celle qui fuit ar-int eutoutes peu de succès cependant celle de Bourlsul: luivalut cent louis d'or que lui donna M. le Duc de Saine.

Agnan en reconnoiffancede la dédicace qu'il lui enavoit-faite.

La troisième enfin cft d'un anonyme elle fut donnée • pour la première fois le Mai 173 4, retirée après la fepciemereprefentation corrigée etjouée devant le Roi à Fontainebleaule 4 Oâob. fuivant, et encore à Paris deux foisen Fcv. 173 r.

LesMARIS INFIDELES, Tragi-Com.de D. V. en i«

Voyei auflî les Affakencbs trohpedsbs.

M ARIUS. Deux Tra. portent ce fimple titre: fune ( le I ione[ Marius ) de J' AbbéBoyer., donnée en Janvier i«9»l'autre attribuée à De Caux et imprimée même fousfonnain dans le onzième vol. du Théâtre François, mais-qu'on aflùre être du Préfidenc Hénault représentée le r

Novemb. 171 f, avec un médiocre succès quoique très-'bien écrite.

MARIUS ET SCILLA, Tra. de Molard de la ville de Marteille.imprimée en 171$ et non représentée.

MAROTTE, Paro. de MiaoPE donnée à l'Op. Comi. le «<

MAR [Pièces.] MAR t«j

Mars174j par MM. Panard, Gallecet Pontau elle n"estpasimprimée. Voyt\ l'ENFANTretrouvé.

LeMARQUISAUTEUR, Corn, en un Ac.en vers, par Fagan, devinée pour le Théâtre Français mais qui n'a pas été reprétentée.

Elle le trouve dans le fécondvol. des

Le MARQUIS D'ANCRE, ou la Victoire DU Phbbu»

François coNTREle Pyton DECEtbms tragédie fansnomd' Auteur et dont on ne nous indique pas même la

LeMARQUISDE L'INDUSTRIE, Com.en f Ac. par unanonyme, donnée au Théâtre Français le ly Janvier 1C98 Sequine fat pas jouée jufqu'au bouc. Elle n'est pas im-

LeMARQUISRIDICULE, ou la COMTESSEfaite a LA

HATE, Corn, en f Ac, en vers, donnée avec succès.par

Scarron, en 16 j6. On prétend que c'est la mcmechofeque(on HéRITIBRridicule.

LaMARQUISEIMAGINAIRE, Com. en un Ac. donnéeavecbeaucoupde fuccèsau Théâtre Français le 1} Sept. 169$.

L'Auteurde cette pièce a cependant gardé l'anonyme, etellen'a pasété imprimée.

MARSIDIE, REINEDESCimbres, tragédie de Madame de

Gomez, imprimée en 1714, dans les OEuvres, maisqui félon toutes les apparences n'a pas été représentée, quoique de Beauchamps annonce qu'elle le fut en1716.

MARTHESIE, première Reine des Amazones +8"» Opé.

C'est une Tra. en f Ac. dont les paroles font de La Motte, etla mufique de Débouches elle fut représentée pour làpremière fois a Fontainebleau au mois d Odobre 1699, et à Paris le 2., Novem. fuivant, et est imprimée partitionm-4°. Cybele, Jupiter, Junon et Neptune forment leftol. Le sujet de la pièce est tiré de l'histoire des Amazones, lefquelles Marthcfie engagea à lé retirer de la do-;initiation des hommes; mais cette Prince lie ayant vaincuet fait prifonniér Argapife, Roi des Scithes, en devintamoureofe ce qui étoic contrevenir à la principale loi defou nouvel infticut. On n'a point repris cet Opéra.

MARTIN BRAILLARD. Toy^TRiGAUDiN.*84 MAS [Pièces.] MAT

La MASCARADE, efpece de Bail, de la compofitionde

Benferade. Ce Ballet fut danfé au Palais Cardinal le 16lévrier ifif i c'cfl-le mariage de Cajfandrcà la Courdn

Roi Guyon; ourreles Seigneursqui danferentavecleRoi, les fieursRobichon, Lambert, Lallun, etc. eurent l'honneurd'y figurer.

La MASCARADEMomerie ou Muette efpece de Pantomimeou de piecedramatique, d'Etienne Jodelle, exécutéeà l' HôteldeVille de Paris, enpréfencedu RoiHenriIl.le îyFév. ijf8.

La MASCARADEDU PARNASSE, Com.en un Ac.en verslibres, avecun Prol. anflï en vers libres, etun Div. C'cftle premier ouvrage de Théâtre de M. Peflelier, il n'a pasété repréfcntc, et parut feulement par l'impreflion en

I7?7.

LesMASCARADESAMOUREUSES, Com.d'un Ac.enverslibres, avecun Div. par Guyot'de Mervillc, représentéeavec applaudiflèment, fur le Thé. Ital. le 4 Août 175c.

Ceft le premier ouvrage de cet Auteur.

MATAMORE.JvyrçleCAriTAN.

Le MATOIS MARI ou la COURTISANNEattrapée Com.en pro. trad. de l'Efpagnol, par un anonyme, et impriméeà Paris en 1 633 i/i-8°.

La MATRONE, Corn, en f Ac. en pro. par M. le Baron de

Bielfeld, imprimée en 17f ).

La MATRONE DE CHARENTON Op. Comi. en un Ac.en vaudevilles, et par écriteaux, de Le Sage et D'Orncval, donnEà la Foire S. Laurent 1714, et non imprimé, c'estun trayeftiflèment de la MATRONEd'Ephese.

La MATRONE D'EPHESE. Ce sujet, tiré de Pétrone, afourni des pièces à tous les Théâtres. L'ancien Thé. Irai.en a eu une de Fatoùville, en 3 Ac. en pro. avec des fcentsitaliennes, qui fut représentée le t de Mai 1 68r fousletitre d'ARLEQOINGr apign an. La Motte a donné une MATRONBd'Epheseen un Ac. en pro. au Thé. Fran, où ellefut jouée le z3 Sept. 1701 on la trouve imprimée dansles OEuv. de Boindin fous le nom duquel elle avoir paru, parce qu'alors La Motte n'avait donné que cette feulepièce. Enfin le Thé. de la Foire en a auflî une en 3 Ac. de

M AU [Pièces.] MAX 18

Fuzelier, laquelle fut jouée en i-ji\, S(. n'eu pas impriméc.

Pbyef aufli I'Ephesibnne.

LaMAUBERTINE Com. attribuée à Jac. Grevin. On prétend, qu'aprèsavoir écrit cette pièce il la perdit, maisqu'ayant la mémoire heureufe, il la refit de nouveau.

MAURICE, Emeereur d'Orient, Tra. avec des choeurs, par Nie. Romain en 1 606. Cette pièce est rare.

Le MAUSOLÉE, ou Artemise Tragi-Corn, de Maréchal, repréfeutée par la Troupe de l'Hôtel de Bourgogne, en

Le MAUVAIS MÉNAGE, Paro. del'HÉRODE ET MARiAmnede M. de Voltaire, en un Ac. en vers alexandrins, par Le Grand Se Dominique, donnée fans être annoncéeau Thé. Ital. le 1 Mai 171 s avec succès.

M. Le Valois d'Orville fit repréCcnter en 1749 fur le Thé., de l'Op. Comi. à la Foire S. Germain, une Parod. Pantomimede l'Opéra de Medée BT JASON, Cous ce titre du

MAUVAIS MINAGE ou la FEMME JALOUSE.

LeMAUVAIS PLAISANT, ou .le DROLEDE Corps Op.

Cumi. en un Ac. par Vadé, . donné le 17 Août 17x7, etalfez médiocre.le MAUVAIS RICHE, Cem. en f Ac. en vers, par M. Darnaud, jouée à Paris en 1749 à l'hôtel de Tonnerre, parune Société Bourgeoife.

Les MAUX SANS REMEDE, Com. par un anonyme, donnéefur le Thé. du Palais Royal le i 1 Janv. 1 66$ et quin'est pas imprimée.

MAXIMIEN. Ce cruel. perfécuteur des Chrétiens, aprèsavoir quitté l'Empire s'en repentit, et entrepritde l'enleverà fon gendre, qui avait époufe fa fille Faufie. Ce fujcca faurni' deuz Tra. la première, de Thomas Corneille, donnée fous le titre de MAXIMiAN, au mois de Février1661 et imprimée dans le troisième vol. de fes OEuvres, la feconde, de Nivelle de La Chaullée, reprcfent'ée pourla première fois le 18 Fév. 1738 et qui le fut ti fois defuite. Il parut deux Para, de cette derniere l'une, de M.

Panard'et Parmentier fous le même titre, et fous celui du

GRANDVaurien et en un Ac. à l'Op. Comi. le 2. Marselle n'est pas imprimée; et l'autre, (bus celui de la CoNSf£si MAZ [Puces.] MEC

MAZET, Corn, ep deux A:, mêlée d'Ariettes, par M, Anfcaame, donnée pour la première fois au Thé. Ital. le 14 tembre Sep- 176 1. La mulique est de M. Duiii. Le sujet de lapièceeft pris des Contes de La Fontaine.te MÉCHANT, Com. en f Ac. en vers, de M. Greflèt, donnée pour la première fois au Théâtre Français le 1 Avril1747 te. remife le i j Novembre Suivant. Cette pièce estextrêmement bien écrite, et eut en tout 14 reprcfèntîtions..

On la joue allez Couvent. Voici une Epigrammefaite à fon sujet le lendemain de la première représentation, tx.adtelfée à M. Grellêt par une Mufe Bourgeoiftdu Parterre ( M.Bailly ).

Un Membre de Caflfî, Philofopbc pédant,

Qui de l'cfprit Ce croit ta le Juge et l'Arbitre

En fou propos t'égayok fur le tirre

De votre pièce du Méchant;

Quelqu'un dit au mauvais plaifatu,

Pour un Auteur c'cllton augure

Lorfquc datrs un livre nouveau

L'Envie au défcfpoir de ne voir que du beau,

De rage mord la couverture.ta MÉCHANTE FEMME, Paro. de la Mbdïe de Longe- •pierre, donnée au Thé. Ital. le 13 Oflob. 1718, par lesfleurs Dominique et Lelio fils elle est en un Acte envers.-tes MÉCONTENS Coni. en vers libres, par La Bruere"donnée au Théâtre Français le premier Déc. 1734. Cette pièce, lors de la première représentation était en 3 Àc. avec un• Prol. mais quoiqu'elle fût applaudie, l'Auteur voyantqueles deuxderniers Ac. n'avoient pas été fi goûtés que le•premier et le Prolog. réduifit ces Ac. en un feul, etelle

Eut beaucoup plus de succès de cette maniere le i 5 Dec.

VCette Coméd. était firivied!

Actes en vers, par M. P. de l'Oratoire, fous ce titre, maisil n'a Pas imprjfné et est fort peu connu.

MEC [Pièces.] MED 1*7les MicoNTENsOp.Comi.en deuxAc.avecun Prol.par

M.Thierry donnéle i) J uiilet1717.

LeMEDECINDECHAUDRAY, Com.enun Ac.de Dancourt.quoiqu'ellene(bitpasdansle recueilde Cespiecesellefutreprcfèntécau The.Fran.en 1698.C'ctoitunVaudevilledurems, parla vogueoù étoitalorsun Médecin, payfandu villagede Chaudray, au Diocefede Séezen

Normandie.le MEDECINDEL'AMOUR, Op. Comi.cri un Aile envers, mêléd'Arierres, parM.Anféaume, donnépour lapremièrefois le 21Septembre17j8 à la FoireS. Laurentavec fiicccs.le MEDECINDEL'ESPRIT, Com.en unAc.en pro. parunanonyme, donnéeau Théâtre Françaisle z4 Oftob. 175jetquin'eutquecetterepréfentation.Cettepiecen'est pasimprimée.On l'attribuaà l'AbbéDesfontainesonla ditcependantde Guyotde Merville.

LeMEDECINDÉROBÉ, Corn, en 3 Ac.en vers, parunanonyme, donnéeen 169*-on l'attribueà Dorimond.

LeMEDECINDEVILLAGE, Com.en unAc.en pro. de

M jouéeau Théâtre Français'le x+Sept.1 70+, etqui n'estpasimprimée elle n'eut que cinqrepréfentations.

LeMEDECINDUTEMS, Com. cn Ac.en pro.donnéeau, moisdeJuin 1679, etjouée à Fontainebleaupar lesanciensComédiensIrai.le 1 Aoûtlùivant, jourde la céré.moniedu mariagede la Reine Le d'Elpagne. MEDECINHOLLANDOIS, Corn, par un anonyme, donnéequatrefoispar lesComéd.Fran. en 16S; etqui n'eftpasimprimée.

LeMEDECINMALGRÉLUI, Cornd, eMoliere en 3 Ac; enpro.représentéepourlapremièrefoisle 6Août 1 666 etimpriméedanslétometroifiemede Ces(OEuv.C'est unefarcetrès-gayeettrès-bouflfbnneeton la revoit{buvencfurleThé. L'unitéde lieu'n'yeft pasobfervée, etMolièrelacompolkdepluneursfragtnensdes petitespiecesqu'ilaroitfeitesetjouéesenProvince, entr'autresduMbdeciH

ToiANTjetduFAGoTLEeOfoXn.dsdufiijeten eftentierementiréd'unancienConteou Fabliau, intituléle Vilain

Afin quiitoit manuferità laBibliothèqueduRoi etqui.été impriméen 17; 6. M.Carcleçfit tepréjfenteràlaz88 MED [Pièces.] MED

Foire en 171j par les Marionettes de Bertrand', unepieceen trois Ac. en vaudevilles, intitulée aufliLeMédecin

MALGRÉLUI; 3c'eftune médiocre imitation de celle de

Moliere, et elle n'a pas été imprimée. C'était le premierouvrage de Carolet.

Le MEDECIN PAROCCASION Com.en vers 0:en f Ac.de Boilfy donnée pour la première fois au Théâtre Françaisle

I-t Mars I74f. Lors d'une reprife qu'on fit de cettepièceenSepteni. 17f6 l'Auteur y ajouta quelquesversexcellérisau sujet de la (îtuation aftuellé des Françoisetdes

Anglois. On les trouvera dans le Mercure de Novembrede la même année.

Le MEDECIN VOLANT, Com.en un Ac. en vers, par

Bourfauït jouée à l'Hôtel de Bourgogne en 1661 etimpriniéeen 166j. Cectepiece est tirée d'une CorncdI.rai.très-ancienne, intitulée ArlcquinoMedicovolante.

Quelques curieux confervent une pièce de Moliereen pro, qui porte le titre de MEDECINvoLANT, etqu'il avoir )onceen Province on en retrouve quelques iricidensdansle

MÉDECIN MALGRÉ LUI..

MEDÉE. Jean de La Perufe avait laifle imparfaite une Twj.dé ce titre que Scevole de Sainte-Marthe acheva en 1jf r

C!. Binet, en 1 ;77 donna aufli à ce que fon prétend, uneTfagéd. de MEDEE.Pierre Corneille, en 16 3J com-" mença par la nenne ( qu'on trouve dans le tome féconddequ'alors enfin Longepierre donna le 15JM^rier 1694, la Mbdm'-j qui eut peu de fucecs quoiquele pfihcipalrôlefût 'rempli par la céiebxeCâammélé mais à la reprife quienfutfaitele iy Septemb. i7t8, .la.D.l.lc./?j/Jco«rf fitjibien valoir le rôle de Médée que cette pièce attira de plusriômbreufes aflèmblées , 8c fut même parodiée aux Ira!.fous le titre de la MÉCHANTEFEMME.On revoit cetteTra..quelquefois au Théâtre, et elle se trouve imprimée dans ledixième vol. du Théâtre François.^Wedhb, jime Opé. C'est une Tra. de Thomas Corneille, mife en mufiq:.par Charpentier elle fut reprélentce pourla première fois le 4 Décemb. 1693 et est imprimée enmnfiq, partition in-fol. La Bellone et la Gloireforment le Prologue.

MED [Pièces.] MED t8«

T

HEDÉEET J ASON, 8 orneOpé. La Tra. est'de La Roque, ( ouplutôt de l'Abbé Pellegrin fousce nom) etla mufiq.de Salomon la première représentation s'en donna le 14.

Avril17 n j et.elle est imprimée partition il-4'. Le fujecdu Prol. est l'Europe raflurée par Apollonet Melpomene, 'lui lui annoncent que Cesmaux vont finir par le retour dela Victoire qui vient de se déclarer pour les Drapeaux delaFrance.LesAmours de Craj/i fille de Creon', Roi dé

Corinthe traverféespar Midie femme de Jafon, font lefujetdu Poëme. Cet Opé. fut remis avec des changemensetdesaugmentations, le 17Octobre fuivant, eteut ungrand succès, qui s'est foutenu dans les trois autres' re-, prifesqu'on en a faites en 17x7 17 3 et 1749. Le Thé.

Ital. en a donné deuxParo. en un Ac. en vaudev. fouslemême titre de Medéb Er JasoN: la première, de Dominique,

Lelio fils, et Romagnefi, le 1 Mai 1717 la feconde, de Carolet, le 13 Décemb. 1736 cette dernierèeut allezde fucecs.

LE MEDISANT. Nous avons deux comédies de ce titre ; l'une de Nericault Destouches, en f Ac. en vers, représentée au Théâtre Français avecfuccès;le xo Février 171r j.l'autre de M. Croquet en 3 Ac. en pro. imprimée dans ses Saturnales Françaises en 1736.

MEDUS, Roi DES MEDES, ;m=Ope. C'est une Tra. en s Ac. de La Grange-Chancel mise en musique par Bouvard, et repréfentée pour la première fois le i; Juillet 170^ la musique n'a été imprimée que par extrait in-jf. Seil n'a pas été repris. La Fortune, dans son Temple, forme la Prologue. Nous avons aussi une Tragdie Msnus, de Defchamps donnée au Théâtre Français le n lanv. 1739 fans grand succès, n'ayant eu que huit représentations.

MEDUSE, 40™ opé. Le Poème eut de l'Abbé Boyer, et lamufiq.qui n'a pas été imprimée deGervais cette Tra-• gédie, quin'a point reparu au Théâtre fut représentéepourla première fois le 13 Janvier 1697, . Des Bergers fontle Prologue. On raconte, au sujet de cet Opéra, quel'AbbéBoyer fortant de le voir jouer un jour où il n'y avoitpaseu grand monde, en rejettala faute fur la pluie, etqueFurenere fit à cette occafionl'Epigram_mefuivarite.

Quand les pièces rcpréfcnttct

De Eoyer, font peu fiéqusnrcct

Chagrin qu'il eu d'y voir peu d'aflîlUnt,

Voici comme il tourne la chose.

Vendredi la pluie en cil caufe

Et le Dimanche, le beau tems.

MEGARE, Tra. de Morand, représentée une feule fois le 19 Octobre 1748 l'Auteur fit des corrections à cette pièce, mais elle ne fut pas rejouée.

La MEGERE AMOUREUSE. Voyez le Poète BASQUE.

MELANIDE, comédie de Nivelle de La Chaude, en f Ac. envers représentée pour la première fois, avec beaucoup defuGCCs, au Théâtre Français le iz Mai 1741 et redonnée fouyençdapuis. On prétend qu'elle est tirée- du Roman inti-, -tqliS MctdanïifdU de Bontems.^ELEAGRE. Ce sujet tiré du huitieme liv. des Mitamorphofesa fourni cinq Tragcd. uneTragt-Comcd. etun

Opéra. Les Tra. ont été données par Pierre de Bout!)', àj. Çaen en i f8i; par Hardy, a l'Hôtel de Bourgogiiecn

Il 604 par Benferade, en 1640 par Bourfaulc en \6^:celle-ci n'a été qu'imprimée, elle avait été composeen j

Ac. de vers lyriques avec un Prol. et mire en parrie enft\uCi. par Lully, pour être, repréfemee devant Louis XIV, au château de Maintenon ce qui ne fut pas émeute. Lacinquième, enfin donnée par La Grange-CEncel fut

Tepréfentée le z8 Janv. 1699, et parut dix foi^JLaa Trrgi.Ççm. en: intitulée la Fatahté DEMïiéagrb< elle e(lde

BoilTifi de Gallardon et fut imprimée en 1 6 1 8.

L'Opé.deMBL*ACiREeftle7ime. Le rocme est deJollyi'JBcla mnfiq. de Barjftin.j il fur repréfemé pour la premièrefois le z^Mai 1709, et est imprimé partition in- 4°. Le• Çrol. est ladifpute au sujet de la Mufique entre la Franceetl'Italie. Malgré quelques corrections que les Auteursfi;rent a cet Opéra, il n'eut pas de succès etn'a point (cc

JÇPLEZINDÉ -Coin. en vers eten Actes, par M. Le Beaa

T , dé Schofnes donnée'au Thé. Ical, pour la première fois, et avec quelque füccès le 7 Août 1 7r 8 Cette piecen'm/iijet tient beaçoupdu tragique; ce«

MEL [Pièces.] MEL i9r

T ijun mariqui voulant éprouver la fidélitéde fafemme, faitcourirle bruitde fa mort pour voir fi, félonFumageétablidansl'Inde où se pallèl'aâion elle fejetteradanslebûcherde fanépoux.

MELICERTEPnjlo. hérotq.en vers par Moliere reprcfentéedevantleRoià Saine-Germain -en- Laye avecle

Ballet desMuses, le t Déceni.1666.Molièrenefit quedeurAûesdecetteComéd.etellene fut même pasimpriméedefonvivant.

On la trouvedansle feptiemevol.de(esOEuv.VoyerMIRTIL.

Ce fuiet de Mbucerte a été mis en Opé. les vers étoient de

Guerin, et la muGq. de La Lande; mais n'ayant pas étégoûté il ne fut pas repréfènté.

La MELISSE Tragi-Com, par un anonyme en S Aftes envers avec un Prolo fur le Rien donnée en 1 6f 8. Voye^

Melize. Ces deux pièces ne doivent être qu'une mêmechose.

MEUTE. Com. en r Ac. en vers. C'est la première pièce de

Pierre Corneille, et il n'avait que 19 ans lorfqu'il la compofa.

On a dit que Corneille ne fongeoit à rien moins qu'àla poéfie, lorfqu'il lui arriva une petite aventure galantequ'il accommoda au Thé. en ajoutant quelque chose à 1*vérité, et qu'il fut comme étonné de se voir Auteur d'une

Coméd. d'un genre nouveau, et fort différent de ce comiquebas et de ce férieux obfcur qui régnait alors cettepièce fut jouée en 1 61 à ce que nous apprend Fontenelle.

Hardy, qui émit l'Auteur banal du Thé. et aflôcié pourune part avec les Coméd. répondait à ceux qui lui apportoientfon contingent des représentations de Meute bonnefarce, parce que cette part Cetrouvoit bien augmentée parle succès de cette pièce qui fut fi grand, qu'il s'établit unenouvelle Troupe de Coméd. parce qu'on vit que le Thé.allait être plus fréquenté qu'il n'avoir été jufqu'alors. Ellene fut imprimée qu'en 16 3 5 et Corneille y fit des correctioi.3 à la feconde édition et en adoucit quelques endroitsun peu libres; c'est ain6 qu'elle se trouve dans le tome premierde fes OEuvres.ta MELIZE", Pafto. Comi. par Du Rocher, en cinq AQesenvers avec des C/iaurs et un Prolo du Rien quife trouvedans lcs OEuvres de Brufcambïlle Dejlaurièrs. Elle futs*i MEL [Pièces.] MENimprimée à Paris en t634, in-8°. Voyt{ Mtusss.

MELPOMENE VENGÉE. Voyt[ les Amours DESDéesses;et les TROISr-ECTACLES.

MÉLUSINE. Cette Fée, moitié femme et moitié Serpent, qui elt, comme l'on fait la fable de l'origine de l'illuftremaifon de Lu{ignan, a fourni à Le Svim le sujet d'une

Ira. en f Ac. dollinée à être mife en mufiq. et impriméeen i-j ix et à Fuzelier celui d'une Com. en Ac. en pro.avec des Div. qui fut donnée au Thé. Ital. le 3 Décemb.1719 et n'est pas imprimée.

Les MENECHMES, c'est-à-dire rcflemblans à foi-méme,

On lait que Plaute a fait une Com. des Menechmes; Rotrouen compofa une en f Ac. en vers, qui fuc jouée enj6;i, etimprimée eh i<5 56 et dans laquelle il a copiéplusieurs traits de celle de Haute Regnard en fit reprétenterune aurre, le 4 Décembre 1705 aufli en Ac. envers, avec un Prologue ce'le pièce qui est fort théatraleet tres-diverciflante se donne alfez fouvent mais fansle

Prolog. et Ce trouve dans le tome quatrième des (Euv.de

Regnard. Foyfç auai les Nicandr.es et le SEMBLABLAE

Sol-MÊME.le MENTEUR, Corn.en Ac. en vers, de Pierre Corneille, donnée à l'Hôtel de Bourgogne en 1 641. Cette excellentepièce eflren partie une traduction et en partie une imitationde celle'de Lope de Yega. ou plutôt de Juan d' Al--caron: ce sujet Efpagnol fembloit fi beau àCorneille, qu'il• diftnt Couvent, aùifi cjù'il nous l'apprend dans fa Préface, qu'il auroit donné (es deuxplus belles pièces pour en êtrel'inventeur.. On la trouve dans le tome troisième de les

OEavres. •la fuite du MENTEURe, f, t une autre Corn, du mêmeCorneille, et auflî en r Ac.en vers, repréfentéefur lemême

Théâtre en 16 4 j, etimprimée dans lemême volumeelleest tirée de Lape de Yega;etcomme cette piecea desrapportsà celle du- Menteur, il est difficile de l'entendrequ'on n'ait. v.u.oulula première le fuccèsde celle-cinefur pas r avantageux que celui du Menteur: cependanr, dans une reprise qui en fut faite par lesComédiensduMarais, quatre où cinq ans après fa nouveauté, elle eutun

MEN- [Pièces.] MER 19 f

Tii>

Les MENTEURS QUI NE MENTENT POINT, ou les

NICANDRES, Corn, de BourLault.en vers, repréfenice àl'Hôtel de Bourgogne en 1 664 étant en S Acles, réduitedepuis à 3 et qui a été imprimée in- 11. des deux façons, celle en 3 Ac. elt cependant rare. L'intrigue de cette pièce, ainfi que des Menechmes roule fur la rcilemblance parfaitede deux freres jumeaux.

MENZIKOF. Foyei les Muses.

La MEPRISE, Corn. en un Ac. en pro. par M. de Marivauxjouée pour la première fois au Thé. Irai. Je 16 Août 1734, qui n'eut en tout que trois représentations.

Il parut auffi le 1 4Nov. 1 7 3 9 au Thé. Iran, une Com. enun Ac. en pro. avec un Prol. fous le titre de la Méprisepar M. Audierne j et qui n'eut que cette reprélentarionelle n'est pas imprimée.

Les MEPRISES Com. en un Ac. en vers libres, avec un Div.par M. Pierre Rouleau, donnée au Théâtre Français le 1 Avril1154-, avec un médiocre fucecs. On a prétendu que lefuiet et le plan de cette pièce (ont tirés de la:Com. des Quiproquode Brueys.

Les MEPRISES ou le Rivai, PAR ressemblance Com. enr Ac. en vers de dix fyllabeSj par M. Paliflbc, donnée an

Théâtre Français le 7 Juin 1761, et qui fut retirée après cettereprefentation. L'Auteur a fait imprimer fa pièce fous lefiinple titre du Rival par reffemblance ( Voyez. les Quatrbsemblables ) et dit dans la Préface qu'elle a été mal entenduece qui est alfez vraifemblable.

Le MERCIER inventif, Com. Paflo. en f Ac. en vers, par unanonyme, jouée et imprimée à Troyes en 16 3 2..

MERCURE ET DRYOPÉ, Paflo. en un Ac. par Autreau, deftinée à ètreînife en mufiq. Elle est imprimée dans lequatrième vol. de fes OEuvres»

Le MERCURE GALANT en en pro. avec des

Scènes italienn. donnée fur l'ancien Thé. Ital. -le il Janvieri£etz par Fatouville. Voye[ aulE la COMBDIE SANS

TITUS.la MERE CONFIDENTE, Com. en Ac. en pro. par M.de Marivaux donnée pour la première fois fur le Thé.

Ital. le ?Mai 17 3 y et fuivie.'LaMERE COQUETTE, Voyci les AMANSbrooiile's.ÏU MER [Pièces.] MER

La MEREEMBARRASSÉE O/». CW.d'un Ac. arec en

Prolog. donné le 16 Juin 17 H par M. Panard. Il n'estpas imprimé..

La MERE JALOUSE, Op. Comi. en un Ac. donné par Carok:, le 19 Septembre 173t.

La MERE RIDICULE, Com. en un Ac. par un anonrme, donnée le 8Mai 1684 et qui n'eut que cinq repréîenrj- rions. elle n'cft pas imprimée.

La MERERIVALE Com.en } Ac.en profe par de Beaachamps;elle ne fat jnuée qu'une feulefois au Thé. Ital.le 1Janv.1719 Celonle Catalogue de Briaflon.

La MERIDIENNE Corn, en un Ac.en pro. mêlée d'Icalien, avec un Div. par Fuzeîier donnéeau Thé. Ital. le 1 1Mai1719. Elle n'ell pas imprimée.

MERLIN. Voyc^Amours DEMERLIN.

MERLIN DESERTEUR Corn, en un Ac. attribuéei Dancourt, et donnée à fon Thé. le 1%Aoûc s6 90 avecafezde (uccès. Elle n'est cependant pas imprimée.

MERLIN DRAGON, ou la Dragons Corn, en un Ac.enpro. par Defmarres, reprefentée le 16 Avril 1 6 86, avecun grand succès; elle est imprimée dans le huitièmevcl, du Théâtre François.

MERLIN GASCON Com. en un Ac. par Raifîn l'air.é. donhéa-avec succès au Théâtre Français le 7 Oct. 1690, et quin'estcependant pas imprimée.

MERLIN PEINTRE, Com. en un Ac. attribuée à LaThoil-"ferie donnée par les Coméd. Fran. le to Juillet 1i 87 ellen'est pas imprimée.

MEROPE. Cette tragédie Italienne, qui a fervi de modèletoutes celles dont on va parler, est de M. le Marquis de

MafeyyiMadte (avant de Vérone, cônnu par plafienrsouvrages dont on peut voir le catalogue dans differens

Journaux. Elle Cembleimitée d'un Opéra de deux piècesitaliennes du même titre, et de notre Amasis S: parti!imprimée pour la première fois en 17 10, etdepnis, malgréles défauts qu'on y remarque il s'en est fait en Italie, et dans les pays étrangers plus de quinze éditions, il eniparu des'traduction! en plufîeurs langues, Se.on la reprefêntaau Théâtre ItaL à Paris dans le mois de Mai 17Il,

MEtt. [Pièces.] MET »>•

T iiijd'abordgratis et enfuite pour le prix ordinaire del'entrée.

Nousavionsdéjatroistradnôionsde cette pièce, quandM.deVoltairedonnafa Mérope Française elle fut repréfentéepourlapremière fois le 10 Février1745 avec un

Ibcccsquia peud'exemples.Le Parterrefitmêmeà l'Auteurunhonneurinuficéjufqu'ace tems; il demandaà levoirà la fin de la fepréfentation etlorfqdil parut, ilreçutlesapplaudiifemenslesplusflateurs.C'est prefquelafeulepièceprofanequi foit dénuée, d'amourj choferemarquableLa

Foire en fit paroître des Paroi touslestitresde MAROTTEd, e l'ENFANrTetrouvé et de JAPendantlesreprésentations de la MeRorEde M.de VoltaireunAbbéfitparaîtreune nouvelletradnftion en prore del'Italienne;et fix ans après c'eh-à-direen Mars1 749

M.Clémenta donné au Publicune autre Tragédie de

Mérope en cinq Ades en vers, qui n'a pas été jouéemaisui; à cequ'il nousapprendpar fonAvertifTcmehtavoitétéfinie, etpréfenteeauxComéd.avantcellede M.deVoltaire: d'ailleurs la conduite en eif' différente', etl'amourr règneepilbdiquement quoiqu'avecairezd'arc, etd'intérêt.

QuelqueCsurieuxont enmanufcritlaMétopedeM. deVoltaire, réduiteen Actespar le Roi de Prune, etdans laquelleceMonarqueaajoute quelques Ariettes pour enfaireunOpéra.Je ne fais'il a étémisen«trafique.

MEROUÉE, Tri. avecdeschoeurs par Billardde Courge*nayreprefentéeen 1607 impriméeen i'éio.Cefujet en:tirédel'hiftôirede France.

LaMETAMORPHOSE AMOUREUSE, Com.de Le Grand.enunac. en.pro. jouée au Thé;Fran. le 6 Août 1711, etquile trouvedansletomepremier defesOEuvres.

LaMETAMORPHOSESUPPOSÉE .petite Càk.en «h Ac.envers, donnée:au Thé. Ital. le 1$Octobre• fiiccèsetquin'est pointimprimée.

LaMETAMORPHOSDEESYEUXDEPHILIS. r^les YEUXDEPhiiis.. "-'

Les, METAMORPHOSES. Il y a eùiden* Côm/dece-titré:la p¡cmiere, par un anonyme, 8cpeu connue la fécondettj.S MET [Pièces.'] en MET quatre Ac., en pro. avec quatre Iniermed.parM.de

Saint-Foix repréfentéeauThe. Ital. le i f Avril1748etimprimée fouslenomdeM.B. DEVa** en Mai1745.

C'est unfujetdeféerie, etellea pourfecondtitre lesPARFAITS

AMANS.tes METAMORPHOSES DE LA FOIRE. royeil'HisTont

Dit l'Opsra Comique.

Les METAMORPHOSES DE POLICHINELLE, pièce enun Ade en vaudevilles et en profe, par un anonyme., représentéepar les Marionettes de Bienfait, à laFoire Saint-

Germain 1740, et non imprimée.les METAMORPHOSES EXTRAVAGANTES, Com.ennn

Acte en profe, par un anonyme imprimée en 17 48, à la

Haye.

La METEMP.SICOSE, Corn, de Dancourt, reprefentee au.Théâtre Français.le-i7.Décem. 1717} elle est en j Ac. en verslibres v.ayec un Prol. 4:, des Intermed.-dont la mufi. étaitde Monret. Le fujec est Jupiter qui (bus le nouveau, maisplus sûr»dcguifeinent d'un Financier, cherche à mettre*; Corînede moitié d'une infidélité qu'il veut faire à Junonqui de ra part, et auflî fous le mafque, ne manque pas detraverrer ces nouvelles amours. Les Comcd. croient lespremiers à décrier cette pièce, à caufe de leur mcfinttlli-..gence avec l'Auteur leur camarade, et ils n'eurent pas, ditun Auteur, de peine à y réuflirselle fut cependant jouéedix fois de. fuite..On la trouve dans le. dernier tome desDancourt...le Théâtre Français donna encore une Com. en Ac. de fcenesépifôdiques eten vers, avec un Prologue encre Marnas, , Pithagore et le Dieu Brama, intitulée la Mbtempsicosï..Cette nouvelle pièce parât pour la première fois le 16Mîii J7fi; à la féconde représentation le Prolog. en fut retranrelié;en6n à la troisième elle fut réduite en un Ac. de fîtfeenes.. On trouva.dans cette Coméd. dit un Journalifteides vers etdes portraits bien faits beaucoup d'efprit maispeu de goût et d'entente du Théâtre. Elle est de M. Yonles fcenes fupprimees etplufieursautres qui n'avaient point paru du tout.

Xà-METEMPSICOSE D'ARLEQUIN Com. Ital. en unAc[telles firan., et un Div. reptéfemee le 19 Janvie

MET [Pièces.] MIN 197171 8.Le canevasefl de Lelie père etles (cènesfrançoifbsde Dominique. On peut en voir l'argument dans le premiervol. duNouveau ThéâtreItalien.la METROMANIE ou le Poetb Coin.en vers eten r Ac.de M. Piron, représentée pour la première fois au Théâtre Français le to Janvier 1758, jouée i) fois de fuite, trèsapplaudie, etrevue de tems en rems avec plaifir. Les

Poéfiesque M. Des('orges Maillard fit imprimer longtemsdans le Mercure, fous le non de MlleMêlerais dela Vigne ont donne l'idée de cette pièce.

LaMEUNIEREDEQUALITÉ, Op. Comi.en un Ac. donnéle z7 Sept. 174t. Ueft de M. Drouin, et n'a pas écéimprimé.

LeMEURTRED'ABELPAR CAÏN, Tra. par Thomas Le

Cocq, en t 80; cette pièce est fansdiflindion d'Allesni de fcenes

MEZZETINGRAND SOPHI DE PERSE, Com.en Ac.mêlés de verset de pro. par De Lofine de Montchenayrepréfentéefur l'ancien Thé. Ira1. le 10 Juillet. 1689.

Il n'y avait point d'Arlequin dans cette pièce à caufede la mort de Dominique. Vbye^MEZZE-riN, aux Auteurs.

MIGNONETTE, Com.Bail, en Ac. ornée de fpeétaclesetde danfes, repféfenréedevant le Roi à Verfailles le 1o

Fév, 17fo..On en trouve le Programmedans le quatrièmevol.du Thfatre despetits Appartemens.

MILAS Tragi-Corn.Pafla en y Ac. avec des choeurs, par

Baflècourt, imprimée en if94, etcompofce à Douay, pour concourir au prix de Poéfiequ'on y donnoit tous lesans le i d'Août. Ce prix confiftoit en une Couronne etun chapeaud'argent.

MINOS, ou I'Empire souterrain Corn, en un Ac.en pro.de (cènes épifodiques, imprimée en 1741 etnon repré-, • fentée.Elle est de M. Simon.(a) Voici lé dtreen entier de cette pièce. L'odieux etfanglant mtur*

Vt commis par U maudit Caïn ¡'encontre de [on frere Abtl 'traitau quatrième chapitre de la Genefe Tragédie morale à d»u\e perjbnn*-eti;f avoir Adam Eve Caïn, A/, Calmana faur et femme à'A-™» Dibora faur et femme de Caïn , l'^Age le Diaile, Remords detnfiience, USengd-MelJePiihl, I

MIRAME Tiagi-Com. de Defmarers donnée en ittfig. Unepartie de cette pièce étoic à ce que l'on prétend, du Cardinalde Richelieu; auflî témoigna-t-il des tendrellcs depere à fon fujec, ayant dcpenfé plus de cent mille écuspour la faire repréfênter et ayant fait bâtir exprès cette

Salle de ConPalais 9ui fert encore aujourd'hui aux repré.remarions de l'Academie Royale de MuGque. Elle n'eutcependant pas de succès la première fois qu'elle parut Sene fu. applaudie à la feconde, que par une nombreufecabale placée dans le Parterre.

Le MIROIR, Com. en un Ac. en vers libres, avec un Div.par M. Petit, représentée au Thé. Irai, le z8 Août 1747, et applaudie.

Le MIROIR, okI'Amanï sdpposb, Op. Comi. en un Afle, donné le 1 Septembre 1739 paçM. Panard. Il n'eff pasimprimé. Le sujet en est pris d'une hiftoriette qui le trouveimprimée dans le quatrième vol. des (Euv. de Dufrc-ny, etrepréfènte le ftratage-me dont iê fert une Demoifclle pourfaire connoître à un homme qu'elle croit indifférent, lequi la preflè de lui dire li elle aime quelqu'un que c'efbluiqu'elle chérit. Elle lui offre une boîte dans laquelle est, dit-elle, le portrait de Conamant, il l'ouvre et n'y trouvequ'une glace qui le repréfente.

Le MIROIR DE L'UNION BELGIQUE, Tragi-Com.illégoriquefur l'état des Provinces-Unies, par Antoine Lancel, imprimée on 1604.

Le MIROIR DES VEUVES, Com. par le Heins, donnée enïf ?$ félonde Beauchamps.

Le'MIROIR MAGIQUE. Voyt^ la STATU! MERVEILLEUSE.

MIRTIL Bergerie Alfabdlt Andrinè donnée par Abradan, en 1601 elle en: en i Ac. avec un Prol. en profe.

MI RTI L ETMELICERTE. C'est la Pafto. de Molière dont^r-Guerin, fils du Coméd. tranfpofa les deux Ac. en vers ljriq^ues y en ajoura un troisième et des Intermed. et qu'ily mit en cet état au Thé. le 10 Janv. 1699.

Le MISANTROPE Com. de Molière en Ac. en vers, représentée pour la première fois fur le Théâtre du Pa-

Jais Royal, le 4 Juin 1666 et imprimée dans le tometroiCémede fes(Su«és.- L'Europe, regafHe cet ouvragesomme leehef-d'.ccavredu haut comique cependant il ne

MIS [PIECES.] MIT t99fut pasfuivi , età la quatrieme repré tentationle Thé. furptelque défert; fon intrigue fineet ingénieufe, mais tropfcrieule n'étant pasà la porcéede tout le monde. Lesgensd'efpritl'admirèrent lesautres ne l'allerent point voir. Lalettre imprimée à la tête de cette pièce en fait remarquertoutes les beautés. Elle fut à la fin goûtée de tout lemonde, et jouée pendant plus de trois mois. Lesennemisde Molière voulurent perîùader au Duc de Montaufierfameux par fa venu fauvage, que c'était lui que Molierejouoit dans le Mifantrope, le Duc de Montaufier alla voirla pièce, etdit en fortant qu'il auroit bien voitiu reflemblerau Mifantropcde Maliere. Une anecdote fur un endroitde cette pièce est que les faux dévots, irrités de la

Coin. du Tartuffe dont il avait paruAc. dès 16(4, firentcourir dans Paris plurieurslibelles trcs-fàtyriquescontre 'Moliere.C'est à l'occafion d'un de ces libelles leplusoutré, qu'il fait dire à fondansla première fcenedu cinquième Ade

Et non contensencordutort quel'onmefait, -

Il courtparmile mondeun livreabominable,

Etde qui la lcûureeftmêmecondamnable,

Unlivreà mériterlademierctigu:uc ete.

Le P. Geoffroy fit jouer en 17 si au college des Jéfuitesà Paris, uhe Corn, intitulée auiïî le MISANTROPE, maistotalementdifférente de celle de Moliere.

MlSOGINE, ou la Comédib SANSÏEMMs.par Bqrdelon, impriméevers 1^94.

MISTERES.Yoyet Mystèris.

MITHRIDATE.Ce Roi du Pont a fervi de sujet à trois Tra.

Lapremière par La Calprenede, donnée à l'Hôtel de

Bourgogneen 16j j ronsle titre de làMoxr DEMithridatb.

On raconte quz la première repréfèntation de cette'iece s'étant faite le jour desRois, un plaifant du Parterre, s'écria lorfque Mithridate avale le poifon le Roi boit le

Roiboit, . cequi excita de grands ris, et ne fit nul cependant tort au fuccèsde la pièce. La féconde attribuée Scuderyen16:4. La troiûeme deRacine, repréfemée avecbeaucoup de succès à l'Hôtel de Bourgogne, en Janvierï*7 }•et impriméetome fécondde CesOEuvres.Oneftime;oo MIZ- [Puces;] MOMfur-tout, dans cette dernière, la force avec laquelle fortilIuftre Auteur a exprime les (èntimens de Mithridate f foucourage, Ùl haine contre les Romains, (a politique, ft«liflimulation et fa jaloufie. Le rôle de Monime est auflifort beau.

La MIZAILLE A TAUNI, Com. par Droutet, en i66z.

La MODE, Com. en pro. en un Ac. de fcenes cpifodiques, avec des Div. par Fazelier représentée au Thé. Irai. le 11

Mai 17 19. Elle avait fervi de Prolog. à 1' AmourMAirREde langue mais l'Auteur l'avant augmentée de quelquesfcenes en fit une pièce féparce. Elle n'est pas imprimée, mais l'argument s'en trouve dans le premier vol. du Nouveau

Théâtre Italien.

Madame de Staal a fait une Comédie. en Ac. en pro. intituléela MODE elle a été imprimée au mois de Septembre17 f f et donnée au Thé. Irai. fous le titre des Ridîcuîes

DUJooR le ii Octobre- ij6i mais elle ne reuffit pas.les MOEURS DU TEMS, Com. en un Aç. en pro. par M.

Saurin, donnée pour la première fois au Thé. de la Comédie

Fran. le ii Dccemb. 1760, et qui eut du succès.

Elle fut reprife un an après. Voyer les FAÇONSDUTEMS.

Les MOINES, Com. en trois petits Acles en vers, avec unchoeur de Moines en vers libres, par un anonyrire, qu'onprétendfctre l'Abbé de Villiers imprimée en '716. Lafçene de cette pièce, qui est finguliere, se paire dans les

Cazernes de Monaco.

MOLIERE AUX CHAMPIS ELISÉES, Com. en Ac. enpro. pac Bordelon imprimée en 1694.

Les MOMIES D'EGYPTE, Com: en un Ac. en pro. avec un

Div..par Regnard et Dufrény, représentée au-Thé. Ital.le 19 Mars i6?6. C'était en quelque forte la fuite de.la

Comédie de la Foire Saint-Gsrmain des mêmes Auteursla fcene continuant d'être dans les Boutiques decette Foire.

MOMUS Opè. Foye^ les Amours de Momus.

MOMUS A PARIS, Op. Comi. en un Ac. donné au mois de

Fév. 1731, par M. Panard et Fagan.

MOMUS CENSEUR DES THÉÂTRES, Op. Comi.en un

Ac. avec un Prol. par M. Bailly, donné en 1 71 r»ÇÛKJUGÉ.:ftyç{r Apologie DUsiècle.

MOM [Pièces.] MON ;01

MOMUS EXILÉ, ou les Terreurs PANIQUES, Parodie du

Ball. des EtEMENs en un Ac. en pro. avec des Div. par

Fuzelier, donnée aux Irai, le s f juin 171 f. Elle n'est pasimprimée.

MOMUSFABULISTE, ou les Noces DEVulcain, Com.en un Ac. en pro. avecun Div. de Fuzelier, repréfentéeau

Thé.Fran.avecun très-grand succès, le îfiSeptem. 171?.

LesFableslégeres les traits faillansetvifsde cette piècequi contient d'ailleurs une fine critique des Fablesde La

Motte, excitèrent la curiofiré du Public-à en découvrirl'Auteur 'qui ne voulut se faire connoître qu'à la vingtièmereprésentation et le Public fâché d'avoir pris!lechange, en l'attribuant à tout autre qu'àfon véritable Auteur, eut l'injuftice de vouloir le méconnaître, lorrqu'iljugea à propos de Cedéclarer, après avoir joui fi longtemsduplaifir de l'incognito. Fuzelier a retranché depuisdecette pièce tout ce qui n'était plus vaudeville et y aajouté deux. Fablesnouvelles elle se trouve dans le douzièmevol. du ThéatreFrançois.

MOMUSOCULISTE, Op. Comi.en un Ac. représenté pourla première fois le i; 3Juillet1757 il est de Carolet, etn'a pasété imprime.

MOMUSPHILOSOPHE, Com.en un Ac. en vers libres, par Boûllanger de Rivery, imprimée à Amherdam en.17;o et vendueà Paris chez CailleauetDuchefhe.

LeMONARQUE, Com.en vers de f pieds, avec un Prolog.fansdiftinftion d'Actesni de (cènes, donnée par François

Habert, en iyf8.

Le MONDE DES CORNUS, Com. en vers, où par difcour'tplaifans et agréables ejl amplement traité de l'origine descornes, efpeces et effets d'icelles et enfin démontré fi lafimme deshonnête peut faire deshonneur à l'homme qu'onditles. porter. Comédie en profe 6*en vers, compofée en faveurdes fufdits , par F. C. T. fans date nom de ville nid'Imprimeur. De Beauchamps mec cette pièce dans l'ar--ticle de Le François Chappuis. MONDE QUI TOURNE LE DOS A CHACUN, piècedramatique, donnée en 1^4, par Dabundance.

Le MONDE RENVERSÉ, Op. Comi. en un Ac. de Le Sage et D'Omeval fur le plairde LaFont, représenté à la Foire30t MON [Pièces.] MOR

S. Laurent en 1718 , et remis lé Avril 175J avec deschangemens par M. Anféaume.

MONSIEUR DE MORT EN TROUSSE, Corn, en un Ac. en pro. par Bordelon, imprimée vers 1694.

JMONTEZUME. Ce dernier Roi du Mexique, vaincu par Fernand Cartel, a fourni le sujet de trois tragédies. La première de Ferrier, repréfemée au mois de Fév. 1702 et qui n'est pas imprimée ( a ). Lafeconde, de M. Piron, donnée pour la première fois le 8 Janvier 1744 avec peu de succès, , et qui n'a été imprimée qu'en 17^8, dans la derniere édition de fes (Euv. et la troilîeme, en r Ac. en pro. traduire de l'Anglais de M. Dryden, par M.l'Abbé de B. et imprimée à la fin de l'année 1745.

MONTGOMMERY Tra. où font contenus par brieves rur.rations tous les troubles de 'à4«r, ince, depuis la mon de

Henri ll.jufgu'en ij66, par Gerland. Cette pièce parut, fuivant Du Verdier, en 1 77j et on ne la croit pas imprimée.

MONMOUTH tragédie de Vaerneurych imprimée en 1701;

Quelques perfonnes attribuerent cette tragédie à LaFontainc, parce qu'elle Cetrouve au nombre de fes ouvrages dnïis, un petit Recueil imprimé en Hollande très-fautif fur lenom des Auteurs des pièces y contenues.• 3Le MORFONDU, Corn.de Jean de La Rivey, en y Ac. enpro. donnée en 1 7 8.{.a MORTBURLESQUE DU MAUVAIS RICHE, Tu;.hiftorique à dix-huit perfomiages par Des-Ifles le Bis, jouée et imprimée à Rouen en 1700.la MORT D'ACHILLE. Achille.(a) On a rapporté divetfement les deux premiers vers de cette Triçédiequi Soient tcès-pompeuz Se ïnnonçoient beaucoup. Afontefumtpar'oiffoit couvert de diamans fut un trône brillant ayant à fes piedsdouze Caciques fupetbcment vêtus auxquels il difoit felon des Au-

Elavts, lcvti-vous, votre Maître aujourd'hui

Vous permet -de lever vos regards jufqu'à lui..

OU ièlon d'autresleve^-vous votre Roi vouspermet aujmri'hui• VJXofirïemifager etie garUr à lia.

La MORT D'ADAM, tragédie en Ac. en pro. traduite del'Allemand de M. Clopftock par M. l'Abbé Roman, impriméeà Paris, in-u. en Avril 1761.'

La MORT D'AGIS. On a connoissance de deux tragédies de ce titre l'une par Guerin de Bouscal représentée en 1 6+i l'autre de Crébillon, et non achevée. On prétend que cette dernière était LA MORT DE CROMWEL, déguisée fous ce nom.

LA MORT D'ALCIDE, tragédie donnée avec peu de fuccèsaumoinsd'Octobre 17 oj et attribuée sans vraisemblance à Dancourt. On ne la croyait pas imprimée, cependantelle l'a été in-i 2.eton en trouve un exemplaire dans la BibliothequedeM. le Duc de la Valiere.

LA MORT D'ALEXANDRE, tragédie par Louvet, réprésentée le z6 Mai 1 684 et non imprimée. Voyez ALEXANDRE.

LA MORT D'ANNIBAL. Voyez Annibal.

La MORTD'ASDRUBAL.On donne cette Tra. à Zacharie Montfleury le Comédien } Seen effet, ayant été jouée et ximprimée en 1 £47 elle ne peut être de (on fils. Le fujee enell pris du fac de Carthage. On la trouve dans le tome premiers des oeuvres de Montrieury.

La MORT D'AUGUSTE, ou AGRIPPA tragédie par Riupéroux, représentée au Théâtre Français le 19 9 Mars1696, et qui ne fut jouée que deux fois. Elle n'est pas imprimée.

LaMORTDE BRADAMANTE. Voye^BRADAMANTB.

LaMORTDE BRUTE ET DE PORCIE, ou.laVbngeanc»de LAMORTde Cbsar tragédie de Guerin de Boufcal, avecunProlog, donnée en Fév. i£}7.

LaMORT DE BUCEPHALE, Tra. en un Ac. envers, impriméepourla première fois en 1749. C'eil une critiqueingenieufedes différentes fituationsforcées et peu naturellesdela plupart de nostragédie Elle est de M^Rooflèauetfut repréfentéeen 1748a Compiegge par une de Troupe Comédiens pendant le ffjour du Roi.

LaMORT DECAMBYSE, Tra. de M. Le Miere, préfentee aux Comédiens François en 17; mais qui n'a pas été reçue.

La MORT DECATON, Tra. d'un anonyme, donnée en K48. De Beauchanipsen attribue une du même titre l'Abbé Abeille.

La MORT DE CÉSAR. Nous avons trois Tra. fous ce titre, outre le CÉSAR de Grcvin. La première de Scudery elle est intéreirante et alfez régulière, fur représentée avec un très-grand succès en itfjfi à l'Hôtel de Bourgogne , etimprimee /n-40. la même année. La féconde de Müe Barbier, qui fut représentée le i6 Nov. 1709 et eut l'approbation des connoiffeurs, quoique donnée feulement fir fois on l'attribue à l'Abbé Pellegrin. La troisième, de M. de Voltaire cette derniere est en Ac. et fans rôle de femme. Elle fut représentée pour la preirliere fois à l'Hôtel de Saflènage enfuite aux Colleges de. Harcourt.et de Mazarin; et enfin fur le Thé. de la Com. Fran.-le 29 Août 1743 mais avec peu de fùccès, attribué au défaut d'amour défaut qui n'a cependant pas attiré le même fort à la Méropb, du même AiKcur.

La MORT DE COCHON, Chien de M. le Maréchal de Vivonne, tragédie d'un acte en vers, par Mme Deshoulieres, imprimée dans le recueil de ses pièces choisies, tome 4, page ji4.

La MORT DE CRISPE, Ott l'INNOCENT MALHEUREUX Tra.par Grenaille en 1639- Elle est tirée du latin daStcphonius.

La MORT DE CRISPE, ou les Malheurs DU GRAND CONSTANTIN, tragédie de Tristan, donnée en 163.9 ou 164.J. Elle se trouve dans le deuxième volume du recueil des meilleures pièces des anciens auteurs.

LA MORT DECROMWEL, Trag; par le P. Marion, reprélèntée à Marseille il y a une vingtaine d'années [~1750].

La MORT DE CYRUS. Voye^CYRUS.

La MORTDE DAIRE ou DEDarie. Voye^Darius.

La MORTDE DEMETRIUS, ou le Rétablissement d'ALEXANDRREo, i d'Epiri: l'AbbéBoyer, donnée 1 le i.ojcv. 1660^.à l'Hôtel de Bourgogne.

La MORT DE GORET, tragédie burlesque, en un acte, par M. de Lorme, donnée à l'opéra-comique sans succès, V le ii Juillet i7j}Vç'est une efpece de Parodie d'ANLa

MORT DE HENRI IV. tragédie avec des choeurs, par Billard dé Courgena^jjouée, devant Marie de Medicis, \jta\6ih, #

La MORT DE LESCOMBAT tragédie en Ac. imprimée aucommencement du mois d'Oetob. 17 f f. Toute la Francea été informée des aventures de la Le/combat convaincued'avoir participé à l'aflàflînar de fon mari et dont le fupplicea fait l'objet de la curiofité et des entretiens de tout

Paris.

La MORT DE MANDRIN, tragédie de M. de La Grange ennc. imprimée en Septembre 17 f f et jouée à Metz, à

Nancy-, etc. Ce fameux et hardi Contrebandier a été célébrédans différens écrits, et les nouvelles en firent mentionfi fréquemment qu'il doit être fuffifamment connu.

La MORT DE MANLIUS, T'rag. par Nogueros jouée etimprimée à Bordeaux en 1660.

La MORT DE MITHRIDATE. Voyt^ Mithridam.

LaMORTDEMUSTAPHAV.oyeSi oliman.

LaMORTDENÈRONTragdePechantréil. futneufansàlacompoferetlanerepréfêntelreti Fév.1705 c'estfadernierepiece.Il courutalorsunehifboireouunconteaufujetdecetteTragédie-on difoitquePechantréayantlailFé furlatabled'unepetiteAubergeunpapieroùil yavoiatuhautquelqucehsiffres etoùau-deûoéutositécrit

IcileRoifera tue, le Traiteur déjàfrappédelaphifio-_ nomieetdela, didraâion denotrePoëte, crutdevoirpwstercetécritauCommiflairdeuquartierq, uidetapartpfer1- fuadéqu'enpareillematièreon nedoitriennégliger, luiditquefil'inconnurevenoitmangerchezlui il nemanquâtpasdel'enfaireavertir.

Il yrevinteneffetquelquesjoursaprès, età peinele-pauvrPeechantrcéommencdit- ilàexploitefraportion, qu'il fè vit envelopppear nnetroupde'archersetle Commiflailrueiayanrp, roduitpreuvelittéraledefoncrimede leze-Majeftéah. Monfieur, s'écriaalorsnotreAuteur, quej'ai de joie de retrouvercepapierqueje cherchedepuisptufieursjonrsc'eftlafceneoùj'ai deflêindeplacerla mort.deNéron, dansuneTragéd.à laquellejetravailleainfilaperfoàne et l'innocendcePechantrféurentparfaitemenretconnues.

On trouveceuepiècedanslëcinquième vol.du.théâtre

François.i*MORT donnée trois foifau Théâtre Françaisen Janv^ i?f etqût rr'est pas imprimée.:*c>6 MOR [ PIECES. MORla MORT DE PARIS ET D'OENONE, Tra. attribuée à La

Taille de Bondaroy, en t f7.

La MORT DE POMPEE. Outre une ancienne Tra. fouscetitre, donnée par Chaulmer en 163 8, et tirée de Lucain,

Pierre Corneille a traité le même fujecen 1 64I I i eftextraocdinaire, ainfiqu'il nous l'avoue lui-même dansl'examende fa pièce qu'elle porte le nom de Pompés, quin'y parle pas cependant il ne lailfe pas d'en être le héros, puifque fa mort est la caufeunique de tout ce qui s'y paffe.

Le ftyle en est plusélevéque celui des autres Poèmes de

Corneille: ce font fans contredit les vers les plus pompeuxqu'il ait jamais fait, et fa modeftie le porta à en rejerterla gloire CurLucain, qu'il dit lui avoir fourni les plusbellespenfees de faTragédie. Onla trouve tome troifiemedefes

OEuvres..

LaMORT DE PROMODON, autrement"Poucritb ou

TExit de Neréb. Voyt{ PoucRiti1.

La MORT DE ROGER, tragédie imitée Ael'Ariofte par Banter, fous le nom de Meliglofle en 1603' On attribue unepièce du même titre, imprimée en 1 £i 4 à unanonyme;mais il y a apparence que c'est une même chose avec cellede Bauter.

La MORT DE ROXANE. YoyeL ROXANE.

La MORT DE SEJAN, tragédie par M. Chopin, imprimée à Paris, in-11. vers.le milieu de l'année i7yr. Par l'avertilfementqui se trouve à la tête de cette pièce il paroitqu'elle a été présentée aux Comédiens qui ne l'ont pointacceptée et.que l'Auteur n'était âgé que de ti ans, lorfqu'il lacompofaen 17^+.

La MORT DE SEN. EO.UE tragédie de Triflan, imprimée en1645. Seneqùe n'y joue qu'un rôle épifodique, quoiqdildut être le Héros de la pièce.

La MORT DES ENFANS DE BRUTE, tragédie par La Cal-__r, _prehede donnée à l'Hôtel de Bourgogne en 1647. Cenepièce, quoique fore chargée, felon l'ufàgede ce rems, n'est pas fans quelque mérite il yen a eu deux édition;.1 iMUe Bernard j ni M.de Voltaire n'en ont rien pris dansleur BRUTUS.

La MORT DES ENîANS D'HÉRODE. Voyt^ MARIAMNE.

La MORT DE yÀLENTINIAM ET D.'ISIDORE, Trag.de

MOR [Précis.] MOU 307.

Yij

Gillec de la Teffonière donnée en 1648. N,

La MORTD'ULISSE, tragédie de l'Abbé Pellegrin, donnéele 19 Décem. 1706, 81 qui fut représentéetreize fois. Ontrouvedans le quatrième vol..de la derniere édition des

OEuv.de LaGrange-Chancel un Opéra du même titrequi n'a pasété représenté.

LaMORTDUMARÉCHALD'ANCRE, Tra. par Gaillard, en1617.

LeMORTVIVANT, Com, de Bourfault, qui la donna ent66z, en fajeuneflê: elle est en 3 Ac. en vers, et tiréed'uneancienneCom. Ital. qui porte le même titre.

LesMORTSVIVANS, Tragi-Corn, de Douville, en Ac.en vers, repréfentéeen 164;. On avoir donné, dès 1/73uneFarce fous le même titre.

LeMOT UNIVERSEL, ou le MIRLI?ON, efpéce d'Op.

Comi. en un Ac.donné le 17 Août 1713 et non impriméil est deM. Piron.

Les MOTS À LA MODE, Comédieen un Ac. en vers, de Bourfault, représentée avec succès, le 19 Août 1694. Unebrochuredes Mots la mode, qui Cevendoit chez Barbinetqui eut un grand cours, infpîra à l'Auteur la penièe defaire cetteComédie, qui est une critique des manieres affeftcesdeparlerdece tems-là, etdu ridicule desModes ré-'gnantesalors.Cette jolie bagatellefit plaifir quelquetems, etfetrouve imprimée tome croifieme des (OEuv.de Bourfault, avecdes vers qui n'ont pas été dits fur le Théâtre.

LeMOULIN DE JAVELLE, Com.de Dancourt, en un Ac.enpro.avecun Dir. dont la mnfiq. était de Gilliers, jouéepourla première fois le 7 Juillet 1636 et qui fut représentéeving-huitfois de fuite. Ce Moulin était une Guinguetterenomméé pour les Matelottes, et fitué dans:laplainede Grenelle, fur le bord de la Seine, où l'on prétendoitqu'étaitarrivée l'aventure qui fait le sujet de cettepetitepièce. Il paraît par les regiftres de la Comédie del'année1696, que Dancourt n'était que le revifeur decettepiece etqu'elle avait été compoféepar une nommé

Michault à qui l'on accorda même l'entrée du Speâaclependantune annéeà cet égard. Ellere trouve dans le tometroifiemedes OEuvres de Dancourt.

MOULINETPREMIER PW. de Mahomht Second, enjo« MUE [Pièces.] MUSun Ac.donnéeparM.Favarc, à ï'Op. Comi. le i f Marc'739 >etquieutbeaucoupdefucces.

Le MUET, Cm. de l'AbbéBrueys, en fociétéavec Palapratelleeft en j- Ac.en pro. et fut représentéepourlapremière foisle 11 Juin 169t. L'idée de cette pièceefttirée de l'Eunuque de Terence, avec les correctionsdeschofè1; quieuflentpuchoquernosmoeurs elleeut dufuccès, etferevoittoujoursavecplaifir.le MUETINSENSÉ, Com.en f Ac. en vers dehuit fyllabes, par LeLoyer, imprimée à Paris en1J79, in-i".te MUETPARAMOUR, Com.furla nailfancede MonfeigneurleDucde Bourgogne en un Ac. en vers, donnéeau Théâtre Françaisle 10Oftob. 171 , etqui n'eut que cettereprcfentation.Elleéft de M.Aliotj etne fut pas imprimce.royfçMARGioRETKATiFB.

la MUSE PANTOMIME, Opéra Comique en un acte de scènes épisodiques donné le 14 septembre 1737 par M. Panard. Il n'est pas imprimé, et eut du succès.

Les MUSES, ballet de Bensérade dont la musique était de Lully il fut dansé par Sa Majesté le décembre 1666 sur le Théâtre de Saint-Germain-en-Laye et était composé detreize entrées.

Les Musas 9»ne Ope. C'eftunBail, dont lesversfontde

Danchet, etla mufiq.deCampra il fut repréfentépour-la premièrefoisle 2.8 Oftobre1703 et est imprimeenjnùiîq. partition i/1-40.LesPerfonnagesdu Prolog.font

Momusle, s Mufes Bacchns CèrcsetApollonL. eBalletest compofédi quatreentrées, favoir, 1a laSa.tyre, laTragediete "la1ComédAiep.rèsquelquesreprefentatiensil fut fàbftiruéune nouvellePauorale d'Amarillis, à la place de celle de Talimon, qui avait été donnéed'abord.les Motus, piècedramatiqueen quatreparties, parMorand, • reprcfentéeauThé.Ital. le îiDccem.1738.Lapremièrepartie est unProlooù paroiflentles, Mutes, de la Trayait, de la Pafiorak, de la Comédie, de la Mufiqueetdela•Danfe, cequi lie lestrois autresparties la fécondeétoitune Trag.iùùta\ée: Phanaçirs la troifiemeu, nePajlo.cnverslibres, intimlèedgath'me etla quatrième unBall.

Pantomime intituléOrphêt, Le Prolog, parutingénieux

MUS [Pièces;] MUS tou-

Viijmaisun peutrop long; la Paflorale froide la Tragédieparfaconduite fon intérêt là verfificationetfes(entimens, fur généralementapplaudie eton vitavecplaifir, toutescesbeautésréuniesen un feulAc.fournipa: quatre

Afteurs.CetteTragédieavoitété deftinéeil.paroîtrefousle nomdeMENZiKor-maislapermifliondelàjouerayantétérefufée à l'Auteur, il en changeale titreetquelquescirconftances;etle CzarPierrele Grand, fut transforméen Beluç, Roi d'Affyrie.Elle a été depuis rétablie parl'impreffionfous ton vrai titre et dans le vrainom des

Acteurs eton y a aufficorrigé des fautesd'hiftoire, degéographieetde chronologiequ'unchangementprécipitéavoiencobligéd'y commettre.On trouveà la finde cejleédition, qui est de la Haye, une copie de l'Epître quiavoitétédeftinéeà faMajeftéCzarienne, lorcquel'Auteurcroyaitqu'onne l'empécheroitpasde faireparoîtrefur hfcenePierrele Grand. LeBalletpantomime qui pour ledcllèinétoit du fieur Riccobonietpourla mufique dafieurBlaife, eut un égalfuceès;ce qui déterminaMorandàfupprinierle Prologueetla Paftoraleaprèsla deuxièmerepréfentatioh.

LesMUSESARTISANNES, ou I'Auteor Perrdqciir,

Op.Comi. en unAc.parM.Quétant, repréfenteauxDanfeursdecordede la FoireSaint-Laurent et imprime ennyj.C'eftune critiquede l'Auteur du Trembument Dsterre DELISBONNE.

LaMUSIQUE DU CARNAVAL ou les Bouffons Prolog.'de M. Panard représenté à l'-Op. Comi. le 1 Fév. 1745, etnon imprimé.

MUSTAPHA, , Trag, de Mairec; en r if^o. Voye\ SOLIMAN.

MUSTAPHA ET ZÉANGIR, tragédie de Belin, Secrétaire de

Mmede Bouillon. On difoit que cette illuftre Oucheflèavait grande part à cette pièce, ce qui ne contribua pâspeu à ton succès. Elle fut repréfentee pour la première toitle io Janv. 170s et est tirée du Roman intitulé l'Hluftre

B-^d. On la trouve imprimée dans le neuvieme voh du

Théâtre François.

LeMUSULMAN Com. en un Ac. en pro.pièce n'a point été jouée elle était deflinée pour le Thé.

Vo MYS [Pièces.] MYS

Fran. et Cetrouve dans le premier vol. de l'édition des

OEuv. de cet Auteur donnée en 1760.

MYSTERE. C'était une efpece de Poème dramatique fortgreffier etfort irrégulier, fouventtrès-long dont lefujet, toujours pieux était tiré ou de l'Ecriture- fain te ou de lalégende des Saints. Au commencement lesrepréfentationss'en donnoient dans les Eglifes, et faifoient partie descérémonieseeelefiaftiques dans la fuiteellesfurent donnéesfur l'Echafraud eten divers endroits de Paris. Voyc{l'hiftoirefuccinte du Théâtre, qui est à la tête de ce Dictionnaire.

Le nombre des anciens Myfteres est fi grand, qu'il feraitennuyeux de rapporter tous les écrits qui furent publiésou repréfentés fous ce nom, les principaux font, dansl'ordre chronologique.

Le MYSTEREDESAcTEsDESApôtres par Arnoul etSimon

Greban, en 14 fo. On attribue urt Myftcre fous le mêmetitre à LouisChocquet il fut imprimé à Paris en i f 41etavoit été représenté quelquesannées auparavant à l'hôtelde Flandres. Voyt^ le Dictionnaire de Bayle au mot

Chocquet etles remarques critiques fur ce Dictionnaire.

La CONCEPTIONà, Perfonnages. Cette Moralité qui a étélong-tems représentée à Paris fur le Théâtre de l'Hôtel..de Flandres, pourrait bien être de Louis Chocquet, etfut imprimée i/J-40. en Gothique à Paris, chez Alain

Lotrian.

Le Mystère de LAPassion DEN. S. J. C. par Jean Michel, donné en 1490. On en imprima à Paris une autrefur le même sujet, en i f 59.

Le MYSTEREDUVIBILTESTAMENT, par Perfonnages, jouéà Paris, et imprimé en i fo6 par Jean Petit. Il enparutune nouvelleédition in-fol. avec des figures en bois, en

Le Mxstbrb de la Vengeancede la Mort de N. S. J. C.etla Deftruttion de Jémfalem, le tout par Perfonnages, imprimé à Paris in-folio, par le même Jean Petit)vers 1490', qui est de Jean Michel, ainfi que le Mystère, de LA Rbsurriciion DEN. S. donné en même.tems.

MYS [Pièces.] MYS jt«yiiij

Le Mysterb de la Conception et Nativité de la glorieufe

Marie Vierge avec le Mariage d'icelle, la Nativité

Pali'on RéfurreSion et Afcenfion de N. S. J. C. joué à Paris l'an de grace IJ07 imprimé in-fol. par Jofeph de

Marnef.

Le Mystère DES trois Rois, par Dabundance, en 1 J44.

Le Mysterb Qubd fecuadhm legem débet mon par Dabnndance, en 15 4+.

Le MYSTERE]ET beau MIRACLE DE S. NICOLAS, à vingtquatre

Perfonnages imprimé à Paris, m-40. par Pierre

Sergent, etc.

Ces représentations des Mystères fervoient anflî de fèrespour les entrées et mariages de nos Rois. Alain Chartier, dans ron hiftoire de Charles VU. parlant de l'entrée de ce

Roi à Paris en l'an 1437 dit que « tour le long de la ruefcS. Denis, à un jet de pierre l'un de l'autre, étoientdreues des échaffauds richement tendus, où étoient re-3j prcfèntés ar perconnages l'Annonciation, la Nativité., de N. S. fa PaJJion fa RéfurreSion, la Pentecôte et le» Jugement. Ce dernier Myjlere dit-il, Cetrouvoit bien:5) placé, car il Cejouoit devant le Châtelet où en la Juftice5) du Roi et emmy.la Ville il y avait plufîeurs autres» jeux de divers Myfteres qu'il feroit trop long à ra-» conter, et là venoienc des gens de toutes parts crians» Noël, Noël ».11y avait une autre efpece de Myfferes où la Religion n'avoiclaucune part, et qui fervoit aux fêtes de nos Rois. Il y ena un beau de cette efpece en manuferic intitulé Mystbkblà où la France se préfente en firme d'un perfonnage au Roi

Charles FII. pour le glorifier des graces que Dieu a faitpourlui, Ce qu'il a reçu en fa caufe durant fon regneet parlent enfemble en .forme de Dialogue puis les Ba-.rons du Rot parlent l'un après l'autre, chacun en deuxcouplets. les Seigneurs de la Cour de Charles VII. y font dénommés.

N

J3| AÏS, Opéra pour la Paix. C'est le i;6«e des Opéra

François. Les paroles font de Cabufac, et la mufique de

M. Rameau. Il fut représenté pour la première fois le ît

Avril 174Y eteft gravé partition in-40. Le Prologue, intitulé Accord des Dieux, en relatif à la Paix qui venoitde calmer l'Europe, et reprélènte les Titans vaincuspar Jupiter et les autres Dteu^Lçfùjet de la pièce, quiest un Ball.tn j Ac. est r«mVftur3e Neptune pour Nais, dont la voix et les traits enchanteurs font célébrés dans la

Fable, et qui a donné le jour à ces Nymphes des eauxqui ont été appellées Nayades les Jeux Ifthmiqueî, qu'on célébrait auprès de Corinthe en l'honneur de Neptunefont une partie du fpeftacle de cet ouvrage qui eutdu succès.

La NAISSANCE D'AMADIS. Voye^ Amadis DitGAULE.

La NAISSANCE DE JESUS EN BETLÉEM Pièce PaJlorak.avec l'adoration des Bergers et la defeent de l Archange

S. Michel aux Lymbes, dédiée aux ames dévotes4 l'Enfant Jefus, par CI. Macey. Cette pièce a été.impriméeen 1719'la NAISSANCE D'OSIRIS ou la Un Pamuie Bail, alilégorique fur la nai lianes de M. le Duc de Berry, en on

Acte; dont les paroles font de Cahulàc, et la mulique de

M. Rameau, donné à Fontainebleau le i Octobre 17^.

La NAISSANCE DE VENUS, Bail, de Benferade mis enmufiq.par Lully et danfé par Louis XIV. en 166$.

La Naissance DE VENUS, 3 gale Opé. C'est une Paftordeen )'Actes, dont les paroles font de Pic, etla mufiquedeColafle. fille fut représentée pour la première foislepremier Mai 1696, et est imprimée enrnufique partitionin-4.0. Le Tems les Mois et les Grâces formentle Prologue.

NAMIR, tragédie par M. le Marquis de Thibouville repréfèntéefeulement jusqu'au milieu du quatrième Ac. au Théâtre Français Je 1* Novemb. 17 S9

NAN (Pièces.] NEG jijtoire des Maures, et «fi; le même que celui de Zaide.

NANINE ou le Préjuge vaincu Corn, en j Ac.en versde dix fyllabes par M. de Voltaire, donnée pour la premièrefois à la Com. Fran. le 11 Juin 1 749 et reprise te\6 Décemb. 17ff avec succès. Le lujet de cette pièce cfttiré du Roman de Pamela.

Les NAPOLITAINES, Comédie Françoifc fort facèûcufcfur le sujet d'une hifloire d'un Efpagrwl et d'un PariJitn, fous le nom de Thierry Timofille Gentilhomme Picard, par Adrien Damboife, imprimée en 1r84-

NARCISSE, ou l'AMANTDE lui-même Com. en un Ac..enpro. par M. Roulîeau de Genève donnée une feule foisau Théâtre Français le i 8 Décemb. 17 st.

NATHALIE, ou la Générosité CHRÉTIENNE, tragédie par

Montgaudier, imprimée en 16/4, et peu connue.

Le NAUFRAGE, Com. en f Ac. en pro. par la DWeFlaminia.

Cette pièce, 9ui est tirée du Mercator etdu Rudens de

Plaute, fut donnce au Thé. Ital. le 14 Fév. 1716 et eutpeu de fucccs.

LeNAUFRAGE AU PORT A L'ANGLOIS. Voyt\\i PORT

AL'ANGLOIS..

LeNAUFRAGE, ou la Pomfz funèbre DE Crispin, Com.par La Font, en un Ac. en vers, avec un Div. dont la mufiqueétoitde Gilliers, donnée au Théâtre Français le 14 Juiri17'o. Les Comédiens Ital. ont pris une partie de cettepièce dans une autre qu'ils ont donnée il y a quelquesannées, fous le titre des Funérailles D'ARLEQUIN. Lefujecde l'une et de l'autre se trouve dans les Mille et une

Nuit. Voyc^ auflî I'Heujuux Naufrage et 1.'INDIENNEamoureuse.le NÉGLIGENT Com. de Dufrcny en Ac. en pro. avec'un Prol. représentée au Théâtre Français le 17 Fév. 1 6 91 et impriméeen 1718. Lelio pere et Dominique onc aufli donnéune petite pièce. Italienne en un Ac. fous le titre du Nsgligentavec des fcenes Fran. et des agremens elle parutpour la première fois le z Avril lyu.

Le NEGROMANT, Com. en y Ac, en pro. avec un Prolog.par Jean La Taille de Bondaroy, donnée en 1 <68. Ce sujetde»r4 NEO [Pièces.] NIC

NEON, Trag.Chrétienne, par le P. méeet MoranJ éfuite impri- jouéeà Lyonen 17of.

LaNEPHELOCOCUGIE, ou la Nuée DESCocus, Com.imitéeà! Ariftophanefans diftinSiond'ABesnïdefeenes, oÙfe trouventpoury fuppléerStrophes, AntïflrophssO, des,

Epodes, Syflânesentrecoupés, Epirrheme, Antipirrhtm

AlléoflrophesPaufe, Parabaçe. Cettepièce dont voicile titre en entier, fut impriméeen 1f 76ou 15-78attribuée, relonquelques-uns, à PierreLaRivey mais elleest de PierreLeLoyer ainfique d'autresle foutiennent, eton la trouvedansfesOEuvres.

N ERON Trag.de Guyde Saint-Paul, jouéeau collegedu

Pledîsen 1 574 etqu'onne croit pasimprimée.Voyc^la

MORTDENÉRON.

Le NEVEU SUPPOSÉ, Op. Comi. en un Ac. donné le

Septemb. 1738; par Le Sage et Fromaget. Il n'est pasimprimé.

Le NIAIS DE SOLOGNE, Com..en un Ac. par Raifinl'aî*"né donnée fiz fois au Thé. de la Corn. Fran. au mois de

Juin 16 86 et qui n'est pas imprimée.

NICAISE, Op. Comi. en un Ac. en pro. et en vaudevilles, par Vadé, donné pour la première fois à la Foire S. Germainle 7 Fév. 175-6 et qui a eu beaucoup de succès.

Les NICANDRES. Voye\ les MENTEURS QUI NE MENTENTpoint.

NICOMEDE, tragédie de Pierre Corneille, donnée à l'Hôtelde Bourgogne en 16 f x et qui Cetrouve dans le quatrièmevol. de fes (Euv. Cette pièce était une de celles pour quicet illuftre Auteur avait le plus d'amitié, ainfi qu'il nousl'apprend lui-même dans l'examen qu'il en a fait. La grandeurde courtage y est combattue par la politique et n'oppofeà Cesartifices qu'une prudence généreufe. Les représentationsen furent heureufes, et l'on a prétendu qu'unepartie de ce succès fut dû à ce que les Princes étant fortisde prifon dans le tems qu'on =toit N'uomtdt, onleur fit l'application de plufieurs vers de cette Tragéd. cequi n'est gueres vraifemblable, puifque les Princes étoienten liberté dès le mois de Fév. \t\ Cette pièce qui n'avaitpoint été vue au Thé. depuis la mort du célèbre Baron, fut reprïc le i x Décemb.17H avec quelques retranche.

NIE [Pièces.] NIT jifmens Eteut un grand succès.LesComédiensla firenta ffi.cher fousle titre de Tragédiehéroï-comique.

LaNIECE VENGÉE ou la Dountu SURPRISEOp. Comi.enun Ac. avecun prolog. etun Epilogue par MM. Faganet Panard, donné le 17 Août 17I et non imprimé.

Cette pièce croit jouée par des Enfans dont le plus âgén'avait pastreize ans et ils furent fort applaudis. •'

LaNIMPHE DES THUILLERIES, Op. Curni.en un Acle, par L'Affichard, donné le 16 Juillet 17;les NIMPHES DEDIANE, Op. Comi.en un Aéte du fleur

Favart, représentele premier Juin 17 47 à Bruxelles, parlesComédiensde M. le Comte de Saxe, et enluite à Parispendantla Foire S. Laurent, le ij Septemb. 17*3. Il devoitparoîtredèsla Foire S. Laurent 1741 mais on refufala permiffionde le jouer alors.

NINA, ou la Mitaine bnchanteb Com.en 3 Aâes envers, avecfpectacleet des Div. donnéeau Thé. liât. le i 4

Janv. 1758 fans (uccès n'ayant eu que cette représentation.

Ellen'e(t pas imprimée.

NINA ET LINDOR, ou lesCAPRlcss du COEUR, Intermedeou

Op. Comi.endeux Adles mis en mulique par M.

Duni, donnéà la Foire S. Laurent le 9 Septemb. 1758, avec succès. Les paroles de ce joli Intermed. font de M.

Richelst ancien Confeiller au Châtelet. il avait déja parufurun théâtre bourgeois, avant d'être donné à la Foire, où il fut représenté par les UllcsBaron, Vilette etLuzi, dontla plus âgée n'avait pas onze ans, etqui jouerentdanscette pieceetdans plulteurs autres, avec autant d'intelligence, de fine1feet de naturel, que des Actricescon-etmmces.

NINETTEA 1rACOUR. Foyrç le Caprice AMOUREUX.

NIOBÉ Trag.attribuée à Jacques de La Taille de Bonda-

T r°y»cnif73. La NIOBÉ, ou la FIN tragique de Niobe et DESAmours

DEson Fus TANTALi ET d'Eriphiie tragédie en S Actesen vers, avec des choeurs donnée en 1 6zy par Frenicle.

NITETIS. Ce sujet est tiré d'Herodote, et a donné matierea deux tragédie et à un Opéra. La première Tragédie est de

Mme de villedieu et fut jouée à l'Hôtel de Bourgogne le L*7 An, 166} la feconde, de Danchet, qui fucrepréfenteè3t

L'Opérade NtrEms est le 1 yme.C'est une Trag.en Aét.dont le fujeteftlemêmequedanscelledeDanch'et maistraité différemment.Lesversfontde LaSerre, etlamu-{¡quedu(leurMion ellefut donnéepourla premièrefoisle r Avril1741 et n'eut que onzerepréfentations. Le

Prolog, offrele palaisdela Tyrannie, etfepaflèentrecemonftre, Themis et leur fuite. CetOpéraeftgraveenmusqué partitionin-4°. et n'a pointété remis.

NITOCRIS, ReineDEBABYLONTEra, g.dePierreduRyer, donnéeen i6 fo. Lefujecefttiré A'Herodote.Il parutencoreune tragédie fousce môme titre au Théâtre Françaisle 10

Mars 16i3 etqui fut repréfentéecinq fois.Ellen'eftpasimprimée.

LesNOBLESDE PROVINCE, Com.en r Actesenvers, par Hauteroche, donnéeau mois de Janvier1678 fansfucccs.

LaNOCEDRVILLAGE.Nous avons fous ce titre deux

Com.'l'unede Brécourt en un Aâe en vers, donnéeen1666 etqui Cetrouveimpriméedansle huitiemevol.du

ThéatFrerançois etl'autre en un Aâe en pro. avecun

Div. par MM.Minetle filsetParvi représentéepourlapremierefois auThé. Ical. le'17Septemb.1744.

LA NOCE INTERROMPUE, Come.n unAfteen pro. par Dufresny, représentée au Théâtre Français le 19 Août 1699.Il y a eu aussi sous ce titre un espèce d'opéra comique en un acte, par Carolet, donné à la Foire Saint Germain en 1717, par les Marionnettes de Bertrand, et non imprimé ; et une Parodie en Actes, de l'Opéra d'ALCESTE qui fut donnée au Théâtre Italien le x Janv. 17y8 avecfucc2s elle est de Monsieur Favart, La NOCEPASTORALE, en vers, par un anonyme, imprimée en if9f.

LesNOCESD'ANTILESINE, comédie nouvelle, extraite des discours de la Cohtre-léfinc par le Paseur Monopolitain. Cette pièce est traduite de l'Italien elle n'a pas été représentée et fut seulement imprimée en 1604. Philandre en est l'Auteur.

LES NOCES DE BELLONE, ou la Campagne DE 1^93, Bail, imprimé in-8°. fans date ni nom de Ville ni d'Imprimeur. On ignore même s'il a été mis en musqué.

les NOCES DE GAMACHE, Cum.en un Aâe en pro. avecunDiv.par Fuzelier, donnée au Thé.des Italiens la Foire Saint-Laurent le 16 Septembre 1711 avec le Vieux MoNDs. Ellen'a point été imprimée.

LesNOCES DE LAFOLIE, ou le Templb DEMEMOIRE, Op. Cotni. d'un Acte, donné au mois de Septemb. 1718.

LesNOCES DE PELÉEET DETHETIS, Bail, de Benferade, àdix entrées, danfé par le Roi et lesPrincefl'eset

Dames, en i£f4: le "jeunede Raflent, Page du Roi, etl'un des bons danlèurs de la Cour, eut aufli l'honneur d'yfigurer. Il fut précédé d'une Comédie-Opéra du mêmetitre, en trois Aftes en vers, et un Prolog. traduite dal'Italien.

LesNOCES DE POLICHINELLE ET DE LA VEUVE

BARNABAS, pieceen un Aâe, par un anonyme, repréfentéeparles Marionettes de Bienfait, à la FoireS. Ger-'main 1758 et non imprimée.

LesNOCES DE PROSERPINE, Paro. en un Acte, donnéeàl'Op. Comi. par LeSage, Fuzelieret D'Orneval, le 1

Mars1717. Elle n'est pas imprimée.

LesNOCESDE VAUGIRARD, ou lesNAÏvBn's CHAMpêtres

PaJlo. Comique, en y Actesenvers, par L. C. D.(Difcret) en 1638. Cette pieceeft dédiée à ceux qui veulentrire.

LesNOCESDE VENUS, Divertijf. en 3 Actes. Le Poëmeeftde etla mufiquede Campra. Le sujet du

Prolog, est l'union de l'Amour etde la Folie. C'est le dernierouvragede Campra: il a été gravé partition in-folioen 1740. Le portrait tle Campraeft à la tête de cet

Opéra;

LesNOCESDE VENUS, ou les Filets DEVulcain Op.

Comi. en un Aâe avec un Prolog, imprimé à la Haye en

LesNOCES DEVILLAGE, Bail, de Benferade, danfc.eni<«j.T. v .;i8 NOEU -[Puces.] NOU

Les NOEUDS, ou le QUADRILLEDESThéâtres Op. Comi.en un Ac. donné le i r Juillet 1714 par Fuzelier. Il n'cftpas imprimé.

Les NOMS CHANGÉS, ou l'INDIFFÉRENTCORRIGÉ, Corn.en 3 Aétesen vers, par M. Brunet, donnée au Théâtre Françaisle 1 1 Oftob. 17 f 8 et qui eut fept représentations.tes NOMS EN BLANC, Op. Comi.d'un Ac. en vaudevilles, représenté le-9 Mars 1736 Il est de M. Fromaget, et nefut pas imprimé.

NOSTRADAMUS, Paro. de ZOROASTRE, en un Acte envaudevilles par M. Taconet, représentée à la Foire Saint.

Germain en 17 f6 et imprimée en 17 rj.

Le NOTAIRE OBLIGEANT. Voye^ les FONDSPERDUS.

Le NOUVEAU BAIL, Op. Comi. en un Afte, de Carolet, donné le 7 Juillet 17; 1 et non imprimé.

Le NOUVEAU MARIE, Cent, de Montfleury en un Afte.en vers. C'est une des trois petites pièces de l'AMBIGUcomique, donné en en167;.

Le NOUVEAU MONDE, Com. en Ac. et en vers libres, avec un Prolog. et des Interm. représentée au Théâtre Françaisle t.t Septemb. 1711. Cette pièce eut beaucoup de fucces, et contient l'idée d'un monde d'où Jupiter avait bannil'Amour, ou cependant ce petit Dieu s'introduit fouvelainement.

L'Auteur a toujours gardé l'anonyme, maison l'attribue communément à l'Abbé Pellegrin et felontoutes les apparences elle est de lui. La mufiq. des Intermed.était de Quinault et le Bail. de Dangeville danfeurde l'Opéra dont le fils fit l'Amour, et là jeune filledanfa et chanta dans le Ballet. Cette pièce Cetrouve impriméedans le douzième vol. François. Elle futrepri(è, avec succès au mois de Juin i74S..Oneiiafuppriméune rcene de Poète qui y était dans (a nouveauté.

Voye^ le Divorce DE L'AMOUR ET DE LA RAISON.

Le NOUVEAU PARNASSE, Op. Comi. en un Acte, de M.

Favart, donné le tf Août 1756 et non imprimé.

Le NOUVEAUTARQUIN.efpeee d' Op. Comi. en Ac.en vers et en pro. par un anonyme, imprimé en Hollandeen 17 ;b. C'est une pièce allégorique.

La NOUVEAUTÉ, Corn, par Le Grand, en un Ac. en pro.avec un Div. représentée le 1 j Janv. 1717 au Thé.Fran.

NOU [Pisces.] NOU jf?

Cette petite pièce aprés avoir été corrigée, fut goûtée Seeut du fucecs l'Opéra de Caracalla, en muriq. fans paroles, et les habits du fîecle parte y firent un bon effet.

C'est le dernier ouvrage que Le Grand ait compofe feul.

On la trouve tome quatrieme-de Ces OEuvres, les NOUVEAUX CALOTINS, Op. Comi. donné le 19

Septembre 1760- C'est presque la même chose que le Ré-

GIMENT DB LA CALOTTE, à laquelle M. Harny a fait leschangemens nécefl'aires pour ce qui avoir paru alors denouveau.

La NOUVELLE, Tragi-Comique Corn. en un'AéteJenvers, par Papillon imprimée en 1/92 avec les OEuvres

Poétiques de l'Auteur.

La NOUVELLE BASTIENNE, Op. Comi. en un Ac. touren.vaudevilles'Vpar Vadé donné le 17 Septemb. 1774.

C'est une efpece de contre-Paro. du Devin DE Villageet des AMOURS de BASTIEN ET Bastienne.

La NOUVELLE COLONIE, ou la Ligue DES Femmes, '

Corn.de M. de Marivaux .en Ac. en pro. avec un Div.donnée au Thé. Ital.le 1 Juin 1 719 etretirée après cettepremière représentation. Cette pièce, réduite en un Acte, se trouve imprimée dans le premier vol. du Mercure de

France du mois de Décemb. 1770. Voyt{ la Colonie.la NOUVELLE ECOLE DES FEMMES Com. en trois Ac.en pro. par M. de Moilfy donnée avec succès au Thé. Ical.le 6 Avril 17f 8. On peut en voir le précis dans le fécond

Mercure d'Avril de la même année.

La NOUVELLE ECOLE DES MARIS, Com. en Ac: envers par M. de Moitfy donnée aaJThé. Ital. le :6 Février176r..la NOUVELLE JOUTE, Paro. de Tancrepb, donnée(ans grand succès au Thé. 1tal. le 8 Octobre 176o.

La NOUVELLE ITALIE, Corn, en 3 Ac. partie en Italienetpartie en François, avec des Ariettes et fpectacle donnéeau Thé. Irai. le 2.3 Juin 1761 par M. Bibiena..

LaNOUVELLE RÉCONCILIATION, Com. en un Acteen profe, par M. Prevofl, jouée à Luneville le Io o Octobre17 f8.

La NOUVELLE SAPHO, Op. Comi. en un Ac. donné le itpar L'Affiehatdet M. Valois, et non im.1»« NOU [Pncss.] J Nurprimé. Il fut compofc à .l'occaûon des poètes qui paroillbientfous le nom de Mlle Malcrais de la Vigne..La NOUVELLE TROUPE, Corn, en un Ac. en vers, par M.

Antëaume donnée au Thé. Ical. le 5 Août 176o, avecsuccès.

Le NOUVELLISTE, Com. en 3 Ac. en vers, par M. D'Ardene.

Elle n'a pas été imprimée.

Le NOUVELLISTE, Op. Comi. d'un Ac. représenté pour la premièrefois le 6 Septemb. 1734.

Le NOUVELLISTE DUPÉ, Op. Comi. en un Ac. donne aumois de Fév. 175 1 par M. Panard, et remis le xi Septembre17f 7.

Les NOUVELLISTES, Com. attribuée à Hauteroche, maisqui n'est pas imprimée elle est en 3 Ac. et fut représentéeà l'Hôtel de ;3ourgogne au mois de Fév. 1618. On prétendqu'il a paru encore une Com. des Nouvellistes enun Afte en vers, au Théâtre Fran. le 16 Oftobre 1686, qui avait été donnée par Dancourt Lille, dès iiSSj, et qui n'a pas non plus été imprimée. 1 1y a quelque apparenceque cette pièce est la même que la précédente.

La NUIT, Ball. dont les vers étaient de Benferade, etIa• muliq. de Lully: il fut danfé par le Roi en i6f; etc;oicdivifè en quatre. parties ou veilles. La première reprcfentoitle Soir, depuis fix heures jufiju'a neuf, par desentrées de Chadèurs las et revenans de la challè; desbandits qui volent un Mercier; des Marchands qui fermentleurs boutiques. La deuxième veille, depuis neufheures jufqu'à minuit offroit la Comédie muette, et'Amphitrion l'edcution de quelques Ballets, etc.

La troifîeme, depu» minuit jufqu'à trois heures, repré-/ fèneoie les Amours de la Lune; des entrées d'Aflrologùesde Loupt-Garous, d'ardens et du. Sabbat. La quitrieme, jufqu'à fix heures du matin, repréfenroit diffé-1rens Songes; l'étoile du point du jour, et l'entrée de

O

V OBSTACLE

OBS

L'OBSTACLE FAVORABLE, Op. Comi. en un Ac. pat

Le Sage, Fuzelier et D'Orneval représenté le 10 Sep-.tembre 1716 et qui eut du succès.

L'OBSTACLE IMPRÉVU, ou l'OBSTACLESANSObstacle

Com.de Nericault De(touches, en f Ac. en pro. donnéele 19 d'Oetob. 1717, et reprilê après des corrections le i S

Juillet 173 f. Le Public fit à cette pièce un accueil moinsfavorable qu'à la plupart des autres de cet Auteur, n'ayanteu que fix représentations la première fois et cinq laféconde.

LesOBSTACLES SUPPOSÉS Op. Comi. en un Ac. donnéle 1 ) Fév. 1741 par M. Panard.

L'OCCASION. Voyei les Comédiens Esclaves.

Les OCCASIONS PERDUES, Tragi-Com. de Rotrou, enj Ac. en vers, représentée en 1tf 31 et imprimée in*f.en 163f.

OCTAVIE. Deux tragédie portent ce titre; l'une avec deschoeurs par Roi. Briiïec donnée en 1 J89 et qui cft unetraduction de Seneque. L'autre, d'un anonyme, imprimée

OEDIPE. Outre la Ira. d'(ËDiPB compofée avec des choeurs, par Jean Prevoft, en itfoj et celle faite par Nicolas de

Sainte-Marche en 161 4, quatre de nos habiles Auteursdramatiques favoir Pierre Corneille, de Voltaire, de La

Motte, et le P. Follard, en ont compofé fur ce sujet, d'aprèscelle de Sophocle, que Mme Dacier., en 1^91 M*'

Boirin, en 1719, et le P. Brumoy, en 1730, ont traduite, et d'après celle de Seneque,

L'OEdije de Corneille parut le 1+ Janvier 1639 fix annéesaprès fa tragédie de PERTHARita, dont la mauvaife fortunel'avait fi fort dégoûté du Théâtre qu'il vouloit se réduireau (ilence mais comme il est difficile d'être Poëre et dene pas faire des vers, fon chagrin s'érant tourné en dévotonil entreprit de mettre l'Imitation de Jefus-Chrifl envers5 il ne favoic pas encore achevée que l'amour dujii (SDI [Pièces.] OLI

Théâtre se réveillant peu à peu, il écouta avec moins derépugnance les proposions que lui fit M. Fouquet, de Cerengager au dramatique } c'est ce qui produifit \'(EJipe, qu'on trouve imprimée dans le tome quatrième de les

OEuvres et dont le succès le vengea bien de l'infortune de

Pcrtharite, et lui attira de nouveaux bienfaits du Roi.

L'OEdipe de M. deVoltaire fur représentée pour la premièrefois le 18 8 Novemb.171 8 elle eut de ces fucect extraordinaires, fi peu communs auThéatre, fur-tout à des coupsd'eltài, et d'ailleurs fans le fecours de fcenes tendres, étant privée en outre d'un grand A4ieur, qui n'auroitpasmanqué de la faire valoir, c'est-à-dire de Ponteuil, quimourut en ce tems elle eut 45 représentations de fuite.

La Paro. de cecte tragédie en un Ac. en vers, fous le titred'OEDips TRAVESTIj fuc donnée, par Dominique, au Thé.

Irai, le 17 Avril 171 9 et c'est la première Parod. qu'oneut donné fitr ce Théâtre, depuis fon rétabliffement.

L'OEdipe du P. Follard n'a pas été jouée, elle a feulement(téimprimée à Lyon en 17*1 ou en 1713..

L'OEdipe de La Motte fut représentée le iS Mars 1716 , etquoiqu'elle n'eut que cinq ou fix représentations, le méritede cette pièce est connu. Son Auteur la mit.depuis en pro.et elle avait été parodiée tous le titre du Chevaliererrant. '

Il a paru depuis quatre autres. Trirg. d'OEoipi! de la coni'portion de M. de La. Tournelle j elles furent impriméesenfemble en 173 1 en voici les titres: OEdipe fr toute fafamille; OEdipe , )ou les trois fils de Jocafte OEdipe etPo'libe; OEdipe ou l'Ombre de Layus. L'une de ces Tragédiensest la première de toutes celles à' OEdipe, dans laquellefoient mifes en oeuvre les lamentations de ce Prince, que Sophocle avoic employées dans .fon cinquième Ade.

M. de La Tournelle ne trouvoit pas encore, fans doute, le nombre des tragédie à? OEdipeallez grand, pui(qu'il promettoitde l'augmenter bientôt de trois nouvelles defafaçon.

Ac. par Fontenelle. Le dernierde cette pièce n'est point achevé. On l'a cependant impriméedans le tome dixième des oeuvres de l'Auteur.

OLIVETTE JUGE DES ENFERS, Op. Comi. en unAâe,

OMB [Pièces.) OMP ;ij

Xijreprcfenlcec7Septembr1e7*6I.l efldeM.Fleuryetnefutpasimprimé.

L'OMBRDEELAFOIREP, rologp. arD'Ornevarle, préfentéle

Fév.1710auleudeFrancifque.

L'OMBRDEEMOLIEREC, ornd, eBrécouret, nunAc.enpro.avecunProlog, donnéeunefeulefoisà l'Hôtelde

Bourgogenne1674.Quoiquceettepiecenefoitpasde

Molièreelleeftcependainmt priméàela11dneCeOEs uvresp, ournepasfupprimeurnouvragdeeThéâtrequiefttoutàlagloiredecetilluftreAuteur, etquia tantderapporatvecplufieurpsersonnagdeeslesComédies.

Voyt{ lesFragminsdeMolière.

L'OMBRDEESONRIVALC, ome, nunAce. nverslibres, mclédeedanfeetsdemufip.arCrofilierd, onnéeen1' 681.

L'OMBRDEEVADÉO, p.Comei.nunActe, par M.Taconetr, epréfènlt'éOàrient, aumoisdeNovemb1.75:7, etauJeudesMarionetcdeesNicoletà, la FoireSaint-

GermaàinParisen r7f8.

L'OMBRDEUCOCHEPROÈTEProloge.npro.etvaudevillesr, epréfenptéarlesMarionetteEstrangèreàsla

FoirSe. Germaein1711 ileftdeFuzelierL, eSageSe

D'Omeval.

LesOMBRECSo, me.n5Ace. nvers, avecdeschoeursf, ansdiftinétiodnefcenesp, arFilleuli, mpriméeen1f66, SetepréfentdéeevanCt harleIsX.

LeOs MBREMSODERNEOS, p.Comid.'unAâe, donnéleiiFév.i7j8, parCarolet, et nonimprimé. C'étaitunecritiquedespiecesquiavoient parudepuisquelquetemsf, urlesautreTs héâtredseParis.lesOMBREPSARLANTEpSi, eceFrançoifeteItalienne, en Ac.enpro.parRomagnefdio, nnéaeuThé.Ical.let8 Mai1740, etnonimprimée.

OMAPHLEfesavanltires amoureu, ffeosnComb, faatperte, fortretourf, onmariageT, ragi-Coprna, rGrandchamp, donnéeen1650, etimpriméeen1636.

OMPHAsLAEm, Oepé.C'eftuneTrage. ns Ac.pardeLa

Mottemifeenmufîqp.ar ellefuttéepoulrapremièrfeois, etavecSuccèlse, 1 o Novemb.r7oreteftimprimée in-4:0. T.ePrologue eftforméparl'AmouJr, unonlesGraceSselesPlaifirs.*i+ OMP [Puces.] OPE

Cet Opéra a été remis trois fois, et fut parodié aux Ital, fousle titre d'HERCULE FILANT en fous celui de FANFALBen 17 fi. L'Opéra-Comi. en donna auffi une Parod.en même-tems, c'est-à-dire en 17 il fous le nom de la

FILEUSE. Il en avait déja en outre paru une autre aux Marionettesde Bienfait, le x6 février 17 j 3 tous le titre de

Polichinelle Alcidi ou le HÉROS EN QUENOUILLE.- elleétait de Carolec, et ne fut pas imprimée.

OMPHALE ET HERCULE, Com. de Palaprat, en f Mesen vers donnée pour la première fois le 16 Mai 1694, et interrompue après la quatrième représentation parla maladie de deux Aeteurs. Cette pièce n'a point étéimprimée.

ON NE S'AVISE JAMAIS DE TOUT, joli Op. Comi.enun Ac. en pro. mêlé de morceaux de mufique, donné pourla première fois, fur le Thé. de la Foire S. Laurent, le 1+

Septemb. 17*1 et qui a eu beaucoup de succès. Le fujecen est pris des Contes de La Fontaine. M. Sedaine en a faitles paroles, et M. Monfigny la mufique. Voye\ le REGISTRE

INUTILE.

L'OPÉRÀ-COMIQUE ASSIEGE, Op. Comi. en un Aeti, donné le %6Mars 17 50 par Le Sage et D'Orneval.

L'OPERA DE CAMPAGNE Com. de Dufrény, en Ac.en pro. avec un Prol. représentée pour la premierefois rutl'ancien Théâtre Irai. le 7Juin itfji. Foye{ l'UNIONDESdeux Opéra.-L'OPERA DE VILLAGE, Corn, de Daricourt, en un 'Ac.énpro. avec un Div. jouée au Théâtre Français le 10 Juin ou ts

Août r 69% >etimprimée dans le fecond vol. dé fes (Euv.

Il arriva une plaifantc aventure à une des repréfentationsdecette pièce le Marquis deSablé, , fonant d'un grandet longdîné, où le vin avait été verfé amplement, vint voir cettenouveauté; et comme il y a un.endroit dans la douziemefcene, où l'on chante les vignes et les prés feront fablesce Seigneur s'imaginant qu'on le nommoit, donna enplein théatre un (bufflet à Dancourt.

L'OPERA DE SOCI ETÉ 1 7 8mcOpé. donné pour la premièrefois le premier oâo. 1761. C'ell un Acle dontlesparoles font d'un anonyme, et la mufi. de M. Giraud.

L'OPERA INTERROMPU, Com. en } Ac. en pro. avecua

OPE [Pièces.] ORA jif

Xiij

Prologp.arBarbieri, mpriméete jouéeàLyonaumoisdeJuillet1707-

LesOPERAC, omd.eSaint-Evremonedn, eAc.enprofèavecdesDiv.Ellefetrouveimpriméedansle quatrièmevol.deladerniere éditiondeCes (OEuvres.

L'OPERATEUCRom, e.nunActe, parunanonyme', <.néele2.+Octobre1681 Senonimprimée.

L'OPERATEBUARRRYComd.eDancouret nunAc.enpro.avecunProlog.etun Div.dontlamuliq.étoitde

Gillierrse, préfentléeei i O6lc.1701etimpriméteomecinquièmdeefes(Euvi.l n'yaquelePrologq, uiaitrapporatuDocteuBrarry, quiétoitunfameuCx harlatadnucommencemdeundtix-feptiemfieeclela pieceeft uneefpecdeepetitefarce, tellequecetempiriqueenfaifoirreprefenterfurTfohnéâtreq, uiétoiat uChâteau-Gaillard, aubout delarueGuénégaudversl'endroit oùeftàpréfentl'abreuvoir.

L'OPINIATRCEo, md.el'AbbBé rueyse, n5Aâre.nvers;donnéfeurleThé.Fran.le 19Mai1711, etreçuepeufavorablemeCnett.tepieceavoiét téanciennemecnotmpoféeenAftes quifurentenfuite réduicspourêtrerepréfentée.

L'ORACLCEo, me.nunAc.enpro.parM.deSainr-Foir, donnépeourlapremièrfeoisfurleThéâtreFran.le xz

Mars1740, avecbeaucoudpe fucceset, fouvenrtevuedepuaisvecplaifirC. ettepieceoffreuntableacuharmantdulangagdeelanature, renduavectouteslesgraceetslanaïvetpéoffiblep, arl'aimablAe dricequifaitlerôledeLucindce', est-à-dirMe lleGaujfin.

L'OracleParo.delapiecedumêmenom, donnéàel'OpJ Comài.lafinde'Mar1s740.

L'ORACDLEDELPHECSomh.éroiqeune 3 Ac.enversalexandrinatst, ribuéàeMMl.ePréfideHnténaultFuzelieretde Moncrif, donnéeauThé.Fran.le17Décent.etnonimpriméeA.prèasvoiértéjouéequatrefois onenfitceflerlesreprésentationàscaufed, it-on, decertaingesaietécsontrelaReligioPnayennet, outeReligiondevanêttretraitéeretigieufemeCnet.ttepiecen'efi:pasimpriméLe.efondsdufujeteftleMariConfejfeur* desCoutcdseLaFontaine.%i6 ORA [Pièces.] ORI

L'ORACLE MUET, Op. Comi. en On Ac. en pro. de Le

Sage et D'Orneval, donné en 1714 à la Foire S. Laurent, et non imprimé. Voyt[ les CAPTIFS d'Aigsr.

Les ORACLES, Paro. d'IssÉ en un Ac. en pro. avec desvaudevilles et des Intermèdes par Romagnefî donnée au

Thé. Ital. le zi Décemb. 1741 lors d'une reprife decet

Opéra, et reçue favorablement.

ORANTE, Tragi-Com. par Scudery, donnée en 1 63 f. Elleelt en Ac. en vers.

ORBECHE ET ORONTE, tragédie d'Edouard Du Moninimprimée en if 8j, dans le fixieme volume des OEuvresde l'Auteur, intitulé le Phénix de , tanin.

ORESTE, tragédie de M. de Voltaire. La première représentations'en donna Je 11 Janvier 17 jo, et futaflêz tumultueufeon défapprouva quantité d'endroits dans la pièce, fur-tout une imitation trop forre de Sophocle, dans le cinquieme

Ac. ce qui obligea à en remettre la feconde représentationau 1 9 fuivant pour avoir le rems d'y faire lescorreftions qui avoient paru nécelfaires et ces correctionsfurent annoncées par l'affiche ce qui était une nouveauté.

Cependant, malgré les changemens, cette Traiéd. n'eutqu'un médiocre fuceès, et le dénouement n'en fut pastrouvé fi heureux que celui de I'Electre de Crébillon.

Il 1 avait déja paru, le 1 o Octob. 1 6 8 1 une tragédie d'ORESTêpar Le Clerc, et à laquelle on prétend que l'Abbé Boyeravait eu au/fi part, mais elle ne fut jouée que trois fois, et n'a pas été imprimée. On peut voir, au fujer de cettepièce, le Mercure du mois de Septemb. 1 6 8 z Le fond dusujet est celui d'IpHiGENiE EN Taoride.

ORESTE ET PILADE, tragédie de La Grange-Chance!, tepréfèutéepour la première fois le i i Décem. 1697. Quoique

La Grange n eut pas encore ving: ans lorfqu'il donnacette pièce, ce n'était cependant pas fa première; elle eutun grand succès, et ne fut interrompue que par la maladieet la mort de la célebre Chammélé, qui y jouoit le rôled'Iphigénie; on l'a reprise plufieurs fois depuis.

Les ORIGINAUX, Com. en un Acte, par M. PaliflTotde

Montenoi, donnée à Nancy le 16 Novcmb. 171 f. Celtune fatyre outrageante contre Mme Duchâtelét, et le rieur

Roulieau de Geneve. Le Roi de Pologne Duc de Lorraine

ORI [Pièces.'] --ORO jty

Xiii;en fit interrompre la reprcfentatiori. Voye^ auflî les Ca^

RACTERES DE THALIB.

LesORIGINAUX, ou I'Itauén Corn. Fran. et îtal. en ?

Ac. en pro. avec un Prolog. par La Motte; elle fut jouéefur l'ancien Thé. Ital. le 1 Août 169 3 les airs des Div.de cette pièce étoient de Ma(le.

LesORIGINAUX ou les Fourbes f UKis, Pan. des Prétendus

PHILOSOPHES)Corn, en Ac. et en vers, par M*imprimée à Nancy en 1760.

L'ORIGINE DES MARIONNETTES, Paro. de l'Acte de

PIGMALION par M. Gaubier donnée au Thé. Ital. le 16

Septembre 17 jj.

ORION, Io8mc Ope. Les trois premiers Ac. de cette Trag.font de La Font, et les deux derniers, avec le Prolog. del'Abbé Pellegrin; la muGq. du tout en: de La Cofte. Ellefut représentée pour la première fois le 17 Fév. 171J onne la donna que quatorze fois, et elle n'a point été remifeelle est cependant imprimée en mufiq. partition in-4.0. Le

Prologue se paire entre Venus, Jupiter, Minerve, l'Amour, etc.

Cefut dans ce têms-Ià que M. Frâncine, tjui depuis longtemsavait la direction de l'Académie Royale de Mufiq.ayant demandé à s'en démettre, lé Roi lui accorda unepenfion confiderable fur les revenus de l'Opéra, eten donnala direction à De(louches. Foye{ AtcioNfi.

L'ORIZELLE, ou les Extrêmes Moitvémens n'AMOUR;

Tragi-Corn.-Pajlo. par Chabrol, parue en 16j j

OROMASE, Prihcb î>s PERSE, tragédie de Louis Cadet, enififi.

ORONDATË, ou les AMANS DISCRETS, Tragi-Corn, par

GuerindeBoufcal, en 164;. Elle est en cinq Actes envers.

ORONOKO, -Com. traduite de l'Anglois, par M. Du Boccage, imprimée en 1 f t.

ORONTÉE, tragédie lyrique en r Ac. par Le Clerc, mife enchâteau de Chantilly par l'Académie Royale de Muûcjuedevant Monfeignenr le Dauphin.

OROPASTE, ou le FAUXTonaxarb Trâ. de Claû. Boyer, «nprinweeniéfi}.ji'l ORP r ORP

ORPHÉEC.efujecafourndieuxancienneTsraet. deuxOpc. lesTrag.fontl'unedeLepine, donnéeen 1613;ellea.pourtitre, leMariaged'ORPHÉfBa defeenateusEnfers, , etfamorptarlesBacchanteLsa.fecondeeftdeCha.fpeoutsocne, ellefut donnépearlaTroupeRoyaleen1640, • titre, leMariaged'OrphéeETd'Euridicè, pit lagrardjeouriédeesMachineesn, enAc. enverset, dut(onfuccèàston(pelade. Lepremier OpéraeftintituléORPHIE ETËuridickc'étaitune Tragi.Coemnv. ersItaliensqu'oncroitdelacompo- iîtiondel'AbbPéerrin.LeCardinaMl azarivnoulanint .troduireenFrancelesOpérad'Italie, avoitfaitvenirdes

JMuficiednes'delàlesMonts, qui repréfenterecnetttepieceleyMars1647auPalaisRoyalen prefencdêeleursMiettesL. eP.Ménétriedr, ansfonTrairdéesBallets, expofleaconduidteecetouvragelesdifférecnhsangemendseThéatrel, esvolsetlesmachineqsuiyparurent, dontlanouveauettélamagnificenfcuerpriretnotuslesfpeetateurcsartoutescesinventionasvoienéttéjufqu'alorpsreCqu'inconnenuFesrance.

L'autreOperad'ORPHeÉfEtuneTrage.n Ac.donltesparolesfontdeDuBoulayet, lamufiqd. eLullyfilsaîné;il futreprésenpteourlapremierfeoisle 8Avril1690et, eftimprimién-folc.'eftle z^ede nosOpéraFrançois:il n'a jamais étérepris.Lel'iologuefepalleentreVenus, fHiver etleurfuite.

IlyaauffuineTragd. 'ORPHEeEnAc. avecunProloget.deschoeursi, mpriméeen1756 dansledernievrold. es

OEuvredseLaGrange-Chance). ORPHÉETEURIDICEe, fpecde'Op.ComlmunActe, parM.LeValoisr, epréfenatéumoisdeFév.1741aux

Marionnetteets, nonimprimé.

L'ORPHELINDELACHINE, Trag.deM.deVoltaire, donnéepourla premierefoisauThé.Fran. le20Août17ff etquia eubeaucoudpefuccès}onfic quelqueslégerschangemeanpsrèslapremierreepréfèntatiEonll.efutinterrompuàelaneuviempearl'indifpofitdioufnieur

LeKain, maisonla repritle xo Oflob.etaumoisde

MarsfuivantL.esItalienesndonnerenutneParodifeousletitredesMagots,

ORP [Pièces.] OTH 319

L'Antennorusapprendd, ansl'Avertiflèmqeun'tilamisàlatêtedecettepiece, qu'ilena prisl'idéedel'Orphelin, deTchaoTragéd. Chinoifecomposedansle quatorziemefîecle, traduiteparle P. Prcmare, qu'ontrouvedanslesouvragedsuP. DuHaldeetquia étéimpriméeféparémednatnslemêmetemsquecelledeM.deVoltairea, vecunedilîèrtatioànlatetefurleThé.Chinois, parM.Soredl esFlottesL. esComédienss'habillereàntlaChinoidfeanscettepieceetlesAdricems êmeysparurenftanspaniercequifutbeaucouappplauddiuPublic, quidefiroditevoirtoujourlescoftumutnpeumieuxobfervaéuThéâtre.

L'ORPHELINCEo, mt.raduitede l'AngloisparM.Du

Boccagiempriméeen17r1

ORPH1SoEul, aBEAUpTeÉrsécutée7ragi-Copma.rDesfontainesen1637.

OSARPHI.oSu, Morse Tragd. el'AbbcNadalnonreprclèntémeaisimpriméeenï73<5C.ettepieceavoitétérêetçreupearlesComédieFnsran.etlesrôlesdiftribucpsour jouée, en1717 maiscelan'eutpaslieu, pardesfaifonqsuin'ontpasécérenduepsubliques.

OSMANoulaMORDTUGRANODsmanTra.deTriftandonnéeenj6J6.Quinaulftit jouercettepieceaprèslamorrdefonAuteur, doncilétoitéleve, maisellen'eutquepeudefuccès.

OSAUREUosSl, eNouvEALBAILACRoDm, e.ndeuxAc.enpro.parM.Cailleauim, priméeen1761in-ix.C'estunecritiqueduRomande Julie, deM.Roulieaud, ont

Ofauretetfstl'anagramme.

OSTORIUTSr, agp. arl'AbbdéePure, donnéeni6s$àl'HÔtedleBourgogne.

OTHON, Trag.de PierreCorneille, donnéeàl'Hôtelde

BourgoganuemoisdeNovembr1e664.et, quifetrouvedanlsetomecinquièmdee fesOEulve.fujeetneftprisdecT'aecfliteet, lafidélitdéel'hiftoiryeeftexaélemegnatrdée unedesbonnepsiecedsecetilluflreAuceurq, uientravailllaesversavecungrandfsoinetrefitletroiueme

Actjeufqu'tàroisfois;aufldi ifoit-qiluecetActeluiavoitcoûtéplusdedouzecensvers;ila peint danscetteTragédiel, acorruptiodnelaCoudr esEmpereurdsu, même]3o OTJV [Pièces:] OUVpinceau donc il avait peint les vertus de la République. le

Maréchal de Gammont dit à l'occafion de cette Tragédie, que Corneille devoit être le bréviaire des Rois: et M. de

Lonvois, qu'il faudroit un

Parterre compofé de Minière!d'Etat pour la juger. Pbyeç auffi la MORT D'OrHON.

L'OUVRAGE D'UN MOMENT. Voye^ le Galani

Coure dr.

P

Les A ALAD1NS, I7yme Ope. donné le 12 Fév. 1760.

C'est un Ball. dont les paroles font de M et la mu6q.de M. Rameau: il n'eut point de succès. Il fut cependantparodié-fous le titre des PÉLERINSDELACOURTILLE, Lesujet cft tiré d'un Conte de La Fontaine, intitulé le petit

Chien qui fecoue des pierreries.

Le PALAIS ENCHANTÉ, Op. Comi. en un Afte, donnéle z7 Fcv. 17} 4, par M. de La Grange. Il n'est pas imprimé.

Le PALAIS DE LA FORTUNE, ou le SOUFFLEUR, Op.

Comi. en un Ac. de Carotet, donné en 1738.

Le PALAIS DE L'ILLUSION Op. Comi. en.- un Ac. de

Ccenesépifôdiques par L" Affichardet M.Valois donné le19 Juillet 1736 et non imprimé.

PALEMON, Fable Boccagere et Pajlo. en f Ac. en vers, par

Frenicle, en 1631.

PALENE. Il y a deux Tragi-Com. de ce nom; l'une attribuéel'Abbé D'Aubignac, et indiquée fans date; l'autre del'Abbé Boifrobert, qui fut représentée en 1 6 40 fous le titrede-PALBNESACRIFIÉ$.

PALINICEjxmCiREiNicE ET FLORIZE, Tragi-Com. tiréede VAftrée, par Raiffiguier en 1634., PAMELA. Il y deux ni. de ce nom la première, par

Boiffy eri Ac. en vers elle a pour fecond titre la Virt"

MIEUXÉPROUVÉS, et fut donnée avec succès au Thé.Italle4 Mars 1743. La feconde, de Nivelle de la Chauflce, eu Ac. en vers repréfèntée une feule fois à la Comcdie

PAN [ PIECES. PAN $j»

Fran. le 6 Déce. 1745 et qui nc" pas imprimée. Voyt{la DEROUTE DES Pamela.

PANDORE Com. en un Ac. en pro. avec un Div. de M. de

Saint-Foix, donnée au Théâtre Français le 13 Juin 17 sI et fortbien reçue du Public: les airs étoient de Quinault. Cettepiere, qui est la première de M. dc Saint-Poix, n'a été impriméequ'en 17 fo. M. de Volraire a fait un Opéra intitulé

PANDORE, il est imprimée dans les nouvellès éditionsde fes OEuvres etil n'a point été encore représenté quoiquemis en niufiq. par Royer, et répété même le f Ofto.17ri au Concert de Madame la Marquife de Villeroyen préfence de M. le Prevôt des Marchands. Voye^ aufli la

BOETEDEPandore.l'ANDOSTE, ou la Princejfe mallieureufe tragédie en pro. endeux parties ou deux journées, par Puget de la Serre, donnée en 1631.

PANÉGYRIQUE D E L'ECOLE DES FEMMES, ou la CoNVERSATIONCOMIQUESUR

LESOEUVRESDE M. MOLIERE,

Piece en un Ac. en pro. par un anonyme, imprimée in-u.à Paris, à la fin de l'année 1663.

PAN ET DORIS. Voye{ les TRois SPECTACLES.

Les.PANIERS Com. en un Ac. en pro. par Le Grand, jouéed'abord dans le BALLETDESvingt-quatre HEURES, à lafête de Chantilly, au retour du facre du Roi, et enfuitefur le Théâtre Fran. le zr Fév. 1713. La mode des jupesenflées, ditspaniers, dont la grandeur fut poufl'ée à unedimenfion extraordinaire, donna occafion à cette petitepièce.

PANTAGRUEL, Com. attribuée à Montauban, en 16 54.

PANTENICE, PRINCESSEtravectib TragiCom. attribuéeàSiinville et non représentée.

PANTHÉE. Nous avons fix tragédie de ce titre: la première, par Magdeleine et Catherine Neveu mère et fille, et qued'autres attribuent à Guerfens, jouée et imprimée à Poitiers, en 1 J71. La feconde, de Hardy donnée à l'Hôtelde Bourgogne en 1604, etimprimée en 1614. La troisième, qui est avec des choeurs, de Billard de Courgenaireprésentée en i£o8. La quatrième, aulÏÏ intitulée l'AMOUR

CONJUGALd, e Dorouviere, la même année. La cinquième, de Durval, tirée de Xcnophon, Sc donnée en 1656ou33i PAN [Pièces.] PAR1 6 8 La (ixieme, de Triflan; cène derniere fut rc-prcfentéeavec un foible fucccsen 16 37, et fuivic la Mariamnedu même Auteur, qui avoue que l'aînée a plus de beautésque la cadette, mais il s'en excufe fur ce qu'il l'avoir, coinpofïedans les incervalles d'une maladie, et que de pluselle fè fêntit de la di (grâce arrivée à la Troupe du Morais, par l'apoplexie dont fut attaqué le célebre Mondory, duiauroit fait valoir Arafpe dans cette Tragéd. comme ilavait fait Hérode dans l'autre. Cette pièce re trouve dansle fécond vol. du Recueil, connu fous le titre du Thûtrc

François, il y a aufli un Opéra fous le titre de Panthh, qui fut exécuté en Concert dans les grands appartenions du

Palais Royal. Les paroles font du Marquis de la Fare, et lamusqué de M. le Duc d'Orleans, Régent.

La PANTOUFLE, Op. Comi. en un Ac. donné le 10 Mars1750, par M. Marignier. Il n'est pas imprimé.

PANURGE A MARIER, Com.en pro. par Autreau; ellefutdonnée au Thé. Ital. le zi Novemb. 1710, compofée de3 Ac. avec un Prol. et des Div. mais à la feconde repré-(entation les trois Actes furent réduits à un depuisl'Auteur a travaillé à la corriger, l'a remife en 3 Acîes, et elle Ce trouve imprimée dans fes OEuvres fous le titrede PANURGE A MARI ER, ou la Coquetterie UNIVERSELLE.

Montauban a fait une pièce des AVENTURESDE PANURGE, qui fut donnée au Thé. de Gucuégaud en 1674 etn'estpas imprimée.

PANURGE MARIE DANSLESESPACESimaginaires, Corn.de Autreau, en un Ac. en pro. avec des Div. deftince au

Thé. Irai. mais non représentée j elle est imprimée dansfes Ouvres. 9le PAPE MALADE, Com. C'est un libelle compofé parlespremiers Proteftans etimprimé à Geneve en i;«t. Ilen'parut une féconde édition en if84, fous ce titre: la

Comédie du Pape malade tirant à fa' fin traduite duvulgaire Arabique en bon Roman irtttlligible, psr

Trafibule.

PAPIRE. Yoyel le Dictateur ROMAIN.

PARADES. On entend par ce terme des Farces ou petites comédies fans aucunes règles, d'un style affeetc et ridicule, remplies de pointes et de jeux grossiers très libres et fort satyriques, que les Bateleurs donnent sur l'échaffaud à la porte de leur Jeu pour attirer le peuple. Les Acteurs ordinaires de ces fortes de pièces font: le bon homme Caffaiidre, Isabelle, Léandre et Gille. On a imprimé à Paris en i7f6, chez Bauche, un recueil de ces Parades, en trois volutnes in-i z. fous le titre de Théâtre des Boulevards il fuffira de rapporter dans le prêtent article de ce Dictionnaire, le titre des pièces que contient ce recueil pour achever de donner une idée de leur nature, le voici Liandre fiacre la eonfiance des Cocus; la chajle Ifabelle le Doigt mouillé; Caracataca et Caracataqué Léandre hongre le Marchand de merde Ah que voils qui ejl beau; l'Amant cochemard; l'Amant pouffif; Ifabelle grojfe par vertu; le Remede la mode; Ifabelle double Léandre magicien les deux Doubles; la Vache 6*le veau le bon hommeCajfandre aux Indes Léandre Ambaffadeur la

Pommede Turquie; le Courier de Milan; la rivale;

Léandregrojfe le mauvais Exemple; le Muet aveuglefourd et manchot; le Chapeau de Fortunatus.le PARADIS TERRESTRE, ou les CHAMPSPACIFIÉS, Bali.

Opé. en un Afte, compofé en 1697. Cet ouvrage est ma-.nufcrit dans la bibliotheque de M. le Duc de la Valliere.

Le PARASITE, Com. de Triftan représentée au Louvreavecapplaudillement et à l'Hôt. de Bourgogne en 16 r4elle est en Ac. en vers, et se foutint long-tems. il en extraordinairequ'aucun Auteur n'ait depuis traité ce fujec, qui paroît fi propre au Théâtre.

Le PARESSEUX, Com. par De Launay en 5 Ac. en vers, -précédée d'un Prolog. donnée au Théâtre Français le 28 8 AvriL1733. Cette pièce n'eut que quatre représentations onlui reprochoit de n'avoir pas allez d'aétion, cependant ellefut vue et achetée avec allez d'empreffement.

Les PARFAITS AMANS. Voyer tes METAMORPHOSES.

PARIS ET OENONE tragédie de Montrera, dont on ne con-, noît que le titre.

Le PARISIEN, Com. en r Ac. en vers, par Chammélé*donnée au Théâtre Français le 7 ïév. léii et qui eut quatorzereprésentations alternatives avec la Zelonidë de l'Abhé

Geneft: la forte:de réuffite que cette Com. eut dans fa nouveauté, fut due .1, la fîngularitc d'un rôle de femme tout$5+ PAR [Pièces.] PAR

Italien, quiétoitjoué, avecbe1ucoudpegraceetdefineflèparla veuveducélebreMoliere, alorsfemmede

Guerin.

LaPARISIENNCE, ornd, eDancourer, n unAc.enpro. mifeauThé.Fran.le13Juin1691, etquin'eutqueneufrepréfentatioCns'e. ftcependanutnedesplusjoliesDancouradeOs.nlatrouvdeansletomepremiedrefes(Suv.

ElleeftfurlerépertoirdeesComédieqnusila jouendteremsentems.

LePARNASSBEa, ll.encinqentréese, xécutdéanlsacourdemarbreduchâteau deVerfàilles leOctobre1719il'occafîodnelanaiflancdeeMonfeigneluerDauphietn, enfititfeurleThé.del'AcadémRieoyaldeeMufiquCee.

Balleteftcompofdéediversfmgmenstantdesanciensqetuedesmodernesc, hoifiets ajuftépsarl'AbbPéellegrin, M.deBlamontS, urintendadnetlamuliqd.uRoil;esdanfeets entréeéstoiendtelacompofîtiodneBlondy·.

LePARNASSBEOUFFONC, ome.nun Ac.en pro.par l'AbbCé arcavicompoféveers1710, etnonreprcfentce.

LePARNASSMEODERNEO, p.Comei.hunAc.donnàela FoireS.Germaianu, moidseFév.17c3 parM.Bret.

Il n'eftpasimpriméV. oyta[uflPï olichinelleApollon.

LePARNASSREÉFORMÉouAPOLLAOLN'ECOCLoEr, n, envers, parM.LeBeau, faitepourlesColleges.

PARODIET, ragi-Cobronu, ffonnpea, rFuzelierdonuéeau

ThéâtreIcal.leil Mai1713.Cettepiece, quieftenun

ActemélédeProfed, eversetdevaudevilleésc, oiut necritique'dpelufieuTrsrag.etfur-toudt'iNksDECastro, etdeNitktis.

LaPARODIAEUPARNASSOE, p.Conrei.nunAflep, ar

M.Favartd, onnléeZoMOars175-9C, 'eftunecritiquveiveetgayedequelquepsiecejsouéefsurlestroisThéâtrdees

Parrs, -PAROST, ragd. eM;MailholdonnépeourlapremierefoisauThéâtreFran.let Janvier17(-4, etquieutpeudefuecôsn, 'ayanetuquehuitrepr-éléntatiocn'esftIapremieieTragédideecetAuteuretelleenfitconcevdoeirl'efpérance.

LaPARQUVEAINCUED, ivertljfe.nunActef, urlacon.valefcencdeeM.leDucdeFronrace, xécutàél'hôtedle

PAR [Pièces.] PAS 33?

RicheliàeuVerfailleesn 17^4L. esparolesen (ontde

M, TanevotS, elamuCqudeeM.Bury.

Le PARTERMREERVEILLEUPXro, loge.nvaudevilles, parCaroletd, onnéle 19Août1731, à l'Op.Comique.

PARTHENTIrEa, g. deLait.Baror, epréfenteene16+1etimpriméeen 1641.Le fujeteftde l'inventiondel'Auteur.

LaPARTDIEECAMPAGNEC, onie.nunAftèenprofê, avecunDiv.donnéefurleThé.liât.leJuin 178. ElleeftconnufeouslenomdeMMD. uVigeoetn Romagnefi.

Onprétendcependanqtuecedernienrefitquela' préfenter.

LePARTISADNUPÉV. oyel^eRichemécontent.

LePARVENoUu, IcMariageROMPCUo, inp.ardeBeauchampes, n3Ac.en pro.avecdesDiv.repréfentéaeu

Thé.Ital.lenFév. 1711.

PASIPHATÉr, agd. eThéophiled, onnéea, vecbeaucoupdelùccèesn, i

PASITHÉTEragi-Codme.PierreTroterelenr A6teesnversd, onnéeen1615ou1613 felond'autreAs uteurs.

PASQUEINTMÂRFORIMOÉDECINDSESMOEURS,

Comd.eDufrénety BrugieredseBarantee, nActesenpro.etenverslibres, avecdesDiv.elleeutungrandfuccèsàl'ancieTnhé.

Ital.ouelleparutpourlapremierfeoisle;3Fév.1697.

Dominiqfuilesmitcettepiecetouteenvaudevilleets, laEtrepréfenàtelarFoireS.Laurenetn171j jmaisellen'estpoinitmprimédeanscedernieértat.

LePASSETEMD'SAMOURPafto.par LeLoyer, enif7

LaPASTORALAEQ, UATPREERSONNApaGrBEoSu, nine, niffii.

LaPASTORA, L'TEngd. eMenardi, mpriméeen1613.

PASTORA(lLagErande)O. nallurequ'ilyavoidt anscettepièce plusdecinqcensversde la façon, duCardinalde55* PAS [Pièces.] PAS

Richelieu, qui cependant ne la fir point imprimer, par faraifon curieufe que M. Pelill'on nous explique dans fon

Hi(loire de l'Académie Françoife.

La PASTORALE, ENVERS, de la compofirion de l'Abbé

Perrin, mile en mufique par Cambert;elle fut d'abordexécutée au village d'illy chez M. de la Haye au moinsd'Avril 1 6 g et quoiqu'il n'y eût ni machines, ni danfcs, elle fut fi généralement applaudie, que le Cardinal Maza:rin en fit donner plufieurs représentations.devant le Roi, au château de Vincennes ce qui y parut de plus nouveaufur des concerts de flûte ce qu'on n'avait pas encoreentendu fur aucun Théâtre depuis les Grecs et les Romains.

Après les Opéra d'Italie, cette pièce peur é:reregardée comme l'idée primordiale de nos Opéra François, étant la première pièce en mulique dans ncuelangue.la PASTORALE DE CALIRIE, ou la Chudeb, par Raidiguier, donnée en î 6 j f.

La PASTORALE HÉROÏQUE, chantée à la fère donnée à.Paris par les Ambauadeurs d'Efpagne au nom de Sa hia-• jefté Catholique, , en l'hôtel de Bouillon, en réjouiilancede la naiflance de Monfeigncur le Dauphin, le 14 Janvier1 7jo et représentée fur le Thé. de l'Ope, le 1 du mêmemois. La mufîque en est de M. Rebel fils, et les parolesde La Serre.

La PASTORALE SACRÉE, en f Ac. en vers, ou Paraphrafedu Cantique des Cantiques, à la lettre, par l'Abbé

Cotin, imprimée en 1661.

La PASTORALE SAINTE. Ch. Herfaint, Chancelier de la

Cathédrale de Metz, a publié en 1*3 j deux Pafloralesfous ce titre; la première est une Paraphrafc du Cantiquedes Cantiques, fuivant le fon de la lettre, en f Afles enprofe. Le principal perfonnage est Salomon, fous le nonide Pacifique. La féconde est une Paraphrafe allégoriquedu même Cantique des Cantiques, en AS.es en profr.

Le premier perfonnage eit le Verbe Eternel, et le fécondl'Eglife. Ces deux pièces font rares.

PASTORALE SUR LA NAISSANCE DE Jescs-Christ, pat

Saint-André donnée en 1644..-Le PASTOR FIDO, Pajlo. héroïq, de l'Abbé Pellegrin, en

PAT PED /m

Ytrois Actes en vers libres, avec un Prolog. rejjêéfentée au

Théâtre Français le 7 Septemb. 17 %6 elle eut le forc de.precquétoutes les autres Pastorales, c'eIt-à-dire peu dé succès. Onfait que ce fujer est tiré du Poëme du Cavalier Guarinï-, que Ics Italiens font palÎer pour uneTragi-Coméd. quoiquece foit une efpece d'Idylle ou de Bergerie.

Nous avions déja plufieurs traductions du Paflor Fido. Voye^le BERGERFIDELE et il en parut encore deux depuis l'uneen profe, par M. Pecquet, en 17j } et l'autre, par unanonyme, en 1759i

PATHELI*. Voyc{ Avocat Patelin.

PAUSANIAS, tragédie de Quinault, repréfenrée fans fiiccès le16 Novemb. t666 ou 1668. Ce fujereft tiré de Cornélius

Nepos, qui a écrit la vie de ce Général des Lacédémoniens.

LePAUVRE RICHE Com.en Ac. en pro.avec une petitefarce, par un anonyme, ' jouée et imprimée à Vatenciennesen 1714.le PAYSAN PARVENU, ok les Coups de L'AMOUR, Corn.par Dorville imprimée à Bordeaux fans date cette pièceest tirée des Romans du Pay fan parvenu, et de la Payfanepar.venue.

LesPAYSANS DE QUALITÉ et les DÉBUTS Comédies, en un Ac. en pro. précédées d'un Prol. avec la Parodie de

D. Micco par Dominique et RomagneG, repréfentees au

Thé.Ital. le zi Juillet 1719..

La PEAU DE BOEUF., ou le Remède universel pour FAIRS

UNE BONNE FEMME d'one mauvaise Corn, en François eten Allemand dédiée-aux Maris intéreJTés et divifit endeux parties, dont la première repréfente la femme danstoute fa méchanceté j et. maitreffede la mttifonjet la feconde, le mari, par un jufie retour, pleinement vengé etmaîtreabfolu de fafemme par un anonyme, impriméewjiz. à Valenciennes en 1710.les PECHEURS ILLUSTRES, Tra. de Pierre MarcaHusdonnée en 1(53 et imprimée in-40. avec un argument etd'autres Poéfies, en 1648.le PEDAGOGUE AMOUREUX Corn, de Chevalier, donnceen16 6 fur le Théâtre du Marais. Elle est en s AilesjtS PED [PU;CES. PELle PEDANT AMOUREUX. Voyt^ la Fins MAL gardai.

Le PEDANT JOUÉ, Com. en f Ac. en pro. de Ciranodé

Bergerac représentée en i

Opé. Fran. C'est unePaflo. qui fut représentée pour la premièrefois le 8 Avril 167 x. Le Marquis de Sourdeac, fousprétexte des avances qu'il aToit faires s'empara de la recettedes deniers, loua un jeu de Paume vis-à-vis la rue

Guénégaud et pour le palTer de Perrin, eut recours à

Gilbert, qui compofa les vers de cette pièce: l'Auteur dela mufiq. celui des danfes, l'inventeur des mfchmes et les

Acteurs furent les mêmes que dans Pomone excepte que

Mlle Brignole y joua un rôle de Climcne. Cet Opéra n'estpoint imprimé en mufique, et n'a jamais été remis au

Théâtre. On en trouve un du même titre dans les (Sur.de Morand; i! est en Ac. Se un Prolog. et a été mis enmufique par Bourgeois; cependant on ne l'a point encorereprésenté.

Le PEINTRE AMOUREUX DE SON MODELE, Op. Comiqueen deux Ac. prefque tout en ariettes, par M. AnCaume, donné-le 14 Août 17 7 et remis avec des changemensle Février 17 ;X. Il eut beaucoup de succès; etfutparodié au même Théâtre fous le titre de GILLI GaRçox

Peintre. C'efH'imitation d'un Inter. Ital.intitulé IlPitroreinnamretQiCompofè pour la Cour de Parme, par M. Duni.

Le PELERINAGE DE LA FOIRE. Voyei les Fêtïs dil'Eti?..-La PELERINE AMOUREUSE, Tragi-Corn, de Rotrou, en

S-Ac. envers, imprimée i/1-40. en 16 37 et teptéetmitdès 1 6 3 4 à ce que l'on prétend.

Les PELERINS DE CITHERE, efpece d'Op. Comi.en Ac.parLeTellier, donncàlaFoireen 1714» et impriméen1717 à Marfeille, où on le repréfenta auflî.

Les PELERINS DE LA COURTILLE, Paro. des PALADINS, par M.Le Monnier, donnée à l'Op. Comi. le %zMars 17(0, fans grand succès. La fcene en était chez Ramponeau.

Les PELERINS DE LA MECQUE, , Op. Comi. en; Ac. dele. Sage et D'Orneval donne le i$ Juillet 17 16 et fort

PELOPÉE Traç, de ÏAbbi parles Coméd,

PENy il

Tràn.le i Décem.1731 etrepréfentéepourla premièrefoisle 1 Juillet 1733 Cette pièce, qui fut encorereprifeaprèsla feiziemerepréfentation, pallepour la meilleuredecetAuteur.

PENELOPE, Trag, del'AbbéGeneft.Cettepiecea eu beau--coupplusde fuccèsdans unereprifequi enfut faite fur lafindu mois d'Août 17*1, qu'elle n'en avoiteu dans fanouveautéfurle Thé.de Guénégaud oûejle ne fut jouéequefitou huitfois, en lanvier i C84.UnPrélatqui a écritcontrela Comédie, a trouve cette pièce fi châtiée, et£rempliedefentimensde vertu, qu'ila témoignéqu'il necraindroit pointdepermettre, etd'approuvermêmecette

TragédiedePénélope.Quoiquecette pieceeût été jouéedèsl'année1*84 cependantelle n'a étéimpriméeà Parisqu'enijx 3 Semêmepar néceflitépourrépareruneéditiondéfectueoièquis'enétait faite en Hollande fouslenomdeLaFontaine.On la trouveauffidansle cinquièmevol.duTheatreFrançois.

LaPENELOPEMODERNE, Op. Comi.en deux Ac. par

LeSageetD'Orneval, donnéle 6 Septemb 1718.

LePERECASSANDRE, Paradeen Paroi, du Père DEFamillb, donnéeà l'Op.Comi.le 10Marsiy6i. Elle elt deplufieurAsuteurs.

LePEREDEFAMILLE, Corn, en yAc.en pro. par M. Diderot, impriméeen 17; S. Elle forme, avecdes remarquesfurlegenreDramatique, un vol. i/z-8°.airezgros, etfutdonnéeauThé, Fran. le i 8 Fév, 1 7si.lePEREDESABUSÉ, Com.en un Ac. en pro. par M.Cerou, donnéeauThéâtre Françaisle 10Juillet 17^8 retirée parl'Auteurà Iatroifiemereprefentation, malgrélescorrectionsqu'ilyavoitfaitesavantla feconde, et qui l'avoientfaitrecevoirallezfavorablement.Cettepièce n'est pointimprimée; on peutenvoir le fujetdansle Mercured'Aoûtdela mêmeannée.1 tePEREINTÉRESSÉ, Com.del'AbbéPellegrin en Ac.envers, donnéeauThéâtre Françaisfansfuccès, le 19 Novem.17ie.Cettepiece, réduiteen 3 Actes, reparutfurlemême

Thé.le r Septem.173*^fous le titre dela FaussbInconitanceetn'y réunitpas mieux, n'ayantétédonnéequefil fois.Ellen'est pas imprimée.Î40 PER [Pièces.] PER

Le PERE PARTIAL, ôun. Irai, en jA c. avec des fcenec

Prançoifes, repréientéeauThé. Irai, le 19 Mai 1718. Cettepièce, qui est de Lelio le pere, est tirée d'une Coméd. enmufîq. qui porte le même titre.

Le PERE PRUDENT ET ÉQUITABLE, ou CRISPINL'HEUREUXFourbe

Com. en un Ac. de M. de Marivaux non représentéecompolce à l'occaiîon d'une efpece de défi quifut fait à l'Auteur étant à Limoges. C'est fon coup d'elfai, et il fut imprimé en 171t.

Le PERE RIVAL, Op. Comi. par Carolet donné le 3o Mars1754- Heften unA<£te.

La PERFIDIE D'AMAN mignon ET favori d'Assueriis,

tragédie en Ac. en vers, par un anonyme, en i6ij. C'estune allégorie fur la mort du Maréchal d'Ancre.

PERIANDRE, . attribuée à etconnue. On pourroit l'avoir confondue avec Pirandre.

PERSÉE, lime Opé. C'est une tragédie en Ac. de Quinault, mife en niufîq. par Lully, imprimée, puis gravée in-foi

Ja première représentation s'en donna le 17 Avril i6ti,

La Vertu et la Fortune qui se réunifient forment le Prol.

Cet Opéra a été repris fix fois ( en 1687 i 1705 1710, 1711, 1737 et 1746 ), et.il en a paru quatre parod. Lapremière, intitulée Persée LE CADET en Ac. en monologuesreprcfèntée à la Foire S. Germain 1709, par

Troupe de Dolet et La Place.. La feconde de Fuzelier, en

Ac. prefque toute en vaudevilles, donnée aux Ital. fousletitre d'ÀRLEQOiN Persée, le 18 Décemb*7ii.La rrotfieme, intitulée le Mariagb EN1.'AIR; jouée à J'Op. Comiqueen 17 37 et la quatrième donnée aux Marionnettesde Bienfait, par un anonyme, à la Fcnre S. Germain delamême année, fous le titre de Polichinelle Persée, etqui n'a pas été imprimée. v •

PERSÉE CUISINIER, Com. représentée fur l'ancien Thé.

Ital. en 1683. C'ctoit une raillerie fur Durnefni grand

Auteur de l'Ope, qui, comme l'on fait, avait paRe delacuifine de M. Foucault au Thé. de l'Ope, qu'il quitta pourêtre Gouverneur des enfans de M. de P. il rentra une• féconde fois à TOp. en 16 86.

PERSÉE ET DEMETRIUS, Trag., de Thomas Corneille, imprimée tome troisième de fes OEuvres. L'adion de cette

PER [Piecss."} PET J4f

Yiîjpièce roule fur la jaloufie et la haine de ces deux freres, cnfans de Philippe Roi de Macédoine elle fut donnée àla'fin du mois de Décembre 1661.-la PERSONNE, ou la Délivrance d'Andromède Trag.de Boilfiii de Gallardon en 1 6t S.

PERSEfcIDE ou la CONSTANCEd'Amour Tragi-Com. parun anonyme, repréfentéé et imprimée en 1646.

PERS1DE, ou la SuirE d'Ibrahim Bnssa, tragédie de Desfonraines, représentée en 1644. C'eit le même sujet de la

RHODIENNE.

PERSIFLER, tragédie burlefque, en f Ac. qui ne contiennentque huit pages fans l'Epître dédicatoire en vers. Cettepièce, attribuée à Granval le père, a été imprimée en1748.

FERTHARITE, Roi DESLOMBARDS, tragédie de Pierre Corneille, donnée en 16 n et imprimée dans le quatrièmevol. de Ces(Euv. Cette pièce, qui auroit pu faire honneurà un Poëte du commun, fut l'ecueil du grand Corneilleonne put fouffrir dit un Auteur, un mari qui voulait racheterfa femme en cédant un Royaume, et ce bon marin'ayant ofé se montrer en Public que deux fois, cet échecdégoûta Corneille comme il le marque dans une petiteprcface allez chagrin. Voyt{ (Edipe.

LaPÉRUVIEN NE., Com. en f Ac. en vers libres par Boifljyreprésentée une feule fois le Juin 1748, au Théâtre Français

LesLettres Péruviennes ont donné l'idée de cette pièce, qui n'a pas été imprimée, et celle d'un Op. Comi. en utr

Ac. fous le même titre qui fut joué pour la première foisle 13 Mars 1754 fans succès, et qui est de M. Rochortde Chabannes.

La PESTEDE LA PESTE, ou le Jugement Divin Trag.truj Affes en vers avec des- choeurs en vers de plufieursun

Prolog. en.pro. par Du Monin, imprimaen ij84.C'est une mauvaife pièce, allégorique au Jugementdernier.le PETIT HOMME DE LA FOIRE Com. en un Acte, de

Jac. Raifin donnée avec un.grand succès au The. Fran. le.w>Mai 16 87, et qui n'est pas imprimée.

Le PETIT-MAITRE AMOUREUX, Com. de en Romagnefî, . 3Actes en vers, donnée aux Ital. le iet Juin 1-7>4 le1j4* PET [Pièces.] PETbien reçue elle n'a cependant pas cté imprimée. Cettepièce fut fuivie d'un Bail. pantomime reprcleniant la fablede Pigmalion, exécuté par la DUe Roland et le fieur Riccoboni.

Le même fujer de Ballet avoir été danfé à Londresau mois d'Avril, par la DUc Salé et Malter.

Le PETIT-MAITRE CORRIGÉ, Com. en Ac.eripro.pv

M. de Marivaux; elle n'a. eu que deux représentations au

Théâtre Français La première Ce donna le 6 Novemb. 1754,

Le PETIT-MAITRE DE CAMPAGNE, ou le VICOMTE DE

Genicocrt Com. en un Ade en profe, par un anonyme, reprefeutee en 1694, au Théâtre Fran. 'c imprimée en1701.

Le PETIT-MAITRE DE ROBE, Com. en un Acte en profe, avec un Div. par Boindin deftince pour le Thé. Iran, maisqui n'a pas été repréfentee elle a été imprimée en 17;;dans la nouvelle édition des (Euv. de cet Auteur.

Le PETIT-MAITRE DUPÉ, Com. en r Aâes en vers. Cettepièce.n'eut qu'une reprélèntation au Théâtre Français le f Mars1 7 s 1 Elle avoir d'abord été annoncée fous le titre du Suffisantet préfentée fous celui du FAT.

Le PETIT-MAITRE MALGRÉ LUI, Op. Comi. en un Ac.par M. Favart, donné pour la première fois le 14 Mats17 f 7 avec la Répétition générale.la PETITE ECOSSEUSE, Para. de I'Ecossoisk, par M.

Taconet, imprimée en 1760.

La PETITE IPHIGENIE, Paro. d'IPHIGENIE ENTAURIDE, en un Acte en vers, par M. Favarc, donnée au Thé. Ital.le 11 Juillet 1757.

La PETITE, MAISON, Parodie de l'Aâe d'ANÀcRsoN, du

Ballet des Stratagèmes de l'Amour donnée au Thé. Ital.par MM. de Marcouville et Chevrier, le 3QJuin 17f 7.

Les PETITES MAISONS, Op* Comi. par Carolet, donné ila Foire S. Germain 17 ;t. Le même Auteur avoir donnéaux Marionnettes de Bienfait, à la Foire S. Laurent 17*7>une pièce en un Acte fous le titre des Pbtixbs maisons;mais le sujet en est traité différemment. Elle ne fut pas imprimée.

Le PETIT PHILOSOPHE, Com. en un Afte en vers, par

M. Poinfinet le jeune, avec des couplets par M. Daveihe, donnée au Thé. Ital. le 14 Juillet 1760.

PET: {Pièces.} PHA %jl\

Yiiii

LePETIRTASOIDRESORNEMENMSONDAINTSr, a.parPhilB. oCquieimr, priméàeMonesni s%9»n-8°.

LesPETICTSOMÉDENI S, oulaTantedunîe Op.Cotni.ouProloge.n unAfte parM.PanarddonnéenAoût1731C. e:Opéra-Coqmuii..était jouépardesenfans, donlteplusâgén'avoipt astreizeans, futrepréfendtéevanlteRoi, etlesprincipalfecseneesnontétégravéeesnécransavecdesexplicatioennsversparM.Moraine.

LePsETITHSOMMEVS.oyeI^stBDELARaison.

LePsETITS-MAITRNEoSu.savontsroisComfo. uscetitre.

Lapremierep, arunanonymej, ouéeauThé.Fran.en2701L. afécondee, nf Ace. npro.par3.V.E.en173*.

Latroifiemp, earAvinée, n As.envers, Tepréfenatcue

Thé.Itale. Juillet 174?.Cefutpendanlte coursdecèndeernièreq, uelesComédienIrsai, commencereàntdonnefur rleurThé.desfeuxd'artificecsompofépsarleslieurRsuggierfir, eresdeBologne. LePsETITS-MAITRDE'ÉSTÉ, Corne, n unAc.enpro.parunanonymejouéeS:imprimée à Orléansen1696.

PETRINPEa, roe. nunActe, deProsbrpins parM.Favart, donnaéueThé.Ital.le13Janvieir7f9.M.Sedaine afaitplufieucrosupledtsanscettepièce.

PHAÉTOIINy.aquatr-epièceosutreunOpé.quiportent cenomL. apremiereeftuneBergertireagique, parJean!

Bellauddonnéeen1574 etallégoriquaeuxguerredsecetems-lLà.afécondeeHuneTragi.mpriméeen i6nou1^14, (ansnomd'Auteur, etfousletitre duTrébo-

CREMEDNHPThaéton.Latroifiemeefl:uneTrag.de

Triftanj intituléela CHUTE DEPhaéton, donnéeen1639et: laquatrièmeuneComh.éroïqudee, Bourfaulc, enfAce.nverslibresl;'Auteurq, uil'avoittravailléaevecfoins'enpromertoeintcorpelusd'honneuqrueneluienavoiftaitfonEsorsa tAVille etlesComédieqnusienpenfdideenmt ême, Tavoienptubliépar-toutet, refufémêmpelufieuarustrespieceqsu'onleurpréfentam; aislefuccènserépondpitasàleurattente ellefut donnéeen1<>19etlesCritiquesquiavoienetuletemsdepréparrerleurcabaleg, roffipearcelledesAuteurrésfutese, ndirenttantdemalqu'onctoitprefque dégoûtedela voiravantqu'elle fûtrepréfentée.•j44 PHÀ [Pièces.] PHA

Phab'toN Isme Opé. C'est une tragédie en y Ac. dont les ver?font de Quinault, et la mufiq de Lully; elle fut reprcfentéedevant le Roi à Verfailles, le 6 Janvier 1 6 8 3 et à Parisle z7 Avril fuivant, et a été imprimée, puis gravée enmufiq. partition in-fol. Le Prolo est le retour de l'âge d'or./Cet Opé. en: le premier que le Roi régnant ait honoré defà préfencej ce fut au mois de Novemb. 172 1.

Six reprîtes de cet Opé. faites en 1691, 1701, 17 10, 171:1750, 1741 lui ont attiré quatre Parod. du même titre, ou fous celui d'ARlEQUiN.l'HAÉTON. La première j de Palaprat, en 3 Ac. en pro. et en vers, jouée fur l'ancien Thé.

Irai, le 4 Fcv. z69x. La féconde , ide l'Abbé Macharti, enun Ac. en pro. et en vaudevilles donnée fur le nouveau

Thé. Ital.. le. 1 1 Décem. 1 yi r et qui n'est pas imprimée.

La troiueme, de Dominique et

Romagneu, aufli en un Ac.mêlé de vaudevilles et de Div. jouée fur le même Thé. lex x. Fcv. 1 7 3 1 et la derniere enfin, par Riccoboni, donnéele xr Janv. 174; et non imprimée.

Carolet a auffi parodié cet Ope. aux Marionn. fous le titrede Polichinelle Phaéton OILle COCHERmai. ADROIT.

EH AÊIUSE Acte de Ball. dont les paroles font de Fuzelier, et la mulique de M. Ifo, donné par l'Académie Royale de

Mufiqiie, dans les FRAGMBNSle 20 Août 1759.

PHALENTE. Il y a eu deux tragédie de ce titre la. première, donnée par un anonyme en 1610, et qui n'est connueque par un Prol. que Brufcambille Deflauriers- prononçaavant fa première représentation et faute, de La Cal-< prenede, jouée en i^4r.

PHANAZAR. Vbyei les MUSES

PHARAMOND, premier Roi des Français, Tra. de Cahufac, repréfèntée le y Août 173(5, etparodiée à la Comédie

Ital. fous le titre des, .GAULOIS.Quoique cette Tra-

Rédie n'eût pas un succès bien brillant, n'ayant été représentéeque onze fois, elle fut cependant regardée parquelques-uns comme un préfage du bon que ton Auteurpourrait donner par la fuite. Le sujet en e(t prefque toutd'invention.'• du Roman de Pharamond 5 pat la Poujade imprimée »

Bourdeaux en 1671. Cette pièce est rare.

PHA [Pièces.] PHE J4j

PHARAONtragédie enf Ac.avecdeschoeurs, parChantelouveim, priméeen1576à Libourne.

Le PHARAOONp, .Comei.nunAc.mêlédepro.etdevaudevillerse, préfentàé-laFoireS.Germaine, n1717.

IleftdeFuzelier.

PHASAC, ume.nunAc.enpro.parMmedeGra6gnyr, épétéeaBernichezM.leComtedeClermont, en17;

PHEDREETHIPPOLYTCEe.fujeta ététraitéparEuripideetlejeuneSentquedansl'antiquitéetennotrelangueparcinqAuteurs, troisanciens, GarnierLa

Pineliereet, Gilbert(, VoyeH^ipioiyte)etdeuxmodernesP, radoetn RacineL.espiecedsecesdernierfsurentreprciëntcdeasnslemêmetems, aucommencemednutmoisdeJanvier1677.LaPhedicdePradonparuefurle

Théd. elarueMazarined, euxjoursaprèsquel'Hôtelde

Bourgogenuetdonnél'autre( c'est-à-dirlee Janvie)retquelqumeédiocrqeu'ellefoir, étayéed'unenombreusecabalefe, mblfaairechancelceerlledulavanRt acineq, uifoupireanCecredt'avoirétépendanqtuelquetemsauxprifèasvecunteladverfairme;aisenfinlapréventiocnédaaujugemenetc, levainculèmbllaeconfoledrelavictoiredeIoncompétiteuern, dilantde, nenouspoinat llarmerdevoirdesfautesdansunepiecequi ne luiavoitcoûtequetroismois, puifqu'oenntrouvoditanscelleq, u'on avoiéttédeuxansàcravailleteràpolir.UnanonympeubliadanscetemsuneDiiiërtatiofunrcesdeuxTragédies.

Racinaevoirunetendrellpearticulièpreourlalionneetladonnopitourjameilleurdeelespiecesenquoil aétéfuivpiarplulieurEs.lleen:dansletomelècoüddefesOEuvres.

MllDe eshouliereasm-, ieparticulièrdee Pradonlauyianftaitlefonnefti conncuontrela PhèdrdeeRacine, etDefpréaul'xattribuèreàntM.le DucdeNevers, cequileurcaufadeterribleisnquiétudeVs.oiccieSonnet.

DanusnfauteudiolréPhedtrreemblaetnbtelcmc

Didt evsersoùd'aboprderfounn'eenterniden.

SanourrilcueiFaiut nfermofnortchrétien,

Courle'affreduexffedia'attenftuerfoi-même.

Hippollyahteaipt refqauuetanqtu'ellle'aime...Riennechangfoen'coeunrifonchafnleuinricn.34* PHE [Pièces.] PHI

La nourrice l'accufe elle s'en punit bien

The (ce a pour ton fils une rigueur extrême.

Une grofle Aricic au teint rouge aux crins blonds,

N'cll-li que pour montrer deux énormes cecons,

Que malgré fa froideur Hippolyte idolâtre.1l meurt enfin trainé par Ces courtiers ingrats;

Et Phcdrc après avoir pris de la mort aux rats

Vient en fc confeflant mourir fur le Théâtre.

Le PHENIX ou la Femme FIDELLE, Com. en Ac. mêlés depro. et de vers, avec des fcenes Italiennes par De Lofmede Montchenay jouée pour la première fois, et avec ungrand succès fur l'ancien Théâtre Ital. le ii Novembre1691.

Le PHENIX, ou la Fidélité MISEA l'épreuve Corn, d'gn

Acte en vers libres avec un Div. représentée au Thé. Ital.le S Nov. 17 l, et aliez bien ieçue: c'est la première piècede M. de Caftera.

PHILANDRE, Tragi-Ccm. par Charles Navieres, donnéeen1584, et qu'on ne croit pas imprimée. J. Rotrou donnaen 1 6 j une Com. fous le même titre dePHILANDRB elleet): en Ac. en vers.

PHILANIRE, FEmmE d'Hippolyte tragédie en vers libres, avec des choeurs, par CI. Rouiller, donnée en i r £j. L'Auteuravait d'abord compoFc cette picce en latin i lefujeten en: tiré d'une hiftoire qui arriva dans ce tems.

Le PHILANTROPE, Com. en pro. par l'Eglefiere. VoyrKl'AMI si TOUTLE monde.

Le PHILANTROPE, ou I'Ami-db tout LE mondé Cm.en pro. de Le Grand 'donnée au Théâtre Français au mois de

Septem. 171} en Àc. qui ont été réduits depuis en un.

Quoique le caractère de Philantrope fût mêlé de ceuxda

Prodigue de l'Avare de X'Oifif, ete. cependant ilfutgoûté, et parut nouveau au Théâtre la mufiq. du t)iv. decette pièce était de Quinault.

PHILEMON ET BAUCIS Opé. en un Aae, par Malezieu, mis en muGq. par Mathau représenté dans une fête donnéepar M. Malezieu au Duc et à la Dochefle du Maine, le4 Août ijw j, Voyt^ le Mercure d'Août àS cette année.

PHILINE, ou Amour contraire, Paflo. en j Actes euvers, donnée par La Morelle, en i6jo.

PHILIS, Paflo. par Chevalier, en 1 609. Cette pièce est précédéed'un Prol. duquel la Mort tft le perfonnagt.

La PHILIS DE SC1RE, Pajlo. en r Ac. en vers alexandrins, imitée de l'Italien de Bonarelli par Simon Du Cros, en ifii9 pat Pichou en 1630 et par A. 13. D.S. en i66y j cette dernière est fort rare. L'Abbé de Torches à auflî traduit en vers libres la PHILIS DEScire fa pièce fut imprimée en 1669.

PHILISTÉE, Paflo. en Ac. en vers, de Pierre Trocerel imprimée en 1617.

PHILOCLÉE ET THELÉPHONTE, tragi-comédie par Gabriel Gilbert représentée en 1641. Voyez Téléphonte.

PHILOCTETE, Tra. par M. de Chateaubrun donnée pour la première fois au Théâtre Français le premier Mars I7j-f et qui a eu un succès brillant. Elle a été parodiée aux Italiens sous le titre de la RANCUNE.

PHILOMELE, 6 ymeOpé. C'est une Tra. en f Ac. de M. Roy, mise en musique par La Cofte, représentée pour la première fois le 10 Oftob. 170; et imprimée partition i/1-40. Le prologue est entre Venus, Mars, un Berger et une Bergère, le sujet du Poëme est tiré du quatrième livre des Métamorphoses. Cet Opéra a été repris trois fois, (en 1705, 1713 et 17)4) et lors de la seconde de ces reprides, M. Piron en donna une parodie sous le même titre, en un Ac." et en vaudevilles: elle fut représentée au Thé. liât. le it juin 1713 eut peu de succès, et n'a pas été imprimée.

PHILONOMÉ, Opé. en un Aete3 qui n'a jamais été misen mufiq. il est de Fagan, et se trouve dans le troisièmevol. de fes (Euv.- imprimées en 176o.le PHILOSOPHE A LA MODE, Drame Comique du P.

Du Cerceau, repréfente dans les Collèges et non imle

PHILOSOPHE DUPE DE L'AMOBR Corn. en un Acteen pro. par MM. F* et Saint-Foix, donnée au Thé. Ital.le, Oftob. 17x6. La Cour en parut plus contente que la

LePHILOSOPHE MARIÉ, ou le MARI honteux DBl'£-

TUfÇom. de. en vers, .}48 PHI [Pièces.] PUcreprcfemce pour la première fois fur le Théâtre Français le ifflévrier 17 17. Cette pièce, qui est tout-à-faic dans le goùcde la bonne Comcd. fut univerfellement applaudie et eut3 représentations dans le cours de l'année on la revoitallez fouvenr. M. Kelly la traduifit en Anglois, et elle aété jouée avec succès fur le Théâtre Royal de Londres en

Le PHILOSOPHETROMPÉ PAR LA NATURE, Com.en• 3 Ac. en pro. de Saint-Jory. Cette pièce, qui est avec des

Divertie a été compofée fur un cannevas italien de Ricco.boni père et fut renrélèntce à fon Thé. le y Nov. 17 19.

Les PHILOSOPHES Com. en Ac. en vers, imprimée à la Haye en 1741 in-8°.

LES PHILOSOPHES 3 Comédie en Ac. en vers, par M. Palissot de Montenoy donnée au Théâtre Français le z Mai 1760, avec beaucoup de succès; tout le monde connaît les applications qui donnèrent lieu à ce succès, et les écrits nombreux qui parurent pour et contre cette pièce.

Ceux dans le' genre Dramatique (ont les ORIGINAUX, les

PHILOSOPHES DE BOIS, et les PHILOSOPHES manques.

Les PHILOSOPHES AMOUREUX, Com. de Deftoucliesen f Ac. en vers, jouée au Théâtre Français le i.6 Novem. 1719.

Après cette unique représentation l'Auteur la retira, etlafit imprimer.

Les PHI LOSOPHES DE BOIS, Com. en un Ac. en vers, par'-M..PoinfinetdeSivry, fous le faux nom de M. Cadet de

Beaupré. imprimée in-r x. en 1760.

Les PHILOSOPHES MANQUES Com. par M. Cailleau, imprimée in-n.en en 1760.

PHILOXENE, tragédie d'Ant. Du Verdier, jouée et impriméeà Lyon en 1567.

PHOCION tragédie de Campiftron donnée le t6 Décemb.1688. Phocion çtoit un Capitaine Athénien célebre parfa probité et par le refus qu'il fit des prélèns d'Alexandre.

PHRAARTE, Traa. de Campiftron jouée le 1.6 Dec. iiStf.

Elle fut interrompue après la troisième représentation, parordre de la Cour, et n'est point imprimée.

PHRAATE ou le TRIOMPHEDESVRAISAMANS, tragédie avec1 des choeurs par-Hardy en iCz 3.

La PIEGE MÀNQUÉE, elpece de Prolog, en un Ac. en vauPIE[Pièces.] PIE j4>devilles, de M. Valois repréfenré par les Marionnettes dela Foire S. Laurent 17; 3 et non imprimé.la PIECE SANS TITRE, Op. Comi. en un Ac. donné le

Fév. 1737 par MM. Panard et Favart, et non imprimé.

C'est une efpece d'imitation de Pourceaugn ac. Il fut corapofeà l'occalion du bruit qui couroit alors d'un fameuxvolcur qui voloit feul de nuit, et que le Public avaitnommé le Prince nofturne.ou ténébreux..On ne voulut paspermettre que la pièce parût fous ce titre ni fous celui du

Normand dupé, et elle ne patfa que fous le nom de la Piecefans titre.

Le PIED DE NEZ, efpece d'Op. Comi. en Ac. par l'Abbé

Pellegrin représenté en Août 171 8 au Thé. du Chevalier

Pellegrin à la Foirei Cette pièce était par écriteauxelle n'est pas imprimée, et n'eut point de luccès.

La PIERREPHILOSOPHALE Coin.en f Ac en pro. mêléede fpeétacles etde danfes, donnée au-Thé. Ft an. le 1 5 FcV.16S1 et attribuée à Thomas Corneille et à, de Vizé. A laplace de fcenes il se trouv.e, à chaque A

PIERROT CADMUS, .P

PIERROT. CELADON, ou la Nouvelle Astréb Op. Co~mique, en 3 Ac. par.Fuzelier donné en l7z6.

PIERROT FÉE, Op. Comi. d'un Ac. donné en Juillet lyz 6.

PIERROT'PERRETTE, - Op. Comi. en deux Ac. précédé del'AUDIENCBDu Tems donné le xi Fcv. 17 zj par Fuzelier, >»etnon imprimé.-

PIERROT ROLAND Paro. en un Ac. par Fuzelier, donnéeà l'Op. Comi. de la Foire S. Germain 1717. Elle n'est pasimprimée.

PIERROT ROMULUS, ou le Ravisseur poli, Paro. de

Le Sage, Fuzelier et D'Qrneval. Cette pièce elt en un Ac.prefque tout en vaudevilles elle.fuc jouée par les Marionnettesde La Place, àla Foire S. Germain, le. 3 Fév. i7tz, avec concours. : •

MERROT TANCREDE ou la Mbprise de 1' Amour Pa-"die en .un Ac, donnée à' l'Op. Comi. le, 1« Mars i 7 1 ?3fo PIE [Pièces.] PIPpar MM. Pontau Panard et Fuzelisr. Elle n'est pas imprimée.

PIERROT VALET DE MAGICIEN. Voyez Histoire del'Opéra- Comique.

PIGMALION Corn, en 3 Ac. en pro. avec un Div. par Romagnefidonnée pour la première fois fur le Thé. Ical.le 1 Janv. 17 il. Cette pièce, quoique bien écrire eutpeu de succès , et n'est pas imprimée. On prétend que M.

Baurans en étoic réellement l'Auteur et que Romagneline fit que la retoucher de concert avec Procoppe Couteaux.

Il y a fous le même titre un Op. Comi. en un Ac. donné le 16

Mars 1 7 3j par M. Panard et L" Affichatd et une Com.enun Au. en pro. donnée au Théâtre Français le 11 Décem. 1760et qui est de M. Poinfinet déSivri.

PIGMALtON 1jjme Opéra. C'est une pièce en un Ac. qui futdonnée par l'Académie-Royale de Mufiq. le 17 Août 174S.

Cet Acte faifokparrie du Ballet duTRIOMPHE DESArts, représenté en 1700, et est de Feit La Motte la mufiq.en.:toit de La Barre et comme elle .n'était pas bonne, lapièce ne put se foutenir. M. Balot de Sovot, frère de Al,

Balot Notaire fit quelques augmentations, et les changemensnécelFaires aux paroles, qui furent miles de nanveauen muiïq. par M.Rameau et cela en moins de huitjours de tems, à ce que fon-prétend. Cet Ac. ne fc relientnullement de cette précipitation de travail et le Public, qui le revoie (auvent avec plaifir le regarde comme un desplue beaux morceaux de ce grand Muficien. Ilaétcparodiéeni7f3au Thé. Ital. fous le titre de l'ORIGINE Dcs--Marionnettes.

Les PIGMÉES Tragi-Com. en f Ac. ornée de mufiq. d'entréesde Ballets de machines et de changemens de Thé.repréferitee par les Comédiens du Marais en 1676. Ontrouve le Programme de cette pièce imprimé avec lesversqui s'y chantèrent.

PI LOTBOUFI tragédie burlefque, imprimée en 17j-tf in-r-

C'est une plaifanterie de Ibciété qui n'a pas été faite pourle, Théâtre. < •

La PI PÉE Para, ou imitation en z Ac. en vers, de l'Interm.

Irai.'du même titre, qui avait été donné fur le Thé. derOpc.Ie;x3 Sept. 17/j elle.en de M. Clément, et n'a eu

PIR [Pièces.] P1R 1tiqu'un médiocre fucçès au Thé. IraI. où elle parut pour lapremière fois le 19 Janv. i7ftf.

PIRAME ET THISBÉ. Nous avons trois tragédie et un Opé, fousce tirre. La première tragédie est de Théophile elle futdonnée à l'Hôtel de Bourgogne en 1617 imprimée en1611 eut un grand succès, et on Ce piquoit de la (avoir:par coeur. Cette pièce avec la Silvib de Mairet, les Bbr.-

GERIESde Racan, et 1' Amarante de Gombauld, rendirentle Théâtre plus célebre, et les Poètes ne firent plus de difficultéde laitier mettre leurs noms aux affiches des Comédiens, ce qu'on n'avait pas encore vu. La féconde est de

Puget de la Serre, imprimée en 16 a, et en f Ac. en pro.la troisième est de Pradon, et fut mife au Thé. en Janv.

K74, C'est la première pièce qu'il ait donnée: s'il en fautcroire l'Auteur elle eut î'approbaric iu Public, quoiqu'ilavoue qu'il s'y est plus attaché à plaire qu'à Cuivre'les

Arijlote. Il est vrai que la cabale formée par lesennemis de Racine fit valoir cette pièce.

PIRAMEetThisbiI est le 1 otfmedes Opé. Le Poëme, compofépar de La Serre, fut mis èn'mufiq. par Rebel fils et Francceurlecadet: la première représentation s'en donna le 17

Oâobi 17*6, et il.est gravé i/1-40. Venus et la Gloire, réunies. pour rendre les mortels heureux, font le sujet du.

Prol. La mufi. decet Opé, fut trouvée fi excellente, qu'onctoit tenté de douter que les deux jeunes Muficiens l'euffentcompofée fans l'aide etle fecours de grands Maîtres *r

La décoration fuperbe du Palais de Ninus fit l'admirationde tout Paris elle était du lieur Servandoni, Italien, arrivéalors en France depuis peu. Il a paru trois Paro. decet Opé»fous le même titre; la première, au Thé. Irai. par Dominique,

Lelio fils et Romagnefi, en un Ac. en pro. etvaudevillesdonnée le Novem. 1746 la féconde, a l'Op.

Comi. par M. Favart, en un Acte, le Mars 1740 et nonimprimée; et la iroifieme, encore au Thé. Ital. le S Marsl7 19>Voyei auffi le QUr-PRO-QUO, et Cadichon ETBabït.

Ona remis cet Opéra au mois de Janvier 17/9, et on en

Quelquespetfonnesprétendentencorequ'il n'y a nits que Icsfyrapho- quifoientdeleur façon etquetousles choeurset les «jmdt IBOIi«wx ftu'dt ftu LAlAUPï-, quiéroii pnds de M. fcbcl3, -t PIR [Pièces.] PLAtrouuvnedumêmteitre danslequatrièmveold. elader. mèreéditiondesOEuvredseL. a:Grange-Chanqceulni 'apointétérepréfenté.

PIRANDREETLISIMENEo, uI'HeureuseTromperie

Tragi-CadmeB. oifroberdt, onnéeeni tfjj.

PIRITHOÏJSlo, omeOpéraC. 'eftune, Tragen. fAcd. ont lesversfont.deLaSerreetlamuliq. deMouretellefutrepréfentpéoeulrapremierfeoisle z6Jany.1713et, cftgravépeartitioinn-4°'LeProle. n:entrel'EuropeteBel.îone quiréveillel'ardeurmartialedespeuples prêtsàreprendrlees armesl':EuropaedreuefesplainteàsJupiter, quiluienvoie1 Amoeturl'HymenpourluiannoncerquelebeaunoeudontilveutunirlespeupledselaSeineet

Lamufîquerei':étoitneuveet, futgoûtédeescor, noillèurs.

OnrepritcetOpéraléi1Mar1s7.34'a, vecdeschange- mensçonfidaebfles.. ila -PLACREOYA'LGEa, ra, dePierreCorneillen, .Ac.cnversdonnéeenïé?f etimpriméteomepremiedrelés(EuOv.n.peudtirequecettepiece>etciliensqprécédentesdumêmeAut, eurf, ontfortau-.défloudsecequ'ialfaitj, .depuism, aifsort'.au-delTdues;cequele Thé.avoiatlorsde.plus, beau. “

Il ya uneféconde Gom.dela PlaceRoyale, ouJ'AMOUreoexxtravagant, parClavererrej préfentàéFeorgés, devanlte- Roi, la mêmanenée163; onne la croipt asimprimée.i.::

LePLAGIAiIiRCEdm.deBoifly, enAc. envers, avectroisDivd. onnéeavecapplaudiflemaeuntThé.Irail, epremiFeérv1. 74s.C'eftatrès-peduechofperèslamêmechofequelesDboxNibcesquel'Auteur aréduite en;

Ac.eta mi(eenverslibres*••

LesPLAIDEU, RCSom.deRacine^en3.ÀCe;nvers;donnéeenNovembt6.68, àl'Hôtedl eBourgognCe.'eflatfeulepiècecomique decetilluftreAuteur, quinousapprendqu'ill'a tiréedesGnefpeàsîArijlophaPnoeète

Grec; maisl'.onpeutdirequela copifeurpa/fienfinimentl'originajC. ependanatuxles

HA PL A }fjzkî'Afteurs furent fiffiés et n'oferenc hazarder Iatroifiemfmais un mois après les Comédiens étant à la Cour, en rifcjuerent une'représentation; le feu Roi naturellementfcrieux ne put s'empêcher d'y rire la Cour n'eut pas befoinde complaifance pour imiter ce Monarque et la pièceeut enfuite le plus grand succès. Un vieux Confeiller des

Requêtes fit grand bruit au Palais contre cette Comédie, accufantfon Auteurd'avoir mal parlé des Juges. Un procèsque Racine eut à l'âge de vingt-deux ans; pour le Prieurérégulier de l'Epinay, qui lui avait éré réfîgnc par un de Cesoncles, etqui fut'emporté par un Régulier, donna occafionà cette pièce, à laquelle on prétend que Defpréaux StetMauvillain ont eu part. Une derniere anecdote fur cette

Comédie, est que Corneille dans fon CiD ayant dit de D.

Ses ridesfur fon front ont grave fes exploits.

Racine qui fentit le foible de ce vers le releva par la parodied'un Sergent, dont il dit ( Aftc I. fcene V.).

Ses rides fui fon front gravoicut tous fes «ploies*.

Cette bagatelle mit le grand Corneille fort en colere.

Ondonriaà la Foire, au mois de Fév. 1711, une pièce erij Aft. par écriteaux, fous le titre des PLAiDEuRs. C'étaitun allëmblage d'inveftives contre les Comédiens Fran.aveclefquels les Acteurs forains croient en procès.

La PLAIDEUSE.Voye^ le Procès.les PLAINTESDU PALAIS, ou la CHICANEDES PLATmiiRs,

Com.en Àc; en vers, par Jac. Denis, Avocat,

Jouéeen focicté Bourgeoife, et imprimée en 1 679.le PLAISIR, jolie Corn, eh un Ac. en vers donnée au Thé/

Fran. le Août 1747. C'est la première et feule pièce' del'Abbé Marchadier, qui mourut peu de tems après.le PLAISIRET L'INNOCENCE, Op. Comi. en un Acte;donné le 14.Septemb. 17j j par M. Parmentier.

Le PLAISIRET LA SAGESSE, Corn, allégorique, - en un Ac;««vers. Cette pièce, qui- h'ëfl: 'point achevée; se trouvedans le tomehuitième de la Bigarrure imprimé en Hollandeen I7fr.tesPLAISIRS Sali. de Behfe.râdè darifé par Louis XIV.Îf4 VL A [P/£C£s.j PLAet les Seigneurs de fa Cour, en itffj. Ce Ballet t(i

Fille.tes PLAISIRS DE LA CAMPAGNE, 96me Opé. C'est un

Ball. en Ac. dont les paroles font de Mlle Barbier, etlamufiq. de Bénin il fut donné pour la première fois le 10

Août 1719 , et imprimé en muliq. par extraits. Le Prolog, est dialogué par Pan Paies et Terpficore. Cet Opéra n'ajamais été remis au Théâtre. Le premier Ac. est laPcchcle fecond, la Vendange et le troisième la C/m£l\

Les PLAISIRS DE L'ISLE ENCHANTÉE. Ces fêtes galanresetmagnifiques furent données par Louis XIV. en

Ibn château de VerfaiUes, au mois de Mai 166^: ellesctoienc de l'invention du Due de Saint-Agnan, de mêmeque plufieurs autres données en ce tems. On trouveladescription de ces PlaiJîrsdel'Ifle enchantée dans le troisièmevol. des OEuvres de Moliere ils confiftoient en une

Courfe de Bague, une Collation ornée de machines; la

Corn. de la Princesse d'Eu de le Bali. du PALAisb'Aicinsun feu d'artifice, et autres Divertillcmens continuéspendant plufieurs jours.

Les PLAISIRS DE LA PAIX, 86me Opéra. C'est un Bill, dont les vers font de Menenon, et la mufique de Bourgeoisil fut représenté pour la première fois le 19 Avril17 1 r. Le Prolog. se paûe entre l'Hiver et Venus. LeBail.qui est une allégorie fur la Paix, est divifé en trois Enrrées, compofées chacune d'une Coifi. et d'un Interm. La première

Entrée est YAJfemblée; la feconde, les Buveurs;la troifteme, le Jaloux puni, ou la Sérénade. Il est gravéen mufiq. partition in-4.0. et n'a point été repris.les PLAISIRS DE L"HIVER, 'Divertif. en un Aâê, chancedevant la Reine à Verfailles le 13 Novemb. 1730, mis enmufiq. par le fieur Cappus, et imprimé in-8". à Dijon lamême année..

PLATÉE, 146111eOpéra. C'est un Ball. bouffon en Ac.dont les paroles font de Autreau, et la mufiq. de M. Ramcauil fut repréfenré pour la preir 'Ire fois fur le Thf.de Verfailles le 3 1 Mars à Paris le 4FC/.17+9' Le Prolog, qui a pout tiire, ta Naijfance de «

PLU [Pièces.] POE ittz ij

Ce pafleentrel'Amour, Momus, Thalie, Thefpis,

InventeudrelaComédieet, unSatyreL. efuietdu

Bail, eftJunonjaloMufe.R. ameauquiduvivandtel'AuteuravoiarchetléemanufcrditecetOuvragey, fitfaireplufieurrestranchemeetnscorrectionsp, ar unenAin.étrangèrepourlerendreplusthéatral. Il a étérepriseni7joet17J7.

PLUSIEUQRUSIN'ONTPOINTDECONSCIENCE, piecderamatiqudeonnéeen1f 44parDabundance.

PLUTUCSo, md.'Ariftophantreaduiteenrimesfrançoifes, parRonfardrepréfentaéuecollegdeeCoquerelà, Parisl'ani f 59O. nprétenqduec'eftlapremierCeomédF.ran.'repréfendréaensceRoyaume.

PiotdsCome.nAc. envers, parLeGrandm, ifeauThé.

Franle. premieFrcv1. 710, etquieut(èizerepréfentationsdefaiteelleeftimprimée tomedeuxdefonThéâtre. ilyaencore unepiecefouscetitre, duP.Brumoy, eiieefcauferinAc. envers, etfetrouvdeanslequatrièmveol.defesOEuvres.

PLUTURSIVALDEL'AMOURC, orne.nunAâeenpro. avec unDiv.parMmeHus donnéeauThé.Irai.pourlapremièfroeisle1Septem1.7jfi.AvanqtuedecommencercettepremierreeprcfentatioMn

US=ilviafepréfenta furleThé.etadreflacesquatreversauParterrepourl'intcrefleènrfaveudrel'Auteur.

Pardelongcsomplimoennvtienptouvroufséduire,

Etpoumr endideersfùccès

Jen'aiquedeuxmotsà vousdire:

L'AuteuerftuneFemmetevouêsteFsrançôis.lePOETBEASQUEC, ornd, eRaimP. oiflbnenunAc.enversd, onnéeenJuinr 66%etdanslaquelleeftenchafleelapetitpeiecedelaMEGEARMS OUREaUuSiïEeî nunAc.envers.

LePsOETECS, orne.nunAc.envers, parunanonyme, repréfenptéaerlesComéd.el'Hôtedl eBourgogned, anslafixiemEentrédeuBalletDEMS uses.*Onprétenqduec'efMl , BalodteSayot., TG POL [Pièces.] ] POL

Le POINT D'HONNEUR, Cum. du P. Du Cerceau, jouéeau Collège et non imprimée. Voye^ aufli l'ARBITREDES

DIFFÉRENDS.

Le POIRIER, Op. Comi. en un Ac. par Vadé, donné pourfa première fois le 7 Août 1 7 ;i avec succès.

POISSON COMÉDIEN AUX CHAMPS ELIZÉES, Com.en 3 Ac. en pro. fans rôle de femmes, par Bprdelon impriméeen1710.

Le POISSON D'AVRIL, efpece d'Op. Comi. ou P.zrade, par

M.Taconet, donné à la foire S. Germain 1778 et im

POLICHINELLE A LA GUINGUETTE DE VAUCIRARDefpece A' Op. Comï. eit un Afte en vaudevilles, parun anonyme, reprefenté par les Marionnettes de Bienfait, au mois d'Août 17; 1, et non imprimé.

POLICHINELLE AMADIS. Voyc^ Amadis DEGAULÉ.

POLICHINELLE ALCIDE. Voye^ Omphale.

POLICHINELLE ATYS. Voyc^ Atys.

POLICHINELLE COLIN MAILLARD, pièce en un Ac.par un anonyme, repréféntée par les Marionnettes de.Gilloc, et non imprimée.

POLICHINELLE COMTE DE-PAN 'FIER, Parodie de la

Com. du GLORIEUX) par Largilliere, donnée aux Maribnnettesde Bienfait, en Mars 1751 et non imprimée;c'est une des meilleures Parodies qui eût paru fur ce Thé.

POLICHINELLE CUPIDON, ou l'AMOUR coNtrîmiï, pièce cri un Ac. de (cènes épifodiques, par Caroler, donnéeau Jeu de Bienfait, à la Foire S. Laurent i 73 1 nonimprimée.

POLICHINELLE DISTRIBUTEUR D'ESPRIT, pièce enun Acte, par M. Valois, donnée chez Bienfait, à la Foire

S. Germain 1741 et qui n'a pas été imprimée. C'était unecritique des Spectacles de ce tems.

POLICHINELLE GROS JEAN. Voyer ROLAND.

POLICHINELLE FRANC-MACON, pièce en un Afle, donnée au Jeu de Bienfait , 'à la Foire S. Germain 17441par un anonyme, et non imprimée.

POLICHINELLE PERSÉE. Voyez PERSÉE.

POLICRATE, Com.héroïque en Ac. en vers, de CI. Boyer, donnée le 19 Janv. 1670.•TOL [Pièces:} P.OL U7£iij

TOLICRITE. Il y a deux Trjgi-Com. de ce titre; l'une auffiintitulée la Mort DUgrand. Promodon ou l'EXIL de

Nerée compofee par Gillet l'âge de vingt ans, et reprclèntceparla Troupe Royale en 16 3 9.L'autre, par l'Ab.

Boyer donnée à l'Hôtel de Bourgogne le 10 Janv. 1661ou 1661. '

TOLIDORE. Ce fils de Priam, tué par Polymneftor Roi de

Thrace, pour s'emparer' de fes trcfors> -a. fourni le lîijecd'une tragédie et d'un Opé. La Troll;. est: de l'Abbé Pellegrin, et fut reprél'eritee avec succès le 6 Not. 170; c'e/fcià première pièce. L'Opéra est le'99me.:Les paroles en fontde La Serre, et la mufiq. de Batiftin, : la première repréîentations'en donna le- iy Fév. 17x0', et. il.-n'est ni impriméni gravé en mufique. Le Prol. se paflk entre Neptune,

Venus, Thetis 5'et leur fuite. Il fut remis en 17 j^.avec des changettiens-et des augmentations.

IOLIEUCTE, tragédie l'ainte de Pierre Corneille, représentéeen 1^40, à l'Hôtel de Bourgogne. Cejte-pièce, qui estextrêmement artendriflànte Ce donne allez fouvenc à ladôture du Théâtre. On prétend que Corneille l'ayant lueà l'hôtel de Rambouillet, elle y fut généralement condamnée, et que fans un vieux Comédien nommé La.-

Roque qui lui perfuada de, donoer fa pièce nousen feripnspeut-être privés. Elle Cetrouve tome troifîeme de fes

PÓLIPHEME. Ce sujet est tiré du Ciclope d'Euripidc. Lelio, pere en ayoit fait un 'Cannevas Italien en Ac. que;. Le

Grand a misen profe Françoife, en ajoutant des Div.

Sa Corn, pu-Pafio. comiquej fut reprélèntée au Théâtre des

Ital. à la Foire S. Laurent le 1 3 Août 17 il, et n'est pasjmprimée. II. y ;aau(Ii une ancienne pièce Ital. de Polipheme, par Horter, rOLIXENE. :Nous avons quatre Trag., de ce titre; La premiereenj Ac.en vers, avec deschoeursj par J. Behourt;repréfentéé aucollège des Bons-Énfans à Rouen le 7 Septembre

Billard de .Courgenay, représentée à1 Paris en 1607, et impriméeen 1.610. La troisième, attribuée à un Moliere furnomméle Tragique, donnée vers l'an 1620, et qui fut• apparemment Souvent représentée à la Cour; ce qui doit3;8 POL [Pièces.] POM'Cceo.njecturer, dit-on, d'une épigrarnme de Racan où ils'exprime ainli fur cette Tragédie

Bille Princcflû tu te trompes

De quitter la Cour et les pompes

Pour rendre ton delîr contcnt;

Celui qui t'a il bien chantée,

Fait qu'on ne t'y vit jamais tant

Que depuis que tu l'as quittée.la quatrième tragédie de Polixenk est de La Folfe d'Aubi-"gnf, on la repréfenta le 3 Fév. 1696: ce fut fon coupd'errai, qui, au fentiment de plufîeurs peut palfer pourun coup de maître. Monfeigneur le Dauphin, ayeul du

Roi régnant, voulant venir voir le Théâtre des Comr.diens, demanda cette pièce, qui reçut de la brillante Courqui accompagnoit ce Prince, d'auflï grands applaudillemensque ceux que le Public lui avait déja donnés elle nefur pas également goûtée dans la reprife qui en fut faiteen 171 8. Voyt^ au(li une POLIXENEdans les Trois Spic-

TACLES.

POLIXENE ET PYRRHUS, 6 8meOpe. C'est une Trag.ens Ac. de La Serre, mife en mufîq. par Colafle et reprefentéepour la première fois le z Ocïob. 1706 elle estimprimée en mufiq. partition in-fol. Le Prolog. représentela fondation de la ville d'Athenes par Minèrve etNeptune.

Le tujet de cette tragédie est que Pulixene, fille de Prhm, et captive de Pyrrhus, fils d'Achille aime fon vainqueur, et'en est aimée elle se donne la mort pour obéir à l'Oraclede Colchos, et pour vaincre un amour oppofé à (on devoir.

Cet Opéra n'eut point de fucecs et n'a pas été remis. Ccftle premier de La Serre.

POLYMNESTOR, Tra*. de l'Abbé Geneft, reprefenteecinq fois au mois de Décembre 1606, et qui n'est pointimprimée.

P.OMONE. L'Abbé Perrin ayant, en 1 66 9 obtenu des Let-• très-patentes du Roi pour l'ctabliflèment des Opéra en

France, après les eiïais d'ORPHÉE, d'ËRCOLSamantede quelques perites pièces de (a façon, donna au Publiccet Opé. çui est le premier qui ait paru en langue ftanPOM[Pzeczs.] POR jrà

Zii.jtoife, et celui par lequel on a cru naturèl de commencercompter dans ce Dictionnaire le nombre des Opéra. Lesvers étoienc dumême Abbé Perrin, et là muliq. de Cambert(cette mufîque n'a pas été imprimée). Les danfes'étoient de la compofition de Beauchamps Surintendantdes Ballets du Roi. Les machines furent conduites par la

Marquis de Sourdeac, fort entendu dans ces fortes decliofes, et atrocié avec l'Abbé Perrin dans ce nouvel éta..blillement des Opéra.les répétitions de cette Paftorale furent faites dans la de l'hôtel de gallerie Nevers, oi\ était auparavant la Bibliothèque du Cardinal Mazarin, et ou est à prêtent celle du Roi. Lesreprésentations publiques en commencèrent le 19 Marsi«7ijfur le théatre qu'on avait fait drener dans un Jeude paume de larue Mazarine vis-à-vis celle de Guénégiud, etdurèrent treize mois entiers. Pour remplir lesrôles on avait fait venir de Languedoc plufieurs Muficiens, omT'au:iesBearimaviellcScRqffignol, Baa.a-iaillts j Clediere

Se Tollet, Haute-contres., et Miraille Taille. La DH«de Cartilly, qui ne parut pas depuis y reprcïentoic

LaPOMPE FUNEBRE, ou DAMONET Ciork, Pçflo. en r Ac. en vers, etun Prol. traduite de l'Italien de Cerar Cre·, menin, par Dalibray, en 1654.la POMPE FUNEBRE DE CRISPIN. Foyer le Naufrage,

POMPÉE. Voye^ la Mort de Pompée.

POMPEÏA tragédie de Campiftron. Après la mort de cet Auteur, le fieur de Bac Conneveu, avait voulu' mettre cette-

tragédie au Théâtre; mais la mort de laDlk Le Couvreur lefit renoncer à ce projet elle a été imprimée pour la pre- miere fois en 17 jo dans la nouvelle édition des OEuvresde Campiftron.

LaPOPULACE ÉMUE, Com. en f Ac, en. vers faite par

Rieuflet à l'occafion d'une fédition arrivée à Gironne, et;imprimée en 1714.fORCIE. Robert Garnier composa en 15 Cetune tragédie aveç des choeurs, intitulée la Poeciï repréfentant les Guerresciviles deRouie. Depuis Boyer donna fâ Porcie Romaine j 'c {twt fa première pièce de théâtre, et elle attira tout Paris.j'tfo PQR [Pièces.] PORlors do fes premières reprélêntations, en 164c. Foy^anflila MORÿ DE Brute..le PORTA L'ANGLOIS, ou les NOUVELLESDébarqua;

Corn, en Ac. en pro. avec up Prolog. et des Div. dont Jimulique ctoitde-Mouret: elle fut repréfênrc-e le 1 Avriliur Je nouvpau. Thé. Jtal. et la première de la compolicionde Autreau. Le merveilleux liiccès qu'elle eut, fixa à Parisces Comédiens, qui mcditoicnc leur retour en Italie, parce que leur Théâtre était devenu défêrt par l'épuifementde leurs pièces Italiennes, pliilieurs-fois repriies etdont d'ailleurs peu de perfonnes se foucioient, faute de lcsentendre..le PORT DE MER, Com. en un Ac. en pro..par Boindin, etde La Motte. Cette pièce., fuivie d'une fête marine, futrëprélêntce pour la première fois avec Succès au Théâtre

Fran. le 19 Mai 1704.: M. le Duc de Mantoue;c]ui é:oicalors à Paris eut le rplaifîr d'y voir dan(er. un de f

Sauteurs, qui .paflbk pour un, des plus habiles dansceterercka.;

Le PORTEUR D'IAU, ou Les AMOURS DE LA RAVAUDEUSE,

Corn. errtun-Ac., en prose par M. le Comte de C. imprimée en 1748 ;îian, s ;la brochure, intitulée les Ecoff eu/es ou les

OEufs de Pâques, feconde partie des Etrennes de la Saint

Jean. C'e(i, unee.fpece.de Parade fort-bien ccrit.e dans leftyle 4u bas peuple et très-plaifanre.

Le PORTRAIT. On'connok-deux Corn.en .untent ce titre l'une, de DufrényTqui n'erVpas.imprimceil'autre, parade, Beauchamps, en:pro. qui futreprefenteepour la première fois au Thé.JtaU le •> Janv. 1717 etcatun brillant iûcccs. -•, • .•le PORTRAIT. DU PEINTRE, oula CRITIQUE DE-L'ECOLE

DESFEMMES, Com. de Bourfault, en un Ac.en. vers repre-^ênteeà l'Hôtel de Bourgogne en 1665 et imprimée dansle premier vol. de fes OEuv. Molière y répliqua vivementdans ConImpromptu DEVersailles.

Les PORTUGAIS INFORTUNÉS; Traç. avec des choeur!etun Prol. par Nie. Chrétien, donnée en 1608. Elle citirc'e de l'hiftoire tragique à1 EmmanuelSofe, et à'Eleomtfort époufe, qui périrent avec fa. cens perfonnes de lcur

FOR [Pièces.] POU %6ifuiteenrevenandt'unpayséloignédansleurpatrie.

PORUSRoidesIndes, de l Abbé Boyerdonnéeau

Thé.duMarais en1647.

LePOTDECHAMBRCEASSÉT, ragédpieourrire, bu

Comipdolcurpleureretcp. ièceburlcfquetecritiquee, nunAc.envers.Cettepiece, impriméeen1749, a étéattribuéàeM.Gaubieetr laPréfacoeu-Difcouprrséliminaireà,

M.Morandonprétendcependaqnut 'elleeftde

Grandvlaelpere.LaplupardtesversenfontprisouparodiédsenosTrag:moderneets, c'eftd'unboutàl'autreunecritiqudeespiecepsaruesdepuiqsuelqueasnnées.

LePOTPOURRPI.ANTOMIMpEr, écéddéupiolog.de

MC. vufigr.daocnnéà1OpC. omip. arMP. anardle1j

Fév.1731. Il n'eftpasimprimé.

POURCEAUGNCAoCrn*.B' aild.eMolieree, n Ac.eriprof.aiteetjouéeàChambbprcourle Roi, aumoisde

Septemb1re669, etrepréfentéeenfuitefurleThé.dix

Palais Royalle i Novemb. delamêmeannée.Cettepetieceq, uieftmêléede.danfesdetechantonFsrançoitès ItaliennesdontlesairsétoientducélebreLully se.revoiftouvenfut rleThéâtreetcefutpendanletsreprefentatioqhuselaTroupdeeMolierperitpourlapremierefoisletitredelaTroupdeu Roi.Onprétendquece qui donnlaieuàcetteComcfdu.tunGentilhommLiemofinquiuwjourdefpeftacle:etdansunequerellqe'u'ileutfurJeThéâtraeveclesComédienést, alaunepartiedu'ridiculdeontilémitchargé, etdontMolièrefurtrès-bientiretpartipouramufer lePublic. SapiecefetrouvetomecinquièmdefesOEuvres.

LaMafçaraddeePourceaugracquirejoufeurleThé.del'Opee, ftprifedesextraitdsecetteComédie.

LesPOUSSIDNESLED, AP<7;o.desTiND/RijDpaÉrsfa-•.roard, repré(entéèla FoireS. Lauren.t1709p, arlit

TroupdeeDotéeetLaPlace.Cettepièceéroitenversetenmonologueelsl:en'apasétéimprimée. LePOUVOIDREL'AMOURi4, omcOpé.C. 'eftunBail.compodfeetrois.Entréetesd'unProl.lesverfsontdeM.le FevrdeeS.Marc, et.lajnudqd.eRoverI.lfutrepré- [entpéourlapremierfeoisle ^5Avril1743eteftgravé en mufip, artitioinn-folV. oicliefujedt uProlP. romechée}6i POU [Pièces.] PREanimeles hommes avec le feu céélefte Jupiter, pour lepunir dans fon:propre ouvrage, ordonne aux paflions des'emparer des coeurs; l'Imagination defcend des deux, etfait naître l'Amour les mortels reconnoiflènt ce Dieu, et

Ce Ibumettenc à fon empire. On n'a pas encore remis cet

Opéra au Théâtre.

Le POUVOIR DE LA SYMPATHIE, Corn. de Boifiy, envers et en Ac. donnée au Théâtre Français le 5 Juillet 1758, et qui n'eut que quatre repréfe-ntations. Elle est impriméedans le tome nxieme de fes OEuvres.

La PRÉCAUTION INUTILE, Corn, en 3 Ac. en pro. par• fatouville, jouée à l'ancien Thé. Ital. pour la premièrefois le y Mats 1691 et remife fur le nouveau le 15 Août

La PRÉCAUTION RIDICULE, Op. Comi. en un Ac. donnéle 18 Juin 17} f. IleftdeGnlet.

Les PRÉCAUTIONS INUTILES, Op. Comi. de M. Acjiard, donné le 15 Juillet 17J0: la en est de M. Chrétien.

Les PRÉCIEUSES, Com. de fAbbe de Pure, donnée vers

Les PRÉCIEUSES RIDICULES, Corn, de Molière, en un

Ac. en pro. jouée d'abord en Provitice et représentée pourla première.foisà Paris fur le Thé. du petit Bourbon, le 8

Nov. 1 6s 9.. Cette pièce enleva l'eflime du Public, et futjouée quatre mois de fuite. La Troupe de Moliere fitdou-• •;bler pour' la première fois, àla féconde reprefentation decette Com. le prix ordinaire qui n'était alors que de dixfols au Parterre.- C'est la première pièce que Moliere airfait imprimer, et à une de les représentations on rapporte, qu'un, vieillard s'écria du milieu du Parterre; Couragr,

Moliere, voilà la bonne Comédie. On la trouve tome premierdé fes OEuvres.:Somaife fit imprimer en I66o, trois pièces qui font des atyrescontre celle de Moliere la première avait pour titre, les PRÉCIEUSES ridicules Corn. nouvellement mife en vers;la féconde le PROCÈSdes PRiciiosus en un Ac. en vershurlefques; etla troisième, les VÉRITABLESPRÉCIEUSES, en un Ac. en profe. Cettedernierefut réimprimée la mêmeannée avec des changemens.

Le PRÉJUGÉ ALA MODE, Com. en cinq Actes en vers, «

TRE [ PIECES.] PRI 36J

Nivelle de la Chaufiée donnée pour la première feis au

Théâtre Fran. le 3 Février 173 f retirée par l'Auteuraprtsla vingtième représentation et remife en Décembre. Lei6 Mars de la même année, les Comédiens avoient jouépar extraordinaire cette pièce, fuivie de la PUPILLE, etil y eut un grand concours, quoique les places fuflenctaupes d'un tiers, et le Parterre au double. Toute larecette lut au profit de la DHe Gauffin, pour la dédommagerd'un incendie dont elle avait beaucoup fouffert, le t9 Février.

Le PRÉJUGÉ VAINCU, Com. en un Ac. en pro. donnée au

Théâtre Français le 6 Août 1746 par M. de Ni., malgréles applauditlémens des premières représentations, l'Auteurretoucha encore à fa pièce ce qui les redoubla. Lesuccès ne l'a pourtant point engagé à Ce derriafcjuer tout àfair.

Plufieurs perfonnes ont cru, avec allez d'apparence, eue

C'était M. de Marivaux, et c'est certainement faire1 éloge de la pièce.

PRÉLUDE DE LA PAIX, pièce Dramatique du P. Colonia, imprimée en 1697-la PRÉSOMPTION PUNIE, Com. allégorique fur les affairesdu rems, jouée et imprimée à Prague en 1743.

Le PRÉTENDU, Corn, en ? Ac. en vers, mêlée d'Ariettes, par le fieur Riccoboni, donnée au Thé. Ital. le 6 Novcm.1760. 'La müfiqué eh est de M. Gavigniès, et très-bienfaite.

La PRÉTENDUE VEUVE, ou l'EPOUX MAGiCIEN, Coin. enf Ac. en vers traduite de l'Anglois de M.AdiJj'an, par M.

Delc1zeaux des Granges, imprimée en 1737. C'est lemême sujet duTAMBOUR NOCTURNE.la PRÉVENTION RIDICULE, ou la Caverne DEMorrtesinos,

Cvm. in trois Ailes en proje, ornée de danfes etde chanfons. La pièce dont voici le titre, a été impriméeen 17 Hen Hollande, dans le tome troilieme des Mémoirçspolitiques, amufans et fatyriques, de Moreau de

Brazey.

PRIAM Roi DETROYE tragédie avec des choeurs par François

Bertrand, représentée en 1600, imprimée la mêmeannée, et en 1611. Elle contient toute lhiftoire de 1*

Guerre de Troye.3*4 PRI [Pièces.]' PIU"

PRÏAPEjOpç.en f Ac. etunProl.ircipriméi/z-n.enfins nom cië.yille ni d'Imprimeur.

Le PRINCE CORSAIRE, Tragi-Corn, de Scarron en f Ac.cn.vers c'eftladerniere pièce; eilefut imprimée en 1661, etn a pas été représentée. >••• -;•

Le PRINCE DE CATHAY, Corn. Sali, en un Ac. par M.ik-zieu, représentée le Août 17b j dans une fête qu'ildonnaàMme la Ducheffe du Maine, et imprimée dansr..1 l'ouvrage intitule les D'wertifftmtnsdc Sceaux.

Le PIUNCE DÉGUISÉ, Tragi-Com. avec des choeurs, par

Scudery, reprefentée etimptlméé in-8°. en 1^3 j.

Le PRINCE DE NOISY, Corn, par d'Aigueberré^, en3 Ac, en pro. avec autant d'Interm. et un Prol. reprefentée aut1750. Cette pièce fembloit ne pas convenirà ce Théâtre le sujet étant- tiré de ces fables merveilieufëshors du yraifeniblable, et fondé fur un glaiveenchanté ayant la vertu d'ccrire de lui-même tour cequ'on veut (avoir 5 auflî n'cuc-elleque fept représentations.

Nous avons un Bail, hèroï. par La Braere intitulé de mcinc;

MM. Rebel et Frâncoeur ontfeit'làniufîq.^etcceprélènté devant le .Roi fur le Théâtre despetits Appartenions le 1.3/ Mars 1750;et'le 17, jyfaj .17y* Seil parut pour là première fois furiedeMufiq, à Paris le 16 Septembre1760 et doit être compté pour le ijôme des Ope.( Les paroles font imprimées -dans le. Mercure du' mois de

Septemb. de l'année. 1749 etdans le quatrième vol. du

Le PRINCE DE SALERNE, cannevas Italien en f Ac.avscdes de :Ia' çpmpofition- de la Dl'« Mibièrescpqule , du heur Ricçoboni donné au Thé. Ital. leet rsinis pludenrs fois.''Le PRINCE DE SURESNE , Com. en an Ac. en vers, par

M. Riccoboni, jouée fur le. Thc.-Iral.pour la premièrefois le'iojuin 174^, et avec fucecs. C'est une critique..ingénieufe du Duc. de Surrei". Voyet\ "le Doc DE SURrei.•.• Le PR'NCE FUGITIF Poème dramatique de Balt. Baro,

PR[ [Pièces.] PRl" ;6f

Le PRINCE GENEREUX ou le Triomphe or. l'Amour

Ac. en vers, par pour lapremière fois à Grenoble le I Décembre yto.

Le PRINCE HERMOGENE. Voye^ Hermogene.

Le PRINCE JALOUX. Voye^ Dom GARciE DE Ni-

VARRE.

Le PRINCE MALADE. Voyt^ les JEux Oiympiqdes.

LePRINCE NÉCESSAIRE, tragédie par Jean de La Taille de

Bondaroy, en 1 y 68.

LePRINCE RETABLI Tragi-Com. de Guerin de Boufcat, donnée en t 647. C'est une de fes meilleures pièces.

LePRINCE TRAVESTI, ou l'ILLUSTREAvanturifr Corn..en pro. de M. de Marivaux donnée au Thé. Ical. le y Fév.1714. Cette pièce parut d'abord divifée en 3 Ac. qui furentenftiite étendus jufqu'à cinq, et enfin remis en trois, ainfi qu'elle est imprimée. Elle fut jouée fins être annoncéemaniere nouvelle pour frauder les droits de la critiquepréméditée* Si de toute cabale, dont l'invention ayantparu tres-fenfée a été fuivie depuis à l'égard de plufieurspièces.

La PRINCESSE, ou I'Heoreuse BERGERE Pajlo. en ACenvers, par Bafire en 1617. Voyt\ Licoris.

La PRINCESSE DE CARISME Op. Comi. en 3 Ac. de Le

Sage, reprcfenté à la Foire S. Laurent 1718, et pendantle cours de la même Foire, fur le Thé; de l'Opéra. Il eueun grand lùccès.

LaPRINCESSE DE CLEVES. Voye\ Germanictjs.la PRINCESSE D'ELIDE, Com. de Moliere, tirée d'unepièce A'Auguflin Moreto Poète Espagnol, intitulée RebutpourRebur. Cette Com. Bail, le trouve dans le fécond vol.des OEuy.de Molière, etfut représentée dans la grande fêteconnue fous le titre des PLAISIRS DE l'Islb enchantéeoueLouisXIV. donna aux Reines età :oute la Cour, le 7

Mai 16C4. Des cinq Actes qui la compofent, il n'y a quele premier et la première icene du fécond qui foient envers; le telle est en pro. qui fereflêntdes ordres preffansque Moliere recevoit de Sa Majefté cependant cette piècefut généralement applaudie etréuflît même allez à Parislotlqu'elle y fut représentée fur le Thé. du Palais Royal, le9 Novemb. de la même année.. A une reprife qui en futjf S PRI [Pièces. TRIfaireaumoisdeFév.1711ÇjuinaultC, omédienfîtftmufiqd.uquatrièmeteducinquièmIenrennl.aquellfeitgoûtéeq, uoiqu'càôtédecelledeLullyd, equiétoienletschantsetlafimphondieesautresInter.etdansuneautrerteopurtieefenfaitele17Detemb1.7f£ cetteComédipearut vers, unanonymaeyanat irezmalrimélaproie deMoliere.

Cemêmefujetdela Princessde'Elide, a fourndiematicreetdetitreàunOpé.quieftletourne.Lesparolesdece

Ball.quieftenAc. fontdel'AbbéPellegrinetlamuli.deVilleneuvielfutreprésenptéourlapremierfeoisle10

Juillet1718eteftimprimé partitionin-4°.LeProl.dontla(cèneftfurleThé.mêmedel'Ope, te paflêentrel'Amour,

Venus, folimnieetTerpfichorOe.nn'apoint donnéceBilletdepuis fanouveauté.

LaPRINCESSDEEGOLCONDOEp, .Comi.cunnAc.de

Carolct, donnélex9Aoûtr7;7, etnonimprimé.

LaPRINCESSDEELACHINEO, p.Comrie.prefenltee19

Juin1719.Il eftdeLeSageetD'Orncval.

LaPRINCESSDEENAVARRCEo, rnB. ail, en Ace.nvers, .aveucnProlc. ompofepearM.deVoltairea, ufujetdupremiemr ariagdeeMonseignelueDr auphinet, repréfentépeourlapremierfeoisà

Verfaillleesij Février

I74f furunmagnifiqueThcoé.nftruietxprèsL. amuG.eneftdeM.Rameau.lePRINTEMSCome.nunAce. nversdonnépearlavoiedel'impreflionenMai1747 parM.Dupuy.le PRINTEMDSEGENEVEPa, flo.en unAc.avecun

Prol.compofeteeinifeenmufiqp.arle fîeuBr audeaticettepiece, quin'apasétérepréfentée est relative auxtroubledseGenrvepacifiepsarM.de Lautrecq, uele..Roiyenvoyaen1758.le PRIXDECYTHEROEp, .Comein. unAod. eM.Favarr, représenptéourla premiefroeisle iz Fév.1741»trèsapplaudeti fortbon.OnprétenqdueM.leMarqudiseP.ya eupart.

Le PRIXDELABEAUTÉo;uleJugemenDt EPARIS,

ComB.ail, enunAc.envcrs, parM.Mailhodl onnaéeu

Thé.Iral.pourlapremiere foisleJuillec175f

LePRIXDEL'AMOURP, aro.envaudevilledse, latrotPRI[Pièces.] PRO 3 £7

Cerne entrée des TALENS lyriques par MM. Araignonet Clément donnée au Thé. Irai. fans succès, le x-j Septembre17J6. Elle n'est point imprimée.

Le PRIX DE L'ARQUEBUSE, Com. de Dançourt en un

Ac. en pro. avec un Div. imprimée dans le dernier volumede fes OEuvres. Elle fut représentée le premier Octobrei7i7.

Le PRIX DES TALENS, Paro. en un Ac. de la derniereentrée du Bali. des FÎTES de l'Hymen ET de L'AMOURdonnée au Thé. Ital. le 1 i Septem. 1714, et qui a eu peude succès. Elle est de MM. Sabine et Harni.

Le PRIX DU SILENCE, Corn. en 3 Ac. en vers libres, parde Boilfy, donnée pour la première fois au TIIé. Ical. le z6

Fév. 1 7 f t fans être annoncée. C'est peu près la mêmeidée que Margeon ET Katifé.

LePROCÈS, ou la PLAiDEUSE, Corn, en Ac. mêles d'Ariectesdont la mufiq. est de M. Duni, donnée pour lapremière fois au Thé. Irai. le 19 Mai 1761. Les parolesfont de M. Favart, et elle eut fix représentations.

LePROCÈS DE LA FEMME JUGE, Com. de Montfleuryen un Ac. en vers, donnée en 166 9 à l'Hôtel de Bourgogne.

LePROCÈS DES ARIETTES ET DES VAUDEVILLES;petit Op. Comi. donné pour l'Ouverture de la Foire S. Laurentle 18 Juin 1760, et qui reuflit beaucoup; c'est uneimitation des Couplets ENPROCÈS, et l'ouvrage de plu-, fleurs plumes.

LePROCÈS DES COMÉDIENS, ou l'OMBRE DE DominiJ

QUE, Corn, par Dominique fon fils, jouée en Province en,

LePROCÈS DES SENS Com. de Fuzelier, en un Ac. en vers, repréfèntée au Théâtre Français le 1Juin 7 3z. C'est une critique, ou fi l'on veut, une Parodie de l'Opéra des SENS, lelquels perfonnifiés font de courtes analyfes des entrées, de ce Ballet; c'étoitune nouveauté fur un Théâtre qui n'avaitencore rien donné dans ce goût l'Auteur n'eue paslieu de se repentir de cet effai qui fut applaudi et jouéti fois.

LePROCÈS DES THÉÂTRES, Com., en un Ac. en pro.mêlée de vaudevilles de Riccoboni pere, et Dominique368 PRO [P/eces.] PROdônnéeauThé.Ital. le x8 Novembre1718, et iion imprimée..

PROCRIS, oula Jalousie infortunée tragédie de [-lard, représentée, à ce quel'on prétend, à. l'Hôtelde Bourgogneenitfoj etimpriméeen 1614. Voyc^Céphale..LePROCUREURARBITRE, Coin.en un Ac.en vers, Phil. Inr PoiiTondonnéeauThéâtre Français le zfév. 1718, etgénéralementapplaudie.Le fuccèsde cettepiecenemanquapasde lui mériter une ParodieauxItaliens, fousJetitre d'ARLEQUIN ARBITRE.

Le PRODIGUE PUNI. Foyc{ le FREREINGRAT.

PROGNÉ, Traô.par Jacquesde LaTailledeBondaroy, en

La PROMENADEDESAJNT-SEVERINoule Banquier

DUPE, Com.parM.Petit, jouéeetimpriméeà Bordeauxen 1711.

LaPROMENADEDESTRASBOURG, ou.l'ARBRE vîkd,

Coin.en pro. par un anonyme, jouée à Stralbotirgeni7or par lesComédiensdu Ducde Lorraine.

Les PROMENADESDE PARIS, Com.en Ac. prévustoute en vers, par Mongin, jouéeà L'ancienThé. Iral.le6 Juin 1 69f Cettepiècea beaucoupde bon, maiselleeltpeu propreau Théâtre.

LesPROMENADESDUCOURSET DESCHAMPSELISÉES,

Com.indiquéecommeayantétéimpriméeiit-11, maisdontonne nousapprendpointladate.

La PROPRETÉRIDICULE Coin, en Ac. enpro.parunanonyme, donnéeà l'ancienThé. Ital. au moisdeJuiil.1672.

PROSERPINE, 1rnieOpé.C'est uneTrag.en Ac. deQuinaultmifeenmufîq.par Lully ellefut reprclèntïepourla première foisle if f Nov. 16So', à Fontainebleau, dansle temsde l'arrivéedeMadamela DauphinedeBaviete;les décorationsen furentfùperbes, et les habits magnifiques.

Cet Ope.est impriméen mufiq.de diverfesfaçons.

La Paixdéchaînéepar laViétoire etla Difcordemilelutfers fais:lefujetdu Prolog. CetOpéra a été remisfeptfois au Théâtre, en 16S1 1699 1718 17.17.J74'

I74ieti7f8. Lorsde la cinquièmereprife, on y mieunnouveauPrologue, etil enparut uneParodiéfortjoliei

PRQ [Pièces.] PSI %6j

Aal'Op. Comi. fous le titre de Farinettb et pendant cellede 1758 on en vit encore une Parodie, fous le titre de

Pétrins.

Le, iuâme sujet de cet Ope. avait été traité dans deux ancien-

Destragédie Voye^ le Ravissement DEProserpine.

JPROTHÉE.- Voye[ les AMOURSDEProthbh.

Lâ PROVENÇALE, Com. en un Aâe, par un anonyme;représentée au Théâtre Français le 17 Octobre X7oy et non imprimée.

Foye^ auflî les Fêtes de Thalib. •les PROVERBES, Ball. de Benfèrade, danfé par Louis

XIV. en 1614; la fcene changeoit à tous les Proverbes.

Voyt{ auflî Comédie des Proverbes.

LePROVINCIAL A PARIS, ou le Pouvoir DB l'Amour

ET DELA'RAISON Com. en Ac. en vers, représentéepar les Ital. le + Mai 17 fo. Cette pièce, qui est de M. de

Moifly avait. d'abord été faite en Ac. etdeftinée aux

Comédiens Fran. mais ces derniers en ayant différé la reptéfentation, l'Auteur piqué la retira, et l'ayant coupéeen 3 Ac. la donna aux Ital. où elle eue quinze représentations..•la PRUDE, ou la Gardiusb de CASSETTE, Com. en versde dix fyllabes, et en f Ac. cette pièce est de M. de Voltaire, elle n'a point été représentée, et Cetrouve feulementdans les dernières éditions de fes OEuvres. Elle est en partieimitée d'une Comédie Angloife.

LaPRUDE DU TEMS ou les SATURNALES, . Cornd, e Pala-;frat, en Aç. en vers représentée une feule .fois fur. le

Théâtre Français le 7 Tany.'itfjj. Le premier. Ac.jfut applaudi, mais à l'entrée du fecond le tumulte commença au Par-'terre et le refte ne fut pas écouté. Cette pièce est fort malconduite. Palaprat ne la. fit imprimer que vingt ans après.fàchûte. •

PSICHÉ. Ce sujet dont La Fontaine a fait une fi jolie HiCtore, a été mis en Ballet en Comédie, et en ceux Opéra.le.Ba/ est deBenferadevil futdanfé par Louis XIV. en\\6sç eteft diyifé en deux parties dans la première fontreprésentées les délices d 1palais de l'Amour, et dans la fecondel'Amour lui-; .têtue y divertit Pfiché par la repréfentatipn.des merveilles qu'il produit.

Comédiede Psichs est en y. Ac. en vers libres avec un170 PSI [Pièces, ] PUC

Fret. elle fut représentéedevantle Roi, dansla falledegmachinesdu PalaisdesThuilleries durant le Carnaval del'année 1*70 etdonnéeau Public, fur le Thé.duPalais

RoyaL, le 14 Juillet 1671 ou, felond'autresAuteurs, le

I Nov. 1672..Moliereavoit été chargé feuldu plantde la difpofitionde cetteCom.Bail, maisle tems lepreffanttrop il ne putfaireque le Prologue, lepremierAfle, la première(cène du fecondetla premièredutroisième,

Corneille l'aîné se chargeadu refle-, etle fiten quinzejours.Toutesles parolesqui fechantentfontdeQuinaultjà la réfervede la plainteItalienne, qui est de Lully, ainlique la mufiquede la pièce.Cette Comédiefutremifeaii

Théâtre Sedonnée au Public, avec tons fes agremenset toutes fes décorations, Ie premier Juin 1703.Baronfils y repréfental'Amour Ellele trouve dansle tome fixiemedes OEuvresde Moliere.le premierOpérade Psiché est le lamédesOpéraFran.lesparolesen étoientconnuesfousle nomdeTho. Corneille, mais Fontenelleles a revendiquées;etLully coiripofalimufiq.Il fut repréfentépour la premièrefoisà Parisle9

Avril 1678 il n'enfut impriméd'abord en mufiq.qu'unrecueild'airs, maisenfuiteune partition généralein-foL

LesDivinitésdelaTerre SedesJardins, Venusetl'Amourforment le Prologue.Quoiqu'on ait publiéquelesvertde cet Opéraont étéfaitsetmis en mufiqueentroisfemainesdeteins riennéanmoinsnedinne lieudes'appercevoirdecetteprécipitation.Il a étérepris deuxfois, en170) eten 1713.

Le fecondOpérade Psiché est en -un Acte, dont les pa--y, rôles fontde M. etla mufiquedeM. Mondonville;il fut représentépour la Cour, à Tontainebleau le ir• pélobre1761etornéd'une magnifiquedécorationtoutegarnieenpierreries, qui fitun eftêtfurprenant.la PSICHÉDE'VILLAGE Corn.par Guerin, en Ac.ênpro. avecun Prolog.etdesIriterm.dont la mufiq.éfoitde

Gilliérs; donnéeune feulefois^u Théâtre Français le îjMâ»1 70f.-EUen'a point été imprimée.hTOLOMÉEsfrag. par Charenton, impriméeen1661, etqui n'est.prefquêconnueque par lesCatalogues..LaPUCEIïLÉDEDOMREMI(Histoire bï) aotmWWi>ÙC [Pièces;] PÏfe. ifi

Aajj.b'ORtïANS nouvellement départie par ASes, et reprifeti'tic par perfonnages avec chaur des enfans etfilles de

France , et un avant-jeu en vers et des Epodes chantéesen mufique; compofée par Fronton du Duc, Jéfuite Lorrain, etimprimée en if8t , .àNancy, par les Coins de

Barnet.

La PUCELLE D'ORLEANS, tragédie en Ac. en pro. impri·mée à Paris en 1641, in- 4°. Samuel Chapufeau dans fon

Théâtre François page 116, donne cette pièce à La Mefnardieremais Paul -Bayer, dans fa Bibliothèque univerfelle, page r 67 l'attribue avec plus de fondement à B«nferade.1 parut encore la même année une autre tragédie dece titre, et en pto. par l'Abbé D'Aubignac; mais elie nefut pas représentée..LaPUDEUR. A LA FOIRE, Prolog. de Le Sage et D'Orneval, représenté à la Foire S. Laurent 1724, par la Troupede Dolet. d'était une critique des pièces de. l'Op. Comi.( les Auteurs étant brouillés alors avec l'Entrepreneur de cefpeftacle) et il n'a pas été imprimé.

PULCHERIE, Comédir héroïque en cinq actes en vers, de Pierre Corneille, représentée au Théâtre du Marais, le z Novem.i«7i et imprimée tome cinquième de fes OEuvres. Cettepièce ne répondit pas à la grandeur, ni au* traits magni*fiques de l'histoire de cette Impératrice fille de l'Empereur

Arcadius, foeur de ThéodoCe le jeune et_cpou(êde'Martian cependant le caractère .de P ukherie efkm^ieceux que le feul Corneille favoit faire valoir, et il s'eltdépeintdui-méme, à ce que l'on prétende avec bien de laforce dans Martian, vieillard amoureux.iïa PUPILLE, Com.' en' Un Ade en pr.ofe, de faean avec-on Diy. dont lamufique. est de Moufet donnée pour lapremière fois fur le Théâtre Français le f Juin 17 }4 avec: untrès -grand vfucef s cette pièce Ce' revoie fouvent.avecplaifir. La Dlle Gauffin y, remplit '.admirablement 'biea.un rôle, dans'lequel elle n'a cependant jamais lédde

PYRENIE ou la Pastorale amocreosS par François de

Belleforèftï£nif7ii qyji. PYR. [Pièces.] JPYT

Jean Heudon, ^donnca en 1/98, et imprimée la memeannée à Rouen.

PYRRHUS. Nous avons deux tragédie fous le nom de ce Roid'Epire, l'une de Thomas Corneille, donnée en 16S1fur le Thé. de l'Hôtel de Bourgogne et imprimée tometroisième de CesOEuvres l'autre de Crébillon repréfencéepour la première fois le 19 Avril 1716 au Théâtre Français etgénéralement applaudie, ayant eu feize représentations defuite. On attribue encore une tragédie de PYRRHUS à Pa.

Volant, en 1584, mais il est incertain qu'elle ait été imprimée.

Pyrrhus, nitne Opéra. Le Poëmeeft de Fermelhuis, etla mufiquede Royér la première représentations'endonna le z6 Oftobre 173o etil ne fut vuquefeptfois, quoique relevéde trois bellesdécorationsde Servandoni.

Cette Trag est imprimée en mufiq. partitionwz-40. Le

Prologue, fait au sujet de la naiuancede Monfeigneurle Dauphinet de celle du Duc d'Anjou est:dialoguéentre Jupiter, MarsetMinerve.CetOpéran'a pasencoreété repris.

PYRRHUS ET TEGLIS. Voyez Tegiis.

PYTHIAS ET DAMON ou le Triomphe de l'Amitié, Comédie en vers par Samuel Chapuzeau donnée en 1£j 6 sur le Théâtre du Marais.

Q

QUAj Ade parPuzelier donnéle iy Juillet 1724 etnonim*

Les QUAKERS oulesTREMBLEURCSo.r, ne, nUnAcenpro.par un anonyme, impriméeenr 7? i

QUAND EST-CEQU'ON ME MARIEî Corn, en Ac.par un Auteuranonyme, donnéeauThé. Irai.le16Jan"17

QUAND PARLERA-T-ELLE ?P

LE QUARTIER.D'HIVER. Nous avons deux Com.en un Ac.fousce citte la première, en pro. etmêlée de danses et de muliq. de Nie. Grandval, jouée à Lyon en 1696 la seconde, en vers, de MM. Brec, Dancourt et Villaret donnée sur le Théâtre Français le 4 Décembre 1744.

Le QUARTIER D'HIVER, Opéra Comique en un acte donné le iet Fcv. 17 5 f par Carolet. Il n'est pas imprimé.

Le QUARTIER GÉNÉRAL, Op. Comi. en un Ac. composé à l'occasion de la Bataille gagnée en Allemagne fur les Anglais par l'armée du Roi, par MM. Quétant et Achard donné pour la première fois à la Foire Saint-Laurent le 17. Août 17 f 7.

LES QUATRE MARIAMNES Opéra Comique en un Acte, de Fuzelier, donné le 7 Mars I7if. Voyez Mariamne.

lesQUATREMÉDECINS. Voyt^J'AmouRMÉDBCIN.

lesQUATRE PARTIES DU MONDE, Opéra. C'est un Ball, dont les paroles font de M. Roy et la musique de Ai, Mion; il fut repréfentéà Verfaillesen 174; etn'a pasencore paru à Paris. En 1740 on exécuta chez M. le Chevalierd'Orleans Grand-Prieur de France, trois Actes d'un Opéra sous le même titre dont les paroles et la musique étoientde M. le Ducde la Trémoille, premier Gentilhomme de la Chambre mort en 1741 âgé de trente cinq ans.

LesQUATRESEMBLABLES, ou tes Deux Leuo it lus

DEUXArlequins Com.en Ac. envers, par Dominique..

C'eftla derniere pièce de cet Auteur: elle fut représentéeanThéatreltal.le Mai 1733. Cette Comédie est traduited'unetrès-ancienne pièce Ital. remife en 1716 etfaiteà l'imitation des Menechmes. II y a cela de particulier, que Lelio y reprctênte les deux Lelio, comme-

Arlequin les deux Arlequins, en changeant quelquecbofedans les habits, - les jamaisenfemble.

La même rhofêa.ea lieu dans, le. Rival:parRessemblance.

LeQU'EN DIRA-T-ON, Op. Comï, .d'un Acte, repréïènt£pourla première fois le 12 Juillee;i74ï. 1.1 en. deMM, .

Panard et Pontau, et n'a pas été imprimé;

LaQUERELLE DES THEATRES, Op. Comi: en un AQc-±en forme dç Prolog, par Lc Sage et La Font, donné aitif 4 QUE' [Pièces, ] QUImois de.juillet .718 la Foire S. Laurent, et enfuite furle Thé. de l'Opéra.la QUERELLE DU TRAGIQUE ET DU COMIQUE,

Para. de la tragédie de Mahomet SECOND, en un Acte envers, donnée au Thé. Irai, par Romagnefi et Riccoboni, le 'Il Avril 1739. Elle n'est pas imprimée.

La QUEUE DE VÉRITÉ Op. Comi. d'un Ade, par D'Orneval, représenté en 1710, à la T-lire S. Germain.

QUI DORT DINE, ' Op. Comi. en j'Ac. par Charpenrier, donné en 171 8 à la Foire S. Laurent, et non imprimé.

le QUI-PRO-iQUO. Deux Corn, en AC. en vers, portentce ntre: la première de Rofimond qui eut de la rcudiiefur le Thé. du Marais en 167 1 et£qu'on connoît aullî fousle titre du VALET étourdi. La féconde, par M. Morandet, donnée une feule fois au Théâtre Français le premier Oftobre1743 j'etqui n'eg pas imprimée.

lie'Qoj-PRÔ-Çuo f Op. Comi. en 3 Ac. de Dominique, représentéen iji6 à la Foire S.'Laurent. Il y en a'un fecondfous ce même titre, par Carblet il est en un Afle, fut donné le zj fév- 1736 et n'est pas imprimé. Voye^auflî le Volage.

LE QUI-PRO-QUO, ou POLICHINELLE PYRAME Parodie en ûh'Ade', de l'Opéra de Pyrame et Thisbé, par un anonyme, représentée aux Marionnettes de Bienfait, à la Foire Saint-Germain en 1740 et non imprimée;

Lès QUI-PRO-QUO j Com. eh un Ac. en pro. par l'Abbé• Brueys imprimée dans fes (£uv. et non représentée. Elleflit faite fur une aventure arrivée en Province, et dont-"l'Àutèùr avoir, été témoin.| là QUIXAÎR?. ittagi-Com. de Gillët, représentée auThcatrédu Marais en- 1^39 , et imprimée in-40. en \6jo;'-«'est le fcoup'd'eflà.i de-cet Auteur, qui h'âvoit que vingt•;>ns. lè'fujetéiiell pris. déS^o^veUes de Michel de ta iiij

R

le RACOLEUR, ou Samsokht ETBellamie Paro. enunActe, de l'Ope, d'ACHILLEet Deïdamie donnée àl'Op. Comi. le 11Mars173; par Carolet.

les RACOLEURS, opéra Comique en un Acte presque tout en prose et dans le stile poissard par Vadé, donné pour la première fois le t t Mars17f6 avec beaucoup de succès.

RADEGONDED, ucHESSDEEBOURGOGNTEra, gi-Cornp, ar

DuSouhait, impriméeen irj?. Le sujet eftde l'inventiondel'Auteur.

LaRAGED'AMOUR, ou les En'r âgés, Op. Comi.en un

Acte, par LeSageetD'Orneval, représentée le 11Juillet

I7if.

RAGONDE. Voyc[ AMOURSDERAGONDE.

RAGOTINCom.de LaFontaine, en r Ac.en vers, donnéeau Thé.Fran. le r: Avril1684, etimprimée feulcmeriten171 6\on faitquecefujetefttiréduRomanComiquede

Scarron. •

LeRAJEUNISSEMENTINUTILE, Com.allégoriqueen

Ac. en vers libres, avecdes Div.de M.de LaGrange, donéeauThéâtre Françaisle 17Sept.1738.Lapremièrerepréfentationdecette piecefut tumultueulê cependantelleeutallèzde succès.1aRAILLERIE, Ball. de Benferade, danfépar LouisXIV.'en16fg.le RAILLEUR, ou la SATYREDUTEMS, Corn, en Ac.envers, par Maréchal, représentéeà l'Hôtel de Bourgogneen 1636, etimprimée in-40. auxThuilleries, en 1637.

LaRAMÉEETDONDON, Paro. enun Ac.de la tragédie de

Djp'oNj parMM.Pontau PannardetGalet ellefut jouéea L'Op.Comi.pourla premièrefois le zt Juillet 1734, .goûtéedu Public, et n'a cependantpoint étéimprimée.

Onprétendquec'est M.Pironqui en a donnéle plan.

T.A.MIRC.ornb, éroïqe. n 4 Acen vers, avecfpeftacle, tiréede l'Italien, parM. Mailhol, donnéepour la premièref«ijfutleThé.Ital.lej.x Janvier i7;7..

RAM \Piecbs.] RAV

RAMIRE ET ZAÏDE. Voye^Dom Ramire.

Le RAMONEUR, Com.en f Ac. en pro. par Bretondela

Fond, imprimée en i f jz.

Les RAMONEURS. Nous avons trois Com.fousce titre lapremière en f Ac. en pro. par un anonyme, donnéezl'Hôtel de Bourgogne en 1610, etqui n'a pasété impriméela feconde, en un Ac.en vers, par Lambert, impri.mée en 1661, 8c jouée à l'Hôtel de Bourgogne dès iéyS;la troifîeme auffi en un Ac. en vers', donnée au même

Théâtre, par de Villiers en 1661. Cette derniereeftprifede celle de l'anonyme.

La RANCUNE, Paro. de la tragédie de Philoctetb parunanonyme, Officier de Marine, donnée au Thé. Ical.le7

Mai 17f f fans avoir été annoncée et qui a eu allezde• fïicccs. •

La RANCUNE OFFICIEUSE Com.en un Ade en vers, defeu Nivelle de La Chauffée, représentée pour le Div.de

Monfeigneur le Comte de Clermont le 1 9 Novembre

La RAPIERE, Com.par R. Auteur des Hazards DUJEUdil'Ombre, en 167 j.

La RAPINIERE. Voyc[I'IntéHessb.

Le RAPPELDE LA FOIRE A LAVIE, Op. Cornuen un

Afte, de Le Sage et D'Orneval; Cette pièce avoir étécompofée pour le début de l'Op. Comi. à fonrétabliffement, à la Foire Saint- Laurent en 171 1, mais ellenefut repréfentéeque le premier Septembre par la TroupedeFrancifque., RATON ET ROSETTE, ou la Vengeance INUTILE, Para.de l'Ope, de T]TONETl'Aurorb , en un Ac.tout enchant, avec des Div. par M. Favarc donnée au Thé. Irai, le:S

Mars 17j j avec fùccès.

Le RAVISSEMENT DE CEPHALE Tragi-Corn, avecPrologueetmachines par Nici Chrétien des Croix, repre-

Contéeà FloreticeauxNoces Royales, etimpriméeàRouen1 en 1 «08.

Le RAVISSEMENT D'HELENE, LESIEGEETl'Embra-

SEMENTDETroyb granit puce qui fera rtprifenticavectous fes agrémens, au Jeu des Vtetoïres par les Marionnettesdu feur Alexandre Bertrand dans lr priait de1, :

RAV .[Pièces.] REC 577

FoireS. Germain170; par M. Fuç/lier.Lapiece, donton vient de rapporterle titre en entier, fut impriméein-it. à Paris en 17of. Elle cft forméed'une efpecede

Prolog.de deuxActes, et d'un troiGemequi ne.contientqu'unDiv. Elle est airez rare.

LeRAVISSEMENTDE L'HELENE D'AMSTERDAM;

Com. parun anonyme, jouée, etimpriméeen Hollande, avecfigures, en 1683.

LeRAVISSEMENTDEFLORISE, Tragi-Comd.eCormeil, donnéeen 16j 1. Cette pieceeftaudi attribuéeà Troterel, eta pour fecondtitre l'HEuREuxÉVÉNEMEDNETS

Oracles.le RAVISSEMENT DE PROSERPINE. Deux Tragi-Com.portent ce titre 5 l'une de Hardy, représentée à l'Hôtelde Bourgogne en 16Il, , et imprimée en 162.6 et l'autre, de Claveret, donnée en i

Cette dernière a cela de remarquable, que l'Auteur metla fcene de fa pièce au Ciel, en Sicile et aux Enfers, oùl'imagination du Lecteur se peut repréfenter une efpeced'unité de lieu, en concevant une ligne perpendiculairetirée d'un point du Ciel pailànt par la Sicile aux Enfers.le RAVISSEURDESA FEMME, OÈ. Comi. en un Aùedonné au mois de Mars 1 715 par Fuzelier, et non imprimé.

Voyc{ le LENDEMAINDENoces.

LesREBELLES, tragédie en 4 Ac. en vers oùfous lesnomsfeints onvoit leursconfpirations, machines, monopoles, affemblèes pratiquesetrébellionsdécouvertes;par unanonyme, en 16ix.

LaREBELLION DES GRENOUILLES CONTRE JUPITER,

Tragi-Com. en 4 Ac. en vers, avec un Argumentcette pièce est d'un anonyme, et a été imprimée fansdate; on prcfume cependant qu'elle a paru vers 16 1 1 Elleest fort rare.

LeRECIPROQUE, Divertir. en mufique en Ac. représentéà Raifmes, près Valenciennes, en Juillet 1714 etimprimé in- 11. dans cette Ville, la même année.

La RECONCILIATION DES SENS. Voyei I'Instjnct EttANaturb.

LaRECONCILIATION NORMANDE, Coin. en f Ac. envers } par.Dujrény jouée avec au Tlicatre37* REC [Pièces.] REIïran. le 7 Mars 17 19. L'Auteurlui avait d'abord donnéle titre du Procès DEFAMILLE, qui femble lui mieuxconvenirque celui qu'elle a. Cette pièce a été remifeplufieursfois.

La RECONNUE, Com.en, f Ac.en.vers, par RemyBelleau, donnée en ir*4;c'est une pièce finguliere, faite furunehiftoire du tems.

Les RECRUESDE L'OPÉRA.COMIQUE, Prolog. donnéà la Foire le premier Juillet 17+0 par M. Favart il n'estpas imprime.

La REFORME DU REGIMENT DE LAGALOTTE, Op.

Coml.en un Acte, par La Font, donné le 16 Sept. 1711fans fuceès. Il n'en:pas imprimé.

La REFORME DU ROYAUME D'AMOUR Pafio. par

Dalibray, en 1634. Elle contient quatre Intermrdesenprofe, fçavoir, la laloufie, les Pleurs, les Soupirs, le

Cachot etc.

Les REGALS DES COUSINS ET COUSINES, Com. d'un

Afte en vers, par Brecourt donnée en 1 674.

Le REGIMENT DE LA CALOTTE, Op. Comi. en un Ade, par Le Sage, Fuzelier et D'Orneval, donné le premier

Septembre 1711 , 'Sc avec succès. Voye{ les Nouveaux

CALOTINS.

Le REGISTRE INUTILE, Op. Comi. en un Afte, avec un

Prolog.par M. Pannard, donné, le x8 Juin 1741 et nonimprimé. Le fujec en est pris d'un Cvnte de La Fontaine, intitulé Os N6 s'avisb JAMAISDETour, et donné auai fousce titre à l'Op. Comique.

REGULUS. Il y a deux tragédie de ce titre la première, parde Beaubreuil, jouée et imprimée à Limoges en 1f 8iila feconde de Pradon, , jouée plus de vingt fois de fuite-au Thé. de Guénégaud, commencer le 4 Janv. i6it , etqui pa1fe pour une de fes meilleures pièces..

La REINE DE BAROSTAN Op. Comi..d'nn A6te, donnélé'f 8-Fér. 17x9 par Le Sage et D'Orneval.

La REINE DE MONÔMOTAPA Op. Comi. en un Ade, .donné, au: mois de Fév- 171 8 :et non. imprimé. Il est de Fuzelier.

La REINE DES PÉRIS, ioimeOpé. C'est une Com.Vet-.

Xai?.njP:.est J.Ac. de Fuzelier, mife en mufiq. par Auberu

REI [Pièces.] REN j7, lapremièrreeprésentatiso'nendonnale10Avril1715, etellen'eneutquedouzeelleeftgravéeenmufiq. particioinn-+°

L. eProloge.ftforméparAmphitriltaeSeineetl'EuphratOe.nn'apointencorreepriscetOpéra.

LalanguPeerfannaettacheaunomdePiris, lamêmeidéequenousconcevofnosusceluideFies.

LeRs EJOUISSANCDEESSHARANGERDEESSHALLESDEPARIS,

Farceenpro.entrePernclUB, arbeet

Lambinfa, ireen1614, parunanonymef, urlaréconciliationdesPrinces..

LeRs EJOUISSANCPEUSBLIQUEOS, p.Comie.n3Ac.donné le19Sept.17)9 aulujecdumariagedeMadameavelc'InfanDt onPhilippeIl.efldeM.Favartet, n'apas étéimprimé.

LeRs EJOUISSANCPEUSBLIQUEoSu, leGRATICSo, rn, enunAc.enpro.avecun Div.dontla mufiq. étoitde

Grandvaplere, reprelentcuenefeulefoisà laComédie

Franl.e18Septembr1e749, etcompolépearquelques

AfteurdseceThéâtr(e G.L.T.A.L.)àl'occafiodne lanaillàncdee MonfeigncluerDauphinE. llen'apasétéimprimée.l, eRs EJOUISSANCPUESBLIQUEoSu, leRETOUdeRLA.

Paix, pièceenvaudevillerse, prétèntépearlesMarionnettedseLeVatfêurà, laFoireS.Germailnei8Février'749.

LeREMEDAENGLOISouARLEQUPIrNinceDEqoin-

QuinaC, orne, n 3Ac^epnrop. arunanonymde, onnéfeurl'ancieTnhéI.tal.le3 Dcccmiû. So.C'etoituneefpece devaudevillfeu;rfufagefamilieqruelesMédecininsitroduifircanlotrsduquinquina. leREMOULEDU'RAMOURe, fpeced'Op.Comie.nun

Ait.parLeSage, FuielieetrD'Ornevadl, onnéalaFoire

S.Germaina, u JeudesMarionnettdees LaPlacea, umoisdeFc1v7. 11. laRENAISSANDCEESARTSB, ail, enunAde, pourlaconvalefcednecMe onfeigneluerDauphinpar-Mmdee

Saint-PhalmierisenmufiqupearM.Davidle pere.CepetiOt pérfae trouveimpriméà. la fuitede la Rival?

CONFIDECNoTm1é1dideelamêmeDame.

RENAUEDTARMIDEC, omd.eDancourecn, unAfteen»So REN [Pièces.] REPprofe, donnéeauThéâtre Françaisle 3 Juillet mée tome troifîemede lesOEuvres. CetjtteZ6 etimpri- piècene futguèregoûtée, etn'a qu'unrapport éloigné avecl'Opérad'ARMIDE.

RENAUD, ou la SUITE D'ARMIDE, jjtne Opéra. C'est une

tragédie en f Ac. dont les vers font de l'Abbé Pellegrin, etla mur. de Defmarets et dont la première représentationpublique ne fut donnée que le f Mars 1711 quoiqu'il eneût été fait plufieurs répétitions au Palais Royal, dès le

Carnaval de l'année 1705. Le succès de cet Opé. ne fatpas brillant, et on ne l'a jamais remis au Thé. il est cependantimprimé en mufïq. in-jf. Le Prolog. Ce paflè entre

Minerve, Venus et Jupiter.

La RENCONTRE. Voyt[ EUGENE.

La RENCONTRE IMPRÉVUE, Com. en un Ac. en profe, par L'Affichard, reprcfentée une feule fois au Théâtre Françaisle 14 Oftob. 173 j. Elle n'axas été imprimée, et on prétendque M. Parmentier y a eu part.

Le RENDEZ-VOUS, Com. en un Acte, par un anonyme, donnée deux fois, en Mai 1 6 83 par les Coméd. Fran. etqui n'a pas cré imprimée.

Le RENDEZ-VOUS, ou I'Amodr supposa, Com. en un Ac.en vers, par Fagan, donnée, avec succès au Théâtre

Fran. le 17 Mai 1755. C'était la première pièce de cet

Auteur.

Le RENDEZ-VOUS DES THUILLERIES ou le COQUET

TROMPB, Corn, de Baron, en As. en pro. avec un Prol.repréfentéelé Mars i68y.

Raifligniér avait donné une Comédie en f Ac. en vers, aulfiintitulée le RENDEZ.VOUS des Thoilisries cinquanteansavant celle de Baron, c'est-à-dire en i 6 3 j.'RENNIO ET ALIN DE, ou les Amans SANS LE SAVOIR, • Corn, en deux Actes en profe par M. de La Place imprinéedans le Mercure du mois de Septembre 1761. Çeftl'imitation d'une pièce intitulée Edgar et Emmelinc qui.fut donnée à Itondres'èn 1761.

La RENTRÉE DES THÉÂTRES Com. un Acte et en'vers, donnée au Thé. Ital. le 14 Avril 1760.

Le REPAS ALLÉGORIQUE, ou la GAUDRIOLE, Op. Comi.en-un Afte, de M. Pannard, donné le 30 Juin 173? >et

REP [Pièces.] RET 38inon imprimé. Voyc\ les trois Prologobs.

LeREPENTIR, Com.en un Aae en vers, imprimée aveclesautres Poches de M. L. D. S. F. en 17j-i

LeREPENTIRAMOUREUX, Eglogueen f Ac. en pro.eten vers, avec un Prol. tra^pite de l'Italien par Roland

Dujardin et dédiée à fa Maîtreflè. Cette pièce a été reprétènréeà

Tours en 1/90, et ne fut pas imprimée: ellese trouve, dit-on, manufcrite dans le cabinet de M.de B.

LaRÉPÉTITION Corn, en un Ac. attribuée à Baron ellefut donnée, fans être annoncée, au Théâtre Fran. le ie

Juillet i«8?, eteutaflfaede fucecs: cette pièce n'est pasimprimce.

La RÉPÉTITIONINTERROMPUE, Op. Comi.en un Ac;parMM. Pannard etFavart, donné le 6 Août 173;. Cettepiecereparut en17 J7 fous le titre de la Répétition Ganéraih

DUPstit-Maître MALGRÉLui, le avec des changemens.

La RESOLUTION PERNICIEUSE, Tragi-Com. attribuéeà Charpentier de l'Académie Fran. et que l'on dit êtremanufcrite dans la Bibliothèque de M. de B.

La RESSOURCE, Op. Comi. en un Ac. par Carolet, donnéle premier Mars 1738 et non imprimé. C'est une piècede (cènes épifodiques.

La RESSOURCE DES THÉATRES, Prologue en vaude.villes, par M. Favart donné à fOp. Comique le 1 Janvier1760.

LeRETOUR. DE. BONTEMPS, pièce Dramatique ou Ball.à pluGeurs personnages. fans diftinélion d'Actes ni de

Cènes, représentée à t'entrée de M. le Prince à Dijon le

Octobre iiji et imprimée in-40. dans la même Ville.le RETOUR DE CLIMENE, Paflo. en un Acte envers, par Fontenelle., imprimée dans la première édition de Ces

Eglogues; et dans le tome dixième de la derniere éditionde toutes (es OEuvres.

Le RETOURDEFONTAINEBLEAU, ou le Coche RoYAt,

Com.:de .Dominique en un Acte en proCe avec qq Div.donnée au Théâtre Ital. le 2, Décembre 1714, et non im-

Le RETOUR :DE JACQUES II, A. PARIS Com.ta.xia.5il, RÎT [Puces.] RET

Acte en profe, par un anonrme, imprimée en 16 94

Cologne.

Le RETOUR DE LA CHASSE DU CERF, Op. Comi. en un

Acte, représenté le i* Oftob. 1716 c'est une Paro. delà

CHASSE du Cerf elle nfcft pas imprimée.

Le RETOUR DE LA FOIRE DE BEZONS, Com. d'un Ac;en pro. avec un Div. représentée fur l'ancien Thé. Irai, lepremier Oéto. 169c. La Comédie de la FOIRE de Bezons, qui se jouoit en ce tems-là au Théâtre Français donna occafion àl'Arlequin Gherardi de faire cette petite pièce, qui, felonlui ne fut que l'ouvrage d'un après (oupé, i l'exceptionde la fcene des Tabatières dont un illuflre dans la rcpubliquedes Lettres voulut bien lui faire prêtent.

Le RETOUR DE LA PAIX, Com. en un Ac"; en vers libres, avec un Div. par Boifly représentée pour la première foisau Thé. Ical. le z» Février 1749. Cette.pièce est en fcenesdétachées ou épifodiqnes.

Le RETOUR DE LA TRAGÉDIE, Com. en un Ac. en pro.avec un Div. par Romagnefi donnée par les Ital. le ;o

Décem. '7z i. C'est une critique as l'Italienne F rançoiftde I'Impromptd de la FOLIF. Cette pièce tint un peu plusle Thé. que leur Françoise Italienne. Elle n'est cepen--dant pas imprimée.

LE RETOUR DE L'OMBRE DE MOLIERg, Corn, en on

Ac. en vers libres, attribuée à M. l'Abbé de Voifenon, don»née au Théâtre Français le 11Novem. 1719.

Le RETOUR DE L'OPÉRA-COMIQUE Au Facxbodrq

S. Germain Prolog. donné à l'Op. Comi. le 17 Février1734, par Carolet.

Le RETOUR DE L'OPÉRA-COMIQUE, pièce en un Afteen profe, mêlé de couplets, donnée pour la, première foisài'Op. Comi. dé la Foire S. Laurent, le iJ Juin I7f9, etqui a eu beaucoup de succès elle en: de M. Favart.

Le RETOUR DE MARS, Com. par de La- Noue, en un

Ade en vers libres, avec un Div. donnée pour la premièrefois au Théâtre liai. le ib Décembre 17? j. Cette pièce, q>iifut généralement applaudie, était là première de cet

Auteur.

Le RETOUR DE TENDRESSE, ou la Feinte vskitabie,

Corn, en Un Ac. en pro. représentée pour la première fois

RET [Pièces.] REV et;auThé. hal. le dernier Mai 1718. Cettepiece, qui estbienécrite, etfbuventrepritè est le coup d'elfaide M.

Fufilier.

LeRETOURDESOFFICIERS, Com.de Dancourt, en un

Ac.en pro. avec un Div. repréténtantuneCarmcJJ'co, u

FoiredeFlandres, etdontla mufiq.était de Gilliers;ellefutjouéeauThéâtre Français le 19 Oftob. \6 97, 6cle trouvedansle quatriemevol. desÛEuv. de Dancourt.

LeRETOURDUGOUT, Com.en un Ac.en verslibresetenlcenesépifodiques par Chevrier, repréfèntéepour lapremierefoisparlesComédiensIrai.le7 Mars17*4.C'estuneefpecede réponfc auxADIEUXDUGOUR, etelleeutdixreprésentations, cependantle Goûty est un Philofophequi débite-des-, maximes utilespour le bienconduire, etnondesprincipeslumineuxpour bienécrireetbienpenfer.

LeRETOURDUPRINTEMS, Jdillt etBall. héroïq.en un

Afte, parM.Degardeinde Ville-Maire impriméin-4°.

M.Baillerea fait jouerà Rouenen 175y unOp.Comi.fouscemêmetitre.

LeRETOURFAVORABLE, Op. Comi.ou Prolog.dontles

Auteursont gardél'anonyme, maisqu'on prétendêtre de

M.Fleury; il fut donné le Fév. 17f 1 à l'occafîondel'ouverturedu Thé. de l'Op. Comi. qui croitfupprimé'depuisenvironhuitans.

Le RETOURIMPRÉVU, Com.d'un Acte en profe, par

Regnard, repréfèntéeau Thé.Fran. le ir Février1700, etlouventremifedepuis. Elle est dansle tome troi/IemedelesOEuvres.

Il parutauffiauThé. Ital. le 15Juillet 17S6, une Comédiefousletitre du RETOURimprévu elle est en Actes envers, etunouvragepofthumede Nivellede la Chauffée.

Onn'en donna qu'unereprésentation quoiqu'elle eûtbeaucoupde beautésde détail.Ellen'elt pas imprimée.

LaRETRAITEDESAMANS, ouleDébauché converti,

Tragi-Coina, vecun Prolog.et un épiloguedans le goûtdesAnciens cette pièce, qui n'a pasété repréfèntée, estdeSainville.le REVE OpC.omi.enunActe, repréfentéle 1jFévrier173.8.Il est de M. Pannard.xii REV [Pièces.] REV

Le REVEIL D'ÊPIMÉNIDE, Corn, en Ac. en vers, avecun Proi. par Phil. Poillbn donnée auThéâtre Français le7Janv.17jf avec peu de fucccs.

M. le Préfident Hcnault a auflî compofé une pièce en un

Acte en profe fousle même titre elle se trouve impriméedans le premier volume des Mémoires de la Société

Royale des Scienceset Belles- Lettres de Nancy, publié

Le REVEILDEL'OPÉRA-COMIQUE, Prolog. deCarolet, donné le 13 Août 1732.

Le REVEIL DETHALIE, Com.épifodique en un Ade envers libres avecun Div. donnée au Thé. Ital. pourlapremierefois le 19 Juin 1750. On attribua cette pieceà Al.

Le Fevrede Marcouville; mais elle est à ce qu'on a durede M. l'Abbé de Voifenon.

Le REVEILLON DESDIEUX, Prolog. donné à laFoirele3 Fév. 1718, etnon imprimé. Il est de Fuzelier.

Le REVENANT, Op. Cami.en un Ac. donné le 14 Seprem.1737, par L'Affichardet M. Valois, et non imprimé.

Voyc{ le Fantôme.

La REVENTE DES HABITS DE BALLET. C'est le titred'un Ballet de Benferade danfé en 16 yy

La RÉUNION DES AMOURS Corn, hêroïq. de M. de Marivaux, en un Ac. en pro. représentée au Théâtre Français le f

Nov. 1731* Le sujet en est purement allégorique, entrele Dieu de la. Tendrelfe et Cupidon ces deux rôles furentjoués à ravir par les DU?».GauJJîn etDangeville.

La RÉUNION DES ÉPOUX, .Op. Comi. en deux Ac.avecun Prolog, donné le Fév. 173 S par M. Pannard; il estimprimé fous le titre des Epoux réunis ( Foycj ce mot), et fans Prologue.

La RÉUNION FORCÉE Com.en un Ac. en pro. fuivie d'un

Dir. par Avifre, donnée au Thé. Ital. le 19 Juillet 1730, et non imprimée.

La REVUE DES THÉATRES. II y a Corn, en un Ac. fousce titre; la première, «î pro. par Dominique et Roma^gnefi, représentée pour la première fois au Théâtre Ital.le premier Mars 1718 la feconde; en vers alexandrins, avec unQivertiHèinent par Chevrier, donnée au même

Théâtre le ii Décembre 17/3 >et qui n'eut que cetterepréfentarion

RHA [PiscÉs.) -RIV

Bbireprcftntation elle n'a pas eu , plus de 1uccès a 1 împrellion.

RHADAMISTEET par.dedonnéepour la première fois le i ou le 2.3Janv. 171t.

Cetie pièce eut tant de fuccèsqu'il s'en fit deux éditionsenhuit jours, et fes représentations, qui commencèrentlong-temasvant le Carnaval franchirent avec vigueur le

Carême et se Coûtinrencencore après Pâques.t'est unedesTragédies que l'on redonne le plus Couventau Théa.

Elle est imprirriée dans le fecond vol.. des OEuvres dél'Auteur..ÏIHODESSUBJUGUEE, !><»£. par Borée imprimée éri

I6z7 elle contient l'hiftoire du fiege de Rhodes, par

AméIV. Comté ou Duc de Savoie.la DBSOLIMAN)Tragf Ac.en vers par Pierre.Mainfrar imprimée in-i i. enx6n. • 1

LeRICHÉ IMAGINAIRE, Comi du P.Du Cerceau rèpreVfentée au Coll.ege et non imprimée.

Le RICHE MÉCONTENT ou le Noble imaginaire,

Cum.en i Ac.]én vers par Chapufeau représentée à l'Hôtelde Bourgogne en , 166 x. Cette pièce a été impriméefous le titre du Partisan DUPE, en 1 677.

La.RlblCÛLE5pPEOSÉE, Com, de Fagan, en un Ac. enpro. avec tin Div. donnée au Thé. Ital. le 11 JanvieC

XeRIE>j Op. Comi. en un Àc..donné, le premier: Mars1737 pat MM. Pphcaa et Panard. Il n'a pas été imle

Ribn Para, des Pàrodies de Titon et l'Àùrorb (/?«-ton SiRofetteet Totinet par Vadéj, donnée avec fiiccèsl'Op. Comi. à la Foire S. Germain le 10 Avril 17? j. LeRIVALAPRÈSA.MORT., Gppi. d'un anonyme t donnéeenitfj8; Cette pièce èft peu connue.

Le RIVALDANGEREUX:, Op.CoM.énùn Ac.donnéle i«

Août173 4 par Le Sage etnon imprimé.

LeteRnItVe ADLELUI-MÊMJ.jE. Op. fiomi. par Carolet f repré- pourla première fois le , 1 5 Août173a. Il en un

Aâeenvert.etienTaudeTilieï.i«( RIV [Pteces.] RIV£e RïvAL t>t lui-mêms Com. en un Ac. en vers libres, par

La Chauffée donnée fur le Théâtre Français le 10 Avril 174c, fous le titre de la Fin interrompue mais impriméefous l'autre, avec un Prolog, auflî en vers libres, qui n'apas été joué.

Le RIVAL DE SON MAITRE, Com. en f Aétes, par unanonyme, donnée au Théâtre Français avec peu de succès, le• fcf Avril 1687 elle n'est pas imprimée. Voyc^ Crispin

Le RIVAL FAVORABLE, Com. de Boi/Ty en 3 Ac. en ners, donnée pour la première fois au Thé. Iral. le Io Janvier1759 avec beaucoup de succès. Vayt^ les Fêtes D'Eu-

Le RIVAL PAR RESSEMBLANCE. Voyt^ les Méprises.

Le RIVAL SECRETAIRE Com. en un Ac. en vers, avec un

Prolog. donnée au Théâtre Français le iet Novemb. 1737. Onl'attribua à MM. Boizard de Ponraulr et Parmentier, maison prétend qu'elle est dé M. Desforges.

Le RIVAL SUPPOSÉ, Com. en un Ac. en pro.de M, de

Saint-Fait. retirée après la première représentation qu'endonnèrent les François le 2 y Octobre 1749 avec la Co-

La RIVALE CONFIDENTE, Com. én 3. Ac. en pro. par-Mine de Saint-Pbalter donnéefans succès au Thé. Ital. le:xx Dccemb. i7fz.-

LaRIVALED'ELLE-MÈME, ou l'AMANTde SAFEMME,

Corn.en unAc.en pro. jouéefur le Thé. T-ran.le 19Septémbre^iivC'est k premièrepièce de Boiffjr 5i'intri-:gue'n'«a était pasnettvèauThéaire. fà>y*il'AMANDTi

SAFEMME.llefetrouvedansle premier vol. des (Eut.• -de «t Auteur.un Ac.en-vers dé M.Pierre Roolfeau, donnéeavec peu de succès^r;:fer, leThé.Fralh.iej Aoûti7+7.C'est le premierouvragede cet Auteur.:n •sLesiRlVÀLÉS y Ac.envers-, parQuinault, -donnéeavec «H'gràftd^ûcccsà l'HôteldeBourgogneenil desDEUXde.Rbtrou. On prétendquef'est cette piècegui adonné-lieuàïmage^ar leqaerl»

RIV [Pièces.] R.OD 587

Sbij

Auteursont parc au produit des représentations de leurs

Ouvrages, dansla nouveauté; avant cela les Comédienslesacheroient, et les payoient à proportion de la réputationdeceluiqui les prélèntoit. lis avoiènt accordé cent écuspourlesRivales parcequ'ils croyoient cette Comédie de

Triftan; mais celui-ci leur ayantavoué qu'elle écoit d'unjeune homme, ils se retracèrent et- ne voulurentplusdonnerque cinquanteécus; Triftan ne pouvbnt lerc/ôudreà la céder un prix fi modique leur propofa de donnerleneuvièmede la recette à l'Auteiu tant qu'on la joueroicde fuite: le marché fut accepté, et depuis ce tems-là cecufages'e!1 confervé.

LesRIVAUX. Voyt^les Trois RIVAUX.lesRIVAUXAMIS Tragi-Com.en f Ac.en vers, par Boi£robert, donnée en 1658 fousle nomde Jean Baudoin.

LesRIVAUX D'EUX-MÊMES, Com.en un Ac. par unanonyme, donnée fur le Théâtre Français le z7 Août1 7 1 4 etqui n'eut que trois représentations elle n'a pas été imprimée.lesRIVAUXINDISCRETS, Com.en Ac. en vers par

M.Du Berry, imprimée en Hollande en 1738.

LaROBEDEDISSENTION, o« le FAUXPRODIGE, Op.

Comi. en deux Ac. par M. Piron représenté le 7 Septemb.1716 et non imprimé.

ROBINSON Op. Comi.en un Acte, de Le SageetD'Ornevaldonné en 17»1 à la Foire S. Germain, et nonimpriméil eut cependant beaucoupde succès.

RODOGUNE, PRINCESSE des Parthes. Ce fiijet, tiré qui est d'Appian Alexandrin a fourni matière à deux tragédie l'une de Gilbert', imprimée en 1646, in-49. et l'autredonné au Thé. de l'Hôtel de Bourgogne la même année, parPierre Corneille, qui préféroit cette pièce à toutes fesautres, quoique le Publicfût pour CiNNA.On ignore laquelledesdeux Rodogune parut la première mais l'ondit qaecellede Gilbert est une imitation des quatre pre.-miersAc. de celle de Corneille de laquelle il avait euconnoiuance, par le moyen d'un ami de ce grand homme, à qui elle avait été communiquée.4 RODOMONTADE.Il y a deuxTragi-Corn, fous'cetitreh première, tirée de M/wj7< par Meligloflè, en 160< j;88 ROD [ PIECES. ROMla fécondé, par un anonyme, en ifiij. Cette derniereest fort ràreetpeuconnue.

RODOPE, Com.Ball. en 3 Ac. en vers, précédéed'un

Prolog, par Autreau, deftinée pour être mifeen non mufiq. représentée, maisimpriméeen 173r.

ROGER. Voyt{ la MORT DE ROGER.-

ROGERROYDESICILE, ou le PrinceSANSchagrin,

Op. Comi.en 3 Ac.donnéau moisde Juillet1731 à la

FoireS. Laurent par Le_SageetD'Orneval.

Le ROI ET LEFERMIER, Corn, en 3 Ac.mêlésd'Ariettes, par M. Sedaine, donnéepour la première fois auThé.

Irai, le n Novemb. 176m.Lamufiqueen eftdeM.Monfigny.Ç'est une imitationd'unepieceAngloifedéjatraduiteen françois, etelleaeubeaucoupdefuccès.

ROLAND.L'ArioJle cdebrePoèteItalien, a faitlePoèmede Rolandlefurieux, qui a été traduiten français, etquia fournile fujetd'une Trag, à Mairet, impriméeen1640;etceluidu 1701ede nosOpé. dont les vers fontdeQuinault, etla muGq.de Lully il fut exécutépour leRoi

Verfailles, le 8 Janvier168; et donnéau Publicà Parisun moisaprès. Les Féesformentle Prologue. Cetexcellent

Ope.qui se trouveimpriméetgravéenmufiq.partitionin-fol.a été.reprisfaxfois (en 1709, 1716, •1717, I743eti755')j et parodiécinq.La première, àl'Op. Comi.fousle titredePierrot Roland. Laféconde, auxItaliens, parDominiqueet, Romagne/ïdansunepièced'unActeen vaudevilles, donnéeledernierjourdel'année• 1717 fousle nomd'ARLEQURINOLANDL.a rroifîemc, dans une piecedesfieursPannardetSticotti donnéeaumême Thé. le zo Janvier r7.;f, tous le titre fimplede

Roland. La quatrieme, aux Marionnettesde Bienfait, v dansunepièceen unAéte intituléePolichinelle Gros-

Jean d'un Auteuranonyme, etnonimprimée la derniere, dansuneautre pieceen un Aâe donnéeauaiaux

Italiens le z7 Décemb.17; fousle titre de BOLAND.

LeROMAN., oules DEUXBAS1LECSo, md. eGuyotdeMer,

TilleetPrÕcoppeCouteaux, en 3Ac.en verslibres, donnéepourla premierefois au Thé. Ital. le n Mai 174!etreçueavecquelquesapplaudiflemenjscependanltedénouementneplutpas. Cette pieceayoitétécomposen

ROM [Pièces.] ROM j»?

Bb iijprofcpar Procoppe, qui l'ayant communiquée à Guyotde Mcrvillc celui-ci la mit en vers, en y faifant quelqueschangemens dans L'intrigue et l'arrangement des fcenes.

LeROMAN DU MARAIS, Com. attribuée à Claverec versl'année 16 }i.

LesROMANS, nf»* Opéra. Ce Ball. est compofê-d'un

Prologue et de quatre Entrées; les paroles font de M. de

Bonneval, et la mûfiq. du (leur Niel: il est gravépartitionin-°. Le Prolog. se pane entre la Fiction, Clio et la Renommée.

La première Entrée est une Bergerie la féconde, un sujet de Chevaleries la troisième, un de Féerie et laquatrième a pour titre le Romani merveilleux. La premièrerepréfentarion de. ce. Poème se lit le zj Août 1756 iln'étaitalors compote que du Prolog. et des trois premieres

Entrées, la quatrième n'y fut ajoutée qu'un moisaprès, c'est-à-dire le 15 Septemb. on le repréfenta vingtdeuxfois de fuite et il fut fort applaudi. On ne l'a cependantpas encore remis au Théâtre.

ROMEO ET. JULIETTE, Tragéd. de la Gambe, dit de

Châteauvietix, faite fous le regne de Charles IX. ou de

Henri II1.

XOMESAUVÉE, tragédie de M. de Voltaire représentée à

Sceaux devant Madame la Duchefle du Maine, le n Juin:17fO. Cette pièce dans laquelle fon Auteur jouoit luimêmele rôle de Ciceron reçut tous les applaudiflèmensimaginables, et peut paffer pour une des plus belles et desmieux travaillées de M. de Voltaire. Elle fut donnée enfuiteau Théâtre Fran. le 2, 3Février 1771, avec succès.

C'est le même sujet que Catihna dont elle porte auffile titre à l'imprellion.

HOMULUS tragédie de La Motte, représentée pour la pre-:miere fois le 8 Janvier 1711 avec beaucoup de succès cequi lui attira deux Paro. l'une intitulée ARLEQUINRomolds, par Dominique, donnée aux Italiens le 18 Février:-fuivanc, mais qui ne St pas fortune, et n'est pas imprimée;etl'autre par Le Sage Tuzelier et D'Otneval, fouslotitre de Pierrot Romdius qu'on courut fort à la Foire

S. Çermain quoiqu'elle fûc jouée par des Marionnettes, le chant Se la parole ayant été interdits aux Troupeà'3jo ROS [Pièces.] ROX

Il arriva une nouveautéa la première repréfentationdecette

tragédie de Romulus; c'est que contre la Coutumede jouerfeule les pièces nouvelles, etde n'y joindre de petitespiecesqu'après les huit ou dix premieres représentations, cequi donnoit lieu de croire que la pièce commençoitàtomber. La Motte, pour prévenir ces jugemens quelquefoismal fondés fit jouer une petite piècedès la premièrereprésentation de fa tragédie Cet exemplea été fuividepuis par les Auteurs, qui fouhaitoienttous que cet ufagefûtcrabli; mais aucun ne vouloit commencer, de craintede donner une mauvaiseidée de fa pièce dès la premièrereprésentation.

La ROSELIE ou le DomGuillot Com.en r Ac.en vers, par Dorimond donnéeen \66t ou même dès 1641, comme on trouve dans un mémoire (tir lesThéâtres, /ûppofëqu'il ne foit pas fautif, comme il y a beaucoupd'apparence.

La ROSEMONDE, Traâ de Balt. Baro, donnéeen1645, etimprimée en 16Si in-e. Cette pièce est des plustragiques.

M. Taconet fit repréfenter à Lilleen une Trag.fousletitre de Rosbmonde.

ROSILEON. Voyc{Avantures DERositEoN.s LeROSSIGNOL. Il y a trois Op. Comi.de ce titre le premier, de M. Baillere, joué à Rouen le 8 Octobre i7fi-

Le fecond, en un Ac. par M. Colle, repréfentéà Berny, -chez S. A.-S. Monseigneur le Comte de Clermont, aimoisde Novem. fuivant etqui n'est pas imprimé. Letroifîeme par M. de L'Attaignant, donne à laFoireSaintx

Laurent le 1f Septembre 17f i etauflt en un Ade.

Les ROUTES DU MONDE, Op. Comi.d'un Ac.reprefenre_au mois de Juin 1730: il est de Le Sage, Fuzelieret

D'Orneval.

ROXANE, tragédie de Defmarets donnéeen 1^40. Onprétendque le Cardinal de Richelieuavoir bonne part à cettepièces, etqu'un libelle cjne l'Abbé D'Aubignac fitcontreelle, l'empêcha d'être admis à l'Académie Françoife.Il ya nne autre T^ag. intitulée la Mort DERoxane qui futreprésentée en' 1^47ont6^i, .Bç dont l'Auteur marque

ROX [PiKCES.l RUP ;«f

Bbiiij(onnompar lestroislettres1. M.S. elleefttirée du dernierlivrede

Qu'mte-Curct.

ROXELANE, tragédie de Defmarres, donnéeen 164), 8callezbonne.M. le Roi, jeune Auteurdémérite, aaufltcompoféunetragédie de ce titre, qui n'a pas encore étérenduepublique.

Le ROYAL MARTYR. Voyt^ Saint-Hermbmegii.dk.

LaROYAUTjÉou, it fur le Théâtrede la France par le

CardinalMararin ou plutôt argumentde cette Tragédieimaginairee, n cinq-Ailes.La pièce, dont voici ie titreest uneallégoriefatyriquean miniftereduCardinalMazarinellefut impriméeen 16?1 in.-+*•

LeROYDECOCAGNE Corn, de Le Grand en Ac.enverslibres avecdes Interm, dechantetde danfe etun

Prolog.qui a étéretranchédepuir.LapremièrereprésenrationdecettepiecefedonnaauThéâtre Françaisle 31 Décem.1718;lesFleursperfonnifiéeiy çhamoièntdes airs fortgoûtes, dont la mufîq.était de Quinault.Le Prolog, repréfentoitle Parnaficentouré d'un bourbier 3Thallela

Mafetriviale, Geniot, la Fariniereet Plaifantinet, touslestroisPoëtes en faifoientle dialogue.La pieceeft dansle goûtde la farce, maiscependanttrès-ingénieufementimaginéeetdivertiflante.ElleCetrouvedansle fccondvo>.duThéâtrede Le Grand.Foyc^la Conquête DUTAYSDit

Cocagne.

LeROYFRANCARBITRE, par un anonyme, en i ej- j.

Levrai titre-de cette pièce elt Tragédiedu Roy franearbitre. nouvellementraduite de l'Italien en François, etc.

LaROZE. Pbyej les Jardins DEi'Hymhn.

LaRUEMERCIERE, ou les Maris dup^s, Corn, de Le

Granden unAc.en vers, représentée Lyonen 1654• etimpriméedansle tome premierde (on Théâtre.

LaRUESAINT-DENIS, Com.de Cbammélé en un Ac, •cnpro.donnéele 17 Juin i68i', au ThéâtreFrançois.

LaRUPTUREDU CARNAVAL ETDELAFOLIE, Corn.deFuzelier jen uh.Ac. en pro. mêléede vaudevilles, repréfentéeatj

Thé.Irai, le 6. Juillet. 1719.Quoique cettepièce(bit annoncéet commeune Parodie du Ballet du

Carnaval et DBLAFOLIEil n'y était prefquepas19% RUP [Pièces.] RUSqueftion de cet Opéra. Elle n'a pas été imprimée.

La RUPTUREEMBARRASSANTE.Voyc^ta Jalodsih

SANSAMOUR.

La RUSE D'AMOUR, Com. de Romagneli, en un Ac. enpro, représentée pour la première fois au Thé. Ital. le n

Juin 17 ]6 et non imprimée.la RUSE INUTILE, Com. en un Ac. en vers, par M. Pierre

Roulienu jouée pour la première fois au Théâtre Fran.le 6 Oclobre 1749, et qui n'eut que fept représentations.iLes RUSES D'AMOUR?., Corn. de Poiflon fils, en Ac. envers mife au Théâtre Français le 5o Avril 1756. Cette pièce futgoûtée et applaudie après quelques changemens etretranchemensfaits par fAuceur dans le troisième Afte.les RUSESDEL'AMOUR, oulesRBPENTIFRASVORABLES

Paflu. en un Aâe, par M.Dufour, repréfentéepourlaremiere foisparla grandeTroupedesDanfeursdecorde, a la FoireS. Laurent, le 1 Aoûc17 H.p ABIfJUS. portent ce titre; l'une-deimprimée à Bruxelles en 169j l'autre de Richer: celle-cin'eut que huit représentation! la première, qui fur très-• tumultueufe, (è donna le zg Décemb. I7j4, etilyeuthqiç jours d'intervalle entre la féconde. Cette pièce a ététraduire en Hollandois,

S

Les SABOTS CHANGÉS EN ASTRES Corn, repréfemée»

To.nlouïè eq 17 f Elle est de M. Regagnac.

Le SAC DE CARTHAGE, tragédie en Ac. en pro. par Pugetdelà Serre, , repréftntée à l'hôtel de Bourgogne en !<>•(*<

Voyei Scipion.

t.e SACRIFICE D'ABRAHAM, Tragédie sainte, par un anonyme imprimée à Troyes en itfj7'. Nous avons encore une autre tragédie (bùslce titre, par Pechantré faite pour I?coHege de Harcourt } et"anetroifieme en Ac. en vers, , .par le fl. Pumoret, jouée 4ToulP.*lfe en ?fi?3-

SAG f Pièces.] SAI toi-

I.e SAGE ÉTOURDI Com. par dé Boilry en vers et en

Ades donnée fur le Théâtre Français le 14 Juillet 174J >etquifut représentée fept fois. Cette pièce, dans laquelle il y abeaucoup de bon, avoir déja paru fur le même Théâtrele Mars 174.tous le titre de l'INDÉPENDANT. L'Auteur;.qui l'avait alors retirée après la première représentation, y fit quelques changemens, Se elle auroit dû avoir plus derculfite fous fon nouveau titre.

Le SAGE JALOUX, Tragi-Corn, en pro. par un anonymeimprimée en 1648.

Le SAGE VISIONNAIRE, Com. par un anonyme (J.B,

D. G ) repréfentéé en 1647.

SAINT. Quoique le premier Concile de Milan ait défendude reprélenter la vie et le martyre des Saints cependant'nous avons plusieurs tragédie de Saints et de Saintes, qui Ce.ront ici rapportées en leur rang.

SAINT-ALEXIS', oal'ÏLLusiiiB Olimpbj tragédie par Des.fontaines, en 1644.

SAINT-CHRISTOPHE, tragédie par Chevalet, en 1530..

SAINT-CLÔUD tragédie de Jean Heudon, avec des choeurs, donnée en ij-oj. Cette picce se trouve aufli intitulée Saint-'

Q.O0AUD.

LeSAINT DÉNICHÉ ou la Banqueroute DES Mar-

CNANDSDE MIRACLES, Com. en Ac. en pro. impriméein- j i, en 1 7 3 x ç'est ain6 que la FEMMBDOCTEUR. unefatyre fur les Janféniftes.

SAINT-EUSTACHE. II a a trois tragédie de ce Martyr la première, dé Boiffin de Gallardon donnée en 1618; la leconde, de Bal. Baro, imprimée in-49. en 1639;.la troisièmede Desfontaines, en i 644.

SAINT-GENEST, ou l'ILLUSrRE Comeo«n. Nous avonsdeux Tràg. fur ce sujet; l'une de Desfontaines impriméeen 164j l'autre de R, otrou , qui se trouve dans le premier.vot. du recueil des meilleures pièces anciennes du Théâtrerani. fous le.titré du Véritable Saint-Genest.

SAINT-QERyAIS. 1 y a eu deux tragédie de ce nom la premièreintitulée le' MARTYREDESAINT Gervais donnéepar ïran. Çhevreau, gn 16375 la feconde par Cheffàut,

Prêtre habitue de la parojflç aie S, Gervais Paris, , impù-.filée çn ifjo.t«4 SAI \PiecesA SAI

SAINT-HERMÉNÉGILDE. Il ya deux tragédies fousce titre;l'une d'un anonyme, imprimée à Rouen, fans date l'autrede Des-Iflesle Bas, jouée etimprimée à Caen en 1700, ôt dont le fecondtitre est le Royal MARTYR.

SAINT-JEAN-BAPTISTE. Il y a deux tragédie de ce nom;l'une par un anonyme, en 1j l'autre par MmeBitionde laCoudraye, non repréfentee mais imprimée en 17a;.

On a mis dans le rôle d'Hérodias un monologue du quatrieme

Actede la Bérénice de Racine. Voyc\ la Décola-

TION DE SAINT JBAN.

SAINT-LAURENT; Trac. par Gaucher de Sainte- Marthe, en 1499. Il parut une feconde pièce de ce titre, par un1 anonyme, en ir 16.

SAINT-NICOLAS. Il y a, à ce que l'on prétend, deux Tu.de ce titre données par des anonymes dans le reiziemefiecle. Voyc^ auflî ELECTION ditine de SAINT Nicous.

SAINT-VINCENT, Tra. de BoiffindeGallardon en i

SAINTE-AGNÈS tragédie par Troterel en 1618.

SA1NTE-ALDEGOND7£V, flg.de Jean Ennetieres.donnée en i«4f.

SAINTE-BARBE par un anonyme, en i

SAINTE-CATHERINE. Nous avonscinq tragédie fouscetitre, où fous celui du Martyre DESAINTECatherine.. Lapremière, de Boiffin de Gallardon, donnée en i6i7, etimpriméeen i

La troisième, par Sàiht-Germain, imprimée en 1 6 44 etbonne à être jouée dans les Couvens. La quatrieme, del'Abbé D'Aubignac imprimée en 16 yo et non reptcfentée.

La cinquième attribuée à Desfontaines, en 1fi jo etr peu connue il y a mêmeapparence que c'est la même quela précédente.

SAÎNTE-CLOTILDE. VoytiChcni\.i>*t

SAINTEiJDOROTHÉE. Il y a deux tragédie de ce Mait)f«5l'une en :) Aftesavecdes choeurs, par;Le Ville, etl'autreit Rampale j toutes dèui imprimées en 6 Sa. Voytfio-

SEAT-EiIaNLgIT.ZeAnB*ETAH^*e^*en vers, avecdes-^choeurs, par Le Ville', donnée en 1658, nigis. qu'onnecroit pas imprimée.

SAI [Pièces.] SAL 39f

SAINTE-GENEVIEVTEr, ag.compostevraifemblablementparunReligieuxde cetteMaifon à Paris vers 1440 Cequ'ony trouvemanufcrite.Voye^Geneviève.

SAINTE -MARGUERITE, tragédie par un anonyme, en

SAINTE-REINEIl.y a cinqTra.fouscenom.Lapremiere, (auflîintituléele Chariot DEtriomphe, tiré par deuxaigles, dela glorieufeBergèreSainteReined' Mt^ç KurgeetMartyre) par Millqtet, imprimée en 1664. La teconde, par AlexandreLeGrandd' Argicourten 1671.Latroisième, parClaudeTernet, impriméeen 1 68r fousletitreduMARTYRDEESAINTEREINEd'Ause. La quatrieme, en 5 A£l«, par Blaifebois impriméeà Autun eni6%6.Lacinquièmeenfin par un Religieuxde l'AbbayedeFlavigny, àChâtillon-fur-Seine, imprimée en 1^87eten 1711:(ontitre est le mêmequeceluide la piècede

Tentée.

SAINTE-URSULET, rag.de LeVille, en \6r 8.lesSAINTSAMANS., oule Martyre OESAINTEJUSTINE

ETDESAINTCYPRIENTrag.de BenigneCaillot impriméeen17C0, in-8°.

LesSAISONS.NousavonsdeuxBall.decetitre lepremierefldeBenferide, danfépar LouisXIV. à Fontainebleauen1661 le fécondeftde MmcSaintonge.

LesSaisons ;6meOpéra.C'eftun Bail, -iontles vers (ontdePic, etla musquéde Colatfeetde Lullyl'aîné il futreprefentépour la première foisle 18Octobre16$s eteftimprimepartitionw-4e.Melpomene, Euterpê Clib

Apollonetle fleuvePermetlefont lespcrfonnagesduPro-

Jogue.Lesquatre Saijons fôrment amantd'entrées le• PrintemesftrepréfenteparlesAmoursdeZiphireetFlore, l'Eté*, pcaeruxdeVertumnete Pomone, l'Automneparceuxtf Ariane et Bàcchus., etl'Hiverpar ceuxde BordeetOrithie.

Cet Opéraa déjaété reprisquatre fois en 1700l7°7.>i7Ïi et17*1.. I-esSAUNIERES, ou la PROMENADDEESFossez petiteû»m.de bominique jouée Provinceen 171 jla SAltAÈR'jPaflo.Comi:ou FableBocçagere cn'f'Ac.'tn.vers compô'féepar NicolasRomain furia nâiilance'dtt«j*. SAL [Pizces.] .SAN

Prince de Vaudemone jouée et imprimée à Pont-à-Mouf.

Con, en itfoi.

Le SALMIGONDIS COMIQUE, Corn, en 3 Ac. en profe, par Denis, donnée en 1707. Cette pièce n'a pas été imprimée.

Elle est manufcrite dans la bibliothèque de M.de Noinviile.

SAMSON, tragédie Italienne, tirée de l'Efpagnol, jouée à Paris en 1717 imprimée avec une traduction en proie, par M. Frère t, enfuite traduite avec des augmentations etdes changemens en f Ac. en vers François par Romagnefiet donnée dans cet état pour la première fois fur le

Thé. Ital. le 18 Fcv. 17 )o. Cette pièce en: d'un genre toutnouveau par le mélange du racré et du profane, du tragiqueet du comique et quoiqu'il ne s'y trouve ni régularité, ni vraifemblance, cependant elle eut un (ucccs prodigieux, et on fa donnée long-tems prefque tous les ansdans le Carême.

S amsoh, tragédie lyrique, imprimée pour la première foisen

Avril 17 yo. Cette pièce est de M. de Voltaire elle avoirété mife en partie en mufiq. vers l'an 1732. par M. Rameauniais comme on prétend qu'on ne voulut pas permettrequ'elle fût représentée, ce Muficien ne l'achevapas vet Ce (èrvit d'une partie de fon travail pour l'Opéra de

Zoroastre. Voyt\ audi la Tragédie DE SAMSON.

SAMSQNET. Voye^ le Racoleur.

SANCHO PANÇA. Ce sujet, tiré de fingénieux Roman de

D, Qiùchottt nous a fourni plusieurs Corn, anciennes: laplus connue est celle intitulée le Gouvernement DESANchoen y Ac. en vers donnée par Guerin de fioufcal en6+\, QuatreAuteursmodernesl'ontaufli misfurleThé.

Lepremiereft Dufrény fa pièce étoiten Ac. enpro.maiselle n'a puêtreimpriméedansCesOEuvres fautedepouvoiren retrouverla copieau dépôtdes ComédiFrançoisjellefut donnée, avecpeu de succès le n 7Janvier'1694, etl'onrapporteà fon sujet quecommeà laEndede là piecele Ducdit: Je commenceêtrelas de Sencho;etmotaùjjî3 s'écria quelqu'undu^ Parterre, LefécondAuteurest.Bellavoinefapièceeft enj Ac.etfut jouceavech?a?cgndj>eûccès parla Troupdeela-rveuvMe aurice, SAP [Pièces.) 4.SAT_ i97au mois de Fév. 1707. Le troisième Auteur est Dancourtfa Coméd. fous le titre de Sakcho PANcAGouverneurell en f Ac. en vers, avec un Div. dont la muliquc est de

Gilliers, et elle fut représentée le i s Nov. 17 Il avec peude succès. Dancourt convient dans fa Préface ( tome huitde fes OEuvres), qu'il a mis en ufage quelques mor--cêaur d'une ancienne pièce de Sancho et nous apprendqu'ayant fait lui-même interrompre les reprcfentations defa Comédie, pour y ajouter des nouvelles fcenes, qui enrendoient l'action mieux lice il croyoit avoir lieu de seflater que G on la redonnoit au Public dans l'état où elleest imprimée, il la recevrait avec plus de faveur. Enfin ondonna, le 8 Juillet 1761, fur le Thé. Irai, un Opéra bouffon( c'est le titre fous lequel ont paru fur ce Thé.les nouveaux

Opera-Comi. ), en un Ade en profe et en vaudevilles, intitulé SANCHOPANCADANSSONIsLE, dont les parolesfont de M. Poinlinet le jeune, et la mufique de M.

Philidor. Voyt[ auffflla Bagatelle.

SAPOR, Tra. de Regnârd, non représentée, mais impriméedans le quatrieme vol: de fes

LesSATURNALES ET LE FLEUVE SCAMANDRE, Corn.de Fuzclier, en Ac. en pro. avec un Prolog. et des vaudevilles, jouée deux feules fois au Thé; Ital. à la Foire leszetj Septemb. 17x3. C'était une.Parodie de l'Opéra desîÊtbs GRECQUESETRomaines. On donna enfuite le Prol.decettepièceavec.AgnèsDEChaillot etelle n'a pas étéimprimée.Voyc[les Débris des Saturnales.

IaSATYREDESSATYRES, Com.de Bburfàult en unAc:envers, imprimée tome fécondde fes OEuvres.Il ya dansceccep.etite pièce un perfonnagefous le nom propre del'Auteur qui ta composaen 16 69, pour rendre public fortreflentimentcontre Defpréaux, lequel voyantcette pièceannoncée, affichée et prête â reprclènter obtint un ArrêtduParlementqui la défendit mais il ne put pas, empêcher

Bourfànltd'avoir la permiffionde la faire imprimer ce

ChoitprefquemotpourmotlaComédiede GuerindeBoufcal, où\

Ducouint 'avoitpas changécent'versen tout. les. Comédiemnsi-'tôt endélibératiosn'ilsne lui refuteroienptas fa part d'Auteur;1 ""»!1aproteûiondontun preipiéiGentilhommdes, la Chambrernweroit, lui feuvace defagtemea»..j?8 SAT [Pièces.] 5CA-qu'il fit avec une Préface à la tête, fur la.licence témérairede nommer fans retenue des gens d'efprit et d'honneur:d'ailleurs il n'y a rien dans cette Comédie de diffamantcontre Boileau, et ce n'est qu'une critique modérée dequelques traits de lès Satyres; augi nos deux Auteurs seraccomyoderent-ils dans la fuite.

Les SATYRES CHRÉTIENNES DE LA CUISINE PAPA.

LE. C'est une Farce et un mauvais Libelle imprimé inenif f6o les Acteurs en font M. Friquandouillc Frerc

Thibault, et MM. Nieaife.

Le SAVETIER JOYEUX, Op. Comi. en un Afte, imprimé'én 1719 et non. représente il est de M. Fauchard de

Gi-and-Menil. Pbyeçauflî Blaise.

SAÙL. Ce sujet, tiré de l'Ecriture fainte, a été traité dansquatre tragédie La première, de J ean La Taille de Bondarojr, en ij tfi*. La feconde, avec des choeurs, de Billard de

Courgenay, repréfêntée en 1608 et imprimée en îiiio.

La trpifieme, de Du Ryèr repmèntée en 1 6 5 9 impriméedans le troisième vol. du Théâtre François, et danslaquelle l'ombre de Samuel apparoit à Saül fur la fcene.

La quatrième, de l'AbéNadal, représentée avec un grand• (accèsau commencement du Carême ( le z Fév. ) de l'année1705 et toujours -airez applaudie dans les diverfesteprifèsqu'on en a faites depuis.

Le SAUT DE LEUCADE, Op. Coml. en un AQe, par Fuzelier, donné le ? Juillet 1716 et non imprimé.'Le SAUT DU FOSSÉ. le Fossi DUSCRUPULE.•tés SAUVAGES, Paro. de la Tragédie d'AiziRE donnéeau Thé. Ital. le f Mars 17jfi;, par- les fieurs RomagnefiS

Riccoborii. Elle est en un Acte en vers, et fut aès-

Là SAUVAGESSEou ta FittB'SAuyAGB Op. Comi.en nnÂcfeide Le.Sage et D OrnevaU repréfènté le 7 Juillet17)1. Cette pièce fut faîte au sujet d'une fille ravage'• troaréé en ce tems-là dans un bois près de la Rochelle.

SCAN DERBER.G n *"« Ope. il fut représenté pourla premierefoisle17 Octobre 175;, et est grave en mufique

Vofcl le titre que.porte cette pièce. Sac LE titheux, Tngfrifiàtla Bille, faite filontm.et Unvtdtdts vieux Jiutturt trcpiui.

XCA [Pisces.] SCA J99partitioni/z-+°.Ceft uneTrag.en Ac. etundespremiersouvragesque La Motte ait compotespour l'Académie

Royalede Mufique, mais la dépenfequ'il exigeoitenfitdifférerlesreprélencationsM. M.RebeletFrancotur'furenccependant choifispouren fairela mufique par l'Auteurquinousayantétéenlevéavantd'avoirfait le Prologuede

IonOpéra, etréforméle dernierActe dont il n'était pascontent, La Serre fut chargé d'y fuppléerj ainfile Prologueetlé dernierActefont delui. Le Prologueeft entre

Meipomeie jPolymnie, l'Amour et la Magie. Servandontfitledeflèind'unedécorationpour le cinquièmeAdedecetOpéra, repréfentantune Marquée, d'une riche/Teetd'unemagnificencedont il y a peud'exemples auifiattira-t-elleun fort grand concouts.On n'a pas encorerépriscet Opéra.

SCARAMOUCHE HERMITE, Com.donnéeau mois de

Mai1Û67.Les anciensComédiensIt.al. jouèrent«ettepieceà la Cour, huit.jours après quela Com. du TARtuffeeut été défendue:on rapporteque le Roil'ayantvue, ditqu'ilaurait bienfouhaitéfavoirpourquoilesgensquiCefcandaljfoienftifort duTartufe nedifoientmot decettepièce à quoi le grandPrincede Condérépondità

SaMajeftc, que c'etoieparce que la Comédiede Scardmàttchejouait Je Ciel etla Religion dont ces Meffieursnele fbucioientgueres au lieu que celledehioliere lesjoaoit cox-mèmes ce qu'ilsne pou, oient (ôuffrir.

SCARAMOUCHE ET ARLEQUIN JUIFS

ERRANS DE

BABYLO^JEYCo»?. en Âc. en pro. donnée avec beaucoupde succès fur l'ancien Thé. Irai, au mois de Janvier1677 > et attribuée à l'Auteur des TROMPEURS trompas.

JÇARAMOUCHE' PÉDANT SCRUPULEUX pièce endeux Actespar, épriteaux repré(ëntée par la Troupede

Colet et La Place, le 11 Septembre 1711. Cette pièce, qui est prife d'un cannevas.de l'ancien Thé. Ital. avait paraen pro. dèsla, Foire S. Germain 1707 fous le titre d'AnieqoinEcqusrignorant et avait eu dans ce ten»-, etaui Foires fuiyaates i un fort grand succès mais les Coraédiens

Fraiicois, ayantobtenu: un Arrêt du Confeilquitéduifoit|es Forains à jouer Ma muette etparlemoyenwnÉmneràcecce lait loxelier. Ce400 SCË {Pièces A SCYchargea de retoucherla piecedont nousparlons, etd'rjoindre quelquescoupletsjc'est"de cette façonqu'elleletrouve imprimée.

SCEDAZE, ou l'HospitAuT* VioiJb Trag.de donnéeà l'Hôtelde Hardy, Bourgogneen i6oç, ettiréedePlu.turquedansla rie de Pelopidasi

La SCENFRANÇOISE contenaitt detix tragédiesettroisComédiesa, ccommodéfeusr leshijloiresdenotretems.par Cl. Pontoui en 1/84. Cette pièce n'a pas étéimprimée.

SCÉVOLET, rdg.duDuRyet. Cettepiécéné $tellp:aslàilTéenCevelir fouslapouflîere, commequantitéd'autres, quiméme ont parudepuis elleeut un luccèsprodigieuxdansfa nouveautéà l'Hôtel deBourgogneeh 1 646 etmaigre lesexpredionsfurannéesqui s'y trouvent, ellenelaiflàpasque d'être goûtéedansuneréprifequienfut faiteaumoisde Juillet 1711, etelleeft fur le cataloguedecellesquelesComédiensreprennentdetemsen tems.Lesfentimensélevés et la grandeurRomaine se font fehtlr danscette

Tragédiejc'eftdommagequel'actionprincipaleetlefond•_ dofujetfoitunalTaflinar.Onla tronveimpriméedansletroi/ïemévol. duThéâtreFrancoisï.SCIPION L'AFRICAIN.Troie Trag.portentce titre: lapremière deDefinarets, iêpréfèntéeà l'HôteldeBourgagneen1659.Laféconde, enpro. etquia pourfecondtitre leSACna CARTHAGE, Pduegëtdela Serre, en1641;i; etla rroi/iemé, de.Pradon donnéele il Fév.1697.C'est..la. dernierepièce de cet Auteur, et' elle eut ungrand• filCcèSi-• -' • . • • "'•' /•'

SCYLLA, Trag.impriméedahs la (îràmhiairè etdanslesr OEuvresdiverfesdu'P.Biiffier on attribuecette pieceaúfàmeur P. de LaRue etoh prétend mêmequ'ellefurfurtë pointd'êtrereprésentéefurle Thé. de l'HôteldeBour-> gogne, maiscjù'il s'y oppoÊ/..mifeen mufiquepar Théoba'ldi fepréfentéèpourla premièrefoisle \6 Se'ptemb.1/01 etqui ëft gravéeeninu'•• fiquépartitionin-fv Cet Opéraeft eftimé pourCes bellesr fîmphbnies, etaété repris en 17ib '173i;' Cettederenparut titre du

SCY [Pièces.] SÉL 4°f-

Cele Prolog.croitformé par t'Envie, Apollonetla FrancemaislesrepréfentationsdecePoëmeayantété fufpendues, onlarepritle 10 Décemb.de la mêmeannée 1701 avecdeschangemens, et un nouveauProlog. dialoguéentre

Thctis Mars, etla fuitede Thétis.

ScïLtAtragédie Ope.en 5 Ac.etun Prolog.imprimé à Lilleen1698 in-i°. Cettepieceeftd'un nomméTribolet. illa voulutfaire mettre en mufique par Campra, qui latrouvafi mauvaifequ'il ne voulutpass'en charger, enquoiilfut imité par d'autresMuficiensà qui elle fut préfencéeenfuice.

SCYLLAETGLAUCUSir, onie Opéra repréfentcpour lapremierefoisle 4Oûobre 1 646 etgravépartitionin-fol.

Lesversdecette Trag.fontdeM.Dalbaret, etla mufiquedeM.LeClair.Le fujetduProlog, eftlesPropetideschangéesenpierrespar

Venus, irritéedece qu'ellesnioient(kdivinité.Cettefable analogueà cellede Scylla, est ingénieufemencthoifieetbienécrite.On n'apasencorerepriscetOpéra.

Ilacourudansle mondeil y a plusdequarante-cinqans un

GLAUCdUelS'AbbédeCalcary, misd'abord en mufiq.parunMaîtredeclavecinnomméCuvillier 8c fa mort corligéetajuftcparun habileMaîtreà chanter, maismalgré cesréparationstoujoursrefufé..le SECRETREVELE, Com.de Palaprat, enun Ac.en pro;repréfentépeourla premièrefoisauThéâtre Françaisle ij Sepr.1690, etavecfuccès.L'on prétendque l'Abbé de Brueyasaufri travailléà cette pièce. •5EDECIASoulesJuives Trag.avecdeschoeurs1parRobertGarnier, donnéeen1^83.C'eftfadernierepiece.

SEJANUFSa, voridel'EmpereurTibère, Trag.deMagnôn, -impriméeen 1647 et donnéeà l'Hôtel de Bourgogne l'annéeprécédente.

SELEUCUST, rag.par Montauban, repréfentéeen rtf;i,

SelcucusR, oi de Syrie, était l'épouxde Stratonice etpered'Antiochus.Voyt[les piecesfousle titre de Stra.-tonicé, etcellesfouscelui d'ANTiocHus.

SEdLe IDAURoEu, l'AMANTvEictorieuse Tragl-Comq. ue Beauchamps dit avoir été imprimée en il; 39.lira aapparence que c7eftla même choCeque Cbiidore.40L SEL [Pièces.] SEM

SELIM, tragédie attribuée à Triftan, en 164;.

Le SEMBLABLE à SOI-MÊME. C'est une des trois petites pièces en vers de 1' Ambigu comique de Montfleurr représentée en \6-j j.

SÉMÉLÉ 7 tme Op6. C'est une tragédie en f Ac. dont les vers font de La Motte, et la mufiq. de Marais elle fut répré. rentée pour la première fois le 9 Avril 1 7419 et est gravée partition in-4.0. Comme Bacchus tenoit fa naiflance des amours de Jupiter et de Sémélé, qui font le sujet de ce Poème, le Prolog. est le Triomphe de Bacchus, ou la Bacchanales. On n'a pas encore repris cet Opéra. Le Brun a fait auilî une tragédie de Semblé en f Ac. avec un Prolog. pour être mife en mufique. Elle parut par l'impreflion en 1711.

SÉMIRAMIS. Nous avons cinq Tra. de ce titre. La première est de Desfontaines, et parut au Thé. du Marais en 1657 ou 1647 La feconde, de Gilbert, repréfêntce par la Troupe Royale en 164t. La trbifieme, de Madame de Gomez, représentée trois fois au commencement de Février 171*. La quatrieme de Crebillon, donnée le io Avril 17 17 retirée par l'Auteur après fept représentations et qui se trouve dans le fecond vol. de fes OEuv. La cinquieme enfin, par M.de Voltaire, jouée pour la première fois fur le Thé. Fran. le 18 Août 1748 avec beaucoupde succès : quelques changemens faits par l'Auteur après l'avoir retirée, la firent remettre encore avec éclat à deux différentes fois, eton la revoit couvent. L'ombre de Ninas paroiffant fur le théâtre dans cette pièce, fut une nouveauté qui ne révolta pas tant le Public qu'on l'aurait cru. Yoye; ce sujet

II parut en'i74j une pièce critique et plaifanre, fous le titre de la Petite Skmiramis elle est de M. de Montigni. Ç^miramis, 9 fine Opéra. Le Poème est de M. Roy, et mufiq. de' Deftouches. C'est une tragédie en $•Ac. qui furreprésentée pour la première.fois le 7 Décemb. 1718, est gravée partition in-40. 'Le Prol. en est intitulé VEiif cation d'Hercule Linns Clio, des Faunes et des Dryades, en font les interlocuteurs, On n'a jamais remis cet Opéra au Théâtre.

SENEQUE. Voyez la MORT DE SENEQUE.

LeSERDEAUDESTHÉÂTRES, Com.en un Ac.en pro»'mêléede vaudevilles, par Fuzelier, donnée auThé. Irai.;le 17Fév.172}. C'eftunecritiqueduBanquet DESSEPT

SAGESd, es NocEs DEGAMACHEd, e fOpéra dePuuthoosetde quelquesautrespieces.

LaSERENADE, Corn, en unAc.en pro. avecun Div.jouéeavecfucccslejJuillet 1695. Cette petite pièce est affezdiverriflante5c'eftla premiereque Regnurdait donnéeau

Théâtre Françaiseton la trouve dans le tome fecondde fes(OEuvresL.amufiqueeneft auflide lui, mais elle fut retouchéepar

Gilliers.

LesSERMENSIN DISCRETS Càm.deM.de Marivauxen Ac. en pro. donnéeau Théâtre Françaisle 8 Juin 175t.

Cettepieceéprouvale fortde beaucoupd'autres, c'est-àdirequelapremiererepréfentation'futtrès-tumultueuferpeut-êtreauroit-elleété écoutée plustranquillement, fielleavoitété donnéeunautre jour qu'un Dimanche Sedansl'Eté. Ledéfautqu'on lui trouvadansleshuit repréfentationsfuivantes, fut qu'il y avoirtropd'efcrit etpas affezd'action on voulutla taxer auflidereflemblera la

Sdrprisbde l'Amour mais l'Auteur fait voir le peudefondementde ce dernier reproche, dansla Préfaceimpriméeà la tête de fa pièce, qui a étéreprife depuisavecfuccès, .

SERTORIUS, tragédie de Pierre Corneille, donnée fur le Thé.do Marais le as Fév. 1C61. Cette pièce, dans laquelle ilne Cetrouve ni' partions violentes, ni defcriptions pompeufes, ni récits pathétiques ne laiiTa pas que de plaire Sed'avoir un grand succès par la dignité, la nouveauté descaractères et !a grandeur des intérêts. On prétend que M.de Turenne étant un jour à Sertorius, s'écria à deux outrois endroitspièce

Ou donc Corneille a-t-il apprisl'art de la guémËÊParnafTe Cette pièce fut reraifeen 171 câpres avoir été vingt ans fans être jouée.

On la trouvé^o me quacrieme des OEuvres de Corneille.

La SERVANTDEE SA FILLE, Pan. pantomimeen un

Aile, de laGouvERNANTBp, ar M. Valois d'Orville, donnéeà laFoireS. Germain, au mois de Mars1747.laSERYANTE-JUSTIFIÉBO, p.Comi.d'unÂc.delagan404 SER [Puces.] sicte M. Favart, donné pour la première fois le 19 Mart1740 avec un grand succès.

La SERVANTE MAITRESSE, jolie Paro. ou traductionendeux Aftes de la Serva Padroiui Intermède Irai, donnéepour la première fois au Thé. Ital. le 14 Août 1774, et qui a eu le plus grand succès, ayant été jouée plusdefoixanre fois presque (ans interruption, etremife fouvent:elle est de M. Baurans.

Dès le 4 Octobre 1741$, les Comédiens Ital. avoientdonnécette pièce dans leur langue, eten profe, avecdeuxDivertilTemens.

SESOSTRIS, tragédie par Montfort, imprimée en i6$63Scnon représentée. On attribue une pièce du m2me titre1 Longopierre elle fut, dit-on, donnée deux fois a la 6ndu mois de Décembre 1*9/ et n'a pas été imprimée.Ily a toute apparence que ces deux tragédie ne fontqu'unemême chose.

SETHOS tragédie de M. Tanevot, non repréfentéc maisimpriméeen 17j 9. Le sujet de cette'pièce, qui est fort bonne, est tiré de fhilloire ou du Roman du même nom, del'Abbé Terraflbn.

Les SIBARITES, Opéra en un Ac. dont les parolesfontde

M. Marmontel etla mufiq. de M. Rameau; il futdonnépour la première fois à la Cour, à Fontainebleau, le13 Noverrïb. 1773 etajouté au Ballet des Surprises del'Amour le 1 Juillet 17f7-

La SIBYLLE, Paro. ou imitation du pxéinier ActedesFÊTESd'Euterpe donnée fans grand fucces au Thé.Iral. le il

Octobre 17s 8 par M. Harny elle n'est pas imprimée.

SICHEM, tragédie en 5 Ac.en vers, mêlée de choeurs OdesetChanfons, ettirée dû 14mechap. de la Genefe, parîr.lPerrin:elle parut en 11-89:

SÏÇHEM LE RAVISSEUR, en i f 86 imprimée en 160T0r, aget.pdaefljJ^aHgCLuuhr amleetle, dmosn.néeun Ac. en prQ.repréfentéeà S. dermàiri^eji-Layeaumoisde Janvier 16«7 etfur le Théâtre du Palais Royal, le10

Juin de la mêmeannée. C'est la feule pièce en unActe, de Molière, où il ait de la grâce et de la galanteriesCesautres petites pièces qu'il ne donnoM que commedes

SILd_iCciii

Farces ont un fond plus bouffon Semoins agréable. Elleest dans le troiiîeme vol. de fes OEuvres.

SIDERE Pajlourclle en f Ac. en pro. et en vers, avec deschoeurs par Etien. Bouchée d'Ambillou donnée en 1 609%

Cette pièce est allégorique, et fous les noms de Cléon etde Florilée il était question du Roi Sede la Reine.

SIDNEY, Com. de M. Greflèt en vers et en Ac. donnéeau Théâtre Français le Mai 1745. Cette pièce, malgré le fublimequ'on y trouve, et fa verfifîcation coulante et châtiée, n'eut pas à Paris tout le (iiccès qu'elle eût pu avoir à

Londres; le héros de la pièce étant un Seigneur Angloisdégoûté de la vie et qui veut y renoncer volontairement.

La SI DONIE, Tragi-Corn, par Mairet iep refentée enet imprimée en 1 tf 43.

LeSIEGE DE CITHERE, Op. Comi. en un Ac. donné lepremier Juillet 1743.

LeSIEGE DE GRENADE, cannevas irai, mêlé defcenes

Fran, avec des Div. par la Dame Riccoboni, donné à fon

Thé. le i Janv. i7+f. Le sujet de cette pièce héroï-comi.est de l'invention de Scapin.

LesSIFFLETS, Prolog. en vers libres du Grondeur reprétentéle 3 Fév. i6yi.ll fut compofé par Palaprat.

SIGISMOND, Duc de VARSAU tragédie de Gillet, en 1*46..

SILENE, Paflo. Comi. en Ac. en vers, par un anonymerepréfentee en 1^13 et imprimée en itfi;.

SILANUS, tragédie par De Prades, en 1649. ( Voye^ la VICTIMEd'Etat). De Beauchamps attribue une tragédie dunitme titte à l'Abbé Abeille..

LeSILPHE, Cora. de M. de Saint-Foix, en, un Ac. en pro. très-bien écrite elle fut repréfentee pour la ptemiere fois w Thé. Ital. le 5 Pév. 174 } eteut un grand succès.

LeSiiPHB, Opéra. Vbyt{ Zbiindor.

le SILPHE, SUPPOSE, Op. Couii. en un Ac. donné le i* Septem.. 173g par M. Pannard et Fagan, et remis lei Mars 1743 avec des changemens, par M. Pannard, etla fupprelfion de quelques traits critiques fur.des piècesjouéesen 173.0, 3; qui n'étaient plus de faifon. GetOp»

Comi. n'a. été-imprimé que dans les (Euv. de Fagan.laSItPHlDEj.Cçm, en.un.Acen pro. Mec unDiverc.pai'4o

la SILVANIRE ou la MORTE vive, tragi-comédie en 4 actes avec un prologue et des choeurs, par Mairet, représentée à l'Hôtel de Bourgogne en ifitf et imprimée en itfji.

C'est cette pièce qui a pour ainsi dire, ouvert le chemin aux ouvrages réguliers. D'Urfé avait aussi compofé une fable boccagère sur ce sujet et sous ce titre elle fut imprimée à Paris en 16x7 in-8°. et est en vers libres et sans rimes.

La SILVIE, tragi-comédie pastorale donnée à l'Hôtel de Bourgogne en 1611 et imprimée en 1617. C'est le premier fruit de la jeunesse de Mairet, et une des premieres pièces qui mirent le Théâtre en réputation, étant très bien faite pour le temps.

SILVIE, tragédie bourgeoise, en un acte en prose avec un prologue donnée au Théâtre Français le 17 Août 1741. Cette pièce, qui est prise des Illustres Françaises, n'eut que deux reprédentations et l'Auteur en garda l'anonyme. Voyez SYLVIE.

le SINCERE A CONTRE-TEMPS, comédie en un acte en vers, par le sieur Lelio fils, donnée à son théâtre le 10 Novembre 1717.

C'est la traduction d'une pièce Italienne du même titre que le père de cet acteur avait fait représenter le z Octobre 1717. Elle n'est pas imprimée.

les SINCERES, comédie en un acte en prose avec un divertissement par M. de Marivaux, représentée pour la première fois sur le Théâtre Italein, le XXX Janv. 1759.

Les SINCERES MALGRÉ EUX, Op. Comi. donné le t8 Juillet 1733 par Fuzelier, et non imprimé.

SINORIS Fus DE Tamirlan tragédie par le P. Badon représentée au coUege des Jéfaites à Touloufe, et impriméeeni7jtf.

SIROP-ÂU-CU, ou I'Hédreose DÉLIVRANCE, tragédie burlesque, imprimée en 1774 et attribuée à Grandval fils.

SIR POLITIKC WOULD-BE, Com. Françoife en s Ac. en , pro. à la maniere des Anglois, par Saint-Evremond. Cette pièce fut imprimée dès 1701, et se trouve dans le second volume de la dernière édition des OEuvres de Saint-Evremond ; on prétend que le Duc de Buckingham et M. d'Aubigni ont eu beaucoup de part à cette Comédie.

SOCRATE, rameen r Ac. en pro. par M. deVoltaire, impriméen 1761 dansle dix-huitièmevol.defes (OEuv. del'éditionde Geneve in-8°.

LaSOEURGENEREUSE.Il y a troispiecesde ce titre la premiereeft uneCom.en 1 Ac.en vers, donnéepar Rotrou, en 1645 la feconde, attribuéeà un anonyme qui marquefon nom par ces deux lettres, O. B, etparue, dit-on en 1 646 la troifiemeeft une Tragi-Com.de Cl.

Bo*erimpriméeen 1647.Cesdeuxdernièrespiècespourroientbienn'êtrequ'unemêmechofe.laSOEURRIDICULE, Corn, deMontfleury jouéeen1673, etremifeauThé. le premierOctobre avecun Prologueenvers, intitulé la Rejfourccet le Caprice, parl'AbbéLe Mafcrier.Cettepièceformelesquatre demie»

Adesde la Comédiedu ComédienPou-su.ta SOEUVRALEUREUSE, ouVAveogibAMANT)]T! ragi-

Comd.eMaréchal donnéeen 163j

LesSOEURSJALOUSES, ou I'Echarph et ie Bracelet

Com. en i Actesen vers, parLambert jouéeà l'Hôtel de'

Bourgogneen 16j 8 elleeft tiréede l'Efpagnol.

Les RIVALES, Com.en un Ac.jouéecinq foisaumoisdeJuillet 1696 auThéâtre Françaisetqui n'a pasétéimprimée.

On n'en connoîtpointl'Auteur.

LesSOEURRISVALECSome. nun Actemêléed'Ariettes, donnéeauThé.

Ital.pour la premierefoisle tz Juillet 1761etquia eu dufuccès.Lesparolesen (ontde M.de La Ribardiere, etla mufiquedeM.DefbrolTes.

LaSOIRÉEDES BOULEVARDS, Corn, en un Ac. avecdesfcenesépifodiques, donnéeau Thé. Ital. par M. Favart, etplufieursautresAuteurs, le 14 Novembre 17;$.

Ellea eu beaucoupde succès, et on y ajouta des fcenesnouvellesle 9 Mai1760 lors de l'ouverturequecesComédiensfirentdu

Thé. qu'ilsavoientlouéfur le rempart, pendant qu'on travailloitau leur.

LesSOIRÉESD'ÉTÉ, Corn, en Ac. par Barbier , repréfenteeà

Lyonle 4 Ofto; 17ïo. Lestroispremieresfcenes fontenvers, etle refle en profe. LeSOLDATMAGICIEN, Op. Comi.donne le 14 Août>7

M. Philidor. C'est le même(uret quele BorrSoldat.le SOLDATPOLTRON, ouleSOLDAMTALGRLÉUI, Com.en unAc.en vers de huit, fyllabes, , donnée par un anonyme, auThé. du Maraisen 1 668.On la croit de Rolimondd'autrest'attribuentà Chevalier. Cettepieceaaufliété impriméefousle titredu SOLDAMTALGRLÉUI.le SOLEILVAINQUEURDESNUAGESDiveniff, allé.goriquefur le rétabliffementde la tante du Roi, repréfentéfurle Thé. de l'Ope, avecpeudefuccès, le 11 Oftobre171t. Les vers font de M.Bordes, etla mufiquede

Clerembaut.

SOLIMAN, EmpereurdesTurcs.Outrela piecede Soumandu ComteBonurelli, traduite etimitéeen partiepar

Dalibrayen 1 637 nousavonsquatreTrag.fouscenom.

Lapremiere, par Mairet, donnéepar laTroupeRoyale, en 1f j o etqui Cetrouveimpriméedansle fecondvol.du

Recueildesmeilleurespiecesde chéatredesAuteursanciens, fousle titre de Soliman, ou la MORTde Mestapha.

Lafeconde, par Jacquelin, donnéeen 1651, et'lui a pour feetmd titre {'Esclave généreuse. La troiterne, attribuée a Gillec en 1 £4 La quatrième, quifut jouée au Thé. de Guénégaud, le n Octobre 1 680parut fous le nom de La Thuillerie, quoiqu'elle fflf véritablementde l'Abbé Abeille. Fbyei aufll la RHODIENNE, etlaS0LTÂNB.

SOLIMAN SECOND, ou les Sultanes Com. en Ac.envers, par M. Favart donnée pour la première fois au Thé.lial. le 9 Avril 1761 et qui eut beaucoup de succès. Lefuj et en est pris du joli conte de M. Marmontel, du mémotitre.

Le SOMNANBULE, Cotn. en un Ac. en pro. par un anonyme, donnée au Théâtre Français le 19 Janv. 1735.le SONQEAGRÉABLEou le Rêve de l'Amour, PieceenunAete, par un-anonyme, repréfentéeaux Marionnettes, à la FoireS. Laurent173j, etnonimprimée.les SONGES, Op.Comijenun Ac.de feenes épifodiques, '.donne le 30Mars 1716, par Fuzelier, et nonimprime.

Ony critiquoitplufieurspiecesnouvelles.

Les SONGESDESHOMMESÉVEILLÉS, Com.deBrolfcle jeune, repréfentéeet imprimée en 1646.Elleeften5 Actesen vers.

SOP [Piecss.] SOP 409

SOPHIEET SIGISMOND, Op. Comi.en un ABe, de Le

SageetD'Orneval, représenté le 7 Juillet 175*.

SOPHONISBE.Nous avons fept Trag.de cette Reine de

Numidi;. La première en pro. et les choeurs en vers deplufieursmefures, par Melin de Sainr-Gelais, imprimée à Parisen 160. La féconde en vers, par Mcrmet repré-{entéeen i $85 , etimprimée à Lyon en ij8fjces deuxpremièresfont la traduction d'une Sophonisbe Italiennedonnéepar Je. Georges Triffino, à Florenceen i f 16 etn'ont d'autre diftindibn d'Actes que par des paufes. Latroisième avecdes choeurs, en i f 9 6, par Montchrétien, quila redonna enfuite avec des changemens, fousle titredelàCARTHAGINOISLBa.quatrieme, de Nic. Moncreux, impriméeà Rouenen 16o1 La s mede Mairet donnée en

Kz? imprimée en 163r etqui eut un succès, merveilleux, environ trente ans avant celle de Corneille cependanton la jouoit encore de fon tems etquelques-unsmêmela préféroient à la tienne. Cette Sophonisbe de

Mairetfut la première pièce où la règle des vingt-quatreheuresfur obfervée; et comme il falloit, dk-on, -faireagréer ce changement aux Comédiens, qui impofoientalorsla loi aux Auteurs le Comte de Fiefquefe chargea deleuren parler; il communiqua leur confentement à Maiîetqui fit fa tragédie renfermée dans cet efpace de temsellefe trouve imprimée dans le fecond vol. du Théâtre

Franfois, ou Recueildes meilleures pièces de théâtre desanciensAuteurs.lafijieme tragédie de Sophonisbe est de Pierre Corneille, 8çonla trouve tome fixieme de fes OEuv.il la préféroit à laplupartde.fes autres pièces; cependantles reprefeatationsqui en furent données à l'Hôtel de Bourgogne dans lanouveautéau mois de Janvier 166j eurent peu de succèsetlui auroient fait perdre. fa. réputation, s'il eûtétépof-

Gblequ'il ta perdît. L'anonyme qui donna des remarques, critiques fur cette pièce de Corneille, est l'Abbéd'Aubignac.i Saint-Evremonden porta Un jugement plusfavorablè.'

Enûnla feptieme Sophonisbe est de M. de La Grange-

Chancel;elle n'est point imprimée et ne fut jouée quequatrefois, la première le. 1.0Novembre.i7.i6. On peut[PIECES.] SOUconfulter à Confujet le Mercure du mois de Janvier 1717,

SOPHRONIE, tragédie tirée du Taffe, par un anonyme, primée à Troyes en 1619, in- 8°. Cette pièce est rare: il y en a aulfiune éditionin- iz, fansdate, faitei

Rouen.

LesSOSIES, Com.en 1 Ac.en vers, parRotrou, mée impri- in-4*à. Paris, au moisde Juin1638.Cefujeteil tiré deYAmphitriodnePlaute.

SOTISE, à huitperfonnagespar leariMichel, en ijoS.

CeftvraisemblablemuenetdespieceqsuerepréfentoientlePrincedesrotsetfesSuppôts. LeSOTTOUJOURSOT.JWrçlaForceDUSANG.

LeSOTVENGÉ. Voyt^LoBIN..

LaSOUBRETTEC, ome.n; Ac.enpro.pardeBeauchamps, représentéaeuThé.Ital.le14Novem.17x1 etnonimprincequoiqu'ellaeiteudufuccès.

Le SOUFFLEUR, ou le Palais DB LA Fortune Op. COmi.en un Ac. donné le 14Septembre 1758, par Carolet, etnon imprimé.

Les SOUFFLEURS, Com. de Chilliac, deftince pour l'ancien

Thé. ital. où cependant elle ne fut pas jouée, quoiqu'ils.primée.

Les SOUHAITS. Nous avons trois Com. fous ce fimpletitrela première en 3 Ac. en pro. avec des fcenes italiennes, par De Lofme de Montchenay jouée le 30 Décembre169 3 fur l'ancien Thé. Ital. ou elle eut du ïucecs, mais moins que fon Phénix dont cette pièce avait lesmêmes traits. La feconde, de Regnard, en un Ac. envers imprimée dans le dernier vol. de fes OEuvres etlatroisième, en un Ac. en pro. par M^e D. jouée à lacampagne en focicté bourgeoife en 17 41 etimpriméel'année fuivante.

Les SOUHAITS D'AMOUR, Pajlo. allégorique, par Du

Souhaita donnée en r 99.

Les SOUHAITS POUR LE ROI, Corn. en on Ac. en vers, par MM. Dubois et Valois d'Orville, donnée fans succèsau Théâtre Français le 30 Août 174;, et dédiée à Monfeigneurle Dauphin. On trouva fort ridicule dans cette pièce que

Thémis s'ingérât de vouloir donner de la valeur.les SOUPÇONS SUR LES APPARENCES, Corn, hEroïque

SOU [Pièces.] ] STI 41en Ac. en vera, attribuée a Douville et donnée en

Kjo.leSOUPÉMALAPPRÊTE, Corn, de Hauteroche, en un

Acteenvers, donnéeà l'Hôtel deBourgogne, aumoisde

Juillet16*9.,

LeSOUPER$om. en ) Ac. en pro.par un anonyme, donnéeune(ètUfrïoisan Théâtre Françaisle 8 Juillet 17x4- Ellen'ellpasimprimée.

LeSOURD, Com.en un Ac en vers de huit fyllabes, par

Defmaretds, onnéeen 16 9 ellen'eftpasimprimée maisfetrouvemanufcritedansla BibliothèqueduRoi.

SPARTACUTSr, ag.deM. Saurin, donnéepourlapremierefoislezoFév.i76o, etremifelezi Avril, avecdeschanlesSPECTACLES

MALADES, Prolog.ou Op.Comi.donnélex9Août1719 par LeSageetD'Orneval.

SIATIRAfil, le de Dariuset veuved'Alexandre, Trag.de

Pradonrepréfentéeà l'Hôtel de Bourgogne, au moisde

Dccemb. 1 67$.ÎTATIRA, oule MARIAGE d'Orondate, Tragi-Com. donnéeparMagnonen 1 648.

LaSTATUECorn, en un Ac.en pro. parM.le Chevalierde

Laurés, repréfentéeau châteaudeBerni, pour l'amufementdeMonfeigneurle

Comte les x4et

Aoû1t 7si- Ellen'est pasimprimée. laSTATUEMERVEILLEUSE, Op. Comi.en Ac.de Le

SageetD'Orneval, donné à la FoireS. Laurent1710. IIaetéretouchéparM.F. etredonnéen Septemb.17/1, fousletitreduMIROIRMAGIQUF.leSagelefilsavoitdéjaretravailléà cette pièce, et l'avoirfaitjonerenProvince fousle nom de Miroirfans fard, ouMiroirviridique..

STILICONTrag.deThomasCorneille, repréfentéeavec

Ungrandfuccèsfurle Thé. de l'Hôtel de Bourgogne, le27Janvier1660. Tout le monde connoîtl'hiftoire des.

St'dkon, quiméritapar feslongsfervicesquel'Empereur

Théodofele laifsât pour tuteurà Honoriut, qui devintdepuisCongendre; maisqui oubliantfon devoir, voulutparunetendreflèinconfidéréeplacerConfilsfur le Tiônei41 STR [Pièces.] SUB

Corneille dédiacettetragédie au CardinalMazarin.ElfeTetrouve dansle fecondvol.de Ces(OEuvres.

LesSTRATAGEMESDEL'AMOUR, loymeOpéra.C'cftun Ball, en troisentrées, dont lesversfontde M.Roy, etla muriq.de Deflouches il est imprimc.partitionin-f.

La premièrerepréfentations'en donnalâletMars 17:6, etil difparut après la troisième: cependant Fuzclicret-

D'Ornevalen firentparoîtreau moisd'AvriluneParo.en3 Ac.fousle même titre, aux Marionnettesde Bienfait:elle n'a pas été imprimée. Le Prolog. de ce Ballet, faitpour le mariagede LeursMaj eftes repréfentele de temple la Gloire;le Roiy est placéau milieu de Cespluscé.lebres la etle Prêtrede la Gloire, avecdeuxBergers en font lesinterlocuteurs.Lapremièreentréeeft intituléele Scamandre;la feconde, les Abàkrites; etla troilieme, la Fête, dePhilotis.

Il.y a un excellentOpéraItaliendesStratagêmesdel'amour, compoféen 1658 par tordre duCardinaldeMédicisi, ldont lesComédiensItaliensont prisle cannevasqu'ilsontjoué avec un grand fuccèsen 1716(Vbye^l'articlefuivant), etenfuiteen 1746 fousle titre d'ArlequinBohimienneeten 1748 fouscelui desnouveauxStratagèmesde l'Amour.les Stratagèmes DEL'AMOURC, orn, en 3 Ac.en verslibresavec unProlog.etunDiv.parM.de Caftera, reprc.fentéèauThé.Ital.îe 8 Août 1739. C'est le mêmefujerd'une pieceItal. dumêmetitre donnéeparRiccobonleipère, le 16 Novembre 1716.

La STRATONICE, tragédie de Fayot, en 16J7. Il y aaujliune Tragi-Com.fousce fimpletitre, par Quinault, mileau Thé. de l'Hôtel de Bourgognele z Janvier 1660, etune Trag.nouveile par M. Peyraud de Beauflbl iiripriméein-8°. au commencement de l'année 1776 a la.'Haye.

STRATONICE ouleMALADDE'AMOURC, o/n.deBroflelejeunedonnée avecpeude fueccesen 1 £44.VoyetSbiw-

COSANTlftcHDSlesJEUXOlYMPICOEetSlfrTRJOMPHK

DBSCINÇt PASSIONS,

La^SUBTILITÉ DE FANFERLUCHE- ET DE GAUDISUF[Pièces.} SUP 41 j

CHON, Tragi-Com.en p Ac.en vers: cette pièce est d'unanonyme, et a été imprimée à Rouen, fans date, in-i".

Onconjectureque c'est versfan 1 610.

LeSUFFISANT ou le Petit-Maître DOPÉ, Op. Comî.enun Acte tout en vaudevilles, par Vadé, donné avec ungrandfuccès, à la Foire S. Germain le i; Mars 17/3.

La SUITEDES COMÉDIENS ESCLAVES, Prologue destroispieces fuivantes l'AMANTA LAMODBArlequin

Hdlla etla Revue DESThéâtres, représenté le premierMars1718. Il n'est point imprimé: maison en peutvoirl'argument dans le premier vol. du Nouveau Théâtre

Italien.

LaSUIVANTE, Com. de Pierre Corneille donnée à l'Hôtelde

Bourgogne en 1634: c'est fa cinquième pièce elleeftallez régulière , ~encomparaifon des précédentes. L'Auteury a obfervé une fingularité, c'est qu'il s'est aflujetti àen faire les cinq Aftes 6 égaux, qu'il n'y en a pas un quiait un vers plus que l'autre. Voye\ l'Examen de cettepièce, qui se trouve dans le premier vol. des (OEuv. de

Corheille.

LaSUIVANTE DÉSINTÉRESSÉE, Com. en un Ac. en pro.avecun Prolog. par M. Audierne donnée une feule fois àla Comédie Fran. avec la Méprise et le MARIÉ ÉGARÉ, le 1 Novem. 1759 etqui n'a pas été imprimée.

LaSUIVANTEGENEREUSE Com.en Ac. en vers, imitéedeGoldonidonnéeau Théâtre Français le z Mai 1 75? etquin'eutpasdé succès.laSULTANE, tragédie de Gab. Bounin, imprimée i/2-40.enif Si tirée de l'hiftoire de Soliman. Les vraifemblancesfontfipeu obfervéesdans cette pïece, que les Turcs y jurentle par Jupiter.. SUPERSTITIEUX. Il y a .eu deuxCom.de ce titre; lapremière de Dufrény, en s Aft. non entièrement achevéeetbrûléeà fa mortj l'autre de Romagnefi en Ac.enverslibres, donnéepour la première fois auThé. Irai, leMars 174©, interrompue à la deuxieme reprcfentationparlamaladie d'un Afteur, etremife.le 19 Novem.fuivantE. llen'a point été imprimée. On a prétendu que cettepièceavoit été conipofée en profe, par M. PernnetqueRomagnefine fic que la mettreen yers agrès quel4t+

SUP [Puces.] SURqueschangemens quoi qu'il en foie c croitun foible et découfu, et ouvrage qui ne se foutientque par desdé.tails plaifansetun ftvlealTezbon.

LesSUPPOSÉS Cum.de Loys Ariofto traduiteenproff

Françoife, par DeMefmes impriméeen i ;jz.

SURENA Trag.de PierreCorneille, donnée à l'Hôtelde

Bourgognele 14 Décem.1674 et qui se trouvedanslecinquièmevol.de fesQEuv. Cefujeteft tiré dePlutargue, en la viede Craffus, et à'Appian Alexandrin.L'onvoitdans cetteTragédieune bellepeinture d'un hommeque fon trop de mériteet de grandsfervicesrendentcriminelauprès de fon maître. C'est la dernierepiecedu grand

Corneille qui, felonla réflexiond'un Auceur, pouravoirmis leThéâtre Françaisau-deifusdespluscélebresdel'antiquité, n'en a tiré d'autreavantagequ'unemémoireetuneréputationimmortelle.

La SURPRISEDELAHAINE, Com.de Boifly, enAc, en vers, avecunDivertiflèment, repréfentéepourlapremierefoisauThé. Irai, le 1o Février1734 etreçuetrèsfavorablement.

LaSURPRISEDEL'AMOUR.M. de Marivauxa faitdeur

Com, fouscetitre eten 3 Ac.en profe la première, avecun Divert.donnéeauThé. Irai. le Mai 1711 etquieltune des plus joliespiècesqui aient para fur ceThéâtrela feconde, reprélêntceauxFrançois, le dernierjourdel'année 1717, maisqui reçutun peu moinsd'accueqiluefonaînée; onla revoiepourtant de rems en remsavecplaifir. Vbye^auflîlesENSORCELÉS.

La SURPRISEDESAMANS.Voye^la Rencontxï imprévue.

Les SURPRISES DE L'AMOUR, ^^1.™t Opéra. C'ell un

Ball. formé de Actes .réparés, intitulés l'ENLEVEMENT

D'ADONIS la LYRE enchantée et ANACRÉON, dont lesparoles font de M. Bernard; et la mufique de M. Rameau.

La première représentation s'en donna par l'Andemie

Royale de Mufique le i Mai 175-7.les deux premiers Aftes avoient déja paru en 174* à la

Cour, fur le Théâtre des petits Appartenons } niaison< ci fait des changemens allez confiderables.le 11 juillet on retrancha l'Acte de la Zyre tnchants'e, et<>n

SUZ [Pièces.] SYL 41mitàCaplace celui des SIBARITESL.'Acte à'Anacrion futparodiéà la Comédie Ital, fous le titre de la Petite

MAISON.

CetOpéra est la première pièce nouvelle que MM. Rebelet Francoeur ayent fait repréfenter depuis qu'ils ont ladirection de ce Spectacle, la Ville la leur ayant cedéepour trente ans, à commencer du premier Avril 17 jj.

SUZANNE. Il y a deux anciennes tragédie fous ce feul titre

Ja première, par Le Devin, représentée en 1J70 et qu'onnecroitpas imprimée la feconde, par Oriet impriméeen if8r. -

SUZANNE ou la Chasteté, tragédie en 5 Ac. en vers, avecdeschoeurs par Antoine Montchrétien donnée en 1617.

Ilyaauffi une Suzanne deDuchat. Voyei les RecherchesdesThéatres.le SYLPHE. Voyer. SILPHE.

SYLVANIRE, ou les AMANS RÉUNIS, Pajlo. héroïq. en3Ac. etun Prolog. représentée à Valenciennes, par une

Sociétéd'amis, le r Janvier 1 7 1 7 et imprimée in- 8°. à

Mons, lamême année. les paroles en fonc du lieur Macortet la mufique du fieur Ponchelez. Voyeç S ylvanirh.

SYLVIE, Opéra Ballet en Ac. et un Prol. représenté devantleRoi à Verfailles, fur le Thé. des petits Appartemens, le16Février 1749. Les paroles en font de M. Laujon, et ila été mis en mufique par M. de La Garde. On le trouvedansle troiueme vol. du Théâtre des petits Appartement.

T

LpeaMTrlAe.BBaLrdDoEeBnELAiAeCUlfOiemUldCpR, roi, eermnnn1Aé.7ec3;e. nprofe, LTeABLDEUMAAURIOApGC.Eoemnui.nAce.npro. FetoeSiarG.veearamddaeaeuLvminieSlo, ladeigseetsFeFéuvzr1ie17elr6rieepr, réfàelanté lelisbTraAevsBue, cnLDCEidovAdom. eUnM.npXP.éoa, eulnaprnreaenrmudnf, Aioèciares.eunTvehrés. Itaalv.feuccclèe1s8, Septem17b4r7e. TAILLrEaByeR^AleSB.RAYS..p6 TAL [Pièces.] TAM

Les TALENS A LA MODE, Corn.en 3 Ac. en vers libres, avec un Div. par Boilly repréfcntéepour la premièrefoisau Théâtre Ital. le 17 Septem. 1739, etreçue très-favo-

Tablement.

Les TALENSCOMIQUES Op. Comi.d'un Ac. donné le8 Juillet 1739 par M. Pannard. C'est une efpecede Parodiedes Talens lyriques. Il n'a pas été imprimé. M.

Valois d'Orville donna le 10 Août 1747 fur le même

Théâtre, une nouvelle Parodie pantomime de cet Opéra, auffifousle titre des TALENSCOMIQUES.

LesTALENS DÉPLACÉS, Com.de Guyot de Merville, enun Ac.en vers, avec un Div. donnée fur le The.Ital. le ij

Août 1 744 avec succès. •$

LesTALENS INUTILES, Com.en un Ac. en vers, parM,

Radonvilliers, représentée à Paris au college des Jéfuites, le premier Juin 1740. C'est une critique des moeursdehjeuneIle.

Les TALENSLYRIQUES. Foycçlesîêtes d'Hebé.

TALESTRIS, REINEDESAmazones, tragédie de Le Noble, imprimée en t7c7. Cette pièce fut lue trois fois auxComédiens

Fran. qui finirent, dit-on, par la refufer.

Le TALISMAN. Voyt^ I'ïtaue GALANTE.

Le TAMBOUR NOCTURNE, ow le MARI Devin, Com^

Angloife à'AddiJfon traduite et accommodée au Théâtre

Fran. par Nericault Deftouches elle est en f .Ac. en pro.et n'a été représentée à Paris pour la première fois que lei S OetOD.1761 avec des changemens faits par M. Bellecour, mais elle avoir paru par la voie de l'imprefton dès1736. Vbye{ la Prétendue VEUVE.

TAMERLAN ou la Moxr DEBajazbt, tragédie de Pradon, donnée à l'Hôtel de Bourgogne en 1 676 c'est la fécondepièce de cet Auteur, ets'il l'en faut croire, elle eut lebonheur de plaire au Roi et à la Cour et fut très-applau-• die cependant des Auteurs contemporains nous appren-., gent qu'elle tomba promptement, tant à caufe de les propresdéfauts que par le mérite de la tragédie de Bajazet de Racine. Magnon avait traité auflî ce sujet en i<>4'5» • pièce est intitulée le GRAND TAMERLAN, et reflfembléallez acellede Porps, de.Boyer; On la retrouve aumdans

I.

TANCREDE,

TANCREDE', r7me Opéra. C'est une tragédie en Ac. de Danchet, mifè en mufiq. par Campra, représentée pour la'premierefois le 7 Novem. 170» et imprimée en mufiq.partitionin-+'. Un fage Enchanteur la Paixetleur fuiteformentleProlog. Le sujet du Poëme est tiré de l'hifloirede Godefroy de Bouillon, dont Tancrtde était un des

Générauxd'armée.

CetOpéra, qui e(t un des plus beaux de ceux donnés depuis

Lully, a été repris cinq.fois (en 1707, 1717, 1719, 1738 17/0 ) avec deschangemens, etparodié, lors delatroiueme de ces reprifes à la Comédie Ital. par Dominique, fousle titre cI'Arlequin Tancrede, le il Mai»1719 età l'Op. Comi. le 10 du même mois, fous celuide Pierrot Tancredh.

Tjincrede tragédie de "Mvde Voltaire en y Ac. en vers croififsreprésentée par les Comédiens Fran. le Septembre1760 et reprise le 16 Janvier 176 1. Elle a été parodiéefous le même titre et fous celui de QUAND parlera-

T-EUE?

TANCREDE JUGÉ. PAR SES SOEURS ( les Tragédies de

Voltaire), Com. en pro. par M. Cailleau, impnméein-ra.en 1760. C'est une critique de la pièce précédente.

La TANTERIVALE Op. Comi. en deux Aftes, donné fansfucccsen Fév. 1719 par MM. Pannard et Thierry. Voyc^l'AMANTmusicien.la TARENTOLE Corn.Bail, compofee par Malézieu, pourles Div. de Mme la.Ducheffe du Maine: elle fut jouée à

Clagny dans lé:mois de Fév. 1706. Le chant et la danfenaillent naturellement du sujet Mathau en fit les, airs, Se

Ballon les Ballets, ^TARENTULE Com. d'un Ac. en pro. avec un Div: par

M. de C. donnée au Théâtre Français le Novem. 174;, etqui n'eut que deux représentations. Elle n'est pas imp'ri-^mée.On l'attribue auflî à M. Martel..

TAQUIN tragédie attribuée à Pierre. Du Ryer fous l'année.*tf6 et qui, à de qu'on prétend , 'n'a pas été imprimée.

Ondit auffiPradon Auteur d'une Tragéd. du même titre, jouée quatre fois au.mois de Janvier 16 Si, et qui n'a pas-non plus imprimée.: Ce même.sujet a été traité fous lé«trede Brutos et fous, çelui.de;LDCRECE.ai -TAPI* [Pièces.] TAR

TARSIS ET ZELIE, nome Opé. C'est une tragédie en r Atidonc les vers font de La Serre et la muGq. de MM. Rebelet Francoeur. La première représentation s'en donna le-le

Octobre 1718, et elle est imprimée en mufiq. partitionût-j. Deux Génies, l'un bienfaifànt, et l'autre malfai.fanc, forment le Prolog. Le sujet de la pièce est tiré d'fun

Roman en fix volumes in-ï°: qui porte le même titre, par

Le Vayer de Boucigny, Maître des Requêtes. Quoique lecinquième Ac. de cet Opéra eût été refait pour déférer auxavis du Public, cependant il n'eut pas un succès bien brillant, et on ne l'a pas encore ternis.

Le TARTUFFE, ou l'IMPOSTEUR., Coin, en Acres en vers, par Moliere, imprimée tome cinquième de fes OEuv. Lestrois premiers Aôes de cet admirable ouvrage furent te.préfentés à Vérfàilles devant le Roi, le 11 Mai 1664; enfuiteétant totalement achevé, il fut joué le 19 Novem.de la m2me année à Raincy, devant le Grand Condé. Deslors les faux dévots ayant commencé à s'élever contre cettepièce, Moliere crut devoir IailTer ces premières fureurs secalinèr avant que de la donner au Public et au bout detrois ans ayant obtenu une permiflion verbale du Rui delajouer, la première reprefentation s'en donna à Paris, fur

Jë-Théâtre du Palais Royal le y Août 1667; fous le titredé I'Imposteor. Le lendemain elle fat défendue par hf.le Prémier-Préfidenc du Parlement, jufqu'à nouvel ordrede Sa Majeftc enfin la permiffion de la répréfenter indéfinitrientayant été accordée le 5 Fév. 1669 des le mêmei jour elle parut avec Quelques corrections dans la pièce, même dans les décorations et les habits, et fut reprefenteetrois mois de fuite. Les Comédiens, camarades de Molière, voulurent qu'il eût" toute fa vie deux parts dans legain de la Troupe toutes lés fbis qu'on jouerait cette pièce.

Quelques-uns prétendent que le canevas du Tartuffefuidonné à Moliere par Chàpellé; »ettitre famille de Parisfevante de pofféclet'ée eattèvas, écrit «çratUté de la mainmême de <3faàçellë quoi qu'il en (bit plus de cent ansauparavant oh jôubit fur les Théâtres d'Italie la Comé-"" 'aftions etrfes principaux accours du rtf^a/feidontlenoni

Tartome ( tÀ Critique DU), Com. en un Ac. en vers impriméei«- 11. à Paris en 1670 avec une Lettre fatyriqueécrite à Moliere. L'Auteur en garda l'anonyme.

TEGLIS 7"ivi£..par Morand représentée pour la premièrefois au Théâtre Français le 199 Septem. 17 ) y elle fut jouée onzefois, ce qui n'est pas un médiocre succès pour la faifon.

C'est la première pièce de cet Auteur elle avôit dé/aparu, avec un Prolog. à l'Arfenal le 7 Avril 1754, devant

Mmela Duchefle du Maine, fous le titre de PYRRHUSEr

TEGLIS.

TÉLEGONE, 1040": Opé. C'est uneTra. en f Ac. de l'Abbé

Pellegrin, mire en muGque par La Cofte, et impriméepartition i/z-40. la première représentation s'en donna le 6

Novem. 171;, etdle n'a pas reparu depuis au 'Théacre.

Le fiijet de cette pièce est tiré de Diélys de Crete. Le Prologueest dialogué par Venus, l'Amour et Amaltbée. Télegoneétoitfils d'Ulyfie et de Circé.

TÉLEMAQUE, ouCalipso, 8/me Opéra. C'est une Trag.en f Ac. de l'Abbé Pellegrin dont la mufîaue est de Deftoucheselle fut donnée pour la première fois le 19 Nov.1714, et est imprimée partition in-^°. Le Prolo est entré

Minerve, Apollon, l'Amour et un Art. Les Amours de

Tilimaqueet de la Nymphe Calipfo font le sujet du Poëme, qui a été repris en .17; 0-

Ha paru un Op. Cpmi. fous Je titre c'est uneallez jolie Paro. en vaudeville et en un Ac, de cet Opéta;par Le Sage, donnée à la Foire S. Germain en 17 1 y avec''unfuccès étonnant, et qui a été remife en 171/ et en

TÉLEMAQUE, ou les FRAGMENSDES MODERNES, 1me-Opé. représenté pour la première fois le I Nov. 1704.

La Félicité le Printems et leur fuite forment le Proloo-, , ETLAVINIE, CANENT.: Aréthuse., Mbd^b., le CARNAVAtde Venise, ARiADNE, CiRci, les Fêtes galantesetUiisse ) dphcies morceaux détachés ferment avec artune Trag.en 1 Ac. qui "peut être comparée a un cabinet de

Tableaux dioifiç de difterens Maîtres ( ce font les termes'I»ur la mx£q. font lés Aüteurs de la liaifon de ces Fragjfto

TEL- [PUCES.] TEMmens, dont lesparolesfeulesfurentimprimées, parcequeles Opéradont ilsfontpris étant imprimésou gravesenmufique, àl'exception d'Aflréeet de Canenre, on crutqu'il était fuffiûnt de marquer en marge des renvoisàcesOpéra.

TELEPHE, 8imeOpéra. C'est une Trag.cn Ac.deDanchefmifeen mufiquepar Campra, et impriméepartition/n-4°. la première représentations'en donnale1J

Novem. 1713. Le Prolog.est l'apothêofed'Hercule.Telephereconnufilsd'Hercule, etCesamourspourIfmenie, fontle sujet.dela pièce, quin'a jamaisétéreprife.

TÉLEPHONTE. DeuxTrag.portentce titre; la première, donnéeen 1642. parGilbert.Voye^Philoclée. Onpré.tend qu'il y a beaucoupde versde la façonduCardinalde

Richelieu elleCetrouvedansle feptiemevol.de l'ancien

ThéatreFrançois.La feconde, par La Chapelle, donnéele16 Décem.i<î8i)et qui est:impriméedansles OEuv.decet Auteur etdans le dixièmevol.du ThéatreFrançois.

Danscette.derniereil y a beaucoup, pouf-nepasdiretrop, de merveilleux.

TELESIS, Trag.Chinoifeen f Ac.en pro.parun anonyme, impriméeen 17ri. Cettepièceeft précédéed'un Prolog.danslequell'Auteurprétend prouverque touteslesTragédiesdoiven'têtreécritesenprofe.

Les TÉMOINS CONTRE EUX-MÊMES. Voyt^ les Cor-

Le TEMPÉRAMENT, Tragi-Parade, traduite de l'Egyptienen vers François, et réduite en un ASe. A Charlottede Montmartre achevée' en OBobre 17 y s La pièce dontvoici le titre elt du fieur Grandval et a été imprimée ancommencement de l'année I7f6. C'ell un ouvrage très-'libre et fort peufait pour être lu..

Le TEMPLE, DE DELPHES. Voye\ AMUSEMFNS DE i'Ao-

TOMNB.

Le TEMPLE DE GNIDE, ijtfme Opéra. C?est une petite

PaJlo.âonxMi paroles font. attribuées à M.Bellis, et aM.r Roy' et la.m'û/îque est de Mourét^: elle fut donnée le 31:Ôëcembre 1741 avec l'Op. à'Alcione, qu'on avait remisdans ce tërhs ^'£c eut peii.de fucces, étant prefque fanssHtion. Oh la reprit cependant l'irùiée fuivante. Voyt{les

V

TEM [Pièces.] TEM 411-

Ddüj

Le TEMPLDEELAGLOIRE, 148111Oepe. C'est an B9ll'de troisentrées, dont les vers fontde M. detaire etla mufiq.de M. Rameau il fut repréfentépourlapremièrefois furle grand Théatrede Verfailles, le 17

Novem.t74f etle mardi7 Décem.fuivantà Paris cet

Ope.n'est pasimprimé en muliq.et lorsd'unerepréfenrationqui s'en Si le 19Avril 1746, il y fut changéquelquecho(e..

LepremierAâe, qui peutpalier pourle Prol.decetOpéra, est formé par Apollon, l'Envieetleurs fuivans.ceApol-» Ionfait enchaînerl'Envieaupieddu trônedela Gloire;» onintroduitenfuitetrois.efpecesd'hommes, qui fepré-

M(ententà la Gloire, toujours prêteà recevoirceuxqui» le méritent età exclureceuxqui (ont indignes d'elle.» Lepremiereft Belus, qui enivréde, fonpouvoir, mé-»prifantcequ'il a aimé, facrifianttout à une ambition3cruelle croitque desallions barbaresetheureufesdoi-» ventlui ouvrirceTemple maisil en eftchalTépar les» Mutesqu'ildédaigne, etparles Dieuxqu'ilbrave.Bac-»chus, conquérantde l'Inde, abandonnéà la molefleet.».auxplaifirs, parcourantla terre avec fes Bacchantes» chercheà peinelaGloiredansl'ivrcjQdTeelespallions il»lavoit, il en est touchéun moment maisles premiers» honneurdsece.Templene fontpasdûsà unhommequi »a étéinjuftedansfesconquêtes, et effrénédans fesvo-«loptés.Cette placeeft referyéeà l'EmpereurTrajan^ » tres-connupar fesvictoires etplusencorepar fesbien-.» faits, douceuretfonhumanité;ilnecourtpointaprès» laGloire elle lecouronne ellele.placedansfonTein-« pie, eten fait leTempledu bonheurpublic ».le TEMPLE DEiA PAIX 1 8meQpé-Ç'est unBail, ehfucpetitesentrée, dont lesversfontde.Quinault etla muG.4q Lullyil e(l imprimépartition-généralei/z- etfutrepréfentéà Paris le i%Septem. i6%t, après avoir étééiécutéà laCour par la MuCqueetles DanfeursduRoi.n'y point, de Prologue.Dans.le Ballecdanfèrentvi

Verfaillesle., ;Prince de Conti laDuchefledeBourbon

MademoiseldleeBlois leComtedéBrioone leMarquisoule Triomphe vv teta4**

TEM [Puces.] TERtail Com.en un Ac.en vers libres, avec un Prol. et ce

Div. par M. Le Fort, imprimée en 17fJ l'Avcrtil^entqui Cetrouve à la tête de cette Com. apprend qu'eue avoirété compofceil ya plus de vingt ans en Ac. eten versalexandrins etqu'elle avait été bien reçue desComédiens

Fran. qui furent fur le point de la jouer, mais que descirconftancesimprévuesl'empêchèrent.

LeTEMPLE DE LAVÉRITÉ, Com.en deux Ac. in pro.avecun Prolog, aufli en pro. et des Div. par Romagnelidonnée avecfuccèsau Thé. Ital. pour la première foislenJuinr/iS.

Le TEMPLE DE L'ENNUI Op. Comi.d'un Ac.en fortnede Prol. me!c depro. et de vaudevilles, par Le SageSe

Fuzeliêr représenté àla Foire S.Germain 1716.

Le TEMPLE DE L'HYMEN, Op. Comi.en deuxAc.deM.

Bailly, donné en 1715.

Le TBMPLE.DE MÉMOIRE, Op. Corni.en deux Ac.avec.le Prolog, de VEttchanteurMirliton de Le Sage FuzelieretD'Orneval , -reprcfentcleir Juillet 171j-.

Le TEMPLE DE MOMUS, Prolog.par MAFleury donnéil'Op. Gonii. le )ojuin 17jt."le TEMPLE DES CHIMERES, Divtrtijf. en un Aéte, représentéen fijciété dont les paroles font de M. le PréGdent

Hénault et la mudque de M. le Duc de Nivernoisimprime in-4 en >7j8.

Le TEMPLEDU DESTIN, Op. Comi. d'un Ac. par M.

Ballly donnéèni7».f.

Le TEMPLE DU GOUT, Com. par RomagnefietNivau, en un Ac.en vers libres repréfemee pour'la premièretoi, au Thé. Ital. le. ir Juillet 1733.

Le TEMPLE DU SOMMEIL Op. ùmh d'un Ac.donnéle• it» Septembre17 3V; parMM., Pannard et Fagan.

Le TEMPS, i-B'alltde Beriferade dariftpar le Roi en 1«f4.en Ac: en vaudeville imprimée

TJÎRÉE.Tfag. par M;Guis, imprimée en 1753 et nonre-;préféritée.M. Le Mieré donna le 1s Mai' 1761 uneTraÉjé'dièdumêmetitre au Thé;Frariçoisi

Les TERRES AUSTRALES Com.en. un Ac; en pro.avet

UnDif. par Dominique, donnée au Thé.ïtal. à la4Fuirez

TES [Pièces.] THF. 4*3

Ddiiijle3 Septcni*1711, etquin'eftpasimprimée.Ellen'eutaucunfuccès.

LaTÊTENOIRE, Op.Comi. enunAc.deLeSage, Fnzelieret,

D'Ornevaldonnéle 3 Juillet 1711.

LeTESTAMENTC, orne, n5 Ac.en pro.parFontenelle, imprimée en17fl. Ellefetrouvedanslehuitièmevol.defesOEuvres.

LeTESTAMENDTELAFOIRE, Op.Comie.nunActe, parM.Pittenec, donnéle7 Avril1734.C'est lamêmechofequelesFunéraillesDELAFoiRE.autitreet quelque!lcgerschangemenpsrès.

THALIECORRIGÉE, pièceenunAc.ehverslibres, par

M.LeBeaudeSchofnes, donnéeenformedeFrol.furle

ThéâtredeNÎmes, aumoisdeMars17; t.

THÉAGENE Gab.Gilbert, donnéeavecquelquefuccèsl, e 14Juillet166z: ellen'eftpasimprimée.

THÉAGENEETCHARICLÉEC.e sujet, qui est tiré du

Romangrecd'Héliodorae, fournài HardymatièreàfaireuneT/ag.enhuitjournées, oupourmieuxdirehuit Pcëmesdramatiquesc, hacundecinqAôësenvers, .qufiuientreprésentéesn16o1 à l'Hôtelde Bourgognete, imprimesin-8°, en ifitj. Voyt[auqi1*Etiopio_oetê la, :THiBAÏDLEe.sComédienFsrançoiosntreçu, etdoiventdonnerinceffammenucneTrag.deM.Dorat, intitulée

THBAGBETNOEtARICLÉE.

Thbaoenb ET Charïclée 5401e'Opéra. c'est une tragédie ens J Ac. de Duché, mife en mufique par Defmarets représentéepour la première fois le 3 Février 169; et qui .eHimprimée fans fyinphonies, partition w-4?. Jupiter, Apol-

Ion, Pan et l'Amour forment le Prologue. On ti'a jamaisrepris cet Opéra.. ••'•.

THEÀNDRE ou la Sanglante Tragédie de la mort.etPaffioBde.N. S.Jefus-Chrifi, par Chevîllard /Prêtre d'Orléansen 1670.

LeTHEATRE RENVERSÉ, Càm. de Du Pefchier, impriméeen i6x<) à la fuite de la Comédie be LACOMÉDIE.du même Auteur et Séparément à Lyon en i6îo. y aapparence que cette pièce est la même que celle que laliibliothequè des Thtatrcs a annoncée fous le titre de I'A'mTHEïPiEcts.] THEia THÉBAÏDE. Nous avons trois tragédie fous ce titre, finscompter celles qui font fouscelui .«I'Antigone etoùlemême sujet est traité. La première de ces tragédie cft de

Robelin, (ans diftinâion d'Ages ni de fcenes, jouéeetimprimée à Pont-à-MoulTon en if8+. La feconde, del'Abbé Boyer, en i66o: celle-ci n'est pas trop connue, eteut fans doute peu de succès car un Auteur parle parironiede la lifte des morts etétouffesà la reprctcntationdeizThébaïdc, de Boyer. La troisième a pour fecondtitreles Frères ennemis et c'est le premier ouvrage de Racine, qu'il donna i l'âge de vingt-quatre ansetdemi.Onprétend cependantqu'il avoir déjà préfentéauxComédiensunepiece intitulée ThéageneEr Chariclée etqu'àFoccationde cette pièce, Moliere donna au jeune Racinel'idéede la Thcbaîdc. Ce qui est remarquer danscettei tragédie est que presquetous les Acteursmeurent à lafin, etque l'Amour, qui a tant de part dans les autres piecesde

Racine, n'en a presque pas dans celle-ci qui fut représentéepour la première fois fur le Thé. du Palais Royal, le 10 Juin 1664. Qn a 4i*auffique Racine n'ayanteuqueftxfemaines pour compofer cette piete, y avait misprefqu'enentier deux beaux récits qui (on dans I'Antigonede Roirou etqu'il ne lesôta que lorfqu'il la fit imprimer.

Elle est dans lç cornepremier de CesOEuvres.

THELAMIRE, Trag.imprimée chez Prault fils, et donnéele 6 Juillet 17j 9 au Théâtre Français C'est une pieced'inventison, donc l'Auteur a gardçl'anonyme elle nefur repréretiréequequatre fois.

THEMICIDE, Allégorie comique en un acte en vers, imprimée en 17.49 w-8°.(busle titre de la Have. C'est une pièce critique, et très-mal versifiée, contre les gens de Juftice.

THEMISTOCLE, ce général des Athéniens a fourni le sujet de deux tragédie l'une de Du Ryer donnée au Théâtre du Marais, vers le mois de Novembre 1647, imprimée en 1648 et qui se trouve dans le troisième vol. de l'ancien Théâtre François. L'autre du P. Follard, jouée dans le collège des Jésuites à Lyon au mois de Mai 17*8, et qui ****************

THÉOCRPIaSj, lo.enyAce.nvers, attribuéàeTrotereletimpriméeenx6io.

THÉODATTragd.e ThomaCsorneilled, onnéàel'HôteldeBourgoglneen Novembr1e(71 etimçrimcdeansletomqeuatrièmdeeCeGs Sucve.ThéodéatoitunRoides

GothesnItalie'q, uifitétranplefrafemmeq, uoiqu'liul idûtleTrône;etqui, enpunitiondefoningratitudefutruéparundefesGénérauxC.orneillae traitéce sujet.différemment. •

THÉODOTRrEo.isTragp. ortenctetitre, quoiqudeifférentespourlefond.Lapremiere eftdePierreCorneille, quliadonnaen164cetdansletometroisièmdees(Euv.duqueellleefli;mpriméelefujeerftleMartyrdeeSainte-

Théodoetreellen'eutpasdefucecsparla raisonquel'aftiopnrincipaéletantlaproftitutiodnecetteSaintec, efajecnepUpt laireauThéâtreq, uoiqu'ifloitdécoraévectoult'artetladécencpeoffibleetquedut.emsdeHardy leviolmêmerendît furlafceneainfiquenousl'apprend

Fontenelmlea, isCorneillaevoicthangléegoûtdesSpec- tateurLs.afecondpeiecedeTHEODOeRftEde l'Abbé,

Boifrobeetrtf, onhéroïneftuneReinedeHongriee;llefutdonnéeie6nn« Latroifieme'caftttribuéàeGombauldet, fortpeuconnue.

THÉONO8É7, mOe péra.C'eftuneTrage. nr Ac.deLa

Roqnem, ifeenmufrqparSalomonellefutrepréfentcepoulrapremièrfeoisleDécembre171r eteftimpri- méeenmufiq.partitionin-40.LePrologue eftentréla

FranceC, lio laVictoireu, n Poitevinet, deshabitansdeasutrePsrovincdeseFranceL. e fujetdela Trag.èft tiréd'Hygina, uquell'Auteuarfaitplusieucrhsangemens donitlrendcompdteansunAvertHIèmeOnnt.n'apointreprciset Opéra.. •

LaTHESDEESDAMESoule TriomphdeeColombine•laCcm.eAnc.enpro.etenvers, parBarantej;ouéepour premièfroeisfurl'ancienThé.Ital.le7Maii<9f.

THÉSÉNEo.us.avotnrsoisTraget. unOpef.ousce nom.

LïTapremiirTerage, n:intituléelesAmouRdSeTheskos DE.DijANiRelBleeftdeDuVivierS, ifcfujtouéeetimprimàéeAnveersn1^77.LadeuxièmaepourfécondtitrelePrinceRECONeNllUee, ftenprofêpamten1644, 4î<î etciTlHdeEJean [Pièces.] THE Pugetde la Serre. Latroisièmeenfine/lde

La Fofled'Aubigny;ellefutreprésentéele f Janv.1700, eteut ungrandfuccès on reprochacependantà l'Auteurd'avoir altéréle caractèredeMédit, en l'adoucinanr.

L'OpéradéThèses est le«me;LePoëmeeft deQuinaulr, etla mufiquede Lully;ilfut repréfentépourla première foisdevantLouisXIV.à Sàinc-Germain-en-Layele 11Janv.l67S « patlesMaSïciednusRoi jointsà ceuxde l'Acad.

Royalede Mufîq.eteft impriméetgravépartitionin-fol.

La Scènedu Prologueeft dans les Jardins de Verfaillwj

Bacchus, Venus, Cerès, Mars, les Jeux, les Ris, les

Graces, etc.le forment. Cet Opéraa étéreprisen1*77, 1C79, 1688, 1*98, 1707, 171c, 1719, 174+eten17 f4, etl'avantdernierede cesreprifesoccasionnadcur

Pàro. en un Ac.la première, repréfentéeauxItal.fousle'nomd'ARLEQOTiNhèses le 30Janv.174-y qui eftde

M.Valoisd'Orville etn'a pointétéimprimée l'autre, à l'Op. Comi. fousle titre (impiedeThesze composeparMM. Favart Lâujeonet-Parvi et donnéele iy Fev.de la mêmeannée.

THESÉE, oula Défaite DESAmazones pieceen 5Afles, avec troisIntermed. par Fuzelier, reprclèntéeauJeudes

Marionnettesde Bertrand, à la FoireS. Laurent1701.

LesTHtS'SALIENNtS, ou Arlequin au SAUT, Cnm.en Ac.en pro.parMM.PrevoftetCazanoye donnéean

Thé. Ital. le s4 Juillet 17^.

THETIS ETPELÉE, i;me Opéra.C'éft une7wj.en Ac.par Fontenelle dontla mufiq.eftdeColalle la premièrereprésentations'en donnale I Janv.1689 elle eftimpriméepartition.ùi-/ô/.etaétéTeprifefeptfois(en1697, 1^99, 1708, 1711, 1715, 1756 eti7;o), au(lieft-cele meilleurouvrage de Colaflè.LaNuitjlaViâoire.Iele

Soleil etles Heuresformentle Prologue.

Cet Opéra, qui avoitétéparodié dès l'année 171} fonsletitre d'ARiEQuiN.THETis, à l'Ôp. Comi. le futencoreau Théâtre ital. par une pièce fousle nom duMMUMs-D'ARLEQUetINDESilvia en un Ac. en pro.etvaudev.de Dominiquequ'ondonnapourla premièrefoisle 19

Janv. 17145 .etpar une féconde, fousle titredesAmans• iNQDiETsqui parut aumêmeThé. darisle moisdeMars

THIESTE. Nous avons trois tragédie foas ce titre, imitées de Sencque, indépendamment de. celle sous celui d'ATRÉE, où le même sujet efi traité. La première, avec des choeurs, est de Roi. Briflet: elle fut représentée en 1/84, et imprimée en -17.89 la feconde de Montleon, parut en if33;etlatroifieme, attribuée à Montauban, est peu connue.

Le THIMON, Comédie en un acte en prose tirée du Dialogue de Lucien, qui porte le même titre, par Brécourt ; elle fut donnée au Théâtre Français avec succès, le 1 Août 1C84 et a été réimprimée en 1700 Caen, fous le titre des FLATTEURS

TROMPÉS ou l'ENNEMI DES FAUX AMIS..

THIMON LE MISANTROPE Ccm. de Delifle, en Ac.en pro. avec des Divert. donnée pour la première fdis au

Thé. Irai, le 1 Janv.Tyn. Cette pièce, qui est auflî uréedes Dialogues de Lucien, offre un genre de Comédie quia été inconnu aux Anciens et aux Modernes et qui ne reffembleà rien de ce qu'on avoir vu jufqu'alors nuflî eutelleunsuccès extraordinaire qui ne s'est point démentiaur reprifes fréquentes qui en ont été faites.

THIMOTHÉE CHRÉTIEN, tragédie traduite du- Latin enrimes, par un anonyme, en i;86. On ne nous apprendrien de plus de cet ouvrage dramatique.

THOMASMORUS, Chancelier d'Anglererre ou le Triomt rHB DELAFOI ET DELAConstance Tran. en pro. par Pugec de la Serre, donnée en 16+1 et peu intereffantc. •

Les THUILLERIES, comédie des cinq Auteurs. Le Cardinal de Richelieu avait fourni le sujet de cette pièce, qui fut représentée à la Cour en 1631 avec une grande magnificence, on en admira surtout les décorations les cinq Auteurs avaient, par diftiflinftion, un banc séparé, dit le fut imprimée en ii}8. Voyez le RENDEZ-VOUS DES THUILLERIES.

TIBÈRE, tragédie dont l'Auteur ne voulut pas Cefaire con.nome., mais qu'on croit être M. le P. Dupuis on vouloir confondre (a pièce avec une autre intitulée AGRIPPAPosïhomb il est vrai que c'est le même sujet'v niais traité diffïrènimîènr: malgré le peu de succès qu'eut cette tragédie an mois/dé' Décembrei7r6, elle ne laisse pas que d'être imprimée. Onprétendquel'Abbé Pellegrin eut grande part.

TIGRANE Trag.attribuéeà l'AbbéBoyer, mifeauThé. de l'Hôtel deBourgogne, le dernierDécembre1 660 et qui dit-on, fut défendue;ellen'a pasété imprimée.

TIMOCLÉE, ou la GÉNÉROSITÉ D'ALEXANDRE, tragédie de Morel, représentée en i6;8; cette pièce, tirée de Plut arqueet de Diodore de Sicile, est fort rare.

TIMOCLÉE ou la Juste Vengeance, tragédie de Hardy, représentée, à ce qu'on prétend à l'Hôtel de en Bourgogne 161f et qui a été imprimée en i6z8.

TIMOCRATE, tragédie de Thomas Corneille, mise au théâtre au mois de Novembre 16f 6 S e tirée du Roman de Cléopâtre. On n'avait pas encore vu de pièces jouées si longtemps de suite que celle-ci, puisque les représentations en furent continuées pendant un hiver entier; le Roi l'alla voir sur le Théâtre du Marais. La Troupe de l'Hôtel de Bourgogne, qui surpassait infiniment celle du Marais entreprit aussi de jouer cette Tragédie ; mais ces Comédiens ne reçurent pas tous les applaudissements qu'ils attendaient, et le grand nombre de représentations qu'en avaient donné ceux du Marais, avait fait qu'ils la possédaient si bien qu'il fut impossible à ceux de l'Hôtel de Bourgogne, qu'on appelait les grands Comédiens, non seulement de les surpasser, mais même de les égaler ; et lorsqu'on voulait voir cette pièce, on préférait d'aller au Marais, où les Acteurs, las de l'avoir jouée quatre vingt fois et craignant d'oublier leurs autres rôles, supplièrent le Public de leur permettre de la retirer. Elle n'a cependant pas été reprise depuis. On la trouve dans le tome second des OEuvres de Corneille.

TIRCIS ET DORISTÉE Paro. en vaudevilles et en un acte avec des divertissements du Ballet lyrique d'Acis et Galatée par M. Favart, donnée au Théâtre Italien le 4 Septembre 1751. Elle eut un grand succès.

TIRCIS ETURANIE. Voytila Chasteté xnyincibib.

TIRÉSIAS Com.ouefpeced'Op. Comi.deM.Piron, en

Ac.en pro. mêléde vaudevillesetde vers donnéauJeudeFrancifque à la FoireS. Laurent1711 etq, nipas

TIR TI1' 41*

TIRÉSIAS AUX QUINZE-VINGTS, efpece d'Op. Comi.en un Ac. de Carolet donné en 171a, par les. Mdrionnettesde

La Place. C'était une forte de critique de la pièceprécédente, et elle n'a pas été non plus imprimée.

TIRIDATE. Nous avons deux tragédie de ce titre. L'une de l'Abbé Boyer, donnée en 1648, au Thé. du Marais, reprise avec quelques changements et fous le titre du FILS supposé à l'Hôtel de Bourgogne au mois d'Odto. 1 67 1 etimprimée des deux façons. L'autre de Campiflxonmifeau Thé. le 11 Fév. 1 691 Le sujet de cette derniere, ainfi que nous l'apprend l'Auteur dans fon Avertiflèment, cfltiré du fécond livre des Rois, chap. 1 j où est rapportél'amour inceftueux d'Amnon pour là fceur Thamar: le refpeftdûaux livres Sacrés empêcha Campiftron de le traiterfousles vrais noms, et il £<•contenta de prendre les caracceresetquelques-uns des mouvemens de David, d'Amnonet

A'AbJalon et de les donner à Arface à Tiridate età Artaban d'autant plus que l'Hiftoire rapporte que Tiridateperditla vie par une langueur qui fut toujours inconnue, ce qui donnoit la liberté à l'Auteur de pouvoir attribuercette langueur à la paflton criminelle dont il nepouvoirvaincre le penchant. Cette Tragéd. eut un succèscomplet, ayant été jouée vingt-cinq fois de fuite. Dansunereprife qui en fut faite au mois d'Octobre 1717, MUe

LeCouvreur et les autres Aftrices qui y jouoient, firentun changement à leurs habits que le Public approuva; ceshabitsnouveaux, qui fubfilbent encore aujourd'hui, étoientpareilsà ceux des Dames de la Cour, c'est-à-dire des corpsde robes à longues queues traînantes..

TITAPOUF, ou le VOLEUR, Com. en un Ac. en pro.'par

MlkLongchamps donnée trois fois au Théâtre Fran. aumoisde Novembre 16 87 elle ne fut pas imprimée.

TITE ET BERENICE. C'est la trentième pièce du grand

Corneille) il la donna au Thé. du Palais Royal le 18 Novembre1670, environ quatre ans après Attila. Cette

Trag.fut dit-on, une efpece de duel excité par: une illûftre

Princeflè qui mit aux mains nos deux fameux Auteurstragiques, fans qu'ils le fçulfent; la victoire futrempenéeparle plus jeune; Ybyei Bérénice de Racine.4$o TIT' [Pièces.] TOI

TITON ET L'AURORE, pièce en un Ac. donnée à l'Opcrtdans les FRAGMENS le 18 8 Fév. 17 j i cet Acte, qui avoirdéjaété représenté à Verfailles le 14 Janv..i7fo, fur le

Théâtre des petits Appartemens. Voye^ les Fêtes deThi-

TIS. ), est de M. Roy, et a été mis en mutîq. par M. Bury.

Le Cujet en est le rajeuniffemenc de Thon.

Titon ET L'AURORE Paflo. hiroïq. en Ac. avec un

Prolog,

Les paroles de la Paftorale font de l'Abbé de La Marre, etla mulîq. de M. Mondonville. Cet Opéra cil le 1 66me, fut donné pour la première fois le 9 Janvier 1713 il eutbeaucoup de succès et est gravé partition in-fol. Le làjerdu Prolog. est le feu du Ciel ravi par Prometliée pour animerles hommes: les paroles de ce

Prolog, font de Houdartde La Morte. Cet Opéra a été parodie fous les titresde RATON ET Rosette du Rien et de Totinet.

TITUS, tragédie par M. Belloy, donnée le 18 Février t7f9, et qui n'eut que cette représentation. Le Poëte avoir voulupeindre dans cette pièce, qui est imprimée, la bontéet la bienfaifance de Titus, qui, après avoir vaincu les

Bretons, revient à Rome se rendre aux voeux de fonpeuple.

TOBIE. Il y a trois Trag de ce citre une par de Guerfens, en if 79et impriméeenfuite en 1604, fous le nom de

Mefdames des Roches une autre attribuée à Breton dela

Fond, vers le même tems et la troilieme, par Jac. Ouïn, donnée en rj 97.

La TOISON D'OR, Tragi-Corn de Pierre Corneille, en r

Ac'en vers, mêlée de danfes et de mufiq. elle fut repréfèntéeen 1 660 dans le château de Neubourg en Normandie, appartenant au Marquis de Sourdeac qui pritletems du mariage de Louis XIV. et de la paix avec l'Efpagnepour faire une réjouifrance publique de la repréfen-1 -ration de cette pièce, compofée exprès à cet effet, Outreceux qui étoientnéce(làiresârexéct!tiondecedc(rein, quifurent entretenus plus de deux mois à Neubourg à fesdekpens, il logea ettraita plus de cinq cens

Troupe du Marais donna de cette Tragi.:Coméd. quifutenfuite jouée à Paris au mois de Février 1661 arec beaue-] TONtoupde succès, etun grand éclat par les machineset lesdécorations aufli est-ce unedes plus belles piecesà machinesquenous ayons, et elles y font amenées avec unartinfini. En i G64on la remit au Thé. avec la mêmexéufllte. Le 9 Juillet 158j on la reprit, avec un Prolob. de

LaChapelle, et il y avait tout lieu de croire qu'elle auroitencoreun grand succès; mais à peine ache voit-onle Prolog.à la dixième repréfêntation que les Comédiens interrompirentlefpeftacle, étant mformés que la Reinevenaitde mourir, et ils firent rendre l'argent à la porte.

Onla trouve dans le tome quatrieme des (Euv. de Corneille, in-ix. VoyeraulfiTASONet, , Ar.lbo.uin Jason.

LaToisonD'oR, Op. Comi.en un Afte en profe, par Le

SageetD'Orneval donné à l'ouverture de la FoireSaint-

Laurent1744 >etnon imprimé. Voyerles Captiïïd'Aigbr.

LeTOMBEAU DE MAITRE ANDRÉ, Corn. en un Ac. enpro.par Brugieres de Barante, jouée à l'ancien Thé. Ital.le 19 Janvier ifi'9 f Le Convoi burlefque d'un Cabaretier -JdeParis, fournit l'idée de cette bagatelle, dans laquelle ilya la Parodie de plufieurs endroits du Gid et de différons

Opéra.

LeTOMBEAUDE NOSTRADAMUS, Op. Comi. en un Ac;envaudev. par Le Sage, reprefenté à la Foire S. Laurenten 17 14.

TOMYRIS. Cette Reine des Scythes ayant gagné une bataillecontre

Cyrus lui fit ( felonquelques Auteurs ) couperla tête qu'elle fit plonger dans le fang en prononçant cesparoles: Cruel, abreuve-toi de fang dont tu as toujours euli grandefoif. Ce trait d'Hihoire a fourni deux tragédie l'unedeBorée, intitulée Tomvrk vrcTORiEusn imprimée en1*17 et l'autre de MUeBarbier, représentée le z j Novembrei7o<>, «vec peu de succès, et que l'on prétend1'être de l'Abbé Pellegrin.

U TONNELIER Op. Comi. en un Acte, par M. Àudinot, donné'une feule fois au mois de Septembre 176 1 et quine fnt pasmême achevé de représenter..+a TONTINE Çom. en un Ac. en pro. de Le Sage reprélentcefaiissuccès au Théâtre Français le 10 Février ï 7 j t. Cette4?* TOR [Pièces.] TRApièce avait ccé préféntée et reçue des Coméd. dès 1 70s, mais des raifons particulieresengagèrent l'Auteur à nelapas faire jouer alors

LeTORISMOND, Com.traduite du Tajfe, par en Dalibray, 16)6 ce célebre Poète Italien déclare lui-même que moins parfait de Cesouvrages, etlibray ne l'a certainement pas perfectionné.

TORQUATUS, tragédie attribuée à Maréchal, en 1g4;.

TOTINET, . P<»ro. de Titon sr l'Aororb par MM. Portelanceet

Poinfînet donnée à l'Op. Comi. le 13février

I7HLe

TOURDE CARNAVAL, Corn.en un Ac. enpro, avecdes Div. par D'Allainval, donnée au Thé. Ital. pourlapremière fois le 24 Fcv. 1716".Le Ballet croit de Marée),

Maître à danferdu Roi, lamufiq. de, Mouret, et !cs paraiesdes Div. de M. Pannard; l'air du Cahin Caltaeutunefi grandevogue qu'on -a Couventdepuis donné à cettepièce le titre de CAHINCAHA.

TOUT POUR AMOUR, ou le MONDEBIENPERDU, Tnç.traduite de l'Anglois par M. l'Abbé Prevoft impriméeen 173j- etfingulierepar l'invention. C'est le fujetd'AN--TO1NE ET C^OPATRE.

La TRAGEDIE DE FRANÇOIS SPERA, avec des choeurs, imprimée en 1608. $perd, Jurifconfulte abjure les erreursdu Calvinifme; il s'en repent et meurt de défefpoir:c'est le sujet de la pièce, faite par un Protestant.

La TRAGEDIE DE GASPARD DE COLIGNY, Amiral de

France, en cinq Aftes en vers, avec des choeurs, et fansdiftinélionde .fcenes, par Chante louve imprimée en1574. Le sujet de cette pièce est vraimenttragique, puifqu'ilcontient- ce qui la cruelle Journée[ , de Saint-Barthelemi, en l'.znnée ifjt, avec le nomdesplus îlluftresperfonnages qui y péruent. Voye\GasPeRD

La TRAGEDIEDELA/NAISSANOCEUCRÉATIONDUMONDE, de belles descriptionsdes animaux, Oiftaux,

OnprétendqueLéSagefitjouetaufficettepieceà 1'Opeta-Conil.ifcla FoireS.durent, fôusle titre d'ARU^vmCoiOM» qKu, 'elleb««qu'unerèptifçntacion,

TRA [PIECE$,

Ee

Poijfons, etc. par Ville Touftam imprimée à Rouenin-i". fins date.

LaTRAGEDIE DE SAMSON LE FORT, en quatre ÀcVcontenant fes viiïoires fa prifi par la trahifon de fun.époufeDalila etc. Cette plece est auffi de Ville'Touftaineta été imprimée fans date, on conjefture que ce fut verslélO.

LaTRAGEDIE DE ZULIME, en y Ac. et en vers, petite.picce nouvelle d'un grand Auteur. C'est le titre en entierd'une Pd.ro. critique de ZotiMB de M. de Voltaire, qui.fut imprimée in-8°. en 17 61 et qui est de M. Cailleau.

LaTRAGEDI E DU ROY FRANC ARBITRE. Voye^ le RoY

FRANCARBITRE.

LaTRAGEDIE EN PROSE, Com. en un Ac. avec un Diy.dont les vaudev. étôiciit auflî en pro. par Du Cadre d'Aarignyelle fut reprefentée avec aflei de succès, pourra, première fois le 9 Mai 1730, pendant un voyage de la

Cour, par les Coméd. François qui étoient reftés à Paris.

La fcene e(t dans les Foyers de la Comédie: cette pièce estplus un Prolog. qu'une Com. La différence des fentimenequelques-uns de nos Auteurs d'alors fur la queftion

Lavcrfification est-elle abfolumtnt- niccjfltirc à la Trag2-dit en fournit le (bjer;

La TRAGEDIESAINTE divifée entrois théâtres ou autrementles

Evangiles par F. Davcfnes imprimée en 16

TRAGI-CO, MÉDIE DES ENFANS DETDRLUPIN ^tnàUheuniïx dénaturé bù l'on voit les fortunes dudit Turltirpin, le mariage d'entre lui 6" là'Bàulônoife et•autres mille

Plaifantes joyeuf êtes qui tromptnt la morneoifivetè en

AQ.es envers dé dix fy llabes donnée par Ville Touftainvers162.0.

UTRAHISÔN PUNIE, Com. dé Dancoùrt en f Ac. envers, donnée au Théâtre Français le Novembre 1707 fansgrand succès. Cetk la première pièce que cet Auteur aiefaite en vers alexandrins. On la trouve tome feptieme deksTRAHISONS D'ARBIRAN Tragi-Corn, avec un Prol.par Douville, donnée à l'Hôtel de Bourgogne en \6 $7.le TRAIRE PUNI, Cpw.de Le Sage, en f Ac.en pro.imprimée en 1700. C'éft la traduction d'une pièce'Efpa434

TRA [Pièces.] TREgno]ede Rojas3 et Dancourt en a fait fa

Trahison ponte.

TJIASIB.ULE Tragi-Com. de Montfleurv reprcfentée avecpeu de fucccs à l'Hôtel de Bourgogne, en 1 664..

Les TRAVAUXP'HERÇUL-E, etiZ/. en cinq entrées, etun

Il n'y a dans fès (Euv. que la premièreetla cinquième encrées mlfes en vers, avec le Programmedes trois autres,

Les TRAVAUX D'ULISSE, Tragi-Corn, par Durval, jouéedevant le Roi ent6 3j.tes TRAVAUX DIVERTIS$ANS D'ARLEQUIN BACÇHUSjjÇom. enprp. par Denis donnée en 1696 etnonimprimée.

Les TRAVERSES D'AMOUR, Corn. de^olandBriflèt.eu

Le vrai) titre de cette mauvaise pièce est, Etrangeset merycillcufts trayçrfes d'Amour.

LF PE tragédie par un anoj^nje du Théâtre Français et quiavoirparu l'année précédente.

I^TRjBMBLEMÇNt DE TERRE DE LJSBONNE Tng.''en cinq vers fur

Grève. Ç'estle titr« d'une mauvaise pièce imprimée ia-S°. à Paris

Le Plan en est monfl'ip.tflgue et ja des plus$c contre tçuws les règles de lafpéfie. beaucoup d'apparence que c'esta 'M..4fi P^etce de'jce'ffp' p^cefont même allez propres à confirmer dans cette idée $cependant

M..teur, et (termes capables Iem'en II nia jamais offert àj^agedie ççtnme on l'a publié etçonvintfeulement que, le fisaz Previjle, qu'il connoifloir, jay.o^ç vules deux prévues a lafinir- lesen prç. donnée pnefçùleetis i74; et qu'on ne finic

TRE [Tacts.1] TRI 433;

Eei;-pasmême de jduér. On fa attribuée à Ntricault Deftouches, etelle n'a pas été imprimée.

Le TRÉSORSUPPOSE, fom. de M.Gaeufertè., en 3Jte.en pro.avec des X)lv.etdes fcenesitaliennes, Tepiéfêméepourla première fois au Thé. Ical. le 7 Fév- 1710-, et cemifeavecdeschangemens au

LaTRÉSORIERE Com.en 5 Ac.eri-versde huit Cyllabes;par Jacques Grevïn donnée au collège de Beauvais à Paris, le jFévrier if.(•••le TRIBUNALD'AMOUR Com.cpifodique en un Acteen vers, qui tomba à la première reprefentation qu'endonnèrent les Comcd. Fran. le ix Oftobre H7/6. Elle estdeM..Landon.

TRIGAUDIN, ouMARTIN BRAILLARD, Com.de Mont-"fleury, en f Ac. en- vers, rtpréfentîéeà l'Hôtel de Bbttrlgogne, leiiî Janv. 1674. Cette pièce qui est trop librepourle ttéatre est tirée d'une hiûoriette inférée dans le

Mercure année 1671, fousle titre de la Femmeaux deux

Maris,

LeTRIOMPHE D'AMOUR, Pajlo. de Hardy, en r Aïtefcenvers, donnéewi 161) fur le Théâtre -de l'Hôtel de.Bourgogne.leTRIOMPHED'ARLEQUIN ou le Pbi!brin*6b LA

FOIRE Com. en un111;.de Dominique donnée au Thé»liai.le.1.4Septembre;^ 19.fcTRIOMPHE-D'ASTJyÉE, JûTy/ketJW/. héroîq. en un

Aâe dèftiné à être misen muCque, imprimé in-40, en

Degardein de Ville-Maire}:;il.eftfoible.'mal Vèrfifié^peu propre etirereprécencé.te TRIOMPHEfDE JESUS-CHRIST, tragédie AfocaLyfti-^ï«i' traduite de Jean Toxvs, 'en rimes ftànçoifes 'pat, I«TRÎOMPHE:DELAiFpLIE, Com.de Dominique, en'nnAc. -en pro.et vaudevilles avec-unDiv.ïèprcfentée par

MtGoméd. Ital.: for leur Thé.de la Foire S. Laorenr, lel'Amour la chafle etordonneà là rianrefaite de chanterde, motsle, plan de cette pfede4J« TRI [ Pièces.] TRIquin'apasétéimprimée.PbyrçauflîArlequinBaron

ALLEMAND.

Le TRIOMPHE DE LA FRANCE Ball. en un Ac. mis enmufiq. par le Geur Garnier, imprimé in-n. à Dijon en

Le TRIOMPHE DE LA LIGUE, Traç. attribuée à Pierre

Matthieu, mais qu'on croit être d'un anonyme qui Inarque

Connom par ces lettres R. J.N. Elle fut imprimée en

Hollandeen1607.Il parutuneféconde Tràg.fousceticre, parGaillard, enièj6, in-im. relativeauxtroublesdecele TRIOMPHEDEL'AMITIÉ, Cum. en Ac.enpro. M. par Croquet, impriméeen 1736, dansfesSaiurndes

LeTRIOMPHEDEL'AMOUR, Pajlo.en mufiq.dtvifceentroît.panies mélcesdedeuxIntermèdes, repréfentcedevant SaMajefkcà S. Germain-eii-Layeau moisde

Tév.167%etimprimée/n-40.Ce fontles"Amoudres

DIANB ET d'Endimion.le TriomphDe EL'AMOUiR3m, eOpé.C'eftunBall.com·_ pofdéevingtpetitesentréesL. es, rersde lapiecefondte

Quinault, ceuxpourlespersonnes de laCourquidanferencdansceBail.f.onedeBeiîferad;ela mufïqd.utouetftdeLully, etlesmachinefsurenct onduitepsarVigarainilaCour, etparRivanià Paris.\Dansce Balt.repréfemépourla premierefoisà S.Germain-en-LaydeevanSti

Majefté, len Janvier1681 danferenMt onfeigneuetr, MmelaDauphineMademoifelle le Princeetla PrincelTedeCenti le DudceVermandoisjMUdeeNantesa, vecceÎ|u'il yavoidt ejeunesperfonhesdiftirigùàélaeCs oudr ans.lesdeuxfexes;etcemclange'fufit goûtéquelôrrqufeonrepréfenta·lemême OpéraàParisvfùr-le, Thé.duPalais

Rèyalle 1 *, Mafiuivant, on'iyritr'odùifit desDanfmfes, ; dopt--là'DTÎê.Fo/jf

TRI [.Pisces.] TRI 4J7 • le »T»1_ t. T t

Eeiijtrois Aéles en pro. représentée au Thé. Ical. pour la première.fois le îx Mars 1751.

On donna auffi à la foire, le Août 1708, une mauvaifepièce en un Acte en monologues fous ce titre mais ellen'a pas été imprimée.le TRIOMPHE DE LA PAIX, Opé. en Ac. avec un Prologuemis en mufique par Gautier, représenté pour lapremière fois. avec un grand succès à Marfeille le

Janvier decette Ville.'

LeTRIOMPHEDELARAISON, Com.allégoriqueen

Aftesenprofe, avecun PrologueettroisDivertiflèmens.parCharlesCoypel.Cette piècefut jouéeà Verfaillesdevantla

Reine, parles ComédiensFrançois, le r1 Juillet1730, dans UneFête que MUede Clermontdonna Sa

Majefté.Elle n'a pas paru à Paris, et ne fut pas imprimée.'.••

Jean-LouLisullyavoitmis enmufîqneunDiv. intituléauflîleTRioMPHEdeLARAISON. Il fut chanté devantLouis

XIV. à Fontainebleauen 170J.

LeTRIOMPHE'DE'LÎHARMONIE1, 17»»Opéra. C'efi:unBail, entroisentrées, repréfenrépourla premièrefois'lèf Mai1737, .repris le xjjanv. 17}8, etle 14Juillet• 1746.LesparolesenfontdeM. LeFranc, etla mufiquequieftgravéepartitionin-fol.deM.Grenet.LePrologue :êft entre là- Paix; rAmouretl'Harmonie.La premier.entrée est Orphieanxenfers, redemandantEuridicc la.fecondeftintitulée Hîlas;Sc.la rroifîemeteft^wpAw» .bàtiflàntlesmursdeThebes. C'eftle prejâîer^tâffra detes deuxAuteurs, etil eut dix-feptrepicfentàdonsdans fajiouveauté.

Le TRIOMPHEDEL'HYMEN Op.Comi.en deuxActe!;p»M. Baillr, ' donnéle 6 Juillet 17*j, et non im-

LeTRIOMPHEDE- L'HYVER, Corn, en unAfte, par un.^anonymedonnéeau Théâtre Françaisle'19 Novembre1694, etqui. n'a pasétéimprimée.

Le TRIOMPHE.DEL'IGNORANCE, Op.-Com.titi'lAç.donné:le-ioiMarsi7}j, , parBoiiryi»riI'est pas imprimé.

Ony critiquoit l'Opérade Jephtb etEriphilb.

TRI [PIECES. TRI

LE TRIOMPHE DE L'INTÉRÊT Corn, de Boiuy en sa

Acte en #rs libres, avec un DivertifI'ement et des vaude.villes, dont les airs étoient, de Mouret, donnée pour hpremière fois au Théâtre Italien le 8; Novembre 1730.

Cette pièce, qui eut un grand succès, est imprimée avecquelques {cènes dont la représentation ne Ait pas pu-

Mire.

Le TRIOMPHE DE Op. Comi;enun Acte, 'par

Dupuf, donné le.*f Juillet 17x1 ^et'non;imprimé.

Le Triomphe DE Piotus Com. en un Ac. en pro. avecdes

Div. dont là mufique est de Mburet, reprcfêntée furle

Thé. ItaLle xz Avril 17*8. Cette pièce est de M. deMarivaux;on l'avait annoncéecependant dans quelques cataloguesfous.lesnoms de P Se T *• L'équivoqueeftfans doute venue: de ce que M. Pannard a fait les parolesdes Diverriflèmens»

Le TRIOMPHE DES ARTS, 49nie Opéra. C'est un Bdl.et) cinq.entrées fins Prologue dont les vers font de La.Motte, et la mufique de La Barre. Il fut représenté pourla première fois le 16 Mai 17co, et est impnmé partitionin-*0. L'ArehiteSure la Poifie., la Mufique. la Pein.ture et la Sculpture forment les cinq entrées..

CetOpéra , n!a point été repris la: dernière entrée a f eulerrqent reparu: avec deschangemens, fous le titre. de Pie-]LE;TRIOMPHE DES CINQ PASSIONS, Cém.de. Gillet, donnée en 1($41. Cette pièce est attribuée aufllà Gilbert.

Ces. cinq. paillons font l'Orgueil l'Ambition, Y Amour, la

Jidoufu.tt la Haine, ou la Fureur'. Elles rempliflentehacaneun Aête. Dans le premier, on voit M'ANLiurTorçoaiosîle fecond est le sujet de Rhadamistb le troiGeme offre

Le.TRIOMPHE DES.DAMES, avec l'explication dutombatde la Barrière et de toutes les Devifes, Com. en f Ac.enpro., attribuée à Thomas Corneille:, et donnée avec ungrand succès au Théâtre de Güénégaud le 7 Août ity

Cette pièce est d'une invention neuve et avec desmachines:à'.la place; des fcenés, 'irfe trouve imprimé danschaque-Aifte un canevas qui donne l'intelligence du fcj«

TRF VPiECBf.l\ TRO 4*9

Ee iüjle TRIOMPHEDU TËMS Comide Le Grand, repréfeméeau Théâtre Françaisavec fucc« le 18 Oflo. i7if, et imprimfetometroisièmede fes OEuvres; Cette Com. est compoCed'unProlog. 8cde.crois petites-pièces en un Ac. en pro.avecdes Divertiflèmens dont la nïufique était de Quitfautt.

LcT-ehs passe léTEMSp'késhntet IêïTemsiutor, font les titres des trois petites pièces. Voyt^ les Amans

RIDICULES.

LE TRIPLE MARIAGE Cmtt. de Néricault Detouches en un acte en profe, avec un divertissement dont la musique est de Gilliers, représentée au Ttfé. Fr»i. le f Juillet 17itf. Cette pièce fut faite à ce quel'on préteHd, fur une aventure arrivée Paris entre M. de S. Auli etfille et fon fils.

le TRIUMVIRAT tragédie par de Cr"billon donnée pour la première fois au Théâtre Français le r; Décembre 17/4, et qui eut dix représentations de quite. Lors de l'impression de cette pièce, l'auteur y ajouta le double titre de la Mort de Cicéron.

La TROADE. Nous avons trois tragédie fous ce nom. La premièreavec des choeurs de RoBërc' Gatnier impriméeen tf78 S qui a pour'fecond titre, la DESTRUCTIONde

Tjioïh. Là deuxième deSalebray, donnée en 1^40. lattoifiemcyde Pradon, qui fut repféfentée pont la- premièrefois fur le Thé. de rH6cél de Bourgogne, le 17

Janvier z 67$: Pradon a fuivi1l'ordre de la Troade de Sew^tar, en raflerhtlanc les deux tragédie aa'Eutipidt avoiréompoféesfous'les titres A'JïercultSi de la Troade; 8c toutcet alfordment neforme qu'uhe afe déiâgréablé piècemais commeelle ftit repréfehiée une fois devant là Roi,

Pradoncroirque cette circbnftance'fuffit pour le mettre icouvert de la cenfiire.it'TROC. fïyeç.lesTROQOBnis.irtTROiscOMBRESy Op. fAc.avec un Prololà Poiré S; Germain par la Troupeàxr- Reftiet.les TROIS' COUSINES, Cb/rf.' de- Dancdùrt, erl j Ae. enpro. avec un'Prolog.' et des" Iriter'm. dont la mûfiq. etoic•4+e TRO [Pièces.] TROtoujours avec plaiCr.Dans.une reprifê faite de cette en pièce 172.+, on y mit un nouveauProlog. etelle fut joui?vingc-fixfois. On a prétendu que cette Comédie avait étécompoféepar un nommé Barrau, et que Dancourt ne fitque la corriger etl'augmenter.les TROIS DOCTEURS RI VAUX petite pièce de Molierefaite pour la Province et doncil ne nous refteque le titre,

Les TROIS ENFANS DANS LAFOURNAISE. Voye(lei

ENFANSDANSLAFOURNAISE.Les TROIS EPREUVES. Voye^ l'INCONSTANT.

Les TROIS ESCLAVES, Corn, en Ac. en pro. par M. de

Saint-Faix, imprimée dans les Mercures des mois de FFv.1761 et

Les TROIS FRERES, Corn. en Ac. par l'Auteur de la Visj est UNsonge jouée au college des Quatre-Nations, le rI• Août1740.-Les TROIS FRERES RIVAUX Cpm.par La Font, en un

Ac. envers, donnée, auThéâtre Français le 4 Fév. 171'), avecvfuccès etqui se joue aflezCouvent.

LesTROIS GASCONS, Com.en un Ac.en pro. avecunDit.de La Motte et;Boindin représentée au Théâtre Françaisle4

Juin 17 01. Elle en: imprimée dans le Théâtre etfouslenom de Boindin. Onprétend cependantque cetteComédieeftde LaMottefeul. Il l'avait, . dit on, compoféepouravoir. fcnentrée à' la Comédie. Se trouvant indifpofc.ilpria Boiadin d'aller la préfentef aux Comédiens.Ceux-ci7 donnèrent de fi grands applauditremens que Boindin,

Tcdupitar les éloges, la laiflainferire fous fon nom, etprofita, des entrées. La Motte voulut bien lui pardonnercette fupercherie , et compofala Matroned'Ephïse qu'ildonna fousTonproprenom, etlui-même.

LèsTROIS ORONTES Coin.en f Acen vers parl'Abbé

Boitrobert, tirée du contedés trois Racan, . repréfentéeà(l?H6tel de Bourgogne en en Uj}.

Elle le trouve dansle Même volume du Recueil défançi'en

ThéâtreFrançôù.JLa. Çomédièlde?Trois Orontisî ao fctvi demodèle à celle desTrois GASCON•S•.;Les:TROIS JOURNÉES D'HELIEj' par Miles de Norrr.

Onne fait rien:de;plus pièce.

TRO [Pièces.] TRO 441

LesTROIS PROLOGUES Op. Comi. en Ac. nièlc dechants etde danfes donné le 0 Juin 1 739 par M. Pannardce qui formoit les trois Aftes de cette pièce, étaitle REPASALLÉGORIQUB, l'AMPHIGOURI, et un Prologue.

LesTROIS RIVAUX Com. en f Ac. en vers, par un anonyme, qu'on dit être M. Collé, repréfentre au Théâtre Françaisle + Février 1743. On donna aulïi à Luneville le 3 Juini7fg un Op. Comi. en un Ac. et en vaudevilles, fous cetitre. Il est de M. Prevoft, et a été imprimé.

LesTROIS SPECTACLES. C'est le premier ouvrage ded'Aigueberre il est compote d'un' Prolog. en pro. et detrois petites pièces en un Ac. favoir la tragédie de Polixeneen vers; la Com. de l'AvARE amoureux en profe, et la

Paflo. kiroïq. de Pan xt DoRis, erpece d'Opéra, avec'un

Bail.et des chc::urs, donc la mufique est de Mouret lapremière reprcfcntation du tout Cedonna aux François le

Juillet 1719, et on le trouve imprimé dans le douzièmevolume du Théatrt François* Le succès de ce fpeâaclé luiattira une Parodie au Thé. Irai, fous le titre de Melpo-

MENEvengée, qui ne pas etdepuis ( le Septem.i7ij ) l'Auteur lui-môme donna à ce Théâtre une Paro.de fa tragédie de en un Ac. et en vers, fous le titredeCoLINETTE.

LesTROIS VISAGES Com. en un Ac. en vers, par de Vittiers;en :11'(.4-. Cette pièce est rare.les TROMPERIES, Com. en s Ac.en pro. de Pierre La'

Rivey donnle à ce qu'on prétend, en Yr 97 et impri-

LeTROMPEURPUNI, ou I'Histoire septentrionaie,

TriglCom. de Scudery, imprimée en Y*}?, in- 8". Elleest tirée des Romansà'Aflric etde Poltxandre.

Le TROMPEUR- TROMPE, on la Rbncoktre imprévue

Op. Comi.en-un Ac. parVadé, donné pour la' premièrefois Ici JFév. 175-4. C'est -une fore jolie pièce. Voye^

A FoORBB'TODRnE"HT DEMt:iésTROMPEURS'TROMPÉS, ou\e% Femmes vjertoioses•;; Com.eh"nn'A'eJ en vers par.Rofîmondvdonnéeen 1 670;v.

Pafio. dédiée aux, beaux44* TRO [Pièces.] TUR

Efpnts par un anonyme, en iéji. Eette pièce est £Onrare.

Les TROQUEURS, Interm. en mnGqueen un Ac.donnéil'Ûp. Comiq.le o Juillet 175-) et qui eut beaucoupdefucczs les paroles en font de Vadc et la mufiquedeM.

Dauvergne. C'est le premier ouvrage de ce genrequenousayons dans le goût proprement Italien.

M. Farin de Hautemer donna la Foire, en '7f6, unePirodiede ceccepiece, fous le titre du TROC.Elle eftenun

A

LesTROQUEURS DUPÉS, Op. Comi.dont lesparolesfontde M. Sedaine etla mufique de M. Sodi il fut donnéle6 Mars 1760, et nerouflîc pas, quoique mieux accommodéau Thé. que les Troqueurs dont c'est le mêmesujet.

TROYE. Voyt\ Destruction' DE TAon., et Histoire.

Les TROYENNES, Trug.- de M. de Châteaubrun, donnéeau Théâtre Français le 11 Mars 17^+, et qui a eu du succès, après différentes corrosions. Ilry avait plus de trente ansque cette pièce était composée, mais des raifons particulièresavoient empêché l'Auteur de la faire reprefemer.

Elle fucremife au mois de Novembre fuivant et au moisde Mai 17 ff.

Les TROYENNES DE CHAMPAGNE, Op. Càtû. en un

Afte, par Vadé, donné à la Foire S. Germain le premier

Février 17f j c'est une. efpece de Parodie des TROYENNES, et elle eue peu de fuccèe.

TURCARET Com. en 5 Ac. en pro. de Le Sage mife au

Théâtre Fran. le ^Février. i7O9..Gette* pièce n'entpasiingrandnombrederepréfentations, à- caufe du grand froidqu'il faifoit mSifon'Ia' revoit Couvent-avec plaifir. Elleoffreau naturel lai conduite de quelquesTuns. de nos Finanders..leurs' dépenUèsexceflives, leurs folles amourspourdes femmes dei condition , .dont ils fent.ordinairementlesdupez enfin le manege de la plupart des nouveaux paryenastyeftfi'bierifmàrqué:, qu'on croit voicrtéVivre lès-Bourvalaisaa let dédia Noue amtquekltstraits de cette

Comédie se pouvoient particulièrement appb'qtfeïi Elle est

TUR [Pièces.] TYR'

Pidte.Boiteux, dont unepartieeft un Prolog. etle refleoijecritique, etqui fut jpué dans la nouveautéde cettepièce. Ellefetrouve impriméedansles OEuv.de.Le Sage, etdansleonziemevcl.du ThéatreFrançois., et avoitd'abordétécompo{cefous.letitre desEthennfs-, en unfeul

Aâe, etpréfenrécauxComédienspounêtre jouéele premierJanvier1708.

Ils le réfutèrent:, fur le. fondementqu'ilsn'admettoientp-oint.de petitespiecesdepuisla Saint

Martinjuf-qu'àPâques. Comme le fujer pouvoitfournirbeaucoupL, eSagel'allongeaetlemit enActes-, commeonle voit aujourd'hui.

TURN.US, 7«gt-i.rée de ÏEne'ide, par BToflel'aîné, en1646.Ilyavoit déjà une ancienneTrag.intituléeTurnbcompofée par JeanPrevoft, en 161+, 8cqui est avec des

LeTUTEURCom.de Dancourt, enun Ac.enpro. représentéeauThéâtre Françaisle 13Juillet169y, avec fncccs.Elleeftincitéedu.conte du Cocu, battu et content, et on latrouveto' metroiliemede fesOEuvres.

Le TUTEURT. ROMPpÉi, eced'unAc.enfeenesdétachées, jouée;à Verfailles.devant Monseigneurle Dauphinle i r

Décemb. 175$ par les Comédiens.Italien.lesTUTEURS, Corn, en deuxAr. en vers, parM. PaliflbtdeMontenpydonnéepour la premièrefoisavecfuccèsauThé.Frau.le lundi z Septemb.I7f4. Cette pieceeftdansle, goûtde la bonneComédie..

LesTYNDARIDECS'.est le nom.qulfut donnéeCafloret

Pollu^enfànsduRoiTyndarus.Danclietafairune tragédie furce.(ujet!^laquelfluet repréfentéepourla premièrefoisle 16.Décembre1707. On fit fur cette pieceuneépigrammequifinifibkpar les trois vers fuivans;:îria.Vertucufe Zlaïrt

Demeure entre deux fiouls Rivaux

Hontcufemen: Vierge Jk .Martyre.

TïliBT, SIDON', Tragi-Coml avec. des; choeurs par Dancheres, imprimée en i

Nonsavons encore une Trar. deTyR et Sidon donnée par en cinqActesenvers. La première journéereprés en lteesfuneflesfuccèsdesAmoursde Lionttetde Philojînekla feconde, lesdiversempêcherhenets l'heureuxfuccèdse

Bclcitretde Meliane.le TYRAN Come. n r Ac.en pro.parFontenelle impri- mée en 17rr dansfesOEuvres.

V

Les VACANCES, Com.de Dancourt, en un acte et en prose avec un Divertissment dont la musique croit deGilliers; elle fut jouée au Théâtre Iran, le 31 Octobre 1696 et s'y redonne souvent. La scène ca dans le villagede Gaillardin, qu'onfuppofeen Brie. Cette pièce est dansle tomequatriemedesOEuvresde Dancourt.

Les VACANCES DES THÉÂTRES, Op.Comi.enunAflî, par Fuzelier, donné le premier Avril1714. C'étoitunecritiquede toutesles piècesdonnéesl'hyverprécédent.

La VACHE 10 ParOIen deuxActesde l'Ôp. d'Isis, par

Charpentier, donnéeà l'Op. Comi.dela FoireS. Laurent1718. C'eftunefort mauvaisepiece.

VALENTINIEN. Foyer la MORT de Vaientinian.

VALERIENTrag.de Riupéroux jouéeunefeulefoisle u

Novcni.b.1690, etqui n'elt pasimprimée.

Le VALETASTROLOGUE, Com, en un Ac. en pro.par•Nie. Grandvaljrepréfentéeà Rouenen11^971

LeVALETAUTEUR Corn.par.Delîfle, en 3 Acteenverslibres, repréfèntcefur le Thé. Ital. pour la premierefoisle z Août1738 etqui fut allezapplaudie quoiqueletitren'ait derapportà la piecequ'autantqu'onveutbiensVprêter, en effet, celui de Valetintriganteft toutauplusceluiquis'y trouverempli, n'étant queftiondefapartqued'inventer des fourbe!/Le. VALETEMBARRASSÉou, la Viïilib amoureuseC, m.en vers;et en } Ac.par Aviflè donnéeavecappUudifle-"> –, men^fur le Thé. Ital. le ijMai1741.

LeVALETÉTOURDI, Com.attribuéeà. Rofimonmd;ais':, 4f.nt-pnn. 'indiqupeasrle'tems'précisde-larepréfcntation.;1JÇ'pft yraifemblablement la mêinechofequé.leQoi-rRoquoi

VAL [Pi£C£S.] VAU <4fleVALETMAITRE.Il y a deuxCorn, dece titre 5l'uneencinqAdesen vers, non'achevée, brûlée dans les fripiersdeDufrény;l'autre en Aftes auflîen vers, par M.de

Moiflydonnéeau ThéatreFran.le 6 Oflob. 171-1pendanrlevoyagede Fontainebleau, et.qui n'eut que iixreprésentationÉs.lle est dédiée à Monfeigneurle Dauphin.lesVALETS, Op.Comi.d'unActe, donnéle i Septeruijre1741, parM.Favart, etnonimprimé.

LesVALETMSAITRES, Cornd, eJBoiflyen deuxActesenverslibres, donnéefur le Thé. liât.le i$ Fcv.1748 etnonimprimée.

VANDAR, einedePologne, Trag.de Linant, donnéeau

Thé.Fran.le 17Mai 1747 etqui n'eut que cinq repré-!fenntionsE..lle est romancfque•etmal écrite, etn'a étéimprimée qu'en17;o.

Les VAPEURCSo, rne, ntroisActesenvers, brûléedanslespapierdseDufrényà famort.Voyi^hMALADSEANMS Audis.

Il a parupar la voiede l'impreflionen 17;}, unepiecefousce mêmetitre desVapeurs elle est en un Ac.enversavecdesvaudevilleseta étécompoféepar M.Le

Fotr. •

VARRON. Il y a deux tragédies de ce titre la première par Dupuy mise au théâtre le i4 Novembre 1687 et qui n'eut que sept représentation, malgré les changement que l'Auteur y fit après la quatrième elle n'a pas été imprimée.

La feconde, de Mi le Vicomte de Grave, donnée au

Théâtre Français le ao Décemb. 1751 et retirée après la fèiâenierèpréfëntatibh. Cette pièce, qui est toute d'ilivenlion, fut donnée à la'première reprefentation fous le titrede

ZoraÏdk: elle réuflit principalement par les fituafionsbienménagées; on a vu peu de tragédie où il y ait autantd'artet de conduire mais on auroit fouhaitéde trou-«rdans!celle-ci plus d'adiàriet d'intérêt, .-•j i 7

LE VASSAL GÉNÉREUX tragi-comédie de Scudery, représentée en i6ji, et imprimée en itt^s. .

VASTHI RÉPUDIÉE, tragédie de Pierre Mathieu , érnf 88. fty^auffi Esther et Aman;

MVAUDEVILLOE, p. Comid. 'unActe, pàr.M.Panharddonnélé y.ïév. i7}7:>Acremi*le 104+ VEA [Pièces.] VENdeschaneemceonnsliderablesquienontfait unepiece toutedifférentIel. n'est pas imprimé.

Le VEAU PERDU, comédie en un acte en prose par La Fontaine, mise au Théâtre Français avec succèsl, eiz Aoûkt î^ fouslenomdeChammélém, aisquin'eftcependapnist dansCes

VENCESLATSr, agd.eRorroud, onnéaevecungranfdie.ces, en1648.C'eftlafeuledefesTrag.quiToit refteeeapolîèflîodnuThéâtreoùmalgré(onairgothiquetefaverfificatifounrannéee, llea fait toujourbseaucoduepplaifîrC. ettepiecefetrouvedansle premievrolumdeu

Théâtre c'ellenquelquefaçonuneenversd'uneTrag.Espagnole intituléeOnnepeut êtrepereetRoi, etquieftdeFrançodiseRoxasdonltesouvragefsontdanslaBibliothèqduueRoi.

En17n M.Mar-• montereltouchtaotalemenlat piècedeRotrouet, lafitjoueravecfuccèsO. nla trouveauiliim.primédeecette

LefsaVçEonN.DANGENSo. ûsàvonsdeùCromf.ouscefimpletitre lapremièrpearDancduret, n unAc.enpro.avecunDiv.donltamuuqé. toitdeGrandva'llepère, donnéeauThé.Franl.e;oSeptemb1.694, etimprimédeanlesleféconvdol.deCe

LesVendangesOp.Comein.unrAdeparM.Iavan, donauvillage d'ArgenteuiJ. v

LesVENDANGDESE CHAMPAGNOEp, .Comi.ithzelierenunAâedonnlée xxSéptertA1r7e14etnonimpriméL. tf ySeptem1b7re}»on redonncaettepiècefontletitre desVbndanDgsEshazard, etavéqcuelquKchangeméns.

LesVENDANGDEESLAFOIR.Elâeced'oeAi âeenécriteauxiparLéSageet

D'Ornev, 'àdlbnoé.ei laFoiree, n

Septemb1.714, par la TroupdeeDoleretLaWace, *..non impriméeC.'étoiUt necritiqutetès-^wvdeesVenda»-

GtsdbChampagneetmêmedesAnceûetrsAâeadrse-lesVfi^fOAN«3DEE5StfltëSNB, DuRemouas

Dancourt, qui l'a prefque toute copiée, nous en a donnénneautre en un Ac. en .pro. avec un Div. dontla.mufiqueeftdtGilliers:, elle'fur.}ouce pourlapremiere»foisauThéâtre Françaisle J Oftob. 165; eteut un succès très-brillant, ayantété repréfentee trente-fèpt foisde fuite.On la trouvedansle tome troisième de CesOEuvres.

LaVENGEANCECOMIQUE, petite Com.en profe de M.

D'Alençon., tirée desMule et un jour., etmêlée de fcenesitaliennes, jouée au Théacre Ital.le 16 Juin 1718 et quin'eftpasimprimée. C'est à peu.près le nome sujet que le

DoubleTour-

LaVENGEANCE DE COLOMBINE, ou Arlequin beau-

Fkirs DUGrand-Turc Com. en 5 Ac. en pro. avec un

Prolog. et la Parodie de l'Opéra de Tancrede par Barbier, donnée à Lyon le 1 Juillet 17*3.3.laVENGEANiGE DE LA MORT DE CÉSAR, tragédie de

Guerin de Boufcal. la Mort DE BR.UTE.la VENGEANCE DE L'AMOUR, Com. de Jolly en j Ac.en vers qui ne fut jouée qu'une fois au Théâtre Français Je 4

Décemb. 172, 1 elle n'est pas imprimée.la VENGEANCEDE MELPOMENE, Op.Comi. en formede Prolog. donné lé 11 Juillet 17; à la Foire S. Laulent, et non imprimé il est de M. Fleuri, on l'a cependantattribué à M. Anicaurae.eu JIbponse a L'IUJRomptd.db Vs%sa.iiies Çom. en un Ac. en profe par

Villiersdonnéeà i'Hâ tel de Bourgogne à iafinde l'annéei«5: c'est une pièce facyriquecontre Molière.fc VENGEANCDEESSATYRES, Corn.Pafto. en J. Ac.eàver$, parllà..Da Ryer, imprimée en 1609. Cecte piècereparuten 1611 en 5 Ac. avec un Prolog.ce qui la renditfortdifférente.« VENGEANCETROMPÉE, Corn.-enun Afte ea.pofe, ivec unDivert. de Morand, reprifèntée à Arles. pourbjpreouerefois Je if Septembre 1741, etenûitte dansdifférentevsilles de Province.Elle est imprimée dans: fes

VENISESAUVÉE tragédie imitée de l'Anglois £Qtwïy.t etfois fcr notre Thé. le.; De44c8embre

VEN [Pièces.] VER 174S avecfuccès.Ceft la premièrepiècedeM.de La Place Auteurde-latraductiondu ThéâtreAiighh,

LaVENITIENNE, 6+™Opé. C'est une Com.Bail, cn

Ac. dont*les parolestout de La Motte, etlamuliq.de La Barre la preiniererepréfentations'en donnale 16

Mai 170; elle n'est pasimpriméeen mulique.LeP;ol.est entre MomusetEuterpe-le Div. dece Prol.eftformépar touslesComédiensItaliensà caraclere.Onn'ajaniiisremis cetOpéra, il en parut feulementquelquesmorceauxdansles

Fragmens en 1711.

VENUS Fêtegalanteen un Afte, avecunProlog.chantéedevantMonlèigneur, le 17Jar ;er 1698. LesparolesrafontdeDanchet ette trouventimpriméesdansfesOEuv.

La mufiqueeft de Campra. Voyc^les FragmensDO

LULLY.

VENUSET ADONIS, 4imcOpé. C'est uneTrag.enAc.dufameuxRoullèau miteen mucig.par Defmarets.Ellefut reprclèntcepourlapremierefoisle 17Mars1657, eteU:impriméepartitionwz-40.La fcenédu Prolog.eftuneplaine bornée par la vuede Marly deuxNymphesetle

PafleurPalémonen fontlesinterlocuteurs.On n'a remitcet Opéra au Théâtrequ'une*feule fois en 1717. f'oyt{-/Amours de Venus et ADONIS.

Le VERITABLE SAINT GEN EST, 2ra.de Rotrou.donnieen Trois Comédiens, fçavoir Gencfi, Ardalion i:

Porphire devinrent. Cllétiens en jouant les Myfteres denotre Religion et , tous trois le manyre. Cetrait de l'Hiftoire Ecclcfîaftique a fourni le sujet de cettepièce. · :

Les VERITABLES FRERES RIVAUX Tragi Com, par

Chevreau, en f Ac. 'en vers, représentée par la Troupe• Royale, le 4. Aoû:t64i. 1-

La VÉRITÉ FABULISTE, Com.en un Ac. en pro. mêléede

Fables en vers libres avec.un Div. par De Launay, repré-..• -/entéepour là première. fois au Thé. Italile 19 Novem..Inesàcette pièce., 'j: .••

La VERITEMENTEUSE, Corn, attribuéeà Boifrobert, et.indiquéfeansdate' : '"'•

Le•:••-VERT-GALANTC, o, m.deDa•ncour•te; n unAc.enaPvreoc

VER VEU

Ff•TecùrtDivéjrt.'mlsen mufiq. parGylièrs.ireprctentéaaa-Théàtte Fran. Iélr4 OâdbrCi7i4t'£'avënturê'd'un Teinturier, qui pour, se venger. du galant de là .femjme, le fie' reindrè enVeit dansant de'les chaudietes, fudàifie parv Dancourt.pour' dé rcette pièce, qui setrouve dans le OSuyrei.^ Jy"ta VEÛVEiNoiis-TtTÎDns'urbisJCom.dé ce1 fithplë. titre. Laf-première en Aci1 eriprp.-et irhprirnée en 1579, è'ft delia deuxième, en Aç. èh" vers, , aufli'intitule lorsdonnée em<}4 pàr^Pierfê Corneille, et, se- trouve tome--premier de fes (Suy.'certé^îecè'h'est pas plus" régulière:

Fran.' le; }.ojjailletbeaucoup. •u'~r ''»>^>">iïVEUVE À LAMODE1.1Ity

Separ d'au--'trë^Auieurr, jâWeéh ïffî'i t>frè;deMM.

EU etSaint-Foix, en.préfente les-grands'Tqiiwïbu Arrêts de' l'A Wpùr, Cetteoù 'on la reptéfértta poui"«fremiere fois le i6 Mars ifî6}maîs!ëïie tièfkpasiin-"rifitaiéeîOn! fremier tomedà^Nbityedti TÙairt

Cà'nkeùvn Ati énpoiiiïéç un^fatjiî' -i5laVEUVEDEPIGMALION^Com, enen=-• - î: ••-•- f; • "•

UVEUVE ENPUISSANCBibE deux4n" VEU {PiecesA VIEinmt, par 'Madame La frange, .donnée a Rouen en

Là VEUVE

Afte^ont lecanevas Été..M, .angis^u WJ. avec taokle 1+ Septembre 1 7 V 9 > pour Tapremière fois. La mufiq.en.e(t ^e.Mî4 PmiJ et;est rÇ'est une efpece dpde Gqllfoni, traduite par M. Bonrid'da.yalgùiér /irnpria\ée in-%°..•-fts VEUVES. rwiçl'EcpiBD-ssVEOyHs.

LAN$QpENET, ;Cpw. de.Palaprat, "quiïeijtée auTKé, jolie pièce quiparunJe .illuftre Société ^estcette langoala YtlGTIMEDEIvE^Tj, on lajW<)K.r pt PiAOTins Sc-'i ^4NDs de£(ç Prades, imprimée

Ac, en vers Mpremière fois au Thé.fiûsfeméme*t^e. (p»ifui)jpué^, lçiii7vFév. 17171 avecun (ucces, la.Traduiftion françoife parde rEfpagno», de ou'du

Kous la Via estpn Sonch, "aûàîeh 3 Àce. n vers, tiréede la pieceECpagnolem, aieÚ çejlç deBoifTr ellefurreprefent»

VIE' î Pièces.] VIE' 4ri

Ffij/ascôllêgë dès-Quâtre-Nâtions lè ri Août 1758 aveclesCaptifs Comédie auffien 3 Ac.tirée de Plaute. Cespièce»eurent tant de fiiecès que Madame la Duchefledu

MainedeGralésvbiVrepréfenter par les/mêmesActeurs, qui allèrentlesjouer Sceau* le.24 du même mois. Ellesmeritoientcertainemeht cet honneur, par tes;beautés quis'ytrouventrépândues;engrand nombre, L1"Auteurde!cesàettxpiècesa gardél'anonyme il a fait depuis ALCESTE, le Dangerdes Richesses les Petits-Maîtres, etlet

U VIEILLARD AMOUREUX, Cow.énun Afte, par Mile

Pafcal cette pièce est envers de hûic (jrllàBes j elle fut faitefurune Hiftoirè arrivée' .Lyonet on Ta jbuàet impri-1itia danscette Ville en 1 £$4. J.:L'J, • '•le VIEILLARDCOURUE, Corn. en ç Ac. éh pro. par de

Vifi donnée trois fois au mois Je Mars: ïffe. C'ctoit àcequ'on prétend- unlet qu'onjoubit dans cène pièce, fous jélUotSûéFoifadèl, tpi était fon véritable nom", aune 4

AMOUREUX. •• V~ '' •xkaÀçienvers, tv'écm Dfy; rriifè au TWyïïârii'il ïtiûjéin.

Uïî juin 17 3 8 brl avôitdcjadonné même

Vïpas été non plus irrt^fime; - J0

VIEUX COQUETi ^lesDEbx èÛ3 /Aç.:faéefar*ô«fe'dansletà'mequ3irjèmê dù'THéatfié', JAiÎEÎbis', «îefcélier, en un Ac. en pro. avec un au Thé.

Comédiens Italiens , 9à la Foire, le 16 Septembre4J1 VIN VISde

Gamache, da-mômc Auteur;

Elle n'est pas imprimée. •

Le VIN DICAT1E. GÉNÉREUX., jÙom, de-Neriçault Deftouche!, en j; Aoenpro. représentée une feule fois le 10

Décembre titre de I'Amooruse qui lui est: plus.propre que l'ancré, , qui a peut-êtrecontribue i fit cnùte. Voyt\\a. préface de cette pièce.la fille d'Un tribun militaire, qui fatfiancée avec Itlicus Tribun du'Décémvir étant devenu amoureux de cette fille, fubornaun ciro^enpour.reyendiQuer Fïrgwie comme fon efclave:le Décemvir, devant qui l'agraire fut portée la lui adjugeapour, se là feife livrer enfuite mais te père de Plrghit, pour prévenir lai honte de fa fille, lui plongea dans le reinun couteau qu'il ûifit fur l'étal d'en Boucher. Cet événele^^erniere, de

Mairet, donnéetn•itfïS et rimjpnmée in-i?. en, : 1:. 6f. La féconde, de le

J Clerc en > et.la troifieifaë, de.Campiftron mite au

Tragédie.encore 11In josticb PUNIS.

Les VISIONN AIRES.-Com. en r Ac.; envers, par Definarew, donnée a l'Hotelié Bourgogne.en 16 37 c'est fon chefd'oeuvrî^ç, elle eut tant de succès que les beaux efprits de'ce tems l'âppelloienc Selon Bailler centpièce a ctècommè.iéfceau du yéritabie caractère de l'efrprit de foh" Auteur.'Quoiqu'il y introduife un Auteur. quis'pppoffe àjtétabliflèment dé la gênante règledes vingtquatreoblervee, et c|est-li'Kcof/dé' pièce ôuiellê l'ait été. On prétend que Deûnaretsy, a fait pl^fieurs, portraits d'après nature 5 que celle quide Sablé; que là Coquette était'filme Rambouillet. Leslui donna pas i' ayantage d'être. fepdansler\r~r, u_'VIS(Pièces'.] ÛNÏ "47*

Tfiiila VISITE DIFFÉRÉE, Corn, en Ac. en vers, attribuée

Jean Claveret, fous l'aimée 163 6 et peu connue.les VISITESDU JOUR DE L'AN Com. en un Ac. en vers, par Vadé représentée une feule fois fur le Théâtre Français le

Jaov. 1749 et non'imprimée.

ULYSSE, tragédie tirée de par Champ-Repus, etdonnée en 1 600. M. Du Tens a fait auflî représenter à Orléansune Tragédie intitulée Ulysse.

ULYSSEDANS'L'ISLEDECIRCÉ, ou tovvkoxb,

Tragi-Cornd, e Boyer, repréfentcefurleThé.desmachinesdu 'Marais, au moisdeDécembre1648.

ULYSSE ETCIRCÉ, 'Com.en Ac.éripro.pa'rLjS. A.D.

S.M.jouéefur l'ancienThé. Irai, le zo Oftob. ïÉ'jr. Onattribueunepiècedutitre de celle-cià de LàSelle onrla.dit impriméeen' connueêtre la même.; •

ULYSSEE, TPînàopb 8»« Opê.Cefl;urie-TV^en KLdeGuicbaid, mife enmufiq. par Rébel lepere: la Vrçmiererepréfentations'en:donnale 13Janv, 1703, et?llieeftimpriméeen îuufiq. partitionin-4°.LeProlo.est enrrjr'

Orphée, laiîcine, des Bergers des Sauvagés.On n'aijamais répriscet Opéra. • :.

UNENUITDE PARIS Com.en un Ac.'en pio.' avecnn

Prologue, par un anonyme, impriméeà- Bnuselles'en--1740, .wf, :<- .••• '

L'UNIONKAMOURET DECHASTETÉ Pàff^. mr; A8esenversxavecdes chxurs ouckanfons>par Albirai.Gaultier, imprimée en 160g. .i'->"'l'DNIORDJHEBti AVEC MINERVE/ ou le jeun* Dai>h-

Nis, CHEfDESBERGERSd'OEnotrie/ Pafto.hiroïq. aveades Intermed. en mnfique repréfencée par les Ecoliers de?

Dijon, Je 10 Août 1754 en préfence de S. A. S. Monfêi-• jjneur le Prince de Condé tenant pour la première foist., le Etats de-la Provincedé Bourgogne^ imprionéfriDlTi•.JQn, chezDelâJnt, in-40..-DES DEUX OPÉRA, Corn, dé Dufréhy en nttte- en pro, donnée for l'ancien Thé. Ital. le 1 6 Aait 16j t\L'Qw5iu.D»yiu.AGE, que les Comédiens Fran. jouèrentquelquetems après l'OPÉRA DECawtagne des italiens., donna Ijlcm. à cewe petite pièce.. • t'Û4 UNP [PIECES.] VOYl'UN POUR L'AUTRE, Paro. en.a»Aôe, .d>AMODiirbFRamour, par :M. Va.lois, représentée aux Marionnetces àla Foire S. Germain 1741, etçpn imprimée.les VOEUX ACCOMPLIS efpece de Farce fur la naiflantedu bac de Bourgogne donnée- au, - Thé. Irai, le c Oflob, :17 SI par M. Pannard. Elle est en un. Acte en. vers libres, et entrecoupée de quelques Ccenes Si vaudevilles dans Jegoût poiiîàfd.. •••le VOLAGgj, Çan, en deux Aâes, par A4. Moufton, avec3 desAriettes, dont Ja mufique est de M.Philidor, donnaau Thcatreltal. je 6 Mars 17 60 et qui n'eut que peu dei fuççès.A:la première jreprefentation elle parut fous le titrele VOLONTAIREv-Co/n. de Rofîmond, donnée le £ Marsu ^676 atj-Tkéatre.de .Gucnégaudj cette pièce est en un

Ade en vers , et n'eut que cinq représentations.repré, tentcejquatrefois au moisygRCESTER., , ou la Vengeancb raisonnes Tragi-Cm.• •frAute.ur;dif;.dans-ia préface, qu'on ne doitreoarderfapièce qué'comme.un eflai moral fur le génie Anglois.paroles deet la.mu/îque de M. Boifmortier;jl est compofe de quatre entrées et d'un Prolo-1 gue /ftlç'est-ie premier, Opéra :de-' ces Auteurs. Il fat, frgpréfenté.:pour, la, premierefois.le Mai 1736, et estgravé partition in- 40. les vers en font des plus lyriques.:;JLe Pr0logaè iëi parte -dans les. Jardins .de Cythere entrer. l'Ampur, la Volupté, les Graces et Zéphire qui-invite« -Çupidon à se bleûerde fes propres: traits, pour éprouver^ui-;même le plaifir d'aimerjee Dieu lui .répond, qu'iltrouver un coeur fidele Zcphire. lui confeilledeparcourir le Village; la Ville. et la Cour pour trouver cecoeur qu'il fouhaite; l'Amour Y confent, etc'eftceqnif?ie le sujet du Poème j dont la: quatrième entrée est inti-^ulce le Retour: mais il a beauvoyageret se transformer, le Village fèul lùL oflEreàn objet conftanr. La troisièmec entrée delce Balletv qui se paflbit à la Cour d'Augufteoù l'Amour, fous le nom: d'Emile, paroiffoit épris de la

URA [PUCES.]. USUffiiiifameufe comjne.aJeustres, l, es 'Auteujrrsenfufaftitueurënnaeut tre-etnrès-peduerems', etencet.étacteOt pérfautreprésendtbéç-hufiotisi.ln'acependpanotinéttéencorreemis.

URGANDTErayg.e.nj Ace.npro.ornéde'entréedse

Balledtse, machinetesdechahgemèdnesThéâtrep, ar LouvàlertjeunerepréfendtéeevanStaMajéfàlcSaint-

Germain-eri-Lleaijy.Jea, nv1. 679, etimprimiéne-40.

LeUsRNEVSIVANTEouSl, esAMOUdeRPShblidoEnTdk-PoLiBEUTrEagi-CdoemB.oifldineGall.ardibmhpriméeen1618.

Cettpeièceeften;quatreAâ.-chacundefqaeplosrteuntitredifférenltepremiePrhilidofni*le dernieZr;./kinc«o-Qel^-lnLe'Aa lcyùiu point de dénouement.

L'USURICEoRrne, nAc. dontl'Auteunrej-ugeapaspropdoesCefaireconnaîtreo:ncroitpourtaqnut ec'estdeyifé}ellefutjoncele1 îév. i6$f alternativementavecI.aTrag'd. 'ANDRmômaiscils'enfaptbieqnu'elfefût:reçueaufffiavorablemeCn'te.fftéuveJn-tdfcun

Auteulre, fortdespièceqsuiattaquelnetsmoeucrsorrompudeus"fièclVéd'êtrceritiqujédeasnslespremièreslépréfentatoionfnèsrécrifaur-todnetcequ*oniavmoiistfur.lTehéd. esAbbéset, onappliquàaunparticulcieergniconvenoàitplusdemilleC.e«peiècne'apasété

L'USURGIEERNTILHOMCMbEmd, .eLeGrande, nun

Aàeinproa.vetcin1Divm.isenmufiqp.arGràndypaèlrerepréfenatuéTehéF. ranl.e11Séptéiribvï}e;;ïfa, veui;ntfatrnètsef'egdroafurnicndfledoèuCsv;eetantpuetetitpeièceq, 'uie'ftfortréjoûif- Publi3cc'efut.ne.peintudrep

Payfaennsrichiqsuifaitvoiqr uelafortunneecorriga Onla, xr, ottve_ledtaoAsoSe>

HéconddnThèatredLee'Gran•d•.'AÏ* , M]x£r" ";••. :xér'

X

XbrcÈs -Tntg'f ar Crcbillon quine.fut repréfentce qu'unefeule fois, le 7 Fév. 1714 , ¿!en) paru par l'impreflionaprès C^tilina, du même'Auteur.. [ , i

P. Jcfuite,

Y

YEU YPH PHILIS CHANGÉS.EN ASTRES, Paf..torde, de, Bourfauli, en' } Aôes.en vers, représentée enikMçtamorphofc des yeux de Philuen 'Aft'res 1.qaiett tant d'honneur à l'Abbé de Cerïfy que Bourfault mit en Paftorale. Vqyei la Préface de cette pièce tome premier de fes OEuvres.

YDYtEIJE LA PAIX les vers, sont de Racine, et la mùCq. de Lully il fut chanté à Sceaux dansl'année 1 68 y-, et, est impriméen mufiq» partition générale ïn-fal.. àvec.'rEeioGVB db Yersaiu.es, aufli de Lully.1 Ces.Divertiffëmens ont été repréfentés, par l'Académie

Royale de-Mufiq. erifemblé ..pu.'fiparcment en differenstems. • -

Z

ZAÏDE, Trag, par La Chapelle donnéepour la première fois le 19 Janvier i*8i elle se trouve imprimée dans les oeuvres de cet auteur, et dans le dixième volume du Théâtre François. Le nomde Zaïde que porte cette pièce, ainsi que l'Opéra de l'article fuivant, ne leur donne rien de commun avec le beau Roman que M. de Segrais, ou plutôt Mme.de la Fayette a fait fous ce titre.

ZaÏdf, i } 5 meOpe.C'est:un Bail, héroïqueen 3 Adlespré-.cédés-d'un.Prolog. les paroles, font de La Marre, et lamufiq.deRoyer elle- e(l gravée partition in- fol. la premièrereprefentations'endonnale j Septembre1739 etil eutdu succès.Le Prologue se paÛeentre Mars, Venuset l'Amour. Le füjet de la pièce est à peu de chofeprèsimaginé; il.n'y a d'hiftorique quela haine des-Zégris SedesAbericcragtson auroit voulu que lefondsde fût l'ouvrage plusintéreflant etla verfifîcationen fatisfîtplusque le.plan.Cet Opéra a pourtant été remis en 1745et en 17f 6.

ZAÏRE, tragédie de M. de Voltaire, donnée au Théâtre Français le i) Août 173*. rilufieurs Dames avaient reproché à l'auteur qu'il n'y avait pas assez d'amour dans les tragédies et quoiqu'il leur eut répondu qu'il ne croyait pas que ce fût la véritable place de l'amour, il voulut leur prouver qu'il pouvait en mettre comme un autre et il composa Zaïre, qui fut faite en dix-huit jours cette précipitation ne s'est point fait sentir dans cet ouvrage, qui est tout d'invention, quoique appuyé sur, l'hidtoire des Croisades ni dans fonfîiçccs ayant eu plus de trente représentations de suite cette tragédie est regardée comme la plus intéressante de M. de Voltaire, et l'une des plus touchantes qu'il y ait au théâtre.

Il en parut deux parodies mr, le Thé. liai. l'une; fousje titred'ARLEQÙAiNUPARNASSEet, l'autre fousceluidesEnfans

TRoovÉs.Ellea été traduite en Anglois, etjouée 4, Londresauffiavecfuccès.

ZAÏS i y.4raeOpé.'G'eftun Bail, hérqïq.en quatre Ac. dontles vers font deCahulàc, et la mufîq. de M.Rameau':ilfut la premièrefois le 19 Fév.-1 748 et:estgravépartitionin-q, 0.Le sujet du Prologueeft le débrouiliénientdu Cahospour la formation de l'Ûnivere. L'idéedéjà pièce eflunGéniequi, amoureux d'une Bergère digne.detoute fa tendreflè parlesépreuvesqu'ilen a fait, renonceàfâ puitrancede Génie deTair.pqur-ne-plus^abandonner(à majtreflè, Cet Opérafut repris ayecdes:_chan*f8 ZAR iPiscsïii ZEtgemens, lei5 Avril delàmêmeannéeentier. •

ZARÈS, TriJ£donnéeau Thé.Fran. le 3Jui.ri 1771jetquin'eut que trois repréfentationsmalgré teschangemensqu'onniaudénouement après la première.Cettepieceavoitdéjà été offerteauxComédiensdèsla fîrr dé 1749fousle titre deSARDANAPARLoEi, desAlTryiens etdont

Zariseft le fils M^EaliflbtdéMontenoyenéft l'Amennil se pla inÇtenSiapréfaqcuee lésComédiensont jouéuneaurrëpiecéquela fienne:r- < •>

ZARUCKMA, tragédie par M. Cordier, donnée pour la première fois le 17 Mars ij6z et avec succès, par les Comédiens Français.

ZELIDE Çom.enun Afteenverslibres, avecunDivenifl.donnéepour la premièrefoisau Théâtre Français le -16Juin17fr. Elle est deM.RenoUt, qui la retiraaprèsla neuvièmerepréfentation.

G'eftuneféerie très- jolieellen'a• pas encore été imprimée. dev“antle Roia Verfaillesfurie Thé. despetitsAppartemens, le 13Février1749j les parolesen-fontdeM.Curi, et.furentmiresenmusqué parM.Ferrand.

ZELINDE, oala Véritable Critique va iEcoudks

Femmes etla CRITIQUE DELACRITIQUB; Corn, en un

Ac.en pro. imprimée à Paris, -in-n- en \66 j etattnbnce• àdeVifé.

ZÉLINDOR-iRoi dssSilphes 14^= Opé.C ettun^w.d'âne entrée, dont les parôles >font'deM..deMoncrit, slamufiqVdes fleurs Rëbel et Francoèuril fut repréfentepour la première fois devant SaMajeftéaVerfailles le' 17Mars I74f et à Paris lé 10 Août fuivant. Le Prolog.îhtiràlé. le Trophée irépréfente le Temple de Mémoire, : #fut faït a la louange du Roi, après la bataille de Fontenov.

Cet Opéra, qui eut beaucoup de Çucces.elt graveen mufiqVpartition in-40. àmfi que le Prolog, que Ballard• emploie^ commeun Ouvrage Téparé' dans ron_Recue!ien à paru une Paroi fous lé titre de Zephiri-ïT-FtinRBTTB i eton le redonne foûventï1 ZEL ZEN 4fttentéeà Verfaillesle et le 10 Mars1746. Cette pièceaétéfaiteexprèspourla Courparde LaNotié, Comédien

Françoisla mofiquedes Intermèdeselt du fameuxJcliottedel'Opéra c'est un fiijetde Féerie, etellefut fortapplaudieâuflîeft-ellerempliedetraits naïfs8t délicats.

Lorsdela représentation'du: 10Mars, «on .changea le» quatrièmecouplet du Diverriflèment, qui avait. para), contendireslouangestrop, fades, ce -qui.donna.lien à»unefécondeédition,

ZELMIRETraj. deM.Belloy donnéeau Thé.Pran. le 6

Mai1761î etqui a eubeaucoupdefoccès.C'est un fujecd'inventionm, aisextrêmementbientiflu bienconduit etmêmeneuf:cettepiecefucimpriméeavecquelqueschangemensquin'avoientpasétéjoués.

ZELOÏDEp, etiteTrag.en unAc.en pro.parM. deSaintïoix, repréfentéeau Thé. IiaL le z9 Mai 1747 avec-le

DOUBLDEÉGUISEMEetNATrlequin auSerraii précédéesd'un

Profog. et fuivies d'un Diveniflèment.

ZELONIDE, PRINCESSEde Sparte -J'Abbé Geneft, reprc(èntée le 4 Février 16 Si et qui fuc donnée dixfeptfoisde fuite elle se trouve dans le, cinquième vol. duthéâtre François.- •

ZEMIDE, Bail, en un Acte, dont les-paroles font dé M. le1 Chevalierde Laurés, et la mufique de M. Ifo il fit partiedesFragmens que l'Académie Royale de Mufiq., donna ietojnilleti7f9. •

ZEMINEET ALMANZOR, Op. Comi. d'un Afleydonné le 17 Juin , 173'0, par Le Sage, Fuzelier et D'Orneval.

ZENEÏDE, jolie;Cem. en un Acte en vers libres, par Cah'uetCj donnée pour la première fois au Théâtre Français le iij Mai 1743 et accueillie très favorablement. Quelques Critiques ont prétenduBueplùGeurs perfonnes avoient eu part à cette pièce, qui:ft rejoucaflèz fouvent; .s./

ZENOBIE. Nous avons quatre tragédie de ce titre ; la première est en prose, et traitée dans les règles les pins exactes de arc.' par fut donnée, fans aucun. '•«"cbccs en 16+f La'fèconde est Zenobie REINS d'Arme-^ ( Voyt{Rhadamistb) mifeau Thé. en 16jo par

MontaubaLna. troifiemeeft Zenobie Reinbb* Pâèmï-'et8> donnéepar laiTroupe de mois, de DE.46t> ZEP [Pièces.] ZEPcembreifif j.C'eftprelcjuela pièce de 1 AbbcD'Aubignac, • inifeen'yers par Magnan'; et quine réunit pas mieux, la^quatrième enfin est par un anonyme; elle fat jouée cinq fois en Novembre j«9j, et n'a pas été imprimée ;on>lafoupçonnede l'Abbé Boyér.1 /<• • "-

ZEPHIRE-ET FLEURETTE1; Paro. de Zbundor, en una .'Aç.donnée pour la première fois au Thé. Irai; le 1 Marst7f4; et qui eue du fucccs.'Elle est de MM. Pannard, Favartet Laujon. Cette pièce dévoie être jouée par les Co-0 riiédiehs Italiens des 174 j, mais les Parodies leur ayantété défendues dans ce rems, elle ne put avoir lieu. Unecopie en étant tombée entre les mains du (leur de Ville-• neuve Comédiende Province il y ajouta quelques couplets, la fit jouer à Besançon et ailleurs, et la fit imprimée--finsnomide lieu ni d'Imprimeur. Lorfque les Parodies:eurent été-rendues au Théâtre Irai. les Auteurs voulurent-'tirer: parti de celle-oLymais comme par le changement decirconstances elle demandait à être retravaillée, M.f avait

Cechargea de ce foin avec M. Pannard.

ZEPHIRE ET FLORE lime Opé. C!est une tragédie dontksvers font de. Du. Boùlay-, et la mufîq. des fils de Lully; le

Prologue' etle premier Acte font du cadet, Jean-Louis,

Surintendant de laMùfîque du Roi; l'aîné, Louis, fît le• fécond etle troisième Ac. à la réferve du Divert. etdela'Icene qui le procède, - qui font encore de fon frere:cet

Opé. fut représenté, jour pour jour, au bout de l'année duidécès.de leur père, c'est-à-dire le 12.'Mars i<8g; il estimprimé-en muli. partition in-fol. et a été repris en 1715-la (cène du Prolog. Ceparte, devant le Palais de Trianon;des Acteurs (ont Vertumne Dieu des Jardins, et Pales

Déeflè des Bergers.

Zbphirb et fioRE Sali, heroïq. en Actes en vers libres, avec des Diverr. par le lieur Riccoboni fils repréfeméau

Thé. Ital; le 1 Août 1717 et non imprimé.

De Blamont a mis auflî en mufique un Bail, de Zephire et FLORE, pour la Cour., mais il est encore manuscrit.

ZEPHIRB Br FLORE, Paflo, en un Afte pat M» Baillere, re-

ZEPHIRE ET LA -LUNE, ou la NUITd'Et?, Op. Comi.tnan Ac.oar BoiiTv .donné le « SeDt. iti » vetnon imprime

ZIG [Pièces.] ZUL 461le ZIG-ZAG Voye^ le BARON ds la CRASSE.

ZOANTROPIE, ou VIEDEl'Homme Tragi-Com.moraleembelliedefeintes appropriéesau sujet (la France) par Francois Auffray imprimée en 161 +..

Z0RAÏDE, r7YJg.de M. Le Franc; cette pièce da pas étéreprefentée.Voye^VARRON.

ZOROASTRE, tragédie de Le Brun, en f Ac. avecun Prolog.deftinéepour être mife en mufiq. et imprimée en 1711.

Zoroastre 1 jïme Ope. C'est une tragédie de Cahufac, mifeenmufiquepar M. Rameaula première représentations'endonna le f Décembre1749 etelle est gravée partitionw-40. l'ouverture fert de Prologue. Les Aftes de la Tragédie roulent fur Zoroaflre inventeur de la Magieetinfticuteurdes Mages, qui combat contremauvaisMagicienfc fondateur de l'Idolâtrie. On remitcetOpérale i Janv. 17/6 avec des changemens conliderablesdansle Poëme et dans la muGque et il en- aparuune Parodie fous le titre de Nostradamds.

ZDLICA, tragédie par M. Dorat, représentée au Théâtre Français le 7 Janvier 1760, et redonnée pour la seconde fois le 11 v avec des corrections considérables.

ZULIME, tragédie de M. de Voltaire, donnée, sans être annoncée, au Théâtre Français le 8 Juin 1740. Cette pièce, qui est toute d'invention n'eut pas le succès qu'on s'en était promis sous le nom de ce célèbre Auteur, les trois premiers actes, et surtout le fecond, en avaient donné une attente avantageuse, mais les deux derniers n'y répondaient nullement. Elle ne fut pasimprimée alors. Le 19 Décembre1761, on redonna cette Tragédie avecbeaucoupde changeméns, et il en parut plafieurscritiques» Voyt{ la Tragédie Dz Zulins.

  Origine des théâtres

  Frise auteurs