Occurences de l'expression

dit

dans LES VÉRITABLES PRÉCIEUSES de SOMAIZE, Antoine Baudeau de (1660)

Options de recherche : partie de mot et  insensible à la casse

n  Personnage  Vers ou phrase Localisation
1ARTÉMISE Ce que vous dites est une v?rit? toute pure. Acte 1, sc. 2, ARTÉMISE, phrase 1
2ISCARIE Ce que vous me dites-l? est du dernier obligeant ; mais si vous voulez que je vous donne un quart_d_heure de divertissement, entrons dans mon cabinet je vous ferai voir un innocent que l'on m'a envoy?, dont l'encombrement du style est capable de faire changer l'assiette de votre ?me. Acte 1, sc. 2, ISCARIE, phrase 1
3BÉATRIX Dites-moi donc quelle langue est-ce l? que parlent nos Ma?tresses. Acte 1, sc. 3, BÉATRIX, phrase 1
4BÉATRIX ?a dites-moi ! Acte 1, sc. 3, BÉATRIX, phrase 1
5BÉATRIX Est-ce qu'il ne serait pas mieux dit : ? Soufflez ce feu ? que ? Excitez cet ?l?ment combustible ??, ? Donnez-moi du pain ? que ? Apportez le soutien de la vie ?, ? Voil? une maison ?, que de dire ? Voil? une garde n?cessaire ?, et seriez-vous bien assez opini?tre pour me vouloir soutenir que le pot de chambre que vous nommez l'? urinal virginal ?, l'est encore quand les filles et les gar?ons ont donn? dans l'amour permis, qui est selon le langage de vos Pr?cieuses le mariage. Acte 1, sc. 3, BÉATRIX, phrase 6
6BÉATRIX Dites moi un peu, y a-t-il aucun sens ? cela, non plus que de dire qu'une femme a des absences de raison pour expliquer qu'elle est jeune, et dites-moi enfin s'il y a rien de plus extravagant que d'appeler des tra?tres les ? Paravents ?, le Miroir un ? Peintre de la derni?re fid?lit? ?, un ?ventail un ? Z?phir ?, et une Porte la ? fid?le gardienne ?. Acte 1, sc. 3, BÉATRIX, phrase 2
7ARTÉMISE Il est vrai que cela n'est point dig?rable, et surtout la p?nulti?me ou avant derni?re Stance de cet insupportable portrait ne fournit rien ? l'oreille qui puisse exercer son avidit?. Acte 1, sc. 5, ARTÉMISE, phrase 1
8 ISCARIE Par une avidit? qui tient de la divine, Acte 1, sc. 5, v. 7
9LE BARON Que dites-vous d'elle ? Acte 1, sc. 6, LE BARON, phrase 3
10LE POÈTE Je sais parler emphibolog?tiquement : le langage des Dieux m'est ordinaire, et je ne me plains point quand on me dit que l'on ne m'entend pas, car c'est signe que je parle en oracle. Acte 1, sc. 7, LE POÈTE, phrase 1
11LE BARON Dites-nous donc un peu, Monsieur au net, votre sentiment sur les pi?ces qui se sont jou?es depuis peu de temps ; car j'en ai fort peu vu : m?me je fus l'autre jour aux Pr?cieuses de Bourbon, mais je ne pus entendre parce que je ne pouvais r?gler aucune posture. Acte 1, sc. 7, LE BARON, phrase 1
12LE POÈTE Que dites-vous l?, c'est la m?me chose, ce sont deux valets tout de m?me qui se d?guisent pour plaire ? deux femmes, et que leurs Ma?tres battent ? la fin ; il y a seulement cette petite diff?rence, que dans la premi?re les valets le font ? l'insu de leurs Ma?tres, et que dans la derni?re, ce sont eux qui leur font faire. Acte 1, sc. 7, LE POÈTE, phrase 2
13ISCARIE Ce que vous nous dites est furieusement incroyable ; car il me souvient bien que dans ces Pr?cieuses, il improuve ceux qui lisent leurs pi?ces avant qu'on les repr?sente, et par-l? vous me diriez qu'il s'est tourn? lui-m?me en ridicule. Acte 1, sc. 7, ISCARIE, phrase 1
14LE BARON C'est assez parler de sa m?thode, puisque vous avez ou? dire de son Don Garcie, dites-nous un peu ce que c'est ! Acte 1, sc. 7, LE BARON, phrase 1
15LE BARON Je sais quel est ce d?faut mieux que personne, et un des mes amis le dit plaisamment ? son auteur, il fut jusques chez lui le trouver, lui ne le connaissant point, lui demanda ce qu'il souhaitait ; mais il fut bien surpris quand il entendit qu'on avait trouv? un grand d?faut dans sa pi?ce, qui n'?tait inconnu ? personne. Acte 1, sc. 7, LE BARON, phrase 2
16ISCARIE Ne nous tenez plus en langueur, dites-le nous vite ! Acte 1, sc. 7, ISCARIE, phrase 2
17 LE POÈTE Par sa langue maudite et toujours empest?e, Acte 1, sc. 7, v. 17
18LE POÈTE Pantagruel entre avec un confident et dit : Acte 1, sc. 7, LE POÈTE, phrase 3
19 LE POÈTE Qui prend le mors aux dents, et bondit furieux, Acte 1, sc. 7, v. 36
20LE POÈTE Le sieur de la Force, dit Gille le Niais, voyant que je ne savais o? donner de la t?te, et que je lui pouvais ?tre utile dans sa troupe, me pria d'y entrer : j'y r?sistai d'abord, ne voulant point passer pour un Farceur, mais il me repr?senta que toutes les personnes les plus illustres de Paris, allaient tous les jours voir la farce au Petit-Bourbon, et me persuada si bien que les siennes ?taient aussi honn?tes que plusieurs de celles que Mascarille a faites, que je me laissai vaincre, et que j'entrai dans sa troupe. Acte 1, sc. 8, LE POÈTE, phrase 3
21LE BARON Dites, dites plut?t qu'il n'y a que vous seules, et pour vous le persuader apprenez que je suis la Force, dit Gilles le Niais en mon nom de Th??tre, que je vous ai rendu trois ou quatre visites pour conna?tre votre humeur, et qu'ayant vu que vous ?tiez faciles ? d?cevoir, nous nous sommes enquis mon camarade et moi, de la r?putation de tous les Auteurs, de leurs pi?ces nouvelles. Acte 1, sc. 8, LE BARON, phrase 1

 

Nombre d'occurences de l'expression : dit
par acte et par personnage

LES VÉRITABLES PRÉCIEUSES (1660)
SOMAIZE, Antoine Baudeau de
 Acte 1 Total
ISCARIE44
ISABELLE00
ARTÉMISE02
BÉATRIX04
FLANQUIN00
LE BARON55
LE POÈTE06
GREVAL00
 Total2121

Graphique

 Locuteurs10 
 ISCARIE4 
 ISABELLE 
 ARTÉMISE2 
 BÉATRIX4 
 FLANQUIN 
 LE BARON5 
 LE POÈTE6 
 GREVAL 

Légende

 Acte 1 

 Lexique d'un texte

 Edition

 Lexique du texte

 Trouver tout chez l'auteur

 Long. mots par acte

 Long. mots par perso.