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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
LA FÉE |
Du plus grand des h?ros j'?tais favoris?e ; |
Acte 1, sc. 1, v. 11 |
2 |
LA FÉE |
Qui comblez les mortels des plus rares faveurs, |
Acte 1, sc. 1, v. 45 |
3 |
LA FÉE |
Les plus augustes demi-Dieux. |
Acte 1, sc. 2, v. 66 |
4 |
LE SUIVANT DE LA FÉE |
Les plus doux charmes de la vie, |
Acte 1, sc. 2, v. 73 |
5 |
LA SAGESSE |
Offrez ? de plus faibles coeurs, |
Acte 1, sc. 3, v. 84 |
6 |
LA SAGESSE |
Les plus simples amusements, |
Acte 1, sc. 3, v. 98 |
7 |
LA SAGESSE |
Sont les plus propres ? surprendre : |
Acte 1, sc. 3, v. 99 |
8 |
LA FÉE DES PLAISIRS |
De nos dons les plus pr?cieux. |
Acte 1, sc. 3, v. 110 |
9 |
LE SUIVANT DE LA FÉE |
Des plus agr?ables sons, |
Acte 1, sc. 3, v. 119 |
10 | DARINEL |
J'en suis bien f?ch?e, par parenth?se : c'?tait une bonne p?te de F?e que celle-l?, elle n'?tait point tracassi?re comme les autres, et son mari y a plus perdu que personne. |
Acte 2, sc. 2, DARINEL, phrase 1 |
11 | BLANDONIE |
J'aurais tort, ma soeur, assur?ment, et je passerais condamnation pour Finette, si vous n'aviez pas la premi?re trouv? l'art de mettre aupr?s de Cl?onide la plus grande ennemie que je puisse avoir. |
Acte 2, sc. 2, BLANDONIE, phrase 1 |
12 | BLANDONIE |
Et moi je te rendrai le plus voluptueux de tous les hommes. |
Acte 2, sc. 2, BLANDONIE, phrase 1 |
13 | DARINEL |
Je suis fort redevable ? votre heureux naturel, charmante Finette : mais je serais bien plus content si quelque sentiment particulier vous faisait prendre part ? ce qui me regarde. |
Acte 2, sc. 4, DARINEL, phrase 1 |
14 | FINETTE |
Engager le Prince son p?re, que tu persuades quelquefois mieux qu'un autre en le divertissant, ? la marier au plut?t, afin qu'elle ne d?pende plus de cette F?e qui la gouverne, qui sous pr?texte d'amiti?, la rend la plus malheureuse personne du monde. |
Acte 2, sc. 4, FINETTE, phrase 1 |
15 | INEGILDE |
Les moments que je donne au sommeil ne sont pas les plus tristes de ma vie, ch?re Finette. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 1 |
16 | INEGILDE |
Je vais t'ouvrir mon coeur, Finette, n'abuse pas de ma confiance, et regarde comme une faiblesse pardonnable l'attention que je donne ? des chim?res, pour qui je n'en aurais peut-?tre pas, si j'avais plus d'usage du monde et de libert?. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 1 |
17 | INEGILDE |
Un sommeil l?ger et tranquille assoupissait ce matin tous mes sens : mais il n'en avait suspendu l'usage que pour les flatter de l'illusion la plus agr?able que tu te puisses imaginer. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 2 |
18 | INEGILDE |
Mes oreilles ont ?t? frapp?es de l'harmonie la plus douce ; le Palais de mon p?re m'a paru brillant d'une lumi?re aussi vive que celle du Soleil ; mille nations diff?rentes disputaient entre elles l'avantage d'y arriver les premi?res : un jeune Prince, suivi d'une superbe Cour que formait la jeunesse la plus magnifique et la plus enjou?e, s'avan?ait avec empressement du c?t? de la Princesse ma soeur : elle l'attendait pour le recevoir, mais d'un air s?rieux et rebutant, tel que notre f?cheuse F?e voudrait m'obliger ? l'avoir. |
Acte 2, sc. 5, INEGILDE, phrase 3 |
19 | CLEONIDE |
On a beau, pour les varier en cent mani?res, les faire succ?der les uns aux autres, cette apparence de diversit? ne suffit pas pour remplir l'inclination naturelle que nous avons au changement : il faut un contraste plus sensible pour former le vrai bonheur de la vie ; et les chagrins, les p?rils, les malheurs m?me sont n?cessaires, pour mieux faire go?ter l'avantage de les avoir ?vit?s. |
Acte 2, sc. 8, CLEONIDE, phrase 2 |
20 | INEGILDE |
Vos sentiments et vos discours m'?tonnent plus que votre visite, et je vais croire que c'est un esprit de retraite qui vous conduit aujourd'hui chez moi. |
Acte 2, sc. 8, INEGILDE, phrase 1 |
21 | ASTUR |
Celui qu'on te destine, ? toi, par exemple, est un gar?on m?r, de soixante dix ou quatre-vingts ans tout au plus ; mais pourtant fort jeune, avec cela ; car il est d'un pays o? on ne meurt presque point. |
Acte 2, sc. 9, ASTUR, phrase 2 |
22 | ASTUR |
Il faut reprendre ma gravit? ; cette affaire-ci est des plus s?rieuses. |
Acte 2, sc. 10, ASTUR, phrase 2 |
23 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Des plus rares f?licit?s. |
Acte 2, sc. 10, v. 147 |
24 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Nos voeux les plus doux, |
Acte 2, sc. 10, v. 149 |
25 | ZIRPHILIN |
Madame... vos int?r?ts et vos sentiments r?gleront mon impatience, et le bonheur de cette journ?e deviendra plus sensible pour moi, par l'espoir de le partager avec vous. |
Acte 2, sc. 1, ZIRPHILIN, phrase 1 |
26 | ASTUR |
Qu'on prenne bien garde de ne la point f?ch?e ; c'est la plus sage et la plus vertueuse F?e... mais en revanche, c'est bien la plus emport?e et la plus violente... Elle me fait quelquefois trembler ; et je la trouve encore plus m?chante et plus acari?tre que feue ma femme ; aussi, feue ma femme n'?tait pas si sage et si vertueuse que celle-ci. |
Acte 2, sc. 1, ASTUR, phrase 1 |
27 | BLANDONIE |
Nos talents sont born?s, Seigneur, et notre art ne peut nous soustraire ? la tyrannie des passions qui nous dominent : mais vous ne songez pas que le Prince a fait un long voyage, et qu'il a besoin de repos ; conduisons-le ? l'appartement que je lui ai fait pr?parer, et nous t?cheront d'occuper tous ses moments des plaisirs les plus agr?ables que pourra fournir l'union de la Cour avec la v?tre. |
Acte 2, sc. 1, BLANDONIE, phrase 1 |
28 | FINETTE |
La cadette fut plus raisonnable et plus heureuse : l'amant lui plaisait, il fut bien re?u ; la Cour en parla, le Roi le sut et l'approuva, et le pr?tendu mari qu'il avait fait venir fut honn?tement cong?di?. |
Acte 2, sc. 11, FINETTE, phrase 2 |
29 | ZIRPHILIN |
Autorisez d'un tendre aveu l'ardent amour que vous avez fait na?tre, et les obstacles les plus puissants s'opposeront vainement ? mon bonheur. |
Acte 2, sc. 12, ZIRPHILIN, phrase 2 |
30 | ASTUR |
Le Souverain du pays o? tout le monde est sage, est un vieux fou de songer ? se marier ; il para?t avoir plus de cent cinquante ans. |
Acte 2, sc. 14, ASTUR, phrase 1 |
31 | ASTUR |
N'en pouvait-on trouver plus pr?s ? |
Acte 2, sc. 14, ASTUR, phrase 2 |
32 |
UNE HABITANTE DE L'ÎLE |
Ses plus doux plaisirs sans peines. |
Acte 2, sc. 16, v. 197 |
33 | ASTUR |
?coutez, si la F?e le veut absolument ; mais ma fille, qui a plus de r?solutions que moi, s'y opposera peut-?tre davantage : convenez de vos faits, voyez. |
Acte 4, sc. 1, ASTUR, phrase 1 |
34 | ASTUR |
Ce discours est plus clair que celui de tant?t, Finette. |
Acte 4, sc. 1, ASTUR, phrase 1 |
35 | FINETTE |
C'est qu'il est plus naturel et plus vrai, Seigneur. |
Acte 4, sc. 1, FINETTE, phrase 1 |
36 | ASTUR |
Voil? une fille ?gar?e ; et quelque F?e qui en fait qui en fait plus que vous, se m?le apparemment de nos affaires ? |
Acte 4, sc. 3, ASTUR, phrase 2 |
37 | ASTUR |
Un enl?vement de plus ou de moins ne fait jamais tort ? une fille. |
Acte 4, sc. 6, ASTUR, phrase 4 |
38 | BLANDONIE |
H? bien, Seigneur, In?gilde n'est donc plus au pouvoir de la F?e qui prenait des soins si judicieux pour former son coeur et son esprit ? |
Acte 4, sc. 7, BLANDONIE, phrase 1 |
39 | CLEONIDE |
Vos discours et vos r?flexions n'ont rien du tout qui m'int?resse ; je connais, comme vous, le ridicule de cette morale, si s?v?re en apparence, et si rel?ch?e quelquefois en secret ; et plus j'ai d'horreur pour ceux qui la suivent, plus j'ai de go?t pour la vraie sagesse. |
Acte 4, sc. 10, CLEONIDE, phrase 1 |
40 | INEGILDE |
Vous m'avez fait esp?rer, Madame, que je ne serais plus malheureuse ; et si le Ciel se d?clarait pour un autre que pour le Prince de l'?le Fortun?e... |
Acte 4, sc. 14, INEGILDE, phrase 1 |
41 | ASTUR |
Oh oui, puisque j'ai tant de belles qualit?s, je souscris ? tout, voil? qui est fini : mais ? condition que je ne verrai plus de tracasserie, et que les F?es seront mieux d'accord. |
Acte 4, sc. 14, ASTUR, phrase 1 |
42 |
DARINEL |
La Sagesse, et les plus doux Jeux. |
Acte 4, sc. 15, v. 215 |