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Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 | PARTHÉNICE |
Ni de feu, puisque je br?le encore d'une flamme qui ne se peut ?teindre. |
Acte 1, sc. 1, PARTHÉNICE, phrase 5 |
2 | CÉLINDE |
Arrache ? Jupiter la plus pesante de ses foudres, et r?duis en poudre ce corps : mais non, il suffit de tes flammes, elles sont capables de me consommer. |
Acte 1, sc. 3, CÉLINDE, phrase 5 |
3 | LUCIDOR |
Les autres qui n'ont que le plaisir pour objet de leur flamme trouvent la fin de leur amour dans la fin de la volupt? ; et s'imaginant que les faveurs dont ils se sont assouvis, peuvent ?tre communiqu?es ? quelque autre aussi facilement qu'elles ont ?t? obtenues, ils entrent dans les fureurs de la Jalousie, et ne laissent pas m?me ? la personne aim?e la libert? des regards. |
Acte 2, sc. 1, LUCIDOR, phrase 4 |
4 | PARTHÉNICE |
Sachez donc, ma compagne, qu'il y peut avoir deux ans que ce m?me Floridan, qui soupire maintenant pour vous, commen?a de br?ler pour moi d'une flamme qu'autre chose que sa l?g?ret? ne pouvait jamais ?teindre. |
Acte 2, sc. 3, PARTHÉNICE, phrase 5 |
5 | FLORIDAN |
Si vous donnez vos yeux ? Parth?nice, donnez votre coeur ? Floridan, ou pour le moins permettez qu'il s'approche de mes flammes, peut-?tre quelque ?tincelle le pourra toucher. |
Acte 2, sc. 4, FLORIDAN, phrase 2 |
6 | FLORIDAN |
Je veux dire, Madame, que ces preuves d'une m?diocre inclination, sont une r?compense due ? tous ceux dont l'?me desquels votre beaut? fera quelques blessures ; mais pour moi de qui la passion a paru dans une recherche, qui ayant ?t? re?ue, me promet un triomphe ?ternel, pardonnez-moi si je dis que la seule parole est une faveur petite, et qu'elle est peut-?tre moins une marque de votre flamme que de votre froideur. |
Acte 2, sc. 4, FLORIDAN, phrase 1 |
7 |
HOLOFERNE |
D'un si petit rayon produire tant de flammes ? |
Acte V3, sc. 1, v. 264 |
8 | CÉLINDE |
Parents, que d?sormais je nomme barbares, ?tonnez-vous de votre tyrannie, non pas de mon action : votre violence et mon d?sespoir sont les meurtriers de Floridan ; et vous ?prouvez aujourd'hui combien ?tait injuste la loi par laquelle vous me vouliez contraindre ? trahir les flammes de Lucidor : il est mon mari depuis longtemps, et nul homme sans mourir ne pouvait m'emp?cher d'?tre sa femme. |
Acte V3, sc. 5, CÉLINDE, phrase 1 |
9 | FLEURIMON |
Cette belle fille avait br?l? pour lui d'une secr?te flamme, et dit-on que Floridan avait ?t? quelque temps sans br?ler aussi que du m?me feu ; tant y a que ce Chevalier ?tant mort, et Parth?nice ne trouvant plus en lui de chaleur ni de mouvement, elle a commenc? de vomir sur C?linde toutes les impr?cations qui peuvent sortir d'une bouche que la fureur fait parler. |
Acte 4, sc. 6, FLEURIMON, phrase 2 |
10 | ALCANDRE |
Cependant contre les privil?ges de la Nature, tu as us? de force contre ton propre sang, et as voulu que les flammes de Floridan compatissent avecque les glaces de C?linde. |
Acte 5, sc. 4, ALCANDRE, phrase 3 |