n |
Personnage |
Vers ou phrase |
Localisation |
1 |
TIRCIS |
Si d'un peu d'amiti? tu payeras mes voeux ? |
Acte 1, sc. 1, v. 12 |
2 |
DORILAS |
Si tu seras sensible ? mon ardeur fid?le ? |
Acte 1, sc. 1, v. 13 |
3 |
DORILAS |
Puis-je esp?rer qu'un jour tu me rendras heureux ? |
Acte 1, sc. 1, v. 17 |
4 |
FLORE |
Les vertus et les Exploits |
Acte 1, sc. 3, v. 56 |
5 |
FLORE |
Bien que pour ?taler ses vertus immortelles |
Acte 1, sc. 7, v. 113 |
6 | ARGAN |
Tu m'as laiss?... |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
7 | ARGAN |
Tu m'as fait ?gosiller, carogne. |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
8 | ARGAN |
Chienne, tu veux... |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
9 | ARGAN |
Tu m'en emp?ches, chienne, en m'interrompant ? tous coups. |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
10 | ANGÉLIQUE |
Ne devines-tu point de quoi je veux parler ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
11 | ANGÉLIQUE |
Puisque tu connais cela, que n'es-tu donc la premi?re ? m'en entretenir, et que ne m'?pargnes-tu la peine de te jeter sur ce discours ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
12 | ANGÉLIQUE |
Mais dis-moi, condamnes-tu, Toinette, les sentiments que j'ai pour lui ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 2 |
13 | ANGÉLIQUE |
Et voudrais-tu que je fusse insensible aux tendres protestations de cette passion ardente qu'il t?moigne pour moi ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
14 | ANGÉLIQUE |
Dis-moi un peu, ne trouves-tu pas comme moi, quelque chose du Ciel, quelque effet du destin, dans l'aventure inopin?e de notre connaissance ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
15 | ANGÉLIQUE |
Ne trouves-tu pas que cette action d'embrasser ma d?fense sans me conna?tre, est tout ? fait d'un honn?te homme ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
16 | ANGÉLIQUE |
Ne trouves-tu pas, Toinette, qu'il est bien fait de sa personne ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
17 | ANGÉLIQUE |
Et qu'il n'est rien de plus f?cheux, que la contrainte o? l'on me tient, qui bouche tout commerce aux doux empressements de cette mutuelle ardeur que le Ciel nous inspire ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
18 | ANGÉLIQUE |
Mais, ma pauvre Toinette, crois-tu qu'il m'aime autant qu'il me le dit ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
19 | ANGÉLIQUE |
Toinette, que dis-tu l? ? |
Acte 3, sc. 4, ANGÉLIQUE, phrase 2 |
20 | ARGAN |
Nature, nature ! |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 8 |
21 | ARGAN |
Comment l'as-tu vu ? |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
22 | ARGAN |
De quoi te m?les-tu, coquine, impudente que tu es ? |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 2 |
23 | ARGAN |
C'est pour moi que je lui donne ce m?decin ; et une fille de bon naturel doit ?tre ravie d'?pouser ce qui est utile ? la sant? de son p?re. |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
24 | TOINETTE |
Il faut qu'il ait tu? bien des gens, pour s'?tre fait si riche. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
25 | TOINETTE |
Mon_Dieu je vous connais, vous ?tes bon naturellement. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
26 | ARGAN |
Ang?lique, tu ne veux pas m'arr?ter cette coquine-l? ? |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
27 | ARGAN |
Si tu ne me l'arr?tes, je te donnerai ma mal?diction. |
Acte 3, sc. 5, ARGAN, phrase 1 |
28 | ARGAN |
Coquine, tu veux m'?touffer. |
Acte 3, sc. 6, ARGAN, phrase 2 |
29 | LE NOTAIRE |
La coutume y r?siste. |
Acte 3, sc. 7, LE NOTAIRE, phrase 1 |
30 | LE NOTAIRE |
Si vous ?tiez en pays de Droit ?crit, cela se pourrait faire ; mais ? Paris, et dans les pays coutumiers, au moins dans la plupart, c'est ce qui ne se peut, et la disposition serait nulle. |
Acte 3, sc. 7, LE NOTAIRE, phrase 2 |
31 | LE NOTAIRE |
Tout l'avantage qu'homme et femme conjoints par mariage se peuvent faire l'un ? l'autre, c'est un don mutuel entre-vifs ; encore faut-il qu'il n'y ait enfants, soit des deux conjoints, ou de l'un d'eux, lors du d?c?s du premier mourant. |
Acte 3, sc. 7, LE NOTAIRE, phrase 3 |
32 | ARGAN |
Voil? une coutume bien impertinente, qu'un mari ne puisse rien laisser ? une femme dont il est aim? tendrement, et qui prend de lui tant de soin. |
Acte 3, sc. 7, ARGAN, phrase 1 |
33 | LE NOTAIRE |
Il y a d'autres personnes ? consulter, qui sont bien plus accommodantes ; qui ont des exp?dients pour passer doucement par-dessus la loi, et rendre juste ce qui n'est pas permis ; qui savent aplanir les difficult?s d'une affaire, et trouver des moyens d'?luder la coutume par quelque avantage indirect. |
Acte 3, sc. 7, LE NOTAIRE, phrase 3 |
34 | ANGÉLIQUE |
Tu vois, Toinette, les desseins violents que l'on fait sur lui. |
Acte 3, sc. 8, ANGÉLIQUE, phrase 2 |
35 | POLICHINELLE |
Pauvre Polichinelle, quelle diable de fantaisie t'es-tu all? mettre dans la cervelle ? |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 2 |
36 | POLICHINELLE |
? quoi t'amuses-tu, mis?rable insens? que tu es ? |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 3 |
37 | POLICHINELLE |
Tu quittes le soin de ton n?goce, et tu laisses aller tes affaires ? l'abandon. |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 4 |
38 | POLICHINELLE |
Tu ne manges plus, tu ne bois presque plus, tu perds le repos de la nuit ; et tout cela pour qui ? |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 5 |
39 | POLICHINELLE |
Pour une dragonne, franche dragonne ; une diablesse qui te rembarre, et se moque de tout ce que tu peux lui dire. |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 6 |
40 | POLICHINELLE |
Mais il n'y a point ? raisonner l?-dessus : tu le veux, amour ; il faut ?tre fou comme beaucoup d'autres. |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 7 |
41 | POLICHINELLE |
La musique est accoutum?e ? ne point faire ce qu'on veut. |
Acte 4, sc. 1, POLICHINELLE, phrase 7 |
42 | TOINETTE |
Qu'on ne la laisse ni sortir, ni parler ? personne, et que ce ne fut que la curiosit? d'une vieille tante qui nous fit accorder la libert? d'aller ? cette com?die, qui donna lieu ? la naissance de votre passion, et nous nous sommes bien gard?[e]s de parler de cette aventure. |
Acte 3, sc. 1, TOINETTE, phrase 2 |
43 | ARGAN |
Parle bas, pendarde, tu viens m'?branler tout le cerveau, et tu ne songes pas qu'il ne faut point parler si haut ? des malades. |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
44 | ARGAN |
Qu'est-ce que tu dis ? |
Acte 3, sc. 2, ARGAN, phrase 1 |
45 | ANGÉLIQUE |
C'est, mon p?re, une aventure surprenante qui se rencontre ici. |
Acte 3, sc. 3, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
46 | TOINETTE |
Vous allez voir le gar?on le mieux fait du monde, et le plus spirituel. |
Acte 3, sc. 4, TOINETTE, phrase 4 |
47 | THOMAS DIAFOIRUS |
Ce que je tiens de lui est un ouvrage de son corps ; mais ce que je tiens de vous est un ouvrage de votre volont? ; et d'autant plus que les facult?s spirituelles, sont au-dessus des corporelles, d'autant plus je vous dois, et d'autant plus je tiens pr?cieuse cette future filiation, dont je viens aujourd'hui vous rendre par avance les tr?s humbles et tr?s respectueux hommages. |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 4 |
48 | THOMAS DIAFOIRUS |
Mademoiselle, ne plus, ne moins que la statue de Memnon, rendait un son harmonieux, lorsqu'elle venait ? ?tre ?clair?e des rayons du soleil : tout de m?me me sens-je anim? d'un doux transport ? l'apparition du soleil de vos beaut?s. |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 1 |
49 | THOMAS DIAFOIRUS |
Et comme les naturalistes remarquent que la fleur nomm?e h?liotrope tourne sans cesse vers cet astre du jour, aussi mon coeur dores-en-avant tournera-t-il toujours vers les astres resplendissants de vos yeux adorables, ainsi que vers son p?le unique. |
Acte 3, sc. 5, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 2 |
50 | TOINETTE |
Voil? ce que c'est que d'?tudier, on apprend ? dire de belles choses. |
Acte 3, sc. 5, TOINETTE, phrase 1 |
51 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
On le voyait toujours doux, paisible, et taciturne, ne disant jamais mot, et ne jouant jamais ? tous ces petits jeux que l'on nomme enfantins. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 4 |
52 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
Il est ferme dans la dispute, fort comme un turc sur ses principes ; ne d?mord jamais de son opinion, et poursuit un raisonnement jusque dans les derniers recoins de la logique. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 11 |
53 | MONSIEUR DIAFOIRUS |
Qu'il poss?de en un degr? louable la vertu prolifique et qu'il est du temp?rament qu'il faut pour engendrer et procr?er des enfants bien conditionn?s. |
Acte 3, sc. 5, MONSIEUR DIAFOIRUS, phrase 2 |
54 | CLÉANTE |
C'est proprement ici un petit op?ra impromptu, et vous n'allez entendre chanter que de la prose cadenc?e, ou des mani?res de vers libres, tels que la passion, et la n?cessit? peuvent faire trouver ? deux personnes, qui disent les choses d'eux-m?mes, et parlent sur-le-champ. |
Acte 3, sc. 5, CLÉANTE, phrase 1 |
55 | TOINETTE |
Madame, vous avez bien perdu de n'avoir point ?t? au second p?re, ? la statue de Memnon, et ? la fleur nomm?e h?liotrope. |
Acte 3, sc. 6, TOINETTE, phrase 2 |
56 | THOMAS DIAFOIRUS |
Nous lisons des anciens, Mademoiselle, que leur coutume ?tait d'enlever par force de la maison des p?res les filles qu'on menait marier, afin qu'il ne sembl?t pas que ce f?t de leur consentement, qu'elles convolaient dans les bras d'un homme. |
Acte 3, sc. 6, THOMAS DIAFOIRUS, phrase 1 |
57 | BÉRALDE |
Ce sont des ?gyptiens, v?tus en Mores, qui font des danses m?l?es de chansons, o? je suis s?r que vous prendrez plaisir, et cela vaudra bien une ordonnance de Monsieur Purgon. |
Acte 3, sc. 9, BÉRALDE, phrase 6 |
58 | ARGAN |
Tu as raison. |
Acte 6, sc. 1, ARGAN, phrase 1 |
59 | BÉRALDE |
Est-il possible que vous serez toujours emb?guin? de vos apothicaires, et de vos m?decins, et que vous vouliez ?tre malade en d?pit des gens, et de la nature ? |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
60 | BÉRALDE |
J'entends, mon Fr?re, que je ne vois point d'homme qui soit moins malade que vous, et que je ne demanderais point une meilleure constitution que la v?tre. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
61 | BÉRALDE |
Par la raison, mon Fr?re, que les ressorts de notre machine sont des myst?res, jusques ici, o? les hommes ne voient goutte ; et que la nature nous a mis au-devant des yeux des voiles trop ?pais pour y conna?tre quelque chose. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
62 | BÉRALDE |
Un homme qui croit ? ses r?gles plus qu'? toutes les d?monstrations des Math?matiques, et qui croirait du crime ? les vouloir examiner ; qui ne voit rien d'obscur dans la m?decine, rien de douteux, rien de difficile ; et qui, avec une imp?tuosit? de pr?vention, une raideur de confiance, une brutalit? de sens commun et de raison, donne au travers des purgations et des saign?es, et ne balance aucune chose. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 3 |
63 | BÉRALDE |
Il ne lui faut point vouloir mal de tout ce qu'il pourra vous faire, c'est de la meilleure foi du monde qu'il vous exp?diera, et il ne fera, en vous tuant, que ce qu'il a fait ? sa femme et ? ses enfants, et ce qu'en un besoin il ferait ? lui-m?me. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 4 |
64 | BÉRALDE |
La nature, d'elle-m?me, quand nous la laissons faire, se tire doucement du d?sordre o? elle est tomb?e. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 3 |
65 | BÉRALDE |
C'est notre inqui?tude, c'est notre impatience qui g?te tout, et presque tous les hommes meurent de leurs rem?des, et non pas de leurs maladies. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 4 |
66 | ARGAN |
Mais il faut demeurer d'accord, mon Fr?re, qu'on peut aider cette nature par de certaines choses. |
Acte 6, sc. 3, ARGAN, phrase 1 |
67 | BÉRALDE |
Lorsqu'un m?decin vous parle d'aider, de secourir, de soulager la nature, de lui ?ter ce qui lui nuit, et lui donner ce qui lui manque, de la r?tablir, et de la remettre dans une pleine facilit? de ses fonctions : lorsqu'il vous parle de rectifier le sang, de temp?rer les entrailles, et le cerveau, de d?gonfler la rate, de raccommoder la poitrine, de r?parer le foie, de fortifier le coeur, de r?tablir et conserver la chaleur naturelle, et d'avoir des secrets pour ?tendre la vie ? de longues ann?es ; il vous dit justement le Roman de la M?decine. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 3 |
68 | BÉRALDE |
Moi, mon fr?re, je ne prends point ? t?che de combattre la M?decine, et chacun ? ses p?rils, et fortune, peut croire tout ce qu'il lui pla?t. |
Acte 6, sc. 3, BÉRALDE, phrase 1 |
69 | BÉRALDE |
Allez, Monsieur, on voit bien que vous n'avez pas accoutum? de parler ? des visages. |
Acte 6, sc. 4, BÉRALDE, phrase 1 |
70 | MONSIEUR PURGON |
J'ai ? vous dire que je vous abandonne ? votre mauvaise constitution, ? l'intemp?rie de vos entrailles, ? la corruption de votre sang, ? l'?cret? de votre bile, et ? la f?culence de vos humeurs. |
Acte 6, sc. 5, MONSIEUR PURGON, phrase 1 |
71 | BÉRALDE |
Voici une aventure si vous voulez ? vous d?faire des m?decins, ou si vous ?tes n? ? ne pouvoir vous en passer, il est ais? d'en avoir un autre, avec lequel, mon Fr?re, vous puissiez courir un peu moins de risque. |
Acte 6, sc. 6, BÉRALDE, phrase 5 |
72 | BÉRALDE |
Mais ce n'est pas la premi?re fois qu'on a vu de ces sortes de choses, et les histoires ne sont pleines que de ces jeux de la nature. |
Acte 6, sc. 8, BÉRALDE, phrase 2 |
73 | ARGAN |
Je sens parfois des lassitudes par tous les membres. |
Acte 6, sc. 10, ARGAN, phrase 1 |
74 | TOINETTE |
Que vous ordonne votre m?decin pour votre nourriture ? |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 2 |
75 | TOINETTE |
Ignorantus, ignoranta, ignorantum. |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 1 |
76 | TOINETTE |
Ne voyez-vous pas qu'il tire ? soi toute la nourriture, et qu'il emp?che ce c?t?-l? de profiter ? |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 1 |
77 | TOINETTE |
Ne voyez-vous pas qu'il incommode l'autre, et lui d?robe sa nourriture ? |
Acte 6, sc. 10, TOINETTE, phrase 1 |
78 | ARGAN |
L'inqui?tude que lui donne ma maladie. |
Acte 6, sc. 11, ARGAN, phrase 1 |
79 | BÉLINE |
Que tu es sotte, Toinette, de t'affliger de cette mort ! |
Acte 6, sc. 12, BÉLINE, phrase 3 |
80 | BÉLINE |
Il faut, Toinette, que tu m'aides ? ex?cuter mon dessein, et tu peux croire qu'en me servant ta r?compense est s?re. |
Acte 6, sc. 12, BÉLINE, phrase 1 |
81 | TOINETTE |
Ah, f?cheuse aventure ! |
Acte 6, sc. 13, TOINETTE, phrase 2 |
82 | ANGÉLIQUE |
Qu'as-tu, Toinette, et de quoi pleures-tu ? |
Acte 6, sc. 13, ANGÉLIQUE, phrase 1 |
83 | ANGÉLIQUE |
Quelle infortune ! |
Acte 6, sc. 13, ANGÉLIQUE, phrase 2 |
84 | ARGAN |
Va, tu es mon vrai sang, ma v?ritable fille, et je suis ravi d'avoir vu ton bon naturel. |
Acte 6, sc. 14, ARGAN, phrase 3 |
85 | CLÉANTE |
Eh, Monsieur, laissez-vous toucher ? ses pri?res et aux miennes, et ne vous montrez point contraire aux mutuels empressements d'une si belle inclination. |
Acte 6, sc. 14, CLÉANTE, phrase 1 |
86 | ARGAN |
Je pense, mon Fr?re, que vous vous moquez de moi : est-ce que je suis en ?ge d'?tudier ? |
Acte 6, sc. 14, ARGAN, phrase 1 |
87 | BÉRALDE |
Bon, ?tudier. |
Acte 6, sc. 14, BÉRALDE, phrase 1 |
88 |
BACHELIERUS |
Domandatur causam et rationem, quare |
Acte 7, sc. 1, v. 388 |
89 |
BACHELIERUS |
Virtus dormitiva, |
Acte 7, sc. 1, v. 392 |
90 |
BACHELIERUS |
Cujus est natura |
Acte 7, sc. 1, v. 393 |
91 |
TERTIUS DOCTOR |
Si bonum semblatur Domino Praesidi, |
Acte 7, sc. 1, v. 414 |
92 |
TERTIUS DOCTOR |
Doctus Bachelierus dixit maravillas : |
Acte 7, sc. 1, v. 428 |
93 |
PRAESES |
Juras gardare statuta |
Acte 7, sc. 1, v. 458 |
94 |
PRAESES |
Virtutem et puissanciam, |
Acte 7, sc. 1, v. 477 |
95 |
BACHELIERUS |
Bien plus qu'? naturae, et qu'? patri meo, |
Acte 7, sc. 2, v. 501 |
96 |
BACHELIERUS |
Natura et pater meus |
Acte 7, sc. 2, v. 502 |
97 |
BACHELIERUS |
Hominem me habent factum : |
Acte 7, sc. 2, v. 503 |
98 |
BACHELIERUS |
Avetis factum medicum, |
Acte 7, sc. 2, v. 505 |
99 |
CHORUS |
Et seignet et tuat ! |
Acte 7, sc. 2, v. 513 |
100 |
CHORUS |
Et seignet et tuat. |
Acte 7, sc. 3, v. 522 |
101 |
CHORUS |
Et seignet et tuat. |
Acte 7, sc. 3, v. 533 |