Occurences de l'expression

peu

dans LE PÉDANT JOUÉ de CYRANO de BERGERAC, Savinien (1654)

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n  Personnage  Vers ou phrase Localisation
1 GRANGER Ne peut o?ir le nominatif Acte 1, sc. 1, v. 1
2GRANGER C'est peut-?tre ce qui vous donne envie d'appuyer votre plume charnelle sur le parchemin vierge de ma fille. Acte 1, sc. 1, GRANGER, phrase 2
3CHASTEAUFORT Comme vous ?tes un Alexandre, je suis une Amazone ; faisons sortir de nous deux un Plus-que-Mars, de qui la naissance soit fatale au genre humain et dont les armes, apr?s avoir dispens? la mort aux deux bouts de la Terre, fassent un si puissant Empire que jamais le Soleil ne se couche pour tous ses peuples. ? Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 5
4CHASTEAUFORT Sachez donc, Messire Jean, que je suis celui qu'on ne peut exterminer sans faire une Epitaphe ? la Nature, et le P?re des Vaillants puisqu'? tous je leur ai donn? la vie. Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 2
5GRANGER Pardonnez, grand Prince, ? mon peu de foi. Acte 1, sc. 1, GRANGER, phrase 1
6CHASTEAUFORT Ne vous expliquez pas, j'aurais peur que mes yeux en courroux ne jetassent des ?tincelles, dont quelqu'une par m?garde vous pourrait consumer. Un Mortel aura donc eu la t?m?rit? de se chauffer ? m?me feu que moi, et je ne punirai pas les quatre ?l?ments qui l'ont souffert ! Mais je ne puis parler, la rage me transporte : Je m'en vais faire pendre l'Eau, le Feu, la Terre et l'Air, et songer au genre de mort dont nous exterminerons ce pygm?e qui veut faire le colosse. Acte 1, sc. 1, CHASTEAUFORT, phrase 1
7GRANGER ? ac primo ? ; comme les arbres, elles ont plusieurs t?tes ; comme les arbres, si elles sont ou trop ou trop peu humect?es, elles ne portent point ; comme les arbres, elles ont les fleurs auparavant que les fruits ; comme les arbres, elles d?chargent quand on les secoue. Acte 1, sc. 3, GRANGER, phrase 11
8CHARLOT Vas, tu peux l'assurer que je ne d?sire pas... Acte 1, sc. 4, CHARLOT, phrase 2
9CORBINELI Mais pourvu que vous m'?coutiez, je pense que si le bonhomme, pour tracer le plan de cette ville, attend votre retour, il peut d?s maintenant s'en fier ? la Carte. Acte 1, sc. 9, CORBINELI, phrase 3
10GAREAU Vartigu?, v?la de ces mangeux de fpetis enfans ; la vegue de la Courtille, belle montre et peu de rapport. Acte 2, sc. 2, GAREAU, phrase 1
11CHASTEAUFORT Il ne s'en est cependant quasi rien fallu que je ne l'aie perc? de mille coups, tant les noires vapeurs de la bile offusquent quelquefois la clart? des plus beaux G?nies. Acte 2, sc. 2, CHASTEAUFORT, phrase 2
12GAREAU Stanpendant, moi qui ne veux pas qu'on me fasse des Trog?dies, si j'avouas treuv? queuque Ribaut licher le morviau ? ma femme, comme cet affront-l? frape bian au coeur, peut-?tre que dans le d?sespoir je m'emportero?as ? jeter son chapiau par les fen?tres ou ? luy faire les cornes comme me moqu? de li, pis ce seret du scandale ; Tigu?, queuque gniais. Acte 2, sc. 3, GAREAU, phrase 5
13CORBINELI Mon Ma?tre s'?tant souvenu du commandement que vous lui avez fait d'acheter quelque bagatelle qui fut rare ? Venise, et de peu de valeur ? Paris, pour en r?galer son Oncle, s'?tait imagin? qu'une douzaine de cotrets n'?tant pas chers, et ne s'en trouvant point, par toute l'Europe de mignons comme en cette Ville, il devait en porter l?. Acte 2, sc. 4, CORBINELI, phrase 1
14GRANGER C'?tait pour incuter la peur dans cette jeune poitrine. Acte 2, sc. 4, GRANGER, phrase 3
15CORBINELI ? ce mot, il a un peu rass?r?n? sa face. Acte 2, sc. 4, CORBINELI, phrase 2
16CORBINELI J'avais si peur d'entendre encore quelque chose de plus f?cheux, ou que le Diable ne me vint emporter ?tant en la compagnie de ces excommuni?s, que je me suis promptement jet? dans un esquif pour vous avertir des funestes particularit?s de cette rencontre. Acte 2, sc. 4, CORBINELI, phrase 4
17PAQUIER Qui n'a peut-?tre pas ?t? ? confesse depuis dix ans. Acte 2, sc. 4, PAQUIER, phrase 1
18PAQUIER Peut-?tre que s'il e?t eu la patience d'attendre encore huit jours, le Roi l'y eut envoy?, en si bonne compagnie, que les Turcs ne l'eussent pas pris. Acte 2, sc. 5, PAQUIER, phrase 3
19CHARLOT Allons vite, allons inhumer cet argent, mort pour mon p?re, au coffre de Mademoiselle Genevote : ce sera de bon coeur et sans pleurer, que je rendrai les derniers devoirs ? ce pauvre tr?pass? ; et cependant admirons la m?disance du peuple qui jurait que mon p?re, bien loin de consentir au mariage de Mademoiselle Genevote et de moi, pr?tendait lui-m?me ? l'?pouser, et voici que pour d?couvrir l'imposture des calomniateurs, il envoie de l'argent pour faire les frais de nos c?r?monies. Acte 2, sc. 7, CHARLOT, phrase 1
20GRANGER ?coute, ?coute, Paquier, il vient de me souvenir que les D?mons s'emparent des Tr?sors ?gar?s ou perdus : De peur que quelqu'un d'eux ne vienne ? se m?prendre, souviens-toi bien d'?crire sur la pi?ce de game qui couvre la serrure, mais en gros caract?res : ? il n'est ?gar? ni perdu, car je sais bien qu'il est l? ?. Acte 2, sc. 7, GRANGER, phrase 7
21PAQUIER Car mon Ma?tre est si froidureux qu'il ne peut se passer de feu. Acte 2, sc. 9, PAQUIER, phrase 3
22PAQUIER Et tout cela de peur que votre ?me ne prenne feu parmi tant d'autres, mais ma foi, il n'en ira pas ainsi. Il y a trois feux dans le Monde, Mademoiselle : Le premier est le feu Central, le second, le feu Vital ; et le troisi?me, le feu ?l?mentaire. Acte 2, sc. 9, PAQUIER, phrase 2
23PAQUIER Car Feu le P?re et Feu la M?re de Monsieur Granger avaient ch?ri passionn?ment Feu les Tr?pass?s ; et je vous jure que le Feu est une chose si ins?parable de mon Ma?tre, qu'on peut dire de lui (quoi qu'il soit plein de vie) : Feu le pauvre Monsieur Granger, principal du Coll?ge de Beauvais. Acte 2, sc. 9, PAQUIER, phrase 9
24PAQUIER Pour cette particularit?, Mademoiselle, vous avez tort de vous mettre en peine ; car il proteste tout haut de se ressentir des Traits que vous lui jouez ; de r?verb?rer sur vous les traits dont vous le navrez ; et de peur que par Trait de temps, les Traits de votre visage ne soient offens?s des Traits de la Mort ou m?tamorphosez en Traits d'?crivain, il vous peint avec mille beaux Traits d'esprit dans un livre intitul? : ? La tr?s belle, tr?s parfaite, et tr?s accomplie Genevote, par son tr?s humble, tr?s ob?issant et tr?s affectionn? serviteur, Granger. ? Acte 2, sc. 9, PAQUIER, phrase 1
25CHASTEAUFORT Quoi, tu te figures que je sois si peu sensible ? l'honneur, que de me r?soudre ? tromper l?chement, perfidement, tra?treusement, la vigilance d'un honn?te homme qui me gardait, et qui ? l'heure que je parle, ne s'attend nullement que je me batte ? Acte 2, sc. 10, CHASTEAUFORT, phrase 4
26PAQUIER On m'a dit que j'ai la voix un peu cass?e, il faut surprendre avec l'oreille mon image en ce miroir, avant qu'elle se taise. Acte 3, sc. 1, PAQUIER, phrase 4
27PAQUIER Peut-?tre, ? belle Tigresse, que mon chef neigeux vous fait peur ! Acte 3, sc. 1, PAQUIER, phrase 10
28GENEVOTE Ce Conte, toutefois, se peut bien appeler une Histoire, car rien ne fut jamais plus v?ritable. Acte 3, sc. 2, GENEVOTE, phrase 4
29GENEVOTE Ce manteau donc, cette cape, cette casaque, cette simarre, cette robe, cette soutane, ce pavillon, ce lange, ou cet habit, (car on est encore ? deviner ce que c'est, et le Syndic des Tailleurs y demeureroit ? a quia ? fait bien dire aux gausseurs qu'il fait peur aux larrons en leur montrant la corde. Acte 3, sc. 2, GENEVOTE, phrase 4
30GENEVOTE Premi?rement, en ses cheveux, on trouve de l'huile, de la graisse et des cordes de luth ; sa t?te peut fournir de corne les couteliers, et son front, les n?cromanciens, de grimoire ? invoquer le Diable ; son cerveau, d'enclume ; ses yeux, de cire, de vernis et d'?carlate ; son visage, de rubis ; sa gorge, de clous ; sa barbe, de d?crottoires ; ses doigts, de fuseaux ; sa peau, de lime ; son haleine, de vomitif ; sa parole, de ris ; ses caut?res, de pois ; ses dartres, de farine ; ses oreilles, d'ailes ? moulin ; son derri?re, de vent le faire tourner; sa bouche, de four-?-ban ; et sa personne, d'?ne ? porter la moun?e. Pour son nez, il m?rite bien une ?gratignure particuli?re. Acte 3, sc. 2, GENEVOTE, phrase 15
31GRANGER Ou ? si ? ces aveugles clairvoyants (je veux dire vos yeux, belle Tigresse, ces innocents coupables, mais plut?t encore le si?ge et la lice, le repos et l'action, le tout et la partie de l'unit? de nos deux ?mes) se publiant, sans dire mot, amis ennemis de l'esclave libert? des hommes, n'avaient contraint volontairement mon g?nie dans la libre prison de votre sorci?re beaut?, lui qui faisait gloire auparavant d'une fermet? constante en son inconstance; ? Si?, dis-je, tout cela n'avait fait faire et d?faire ? mes pens?es beaucoup de chemin en peu d'espace ; ? Si ? bref vous ne m'aviez apport? des t?n?bres par vos rayons, ? Je ? n'aurais pas appel? de mon juge ? mon juge, pour demander ce que je ne veux pas obtenir ; c'est, pitoyable inhumaine, la sant? mortelle d'une aigre douce maladie qu'on rendrait incurable si on la gu?rissait. Acte 3, sc. 2, GRANGER, phrase 7
32GENEVOTE Il se fait tard ; les machines sont peut-?tre d?j? en chemin, retirons nous. Acte 3, sc. 3, GENEVOTE, phrase 3
33PAQUIER ? Domine ? notre ?chelle a ras? sa barbe, j'ai peur d'avoir donn? trop de pied. Acte 4, sc. 1, PAQUIER, phrase 1
34PAQUIER ? Domine ?, plantez vous-m?me votre ?chelle, je n'y oserais plus toucher, car j'aurais peur ma foi de trouver encore une barbe, j'aime mieux pour ce coup demeurer ignorant. Acte 4, sc. 1, PAQUIER, phrase 3
35GRANGER C'est peut-?tre une de ces Larves au teint bl?me, dont nous parlions tant?t, qui vient pour m'effrayer. Acte 4, sc. 1, GRANGER, phrase 2
36PAQUIER Un peu plus haut. Acte 4, sc. 1, PAQUIER, phrase 1
37PAQUIER Chantez un peu pour vous rassurer. Acte 4, sc. 1, PAQUIER, phrase 1
38GRANGER Il a peur lui-m?me, car il n'ose parler. Acte 4, sc. 1, GRANGER, phrase 1
39PAQUIER Monsieur, il se peut faire que les ombres de la nuit ?tant plus ?paisses que celles du jour, sont aussi plus robustes, et qu'ainsi elles pourraient frapper les gens. Acte 4, sc. 1, PAQUIER, phrase 1
40PAQUIER Je m'en vais bien voir si c'est elle ; car si ce l'est, peut-?tre qu'en la flattant un peu, elle se repentira de sa faute. Acte 4, sc. 1, PAQUIER, phrase 10
41LA TREMBLAYE Peuple, vous n'avez qu'? chanter le ? Salve ?, le patient est sur l'?chelle. Acte 4, sc. 2, LA TREMBLAYE, phrase 5
42LA TREMBLAYE Tu t'y peux bien attendre. Acte 4, sc. 2, LA TREMBLAYE, phrase
43CHASTEAUFORT Je l'allais faire mourir avec douceur ; maintenant que ma bile est ?chauff?e, sans vous mettre au hasard d'?tre accabl? du Ciel qui tombera de peur, je ne le saurois punir. Acte 4, sc. 2, CHASTEAUFORT, phrase 3
44MANON Si vous croyez que ceci soit dit seulement pour vous amuser, saisissez-vous de moi tout ? l'heure, et tout ? l'heure allons consommer notre mariage, pourvu qu'auparavant vous me promettiez de lui donner la vie : encore qu'il ne t?moigne pas d'y consentir ; excusez-le, Monsieur, c'est qu'il a le coeur un peu haut, et tout homme courageux ne fl?chit pas facilement. Acte 4, sc. 3, MANON, phrase 10
45GRANGER Tu peux donc bien te r?soudre ? rogner un morceau de l'Arc-en-ciel, car je ne sache point d'autre ?toffe pay?e au marchand pour te v?tir. Acte 4, sc. 4, GRANGER, phrase 1
46GRANGER C'est une plaie nouvellement ferm?e qu'on ne peut toucher sans la rouvrir. Acte 4, sc. 4, GRANGER, phrase 7
47GRANGER Toi seul peut d?m?ler les sinueux d?tours d'un si l?thif?re d?dale ; toi seul peut devenir l'Argus qui me conservera cette Io. Acte 4, sc. 4, GRANGER, phrase 8
48CORBINELI Permettez que je lui parle un peu particuli?rement, car votre mine effarouchante ne l'apprivoiserait pas. Acte 4, sc. 5, CORBINELI, phrase 2
49GRANGER Je d?clare que Paquier n'est aucunement tenu de satisfaire ? la dette parce que j'ordonne que Corbineli s'en fasse payer ; et que ledit Corbineli ne peut rien demander ? Paquier, attendu que Paquier a perdu sa cause contre Corbineli. Ho, ho, j'aper?ois mon fils ivre. Acte 4, sc. 7, GRANGER, phrase 1
50GRANGER le jeune En effet, voyez un peu comme on devient riche ? force de boire : je pensais n'avoir qu'une maison tant?t, j'en vois deux maintenant. Acte 4, sc. 8, GRANGER le jeune, phrase 15
51GRANGER Une pomme, en effet, ligua les Dieux l'un contre l'autre ; une pomme ravit la femme ? M?n?las ; une pomme d'un grand Empire ne fit qu'un peu de cendres ; une pomme fit du Ciel un H?pital d'insens?s ; une pomme fit ? Pers?e ?gorger trois pauvres filles ; une pomme emp?cha Proserpine de sortir des Enfers ; une pomme mit en feu la maison de Th?odose ; une pomme donna la courte haleine au genre humain : Enfin Dieu n'envoya le D?luge que pour ?ter de dessus la Terre la m?moire des pommes. Acte 4, sc. 8, GRANGER, phrase
52CORBINELI Au sortir d'ici, ?tant comme vous savez un peu plus gai que de raison, il a choqu? d'une esse un cavalier qui passait. Acte 5, sc. 2, CORBINELI, phrase 3
53GRANGER De ce que tu as occumb? d'une mort o? l'on ne peut rien dire qui n'ait ?t? d?j? dit. Acte 5, sc. 2, GRANGER, phrase 4
54GRANGER Ma langue est une vip?re qui porte le venin et la th?riaque tout ensemble, c'est la pique d'Achille qui seule peut gu?rir les blessures qu'elle a faites ; et, bien loin de ressembler aux bourreaux de la Facult? de M?decine, qui d'une ?gratignure font une grande plaie, d'une grande plaie je fais moins qu'une ?gratignure. Acte 5, sc. 5, GRANGER, phrase 4
55GRANGER D'autres, pour s'introduire, demanderont ? parler ? quelque Acteur pour affaire d'importance et qui ne se peut remettre ; d'autres auront quelques hardes ? leur porter. Acte 5, sc. 5, GRANGER, phrase 12
56PAQUIER ? Il en viendra d'autres qui d?sireront parler ? quelque Acteur pour affaire d'importance et qui ne se peut remettre. ? Acte 5, sc. 7, PAQUIER, phrase 1
57GAREAU C'est eun homme qui sait peu et prou. Acte 5, sc. 8, GAREAU, phrase 4
58CHASTEAUFORT D'abord que quelqu'un viendra s'offrir, demande-lui son nom, car s'il s'appelle la Pierre, la Montagne, la Tour, la Roche, la Butte, Fortchasteau, Chasteaufort ou de quelqu'autre titre in?branlable, tu peux t'assurer que c'est moi. Acte 5, sc. 9, CHASTEAUFORT, phrase 2
59CORBINELI Fuis-t'en donc, de peur qu'il ne te frappe. Acte 5, sc. 10, CORBINELI, phrase 1
60PAQUIER Fuis-t'en donc de peur qu'il ne te frappe. Acte 5, sc. 10, PAQUIER, phrase 1
61GRANGER le père Ils veulent de m?me que nous, mais ils peuvent plus que nous. Acte 5, sc. 10, GRANGER le père, phrase 4
62CORBINELI Ce que vous avez invent? vous fait-il peur ? Acte 5, sc. 10, CORBINELI, phrase 2
63CORBINELI Vous avons uni tous les cinq en un, de peur de confusion : cela s'appelle pi?ce ? la Polonaise. Acte 5, sc. 10, CORBINELI, phrase 1
64CORBINELI Tu peux parler maintenant, il n'y a plus de danger. Acte 5, sc. 10, CORBINELI, phrase 1
65GAREAU Cette petite devargond?e m'en eut peut-?tre fait autant. Acte 5, sc. 10, GAREAU, phrase 40

 

Nombre d'occurences de l'expression : peu
par acte et par personnage

LE PÉDANT JOUÉ (1654)
CYRANO de BERGERAC, Savinien
 Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Acte 5 Total
GRANGER4217317
CHASTEAUFORT320117
PAQUIER0626216
CHARLOT110002
FLEURY000000
UN CUISTRE000000
CORBINELI1301510
GAREAU020024
MANON000101
GENEVOTE004004
GRANGER le jeune000101
LA TREMBLAYE000202
CORBINELLI000000
GRANGER le père000001
 Total9167191465

Graphique

 Locuteurs10 12 14 16 18 20 
 GRANGER42173 
 CHASTEAUFORT3211 
 PAQUIER6262 
 CHARLOT11 
 FLEURY 
 UN CUISTRE 
 CORBINELI1315 
 GAREAU22 
 MANON1 
 GENEVOTE4 
 GRANGER le jeune1 
 LA TREMBLAYE2 
 CORBINELLI 
 GRANGER le père1 

Légende

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